de Pierre Assouline

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La République des livres
55, rue Jablonski, Berlin

55, rue Jablonski, Berlin

Quel écrivain n’a pas été tenté par le projet littéraire de partir du particulier pour atteindre à l’universel en racontant à travers la vie d’un immeuble un peuple et un pays pris dans l’étau d’une époque ? L’exercice est aussi tentant que périlleux car, s’il échoue, le huis clos devient inutilement oppressant ; mais en cas de réussite, quel grand souvenir ! en tout cas pour le lecteur… Les Français penseront aussitôt à La vie, mode d’emploi de Georges Perec : on s’en souvient (ou pas, d’ailleurs, foin de cette manie des critiques de feindre de croire que tout le monde a nécessairement tout lu), une volonté d’exhaustivité présidait à ce « romans » (au pluriel) épuisant en un fascinant puzzle oulipien l’histoire et la vie de l’immeuble imaginaire du 11, rue Simon-Crubellier (Paris, 17ème), de ses habitants, de ses pièces, de ses objets. D’autres écrivains ailleurs dans le monde s’y sont risqués avec plus (Alla El Aswany pour L’immeuble Yacoubian) ou moins de bonheur. La réédition en poche de Seul dans Berlin (Jeder stirbt für sich allein, traduit de l’allemand par Laurence Courtois, 768 pages, 9,50 euros, Folio) permet de revenir sur le grand livre que Hans Fallada a écrit en 1946 en quelques trois semaines grâce à son cocktail habituel (alcool, tabac, drogues).

L’immeuble en question, plutôt modeste, est sis au 55 de la rue Jablonski à Berlin. Bien que l’auteur, de son vrai nom Rudolf Ditzen (1893-1947, son nom de plume étant un clin d’œil à des personnages de Grimm), ait publié la quasi totalité de son œuvre prolifique avant-guerre, il reste principalement associé à l’étranger à sa chronique berlinoise des évènements courants et du quotidien des copropriétaires et colocataires de cette immeuble, réunis sous sa plume tels un concentré de la classe moyenne allemande de 1940 à 1945. Comment ils vivaient et comment ils survivaient, les bons vivants et les presque morts, la factrice Eva Kluge qui passe si souvent qu’elle fait partie des habitants, le contremaître Otto Quangel, la fiancée de son fils Trudel, Frau Rosenthal toujours en instance d’être dénoncée, Baldur Persicke, membre des Jeunesses hitlériennes et futur cadre du Parti, Fromm le magistrat en traité inconsolé de la mort de sa fille, l’énigmatique Emil Barkhausen, mouchard toujours planté devant la porte d’entrée…

Un monde en réduction où l’on voit mûrir l’esprit de révolte petit à petit, à coups de détails insignifiants mais si lourds de sens, fragment d’humanité divisé en deux : ceux qui redoutent de subir la terreur ordinaire et ceux qui ont l’extraordinaire pouvoir de l’exercer. Car on torture, on emprisonne, on déporte, on exécute, on meurt beaucoup dans ce vécu-là. Trop ? Pas du point de vue de Fallada tel qu’il s’exprime dans un avertissement au lecteur, lui qui avait vécu le nazisme et la guerre à Carwitz, un quartier de Felddberg, dans le Mecklembourg :

« Cela n’a souvent pas plu à l’auteur lui-même de dresser un tableau si sombre, mais plus de lumière aurait signifié mentir ».

C’est de la résistance quotidienne des citoyens à la dictature de guerre qu’il s’agit. Basé sur des faits vrais (l’histoire des Hampel, un couple qui a dit non, à sa manière, ce qui lui vaudra d’être exécuté), et particulièrement sur leur dossier à la Gestapo que l’auteur avait pu se procurer pour s’en inspirer librement, le roman néanmoins réaliste, plein de couleurs et d’odeurs, de larmes et de sang, de Fallada atteint à l’universel en ce qu’il se détache parfois du contexte particulier de l’Allemagne, des petites histoires, admirables, cyniques ou perverses qui nouent les relations entre les habitants, pour enjoindre le lecteur à se poser les questions qu’affrontent ses personnages : jusqu’où aller trop loin sans trahir sa conscience ? Quelles sont les limites de la cruauté d’un tortionnaire ? comment s’interdire de parler sous la torture ? Comment maîtriser sa peur ? faut-il risquer sa vie et celle des siens dans l’espoir de rester debout  malgré tout ? que signifie « tenir » quand tout s’écroule ? Quel degré de bassesse  est capable d’atteindre le barbare galonné lorsqu’il avilit l’autre ? comment les valeurs qui vous ont fondé peuvent encore résister à tel déni d’humanité ? etc La peur partout, la mort au bout.

Paru la première fois en allemand chez Aufbau Verlag en 1947 mais dans la zone d’occupation soviétique, le roman a été publié dès l’année suivante à Moscou, en 1967 chez Plon mais et seulement en 2009 pour la première fois en anglais aux Etats-Unis sous le titre dégermanisé de Every Man dies alone.

 Ceux qui ne l’ont jamais lu y feront une découverte qui sera peut-être de l’ordre de la révélation. Ceux qui connaissent déjà Seul dans Berlin ne seront pas en reste car cette édition de poche est la première à proposer une nouvelle édition intégrale (Denoël l’avait publiée l’an dernier mais la presse ne lui avait guère fait justice). La différence avec l’ancienne édition ? Ce que les éditeurs allemands d’origine ont découvert dans leurs archives, c’est à dire un tripatouillage effectué à l’insu de l’auteur :

« La suppression complète du chapitre 17 où l’on apprend qu’Anna Quangel était membre  active de la ligue des femmes nazies, la Frauenschaft. L’appartenance de la factrice Eva Kluge au parti nazi avait par exemple aussi été gommée. Cette censure politique s’explique par la mission que s’était confiée la zone soviétique en Allemagne, future RDA : il fallait éduquer le peuple à l’aide d’exemples clairs et sans ambiguïté, parfois simplistes. Ainsi une héroïne de la résistance intérieure allemande ne pouvait avoir été du côté nazi ».

(Photo D.r; ayant servi à l’affiche de l’adaptation théâtrale de Seul dans Berlin)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

395 Réponses pour 55, rue Jablonski, Berlin

Polémikoeur. dit: à

Baissez ces bras que l’on ne saurait (re)voir !
(et laissez les lieux dans l’état
où vous les avez trouvés !).
Naïvainement.

Attila dit: à

Du particulier à l’universel à travers la vie d’un immeuble !

On peut aussi plus modestement partir de la loge de la concierge, comme le fait Muriel Barbery dans « L’élégance du hérisson » ?

radioscopie dit: à

Peut-être pas inutile de préciser que c’est chez Folio (Gallimard).

Diagonal dit: à

Bonnes références associées à Pérec et Al Aswani. Et surtout, intéressante mise au point sur le chapitre 17 de « Seul dans Berlin »… On tombe de haut d’apprendre qui était Anna Quangel. Ca donne envie de relire ce grand roman à partir du prisme de cette révélation. « Je me souviens » que cette femme eut le temps d’utiliser une fiole de cyanure à la différence du mari qui n’avait pas craqué sous la torture. Des héros de peu dont l’engagement saboteur ne fut dicté qu’à la déception du sort réservé à leur fils chez les nazis. On pense à l’attitude de Jünger proche des conjurés, après la mort d’Ernstel à Monte Cassino.
Sinon, je recommande (et ça n’a rien à voir mais petit peu quand même… du côté sciences humaines) le très beau livre de Michelle Perrot, Histoire de chambres… si on veut bien « partir du particulier pour atteindre à l’universel ». http://clio.revues.org/9944.
Je sais bien que le site n’est pas trop dédié à cela car le tropisme dominant de la RDL est de faire surtout dans les époques obscures et franchement glauques. On doit s’en accommoder. Après tout, elles ont également donné des récits d’une très haute tenue morale, il est toujours bon de le rappeler.

D. dit: à

Oui Diagonal, mais enfin c’est déjà très bien que ça soit comme ça, il ne faut pas être trop difficile. MOI je me contente de tout…

L'autre D. dit: à

Vous avez de la chance ! Mais inutile de le dire deux fois, hein.

Paul Edel dit: à

A propos de Hans fallada , il faut préciser qu’un de ses livres les plus étonnants et tres autobiographique s’appelle « der trinker », en francais, « ‘l’ivrogne »,publication posthume. Ce roman raconte le calvaire d’un bourgeois sous l’emprise de l’alcool etles divers stations de sa « chute » ,il finit hospitalisé.
Et si l’on peut lire aujourd’hui « seul dans berlin » publié en 1947, on le doit aussi aux encouragements et à l’énergie de J.R. Becher pour aider moralement et financièrement Fallada. Becher fut une sorte de ministre de la culture de la RDA qui encouragea Fallada à écrire cette chronique d’un immeuble à berlin sous les nazis. Rappelons que ce Becher est aussi celui qui aida Brecht et d’autres grands écrivains émigrés ou immigrés à trouver une place dans la jeune republique démocratique pour analyser ce que ftrent les années nazies et recréer une culture humaniste.

Sergio dit: à

« comment s’interdire de parler sous la torture ? »

Faut pas se faire la moindre illusion, on peut pas épicétou !

On peut essayer de gagner du temps, profiter de chaque événement qui peut venir se coller en travers du bastringue, et naturellement se suicider (si on peut techniquement !) ou mourir accidentellement.

Mais à mon humble avis, en rase campagne, je veux dire avec un contexte parfait pour la torture, les yeux dans les yeux avec le problème, d’avance c’est branlé, branlé, branlé…

D. dit: à

Peut-être mais ça ne nous mène pas loin.

giulietta massina dit: à

c’est Benito JC le bras levé à droite sur la photo ?

D. dit: à

Je pense que ce billet suscitera de nombreux commentaires riches et profonds, notamment de la part du meilleur d’entre nous, Ueda, alias L’autre D.

Sergio dit: à

« jusqu’où aller trop loin sans trahir sa conscience ? »

A mon avis, on peut pas, ça ; si l’on accepte l’idée d’un point moyen, d’une construction transactionnelle (je veux parler ici des montagnes de trucs qui se culbutent dans le cerveau lorsque l’on court à la recherche d’une vérité décidée), on va automatiquement rendre partie prenante un repère ou l’autre de la société, ensuite son regard, adonc on est mal barré… Y a tout qui se met à fuir !

DHH dit: à

Merci Pierre Assouline pour ce billet sur un roman que j’aime tant.
A la différence des vos autres billets, qui m’invitent le plus souvent à découvrir des œuvres nouvelles pour moi, celui-ci , qui me parle d’une œuvre que je connais bien , m’apporte un double plaisir ; d’abord celui de découvrir , mieux analysé et formulé que ce que je pourrais le dire, tout ce dont ce roman est riche pour moi; et aussi il m’apporte un éclairage révélateur sur tout ce qui m’avait échappé à sa lecture
Comme vous le montrez la typologie des habitants de l’immeuble est magnifiquement dessinée et tout en nuances avec ses arrieres- plan psychologiques, qu’il s’agisse des personnages que vous citez, ou de cette madame Rosenthal , pur produit de la societé Ikes qui n’a pas encore cessé de croire qu’elle est chez elle en Allemagne, même après l’arrestation de son mari ,ce juif tellement allemand qu’il se prénomme Siegfried ,comme tel autre homme, célèbre celui-là, qui s’appelait Sigmund pour rappeler son grand-père Salomon
Du même auteur j’aime aussi ;Quoi de neuf petit homme , dans lequel Fallada se montre un exceptionnel portraitiste de la classe moyenne en butte aux misères du quotidien dans les années Weimar ,

Sergio dit: à

« C’est de la résistance quotidienne des citoyens à la dictature de guerre qu’il s’agit. »

Les Allemands ont bien suivi oncle wolf dans tous les préliminaires : Anschluss, Sudètes, Rhénanie, Norvège ; à partir du moment où on est passé aux choses sérieuses avec la Pologne et, partant, la mobilisation générale, ce fut une toute autre chanson : pas plus qu’en France, l’enthousiasme d’août quatorze, à commencer du reste par les grands chefs de l’armée allemande…

l'autreD dit: à

« des copropriétaires et colocataires de cette immeuble »

Il faudrait revenir sur cette coquille, ce serait mieux.

la vie dans les bois dit: à

Pour Fallada, que je n’ai lu ni ne lirai, « l’ivrogne » est une auto-fiction?

En ces jours où Germaine et Geneviève auraient de toute façon- comme on peut les en soupçonner!- refusé d’être en coloc’ place du Panthéon, on nous ressort une vieille photo de résistante nazie ?

Le machisme ambiant commence à faire tache.

Merci de ce billet sur la crise du logement.

D. dit: à

Dites-donc, Serge, ce n’est pas une déchetterie, ici.

D. dit: à

En ce qui me concerne, je pars toujours de l’universel pour atteindre au particulier. Et ce n’est pas aujourd’hui que je vais changer.

Attila dit: à

« je pars toujours de l’universel pour atteindre au particulier. »

C’est tout à fait normal chez un qui n’est que la somme de tous les autres !

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…pour garder , l’indépendance et la liberté de sa personne,!…à rester libre,!…

…lire, lire, les expériences des autres, auquel, vous pouvez mettre votre pied de coïncidences sur l’echelle,!…

…en somme vous êtes sur le plateau, c’est un rôle, une comédie de vivre,!…
…la place et son temps d’intervention, les liens, du livre aux réalités,!…
…construire la vie civile, tourner ses appétits, son droit à exister, de part soi-même, ouvert en sérénité des judicieux préceptes,!…
…mais, ou somme nous,!…à la régence de Louis XV,!…déjà, encore,!…
…le duc de Saint-Simon le meilleur proposa la Banqueroute,!…

…Effrontées et Cyniques par L.Gastine 1922.

…un certain air de musique,!…un disc-jockey bien payez, pour conduire le bal,!…etc,!…
…les emplois fictifs,!…comme les services et faits condamner à disparaitre, au rôle révolus,!…compétences roturières en politiques sociale,!…etc,!…
…c’est extra,!…porter le chapeau,!…
…alors ces  » mixtures « , çà ce consolide, vos libertés, votre cadre de vie,…
…à quel niveau de soumission,…toujours plus,!…sur le siège,!…
…etc,!…

Sergio dit: à

D. dit: 28 mai 2015 à 20 h 57 min
ce n’est pas une déchetterie, ici.

Ben… J’ai mis du blanc de bureau sur l’écran, mais ça part pas !

Sergio dit: à

D. dit: 28 mai 2015 à 20 h 59 min
de l’universel pour atteindre au particulier.

Of course ! « Dus simple au compliqué, et du général au particulier », on apprenait ça avant… Et avec perte et fracas !

claire dit: à

je ne sais pas où aller pour raconter mon histoire, je ne sais plus quoi faire et il faut bien que je commence à parler quelque part. Voilà je m’appelle claire et j’ai cinquante et un an, j’ai cinq enfants et deux petits enfants.Pour une raison que j’ignore, je me suis retrouvée en contact avec GUY GEORGE de façon télépathique et comme il ne peut pas sortir, il me menace d’une façon terrible, il dit que sa copine va sortir et qu’elle va venir tuer certains jours, il parle de mon petit fils, d’autres jours de ma fille et de moi aussi. Je sais que nous sommes sur un site littéraire et que cela pourrait être compris comme une farce mais j’ai besoin d’aide. L’harcelement est terrible et la copine de guy georges ne plaisante pas.

Clothilde dit: à

Claire, il faut écrire « Le harcèlement » c’est un bon titre et vous feriez recette. Le monde est avide d’extraordinaire glauque, de gothique sanglant, de science fiction et d’étrange.

georges dit: à

Le titre du livre en allemand est:Jeder stirbt fur sich allein, c’est à dire Chacun meurt pour soi.
Donc,pas de « dégermanisation » du titre anglais, mais n’importe quoi pour le titre français.

JC..... dit: à

« Je sais que nous sommes sur un site littéraire et que cela pourrait être compris comme une farce mais j’ai besoin d’aide. » (claire)

La littérature entière est une farce : ne vous gênez pas ! Vous êtes ici chez vous.

Par contre, pour trouver de l’aide, je vous conseille le Secours Catholique, le Secours Populaire, la Croix Rouge ou le Croissant Bloodique …

la vie dans les bois dit: à

« Chacun meurt pour soi. »
beau sujet pour le bac philo : la résignation.

JC..... dit: à

Pourquoi la littérature entière est une farce ? Réfléchissez un peu ….

Tous ces gens intelligents, les auteurs, qui contrairement aux ingénieurs, aux entrepreneurs, aux astronomes, aux généticiens, aux policiers, aux médecins, aux militaires, qui FONT, qui agissent, les auteurs eux, accompagnés de la racaille des éditeurs, des critiques, des mémères qui achètent, ne font RIEN pour lutter contre la faim dans le monde, la maladie, les dictatures religieuses ou politiques, l’enseignement, les problèmes de climat…

Dans mon classement des pervers inutiles de notre société exemplaire, les « gens de la littérature » sont situés juste au dessus des voleurs et de leurs complices les magistrats, à peine au dessous des avocats et des politiciens !

Bonne journée, chers comparses !

memoire dit: à

« Les Allemands ont bien suivi oncle wolf dans tous les préliminaires : Anschluss, Sudètes, Rhénanie, Norvège ;  »

Les premières victimes -assassinés, exécutés, et prisonniers dans des camps- étaient allemandes

maurice dit: à

« ne font RIEN pour lutter contre la faim dans le monde, la maladie, les dictatures religieuses ou politiques, l’enseignement, les problèmes de climat… »

pov nouille qu’en savez-vous

ZEUS..... dit: à

Mes amis Terriens !

Vous disputez des évidences : les Allemands furent tous nazis antisémites, les Français furent tous vichystes collaborationnistes.

Ne transformez pas ces périodes européennes de facture courtelinesque en une légende mensongère. On ne repeint pas sur de la crasse, ça ne tient pas.

Anselme dit: à

La légende (non visible) de la photo du haut est : « Qui a le plus beau chapeau ? levez la main. « 

Bloom dit: à

Dany Laferrière, nouvel académicien, déclarait tantôt sur RFI qu’aucune langue n’est porteuse de valeur(s). Celles-ci ont affaire avec les sociétés. Il a évidemment raison, sinon comment supporter la lecture de l’allemand après le nazisme?

Anselme dit: à

Qui a le plus beau chapeau ? levez la main. La dame de droite lève la main sans conviction. Elle pleure parce qu’elle ne sera pas sur le podium du plus beau chapeau.

Bloom dit: à

les sociétés et les hommes bien sûr, Arthur…

La vie SMS dit: à

Quand Modern de Bretecher lance un hamburger
(dans un mac do de sait ouen peut-être
__________________________________ j’y ai mangé)
il pose un acte gratuit

Anselme dit: à

sinon comment supporter la lecture de l’allemand après le nazisme? (Bloom )

Une telle allergie conduirait en effet à des situations burlesques; ceux qui en seraient affectés refuseraient farouchement de lire Thomas Mann et Sefan Zweig dans leur langue maternelle, sans compter Goethe, Luther ou Rilke, Novalis ou Peter Handke.

Anselme dit: à

 » ceux qui en seraient affectés  » …

Quand j’écris « ceux », au lieu de « celles et ceux », je me borne à me conformer à un usage de ma langue maternelle quasiment aussi ancien qu’elle, et qui consacre benoîtement la primauté du masculin sur le féminin. Preuve que la langue est à l’occasion, porteuse de « valeurs ». Les choses ne sont pas aussi simples que le dit M. Dany Laferrière.

Anselme dit: à

Quand je dis « les Allemands » ou « les Juifs », aussi bien que quand je dis « l’allemand » ou « le français », je me borne à me conformer un usage immémorial de ma langue, qui consiste à mettre dans le même sac, avec une étiquette dessus, des êtres humains ou des langages aussi divers et dissemblables qu’on voudra; preuve, parmi d’autres, qu’une langue est insidieusement porteuse de « valeurs », n’en déplaise à M. Dany Laferrière. Ce qui devrait nous inciter à faire de la langue dont nous nous servons un usage aussi critique et circonspect que possible.

ZEUS..... dit: à

Nous aimons beaucoup votre Monsieur Denis Laferrière : il donne de la couleur à une Académie plutôt blafarde.

ZEUS..... dit: à

Nous répétons malgré une mauvaise liaison radio avec la Terre que les Allemands furent tous enchantés d’être nazis et antisémites, comme les Français d’être pétainistes et collabos.

Tout du moins au début…

Tenter de passer de la peinture fraîche sur de la vieille crasse ne donne rien. Cela ne tient pas.

daniel dit: à

la petite provoc habituelle du crétin de pq, qui prend son cas personnel pour une vérité intangible

Attila dit: à

Pourquoi elle pleure la dame sur la photo du haut ?
Parce qu’elle n’a pas de chapeau ?

Bloom dit: à

55, rue Jablonski, Berlin

Titrés avec adresse:

– L’assassin habite au 21, Stanislas-André Steeman

– Inconnu à cette adresse(Address Unknow,Kressmann Taylor

– 84, Charring Cross Road, idem

– 33, Newport Street : Autobiographie d’un intellectuel issu des classes populaires anglaises (A Local Habitation: Life and Times, 1918-1940), Richard Hoggart

– 37, rue Vernier, R. Peyron

M ou Mme dit: à

@ 33, Newport Street : Autobiographie d’un intellectuel issu des classes populaires anglaises (A Local Habitation: Life and Times, 1918-1940), Richard Hoggart

Très bien Mr. Bloom, mais ici… on ne cite que la littérature, pas les sciences humaines, vu ? Et quand on ne connait pas les romans dont on nous cause (qui c encore c’te fa(lla)da corbusif ?), on les lit pas à cause de machisme ambiant, vu ?

Polémikoeur. dit: à

La somme des particuliers (du commentarium)
est-elle égale au général
ou celui-ci est-il d’un
autre ordre de grandeur ?
Quelle étape de raffinage –
et qui peut l’entreprendre –
est-elle capable d’extraire
une note de la cacophonie ?
En écartant, si possible,
la solution du pas de l’oie
où il n’y a plus qu’une fanfare
sinistre menée par un tambour voilé.
Trèbottement.

giulietta massina dit: à

baisse de régime pour le PQ de Benitoto, ça coince !

Passou dit: à

Bien vu, Georges. Le comble, c’est que je vous tends des verges pour me faire battre.

récitations et citations dit: à

Le matin a fait irruption, comme une chute, du sommet pâle de l’Heure…
Les voici consumées, mon amour, dans l’âtre de notre vie, les bûches de nos rêves…
Renonçons à l’illusion de l’espoir, parce qu’il nous trahit, de l’amour, parce qu’il lasse, de la vie, parce qu’elle assouvit sans nous rassasier, et même de la mort, parce qu’elle nous apporte plus que nous ne voulons, et moins que nous ne l’espérons.
Quittons l’illusion, ô Voilée, de notre propre ennui, parce qu’il vieillit de lui-même, et qu’il n’ose pas aller jusqu’au bout de son angoisse.
Ne pas pleurer, ne pas haïr, ne pas désirer…
Recouvrons, ô silencieuse, d’un fin linceul le profil raidi, le profil mort de notre Imperfection…

FP.

Bloom dit: à

M ou Mme dit: 29 mai 2015 à 11 h 21 min

1, Rue Cabanis, Paris 14e …?

Attila dit: à

Comment est-on passé du « Chacun meurt pour soi » allemand ou « Chaque homme meurt seul » anglais au « Seul dans Berlin » français ?

récitations et citations dit: à

A contrecœur le jeune homme sombre s’est levé et avait fait une légère révérence à sa dame. A contrecœur elle avait posé la main sur son bras, et ils rejoignirent tous les deux, blêmes, le flot des autres sur la piste de danse. Ils dansèrent avec sérieux, sans rien dire, il eut l’impression de danser avec une morte. Il en eut un frisson. Les uniformes autour d’eux, les brassards avec la croix gammée, les drapeaux rouge-sang aux murs avec le signal haï, le portrait du Führer décoré de verdure, les cadences rythmées du swing:  » tu ne feras pas ça, Trudel, dit-il. Il est fou d’exiger une chose pareille. Promets moi… »

Seul dans Berlin.

D. dit: à

Moi je n’aimé pas les verges.

Clothilde dit: à

8h09 Cette phrase pourrait aussi vouloir dire qu’aucune mort n’est utile quelque soit la cause à laquelle on la destinait si on admet que seule la vie peut imprimer sa marque pour éventuellement servir au destin individuel ou collectif, chacun meurt à soi pour renaître de ses cendres aussi bien sûr; chaque mort fait de celui qui meurt un solitaire, un isolé, tout le reste ne revêt plus grande importance face au néant béant impatient d’engloutir une vie, qu’elle ait été celle d’un seigneur ou d’un pauvre indigent sauf à considérer la postérité sous forme d’un lègue de nature matérielle ou immatérielle qui peut-être console de l’irréversible départ.

Bloom dit: à

Comment est-on passé du « Chacun meurt pour soi » allemand ou « Chaque homme meurt seul » anglais au « Seul dans Berlin » français ?

Le génie, Baroz, ce je-ne-sais-quoi qui fait qu’on est différent des autres. La « distinction » bourdieusienne, l’indexation bennettienne…
Au niveau purement lingouistique, Berlin = la mort. Tot im Berlin.

Attila dit: à

Oui, Bloom, la traduction des titres de livres ou de films est une composante essentielle de l’exception culturelle française, de quoi en faire un roman !

radioscopie dit: à

Il y a un mois environ, en plein centre de Prague (une des rues où vécut Kafka), mon oeil est attiré par une longue bannière rouge frappée de la croix gammée plaquée sur un immeuble. Ce rouge illumine la nuit. Des passants, comme moi-même, arrêtent leur pas et lèvent un regard effaré sur le sinistre insigne. Puis viennent des hommes et des femmes habillés à la mode de la photo du haut. Les figurants d’un film en train d’être tourné. Soulagement.

Phil dit: à

dear bloom, quelque soit la traduction, « Berline » fait toujours recette. Question titre, le film de F. Lang sur l’attentat contre Heydrich (der Henker) a aussi été idiotement traduit.
Fallada fait parler de lui depuis une dizaine d’années seulement de ce côté-ci du Rhin. Il y a sûrement des raisons autres que « ddéresques ».

Bloom dit: à

Dans ce cas, il semblerait que l’on soit passé subrepticement de « l’exception » culturelle française à « l’acception » culturelle française, Baroz, is it not?

Sergio dit: à

La bouche ouverte, ou le bras tendu ? Y a une nuance bon Dieu !

Attila dit: à

En France, l’exception tu l’acceptes ou tu te tires !

D. dit: à

Qu’est-ce que c’est que cette façon de tutoyer les gens ?

Bloom dit: à

En France, l’exception tu l’acceptes ou tu te tires !

Tu parles nabot, Baroz mais c’est pas toi qui la ramone, la taupe modèle.

Sergio dit: à

Un facteur facho ça c’est bien ! Mieux que le facteur rhésus ou le facteur Cheval… Non mais sans rire moi le mien à Nancy avec sa tronche en biais sûr il l’est ! Il ressemble exactement… Y a pourtant pas un axe Nancy-Berline ? C’est Karlsruhe… Et puis les facteurs ils devaient pas être drapeau noir ? Bons vivants mais drapeau noir…

daniel dit: à

Le traducteur,ou le ‘correcteur’, ou l’éditeur, se prenant pour un (bon) psy, a voulu léguer sa marque d’ignorance à la postérité!
(le livre d’A ; Schitzler intitulé « Der Weg ins Freie » a été traduit par … »Vienne au Crépuscule »

jicé de pq dit: à

(rwit) Ca alors … Mélenchon et le Parti de gauche jugent l’émission « Secrets d’histoire » et Stéphane Bern « trop monarchistes »

alors qu’un titre « secrets d’alcove » aurait rendu la monarchie encore plus sympa

ZEUS..... dit: à

HORS SUJET DU JOUR

« Il m’arrive souvent pour me distraire – car rien ne distrait autant que les sciences ou les choses ayant une allure scientifique, pratiquées de manière futile – d’étudier scrupuleusement mon psychisme tel que les autres peuvent le concevoir. C’est un plaisir rarement mélancolique, bien que parfois douloureux que je prend à cette tactique futile.
D’une façon générale, je cherche à étudier l’impression que je produis chez les autres, et j’en tire mes conclusions. Généralement, je suis un homme avec lequel les autres sympathisent, et sympathisent même avec un vague et curieux respect. Mais je ne suscite aucune sympathie fervente. Personne n’éprouvera pour moi d’amitié chaleureuse. C’est pourquoi tant de gens peuvent me respecter. »

De qui parle l’auteur de ce portrait ?
– Dédé
– Ueda
– JC
– Bernardo Soares

Sergio dit: à

Ca démarre pas sur douze cylindres, finalement… Un peu de Ferdine et de forteresses sur ce charmant ouvrage qui change de nom comme de langue le rendrait plus gouleyant…

Parce que lui, Ferdine et la Vigue dans son sac… Euh non… Ils s’étaient bien installés dans des ruines qui tenaient même pas par en bas, et là-dedans pourtant ça crapahutait de concierges et d’indics pour au moins huit services à la fois que de toutes manières on n’avait pas trop le temps de s’ensommeiller…

bérénice dit: à

_ Tout à fait en phase avec votre remarque D, 15h59. Un « vous » vaut mieux qu’un « tiens tu l’auras » surtout quand on n’y tient pas.

bérénice dit: à

Bloom, les titres des livres traduits comme des films d’ailleurs pour ceux-ci la liberté prise par rapport à l’original devient une revendication ( style cela n’a plus rien à voir avec) modifieraient-ils notre lecture ou pensez-vous que l’intégralité des traductions nous éloigne autant du texte que l’infidélité faite au titre de l’esprit de l’auteur. C’est une énigme que le titre pour laquelle les écrivains trouveraient à s’exprimer, certains le poseraient en inspiration au début de leur construction, d’autres comme une signature à la fin, un peu comme un parent qui recevrait l’enfant au premier jour et se demanderait quel nom lui donner enfin pour sa longue vie?

jeu-concours (suite) dit: à

pour poursuivre le jeu de Bloom :

125 rue Montmartre (André Gillois)
Rue des Boutiques obscures
Berlin Alexander Platz

jeu-concours (suite) dit: à

L’Affreux pastis de la rue des Merles
(mouais, c’est pas vraiment une adresse…)

jeu-concours (suite) dit: à

Rue de la Sardine

D. dit: à

Qui est donc ce Jablonski qui a une rue à Berlin ? Car c’est la question essentielle, après tout.

D. dit: à

Vous n’êtes pas gentille avec moi, Bérénice, et pourtant je vous aime bien quand même, je croyais ne pas savoir pourquoi et en fait maintenant je sais : vous pourriez être ma fille.

D. dit: à

Non pas par l’âge, mais par la façon d’être.

Daaphnée dit: à

Que de ronds de jambes !
C’est quand même simple, notre D. de l’endive au jambon:
ou vous trouvez votre interlocuteur plus sot que sot,
ou vous lui accordez le bénéfice du doute.

Daaphnée dit: à

Bon, ces tristes malheureux près de marcher au pas de l’oie (la photo) .. ils auraient mieux fait d’apprendre à réfléchir, avant.
Marre de cette sainte compassion à l’égard des tarés !

Widergänger dit: à

Arrêtez donc de causer pour ne rien dire. Vous z’y connaissez rien à la traduction, ni aux titres qui accrochent. Z’êtes nuls, alors laissez faire les pros du pot ! Et z’y connaissez rien non plus en français, c’est bien ça le pire pour proposer des titres en traduction qui ne veulent absolument rien dire en français (mais veulent dire quelque chose en anglais !). C’est l’effet belkacem : c’est l’effet Attila, après elle plus rien ne repousse.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…mon pot de nutella,!…

…me conseille, de m’écarter de ces débats aux jeux de jambes des oies,!…
…enfin,!…
…si, mes anciennes connaissances on maille à exposer des repentis, des détails plus transparents, qu’ils se mettent à table,!…
…je les lirais,!…
…modifications comportementales ou statu-quo,!…j’accepte, les confinités auquel tout le monde est astreint,!…
…même sans voix,!…
…tout le monde est à se bloquer,!…
…moi, je reste à continuer de rester libre,!…
…qui veut un  » lapin « , pour sa maison, s’adresser ailleurs,!…merci,!…etc,!…
…l’important c’est la santé,!…le jardin plein de roses,!…

Widergänger dit: à

Est-ce qu’on peut croire une seule seconde que ceux qui ont voté pour Hitler n’avaient pas « appris à réfléchir », comme dit Bécassine ? Peut-on croire une seule seconde que Heidegger n’avait pas appris à penser…?

Mes pauvres zéfants, zêtes bien de sacrées cruches (un peu fêlées)…

Les tarés d’hier sont les mêmes qu’aujourd’hui. Le monde ne change guère. Le monde sera, hélas, toujours rempli de tarés qui pensent n’importe quoi. Mais ils pensent ! Et font même sacrément chier le monde !

Daaphnée dit: à

Comment est-on passé du « Chacun meurt pour soi » allemand ou « Chaque homme meurt seul » anglais au « Seul dans Berlin » français ?

Ce qui n’est pas inintéressant, c’est que de glissement en glissement, on voit comment la connaissance de l’l’Histoire forge notre compréhension. De là des interprétations qui se revendiquent , non ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…j’ai déjà donné pour la journée,!…

Attila dit: à

« c’est l’effet Attila, après (lui) plus rien ne repousse. »

Avec moi, vous serez un homme neuf, WGG, plus de fantômes !

bérénice dit: à

19h38 inquiétant…

bérénice dit: à

Le monde ne change guère.

Cher WGG à vous croire il se reproduit, hélas il s’accroisse en nombre et s’endurcit comme un virus résistant, tout n’est qu’une mathématique qui profite au Capital, le négatif négative jusqu’au dernier des saints.

la vie dans les bois dit: à

Javert, tu devrais en prendre de la graine; ta « fille » de blog itou.

« Récit très prenant, et très fort, Le Buveur nous laisse un goût amer dans la bouche, car il est difficile de ne pas prendre en pitié cet homme dont la vie a été mise à sac par l’alcool. »

http://enlivrons-nous.com/2012/08/11/le-buveur-hans-fallada/

bérénice dit: à

Inquiétant car je ne sais trop à qui je ressemble. Vous m’enverrez une photo, D n’Est-ce pas? que je sache vers quoi je me dirige en vieillissant, espérons que vous ne chaussez pas du 46, mon 39 me suffit amplement à affronter le mistral.

Daaphnée dit: à

Mais qui êtes-vous, Wiwi en votre pré-retraite de type jamais sorti de l’école, pour dire si Heidegger aurait dû ou n’a pas su – au bon moment historique – penser comme il aurait fallu que la postérité l’en encense ???
Qu’est-ce que c’est que cette moraline bon marché ?
Penser est un risque en soit !

Il n’y a que les abrutis qui ne pensent à rien qui sont à condamner pour être déjà crétins et les plus dangereux par la masse énorme, informe et pesante qu’ils constituent !

Widergänger dit: à

Feriez mieux de vous taire au lieu de dire autant d’âneries à peine compréhensibles tellement c’est nul et confus.

la vie dans les bois dit: à

Une question est restée sans intention de réponse.
Musk, génie ou non ?
Pourvu que le soleil brille, que vous puissiez recharger vos batteries.

D. dit: à

Tiens, je vous voyais en 37, Bérénice.

rose dit: à

Daaphnée dit: 29 mai 2015 à 21 h 21 min

Penser est un risque en soit !

Encore faut-il le prendre et oser dire ce que l’on pense.
Et c’est ce que fait Widergänger, ainsi que d’autres ici. Et ce qui fait leur particularité à ces personnes là c’est qu’ils ont le courage de dire ce qu’il pense sans s’enr éférer à ce qui se dit par ailleurs, de convenu, de dans l’

rose dit: à

de dans l’air du temps du pré-mâché et pré-cuit entre parenthèses des journaux.

La pré-retraite, ou cessation de fin d’acitivité n’ixiste plus chez les enseignants depuis quelques années : dispositif financier bien trop couteux. Puisque cela semble vous intéresser cela existe chez l’entreprise de telecom Orange et à des conditions extrêmement avantageuses mais il faut remplir quelques conditions dont celle d’avoir commencé à travailler et donc à cotiser très jeune. Ceci pour votre gouverne.

D. dit: à

Ne vous énervez pas, Rose.

D. dit: à

J’ai déjà parlé ici de la question de la pré-retraite chez les fonctionnaires.
Beaucoup ont nanti des Assurances-vie dont il ne savent pas trop quoi faire, leurs enfants étant élevés et leur maison payée. Ces Assurances-vie pourraient tout-à-fait servir à payer les 5 à 10 ans de pré-retraite ; salaires, cotisations sociales diverses et cotisation de retraite. Avec une prime de l’état assez minime§. L’État s’y retrouverait largement puisque : 1) un fonctionnaire parti = 1/2 à remplacer. 2) A remplacer par un non-fonctionnaire, un gars ou une fille sous contrat, payée au lance-pierre pendant 5 ans.
C’est tout bénef. Qu’attendent-ils pour le sortir du chapeau ? Moi je l’aurais déjà mis en place depuis belle lurette.

rose dit: à

loin d’être énervé, j’argumente pour W. eu égard au fait qu’il a l’élégance de ne pas prendre sa propre défense.
Dans les proverbes des communautés juives :
le summum de la puissance consiste dans le fait de transformer des ennemis en amis

tâche peu simple je vous le dis si l’on s’y attelle.
La question étant pourquoi s’y atteler.

Ai acheté Seul à Berlin de Hans Fallada cet aprem ainsi que la Pléïade sur Aristote : je jubile, j’exulte (est-ce cela s’énerver à vos yeux, D. ?).
Je vais les lire.

rose dit: à

D. dit: 29 mai 2015 à 23 h 43 min

L’État s’y retrouverait largement puisque : 1) un fonctionnaire parti = 1/2 à remplacer.

Oh la la !

Quelle proposition inconséquente :
je propose pour ma part :
un fonctionnaire parti = zéro à remplacer.

Comme dans les journaux papiers où un correcteur automatique remplace quatre correcteurs en chair et en os, bloggeurs sur leur temps de travail.

D. dit: à

Je ne suis pas fonctionnaire, mais si je l’étais, je me préparerais déjà à liquider à 55 ans mes 150 000 € d’assurance-vie de cette façon.
Je suis très bon en Économie, en dépit des racontars de certains.

rose dit: à

5 à 10 ans de pré-retraite c’est gentil : lorsque celle-ci sera prise à 67 ans ainsi que cela est prévue très rapidement, cela signifie qu’à 62 ans l’on pourra songer à commencer à arrêter le taf.
Il y aura diverses solutions prises par certains de manière juvénile par d’autres, au moment de la dite pré-retraite.

Se lancer en politique : viser la députation plutôt que les sénatoriales qui, à terme, seront sûrement supprimées.
Et autre.

Drôle comment parler de soi et de son travail en s’investissant lucidement dans ce qui est dit amène retour de flammes aigris d’autrui.

Drôles aussi que ceux qui ne s’investissent jamais avec cette honnêteté première ne ramènent à eux que cendres et aigreurs d’estomac.

en faisant quelque effort, je peux comprendre que, être inféodé à de grands argentiers dont l’essentiel de la vie à constituer à faire de l’argent, individus desquels votre sort dépend intimement, cela doit rend la situation de boulot crispante.

rose dit: à

Comme sur des charbons ardents.

D. dit: à

Cette histoire d’endives au jambon me suit comme une casserole maintenant. Faites des confidences aux gens et voyez comment on vous remercie.
Je commence à comprendre les ermites.

rose dit: à

Quant à moi, je suis inféodée à une ministre de tutelle qui amène ovation à son discours lorsqu’elle promet aux parents d’élèves de leur faire une place dans les établissements scolaires. Place qu’ils occupent allègrement et de plus en plus disons depuis quinze ans.
Pendant qu’ils gèrent les programmes scolaires de leurs enfants avec les compétences particulières qu’ils sont sur ce sujet (disons-le quand même qu’il est loin le temps où les parents cultivés siégeaient aux conseils de classe : aujourd’hui ce sont les plus allumés, pour la plupart, aigris, et aux gosses fauteurs de troubles haut et fort ; attendons les parents des délinquants cela ne saurait tarder), et bien ils oublient d’élever les dit-gosses et de les éduquer et de leur apprendre la vie.
Les voyages scolaires deviennent les prémisses de lupanars ; les retours cauchemardesques se passent en avertissements divers.

Désormais il va falloir accepter que draguer une fille, y compris en quatrième, cela passe par  » tu viens visionner un film porno ? ».
A moins que, ces dits gosses ne fassent que reproduire ce qui se vit chez eux.

Et là, horresco referens.
Je frémis et je tremble.

rose dit: à

Il ne s’agit pas de faire des confidences stupides. Il s’agit -mais de visu ce serait bien plus efficace- qu’un individu lambda, un peu borné, à tendance psycho-rigide, aille voir ailleurs ce qui se passe.

Ex idiot : je partagerai la vie professionnelle d’un député : c’est peut-être un métier d em. qui me ferait souhaiter incessamment de ne surtout pas briguer ce métie-là. Ou d’un boulanger. Ou d’un médecin. Ou d’un laborantin. Chaque un étant remplacé par une de la même manière.

Je constate que W. et moi-même nous avons parlé avec franchise de notre métier et de ses aléas et que vous, constamment chiez dessus mais tout particulièrement sur la vie de fonctionnaire. Mais fallait y entrer si cela vous fait tant rêver !

Certains en sortent et démissionnent et d’autres supplient pour y entrer et ne passent pas le chas.

rose dit: à

Exemple idiot pardon on pourrait croire ex, comme dans ex nihilo)

j’ai déjà survolé -superficiellement c’est vrai, le métier de libraire, d’infirmier, de journaliste. Pour être efficace, il faudrait y passer un laps de temps conséquent : entre un et trois mois, pour se faire une idée réelle du métier.
Dans mon métier, je me sens déclassée.
IL y a de fortes chances que dans d’autres métiers je me retrouve idem déclassée.

Les choses on les porte en soi elles ne sont pas consécutives au métier que l’on exerce à la fonction que l’on occupe.
C’est un état d’esprit : on est entrepreneur ou on ne l’est pas. On est un bienheureux ou un tourmenté. On peut difficilement combiner deux choses pareillement antagonistes.

Quant à donner son propre point de vue, fut-il différent de celui de Schopenhauer, je crois qu’il faut s’entrainer à cet exercice.
Parce qu’il est de bon aloi de mettre en œuvre, incessamment son esprit critique, son autonomie de pensée et son regard lucide sur le monde.

Se moquer de celui qui ose le faire, c’est vil.

rose dit: à

37 et demi chez les bons chausseurs.
39 c pour Berthes.

rose dit: à

bérénice dit: 29 mai 2015 à 20 h 56 min
tout n’est qu’une mathématique qui profite au Capital,

je le pressens ainsi aussi et cela m’inquiète. Je pressens aussi une césure voulue. D’un côté le dit capital de l’autre la pauvreté grandissante.

rose dit: à

bérénice dit: 29 mai 2015 à 18 h 48 min

Bloom, les titres des livres traduits comme des films d’ailleurs pour ceux-ci la liberté prise par rapport à l’original devient une revendication ( style cela n’a plus rien à voir avec) modifieraient-ils notre lecture ou pensez-vous que l’intégralité des traductions nous éloigne autant du texte que l’infidélité faite au titre de l’esprit de l’auteur. C’est une énigme que le titre pour laquelle les écrivains trouveraient à s’exprimer, certains le poseraient en inspiration au début de leur construction, d’autres comme une signature à la fin, un peu comme un parent qui recevrait l’enfant au premier jour et se demanderait quel nom lui donner enfin pour sa longue vie?

Merci de poser les deux questions en ces termes, cela a titillé ma curiosité.

De manière générale, et selon une très petite expérience, les futurs parents ont choisi le prénom du bébé avant l’accouchement. Parfois, cela se discute encore après la naissance de l’enfant. Ou l’un cède sur le premier prénom prenant ainsi en otage la priorité sur le second prénom. Parfois, nous sommes affublé d’un prénom factuel, impensable pour l’un mais pensable pour l’autre. Parfois, le bébé né et appelé yop changement de prénom.
Parfois encore, les gens changent volontairement et souvent leur premier prénom donné par leurs géniteurs leur correspond mieux que celui dont ils se sont affublés.
Mais c’est leur droit.

Ces dernbiers temps je suis confrontés à un nombre grandissant d’apocopes. Je ne dis rien, trouve in petto que c’est ridicule et me demande incessamment où cela cessera-t-il donc ?
Caroline
Carolin
Caroli
Carol
Caro
Car ??
Ca????
C ?

Très bizarre.

rose dit: à

Idem pour Nathalie et pour Isabelle.

Comme si certains prénoms appelaient l’apocope.

rose dit: à

Quant à ce que vous dites sur les titres, n’ai pu m’empêcher de songer à la forêt noire.

Bon : c’est le goût qui compte, l’intérieur du bouquin, son contenu.
Le titre est parade, costume de cirque, annonce fracassante.
Mais c’est ce que l’on trouve dedans qui est l’essence qui nous reste, la fragrance, le capiteux, le capital dans le bon sens du terme.

Pour parler du contenu et de sa traduction, il faudrait tout particulièrement être polyglotte comme C.P. Cela passe par la langue maternelle comme cela fut dit récemment.
Mais le titre en soi, il est annexe (et souvent les éditeurs influent gravement pour le modifier : ont-ils raison ou tort je ne saurai me prononcer.).
Pour vous, pck c’est la fin, iris
https://odsanfineart.files.wordpress.com/2013/10/irises.jpg

g désiré iris plus chat suis tombée sur une petite fille qui n’était pas vous. Monet ne devait pas avoir de chat ou pas les peindre, las.

rose dit: à

Le bébé on lke porte longtemps même si ce n’est que huit mois. Le prénom est fantasmé bien avant la naissance.
Me suis intéressée à Zlatan pck un bb a été nommé comme ça par ses parents le temps de sa vie utérine. Je ne sais pas son prénom lorsqu’il naitra. Mais il se sera appelé Zlatan dans le ventre de sa mère.

On pourrait penser choisi à la fin le titre, mais peut-être que dès que l’idée de ce que l’on conçoit est précise le titre surgit-il comme une évidence.
Lorsque j’ai eu conçu un projet que je n’ai pas mené au bout le titre est venu dès que l’idée du projet a été complète. Après, il aurait fallu passer à l’acte et je ne l’ai pas fait. Un titre je le vois comme un glaçage, une mise en valeur, l’allure. S’il est nul et le contenu génial, il n’obèrera pas le contenu. S’il est génial et le livre nul il ne modifiera pas le contenu nul qui le restera.

L’idéal vraiment, serait l’harmonie entre les deux. Et si la pensée de l’auteur est trahi, il a toujours pour lui le savoir qu’il est à l’origine de la pensée non trahi.

Ce jour, une a vérifié dans la nouvelle parution de la Pléïade si son nom (et ceux d’autres collaborateurs) correspondant à son travail y était dans la nouvelle édition, et bien nom. IL a été ratiboisé par une que Pierre Assouline appelle les veuves noires.

Mais ce travail, non seulement elle l’a fait, mais en plus elle a le brouillon avec les notes de l’auteur attestant de sa participation.

C’est laid, c’est tout. Que dire d’autre que c’est laid et c’est bien laid !

rose dit: à

Et si la pensée de l’auteur est trahie

pardon

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…censurer, ou exclure un individu libre, à tendance française,!…
…non corporatiste, à s’affilier à des cercles de rebelles anti-état à leurres, avec mode de vie à  » escort girl « ,…
…formant, associations lucratifs par achats et ventes de livres d’occasions de base, par exemples,!…
…çà existe à Bruxelles, aussi,!…
…exclure une personne, parce que non soumis, au dogmes de la tenancière du logis-chef,!…
…par simplement, se référer, à une opposition vive, avec  » nom d’oiseaux « , en public,!…
…situation inchangée depuis 9 ans,…faits incités express, pour exclure une personne d’une grande librairie d’occasion, par accident,!…ou express pour exclure un client, trop personnel,…
…donc, inquisitions par rixes, pour parvenir à décréter, qu’une gérante prend le droit, d’exclure un client au nom de la liberticide corporation d’associations lucratives,…
…droit d’exclure un client, qui est plus intelligent, que tout le corps législatif d’économie politique et social,!…

…les lois pour les  » résidus collabos de l’intérêt d’état corporatiste « , à abrutir son bon peuple belge,!…
…les factions fascistes participatives libres,!…
…l’union fait la force, des cancres et débiles, à vouloir vivre sur le dos des artistes en peine,!…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…échec et mat, sur l’échiquier,!…
…dans les évènements, comme en algèbre, trouver ce qui  » cloche  » la bouche béante « ,!…à voler les techniques, et la maitrise, pour faire autant et mieux,!…Ah,!Dada,!…

…donc,& toujours l’intromission des juifs-nazis-arabes-barbares & nobles, pour s’approprier vos dons, vos biens, vos pensées, vos inventions,!…en copier/coller,!…

…souvenir, d’un comment tu fait,…entre cousins,!…pour même en famille, se copier/coller,…passer du coq à l’âne,!…

…conclusion, Stop,!…jamais d’exposition,!…mes cadres donnés, sont répertoriés, par mes  » diapositives et soins en photos digitales « ,!…etc,!…

…travaillez pour soit en secret, pour un artiste à vivre ses oeuvres cachées,!…

…quelle civilisation de vouloir extorqués les artistes,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…échec & mat,des voleurs pour l’éternité,!…
…vous ne l’avez pas voler,!…manipulateurs & contentieux de voleurs d’artistes,!…etc,!…à vivre sur leurs dos,!…

rose dit: à

Anselme dit: 29 mai 2015 à 10 h 06 min
Ce n’est pas une valeur que le masculin l’emporte sur le féminin.
C’est une commodité. Une règle si vous le préférez.
Et lorsque vous voyez l’impact (du verbe impacter) de cette théorie première eh bien vous eussiez préféré que le féminin l’emportasse sur le masculin pck le résultat n’est pas joli/joli.

(sa pensée fut trahie)

rose dit: à

c’est de l’autisme pour un artiste de travailler en secret sans publier. Ce qu’il faudrait ce serait atteindre telle notoriété que les autres tu les nourris et ce n’est pas eux qui te nourrissent. Certains grands financiers -tels Jeff Koons- l’ont compris. Oserai-je suggérer Picasso aussi ?
La mégalomanie de l’artiste doit l’emporter sur sa modestie ou sa timidité maladive.
Sinon, c’est désolant mais c’est la vie, ce sont les plus petits qui se font manger par les plus gros.
Sauf conspirationnisme corporatiste : exemple chez les poissons Pilotin de Léo Lionni
(le plus doué est l’œil du groupe).
http://fc00.deviantart.net/fs17/f/2007/164/1/c/Pilotin_by_Crooty.jpg

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…quand, vous êtes artistes an beaux-arts,!…
…vous ne sentez pas que vous êtes artistes, au départ, je me suis toujours dis, je suis comme tout le monde,!…
…c’est à la longue, des points de vues, des prises de positions, des éléments, essentiels, de l’objectivité des raisonnements, que l’aspect d’être plus pointus  » aparait « ,!…

…en attendant,!…même si je vis sur des pierres ou avec,…
…la solution facile,!…
…ne rien commuqué, et rien faire,!…
…ou devrais-je les caser,!…

…il faut réellement un châteaux au départ,!…conclusion,…chercher d’autres artistes du commun à presser,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…

rose dit: à

Sant’Angelo Giovanni dit: 30 mai 2015 à 1 h 56 min


…il faut réellement un châteaux au départ,

C’est surprenant : mon frère m’a dit la même chose il y a peu. Style qu’il fallait naître avec une cuillère en argent dans la bouche. Que sinon on était foutus (pck ramenés à ses origines pauvres ou koi d’autre ?). Ou kekchoz du genre.

Cela c’est le point de vue lorsque l’on se place avec comme priorité le fric.

Si on se place du point de vue du futur mort cela change totalement la donne : étant donné que là, justement la seule chose qui persiste c’est l’égalité (sauf peut-être dans le mode de mort).

Bien sûr qu’il faut admettre précédemment que nombre de requins se nourrissent de ceux qui vivent dans leurs rêves et non de leur art. Et que c’est toujours extrêmement désagréables que de nourrir des requins (lèches-culs, pique-assiettes, faux-amis etc.).

S’ils sont prêts à les aider à les faire vivre de leur art c’est parce qu’ils comptent bien se servir juteusement au passage : cf.les galeries à Saint Paul de Vence au hasard.

rose dit: à

c’est simplement qu’à la longue on sait qu’on a trois longueurs d’avance sur tout le monde. Et que la position est de se sentir à part. Cela ne veut pas dire supérieur. Mais à part. Comme une acuité de la vision.

rose dit: à

Chez Orange, ce qui a précédé les conditions de pré-retraite en or, ce sont des conditions de travail atroces, évoluant entre burn-out et suicide, menant les impétrants à la dépression, essorés lessivés torchés, menacés de mort -en tout cas moralement- par leurs congénères.

Suite à cela, après un tel traitement où il leur a été demandé de faire à une personne seule le travail de cinq (et départ en retraites non remplacés -c’est toujours comme cela que cela démarre), où les 35 heures ont été le prétexte d’accomplir le boulot fait en quarante heures auparavant en 35 désormais. Et surtout zéro embauches à la clé, c’est là que vous vous êtes lourdement trompée Mme Aubry, sur ce point précis non respecté, non contrôlé, non vérifié : l’arnaque par les patrons de leurs ouvriers, l’enculage collectif programmé.

Par contre c’est jeune : à 56 ans on peut déjà être en pré-retraite travail à mi-temps et paie à l’avenant. deux ans. Puis paie à mi-temps et fin du travail dans une association humanitaire.

Après il faudra attendre l’âge légal à ce jour, 62 ans pour prendre sa retraite ; en tout cas, je peux vous annoncer les jaloux, que, physiquement nombre de maux disparaissent illico dès la période bénie de la fin du tripalium. Être empalée fini, éclats de ris…

(pas la peine d’être jaloux, à 75 ans si vous tenez bon vous aurez vos chances sgnarf, sgnarf).

rose dit: à

et courchevel, non? il saute?

rose dit: à

Donc
à 56 ans deux ans de pré-retraite.
A 58 retraite payée par Orange
A 62 prise en charge par la Caisse de retraite.
Ce n’est pas la peine de g…. et d’y adjoindre les cheminots les agents EDF Suez et Ferdinand de Lesseps.
Ce sont les conditions de travail spécifiques qui ont induit cela et les batailles commises par qq. individus. Au lieu de vouloir supprimer cela à quelques uns, l’idée serait de vouloir l’étendre à grand nombre : pareil que les congés payés. La collectivisation large d’un privilège réduit.

Pck ce n’est pas en divisant que nous gagnerons la guerre (déjà que plus personne n’y croit que nous pourrons la gagner !).

rose dit: à

Allez-y, moquez-vous peu me chaut.

rose dit: à

Je ne sais point ce terme dictature du prolétariat sinon je me serai battue ardemment.

rose dit: à

Je reviens à mon propos, sinon pourquoi me relever de ma couche :

je me mouille concernant la réforme haïe du collège. Me retrouve sous la douche et trempée. La réaction est imbécile. Les gens qui se mouillent ce n’est pas pck ils aiment être trempés. Le cas échéant ils peuvent migrer en Bretagne et là ils seront gâtés.

Non : les gens qui se mouillent le font pour défendre leurs idéaux et se moquer d’eux, c’est comme désarçonner un cheval au galop : c’est vil.

rose dit: à

Et puis, et je réintègrerai dès lors ma couche, je connais des artistes qui ont fait le choix de vivre le secret : peintres, photographes.

De deux choses l’une :
ou bien leur confiance en eux-mêmes fut si faible que pas un iota de leur cerveau n’a pu imaginer le succès auquel ils pourraient être confrontés.

Soit, et c’est cette hypothèse que je préfère, ils ont vécu dans une autarcie bienheureuse : tout le monde n’a pas un besoin irrépressible de faire partager sa joie profonde.

Le risque c’est la folie, comme pour Camille Claudel, le bonheur c’est la découverte ultérieure, comme de secrets dans la mer rouge. L’auteur sera alors hors tapage médiatique ; il y aura sans doute gagné sur le plan moral. Sur le plan matériel s’il n’a vécu de de soupe au pain mallorquine et sans amour cela aura été difficile pour lui.

La reconnaissance c’est de toi-même que tu dois l’attendre m’a dit mon père. Mais je ne suis pas douée, las.

Bonne fin de nuit, hombre.

rose dit: à

Peint l’art, ami

ne peux qu’imaginer que cela doit rendre heureux. De peindre l’art. Bien plus que le cochon, périssable, lui.

JC..... dit: à

L’UMP s’appelle dorénavant Les Républicains : la politique est l’art du déguisement.

Dans la Marine (Nationale ! …la Flotte, quoi!) on dit : « Peinture sur .merde égale propreté »

JC..... dit: à

Les dames de la photo qui lèvent la main pour saluer joyeusement les héros d’un monde nouveau sont des Italiennes de Lampedusa saluant les coucous de l’islamo-fascisme qui arrivent en Europe pour la mettre à bas.

Hier, en un seul jour, 3.300 « chances pour l’Europe » sont arrivées. Depuis 5 mois, 40.400 immigrés clandestins ont débarqué en Italie.

La clairvoyance des élites … fait peur, ce qui m’enchante ! Quelle rigolade …

renato dit: à

« (mouais, c’est pas vraiment une adresse…) »

Comment ça, c’est pas vraiment une adresse? C’est vrai que cette manie de tout traduire gâche beaucoup de choses, mais regardez une carte: via Merulana, quartiere Esquilino…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…@,…rose à 3 h 18 min,…

…il faut réellement un châteaux au départ,!…( de la place )
…en plus des frais matériels pour les créer ), énorme, à la longue, s’en rien vendre,!…à la mesure de la qualité,!…

…Oui,!…pour entreposer les tableaux terminer,!…ou les placés,…vous les revoyez plus,!…même chez les cousins ou amis ?,…d’un temps,!…d’une fois,!…

…tout le monde veut des dessins et peintures  » gratuit « ,!…mendiant d’églises,!…
…c’est pas possible,!…de nos jours de malmenés les arts ainsi, pour en tirer un bénéfice outrancier par après,…
…avec une  » côte  » sur votre dos,!…en abime à ciblé,!…
…né avec la cuillère en argent, on s’en fout,…mais dire nous somme humanistes, pour exploités les artistes,!…c’est beaucoup trop,…
…pour constatez l’horreur des  » créatifs « ,!…exploités-écrasés,!…etc,!…
…tout en mémoire et ne rien faire,!…
…ou deux mots sur la republiquedeslivres.com
…merci, de vous être soucier de mon cas, en points de vues divers,!…
…des tas de projets déjà en miniatures, et me tourner les pouces,!…
…les exploiteurs sur un  » bec de gaz,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…

giulietta massina dit: à

Benitoto JC ressemble de plus en plus au petit Sarko : il trépigne d’une rage qui déborde de partout

jeu-concours (suite) dit: à

renato dit: 30 mai 2015 à 7 h 58 min
« (mouais, c’est pas vraiment une adresse…) »
Comment ça, c’est pas vraiment une adresse?

Je voulais dire « pas vraiment une adresse » parce qu’il y a « l’affreux pastis » avant, à la différence de Rue des Boutiques obscures ou de Rue de la Sardine.
C’est pour ça que je n’ai pas osé « Le Double meurtre de la rue Morgue », par exemple. Mais Bloom n’a pas défini précisément les règles du jeu…

jeu-concours (suite) dit: à

Quai des brumes.

DHH dit: à

et aussi
Quai des orfevres
qui curieusement n’a pas été cité
Et si on s’accorde la même licence que pour Gadda :le petit monde de la rue Krochmalna

D. dit: à

qu’un individu lambda, un peu borné, à tendance psycho-rigide

Qui-donc, Rose ?

D. dit: à

Il va falloir supprimer le train gratuit pour les « cheminots ». C’est une mesure inique. A remplacer pa

D. dit: à

par des chèques-cadeau dont le montant sera modulé en fonction des résultats de l’entreprise.

Pareil pour EDF et le courant gratuit. Il serait temps de s’attaquer à ces mammouths.

Attila dit: à

Et les concierges ne devraient-ils pas payer un loyer, D. ?

D. dit: à

Non, car leurs logements sont souvent très petits, Jacques.

Attila dit: à

Et les pourboires, faut-il les interdire ?

début XXIème siècle dit: à

(…)En 2014, Ils étaient 170 000 à débarquer ainsi sur la péninsule, soit quatre fois plus qu’en 2013. Principale raison de cette explosion: le chaos libyen, où prospèrent tous les trafics…
Les trafiquants les parquent dans des cabanes après les avoir dépouillés, les autorités les arrêtent pour montrer à l’Europe qu’elles agissent et ainsi faire oublier leurs connivences occultes. Ils croupissent de longs mois dans des centres décrépits sans savoir ce qui les attend….
(…)

Les vrais passeurs pour aller sur l’eau, ce sont eux. Ils disent aux européens qu’ils nous ont attrapé sur la mer alors que c’est faux ! ils sont entrain de nous vendre. Ce sont eux qui gèrent la prison et qui organisent les départs pour aller en Italie, ils sont propriétaires d’appartements au bord de l’eau, ils recueillent des gens dans les connexions houses. La “connexion” ce sont eux, ils font ça entre eux, c’est leur business. Nous sommes là pour être vendus, certains à presque 1000 dinars. Nous mangeons en très petite quantité. Quand vous venez les journalistes, ils font semblant, c’est organisé (…)

http://www.lemonde.fr/international/visuel/2015/05/30/nous-sommes-la-pour-etre-vendus_4642829_3210.html

déb u t du siècle dit: à

En 2014, Ils étaient 170 000 à débarquer ainsi sur la péninsule, soit quatre fois plus qu’en 2013. Principale raison de cette explosion: le chaos libyen, où prospèrent tous les trafics…
Les trafiquants les parquent dans des cabanes après les avoir dépouillés, les autorités les arrêtent pour montrer à l’Europe qu’elles agissent et ainsi faire oublier leurs connivences occultes. Ils croupissent de longs mois dans des centres décrépits sans savoir ce qui les attend….
http://www.lemonde.fr/international/visuel/2015/05/30/nous-sommes-la-pour-etre-vendus_4642829_3210.html

D. dit: à

Il ne faut certainement pas interdire les pourboires.
EDF et SNCF comprennent nombre de cadres qui bénéficient déjà de salaires importants, leur donner la possibilité d’une gratuité illimitée de services de transport ou de fourniture d’énergie est totalement inique. C’était le sens de mon intervention. Je ne suis pas contre le fait qu’une entreprise fasse des cadeaux à ses employés. Seulement ces cadeaux doivent avoir une limite et leur montant doivent être modulés dégressive ment en fonction des salaires.

Chaloux dit: à

Titre à noter. La pub aussi est intéressante. La réédition d’Istrati chez Libretto me donne envie de lire et de relire.

jeu-concours (suite) dit: à

La Place Monge (Claude Simon)

Chaloux dit: à

Hôtel du Nord.

giulietta massina dit: à

40 rue Zitna, Prague

antonio dit: à

bouguereau a changé de crèmerie, chez Popaul il est devenu plus respectable, plus personne ne se fait enculer, pour l’instant

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…ma journée s’avère très bonne à excellente,!…des cousins m’ont aidé à récupérer deux tableaux de ma période entre 1980 – 1990,…peut être,…1982 – 1983,…

…récupérer, mon style des couleurs pleines,…sans légèreté d’aquarelliste,!…
…si c’est beau,!…c’est sublime,!…
…surtout  » la villa en musique « ,!…avec la piscine en perspective de face, et le décor en guitare,!…pour vous donner une idée,!…Ah,!Ah,!…format 60 X 90 cm,!…
…l’autre un autre jour,!…Ah,!…Ah,!…
…des interprétations à conclure,!…

…se refaire, de par sois-même,!…le bon cru,!…de la vie,!…si c’est cher,!…pas moins de 100.000 €uro chacun,!…
…il suffit de voir,!…pour oublier les Euros,!…on peut même directement, demander 10.000.000 d’€uros,!…c’est fait, qui dis mieux,!…
…je ne blague pas,!…à ce sujet,!…
…vivre avec ses tableaux, un bonheur inouïe,!…etc,!…son vécus, ses histoires,!…les charmes du temps passées présentes,…les sensibilités vécues en interprétations d’une époque encore présente de ce,notre temps-là,!…etc,!…

… » cash « ,!…et faite vous connaître,!…sur mon compte,!…
…si vous êtes trop pauvres, acheter des actions en bourses,!…tient,!…Ah,!Ah,!…
…l’imprimerie n’est pas au bout du rouleau,!…Bip,!Bip,!…enfoirés,!…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…sergio, tout me va,!…

…définiser votre sérieux,!…à celà,…d’être supplanté par un autre candidat,!…
…moi,!…il n’y a pas le feux,!…

…personnaliser-vous, commodo,!…et venez vérifier mon tableau,…avec la somme sur mon compte bancaire, et venez emporter mon tableau,!…
…après vérification sur mon compte, de la transaction effectuée,!…plus simple y a pas,!…vous avez un commis en scooter,!…
…çà feras l’affaire des détails en cours,!…etc,!…10.000.000 €uros,!…et le fisc,!…il se sucreras dessus,!…etc,!…
…suivant, sur les affaires de la république,!…voter pour Sarko,!…le meilleur après Dieu,!…
…Ah,!Ah,!…les affaires,!…aux parfums,!…
…cool,!…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…dire qu’à une époque, en Allemagne,!…

…pour 10 OOO OOO Marks on achetait,…un timbre-poste,!…
…j’hésite,!…enfin, c’est dis un élan de générosité, qui sait,!…etc,!…

bérénice dit: à

D j’ai du avant que de stabiliser ma pointure à 39 la plupart du temps, 38 assez rarement passer par 37, toutes mensurations stoppées net à 16 ans et ce malgré d’innombrables grossesses. Sachez aussi que pour ne pas complexer les femmes un 36 actuel équivaut à une taille 38 des années 70/80, je ne vois pas sinon après tout ce temps comment il aurait été possible de rétrécir des hanches entre autres éléments d’anatomie. Pour les pieds je regrette de les avoir un peu trop grands mais comme le soulignait négligemment Rose, on ne peut tout de même pas cumuler toutes les particularités sans courir le risque du ridicule, ceci étant, 39 est assez banal pour une femme à condition de dépasser le mètre soixante.

récitations et citations dit: à

_ Plus nous avançons dans la vie, et plus nous nous convainquons de deux vérités qui, cependant, se contredisent. L’une est que, face à la réalité de la vie, on voit pâlir toutes les fictions de l’art et de la littérature. Elles procurent, c’est certain, un plaisir plus noble que ceux de la vie réelle; malgré tout, elles sont comme des rêves au cours desquels nous éprouvons des sentiments qu’on n’éprouve pas dans la vie, et nous voyons se conjuguer des formes qui, dans la vie, ne sauraient se rencontrer; elles sont malgré tout des rêves, dont on s’éveille et qui ne nous laissent ni ces souvenirs, ni ces regrets qui pourraient nous faire vivre ensuite une seconde vie.
– L’autre idée est que, puisque toute âme noble aspire à parcourir la vie en son entier, à faire l’expérience de toutes les choses, de tous les lieux et de tous les sentiments susceptibles d’être vécus, et comme cela est impossible _ alors la vie en sa totalité ne peut être vécue que subjectivement, et n’être vécue dans toute sa substance qu’à travers sa propre négation. _ …

FP

D. dit: à

Je suis d’accord avec tout cela, Bérénice. Le 38 aurait été préférable au 39 pour ce qui vous concerne mais reste acceptable. De toutes façons vous n’en êtes pas responsable.

JC..... dit: à

Mon fils ainé, un nain géant de presque 2 mètres, chausse du 50.

Lucide et matheux pour des raisosns génétiques, il estime que la pointure est inversement proportionnelle au QI, ou l’inverse si vous préférez. Surtout chez les filles.

Dans tout ce qu’il dit, il y a à prendre et à laisser, comme chez Spinoza.

bérénice dit: à

surtout » la villa en musique « ,!…

Giovanni, vous éveillez là un vieux souvenir d’une fiction en noir et blanc entrevue il y a longtemps un soir TV, deux êtres un peu fous abritaient leur amour dans une villa un peu à l’écart d’un village, le jeune homme avait pris l’initiative d’installer la musique dans les arbres.

bérénice dit: à

Mais comment prouver que ce dernier le serait?

JC..... dit: à

Cette indécise, prise en photo par Passou, brave dame qui lève son bras dans un salut fasciste joyeux et qui pleure au lieu de travailler à l’homme nouveau, cette pauvre malade souffre manifestement de troubles de la personnalité !

Oliver Sacks aurait adoré…

bérénice dit: à

D ce matin j’ai pensé à vous et je suis allée chez le dernier des Mohicans acheter deux tranches de jambon supérieur et cinq de rosettes sans gras.

D. dit: à

C’est gentil, Bérénice. J’espère que vous avez pris de la qualité. Moi j’ai un fournisseur de charcuteries du Cantal à Paris. Vous pourrez m’y rencontrer.

D. dit: à

Avec des recettes inchangées depuis plus de 50 ans, cette maison ne propose que des produits de qualités. Vous trouverez des jambons magnifiques jambons sec, saucissons sec, pâté à l’armagnac, viandes d’agneau, bœuf Salers ou Charolais, confit de foie, roulade de porc, rosette vendue entière ou en tranches, mais aussi des fromages du cantal ainsi que des conserves de qualités. Que des produits de qualités irréprochables et une odeur sympathique qui fait que cette adresse est l’une des meilleures de la capitale. C’est toute l’Auvergne qui se dégage de cette petite boutique. Située à 2 pas de la Tour Eiffel, cette charcuterie permet de faire quelques courses après une promenade au champ de Mars.
Les prix affichés dans cette boutique ne sont pas plus élevés que dans la grande distribution.

D. dit: à

En revanche je dois modérer ma consommation car il y a une incompatibilité entre le régime exigé par un entrainement intensif de Kung-Fu et ces choses-là. Le jambon sans gras convient pourtant très bien à condition de toujours l’accompagner de légumes (et/ou de riz le midi).

JC..... dit: à

Ce que j’aime dans le football professionnel, et la FIFA, c’est cette odeur de pourriture délicate … ça me rappelle l’UNESCO !

Bonne nuit, les petits !

Sergio dit: à

Non mais vous allez arrêter de manger ?!?

JC..... dit: à

Peut-on être musulman et pas islamiste ?

Facile, mec § Il suffit de mentir, de se mentir, et de ne rien connaître du Livre Saint.

antonio dit: à

18 h 41 : c’est vrai que question nourriture, le JC en connait un gros rayon, son lot quotidien

Anselme dit: à

Les deux bibis sont vraiment extraordinaires, surtout de la dame en ciré noir façon gestapo. On comprend que la dondon au foulard à droite en pigne de dépit.

la vie dans les bois dit: à

Pourquoi cette rue.

« Notre confrère Jean Jablonski, professeur de littérature française à l’Université de Lisbonne, était fils d’un docteur-méde-
cin établi à Poitiers et bien connu pour son dévouement aux œuvres charitables et patriotiques. Après avoir été l’un des plus
brillants élèves du lycée et avoir obtenu le prix d’honneur de rhétorique, il passa successivement les examens de licence et de
l’École des Chartes. Sa thèse était consacrée à un roman d’aventures du xive siècle. »

http://bibnum.enc.sorbonne.fr/exhibits/show/enc-portraits-de-combattants/jean-jablonski–18-septembre-1

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…@,…bérénice,!…à,…18 h 12 min,…

…surtout  » la villa en musique « ,!…( d’après une gazette,!…image que j’ai transformée comme n’importe lequel des Picasso,!…
…ou vous avez la maitrise en main,!…et rien d’autres,!…
…tout de même,!…quel encerclement des arts,…pour au final,!…
…reprendre son style, égal à Matisse, Picasso, etc,!…
…conclusion prioritaire,!…faire mieux,!…pour nous faire oublier,!…les  » Stars « , artistes du XX° siècle,!…

…et prévoir, qui sera meilleur après moi,!…Ah,!Ah,!…
…voir et jamais l’oublier,!…un art,!…

la vie dans les bois dit: à

JB, faut-il rappeler que la rue Crubellier n’existe pas…

Siegfried dit: à

Toujours aimer l’autorité avec laquelle les choses se disent et se défont. Un style, un credo, un combat.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…jamais,!…au rabais,!…les oiseaux sans têtes,!…fraichement concoctés,!…
…etc,!…

bérénice dit: à

C’est gentil, Bérénice. J’espère que vous avez pris de la qualité. Moi j’ai un fournisseur de charcuteries du Cantal à Paris. Vous pourrez m’y rencontrer. D

Je supputais votre engagement dans cette longue campagne qui sépare bien des français et creuse les rivalités franches cependant de là à imaginer que vous ayez dessiné votre bureau à même le terroir, au cœur de sa production, un pas manquait que désormais je franchirai au son de la clarine d’une boutique dont nous ferons le SYMBOLE de la nation.

bérénice dit: à

la vie on va faire comme pour la prière et fixer une fois pour toutes aux vendredis, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, les jours réservés à la psychanalyse et ses tentatives.

la vie dans les bois dit: à

FP, pour Pessoa.
Je n’avais jamais pris garde,- wiki me l’apprend- Javert, que FP était décédé des suites de son alcoolisme.

thyssens dit: à

Personnellement, je trouve cette photo ancienne fort troublante. Cela n’intéresse personne, apparemment, dans votre sérail. Dommage : elle méritait, à elle seule, une foule de commentaires.

la vie dans les bois dit: à

Et « ta fille » est muette Javert. Enfin, tu fais comme tu le sens, mais elle me fait de plus en plus l’effet d’une loque verbeuse.

la vie dans les bois dit: à

Thyssens, est-ce que cette photo est connue du fonds Denoël ?

bérénice dit: à

Baudelaire syphilis, Schuman idem, Hendrix overdose, et dire que vous mourrez en bonne santé sans avoir laissé de trace édifiante.

bérénice dit: à

la vie, je vous trouve souvent insultante ou prompte à la dépréciation d’autrui, pourtant avec ce que je suppose que la vie vous offre en matière de plaisirs vous ne devriez pas souffrir de frustration, je ne saisis pas d’où vous vient cette humeur à moins que ce ne soit dans votre nature et quoique ça ne suffise pas à vous résumer ou vous définir mais c’est une de vos caractéristiques, déplaisante au demeurant.

la vie dans les bois dit: à

Javert si tu pouvais rappeler ta chienne à l’ordre; elle m’invective,- croit le faire- et je ne suis pas là pour ça.

bérénice dit: à

Dieu, cela ne s’arrange pas. Un manque? Un rendez-vous annulé? Une soirée malheureuse?

bérénice dit: à

Merci pour l’officier, je n’avais rien trouvé qui mérite une rue.

la vie dans les bois dit: à

Seul dans Berlin vs seuls contre Hitler

« Nous avons trouvé cet intéressant entretien avec le cinéaste, graphiste et peintre Michael Gaumnitz, français d’origine allemande, né à Dresde en 1947, qui parle de son téléfilm « Seuls contre Hitler » dont nous avions eu l’occasion de parler déjà (voir ici). Cet entretien a été réalisé pour la revue du Centre National du Cinéma et de l’image animée (CNC), numéro 29 de février 2015 par Anne Brunswic, et publié également sur son site. »
http://etpuisapres.hautetfort.com/

Pour L’immeuble Yacoubian, franchement, quel rapport, je ne me le demande même plus.

la vie dans les bois dit: à

« Seuls contre Hitler met en images un fait mineur et pourtant exemplaire : l’affaire Hampel, ce couple qui tenta de défier le régime nazi à coups de cartes postales subversives. »

Sergio dit: à

thyssens dit: 30 mai 2015 à 21 h 56 min
Personnellement, je trouve cette photo ancienne fort troublante.

C’est juste ; en lisant trop vite, comme elle avait servi à, on pouvait confondre et la prendre elle-même pour une sorte de montage ; s’il n’en est rien, comme finalement elle en a tout l’air, effectivement elle est atroce. Néanmoins on peut y distinguer assez facilement un genre de composition…

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