de Pierre Assouline

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Ces romans, quel cinéma !

Ces romans, quel cinéma !

Nul besoin d’être gardnerologue pour savourer Les nuits d’Ava (304 pages, 20 euros, Actes sud) de Thierry Froger puisque ce n’est ni un biopic ni une biographie. Ava Gardner n’est qu’un prétexte pour exprimer bien d’autres choses. C’était un peu la démarche de Laurent Binet avec HhHhh dans lequel le narrateur parlait autant de son passion pour Prague, pour sa petite amie etc que de l’assassinat du gauleiter Heydrich par deux résistants tchèques venus de Londres, le « sujet ». Bref rappel du détail de l’existence de Gardner qui sert de fil d’Ava : un jour à Rome en août 1958, en marge du tournage de La Maja nue, navet américano-franco-italien d’Henry Koster dans lequel elle s’ennuyait à jouer la duchesse d’Albe, modèle et maitresse de Goya, elle a posé nue pour le chef opérateur Giuseppe Rotunno (qui deviendra le directeur de la photographie attitré de Visconti et Fellini), leur projet étant de reproduire en photo quatre tableaux célèbres (La maja desnuda, bien sûr, mais aussi l’Origine du mondeetc). Ava Gardner nue à 36 ans…

Elle a déjà derrière elle le chef d’œuvre d’Albert Lewin Pandora, Les Neiges du Kilimandjaro, Mogambo, La Comtesse aux pieds nus, Le Soleil se lève aussi… Une filmographie déjà bien fournie, et une réputation tout aussi établie de fêtarde, couche-tard, séductrice « aimant beaucoup mais jamais raisonnablement », d’alcoolique aussi qu’elle pondèrera :

« Lorsque je buvais, c’étaient les effets de l’alcool que je recherchais. De tous les verres que j’ai bus, je ne me rappelle pas avoir pris plaisir à un seul. La seule raison qui me faisait boire était l’envie de surmonter ma timidité »écrivit-elle dans ses Mémoires (1990).

Une femme hantée par le désespoir et dominée par la fatalité a pu dire d’elle George Cukor, avant d’ajouter un mot qui lui alla droit au cœur, comme le plus beau des compliments :

« Ava, c’est un monsieur »

Le narrateur des Nuits d’Ava du nom de Jacques-Pierre (toute ressemblance avec un critique et écrivain français connu ne serait que pure coïncidence encore que, Rome…) se met en quête de retrouver ces clichés légendaires dont beaucoup parlent sans les avoir vus. L’Histoire vraie l’intéresse moins que les histoires. Il faut espérer que les historiens du cinéma ne comptent pas sur lui car il n’obéit qu’à sa fantaisie et à ses rêves de chercheur sans contrainte. Cette quête d’un fantasme est une ode aux images, surtout lorsqu’elles sont fantomatiques et suscitent des apparitions. Poursuite d’une inaccessible étoile, elle est imprégnée de ce que Pascal Quignard a écrit sur l’image que l’on ne verra jamais car elle manque à la source, celle de notre origine, de notre conception (voir Sur l’image qui manque à nos jours, Arléa, 2014). Et rien n’est stimulant pour un esprit curieux que l’image manquante (ce n’est pas Rithy Panh qui nous démentira, lui qui en a fait le titre et l’argument de son époustouflant documentaire sur le génocide khmère). Le narrateur craint de la voir autant qu’il la désire. Quel rapport entretient-on avec les images lorsqu’on est soi-même une icône ? Plus que jamais avec Les nuits d’Ava, il y a ce que raconte un roman et ce qu’il dit d’autre que ce qu’il raconte. Et là, c’est beaucoup, partout, grâce à une écriture aussi fluide que trépidante, avec de temps en temps avec des envolées inouïes sur l’amour, la perte, le cinéma, la dolce vita, les stars… Ca m’a emporté, emballé car j’oubliais l’essentiel : c’est vraiment très drôle.

Le livre de Jean-Marc Parisis Un Problème avec la beauté (268 pages, Fayard) est lui aussi plein d’humour, construit autour d’une icône du cinéma et de sa beauté. Mais c’est une prouesse car l’absence d’humour et de sens du second degré est le grand défaut de son héros. Là non plus, pas de malentendu, il ne s’agit en rien d’une biographie. Plutôt un récit qui tend vers le portrait, épatant car le ton est juste, celui d’un Gabin qui raconterait un polar au galop, sans trainer en route. Le titre annonce la couleur, mais le livre vaut beaucoup plus que cela car le personnage est passionnant. Par son itinéraire, par sa carrière, par la richesse de sa filmographie.

Par moments, en lisant ce récit, on a l’étrange sensation d’entendre le critique François Chalais dans l’une de ses fameuses interviews télévisées. Question de rythme dans la voix, de goût de la formule, de dilection pour les raccourcis. Cela nous vaut nombre d’anecdotes mais qui n’ont rien d’anecdotiques car jamais gratuites, et ne l’empêche pas, par exemple, de comparer la gamme chromatique du noir et blanc en couleurs chez Melville et chez Losey. On se souviendra qu’en 1976, le palmarès du Festival de Cannes a ignoré M. Klein de Joseph Losey, grand film que nul ne voulait se risquer à produire et que Delon a personnellement financé tant il y croyait. Il a trop souvent été jugé sur des attendus extracinématographiques alors que seul l’acteur compte. Lui-même le dit souvent : vous pouvez critiquer et moquer l’homme tant vous voulez mais l’acteur, lui, est incontestable (acteur pas comédien, il y tient bien qu’il se soit aussi promené sur les planches). Ce qui n’est pas faux dès lors que l’on met de côté les nanars de sa dernière période où il se dirigeait lui-même, le réalisateur commis eut-il réalisé à temps le caractère fictif de son propre emploi. D’un côté la marionnette d’Alain Deloin qui parle de lui à la troisième personne tel un Van Damme sans l’autodérision, de l’autre Tom Ripley, Rocco Parondi, Françis Verlot, Tancrède Falconeri, Guillaume de Saint-Preux, Jacques Chaban-Delmas, le capitaine Philippe Esclavier, Manu Borelli, Jef Costello, Jean-Paul Leroy, Roger Sartet, Corey, Ramon Mercader, Robert Klein, Pierre Niox, Alain Delon…

Pas le genre Actor’s studio, Delon. Plutôt du genre à apprendre sur tas. Et encore… Il aura suivi toute sa vie le conseil donné par Yves Allégret :

« Parle comme tu me parles. Regarde comme tu me regardes. Écoute comme tu m’écoutes. Ne joue pas, vis » »

Nature à l’écran comme dans la vie. Il faut le voir déambuler il y a peu dans les rues de Palerme au bras de Léa Salamé pas encore touchée par la grâce hulotienne, puis sous les lambris du palais Gangi ressuscitant par son émerveillement les fastes du bal du Guépard cinquante trois ans après ,le voir et l’écouter s’exclamer : « Putain, que c’est beau ! ». Il a une telle nostalgie du monde d’avant qu’on se demande s’il ne compte pas encore en anciens francs. Nul doute que, contrairement à nombre d’intellectuels, lui n’aura aucun complexe à dire que c’était mieux avant. Son itinéraire d’enfant pas gâté, du tablier de l’apprenti-charcutier de Bourg-la-Reine à la silhouette sanglée dans le Trench Old England du Clan des siciliens, vaut le détour car Parisis en fait un récit épatant.

Tout cela est évoqué par sauts et gambades et aussi la rivalité avec Belmondo, le refus du maquillage à l’écran, les mauvaises manières de la presse, les rumeurs, la pègre, les voyous, les voitures de sport devenues vintage avec le temps, les femmes, surtout Romy Schneider, à qui un lien indéfectible, secret, puissant l’attacha jusqu’à son suicide. Cette histoire-là, la leur, si quelqu’un l’écrivait, il faudrait la lire en écoutant Delon’s Blues composé et joué par Jimmy Smith à l’orgue Hammond…

Un scorpion, destructeur, et surtout un homme aux colères irrépressibles. De ce côté-là, ca ne s’est pas arrangé même si ça s’est banalisé en colère permanente contre la connerie généralisée (les occasions ne manquent pas), l’état du monde, l’absurdité des décisions politiques, la société lorsqu’elle marche sur la tête. Quand on prend cette pente, on finit par vivre loin des hommes, dans la compagnie des animaux. Ce qu’il fait. Maintenant et pour l’éternité : sa chapelle funéraire l’attend dans sa propriété de 55 ha aux côtés du cimetière privé où il a enterré ses trente-cinq chiens.

C’est avant tout un solitaire étant entendu que sa solitude relève de l’amitié de soi avec soi-même, et que demeurer seul est l’unique moyen de n’être jamais trahi. Un taiseux. Comme dans Le Samouraï. François Mauriac l’avait tôt compris en écrivant dans son Bloc-notes :

« Alain Delon ne parle jamais aussi bien que quand il se tait ».

D’autres, habitués aux vacheries du sus-nommé, y ont vu un sarcasme alors que c’était un compliment. C’est ce qu’il préfère en lisant les scénarios qu’on lui propose : quand ses dialogues sont réduits a minima. Ca tombe bien car pour Parisis, tout Delon est réfugié dans ses yeux (d’ailleurs, son livre est sous-titré « Delon dans les yeux »). Un certain regard. Ce qui le gouverne et le reflète le mieux, plus encore que le corps, la gestuelle, la démarche. Les metteurs en scène l’ont bien compris qui ne lui ont jamais marchandé les plans serrés. Pas que pour le bleu. Moins une question de couleur que d’intensité, Visconti l’avait bien compris dès Rocco et ses frères en noir et blanc.

Quelques reproches tout de même à ce livre si entrainant. L’évocation de l’affaire Markovic, fait divers sans grand intérêt dont la presse a fait une montagne en faisant monter la mayonnaise politique, prend trop de place, trop de pages, et ce n’était pas du cinéma ou alors du mauvais, quand l’analyse des grands films est réduite, elle, au minimum syndical. D’autre part, Parisis n’insiste pas assez sur l’engagement volontaire à 17 ans dans la marine nationale et dans la guerre d’Indochine : du propre aveu de Delon, c’est là qu’il est né à 20 ans, qu’il a tout appris de la vie et il n’en est jamais sorti. Cela dit, Un problème avec la beauté, je l’ai lu d’un trait.

et-simenon-s-eprit-de-fellini,M450831Pas le cas de Série noire (176 pages, Pol) de Bertrand Schefer. Ce n’est pas une question d’écriture mais de conception. En fait, je n’ai toujours pas bien compris de quoi il s’agissait dans ce roman qui démarre sur le cinéma (ce qui m’avait attiré de prime abord) et se poursuit par une intrigue autour du kidnapping du petit Eric Peugeot, issu de la dynastie automobile bien connue, inspiré par Rapt, un titre de la Noire chez Gallimard époque Marcel Duhamel, je suppose. Entre les deux se noue une idylle entre un escroc de faible envergure et une jeune danoise candidate au titre de Miss Monde. A la toute fin, on comprend (enfin, c’est beaucoup dire) que ladite danoise s’est mariée avec un certain Schaefer, presque l’auteur –ça me rappelle une irrésistible brève de comptoir dans laquelle un leveur de coude disait :

« Proust, dommage qu’il y ait ce « u » : à une lettre près, il aurait été célèbre »…

Pour ce qui est du cinéma, l’histoire s’ouvre au XIIIème festival de Cannes. Un temps où, d’année en année, la moitié du jury était constitué d’écrivains : Achard, Genevoix, Paulhan, Giono etc C’était en 1960. Georges Simenon était président du jury, Henry Miller membre, tout s’annonçait bien avec l’ouverture en fanfare grâce à Ben-Hur. Mais l’auteur fait grand cas du scandale déclenché par la voix caverneuse de l’acteur Alain Cuny, outré que L’Avventura, son réalisateur Antonioni et son actrice Monica Vitti aient été sifflés, hués, conspués, injuriés, et que le chanteur Dario Moreno « ce pitre ! » se soit produit dans le temple du cinéma. Les délices de Cannes…

Mais enfin, Anna Karina passe par là et aussi un certain Simy Assouline, ou plutôt une certaine, là aussi ce n’est pas très clair. C’est plein de bagnoles de l’époque, comme chez Jean-Marc Parisis avec Alain Delon : Thunderbird, Impala, Studebaker, Dauphine, DS, 403, 404, berline, coupé, cabriolet ! Ici une scène d’A bout de souffle, là une autre de Cléo de 5 à 7. Plus loin un portrait de la danoise où il est dit qu’elle ressemble à Corinne Marchand dans le film d’Agnès Varda, mais à quoi celle-ci pouvait bien ressembler. Voilà ce qu’on appelle de la cinéphilie pour happy few.  Tout cela n’a rien d’antipathique. C’est juste que l’on ne voit pas où ça mène. Ah oui, le rapt du petit Peugeot tandis que la plus belle fille du Danemark se balade au bras de l’homme le plus recherché de France et qu’Alain Cuny laisse éclater sa colère pour défendre L’Avventura, ce qui, avec le recul, n’est pas très raccord car l’évènement du festival, ce fut l’audace du jury et de son président, dont le roman Lettre à mon juge (1947), qu’il tient en haute estime (ce n’est pas moi qui le démentirais) entrerait en résonance selon Bertrand Schefer avec L’Avventura, des jurés donc, contre le professionnels de la profession, osèrent couronner La Dolce vita de Fellini.

Vers la fin, l’auteur offre une clé (enfin…) :

Notre enquête se tient sur un seuil où l’on est mal à l’aise. Qui nous fait dire aujourd’hui ce n’est rien, nous en avons vu tellement davantage depuis, de plus rouge, noir, de plus certainement innommable. Nous avons même oublié tout ce que nous avons vu et ingurgité de faits réels et divers, horribles, qui nourrissaient on ne sait plus bien quoi, lorsqu’on s’est mis à parler de fiction, de réalité, à tour de bras, sans savoir ce qu’on disait, pour nous empêcher de voir, de penser, mélangeant tout, plus malléables désormais que nous étions devenus. Notre enquête porte sur cet oubli-là, sur des figures destinées à l’oubli, effaces par un temps qui, s’il n’est pas dans la nuit de l’histoire, est dans un clair-obscur, ou mi-ombre mi-lumière, comme ne sachant pas, ne parvenant pas à se déterminer. Ce sera donc aussi l’histoire de la disparition d’un événement.

Là, tout s’explique, même si c’est un peu tard. Série noire n’est pas en soi un mauvais livre. C’est juste qu’il m’est apparu confus. Au fond, j’en veux surtout à Schefer de présenter Simenon comme « le plus véritable des auteurs de romans policiers », cliché qui a la vie dure : les enquêtes de Maigret, dont l’écriture était sa récréation, ne représentent qu’un tiers de son œuvre !

(« Ava Gardner dans La Comtesse aux pieds nus de Joseph Mankiewicz ; « Alain Delon avec Monica Vitti dans L’Eclipse d’Antonioni » ; « Simenon et Fellini au festival de Cannes en 1960 » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, documents, Littérature de langue française.

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commentaires

1 171 Réponses pour Ces romans, quel cinéma !

D. dit: à

Bételgeuse dit: 2 septembre 2018 à 21 h 58 min

D, ce pseudo pourrait activer chez vous l’image des champs de lavande, seriez vous plus olfactif que visuel?

En quoi cela vous concerne-t-il, Bégtelgeuse ?

Pablo75 dit: à

D. dit: 1 septembre 2018 à 17 h 04 min
Oui je suis bien d’accord : Ava Gardner est peu supportable et fait partie de la mythologie cinématographique la plus désagréable qui soit.

D. dit: 1 septembre 2018 à 21 h 28 min
Qu’est-ce qu’on est tranquille ici depuis que Rose à pris ses distances.

D. dit: 2 septembre 2018 à 21 h 54 min
Lavande, vous serait-il possible de changer de pseudonyme parce que je ne le supporte plus.

Plus tous ses attaques à Ed, sa tête de turc…

Il ne serait pas un peu misogyne, notre ami D.?

Avez-vous remarqué qu’il ne parle jamais positivement des femmes?

Pablo75 dit: à

Plus la dernière:

« En quoi cela vous concerne-t-il, Bégtelgeuse ? »

Pablo75 dit: à

Tu n’aimes pas les femmes, D.?

x dit: à

Bon, le Liberty Valance du blog reconnaît qu’il pratique l’intimidation ; et comme tous ceux de son espèce, il prétend qu’il ne fait que réagir à l’agression d’autrui : c’est toujours l’autre qui a commencé…
Ensuite, il prétend que Hamlet « va arriver », « pour se moquer de Keats ».

Non, ce n’est pas Hamlet, c’est moi qui arrive parce que là vous marchez avec vos gros sabots sur mon territoire. Ce n’est certainement pas de Keats qu’il faudrait se moquer mais de ce que vous en faites, en réduisant ainsi son poème à une sorte de slogan.
Ces deux vers ne peuvent pas fonctionner comme un « résumé » de l’ode ; c’est tout le problème de la pratique de la citation (particulièrement lorsqu’elle est utilisée de façon argumentative et non illustrative). Bien sûr qu’il est question de l’œuvre d’art comme « amie » de l’être humain, et de beauté et de vérité ; mais cette beauté et cette vérité ne sont pas des abstractions dans le poème (même dans ses hommages à l’antique Keats reste le poète de la sensualité, des sensations, de l’intensité, du plaisir et de la mélancolie, et aussi de la « negative capability », tout le contraire d’une formule-matraque).
C’est tout ce qui vient avant qui fait la différence entre ces deux vers à la fin du poème et les mêmes coupés de ce qui précède.
Keats n’assène rien, lui, puisque beauté et vérité sont présentes, et pas seulement thématiquement, dans le poème. Beauté sonore, à l’évidence, mais aussi vérité en quelque sorte « dialectique ».
L’ode est aussi un poème narratif (certes d’un autre ordre que The Eve of Saint Agnes ou Lamia). Elle effectue un parcours, celui (assez complexe) du poète dans sa relation à l’objet d’abord dans son ensemble, puis avec la frise et les personnages et animaux représentés, mais aussi à travers l’imagination du poète. Parcours aussi sur un autre plan : dialogues, questions et enfin en incluant le lecteur ; déplacement aussi de l’extérieur, de la position du spectateur, vers l’intérieur de la scène représentée (le poète-caméléon et le pouvoir de l’empathie), puis prise de recul ; voyage entre les contradictions (suspens/ consommation, froid/ chaud, éternité/ impermanence, etc.) dont on ne peut pas faire l’économie.
Je simplifie, je résume, format oblige.
Place aux cinéphiles.

Pablo75 dit: à

x dit: 3 septembre 2018 à 0 h 01 min

Du pur hamlet ex Puck-Puck l’Homelette, alias «Et même si je suis le seul à le penser je suis sûr d’avoir raison»

Même ton, même style, même façon de pè.ter plus haut que son c.ul, même confusion dans les idées, qui n’intéressent personne sur ce blog.

Pas la peine de discuter avec des fantômes de zombis.

Va te coucher, hamlet ex Puck-Puck l’Homelette, alias «Et même si je suis le seul à le penser je suis sûr d’avoir raison»

Petit Rappel dit: à

Clopine, ce pâté m’aura bien fait rire, merci!
Bonne soirée.
MC

Petit Rappel dit: à

Pablo, 19h 45
« François Brune dont tu n’as pas lu une ligne »
Si, si, le premier opus!
On peut se demander d’ailleurs ce que signifie votre argumentaire. On comprend confusément que, pour consoler Rose, vous êtes prêt à lui balancer la première turlutaine venue. Celle-là est particulièrement réussie, compliments!
Vous me reprochez de ne pas faire la même chose. C’est que je n’aime pas raconter des Histoires sans fondement.
Je n’ai pas dit « la chose n’existe pas », j’ai dit: « vous trouverez dans ces textes-là là un éclaircissement des Quatre Evangiles ». Je crois que c’est bien là qu’apparait le concept de Résurrection, non?! Et Tertullien est plus élevé que toute votre littérature de supermarché, je crois?
Maintenant, on peut préférer le supermarché à la Patristique, et le charlatanisme mystique au fondateur du Christianisme. c’est une question de gout.
Le bon Pierre Collet reste à méditer: « je conclus qu’un homme serait très répréhensible s’il débitoit des miracles faux ou incertains…Le prédicateur ne perd jamais quand la vérité gagne ».
A fortiori, le consolateur…
MC
PS
Cette conclusion de Séminaire est disponible très facilement sur le net!

Ed dit: à

Delaporte parle positivement de Ulrike Meinhof et me traite de tous les noms à chaque fois, oubliant sans doute qu’un être humain se cache derrière son écran et qu’il ne parle pas à une machine sans émotion. D. Ne parle de rien car il n’a rien à dire (mais il a l’élégance d’en avoir conscience).

Ed dit: à

Oui je sais je sais. C’est la même personne. On connaît la chanson Pablouche;)

Jazzi dit: à

Claudio Bahia, il y a le feu chez vous !
« Brésil : un violent incendie ravage le Musée National de Rio de Janeiro »

Jazzi dit: à

Quoi, M. Court trompe Christiane avec Clopine ! C’est pire que « Les feux de l’amour » sur la RDL !

Jazzi dit: à

Mais est-ce qu’il a au moins la nationalité française, Cohn-Bendit ?
Vérification faite, oui, depuis… 2015 !

Jazzi dit: à

Dans la catégorie « érudition et élégance » tu ne mets pas WGG et Clopine, ni DHH, hamlet ?

Bételgeuse dit: à

D, nous serions sous l’empire de nos sens et parmi eux certains prédominent , je crois. Nous pouvons être ainsi plus influencés par l’odeur que l’image, par l’image que par le son , le toucher réussirait pour certains à supplanter le regard jusqu’à acheter n’importe quelle étoffé pourvu qu’elle procure plaisir par son contact tactile par exemple ,j’extrapole. Vous concernant, la réponse ne me serait d’aucun usage, une curiosité provoquée par votre réactivité qu pseudo qui est à l’origine de ma remarque, mais en rien cela m’importe q wolument de savoir par quels sens vous vous laissez séduire. De plus très souvent nous sommes tout à la fois sensible à l’image, l’odeur, le son comme en face d’un paysage . Plusieurs sens interviennent dans notre captation et notre plaisir ou déplaisir ne résulte pas d’un seul.

Bételgeuse dit: à

absolument, sensibles à…

renato dit: à

Tiens ! le goujat cancane encore, et à tort et à travers !

renato dit: à

Merci hamlet, mais quelques années d’études avec de bons enseignants ne fait pas de moi une pointure.

renato dit: à

Oups! ne fait > ne FONT

renato dit: à

Oui, Jacques, et selon un ami crédible, belle performance.

Jazzi dit: à

J’ai regardé l’extrait du film, renato. Elle est mieux au naturel qu’en star pop !

christiane dit: à

M.Court – 1h47
Oui, son domaine, celui de la superstition, des prophéties des mages, des astrologues, des signes qui ne sont que la perversion de l’athéisme en quête d’un merveilleux de carton doré.

ed dit: à

« Brésil : un violent incendie ravage le Musée National de Rio de Janeiro »

J’ai vu cela cette nuit. Le gouvernement et son manque d’investissement dans l’entretien des musées nationaux seraient en cause. Ca m’a brisé le coeur.

x dit: à

La résurrection faisait aussi partie de la doctrine des pharisiens.
Rose, si vous n’avez pas le temps pour une recherche approfondie, un point de départ avec ce court article du pasteur Gounelle :
http://andregounelle.fr/divers/la-mort-vue-par-les-chretiens.php

Pablo/Sherlock/Liberty Valance, quand vous traversez un blog, faites bien attention, surtout si vous portez des œillères et un casque sur les oreilles : un agrégé peut en cacher un autre.

christiane dit: à

Rose, si vous passez…
pour vous dans les pages précédentes ma réponse (2 septembre 2018 à 10 h 22 min). Vous y lirez l’absence totale de référence à la « Résurrection », n’étant pas sensible à ces images de la Bible mais plutôt à l’inouï des rencontres quand elles laissent ce goût de silence.
Je cite pour vous un autre écrivain que vous chérissez, Saint-Exupéry (« Terre des hommes »). Puisez dans ces lignes la paix du cœur :
« Silence de Dieu. Silence des sens. Silence des mots intérieurs… tout ayant été dit. Tout ayant été fait… Quand tout est sommeil de laine. »

Bételgeuse dit: à

9h43 ce qui rapproche de l’enluminure si utilisée au moyen age pour décorer les ouvrages religieux, ne serait elle pas aussi un détail attachée à ce type de croyances non reconnues par l’église, pourquoi tant de soins au décorum, tant de raffinement contraire à l’ascètisme,le dénuement enseignés et applicables , conseillés aux ouailles désireuses de rester dans la grâce du Seigneur tout puissant.

Bételgeuse dit: à

Je continue de contempler la photo de cette star, ce qu’il faut faire de ses mains pour exposer son buste. Les hommes ne rencontré pas ce problème à moins qu’ils ne soient culturistes , on remarque certaines poses dans cette catégorie qui rappellent de loin l’image offerte par Pierre Assouline et bien que ces derniers s’y consacrent pour contracter et exhiber une puissante musculature.

Bételgeuse dit: à

Ne rencontrent pas. Correcteur

hamlet dit: à

« Jazzi dit: 3 septembre 2018 à 7 h 30 min
Dans la catégorie « érudition et élégance » tu ne mets pas WGG et Clopine, ni DHH, hamlet ? »

un oubli

christiane dit: à

@x dit: 3 septembre 2018 à 0 h 01 min
C’est un bonheur de vous lire. Rien n’est plus pernicieux que ces enveloppements sans scrupules… Que faire avec tous ces gens-là ? Vous résistez par l’écriture (comme hamlet, frivole, léger, bouffon, aimant le non-sens avec sa prose buissonnière).
Keats ? Le plus énigmatique des poètes anglais, un précurseur de Francis Ponge, peut-être…

Pablo75 dit: à

@ Petit Rappel

« On comprend confusément que, pour consoler Rose, vous êtes prêt à lui balancer la première turlutaine venue.[…] Vous me reprochez de ne pas faire la même chose. »

Que tu comprennes de travers tout ce qui est simple et que pour toi les FAITS soient de la « turlutaine », c’est normal, étant un encu.leur de mouches en plein vol professionnel et un pédant de première catégorie habitué à épater des vieilles dans des conférences données dans de bleds improbables.

Il faudrait que tu descendes de ton Olympe d’érudit de provinces qui aura passé sa vie à étudier ce qui n’intéresse personne pour que tu
arrives à piger l’Essentiel (avec une majuscule dédiée expressément à hamlet ex Puck-Puck l’Homelette, alias «Et même si je suis le seul à le penser je suis sûr d’avoir raison»).

En attendant lit F.Brune, dont tu n’as lu, dans le meilleur de cas, que la quatrième de couverture sur Amazon, et Patrice Van Eersel, Ian Stevenson, Head & Cranston et Elisabeth Kübler-Ross. Et tu peux ajouter à la liste Jean Prieur, Jane Roberts, les 8 très gros volumes des extraordinaires « Lettres de Pierre » et plein d’autres livres des Éditions Sorlot & Lanore.

Je te conseille aussi la lecture des mystiques hindous, soufis et occidentaux (surtout Eckhart, Ruysbroeck, St.Jean de la Croix,
Ste.Thèrese d’Avila, Silesius, Miguel de Molinos, Swedenborg ou même Louis Claude de St Martin), que tous disent les mêmes choses et confirment ce que ceux qui ont étudié de près la mort ont écrit.

(Quand tu parles, du haut de ta frivolité spirituelle de rationaliste qui déteste les FAITS, de « charlatanisme mystique », tu parles de qui?).

Pablo75 dit: à

christiane dit: 3 septembre 2018 à 9 h 43 min
christiane dit: 3 septembre 2018 à 10 h 50 min

Christiane, ce n’est même pas la peine de lui « mettre le nez sur son ridicule ».

À chaque fois qu’elle écrit ici, on sent passer sur le blog un vent de ridicule dont on reconnaît tout de suite la provenance.

Chaloux l’a bien pigée: une vraie tordue, plus fausse qu’une monnaie de trois euros, la Grande Tartuffe du Blog.

(Et ne court pas comme une gamine demander à Passou d’enlever mon post: c’est toi qui provoques).

Bételgeuse dit: à

Pablo, vous avez une foule de choses à transmettre mais le ton employé me dissuadé de vous lire. Vous prenez l’espace commentaire pour un champ de bataille ou un stade olympique , le sport se pratiquant malgré tout sans violence sinon dans certains gradins ou extérieurs. Jamais vous ne vous calmez?

Pablo75 dit: à

@ x-hamlet ex Puck-Puck l’Homelette, alias «Et même si je suis le seul à le penser je suis sûr d’avoir raison»

« Pablo/Sherlock/Liberty Valance, quand vous traversez un blog, faites bien attention, surtout si vous portez des œillères et un casque sur les oreilles : un agrégé peut en cacher un autre. »

Tiens, je vois que tu m’imites sur les noms, comme les gosses à l’école, ce qui ne m’étonne pas, vue ton âge mentale.

Quant aux « agrégés » (il paraît que Blabla en était un – c’est dire leur niveau en France), devant lesquels tu t’agenouilles, en parfait dévot du Système d’Enseignement Français, en joignant tes mains et en baissant la tête en signe de soumission totale…, tu parles de ceux qui ont agrégé dans leur esprit des kgs de prétention, des tonnes de bêtises, une obéissance à toute épreuve aux idées à la mode et à l’idéologie dominante, et surtout des grandes masses d’érudition inutile vouée à un oubli définitif?

Bételgeuse dit: à

Attrapez l’éponge, Pablo. Une excellente journée à vous, ciao.

Pablo75 dit: à

@ Bételgeuse

Je t’ai déjà dit plusieurs fois d’arrêter de me lire. Si cela ne te plaît pas ce que j’écris, c’est très simple: tu t’abstiens de me lire. Moi il y a beaucoup de monde que je ne lis pas ici. Je ne lis que ce qui me concerne ou m’intéresse.

Alors, tant que je ne parle pas de toi (tu as remarqué que quand je le fais je mets « @ Bételgeuse »?), évite mes posts. Et si tu ne peux pas t’empêcher de les lire, évite tes commentaires stupides sur eux.

Jazzi dit: à

Malaise en Malaisie : deux femmes condamnées à des coups de bâton pour homosexualité…

Jazzi dit: à

Fausses notes en Israël : la radio publique s’excuse après avoir diffusé du Wagner…

Bételgeuse dit: à

Jazzi, malaise en Malaisie rappelle un des premiers romans d’Echenoz quoiqu’il soit nécessaire de décaler de nombreux méridiens et qu’encore sa teneur n’ait rien à voir avec ces sanctions .

D. dit: à

Ne parle de rien car il n’a rien à dire (mais il a l’élégance d’en avoir conscience).

En effet je n’ai rien à dire.

D. dit: à

Non je n’ai rien contre les femmes. J’aurais pu naitre femme. Il faut accepter nos différences.

closer dit: à

Muito, muito triste Claudio…

D. dit: à

J’aurais même pu être Ed. Ce n’est qu’une question de variation de physique et d’âme.
Ed aurait pu être moi, sans doute avantageusement sur beaucoup de points.

Pablo75 dit: à

@ Ed

« Oui je sais je sais. C’est la même personne. On connaît la chanson… »

D. et Delaporte:

-même mentalité vieille France
-même politesse des personnes d’un certain âge, voire d’un âge certain
-même distance et non violence dans les ripostes quand on les attaque violemment (c’est très rare qu’ils se fâchent vraiment)
-aucun des deux parle de livres, de musique ou des films ici (étonnant, non?).
-aucun des deux recommande jamais ici de lire, voir ou écouter quelque chose. Ils commentent, ils ne proposent jamais rien.
-les deux sont obsédés par toi
-les dialogues entre les deux sonnent faux
-ils apparaissent souvent ensemble sur le blog
-les deux ont l’air d’être des retraités vivant seuls (jamais d’allusion à une femme, à des enfants, à des petits enfants)
-les deux son misogynes
-les deux s’intéressent beaucoup à la politique en général et à l’Europe (ils sont contre l’UE les deux) et l’Allemagne en particulier
-D. est antisioniste et Delaporte admire l’antisioniste Ulrike Meinhoff.
-les deux commentent ironique ou sarcastiquement l’actualité ou les post des autres
-les deux sont cathos pratiquants
-les deux disent aller le dimanche à la même église dans le même quartier
-Parfois Delaporte parle comme D. (Un exemple, entre des dizaines: « Si vous voulez vous placer du côté des asservisseurs du genre humain, libre à vous, closer ! »),
-D. est un réactionnaire qui vote Le Pen. Delaporte c’est son double soit-disant de gauche (« tendance libertaire », dixit D) et votant Hamon (il doit bien rigoler D. quand il fait son éloge), ce qui est totalement invraisemblable quand on connaît les idées religieuses du bonhomme, son obsession pour le sexe, sa misogynie et le fond fanatique de son esprit.
-D. est le Gémeaux (et tous les Gémeaux sont doubles, voire multiples). Delaporte est son Ascendant Vierge.

Bételgeuse dit: à

Claudio Bahia, j’ai bavardé récemment avec un couple de brésiliens qui affirmaient que les scandales de corruption qui pèse sur l’ex presidente et Lula étaient de vastes entreprises de manipulation , qu’en pensez vous? Affaire petrobras.Ils m’ont surprise mais selon eux Lula serait injustement emprisonné. https://m.lematin.ch/articles/5ad9d324ab5c371e16000001

Bételgeuse dit: à

Affirmait, pèsent.

Jazzi dit: à

Che passa, Pablo ?
Tu t’es institué toréador exclusif de la RDL, transformée en arène !
A part Dona Chaloux, à qui tu dédies queues et oreilles, tu réserves tes piques et banderilles à tous les commentateurs erdéliens assimilés à autant de taureaux. Heureusement que la mise à mort, ici, n’est que virtuelles.
Un abus de lecture du Don Quichotte ?

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

Je réponds aux gens qui m’interpellent. Quand ils cesseront de m’interpeller, je cesserai de répondre.

Simple, non?

Jazzi dit: à

virtuelle suffit

Jazzi dit: à

Pour toi, la RDL n’est que le prétexte à un dialogue avec Chaloux ?

Pablo75 dit: à

« Incendie du Musée national de Rio : « 200 ans d’histoire ont disparu ». D’immenses flammes ont détruit ce joyau culturel, l’un des plus anciens musées du Brésil qui compte plus de 20 millions de pièces de valeur. »

On préfère ne pas savoir ce qui avait dedans.

Jazzi dit: à

Et moi qui croyais que la musique adoucissait les moeurs !

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

Si je ne voulais que dialoguer avec Chaloux, je le ferai par mail.

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

Imagine si je n’étais pas mélomane…

Jazzi dit: à

On aurait droit au silence, Pedro !

Pablo75 dit: à

À propos de musique, j’ai découvert il y a deux jours la « Brockes Passion » (1716) de Telemann, un chef-d’oeuvre peu joué et enregistrée.

Dans la première heure (pas écouté encore le reste), dans la belle version de René Jacobs, entre, à peu-près, 19min et 30min, il y a des passages très beaux (l’ostinato, qui rappelle ceux de son ami Bach):

https://www.youtube.com/watch?v=gtMpG5qaycs

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

À propos de silence, tu pourrais nous offrir un peu du tien, si rare ici.

Pablo75 dit: à

Telemann (qui a écrit plus de 3 000 oeuvres en 76 ans d’activité – il a commencé à 10 ans et vécu 86) était ami de Haendel et de Bach (il était le parrain de son fils Carl Philipp Emanuel).

hamlet dit: à

christiane dit: 3 septembre 2018 à 10 h 50 min

oui pour le commentaire de x !
le genre de commentaire qui justement, par son élégance, nous réconcilie avec la culture.

c’est le truc qui m’a toujours semblé insupportable avec Onfray. On me répondait qu’il était un puits de savoir, un savoir qu’il partageait etc…

j’ai connu l’arrivée des « nouveaux philosophes », ce moment où l’on passait de Castoriadis et Vidal Naquet à BHL.

Cela coïncidait avec un changement d’époque, et ces nouveaux « érudits », de BHL (si on peut utiliser ce mot pour BHL) à Onfray, ont su adapter leur « érudition » à la communication moderne et à l’économie libérale.

et c’est assez marrant de lire sur ce blog ces mêmes éléments qui ont fondé les nouveaux paradigmes d’un savoir en cohérence avec le monde (post)moderne.

par exemple le fait lire et relire à l’infini des trucs comme : « ce que tu écris ne sert à rien » ou « n’intéresse personne sur ce blog » ou « ton savoir ne sert à rien » ou « ton travail de petit provincial » etc…

Onfray a été le meilleur à ce jeu, à chaque fois qu’il sortait un livre 5freud, athéisme etc…) il fallait que ce soit sous la forme d’un match de boxe.

les médias en ont bien joué de cette boxe en invitant sur leur plateau des adversaires adeptes de ce sport.

c’est à la fois très drôle, par le côté « petit roquet qui aboie » et à la fois terrifiant dans la mesure cela incarne tout ce que notre monde actuel porte en lui de plus problématique, de plus haïssable.

de plus « haïssable » sans doute parce qu’on aimerait que l’érudition soit accompagnée d’un « savoir vivre », d’une certaine « politesse », là encore à cause bien spur des barbarie du XXè s. et de la combinaison terrifiante entre culture et violence.

La seule solution serait d’ignorer ou de rejeter en bloc cette version moderne d’une érudition vulgaire, parce que la vulgarité est trop représente ailleurs pour la retrouver dans les livres et la musique, et donc la remettre à sa bonne place qui serait celle des émissions télé ou radio ou celui qui crie le plus a raison.
Dire à ces « érudits vulgaires » que leur érudition, aussi immense soit-elle, ne pourra jamais compenser leur vulgarité.

Et même, en cas extrême, préférer le savoir vivre à l’érudition, ce serait presque une attitude « écologique », un truc pour préserver la planète, pour laisser un monde humain qui reste vivable pour nos enfants.

D. dit: à

Beaucoup d’erreurs dans cette piteuse analyse, Pablo.

ed dit: à

@Pablo

Voilà enfin la réponse que j’attendais. C’est troublant en effet, notamment sur les idées politiques (j’avais déjà remarqué). Il est tout de même à noter que D. est plus germanophobe – c’est quasiment une obsession – que Delaporte (qui lui a d’autres obsessions, dont ma personne, sachant qu’il n’est pas le seul puisque bérénice et D. la partagent).

Autre élément troublant, dans le sens inverse cette fois, aurait-il (singulier !) pris le risque de dévoiler une si grande connivence en révélant aller à la messe dans le même quartier ?

Jazzi dit: à

Ce n’est plus de l’interpellation mais de la provocation, D. Tu agites carrément la cape rouge sous le nez du matador Pablo ! On ne sait plus si c’est un toréador ou un taureau ? Un mélange des deux, sans doute…

hamlet dit: à

le plus regrettable est que cet article de passou aurait pu donner lieu des discussions passionnantes entre C.P., Paul Edel, Jazzi et d’autres.

J’imagine qu’ils ont fui ce blog parce que l’air y est devenu irrespirable.

C’est désolant, d’autant que j’ai un peu participé moi aussi à le rendre irrespirable.

C’est vraiment désolant, et j’en suis désolé.

Jazzi dit: à

« Hercule Pablo »

Joli nom de taureau et de toréador !

ed dit: à

hamlet,

jazzi n’a pas d’autre sujet de conversation que le sexe. Il rabaisse le niveau (en plus des gens) réguliérement.

ed dit: à

« Joli nom de taureau et de toréador »

Hercule Poiréador.

(Merci c’est tout pour moi).

ed dit: à

Hercule Pablo-adore

Jazzi dit: à

Avec vous, ed, pas besoin de mes interventions pour rabaisser le niveau…

hamlet dit: à

là encore il y a un petit côté « Onfray » dans le côté : « si je n’ai rien à dire sur ce sujet, je faire en sorte de déplacer le sujet pour l’amener dans un domaine où j’aurai des choses à dire ».

cette technique relève soit d’un terrorisme intellectuel, soit d’un pressant besoin de reconnaissance, en effet pourquoi faire l’éloge d’une oeuvre que l’on vient d’écouter, alors que personne ne le demandait et que c’est toalement hors sujet, sinon pour ajouter un nouvel élément à liste des bonnes raisons d’être admiré des autres ? dans la mesure où l’érudition est justement présente que dans ce but : être exhibée pour susciter l’admiration. Cet aspect de l’érudition aurait plus sa place sur le divan d’un psy que dans une classe d’université.

ed dit: à

« il ne parle jamais positivement des femmes »

Comment parler positivement de ce que l’on craint (car on l’ignore). C’est le lot de nombreux frustrés (je ne dirais pas « vieux » car certains jeunes sont sensiblement au même niveau) : WGG, Delaporte, D. bien sûr et la version féminine de la misogynie, la pire donc : bérénouche. Bon alors elle c’est pas la crainte par ignorance, mais la crainte par jalousie. Brrr, ca fait froid dans le dos.

ed dit: à

J’ai oublié « Petit rappel » avec sa haine permanente à l’égard de bérénice et son besoin de montrer sa grosse teub (sans doute un micropénis en vérité) en étalant sa confiture à coups de mots que personne ne connaît. Ca devait se faire au XIXe siècle, mais aujourd’hui c’est considéré comme pédant et aucune maison d’édition ne supporte cela.

hamlet dit: à

Musil a écrit un truc assez drôle : « l’homme qui pense de façon artistique se sent menacé par les homme qui ne pensent pas de façon artistiques et aussi par les artistes qui ne pensent pas ».

ed dit: à

*de clopine, pardon, bérénice ne pouvant constituer une menace pour les machos. Elle est de leur côté ahah.

hamlet dit: à

Musil a aussi écrit un truc du genre « nous manquons pas de contenus, ce qu’il manque est de trouver la fonction de ces contenus ».

x dit: à

Vous montrez une fois de plus que vous ne savez pas lire, Pablo. Si tout n’est pas surligné, encadré, vous ne comprenez pas.

Je répondais à votre charmante accusation, formulée en termes délicieusement imagés, concernant mes prétentions que vous jugez excessives ; puisque vous ne vous fiez qu’aux étiquettes, je mentionnais celle que l’on m’a attribuée à l’âge (normal) de 23 ans. Je n’en fais ni mystère ni parade, ce n’est ni un titre de gloire (bien que je me souvienne d’une conversation du style « réunion d’anciens combattants » avec Bloom)ni tout de même non plus un signe d’infamie.
Ou alors c’est vous qui êtes un « Homme du ressentiment », ce qui expliquerait bien des choses. Quelques comptes à régler avec l’école peut-être ?

Delaporte dit: à

« Delaporte parle positivement de Ulrike Meinhof et me traite de tous les noms à chaque fois, oubliant sans doute qu’un être humain se cache derrière son écran… »

Ma chère Ed, je vous traite rarement, sinon jamais, de tous les noms. Je vous respecte, mais certes je ne me prive pas de critiquer vos affirmations trompeuses lorsqu’il y a matière (et c’est souvent le cas). Essayez plutôt de le prendre bien… et réformez-vous !

Pablo75 dit: à

@ Hamlet ex Puck-Puck l’Homelette, alias « Et même si je suis le seul à le penser je suis sûr d’avoir raison. »

Tu es tellement inculte que tu dates « l’impolitesse » des philosophes de l’invention des « Nouveaux philosophes », de l’arrivée sur la scène médiatique de BHL et Onfray. C’est 1978 ta frontière politesse-impolitesse à toi. Mais tu fais quoi de tous les pamphlétaires français du XVIII, XIX et XXe siècles? Tu fais quoi des discussions dune violence inouïe qu’il y a toujours eu partout entre penseurs ou entre écrivains? Tu as entendu parler de
Joseph de Maistre (il a écrit: « On n’a rien fait contre les opinions quand on n’a pas attaqué les personnes »? Ça te dit quelque chose le nom de Léon Bloy? Tu as ouvert son « Propos d’un entrepreneur de démolitions », son « Exégèse des lieux communs » ou son « Journal » (ne le fais pas, tu risques de t’évanouir en les lisant)? Tu as lu Laurent Tailhade, son
« Imbéciles et gredins », par exemple? Et les Goncourt? Tu as lu la Correspondance de Flaubert?

Etc, etc, etc.

Et tu veux que je te rappelle les polémiques entre Góngora et Quevedo, par sonnets orduriers interposés? Ou les pamphlets terribles, obscènes, du dernier (qui est pour Borges le plus grand auteur espagnol)- il est d’ailleurs l’auteur d’un livre intitulé « Gracias y desgracias del ojo del culo » (Heurs et malheurs du trou du cul) que tu ne devrais pas lire sous peine de tomber dans les pommes.

Avant de te mettre à commenter, mon pote, je te conseille de te renseigner, pour ne pas faire le ridicule de croire que ton inculture est la limite de la Culture.

« on aimerait que l’érudition soit accompagnée d’un « savoir vivre », d’une certaine « politesse », là encore à cause bien sur des barbarie du XXè s. et de la combinaison terrifiante entre culture et violence. »

Mais mon pauvre chou: si tu veux de la culture sans polémique va dans un blog de bénédictins, dans un forum de nonnes. Si tu viens ici pour qu’on te dise que tu es le plus intelligent, le plus cultivé et le plus drôle, et tu te mets à dire des co.nneries pour faire le beau, ne t’étonne pas des réactions.

Et si tu viens ici soit un peu plus viril, assume la castagne, arrête de pleurnicher.

ed dit: à

cervelle vide, punkette à épingles, insecte.

Il a raison. C’est très respectueux. Mais croit-il vraiment qu’on ait envie de « se réformer » pour avoir une mentalité de vieux catho oisif et obsessionnel ?

Delaporte dit: à

Pablo, dans votre portrait parallèle entre D et moi, il y a des choses inexactes :

« aucun des deux recommande jamais ici de lire, voir ou écouter quelque chose. Ils commentent, ils ne proposent jamais rien »

En fait, je propose parfois des choses ; par exemple, l’homélie de l’archevêque Aupetit hier soir. Mais il reste vrai que je préfère commenter et redresser les erreurs, notamment de Ed, qui ont une fraîcheur amusante et naïve. N’est-on pas là surtout pour s’amuser, à côté de certains messages qu’on veut faire passer au monde, comme celui de la foi catholique universelle ? Car, et même si je vote pour Hamon, je reste un grand catholique de gauche.

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

Tu aurais aimé être à la place de Serranito?

Delaporte dit: à

Ma chère Ed, « punkette avec ses épingles à nourrice », c’est gentil comme qualification. C’est une manière de rendre l’impression que vous me donnez. Je suis sincère en disant cela. Quant à « cervelle (toujours vide) », c’est une belle trouvaille faite pour vous houspiller un peu, mais qui ne porte pas à conséquence. Hier, je vous ai du reste dit que votre cervelle était pleine (de chose fausses, il est vrai). Vous êtes bien susceptible comme fille !

Jazzi dit: à

« la foi catholique universelle ? »

Celle-la même qui a décrété, parmi les sept péchés capitaux, que la paresse était la mère de tous les vices, Delaporte !

ed dit: à

Mes erreurs ? Ben oui. Après un bac franco-allemand, une khâgne spécialité allemand et un master en management interculturel couronnés de 10 ans de vie en Allemagne, j’avais besoin que Bécassin en aube, qui n’a jamais rien lu et jamais rien vu, m’apprenne comment fonctionne mon 2e pays.

Jazzi dit: à

« Tu aurais aimé être à la place de Serranito ? »

Non, plutôt à celle du taureau cornu, Pablo !
(Et ed va encore dire que je ramène tout au sexe !)

ed dit: à

Jazzi, c’est un fait, comme tous les gays, non ?

Delaporte dit: à

« cervelle vide, punkette à épingles, insecte »

« Insecte », je ne me souviens pas. Mais, si c’était effectivement le cas, je le regrette. Parfois, je me laisse emporter par mon verbe, et je ne suis pas à l’abri d’exagérations.

ed dit: à

Alors vous me voyez mal. Je n’ai aucun piercing et possède une allure de petite fille sage.

x dit: à

ed 13 h 59 min
« Curiouser and curiouser! » comme dit Alice chez Lewis Carroll.
Autrefois quand on rencontrait un mot que l’on ne connaissait pas on le cherchait (il y a même des ouvrages qui sont faits pour ça, ça s’appelle des dictionnaires, étonnant, non ?)
On ne prenait pas son ignorance pour une généralité ni surtout une norme à imposer aux autres pour paraître « cool ».
On n’avait pas à se vexer ni se sentir indigne pour autant : on apprenait, c’est tout.
On « enrichissait son vocabulaire » de quelques termes un peu moins courants et on se sentait soi-même enrichi. C’était un gain.
Seuls les a-b-r-u-t-i-s les plus endurcis auraient eu l’idée d’insulter celui qui avait été l’occasion pour eux d’apprendre quelque chose de nouveau, en usant d’injures stéréotypées d’inspiration anatomique.
Brave new world…

Jazzi dit: à

Non, ce n’est pas un fait, mais une idée reçue, ed.

ed dit: à

x,

Merci pour l’insulte. Décidément, ca part vite ici. Je réponds tout de même (chose que je ne ferai plus si vous m’insultez à nouveau) : BIEN SÛR que je fais la recherche si je tombe sur un mot que je ne comprends pas. Je dénonce ceux qui le font exprès.

ed dit: à

Jazzi,

Je n’ai jamais rencontré un seul homo qui ne parlait pas trèèès souvent de c.ul. Je ne dis pas que c’est mal pour autant.

Delaporte dit: à

« Alors vous me voyez mal. Je n’ai aucun piercing et possède une allure de petite fille sage. »

Alors, vous ressemblez à Alice ?

Jazzi dit: à

ed, pointez tous mes derniers commentaires, et voyez combien de fois je parle de mon cul !

Pablo75 dit: à

@ Hamlet ex Puck-Puck l’Homelette, alias « Et même si je suis le seul à le penser je suis sûr d’avoir raison. »

Tu es un vrai malade mental, rongé par l’envie et la jalousie, complétement détruit par un complexe d’infériorité qui te fait proprement délirer, qui t’empêche de voir la réalité la plus simple.

« pourquoi faire l’éloge d’une oeuvre que l’on vient d’écouter, alors que personne ne le demandait et que c’est toalement hors sujet, sinon pour ajouter un nouvel élément à liste des bonnes raisons d’être admiré des autres ? »

Mais mon immense co.nnard: tu ne sais pas encore qu’on est dans un endroit où on partage des connaissances, des découvertes, des expériences de lecture, de musique ou de cinéma? Cela fait plus de 10 ans que cela dure. Tu es si idi.ot que tu n’avais jamais remarqué?

Je constate que les « arguments » que tu as contre moi sont de plus en plus absurdes, incohérents, débiles. Tes posts sont de plus en plus pathétiques. Je crains sérieusement que tu ne sois en train de devenir fou de haine.

Delaporte dit: à

« Celle-la même qui a décrété, parmi les sept péchés capitaux, que la paresse était la mère de tous les vices, Delaporte ! »

Mon cher Jacuzzi, il faut nuancer les choses. Avoir le sens de la dialectique. La paresse est comme la langue d’Esope, la meilleure ou la pire des choses. Et au fait, votre bouquin, qui promet d’être un contresens total sur la question, il sort quand ?

Delaporte dit: à

« Mes erreurs ? »

Eh oui, Ed, vos erreurs. Les miennes. Celles du genre humain. L’homme commet sans cesse des erreurs. Errare humanum est.

Jazzi dit: à

Tu bottes en touche, Delaporte.

ed dit: à

Jazzi,

Vous n’allez tout de même pas prendre ma remarque au pied de la lettre ! Vous ne parlez pas QUE de ca, mais vous le faites très souvent. Et dès que ca cause fesses, vous apparaissez plus vite que l’éclair. Aucun reproche là-dedans.

Jazzi dit: à

Moi, j’aime bien quand tu nous parles de la littérature espagnole, Pablo. Là, j’apprends et je suis content !

Lucien Bergeret dit: à

Pablo va réussir l’exploit de me faire regretter WGG. C’est dire!

Jazzi dit: à

C’est-à-dire que j’appelle un chat un chat, ed, sans hypocrisie. Il est un fait que pour les hommes, homos ou hétéros, le cerveau est actionné par la queue. Qu’en est-il pour les femmes ?

christiane dit: à

@11h08
Oui, votre domaine, est celui de la superstition, des prophéties des mages, des astrologues, des signes qui ne sont que la perversion de l’athéisme en quête d’un merveilleux de carton doré. Qu’y puis-je si vous êtes marabouté par des charlatans. Ni la liste de livres que vous conseillez à Rose, ni vos théories fumeuses sur ces soi-disant signes et preuves venant d’un autre monde ne m’ont convaincue.
Il reste vos commentaires sur la musique et sur la littérature hispanique, toujours intéressants.

ed dit: à

Je dois avouer n’avoir jamais lu un seul livre d’un auteur espagnol. J’attends vos suggestions.

À noter que j’ai du mal avec la culture espagnole car je l’associe aux films étranges et dérangeants (selon moi, moi et seulement moi !) d’Almodovar.

Delaporte dit: à

« Tu bottes en touche, Delaporte. »

Précisez votre question foireuse, Jacuzzi. Je me suis déjà exprimé sur la paresse, qui est un élément essentiel du repos du 7e jour, et à ce titre une véritable grâce. Dans un monde régi par une future abolition légale du travail, l’homme aura néanmoins une activité, mais dirigée sur le repos et la prière, ainsi que sur la gratuité de l’engagement. Il y aura une noblesse dans la société, dont la porte sera étroite, et dont le dévouement sera pur. On verra refleurir la fraternité, qui remplacera la concurrence. Quand la Bible nous parle de tout cela, elle est en plein dans le sujet et en plein dans votre interrogation, Jacuzzi.

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

« j’appelle un chat un chat, ed, sans hypocrisie. »

Tu ne m’as pas, pourtant, dit ce que tu pensais de la photo:

Pablo75 dit: 3 septembre 2018 à 14 h 16 min

Pablo75 dit: à

@ Jazzi

« Il est un fait que pour les hommes, homos ou hétéros, le cerveau est actionné par la queue. »

Je croyais que c’était le contraire…

christiane dit: à

@Clopine dit: 2 septembre 2018 à 20 h 42 min
Vous écrivez : « Ah là là, entre M. Court, Christiane, Delaporte et tutti quanti, quelle pâté(e) de foi(e), ce blog… »
Ah oui ? où ça en ce qui me concerne ? J’attends de nombreuses citations puisqu’il y aurait saturation de prosélytisme. Il ne suffit pas de lancer quelques pointes perfides de ci de là pour être crédible, il faut étayer vos dires. Votre agressivité vous reprend ? C’est cyclique ?

Pablo75 dit: à

@ christiane dit: 3 septembre 2018 à 14 h 52 min

C’est bien que tu nous montres si clairement ton mur mental, tes frontières intérieures, les limites de ton âme. Belle sincérité.

Tu es comme ces femmes qu’avant de coucher ensemble, en se dénudant, te montrent tous leurs défauts de leur corps ou t’avertissent de tous leurs problèmes gynécologiques, et avec lesquelles à la fin on a plus envie de coucher.

Moi avec toi je n’aurais pas envie de me promener.

hamlet dit: à

« ed à 13h59 :
« Petit rappel » avec sa haine permanente à l’égard de bérénice et son besoin de montrer sa grosse teub (sans doute un micropénis en vérité) »

« ed à à 14 h 30 min
Merci pour l’insulte. Décidément, ca part vite ici. Je réponds tout de même (chose que je ne ferai plus si vous m’insultez à nouveau) »

cherchez l’erreur…

ou comment passer en 30mn de l’insulteuse à l’insultée indignée.

mais comment osez-vous m’insulter ? moi qui vient juste d’insulter Mr Court ?

Pablo75 dit: à

tous les défauts

Jazzi dit: à

« Tu ne m’as pas, pourtant, dit ce que tu pensais de la photo : »

Cette photo, je l’avais déjà mis en lien, Pablo. Qu’en penser ? Il n’y a qu’à regarder la gueule du toréador pour voir qu’au-delà du cocasse, ça fait terriblement mal par là où ça passe…

Jazzi dit: à

« Dans un monde régi par une future abolition légale du travail, l’homme aura néanmoins une activité, mais dirigée sur le repos et la prière »

Et tu dis que je suis foireux, Delaporte ? De la Bible à Hamon, on passera directement du jour de repos dominical à la semaine entière ? C’est quoi une activité dirigée sur le repos ? Et si on ne croit pas en Dieu, ou qu’on a pas envie de passer son temps libre à prier, on sera dirigé directement vers les travaux forcés ?

hamlet dit: à

et l’autre qui me compare les shows télé et les règlements médiatiques à la Onfray aux polémiques philosophiques du XVIIè.

je vais donc faire comme x :explication et surlignage pour ceux qui ont une cacahuète à la place du cerveau :

la différence entre les polémiques philos du XVIIè et celles d’après l’évènement des nouveaux philosophes c’est la place des « médias » et aussi celles des « autorités intellectuelles ».

qu’ont fait les nouveaux philosophes et Michel Onfray : ils ont court-circuité l’expertise universitaire en passant directement par les médias.

Les matchs de boxes médiatiques à la Onfray ne sont plus organisés autour du savoir, ils sont mis en place par les médias.

Les polémiques sont aujourd’hui uniquement médiatiques, et elles ne profitent pas au savoir (cf bouquins d’Onfray sur Freud, Nietzsche, athéisme etc qui ne sont que des enfonçages de portes ouvertes) elles ne profitent qu’aux médias !

pour mettre en couverture des gros titres du genre « Freud a-t-il menti ? » ou « Psychanalyse : la grande arnaque » ou « le mythe de Jésus enfin dévoilé » etc…

D. dit: à

management interculturel ça promet un truc comme ça, mazette. c’est sur qu’on a besoin de gens comme ça pour faire avancer le monde (rires).

Bloom dit: à

Bloom, vous aviez pourtant l’air enthousiaste après cette présidentielle.

Exact. J’ai même contribué assez substantiellement au financement de la candidature d’EM. Pas pour mener cette politique-là.

christiane dit: à

@ 15 h 09 min
Mon âme se porte très bien loin de vos charlatans quant au mur… regardez le vôtre. L’injure facile qui est votre langue de résistance est lassante (Vous surpassez WGG) et l’image que vous employez est malvenue, absconse. Je n’ai jamais esquissé de dévoilements de ce genre.
Bon, allez votre chemin. Je ne vous lirai plus tout comme je le fais avec votre alter ego.

Clopine dit: à

Christiane, je ne sais que vous répondre. En fait, si, je sais, mais j’ai promis à Jazzi de faire mon possible pour ne pas vous offenser, puisqu’il m’a convaincue que vous n’êtes pas méchante. IL est vrai que la sottise, quand elle est ancrée et contente d’elle-même, n’a pas besoin d’être méchante (en plus) pour agacer les nerfs, mais ces derniers peuvent être maîtrisés, je le reconnais… dont acte. Au fait, « pâté de foie », c’est juste une blague, hein…

Jazzi dit: à

« Pas pour mener cette politique-là. »

Bloom, pourtant Macron n’a jamais caché qu’il mènerait une politique économique libérale. Il ne fait qu’appliquer le programme annoncé. Pourquoi s’en étonner aujourd’hui ? Moi aussi j’ai voté pour lui, mais, sans illusions, et uniquement contre Marine Le Pen ou Mélenchon.

Jazzi dit: à

« il m’a convaincue que vous n’êtes pas méchante »

Parfois, elle peut l’être, clopine, je l’ai constaté à mon détriment…

christiane dit: à

Qui a évoqué le concert d’hier sur Arte ? (Seiji Ozawa dirigeant à Matsumoto la 7e de Beethoven.)
Merci, je viens de l’écouter en différé. Quelle direction d’orchestre ! On sent qu’il est encore affaibli par son hospitalisation récente (il a dirigé l’orchestre assis sur une chaise) mais les gestes des mains, le regard et la fougue restent les mêmes. C’était un beau cadeau, à 1 jour près, esquissant son 83 anniversaire. A 23h55 ce film documentaire était proposé :
https://www.arte.tv/fr/videos/073906-000-A/seiji-ozawa-retour-au-japon/

Jazzi dit: à

« c’est juste une blague, hein… »

ça a même beaucoup fait rire M. Court, en tête de liste !

Jazzi dit: à

« J’ai même contribué assez substantiellement au financement de la candidature d’EM. »

Tu n’as pas eu de retour sur investissement ? Tu briguais le poste à Los Angeles ?

christiane dit: à

@Clopine dit: 3 septembre 2018 à 15 h 44 min
Une blague ? Vraiment… basée sur quels commentaires que j’aurais posés sur ce fil ? Et juste sous le billet précédent votre remarque acide sur mon habitude à m’enthousiasmer de tout et de rien et à écrire n’importe quoi dans tous les sens, c’était aussi une blague ? Je ne le crois pas du tout, Clopine, et sachez que moi, je ne vous trouve pas gentille, plutôt pernicieuse. Alors, évitez de m’évoquer à à dater de ce jour, je ferai de même.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 3 septembre 2018 à 15 h 54 min
Pas moi !
Arrête de lui trouver des excuses pour tout, enlève tes œillères !

Clopine dit: à

Jazzi, c’est que, comme tant de gens qui souffrent si terriblement de frustrations diverses, la couche superficielle d’aménité, de courtoisie et de bienveillance est très très mince. Il suffit de gratter, oh, juste un peu, là où ça fait mal, et hop, la vraie nature arrive à la vitesse d’un cheval au galop. Et la grossièreté originelle, la vulgarité de la pensée et l’étroitesse de la compréhension sautent alors aux yeux, tant le vocabulaire et ce qu’il dévoile est accablant. Mais ce n’est pas la « faute » (faudrait déjà définir ce que c’est !) de la personne en question. C’est juste la conséquence des frustrations diverses, en fait. Et aucun d’entre nous, je veux dire chez les commentateurs qui viennent ici soit pour s’encanailler, soit pour trouver des oreilles à leur écoute, ce qu’ils n’ont guère ailleurs, sont un peu dans le même cas. Moi, en tout cas, c’est la frustration que j’éprouve dans ma vie quotidienne, où la littérature, autour de moi, tient si peu de place que je n’ai personne avec qui en parler véritablement, qui m’amène ici. Mais Christiane, c’est bien autre chose, et j’arrête là pour ne pas trop en dire…

Clopine dit: à

lire plutôt « et aucun d’entre nous n’échappent à ce constat » !!!

Clopine dit: à

voire même, sans faute « et aucun d’entre nous n’échappe à ce constat ».

Soupir. J’ai dit mille et une fois qu’il faudrait me relire avant de cliquer…

Pablo75 dit: à

« votre remarque acide sur mon habitude à m’enthousiasmer de tout et de rien et à écrire n’importe quoi dans tous les sens, c’était aussi une blague ?  »
christiane @ Clopine

Non, ça c’est une vérité aussi incontestable que l’existence du soleil.

Petit Rappel dit: à

« l’érudit de Province qui traine dans des villes improbables ».
C’est vrai, selon vous , que Paris, Tübingen, Marseille, Oxford, Phoenix, Québec, Londres, Montréal, Orlando, Lyon sont des villes improbables. Douarnenez aussi.
Conséquence: C’est vrai que pour y parler, il faut indubitablement traiter de textes qui n’intéressent personne, les érudits rassemblés étant de grands masochistes…
Il est donc vrai que des thèmes comme César, Corneille, les Habitus de Sainteté, ou le Libertinage Erudit, l’Histoire du Livre à travers une bibliothèque, le Magnétisme et le Spiritisme pour ne citer qu’eux, n’intéressent personne. Enfin il serait peut-être plus exact de dire qu’ils ne vous intéressent pas.
Puis-je vous rafraichir la mémoire? Le premier opus de François Brune est paru en un temps ou n’existait pas Amazon.
Puis-je vous ouvrir des horizons? Tout le dix-neuvième siècle est rempli de François Brunes justement oubliés, de défunts se manifestant par guérisons interposés, de miracles spirites bien peu solides. Le moins oublié d’entre eux s’appelle Allan Kardec. Pour quelqu’un qui invoque Jean Prieur, il semble que vous ne tiriez guère profit de son Europe des Médiums. Empathique, mais pas toujours dénué de sens critique.
Le kouglof mystique de la fin dépasse le mur du çon, du moins selon mes faibles possibilités
On ignorait en effet jusqu’à vous, Pablissimo, que Louis Claude de Saint Martin disait la même chose que Sainte Thérèse d’Avila qui l’avait entendu des mystiques hindous, à moins que ce ne soit de St Jean de la Croix, lesquels l’avaient obligeamment transmis à Maitre Eckart via Ruysbroeck qui en a fait profiter Silésius jusqu’à atteindre via Swedenborg ces Lettres de Pierre dont les tomes alignent pour moi un désespérant ennui.
Mais au fait « dire la même chose », c’est quoi?
Me revient en tête ce mot d’un sage: « Le désir de voir quelqu’un qui revient de l’Autre Monde est ,ou impie, ou indiscret ».Et
Perrault n’était pas ce que j’appellerai un matérialiste!
MC
PS
Ce n’est pas parce que vous avez lu les pamphlétaires que vous citez que vous vous hissez obligatoirement à leur taille lorsque vous éructez contre untel. Meme si Bloy, lui-même, avait ses jours.

Delaporte dit: à

« Et si on ne croit pas en Dieu, ou qu’on a pas envie de passer son temps libre à prier, on sera dirigé directement vers les travaux forcés ? »

D’ici mille ans, l’humanité va encore beaucoup changer. Une révolution s’opérera dans les esprits, conséquence de l’abolition légale du travail. On verra les choses différemment. Des phénomènes comme vous, Jacuzzi, il n’y en aura plus. D’ailleurs, une petite question personnelle : comme pour les vierges, je me demande comment vous faites pour vous reproduire, Jacuzzi ?

Petit Rappel dit: à

guérisons interposées

Petit Rappel dit: à

« sa haine contre Clopine »
Ed, veuillez consulter mon post de 1h 18 ou je la remercie sans ironie aucune de m’avoir fait rire. Merci.

christiane dit: à

@Clopine dit: 3 septembre 2018 à 16 h 03 min
Vous parlez de vous, Clopine ? C’est un autoportrait très juste, criant de vérité. N’étant pas votre clone, je m’en écarte prestement.

christiane dit: à

Clopine – 16h03
« Et la grossièreté originelle, la vulgarité de la pensée » (Vous vous citez encore ?

Clopine dit: 2 septembre 2018 à 9 h 50 min
La musique est ineffable, dit Jankelevitch. Spécialement « tiens voilà du boudin », interprété par l’orchestre de la légion étrangère.
https://youtu.be/R4_yMCRQCG8
Ah oui, c’était une blague… Elle est, comment dire… raffinée !

christiane dit: à

Qui a évoqué le concert d’hier sur Arte ? (Seiji Ozawa dirigeant à Matsumoto la 7e de Beethoven.)
Ah, j’ai retrouvé. Merci, Closer.

christiane dit: à

@Petit Rappel dit: 3 septembre 2018 à 16 h 15 min
Bien dit !

christiane dit: à

@Lucien Bergeret dit: 3 septembre 2018 à 14 h 41 min
Franchement, WGG (hors ses insultes et son machisme) était éblouissant dans ses jugements littéraires. Moi, je le regrette, vraiment.

D. dit: à

Delaporte, se reproduire n’est pas un commandement.
Le commandement est de faire du fruit. C’est totalement différent.

Bloom dit: à

Tu briguais le poste à Los Angeles ?

Mieux que ça.

christiane dit: à

@Claudio Bahia dit: 3 septembre 2018 à 11 h 39 min
Merci pour l’article. Oui, c’est tragique encore un peu de mémoire de l’humanité qui disparaît.

D. dit: à

Par analogie avec la vigne, les sarments secs sont ramassés et jetés au feu contrairement au fruit de la vigne. Ceci est dans les Évangiles.
Faire du fruit ou être fécond, à sa façon et avec les dons de Dieu. Chacun selon les dons de Dieu.
Cette fécondité est évidente chez Jazzi, du moins pour moi. Il n’en est pas toujours persuadé et il a tort. Il utilise son talent et le met au profit des autres. Et aussi à son propre profit parce qu’il doit vivre substantiellement comme nous le ce devons tous.
Ce qui pourrait lui être reproché c’est le manque de foi.

x dit: à

ed, ce n’était pas une insulte, c’était un étonnement indigné : une attitude qui clame « ça me suffit, j’ai fini d’apprendre » ne cadre pas avec ce que l’on attend de quelqu’un 1) de relativement jeune et 2) qui nous a parlé de sa khâgne, de ses études littéraires (au point de complexer Bételgeuse si je me souviens bien).
Nous avons un point commun : à peu près tout à apprendre de la littérature espagnole. Le reconnaître comme vous le faîtes est au contraire un signe d’ouverture d’esprit, cela rééquilibre un peu l’image que vous donnez de vous.
En revanche, votre hostilité envers un commentateur vous aveugle ; votre réponse aussi est curieuse : le monde ne tourne pas autour de nous, les gens qui parlent de ce qu’ils connaissent (et que nous ne connaissons pas ou peu) en usant à l’occasion d’un vocabulaire spécifique ne le font pas rien que pour nous embêter mais par habitude de métier ou goût de la précision (voyez les termes juridiques par exemple).
Il faudrait quand même pouvoir faire la part des choses entre le savoir, les connaissances d’un intervenant et ce que l’on n’apprécie pas dans son comportement et arriver à penser que celui que l’on n’apprécie pas n’est pas pour autant un imbécile. Ce qui implique d’accepter que l’on ne sait pas tout.
J’ai déjà dit que traiter Wgg d’ « ignare » était grotesque. Dans un autre genre, je redis que les nouvelles de Clopine sont excellentes et son engagement écologique pratique ET pédagogique tout à fait digne d’intérêt. Jazzi connaît Paris cent fois mieux que moi, etc.

D. dit: à

Je pense qu’une personne comme Macron doit au contraire être considéré comme un sarment sec qui ne porte aucun fruit. Non pas donc parce que son couple ne donne pas d’enfant. Oh que non. Mais parce que placé au plus haut sommet de l’état et élu légalement par le peuple, il est incapable de les conduire à la prospérité.

Lavande dit: à

J’ai gardé samedi les deux petits-fils de ma voisine, qui les avait en vacances pour la semaine et qui était obligée de s’absenter une journée.
Le plus grand (10 ans) m’a raconté sa vie en long, en large et en détails et à propos de problèmes survenus à l’école, il m’a dit cette phrase que j’ai trouvée merveilleuse:
 » Heureusement que papa et maman m’ont appris à être poli… parce que je ne sais pas ce que je lui aurais dit ! »
Prenez-en de la graine !

Pablo75 dit: à

@ Petit Rappel

Que sont tes thèmes d’étude ridicules, tes branlettes intellectuelles dont personne se soucie déjà aujourd’hui et qu’après ta mort tomberont dans un oublie définitif, à côté de l’Ésotérisme, qui a intéressé et intéresse des centaines de millions de gens partout dans le monde (tous des crétins, bien sûr, à côté de ton intelligence colossal de fonctionnaire de l’inutile), après avoir traversé des millénaires et des civilisations et avoir été pratiqué par la plupart des grands esprits qu’ont vécu sur cette planète?

Toi tu n’es qu’une tache de rouille sur une vieille vis de l’immense machine qui mène le monde et qui seul l’Ésotérisme arrive en partie à décoder.

Et tu connais la mystique comme moi les polynômes cyclotomiques de l’algèbre commutative, mon pote.

Être encore plus grotesque que pédant, aura été le seul exploit de ta vie inutile.

D. dit: à

Pas pour mener cette politique-là.


c’est très honnête de votre part d’admettre, Bloom, que vous vous êtes fait d’une certaine façon, comment dirais-je, emmarchouiller.

Clopine dit: à

Non, là ce n’en était pas une. Juste un contre-exemple, histoire de calmer un peu la ferveur de ceux qui ont tendance à parer de qualités « divines » ce qui reste avant tout une création humaine, et en tant que telle tributaire de la civilisation où elle naît, du degré de technologie dont elle a besoin, voire des sentiments collectifs qu’elle exprime,même à travers la voix solitaire d’un créateur (je pense à Schubert et au romantisme – courant artistique s’exprimant au travers de tant d’artistes, et sous tant de formes, en disant cela).

Je n’ai pas lu Jankélévitch d’assez près pour affirmer comprendre bien sa pensée. Mais par contre, tous ceux qui se gargarisent avec « l »ineffable » de la musique ne parlent pas de « tiens voilà du boudin », ça, j’en suis sûre, et auraient tout naturellement tendance à l’oublier. Or, « tiens, voilà du boudin » est bien entendu une oeuvre musicale tout aussi représentative de l’expression humaine qu’une cantate de Bach. Il faudrait donc employer avec une prudence mesurée le qualificatif « ineffable », ou au moins le circonscrire dans sa pensée… Je me méfie de l’emphase, quand elle vise à dissimuler une pensée religieuse. Je ne dis pas que c’est ce que Jankélévitch fait, encore une fois, je ne suis pas assez avancée pour ça. Je dis juste (et mon exemple n’était certes pas mauvais !) que la musique est une création humaine, à mon sens. Humaine. Donc diverse à l’extrême, changeante, civilisée et échappant à l’essentialisme… Mais évidemment, les sots préféreront toujours le gargarisme rassurant de l’enthousiasme déplacé – parce qu’en vrai, ils ne sont pas outillés pour comprendre l’humour, quand on tente de l’utiliser comme outil de déboulonnage !

Clopine dit: à

merci, X. Au fait, Jazzi, j’ai écouté ton avis, en ai recueilli d’autres, me suis concertée avec Clopin et… Nous refaisons la bande-annonce ! J’espère que tu voudrais bien continuer à me donner ton avis sincère !!!

D. dit: à

Je ne comprends pas pourquoi vous dite qu’Ed est ma tête de turc. Il y a des choses positives chez Ed et d’autres moins. Comment se réjouir d’une spécialisation le « management interculturel ». J’ai même d’abord cru à une blague d’ailleurs. Mais non. Les personnes qui arrivent à se stade sont convaincues de l’importance de tout cela. On en a pas entendu parler pendant 10000 ans et plus et d’un seul coup hop, elles nous pondent le management interculturel et la chaire qui va avec et tout et tout.

Pablo75 dit: à

@ Clopine

« Or, « tiens, voilà du boudin » est bien entendu une oeuvre musicale tout aussi représentative de l’expression humaine qu’une cantate de Bach. Il faudrait donc employer avec une prudence mesurée le qualificatif « ineffable ». »

Tu as d’autant plus raison que beaucoup de compositeurs classiques ont introduit dans leurs oeuvres des thèmes populaires comme « Tiens, voilà du boudin » ou on fait des variations sur eux.

Par exemple Mozart avec ses « Variations sur Ah, vous dirais-je, maman » K.265, ici par Gieseking

https://www.youtube.com/watch?v=RcXO1_1DpYQ

Pablo75 dit: à

… ou ont fait des variations…

Delaporte dit: à

« Comment se réjouir d’une spécialisation le « management interculturel ». »

C’est pour remplir de vent la tête des gens. Pour les empêcher de réfléchir, d’avoir des idées. C’est pour qu’ils soient incapables de faire des analyses sérieuses. Ed nous démontre qu’elle a bien appris cette leçon de décervelage intégral. Mais ceci étant, Ed a d’autres qualités. Par exemple, c’est une vraie tête de cochon. Elle est butée comme personne. Pour être gentil on pourrait que c’est de la volonté, à la rigueur, mais les conséquences sont désastreuses sur le plan intellectuel et de sa cervelle (toujours idem).

Pablo75 dit: à

« La Folia est l’un des plus anciens thèmes musicaux européens. Depuis plus de trois siècles, plus de 150 compositeurs l’ont utilisé dans leurs œuvres. Les premières publications de ce thème datent du milieu du XVIIe siècle mais il est probablement bien plus ancien encore (chanson de berger Rodrigo Martinez du Cancionero de Palacio, XVe siècle). »

https://www.youtube.com/watch?v=DDinH4xxdks

Clopine dit: à

Oui, Pablo 75, merci pour les extraits extrêmement éclairants !

Perso j’essaie d’être la plus éclectique dans mes écoutes, d’élargir un maximum quoi : et surtout, surtout, je ne me refuse aucune musique « sacrée ». Le minimalisme mystique de Reich, par exemple… C’est bien trop beau pour le laisser aux seuls croyants, et la mécréante que je suis goûte avec autant de ferveur, de plaisir et d’exaltation un Requiem que la plus fébrile grenouille de bénitier. Point besoin de dieu pour la musique. La vibration de l’air suffit !!!

Clopine dit: à

d’ailleurs, en lisant « Vies de Job » de notre hôte, j’écoutais Reich. Et, comment dire ? Ca allait plutôt pas mal ensemble !!!

D. dit: à

Delaporte dit: 3 septembre 2018 à 17 h 36 min

Mais oui, Ed a des qualités. Je l’aime bien moi Ed, et d’ailleurs j’aime bien tout le monde, même Clopine qui pourtant m’énerve terriblement.
Mais Clopine aussi a des qualités qu’on ne peut nier.
Même Pierre Assouline qui peut m’énerver des fois et bien je reconnais qu’il parle bien quand on l’interviewe et qu’il sait distraire une assemblée en usant d’humour. Eh oui.

et alii dit: à

. L’écriture syllabique qui transcrit le dialecte local est inscrite depuis 2006 au patrimoine immatériel du pays. Particularité originale : elle n’est maîtrisée et transmise uniquement par des femmes. Le magazine en ligne chinois Sixth Tone a rencontré les dernières dépositaires de cette écriture, dont on ne connaît pas la date de création. Aujourd’hui, pour les autorités locales, l’enjeu est de la préserver pour attirer les touristes. Un musée a été ouvert,
https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/patrimoine/a-la-rencontre-des-dernieres-gardiennes-d-une-ecriture-chinoise_127140#xtor=EPR-1-%5BSEAActu17h%5D-20180903

Ed dit: à

Désolée Monsieur Court, j’ai vraiment pris votre remarque à l’égard de Clopine pour de l’ironie. Contente de voir que vous êtes capable de rendre à César ce qui est à César et que vous n’avez pas d’inimitiés anciennes et absolues.

Ed dit: à

« Je l’aime bien moi Ed »

Qu’est-ce que cela aurait été s’il ne m’aimait pas !

christiane dit: à

@Clopine dit: 3 septembre 2018 à 16 h 58 min
Vous ne craignez pas le ridicule…
J’attends toujours – car vous savez détourner la conversation – que vous citiez les commentaires où vous m’avez jugée vulgaire. Alors où sur ce fil ou sur le précédent ? (Par contre si vous cherchez de la vulgarité ouvrez donc ceux de Pa. et Cha..)
Deuxièmement, vous tentez toujours de me faire passer pour quelqu’un d’une religiosité dégoulinante, prosélyte. Où ? et quand ?
En 10 ans de cohabitation sur ce blog, je n’ai pas lu de vous un seul jugement positif à mon égard. A l’inverse il y a de nombreux commentaires où je soulignais le charme d’un de vos textes ou l’esprit d’une de vos remarques.
Je pense, Clopine, que vous avez bien du mal à étouffer en vous une antipathie( le mot est faible) à mon égard et qu’au lieu de m’oublier, de ne pas lire mes commentaires, vous aimez glisser des remarques désobligeantes à mon égard. Tout vous est prétexte à persifler.
Là, l’occasion était trop belle. Cha. avait lancé l’offensive, suivi de près par Pa. Il fallait que vous ne restiez pas dans la marge. Et ne me parlez pas de vos promesses à Jazzi et de vos efforts pour être aimable. C’est absolument inconcevable de votre part.
Alors, CUT, Clopine.
Et lisez donc Jankélévitch pour nous servir une critique un peu plus solide.
Hamlet a parfaitement décrypté votre lien ambigu avec Jazzi… Relisez ses commentaires et réfléchissez à ce que vous êtes, vraiment… loin de toutes ces tentatives pour vous justifier.

D. dit: à

Par ailleurs je jure sur ma propre tête que Delaporte et moi-même sommes des êtres distincts. Cela devrait vous suffire. Normalement.

hamlet dit: à

« Pablo75 dit: 3 septembre 2018 à 16 h 53 min

@ Petit Rappel

Être encore plus grotesque que pédant, aura été le seul exploit de ta vie inutile. »

hallucinant !

c’est quoi ton objectif Pablo ?

de faire fuir de blog tous ceux qui font de l’ombre à ta pseudo érudition ?

dès que tu aperçois une personne qui en sait plus long que toi tu le prends comme une agression personnelle ?

et tu as réussi à en faire fuir pas mal !

dans quel but ?

c’est quoi ton problème Pablo ?

un problème de reconnaissance ?

tu veux juste te retrouver seul sur ce blog ?

en compagnie de quelques personnes qui seraient à tes pieds à t’écouter faire l’inventaire de tes saintes lectures et de tes saints visionnage de vidéos sur youtube ?

pour en faire le royaume de ton saint savoir ?

sérieux Pablo tu te prends pour qui ?

on en aura vu passer ici des tarés qui en tiennent une couche, mais là tu mérites la médaille d’or.

et alii dit: à

Le Codex Grolier est désormais le plus vieux manuscrit d’Amérique
Ce document maya est le plus ancien manuscrit du continent américain. Son authenticité vient d’être définitivement ratifiée par la direction de l’Institut national d’histoire et d’anthropologie (INAH) de Mexico (Mexique).

Clopine dit: à

Christiane, vous avez raison sur un point : vous n’êtes pas précisément « prosélyte », et vous avez tort, car je ne vous ai jamais accusée de cela.

Pour le reste…

Soupir.

et alii dit: à

. Le Codex Grolier a été peint en noir avec juste quelques détails colorés à l’hématite rouge et au  » bleu maya  » (pigment). Il était destiné au suivi des mouvements de la planète Vénus, l’objet céleste le plus brillant dans le ciel après le soleil et la lune.

Pablo75 dit: à

@ Hamlet ex Puck-Puck l’Homelette, alias « Et même si je suis le seul à le penser je suis sûr d’avoir raison. »

« c’est quoi ton objectif Pablo ? »

Quand un c.on émet une hypothèse, c’est toujours la contraire la bonne. C’est Gracián qui le dit: écoutez les imbé.ciles pour savoir où ne pas chercher la vérité.

Tu en as pas marre de recevoir des baffes? Tu ne peux arrêter de me chercher? Tu ne peux pas m’oublier un peu? Tu es si maso que ça?

Arrête de me lire !! J’en ai ras-le-bol de perdre mon temps avec un âne aussi non-comprenant et têtu que toi.

Oublie-moi, pu.tain !

OUBLIE-MOI !!!!!!!

Chaloux dit: à

Ach! Pablo, tu avais déjà donné le lien!

Pablo75 dit: à

J’ai connu il y a longtemps des forums où on pouvait choisir de ne pas faire apparaître les commentaires de certaines personnes, au choix.

Ce serait formidable si on pouvait avoir la même chose ici.

Quelle paix on aurait !

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

Pas grave. C’est si beau, si entrainant, qu’il faudrait le mettre tous les jours…

Chaloux dit: à

rappelons à Cricri qu’on peut être extrêmement grossier sans être vulgaire. Une personne bien connue me l’avait expliqué autrefois. Et qu’au contraire, sans jamais paraître grossier, on peut tomber sans s’en apercevoir dans une vulgarité sans nom, ainsi qu’elle excelle à le démontrer si souvent.

hamlet dit: à

non Pablo je ne veux pas t’oublier.

parce qu’il y a des gens que j’aime bien qui ne veulent plus revenir ici à cause de toi, alors je ne vais pas t’oublier !

parce que tu fais un complexe d’infériorité dès que quelqu’un en sait plus que toi tu dis que sa vie est inutile ?

tu sais qui disait ça avant toi ? les nazis !

voilà ce que tu es Pablo, un putain de fasciste !

et moi les nazis je ne peux pas les oublier !

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

« rappelons à Cricri qu’on peut être extrêmement grossier sans être vulgaire.2

Il suffit de lire la Correspondance de Mozart ou celle de Flaubert pour s’en apercevoir.

Pablo75 dit: à

@ Hamlet ex Puck-Puck l’Homelette, alias « Et même si je suis le seul à le penser je suis sûr d’avoir raison. »

Et en plus tu es antisémite?

Tu confonds les crimes des nazis avec le fait de dire à un intéllo qu’il a passé sa vie à faire une oeuvre inutile?

Tu confonds le fait de devoir aller se faire gazer nu à coup de crosses avec le fait de choisir volontairement d’être un rat de bibliothèque inutile?

Mais tu es un MONSTRE !!

@ Passou

Vous laissez des pourritures pareilles venir empuantir ce blog?

Chaloux dit: à

La folia, et… la Romanesca.

Ici, dans la transcription par Liszt de l’étude de Fernando Sor, sur un petit piano très moyen, mais avec un jeune pianiste particulièrement musicien.
Vous remarquerez la belle main gauche de ce pianiste. Liszt -ou du moins la partition- autorise les paresseux à jouer à deux mains le passage pour la main gauche seule, mais la musique perd alors tout son sel. Un mystère.

https://www.youtube.com/watch?v=euLhb4NP-RI

Jazzi dit: à

« Heureusement que papa et maman m’ont appris à être poli… parce que je ne sais pas ce que je lui aurais dit ! »

Celle-là, il faudrait la graver à l’entrée de la RDL, Lavande ! Passou, vous ne pourriez pas la mettre dans le bandeau, en haut ?

hamlet dit: à

non Pablo, pas la peine, passou est historien : il a compris ce que j’ai voulu dire !

l’autodafé Pablo !

c’est ce que représente pour toi Court ? un savoir universitaire que tu n’as pas ?

c’est pour ça que tu le traite de « rat » ?

comme les nazis traites les juifs de « rats » ?

n’essaie pas de trouver des issues, tes réactions face à la véritable érudition sont évidentes.

c’est pour ça que tu veux effacer de cette terre Court, x, Paul Edel etc…

juste parce que tu es un putain de nazi Pablo !

l’analogie est trop évidente ! comment la refuser ? c’est évident Pablo, tu te comportes exactement comme eux : la brutalité, l’insulte, la violence !

tu ne peux pas le nier ?

donc tu es un véritable fasciste !

voilà ce que tu es Pablo, pas la peine de tourner autour du pot, même si personne ne te l’a dit avant moi, c’est ta triste Vérité !

et ta pseudo érudition, tes élans sentimentaux pour Beethoven etc.. ne sont là que pour dissimuler ce fascisme.

en fait tu ne t’en sors pas si bien, il n’est pas difficile à repérer, il suffit de gratter un peu la surface et il apparait clairement !

Delaporte dit: à

« Si j’étais un plat cuisiné, je serais une blanquette de veau » Macron

C’est vrai qu’une bonne blanquette, c’est bon. Mais c’est très rare à dénicher. Il y a une sorte de mystère de la blanquette de veau, à la fois simple et extrêmement compliquée. Même chez Lipp, leur blanquette de veau n’est pas inoubliable. Le plat demande un long temps de préparation, les professionnels à cheval sur le rendement ne peuvent plus se le permettre. Si on me demandait aujourd’hui où manger de la bonne blanquette de veau, je ne saurais pas répondre… Alors, peut-être à l’Elysée. Espérons-le.

Jazzi dit: à

Tu n’auras qu’à mettre la nouvelle version de la bande-annonce ici, Clopine. J’ai trouvé les réactions et avis des erdéliens étonnamment sobres et constructifs, la dernière fois…
(Il faudrait que ce soit aussi palpitant que la bande-annonce d’un film catastrophe, genre : la disparition soudaine des abeilles et celle annoncée des humains, mais, in extremis, heureusement que Clopine et le syndicat des apiculteurs locaux étaient là. Happy end !)

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