de Pierre Assouline

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La République des livres
C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !

C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !

Ce Bonaparte (854 pages, 30 euros, Gallimard) est l’histoire, riche en détails et intuitions, d’un homme pressé, impatient, sûr de lui. Pas la première du genre, observera-t-on ; il est vrai que la bibliographie napoléonienne est des plus fournies. Quel écrivain n’a pas donné sa vision du personnage ! A croire que ce fut un genre en soi, une figure imposée : Chateaubriand, Stendhal, Bloy, Suarès, Cabanis, Malraux. Pour ne rien dire des historiens, dont c’est le rayon. Alors, n’en jetez plus ? Pas si sûr. Car Patrice Gueniffey, ancien assistant de François Furet devenu lui-même un spécialiste de la  Révolution, ne s’est pas contenté de tout lire sur le sujet et de nous en offrir une brillante synthèse ; pratiquant l’admiration critique, il a le don du pas de côté et du regard en biais. De telles qualités ne sont pas de trop lorsqu’on s’attaque à un tel monument, si visité qu’il en devient un lieu commun, si caricaturé qu’il donne l’impression d’avoir lui-même créé son poncif.

L’auteur, professeur à l’Ecole des Hautes études en sciences sociales, ne va pas se faire des amis parmi ses amis, bien que des piliers de la revue des Annales aient depuis des années déjà fait un pas vers la biographie, genre longtemps méprisé. Jugez-en par cette déclaration au site Napoleon.org :

“Bonaparte est le vivant démenti de la conception « démocratique » de l’histoire. Il est la preuve parfaite, achevée, que parfois, l’histoire est l’oeuvre d’un individu et non une oeuvre collective. L’histoire n’est pas que le fait des peuples. Elle peut parfois être le fait d’un grand homme, d’une volonté supérieure, pour peu que les circonstances s’y prêtent.”280px-Jacques-Louis_David_011

Il serait vain de dresser ici l’inventaire de ce que ces pages exposent en détail. Ce Bonaparte contient tout ce qu’il est possible et utile de savoir factuellement du héros avant qu’il ne se mue en anti-héros, du moins aux yeux de certains. Où est sa « valeur ajoutée » comme diraient les comptables de Clio ? Outre le rapport robespierriste à la Révolution, mais gouverné par la conviction et non par l’opportunisme, fil rouge parfaitement tenu de bout en bout par le narrateur, elle est probablement dans la passionnante exploration de ce que son âme avait de profondément corse : le tempérament insulaire, le sens du clan sans oublier le particularisme ajaccien, une île dans l’île, qui le faisait se sentir plus proche des Italiens que de ses compatriotes montagnards., ce qui n’empêche pas l’auteur d’insister sur la « naturalisation française » de son personnage, loin du cortège de mythes attaché à la figure de Paoli. La « valeur ajoutée » est enfin dans la réflexion de Patrice Guennifey sur l’art de la biographie. Elle court tout le long du livre mais se condense avec éclat dans une préface qui tient lieu de discours de la méthode.

 « Il rendit l’espèce humaine anonyme en accaparant la célébrité à lui seul » écrivait Mme de Staël qui exagérait à peine en des temps où tout le monde n’avait pas son quart d’heure de gloire. Autoritaire, pragmatique, réaliste, despote éclairé, c’est un modéré mais qui fonde son pouvoir sur la force. Dès le Consulat, où la société est « façonnée à l’obéissance passive », Napoléon perce sous Bonaparte. Pour autant, Patrice Gueniffey se défend d’adhérer aux interprétations libérales qui, de Taine à Bainville, associent l’esprit d’aventure à la nécessité d’un homme aux prises avec la fatalité.

L’auteur est, heureusement, moins pressé que son héros ; il prend le temps de raconter. Car Bonaparte, lui, traverse son histoire en météore : siège de Toulon, campagne d’Italie, victoires de Rivoli et de Lodi, expédition d’Egypte, destruction de la flotte à Aboukir et la geste du Premier consul tout à ses réformes de l’Etat, sa plus belle mais plus discrète victoire, le Concordat et le Code civil étant moins spectaculaires, mais tellement plus durables, que de hauts faits d’armes immortalisés par des peintres de batailles.

Une biographie se juge d’abord à son plan. Y surgissent les moments de rupture. On devine les partis pris d’un biographe aux césures qu’il opère dans une vie. Patrice Gueniffey s’engage et se dévoile dès lors en choisissant d’interrompre ce premier volume en 1802 avec la proclamation du consulat à vie et non comme tant d’autres en 1799 avec le coup d’Etat du 18 brumaire. Manière de prendre d’emblée sa place dans l’éternel débat et d’annoncer qu’à ses yeux, loin d’enterrer la Révolution, Bonaparte l’a continuée, perfectionnée et achevée. On peut d’ailleurs lire son récit en filigrane comme une réponse à la question : comment sortir au mieux d’une Révolution ?

Déjà plusieurs fois lauré, ce grand livre force l’admiration car l’auteur, historien déjà consacré, s’y révèle également un authentique écrivain et un styliste (ici des extraits), espèce rare dans la catégorie. Par ses milliers de notes, sa bibliographie actualisée, son index des noms, il s’impose déjà comme l’ouvrage de référence sur le sujet. Il ne sera pas facile à détrôner. Pour la suite, on verra car son Napoléon sera, on s’en doute, attendu au tournant.

(« Ebauches », 1797, et « Portrait inachevé », 1798 de Jacques-Louis David)

Cette entrée a été publiée dans Histoire.

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commentaires

1 405 Réponses pour C’est confirmé : Napoléon perçait déjà sous Bonaparte !

rose dit: à

Avec ris talmater je n’ai aucune patience.
Sachez-le.

rose dit: à

Donc quand Napoléon fut déchu puis pour la seconde fois exilé à l’île d’Elbe, il était et proche de chez lui, et proche d’une terre qu’il aimait et sur une île ce qui est pour un insulaire le retour à la maison.

rose dit: à

étau n’est pas un mot que j’emploie.
Jamais même.
Comme nonchalance je ne l’emploie pas non plus.

rose dit: à

Voilà j’ai passé la barre des 200 puisque nous en sommes à 203. Je vous passe le quart de nuit. Pour ma part je rejoins la couchette du capitaine, nommée le cercueil, et je vous fais confiance.
J’ai les cartes marines, ai fait le point au sextant à midi, nous naviguons vers l’est. Pas de souci, la nuit sera étoilée ; froid et sec.

Il reste des lentilles, faites les chauffer ce sera meilleur.
Gaffe aux porte-containers.

rose dit: à

ris talmater ce doit être dudu.

ris talmater dit: à

sous l’influence d’une rencontre avec un conservateur lauré( historien du droit qui avait des soucis animaux) voici une piste nouvelle
« La Marche de l’empereur est un film documentaire français réalisé en 2004 par Luc Jacquet et sorti en 2005.
Premier long métrage cinématographique de Luc Jacquet, ce film a connu un grand succès mondial et obtenu de nombreuses distinctions dont l’Oscar du meilleur film documentaire en 2006. Tourné en Antarctique, La Marche de l’empereur traite des manchots empereurs (Aptenodytes forsteri) et de leur mode de reproduction.

ris talmater dit: à

pour les curieux, conservateur qui a fait sa carrière aux archives et qui me dit qu’il était déçu des humains : il cherchait consolation,( et je lui ai suggéré de p

ris talmater dit: à

je lui ai suggéré de passer par la RDL sait-on jamais : j’ai aussi compris que c’était un grand chrétien !(il ne le cachait pas )

ris talmater dit: à

e relis les entretiens de F.Bacon avec Archimbaud : pas de gras! et Bacon s’y connaissait en portraits, dessins, peintures et papes !il propose une m

ris talmater dit: à

e relis les entretiens de F.Bacon avec Archimbaud : pas de gras! et Bacon s’y connaissait en portraits, dessins, peintures et papes !il propose une manière de commenter et se questionner qui me convient très bien : rien à voir avec l’école !

ris talmater dit: à

hier, j’ai relu une nouvelle de H.James en traduction,qui relate des rencontres et manoeuvres en vue de confrontation de personnages : comme si James avait tiré le portrait de P.Assouline et de ses commentateurs par anticipation

ris talmater dit: à

Dany Laferrière élu à l’Académie française

ris talmater dit: à

wallace :
il s’est suicidé par pendaison le 12 septembre 2008 à l’âge de 46 ans

ris talmater dit: à

et dire que P.Assouline présente la RdL comme une famille
« Quand vient l’heure d’ouvrir les placards, pas sûr que la famille fasse partie de ceux qui se réjouissent : celle de Norman Rockwell conteste en tout cas fermement l’interprétation de Deborah Solomon, à l’origine de la dernière biographie en date du peintre. Celle-ci souligne la récurrence des figures masculines dans ses oeuvres, comme une manifestation d’une homosexualité refoulée, ou du moins soigneusement réprimée.

des journées entières dans les arbres dit: à

Ris Talmater, de votre musique des sphères, il ne me parvient plus que des bribes.

Dans le doute,-celui de ne rien comprendre- je mise un nap’ pour faire avancer la marche de l’empereur.

« Le 28 mars 1803 est créée par le premier consul Napoléon Bonaparte le Napoléon, pièce de monnaie de 20 francs contenant 5,801g d’or pur. Cette monnaie caractérisée par le profil de Napoléon a la même valeur que le Louis. La monnaie resta en usage jusqu’à la Première Guerre Mondiale et le nom de Napoléon par extension s’applique à toutes les pièces en or de 20 francs. La valeur de cette monnaie est cotée à la Bourse de Paris. »

http://www.lesfrancs.com/monnaie_france.html

des journées entières dans les arbres dit: à

ris talmater dit: 12 décembre 2013 à 16 h 54 min

Sans même imaginer le titre de cette nouvelle de H. James, je sais que Vous êtes trop dur, là.
Pour tous ceux qui sont passés ici.
Et qui ne repasseront plus.

ris talmater dit: à

passionnant quand Bacon dit qu’il ne comprend pas
ou encore qu’il n’aime pas (par exemple la Joconde qu’il trouve ennuyeuse)
e na sais pas ce qu’estl’intelligence selon Bacon, ni selon P.Assouline, ni selon ses compentateurd (cela ne me parle guère ces apostrophes toutenpsys à « commenter »
donc bonsoir
« http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://medias.expertissim.com/objet/2009/12/07/2251109/2251109-2cognac-napoleon-2n.jpg&imgrefurl=http://www.expertissim.com/spiritueux/bouteille-de-cognac-ae-dor-reserve-n4-napoleon-iii-empereur-1858-o12133831.html&h=1500&w=1500&sz=2065&tbnid=dKPWDuIt_lm_2M:&tbnh=90&tbnw=90&zoom=1&usg=__ysYsLXL034zEjgdEeqRIWStDHw0=&docid=PKPzidrG4Ar05M&sa=X&ei=MgSqUtX-L6am0AWJuIHICg&ved=0CEcQ9QEwBA&dur=3775

des journées entières dans les arbres dit: à

J’ai décodé quelques bribes :
« La relation entre la marque Courvoisier et Napoléon fut exploitée pour en faire un réel argument publicitaire, et en 1950 ils lancent la bouteille Joséphine qui eut un véritable succès et qui est désormais très connue et appréciée dans le monde entier. De nos jours, Courvoisier appartient à Jim Beam Global, l’un des plus grands négociants en spiritueux au monde. Cependant, Courvoisier garde toujours la même qualité et les mêmes principes de fabrication qu’il y a 200 ans. »

et on poursuit en chanson:

« J´entendons ronfler l´canon
Y g´na plus à s´en dédire
On couronne Napoléon
Empereur de ce bel empire :
Ça nous promet pour l´avenir
Ben du bonheur et du plaisir;

Sur le décret du Sénat,
La France s´est prononcée;
C´est comme si l´conseil d´État
Avait d´viné not´ pensée,
Car depuis quatre ans, dans notre cœur,
Napoléon est l´empereur.

Je prenons la liberté
De v´nir sans cérémonie,
Pour trinquer à sa santé
Sans oublier sa tendre amie,
Dont il doit être ben jaloux,
Car tout l´monde l´aime autant que nous.

Mais s´il faut nous en taper
À l´av´nant qu´il est grand homme,
Je n´trouv´rons pas d´quoi lamper,
Car y gn´a pas assez d´rogomme
Dans la France, ni dans l´pays
Que sa valeur nous a conquis »

ris talmater dit: à

sur Joyce Carol Oates
P.Assouline, fourbisseur inégalé de diagnostics psychiatriques par anticipation : un site en ligne est annoncé sous sa haute autorité !

ris talmater dit: à

remarque en passant
lors d’un colloque 1975 publié en 10/18,(matière et puksion de mort) un psychanalyste devenu depuis un professeur renommé
dit: »ainsi opère encore sous nos yeux la grande dichotomie des savoirs et s’annonce à la psychanalyse un avenir des plus incertains « 

ris talmater dit: à

Le titre de l’article donné pour le colloque était « les excommuniants »
la dernière phrase : »il est lin d’être exclu que l’essentiel de la psychanalyse n’ait une fin surréaliste parmi les objets trouvés de la science »
en est-on là dans la famille « chéris » sur internet ?

ris talmater dit: à

matière et pulsion de mort

ris talmater dit: à

à propos de musique, cité dans un autre article*-de kiristeva, cette fois- du même colloque
« chiffration mélodique tue qui compose une logique avec nos fibres » Mallarmé
bonsoir
*la traversée des signes

ris talmater dit: à

excuses Kristeva Julia

des journées entières dans les arbres dit: à

Ris Talmater, je sais que cette émission ne saurait vous échapper.

Elle a donné à mon voyage du jour, une plus-value certaine. Il faisait encore aujourd’hui, un soleil radieux; à tel point que cela en devient inquiétant sous ces tropiques.
C’est en (ré ?)entendant que la différence entre sciences de la nature ( dénomination préférée aux sciences dites  » dures ») et sciences dites « humaines », ou « sociales », est que pour les secondes la nature n’a aucun pouvoir- c’est même là, leur principe fondateur- j’ai eu un sourire, un peu béat, que je n’ai pu retenir.
Lors de cette émission, Julia Kristeva a été rhabillée, et c’est, je dois l’avouer, toujours un très grand plaisir de voir des intellectuels comme Kristéva rhabillés pour plusieurs hivers.
Il y a des gens intelligents qui le disent bien mieux que moi:
http://www.franceculture.fr/emission-science-publique-club-science-publique-peut-on-rire-de-la-science-2013-12-13

Marc Antoine dit: à

Pour se moquer intelligemment de quelque chose, il vaut mieux s’y connaître.

Marc Antoine dit: à

Vous imaginez un curé se moquant d’une femme ? 1234.

manifeste C(ase)b dit: à

il s’ensuit que la contradiction demeure constamment ouverte parce que le ça ne peut jamais être saisi de façon immédiate , pas plus qu’il ne peut être traduit par aucune médiation. en effet la connaissance , c’est -et non seulement per accidens- de l’exagération ».
à propos de LULU par aldo Rescio
un titre ? Contre la méthode Feyerabend

manifeste C(ase)b dit: à

c’est en lisant le tweet que j’ai découvert que le français de la RdL était « pour des étudiants dont le français est une langue universitaire »

manifeste C(ase)b dit: à

ne passant sur ce blog a priori que pour y prendre connaissance du travail -impressionnant ! -de P.Assouline à travers internet et m’instruire dans cette expérience de particiption, je n’ignore pas que rien ni personne ne m’oblige à participer, donc à dire ce que je lis , par exemple et comment je l’entends .
je viens seulement de lire l’entretien de starobinski
Le suspens du sens
Entretien avec Jean Starobinski .
je conçois très bien que les commentateurs soient plus intéressés par les propositions de P.Assouline que par tout autre a fortiori puisque les contributions sur ce blog sont déjà suivies par des lecteurs professionnels y compris des psys « professionnels »
et donneront lieu ultérieurement à des essais étoffés et certainement nombreux .

manifeste C(ase)b dit: à

il me semble intérssant de rappeler qu’il y a eu sur ce blog un expert en envoi de sourire qui prêchait le devoir de.. régression
«Le cas Moitoiret entrera dans l’histoire des régressions dont témoigne notre société en crise. « 

manifeste C(ase)b dit: à

ignorant si P.Assouline écrira lui-même n billet sur l’actualité Heidegger qu’il a signalée , après avoir précédemment lancé une alerte , je signal une page de philosophes professionnels dans le journal philomag
« À 101 ans, le philosophe Henri Maldiney est mort ce vendredi 6 décembre 2013. Heideggerien «indépendant» et introducteur de la Daseinsanalyse en France, il a été le maître charismatique d’une génération de philosophes, d’artistes et de psychologues.

manifeste C(ase)b dit: à

Francis BACON, le peintre a répondu à F.Maubert
qu’il n’avait pas d’ami
cela ne m’apparaît pas un « hasard » qu’il ait été prénommé Francis comme le philosophe Bacon , et que son père lui ait raconté que le philosophe était un aïeul .

manifeste C(ase)b dit: à

a propos de méthode et d’index des noms
une remarque de l’ourge que j’ai repris de Bouretz « les Lumières du messianisme »
le nom de Heidegger n’est pas à l’index mais il se rencontre dès la page 10 et se retrouve par exemple P 44 (l’impact de la pensé de Heidegger)
P.Assouline ne pourra pas dire qu’il n’a pas été prévenu

manifeste C(ase)b dit: à

autrment dit on le retroue , ce nom de Heidegger qui n’est pas à l’index des noms p 122/123….

manifeste C(ase)b dit: à

Et le V de retrouver!

manifeste C(ase)b dit: à

et toujours de Bouretz qui cite Mirabeau « que tous les hommes soient hommes » , et Clermont Tonnerre, 23 déc 1789? Heidegger est critiqué p 61

manifeste C(ase)b dit: à

commentaire sur la fameuse lettre de Hegel
J’ai vu « l’Esprit du monde », non pas sur un cheval, mais sur un nuage radioactif : il avait le visage d’Anne Lauvergeon1 (à la veille du sommet de l’ONU sur les changements climatiques)
par Jérôme Vidal et Charlotte Nordmann

http://www.revuedeslivres.onoma6.com/articles.php?idArt=466

manifeste C(ase)b dit: à

en attendant des commmentaires

Le titre de « Concerto Empereur » n’a pas été choisi par le musicien. Le compositeur avait admiré le général Bonaparte alors qu’il semblait destiné à libérer l’Europe de la tyrannie ; aussi, quand ce dernier prit le titre d’empereur et commença ses conquêtes, il tomba dans son estime1. Plusieurs légendes circulent à propos de l’origine du sous-titre. Toujours est-il que Beethoven, fermement républicain, avait en 1804 effacé avec colère une dédicace à Napoléon sur la partition autographe de sa Symphonie Héroïque quand celui-ci se proclama Empereur des Français. Maynard Solomon3 fait remarquer que le Cinquième concerto « pourrait bien représenter la réaction de Beethoven face à la marée des conquêtes napoléoniennes ».

Marcel dit: à

D. dit: 4 décembre 2013 à 14 h 23 min
BaLaCaLunAmPresTilViPaPa ???

Faites donc profiter à toute notre petite communauté, Marcel
Ce sont les premières syllabes des lieux où ont été signés les traités de paix de la Révolution et de Napoléon.
Bâle, La Haye, Campoformio, Lunéville, Amiens, Presbourg, Tilsit, Vienne, Paris, Paris.

manifeste C(ase)b dit: à

sur 19 h 26 min
il était bien à l’index des noms 12 entrées : excuses : le livre est aux éd Hermann , le bel aujourd’hui

manifeste C(ase)b dit: à

ce qui me trouble un peu, c’est qu’il y ait une république de l ‘art dans « les républiques de la culture » : je ne comprends pas comment sont établies les catégories. je n’en visite pas moins ces « républiques », selon

manifeste C(ase)b dit: à

B.D. (tweet)
ai lu sur toile (clavier cannibale)
 » Or voilà qu’à l’occasion de la remise du Prix Rossel en Belgique, on a pu lire dans la presse, et plus précisément dans Le Soir, les propos suivants (merci au passage à Emmanuel Requette, nautonier du Ptyx, d’avoir relayé l’édifiante info), des propos relatifs au livre primé :
« Son livre est accessible et lisible. Ce n’est pas un prix dédié aux élites. » (Jean Dufaux, Scénariste de Blake et Mortimer)

manifeste C(ase)b dit: à

a propos , dans les fameuses histoires de nez, je ne sais pas quel est le nez le plus oedipien, mais j’ai lu , très utile!!!,
« Selon Tom Holmberg de Napoleon Stories, ce ne sont pas les soldats de Napoléon Bonaparte, comme le prétend la légende urbaine qui court au moins depuis le début du XXe siècle. »
http://www.slate.fr/culture/79192/vandalisation-tag-patrimoine-culturel

manifeste C(ase)b dit: à

césures (copié de wiki)
place bellecour à Lyon
« À la Révolution, un autel de la Liberté y est élevé le 14 juillet 1790. La place change alors de nom et devient place de la Fédération. On y installe une guillotine en 1792. La statue royale est détruite en 1793, et la place devient place de l’Égalité.
Le 21 juin 1800, Bonaparte de passage à Lyon après sa victoire de Marengo, pose la première pierre des nouveaux édifices. La place porte alors le nom de place Bonaparte et devient logiquement un peu plus tard place Napoléon.
Redevenue place Louis-le-Grand sous la Restauration en 1814, elle s’orne d’une nouvelle statue de Louis XIV, due au sculpteur Lemot, inaugurée le 6 novembre 1825.
Ce n’est que sous la Troisième République que la place prend son nom actuel de place Bellecour.

manifeste C(ase)b dit: à

comme je lis larticle du monde sur la reconstitution du visage de Robespierre, je signale que « les cliniciens ès lettres » par Segalen ed fata morgana (explorations) a été préfacé par Starobinski

manifeste C(ase)b dit: à

Ecole des Hautes études en sciences sociales,
Pierre Assouline est avare en majuscules pour l’
EHESS, non loin du Lutetia
http://www.ehess.fr/fr/

manifeste C(ase)b dit: à

ne pas rater la journée ordinaire de stéphane zagdanski sur son blog

manifeste C(ase)b dit: à

la journée de zagdanski :pour le plaisir des détails comme
« quelques erreurs de détails (ce n’était pas au Rosebud mais dans une pizzeria de
Montparnasse, et la nuit pleine de rires et de pensées s’est prolongée en dérive
sans lui jusqu’au petit matin…), le récit est relativement fidèle à la réalité :

manifeste C(ase)b dit: à

explication
ce n’est pas le nom de Heidegger qui n’est pas dans l’index du livre de Bouretz.
Mais après vérification pour m’expliquer à moi-même mon erreur, j’ai constaté qu’au dit index des noms, celui de Strauss vient après le nom de SHELLEY et non après celui de Steinschneider , lequel suit celui de Steiner, et est le dernier de la colonne.

manifeste C(ase)b dit: à

C’est à dire que la suite dans l’index est
strauss puis sophocle puis spinoza
de haut en bas

manifeste C(ase)b dit: à

qu’on retrouve le triangle de Pascal dans un traité sur la métrique poétique de II siècle avJ.C. le Chandahsutra, composé de sutras,règles de mnémotechniques ….
u paragraphe dans sciences et avenir « ce que savaient les civilisations disparues »
bonsoir

manifeste C(ase)b dit: à

c’est confi dentiel : un lien que j’avais pris la peine de chercher sur la métrique est passé à quelque trappe : et le bonsoir avec : je récidive donc ce salut du soir, sans espoir

manifeste C(ase)b dit: à

aveu spontané: je ‘ai pas compris si les nouveaux cliniciens ès lettres , dont tous ceux qui parlent de l’ADN d’un texte et proposent un diagnostic-psy et cognitif de l’auteur et de ses lecteurs avaient contribué à la découverte de l’autre code
« Un second code caché dans l’ADN !

La molécule d’ADN est loin d’être un livre ouvert. Alors que l’on croyait avoir éclairci les secrets du code génétique il y a plus de 50 ans, une équipe états-unienne vient d’identifier un autre code, caché sous le premier, qui aurait un rôle dans le contrôle des gènes. Cette découverte pourrait aider les chercheurs à mieux évaluer les conséquences des mutations et à mieux comprendre certaines maladies. »
et s’ils s’en réjouissaient

des journées entières dans les arbres dit: à

Jusqu’au début du XIXe siècle, les libraires étaient également éditeurs, achetant les manuscrits aux auteurs, les faisant imprimer et les débitant dans leur boutique. Le terme de « librairie » désignait donc également ce que l’on désigne, en français moderne, sous le terme d’« édition ». Ce n’est qu’au XIXe siècle que la division des tâches imposera la séparation entre l’« édition » et la « librairie ». Soumise à un contrôle étroit en France jusqu’à la Révolution, la librairie fut l’objet, en 1763, de la Lettre sur le commerce de la librairie, adressée au directeur de la librairie, Sartine. Napoléon joue un rôle majeur dans la naissance de la librairie moderne.
source: wiki

manifeste C(ase)b dit: à

geek =passion?
une belle histoire de passion
« L’exploration des pôles est encore aujourd’hui périlleuse, malgré les GPS et les téléphones satellites. «Ils n’avaient pas ça dans les années 50, c’étaient des explorateurs. Leur passion est une inspiration pour nous», lance M. Vincent. »
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/science/201312/17/01-4721867-un-message-dans-une-bouteille-trouve-dans-le-grand-nord.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-le-soleil_article_ECRAN1POS2

manifeste C(ase)b dit: à

une étude pour les biographes
Quels sont les traits caractéristiques d’un chercheur ? Pour répondre à cette question, le Science Advisory Board, une communauté virtuelle de chercheurs dans le secteur biomédical, a lancé une étude sur Internet dans laquelle la personnalité des participants est jugée selon les réponses à 76 questions.
http://www.larecherche.fr/idees/curiosites/personnalite-chercheurs-01-04-2005-70496

manifeste C(ase)b dit: à

mais gtâce à C.Simon, il y a une page wiki
Jean-Pierre Lacombe-Saint-Michel, né le 5 mars 1753 et mort le 27 janvier 1812 au château de Saint-Michel-de-Vax (Tarn), est un général de la Révolution française. Il apparaît en tant que personnage dans Les Géorgiques du romancier Claude Simon, son descendant direct, et il a protégé sous la Révolution le père de l’écrivain Honoré de Balzac, Bernard-François Balssa (1746-1829), dont le frère cadet, Jean Balssa, avait épousé en 1777 une cousine germaine du général, Marie-Brigitte Lacombe de Blanchefort.

des journées entières dans les arbres dit: à

Explorer sans GPS, yes, ( très émouvante, cette histoire de boureille à la glace)
mais pas sans assistance.

« La carte de l’état-major a été lancée par Napoléon Ier en 1802 pour remplacer la carte de Cassini. Sa réalisation ne commencera sur le terrain qu’en 1818, durant la Restauration. Elle s’achèvera en 1881, sous la Troisième République. Après quelques essais, l’échelle qui s’imposa pour l’ensemble du territoire fut celle du 1 : 40 000. Ce compromis permit d’assurer la transition en douceur entre les deux cartographies Etat major et Cassini qui coexistèrent durant le XIXème siècle. En 1900, la carte topographique prit le relais de la carte de l’état-major. »
ou encore:

« Dressée par ordre du roi Louis XV, la « carte de Cassini », composée de 181 cartes, est la plus ancienne des cartes de la France entière à l’échelle topographique. Elle est aussi la première dans le monde qui ait été établie en s’appuyant sur une triangulation géodésique. Confisquée par Bonaparte, au moment du Directoire, la carte de l’Académie, dite « carte de Cassini », fut confiée au Dépôt de la Guerre, où elle fut classifiée « secret défense » !

La carte de l’État-major, objet de notre étude, fut réalisée à partir des levés de terrain des officiers du corps de l’État-major, dont elle tire son nom.

Cet ensemble cartographique du XIXe siècle se caractérise par une représentation du relief sous forme de hachures et se compose de 267 feuillets à l’échelle 1:80 000e, qui une fois assemblés constituent une France miniature de douze mètres cinquante sur douze mètres cinquante. »

http://ddc.arte.tv/autour-du-sujet/les-cartes-de-l-etat-major

(merci de ce beau « voyage » du matin)

des journées entières dans les arbres dit: à

bouteille à la glace

manifeste C(ase)b dit: à

après un accès de souvenirs , une citaton et un lien
Avec ce texte, Muehl essaye de répondre aux accusations fascistes orchestrées par l’Extrême Gauche et les écologistes allemands, tout en laissant libre cours à sa propre mégalomanie (dans des écrits non-publiés, il se compare à l’époque avec Jésus, Napoléon et Hitler). Un an après la publication de cette autobiographie, la communauté —accusée d’être une secte— dut interrompre toute activité publique et devint une organisation clandestine,

http://critiquedart.revues.org/1995

manifeste C(ase)b dit: à

simenon?
encore une citation et le lien et très bonsoir
« Lebensztejn s’émerveille en découvrant que Morley, comme Socrate, ait eu son démon, mais le sien a été aquatique : « …Je prenais une douche et j’ai entendu une voix dans la pomme de douche : “SOIS UN PEINTRE D’AVENTURES ! DIS MERDE A L’ART MODERNE !” Merveilleux— » (p.178).

3« […] je vois l’histoire de l’art, surtout de son art, écrit-il, comme une histoire policière, un mystère à résoudre sans trop le dissiper » (p.9). En découvrant l’épilogue, surpris, le lecteur ne sera déçu ni par le mystère du peintre, ni par la méthode de l’historien. »
« Lebensztejn s’émerveille en découvrant que Morley, comme Socrate, ait eu son démon, mais le sien a été aquatique : « …Je prenais une douche et j’ai entendu une voix dans la pomme de douche : “SOIS UN PEINTRE D’AVENTURES ! DIS MERDE A L’ART MODERNE !” Merveilleux— » (p.178).
Et Lebensztejn d’ajouter autocommentaire au commentaire : « […] je n’étais pas fier d’avoir dit ça, mais quand j’en ai parlé à mon psy, il m’a dit que ça pouvait aller. C’était mieux que de dire que j’aurais mieux aimé couper leurs mains » (p.133).

des journées entières dans les arbres dit: à

Devinette:

« Au XVIIe siècle, l’abbaye devint un monument typique de l’art baroque napolitain, grâce aux peintures de nombreux artistes tels que Luca Giordano, Francesco Solimena, Francesco de Mura et Giovanni de Matteis. En 1799, l’abbaye fut saccagée par les troupes de Napoléon, mais dès son entrée dans la nouvelle nation italienne en 1866, elle fut déclarée monument national. »

Saurez-vous découvrir où se trouve cette abbaye ?
Sans carte, sans boussole, et surtout sans perdre le nord … sur la trace d’une nouvelle idéologie: la grande muette (française) se met à causer.

manifeste C(ase)b dit: à

poésie ?
« La lecture la plus fidèle era donc rétrospective:elle approchera ses premiers textes à partir des derniers, ceux qu’il a écrits après la césure de la folie » guérir la vie de Rogozinski(dit Rogo

manifeste C(ase)b dit: à

« guérir la vie » : recommandé pour se préparer aux débats sur Heidegger (qui est bien en table des matières!)
ed du cerf sous titre « la passion d’Artaud »

manifeste C(ase)b dit: à

IMMORTALITY Dickinson

It is an honorable thhought
and makes one lift one’s hat
As one encountered gentlefolk
Upon a daily streer,

that we’ve immortal place,
Though pyrmids decay
And kingdoms, like the orchard,
Flit russetly away

Chapeau!

manifeste C(ase)b dit: à

street
pyramids
thought

manifeste C(ase)b dit: à

Pour la suite, on verra car son Napoléon sera, on s’en doute, attendu au tournant.
comme la

duvirage dit: à

ayant d’autres horizons que les sérénades académico programmées
bonsoir , les sportifs du com…e. K.O

duvirage dit: à

avec les îles,qu’est ce qu’on peut vraiment savoir? une île c’est comme trois blogs +n
« Personne ne l’avait vu venir, et tout le monde pensait que cette île disparaîtrait aussi vite qu’elle était venue. C’était compter sans la ténacité de Niijima, l’île qui a jalli des flots au large du Japon après une éruption volcanique, le 20 novembre.

duvirage dit: à

il y a d’autres liens sur Madame de Stael : L lecture de son oeuvre est trop ancienne pour moi le billet reconnaît d’une cert que c’est une figure sinon la figure de femme à relever pour éclairer ces temps

duvirage dit: à

d’une certaine façon

duvirage dit: à

et un homme maintenant
Son biographe, Michel Winock, en est convaincu : on se fait une fausse idée de Mme de Staël, que Napoléon voulait condamner au tricot

Après Narbonne, Ribbing, Constant, Barante, Schlegel, Sismondi, tant d’autres encore qu’elle a tenus dans la servitude volontaire de l’adoration, Mme de Staël vient de s’attacher un nouvel admirateur. Michel Winock confesse d’entrée de jeu la longue indifférence qu’il lui a montrée : des années d’enseignement de la pensée politique, et à peine, de-ci de-là, une allusion négligente à Germaine, toujours à la remorque de Benjamin Constant. Ce qu’il prêtait à Benjamin, il sait désormais qu’elle l’avait souvent écrit avant lui, il l’a lue « avec la jubilation de la découverte », et voici en guise de réparation cette riche biographie, fruit d’un coup de foudre d’arrière-saison.
http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20100325.BIB5131/pour-l-039-amour-de-germaine.html

duvirage dit: à

une grande tricoteuse devant l’éternel : Lou Andreas Salomé aux premières heures de la psychanalyse . aujourd’hui une pschiatre fait exister des ateliers de tricothérapie testée sur elle même qui a exposé ses oeuvres !

duvirage dit: à

Au fait à propos de psy, chère à P.Assouline, et de tricot, encore un lien ….de galerie
L’Histoire d’une rencontre…
Les amis de mes amis sont mes amis, tel pourrait être les termes les plus
appropriés pour décrire ma rencontre avec Michaela Spiegel, venue découvrir le
lieu ou je devais implanté ma galerie avec une bande de copains, melting pote de
personnalités, écrivain féministe algéroise, architecte corse, psychanalyste
italienne et artistes viennois réunis pour partager un de ces moments de
convivialité qui font le terreau de merveilleuses rencontres
http://www.schoolgallery.fr/sites/default/files/dossier_presse_michaela_spiegel_-_school_gallery.pdf

Diagonal dit: à

(1301 – je prends le relais du Rivage, juste une seconde)… L’arrivée de Germaine de Staël à Moscou juste avant l’incendie de 1812, puis son départ précipité pour aller saluer le tsar Alexandre à Pétersourg, ça avait de la gueule, non ? Et de quoi faire enrager le nabot…

new Reader duvirage dit: à

« . Ceux-ci sont désormais aussi violents que les films « R » (interdits aux moins de 17 ans non accompagnés d’un adulte),

new Reader duvirage dit: à

citations d’

new Reader duvirage dit: à

citations d’après l’étude sur Artaud (dont le concept mis en oeuvre est « la césure »)
« Et si le visage humain n’a pas encore trouvé sa face, c’est au peintre à la lui donner »
et en note plus loin
« cela s’explique en partie par la relation amicale qui le liai tà son analyste, le docteur Allendy.Mais SUR LE PLAN DE LA PENSEE,DES ELEMENTS BIOGRAPIQUES N EXPLIQUENT JAMAIS RIEN

new Reader duvirage dit: à

qui le liait à
ayant hésité à écrire le concept majeur, puisque l’autre concept majeur est celui de « Nom-du- Pere »
donc les deux « concepts »

new Reader duvirage dit: à

un exemple :
« Ce que ne oit pas Derrida , c’est la césure qui traverse l’oeuvre d’Artaud tout autant que sa vie »j’ai changé ma manière » écrit-il en 1947 et ce changement concerne précisément ces figures ..
chapitre A toi qui vivras morte
beaucoup notèrent que J.Derrida tirait souvent trop vite

new Reader duvirage dit: à

ce que ne voit pas
bonsoir, you see!

new Reader duvirage dit: à

où l’on peut apprécier l’extension du « concept de césure » pour rogozinski
« . Lorsqu’il aborde la Solution
Finale, B. Lévy s’attache à minimiser sa portée en la réinscrivant comme une
« péripétie » de plus dans la longue série des persécutions (p. 70). Il refuse d’y
reconnaître une césure historique irréversible, un point de non-retour qui pourrait
remettre en question la Promesse faite à Abraham. Il s’agit pour lui de « fracasser la
doxa contemporaine », cette « a-théologie du Juif moderne » pour qui « Dieu est mort
à Auschwitz », mort de son absence, de son silence face à l’extermination de son
peuple.
http://www.parlement-des-philosophes.org/RetourauGhetto.pdf

new Reader duvirage dit: à

« Moi, je descends de Napoléon, je suis le fils de Joseph Bonaparte, frère de l’Empereur, qui reçut ma mère à Dantzig ». C’est à Alexandre Weill, qui a fait la connaissance de Nerval en 1838 à Francfort, et se trouvait à Vienne durant l’hiver 1839-40 en même temps que lui, qu’est faite cette déclaration, au cours d’une visite qu’il rendit à son ami à la maison de santé de Mme Sainte-Colombe rue de Picpus, et qu’il nota à chaud, sur la lettre même de Nerval datée du 5 mars 1841.

Cette tranquille affirmation est en fait l’aboutissement du travail psychique destiné à oblitérer la filiation réelle au profit de la filiation rêvée, que nous avons vu à l’oeuvre au fil de la Généalogie et dont Nerval a noté les dates cruciales au feuillet gauche. Rappelons-nous: sous « congrès de Châtillon, 3 février », la lettre grecque Y seule, qui désigne l’état psychique, est précisée sous « Napoléon à Cannes 1er mars 1815 », par la mention « santé Y1841 », et sous « Congrès de Vienne 1er novembre 1814 » par la mention « Y 18 novembre 1839 ».
http://www.sylvie-lecuyer.net/moi,jedescendsde.html

new Reader duvirage dit: à

Pierre François Marie Auguste Dejean was born in 1780 at Amiens, north of Paris. By the age of 13, he was already interested in entomology, collecting mainly butterflies and moths, Lepidoptera. His passion for beetle collection came shortly after these first steps, and Dejean decided to devote himself to the study of Coleoptera. By the age of 15, Dejean enrolled in the army and despite his following successful career as an officer and a politician, the most important legacy of his life was marked by his inextinguishable passion for collecting beetles.
On the battlefields around Europe during Napoleon’s time and while in exile in the Austrian Empire after his fall, Dejean was a restless and fearless collector of new specimens. His youngest daughter describes the intensity of her father’s passion in the preface of one of her poetry books: « He recounted himself that during the battle he stopped his horse to attach a small insect to his helmet and then carried on forward to combat. » After his return to Paris in 1818, Dejean was rich and respected as were all the generals that served under Napoleon. He financed several collecting expeditions, and also bought a number of collections. Before his death in 1845, his collection contained a remarkable 24,643 species and more than 118,000 specimens, at the time the largest personal beetle collection in the world!
http://www.sciencedaily.com/releases/2013/04/130402124657.htm

new Reader duvirage dit: à

dommage pour la chanson
il n’y a plus d’Atrée
à singer maints décrets

new Reader duvirage dit: à

la suite de l chanson?
je peux faire ma sieste
sans attendre
après
Thyeste

new Reader duvirage dit: à

pour dire bonsoir
– ENTRE FAMILLE ET CONTRAT : LA
SOLIDARITÉ
L’un des grands problèmes du droit social naissant a
été de donner une assise juridique à des groupements
intermédiaires entre l’État et l’individu sans ressusciter
les corporations abolies par la Révolution (1
). Le Code
Napoléon n’en envisageait guère d’autre que la famille.
Sont d’abord apparues les mutuelles et les sociétés de
capitaux. Puis ces groupements intermédiaires se sont
développés sur la base des grandes libertés collectives
introduites à la fin du XIXième siècle : liberté
syndicale (1884) puis liberté d’association (1901).
http://adonnart.free.fr/doc/citoy/supiot.pdf

des journées entières dans les arbres dit: à

New Reader, j’ai certainement pris le virage à la corde mais votre lien de 21h12 est une plaisanterie ?

new Reader duvirage dit: à

confirmation du tweet sur les couleurs : u professeur d’hébreu israélien d’origine russe enseignaitne ps comprendre que les français aiment tant la nature les jardins et…. la couleur verte: tout juste les passions d’un juif achkénaze de parents nés en Pologne et au nom « alsacien », né en France et entretenant les rapports les plus conflictuels avec son histoire personnelle .

des journées entières dans les arbres dit: à

Le prologue affirme la thèse qui sous-tend tout l’ouvrage, à savoir que l’idée de nation allemande s’est imposée après 1806. Nous ne partageons pas tout à fait ce point de vue, estimant qu’il faut remonter plus tôt, ne donnant pour exemple que Görres qui, rentrant de sa mission à Paris où il est arrivé juste après le coup d’État du 18 Brumaire, commence à opposer les nations française et allemande, considérant que les vignobles du Rhin et les oranges du sud ne poussent pas sous le même soleil, et à parler d’une supériorité intellectuelle et morale de l’Allemagne sur la France, lui confiant la mission de réaliser les idées de la Révolution française, tâche que les Français n’ont pas su accomplir. On ne peut pas dire qu’en 1800 le sentiment national n’effleurait personne.
http://ahrf.revues.org/7863?lang=en

des journées entières dans les arbres dit: à

(suite)
Les auteurs sont d’ailleurs bien conscients qu’il faut remonter beaucoup plus loin dans le temps, en particulier à Luther, initiateur de la langue allemande et fondateur de la nation allemande. Ils sont bien conscients aussi, et ils le disent p. 44, que c’est sous l’impact de la Révolution française que s’est développé le nationalisme allemand, dans le contexte des succès révolutionnaires dès l’occupation de la rive gauche du Rhin. Mais il est vrai que la défaite de Iena (jugée aussi importante sur le plan psychologique que la bataille de Valmy !), puis celle d’Auerstaedt ont permis une prise de conscience plus générale. Les penseurs et philosophes allemands veulent remuer le royaume de Prusse en profondeur et le rendre capable de vaincre Napoléon.

des journées entières dans les arbres dit: à

Nietzsche’s concept of the higher man is often seen as vague. The article adds concreteness to the concept by studying an example of a higher man, Napoleon. Napoleon embodied power and spiritual health, and was therefore an admirable person. By looking at Nietzsche’s description of Napoleon as an artist, we also gain insight into the higher man as a political actor: he uses the public arena as the medium on which he practices his art. In doing so, he presents himself as a exemplar of humanity, inspiring others to seek their own path to excellence. By studying this, we gain important insight into Nietzsche’s political teaching. But Nietzsche’s account of Napoleon is not one-sided: he also describes Napoleon’s corruption. The fall of a higher man is both a warning of the dangers of the political realm, and a reminder that sickness and health are closely connected. Even the mightiest individual is fragile.
http://www.jstor.org/discover/10.2307/1408381?uid=3738016&uid=2129&uid=2&uid=70&uid=4&sid=21103158225031

new Reader duvirage dit: à

une biographie de Marie-Antoinette ne pourra jamais raconter la vie de la reine avec un exactitude absolue;le texte de « Madame Bovary en
revanche décrit son objet , la belle Emma Bovary avec la même précision et la même certitude irréfutables qu’un manuel de géométrie les six magnifiques polytopes réguliers de l’espace à quatre dimensions et les trois polytopes réguliers des espaces à plus de quatre dimensions. Comme le disait Paul Valéry dans au sujet d’Adonis, « il n’est rien de si beau que ce qui n’existe pas »
Imre Toth Liberté et vérité pensée mathématique & spéculation philosophique
éditions de l’éclat- philosophie imaginaire 2009

new Reader duvirage dit: à

« A la veille de la bataille de Iena ,il écriait dur l’une des dernières pages de sa phénoménologie: »la substance indivisible de la liberté absolue s’élève au trône du monde sans qu’aucun pouvoir ne puisse lui opposer de résistance  »
dans imre Toth liberté et vérité

new Reader duvirage dit: à

il écrivait sur

new Reader duvirage dit: à

François Peyrard est acclamé par le monde scientifique international en identifiant dans le butin que Napoléon ramenait du Vatican, le manuscrit resté inconnu d’Euclide, le « Vaticanus graecus 190 », version la plus ancienne du célèbre géomètre grec, qu’il traduit par la suite en latin et en français et dont la dernière impression date de 2006.

new Reader duvirage dit: à

Il y a une page wiki sur Peyrard
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Peyrard
« Lorsque le conventionnel Lemoyne (du Velay) est envoyé en Auvergne et à Saint-Étienne pour y activer l’extraction du charbon et la fabrication des armes, il prend Peyrard, enfant du pays, pour secrétaire3. En 1795, au retour de cette mission, dont il a été le véritable chef, Peyrard est nommé bibliothécaire, puis rédacteur du journal de l’École Polytechnique »

new Reader duvirage dit: à

a tout hasard, j’indique « le fil et les traces » de Carlo Ginzburg qui n’oublie pas Queneau »imprécation colorée » :et comporte une table des matières: c’est dans le chapitre « Anacharsis interroge les indigènes »- sous titre une nouvelle lecture d’un vieux best seller- qu’est nommée Catherine Talbot comme probablement la première femme en Europe « à avoir écrit en historienne, même s’il s’agissait dans son cas d’histoire fictive »

new Reader duvirage dit: à

en matière d’écriture/lecture, voilà où on en est

rose dit: à

De nombreux insurgés s’élèvent contre le coup d’état de Napoléon en 1851. Dans la Drôme, dans les Basses Alpes ; ils seront exécutés.

new Reader duvirage dit: à

sur la tristesse , et le commentaire de N.Rheims sur la dictature de l’humour
Temple Gandin dont l’histoire est déjà bien connue parle des gens de la silicon alley comme des asperger heureux .
et je me demande si P.Assouline ne fonctionne pas dans un système pour aspergeriser

new Reader duvirage dit: à

quant à Ian Hacking, il écrit
que sait-on ?Pas grand chose.Pis bien des gens prétendent en savoir long….Tous ces experts se querellent et se détestent

new Reader duvirage dit: à

ladite Colette libraire ne fait pas seulement fuir des lecteurs et des lectrices avertis par ses façons de gérer publiquement les gens comme si elle état super philopsy

new Reader duvirage dit: à

pour les amateurs de concepts
lu dans Books que c’est en 1904 qu’un auteur répondant au nom de Mackinder avait formulé le concept d’une île -monde avec en son centre le heartland

new Reader duvirage dit: à

« la seule excuse à écrire des biographies: elles nous forcent à chercher qui nous somme en échouant à raconter qui était l’autre
Michel Schneider

new Reader duvirage dit: à

qui nous sommeS !

new Reader duvirage dit: à

par « vivant -démenti », je suppose que c’est par opposition à un personnage exclusivement de fiction à ce qu’en avoue l’auteur

new Reader duvirage dit: à

Au commencement de la campagne de Russie, Napoléon lisait parfois des ouvrages sur ce pays mais aussi surla Pologne. Son secrétaire Méneval les avait empruntés à la bibliothèque du roi de Saxe, et ces ouvrages ayant été brûlés durant la retraite avec le fourgon qui les portait, Napoléon- homme inimitable qui rendait les livres prêtés- ordonna de les acheter coûte que coûte et de les envoyer à la bibliothèque de Dresde. Mais en 1812, comme dans toutes ses campagnes, Napoléon a lu des romans, des mémoires, et Ségur ne manque pas de le représenter à Moscou « passant de longues heures à demi couché, un roman à la main ».
http://lestafette.unblog.fr/2013/08/20/les-lectures-de-napoleon-en-1812/

rose dit: à

Il a deux fils naturels Léon et Alexandre ce qui le décide à répudier Joséphine de Beauharnais et il se marie avec Marie Louise d’Autriche et a un troisième fils Napoléon II surnommé l’Aiglon.

rose dit: à

François FURET, La Révolution 1770-1880 : de Turgot à Jules Ferry, Paris, Hachette, 1998, réed. coll. « Pluriel », 1992.

a écrit un livre passionnant que je n’ai pas encore lu. C’est le meilleur livre de l’année 1992. D’histoire.

new Reader duvirage dit: à

émouvante et vaguement ridicule ,cette façon des hommes de courir après leur visage et de ne le rejoindre qu’à l’instant de la mort
M.Schneider

rose dit: à

j’ai trouvé un jeu sur les batailles napoléoniennes
http://cossacksnw.free.fr/c2galerie.htm

tout en bas vous avez le passage en revue de ses troupes à Iéna, au pont d’Arcole etc.

et tous les mouvements de troupe dans Barry Lindon en partie I

new Reader duvirage dit: à

le musiciens et mélomanes reconnaîtront ce discours, sans relire Michel SchneiderLa Méthode Rose — 1re année de piano — par Ernest Van de Velde est une méthode d’apprentissage du piano pour les enfants, probablement la plus connue en France. Cet ouvrage a été utilisé par plusieurs générations d’élèves (enfants et adultes) depuis sa publication il y a plusieurs décennies[Quand ?], et il a été traduit en sept langues
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thode_Rose

new Reader duvirage dit: à

admiration: P.Assouline en présentant ce livre souligne qu’il admire le travail de cet historien : il n’y a pas là particulièrement matière à commenter sinon que que le critique historien juge en connaissance de cause : et c’est éclIR

new Reader duvirage dit: à

et c’est éclairant .
longtemps je me demandai à qui « s’adressait » P.Assouline, question qui brouilla un peu la manière ont je lisais billets et informations tweetées :sans p

new Reader duvirage dit: à

la manière dont je lisais
possible que je n’ai absolument pas compris en quoi consistait l’exercice de commentaires , alors que les billets sont des commentaires dont pourr

new Reader duvirage dit: à

des commentaires dont pourrait se déduire en quoi consiste cet exercice auquel je suis inapte pour ce blog ,faute d’un désir de pédagogue qui semble ourdir si intensément sa pratique par P.Assouline

new Reader duvirage dit: à

si je suis aussi sensible au talent pédagogique de P.Assouline, j’imagine qu’il y a en moi de l’écolier éternel,et que cet écolier s’est redécouvert avec la nécessité de se mettre à internet,ce à quoi le travail a été plus que mon éducateur

new Reader duvirage dit: à

le travail de P.Assouline bien sûr .

new Reader duvirage dit: à

sur le mot césure
F.Héritier répond:
F. Héritier C’est d’ailleurs une question qu’il serait intéressant de poser: avant l’écriture, comment les gens percevaient-ils le langage et la parole? Evidemment ils ne pouvaient pas avoir une idée des césures que nous imposons, qui d’ailleurs n’ont pas toujours été écrites. Dans certaines langues comme le latin on ne mettait pas de césure entre les mots.
http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20131227.OBS0810/que-veut-dire-le-mot-mot.html

new Reader duvirage dit: à

sur un décret
« Par le décret du 21 mai, sanctionné par le roi le 27 juin 1790, l’Assemblée constituante créa 48 sections (divisions territoriales et administratives), pour remplacer les districts.
Chaque section se composait : d’un comité civil, d’un comité révolutionnaire et d’une force armée. »
copié de wiki

new Reader duvirage dit: à

Secondly, many of the other characters in the movie were actual people living and interacting with the Marquis de Sade. In the The king, of course, is supposed to be Napoleon. In real life, Napoleon repeatedly refused appeals of the Marquis requested by himself and his family. De Sade was finally . In the first movie scene the viewer sees one of de Sade’s publications being read aloud to the Emperor of France. The Emperor is short, stubborn, and infuriated by the writing of the Marquis. The king, of course, is supposed to be Napoleon. In real life, Napoleon repeatedly refused appeals of the Marquis requested by himself and his family. De Sade was finally ordered to remain at Charenton indefinitely by Napoleon in 1812.
http://clioseye.sfasu.edu/Archives/Student%20Reviews%20Archives/MarquisDeSade.htm

new Reader duvirage dit: à

s’il y a quelqu’un dont on peut avoir la conviction qu’il a une expérience des amitiés dans « les instituions d’études , de recherche, d’enseignement et de publication, c’est assurément P.Assouline qui a trouvé une heureuse formule pour prendre les devants, pour les lecteurs, les étudiants, les professeurs et l’auteur!
c’est bien finir l’année civile

new Reader duvirage dit: à

il n’y a pas que les auteurs d’articles confidentiels dans une revue qui choisissent un autre genre pour toucher le public : ainsi alain Prochiantz a choisi le théatre

new Reader duvirage dit: à

Alain Prochiantz : Oui, il y a eu beaucoup de virages parce qu’en fait j’ai commencé en 1971 en travaillant sur les virus végétaux, notamment celui du navet. Je sais, ça fait rire mais c’est un virus très intéressant. Et puis après, j’ai décidé de faire des neurosciences en 1976.
http://www.laviedesidees.fr/Les-bacteries-pensent-aussi.html

des journées entières dans les arbres dit: à

Dr Lecter, opérez d’urgence une retraite de Russie et revenez parmi nous.
Au prochain rafraîchissement, -i.e à la prochaine année civile-, ce billet ( dont il faut garder archive par devers soi) va disparaitre de l’écran.

new Reader duvirage dit: à

philosophes, bonsoir et n’oubliez pas simmel

lhttp://think-out-of-the-box-eb.blogspot.fr/2008/10/la-philosophie-de-laventure-g-simmel.htmlosophes, bonsoir et n’oubliez pas simmel

new Reader duvirage dit: à

retour su la citation
. L’histoire n’est pas que le fait des peuples.
on peut en inférer qu’elle est aussi le fait des
peuples (souvenir, en passant, d’un livre intitulé « le peuple des psychanalystes »)Il n’y a pas contr

new Reader duvirage dit: à

il n’y a pas telle contradiction, telle incompatibilité entre les deux propositions .
raison supplémentaire pour ne pas plus oublier ce livre que de présenter ses voeux: ce que je fais donc

new Reader duvirage dit: à

voici le titre exact:
Le peuple « psy »: Situation actuelle de la psychanalyse
(paru chez Balland en 1993, en poche en 2006
et en poche chez Points-Essais en 2007)
et un lien qui le présente
http://www.danielsibony.com/livre14.html

new Reader duvirage dit: à

pour la question de l’île, je vous ai trouvé la question de l’Irlande
« Une amie m’a questionnée récemment sur cette assertion de Freud : il aurait écrit que les irlandais sont le seul peuple sur lequel la psychanalyse n’a aucun effet …
Où a-t-il écrit cela ? ?
Et à quoi cela se réfère-t-il ?  »
mis William n’est ni une montagne, ni une souris

new Reader duvirage dit: à

Ayant compris lire que c’est dans le filigrane , la réponse à la question…., j’aurais écrit la réponse en filigrane:
interprétation de P.Assouline que je trouve stimulante sur l’art de lire, en général et en particulier

new Reader duvirage dit: à

y a-t-il aimait (etc)

new Reader duvirage dit: à

Anne POUGET
Le Grand Livre des « pourquoi ? »
Intégrale des 4 tomes + inédits !
Collection Documents

new Reader duvirage dit: à

15 h 51 min corrigeait des frappes maladroites d’un envoi pr&cédent autour de la question « pourquoi y a-t-il des livres,- et internet- plutôt que rien

new Reader duvirage dit: à

autre avancée de P.Assoulne d

new Reader duvirage dit: à

dans ce billet : « pratiquant l’admiration critique, », et non plus l’admiration: auquel cas , je serais bien en peine de dire le nom des auteurs-artistes qui m’inspirent une « admiration critique »
la catégorie admiration critique est-elle corrélative de l’humanisme numérique?

new Reader duvirage dit: à

Cher P.Assouine
N’allant pas depuis très longtemps sur la toile, je m’y sens trop jeune pour « commenter » (alors que je ne suis plus jeune)à la manière de ceux qui en sont des habitués et habitués de la terminologie psychommunicationnelle contemporaine supposée « artiste » qu’ils pratiquent et comme je l’ai retrouvée encore dans les commentaires sur la république du théâtre et la république des arts.
Il me semble avoir « compris » -si l’on peut dire-votre « force », au-delà des désirs que vous suscitez comme les donnent à reconnaître vos interlocuteurs connus et qui ne sont pas tous des historiens (professionnels): peut-être certains l’expliqueraient,et même vous, qui sait ?
en lisant un roman sous-titré autoportrait , et en formulant le voeu que ceux dont les mots
vous touchent sachent trouver, même pour votreblog , les paroles qui conviennent,et pas seulement pour ces jours.

new Reader duvirage dit: à

s’étaient empressés à se répandre en condamnations des autres et ont déserté .
à mes yeux, un lien vaut commentaire .
j’ai terminé l’autoportrait d’un « journaliste-écrivain- présenté par l’éditeur comme satire des milieux littéraires: j’aurais pu faire un liste des sourires qu’il a identifiés, puisqu’il ne m’en arrachait pas un au souvenir .Si bien que moi non plus, je n’ai pas beaucoup aimé son livre.

new Reader duvirage dit: à

précision: l’auteur de cette satire des milieux littéraires avait été évoqué incidemment, m&is bien intentionnellement dans un billet de P.Assouline à une époque où je n’allais pour ainsi dire pas sur internet: d’une certaine façon ça me « tranquillise « d’avoir rajointé les morceaux des questions .
après tout, le blog philotique aussi confirme que les billets de P.Assouline font référence .

new Reader duvirage dit: à

découvrir cet ancien billet a aussi été un choc pour moi qui avais déjà pris conscience, sans personne pour me le suggérer au moins une fois, que le travail de ¨P.Assouline était suivi d’assez près et que la RdL n’était pas un élément « mineur »-comme on dit- de son oeuvre!
cette admiration critique est une notion qui tombe aujourd’hui à pic!

Bonne soirée !

new Reader duvirage dit: à

que l’abstention de commentateurs soit motivée par la conscience des limites nécessaires du « jeu » pour chacun et des réserves de réflexions qu’ils poursuivraient sur « l’expérience « .

new Reader duvirage dit: à

sur radicalité (« Peut-on être critique sans être radical lorsqu’on est un intellectuel de gauche ? Euh… Bonne année « ) j’ai relu des pages de imre
Kertesz chacun se retrouvera les siennes
actualites/imre-kertesz-ethique-du-recit-et-forme-d-existence_58125.php

new Reader duvirage dit: à

pour la prcision, puisque P.Assouine aait informé du colloque Kertesz, j’ai relu le « discours prononcé au Schauspielhaus de Hambourg 1995 »

new Reader duvirage dit: à

précision : donc si c’est reparti pour les fautes de frapper, je demande aux lecteurs de m’excuser: c’est assez pour suspendre et souhaiter à la RdL des commentateurs inspirés et imaginatifs sur cette colonne

new Reader duvirage dit: à

fautes de frappe!

new Reader duvirage dit: à

Une ultime remarque en écho à de nombreuses lectures dont certaines que j’ai évoquées en lien par exemple , comme l’essai de Rogo sur Artaud : il est r

new Reader duvirage dit: à

il est vrai que je me souviens encore d’avoir entendu dans une rencontre que Lacan avait supplanté Freud, puis plus tard bien des enseignants, auteurs d’oeuvres indéniablement, qui disaient avoir été »plus loin  » que et que , et que ….: avec le temps, leurs méthodes me rendirent plus perplexe, et mon admiration éventuelle devint mieux éclairee et plus critique dans son désir de comprendre et de savoir

new Reader duvirage dit: à

des chercheurs
« . Ainsi, 32 % des scientifiques sont des « organisateurs » : indépendants, ils sont toujours prudents avant de prendre une décision, ne s’appuyant que sur des faits ; 28 % sont des « leaders », doués pour l’encadrement de leurs collègues, mais parfois critiqués pour prendre trop rapidement leurs décisions »

new Reader duvirage dit: à

écrit par Yves Michaud en 2008
Lorsque la philosophe Sarah Kofman, se suicida en 1994, les persécutions dont elle avait été victime dans l’université de la part d’esprits médiocres qui aujourd’hui paradent en pérorant sur la discipline et les valeurs comptèrent,

new Reader duvirage dit: à

très exactement 4/11/2008
peut-être une césure ? à en juger par l’article du monde sur Baltimore

des journées entières dans les arbres dit: à

tweet, suite.

Arcane 17.
Melle Lenormand, la sybille de la rue Tournon.
Napoléon, « le meilleur ennemi » de mademoiselle Lenormand, à propos de la sybille, déclara:
« Si les hommes ne vont plus à la messe, savez-vous où ils iront ?
Chez Cagliostro ou chez Melle Lenormand. Franchement, la messe vaut mieux »
Melle Lenormand a été arrêtée par Fouché.
source:http://www.besoindesavoir.com/article/101467/mlle-lenormand-sybille-rue-tournon

des journées entières dans les arbres dit: à

Blogué en 2013 ?
Bonne année Dr Lecter.

Arcane sans numéro.

« Les premiers éléments de l’histoire de la carte à jouer en France remontent au XVIe siècle.

Au cœur d’une véritable institution familiale, le maître cartier Jean Hémau, gendre du maître cartier nancéien Edme Pillon, fait ses gammes à Épinal en fournissant la cour et les princes durant près d’un siècle.

Cependant, cette quiétude est fréquemment perturbée par des fraudes commises par des joueurs professionnels (avec l’utilisation de cartes pipées).
En guise de répression, le duc Léopold, en 1726, décide de réglementer la fabrication et la vente des jeux de cartes. Toutes les enveloppes des cartes seront alors dans l’obligation de porter une empreinte. Le 15 novembre 1751, Stanislas lève un impôt d’un denier de franc sur tous les jeux de cartes en circulation en France et dans le Barrois. A partir de cet instant, la fabrication de cartes n’est autorisée qu’aux villes de Nancy et Épinal »
http://www.france-cartes.com/france-cartes/france-cartes-grimaud-histoire-des-cartes-a-jouer/

Diagonal dit: à

Cher monsieur, chère madame NewReader duvirage,

Je voudrais saluer votre entreprise bien solitaire quoique toujours aussi vaillamment obstinée, en ce début d’année 14-18. J’espère pouvoir revenir vers vous quand vous aurez atteint la 2000e, une prouesse que la RDL devra commenter comme il se doit, puisque votre exploit, -dûment consigné dans le futur livre des records des blogs de la Toile-, l’aura définitivement sauvé de l’oubli.
Je sais que Mme Djedla partage ce sentiment qui vient prendre de vos nouvelles régulièrement. Je veux également la remercier pour ses judicieux encouragements.

Eclate, ô vérité ! dit: à

Je suis tout à fait d’accord avec ce Diagonal qui tourne rond et va carrément droit au but : vous êtes admirable, monsieur/madame NR du Virage !

Un(e) Saint(e) Quantique … que nous accompagnerons fidèlement jusqu’à 1.500 coms puis 2.000 !

Diagonal dit: à

MILLE QUATRE CENTS !
Et s’il restait qu’un, je serais celui-là

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