de Pierre Assouline

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La République des livres
Comme un sentiment d’immense communion avec Kenzaburô Ôé

Comme un sentiment d’immense communion avec Kenzaburô Ôé

Avez-vous remarqué comme ses lunettes rondes lui vont bien ? Pourtant, cela n’alla pas de soi. Seul l’entretien littéraire permettrait de percer le mystère. Un genre en soi. Au mieux, tout un art ; au pire, futilités. La magie tient à l’accord de deux sensibilités, processus qui n’est possible que lorsque l’écrivain, prêt à tout donner, se tient face à une lectrice professionnelle qui sait tout de son œuvre, et éventuellement de sa vie, mais qui a l’humilité qu’il lui manque le superflu où se niche parfois une part d’essentiel, les ombres d’un jardin secret. Le cas de Mariko Ozaki (on nous pardonnera de ne pas procéder à la japonaise et de placer le prénom avant le nom) avec Kenzaburô Ôé pour L’écrivain par lui-même (sakka jishin o kataru, traduit du japonais par Corinne Quentin, 370 pages, 23,50 euros, Editions Philippe Picquier), l’un des rares ouvrages de ce genre à être aussi bien construit qu’écrit. Non seulement on y apprend énormément de choses sur l’un des plus grands japonais du siècle échu, mais on se prend à relire certains de ses romans ou de ses nouvelles à l’aune de ce qu’on découvre alors. On aura compris que l’exercice est passionnant quand les questions sont aussi intelligentes, fines et nuancées que les réponses.

Né en 1935, il a grandi dans une famille japonaise à l’ancienne, où le père ne s’adressait jamais directement à ses enfants mais, le cas échéant, par le truchement de la mère ; mais longtemps après, parvenu au faîte de son œuvre, l’écrivain en lui se dit encore trop immature pour parvenir à décrire une femme. Ôé doit tout aux livres qui l’ont fait. Aussi ne cesse-t-il de payer sa dette. Il avait déniché le tout premier, du moins parmi les étrangers, chez les bouquinistes : Fragments de la Renaissance française de Kazuo Watanabe, professeur de littérature française à l’université de Tokyo. Ce sera le livre de sa vie, celui qui lui révèlera la signification de l’expression « le sens du libre examen », interprété comme la libération des humains du pouvoir absolu de la religion chrétienne sur les consciences, et partant le début de la modernité, ce qui gouvernera son existence. Au moment de son mémoire de fin d’études, il hésita entre Pascal et Sartre, opta finalement pour « L’imagination chez Sartre ».

Des Français, il y en aura d’autres dans son panthéon, très différents les uns des autres, chacun valant pour l’originalité de son apport : Pierre Gascar, ce fut son extraordinaire représentation des animaux, un bestiaire sans pareil… ; C’est d’ailleurs l’intime commerce avec la fiction française qui l’a poussé à sauter le pas et à écrire des romans. Un chapelet de mots chez ce même Gascar, traduit en japonais par l’indispensable Watanabe, a agi comme un déclencheur : « un sentiment d’immense communion ». Ôé s’est naturellement transporté jusqu’au texte original, ce qu’il fait régulièrement ; on ne s’étonne pas d’apprendre au passage que 5% de son immense bibliothèque est constitué de dictionnaires, ceux de langues n’étant pas les moins nombreux, ce qui éclaire en grande partie son processus créatif. Car c’est en vérifiant les acceptions de cet « immense » que son premier roman s’est mis en marche, et cela n’a pas changé depuis :

 « Même maintenant (2007), pour certains romans (je n’ai pas ce souvenir pour tous), je trouve un mot français ou anglais et pendant que je réfléchis à sa traduction en japonais, monte en moi le désir de développer dans un roman cette sorte de bourgeon qu’est l’univers sensible ou l’idée de ce mot. C’est à partir de là que je construis une histoire »kenzaburo-hikari

Il avait commencé à écrire des histoires qu’il juge, avec le recul, trop abstraites et conceptuelles, mais qui évolueront ensuite vers un fantastique proche de celui de Calvino, avec un certain esprit mystique se déployant autour du lien naturel entre la mort et la renaissance. Ce qui n’en fait pas un religieux pour autant, ne fût-ce que parce que la prière résiste aux mots, et qu’il met les mots au-dessus de tout. Les livres, donc. Pas que les français puisqu’il rend hommage au Pedro Paramo de Juan Rulfo, injustement négligé par ceux qui louent généralement le grand boom latino-américain, Blake, Yeats  sans oublier La divine comédie (Caton d’Utique, dont Dante a fait le gardien du purgatoire, est son personnage politique préféré). Des poètes japonais mais guère de haïkus. Et un évènement, personnel, intime ô combien, et qui a tout changé : la naissance en 1963 de Hikari, un enfant souffrant d’un grave handicap mental. Depuis quarante ans, il adapte son emploi du temps à ce fils devenu un compositeur de musique ; Ôé travaille systématiquement jusqu’à minuit sachant Hikari se réveille toutes les nuits à cette heure pour aller aux toilettes ; il l’accompagne pour le protéger du froid, puis ajuster sa couverture lorsqu’il se recouche 

« A cet instant, je me dis que c’est peut-être là ce qui est « éternel » en moi ».

Trois minutes à peine, quelques mots échangés, mais un rituel quotidien qui fait autant de bien à l’un qu’à l’autre. Il ne cache pas qu’il avait écrit Une affaire personnelle (1964) dans l’espoir de surmonter cette douleur. De même, Changeling (2000) est né de la nécessité de surmonter la souffrance de sa femme et de lui face au suicide d’un de leurs proches. Dans un cas comme dans l’autre, écrire pour dominer les choses de la vie qui nous laisse démunis face au Mal, continuer à vivre mais par procuration dans des récits sans point d’orgue. Rien n’est plus universel surtout si, comme dans Changeling, l’expérience traumatisante qu’affrontent les deux héros lycéens n’est jamais désigné que comme « cela ». Ses romans sont d’ailleurs pleins de pseudo-couples, binômes hérités tant de la relecture passionnée du Quichotte que de sa propre expérience ; car pour avancer, dans la vie comme dans ses romans, il a toujours eu besoin de l’Autre, maître ou ami. Plus que du côté de Cervantès, c’est peut-être vers les fratries du type de celle qui unissaient Franz Kafka et Max Brod, ou Walter Benjamin et Gershom Scholem, qu’il faut se tourner.

Si on veut comprendre la structure de ses livres, il faut regarder des tableaux de Bacon, son peintre de chevet, dont il loue « la répétition décalée » autour d’une colonne vertébrale, la sienne portant le nom de son fils, Hikari. Si on veut saisir le flux qui irrigue sa fiction, il faut lire Noyade (2009) et se souvenir de sa hantise de l’eau, du courant de la rivière, du déluge, de l’inondation. C’est un enfant de la forêt. Il n’en est jamais sorti, les mots s’étant substitués au léger tremblement des feuilles d’un plaqueminier. Il a écrit jeune son tout premier poème qui n’a cessé de le hanter depuis :

 Sur les gouttes de pluie/ Le paysage se reflète/ Dans les gouttes/ Un autre monde se trouve 

 L’amitié, profonde et durable, avec l’essayiste américain d’origine palestinienne Edward Saïd, est à l’origine de certaines des belles plus pages de ce livre qui n’en est pas avare. Avant tout, ils avaient l’exil en commun, Ôé considérant la forêt dans sa vallée natale comme un pays en soi. Sa forêt de fiction est une représentation de la forêt en mots, tirés de légendes japonaises et autres, se coagulant avec les mythes qui le fascinent pour se mettre au service d’histoires locales entendues dans la bouche de ses parents, le tout constituant l’inquiétante étrangeté de ses romans.

Ses engagements extra-littéraires ont été peu nombreux mais durables : l’opposition à la révision du Traité de sécurité nippo-américain, au nucléaire militaire et civil et, d’une manière générale, une posture d’opposition au pouvoir, mais sans que jamais son activisme ne prenne le pas sur la littérature (y compris chez le supporter de l’équipe de base-ball de Hiroshima). Cela lui a parfois valu d’affronter la société dans toute sa violence, certains le harcelant ou le menaçant jusque dans sa vie privée. Même le titre qu’il donna à son discours de réception du prix Nobel (1994)  « Moi, d’un Japon ambigu » lui valut des attaques, malgré la référence évidente au « Moi, d’un beau Japon », discours prononcé un quart de siècle avant sous les mêmes lambris suédois et dans les mêmes circonstances par Kawabata.

o&éMalgré son influence sur la génération suivante, celle qui tient désormais le haut du pavé littéraire, les Haruki Murakami (1949) , Le jeu du siècle ayant compté dans l’élaboration de son Flipper, Yôko Ogawa (1962) et Banana Yoshimoto (1964), il considère son écriture comme ancienne, lui qui, à peu avant l’événement du Nobel, annonçait publiquement qu’il n’écrirait plus de fiction ; car s’ils sont, eux comme lui imprégnés de littérature étrangère, eux sont plus sensibles à une langue orale, parvenant ainsi à un rayonnement quasi mondial auquel la génération de Ôé n’était pas parvenue. Sa propre importance, Kenzaburo Ôé ne s’en gausse pas, malgré les effets de la nobélisation. Lorsqu’il entend que de lui date l’exportation d’une littérature japonaise universelle et non entachée d’exotisme bon marché (malgré Tanizaki ?), il se récrie et cite plutôt Kôbô Abe ; à l’appui de son sentiment, il raconte qu’il avait un jour reçu une longue lettre de Jean-Marie Le Clézio détaillant son admiration pour ses nouvelles, mais les confondant en fait avec Murs de Kôbô Abe…

A propos, et ses lunettes ? Il en a changées dans les années 1980. Jusque là, elles étaient de format carré. Mais à cette époque, se consacrant davantage à la lecture qu’à l’écriture, il eut l’intuition que de grands lecteurs parmi ses pairs portaient des lunettes rondes. Vérification faite sur des portraits de Joyce, Sartre et alli, il en acheta une dizaine, non sans avoir constaté qu’elles convenaient mieux pour la littérature étrangère, des lettres de l’alphabet aux idéogrammes, verticalement et horizontalement, dans un incessant va et vient avec les dictionnaires, « le » livre qu’il emporterait sur une île déserte à condition qu’il soit électronique et qu’il fonctionne sur une batterie solaire !

En se penchant au chevet de sa vie, il confesse n’avoir jamais eu le souci d’exceller dans quelque savoir que ce fut, et ne s’en porte pas plus mal. On éprouve alors confusément quelque chose comme un sentiment d’immense communion avec cet écrivain, nostalgique d’un retour à la forêt natale, mouvement fécond car il le pousse à écrire encore au lieu de le paralyser dans la mélancolie ; au soir de sa vie, ce fascinant conteur s’intéresse comme au premier jour à la fameuse goutte de pluie, maquette parfaite condensant passé et futur, minuscule rassemblement de ce qui nous constitue.

 (Photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

875 Réponses pour Comme un sentiment d’immense communion avec Kenzaburô Ôé

bérénice dit: à

vous appelez ça comment, vous ?

On y lit les traces du dégoût et de la surprise insensible d’une découverte, avec l’utilisation de « that » en fin de phrase et l’exclamation qui suit.

J.-C. Azerty dit: à

l’Orient serait il essentiellement plus doué pour la cruauté? (Bérénice)

Pérégrinant toujours plus vers l’Est, j’ai constaté la pertinence de la question de Bérénice : toujours plus de cruauté en allant vers l’Est. Parvenu du côté de Yokohama, je me suis embarqué pour la traversée du Pacifique. Débarqué du côté de Frisco, j’ai pu constater la montée de la cruauté tout au long de ma traversée des States. A New-York, je me suis embarqué pour la traversée de l’Atlantique. J’ai débarqué sur la côte vendéenne. J’ai cru toucher le fond de l’horreur. Mais les autochtones m’ont dit : vous n’avez encore rien vu, poussez donc encore plus à l’Orient, du côté du Var : là, vous connaîtrez l’absolu de la cruauté. A Marseille, j’ai changé de TGV, toujours plus à l’est, et j’ai senti effectivement monter la cruauté. Passée la frontière du département du Var, ça devenait positivement insoutenable. Et encore, je n’étais qu’à la hauteur de Brignoles; il fallait encore atteindre l’Est-Varois : c’est là que j’habite. Damned !

bérénice dit: à

JC Azerty le poète s’est fourvoyé, le monde est rouge comme un vaisseau.

Sergio dit: à

Daaphnée dit: 23 novembre 2014 à 11 h 04 min
le rapport au paysage – une géographie, au sens propre – de certains auteurs, parfois à travers le voyage

L’acclaire est faire… Et l’Empire des nuages ! s’attaquer au paysage, c’est la seule bretelle pour sortir de l’éternel événementiel, social, humain. C’est bien maigre, d’autant que même si pour Teilhard, un rocher a une âme, une forêt c’est encore de la vie. Comme le faisait remarquer Proust, la musique, c’est déjà de l’abstrait. Voire… En attendant, la littérature a l’air bien verrouillée comme un lion en cage… Finalement l’afflaire est peu caire !

Sergio dit: à

S’attaquer (majuscule au S.), Trommelfeuer !

Clopine dit: à

Bon, allons un peu plus loin… vers l’ouest…

On pourrait me rétorquer un raisonnement à l’Octave Mirbeau. Toute la métaphore du Jardin des Supplices tient en cette seule interrogation : l’esthétisation de la souffrance (ça me fait penser qu’Hamlet devrait adorer le traitement qu’on fait subir au Philosophe, dans ce bouquin !) est-elle plus ou moins condamnable comparée à la balle occidentale « doum-doum » conçue pour être « la plus efficace possible » ? Mirbeau répond que « non » – perso, je pense dorénavant impossible un tel face-à-face, oui, Azerty a raison, la terre est ronde, toute ronde, et aussi petite qu’une bille, et elle semble rétrécir à vue d’oeil en plus. Disons cependant que l’hypocrisie occidentale se pare d’une morale humaniste qu’il me semblerait, à moi, urgent de partager universellement… Ohé, ôé, à mon secours !!!

Lucien Bergeret dit: à

La deuxième partie, c’est-à-dire la citation de Daoud ne passe pas.
Il n’y avait pourtant rien de pendable.

Leontine Bernstin dit: à

détester qu’on l’appelle comme ça et être pas juive
Léontine Bernstin.

bof

Pas étonné dit: à

le naturel revient au galop par petites touches… cela ne trompe personne (12 h 12, 26, 29,31…)

Lucien Bergeret dit: à

Début de la citation qui ne passe pas :
« J’ose te le dire, j’ai en horreur les religions. Toutes! »

constat dit: à

poseurs ne tenant pas debout sans support jusque dans leurs phantasmes.

vraiment tout petits minables, le temps pour preuve.

Lucien Bergeret dit: à

Deuxième phrase de la citation :

Car elles faussent le poids du monde.

Court dit: à

Clopine, il existe une collection intitulée Connaissance de l’Orient que vous feriez bien de fréquenter, notamment les volumes No et Kyogen, histoire de varier votre regard et votre perception du Japon. Vous comprendriez peut-être pourquoi nos deux pays entretiennent des relations fondées sur l’excellence -je connais des pascaliens et des raciniens de Kyoto qui sont reçus en Sorbonne- et une certaine complémentarité culturelle, au delà des Centrales et des Tsunamis…
Bien à vous.
MC

Clopine dit: à

J’abandonne : les Lucien Bergeret, même abandonnant l’insulte pour une posture  » policée « , sont toujours là, à étouffer dans l’oeuf la moindre expression. Je lui abandonne donc le terrain (pour aujourd’hui au moins), c’était un bel essai notre hôte mais voyez !

Antonio Corrado dit: à

B comme BERLIN dit: 23 novembre 2014 à 12 h 29 min
« Antonio Corrado dit: 23 novembre 2014 à 11 h 45 min »,
Le Kilimandjaro pour Hokusai ??? ??

BtoB,
c’est pour faire cultivé ou vous avez vraiment un problème lié au premier degré ?

cours de rattrapage dit: à

@ Antonio Corrado dit: 23 novembre 2014 à 15 h 34 min
Je crois qu’il (elle) a vraiment un problème de degré. Comme Daaphnée. Que voulez-vous, il y a des sottes ici, il faut faire avec.

Antonio Corrado sur sa petite calotte neigeuse dit: à

Daaphnée et Jambrun même combat que BtoB,
sincérement j’aurais pas cru.

Antonio Corrado dit: à

cours de rattrapage dit: 23 novembre 2014 à 15 h 37 min

Merci

Coli dit: à

Lucien Bergeret dit: 23 novembre 2014 à 15 h 26 min
Découpé en morceau, mon commentaire passe; complet, il est repoussé.
Bizarre…

Je crois que c’est un problème de copyright. Il m’est arrivé la même chose avec un copier/coller de Wiki et un autre d’un extrait de livre : il doit y avoir un robot qui empêche la reproduction au-delà de qq mots. La seule solution est de recopier à la main.

Coli dit: à

@ Clopine

Et pourquoi faudrait-il interdire Lucien Bergeret ?

Antonio Corrado dit: à

Tiens « la vie » aussi,
mais elle on savait son cas désespéré.

constat dit: à

mais faut pas taper sur le proselytisme, ah ca non…

Ouf, un peu de calme dit: à

Pas étonné dit: 23 novembre 2014 à 15 h 17 min

Chaloux, c’est l’heure des vêpres.

Sergio dit: à

Il faut toujours voir le bon côté des choses ; l’intérêt des religions, c’est que l’on peut faire des guerres de religion. C’est vendeur même les HEC ils arrivent pas à la cheville…

Bloom dit: à

J’aurais effectivement pu traduire, mais ce n’est pas si difficile à comprendre. C’est le texte original, avec son rythme qui importe, le sens a bien été restitué par Bérénice.
Je ne hausse pas les épaules en parlant d’esthétique du sushi. Je vois juste des correspondances. Aucune intention d’essentialiser qui/quoi que ce soit. Le Japon m’est inconnu sinon par la richesse de son histoire, de ses productions culturelles et le raffinement de sa cuisine. Je devrais y passer du temps dans quelque temps, avec un ami qui y travaille, ce qui est la meilleure façon d’aborder un pays, de l’intérieur.
J’espère que le livre faulknerien de Flanagan, dont le titre est issu d’un haiku de Basho (the narrow road to the deep north), sera bientôt traduit en français. Psychées délicates et impressionnables s’abstenir.

Sergio dit: à

Ouf, un peu de calme dit: 23 novembre 2014 à 15 h 53 min
c’est l’heure des vêpres.

En UTC alors…

jem dit: à

« Le dialogue entre Pascal et Nietzsche est l’un des plus beaux qu’on puisse méditer. » Paul Edel

Il y a un troisième terme à cette équation, il me semble, et c’est Dostoïevski, prophète et pourfendeur du nihilisme.

Technicien oiseux dit: à

« En UTC alors… »

Je vous croyais Nancéien !

bérénice dit: à

d’assumer le monde,

Quelle drôle d’idée, vous vous prenez pour le Christ?

Pas étonné dit: à

blanche-neige voyait des nains partout, pour d’autres nains c’est chaloux

bérénice dit: à

 » Coucher par écrit ne me paraît pas bien fameux. Ca doit être une de ces expressions toutes faites qui rebutent les lecteurs qui lisent pour les éditeurs qui recherchent l’originalité qui leur paraît nécessaire dans les manuscrits que les éditeurs publient lorsqu’ils ont été lus par les lecteurs que rebutent les expressions toutes faites dans le genre de « coucher par écrit » qui est pourtant ce que je voudrais faire de quelque chose que j’ai vu aujourd’hui bien que je ne sois qu’un amateur que gênent les règles de la tragédie, du sonnet ou de l’ode car je n’ai pas l’habitude d’écrire. »

la vie dans les bois dit: à

Il n’est pas nécessaire d’avoir un DEA pour comprendre bien profondément l’art de prendre les autres pour des cons:
le 16h revoie à ça:
« The Narrow Road to the Deep North est le sixième roman de l’écrivain australien Richard Flanagan paru mi-2014 et qui lui a valu le prix Booker le 14 octobre 2014. Il traite d’un médecin australien hanté par son histoire d’amour, pendant la Seconde Guerre mondiale, avec la femme de son oncle. Le roman met notamment en scène la vie des prisonniers qui travaillèrent à la construction d’une ligne de chemin de fer entre la Thaïlande et la Birmanie, la ligne Siam-Birmanie. Ces thèmes entrent en résonance avec la vie du père de l’auteur, qui travailla sur cette ligne et y survécut pour décéder le jour où son fils acheva le roman »

Vous avez ensuite des sushis au choix, dans n’importe quel restaurant japonais, servis pas bloom dans un restaurant syrien.
Et pas une thèse sur la décapitation en littérature à l’appui ?

constat dit: à

et retour de la puanteur des moulins a decrets…

loulou dit: à

poor Hamlet, il est tellement pathétique que personne ne prend la peine de lui répondre. c’est toujours un peu gênant de voir un sot s’humilier publiquement. comme un sentiment d’immense lassitude, quoi

bérénice dit: à

Ces histoires de chemin de fer nous entrainent loin loin jusqu’en Syrie aujourd’hui, c’est circulaire comme un circuit.

constat dit: à

les mendiants d’une bouffe au resto

constat dit: à

ah oui avec la syrie tu peux faire des pets pas croyables

Lucien Bergeret dit: à

@ Coli qui pose à Clopine la question :

« Et pourquoi faudrait-il interdire Lucien Bergeret ? »

Clopine souhaite me voir disparaitre parce que, voilà quelques mois, elle est tombée sur mon blog où j’ai eu l’outrecuidance de dire ce que je pense d’elle, ce qui ne lui a pas plu.
Comme je disais que je lisais régulièrement tout ce qu’elle écrivait, elle s’est persuadé que j’étais ou que je lui avais envoyé tous ceux qu’elle nomme les trolls. Je suis en quelque sorte devenu l’ennemi numéro 1.
Je ne ressemble en rien au portrait qu’elle fait de moi.

TKT dit: à

Clopine, seuls les commentaires les plus odieux, c’est à dire racistes, de JC alias D. ont disparus. D.bile ne disparaitra jamais, il n’a rien d’autre à faire dans la vie que d’être mauvais et encore, uniquement de manière virtuelle. Il y a quelques jours, il posta pendant plus de 24 heures, à peu près toutes les dix minute avec un pseudo différent. Ce qui donna à Pierre Assouline d’intervenir après 9 années.
D. ne disparaitra que s’il est poursuivit en justice, c’est comme ça.
Inutile de venir poster ici, si on ne désire pas mettre les pieds dans la crotte de D., qui se prend pour dieu ou Jésus Christ, Mélanchon ou Martine Le pen.
Ne demandez pas pourquoi Jacques Barozzi ne poste pas, il y a mieux à faire que de rencontrer ce D., qui vraisemblablement doit aussi être Lucien Bergeret.
Clopine, je vous souhaite « bonne continuation », comme on dit d’une manière populaire…

loulou dit: à

toutafé, et on peut ajouter Baudelaire aussi, que Nietzsche voyait comme le grand poète de la décadence européenne, en quoi il avait parfaitement raison. dans leur bêtise les bourgeois avaient bien compris le danger représenté par cb

bérénice dit: à

L’intention n’était pas à la moquerie, on n’en sort pas de ces barbaries tyranniques, et les facilités de communications n’arrangent rien de la perception, vous arrive-t-il de couper tous les canaux pour ne plus enregistrer ces morts atroces, ces fugitifs de tous pays, ces tortures, ces folies d’un nouveau genre qui vont tuer les enfants dans les écoles?

Lucien Bergeret dit: à

@ bérénice (16 h 10 min)qui relève ceci
« d’assumer le monde, » que j’ai effectivement écrit et qui me demande
« Quelle drôle d’idée, vous vous prenez pour le Christ? »

Il s’agissait d’un morceau d’un passage du livre de Kamel Daoud Meursault, contre-enquête.
Le passage complet n’ayant pas été accepté par la nouvelle modération, j’ai cherché à comprendre ce qui coinçait. Pour cela, j’ai passé l’extrait par fragments ce qui donne des commentaires étranges.
C’est tout.

Sergio dit: à

Technicien oiseux dit: 23 novembre 2014 à 16 h 09 min
« En UTC alors… »

Je vous croyais Nancéien !

Ben houi… Il fait jour de onze heures cinquante-cinq à midi une ; le reste du temps c’est le détroit de Béring… Le seul boulot accessible c’est hallumeur de réverbères… Si on les voit, évidemment !

Bloom dit: à

Pour « the narrow mind in the deep woods » :
« Feck God for having made this world, fecked be His name, now and for fecking ever, feck God for our lives, feck God for not saving us, feck God for not fecking being here and for not fecking saving the men burning on the fecking bamboo. »
Un peu plus sexy que la notice de wiki, le texte, avec un « e » anti-mouchards (le texte original n’est pas censuré).
Je pourrais ajouter « Feck the man in the woods », mais je suis ni prisonnier de Tojo, ni australien, ni romancier.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…quelle marmite,!…pas cracher sur la soupe,!…
…quel prix, à l’époque pour habiller un cavalier , quels instructions, tout çà pour mordre la poussière,!…sur des pièges à cons,!…

…Oui, mais, c’est qu’au 32°siècle,…Non, c’est trop, c’est insufisant d’esprit,!…çà sera à la mode,!…
…etc,!…
…des épouses téléportées pour détruire les clans & familles,!…tu m’aime,!…je suis payer pour mon compte secret à part,!…le paradis,!…à nos anges des transformismes pas sortir de la marmite,!…le poulet décharné aux os,!…
…c’est un chef-coq,!…
…c’est beau, l’amour de la cuisine,!…
…des couleuvres à avaler,!…ne faite pas votre Jeanne-d’Arc,!…à Lourdes,!…etc,!…

TKT dit: à

Coli dit: 23 novembre 2014 à 16 h 52: Lucien Bergeret a beaucoup en commun avec JC et D. Un pervers narcissique.
D., n’est pas légendaire et je ne le cherche pas, je le trouve sur mon chemin depuis 2005. Il fait partie des gens dont je souhaite la disparition d’internet.
Bien entendu il est possible que vous ne soyez pas vraiment L. Bergeret, franchement quelle différence cela fait-il ?
Bon, inutile de me répondre, ce sera mon dernier commentaire à votre sujet.

hamlet dit: à

« Disons cependant que l’hypocrisie occidentale se pare d’une morale humaniste qu’il me semblerait, à moi, urgent de partager universellement… »

bien dit Clopine !
il est grand temps que la planète entière partage notre belle hypocrisie humaniste !
car c’est là le plus beau fleuron de notre occident : son orgueil humaniste…

mais ne soyez pas inquiète Clopine c’est en train de se faire.
au rythme où vont les choses nous trouverons des comités d’éthique médicale même en Somalie.

parce que les comités d’éthique c’est notre plus belle invention, ils discutent avec leur voix de prêtres des mères porteuses et des cellules souches.

par contre pour les salaires mirobolants des uns comparés à la misère crasse des autres, pour les inégalités et la démesure qui évoluent à la vitesse des comètes, là, pour ça nous n’avons pas de comité d’éthique.

c’est ce qu’on appelle de l’éthique à deux vitesses.

si bien qu’il serait tout à fait envisageable de créer des comités d’éthique pour se pencher sur l’éthique de nos comités d’éthique dont l’éthique consiste à se poser des questions d’éthique sur des sujets où l’éthique ne se pose guère et de ne pas se poser des questions d’éthique sur des sujets où l’éthique est bafouée !

mais ça Clopine, c’est tout l’art de la philosophie, nul doute que cette hypocrisie intéressera le reste de la la planète.

Passou dit: à

Il arrive que des noms d’anciens commentateurs de la RDL soient cités ici ou là, non sans nostalgie dans la mesure où ils n’ont pas reparu depuis un certain temps. DI BRAZZA, de son vrai nom Daniel Renaud, était l’un d’eux. Di Brazza était son pseudonyme. Il lisait toujours la RDL, billet et commentaires, mais ne postait plus ; il m’écrivait régulièrement sur ma messagerie. Nous échangions à l’occasion, et parfois, ce n’était que pour parler syntaxe, grammaire, orthographe, car il avait la délicatesse de me signaler mes fautes discrètement. Ses amis viennent de me prévenir qu’il s’est éteint hier à l’issue d’une longue maladie. Là où il est, que Daniel « Di Brazza » Renaud reçoive notre salut amical de tout coeur.

hamlet dit: à

avant mon préféré c’est Axel Kahn ! le roi des vaniteux médaille d’or des faux culs qui ne s’est jamais intéressé à rien d’autre dans sa vie que lui-même.

et maintenant nous en avons un nouveau qui les bat tous à plate coutures : Ameisen !
alors lui c’est le pompon de tous les pompons, on peut pas l’écouter parler plus de 2 minutes sans se mettre à chialer.
avec lui c’est sûr que tous les patrons du cac40 ils peuvent dormir tranquilles !
encore une chance qu’il ne soit pas philosophe.

TKT dit: à

Di Brazza avait de l’humour et une vraie urbanité.

pierre brochant dit: à

il ne se repose jamais hamlet, il est comme françois pignon dans le dîner de c…

christiane dit: à

Merci Pierre

PMB dit: à

TKT dit: 23 novembre 2014 à 17 h 26 min

Je confirme…

burntoast dit: à

W : « Tout est hasard, destin erratique. Qui mieux que Pascal l’a dit en des formules si simples et si vraies ? » A ma connaissance Pascal parlait du hasard mathématique dans les jeux, et absolument pas d’un hasard qui mène le monde. Pour la religion chrétienne de l’époque, et Dieu sait que Pascal était croyant, le hasard (ou la fortune comme on disait aussi), n’existait pas (vs les desseins de Dieu). Pour plus de clarté sur ce sujet, on se rappellera des démêlées de Montaigne durant son voyage a Rome en 1581, pour un abus du mot « Fortune » dans ses essais (suspicion de fatalisme pour l’Inquisition).

Annibal 2 mes 2 dit: à

Certes, burntoast, mais Dieu n’est-il pas l’enjeu du célèbre pari de Pascal ?

Si par hasard il existait, nous lui recommanderions chaleureusement l’âme de notre défunt camarade di Brazza…

ok dit: à

Annibal 2 est bien barozzi…

Annibal 2 mes 2 dit: à

Amorçons le dialogue et voyons ce que Nietzsche aurait eu à répondre à cela ?

PASCAL

Vains objets du bonheur

Pour Pascal (1623-1662), que l’on soit roi ou mécréant, la recherche du bonheur n’est le plus souvent qu’une triste course aux divertissements. Les hommes feraient mieux de rester chez eux, ainsi qu’il l’exprime avec impétuosité dans les fragments de ses Pensées, ci-dessous. Pour faire de la philosophie peut-être ? Certainement pas : «Les philosophes ont beau dire : « Rentrez en vous-mêmes, vous y trouverez votre bien », on ne les croit pas et ceux qui les croient sont les plus vides et les plus sots. » (133). Seule alternative possible, selon lui : « Le bonheur n’est ni hors de nous ni dans nous ; il est en Dieu et hors et dans nous » (386).

126

Divertissement.
Quand je m’y suis mis quelquefois à considérer les diverses agitations des hommes, et les périls, et les peines où ils s’exposent dans la cour, dans la guerre d’où naissent tant de querelles, de passions, d’entreprises hardies et souvent mauvaises, j’ai dit souvent que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre. Un homme qui a assez de bien pour vivre, s’il savait demeurer chez soi avec plaisir n’en sortirait pas pour aller sur la mer ou au siège d’une place, ou n’achèterait une charge à l’armée si cher que parce qu’on trouverait insupportable de ne bouger de la ville, et on ne recherche les conversations et les divertissements des jeux que parce qu’on ne demeure chez soi avec plaisir.
Mais quand j’ai pensé de plus près et qu’après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs, j’ai voulu en découvrir les raisons, j’ai trouvé qu’il y en a une bien effective qui consiste dans le malheur naturel de notre condition faible et mortelle et si misérable que rien ne peut nous consoler lorsque nous y pensons de près. […]
De là vient que le jeu et la conversation des femmes, la guerre, les grands emplois sont si recherchés. Ce n’est pas qu’il y ait en effet du bonheur, ni qu’on s’imagine que la vraie béatitude soit d’avoir l’argent qu’on peut gagner au jeu, ou dans le lièvre qu’on court; on n’en voudrait pas s’il était offert. Ce n’est pas cet usage mol et paisible et qui nous laisse penser à notre malheureuse condition qu’on recherche, ni les dangers de la guerre, ni la peine des emplois, mais c’est le tracas qui nous détourne d’y penser et nous divertit.
De là vient que les hommes aiment tant le bruit et le remuement. De là vient que la prison est un supplice si horrible, de là vient que le plaisir de la solitude est une chose incompréhensible. Et c’est enfin le plus grand sujet de félicité de la condition des rois, de ce qu’on essaie sans cesse à les divertir et à leur procurer toutes sortes de plaisirs. […]

127

Divertissement.
La dignité royale n’est-elle pas assez grande d’elle même pour celui qui la possède pour le rendre heureux par la seule vue de ce qu’il est ? Faudra-t-il le divertir de cette pensée comme les gens du commun ? […] Et quel objet plus satisfaisant pourrait-on donner à son esprit ? Ne serait-ce donc pas faire tort à sa joie d’occuper son âme à penser à ajuster ses pas à la cadence d’un air ou à placer adroitement une barre, au lieu de le laisser jouir en repos de la contemplation de la gloire majestueuse qui l’environne. Qu’on en fasse l’épreuve, qu’on laisse un roi tout seul sans aucune satisfaction des sens, sans aucun soin dans l’esprit, sans compagnies, penser à lui tout à loisir, et l’on verra qu’un roi sans divertissement est un homme plein de misères. […]

129

Divertissement.
On charge les hommes dès l’enfance du soin de leur honneur, de leur bien, de leurs amis, et encore du bien et de l’honneur de leurs amis, on les accable d’affaires, de l’apprentissage des langues et d’exercices, et on leur fait entendre qu’ils ne sauraient être heureux sans que leur santé, leur honneur, leur fortune, et celles de leurs amis soient en bon état, et qu’une seule chose qui manque les rendra malheureux. Ainsi on leur donne des charges et des affaires qui les font tracasser dès la pointe du jour.
– Voilà, direz-vous, une étrange manière de les rendre heureux ; que pourrait-on faire de mieux pour les rendre malheureux ?
– Comment ? Ce qu’on pourrait faire ? Il ne faudrait que leur ôter tous ces soucis, car alors ils se verraient, ils penseraient à ce qu’ils sont, d’où ils viennent, où ils vont, et ainsi on ne peut trop les occuper et les détourner. Et c’est pourquoi, après leur avoir tant préparé d’affaires, s’ils ont quelque temps de relâche, on leur conseille de l’employer à se divertir, et jouer, et s’occuper toujours tout entiers.
Que le cœur de l’homme est creux et plein d’ordure !
Pensées,
folio classique, n°2777
Editions Gallimard, 1977

Daaphnée dit: à

un problème lié au premier degré ?

mmm …, Antonio Corrado, votre Kilimandjaro est bien trop lourd pour prétendre à la légèreté d’une quelconque plaisanterie.
Vous avez dit une sottise , ce n’est pas bien grave.

burntoast dit: à

>Annibal 2 ou B.
Une telle science du copier/coller me rend envieux. Ah là, là.
Allez je risque également, au sens Pascalien, un copié-collé : « Oui, mais il faut parier, cela n’est pas volontaire, vous êtes embarqué. »
Pour le pari, Pascal est encore dans la théorie des jeux, si chère au Chevalier de Méré. Je ne vous ferais pas l’injure de développer.

Daaphnée dit: à

raymond

Nos félicitations, petit Raymond.
Ne jamais rien comprendre à ce dont il est question ici et s’obstiner comme vous le faites, cela mérite bien une petite récompense.
Allez, une tape sur la tête de la bêbête.

( Personne n’en veut ?
Bon . Peut-être à la SPA .. )

Daaphnée dit: à

C’est assez étrange, Pierre Assouline, que ce soit à l’occasion d’évènements dramatiques que le réel fasse incursion dans cet espace virtuel ..

source dit: à

BURTON À CINQUANTE ANS

LE MONDE | 23.01.1980 à 00h00 • Mis à jour le 23.01.1980 à 00h00 | N. M.-S.
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Burton fête le cinquantenaire de la firme britannique créée par Montague Burton à Chesterfield. En 1964, ce géant du vêtement masculin s’installe à Paris en rachetant Alba et, en 1970, la chaîne Saint-Rémy, une soixantaine de magasins pour hommes et pour femmes.

S’il est très connu en Grande-Bretagne, où ses usines de prêt-à-porter alimentent ses magasins, en France, Burton a du mal à percer, jouant comme il le fait sur plusieurs tableaux, sans identité bien définie.

Aussi est-ce dans le domaine féminin qu’il cherche une nouvelle clientèle, notamment dans les centres commerciaux de la périphérie parisienne et sur la côte méditerranéenne, de Toulon à Béziers. Un magasin mixte doit s’ouvrir prochainement à Nantes, se spécialisant dans les blazers et les pantalons de flanelle pour hommes et les ensembles de salopettes et chandails pour femmes, ainsi que les jupes, chemisiers et vestes qui forment la panoplie de la vie quotidienne.

N. M.-S.

hamlet dit: à

je me souviens bien de Di Brazza.
c’est curieux ce surgissement soudain d’une humanité dans un lieu virtuel.
même sans réellement connaitre une personne on peut être qu’affecté par sa disparition.

Monsieur Assouline je pourrais vous demander, s’il vous plait, de supprimer les deux commentaires débiles signés « hamlet » qui entourent cette triste nouvelle.

Widergänger dit: à

Vous ne connaissez rien à Pascal. Désolé de vous le dire si crument. Lisez au moins La Logique du pire de Clément Rosset, un excellent chapitre sur le hasard chez Pascal.

Widergänger dit: à

Mon père a fait un procès à la maison de vêtement Alba, parce qu’elle faisait concurrence à sa mère. Dans les années 30 alors que la maison de haute couture qu’elle avait fondée en 1910 boulevard Haussmann avait fait faillite depuis des années. Mon pauvre père était un peu innocent.

overseas stomp dit: à

hamlet dit: 23 novembre 2014 à 19 h 59 min
je me souviens bien de Di Brazza.
c’est curieux ce surgissement soudain d’une humanité dans un lieu virtuel.
même sans réellement connaitre une personne on peut être qu’affecté par sa disparition.

Monsieur Assouline je pourrais vous demander, s’il vous plait, de supprimer les deux commentaires débiles signés « hamlet » qui entourent cette triste nouvelle.

Puissiez-vous ne rien supprimer ; sait-on jamais… Le son de cet enregistrement de 64 ressorti en 99 a quelque chose d’irréel à beaucoup d’égards : https://www.youtube.com/watch?v=iQIFfrucUr4

Annibal 2 mes 2 dit: à

Cet espace n’est pas si virtuel que ça, Daaphnée. Derrière les commentaires il y a des personnes et, parfois,mêmes des rencontres.
Sauf pour les professionnels du mensonge, du travestissement ou de l’usurpation d’identité. Suivez mon regard…

closer dit: à

Barozzi, vous n’avez toujours pas expliqué votre changement d’identité sur ce blog!

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…faites ce qui vous plait, du moment que vous ne marcher pas sur mes principes,!…riches, pauvres ou puissants,!…escrocs – collabo’s – & lèches-culs héréditaires,!…prennez-en de la graines,!…
…Roi des cons des rois règnants sur les rois,!…Ah,! Ah,!çà ira, à çà ira, çà ira,!…
…le capital à souflé-sucé,!…retour au point  » zéro « ,!…l’amour-vache,!…présent,!…encore  » une « , belote,!…
…etc,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…au café à l’Eden-Bio-Cul,!…patron une autre, plus mousser,!…tennez finisser-là vous même,!…Go,!…

Sergio dit: à

Halors là, non seulement l’identité c’est la ruine de l’âme, mais encore il y a des gars qui en changent, et même d’autres qui les zuzurpent ! C’es la fin du petit cheval la mort des haricots…

Sergio dit: à

Giovanni Sant’Angelo dit: 23 novembre 2014 à 22 h 40 min
collabo’s – & lèches-culs héréditaires,!

En Lorraine ? Depuis le traité de Verdun en huit cent quarante-trois : voilà au moins quelque chose de stable… De transcendant ! Collabos depuis avant le biberon… Après ça s’arrête plus ça peut plus s’arrêter ! Korbacks…

pado dit: à

passou 17h17

Comment la disparition de quelqu’un que l’on a jamais rencontré peut-elle vous toucher ?
Mystère virtuel.
Certains d’entre vous ici s’étaient peut-être il y a 4 5 ans promenés sur le blog de DiB et laisser envoûter par les aventures délirantes qui se passaient dans les sous-sols d’une étrange maison.
Moi j’attendais mon feuilleton (hebdomadaire ?) avec impatience (mon côté Alexandre Dumas)
Il était doué (je crois) mais sujet à une sensibilité que l’on dit à fleur de peau (MàC et Laz doivent encore s’en souvenir) qui n’est pas toujours un facteur de réussite.
Il y a un an ou deux quelques commentaires (peu) signés DiB sont apparus, j’ai espéré, en vain.
Merci à passou et paix à lui.

M'enfin dit: à

Le plaisir de voir un post signé Christiane après tant de questionnements et d’inquiétudes ..

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…Sergio,…à 23 h 23 mn,!…

…s’en avoir inventer, le fil (de téléphone) à couper le beurre,!…
…et comme on dit,…la police fait  » macro  » de pûtes,!…nous pouvont en conclure,…

…que tout les gens, qui on ces merveilles de téléphones-portables,…sont suivis à la traces par les autorités,!…(patronnales)

…surtout ceux qui travaillent en couple ou pas,!…
…Oui,!…le 14° arrondissement(exemple),!…est ce que Georgette est disponible,!…( elle est dans mon bureau ),!…Oui,!…çà baigne,!…son tendre-mari-chrétien, ( au 12 ° arr)…est en court avec la grosse pour sa promotion,!…

…déshabillez-vous,…un coucou pour votre mari,!…mieux que celà,!…
…c’est un plaisir, des marionnettes à cornes de glaces, c’est à lécher,!…
…silence on tourne,!…vous êtes bien rôder,!…
…alors chérie, la journée,!…le trein-trein quotidien,!…l’état-major à me mettre,!…le tri-pieds,!…
…vous vous marier,!…encore un macro en puissance,!…Ah,!Ah,!…
…Allo,!,…Police-Montée,…je suis canadienne en lèche à court à Paris,!…vous avez une place,!…of course,!…Bip,!Bip,!…simulations & diversions,!…

…le bel hôtel,!…payez par l’amour de mon cul,!…sur la liste en promotion,!…etc,!…
…l’égalité des sexes, avec les cornes gratos,!…
…susse-c’est-pûtible,!…encore un effort,!…j’adore les Bourses,!…Go,!…
…collections de culs en l’air,!…pour masqués les hérésies-caca de la morale,!…
…envoyez,!…etc,!…

…+ la fin du petit cheval aux haricots,!…
…une tranche,!…Ah,!Ah,!…

christiane dit: à

Oui, Pado,
cela est juste mais à Caplongue, son île… il aura réalisé quelques rêves : deux concerts, une expo, et son film qu’il a eu le temps de terminer.

Antonio Corrado dit: à

Daaphnée dit: 23 novembre 2014 à 18 h 40 min

Je crois bien que c’est vrai,
vous êtes totalement stupide et incapable de penser en dehors de votre miroir.
Désolé Zouzou.

burntoast dit: à

>W, je crois avoir beaucoup lu sur le milieu janséniste et sur Pascal, et lu Pascal lui-même, cela va de soi, si ma mémoire ne me trahit pas.
J’ai également lu tout Rosset, un auteur très estimable et un bon HUMORISTE à ses heures.
Je vous laisse à vos certitudes (toujours dramatiquement énoncées, comme dirait Flaubert) ; de toutes façons elles n’influencent personne sur ce site, c’est le moins qu’on puisse dire.

J.-C. Azerty dit: à

En redressement judiciaire, Encyclopedia Universalis a 6 mois pour éviter le pire. Merci qui ? Merci Wikipédia !

La formule de l’Universalis est depuis longtemps morte et enterrée. Cette filiale de la Britannica, beaucoup moins pratique que son aînée, a connu son heure de relative notoriété au tournant des décennies 70/80 du siècle dernier. Wikipedia, malgré ses défauts, est une source d’informations infiniment plus pratique, plus riche et plus fiable, et gratuite, en plus. Que demande le peuple ? Merci, Wikipedia, de nous avoir débarrassés de ce canard boîteux, dont on ne voit vraiment pas ce qui pourrait le sauver.

J.-C. Azerty dit: à

Qui était Di Brazza ? (Annibal 2)

Savorgnan Di Brazza était un explorateur français. Sa remontée de l’Amazone en canoë canadien est restée dans les annales. Il fut le premier Occidental à pénétrer à la Mecque et à effectuer un tour complet de la Kaaba.

burntoast dit: à

J’avais été un des des premiers à acheter le DVD de cette encyclopédie, qui n’avait jamais fonctionné d’une manière satisfaisante. Une lettre à l’EU, m’avait valu une réponse remarquablement hautaine, et on m’avait indiqué du bout des lèvres, un n° de téléphone payant, pour « éventuellement » me dépanner. J’avais finalement jeté à la poubelle le DVD (ce qui était la destination naturelle d’un produit aussi mal conçu), et fait une publicité négative dans le milieu d’ingénieurs et de cadres où je travaillais à l’époque.

Souvenir dit: à

Di Brazza, son humour, son coté chevalier, ses « salutations » toujours baroques et surprenantes…
Memento mori.

J.-C. Azerty dit: à

Né d’un père musulman et d’une mère juive, Di Brazza expédie le dilemme vers l’âge de dix ans, en envoyant définitivement aux pelotes Yahvé/Allah et ses pompes. Sa vocation d’explorateur s’affirme à l’adolescence en regardant la série des « Mystères de l’Ouest ». Il réalise sa première mission ethnographique en explorant les dessous de sa grande soeur dans les tiroirs de sa commode. (à suivre).

J.-C. Azerty dit: à

Les archives de « Closer » conservent le précieux cliché de la poignée de mains entre Di Brazza et Ken Zabureau au sommet du mont Gerbier de Joncs. On en ignore l’auteur. (à suivre)

J.-C. Azerty dit: à

Ken Zabureau, au sommet du monte gerbier de Joncs, à Di Brazza :

— De Brazza, je présume.

Di Brazza à Zabureau :

— Dis Brazza, c’est plus simple et ça évitera les malentendus.

Daaphnée dit: à

Je crois bien que c’est vrai,
vous êtes totalement stupide et incapable de penser en dehors de votre miroir.
Désolé Zouzou.

Olala, Antonio corrado !
Quelle glue !
Vous êtes venu dire des idioties sur Hokusaï auquel vous ne connaissez strictement rien et c’est bien assez ! Allez voir ailleurs si j’y suis .

Clopine Trouillefou dit: à

à M’enfin dit : oui, certes, les passages de Christiane par ici sont le signe de sa présence parmi nous , c’est bien, évidemment, mais…

Mais cependant, ah, comment dire ça ? Je ne sais pas vous, mais moi elle a le chic pour m’agacer. Même ici, à propos de la disparition de DI BRAZZA. Comment dire ? Au lieu d’exprimer simplement ses regrets, son éventuel chagrin, elle s’adresse à notre hôte, d’un « sobre mais digne », tellement sobre et digne que c’en devient appuyé : « merci, Pierre Assouline ». Comme si le post de Pierre, faisant état de la disparition du blogueur, s’adressait avant tout à elle. Comme si elle faisait partie des proches de DI BRAZZA, et recevait donc, en leur nom, les condoléances… Ce n’est pas la première fois que Christiane s’approprie, en quelque sorte, le deuil de quelqu’un. Déjà, elle avait sous-entendu être très très proche de Patrice Chéreau, par exemple…

Ce peut être juste une maladresse, cette manière de s’exprimer, ou le signe d’une mythomanie. En tout cas, cela m’agace un peu.

Compte tenu de l’âge moyen des erdéliens, que je situe au pif vers 65 ans, il est à craindre que Pierre Assouline n’ait à déplorer, de temps en temps, la disparition de certains d’entre nous. Christiane le remerciera-t-elle à chaque fois, avec cette manière inimitable de l’appropriation ? Ah là là…

En tout cas, ceux d’entre nous qui veulent mettre un petit mot à l’attention des proches de DI BRAZZA peuvent le faire, tout simplement, sur facebook…

Médiocrité ordinaire des cheftaines de fan's clus dit: à

Si pour l’aimer (ou le contraire) faudrait un guide, faites-vous directement Brayonne et basta !

J.-C. Azerty dit: à

Dix ans après la disparition de Ken Zabureau au cours de sa descente en rappel, en compagnie de Di Brazza, au fond du cratère du Monte Gerbier de Joncs, le mystère demeure entier. Di Brazza est toujours resté évasif sur ce sujet, encore bûlant, surtout depuis la récente éruption du Gerbier de Joncs.

Médiocrité ordinaire des cheftaines de fan's clus dit: à

Quelle coïncidence !!

J.-C. Azerty dit: à

Depuis la disparition de Di Brazza dans les territoires contrôlés par Boko Haram, l’inquiétude grandit. Le dernier tweet reçu de l’explorateur disait :  » Chez les Boko Haram, y a beaucoup harem ». Certes, mais ce n’est pas une raison pour laisser ses proches sans nouvelles.

bof dit: à

Clopine la Trierweiler de la RDL, détestée par la moitié de la RDL, méprisée par l’autre, trouve le moyen de tartiner une demi page sur la sirupeuse christiane pour un « merci Pierre »! on vit une époque fantastique
PS: i quelqu »un pouvait dire à JC A…. qu’il n’est absolument pas drôle, une sorte de SINE sénile, ça lui éviterait des efforts!

Paul Edel dit: à

clopine, cessez de vous en prendre à Christiane.vous n’avez rien d’autre à faire?
Le redresement judiciaire de l’encyclopedia universalis est vraiment une sale nouvelle.

Pas étonné dit: à

désolé mais « la remarque » de Clopine sur christiane (qui n’a pas changée) est très juste, mater dolorosa

Clopine Trouillefou dit: à

Paul Edel, votre objurgation, là, pourquoi ne l’adressez-vous pas aussi à ceux qui s’en prennent à moi, et n’ont visiblement rien d’autre à faire ?

… D’autant que vous avez souvent fait état de vos propres agacements (pour ne pas dire plus), devant la même Christiane…

closer dit: à

« clopine, cessez de vous en prendre à Christiane. vous n’avez rien d’autre à faire? »

Il a cent fois raison Popaul. Plutôt que de taper sur Christiane pour une malheureuse phrase, vous feriez mieux, chère Clopine, de vous inquiéter du fait qu’elle n’intervient pratiquement plus…

Paul Edel dit: à

les connaissances littéraires, picturales, la curiosité intellectuelle de Christiane méritent un peu de respect Clopine, non? Et le côté « mater dolorosa » qui lui est reproché ne me gêne pas du tout surtout sur un blog où l l’aiguille du compteur geiger du crépitement agressif est toujours en position maximum.

Pas étonné dit: à

le Clopine bashing est ridicule, toujours la misogynie… si c’était un mec on ne dirait rien… JC va touiller ton potage ailleurs

Miette dit: à

Ds ces cas-là les mots paraissent tjs un peu dérisoires, pourtant ils sont tt ce que ns avons. Alors autant que ce soient les siens dans « Mort dorées », ceux qu’il avait prêtés à son artiste criminel :
« (tous les corps sont si vulnérables. Un rien leur arrive et voilà que l’âme qui les animait s’échappe) »

Antonio Corrado dit: à

Daaphnée dit: 24 novembre 2014 à 10 h 25 min
Olala, Antonio corrado !
Quelle glue !

Une glue !!!!!!
Le féminin implique donc obligatoirement l’adjonction d’un « e » final,
est-ce vraiment du féminisme ?

Pour en revenir à Hokusai, j’ai écrit
« Pfftt, ils se pourlèchent tous à l’idée de voir des « estampes japonaises » et même pas l’ombre d’une, rien que le Kilimandjaro sous toutes les coutures. »

Etre capable de prendre cette phrase au premier dégré me semble être d’un ridicule absolu, surtout si l’auteur affirme avoir visité trois fois cette exposition.

Si vous vous êtiez rendue au Grand Palais vous auriez remarqué que les vues du mont Fuji n’occupent qu’UN seul mur d’une seule salle, ce qui vous l’avouerez est peu sur une dizaine de très grandes salles et de nombreuses vitrines centrales et ne peut donc être considéré comme vu « sous toutes les coutures ».

Si vous êtes inapte à ma forme d’humour j’en suis désolé mais cela ne vous autorise pas à la grossièreté et à cette forme d’obstination ridicule qui vous caractérise.

La « glue » vous salue bien.

Pas étonné dit: à

Poapul s’est détaché de Clopine et essaie maintenant de récupérer christiane qui a déserté son blog

Mais non, mais non dit: à

Et puis le genre grande gamine dolorosa c’est tellement plus in et plus beau, n’est-ce pas…

Mais non, mais non dit: à

Au fait, à quelle heure va-t-elle nous pondre son premier « haha! » du jour, toute heureuse de faire son intéressante ?

Pas étonné dit: à

mais non : coucou JC démasqué

Daaphnée dit: à

Si vous êtes inapte à ma forme d’humour j’en suis désolé mais cela ne vous autorise pas à la grossièreté et à cette forme d’obstination ridicule qui vous caractérise.

Il n’y a que vous ici qui soyez grossier ! Et à plus d’un titre.
Quel stupide lourdaud, vous faites!

Retournez voir l’expo une 4° fois ..

Paul Edel dit: à

@pas étonné.
christiane n’a jamais déserté mon blog, si vous voulez tout savoir, elle a parfois changé de pseudo pour éviter des agressions systématiques.

christiane dit: à

Aux éditions « L’esprit de suite » Di Brazza avait fait paraître 4 livres :
« Chochottes blues ? »
« Rue d’Où suis-je ? »
ces deux livres reprenaient les textes de son blog.
Des poèmes :
« Après coup (suivi de Pour mémoire / fragments) »
et
« Je est une ombre »
où, au chapitre II, il avait interrompu son livre pour saluer la mort de Folon par un poème émouvant et drôle, de circonstance…

« Dernier lâcher d’hoiseaummes
Avant l’éternité :
Folon est mort et j’interromps ce livre.

Folon est mort. Lui aussi.
A quelle heure ? A quelle heure ?
Dit la Marquise de Quendisentelles
Au Marquis de Quendiraton.

Folon est mort.
Tous les crayons, les pastels, les pinceaux
Sont en berne.
Oui mais à quelle heure ? A quelle heure ?
Disent la Marquise de Quendisentelles
Et le Marquis de Quendiraton.
A l’heure d’hiver ou à l’heure d’été ?
A l’heure de la prière ou à l’heure du thé ?

Folon est mort.
Monsieur l’Hoiseaumme s’est envolé.
Les marquis qui parlent anglais
Disent de lui
Qu’il est mort en Has been
A l’heure d’avoir été.

Voilà pourquoi très chère,
Voilà pourquoi my dear
Les Marquis et les Marquises
Finissent toujours
– il y a une justice –
Par être guillotinés  »

(De Folon au billet de ce jour à vol d’hoiseaummes…)

christiane dit: à

Paul Edel dit: 24 novembre 2014 à 11 h 34 min

Je confirme !

Pas étonné dit: à

alors christiane c’est margotte

B comme BERLIN dit: à

Ressassons donc !

http://www.google.de/imgres?imgurl=http://michelduchaine.files.wordpress.com/2013/12/mont-kilimandjaro-002.jpg&imgrefurl=http://michelduchaine.com/2013/12/18/les-neiges-du-kilimandjaro-auront-disparues-dici-2030/&h=820&w=1244&tbnid=uWssnnqZ37gx1M:&zoom=1&tbnh=90&tbnw=137&usg=__op5EPQMz25YB0egAmVZWH0eIbLI=&docid=kPPuwW3CJQE38M&client=firefox-a&sa=X&ei=8AtzVJjPGoGHPbPqgNgH&ved=0CDAQ9QEwAQ&dur=123

http://www.google.de/imgres?imgurl=http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/d5/FujiSunriseKawaguchiko2025WP.jpg&imgrefurl=http://en.wikipedia.org/wiki/Mount_Fuji&h=640&w=960&tbnid=F1pRP36RRoF_dM:&zoom=1&tbnh=90&tbnw=135&usg=__WIp9u5PYPAIO2nmSUGmfPhUDFbQ=&docid=JTmFWUh6vTdULM&client=firefox-a&sa=X&ei=awxzVOWjNIuuPJaSgeAG&ved=0CE4Q9QEwBQ&dur=5895

24H pour expliquer votre humour !!! !! !.

Annibal 2 mes 2 dit: à

Clopine, Paul, Christiane…essayons de faire taire nos divers ressentiments.
C’est ce que je tentais de dire paisiblement à Daaphnée, en reconnaissant que, certes, ce lieu est virtuel mais que derrière les noms et pseudos se trouvaient des femmes et des hommes bien réels, eux.
Je ne connaissais pas bien Di Brazza, qui a cessé de poster quand je commençais. Mais je crois me souvenir qu’un jour, en proie à une homophobie ordinaire, il était venu spécialement me témoigner de sa solidarité.
J’avais apprécié…

Annibal 2 mes 2 dit: à

Merci pour ces précisions, Christiane. Et sur son film, vous pourriez-nous en dire plus ?

Buffon dit: à

Daaphnée dit: 24 novembre 2014 à 11 h 32 min

La teigne est un animal bien vilain, même le ridicule ne la tue pas.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…comme dirait,…notre bouguereau national,!…
…rien ne vaut un gode-ceinture en platine,!…pour rafraîchir les idées de la renaissance en communion du moyen-âge,!…

…ramene-nous en yacht,!…avec le passeur, sur l’autre rive de l’amore,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…

El cornudo dit: à

La teigne est un animal bien vilain, même le ridicule ne la tue pas.

C’est vrai, ce bouffon de corrado s’en tient une sacrée couche!

In ca dit: à

Pas étonné dit: 24 novembre 2014 à 11 h 50 min

Le Pasétonné/chaloux passe son temps à lire le blog de Paul et à le critiquer ici.
Un bel exemple schizophrénie.

Le temps qui passe dit: à

Annibal 2 mes 2 dit: 24 novembre 2014 à 11 h 50 min
Je ne connaissais pas bien Di Brazza, qui a cessé de poster quand je commençais

Annibal alzheimer vous gagne.

Buffon dit: à

El cornudo dit: 24 novembre 2014 à 12 h 04 min

Ne vous cachez pas Daaphnée, c’est mauvais pour votre teint.

christiane dit: à

@Annibal dit: 24 novembre 2014 à 11 h 56 min
Hélas non, Jacques. J’étais en déplacement lors de sa projection. Je sais juste qu’il y tenait comme à un … testament. Il a pu le voir.
(Heureuse de vous relire sous ce pseudo qui m’a laissé de bons souvenirs de lecture.)

J.-C. Azerty dit: à

je crois me souvenir qu’un jour, en proie à une homophobie ordinaire, il était venu spécialement me témoigner de sa solidarité. (Annibal2)

C’est tout de même un peu étonnant de voir Annibal 2 rendre hommage à un homophobe aussi invétéré que compulsif.

Service d'attribution des pseudos dit: à

Daaphnée dit: 24 novembre 2014 à 11 h 32 min

Daaphnée, nous prenons acte de votre demande de nouveau pseudo.
L’envoi des documents à nous renvoyer signés prendra deux ou trois jours mais vous pouvez utiliser ce nouveau pseudo immédiatement.

Rappel de votre nouveau pseudo :
« La Glue »

la vie dans les bois dit: à

Didon, qeelle ambiance, ils ont l’air tous à l’article de la mort.
la mort la mort la mort

Et la mater dolorosa, avec son tocsin, elle ne donne ni l’heure, ni le lieu de la cérémonie funéraire de M. Renaud à ceux qui semblent l’avoir particulièrement bien connu ?

Fons dit: à

Impossible de lire tous les commentaires postés depuis deux jours. De toute façon il me semble que la triste annonce que monsieur Assouline a dû faire hier après-midi, devrais mettre tous les autres sujets de discussion bien en arrière rang.

Je ne me rappelle que vaguement le nom Di Brazza, de mon court séjour à la rdl en 2009, et je n’ai pas encore trouvé le temps pour feuilleter Brèves de Blog pour trouver d’éventuels commentaires de sa part.
Je crois me souvenir que je n’arrivais pas trop à séparer les noms Barozzi et Di Brazza, et je ne crois pas que j’ai échangé un commentaire avec Di Brazza. Je viens donc plutôt de découvrir le commentateur Di Brazza grâce au commentaire assoulien et à sa demande aux rdliens de bien vouloir se souvenir de leur cocomentateur. Et c’est grâce aux lien posté par Annibal pour le concert de Di Brazza et aux commentaires de Christiane au sujet de sa poésie, qu’il me semble que je viens de découvrir un grand artiste Di Brazza.

Merci à Di Brazza pour cette découverte, et qu’il repose en paix. Merci à monsieur Assouline pour partager la triste nouvelle et merci aux rdliens qui sont prêts à se souvenir et à partager les bons souvenirs qu’ils gardent de Di Barozza.

Annibal 2 mes 2 dit: à

Merci, Daaphnée, je vais regarder.

Fons ou hamlet, on dirait du D. ?

Fons dit: à

Sorry Daniel Renaud, j’avais dû corriger votre pseudo plusieurs fois en écrivant mon commentaire, comme je l’avais mal épelé, et voilà que le tout dernier a échappé à ma correction. Sorry for that, and thanks again for keeping me listening to your concert.

http://www.youtube.com/watch?v=BMCO9M_8teM

Widergänger dit: à

burntoast dit: 24 novembre 2014 à 9 h 46 min
Manifestement vous n’avez strictement rien compris à Clément Rosset, notamment son chapitre sur Pascal.

Les gens comme vous pullulent hélas. Avec une arrogance dingue. Normal, plus on est nul, plus on est arrogant.

christiane dit: à

@Leo Nemo
Belle page en ce jour. Que de souvenirs…

DHH dit: à

@antonio Corrado
Laissez corrado!
Daphnée ne meritait pas que vous vous expliquiez
votre message etait charmant et plein d’humour ,tout en clins d’œil aux clichés qui alimentent l’imaginaire autour des « estampes japonaises », celles qu’à la belle époque on proposait de venir admirer dans les garçonnières ,et sur lesquelles on comptait , peut-être grâce aux themes salaces de certains de ces dessins, pour triompher de la réserve affichée des bourgeoises faussement prudes en mal de 5à7
Evidemment le vues de la vague ou du mont Fuji devaient rarement etre celles qu’on mettait en évidence

Que le joie demeure dit: à

Cricri en gaieté aux vêpres avec tous ses amis.

TKT dit: à

@ Annibal 2 mes 2 dit: 24 novembre 2014 à 12 h 41 min
« Merci, Daaphnée, je vais regarder.
Fons ou hamlet, on dirait d »:

Pour donner le change, Ducornaud écrit en anglais, il inventa même une rencontre entre Abdel et Fons, dans un pub londonien. Il adore sous différents pseudos se faire la conversation, surtout pour faire croire qu’il n’est pas D’JC.
Depuis que le ménage est fait, D.bile continue à commenter, même à connenter, mais les attaques racistes tombent sous le coup de la loi ont peut-être une chance d’être censurées. Tant que ses commentaires restent seulement insultants et débiles, sa raison de vivre peut perdurer.

Je ne vous croyais pas, Jacques, quand vous affirmiez que D. et Hamlet étaient la même personne dans la vraie vie. Vous aviez raison.
Le personnage de D.bile correspond le mieux à ce que ce malade mental doit être dans la vraie vie.
Ce qui est amusant, D. ne peut s’empêcher sous quelque pseudo que ce soit, de monter son coté négatif, homophobie, racisme, détestation de la société économique, sa pratique du fichier sur les participants etc… Ces personnages sont différents, sa folie reste la même.
Pour Porquerolles, il aurait dû choisir une autre île, car franchement vivre à Porquerolles pour pouvoir draguer les jeunes-femmes en scooter, pourquoi pas aller au pole-nord ou sud ?

TKT dit: à

« Normal, plus on est nul, plus on est arrogant. » écrit Michel Alba.
Aurait-il découvert l’autodérision ?

Widergänger dit: à

Non, simplement, quelqu’un se permet de dire des conneries sur Pascal sans rien connaître et prétend renvoyer dans les cordes un professeur qui connaît parfaitement bien Pascal et sait de quoi il parle quand il en parle. C’est tout. J’appelle ce genre de type tout simplement un connard. Point barre. Au lieu d’apprendre quelque chose par le moyen d’un blog, il méprise ceux qui savent et qui pourrait lui en apprendre. Type de cette époque d’abrutis qui méprise le savoir et les gens de savoir.

Voilà. Pas de quoi m’insulter ! Sauf si on est soi-même un abruti ! Ce qui est le cas pour Tkt comme chacun sait. Point barre.

Daaphnée dit: à

Cette DHH !
Toute pétrie de ses raides prétentions, le dentier au bout du museau !
Après nous avoir mis la geste au XIX° !!
Qu’elle laisse donc Hokusaï tranquille, on en a déjà assez entendu avec l’autre finaud.

Clopine Trouillefou dit: à

Cette Daaphnée ! Toujours à mépriser ce qui la dépasse, pourtant, de cent coudées… (et je précise à tous que, non, pas de « dentier » pour une DHH qui paraît vingt ans de moins que son âge réel. Le contraire du cerveau de Daaphnée, quoi : déjà largement attaqué par la déliquescence…)

Annibal 2 mes 2 dit: à

Di Brazza : une voix s’est éteinte, mais son étoile brille dans le noir !

Annibal 2 dit: à

Moi, j’avais des doutes pour JC et D., Thierry.
Bonne chance à celui qui s’attaquera à sa nécrologie !
Qui fut-il, d’où venait-il, où va t-il ???

Daaphnée dit: à

Vous faites bien de pointer du ventre, Clopine .
Entre votre sotte prose et celle de cette laborieuse, on entend passer le vent de l’aile ..

Un vrai bonheur !

Annibal 2 dit: à

Bon choix de pseudo D., que ce La vie en mensonge !

Les homos c’est comme les Juifs, les Auvergnats ou les Femmes : voyez comme ils, elles se tiennent les coudes sur ce blog !

TKT dit: à

Jacques, Fons m’écrivit un commentaire-message très aimable, mais soit il le fit exprès, soit c’est plus fort que lui, il parla de chemise jaune. Puis il vint, toujours aussi sirupeux, me parler de Trêves, une de mes villes de garnison en 66-68. Il fallait avoir fait une fiche pour s’en souvenir. Depuis 2005, D. et ses avatars, spécialement JC, me lancèrent les mêmes attaques débiles, chemise jaune, un chien (je n’en n’ai pas et je déteste les petits chiens), une tenue tyrolienne qui serait zürichoise, et tout le reste tout aussi dément. Il traita Clopine de mère-maqurelle, vendant son fils à des pédophiles, me traita de pédophile tout en mélangeant la Thaïlande et l’Indonésie, puis mélangeant l’actualité de Frédéric Mitterand (lors de la sortie de son roman) et ma propre vie revisitée par le pervers narcissique Monsieur D.
Les attaques racistes et homophobes lancées contre vous et votre compagnon, devaient aussi être de JC.
Pour ce qui est de sa nécrologie, elle pourrait s’écrire ainsi:
« Disparition physique de D., le troll fou de la RdL, il laisse les commentateurs de la RdL dans le plaisir d’être débarrassé d’un fleuve de boue. »

la vie dans les bois dit: à

C’est certainement un gag ce pseudo sur les mensonges gais des bobos. Les matous se font de l’oeil menaçant, on dirait.

Annibal 2 dit: à

Autre point commun à ces trois-là, Thierry, quand je leur propose de les rencontrer, il n’y a plus personne !

Sergio dit: à

Les gourdes, ou les gourles ? Y a une nuance bon Dieu !

abdelkader dit: à

ce billet, et le fait que Kenzaburô Ôé preside sur un prix literraire eponyme, ou il decide lui-meme qui va en etre laureat, m’a motive a visiter la librairie Daunts dans mon quartier hier et a acheter « a personal matter  » par Kenzaburô Ôé…je vous en donnerai des nouvelles quand je l’aurai lu…sinon, a parcourir les commentaires, il y a beaucoup d’ignorance a propos du japon et des japonais…jusqu’a la mauvaise langue qui sait tout du Japon a travers un clip de film, fait par un non-japonais! le summum de la connerie aggregee…perso, moi qui les cotoie de pres depuis quelques annees, et qui ai eu une copine japonaise quand j’etais plus jeune, je ne vais pas pretendre les connaitre plus que vous…au travail, on est deux cultures differentes qui co-habitent…on va prendre la goutte ensemble parfois, mais pas plus…la banque a Tokyo realise petit a petit qu’elle est plus globale que japonaise et essaie de changer de culture, mais ca va prendre du temps…beaucoup de temps…

renato dit: à

« Quelqu’un a-t-il souligné le caractère prémonitoire de la Vague ? »

Prémonitoire?! non, mais… quel mot! comme si la « monstrueuse vague » récente n’avait pas d’antécédents… et laissons le futur là où il est… enfin, pour ne dire qu’UNE évidence: Ogata Korin (1658–1716) Rough Waves (circa 1704–9), au Metropolitan Museum of Art, New York:
http://blogfigures.blogspot.fr/2011/03/ogata-korin-rough-waves.html

Sergio dit: à

Daaphnée dit: 24 novembre 2014 à 13 h 52 min
sotte prose

Heu… En magasin on a « sotte caillette », et pour rien ! Par Bernard Clavel, quand même, prix Goncourt mille neuf cent soixante-huit… Il a profité du vide ! Sapré manoeuvrier… Rusé comme un rnard !

renato dit: à

Un autre persécuté, hé merdre!

Constat dit: à

Clopine a raison sur la récup’ mortifère, après Chéreau, di Brazza, à qui le tour ?, certains tremblent déjà

Sergio dit: à

« le désir de développer dans un roman cette sorte de bourgeon qu’est l’univers sensible ou l’idée de ce mot. C’est à partir de là que je construis une histoire »

Houi. Seulement l’histoire, c’est du figuratif. Réfugié ! Carambned encore raté…

C.P. dit: à

Merci à renato pour l’entretien dans The Paris Review.

Sergio dit: à

La vie en mensonge des bobos dit: 24 novembre 2014 à 14 h 10 min
Vous n’êtes vraiment qu’une gonzesse

Hon en a tous un bout, hein ! 130 A, mettons… Comme Jolitorax !

fons dit: à

Cher TKT,

Je me trouve pour le moment en ville et en prenant un thé, j’ai jeté un coup d’oeil sur la rdl avec mon smartphone, et je suis assez consterné que vous me prenez toujours pour JC or whatever of his pseudos. Je ne peux que répéter pour vous et quelques autres commentateurs qui m’importent comme C.P., que je n’ai jamais mis un commentaire que sous le nom qui se trouve sur mon passeport. Mon nom a été usurpé quelques fois pour des commentaires très courts et sans aucune importance. En espérant de pouvoir prendre le thé un de ces jours, je ne peux que vous demander de bien vouloir me croire sur parole.

fons dit: à

Prendre le thé avec vous,

Sorry, mais c’est un peu difficile avec le mini clavier.

Sergio dit: à

C’est assez astucieux, l’immense communion, parce que du coup c’est plus avec personne. Stratagème d’ailleurs utilisé mainte fois, certes dans la plus grand honnêteté, par des gus genre Saint-Ex et autres… Zone grise ?

J.-C. Azerty dit: à

Di Brazza : une voix s’est éteinte, mais son étoile brille dans le noir !(Annibal2)

C’est le destin des grands explorateurs. D’ailleurs Livingstone l’a dit à Stanley : l’étoile de Di Brazza, elle brillera dans le noir encore plus fort que dans l’cul d’un nègue !

C.P. dit: à

Oui, « immense communion » ne m’a pas paru signifier grand’chose. Mais John avait déjà fait cette remarque.

L’accueil de Mishima à « Seventeen » me semble une feinte maligne. On ne peut guère se tromper sur la critique de l’ Action Impériale et de son recrutement dans cette nouvelle.

TKT dit: à

« que vous me prenez toujours pour JC or whatever of his pseudos. Je ne peux que répéter pour vous »

whoever, D.fons, whoever
Have a nice lethal poisoned cup of tea !

Sergio dit: à

grandE honnêteté, Trommelfeuer !

Constat dit: à

On se rend compte de la nuisance que JC a pu, un temps heureusement révolu, installer sur ce blog avec ses usurpations multiples de pseudos sans compter les siens néanmoins identifiables

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…enfin,…de qui ont se fou,!…à l’€urope,!

…tiens,…tourner en rond,!…

…stratégie de l’Optimum à Paretto,!…

…de puis le temps que les €tats – €uropéens, paient des taxes,!…l’Union à Maastricht & Lisbonne à tout faire,!…offre à ses états, 350 milliards d’€,…en celà, que chaque état verse déjà, 50 milliards par ans, par échéances,…

…donc, ce qu’elle offre ( l’Union ), c’est une part de contribution pour une année-sabatique,!…
…encore que sans rien objectivé, tout est destiné, à ses propres services-publics d’états en €urope,!…
…l’Union, donne pour elle-même, une parcelle des acquis,!…qui déjà fait partis de la part ( oubliettes )des  » anges « ,!…

…merci, l’import-export dans la mondialisation, et les industries européennes  » délocalisées dans le monde « ,!…

…vous chômez, non on se fait baisez,!…au gode-platine,!…moteur de connivence,!…
…c’est dur, Non,!…les connivences trop molles aux paradis Luxlead’s,!…
…à mourir de rire, les primates du lucres, aux luxes & bourres,!…Ah,!Ah,!…
…point de vue,!…Go,!…Bip,!Bip,!…etc,!…
…les analogies à nous mettre,!…encore c’est trop bon,!…sado-maso à l’Optimum à Paretto,!…
…nourrir l’élite du contenant,…la grande circonférence, est égal au diamètre multiplié par 3’14,…& …y soustraire,…la petite circonférence, ( diamètre,… X ,…3,14 ),…
…très riche le contenu en  » gros « ,!…
…Ah,!Ah,!…au viol,!…la vache à bon,!…
…etc,!…un dessin,!…pour abrutis,!…
…la coupe est pleine,!…

…chevaliers de la table ronde buvons voir si le vin est bon,!…
…etc,!…un peu nos cons au pouvoir,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…C.Q.F.D.,!…encore un roi,…raté,…etc,…

(la vie impossible dans les mensonges hénaurmes) dit: à

Grêle après les vendanges ou préférence pour les satellites artificiels ? Mais bon, vous êtes chez vous et disposez du pouvoir de vous débarrasser de qui vous voulez, veinard !!!

(la vie impossible dans les mensonges hénaurmes) dit: à

Et dire que je n’ai jamais été marié ! Subir cela !!!

(la vie impossible dans les mensonges hénaurmes) dit: à

(à part cela… vraiment bizarre tout ce calme… non ?)

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…à la cour des miracles, le vin qui déborde,…manque de bols,!…ou de con-vives,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Non,…Non,…rien n’à changé,!…tout , tout à commencé,!…Ooouuuaaaiii,!…etc,!…

Sergio dit: à

Tanizaki, Tanizaki… Finalement le plus exotique c’est le cognac…

Sergio dit: à

(la vie impossible dans les mensonges hénaurmes) IRL

URL ? Universal Resource Locator.

versubtil dit: à

Excusez-moi de souligner un tweet de Pierre Assouline ici même à propos du poète sonore Bernard Heidsieck, qui vient de disparaître à 86 ans.
Je ne l’ ai hélas pas connu mais par contre son ami, Henri Chopin -autre poète sonore et éditeur de disques de poésie sonore, – oui.
Je ne peux m’ empêcher de relire du même Henri Chopin, son Anthologie de la poésie sonore internationale éditée par Jean Michel Place en 1979.
Bernard Heidsieck est le « grand patron » de la poésie sonore en France. Et comme le note H. Chopin dans son anthologie, il travaillait ses textes directement au magnétophone dès 1959.
 » Il est entièrement en symbiose avec le magnétophone », souligne Chopin à son propos.
J’ avais mis ici, il y a quelques temps VADUZ en lien…
Entendre de la poésie sonore est toujours quelque chose d’ émouvant dans la mesure où cela touche directement au corps, à la glotte.
A plusieurs reprise il m’ est arrivé d’ assister en petit comité à une lecture de poèmes d’ Henri Chopin avec son micro dans la gorge en présence de Paul Zumthor ( le grand historien de l’ oralité littéraire avec son  » La lettre et la voix » au seuil )en présence de l’ éditeur D. Bedou et de relire avec plaisir LES RICHES HEURES DE L’ ALPHABET édition Traversière.
Merci de cette triste annonce Pierre Assouline.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tout est bon,!…dans l’im-porc ex-porc,!…
…y a rien à jeter,!…
…avoir le beurre et l’argent du beurre,!…
…des couleuvres à l’Adam,!…of course,!…

…l’€urope à l’Auberge Rouge,!…
…c’est courant,!…les doigts dans le nez,!…l’import x export,!…
…tu revient me chercher,!…Ah,!Ah,!…etc,!…envoyez,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…jamais, sans châteaux & domaines, avant les reproductions,…assez vécu le rôle de pauvre-con abrutis,!…
…préfère pas de reproduction, pour servir des trop cons,!…en partage,!…
…riche d’abord,!…avant de travailler à  » mon aise « ,!…soumis à personne,!…merci,!…C.Q.F.D.,…etc,!…

Court dit: à

« Une DHH qui parait vingt ans de moins que son age ».
« Seigneur, gardez-moi de mes amies », spécialement du pays de Bray!
MC

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…je me coiffe tout seul aussi,!…
…miroir & ciseau,…peut-être recolorer mes cheveux qui deviennent un peu gris,!…

…enfin,!…moi,!…je suis pas à un rôle près,!…à changer mes lunettes,!…etc,!…

burntoast dit: à

Ce qu’il y a de terrible avec W, c’est qu’il retourne trop souvent dans sa poubelle, d’où il glapit des insultes sur les gens qui passent, se parant d’un savoir quasi divin, dont il bien le seul à connaître les mystères.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tient l’hélium à Cognac,!…à  » la vie impossible dans les mensonges hénaurmes « ,…c’est volatilisée à la part de ses anges,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…

J.-C. Azerty dit: à

« Le dialogue entre Pascal et Nietzsche est l’un des plus beaux qu’on puisse méditer. » (Paul Edel)

Les archives de « Closer » conservent une précieuse vidéo de la rencontre de Pascal et Nietzsche au sommet du mont Gerbier de Joncs :

Balise Pascal (serrant la main de Nitche) — Friedrich Nietzsche, je présume ?

Nietzsche — Tu l’as dit, bouffi.

Blaise Pascal — On se pose ?

Nietsche — A ton aise, Blaise .

(Balise Pascal ? je sais bien qu’on est sur le parcours du GR 20 mais tout de même.)

Paul Edel (qui passait par là) — Soublime ! Positivement soublime ! Plus beau que du Christiane !
( il en perd de vue la proximité du ravin, trébuche et s’abîme dans l’abîme sans fond du cratère du Monte Gerbier de Joncs d’oùsqu’on ne ressort pas.)

Blaise Pascal — Tout le malheur de l’homme est de ne savoir demeurer en repos dans une chambre.

Friedrich Nietsche — faut pas jouer au surhomme quand on a pas les moyens de ses ambitions.

Blaise Pascal (rire entendu ) — Hi hi

Friedrich Nietzsche ( rire entendu ) — Hu hu

closer dit: à

Il est évident que Fons, JC, D et Hamlet sont quatre personnes différentes. Le fait qu’ils utilisent parfois les mêmes vannes à propos de TKT ne prouvent rien…

TKT est complètement parano avec D et je crains pour son équilibre mental.

Même chose pour Clopine et Bergeret.

J.-C. Azerty dit: à

Ce qu’il y a de terrible avec W, c’est qu’il retourne trop souvent dans sa poubelle, d’où il glapit des insultes sur les gens qui passent, se parant d’un savoir quasi divin, dont il bien le seul à connaître les mystères. (Burntoast)

Excellent ! quelle justesse ! « glapit » me ravit.

Anonyme dit: à

Bien que pas vraiment clopinophile, j’avais moi aussi été agacé par ce « merci Pierre », cette façon de se mettre à tu et à toi (allez, disons le mot : fayoter) avec une personne qu’on sent peu portée sur la familiarité.

Bon, tant qu’elle ne lui envoie pas des baisers virtuels comme elle le faisait chez Dib…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…les moyens de ses ambitions,!…ne rien laisser en partages,!…Na,!..échec & mat,!…
…etc,!…

burntoast dit: à

A part cela, cher W., c’est un honneur considérable être considéré par vous comme « nul et arrogant ». Maintenant je suis enfin au même niveau que toutes les autres personnes – certaines sont forts estimables – qui tentent de s’exprimer sur ce blog, malgré le déluge de vos insultes qui tombent comme à Gravelotte.

Constat dit: à

Court, 17 h 35 : votre remarque perfide ne vous grandit pas !

burntoast dit: à

Un grand merci Mr J.-C. Azerty. J’étais presque prêt à verser « des torrents de larmes », suite aux paroles définitives (au sens propre) de W. Maintenant, me voilà ragaillardi. Ô Joie !!!!

hihihi dit: à

Paul Edel dit: 24 novembre 2014 à 11 h 13 min

C’est surtout qu’elle s’entendait à merveille pour vous faire la cour. A faire monter un encens dont on vous sait friand.

J.-C. Azerty dit: à

Il me semble que le billet d’Assouline a totalement zappé le troisième Nobel japonais, le grand Yasunari Kawabata.

Il est vrai que ces noms japonais sont excessivement difficiles à mémoriser pour une oreille occidentale. On peut user de pense-bêtes. J’en ai trouvé un pour Kawabata. je le propose pour ce qu’il vaut :

Uki et Yota se retrouvent pour un pot matinal chez Bata, le cafetier du coin de la rue oùsqu’yzabitent.

Yota — Tu veux une Suze, Uki ?

Uki — Tu crois pas qu’il est un peu tôt, Yota ?

Yota — Alors un kawa, Bata.

N.B. – Selon certaines sources, le cafetier s’appellerait en réalité Saki. Dans ce cas il ne s’agirait plus de Nobels japonais mais plutôt de nos belles japonaises.

anonyme dit: à

christianophobe dit: 24 novembre 2014 à 18 h 20 min

Quand on est mort, il y a plusieurs inconvénients.

Dont celui de ne pas pouvoir revenir botter le pétrus de ce genre de goule venue planer sur votre cadavre.

Miette dit: à

En écho ici & parce que rien n’y fait, décidément …

Frères humains qui après [lui] vivez

N’ayez les cœurs [entre vous] endurcis

« Amications tristounes »

elpénor dit: à

Deschanel, avec des pouvoirs.

TKT dit: à

@ “TKT est complètement parano avec D et je crains pour son équilibre mental. »:
Je suis poursuivi depuis 2005, par vous, mais cela ne me rend pas psychopathe comme vous.
Lucien Bergeret vous êtes aussi, vraisemblablement, mais vous ne rendrez fou ni Clopine, ni moi.
Vous auriez dû faire partie de la Stasi, de la Gestapo, du KGB, ils avaient les méthodes pour faire enfermer les gens.
Vous êtes impuissant, D., vous pouvez énerver, mais jamais vous ne pourriez être le maître dans des jeux S&M. Car là, il faut donner aussi physiquement et mettre le virtuel aux orties.
J’ai beaucoup de plaisir à vous voir réduit à 95% de vos capacités de troll…

polder dit: à

(…au café, suite)
-De l’ouzo ou de l’ozu, yasujiro ?
(je sors)

J.-C. Azerty dit: à

Je viens d’apprendre le décès accidentel d’Alberto Di Pizza. Ce nom ne dira pas grand’chose à la plupart des intervenants sur ce blog. Il est vrai qu’il n’y postait jamais rien, la littérature n’étant pas sa tasse de thé. Il aurait été bien en peine de prodiguer aux maître de céans des indications de bon usage, en étant resté à l’ortograf fonétik. Il n’a jamais rien publié non plus. J’aimerais tout de même qu’on ait une pensée pour lui, car c’était un brave type, et si Christiane pouvait venir verser quelques larmes sur sa tombe, ça lui ferait plaisir, là où il est, car Alberto n’aimait rien tant que de se payer une bonne tranche de rire, et il faut reconnaître que, dans son numéro de pleureuse semi-professionnelle, la Christiane est impayable.

Court dit: à

Pour qui ne partage pas la merveilleuse vulgate politicoclopinotéléramesque, je conçois que Christiane, qui échappe au classement comme à la malveillance, puisse indisposer. « Etiamsi omnes faciunt » est une devise bannie par certaines tetes pour qui une autre écriture que la leur est tout simplement inconcevable. Tetes au reste moutonnières et Dindonnesques . Relire Chantecler, Acte V Le Jour de La Pintade.
C’est avec plus de classe un pays de Bray bis.

Mais une culture qu’on a mais qu’on n’ assène pas, une absence marquée d’idéologie, une aptitude à s’émerveiller et à découvrir tant dans la peinture que dans l’écriture, il y a de quoi déchainer les foudres des nouveaux et nouvelles bien-pensantes, qui, chemin faisant, montrent leurs véritables visages et la réelle ampleur, myrmidonesque, de leurs esprits…
MC

Chaloux dit: à

Christiane, content de vous lire.

C.P. dit: à

Si enfin on n’a pas trop de sous, ces « Entretiens avec Ozaki Mariko »/ « L’Ecrivain par lui-même », traduits par Corinne Quentin et loués par Pierre Assouline, je signale qu’on peut en lire au moins une partie librement en ligne.

Widergänger dit: à

C’est pas la question, mais vous êtes complètement ridicule avec votre Pascal. Vous n’y entendez rien et vous faites le fier. C’est comme ceux qui sur les bancs de l’université, devant un prof qui leur fait un cours sur la relativité d’Einstein se mettent à contester cette théorie. A-t-on jamais vu pareille arrogance ! La bêtise règne en maître absolu avec des gens de votre acabit.

ralbol dit: à

MCourt : encore un qui s’est fait peloter par Cricri.

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