de Pierre Assouline

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La République des livres
Dans le cerveau poétique de Jean Rouaud

Dans le cerveau poétique de Jean Rouaud

Il paraît que la littérature ne se vend plus et qu’il faut agir en conséquence. Du moins est-ce ainsi qu’un éditeur a récemment annoncé à ses collaborateurs que, la crise de la librairie aidant, un certain type de livres ne paraitrait plus sous son enseigne : ces livres qui ne se présentent ni comme des romans, ni comme des récits, ni comme des essais, ni comme rien du tout d’ailleurs et dont les libraires ne savent pas toujours quoi faire tant ça les désempare alors que tant de ces livres nous ont emmené au plus loin et au plus profond de ce qu’on appelle encore « littérature » sans trop savoir de quoi il en retourne au juste. Bref, le fantôme de Borges en rit encore.

Parmi eux, Jean Rouaud connu et célébré pour son cycle romanesque familial lancé avec l’attribution du Goncourt en 1990 (Les Champs d’honneur, Des Hommes illustres, le Monde à peu près, Pour vos cadeaux, Sur la scène comme au ciel). Depuis, des livres, il en écrivit d’autres de différentes formes jusqu’à sa série « La vie poétique » dont le tome 5 vient de paraître sous le titre Kiosque (281 pages, 19 euros, Grasset). Le kiosque à journaux de la rue de Flandre à Paris (XXème), c’est de là qu’il s’est lancé – et dès lors nombre de lecteurs s’y sont attachés. Un écrivain attachant, c’est quelqu’un dont on prend régulièrement des nouvelles à chacune de ses (ap)parutions, comme s’il se manifestait régulièrement à seule fin de nous parler à l’oreille.

Il se souvient à avoir donc été kiosquier, lecteur, écrivain en devenir, chanteur, commis de librairie, coupeur de dépêche d’agence à Presse-Océan. Mais kiosquier sept ans durant, tout de même, au temps où les NMPP, la centrale qui assurait la distribution des journaux, retrouvait régulièrement le syndicat CGT du Livre pour un bras de fer dont les lecteurs faisaient les frais. En ce temps-là, il c’était un métier vraiment physique ; les titres étaient beaucoup plus nombreux ; les kiosques n’étaient pas chauffés ; de loin le marchand ressemblait à un croisé avec son heaume de laine et ses mitaines. Aujourd’hui dans les kiosques à l’allure techno, on vend des jouets et gadgets comme on débite des popcorns dans les cinémas et il arrive même qu’on y trouve des gazettes

On ignore si Rouaud a aimé cela. Pas sûr qu’au bout de sept ans le métier lui soit rentré dans le corps. Pas du genre à rigoler des mêmes blagues avec les collègues. Mais enfin, cet homme de l’ouest humide a tenu bon et s’est nourri de conversations avec des clients dont la sédentarité a forcé la fidélité. Des déferlantes de vie du petit théâtre de la rue de Flandre, il a subi la séduction, en enrôlant aussitôt secrètement au titre de personnage dans son journal, simple petit carnet Rhodia dans lequel toutes ses rencontres étant réduites en haïkus avec Bashô pour seul maître, histoire de se désincarcérer de son évangile flaubertien – et aussi de L’Ere du soupçon de Nathalie Sarraute. Cela lui sera utile à l’heure de reconstituer la tapisserie de son enfance longtemps après. Déjà prêt à résister aux appels du réel au nom d’impératifs formels « au point de considérer comme dégradant d’appeler les choses par leur nom », il ne lui manquait que le déclic. Tout est parti de la découverte inopinée dans le grenier d’une photo de Joseph Rouaud mort pour la France en 1916 à 21 ans, oubliée dans un missel de tante Marie. Une image pieuse intitulée « les Champs d’honneur ». Kiosque est son comment-je-suis-devenu-écrivain, écrivain désignant quiconque a une place dans la littérature, mais bonne chance à qui voudra les définir, la place et la littérature. Il ruminera la grande leçon tirée des années de kiosque :

« Ce sont les gens qui parlent le mieux d’eux-mêmes. Aussi longtemps qu’ils sont là mieux vaut se tourner vers les acteurs et les témoins de leur propre vie que de donner la parole en leur nom aux experts qui, du haut de leur compétence, prétendent en savoir plus long que ceux-là, au premier chef concernés ».

Le goût pris à une lecture poussant de manière quasi obligatoire le lecteur à remonter en amont pour vérifier qu’il n’a rien manqué des rendez-vous avec son auteur, la curiosité m’a ramené à un autre livre du même, paru quelques mois à peine avant Kiosque, hors-série d’une toute autre facture La Splendeur escamotée de frère Cheval (279 pages, 19 euros, Grasset). Il ne relève pas de « La vie poétique » mais il est pourtant d’une puissance poétique sans pareil. Je confesse même avoir rarement lu ces derniers temps une coulée poétique aussi réchauffante et enjouée.

Cette plongée dans les secrets des grottes ornées est dédiée aux mains d’or du paléolithique supérieur qui ont fait tant de présences et de beauté des parois et à François d’Assise. Car Rouaud distingue nettement du refoulé paléolithique dans le christianisme des images. C’est là que se rejoignent la grotte Chauvet et la basilique Saint-François à Assise, dans une même manière de raconter que l’image est « l’expression d’un réel divinisé ». C’est peu dire que Jean Rouaud, ancien pensionnaire du lycée catholique Saint-Louis de Saint Nazaire, a gardé la foi, celle-ci devant se traduire avant tout par la conviction que Dieu est lumière et que celui qui fut cloué sur la croix était un homme-arbre, un humain greffé sur la puissance végétale et Dieu sait qu’il y en eut sur le chemin des Romains, même si celui-ci fut semble-t-il le seul appelé à ressusciter. Son admiration est sans mélange pour les cathédrales gothiques, monstres de dentelle et fruit d’un dépassement sans égal de l’esprit, assorti d’un dédain inentamé pour le goût de parvenu du château de Versailles ou encore le Sacré-Cœur de Montmartre et la Fondation Louis Vuitton « monuments de vacuité et enveloppes d’un vide conceptuel abyssal porté par la seule persistance d’un geste ancien dépouillé de son sens. » Il est vrai que l’on y chercherait en vain la moindre transcendance, un soupçon d’élévation.

Beauté des bisons de Font-de-Gaume, foisonnement du plafond de Rouffignac, rennes affrontés de la grotte des Combarelles, bisons rouges d’Altamira, oies gravées gardant l’entrée de l’hypogée dans la grotte de Cussac, parois muettes ou roches parlantes, toutes disent tant la beauté que l’effroi. Des cerfs-arbres y donnent leur langue au feu, des rhinocéros noirs y côtoient des chevaux-soleil pour ne rien dire des hommes-taureaux. Quel Barnum souterrain ! Mais si le mammouth est bien le permanent du lieu, le cheval en est le roi. La main d’or est habitée par l’esprit même du cheval. Le petit cheval noir, bête la plus craintive, l’ultime du bestiaire tapi au confins de la grotte, au plus profond de son ténébreux silence, c’est lui qui a le mot de la fin

On comprend bien pourquoi des spécialistes dédaignent cette littérature et cette poésie : il est en effet impardonnable qu’hors du sérail, un auteur prétende apporter un supplément d’âme, d’autres lumières, de nouvelles pistes à leur champ de recherche avec des moyens ignorée du CNRS. Il le leur rend bien qui se passe de citer leurs travaux et les leurs livres, n’incluent dans ses remerciements que le seul Boris Valentin, un savant  dont les recherches, nourries par l’ambition palethnologique dessinée par André Leroi-Gourhan et ses élèves, portent sur les modes de vie préhistoriques. Sinon, rares y sont les auteurs cités : Joachim du Bellay, Ronsard, l’Apollinaire de Zone,  Montaigne mais à peine, avec l’air de ne pas y toucher, le Malaparte de Kaputtdont seul Jean Rouaud se souvient que chacun des chapitres porte un titre d’animal. Et en prime un hommage à Paul Dardé, sculpteur de monuments aux morts et d’hommes primitifs, lointain, invisible et discret épigone de ces fresquistes pariétaux.

Il y a eu des Michel-Ange du côté de Chauvet et Lascaux mais gardons-nous d’idéaliser tant les tâcherons pullulent vers Rocamadour ou ailleurs, le trait laborieux, l’inspiration épuisée. Dans les strates géologiques de l’azilien près d’ Etiolles, les mains d’or ont perdu la main. Et de toute façon… :

« A quoi bon le progrès si l’humanité commence d’emblée par la chapelle Sixtine ? »

En nous restituant ce système de représentation du monde, où l’on dessine à destination de puissances extra-lucides, Rouaud se contente des traces. Foin des preuves ! Nul besoin de CQFD. Il sait, lui, l’architecture intérieure du cerveau poétique d’une main d’or. Il est devenu à son tour le spécialiste des phénomènes étranges en nous épargnant tout délire personnel sur chamanisme et pensée magique. Il sait dire comment un cheval à la crinière de rayons d’or se métamorphose en jument à tête noire au cours de sa traversée de la nuit.

« La roche nous dit »

C’est la leçon des mains d’or. Sa capacité d’émerveillement si longtemps après, ce fluide particulier, tient aussi, peut-être, au génie des lieux, que Jean Rouaud est des rares, parmi les écrivains, à avoir arpentés, explorés, troués du regard. A le suivre, nous sommes de plain-pied dans les entrailles de la terre et l’ambiance persuade vite que le secret des mains d’or ne pourrait y être qu’« éventré ».

« La modestie prudente du cheval à Chauvet est déjà une mesure de l’homme. Les mains d’or jureraient que non, mais le petit cheval de la grotte d’Ardèche est, métaphoriquement, inconsciemment, opportunément, prophétiquement, un autoportrait »

Manière de rappeler qu’au commencement il n’y avait que des animaux, Dieu compris. Jean Rouaud voit l’homme comme un parvenu, par rapport à ses lointains prédécesseurs dotés d’un art de la survie autrement plus admirable. Et pourtant, le constat est bien là : la  culture, c’est à dire la science, a bien vaincu, avili et dompté la nature. L’homme ayant pris son contrôle, il n’en finit pas de régler ses comptes avec l’animal qui la dominait autrefois. La tutelle a changé de camp. L’auteur en est hanté ; à tel point que lorsqu’il regarde des dessins d’oiseaux de Jean-Jacques Audubon, il songe au massacre qui s’en suivait puisqu’il l’artiste les faisait poser en l’air en les entrelardant de fils de fer.

Voilà un livre dont la musique intérieure est si envoûtante qu’on ne le referme pas sans un certain vertige. A se demander si à force d’observer ces parois par-dessus l’épaule d’un guide aussi inspiré, on n’y a pas vu l’homme s’extirper de l’animal qu’il fut.

( «  »Bisons rouges d’Altamira »; « Jean Rouaud, kiosquier émérite » ; « Geai bleu » dessin de Jean-Jacques Audubon ;  « Le panneau des chevaux de la grotte Chauvet » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 217 Réponses pour Dans le cerveau poétique de Jean Rouaud

renato dit: à

Le comique des interprétations : la Licorne de Lascaux.

http://archeologie.culture.fr/lascaux/fr/mediatheque/panneau-licorne

On a tout entendu sur cette drôle de bête, toutefois, comme Leroy-Gourhan, citant une chercheuse dont le nom me fuit, je crois que ces cornes ont été ajoutées au gros chat longtemps après sa création.
Pour ma part, je me pose la question de savoir si l’auteur de l’ajout avait vu ce drôle de félin de ses yeux.

Bon, je ne vais pas cataloguer les interprétations plus ou moins loufoques de ce mystère — pas le temps —, ceux que le goût du comique habite, en tapant « la licorne de lascaux » dans leur moteur de recherche, trouverons de quoi nourrir leur hôte en abondance.

Phil dit: à

Abraço Claudio Bahia! digère vos textes. Le film est donc fidèle aux archives. soyez sans souci, continuez à nous mettre ici votre goût de l’indigène, l’actualité vous sert, savez-vous ? le théoricien du grand remplacement travaille actuellement sur le « réensauvagement de la société ».

Janssen J-J dit: à

Journal extime (St Cyrille, avec méthode) :
1- des nostalgiques de JC, icite ?
2- de l’exo cannibalisme post exotique, un vent frais venu du grand ouest, qui va faire mal sur la côte de Royan (rangez bien vos huîtres, les ostréi, mes amis !)
3- comme ils t’ont mutilé les zygomatiques de Gwynplaine à sa naissance, les comprachicos, les fumiers ! Intérieurement…, il ne riait pas (et là, ça nous parle en régressif : Kiri le clown ; la vache qui rit ; des portions de fromage Kiri).
4- (solennel) quelques incongruités sociologiques majeures dans le film d’Ozon : a) dans ce genre d’affaire, la police ne met pas d’enquêteur arabe ; b) pas sûr que la bonne bourgeoisie catholique de lyon, massivement convulsionnaire, soit à ce point à jour sur la différence entre orientation sexuelle vs perversion criminelle. c) NB – Trop de political correctness et de bien bienpensance, d’une manière générale : lourdeur des larmes de la confession de la femme de poupaud, « abusée » (mais de quoi, au juste ?) ; hélène vincent (de chez les Lequesnois) à contre-emploi, idem pour josiacine balasko ; des personnages secondaires plus justes qui eussent demandé à être creusés : le jeune ouvrier, le boulanger, la copine shootée. Un personnage réussi et somme toute bien sympathique, qui sauve le film : le père Preynat, face au méchant Barbare…, hein, et à l’assistante sociale du clergé local qui n’en peut mais…
5 – ‘Papa, tu crois encore en Dieu ? ». « J’espère bien qu’non », ai-je crié à la fin de la séance, pendant qu’ils rallumaient leurs smartphones). J’ai été chahuté. bof. A revoir aux prochains dossiers de l’écran avec Armand Jeammot : à vous cognacq jay gould ! (tu feras jamais un, bon critique de films comme jzmn, toi ! Bin, non point, je sais).
6 – non, elle n’est pas « à la ramasse », c’est une vue de paresseux de dire ça. Lui en veux un brin d’avoir dit ça, au gentleman (il n’y a pas de gentlewoman icite, ni surtout en Livarot, on les chercherait en vain).
7 – comment est-il possible de passer une 18e journée devant sa BFMTV à Charenton, D. ? [(sic : On se posera aussi là question de savoir pourquoi des black blocs et extrémistes étrangers ont pu, assez probablement par centaines, passer les frontières françaises pour se joindre au contingent français].
Pas la peine…, la réponse est contenue dans la question.
8 – BAV, les potes à bougross de chez JC Albla !

Alexia Neuhoff dit: à

Vous entrez dans une librairie, vous piochez négligemment un Camus sur une table et vous vous retrouvez soit avec un Nobel, soit avec de la dynamite.

Janssen J-J dit: à

mais qu’est-ce qu’elle fout encore sur les pistes de la Mongie ? Il est pu là-bas, qu’il te dit D., Est rentré fissa à paris hier soir en tgv, tu le verras pas errer au dancing du chalet avec castane, ma vieille marry popo. Rapatrie-toi aussi, rdl a besoin.

Janssen J-J dit: à

c’est vrai qu’entre renaud et albert, la grande beurgeoisie décultivée par la couche d’amazon confuse un brin, ast’heure

Phil dit: à

c’est plié dear JJJ, planquez vos avoirs pour une fin de vie paisible pendant que « le réensauvagement » va raser le pays comme les champs élysées, avant « le repeuplement civilisé » (dixit Camus sans nobel) mais tout le monde ici sera mort. Les indigènes fichaient un coup de calebasse bien ajusté, c’est sans douleur.

Paul Edel dit: à

Clopine, il faut noter que la photographe Margaret Bourke-White deuxième épouse de Erskine Caldwell, à partir de l’été 1936 voyage dans le Sud des états- unis. Elle rapporte un album de photos « You have Seen their Faces »(voir sur le Net..) c’ est un vrai chef-d’œuvre du reportage social sur les pauvres Blancs du Sud..Erskine Caldwell en rédige la préface à l’album pour interpeller l’administration de Roosevelt qu afin qu’elle impose une réforme agraire « Dix millions d’individus vivent dans le Sud, sur des terres affermées, dans un état complet d’abjection et de renoncement. Ils ont été mis en servitude. »

Phil dit: à

comme nous l’apprend ClaudioBahia, les chanceux peuvent être digérés au jus de banane (la grosse insipide des antilles ou la petite goûteuse des Canaries ? Claudia Bahia ne dit pas)

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen J-J dit: 17 mars 2019 à 10 h 17 min
D’autant qu’ils ont l’étranger pour sujet commun !

renato dit: à

… fondée par Franklin Delano Roosevelt EN1937

Clopine dit: à

Merci pour la référence, Paul; de Caldwell, je garde en mémoire « le petit arpent du Bon Dieu », qui décrit aussi, mais de manière grinçante, ce milieu-là…

Janssen J-J dit: à

jzmm, ça va bcp mieux entre paul et CT ces derniers temps, j’en suis très heureux,et vous ? En revanche, dans mon cinéma de quartier pourtant refait à neuf, les sièges de moleskine sont de plus en plus souillés par l’urine des incontinents, hier ça empestait, et trop tard pour changer de place. J’y vois un nouveau fait de civilisation. Il faut dire que nos aînés du « pouvoir gris » remplissent désormais les salles après avoir été GranDement Remplacés par nos djeunes, beaucoup d’étrangers…, qui ne nous embêtent plus trop, du coup. Mais les vieux allument leurs smartphones n’importe quand pour aller aux toilettes, et ils n’ont pas le temps. Il faut tout (leur) réapprendre à zéro.
Tranquilles, nulle part, quoi.

Janssen J-J dit: à

(NB: ! euh-glrupst…, après avoir GranDeMent remplacé…. (fallait-il lire)

renato dit: à

« … ceux qui font don de leur intelligence discrète et médiocre, ceux qui lancent leurs représentations auprès du lecteur, ne veulent pas écouter, mais seulement s’imposer et, ce qui est pire, être compris. Par contre, ceux qui donnent à écouter ne se soucient pas de comprendre — l’essentiel de la psychologie de la mutuelle ou des messages entre adolescents déjà vieux et jamais expérimentés — et veulent seulement entendre à leur oreille la disproportion de toute intelligence, de tout jugement , de tout refus. Qui sait comprendre peut tout comprendre — mais tout ne suffit jamais à ceux qui écoutent. Les autres sont convaincus au contraire que cela suffit… »

Andrea Ponso, poète et bibliste, traducteur du Cantique des Cantiques.

Janssen J-J dit: à

la révolution anti-boutéflikienne va les mettre tous d’accord, ne vous inquiétez pas, dir alexianne.
(entre nous, vos chocolats sont excellents, ce sont les meilleurs, et je les préfère de très loin aux marcolini – d’ailleurs, c’est ce que je vais manger ce soir devant BFM tivi).

Ed dit: à

Cette nuit j’ai écouté le podcast de l’émission Boomerang avec Chloé Delaume. Adoré ! Une femme brillante, rock and roll et parfois très drôle (lecture finale à ne pas manquer).

Phil dit: à

Miss Chloé Delaume est venue tantôt, il y a des années, délivrer sa bonne parole sur le prestigieux blog à passou, vite repartie sans les les honneurs qu’elle estimait mériter, en déclarant qu' »ici il n’y a que des querelles de vieux slips ».
Bonne saucisse du dimanche à Hambourch.

bouguereau dit: à

comme nous l’apprend ClaudioBahia

tu mets quelques plumes a quelques un de tes semblables..tu redis qu’il mange des enfant roulé dans la farine….clodillo les barbouille à la catholique pédophile avec la main momifié de levichtross..que de boulot pour que vous puissiez vous faire frère de sang par dessus l’océan..baroz fait plus simple a la vazeline..ocnque n’a vu moins violent que moi disoit il..jle crédite d’un gros point..zéro pour vous..pouah..écorcheurs de chats

Ed dit: à

@Phil
J’apprécie énormément cette référence à la prononciation locale. D’où la connaissez-vous ? Mick Jagger avait entamé sa tournée no filter par un irréprochable « Moin Hamburch!! ».

Je ne sais pas ce que Delaume a écrit ici avant d’en venir à cette conclusion, mais elle n’a pas complètement tort hurkhurkhurk.

bouguereau dit: à

tu t’en souviens pasque tu l’as pris pour toi dirfiloo..ton baton merdeux..c’est pas dla wurst qu’elle sagterait dédède

rose dit: à

te bats pas pour moi pck je le sais (pas à la ramasse).
bises

bouguereau dit: à

Dix millions d’individus vivent dans le Sud, sur des terres affermées, dans un état complet d’abjection et de renoncement. Ils ont été mis en servitude

d’hune hautre façon c’est hencore toutafé vrai..mais vla y ont pas dmeuble telment à eux pour faire de bonne baricade qu’il diroit rénateau..chparie qu’il srait capabe de dire qu’il leur reste leur grandeur d’âme bien a eux..qu’ça vaut des thunes

bouguereau dit: à

Erskine Caldwell en rédige la préface à l’album pour interpeller l’administration de Roosevelt

himagines tu hune seconde ce que d’une telle missive a donald frait sur facebook..hévidemment si tu sors tes deux jokers hilarant dirfiloo et claodillo..tu peux atteindre a un genre de littérature réalisée..pour ça qu’elle bat d’laile polo..elle est accomplit

Phil dit: à

Bougreau dear, c’est le prestigieux tékaté qui s’est pris les pieds dans le slip de miss Delaume.

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

La clinique accueille encore les plus nécessiteux, grâce au bon docteur Assouline. Mais sa thérapie leur est-elle de quelque utilité ? D’aucuns verront l’illustration de la déliquescence de ce qui nous tient lieu de société. Peut-être est-ce le début des temps nouveaux que chantaient tant de mes camarades dans les années soixante. Seront-elles jaunes, après avoir été rouges et brunes ?

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

… ou seront-ils …

Phil dit: à

Liebe Ed, Jagger a causé allemand de bonne source, en couchant avec Bowie pendu aux mamelles de Berline.

bouguereau dit: à

jean marron par derrière..par devant hon dira que tu paies cher de ta personne..que t’as des chalets himmenses..que t’es un genre de rotchild à force de soupçon

Ed dit: à

Phil,
On ne cause pas comme ça à Berlin. J’aurais plutôt dit qu’il tenait sa prononciation de son amitié avec les Beatles. Oui bon en vrai il a été briefé pas un manager, mais ça a fait son petit effet sur le coup.

bouguereau dit: à

c’est le prestigieux tékaté

bon..hencore une fois grâce à lui on l’a échappé belle..combien de fois aura til fait rempart de son corps..dédède aurait été amoureuse de lui à coup sur..à rouler vite sur les autobane on fuit les tourments des passions françaises

renato dit: à

La bouteille de de Wolfburn single malt du duc est morte et le dimanche les magasins sont fermés — ce dans des occasions pareilles qu’on comprend la rancune nourrie par Voltaire contre l’Eglise.

Phil dit: à

A Berlin, Grünewald Dahlem, Ed, ville coloniale, beaucoup de vieilles familles de Hambourg.
Bonne sickologie, Bougreau, dédé en a pincé pour tkt avant divorce et conflit sur la garde de la Bugatti.

bouguereau dit: à

ha pasque voltaire aurait fait un bon gérand de walmart ouvert le jour du seigneur..

renato dit: à

ce dans des occasions pareilles > C’EST dans des occasions pareilles

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

renato à 14 h 41 min

Je ne connais pas ce scotch, je bois de Dewar’s blended, et j’en ai assez pour durer six mois.

Claudio Bahia dit: à

Comme dirait D, tout à l’heure vers 13 h nous allons manger…ici:
https://restaurante.polomar.com.br/home4.html
pour fêter les 46 ans de mon épouse et les 16 ans de notre fils.
pour ceux que cela intéresse: sur la page home, photo de gauche, notre table sera celle de gauche, et dans Location, on peut voir quelques photos en cliquant sur play en haut à gauche de la première photo.
Et on sera de retour pour voir Federer en finale d’Indian Wells, mon fils est fan de lui. Tout cela nous changera des ruines des Champs-Elysées et de la société française qui part à la dérive, mais j’espère beaucoup me tromper

Lavande dit: à

Pour Christiane et DHH : « Loin de Garbo » vient d’avoir le prix du livre audio France Culture !

Lavande dit: à

Pour Clopine :
Théâtre : Stanislas Nordey, héraut d’Edouard Louis
L’acteur et metteur en scène interprète au Théâtre de la Colline le troisième roman de l’auteur, « Qui a tué mon père ».
(article dans le Monde)

DHH dit: à

@Lavande
merci de cette réjouissante info
bravo à toute l’équipe ,costumière comprise évidemment, qui voit la qualité de son travail encore une fois reconnue avec cette nouvelle distinction hautement méritée

William Legrand dit: à

bouguereau, c’est Marc Court, en pire

christiane dit: à

@Lavande dit: 17 mars 2019 à 15 h 31 min
« Loin de Garbo » vient d’avoir le prix du livre audio France Culture. Quelle bonne nouvelle. Voilà un prix qui attribué à une magnifique équipe (costumière incluse).

Ed dit: à

Phil, vous me l’apprenez. Mais je ne vous pas le rapport avec Bowie qui habitait à Schönefeld et n’était pas vraiment en séjour linguistique, mais plutôt le nez dans la poudre à cet époque. Comme quoi les nuits berlinoises dévorent toujours ceux qui s’y risquent.

Ed dit: à

Schöneberg. Roh ca fait longtemps que je ne mets plus les pieds à Berlin.

Delaporte dit: à

Macron qui part faire une journée de ski, juste au moment où son pouvoir est à deux doigts d’être renversé. Quand ça chauffe, il est absent. Il n’y a plus personne. Hier, le gouvernement et les forces de l’ordre étaient aux abonnés absents…

Delaporte dit: à

Quand tout est fini, Macron revient et dit : « Nous allons sévir. » Cela fait peur, sans doute ! C’était avant qu’il fallait intervenir. Macron, c’est vraiment l’ingénieur des travaux finis. Il a eu la frousse, donc il est parti skier, a déserté l’Elysées. Il n’est revenu que le soir, quand tout danger était écarté. Au moins, les gilets jaunes risquent leur sang. Mais pas Macron.

Delaporte dit: à

« ca fait longtemps que je ne mets plus les pieds à Berlin. »

Vous donnez l’impression de ne jamais bouger, d’être cul-de-plomb.

bouguereau dit: à

dlalourde a plus le cul à l’air que dédède..rénateau se rtient à black bloker tête la première pour dla gnole..djone a une provision d’alcool de bois pour bouster l’avc quotidien.. y’en a des c’est le ski..moi je file un coup d’pompe dans l’cul a keupu..et lassouline c’est job

D. dit: à

Vous avez parfaitement raison, Ed, de ne pas mettre les pieds à Berlin. C’est une ville détestable en dehors de quelques musées dignes d’intérêt qu’on peut y trouver. Notamment le musée égyptien.

bouguereau dit: à

mais plutôt le nez dans la poudre à cet époque

ça l’a plutôt arrangé il nous y a fait des vacances..pour une fois keith richarde a pas faux quand qui dit justement lui qui pouvait pas lblairer..henfin du sens!

D. dit: à

Où se trouve le buste de la belle Titi.

D. dit: à

Moi je propose un permis à point pour être président de la République.
4 points dans les dents à chaque commission d’enquête + une amende de 80000 euros ramenée à 60000 si elle est payée sous 48 h.

bouguereau dit: à

du temps où c’était pas cher berline c’était bien dédé..les hallemandes faisaient pas les fières comme les franseuziches..j’ai beaucoup été sur la tombe à héguelle..je sais pas pourquoi jallais là..j’aimais bien..y’avait un gentil bar à l’entrée

bouguereau dit: à

..à l’entrée du cimtière dédé! va pas mprende pour un baroz qui va au charbon pour un oui ou un non..moi j’ai bsoin de méditer

bouguereau dit: à

le buste de la belle Titi

il est faux dédé..faux..hé houi..et ça nlui henlève rien

bouguereau dit: à

une belle hestoire..hun peu comme alibaba havec galland..et si l’art le grand c’était dséffacer

D. dit: à

Ce midi, Claudio, j’ai mangé du foie de veau-purée. Je le fais pas souvent parce que mon chat essaye de me le piquer dans mon assiette.
Où alors je mets beaucoup de balsamique et il me fout la paix en me regardant avec un air très désapprobateur, un mélange de « t’es un salaud » + « t’es un sagouin » + « tu vas voir ta gueule ».
C’est ça les félins.

D. dit: à

Certains avancent qu’il est faux et moi j’affirme qu’il est authentique.

Ed dit: à

« C’est ça les félins »

Mes chattounes ne sont qu’amour. Ne pas généraliser à partir d’un chat qui semble juste refléter son maître. Hurkhurkhurk

bouguereau dit: à

moi chte dit tien que dans les bars c’était lhunanimité..il parait que les irakiens vont pleurer sur la porte d’istar..les mêmes m’lont dit..dpuis qu’berline n’est pus une ville de province j’y vais pus

D. dit: à

‘écoute des fois Boomerang en direct le matin à 9h et quelques et cette émission me fait ch.er au plus haut point, sans parler de la musique de son générique d’une laideur sans nom.
Je n’aime pas ce Trappenard, je n’aime pas sa voix ni ces émissions ennuyeuses et convenues.
En règle générale je n’aime pas grand chose des émissions de France Inter de toute façon. Cette station a eu ses heures de gloires dans les années 70-80 et a commencé à décliner de tous cotés à partir des années 90.

Chaloux dit: à

Moi aussi je rentre de week-end en urgence. J’ai laissé le petit macaron passer devant, Mais j’espère ne pas avoir trop manqué à la république. Pas plus que lui, en tout cas.

Je vois que le boumou est de retour. Pauvre Assouline qui va finir sa carrière entre les couches sales, les verres de Parnod et les seaux de nuit pleins.(Pas les siens, ni les siennes, évidemment).

Bon courage, Pierrot!

D. dit: à

Je me sens très en forme, ce soir.

renato dit: à

Un gazouillis de Twitter que j’ai aimé

« Un mérite au moins doit être attribué aux jeunes qui se trouvaient sur les places aujourd’hui et à Greta Thunberg: celui d’avoir suscité la haine de nombreux adultes contre tous ceux qui rêvent d’un avenir. »

bouguereau dit: à

C’est ça les félins

et les félines y’a hen plus du chantage sessuelle..j’espère que tu dis stop dédé..faut résister! même seul l’homme doit srespecter..job nous rgarde dédé

bouguereau dit: à

c’est l’manque qui tmets dans c’état là rénateau..garde espoir..demain ça houvre..tu dureras bien chqu’à là

Chaloux dit: à

Et cette pauvre loque de boumou à mine piteuse qui revient sur un article dont le titre cause de cerveau. Sait-il seulement ce que c’est?…

renato dit: à

« c’est l’manque » de quoi, bouguereau ?

bouguereau dit: à

mon sempiternel fécal de larbin qui rente de la pêche et qui mtire le bas du patalon..c’est dimanche..c’est dsa condition..

Ed dit: à

Moi j’aime beaucoup Augustin Traquenard. Sympathique. Et je n’aime pas non plus France Inter, SAUF son émission.

Ed dit: à

Roh le correcteur filou.

bouguereau dit: à

…ldéni rénateau..cliniqument c’est hun classique

renato dit: à

Qu’est-ce que je dénie au juste, bouguereau ?

Chaloux dit: à

Ed dit: 17 mars 2019 à 18 h 54 min

Ed, t’aimes pas peu le q.

Hurkhurkhurk!

Paul Edel dit: à

la tombe de Brecht est pas loin de Hegel.. un jour je suis entré dans l’appartement musée de Brecht, c’était ouvert, y’avait personne,le gardien était parti fumer le cigare à l’étage en dessous.je pouvais piquer une casquette, ayant soi disant appartenu à BB.

Janssen J-J dit: à

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chlo%C3%A9_Delaume tu m’étonnes qu’elle est pas restée longtemps dans ce traPQuenard là, avec ed et CT comme concurrentes.
– Super, ce resto sur la côte brésilienne, plus tranquille que l’fouqué, ce temple du capitalisme international qui demandait à être détruit depuis louis le 14 et nicholas sarghozy,
– Espère avez bien mangés… des pâtes de cannibales ?
– jzz, etc. Vu La favorite (y. Lanthimos) tantôt. Avions le tournis dans la tête tout durant. T’en a pensé quoi, toi, le spécialiste de la reine Anne ?… et du casting ?…, j’ai pas suivi ttes les croniques. Moi, guère convaincu par la profondeur des contre champs, point des personnages qui tournent en rond sans déboucher sur rien de décisif, du maniérisme un rin gratuit (4 euros la séance seulement)

bouguereau dit: à

c’était ouvert, y’avait personne

c’était plus ou moins toujours comme ça je crois..les allemands hont le sens de l’absence polo..c’est pas que du heideguerre attation..avec les franseusiches y’a toujours des factotum responsabes hen évidence..à berlin t’es dvant un truc trés himportant..et t’as toujours l’himpression de t’être hemmelé les pinceaux avec l’adresse de l’usine à gaz..

bouguereau dit: à

la tombe de Brecht est pas loin de Hegel..

pas que..tiens par exemple ils ont lsens du tombeau..j’ai été une ou deux fois a des henterrements chleu..y’a une justesse de marins qui s’abandonnent en pleine terre comme la mer

bouguereau dit: à

Qu’est-ce que je dénie au juste, bouguereau ?

le manque..cte question rénateau..en consulte des mots comme ça ça tcoute 30 roro pièces..cadeau rénateau!

Janssen J-J dit: à

je me demande si le patient anglais est bien le roman majeur d’Ondaatje et surtout combien on gagne à la chroniquer avec autant d’assiduité, sans essayer de le remettre en perspective, « à mon sens ». Je vais en rester au film de juliette binoche (ah la la), mais je pense néanmoins que le roman, vu sous ce nouvel angle très original, il pourrait bien séduire D. et Delaporte. Savent pas trop quoi lire ni manger culturellement, en ce moment : l’tombe à pique (Soupire).

bouguereau dit: à

Je me sens très en forme, ce soir.

y’a l’himpression et les faits dédé..c’est suremement une hentité estrateresse qui t’a..enfin tu vois cque jveux dire..reste trés attentif qu’elle dirait bonne clopine..d’autres intersigne comme dirait huismançe peuvent apparaite..prend un papier un crayon et note à la volée

Phil dit: à

Dear Claudio Bahia, les favelas sont descendues sur les Champs Elysées, le Brésil est habitué à ce genre de razzia, la France découvre. Il y a plus de vingt ans, Dominique Fernandez (traducteur de « Diadorim ») a failli mourir étranglé par un « natif » à Bahia alors qu’il rêvassait aux volutes du baroque portugais. Votre restaurant a belle allure, quel dessert avez-vous choisi ? Dans l’excellent film de Dos Santos, la femme indigène prêtée au prisonnier Français durant ses derniers mois avant la cuisson, lui dit qu’elle lui mangera le cou, morceau réputé pour sa tendresse.
« Brésil, enfant monstrueux d’une petite vieille portugaise » a dû écrire Morand.

Jean Langoncet dit: à

On y joue au polo à dos de tortue, c’est dire

bouguereau dit: à

henfin quoi dirfiloo..tu voudrais que la france découvre la police armée jusqu’au dent et tirant à l’arme de guerre..mais elle l’a connu..la ville a même était dessiné pour ça..pas mal d’urbaniss français on plus labas haussi..hévidemment il y a morand..tout seul..le pajeot dson hotel en ultime maigre aplomb du colonialiste global..hors sa teub qu’il ne peut penser..c’est en effet un revival..t’as pas faux..et là toutes les himages de la sinjrie humaine sont permises..il est plutot bon..mais gaffe..faut des moyens néroniens dirfiloo

Delaporte dit: à

A midi, j’ai mangé un délicieux goulasch de boeuf. Ce soir, je vais me préparer une omelette, avant d’avaler du cantal. Quant au Patient anglais, j’ai zappé le roman et le film (malgré Binoche). J’ai avant cela des choses à rattraper, comme Le Grand-Meaulnes, que je n’ai jamais lu. Ce goulasch littéraire va-t-il me plaire ? C’est un livre culte, comme les Hauts de Hurlevent. Les lire va les faire tomber de leur piédestal, tel mon goulasch que j’ai cependant fort bien digéré. Ah, si je pouvais digérer aussi bien le Grand-Meaulnes ! Qu’en pensez-vous, ma chère Ed ?

Ed dit: à

C’est mon correcteur Chaloupe. J’ai aussi des problèmes quand j’oublie de le mettre dans la bonne langue (comme j’utilise les trois à fréquence à peu près égale).

Ex : boîte devient bite.

Phil dit: à

que voulez-vous dear Bougreau, en périodes de pillages la bonne presse n’est plus à la hauteur pour poétiser la chose, il faut du littérateur cannibalesque.

Ed dit: à

Ben j’en ai rien à foutre Delaporte, même chose pour la critique débile de JJJ. Franchement, vous attendez quoi comme réponse ? Écrivez les réactions attendues vous-mêmes, parce que je risque de vous décevoir.

Delaporte dit: à

« je risque de vous décevoir »

Vous ne m’avez jamais déçu, Ed, mais peut-être pas dans le sens que vous préféreriez. Et puis, je vous digère si bien ! Vous êtes la seule à rivaliser aussi bien avec un plat de goulasch. N’est-ce pas super ?

Jean Langoncet dit: à

@goulasch de boeuf

Pas même un pied de cochon pour lier le tout ? Stricte observance

Jean Langoncet dit: à

C’était peut-être un pied de biche. Bonne soirée

Lavande dit: à

Ed 20h15
Mon correcteur fait les mêmes fantaisies.
Ma fille m’avait rendu des Tupperwares et je lui ai envoyé un mail pour lui dire que dans le lot il y en avait un qui ne m’appartenait pas.
Ça a donné : « Il y a une bite rectangulaire qui n’est pas à moi. »

Delaporte dit: à

« Pas même un pied de cochon pour lier le tout ? Stricte observance »

Je préfère le cochon au boeuf, c’est vrai. Mais je ne crache jamais devant un bon goulasch. En cuisine, j’ai les mêmes goûts que le marquis de Sade. Mais ça s’arrête là, je vous rassure. Et puis, j’ajouterai qu’une bonne digestion, c’est essentiel, en cuisine et en littérature.

Jean Langoncet dit: à

Bitte ? Plutôt oblongue, au port d’Hambourg comme en boîte à Paris ; ça sent le sapin pour Castaner ou le devrait

DHH dit: à

@delaporte
moi le grand Meaulnes m’est toujours resté sur l’estomac; j’espere que le votre n’est pas trop fragile et que vous supporterez ce mélange qui se vaut audacieux entre un insipide merveilleux de convention et un réalisme rural d’un temps où jules ferry était passé par là

Ed dit: à

Oh mon Dieu Lavande. Je n’aurais pas voulu recevoir un tel message de ma mère !

Le Grand Meaulnes est la seule lecture que Chaloupe et moi avons appréciée. Et ca…c’est une première !

Jean Langoncet dit: à

Love me two times, vous avez le goût de la mastication gloutonne ; gare à l’aérophagie.
DHH, si vous aviez l’amabilité de redonner votre recette de tripes à l’orange, rendues si légères par l’abondance de livre et, dans mon souvenir, si moelleuses par l’apport d’un pied de cochon

Delaporte dit: à

DHH dit: 17 mars 2019 à 21 h 00 min

Merci, DHH. Je crois que je vais encore remettre ma lecture à plus tard. Il y avait autrefois ce film avec Brigitte Fossey. J’avais tenu cinq minutes, pas plus.

Chaloux dit: à

Je termine le livre de Jean-Christian Petitfils, Le Frémissement de la Grâce. Intéressant, mais il me semble qu’il avale quelques couleuvres. Alain-Fournier ne supportait pas l’odeur des règles de ses maîtresses. Les garçons n’ont pas de règles. Bref, Le grand Meaulnes est plutôt un roman d’hommes, à mon humble avis…

Claudio Bahia dit: à

@ « Brésil, enfant monstrueux d’une petite vieille portugaise » a dû écrire Morand.
s’agit-il de Paul Morand? de toute façon, il a tout faux (et Lagerfeld aussi)
Voici:

La pratique du cunhadisme peut être considérée comme la pierre angulaire du peuplement et de la conquête du Brésil Ce ne sont pas les quelques centaines de colons de basse condition, aux connaissances limitées, qui auraient pu à eux seuls subvenir à leurs besoins vitaux; la survivance de ces premiers colons fut garantie par les indigènes. De la même manière, ce ne furent pas eux qui créèrent une colonie prospère en terre tropicale mais leurs fils, enfants métissés de quelques centaines de blancs et de quelques milliers d’indiennes, qui partirent à la conquête de ce pays et le peuplèrent.
Le rôle des filles nées de ces mariages inter-ethniques fut totalement oublié; elles laissèrent la gloire des conquêtes aux jeunes caboclos mâles, que l’on nommera aussi les mamelucos (voir pages 159 et suivantes). Pourtant, ces filles caboclas, fermement dirigées et encadrées par les pères jésuites, entrèrent tout de même dans l’histoire du Brésil, par la petite porte; elles sont en effet considérées comme les « mères-primaires », les fondatrices de ce qui deviendra le catholicisme populaire et « santiste » du Brésil, pilier du catholicisme « à la brésilienne » (22).
Parmi tous ces portugais qui s’intégrèrent à des degrés divers à la vie des natifs, deux d’entre eux devinrent des figures légendaires. L’un se nommait Diogo Alvares Correia, connu sous le nom de Caramuru (1475-1557), un naufragé du littoral de Bahia au tout début de la colonisation. Il fut recueilli et adopté par un cacique Tupinambá de la région nommé Taparica, qui lui offrit sa fille Paraguaçu en mariage. Caramuru devint un chef de clan très aimé et respecté et passa toute sa vie parmi les indiens. Quant à Paraguaçu, née en 1495, elle adopta le nom chrétien de Catarina, mais est connue dans l’histoire de Salvador comme Catarina Paraguaçu. En 1528, Catarina et Diogo vinrent en France et, dans la petite cité médiévale de Saint-Malo, Catarina fut baptisée et reçu le nom de Catarina-du-Brésil. Catarina et Diogo sont ainsi le premier couple chrétien du Brésil, et la première famille documentée de ce pays. Catarina est considérée comme la mère biologique d’une bonne part de la nation brésilienne. Elle mourut en 1589, à l’âge de 94 ans, un âge incroyablement avancé pour l’époque. Ses restes reposent en l’Eglise de la Grâce (Igreja de Nossa Senhora da Graça ) à Salvador de Bahia (23).
(toujours tiré de mon même livre, traduit du portugais)

Jazzi dit: à

Nous étions nombreux sur les Champs-Elysées, cet après-midi, pour admirer le paysage d’après la bataille.
Le Fouquet’s est parterre, mais Vuitton, à l’autre angle, s’en sort sans une égratignure…

bouguereau dit: à

tu vois baroz qu’il est permis d’espérer

bouguereau dit: à

..l’humilité d’un larbin a toujours été de ne pas havoir d’avis du tout..surtout si l’odeur dla tambouille le précède

bouguereau dit: à

Merci, DHH. Je crois que je vais encore remettre ma lecture à plus tard

t’es furieusement précieux dlalourde..t’adore les ors à la noix de sacristie..des transparence de pain azyme en formaldéhide..tu vas même jusqu’a contrefaire des relents de vieux pieds de jésuite. c’est fort mais encore plus de boulot que claodillo et ses sauvages a paris..on scroirait toujours dans un fime des années stupres comme dirait baroz

bouguereau dit: à

Mais je ne crache jamais devant un bon goulasch

tu pourrais dire que les hindispositions de tes maitresses t’obliges a rajouter du sel..chais pas..un truc hinnovant qui montrerait que tu rgardes chef machin à la télé

Chaloux dit: à

Le Grande Meaulnes, le p’tit boumou.

bouguereau dit: à

Le Grand Meaulnes est la seule lecture que Chaloupe et moi avons appréciée

fan d’putain..fournier n’a pas mérité ça

bouguereau dit: à

toutafé mon larbin..prends exempe

Ed dit: à

Je vais en choquer certains, mais bouguereau est assez drôle quand on comprend ce qu’il dit.

Même chose pour rose. Une fois qu’on arrive à déchiffrer, ses commentaires peuvent être intéressants.

DHH dit: à

@ jean Langoncet 21h20
au risque de polluer l’espace commentaires avec un post bien éloigné de la littérature voici ma réponse a votre demande
Tripes à l’algerienne
Ingrédients
• Tripes : 500g
• Un demi-pied de veau
• Ail, persil arabe, menthe, piment doux, cumin, une peau d’orange
Préparation
Couper les tripes en petits morceaux et les faire blanchir ; bien les rincer à l’eau fraîche.
Dans la cocotte minute faire revenir dans un peu d’huile (tournesol ou autre huile sans goût) de l’ail écrasé; ajouter les tripes et le pied.
Couvrir largement d’eau (1 litre environ, ajouter sel, poivre, piment doux (une cuiller à soupe), une bonne quantité de persil arabe et de menthe (à enfermer dans une boule à thé pour ne pas que les feuilles s’éparpillent) et la peau d’une orange
Laisser cuire trois quarts d’heure environ à feu doux sous pression.
Ouvrir la cocotte. Juger de la cuisson en goûtant un morceau. Rajouter du piment doux, remettre des herbes fraîches dans la boule à thé qu’on replonge dans la marmite ainsi qu’une nouvelle peau d’orange.
Ajouter une cuiller à soupe de vinaigre. Si la sauce est un peu courte rajouter un peu d’eau Réduire à grand feu dans le cas contraire.
Mettre de nouveau à cuire plus ou moins longtemps en fonction du résultat de la première cuisson (de l’ordre d’un quart d’heure- une demi-heure.) La cuisson est terminée.
Retirer le pied le désosser et remettre la partie gélatineuse coupée en morceaux dans la cocotte.
Au moment de servir vérifier l’assaisonnement Réduire si nécessaire la sauce et éventuellement rajouter un peu de vinaigre.
Présentation
Ce plat peut être préparé à l’avance. Il se prend en gelée en refroidissant. Il suffit alors de le réchauffer à feu doux ou au micro-onde pour le servir.
Il se conserve très bien au congélateur. On peut en faire une grande quantité, qu’on débite après refroidissement en petits blocs de une ou deux portions qu’on met à congeler.
s’accomagne bien de pommes de terre bouillies ou de couscous nature

Chaloux dit: à

Prendre exemple sur quoi, boumou?

Chaloux dit: à

boumou,prendre exemple sur quoi?

Chaloux dit: à

Ed, on verra s’il te fait toujours rire dans deux mois.

Jean Langoncet dit: à

@• Un demi-pied de veau

Ouf ! j’ai cru que vous alliez nous livrer les astuces de la recette oranaise

Phil dit: à

Merci Claudio Bahia pour ces précisions. Le métissage est bien sûr la mamelle du Brésil que Morand malgré son goût du cosmopolitisme compartimenté voyait comme une fatalité pour le reste de l’humanité mais il semble que certains mélanges ne se font pas, comme ces exilés japonais du début du siècle dernier qui ne frayent pas avec la composante africaine ?
Lagerfeld cultivait l’eugénisme en haute couture, mais il n’est pas dit que sa mère n’eût pas le profil de la mégère nazie des « Enchainés » d’Hitchcock à Rio.

Jean Langoncet dit: à

Unique :

DHH dit: 17 mars 2019 à 22 h 23 min

au risque de polluer l’espace commentaires avec un post bien éloigné de la littérature voici ma réponse a votre demande
Tripes à l’algerienne
Ingrédients
• Tripes : 500g
• Un demi-pied de veau
• Ail, persil arabe, menthe, piment doux, cumin, une peau d’orange
Préparation
Couper les tripes en petits morceaux et les faire blanchir ; bien les rincer à l’eau fraîche.
Dans la cocotte minute faire revenir dans un peu d’huile (tournesol ou autre huile sans goût) de l’ail écrasé; ajouter les tripes et le pied.
Couvrir largement d’eau (1 litre environ, ajouter sel, poivre, piment doux (une cuiller à soupe), une bonne quantité de persil arabe et de menthe (à enfermer dans une boule à thé pour ne pas que les feuilles s’éparpillent) et la peau d’une orange
Laisser cuire trois quarts d’heure environ à feu doux sous pression.
Ouvrir la cocotte. Juger de la cuisson en goûtant un morceau. Rajouter du piment doux, remettre des herbes fraîches dans la boule à thé qu’on replonge dans la marmite ainsi qu’une nouvelle peau d’orange.
Ajouter une cuiller à soupe de vinaigre. Si la sauce est un peu courte rajouter un peu d’eau Réduire à grand feu dans le cas contraire.
Mettre de nouveau à cuire plus ou moins longtemps en fonction du résultat de la première cuisson (de l’ordre d’un quart d’heure- une demi-heure.) La cuisson est terminée.
Retirer le pied le désosser et remettre la partie gélatineuse coupée en morceaux dans la cocotte.
Au moment de servir vérifier l’assaisonnement Réduire si nécessaire la sauce et éventuellement rajouter un peu de vinaigre.
Présentation
Ce plat peut être préparé à l’avance. Il se prend en gelée en refroidissant. Il suffit alors de le réchauffer à feu doux ou au micro-onde pour le servir.
Il se conserve très bien au congélateur. On peut en faire une grande quantité, qu’on débite après refroidissement en petits blocs de une ou deux portions qu’on met à congeler.
s’accomagne bien de pommes de terre bouillies ou de couscous nature

Delaporte dit: à

« Je vais en choquer certains, mais bouguereau est assez drôle quand on comprend ce qu’il dit.
Même chose pour rose. Une fois qu’on arrive à déchiffrer, ses commentaires peuvent être intéressants. »
_________________________________

Même chose pour vous, Ed. Bienvenue au club.

Phil dit: à

tripes à l’algérienne…ne cherchez plus, le goût de l’aimable déashash n’est pas soluble dans les roides traditions de Sologne du Grand Meaulnes

Jean Langoncet dit: à

Gadda et son risotto peut s’incliner

Ed dit: à

Je crois que tu as raison chaloux.

bouguereau dit: à

le métissage au brazil c’est comme les couleurs de la neige chez les esquimaux..ils ont mille mots qu’tu comprends que dalle dirfiloo..comme des genre de quarteron et de quarteronne..et pas que de généraux à leurs générales..mais à chacun d’balayer a sa porte..et tout l’monde n’a pas un larbin comme moi..claodillo en a douze..dis pas qu’chus jaloux..ça srait un coup bas

bouguereau dit: à

les roides traditions de Sologne du Grand Meaulnes

cque veut dire langoncey je suppose c’est que la tripe on l’aime ou pas..le génie dla cuisine française c’est l’produit comme ils disent..à la mode de caen c’est à l’eau ou presque..une cuisson bien conduite..c’est comme la tripe de mouton libanaise..tu l’aimes ou tu la quitte..tu vas pas faire l’hindisposé comme chaloux

Phil dit: à

exact Bougreau, le métissage brésilien a son nuancier comme le mélange de café viennois. un comble.

Jean Langoncet dit: à

langoncey

Quincey, le mangeur d’opium cher à burroughs, vous inspire cette terminaison ?

bouguereau dit: à

un comble

oui et quand richard millet dit qu’il ne veut pas que la france ressemble au brézil c’est à ça qu’il pense..et je suppose qu’il ne le fait pas exprés..renaud camus lui c’est pour promouvoir la gpa en masse..le grand remplacement dla gonzesse..ha bonne clopine elle a du souci..l’avnir c’est l’homme

bouguereau dit: à

..au finiche..jamais hindisposé comme il dirait mon larbin

bouguereau dit: à

cette terminaison ?

pourquoi pas..

Clopine dit: à

Eh bien, demain, je vais faire un truc que je n’ai encore jamais fait. Sisisi.

C’est déjà quelque chose, je trouve, qu’à mon âge je puisse encore défricher un territoire inconnu… Même si j’ai déjà labouré quelques prairies voisines alentour, dans ma vie professionnelle ou autre, comme par exemple donner des consignes à quelques 50 personnes à la fois, prendre la parole en public, exprimer rationnellement mes idées, structurer mon discours. Etc.

M’enfin j ‘ai cependant attendu tout ce temps pour donner, tenez-vous bien : une conférence.

Sisisi.

Une conférence ! Moi !!!

Oh, certes, dans un cadre minimaliste, devant un public restreint et sans autre prétention que de, peut-être, partager quelques idées et quelques réflexions.

Mais cependant, me voici à la veille de cet exercice, que je considère avec étonnement : ma toute première « conférence », si modeste soit-elle !

Bigre.

Evidemment, j’ai répété. Ahahah. Sollicitant pour cela mes proches…

Alors Clopinou m’a bien expliqué, Bourdieu sous l’aisselle, que mon perfectionnisme en la matière provenait tout droit de ma non-légitimité sociale, et que l' »on » n’attendait certes pas un tel sérieux dans l’entreprise.

Je ne l’ai pas contredit (car il a raison, en fait).

Mais j’ai juste pensé qu’un truc tout neuf et encore inexploré, comme je ne sais pas moi,-un dépucelage, un baptême, la pose d’une première pierre- vous permet encore de tirer quelques battements de votre coeur, que l’on se soit d’accueillir avec reconnaissance, surtout si l’on a déjà parcouru tant de chemins qu’on a l’impression de connaître leurs pancartes indicatives par coeur.

Si ça vous dit, je vous raconterai si je me suis plantée totale, niveau itinéraire, ou non.

Demain.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tout, va, très bien, madame la Marquise,!…

…etc,…

bouguereau dit: à

Si ça vous dit, je vous raconterai si je me suis plantée totale, niveau itinéraire, ou non

tu fais pipi tu montes dans lauto et tu mets le gps bordel..prévoir une 1/2 heure de battement..et surtout surtout fais pas comme mon larbin mange pas du tout de haricot havant

Chaloux dit: à

Clopine, ne faites pas non plus comme boumou : ne mangez pas votre kk.

Ed dit: à

Clopine
Dites leur d’agrandir le haut des portes pour vous dans la salle de conférence. Hurkhurk

Chaloux dit: à

Surtout au niveau des mollets.

Chaloux dit: à

Les mollets de Clopine sont le léger défaut de sa silhouette.

Clopine dit: à

Chaloux, vous vous égarez. Je présume que vous voulez parler de mes chevilles.

Mais c’est parce que les vôtres ont un tel développement que vous préférez carrément rayer cette partie de toute anatomie, et ne pouvez donc plus en faire état.

C’est cela ?

C’est cela ?

Clopine dit: à

Parce que, mes mollets… A part une normalité terriblement normale, je ne vois pas trop… Bon, si je les considère « en soi », n’est-ce pas, sans doute pourrait-on les estimer un peu trop forts, trop charnus peut-être ?

M’enfin, franchement…

Ca n’a pas la partie de mon anatomie qui est le plus mise en avant par la nature, enfin me semble-t-il.

Loin de moi l’idée de décrier l’érotisme du mollet, bien sûr, hein…

m’enfin, wouarf.

Chaloux dit: à

J’ai dû penser que lorsque les chevilles de Clopine enflent, ce qui n’est pas rare, ses mollets profitent.

Janssen J-J dit: à

écouté jusqu’au bout, voui… Edifiant,décoiffant et désopilant le FL, à dégager voie 12 l’macron, (surtout à 3,40′ = « nous aussi, nous viendrons avec le chalumeau »). TAF d’accord, à demain au great debate,

Clopine dit: à

Ah oui, Chaloux. Le même phénomène en quelque sorte, que lorsque votre rancune, votre mauvaise foi et votre malveillance s’expriment, ce sont votre expression et votre intelligence qui s’égarent ? C’est bien ça ?

Clopine dit: à

Put.; je n’arrive pas à aller me coucher et dormir, là. Rigolez donc, ô vous tous, les « sûrs de vous ». Je suis sûre qu’au moins une fois dans votre vie, vous avez tremblé comme ici je m’inquiète. Mais de là à l’avouer, hein ??

Ed dit: à

La Chaloupe est le corps humain ca fait deux. S’il a autant de mal à différencier les mollets des chevilles, il n’a certainement pas trouvé le clitoris de Chaloupée. Hihi.

Ed dit: à

Oui clopine.
Le permis (le pire de tous), mais aussi les présentations devant une promo avec certains éléments très hostiles.

Bérénice dit: à

Clopine, bonsoir, quel est le thème abordé? Je comprends votre angoisse et votre agitation. Il faudrait soit être à l’aise et je crois que même les artistes comédiens, musiciens ont le trac après une vie à rencontrer des publics, soit réussir à être détachée. Au pire, que risquez vous? Vous avez vos notes avec vous, les gens ne seront pas forcément hostiles . Les critiques auront lieu après, positives ou négatives, elles vous serviront.

Bérénice dit: à

Soyez vraie, restez vous.

Bérénice dit: à

DHH, il est assez difficile de trouver des pieds de veau ou de cochon. C’est devenu un produit rare. Il ne me manque pas , les livres de cuisine sont étonnants. Sur un de ceux que je n’ai pas mis par mégarde à la poubelle lors d’un tri fatal, les ingredients sont inexistants sur le marché européen et ce ne sont pas des recettes de pygmées.

Ed dit: à

Chaloux
J’ai lu 2 fois l’article et je n’ai strictement rien compris. Mais alors rien. En revanche, ils auraient pu la remplacer par du sauciflard (tu l’as celle-là ?).

rose dit: à

Bérénice
à sainte Menehould, une grande, c’est facile.
Mais ils sont cuisinés.

Bérénice dit: à

Chaloux, lu cet exercice humoristique, c’est un humour par défaut? Ensuite les pubs hilarantes également, une facette sur le potentiel d’Alexandre Benalla, se servir plusieurs fois de Michel Sardou….. Signature d’un vieux qui n’aurait pas mis à jour son repertoire ? Pas que ce dernier chante faux mais tout le monde ne le connait plus. les chanteurs plébiscités pour le sourire risquent de ne pas plaire à tous. Pour finir je me demandais si vous n’étiez pas entrain de tomber vous aussi dans la démagogie. Chaloux, gilet jaune? Quand on vous connait un peu, de quoi rire. Est ce que toute cette casse vous réjouit, vous soulage, vous satisfait par procréation un peu comme le ferait un film ? Je la trouve inutile, inefficace quand bien même elle exprime un sentiment de révolte face à un système qui donne les preuves qu’on connait .

Bérénice dit: à

Fixette, procuration. A moins , autre hypothèse, que vous désapprouviez et que la mise en ligne de cette page GJ soit sous tendue par votre mépris habituel qui pour une fois ne dit pas son nom. Aussi courageux que les casseurs de kiosques, symboles de l’activité capitalisante de nombreux corrompus qui s’y réunissent pour faire du lobbying.

rose dit: à

DHH
ai constaté cela : vos recettes ont une composante essentielle, l’orange.
Pouvez-vous nous préciser si vous parlez de douce ou amère ?

Bérénice dit: à

ED, vous vous éloignez du tupperware pour vous rapprocher de la queue de pelle, un bénéfice. Sur ce, je m’en vais, comme Jean sans son talent.

renato dit: à

Clopine, si vous maîtrisez la matière vous n’avez à vous soucier de quoi que ce soit.

closer dit: à

Claudio, il y a deux groupes au Brésil qui résistent au métissage: les juifs et les japonais (1 million environ sauf erreur). Ou alors ces derniers se marient à la rigueur avec des blancs. Sao Paulo paraît être une ville plus blanche que le Paris d’aujourd’hui. Les plus purs « aryens », blonds ou roux y sont les juifs ashkénases! Il y a aussi pas mal de sépharades qui viennent de Syrie (Alep) et d’Egypte et ont été souvent éduqués par les bons pères et les bonnes sœurs de là-bas…

Les docus servis par la TV nous présentent un Brésil quasiment africain. C’est totalement faux globalement même si par chez vous (le nord est), c’est évidemment plus proche de la réalité.

Chaloux dit: à

Béré, je n’ai jamais porté de gilet jaune, mais quand on voit, d’une part, le projet macroniste qui n’est rien d’autre qu’un esclavagisme, et qu’on va voir, d’autre part, du côté des macronistes, on s’aperçoit que ce sont les Dupont-Lajoie poujadistes des années 70, ni plus ni moins. Une France ignare, grossière, profiteuse, agressive, méprisant les plus pauvres qu’elle, dont on est très étonné qu’elle existe encore. Plus étonné encore de voir que des journalistes et écrivains, des historiens, mais qui doivent être faits du même bois, soutiennent ce qui n’est au fond qu’un niaiserie folklorique à 11% (et on vous demande en prime de respecter la démocratie).

Lavande dit: à

Courage Clopine ! Le trac c’est inévitable.
A une jeune comédienne qui disait ne pas avoir le trac quand elle entrait en scène, Sarah Bernhardt a répondu : « C’est normal. Le trac ça vient avec le talent ».

Chaloux dit: à

@Béré.
Tout cela quoique le macronisme soit certainement en fin de vie. La montée de Gluksmann qui ne vaut pas mieux, annonce certainement une tentative prochaine de transvasement de l’un à l’autre. Le journaliste et écrivain type, l’historien etc. seront certainement du voyage…

DHH dit: à

@ Clopine
Un conseil de vieille routière de l’exercice (colloques exposés etc..) :
Il faut tenir compte du fait que l’attention d’un auditoire n’est pas celle d’un lecteur, qu’elle est entrecoupée de moments de relâchement. La où quand on écrit on vise l’économie, quand on parle il ne faut pas avoir peur de la redondance
Ce qui signifie ne pas craindre
-de présenter la même idée successivement sous trois formulations différentes, (du genre je vous hais, je vous desteste ,oui j’ai une profonde antipathie pour vous)avec le bénéfice de l’effet rhétorique du crescendo
-d’accumuler des adjectifs qui veulent dire peu ou prou la même chose
-d’annoncer de manière étoffée ce qu’on va dire dans le paragraphe qui suit, d’une manière generale ne pas craindre les transitions longues même laborieuses.
de rappeler a propos de tout développement particulier l’idée force auquel il se rattache présentée antérieurement plus haut et peut-être perdue de vue par des écoutants distraits

Chaloux dit: à

« de présenter la même idée successivement sous trois formulations différentes »

Ou de la même. Par exemple Clopine aux forts mollets pourrait essayer « moi président de la république ».

Ne pas oublier de faire rire, mais de préférence pas à ses dépens.

et alii dit: à

clopine,ne craignez pas de glisser une plaisanterie ou une blague connue des tous:cela détend les gens et crée un vrai partage avec vous(confirmé par mon fils qui faitrégulièrement des conférences en anglais partout dans le monde)
bonne journée

Phil dit: à

macronisme en fin de vie..
et le camusime,dear Chaloux, en fin de vie aussi ? ce matin Franceculture à causé de Camus en invitant Jean-Yves pour casser Renaud. à vous la régie. Closer, Bolsanaro est métissé portugais

Ed dit: à

Et bé la Clopine a tout le soutien de la RDL derrière elle (sauf la Chaloupe qui ronchonne pour rien !), de quoi la rassurer. Utilisez votre trac, ne luttez pas contre lui et ne le niez pas non plus ! Top Lavande la citation de Sarah Bernhardt !

closer dit: à

J’ai écouté Lordon, Chaloux…Il est brillant, il m’a fait sourire quelques fois. Mais, au bout du compte, c’est tout de même le genre d’individu qui pourrait nous nous amener ou laisser venir, un Robespierre, un Castro ou un Chavez quelconque…

A combattre, sans pour autant rallier Macron naturellement.

Ed dit: à

Au fait, hier j’ai mangé des légumes avec des lardons et des oignons. C’était délicieux. Mieux que toutes les recettes grassouillettes qui s’échangent ici hurkhurkhurk !

Jazzi dit: à

Mais quel est donc le sujet de la conférence de Clopine ?

Jazzi dit: à

Très claire et complète votre présentation du roman « Effi Briest » de Theodor Fontane, Ed.

Ed dit: à

jazzi je ne sais pas ce qu’il vous prend, mais merci quand même.

L’info du lundi :
« Mary Bateman est une escroc anglaise du 18e siècle qui créa l’arnaque de « la poule prophète ».
Une poule pondait régulièrement, et en public, un œuf où il était écrit « Jésus arrive »!
On découvrit que c’était Mary qui gravait les œufs, et les réinsérait dans la poule… »

Espérons qu’on lui a fait la même chose hurkhurkhurk!

Delaporte dit: à

« Au fait, hier j’ai mangé des légumes avec des lardons et des oignons. C’était délicieux. Mieux que toutes les recettes grassouillettes qui s’échangent ici hurkhurkhurk ! »

Ed, les lardons, c’est la viande la plus grasse qui soit. Quand je fais des carbonara, j’utilise de la joue de porc, encore plus gras que la poitrine, et c’est dans la recette traditionnelle. J’achète mes joues de porc chez un Italien spécialisé. C’est un magnifique produit, qui se marie à merveille avec les spaghettis, l’oeuf et le poivre. Dans les légumes, vous devriez mettre de la truffe, notamment pour les haricots verts. Evidemment, ce n’est pas donné, mais, là, le mot « délicieux » aurait un sens. Bon appétit, Ed.

Ed dit: à

Oui, vous avez raison pour les lardons.
Mais excusez-moi de me contenter de peu ! Baloo est mon maître en philosophie.

Phil dit: à

vous avez vu le film de Fassbinder, dear Baroz ? très bon, après vous pouvez dragouiller la blogueuse Ed mais l’essentiel est dit sur Effi Briest.

Chantal dit: à

j’ai essayé un gâteau aux noix avec de la poudre de cacao, des pommes de la farine de Lupin, de la farine fermentante et du sucre de coco, c’est délicieux mais burps …

je pense faire autre chose, la cuisine c’est pas ma tasse de thé, qui connaît Turin ?

bouguereau dit: à

dlalourde y spourlèche telment de spécial en parlant à dédède que lassouline y dvrait apler les flics..comme castanère y’srait responsabe

bouguereau dit: à

c’est délicieux mais burps …

c’est comme les haricots..jamais havant une conf..ha la rigueur lassouline peut si l’est convoqué chez les keufs..’ok jme mets a tabe’ qu’il a qu’a dire

bouguereau dit: à

Mais quel est donc le sujet de la conférence de Clopine ?

le gangbang baroz..t’es lourd

bouguereau dit: à

Utilisez votre trac, ne luttez pas contre lui et ne le niez pas non plus !

la mini jupe se voit pas derrière le pupitre..sinon à l’église quand qu’il est en plexi façon année stupre..un bon décolté et des profondes inspirations ça émeut l’populo

bouguereau dit: à

Closer, Bolsanaro est métissé portugais

il a une tronche d’empeigne pas possibe..les portos ont plutot la bonne bouille

Bérénice dit: à

10h12 un visage sympathique que ce Glucksmann, je lisais ce week-end une interview du Jadot, tres critique sur les transvasements et par rapport à la réelle volonté de parer aux urgences et défis écologiques qu’En marche affiche comme faisant partie de ses préoccupations prioritaires.

Et alii, vous l’avez dopé à quoi qui donne lieu à cette evolution inattendue?

D. dit: à

Moi je suis un peu réservé sur le joue de porc que je trouve un peu forte de goût et manquant de finesse. Le morceau du porc que je préfère est l’échine, à la fois tendre, gouteux, fin et pas trop gras.

Bérénice dit: à

Chantal, lire la recette dissuade de s’y livrer, c’est de l’étouffe-chretien ou si non une ration calorique pour inuit.

bouguereau dit: à

Ne pas oublier de faire rire, mais de préférence pas à ses dépens

mon larbin y connait tout cqui faut pas faire en général..c’est un espert de spécial..y va écrire une bio..’ma vie de corniaud’..baroz va ête cramoisi pasque ça pourrait svende

Bérénice dit: à

D, avez vous vu Marie Stuart, Reine d’Ecosse en VO?

Lavande dit: à

Chantal je suis allée à Turin en Novembre pour voir le fabuleux musée du cinéma, dans un bâtiment superbe: la mole Antonelliana; il y a un ascenseur panoramique et du balcon en haut on a un panorama superbe à 360° sur la ville. Réservez à l’avance sur internet pour ne pas faire la queue et allez-y de préférence dès 9h le matin à l’ouverture. On peut y passer des heures et des heures!
Il y a aussi un très beau musée égyptien.
Turin est une très belle ville. Peu de voitures dans le centre (accès très réglementé). De très bon transports en commun. J’y suis allée 3 jours j’ai acheté un pass et je me suis beaucoup baladée en bus. C’est une façon de découvrir une ville que j’aime bien et comme je parle italien j’adore écouter les conversations des gens dans le bus.

D. dit: à

Ça passe où ce film, Bérénice ?

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