de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
De la guerre à la guerre

De la guerre à la guerre

On dira : encore la guerre. A un point d’exclamation bien sonore ou un soupir qui l’est tout autant selon que l’on voudra exprimer l’exaspération ou la résignation. C’est que, non seulement on n’en sort pas mais on n’est pas près d’en sortir. Signe des temps : les documentaires et les films de fiction à caractère historique sont de plus en plus rares dans la programmation du Fipa, un festival international qui a l’ambition d’offrir un véritable panorama de la création audiovisuelle. Lors de sa 31ème édition, qui s’est tenue fin janvier à Biarritz, il fallait bien les chercher. Outre une radiographie de l’immeuble de 209 rue Saint-Maur (Paris Xème) , poignante recherche de la réalisatrice Ruth Zylberman sur ses habitants sous l’Occupation, leurs survivants et leurs descendants aujourd’hui, deux documentaires m’ont frappé. Les deux non sur la guerre mais des guerres.

Le premier est consacré à une classe d’âge dans la France des années 1939-1945. Comment réagit-on lorsqu’on a 10 ans, que l’on a connu que l’insouciance et que l’on assiste impuissant à l’effondrement et la défaite de son pays ? La Guerre des enfants (1h30 mn) explore le vécu de ces adolescents confrontés à la brutalité d’événements dont ils ne saisissent pas toujours la logique ni la nécessité. 90 000 enfants perdus sur les routes de l’exode, 650 000 orphelins, 120 000 jeunes délinquants, 11 500 enfants juifs déportés. Mais l’essentiel ne se traduit pas en chiffres. Il faut des paroles et des images. Réalisé par Julien Johan et Michèle Durren et produit par Phares&Balises, il part du postulat selon lequel on n’a jamais montré le point de vue des enfants sur cette guerre. Qui s’est jamais intéressé au sort des dizaines de milliers de très jeunes vagabonds livrés à eux-mêmes ?

Il ne s’agit pas seulement d’explorer les traumatismes (bombardements, restrictions, privations et surtout absence du père prisonnier pendant cinq ans) mais d’illustrer leur instrumentalisation à des fins politiques par le régime de Vichy. La refondation exigée par la Révolution nationale entrainait un lavage de cerveaux ; du moins, pas de tous, le Maréchal ayant rendu le collège payant afin que les enfants de paysans le restent, que les filles ne quittent pas le foyer etc La violence faite aux Français sous l’Occupation est ressentie comme étant encore plus violente lorsque des enfants en sont les victimes. Leurs lettres et journaux intimes en témoignent dans une vérité à l’état brut, mieux que leurs souvenirs voués à la reconstruction des émotions.

Construit sur une alternance d’archives officielles colorisées, de films d’amateur et de reconstitution par l’animation, il fait la part belle au témoignage de plusieurs de celles et ceux qui furent ces enfants de 10 ans dans la guerre. Le choix est assez représentatif : un lycéen de Chartres (le graphiste Massin), un enfant à l’identité démultipliée (le dessinateur Tomi Ungerer Français à la maison, alsacien dans la rue, allemand à l’école), une juive déportée (la dramaturge Francine Christophe), un fils d’immigrés polonais à Royan (Robert Franck), une fille de déportés qui se retrouve soudainement seule responsable de ses sœurs (Raymonde), un résistant de 15 ans (Loïc Bouvard, Croix de guerre) etc. Onze en tout. Chacun en a conservé une simple phrase, quelques mots à peine, qu’il emportera dans la tombe. Massin, c’est la voix de son père en juin 1940 : « On part demain ». Un autre : « Roger, regardes la lune, peut-être que ton père la regarde »…

Le père réel est absent, le grand-père virtuel est partout, à commencer par la salle de classe où son portrait est accroché. Sans homme au foyer, les garçons mûrissent plus vite ; les filles disent vieillir d’un coup ; l’hypersensibilité se développe. Un sentiment de culpabilité nait : quel crime mon père a-t-il pu commettre pour être enfermé ? Malgré quelques failles relevées dans le commentaire (« l’armistice » de 1945… « le conflit le plus meurtrier de l’Histoire »…), rarement un documentaire aura paru aussi nécessaire.

C’est également le cas de La Bleuite, l’autre guerre d’Algérie tant le réalisateur Jean-Paul Mari s’y attache à fouiller un pan de l’Histoire méconnue, et pour cause puisque c’était un secret bien gardé des deux côtés : l’énorme opération d’infiltration et d’intoxication des maquis du FLN et de l’ALN dans la casbah pendant la bataille d’Alger (1957) et dans la wilaya du colonel Amirouche (1958) de manière à ce que celui-ci se croit entouré de traitres. Le témoignage, entrecoupé de bandes d’actualité, de l’homme derrière ce succès de l’armée française, le capitaine Paul-Alain Léger, est d’une rare précision. Lui n’était pas un enfant dans la précédente guerre : à 19 ans, il fut de ces lycéens qui manifestèrent contre la présence allemande le 11 novembre 1940 à l’Arc de triomphe ; on le retrouvera naturellement par la suite dans les Forces françaises libres. Ancien d’Indochine, l’officier parachutiste s’y était rodé au renseignement, au double jeu et au retournement jusqu’à mettre au point sa propre méthode de guerre psychologique en propageant dans les rangs de l’ennemi faux indices, rumeurs, contre-rumeurs de manière à susciter des suspicions mutuelles. Rien de tel que le poison du soupçon pour abattre l’ennemi. Le capitaine Léger ou l’art et la manière de mettre à profit les dispositions naturelles de l’adversaire pour l’autodestruction. Au nom de la pureté idéologique, la Bleuite a retourné la violence contre les siens propres. Conséquence : quelques 4000 morts dans les rangs rebelles selon le capitaine Léger ; et vu d’en face, un gâchis humain : l’extermination d’une élite qui se voulait l’avenir de l’Algérie.

(« Des adolescents à Paris à la fin de la guerre » photo D.R. ; Des parachutistes du 3eme RPC pendant la bataille d’Alger » photo D.R. »)

6477058lpw-6477078-article-jpg_3980115_660x281

Cette entrée a été publiée dans cinéma, Histoire.

867

commentaires

867 Réponses pour De la guerre à la guerre

Widergänger dit: à

A travers quatre auteurs ecclésiastiques, Bautain, Dupanloup, Gay et Landriot, cet article montre comment l’Église envisage les relations entre mari et femme dans le mariage, et ce qu’elle pense du domaine propre de la femme : soin des enfants et souci de la maison. La femme est présentée comme pieuse, devant sanctifier son époux généralement sceptique, elle doit se prémunir contre les dangers de la vie mondaine, notamment les bals et les mauvaises lectures. La vision de la femme est globalement traditionnelle, mais ces auteurs prennent leurs distances avec la « faiblesse » féminine et mettent au contraire en avant une femme forte, capable d’exercer une certaine influence sur la société.
____________
Oui, c’est exactement ce que réclame Simone de Beauvoir pour la femme ! Ce n’est donc pas un mythe chrétien ! C’st une concption chrétinne de la femme. Et encore moins de la soumission de la femme, comm le prétend Ed, qui confond tout et n’y connaît rien.

rose dit: à

closer

pas sûre pour Marilyn : la petite fille fofolle est un rôle de composition. Je ne le savais pas pour Brigitte Bardot, vous l’avez dit hier -peut-on vous croire ? ; quant à Marylin c’est sûr : intelligence brillante, sensibilité extrême etc.
Dans son journal, elle exprime tant de désarroi et de compréhension du monde : ai, comme cela, une impression que si elle a tenté lors de ses divers mariages de s’adapter à ses divers maris, l’inverse n’a jamais été vrai et l’incompréhension a été totale envers cette petite perle.

Truompeu dit: à

aCHTUNg !

Wauquiez aime Hou-elle-becq….

(de toute façon il dit cela juste pour se démarquer
il s’en fout complètement, comme quand Sarko parle des 3 Céline…

rose dit: à

quatre auteurs ecclésiastiques, Bautain, Dupanloup, Gay et Landriot,

Supprimez-les.

Même les nonnes se révoltent pck’elles sont les bonnes des ecclésiastiques.
Vous ne pouvez, Widergänger, affirmer des choses avec deux siècles de retard.
Vous ne le pouvez.

Aujourd’hui, (hier) c’tait « t’as une bagnole » à une soirée chez Séguela. Ce n’est plus je te frôle le genou sous la table et m’émeut (meuh) ou ramasse votre mouchoir de baptiste et sent le safran qui l’embaume (on pourra toujours s’en servir en cuisine). Ni Laudine la dame d’Yvain qui le conspue pck’il a trop bataillé en lices avec Gauvain son meilleur ami…

Débarquez Widergänger. Posez pied à terre.

Moi j’ai le nez dans le cloaque.
À chacun sa vie.
Mais je suis sûre d’en sortir.

rose dit: à

Seconde épouse de Jack London

Fin Juillet. Il se sépare de Bessie (Elizabeth) Maddern, il épousera plus tard Charmian. Avec la première il aura deux filles qu’elle l’empêchera de voir ultérieurement.
Avec Charmian ils embarquent sur le Snark un ketch qu’il fait construire à San Francisco alors qu’il ne sait pas naviguer un iota.

Widergänger dit: à

Il faut dire au contraire que Simon de Beauvoir reprend la conception chrétienne de la « femme forte » en lui donnant un deuxième souffle dans L Deuxième sexe !

rose dit: à

Gide : je vous dis les choses vite fait.
À midi je mange du lieu noir avec un rizotto aux asperges -tout fait- de Vintimille.
Kiwi, banana split.

La famlle de Saint Ex enquête sur la future épousée : à peine rencontrée, déjà demandée en mariage. Elle envoie Gide la rencontrer.
On ne peut pas dire que le résultat soit flagrant :
elle, Consuelo dit de lui  » cette homme à la voix efféminée qui n’aime que les petits garçons et les vieilles femmes ».

Lui écrit d’elle :

rose dit: à

« Saint-Exupéry a rapporté de l’Argentine un nouveau livre et une fiancée. Lu l’un, vu l’autre. L’ai beaucoup félicité, mais du livre surtout », écrit André Gide dans son « Journal ».

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…que dire de plus,…sur l’Âne d’or d’Apulée,…

…en faite, une constante, se meubler, de lois et constitutions et systèmes de sécurité d’ordres,…et fêtes,!…

…et, hélas, pris, par des imprévisibles factions débordantes,…inopinées,…

…y perdre sa tête, à plusieurs occasions, de scénarios programmés,!…

…le plus récent, haut de gamme,..la guillotine, à Louis XVI,…en plus, de la mode à la terreur, pour tous,!…

…l’Âne d’or,…malheurs, à ceux, qui ne l’on pas, compris, outre les scénarios au genre Dallas,…
…Ah,!Ah,!…Go,!…etc,…
…une confiance aux doublures,!…et à ses clin – d’œils,!…

rose dit: à

La famlle de Saint Ex enquête sur la future épousée également au Salvador, pays natal de Consuelo née au pied d’un volcan. Là, cela se passera encore plus mal. Si j’ai bien compris, les Saint Ex veuelent savoir si elle est riche. Le père a une plantation de caféiers mais vient de mourir, ou est juste mort, ou encore récemment, la mère ne déclare pas tous les revenus de la plantation et cette enquête créera un grand mic-mac politico-financier.

Ed dit: à

Tais-toi le mytho. C’est toi qui confond tout, et arrête de m’insulter et de me parler. Je ne parle pas avec les tarés de ton espèce car je n’ai pas l’humour de Chaloux pour t’insulter. Lâche-moi, on s’en fout de toi. Tu fatigues tout le monde. Quand j’écris ici, c’est pas pour faire du social, alors ignore-moi comme je t’ignore.

Widergänger dit: à

Mais je ne parle pas non plus aux tarées de ton espèce, pauvre pé.tasse ! Je rectifie simplement tes âneries d’ânesse mal léchée…

Widergänger dit: à

Si tu savais comme j’en ai vraiment rien à fou.tre ds pé.tasses de ton genre ! T’es nulle et comme femelle et comme écrivaillonne ! Tu cucumules.

rose dit: à

Les autres épisodes du mariage ils sont nombreux sont la mère de Saint EX qui n’arrive pas à Buenos Aires malgré les demandes express de son fils (par Aéropostale).
Ils vont se marier sans elle. Il pleure à la mairie, elle refuse de se marier car il pleure.
Là, il y a l’écriture de Vol de nuit que je vous raconterai une autre foids et puis, il fout le camp du domicile pas encore conjugal, reprend sa vie de patachon et elle repart en transatlantique en Europe. Arrivée à Montevideo, capitale de l’Uruguay, son navire croise le navire dans lequel est la mère de Saint Ex, qui vient assister au mariage alors que la future épousée est repartie.

rose dit: à

chui dans Gala avec Annelise ; ceux qui sont pas contents peuvent sortir de chez le dentiste.

rose dit: à

closer

tout à l’heure et aujourd’hui, je sortirai quelques écrits de Marylin pour vous prouver par a+b son intelligence.

————
les hommes, dans les choux, mais armés.

zerbinette dit: à

Ed, lisez tout haut ce que wgg a écrit : « C’st une concption chrétinne de la femme. » !!!

Bloom dit: à

Comme on pouvait s’y attendre LW lit français quasi exclusivement. A part une incursion en Chine classique, il n’y en a que pour l’hexagonal. Fera un bon président de l’amicale des terroirs réunis.

Truompeu dit: à

dIABLE

Mais
QUI A REMIS La BlaTTE kAfkayène sur ses pattes!
Sur le dos on pensez que l’affreux insecte allait finir par s’étouffer… la Paix
aH ! c’est le chat en jouant, avec la patte..
Alors vite, espérons qu’il le bouffe une fois pour toute
même si Miaou aimerait un vrai rat…

x dit: à

biblique sûrement, chrétienne par héritage alors :
Proverbes de Salomon ch. 31 v 10 et suivants : Heureux qui a rencontré une femme vaillante! Elle est infiniment plus précieuse que les perles …
Elle jette son dévolu sur un champ et l’acquiert; avec le produit de son travail elle plante un vignoble. Elle ceint de force ses reins et arme ses bras de vigueur … Parée de force et de dignité, elle pense en souriant à l’avenir.Elle ouvre la bouche avec sagesse, et des leçons empreintes de bonté sont sur ses lèvres. Elle dirige avec vigilance la marche de sa maison … Rendez-lui hommage pour le fruit de ses mains, et qu’aux Portes ses œuvres disent son éloge!

closer dit: à

Je n’ai pas dit que Marylin n’était pas intelligente, Rose, pas du tout. Un manque de maturité (une fragilité juvénile si vous préférez) n’est pas un manque d’intelligence.

Delaporte dit: à

La différence entre Oblomov et Bartleby : Oblomov est propriétaire terrien, il vit de ses rentes et n’a pas besoin de travailler. Il organise sa vie en vue de ne faire pas le moindre effort, et de se la couler douce, de manière fataliste. Bartleby, en revanche, est projeté dans le monde du travail. Il va être le petit grain de sable qui va enrayer la machine (I would prefer not to). C’est un nihiliste absolu. Oblomov et Bartleby meurent, mais remarquez combien leur mort sont différentes, et ont une signification distincte.
Jacuzzi, votre opus de 2019 présage du meilleur. J’ai hâte de l’avoir entre les mains. Vous êtes-vous décarcassé pour faire un commentaire cohérent… ou bien avez-vous été paresseux et avez préféré laisser parler ces grands, ces admirables auteurs (dont Lafargue, que personnellement j’aime beaucoup, évidemment) ?

rose dit: à

le côté petite fille attardée ce n’est pas très flatteur, closer

Truompeu dit: à

« biblique sûrement, chrétienne par héritage alors »…

Faites nous rire, avec ces niaiseries à la Widangeur

Les Chrétiens ne lisent même pas la Bible…

Leurs Divinités comme la Vierge Marie, peuvent trouver écho dans le culte égyptien d’Isis-mère (qui elle aussi enfantait sans péché), ou dans Junon qui redevenait vierge en se baignant à la fontaine… etc, etc…

lE cHRISTIANIsme dès la Trinité est un polythéisme qui remonte aux cultes de la Grèce et de l’Inde voire de l’Egypte.
Et pour le reste – merci

Petit Rappel . dit: à

Précision, L’imitation du Satyricon n’est pas de Juliette Desjardins, qui en présente le texte, mais de François Guyet, qui lui écrit fin XVIème.
Pour le reste, ces travaux sont dépassés vu la découverte du manuscrit plis complet de 1669 et -sauf artifice de libraire- de 1681. On lit donc le Satyricon au Dix-Septième siècle dans la Belle Infidèle de d’Ablancourt.

Ed n’a pas tort. La Galerie des Femmes Fortes (Courageuses et tirées de la Bible) du Père Le Moyne parue en 1665 est un succès de librairie qui ne part pas de rien mais s’appuie sur une lecture chrétienne de l’Ancien Testament. Et l’on peut lire sous la plume du Père Caussin, disgracié vingt ans avant un « Courage petite Débora », adressé à Madame de Hautefort qui en dit ong sur l’utilisation de cet imaginaire.
Le monument de Kitsch religieux qui s’appelle la Femme Soumise, de Dupanloup, ne représente que les idées parfois étroites de l’Evêque d’Orléans. Et il faut Louis Le Guillou pour trouver Bautain intelligent face à Lammenais!
Non, sur ce point, Ed n’a pas tout à fait tort. Quant à s’interdire de lire un ivre parce qu’il ne vient pas de votre camp, ça, je ne le cautionne pas.

Widergänger dit: à

Petit Rappel . dit: 11 mars 2018 à 14 h 30 min
Précision, L’imitation du Satyricon n’est pas de Juliette Desjardins
________
T’es bête, ou quoi, Court ? Je n’ai jamais écrit que c’était de Juliette Desjardins ! J’ai dit que c’était sa traductrice, 1972 !!!!!!!! Elle vit aujourd’hui, ok ! Et l’auteur, mon pauvre chéri, ne s’appelle point François Guyet puisqu’il s’appelle Gaeomemphion du Cantal, m’enfin ! Et pis, il publie son imitation en 1628 et non pas fin XVIè siècle ! Et pis, cs travaux publiés en 1972 ne peuvent être dépassés par ceux de 1669, à moins que le temps se mette d’un seul coup, sous l’effet de la magie, à reculer…! Et on ne peut pas lire le Satyricon dans les belles infidèles de d’Ablancourt étant donné qu’il y a non un mais quatre Satyricon. On peut très bien en lire un dans d’Ablancourt mais lequel ? Et on fra croire à personne que le français de d’Ablancourt dépasse en modernité le français de 1972 de Juliette Desjardins…

J’aime bien, Court appelle ça « précision »… Heureusement qu’il a le goût de la précision… mais pas le sens… Quel fou.toir ce serait autrement, j’te dis pas…!

Oh, mon pauvre Passou, quel cirque sur la Rdl… ! On est en pleine pantalonnade !

Widergänger dit: à

Ed n’a pas tort. (Court)
________
Ed a entièrement tort puisqu’elle prétend à tort que le mythe chrétien (qui, en plus, n’a rien d’un mythe puisque qu’il s’agit d’une vision, d’une conception de la femme énergique qu’on trouve dans les Proverbes) et qui développe une conception de la femme d’élite que revendique précisément Simone de Bauvoir dans sa pensée laïque mais fortement inspirée justement par cette vision de la femme juive !!!!!! contre la femme objet et soumise !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je ne sais pas ce qu’il a bouffé à midi, notre Court, mais il débloque complètement cet après-midi !

closer dit: à

« Ed n’a pas tort. La Galerie des Femmes Fortes (Courageuses et tirées de la Bible) du Père Le Moyne parue en 1665 est un succès de librairie »

Ce n’est pas parce qu’un curé a écrit sur une galerie de femmes fortes que « femme forte » devient un concept inventé par les chrétiens, Court! C’est vraiment n’importe quoi.

Je vous ai connu plus rigoureux.

Nicolas dit: à

Apparemment on trouverait une representation de la femme forte dans une peinture qui illustre Le Livre de la Sagesse

Widergänger dit: à

L’AT contient un certain nombre de femmes fortes : Esther, Judith. Ce ne sont en rien des femmes soumises que dénoncerait, selon cette folle d’Ed (p. 142 qui ne parle pas de ça du tout mais de l’analogie que nous fait bin dans l’air du temps, 1949 entr la condition de la femme, un exploitée, et le prolétariat exploité par le grand Capital), Simone ! En voiture Simone, pour l’asile psychiatrique avec Ed sur la civière…

closer dit: à

Proverbes 31 10

On remarquera qu’il n’y est pas question de soumission au mari. Les traductions varient de « femme vaillante » à « maîtresse femme » en passant par « femme vertueuse » et ici « femme de valeur »…

10 Qui trouvera une femme de valeur? Elle vaut bien plus que des perles.
11 Le coeur de son mari a confiance en elle, et c’est tout bénéfice pour lui.
12 Elle lui fait du bien, et non du mal, tous les jours de sa vie. 13 Elle se procure de la laine et du lin et travaille d’une main joyeuse.
14 Pareille à un navire marchand, elle rapporte ses provisions de loin.
15 Elle se lève alors qu’il fait encore nuit, et elle donne la nourriture à sa famille et ses ordres à ses servantes.
16 Elle pense à un champ, et elle l’achète. Avec le fruit de son travail elle plante une vigne.
17 Avec la force en guise de ceinture, elle affermit ses bras.
18 Elle constate que ce qu’elle gagne est bon. Sa lampe ne s’éteint pas pendant la nuit:
19 elle file elle-même la laine, elle tisse elle-même les habits.
20 Elle ouvre ses bras au malheureux, elle tend la main au pauvre.
21 Elle ne redoute pas la neige pour sa famille, car chacun y est habillé de cramoisi.
22 Elle se fait des couvertures, elle a des habits en fin lin et en pourpre. 23 Son mari est reconnu aux portes de la ville, lorsqu’il siège avec les anciens du pays.
24 Elle fait des chemises et les vend, et elle livre des ceintures au marchand. 25 La force et l’honneur, voilà ce qui l’habille. Elle rit en pensant à l’avenir.
26 Elle ouvre la bouche avec sagesse et un enseignement plein de bonté est sur sa langue.
27 Elle veille à la bonne marche de sa maison, elle ne mange pas le pain de la paresse. 28 Ses fils se lèvent et la disent heureuse, son mari aussi, et il chante ses louanges: 29 «Bien des femmes font preuve de valeur, mais toi, tu leur es à toutes supérieure.»
30 La grâce est trompeuse et la beauté est illusoire; c’est de la femme qui craint l’Eternel qu’on chantera les louanges.
31 Donnez-lui du fruit de son travail et qu’aux portes de la ville ses oeuvres fassent son éloge! »

Widergänger dit: à

Il y a aussi l’adaptation cinématographique du Satiricon par Fellini, aussi génial que contestable.

Au reste, on ne sait pas trop bien s’il faut l’écrire Satiricon ou Satyricon : dans le premier cas, il s’agit d’un pluriel neutre n grec du mot « satires » dans le second d’une histoire sexuelle. Il est vrai que le roman contient des scènes érotiques. L’ambiguité demeure volontaire sans doute.

l’ombelle des talus dit: à

Avec les moyens du bord … L’Insoumis

Quittant le balcon où défilait le Monde, quand il faut rentrer sans arcades, dans la gueule froide de la journée grignoteuse, devant les centaines de boîtes qu’il faut remplir précipitamment, quand il faut quitter le grand vide admirable où l’on avait séjour…
Tristesse du réveil !
Il s’agit de redescendre, de s’humilier.

L’homme retrouve sa défaite : le quotidien.
Ayant perdu les témoins de sa splendeur, il ne sait que dire. Il peut même passer pour un imbécile, un médiocre, un homme de rien, cependant qu’il y ait peu d’instants encore, il se trouvait entre les Majestés, lui-même sur un trône, parmi les souverains masqués et qu’en grande pompe le suivaient ses gens, tandis que s’élevant toujours plus haut, plus haut encore, il abordait à la plateforme suprême, où, seul, le son des grandes trompettes de la victoire pouvait le rejoindre.
C’est fini. En vain, le pauvre remonta d’un élan irrésistible le cours de son destin. En vain, il s’éleva.
Il lui faut en un instant, et incertain s’il la reverra jamais, quitter sa vraie famille, les célestes siens, pour revenir parmi les étrangers qui se disent ses proches et ne le connaissent pas.

Il regarde autour de lui. Il se sent accablé.
La journée le reprend comme un train omnibus prend sa charge de journaliers. Allons, en route ! Et il lui faut s’éloigner.
Cependant, il se demande comment il pourrait rentrer dans le paradis perdu (et qu’importe que ce soit parfois un enfer).
Il médite l’évasion, car les « mous » sont les « durs », ne se laissent ni vaincre, ni convaincre, et se reforment entiers et agrandis sous la botte.

Tous les moyens lui sont bons. Pas besoin d’opium. Tout est drogue à qui choisit pour y vivre l’autre côté.

Attaquant son cœur à grands coups de café, ou même simplement de fatigue, ou même simplement d’imagination et du fluide intense de son désir, il décolle.
Il regarde ensuite le monde des objets immobiles, mais qui commencent à chanter, à tenir la note.
Les immeubles des boulevards, comme appelés à devenir d’immenses vaisseaux, commencent à se caréner.

D’autres voûtes entre les voûtes des monuments de mettent à osciller lentement.
Des plafonds descendent continuellement des plafonds… et sans remonter jamais.
Des visages émanés de son propre visage, partout le regardent.

Ses tempes chantent haut, en ténor. Cependant que les agrès intérieurs se raidissent.

Dans la tempête, il entend le Monde, comme il sonne vraiment. Oh ! Qu’il résonne étrangement ! Il le voit aussi, comme il est, jaune, essentiellement jaune et mêlé d’un peu de boue et d’ocre.
Il est dans la trajectoire et la vie prend un tout autre sens. Chacun est après une autre chandelle. C’est la poursuite vertigineuse, et il n’est pas de pont dans un tourbillon.
Son cœur se met à sauter comme une balle.
En sa poitrine, c’est à présent le barattement du lac de l’émotion.
Comme des bulles, des horizons toujours nouveaux apparaissent, croissent, se dilatent, crèvent, réapparaissent, s’étirent, se dilatent, et encore, et encore…
Progressivement et rapidement formées des cuirasses de frissons maintenant l’isolent, comme son idée profonde isole le somnambule et le retire de la nuit, de ses pièges et de son grave défaut de lumière.
Dans le calme parfait qui précède les apparitions, son être galvanisé attend la révélation. (Celle-ci vient ou ne vient pas, étant sous une autre dépendance.) De toute façon, le versant est bientôt dépassé, car il y a toujours un versant, et il retombe.
Ce redoublement de fatigue, quoique au premier abord décevant, lui est une nouvelle occasion de lâcher pied et de déserter l’odieux compartimentage du monde.
Capitaine à la débâcle, il détruit les derniers échafaudages, il nivelle tout dans la cendre, il accomplit la ruine.
C’est ainsi qu’il aura été un grand bâtisseur. Sans remuer un doigt, il aura été un grand aventurier.
Ni but, ni buter, il faut savoir dévaler.
C’est le jeu de la pierre qui roule.

Il ouvre la fenêtre. Un instant après, il revient de plusieurs heures de vol. Tel est le Temps pour lui. Telle est sa vie.

Henri Michaux

Widergänger dit: à

Pour comprendre le projet du Deuxième sexe, il faut lire dans l’Introduction les pages 16 à 20, qui sont directement inspirées de Lévinas, explicitement mentionné : de « Il (l’homme) est le Sujet, il est l’Absolu : elle est l’Autre » jusqu’à  » communauté ». C’est de la vraie philosophie abstraite, de la vraie pensée qui pense, pas un ramassis d’opinions débiles à la Ed ! Une vraie dissertation d’agrégation.

Ed dit: à

Closer,
Je retire dévouement au mari, c’est un prolongement très personnel de ce que ce mythe induit.
Et non ça n est pas le mythe chrétien ABSOLU, mais un mythe chretien parmi d’autres, parfois contradictoires, comme celui cité par Nicolas où la femme se devrait de jouer un rôle dans la société.
Finalement, nous sommes d’accord.

Widergänger dit: à

Simone de Bauvoir rattache sa philosophie de la condition féminine à la pensée de l’altérité chez E. Lévinas dans Le Temps et l’Autre. Sa pensée, tout à fait solide du point de vue de la charpente intellectuelle se rattache par ailleurs à la pensée marxiste de 1949 en traçant ds parallèles typiques de cette époque entre la condition de la femme (exploitée, soumise, niée dans son identité par le machisme ambiant dans la société occidentale depuis des lustres et renforcée par ls conditions de vie à l’ère du capitalisme) et la condition des prolétaires ou des minorités comme les Juifs ou les Noirs. Mais sa démonstration, d’un point de vue purement argumentait, est impeccable. Elle déconstruit de manièr tout à fait remarquable et pertinente le discours machiste sur la femme, qui, il faut bien le dire, est un discours de pur crétinisme.

closer dit: à

Après son énorme bourde à l’EM Lyon, Wauquiez calibre au millimètre sa communication pour essayer de remonter la pente. Les auteurs qu’il cite ne le sont évidemment pas par hasard…

Il commence fort en citant ensemble Huysmans (cible: vieux cathos tradi de province) et un manga japonais (jeunes, voire très jeunes citadins). On passe à la SF et à San Antonio (les beaufs), puis à Péguy et Simone Weil (les patriotes de gauche, les gaullistes), Zola (les populistes mainstream, la tradition ouvrière), Céline (les populistes un peu ou très sulfureux). Ensuite, glissade vertigineuse vers le moyen âge et les grands sentiments: Tristan et Yseult, cela ne peut pas nuire. Retour au 20ième siècle tragique avec Klaus Mann (la gauche dotée d’une conscience malheureuse). Pour le public féminin de province, les héros (et surtout héroïnes) stendahliens. Une petite touche de poésie inattendue avec Yves Bonnefoy. L’ancrage dans la modernité avec Houellebecq. Un clin d’œil à la Chine (on ne dira jamais assez combien elle est importante sur l’échiquier géo-politique) avec Les Trois Royaumes. Enfin, pour terminer, un hommage à la vieille garde gaullienne (génération Balladur) avec l’Anthologie de la Poésie Française de Pompidou!

De la grande com!

J’allais oublier les réserves sur Proust pour plaire à JC et à l’électorat porquerollais, dont on ne soulignera jamais assez l’importance.

Widergänger dit: à

Ah, dit comme ça, c’est plus clair en effet ! Oui, oui, d’accord pour Guyet, si Juliette le dit.

Ed dit: à

Après avoir entendu que j’avais un niveau de « réunion tupperware », je me fais traiter de pé-tas.se. Décidément, la misogynie ne disparaîtra jamais. Jamais. À ceux qui balancent ce genre d’insultes sans même se rendre compte de leur médiocrité, sachez que vous n’avez que mon mépris.

Widergänger dit: à

C’est pas parce qu’on traite une folle de pé.tasse qu’on est forcément misogyne ! Là encore cette pauvre pé.tasse d’Ed dépasse les bornes de la sottise !

Ed dit: à

Ah ben si vous ne voyez pas où est la misogynie dans cette insulte…Pauvre type. Je dois vraiment plus faire attention à sauter vos commentaires d’une haine sans borne.

Widergänger dit: à

Ton mépris, on s’en tape complètment. Tu n’as ici aucune valeur symbolique pour pouvoir mépriser qui que ce soit. Pour impressionner tes interlocuteur, tu dois baucoup travailler pour enrichir ton capital symbolique. Pour le moment, t’es juste une brave prolo insignifiante, prétentieuse et stupide.

Widergänger dit: à

Wauquiez est juste un sale petit con qui se sert du thème de l’enracinement par démagogie pour arriver au pouvoir en surfant sur la ringardise du franchouillard de base complètement dépassé par le processus historique vieux de plus de 3000 ans qui s’appelle la mondialisation des échanges. Il est tellement obsédé par le pouvoir, cet animal, qu’il finit par croire à ses inepties qu’il veut se forcer à légitimer en citant Simone Weil, très réactionnaire dans sa philosophie elle-même !

Est-ce que Térence dans l’Antiquité était obsédé par son enracinement ? Né Phénicien à Cartage, peut-être même Kabyle de naissance, parlant à l’origine une langue sémitique, écrivant avec l’alphabet hébreu, il devient un grand auteur latin de comédies à Rome, admiré par toute la high society romaine, inspiré par les Grecs, Ménandre entre autres, qu’il lit dans le texte ! Il est trilingue ! Qu’est-ce que l’enracinement a à voir avec le dynamisme de la culture ? Faut être con comme Wauquiez, et un con sorti de Normal Sup (les pires !) pour afficher gaillardement autant d’imbécilité en public. Voilà à quoi sert d’avoir fait Normal Sup : on croit qu’on est autorisé à être plus con que ceux qui n’y sont jamais entrés sans perdre la face. Eh bien, il se Trump lourdement

Ed dit: à

Excellent Nicolas. C’est exactement à cela que Beauvoir fait allusion. P. 142 dernière édition Folio
« Elle est confinée dans les travaux du ménage comme le prouve le portrait de la femme forte »

Widergänger dit: à

Mais la femme forte n’est absolument pas confinée dans les travaux de ménage ! C’est précisément tout le contraire : Faut relire le proverbe 31 que Closer a d’ailleurs pris soin de publier. Les femmes fortes dans la Bible sont le type Simone Veil, c’st-à-dire une femme qui a d’éminentes responsabilités dans la cité, le contraire même de la ménagère. Faut être débile et insignifiante comme cette Ed (qui n’est pas aidée par la nature !) pour lire le contraire.

Je ne parle pas de l’interprétation qu’en fait Simone de Beauvoir, qui n’est pas à un erreur d’interprétation près. Moi j’ai l’édition idées/gallimard.

Ed dit: à

D’ailleurs j’ai déclenché des passions ici avec cette histoire du mythe de la femme forte tout en l’eludant dans ma chronique car Beauvoir survole la question en qq lignes dans Le Deuxième sexe.

Je souhaitais juste montrer que cette expression sans cesse aujourd’hui était un abus de langage et surtout un ideal car la femme forte n’existe pas. Soit parce que toutes les femmes sont fortes par nature (habitude de la douleur), soit parce que tous les êtres sont parfois très faibles.

Voilà voilà. Je retourne à Une Vie de Maupassant, le meilleur roman français après Les misérables selon Tolstoi.

Widergänger dit: à

Elle ne cite même pas le passage de Beauvoir tellement elle a la trouille qu’on la prenne en flagrant délit de bêtise !

Widergänger dit: à

Mais si, la femme forte ça existe. Simone Veil, notamment ! t admirée des Français pour cette raison précisément ! Judith, Esther dans la Bible sont des femmes juives fortes !

zerbinette dit: à

Ed : « la femme forte n’existe pas », Salomon est d’accord avec vous :

« Mais avant que de nous dépeindre cette femme forte et courageuse , Salomon nous avertit qu’il est difficile de la rencontrer , il nous en donne une idée , mais il semble qu’il n’en ait jamais trouvé d’exemple , il la forme dans son imagination, et doutant qu’elle se puisse trouver dans la Nature, il s’écrie, qui est ce qui la trouvera ? Il est donc vrai que dans la pensée de Salomon rien n’est plus rare qu’une femme forte et courageuse, et c’est ainsi que l’entendent tous les Interprètes. »

Mercure de France 1735

Petit Rappel . dit: à

Je pensais que vous maitrisiez vos références, et j’avais introduit la précision à l’usage de vos lecteurs et lectrices, puisqu’après deux auteurs vous citiez une universitaire que j’ai eu le plaisir de rencontrer, et que celle-ci porte un nom homonyme d’une Femme de Lettres du Dix Septième siècle, Marie Catherine Desjardins.

Là ou je commence à douter, c’est quand je vous vois tirer à boulets rouges sur ce pauvre François Guyet, car ce n’est pas moi, c’est… Juliette Desjardins qui y voit Gaeomemphion.
Closer, si vous vous étiez penché sur les multiples hagiographies post-tridentines, vous verriez que le livre de Le Moyne, Jésuite et non Curé, n’ est par son titre que l’aboutissement d’une longue pastorale adressée aux femmes de bon lignage et sachant admirablement les utiliser. Ce que pratique tout autant le camp protestant. C’est une pastorale fondée sur des images archétypales de l’âme collective de la chrétienté d’alors, dont celle de la Femme Forte. L’Holopherne d’Anne de Rohan ne sort pas de rien. Et cela dure au moins jusqu’au milieu du Dix Septième siècle, plus dans les Provinces.
Il faudrait aussi s’intéresser à ce qui reste de l’iconographie du thème.il me semble qu’il y a au moins un Cabinet des Femmes Fortes dans un château bourguignon. Il ne sort pas ex nihilo. quant au Père Le Moyne, Jésuite et non Curé, il est un bon séismographe de sn temps On peut ne pas partager les convictions d’Ed, mais elles sont sur ce point précis soutenables.

Widergänger dit: à

Oui, oui, j’ai bin compris après les explications claires de Zerbinette ! Les vôtres étaient très confuses.

Je maîtrise parfaitement mes quatre référnces, tnez-vous-le pour dit, sinon, ça va barder !

Widergänger dit: à

Mais personne n’a jamais dit que la « femme forte » sortait du néant. Au contraire, on a dit qu’elle sortait de l’AT ! Mais c’est un monde, ça quand même, mes petits chéris, de nier la bonne foi des gens. C’est très vilain, et malhonnête !

Au reste, la « femme forte » est la femme pieuse, qui s’oppose à la femme de mauvaise vie. Ça n’a rien à voir avec la ménagère de plus de 50 ans, enfin ! Faut arrêter avec tout ce tombereau d’âneries !

Widergänger dit: à

Salomon n’est pas l’auteur de toute la Bible, que je sache ! Mais uniquement de l’Ecclésiaste ! qui nie à peu près tout ce qui peut être affirmer ! C’est le nihilisme bien avant Nietzsche. Alors qu’il nie l’existence de la femme forte, rien d’étonnant, mon Dieu !

DHH dit: à

@jazzi 8h 52
Je pense que votre prochain recueil fait une place à des extraits de l’ouvrage de Veblen « Theorie de la classe de loisir » centré sur cette réalité que les riches avec les domestiques et autres serviteurs dont ils s’entourent achètent en fait le temps des pauvres ,s’appropriant ainsi une part inalienable de ce qui leur est donné en naissant leur années de vie à vivre pour pouvoir jouir paresseusement et sans obligation ni contrainte de leur propre vie dans toute son étendue .
Si on y reflechit cet accaparement par l’argent de ce que les autres ont comme droit en naissant est aussi scandaleux que de s’acheter le rein d’un pauvre(ce qui se fait helas),ou de s ‘offrir un enfant par GPA

Widergänger dit: à

Oui, mais enfin, quand je cite une traductrice de 1972, que je retrouve être un auteur du XVIIè siècle quelques commentaires plus loin, je me dis que j’ai affaire à des fous dans un hôpital psychiatrique là !

DHH dit: à

@WGG
vos efforts en latin et en grec sont estimables mais vous avez encore beaucoup de chemin à faire
« mina habens’,ce barbarisme que vous inventez ne peut être le féminin de minus habens car minus est un adverbe qui veut dire moins et non un adjectif qui s’accorderait

Widergänger dit: à

Le château de Barbe Bleue possède également un cabinet de femmes fortes, qui ont juste eu le défaut d’être trop curieuses…

Widergänger dit: à

Je réinvente la langue latine ! Il fut un temps où les adverbes s’accordaient en français. C’est une loi rétroactive…

DHH dit: à

@WGG
et votre commentaire sur satiricon ne vaut guère mieux
avec un o bref c’est un singulier neutre et non un pluriel
avec un o long(omega) c’est un genitif pluriel des trois genres

Evidence dit: à

les « explications » du p’tit Court sont toujours volontairement confuses, prétexte à étaler une érudition faite d’emprunts multiples pour noyer le poisson, le bedeau a toujours son mot à dire avec le mépris qu’a relevé Paul Edel et qui en laisse plus d’un(e) bouche bée… cela ne trompe que les gogos

Widergänger dit: à

L’Holopherne d’Anne de Rohan ne sort pas de rien. (Court)
_________
Qu’est-ce que vous voulez dire ? Holopherne est un général assyrien de Nabuchodonosor. Quel rapport avec une « femme forte » ? Si vous voulez parler de Judith, ok, mais personne n’a jamais dit que Judith sortait de rien puisqu’elle sort de la Bible ! Judith = Yehudith = la Juive. Femme très forte en effet qui tranche la tête du général.

Widergänger dit: à

Oui, génitif pluriel, c’est ce que je voulais dire, ma languette a fourchette…

Ed dit: à

@DHH
J’ai adoré cette réflexion, cruellement vraie.
Nous, la classe moyenne, nous plaisons à dire « dans la vie, soit t’as le temps, soit t’as l’argent ». Sous entendu : il faut travailler pour se payer des loisirs dont nous n’avons pas le temps de profiter.
Or le « ou bien ou bien » ne se pose pas pour certains très riches qui peuvent avoir les deux.

Widergänger dit: à

Court connaît manifestement baucoup de choses, mais il ne sait pas bien les mettre en valeur et les rendre intéressantes. Quand on le lit, on a toujours l’impression d’un compte rendu de rat de bibliothèque, alors qu’il donne souvent de précieuses informations. C’est dommage !

En tout cas, ça permet de se rendre compte, si ce n’était déjà le cas, combien le pouvoir louiquatorzien a complètment transformé le « climat » de la littérature française dans la seconde moitié du siècle, qui était beaucoup plus rigolard avant la guerre civile de 1648. Scarron aussi s’inspire pas mal du Satiricon dans son Roman comique.

Et avec la Maintenon à la fin du siècle, on a atteint le comble. Ça ne devait pas être drôle tous les jours à Versailles.

Widergänger dit: à

Oui, le bouquin de Veblen est un incontournable, recommandé d’ailleurs par R. Aron, qui en avait rédigé une préface.

Il ne faut pas oublier la fameuse opposition en latin entre l’otium et sa négation : negotium : le loisir et les affaires. L’otium est réservé aux sénateurs qui vivent du service à l’état (amiral, comme Pline l’ancien) mais qui avaient le loisir de passer leur temps à lire, comme Pline, une fois ses services accomplis auprès du prince le matin de bonne heure. Varron, Pline, ils ont rempli ds centaines de livres d’encyclopédie sur absolument tout. Une curiosité insatiable, extraordinaire.

Widergänger dit: à

Ce qui est étonnant et peu compréhensible, c’est que Rabelais ne se réfère jamais au Satiricon mais aux romans grecs alors que le Satiricon est déjà rabelaisien par bien des aspects, dont la satire. Peut-être ne le connaissait-on pas à son époque, on ne l’avait pas édité sans doute. Mais les romans grecs n’ont rien de drôle.

Evidence dit: à

« il ne sait pas les mettre en valeur »… ce qu’il cherche c’est LUI à se mettre en valeur en étourdissant avec ses références pompées ici ou là, c’est un p’tit besogneux qui n’a pas de véritables jugements perso… comme JC Landouille

Ed dit: à

« LUI à se mettre en valeur »
Comme ce haineux attardé de WGG qui commence tous ces commentaires par une insulte, car il est le seul à détenir la Vérité. Tout ce qui n’est pas lui est bête, alors l’Autre (la femme), n’en parlons pas. Il en a horreur. Sauf de ses maîtresses imaginaires.

Ed dit: à

*ses commentaires

gisèle dit: à

Pour l’heure, les femmes fortes ne m’intéressent pas. La façon dont WGG parle de Térence, de Ménandre, de Pétrone,des fresques de Pompéi, m’amuse, comme si tout cela sortait direct d’un monde numérisé.
Pour la peinture, il y a le long mémoire d’Adolphe Reinach,ancien il est vrai, qui étudie avec précision la peinture sur les murs, et sur toile . Cela se trouve sur Gallica.
Il y a 2 siècles d’écart, à peu près entre Ménandre et Térence. Les pièces de Ménandre étaient jouées lors des grands concours et n’étaient pas « publiées ». A l’époque de Térence,il était possible d’en avoir connaissance par les manuscrits, les volumen; Térence parle l’attique; voir sur ce point « le cercle des Scipions ».
Quant au Satiricon, il me semble qu’il n’a rien de Rabelaisien, ni dans sa structure, ni dans son sujet.Trimalcion n’en est pas le personnage principal, d’ailleurs.
Ma remarque vise simplement à dire qu’il faut se garder de faire des rapprochements trop rapides quand il s’agit de civilisations et de cultures fort éloignées des nôtres.Idem pour l’otium, qui mérite une approche philosophique.

DHH dit: à

« La grâce est trompeuse et la beauté est illusoire; c’est de la femme qui craint l’Eternel qu’on chantera les louanges »
Je m’étonne qu’aucune des commentatrices ne réagisse à ces derniers mots du portrait de la femme ‘vaillante » .
Pourtant il en dit long sur l’arriere plan moral de ce texte, qui est une ode à la seule vraie femme , la bonne ménagère, dont la perfection n’a que faire de la beauté ou de la grâce .
Les trois K ne sont pas très loin

Ed dit: à

« Les trois K ne sont pas très loin »
Tout près, même.
Mais quelqu’un avait évoqué ici la reprise du mythe par le protestantisme. Donc on est bon, on est bon. Ça se tient !

Chaloux dit: à

Blabla:« Pour impressionner tes interlocuteur, tu dois baucoup travailler « !

Naisse pas!

Ed dit: à

« Pour impressionner tes interlocuteur »
Lapsus révélateur : pas de « s ». Évidemment que non,puisqu’il ne parle qu’à lui-même. D’où les insultes et le postulat que tout le monde cherche à « impressionner » les autres. Non, je ne suis pas comme toi blabla, je cherche à discuter et à argumenter. Pas à insulter et impressionner.

Je suis à des années lumières de toi et tu es à des années lumières des Hommes.

Chaloux dit: à

D’autant, Ed qu’il raconte n’importe quoi, comme d’habitude. <i<Le Satyricon est un des textes les plus piégés de l’Antiquité, on ne sait pas exactement ce que c’est, et sûrement pas un roman. Le pauvre Blabla avait lu tous les livres de Florence Dupont parce que j’avais eu le malheur de citer son nom. On voit par là qu’il n’en était rien.

(Je vais quand même refaire un petit tour dans Bloy. Ce que j’ai lu ces derniers jours est vraiment drôle. M’étonnerait que je morde autant au mystique. Pas compris ce que raconte Closer à propos de Huysmans, il ne doit pas bien le connaître).

Chaloux dit: à

Le Balzac, Paris d’Eric Hazan est une vraie réussite.

Chaloux dit: à

– Pour savoir ce que ressent une femme couchée aux pieds d’un homme, Blabla a interrogé ses chaussons. Leur mutisme obstiné est pour lui le gage qu’il est dans le vrai.

-L’analyse de la gifle par Clopine est désolante. Il est du véritable amour comme de l’apparition des esprits, tout le monde en parle, mais peu de gens en ont vu. Ce n’est pas moi qui le dis. Et Valéry a écrit aussi quelque chose d’approchant.

Jazzi dit: à

« Vous êtes-vous décarcassé pour faire un commentaire cohérent… ou bien avez-vous été paresseux »

Je me contente de jouer les monsieur Loyal, Delaporte, je les présente et leur donne immédiatement la parole. C’est un gros boulot pour constituer le puzzle, mais c’est passionnant. La paresse est la chose du monde la mieux partagée…

Chaloux dit: à

Même Gustave, mon chat, qui est il est vrai un grand esprit parmi les chats, serait bien incapable de penser aussi bêtement que Blabla croit que la femme pense. C’est dire si le pauvre homme connait les chats.

gisèle dit: à

DHH 19h42. Une émission passionnante sur la chaîne histoire « Artistes femmes à la force du poignet » Je l’ai vue hier, j’ignore si elle repasse .
Une étude très argumentée par les commentaires et très démonstrative par les images,de l’évolution du rôle de la femme. Seul, l’homme est capable de créer…la femme va devoir s’imposer en tant que créatrice,donc en tant qu’individu qui n’est pas sous tutelle.

Chaloux dit: à

Jazzi, il y a une page extraordinaire sur l’otium dans un roman de Mann (malheureusement pas noté, sans doute dans Docteur Faustus).
As-tu lu Éloge du repos de Paul Morand? (Arléa).

Ed dit: à

Petit cachotier, je suis la « cat lady » par excellence et vous m’avez dissimulé avoir un félin à la maison ??
Gustave, en hommage à Flaubert, à Eiffel ?

Widergänger dit: à

La bêtise se réveille en fin d’après-midi, faisant assaut de ses boulettes de papiers mouillées… La prétention le dispute à la niaiserie. Trop minables pour répondre à ces culs terreux !

Chaloux dit: à

A Flaubert, mais j’aurais mieux fait de l’appeler Arthur. C’est un rescapé de la folie humaine qui s’en est très bien remis, et un animal d’une gentillesse étonnante, comme moi.

Widergänger dit: à

Ls dux livres de Florence Dupont sont dans ma bibliothèque, que le petit trouducul de chaloux le veuille ou non… qui n’en a pas lu une page, le bougre !

Chaloux dit: à

Blabla, écris ton chef-d’oeuvre et fous nous la paix. L’heure tourne!

Truompeu dit: à

19h34

« ne pas… rapprocher trop rapidement des civilisations et des cultures fort éloignées des nôtres »

Non, mais justement c’est le but de l’entreprise ridicule de notre Widangeur devant l’éternel, et qui vise (qqls décennies après l’absurde ‘civilisation de la Méditerranée’ des Annales) à tout ramener à la sienne ; dans les pas d’Attali (c’est le gars qui a écrit qqls centaines de livres sans que l’on ne souvienne d’un seul!), oui dans les pas du cerveau, en bon larbin

D’ailleurs  » Tout ce qui n’est pas lui est BêTE »
c’est bien le credo du Talmud

Widergänger dit: à

Justement, va te coucher, vieille bique, c’est l’heure !

Ed dit: à

« C’est un rescapé de la folie humaine qui s’en est très bien remis »

Je vois. La fréquence de ces horreurs m’étonnera toujours. Ma sœur avait retrouvé son ancien chat, Tarzan, dans une poubelle. Lui ne s’en était pas si bien remis. Disons que c’est un extrême ou l’autre : ou bien ils collent, trop heureux de trouver un humain gentil. Ou bien ils n’auront jamais confiance en eux.

Widergänger dit: à

« ne pas… rapprocher trop rapidement des civilisations et des cultures fort éloignées des nôtres »
________
Ce qu’écrit cette poufiasse inculte est complètement insignifiant.

Petit Rappel . dit: à

L Holopherne d’Anne de Rohan est un exemple de tragédie de femme forte jouée pour galvaniser les troupes à l’un des sièges de La Rochelle. Ce texte est perdu, il devait etre manuscrit, mais montre l’exploitation littéraire et religieuse du thème des Femmes Fortes.
Comme le Christianisme s’ancre aussi dans l’Ancien Testament , je ne me vois pas fondé à faire un procès au personnage de Judith.

Le Cabinet des Femmes Fortes est à l’Arsenal,
réalisé pour Marie de Cossé-Brissac, épouse du Duc de La Meilleraye, et on note un lambris sur le meme sujet . ce sont des demeures de haute aristocratie qui montrent qu’un certain imaginaire biblique comme d’ailleurs un imaginaire chevaleresque pa
rle encore aux élites avant les années1660.

Après, il ne subsiste plus à l’exception d’Esther dans la Tragédie Jésuite néolatine, et encore, tandis que l’idéal chevaleresque devient objet de fêtes avec Les Plaisirs de l’Ile Enchantée. Le Corneille du retour au Théâtre de 1660 est emblématique de cette crise en se tournant vers Tacite.

Remercions Evidence de ses interventions aussi pertinentes que variées, comme exemptes de tout fiel.
MC

Widergänger dit: à

qqls décennies après l’absurde ‘civilisation de la Méditerranée’ des Annales
_________
C’est dire le niveau d’incompétence de ce trouducul de Trompelamort ! La pauvreté intellectuelle de tous ces bouseux malades.

Widergänger dit: à

Petit Rappel . dit: 11 mars 2018 à 20 h 46 min
Remercions Evidence de ses interventions aussi pertinentes que variées, comme exemptes de tout fiel.
MC
_______
Evidence dit: 11 mars 2018 à 19 h 13 min
« il ne sait pas les mettre en valeur »… ce qu’il cherche c’est LUI à se mettre en valeur en étourdissant avec ses références pompées ici ou là, c’est un p’tit besogneux qui n’a pas de véritables jugements perso… comme JC Landouille
__________
Après, on ira prétendre que Court manque d’humour !

Chaloux dit: à

@Ed
Gustave, jugeant sans doute que le terrain était favorable, s’est montré plein d’exigences, il a éduqué son monde sur le mode « je veux, je ne veux pas ». Nous avions l’impression que par ses réactions il nous racontait son histoire. A chaque question, il a fallu trouver une réponse dont il semblait prendre acte. Un moment assez extraordinaire. Maintenant, au bout de cinq ans de cohabitation, c’est « cause toujours », avec de-ci de-la quelques rappels à sa loi. Mais il est aussi très sociable (mon vétérinaire dit : fusionnel) et souvent étonnant. Les chats intelligents nous rendent plus intelligents et plus réfléchis.

Widergänger dit: à

Charlotte Corday à la fin du XVIIIè siècle a encore été vue comme une Judith.

Widergänger dit: à

Les chats intelligents nous rendent plus intelligents et plus réfléchis.
_________
Avec une buse aussi prétentieuse, il doit avoir du boulot, le pauvre !

Widergänger dit: à

L’idéal chvaleresque est déjà fortement en crise en 1637 avec Le Cid !

Ed dit: à

« Les chats intelligents nous rendent plus intelligents et plus réfléchis. »

Si Blabla prenait un chat, peut-être que…

Chaloux dit: à

Pauvre Blabla, quand on voit ce que tu racontes à propos des femmes, on est très étonné que tu sois porté à vanter ton intelligence. Par ce que comme buse, tu te poses là. Il serait temps, à 63 ans, pauvre crétin, que tu te décides à en approcher une, pour voir un peu si elle a envie de se vautrer à tes pieds. M’étonnerait.

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Non, Ed, le pauvre Blabla ne peut plus être sauvé. Même par un chat.

Widergänger dit: à

Ce pauvre trouducul de chaloux manque manifestement d’imagination en plus d’être une pauvre buse ! Enfin, l’un va bien avec l’autre. On ne va pas dire tout ce qu’elles ont fait à mes pieds ni où elles se trouvaient alors…

Chaloux dit: à

Pauvre Blabla, m’est avis que tu n’en a pas connu seulement une. Tu n’as pas idée de ce qui se lit dans tes lamentables écrits.

Ed dit: à

On ne va pas dire tout ce qu’elles ont fait à mes pieds ni où elles se trouvaient alors…

Ahhh le mytho, le retour. Pas la peine de beaucoup le pousser.

Widergänger dit: à

Vaut mieux que tu le crois. Tu te réconfortes comme tu peux sur ton impuissance, avec ton petit minou…

Ed dit: à

De toutes façons, je ne souhaite à aucun chat d’avoir un maître aussi méchant. Ça mérite que de l’amour ces petites bêtes.

Widergänger dit: à

Y en a qui se réjouiraient que les autres jouissent. Eux, ça leur flanque la trouille tellement ils sont impuissants, les débiles mentaux.

Widergänger dit: à

Je suis de plus en plus méchant avec les cons. Les cons m’exaspèrent…!

Chaloux dit: à

Pauvre Blabla, tu ne sais jamais de quoi tu causes. C’est même à ça qu’on te reconnait. Quand tu parles des femmes (qu’est-ce que c’est?), ça sonne aussi creux et faux que le reste. Ton idée du monde relève du deux-pièces-cuisine dont tu es rarement sorti. Pas grand-chose.

vedo dit: à

19h34 (Gisèle)
Enfin, quelqu’un qui connait son sujet… Ah, cela fait du bien par où ça passe.

Chaloux dit: à

Il n’est pas méchant, Ed, il souffre, cet homme n’est qu’une plaie, une vieille entrecôte saignante.

Ed dit: à

Ils les détestent parce qu’il les craint (il a pas dû en voir passer beaucoup hein), alors quand une femme ose le contredire, c’est une pouf. Alors que lui n’est qu’un raté que même ses élèves ne respectent pas.

Ed dit: à

Il n’est pas méchant, Ed, il souffre

Rapport de causalité, pas d’élimination.

Chaloux dit: à

Je ne sais même pas s’il les déteste. Il ne les connait pas, mais il ne connait rien. C’est une espèce de gros bébé de 63 ans qui a refusé tous les obstacles, toutes les épreuves de la vie, tout en se rêvant ce qu’il n’était pas. Il est resté dans l’illusion de la toute-puissance comme les petits enfants.
Il devrait se répéter plus souvent cette maxime de Rivarol, qui lui va comme un gant:

N’avoir rien fait est un grand privilège, mais il ne faut pas en abuser.

Widergänger dit: à

Depuis 2013 le concours Eloquentia dans le 93 renouvelle l’art oratoire et son apprentissage. Vraiment passionnant d’entendre les jeunes en apprentis orateurs. Est-ce la fin des « vas-y, et nique ta mère » ? À suivre.

Ed dit: à

Chaloux,

Il les craint PARCE QU’il ne les connaît pas. Je suis d’accord avec votre analyse. Il ne s’est confronté à rien, c’est pour cela que tous les autres sont des cons, surtout les femmes, puisqu’elles SONT l’Autre.

Bref. Un pauvre type.

Widergänger dit: à

Asinus asinum fricat… et hoc se quisque modo semper fugit.

Chaloux dit: à

Ed, dans un monde enfantin, monolithique, fait tout d’une pièce, comme une pierre, il ne peut y avoir aucune contradiction possible.

Chaloux dit: à

Nerval écrit dans je ne sais quel texte (Les Illuminés?) « La France se consolait en chansons ». D’autres se consolent en latin de pages roses…

Widergänger dit: à

Ben, c’est pas évident de « sortir de sa zone de confort », comme il dit, l’autre. Vraiment passionnant, les réflexions de ces jeunes sur leur façon de parler; certains sont d’une lucidité sur le rapport entre le parler et l’origine sociale !

Quand je compare avec mes élèves de 3ème qui s’expriment à l’oral dans un français impeccable! C’est là où on se rend compte des inégalités abyssales dans notre pays.

Vraiment une excellente initiative ce concours d’éloquence.

Ed dit: à

Ben, c’est pas évident de « sortir de sa zone de confort »

Il en est jamais sorti et il se permet de distribuer les bons points le raté mythomane ? Tiens d’ailleurs il faut que je corrige ma nouvelle. Car oui, contrairement à Blabla qui passe son temps à juger tout le monde, je bosse.

closer dit: à

« Quel livre relisez-vous régulièrement ?

L’Enracinement de Simone Weil. Ce livre est une boussole, une inspiration. Définitivement. Alors que la philosophe rejoint le général de Gaulle, elle comprend qu’il faudra poser sur les ruines du monde les fondations d’une renaissance spirituelle et se lance dans le « prélude à une déclaration des devoirs envers l’être humain ». Simone Weil comprend que la plus grande des violences consiste à ôter leur histoire, leurs racines, leur mémoire aux générations à venir, à cesser de transmettre. Elle a eu l’intuition que l’époque contemporaine nécessiterait plus qu’aucune autre de défendre l’enracinement contre un progrès sans âme et sans chair. C’est pour moi le combat fondateur. »

Pas de quoi s’exciter comme un malade WG! Que des évidences…

D. dit: à

Ce soir j’ai mangé des betteraves à l’ail avec du blanc de dinde bio.

rose dit: à

loneliness- be still

closer

vous donne ce qui précède demain.
bonsoir

Ed dit: à

D. Vous ne manquez pas d’imagination en matière de repas !

Chaloux dit: à

Quelle drôle d’habitude, de dîner.

Ed dit: à

D’ailleurs WGG est tellement petit qu’il s’écrase quand Court lui dit que j’ai raison mais continue à me traiter de p.etasse.
Il s’écrase aussi devant Chaloux.
En fait il la ferme toujours devant les hommes et devient fou quand une femme lui tient tête. Classique. J’en connais des tonnes. Des Talibans blancs et occidentaux qui ne veulent pas que les femmes pensent et s’opposent à eux.
WGG doit avoir un lien de parenté avec le sale type qui m’a inspiré ma nouvelle. Celui-ci se confondant en insultes lorsque je le taquinnais un peu. 10 min plus tard, mon petit ami arrivait et lui balançait un tacle très violent et il ne réagissait pas.
Vous êtes de la même race, celle des horribles mysogines et je continuerai à vous pourir la vie parce que vous êtes des raclures.

Chaloux dit: à

Ed, il ne faut pas trop le prendre au sérieux non plus, il n’attend que ça. On se fatigue pour rien.

Jazzi dit: à

« As-tu lu Éloge du repos de Paul Morand? (Arléa). »

Morand est un auteur récurrent de mes divers Goût, Chaloux. Il est au sommaire…

Petit Rappel . dit: à

Charlotte Corday femme forte? Le concept est moribond et la tragédie contre-révolutionnaire échoue à le ranimer; Il y en a eu sur la mort du Roi, de la Reine, composées à chaud, si j’ose dire. Preuve de cette dégradation pour Charlotte Corday, la définition attribuée à Lamartine: « L Ange de l’Assassinat ». Le personnage est pour ainsi dire désincarné par cette guimauve romantique.

D. dit: à

Rien de plus ordinaires que des Betteraves à l’ail, Ed.

Ed dit: à

Chaloux,

Vous n’étiez pas là cet apres-midi pour constater sa violence à mon égard. Plus je le sommais de m’ignorer et poursuivais raisonnablement mon argumentation, plus je me faisais traiter de tous les noms. Je ne pense donc pas que l’ignorance paye avec ce profil de malade. Au contraire, il faut leur rentrer dedans.

D.
Je trouve ça très créatif. Et sain.

Widergänger dit: à

Eh oui, faut te renseigner, Court, avant de causer… Faut lire les bons livres sur le mythe de Judith !

Widergänger dit: à

Je laisse causer les bécasses.

Widergänger dit: à

Si c’est ça que t’appelle « me pourrir la vie », moi, ça ne me dérange guère, tu sais, mon chou à la crème fouettée… Mais elle est con, cette bécasse, mais con !

Ed dit: à

« Becasse »
Décidément il est spécialiste en insultes en « asse » cet affreux misogyne.
Et si moi je suis con, j’aimerais bien savoir ce que vous êtes. Vous n’avez rien dans le crâne. Rien. Ah si. De l’imagination. Une noblesse juive, des maîtresses à vos pieds…Tant que vous y croyez, pourquoi pas ?

Pat V dit: à

gisèle dit: 11 mars 2018 à 19 h 34 min

Pour l’heure, les femmes fortes ne m’intéressent pas. (…)

Belle intervention. De la même manière, certaines grandes artistes du XXème. siècle affirment qu’ être une femme forte ne veut rien dire.
Je pense à Louise Nevelson et à Louise Bourgeois.

Widergänger dit: à

J’ai jusqu’en octobre 2019 pour demander la nationalité espagnole… Ce serait marrant qu’on me la donne. Je vais leur dire que j’ai une vieille cousine qui a couché avec Louis XIV et qui avait la peau noire, je suis sûr que ça va marcher…! Et cerise sur le gâteau, elle est citée dans ses Mémoires par le duc Saint-Simon et par Mme de Sévigné. Alors on va m demander Et que faisait votre père ? — Il était ouvrier chez Mazda. — et votre mère ? — Elle ne faisait rien. — Et vous ? — Je suis afidé à la Rdl ! — Ah, dans ce cas, on vous l’accorde d’office !

Delaporte dit: à

Le nouveau nom du FN est tout pourri : « Rassemblement national », ça fait penser à RPR, Rassemblement pour la République. Déjà usé et cassé par Chirac et consorts… Une mauvaise idée :

« Marine Le Pen a réuni à Lille ses militants pour le 16e congrès du Front national, qui devrait être rebaptisé «Rassemblement national ». »

Delaporte dit: à

La pénible remontée de David Hallyday… il tient le bon bout. A un de ses concerts, il rend hommage à son père, et déclare même qu’il l’aime, comme si celui-ci ne lui avait fait aucun mal :

« En pleine guerre de succession contre Laeticia Hallyday, au sujet du testament de Johnny, rédigé aux Etats-Unis, David et Laura ne ratent pas une occasion d’alimenter la bataille et de rappeler leur filiation. »

Ed dit: à

D’un point de vue stratégique, c’est 0as si mauvais. On passe de l’agressivité belliqueuse du Front à la charge positive du rassemblement, d’autant que la fille – contrairement au père – a toujours voulu rassembler.

Ça intéresse qqn les détails autobiographique et pmpar definition mythomanes de WGG ? Non. Personne.
Le seul qui a une vie palpitante ici c’est D. et sa créativité culinaire.

Widergänger dit: à

Manque manifestement d’humour, la Bécasse !

Delaporte dit: à

« Ce serait marrant qu’on me la donne. »

Cela m’étonnerait qu’on vous la donne, surtout si on fait une enquête. Déjà bien gentil qu’on vous accepte comme français, avec le mal que vous faites à l’Education nationale. Vos petits élèves ne s’en remettront jamais ! Les Espagouins, face à un tel bilan, vont se débiner dare-dare, croyez-moi !!!

Widergänger dit: à

C’est pas que j’y crois, ma petite chatte, c’est que ce sont des faits répertoriés dans les Annales ! Une vraie bécasse.

Delaporte dit: à

Meghan Markle, nouvelle fidèle anglicane dûment baptisée, portera une robe de 450 000 euros à son mariage. Cette somme considérable d’argent n’aurait-elle été pas mieux utilisée autrement ? L’engouement pour le nouveau couple princier risque d’en pâtir, du moins chez les gens sérieux :

« La robe de mariée de Meghan Markle, qui pourrait valoir 450 000 euros selon les tabloïds, coûtera infiniment plus cher que la tenue qu’elle portait à son premier mariage avec le producteur de film américain Trevor Engelson en 2011. »

Petit Rappel . dit: à

On ne demande pas mieux que de connaître vos références et d’y aller voir, cher W!
J’ai quand même quelque idée que « les bons livres » sont ceux qui sont de votre avis, allez savoir pourquoi…

Delaporte dit: à

La revue GQ note que, contrairement à certaines de ses victimes, cette ordure de Weinstein a un avenir, et quel ! :

« Mais où est donc Harvey Weinstein ? C’est la question que s’est posée le New York Times. Le quotidien américain y a répondu à la suite d’une longue enquête, publiée le 9 mars. Entre deux rendez-vous avec ses avocats, le magnat de Hollywood participe à des thérapies de groupe et dîne dans les restaurants, sous le regard médusé des autres clients. Vêtu d’un t-shirt noir, un fédora sur la tête, il planche sur un projet pour le moins personnel : un documentaire exclusif sur… lui-même. Avec ce dernier, il souhaite parler de sa propre version des faits et envisagerait même un retour en fanfare dans l’industrie cinématographique. L’un de ses portes-paroles a confié au journal qu’il avait d’ores et déjà été contacté par une poignée de producteurs fortement intéressés. »

Ed dit: à

Quelles Annales ? Vos Annales imaginaires oui. Je veux bien le croire.

Delaporte a raison. J’ajoute que les Espagnols ont assez de soucis comme cela. Foutez leur la paix, et à ce blog également. On se fiche de votre triste vie

Delaporte dit: à

Moi, je crois qu’il est cuit. Il s’est mis à dons plus des trois quarts de l’humanité, il ne s’en remettra jamais. L’ignoble mogul est fini !!!

Widergänger dit: à

Elle est comique, la bécasse ! Elle va en faire des cauchemars…

Ed dit: à

Tiens la poule mouillée me traite de bécasse mais ne répond pas à Delaporte. CQFD
Dur d’être un homme faible et chétif. Ça s’en prend au sexe faible mais ça rigole moins quand on se fait attaquer par ses semblables.

Delaporte dit: à

Weinstein, Polanski, Woody Allen, Tariq Ramadan… ils en ont pris pour leur grade, et je crois que, pour eux, c’est irréversible. Il n’y a que les débiles superficiels de GQ à leur trouver encore un avenir !

Chaloux dit: à

Blabla est noble comme je suis garde-barrière. Le papelard en faux parchemin qu’il exhibe, il l’a trouvé dans une tablette de chocolat poulain. Ses ancêtres -les vrais- étaient plutôt de pauvres gueux qui rampaient dans une tourbière quelconque, comme lui dans son deux-pièces cuisine.

Ed dit: à

Chaloux,

Je vais arrêter de répondre à WGG car je ne vous arrive pas à la cheville. Le chocolat poulain, les gueux et le deux pièces m’ont achevée. Je vais me coucher là dessus, on n’aura pas mieux.

Widergänger dit: à

5 châteaux, mon pauvre chéri ! C’est autre chose que ta tourbière…! Dont le célèbre châteaux de Monbazillac, ayant appartenu au vicomte David d’A. Eh, ça en jette, hein ! Je comprends que tu jalouses ton maître, mon pauvre larbin, comme dit l’autre.

Chaloux dit: à

Tu rêves, mon pauvre Blabla, et de plus tu rêves vulgaire. Ce qui n’étonnera personne au regard du reste de ta personne.

Chaloux dit: à

Au mieux, ta mémé était pu.tain.

Widergänger dit: à

Un larbin voit forcément des gens vulgaires partout ! Narcissisme primaire, voire primitif…

Chaloux dit: à

A deux balles. Tu es un intellectuel au même tarif.

Chaloux dit: à

Mais non, tu es un immense écrivain, ta mémé se tapait Louis XIV, et tu sais tout. Ouvre les yeux et regarde un peu le tableau… Pas du Rigaud.(Plutôt du nigaud…)

Delaporte dit: à

Bonne nouveauté que ce clip de Mylène Farmer, que l’on retrouve par ailleurs dans un film d’horreur bien gothique, bien masochiste :

https://youtu.be/jpsmVEiBQNQ

JC..... dit: à

« J’allais oublier les réserves sur Proust pour plaire à JC et à l’électorat porquerollais, dont on ne soulignera jamais assez l’importance. » (closer 16:12)

Terra Nova ne pèse rien vs notre Institut Bartabacs, ce vivier de la pensée politique libérale. Ne pas confondre un think tank socialiste repoussant avec notre drink planque au charme insulaire…

JC..... dit: à

Paul Edel dit: 11 mars 2018 à 12 h 28 min
« JC, mais si, justement, Oblomov est capable d’aimer …/… Oblomov amoureux, restera sur son divan.avec son amour d’olga en lui.d’où le tragique du personnage.quel roman. »

Non, Paul ! Désolé ! Oblomov ne peux pas aimer Olga ! Car il est resté enfant : il aime l’idée d’aimer mais ne peut donner suite faute d’avoir pu rompre avec son monde d’enfant gâté. Oblomov n’est en rien paresseux, il est lucide mais impuissant à naître véritablement en acceptant le risque d’aimer. C’est cette enfance prolongée qui rend ridicule son sort tragique de faux adulte …

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…un temps & peu d’imaginations,…

…dans, votre Oblomof,…est capable d’aimer,!…comme tout me monde,…avec, son portable,…et, quel trames, avec ses domestiques, à quel  » giron  » ses attachés-presse,…
…il végéte  » drogué « , ou des mauvaises fréquentations, à son insu, sur place, dont il ne maîtrise plus, dans son intendance,..

…des détails et humeurs qui le rebiffent, questions de virevoltes et moins gantés,…

…il, faut tout, voir,…une fiche, plus détaillée, ET de tout, dans son contexte proche,…

…cette situation intéressante, pour qui, quoi, en bénéficie le mieux-en résultats, ou glissades d’héritiers,!…sur son dos,…
…etc,…

rose dit: à

closer


You must suffer –
to loose your dark golden
when your covering of
even dead leaves leave you
strong and naked
you must be
-alive- when looking dead
straight though bent
with wind

And bear the pain & the joy
of newness on your limbs

Loneliness -be still

Marylin

plus tard vous donnerai le début

bonne journée closer

JC..... dit: à

Ami Chaloux,
accuser, ce matin vers 1 heure, la Mémé de l’ami Wiwi de s’être tapé Louis XIV est une accusation d’une gravité exceptionnelle ! Avez vous des preuves ? Auriez vous retrouvé quelques traits génétique d’ascendance royale dans les traits virils de notre distingué bretteur …? !

la vie dans les bois dit: à

« Qui s’est jamais intéressé au sort des dizaines de milliers de très jeunes vagabonds livrés à eux-mêmes ? »

Il doit y avoir autre chose qu’un documentaire qui apparait comme un peu dégoulinant.

Si tu n’es pas allé à Biarritz, voilà un cours de rattrapage:

« La bataille de l’enfance fait le lien entre deux grands domaines de la recherche historique : crime et délinquance, guerre et changement social. Grâce à une recherche qui s’appuie sur un large dépouillement d’archives, Sarah Fishman révèle l’impact du régime de Vichy sur un des groupes les plus silencieux de l’histoire : les enfants.
Elle étudie la façon dont les enfants français ont traversé la guerre et l’occupation allemande. Elle montre que ce sont les restrictions économiques plus que la dislocation des familles qui ont accru la criminalité juvénile. Les circonstances des temps de guerre ont conduit les autorités à considérer les délinquants mineurs comme des victimes : c’est cela qui a permis aux réformistes, aux psychiatres, aux travailleurs sociaux et aux juristes de modifier le système français, en le tirant d’une justice juvénile punitive vers un système à visée éducative. La légistation du régime de Vichy a, ce faisant, fondé le système moderne de justice juvénile en France, qui incarcère rarement les jeunes délinquants.
En s’intéressant au rôle que la guerre et le régime autoritaire de Vichy ont joué dans la transformation des tribunaux et des institutions françaises, Sarah Fishman enrichit notre connaissance de la vie quotidienne en France durant la Seconde Guerre mondiale. Elle affine notre compréhension de la place de Vichy dans le développement historique de la France. Elle apporte des éléments importants de réflexion aux débats actuels sur la justice juvénile. »
Délinquance juvénile et justice des mineurs en France pendant la Seconde Guerre mondiale »
Sarah Fishman
Traduction de Johann Maunet
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Johann Maunet et révisé par Jacqueline Sainclivier.
Ouvrage numérisé avec le soutien du Centre national du livre.
Chapitre 2. Enfants et adolescents pendant la Seconde Guerre mondiale
p. 65-108

JC..... dit: à

« c’est cela qui a permis aux réformistes, aux psychiatres, aux travailleurs sociaux et aux juristes de modifier le système français, en le tirant d’une justice juvénile punitive vers un système à visée éducative. »

On connait donc les coupables ….uhuhu !

Chaloux dit: à

Cher JC, ce n’est pas moi qui le dis…

JC..... dit: à

Compris : ne pas confondre celui qui écrit avec celui qui surligne…

zerbinette dit: à

Ed, soyez magnanime envers wgg, sa grande douleur c’est que son arbre généalogique, quel qu’il soit, s’arrête avec lui.

JC..... dit: à

L’amie Zerbinette, vous avez une langue de péripatéticienne haut de gamme, élyséenne ! Tous mes compliments ! Pourtant, il me faut rétablir la vérité, toute la vérité, rien que la variété !

L’ami Wiwi a généré 6 enfants, trois garçons et trois filles, qu’il a rapidement abandonné dans un établissement ad hoc, ce qui lui a permis de s’écrier triomphalement en sortant après le sixième abandon :
« Enfoncé, le Jean Jacques Rousseau avec ses 5 lardons jetés aux Enfants Trouvés ! »

Nous avons tous nos petits défauts …

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…les montagnes  » russes « , des commentaires,!…sur tout terrain, .ou çà,!…
…laisser-moi, réfléchir,!…diaporama, !…
…et, puis, après,!…Clausewitz,…
…les nouilles, sont prêtes, animées, à la sauce Bolognese, !merci, choux,!…etc,…

…tactique de recouvrement en exercices,…
…j’adoube,…

amandine dit: à

Blabla est noble comme je suis garde-barrière. Le papelard en faux parchemin qu’il exhibe, il l’a trouvé dans une tablette de chocolat poulain. Ses ancêtres -les vrais- étaient plutôt de pauvres gueux qui rampaient dans une tourbière quelconque, comme lui dans son deux-pièces cuisine. Chaloux.

Ce n’est pas pour condamner votre acharnement thérapeutique cependant que vos méthodes ne changent guère fidèle à votre obsession: brutalité, humiliation, rabaissement. Laissez donc WGG à ses fables si c’en est, vous y gagneriez , là en l’occurrence vous avez l’air autant atteint que lui mais sur un autre plan.

amandine dit: à

Bon alors nous avons à l’est un Poutine indétrônable , un new Mao auto-proclamé par la grâce d’un parlement muet et soumis; ici un peu de proportionnelle et pour contrer ce qui est à 4 ans devant un projet visant à affaiblir l’organe des représentants élus ( 27% …) et un sénat avec un droit de vote bloqué, est-ce que cela veut dire que les sénateurs feront office de poteries consultatives pour compléter le décorum parlementaire?

bérénice dit: à

test

closer dit: à

Quatre sources littéraires non françaises (mangas japonais, Klaus Mann, Les Trois Royaumes et Tristan et Iseut) sur quatorze citées par Wauquiez, c’est assez bien dosé pour quelqu’un qui veut séduire l’électorat français de droite…Elles sont de plus assez peu conventionnelles.

Macron, le chantre de la mondialisation, est beaucoup plus franchouillard. Voici ce que j’ai trouvé sur ses lectures:

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/1007/reader/reader.html#!preferred/1/package/1007/pub/1009/page/6

Chaloux, pardon d’avoir caricaturé les lecteurs de Huysmans dans mon 16h12 d’hier. Mais mon commentaire n’était pas vraiment sérieux…

closer dit: à

Merci Rose, inspirée Marylin en effet.

bérénice dit: à

WGG, je vous proposais hier de créer une association loi 1901 , nous serions deux à n’être pas sortis de notre auberge ( vous un deux pièces,moi un trois) et à ne rien connaître à l’autre ( vous des femmes alors que vous vous vantez d’une rôle de façon réactionnaire, moi aux hommes dont je me demande ce que je pourrais en attendre encore si ce n’est avantages en espèces quand ce n’est pas amical); qu’en pensez-vous?
Je remarque que si Chaloux vous donne pour malade ( myho) il semble atteint lui aussi, il m’insupporte par sa brutalité et son acharnement envers vous, des années que cela dure!

JC..... dit: à

DE LA GUERRE A LA GUERRE

La sordide attaque récente d’Amazones séchées, guerrières au sein coupé, féministes étroites du bulbe, racaille de gauche, laiderons mal lavées, poufinasses mal biaisées, contre de courageux entrepreneurs entreprenants comme notre ami Harvey Weinstein, notre frère de laid Woody Alien, notre compatriote Larcher, nous a conduit à créer ex nihilo un groupe de défense et de combat, les HHHH, entité basée à Porquerolles.

Les Hordes Hardies du Harcèlement Héroïque ont pour devise, venue du fond des âges et révérée comme il se doit partout dans le monde, la magnifique profession de foi libertine :

« Joignons le geste à la parole ! »

Beaucoup d’entre nous ayant peu d’expérience du Métropolitain pourrons acheter notre ouvrage récemment édité aux Editions du Frottis Suburbain :
« Le goût du Métro ou comment peloter pour les Nuls »

Nous conseillons à tous, la lecture à deux d’un vieil ouvrage de référence : « La lubricité pour les Nuls, de Vercingétorix à DSK », mis à jour régulièrement.

Nous vaincrons car nous sommes les plus c.ons ! Guerre à la guerre !

Janssen J-J dit: à

Voici l’agenda sécuritaire du gouvernement pour cette semaine, qui passionnera les lecteurs de la RDL toujours à l’affût du moindre scoop (AFP).
On peut dormir tranquilles… sauf samedi prochain.
-> Lundi 12 mars 2018 (à partir de 10 heures et tout au long de la semaine, la garde des Sceaux Nico.le Bell.oubet poursuit ses consultations dans le cadre des chantiers de la Justice. À 14 heures, Gér.ard Coll.omb et Édouard Phili.ppe s’entretiennent avec le bureau de l’Assemblée des départements de France. À 17h30, Gér.ard Coll.omb participe à un comité interministériel pour la reconstruction de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy).
-> Mardi 13 mars 2018 (à 9h30, la commission des Lois de l’Assemblée nationale examine pour avis le projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2019 à 2025. À 10h30, Gér.ard Coll.omb intervient à la réunion des préfets à l’Hôtel de Beau.vau. À 11h30, Cha.ntal Buss.ière, membre du Conseil supérieur de la magistrature et première présidente honoraire, restitue les conclusions de son rapport sur les victimes du terrorisme à la ministre de la Justice, Nicole Bell.oubet. À 14h45, la commission d’enquête du Sénat sur l’organisation et les moyens des services de l’État pour faire face à l’évolution de la menace terroriste après la chute de l’État islamique auditionne, à huis clos, le général Je.an-Franç.ois Fer.let, directeur du renseignement militaire, puis Hug.ues Bri.cq, chef du service central du renseignement territorial. À 16 heures, la commission d’enquête sur l’état des forces de sécurité intérieure du Sénat se réunit pour un échange de vues sur les travaux de la commission avant d’auditionner les représentants de l’Union des policiers nationaux indépendants. À partir de 17 heures, la commission de la Défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale examine le projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2019 à 2025).
-> Mercredi 14 mars 2018 (à 9 heures, Emmanuel Macr..on réunit un nouveau conseil restreint de défense à l’Élysée, avant le conseil des ministres. À 9 heures, la commission des Lois du Sénat examine le projet de loi relatif à la protection des données personnelles. À partir de 9h30, la commission de la Défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale poursuit l’examen du projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2019 à 2025. À 14h30, la direction générale de la police nationale réunit les syndicats pour un comité technique de réseau de la police nationale. À 14h45, la commission d’enquête sur l’état des forces de sécurité intérieure du Sénat auditionne les représentants d’Alliance police nationale et de la CFE-CGC. À 15 heures, la commission d’enquête du Sénat sur l’organisation et les moyens des services de l’État pour faire face à l’évolution de la menace terroriste après la chute de l’État islamique auditionne, à huis clos, Pierre de Bou.squet de Flo.rian, coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, puis Mi.rei.lle Ball.estraz.zi, directrice centrale de la police judiciaire, Cath.erine Cham.bon, sous-directrice de la lutte contre la cybercriminalité, et Fré.déric Mal.on, adjoint au sous-directeur antiterroriste. À 16 heures, la commission d’enquête sur l’état des forces de sécurité intérieure du Sénat auditionne le général Rich.ard Liz.urey, directeur général de la gendarmerie nationale, et le colonel Laur.ent Bern.ard, adjoint à sous-direction administrative et financière).
-> Jeudi 15 mars 2018 (Dans la journée, Gér.ard Coll.omb est en déplacement en Algérie).
-> Vendredi 16 mars 2018 (Dans la journée, Gér.ard Col.lomb se rend au Niger dans le cadre de la réunion internationale sur la coordination pour la lutte contre les réseaux de trafiquants de migrants).
-> Dimanche 18 mars 2018 (À 17 heures se tiendra un séminaire gouvernemental).

JC..... dit: à

Ami Bloom, j’ai entièrement dévoré les deux tomes de ce merveilleux Simon Leys que vous aimez et que j’adore :
« La mer, dans la littérature française de Rabelais à Loti. » chez PLON 2003

Quand pensez vous ? …pardonnez moi ….Qu’en pensez vous ?

Avez vous lu son opuscule : « Les idées des autres » et son génial « La mort de Napoléon « . On est loin des habits neufs …

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*