de Pierre Assouline

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Des écrivains de SF au secours de l’armée

Des écrivains de SF au secours de l’armée

Les écrivains ont tort de se faire du mouron pour leur avenir dans une société désormais régentée par l’ordre moral, les ligues de vertu, la censure, la chasse à l’homme, l’emballement médiatique… L’armée est là et elle les veut ! Il ne s’agit pas de les former à la guerre civile des mœurs et des idées, ni de les préparer à une insurrection qui vient. Les militaires reconnaissent enfin que la littérature peut leur rendre un grand service en ces temps aux contours flous où ils manquent de visibilité à moyen et long terme. Un certain type de littérature en tout cas : la science-fiction. Un genre longtemps méprisé sinon ignoré par la critique.

L’armée américaine ne s’y est pas trompée qui a déjà par le passé sollicité l’imagination créatrice de ces écrivains du troisième type. Sans même remonter à la fin des années 50, quand le grand Isaac Asimov rédigeait des notes sur le futur bouclier anti-missile à la demande de l’US Army, quelques uns de ses épigones ont été conviés au lendemain des attentats du 11 septembre à combler les lacunes dans l’imagination des personnels du Pentagone en participant à des séances de brainstorming. La France s’y met donc à son tour.

L’annonce du recrutement, telle que parue dans le Bulletin officiel des marchés publics, est gouvernée par un art poétique inédit dans les milieux littéraires, y compris ceux de la SF :

« Conception et restitution de scénarios de disruption  opérationnelle, technologique ou organisationnelle au profit de l’innovation de défense ».

En interne, cela se résume en deux mots : « Red Team ». Plus qu’un nom de code : un mode d’action. Celle d’une cellule d’experts réunis pour leur compétence, leur critique objective, rigoureuse, l’originalité et la fraicheur de leur regard extérieur. Leurs identités seront dévoilées mais pas leurs écrits. Pas question d’en faire des livres. Ces scénarios disruptifs et prospectifs seront classifiés.

L’Etat-major des armées attend des romanciers sélectionnés avant d’être réunis en un command de choc, qu’ils l’aident à prévoir les situations d’adversité, à anticiper les conflits futurs en les imaginant et à l’éclairer sur les menaces qui pèsent sur la France. On sait que la science-fiction commence à la fin du mois mais que son champ de vision est infini. Le ministère a raisonnablement choisi de s’en tenir à l’horizon 2030-2060. La date-limite aux dépôts des candidatures est fixée au 15 février prochain à 15 heures. Cette dernière information fait rêver. On n’imagine pas qu’un contrat d’édition ait jamais été aussi précis.

L’Agence de l’innovation de défense avait repéré les auteurs potentiels du côté de Nantes lors des dernières Utopiales, ce fameux festival de SF qui est devenu la Mecque des prospectivistes branchés sur l’imaginaire. L’un des rares salons du livre où, à la buvette, l’on entend parler  d’intelligence artificielle, de cyberdéfense, de spatial militaire, d’armes à énergie dirigée, d’hypervélocité, de cryptographie, de capteurs quantiques et autres gravimètres à atomes froids. Aux Utopiales, des représentants du ministère de la Défense avaient déjà testé les auteurs en leur proposant d’imaginer à quoi ressemblerait un drone de surface naval en 2080. Quelle ne fut pas leur surprise en voyant apparaître alors un serpent de mer s’éparpillant en drones autonomes avant de se fondre dans la population marine, concept auquel les têtes pensantes de l’Armée n’avaient jamais pensé.

Lorsqu’elle sera constituée, la cellule ne sera pas engagée à plein temps mais devra rédiger régulièrement des notes qui serviront à la réflexion sur les technologies futures. A charge pour eux de dépasser les murs de l’imaginaire, de se droniser pour éclairer le monde d’une lumière zénithale et de faire bouger les lignes dans le champ des certitudes ; c’est d’ailleurs l’objet même de la SF si l’on en croit l’un de ses plus éminents représentants Pierre Bordage, auteur des Guerriers du silence. Dans le rapport du lieutenant-colonel Caplain sur «Penser son ennemi. Modélisation de l’adversaire dans les forces armées » , les rares écrivains cités ne sont pas trop SF : Sun Tsu, Platon, Carl Schmitt, Clausewitz… Il y en a tout de même un. Rien moins que le pape de la spécialité. Une phrase extraite de Fondation (2000) d’Isaac Asimov (un livre expédié dans l’espace par Elon Musk) sert de chute au rapport :

« Pour réussir, il ne suffit pas de prévoir ».

Il faut aussi tenir compte que le serpent se mord la queue puisque au XXIème siècle, le terrorisme s’inspire de la fiction dans sa capacité à surenchérir. Un objectif : imaginer au-delà. Prévoir l’imprévisible, s’attendre à l’inattendu, les romanciers savent faire ; mais comment y parvenir en tenant compte du contexte géopolitique à venir dont on ne sait rien ? Un romancier, contrairement à un expert militaire, peut négocier avec toutes les contraintes mais à une condition : rester crédible. Les bons auteurs effectuent des recherches et se servent des rapports scientifiques les plus avancés ; ils se projettent dans le futur à partir de leurs conclusions, donnant libre cours à leur imagination ; mais la base, le point de départ, eux, sont bien réels.

On croit anticiper alors que notre quotidien est déjà formaté par la domination des nouvelles technologies. La guerre entre soldats de chair et de sang et des griffes humanoïdes ou robots tueurs, imaginée par Philip K. Dick en 1953 , c’est aujourd’hui. L’action de la nouvelle se déroulait en Normandie…

On ne voit pas encore qu’elles forces spéciales de l’édition sauront modéliser l’imaginaire d’un écrivain. Sauf à l’avoir assisté d’une intelligence artificielle. N’empêche… On ne peut s’empêcher  de rêver à ce qu’un Alain Damasio donnerait s’il intégrait un pareil commando d’écriture en y propulsant ses furtifs, ces êtres de chair et de sons, ces invisibles vivants dans les angles morts

La science-fiction, genre de tous les possibles, a la particularité de donner le vertige au lecteur. De lui faire faire un pas de côté par rapport au réel. L’initiative est donc bien venue car elle bousculera l’Armée, institution assez lourde. Gageons que l’on croisera des armements à la sophistication inimaginable. Mais il ne faudrait pas se concentrer exclusivement sur l’innovation technologique. Ou réinventer le sous-marin du capitaine Nemo. Ni s’interdire de penser que les nouveaux contours de certains conflits à venir (armées privées ou irrégulières, guerres civiles, contre-insurrection etc) exigeront de recourir à des méthodes déjà éprouvées autrefois. Il faudra alors adjoindre à la Red Team une Dream Team constituée des meilleurs auteurs de romans historiques. Imaginez, imaginez, et même si la guerre est une chose trop sérieuse pour être confiée aux romanciers, il en restera bien quelque chose.

(« Drones » vu par Falco ; « Robots-tueurs » D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Actualité, Littérature de langue française.

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commentaires

1 356 Réponses pour Des écrivains de SF au secours de l’armée

Jazzi dit: à

Avec « Un été chez Voltaire » et « La maîtresse de Brecht », Paul Edel a beaucoup contribué, bien avant sa vogue, à remettre l’exofiction au goût du jour, rose…

rose dit: à

(Qui est qui ? se demande-t-on, et de fait, Shadrak-khan devient une entité en deux personnes. En imaginant le journal du khan, Shadrak devient en même temps l’image de l’écrivain qui rumine l’autre jusqu’à en faire son personnage.) En récupérant dans sa conclusion l’art de la convention, l’auteur démontre qu’il n’en a nul besoin, qu’il n’en est pas dupe et qu’il la respecte comme une loi d’unité.
Dans ce roman aussi, Robert Silverberg met à profit sa culture prodigieuse sans en faire étalage. Qu’il s’agisse de médecine, de biologie, d’histoire, d’architecture, il a la touche juste qui convainc le lecteur de la vraisemblance du tableau, sans jamais l’abuser ni l’excéder. Il excelle à extrapoler ce qu’il faut.

Questionnement depuis ce matin, qui est qui.
Et en tête Beckett, Fin de partie, Hamm et Clov, et alii, dont Vladimir et Estragon dans En attendant Godot.
Si celui/celle qui s’exprime a le besoin de le faire dans ses/ces rôles là, cela lui appartient.

christiane dit: à

rose dit: « L’exofiction désigne une catégorie de roman inspiré de la vie d’un personnage réel, mais s’autorisant des inventions, par l’écriture de dialogues et de monologues intérieurs mais aussi par l’évocation de périodes mal connues. »

Pierre Assouline ne s’autorise pas des inventions dans l’écriture de dialogues et de monologues intérieurs des deux Kipling, père et fils. La moindre parole est issue d’un courrier, d’un témoignage. Les lieux aussi. La période historique concernée, également.
C’est son personnage fictif, Louis Lambert, qui s’interroge sur la relation du père et du fils, sur la mort du fils, sur l’enfance du père, sur la signification véritable du poème « IF » et il le fait apparaître, très subtilement, au début du récit, marchant puis s’immobilisant, dans l’abbaye de Westminster où cinq ans avant, il assistait aux funérailles de Rudyard Kipling, « le plus grand poète de l’Empire britannique »…

christiane dit: à

@rose dit: « (Qui est qui ? se demande-t-on, et de fait, Shadrak-khan devient une entité en deux personnes. […]
Questionnement depuis ce matin, qui est qui ? […] Si celui/celle qui s’exprime a le besoin de le faire dans ses/ces rôles là, cela lui appartient. »

Absolument, Rose, mais quand cette personne sous ces différents pseudos passe son temps à agresser, se moquer, insulter les autres… Les autres finissent, excédés, par se poser des questions, par lui répondre et lui renvoyer colère, mépris, dégoût pour ces paroles offensantes.
Et si, hors du fil des commentaires de ce blog, une personne connaît cette personne perverse et la trouve… aimable en dehors de ses auto-fictions, c’est son problème intime qui n’est pas en relation avec ce qui se passe ici.

christiane dit: à

@OZYMANDIAS dit: « Le ciel est gris, la pluie est triste et la rue est vide. Moi, derrière la vitre muette, je contemple le silence de l’air et je médite sur la mélancolie des choses. De guerre lasse, ma méditation s’étiole et, fatigué, je m’éloigne… »
Oui, je comprends.

Jazzi dit: à

Globalement Christiane, faire de la fiction ou du roman en parlant des autres, c’est de l’exofiction. Et en parlant de soi, de l’auto fiction. Deux voies littéraires vieilles comme Erode.

Janssen J-J dit: à

vieilles comme Erode.

donc, un brin érodées ?… 😉

D. dit: à

Vous êtes un vrai boute-en-train, JJJ !

Soleil vert dit: à

Pour poursuivre dans le fil suggéré par JJJ, « La face des eaux » du même Silverberg. La Terre détruite, le peu d’Humanité ayant survécu se réfugie sur une planète recouverte par un unique Océan. Pas de rapport avec le film de Kostner. Outre une citation de la Genèse en préambule, l’idée d’un élément aquatique (fleuve, mer …) hostile et étranger est empruntée au Livre. L’eau univers des prophètes (Moise – la mer rouge, le Nil ou flotte son berceau, Le Christ baptisé dans le Jourdan) etc.

D. dit: à

christiane dit: à

@OZYMANDIAS dit: « Le ciel est gris, la pluie est triste et la rue est vide. Moi, derrière la vitre muette, je contemple le silence de l’air et je médite sur la mélancolie des choses. De guerre lasse, ma méditation s’étiole et, fatigué, je m’éloigne… »
Oui, je comprends.

en fait, Christiane, tout le monde comprend.

Soleil vert dit: à

Christiane sur Edmond Jabès
Impressionnant

D. dit: à

Cette affaire du coronavirus met en relief le flux proprement incroyable de voyageurs entre la Chine et la France. Et là ce qui m’interpelle ce n’est pas tant la quantité de Chinois allant en France que celle de Français allant en Chine en y sejournant durablement.
Je mets de côté les séjours touristiques « courts », mettons moins d’un mois, que je n’ignorais pas. Je mets de côté aussi les employés d’entreprises françaises et de celles, encore peu nombreuses, fondées en Chine.
Ce qui me laisse sur le cul ce sont les étudiants Français en Chine. En effet que peut-on étudier là-bas en dehors du Chinois (ce qui est donc sensé être rare) et donc pourquoi là-bas ?
Or les médias dévoilent qu’une pléthore d’étudiants français s’y trouvent bel et bien, ce qui met en évidence cette détestable frénésie d’expatriation dès le plus jeune âge, cette espèce de détestation du territoire français qui s’enracine insidieusement dans ces cerveaux encore malléables, cette illusion que la réussite est ailleurs que chez nous, également cette schizophrénie tant identitaire qu’écologique, écartelant dès sa jeunesse l’individu entre plusieurs « mondes » entre lesquels il prend la très néfaste habitude de balancer par voyages aériens produisant des tonnes de CO2.

D dit: à

On apprend que « environ 7000 personnes, dont environ 6000 passagers, sont bloquées sur un navire de croisière dans le port de Civitavecchia, près de Rome, en raison de deux cas suspects du nouveau coronavirus. »
(Reuter)

Eh ben comment dire…? Personne vous a obligé à y aller, sur votre immeuble flottant. Restez-y 3 mois, il y a tout ce que vous vouliez : boite de nuit, piscine, bouffe à volonté et même un hôpital.

et alii dit: à

vous fantasmez tous à imaginer que j’aurais emprunté tant de pseudos rendez les donc aux personnes qui cherchent à vous montrer comme vous leur apparaissez,avec des raisons qui sont les leurs, au lieu de me fantasmer depuis longtemps,d’une manière qui parle de vous, et un cousin banquier par ci, et une solitude sans tiers, hommes ou femmes, etc

Alexia Neuhoff dit: à

« (Le Christ baptisé dans le Jourdan) »
Qu’Erode appelait Charles.

et alii dit: à

et qui vous dit que mes souvenirs seraient « tardifs », que j’aurais oublié tant et tant de gens? VOUS VOUS TRAHISSEZ VOUS MÊMES parvotre charge, je vous plains !

Alexia Neuhoff dit: à

et alii dit: à

« vous fantasmez tous à imaginer que j’aurais emprunté tant de pseudos rendez les donc aux personnes qui cherchent à vous montrer comme vous leur apparaissez,avec des raisons qui sont les leurs, au lieu de me fantasmer depuis longtemps,d’une manière qui parle de vous, et un cousin banquier par ci, et une solitude sans tiers, hommes ou femmes, etc »

La soirée de la bourrée lui a complètement tourné la tête, (…) elle parle charabia tout le temps (…) J. Vallès.

D dit: à

De nombreuses fake-news circulent sur Internet concernant cette affaire du coronavirus. Ainsi ont peut lire qu’en Chine on ne mange pas de chauve-souris ce qui bien entendu est faux.

Soleil vert dit: à

correction :
Le Christ baptisé dans le Jourdain

Mimi Pinson dit: à

le 30 01 2020 à 15 h 20.

Je pose un signet horaire pour m’y reconnaître lors de mon prochain passage!
Parce que…

et alii dit: à

la plupart des femmes sur ce blog jouent et cherchent des »mecs »,et des roles de petites ou grandes maitresses, dont elle imitent leurs supposées causeries

Mimi Pinson dit: à

la plupart des femmes sur ce blog jouent et cherchent des »mecs » hé alii.

Vous avez trouvé votre rénateau?

Petit Rappel dit: à

En effet, ce n’est plus de la SF;mais cela l’a-t-il jamais été avec Silverberg, dont le lourd symbolisme plmobe régulièrement les romans. Dans le Labyrinthe, par exemple.
On se prend, en comparaison, à sourire avec l’Heinlein du Projet Vatican XXVII, fabriqué par et pour les robots, dont Et Alii nous rappelle au cas ou on l’ignorerait que le mot vient de Karel Kapek!
La question de l’appartenance religieuse ne joue pas pour ses auteurs, avec un Heinlein libertarien, ou un Herbert plus préoccupé de figures messianiques musclées que d’autre chose. Reste le cas de la caricature Ron Hubbard, qui a fait ses débuts marqués du sceau de l’escroquerie en meme temps que les premiers romans d’ Heinlein, avant de transformer en secte un univers romanesque parfaitement indigeste.
Clopine illustre parfaitement la SF à la française, louons-là de ne pas avoir continué!
Bien à vous.
MC

renato dit: à

Si mes souvenirs sont bons, Jésus devient Christ après le baptême. Parler de « Christ baptisé dans le Jourdan » n’est donc pas correct, mais il ne s’agit probablement que d’une diverse tradition culturelle — dans l’Évangile de Jean on lit le témoignage de Jean le Baptiste relatif à la descente du Saint-Esprit sur Jésus.

christiane dit: à

Soleil vert,
Edmond Jabès a écrit d’autres essais poétiques qui me passionnent également. Ainsi Le Parcours en 1985, tome III du Livre des limites où il interroge sa relation au Judaïsme, à l’Origine et à l’écriture.
P.37, il écrit (et cela entre en résonnance avec votre citation de Klein) :
« Et Dieu créa Adam. Il le créa homme, le privant de mémoire. Homme sans enfance, sans passé. (Sans larmes, sans rires ni sourires). Homme surgi du Rien, ne pouvant même pas revendiquer une part de ce Rien. […] Homme sans clarté ni ombre, sans origine ni chemin, sans lieu, sinon ce lieu hors du temps, indifférent à l’homme. […] O vide ! S’adosser à rien, ne pouvoir se reposer sur rien, est-ce cela l’angoisse ? »
Une victime privée de mémoire…
Idem pour Eve, dans Le livre du partage, -p.39 – (1987) :
« […]femme, elle aussi, avant d’avoir été enfant, n’ayant pas vu son corps grandir, se former, n’ayant pas assisté à l’épanouissement de son esprit, céder aux voluptueuses envies du sexe ou lutter contre. », démunie d’un passé et partageant l’amnésie d’Adam. *
Même origine opaque.
Et pour revenir au Livre du Partage,
il ajoute, à la même page :
« Ils se regardèrent sans proférer une parole. que pouvaient-ils se dire ? Ils ne pouvaient que s’observer, qu’étudier leur différence. […] un corps inconnu et une intelligence incapable de penser. » (ils s’offrent leur corps à défaut de leur âme sur cette terre d’inconnaissance.)
Dieu ne connaît ni l’un, ni l’autre, deux êtres étrangers à lui-même, des jouets qu’il a créés dans un moment d’ennui.
La parole entre eux-deux sera leur révolte, la rupture avec Dieu..
Là est l’origine de l’humanité. Fin du Jardin paradisiaque !
Les livres poétiques de Jabès sont pleins de subversion.
Et il écrit ces terribles phrases :
« J’aime que Dieu soit aveugle et sourd afin de Lui pardonner ces deux terribles sens que sont l’ouïe et la vue. Ainsi nous serions seuls à voir, seuls à entendre pour Dieu. » (Aely – Trilogie du Livre des questions)
Reste peut-être à retrouver Dieu, à le secourir de son impuissance… après avoir traversé par révolte : l’athéisme.

*Il évoque à ce propos les deux lettres hébraïques qui différencient les noms d’Eve et d’Adam (le Yod et le hé) des mots « Ish » (homme) et « Isha » (femme), les deux premières lettres du Tétragramme divin (Y.H.W.H.).

et alii dit: à

Vous avez trouvé votre rénateau?
renato n’est pas un « mec »c’est un homme, artiste , cultivé qui n’est pas grossier et ne mène apparemment pas d ‘intrigues en coulisses

et alii dit: à

par ailleurs, renato ne prêche pas, pas même le faux pour savoir « du vrai » il ne multiplie pas des ruses , plus ou moins en connivence avec d’autres contributeurs trices;

et alii dit: à

en outre, ce n’est pas « mon » renato;c’est renato sur qui je n’ai ni ne cherche aucun pouvoir;

Anthime Natalys dit: à

(ce qui est donc sensé être rare)

Censé, avec un ‘c’ en français.
Les jeunes Français ont raison de quitter un pays à bout de souffle et d’idées, peuplé d’arrogants qui se prennent pour le nombril du monde alors qu’ils sont en passe d’en devenir l’un des anus…

et alii dit: à

il est vrai qu’après ce qu’on lit sur les entraineurs sportifs, on hésite à écrire « fair play » qui est je crois une expression liée au sport, alors que j’ai cru comprendre que sur internet on parle de »petit joueur »

Jazzi dit: à

« la plupart des femmes sur ce blog jouent et cherchent des mecs »

Et Passou touche une commission, et alii ?

Janssen J-J dit: à

@ FLLP, les entraineurs sportifs dans le patrinage artistique, ils savaient vous faire valser. Ils demandent pardon aujourd’hui. De quoi aucune réaction d’appel au lynchage chez Marlène-Léa-Sasseur ?

@ un vrai boute-en-train
Il en faut bien, pour compenser la tristesse d’Olympio.

@ « Dans le labyritnhe », MC, ce fut d’abord pour moi, le premier (nouveau) roman de la saga des Robes Grillées… date de 1959 ! (argument : ) Dans la petite ville de Reichenfels, sur le point d’être conquise par l’ennemi, un homme, peut-être un soldat, essaie de se rendre à un mystérieux rendez-vous. Mais toutes les rues se ressemblent, toutes les maisons semblent identiques et la neige puis la nuit rendent les choses encore plus difficiles.

J’avions rapidement passé notre chemin, sans pour autant basculer fissa dans la DF…

@ J’ai lu également Christopher Priest, une seule fois… Le monde inverti (1974)… une incroyable métaphore SF à la Sisyphe…
(argument) « J’avais atteint l’âge de mille kilomètres. » Helward Mann qui vient d’atteindre cet âge vit sur une planète inconnue dans une cité appelée Terre. Cette cité présente l’étrange particularité de se déplacer lentement sur des voies de chemin de fer. Au fur et à mesure de son déplacement, les techniciens de la Guilde des voies retirent les rails situés à l’arrière de la cité pour les placer à l’avant afin de lui permettre de continuer à avancer. Le chemin à suivre est fixé par la Guilde des topographes du futur et le but à atteindre est l’Optimum. De la fuite en avant vers cet Optimum dépend la survie de la cité car celle-ci se déplace continuellement, et plus elle s’en éloigne, plus elle subit d’étranges phénomènes affectant l’espace et le temps. Ainsi, Helward Mann, qui vient d’atteindre l’âge de 1 000 km et qui doit raccompagner trois paysannes dans leur village à l’extérieur de la cité, les voit-il se métamorphoser sous ses yeux, s’étirant en hauteur ou en largeur, tandis que, derrière lui, les ravins se comblent et les montagnes s’aplanissent.

DHH, dit: à

@jazzi
compte tenu du fait que la majorité des femmes qui interviennent ici sont des retraitées qui ne sont plus en âge et n’ont nulle envie de « chercher des mecs » ,je ne pense pas qu’un éventuel fonds de commerce de Passou , qui toucherait une com sur les rapprochements réussis, serait bien rentable

Janssen J-J dit: à

Anthime Natalys dit: à (ce qui est donc sensé être rare)

Alexia Chocolate, je l’ai déjà relevée, celle-là, hein ! Vous nous datez un brin…
(Diotime et les lions…, d’Henry Bauchau)

Clopine dit: à

Et Alli… C’est tellement lamentable, étriqué, et surtout tellement faux et absurde, votre remarque sur les femmes « qui cherchent des mecs ». Tellement stéréotypé ! En un mot, tellement con ! Certes, une Sandgirl qui autrefois se déhanchait pas mal, ou encore une Soeur Marie des Roses qui ne pouvait supporter la présence d’une autre sans entrer directement dans la compétition (même si l’autre en question n’avait aucun désir de cet ordre) ont pu, et encore, pas tout le temps mais de temps en temps seulement, correspondre à votre lieu commun.

Mais ce n’est certes pas « la plupart » – les filles de ce blog ont au contraire, pour la plupart, de Rose à Lavande en passant par Christiane ou DHH, de tout autres intérêts en venant ici, légitimes ou non, inavoués ou pas, désintéressés ou au service d’egos, certes, mais bon.. . Si vous n’êtes pas capable de vous en rendre compte, au moins, évitez de nous sortir ce type d’âneries réactionnaires, s’il vous plaît !

Court, je devais avoir besoin de votre aiguillon pour « m’y remettre », et je vais écrire la suite, nananère. De toute façon, j’avais envie d’écrire le scénario, et c’est pour cela qu’on m’a pressentie, alors, votre opinion négative, venant d’un esprit aussi puissamment charismatique que le vôtre, est en fait un vrai encouragement. Je serais curieuse de savoir quels défauts vous attachez, cependant, à la SF « à la française » ? Un des plus grands succès de tous les temps du cinéma fantastique, la série de la planète des singes, vient précisément d’un écrivain de ce type. Evidemment, vous devez cracher dessus ?

B dit: à

Soleil vert, impressionnant … Quels développements, explications donneriez vous à ce qui suit :
Edmond Jabès écrit : « Il faut nous défaire de la part divine qui est en nous, dans le but de rendre à Dieu enfin à Lui-même et jouir souverainement de notre liberté d’homme. » (p.44 – Elya -nrf)

je ne comprends pas, quelle idée a l’auteur de ce Dieu pour commencer dont il nous faut extraire la trace qui serait en nous ( plus loin Christiane nous renseigne – sourd et aveugle – )
N’étant pas croyante, je reprendrais plutôt l’ idée d’un Dieu que chacun aurait pour tâche de faire advenir. Avec bien sur l’iconographie reduite qui est la mienne , une catéchèse simpliste en quelque sorte que seuls les sots et les sottes respectent. Les autres bataillant, intriguant, roublant, tuant, volant sans ailes, mentant, manipulant, accumulant richesses , pouvoirs et méfaits associés, se compromettant sans honte , s’associant pour le crime, l’égoïsme, le capitalisme ( là j’en rajoute expres).

Lucienne dit: à

de toutes façons, le p’tit court est jaloux de Clopine car elle connait l’œuvre de Proust mieux que lui et en parle aussi mieux que le minuscule MC lui-même

renato dit: à

En 1831 Stendhal fut nomé consul de France à Civitavecchia — port des États Pontificaux. Bon, maintenant ce sont les touristes le plus inconscients qui passent par là.

B dit: à

Scoop perso:

Des dizaines de pigeons ont fait caca sur mon véhicule. C’est très moche.
Deusio: je suis toujours aphone malgré une consommation exorbitante de médicaments appropriés. Dois je me rendre au consulat d’Istambul pour déclarer une maladie hautement contagieuse et dangereuse?

Janssen J-J dit: à

mais hélas nous n’avons pas encore tiré toutes les implications de la prophétie nietzchéenne, dieu est mort. Vivez votre vie, ô vous frères humains, avec la mort de ce dieu en vous dont il vous faut faire le deuil définitif. Il faut le dénoncer à la justice humaine depuis le temps qu’il nous à violé.es, la vie, le corps et l’esprit.
Nous ne sortirons de son enfer que le jour où nous aurons oublié jusqu’à son nom ou son idée même… dans le plus austère turgescence du vide parfait.
Seul hamlet et les morts en sont capab’ pour l’instant 30.1.20, @ 17,05)

Janssen J-J dit: à

Allez plutot vous réfugier au musée de l’innocence d’ISTANBUL, l’est plus sécure que le consultat. J’en ai fait l’expérience, croyez moi, on n’est pas des pigeonnes.

Marie Sasseur dit: à

L’idée que la science-fiction puisse contenir une part de réel est amusante. Et plus encore, dans le prolongement, que cette littérature permette d’enrichir la réalité : en tant que réservoir à idées, la SF pourrait alors apporter des solutions autant que des projets à concrétiser. Eh bien l’Académie des Sciences de Washington a décidé de se pencher sur la question. Et de donner un label scientifico-friendly.

https://www.actualitte.com/article/monde-edition/un-label-universitaire-certifie-la-veracite-scientifique-des-romans/38563

Janssen J-J dit: à

Cette Lucienne, elle a l’air complètement tarte, non ? et cette alii n’a rien à voir avec l’AMS ou l’GWG, hein.

B dit: à

Bon, maintenant ce sont les touristes le plus inconscients qui passent par là.

Ils ont surtout mauvais goût, un mauvais goût exploité par les armateurs et qui si l’on n’y portait remède générerait outre la perte de ce commerce lucratif d’invention nouvelle , des milliers de chômeurs. Plus de solutions dès que l’argent entre en jeu. L’argent est notre Dieu ou notre Diable, selon. Ces merdes flottantes ajoutées à tant d’autres qui broient, percutent des cétacés, polluent, entrent jusque dans Venise, quel scandale !

Marie Sasseur dit: à

De fait, la science, telle que le public la lit, la voit à la télévision, ou l’entend, à la radio, n’est pas forcément exacte, ni même réaliste. Les auteurs à succès jonglent avec des présupposés, des a priori, et tous ne prennent pas le temps de confronter leur fiction à l’état actuel de l’art. Ainsi, plus on entre dans des questions techniques, ou des éléments pointus, de spécialistes, plus le risque de voir une erreur se glisser, et rendre une scène complètement impossible s’immisce dans le récit. 

B dit: à

Marie Sasseur, je crois que tel est objet du billet que vous avez évalué comme mauvais ( vous ou quelqu’un d’autre, je ne suis pas très sûre de mon affirmation, la flemme de remonter), hors du parcours habituel de Pierre Assouline.

OZYMANDIAS dit: à

Je crois au Dieu qui a fait les hommes et non pas au Dieu que les hommes ont fait.
Croire c’est emprunter un chemin qui, peut-être, deviendra un cheminement.
Croire c’est personnel, intime, invisible, indicible et indescriptible.
Ne pas croire en Dieu est aussi une croyance.
Dieu, Lui aussi, croit en moi, enfin, je crois…

B dit: à

Marie, encore, justement Soleil vert propose un auteur dont il est difficile de douter à ce niveau. Pour le peu que je connais de ce domaine de fiction, les choses que j’ai lues m’ont paru tout à fait jouables, sont elles jouées, nous ne mesurons pas , ne disposons pas des moyens à vérifier mais c’est probable en ce qui concerne la rétention d’info primordiales .

christiane dit: à

Janssen J-J dit: « mais hélas nous n’avons pas encore tiré toutes les implications de la prophétie nietzschéenne, dieu est mort. Vivez votre vie, ô vous frères humains, avec la mort de ce dieu en vous dont il vous faut faire le deuil définitif. Il faut le dénoncer à la justice humaine depuis le temps qu’il nous à violé.es, la vie, le corps et l’esprit.
Nous ne sortirons de son enfer que le jour où nous aurons oublié jusqu’à son nom ou son idée même… »
La mort de Dieu pour sauver son honneur ! ou l’impossibilité qu’il aurait eu et aurait encore de voir, d’entendre le malheur, la souffrance ds hommes (dont la Shoah).
Un nom à oublier, pas une présence d’inconnaissance…
Quant au Mal, c’est le passager clandestin de la Création.

christiane dit: à

@OZYMANDIAS dit…
Si vous le dîtes c’est que c’est vrai pour vous, pas forcément pour les autres…

christiane dit: à

Lucienne dit: …
Je dirais plutôt qu’il a une extrême affection pour elle, qu’il la trouve rigolote, qu’il recherche ses commentaires et que ses flèches prennent toujours soin de rater leur cible… Juste un jeu de la carte du Tendre.

B dit: à

Ozy, vous rendez vous compte que je suis la seule mutante à recevoir y compris quand je dors Radio connerie gratuitement? Et à bénéficier selon lecteur du diffuseur tyrannique de sensations extra corporelles qui réduisent à l’état de néant érotique les tentatives de mes rares soupirants. D’un autre côté, ça fait des lessives moins gâchées.

B dit: à

L’humeur et non lecteur, quoi qu’il en soit.

Patrice Charoulet dit: à

ANONYMAT

« Je souhaite qu’on lève l’anonymat sur les réseaux sociaux. »(Damien Abad, chef du groupe LR à
l’Assemblée nationale , 30 janvier 2020).

Je le souhaite aussi.

Soleil vert dit: à

« B: Je ne comprends pas, quelle idée a l’auteur de ce Dieu pour commencer dont il nous faut extraire la trace qui serait en nous »

Attention il s’agit pour moi d’une interprétation de Gérard Klein. Robert Silverberg est juif mais cela ne signifie pas que son propos soit théologique. Il emprunte des éléments du Livre, mais pas que. « L’homme dans le labyrinthe » est une réécriture de Philoctète de Sophocle, sur le dégout des hommes.

Clopine dit: à

Christiane, non, franchement… Vous croyez vraiment que la RDl est le pays des Bisounours ? Vous passez votre vie chez Disney ? Court s’est planqué derrière le pseudo de « Lucien Bergeret », sur un blog où, en exergue, il affirmait « que c’était bien sur étonnant et difficile à croire, mais non, il n’écrirait pas de livres », et c’était déjà tout l’individu en question : impuissant et imbu de sa supériorité. Sur ce blog « de Lucien Bergeret » (pseudo donc tiré d’Anatole France, et je pense que Court était persuadé que quelqu’un comme moi ne pouvait avoir accès à ce genre d’auteur…), où il reprenait chacune de mes interventions en s’en moquant, il a carrément annoncé la couleur en précisant qu’il viendrait « exprès » relever ce qui, chez moi, lui semblait mériter le mépris le plus exacerbé : ces ridicules prétentions qui m’amenaient à parler de livres, et d’auteurs, qui auraient dû m’être interdits. Il promettait aux quelques personnes proches de lui, et fréquentant son blog, de « belles rigolades »…

Je n’ai jamais compris les mécanismes mentaux des harceleurs. Ni le mépris, quand il est à la fois affiché, mais en même temps anonyme et qu’il ne s’exprime que dans l’impunité. Je n’ai jamais trouvé les trolls « amusants », et encore moins « nécessaires », et surtout pas « usant du droit sacré de la liberté d’expression », n’est-ce pas. Les trolls sont des lâches, en plus d’être médiocres. C’est pourquoi Court, qui n’aura jamais l’honnêteté de reconnaître que Bergeret, c’est lui, a le profil exact du troll. Son arrogance fondé sur la suffisance, son mépris d’autrui, son manque d’empathie caractéristique, et, au fond, sa jalousie féroce. Lui qui est en réalité impuissant à produire quoi que ce soit d’autre qu’un savoir digéré et régurgité, sans aucune création possible, lui qui se pare de sa stature d’érudit pour écraser les autres, lui qui, au fond, n’est qu’un malade caractériel, devait forcément se plaire à venir, jour après jour, et pendant des années, jouer à décrier quelqu’un qui, en réalité, n’avait d’autre tort que d’oser avoir les mêmes goûts que lui. Sacrilège ! Et si l’on songe que son bifteck est gagné dans les sphères les plus religieuses et les plus réactionnaires de ce pays, on comprend combien je lui suis insupportable… et ce, à jamais, Christiane, à jamais !

(mais je voulais vous dire que vous continuez, à mon sens, à faire des progrès. D’abord, vous semblez exercer de plus en plus votre esprit critique. Et ensuite, même si vous vous précipitez vers les copiéscollés pour bien faire voir à quel degré de connaissances littéraires vous en êtes rendue, vous faites de moins en moins dans la flatterie sirupeuse qui vous rendait tellement flagorneuse, au début. Donc, continuez ainsi, je vous en prie. Vous allez sûrement, un jour, émettre un jugement critique qui ne sera pas bête du tout – au moins à mes yeux, n’est-ce pas ! Ne prenez pas mal ces paroles, je vous en prie. Elles sont sincèrement, de ma part, élogieuses, et témoignent d’un changement qui vous est favorable, mais que vous ne devez qu’à vous-même.)

OZYMANDIAS dit: à

Christiane,
Même pour moi, ce n’est pas si vrai que cela.
Croire ou ne pas croire est toujours un perpétuel questionnement basé sur un solide doute infiniment plus complexe que le « oui, je crois en Dieu » ou le « non, je ne crois pas en Dieu » si aisés à prononcer par les lèvres mais si compliqués à formuler dans l’esprit.
Je suis un sceptique pour qui la velléitaire foi est un immense champs de doutes féconds ou pas.
Dubito ergo sum…

Clopine dit: à

Euh, Ozymandias, des fois… Rien qu’en regardant notre monde, et le champ de ruines que les religions (brandies comme des armes) en font, ce ne serait-y pas comme un légitime motif pour un athéisme militant ? Avant même toute chose ?

et alii dit: à

comme si dire que LSP est un troll n’était pas stéréotypé? et de traiter quelqu’un de « petit joueur » ?
enfin j’ai quand même appris à dire « game is over »!
il n’y a pas de sot métier dit-on ;soit;mais sûr qu’il n’y a pas de jeu où on n’apprend rien!
bonsoir

Lucienne dit: à

Jansen JJ, moi complètement tarte ? t’n veux une sur le coin de te tronche, tu verras

renato dit: à

B., le mauvais goût c’est un aspect de l’inconscience [absence de discernement, de sens critique].

christiane dit: à

Mais enfin, Clopine, ne savez-vous pas que la meilleure façon de traiter des choses sérieuses est de recourir à l’humour ? Une pincée de cocasserie et de saugrenu pour relever l’envoi à Lucienne.
Quant à votre évaluation, j’ai cru un instant voir apparaître une vieille maîtresse d’école avec badine et bons points, brandissant son registre de notes d’une main et préparant un bonnet d’âne. Heureusement, j’ai compris que vous aussi vous aviez eu recours à l’humour et au pastiche.

Clopine dit: à

Vous voyez bien, Christiane, que vous vous améliorez !

Marie Sasseur dit: à

Article 

« Il n’est pas bon que l’écrivain joue au savant, ni le savant

« Par convention, les historiens de la littérature et de la culture scientifiques s’accordent pour dater l’émergence du « roman scientifique » au milieu du XIXe siècle [1]. Sous l’impulsion d’auteurs aujourd’hui consacrés par l’histoire littéraire, comme Jules Verne, Rosny aîné ou encore Herbert Georges Wells, se déploie donc un nouveau « genre littéraire », auquel est assignée la fonction de transmettre à un public large – i. e. les « classes populaires » – des savoirs scientifiques et techniques, par le biais de la forme romanesque. Or d’emblée, le roman scientifique apparaît comme un espace textuel d’hybridation singulier, puisqu’en son sein la Science est amenée à côtoyer l’Art, magnifiant une espèce d’idéal de connaissance encyclopédiste et moralisant, alors très prégnant [2], projet épistémologique et esthétique que Jules Hetzel, éditeur de Jules Verne, dévoile ainsi avec emphase : « L’heure est venue où la science a sa place dans le domaine de la littérature. » [3] »

https://www.cairn.info/revue-sociologie-de-l-art-2005-1-page-69.htm

Marie Sasseur dit: à

Le roman scientifique semble résister. En tant que sous-genre littéraire, il a néanmoins failli disparaître, forme en voie d’obsolescence, supplanté par des genres de popularisation scientifique concurrents –tels la vulgarisation et l’essai –, qui paraissaient mieux correspondre aux « attentes lectoriales »… du moins tel était le diagnostic que firent un temps les différents responsables en matière d’édition. Désaffection vite contenue, semble-t-il. Car actuellement, et toutes proportions gardées, dans les catalogues des éditeurs généralistes (Seuil, Albin Michel, Denoël, JC Lattès) et les maisons d’édition scientifique de taille modeste (EDP science, Pommier) sont de nouveau proposés des livres classés dans cette rubrique. Les débats nourris sur la démocratisation de la science n’y sont peut-être pas pour rien : comme au XIXe siècle, ce type de publication se présente comme une réappropriation publique de savoirs savants ou d’un « capital scientifique » concentrés et conservés dans certains espaces sociaux ; il est un pont entre « savants » et « ignorants » [10]. Pourtant, peu nombreux sont les écrivains – et surtout les écrivains-scientifiques – qui s’adonnent au genre au XXe siècle. En dépit donc des professions de foi éditoriales et de quelques initiatives associatives et institutionnelles assez peu suivies, ce qui est solennellement exposé comme un enjeu de société, à savoir la « mise en culture des sciences » (Jean-Marc Lévy-Leblond), demeure un horizon lointain et sous-investi

OZYMANDIAS dit: à

Dieu existe, je l’ai rencontré un jour et je lui ai dit : » Va au diable ! ».

Marie Sasseur dit: à

@Patrice Charoulet dit: à

ANONYMAT

« Je souhaite qu’on lève l’anonymat sur les réseaux sociaux. »(Damien Abad, chef du groupe LR à
l’Assemblée nationale , 30 janvier 2020).

Je le souhaite aussi.

Passou a les identités de tous les intervenants de son blog.
Le reste c’est liberté du pseudonymat, et tous les résistants ont su en faire usage.

Ne manquez pas ce soir sur fr2, une parole très attendue, même si, Charoulet, cette parole ne s’adresse pas au zemourien, ultra nationaliste que vous êtes.

OZYMANDIAS dit: à

Clopine,
J’ai du mal à t’imaginer athée, peut-être à cause de ton pseudo. On dirait le nom d’une grenouille de bénitier barbotant joyeusement dans une mare de bondieuseries !

Soleil vert dit: à

>MS : en étendant le concept de « merveilleux scientifique » inventé par Rosny et consort à la notion de conjecture rationnelle on peut remonter jusqu’ à Pantagruel !

Rétrofictions. Encyclopédie de la Conjecture Romanesque Rationnelle Francophone
de
Joseph ALTAIRAC & Guy COSTES & Philippe ÉTHUIN & Philippe MURA

C’est en qq sorte le successeur du Versins mais « restreint » au domaine français.(2400 pages tout de même …)

Marie Sasseur dit: à

Je vous dis cela, alors que Macron arbore un magnifique tshirt, en guise le liberté d’expression : lbd 2020, à Angouleme.
Ça c’est une arme de dissuasion massive.
Le cynisme et le populisme de cet arriviste n’ont plus de limite.

christiane dit: à

OZYMANDIAS,
Je sais que vous êtes un passant fugitif, discret, presqu’un absent qui se veut un peu passeur dans cet entre-deux impossible de la terre et du ciel, illuminé par intuition fugitive, fondante comme la neige. Une trace dans une solitude silencieuse.
Dieu et l’homme ? C’est comme de se demander si l’homme et la femme de L’Année dernière à Marienbad (de Robbe-grillet /Resnais), se sont vraiment rencontrés…
Les essais d’Edmond Jabès me conviennent tout-à-fait mêlant poésie, spiritualité et subversion. Une mémoire d’insurgé. Sa certitude a laissé la place à l’inquiétude puis à l’injonction.
Hier au soir, à la Grande librairie, j’écoutais François Cheng. J’étais saisie par le charme, son don de la parole, sa concision, la précision de ses réponses. Une impression de grande liberté.
Dans Assise il dit de François : « On comprend que sa joie ne provient pas d’une disposition naïve mais qu’elle est le résultat d’une conquête intérieure. »

Marie Sasseur dit: à

Soleil vert, je pense qu’il s’agit surtout de pointer la machine à fabriquer des ignorants, qu’est devenue l’EN. Et l’extrême pauvreté de la filière littéraire.

B dit: à

Ideologisant et critique , que l’on ait affaire à la satyre ou au sérieux des schémas proposés. Les SF ne sont pas que moralisant selon un clergé daté. Ils éclairent sur le sens qu’on peut ne pas comprendre de la marche de nos sociétés, de ses buts, de ses aboutissements concrets quand ils ne dépassent pas les limites de l’envisageable lié à la contemporaneite. A quoi est réduit , contraint l’homme, vers quoi tous les systèmes existants nous entraînent ou nous ont poussés par le passé armés qu’ils sont de technologies novatrices et d’idées révolutionnaires qui toutes de prime abord affichent un gain , bonheur, ordre, prospérité, liberté, harmonie , régulation, rééquilibrage, justice en préservant ou en sacrifiant les conditions de vie sur la Terre.

Janssen J-J dit: à

Non, ne pas croire en un dieu quelconque, (d et non D), ce n’est pas une croyance, voyhons donc, ça… c’est ce qu’a toujours voulu faire croire le croyant au sceptique, comme le négationniste à la Shoah, sans aucun protocole de preuve un tant soit peu rigoureux… Hormis celui de vous mettre en posture de vpouloir prouver par soi-même le mécanisme de la falsification de l’autre… une posture oùm vous avez perdu d’avance.
Oui, pour douter des deux possibilités, in dubio pro reo…
Non, évidemment pas d’athéisme militant, tout aussi fanatique et meurtrier que l’autre. Juste « croire » que la vie sur cette petite planète bleue (si elle n’est pas une illusion mentale) survivra à la bande de cons qui auront bien mérité de disparaitre en tant qu’espèce dite humaine, avec sa littérature. Même pas une croyance, plutôt une espérance de certitude avant le néant, qui fait du bien par où elle passe. Epicétou.

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ATTENTION ON NOUS ALERTE DES TENTATIVES DE RANCONGICIELS D’AMS, ne lui répondez jamais…

Home| Sécurité globale| Sécurité publique| Dépêche n°620992
Les rançongiciels constituent « la menace informatique la plus sérieuse » pour les entreprises et les institutions (Anssi)
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Les rançongiciels « représentent actuellement la menace informatique la plus sérieuse pour les entreprises et institutions par le nombre d’attaques quotidiennes et leur impact potentiel sur la continuité d’activité », alerte l’Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) dans un rapport publié mercredi 29 janvier 2020. L’agence souligne que les attaques par rançongiciels « présentent un niveau de sophistication parfois équivalent aux opérations d’espionnages informatiques opérées par des États ». En 2019, elle a traité 69 incidents relatifs à ce type d’attaque.

Le rançongiciel Locky est apparu en 2016. Wikimedi – Christiaan Colen

L’Anssi publie un rapport sur « l’état de la menace rançongiciel », mercredi 29 janvier 2020. Les attaques contre le français Altran et le norvégien Norsk Hydro « montrent le danger d’un impact systémique des rançongiciels sur un secteur d’activité qui, en ciblant des entreprises sous-traitantes ou clés du secteur, pourraient amener un jour à le déstabiliser », relève l’agence. Celles contre le laboratoire forensique Eurofins et certains départements de police américains « montrent également que les cybercriminels peuvent entraver des investigations judiciaires ». « Il est tout à fait envisageable que des groupes cybercriminels (ou le crime organisé en général) s’appuient un jour sur ce moyen pour faire pression sur la justice », alerte-t-elle.

Une incitation à payer contre-productive

« Si la grande majorité des attaques par rançongiciels s’avère être opportuniste et s’appuie essentiellement sur la faible maturité en sécurité numérique de leurs victimes », l’Anssi observe « de plus en plus de groupes cybercriminels cibler spécifiquement des entreprises financièrement robustes dans le cadre d’attaques dites ‘Big Game Hunting' ». « Alors que les montants de rançons habituels s’élèvent à quelques centaines ou milliers de dollars, celles demandées lors des attaques ‘Big Game Hunting’ sont à la mesure de la cible et peuvent atteindre des dizaines de millions de dollars. » Depuis fin 2019, l’Anssi constate en outre que certains groupes cybercriminels « cherchent à faire pression sur leurs victimes en divulguant des données internes préalablement exfiltrées du système d’information infecté ».

Au final, les bénéfices générés par ces attaques par rançongiciels « sont estimés entre quelques millions et plus d’une centaine de millions de dollars par groupe d’attaquants », rapporte l’agence. « Le coût de mise en œuvre de ces opérations est plus difficile à estimer, mais ne s’élève pas à plus de quelques dizaines, voire centaines de milliers de dollars sur l’ensemble de la période d’activité malveillante. » L’agence constate que les assurances « incitent les victimes à payer la rançon qui s’avère souvent moins élevée que le coût d’un rétablissement de l’activité sans le recours à la clé de déchiffrement ». « Cette incitation à payer valide le modèle économique des cybercriminels et les amène déjà à augmenter les rançons et à multiplier leurs attaques », déplore-t-elle.

collectivités territoriales et secteur de la santé

« Toute entreprise, institution ou particulier ayant un accès à Internet peut être infecté par un rançongiciel s’il n’a pas mis en œuvre des mesures de sécurité informatique basique », rappelle l’Anssi. S’agissant de la France, l’agence a traité « 69 incidents relatifs à des attaques par rançongiciels », « en particulier les compromissions des sociétés Altran en janvier 2019, Fleury Michon en avril 2019, Ramsay Générale de Santé en août 2019, ou encore du CHU de Rouen en novembre 2019 ». « Une quinzaine de rançongiciels sont concernés par ces incidents, laissant envisager que plusieurs dizaines de rançongiciels différents impactent réellement l’ensemble de l’espace économique français. »

Le rapport souligne que les collectivités territoriales et le secteur de la santé « sont majoritairement concernés par les incidents relevés ». « Si cela peut être essentiellement dû à la qualité des signalements d’incidents faits à l’Anssi, cela peut également montrer l’intérêt des attaquants pour des entités réputées faiblement dotées en sécurité informatique ou dont la rupture d’activité aurait un impact social important. » L’agence a notamment pu associer l’attaque dont a été victime le CHU de Rouen « à une large campagne ciblant des universités européennes, opérée par l’important groupe cybercriminel russophone TA505 et ayant notamment touché les universités d’Anvers fin octobre et de Maastricht en décembre ».

B dit: à

Et j’ajoute que la science n’invotorie pas que ce qui est purement scientifique au sens médical ou physique , inventions techniques; il y a aussi la science politique qui inspire et donne à écrire dans le rayon science-fiction.

Marie Sasseur dit: à

Affaire Matzneff.
Springora a été entendue par les enquêteurs.

On va peut-être l’avoir cette confrontation entre les deux amoureux.
Ils sont allés trop loin dans la passion pour nous priver de ce petit happy end.

christiane dit: à

@Maurice Desborels
Commencé Antimatière (Atramenta – 2018).
Très intéressant. Très musilien.

OZYMANDIAS dit: à

Christiane,
Vous n’étiez pas, par hasard, hier soir, dans la Grande librairie ? N’êtes-vous pas Christiane Rancé ? Je me le demande bien…

Janssen J-J dit: à

affaire Barbarin – l’AMS – Fillon, l’ami ricoré. Et pour vous détendre à l’apéro, oziamiandiste, un brin de poésie post-moderne :
____
Pourquoi le prononcer ce nom de la patrie ?
Dans son brillant exil mon coeur en a frémi ;
Il résonne de loin dans mon âme attendrie,
Comme les pas connus ou la voix d’un ami.
Montagnes que voilait le brouillard de l’automne,
Vallons que tapissait le givre du matin,
Saules dont l’émondeur effeuillait la couronne,
Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain,
Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide,
Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour
Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide,
Et, leur urne à la main, s’entretenaient du jour,
Chaumière où du foyer étincelait la flamme,
Toit que le pèlerin aimait à voir fumer,
Objets inanimés, avez-vous donc une âme
Qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ?…

B dit: à

De leurs buts, de leurs… mes excuses.

Janssen J-J dit: à

Non elle est un brin plus âgée mais tout aussi belle… Et surtout elle habite dans le 14 près de la cité internationale et du parc de montsouris.:…, d’après ce que nous en dit l’ALMS, notre agent local de médiation sociale
https://fr.wikipedia.org/wiki/Christiane_Ranc%C3%A9

Mimi Pinson dit: à

Mimi Pinson dit: à

le 30 01 2020 à 15 h 20.

Je pose un signet horaire pour m’y reconnaître lors de mon prochain passage!
Parce que…

Bon, on a rien perdu depuis ce dernier moment!
Ce 30 janvier 2020 à 19 h 33.

B dit: à

Christiane sortirait plutôt maintenant de la vie de Rance arrachée à l’eros pour se nourrir sur la fin de sa croyance.

Marie Sasseur dit: à

Oui, j’ai aussi entendu a la radio, cette décision du Cardinal Barbarin de renouveler sa demande de démission de sa charge « pastorale » . Cette décision de relaxe a provoqué la colère des parties civiles, qui vont se pourvoir en cassation, car il faut faire de Barbarin un exemple des turpitudes de l’Église.
Je ne sais pas s’il est possible de poursuivre l’Église comme personne morale dans cette affaire et probablement que cette question mérite une réponse.

En revanche cette décision de relaxe a été motivée par les seuls faits suivants: ceux qui ont été violés par Preynat, et qui se sont confiés au Cardinal Barbarin avaient tous plus de 18 ans, âge légal où il pouvaient directement déposer plainte contre le très médiatique pedocriminel Preynat. Et ça il faut le dire.

Lyon est quand même connue pour abriter des fanatiques de la Loi, au mépris de la loi.

B dit: à

Quelqu’un a cité Zemmour. Je l’ecoute et le regarde depuis trois jours vers 19h, et le soupconne de prendre des euphorisants à moins que la complicité évidente de la journaliste qui gère le plateau lui fasse cet effet. Je le regarde uniquement pour savoir pourquoi je n’apprécie pas son discours, pour mettre à jour mon sentiment le concernant, une reponse à propos d’une femme meurt tous Les trois jours sous les coups de son compagnon, le saviez vous😉: un homme, un malheureux meurt tous Les quinze jours sous les coups d’une femme. Cinq fois moins, ca vaut le coup de persévérer. J’aime bien l’historien, que fait il sur ce plateau si ce n’est se livrer à ce que d’aucuns pourraient percevoir comme un numero de clown divertissant mais hélas compromettant.

christiane dit: à

Merci, JJJ, pour ce rectificatif !

Marie Sasseur dit: à

Il sera bientôt 21h, vous pourrez allumer la télé sur FR2 et reprendre une activité normale.
Bonsouââr.

OZYMANDIAS dit: à

Christiane,
Ce que disait François Cheng, hier soir chez Busnel, est tout à fait beau et passionnant.
La Tradition, dans le sens que lui donne René Guénon dans ses livres, fut autrefois une et indivisible, ne souffrant d’aucune dualité, d’aucun dualisme.
Laö Tseu comme Héraclite l’ont bien défini, cette Tradition de l’Entente parfaite entre les choses créées et l’Omniscience présente en ces mêmes choses par la grâce de l’Amour absolu que nous cherchons tous et toutes en suivant les chemins qui, apparemment, ne mènent nulle part, mais qui, impénétrablement, nous conduisent vers nos destinées.
Hélas après la Tradition, il y eut la Scission… Mais cela est une autre histoire.

Patrice Charoulet dit: à

@Marie Sasseur

Madame,

Vous me dénigrez assez à l’étourdie. A vous en croire, je serais « ultra-nationaliste » ! Quelle mouche vous a piquée ?
Je vote RPR-UMP-LR, à toutes les élections depuis cinquante ans. Je suis de la droite classique, parlementaire, qui a cessé d’être de gouvernement, depuis…la catastrophe Fillon ( les costumes, l’emploi fictif…). Voue me recommandez d’écouter sur France 2, l’émission où Fillon est invité. Je suis bien calé dans mon fauteuil prêt à l’écouter. Sans illusions et sans espérer de scoop. Je demeure fidèle à ce parti. Et vous? En tout cas, votre « ultra-nationaliste », c’est n’imp.

Patrice Charoulet dit: à

@Marie Sasseur

Au fait, Madame. Vous me dites que Pierre Assouline possède les identités de chacun. Certes, mais les pseudonymes permettent à certains de dire les pires horreurs (mot faible) qu’ils n’oseraient pas dire en signant de leur vrai prénom et de leur vrai nom. Qui , ici, n’a pas recours à un pseudonyme ? Je serais curieux de le savoir, pour l’assurer de mon estime.

rose dit: à

Alexandre Grothendieck fils.

Que je.lui ai serré la main. Autant qu’à Jean.Luc Godard, le.we dernier à la fin de la projection de Vivre sa vie, d’icelui, du temps où il baisait ses acteices fétiches, sans même.aller à ses obsèque, cinquante ans après.
Bel humour toutefois.
Alors que je lui disais, excédée, j’ai fait des efforts, du tac au tac a répondu vestimentaire ?
Obligée de rétorquer sèchement « non, pour visionner Godard ». L’était même pas confus. L’on a ri ensuite. Euh. Ri ? Less mecs, quand ils recomposent un couple à la soixantaine, ils parlent avec n’importe qui au cinoche, tellement ils s’emmerdent.
Comme sur lsp, maintenant que j’y suis plus.

rose dit: à

Jazzi.
Et Wgw aussi.
Et Màc.
Et Christiane.
Et DHH.
Presque tout le monde quoi.

Dans la vraie vie, ne fréquentent pas les pervers. M’intéressent pas.
Je préfère les cas cliniques.
Comme à Carry le Rouet.
200 d’un coup.
Les gens y zont quitté Marseille pour avoir la paix, ils vont être contents. On ne leur a pas demandé leur avis.

Language diversity is essential to the human heritage. dit: à

« Qui , ici, n’a pas recours à un pseudonyme ? »

Moi par exemple lorsque par le passé j’ai pris un pseudo c’était pour des prétextes, disons, littéraires et je prêtais attention à ne pas cacher mon identité. Exemple dans les champs obligatoires.

Pour ce qui est de l’estime, pas importante pour moi.

Chaloux dit: à

christiane dit: à
@renato
Quant à sa création, s’en moquer m’étonne de vous… »

Personnellement, ça ne m’étonne pas. Quant à ses traductions « émérites », j’ai déjà dit ce que j’en pensais.

Quant au reste :

Je n’ai rien à justifier, mais je crois n’avoir jamais quêté d’affection ici, ce n’est pas dans mon caractère. En revanche, je me souviens très bien de gens qui n’en pouvaient plus de la Follicricri, de ses affects et de la lourde hyperbole de ses encombrantes admirations, jusqu’à lui reprocher de vouloir s’immiscer dans leur vie privée (courriers incessants, cartes postales innombrables, messages par centaines) et de doucereusement les persécuter. Certains l’ont même priée assez vertement de gagner le large.

OZYMANDIAS dit: à

« Pauvre et belle planète bleue, si proche de nous et si lointaine du Soleil » disent les Sélénites.
Belle lune et bonne nuit à tous et à toutes.

Clopine dit: à

Merde, Chaloux, vous ne pouvez pas imaginer, même une seule seconde, que les gens puissent EVOLUER ? Que rien ici ne dure, au fait ? Que, comme Proust ne cesse de nous le rappeler, tout est relatif, même la perception du temps et de l’espace, les deux d’ailleurs parfaitement corrélés ? Vous ne pouvez vous empêcher de rester sur des schémas pré-établis ? Putain, quand vous vous asseyez devant l’un de vos nombreux pianos, vous devez bien, pourtant, vous rendre compte qu’il se passe des choses qu’on ne peut maîtriser là autour ? Que les cordes bougent, les marteaux vivent, les sons varient ? Que le désaccordage permanent de notre monde est également sa seule ligne de survie ?

Bref, bref, Chaloux, dites-moi quand, in fine, vous êtes-vous servi de votre intelligence pour la dernière fois ? Quand vous avez appris le solfège, et basta, c’est ça ?

et alii dit: à

a propos des « noms »
n’oubliez pas qu’il y a des homonymes ,nom et pénom;
il se trouve que c’est mon cas , ce qui rend votre souhait difficile à exaucer

et alii dit: à

s’immiscer dans leur vie privée (courriers incessants, cartes postales innombrables, messages par centaines)
ça, je ne savais pas ;merci de prévenir:c’est abusif effectivement

Chaloux dit: à

Clopine, on ne se sert pas de son intelligence en vous lisant. Ce serait bien inutile. Quant à DHH qui vous prend pour Colette, cela m’a bien amusé de penser qu’elle avait dû n’avoir pour animaux de compagnie que des poulets rôtis. (Je me répète mais je trouve ça drôle)
Ne vous obstinez pas, vous n’êtes pas au niveau.
Quant à la chatte grise dont vous avez parlé en me menaçant, je suis persuadé qu’elle a été elle aussi assassinée par l’un ou l’autre des Thénardier propriétaires de cette grange. Vous voyez qui je veux dire. Tout animal qui vous résiste finit mal, c’est maintenant parfaitement clair, mais moi je vous emm…
Allez donc vous coucher.

B dit: à

Quant au reste :

Je n’ai rien à justifier, mais je crois n’avoir jamais quêté d’affection ici, ce n’est pas dans mon caractère.

Ici ou ailleurs, en quêtez vous à l’état pur? De l’affection, vous savez, il est possible d’en recevoir sans en chercher. Il suffit de semer. Si vous le désiriez, certains de mes pots en terre sont vacants et si vous disposiez de semences d’où pourraient sortir quelques plantes bienveillants, je vous les prêterais, offrirait, donnerais sans que j’en attende rien en échange.

christiane dit: à

Tiens donc, chaloux s’essaie à la calomnie.
Rose étant la seule personne dont j’ai les coordonnées postale, internet et l’identité, nos échanges étant parcimonieux et confiants, je pense que soit vous êtes de mauvaise foi, soit que vous avez été manipulé.
Je n’ai aucun souvenir d’avoir couvert un(e) commentateur(trice) d’ici de ces soi-disant courriers et mails.
Sur ce je vous laisse à vos élucubrations..

Chaloux dit: à

La Follicricri partage avec la Zéroclopine le privilège d’oublier tout ce qui la dérange.

Tu l’as fait, dit la mémoire. Tu ne l’as pas fait, dit l’orgueil. Et c’est toujours l’orgueil qui triomphe

Ce n’est pas moi qui le dis.

B dit: à

Christiane, je vous donne mon adresse, à vol d’oiseau, je réside à 45 secondes du célèbre Robert Ménard, en face. Nous pourrions nous espionner si nous le souhaitions en utilisant des jumelles . Vous n’auriez qu’à écrire sur l’enveloppe : célèbre Sylvie logeant en face du non moins célèbre Robert.

christiane dit: à

OZYMANDIAS,
Ce que disait François Cheng, hier était très profond surtout quand il a expliqué comment son écriture se réduisait de plus en plus (quatrains), que c’était le travail de toute une vie.
Ce qu’il a dit sur l’âme était surprenant. De ses livres, celui qui explore « le plein et le vide » a été pour moi le plus saisissant.
Le dernier recueil que j’ai lu de lui est Cinq méditations sur la mort, autrement dit sur la vie – Albin Michel. Ce sont cinq partages avec des groupes d’amis au cours de cinq soirées qui ont été retranscrites.
Une lecture vivifiante.

christiane dit: à

B.
un pigeon voyageur serait le bienvenu !

Janssen J-J dit: à

Craignez-vous leur mise en quarantaine à vos portes, r. ? Ne faut pas, ont besoin d’être rapatriés qq part, tels nos jihadistes de l’iran ou nos violeurs français de thaïlande. Ou bien hors du leur charnier natal, tel le ghône de carlos au Liban. Qu’est-ce qui dit fillon ? j’ai pas écouté, peut pas voir sa gueule… Trop de gerbe. Albertine disparue, fugitive à la place de Pénélope. Retour d’affection garanti.

B dit: à

Clopine bien qu’à n’en pas douter nous avons affaire avec Chaloux à ce qu’il convient d’appeler une intelligence je m’accorderai de souligner, montrer, dénoncer son métronome détraqué, d’ailleurs je n’ai jamais bien entendu comment il a réussi, réussit peut être encore aujourd’hui à rassembler un public pour un de ses concerts payants, il faut aussi louer ses partenaires musicaux .

Janssen J-J dit: à

je signale qu’un sociologue spécialiste des questions urbaines habite à Bedoin dans le 84 depuis longtemps, je suppose qu’il est la à retraite maintenant. Il s’appelle JD, et il eut son heure de gloire. On peut facilement trouver ses coordonnées si on souhaite interroger ses compétences. C’est au pied du mont Ventoux, b.

Clopine dit: à

B ? Que bredouillez-vous, là ? Chaloux ne vit certes pas d’une quelconque carrière de pianiste… Il a juste de confortables revenus (ou une situation sociale confortable), qui lui permettent d’avoir trois pianos à queue chez lui. Ce qui, pour mon humble sens prolétarien, égalitaire, libertaire voire républicain, est déjà deux de trop, à moins que ces instruments surnuméraires soient mis à la disposition d’un public plus large qu’un seul amateur, mais je doute que Chaloux ouvre sa porte aux classes enfantines sises dans le neuf-trois. Mais soupir ! Ne revenons pas au pouvoir soviétique tel qu’évoqué au début du Docteur Jivago : laissons la bourgeoisie jouir des commodités superflues (car à quoi ça sert, finalement, trois pianos à queue, quand définitivement vous ne pouvez jouer que d’un seul à la fois ?) que son aisance lui procure…

Janssen J-J dit: à

… assembler un public pour un de ses concerts payants, autour du piano détraqué de GS à Nohant, un clavicorde. Une pub de Roselyne, grande musicologue croqueuse de jaloux-chopine
https://www.youtube.com/watch?v=gnt7LlQRDIs

Chaloux dit: à

Je n’ai plus que deux pianos, suite à la vente de notre maison bourguignonne. Si Clopine avait un peu plus de culture et un peu moins de bassesse, elle connaîtrait le maître mot de Jankelevitch : »Les pianos vont toujours par deux ». Ce qui permet, pauvre crétine ignarde laide à faire peur, de jouer les œuvres pour deux pianos. (Je ne vois pas le rapport avec le 9-3).

Chaloux dit: à

rappelons que Satie était très pauvre et possédait dans son galetas d’Arcueil tout de même deux pianos à queue. Posés l’un sur l’autre, il est vrai, et dépourvus de cordes.

B dit: à

Clopine, pour revenir à Proust que j’ai à peine effleuré, ne s’agit il pas plutôt dans son oeuvre de subjectivité que de relativité, rien n’étant dans l’esprit, le songe, le rêve, le souvenir fixé comme sur une photo qui peut aussi délivrer, procurer autant d’impressions qu’il y aura de personnes pour la regarder. Le monde est un et perceptible , entrevu, observé, ressenti, contemplé, vécu, retenu selon les sensibilités, variées, travaillées, éprouvées ou encore neuves.

rose dit: à

Rose étant la seule personne dont j’ai les coordonnées postale, internet et l’identité, nos échanges étant parcimonieux et confiants, je pense que soit vous êtes de mauvaise foi, soit que vous avez été manipulé.

Est ce que vous parlez de moi ? Mauvaise foi, manipulé ? Ou de Chaloux ?

Bilan :

J’ai croisé deux fois Assouline aux rencontres Méditerranéennes aux docks des Sud à Marseille.
Très distant. Très fermé. Très supérieur.
En ai gardé une réelle antipathie dont j’ai du mal à me défaire. Une estime pour le travailleur, aucune pour le reste, un remerciement pour le blog. L’espace donné.
Jazzi : un mojito entre la piscine Joséphine Baket et la passerelle Simone de Beauvoir. Au bout d’une heure et demie, rien à se dire. À l’époque, il ne lisait pas. Le bar homo, j’étais très mal à l’aise. Je ne fréquente pas ces lieux.

DHH : jolie déambulation dans le jardin du Luxembourg, piscine Deligny Hermès/ Bon Marché, café devant St Sulpice ou presque. Une heure trente de temps. Belle politesse et courtoisie. Nous avons rompu là. N’ai pas dit ce que je voulais dire.Le lendemain, aurai voulu la revoir, pour lui dire, mais n’était pas disponible.

Clopine
De rares courriels échangés. Polis. Sans plus. Aucune attache. Antipathie transformée en sympathie.

Bérénice
Insupportable à mes yeux, m’est devenue doucement fort sympathique et même attachante.

Christiane

Qq conversations échangées, brèves, polies, courtoises, sympathiques. J’éprouve un réel intérêt pour Christiane. J’ m bcp sa manière d’être sur le blog. D’être en général. La courtoisie dont elle ne se départ pas. L’intérêt voué aux gens. À mes yeux, Christiane est celle qui conduit le plus des conversations. Avec intérêt et à leur terme. Elle est une des tenantes de ce blog. Une référence. Solide.

Chaloux.
A le besoin et la nécessité du conflit. Toujours dans de cape et d’épée, et vêtu de pied en cap. Jamais nu. Le considère comme bb wombat sorti vivant du grand incendie australien, vivant mais à vif. Je l’ m bcp.

Les autres : je les considère comme des rôles. Sauf Lavande.
Les autres sont des personnages de théâtre. Me pose la question incessamment  » en s’exprimant comme cela, qu’est ce qu’il veut dire. Qu’est ce qu’il cherche à dire.
Je viens de comprendre il y a moins d’une semaine l’intérêt essentiel de l’extrême répétition dont est atteint et alii. Et je le remercie. C’est important.

Un souvenir me saute à la mémoire, et un autre. C’était l’année de mes 25 ans. On m’avait (suite)

Soleil vert

A trouvé son plein espace là. Sur ce billet. Suscite mon admirtion par sa capacité de travail. S’est taillé sa place sur ce blog. Lentement. Solidement. Notre référence de la SF.

B dit: à

Clopine, les musiciens dont nombreux à être poly-instrumentistes. Chaloux ne jouait pas de piano quand j’allais l’écouter au sein de formations balistiques. Les instants chavirés, le duc des Lombards, et ailleurs.

Clopine dit: à

La différence entre vous et moi, Chaloux, outre les arguments spécieux « je n’ai plus que deux pianos, et donc vous racontez n’importe quoi quand vous mettez en doute la logique d’avoir trois pianos chez soi » (ce qui, donc, et de votre aveu même, a bien été le cas, hors si j’ai eu ouï dire, effectivement, d’oeuvres pour deux pianos, celles pour trois sont à mon sens tellement rares qu’on peut les compter sur les doigts de la main, donc votre raisonnement tombe définitivement à l’eau, mais bref vous ne l’admettrez jamais, pas vrai ?), la différence, donc, est que je ne m’abaisse pas à l’insulte, comme celle-ci, à moi adressée « pauvre crétine ignarde laide à faire peur »

Bref.

Chaloux dit: à

Chose qu’ignore aussi cette pauvre enclume de Beaubec. Un piano n’est qu’un instrument de musique, c’est aussi un être unique. aucun ne se ressemble tout à fait. Il ne serait pas plus absurde d’en posséder trois que d’en posséder quarante comme je crois Badura-Skoda.

B dit: à

Sont,Jazzistiques.

rose dit: à

et alii dit: à

à propos des « noms »
n’oubliez pas qu’il y a des homonymes ,nom et prénom;

Ben oui. C le cas du Jean Luc Godatd au cinéma. Un homonyme de l’autre.
Pour Grothendieck non. C’est son fils. Qui porte le même prénom que son père.

rose dit: à

Jean Luc Godard.
Et m…de

Clopine dit: à

Encore qu’on puisse effectivement considérer qu' »ignarde » soit une conquête féministe. Avant, « femme » suffisait.

Chaloux dit: à

Pauvre enclume de Beaubec, le troisième était en Bourgogne. Il est maintenant chez ma première épouse. Un superbe Erard de 1903 à cordes parallèles, cadre dit serrurier, totalement restauré, une pure merveille.

Quant au reste que vous dire, sinon ceci, que vous ne savez pas grand-chose : deux, trois quatre etc…
https://www.youtube.com/watch?v=7OwQOb6bd1M

renato dit: à

À propos des Préludes de Debussy, Cord Garben, producteur de Michelangeli pour Deutsches Grammophon, a expliqué en détail l’effet « harpe éolienne » dans l’enregistrement, c’est-à-dire un deuxième piano, avec les cordes non arrêtées qui vibraient par sympathie créant un halo sonore.
 

Yves dit: à

« Est vicié ce qui est fait sans amour ».
Vladimir Jankélévitch

rose dit: à

Clopine.
! Ne revenons pas au pouvoir soviétique tel qu’évoqué au début du Docteur Jivago : laissons la bourgeoisie

Quelle catastrophe lorsqu’ensuite la maison de famille est partagée entre tous ces pauvres prolétaires.
Qui transforlent les chambres en cuisine et partout la soupe aux choux.

Chaloux dit: à

Combien j’ai de pianos? Si c’est trois, ça la défrise, l’écrevisse mal cuite. Comme si je lui demandais combien elle a tué de chats…

B dit: à

A le besoin et la nécessité du conflit

Ouais, c’est quand même fatiguant , de plus aucun respect, aucun effort, du fanatisme positif ou négatif, de l’obsession, de la goujaterie, des arguments qui n’en sont pas comme le physique de l’une ou de l’un, de la brutalité lisible, un peu girouette, versatile jusqu’à frôler la langue de pute. Recommandable.

Soleil vert dit: à

« B dit: à
Une uchronie
https://laregledujeu.org/2020/01/02/35479/une-machine-comme-moi-de-ian-mcewan/ »

Me souvient d’une nouvelle délicieuse du Dr Asimov extrait des « Robots » (« Menteur ») Suite à une anomalie de fabrication, un robot devient télépathe. Obéissant à la première loi de la robotique (Un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, en restant passif, permettre qu’un être humain soit exposé au danger), la machine captant les désirs les plus secrets de ses créateurs , leur affirme que leurs souhaits leurs plus profonds vont se réaliser. La pagaille s’installe dans le labo …

Soleil vert dit: à

correction :

leurs souhaits les plus profonds

Clopine dit: à

Au fait, Chaloux, comme il semble que vous soyez réellement un pianiste professionnel, si j’en crois un récent commentaire, vous pourriez m’être diablement utile. Bon, j’ai bien compris que « m’être diablement utile » est sans doute le cadet de vos soucis. Mais être utile à la cause environnementale pourrait peut-être, qui sait ? Eveiller votre conscience ? Si oui, sait-on jamis, dites-le moi, et je vous formulerai très précisément ma demande. Enfin, « ma » demande… Disons « la » demande un tout petit peu citoyenne et engagée d’une poignée non encartée de vos compatriotes.

Ceci écrit sans guère d’espoir, mais enfin ! Nous dirons que j’ai tout essayé !

rose dit: à

Christiane

Je lui voue une grande estime. Lors de notre dernier entretien par courriel, a eu l’intelligence rare de me présenter ses excuses pck qu’elle m’en avait voulu lors d’un échange vif avec Pat V dont je ne m’étais pas mêlée.
Ai bcp apprécié. Attitude rarissime que de reconnaî0tre ses torts. Grande dame à mes yeux.

Carmen dit: à

Chaloux,
Merci pour le lien.
Puissiez-vous jouer un jour la musique des sphères dans un monde meilleur.
« Est vicié ce qui est fait sans amour ».
Vladimir Jankélévitch

Chaloux dit: à

Oui, Renato, c’est évident, sauf pour les tueuses de dindon. C’est le principe des pianos Blüthner qui ont une troisième corde sur une partie du clavier, non frappée par le marteau mais destinée à vibrer. Cette corde est très délicate à accorder (plusieurs écoles, soit la note juste, soit un léger décalage, bien préférable), il vaut s’adresser à un accordeur qui connait le problème, sinon c’est la catastrophe.
A saint-Eustache, j’avais eu le privilège de jouer sur un piano italien à quatre cordes. Certainement délicat d’entretien, mais une pure merveille.

Autant de pianos qu’on veut, Berlioz voulait qu’il y en eut trente :

https://www.youtube.com/watch?v=NeUovGDZoj0

B dit: à

Ceci écrit sans guère d’espoir, mais enfin ! Nous dirons que j’ai tout essayé !

Le striptease est insatisfaisant.

Jazzi dit: à

« Le bar homo, j’étais très mal à l’aise. Je ne fréquente pas ces lieux. »

Vous divaguez, rose. Il n’y a pas de bar homo sur les quais devant la BNF ! C’était une terrasse essentiellement bobo.

rose dit: à

Un souvenir me saute à la mémoire, et un autre. C’était l’année de mes 25 ans. On m’avait fêté la sainte Catherine dans mon école en s’exclamant  » pkoi tu ne trouves pas un mari puisque tu cuisines si bien ? »
Question.
Ai toujours, y tiens comme à la prunelle de mes yeux, le saladier offert à cette occasion par mes collègues instits. Grand et rond et creux. En terre cuite.

Comme hier, ce souvenir me revient soudainement : nous étions une équipe formidable. Je voulais faire un bébé. Je ne savais pas avec qui. Mon amoureux était une buse. En école d’ingénieur. Et éjaculateur précoce. Tu parles d’un pied. Un taiseux. Avons découvert le plaisir, mais pas le sexe. Frustration totale.
Un jour, pourquoi moi, un papa d’un/une de nos élèves m’a entraîné chez lui. Je l’ai suivi.
Il ne m’a présenté à personne.
Ni à sa femme, ni à l’enfant que sa femme gardait.
Il l’a gardé dans l’entrée, le papa, et j’entendais les hurlements.
Des hurlements atroces.
Il m’ a dit « j’ai un enfant autiste ».
L’enfant autiste hurlait dans la maison. Comme un loup.
Le papa a voulu que je sache qu’il vivait cela.

christiane dit: à

Rose,
je m’adressais à chaloux pour la fin de phrase : « je pense que soit vous êtes de mauvaise foi, soit que vous avez été manipulé. »

et le début de la phrase , je vous évoquais : « Rose étant la seule personne dont j’ai les coordonnées postale, internet et l’identité, nos échanges étant parcimonieux et confiants, »

Bonne soirée et laisser tous ces commentaires malveillants.

rose dit: à

C’était totalelent homo et horrible.
Il y avait même une vente d’africaines à la table à ma gauche.
Un cauchelar.

rose dit: à

Un cauchemar sur place.

Clopine dit: à

Eh bien, non, je ne l’ignore pas, puisque j’ai spécifié que les oeuvres pour trois pianos (et donc trois pianistes, hurk hurk hurk) étaient rarissimes.

Mais vous ne tenez aucun compte de ce que l’on peut vous dire. Et, tout musicien que vous êtes, soi-disant, VOUS N’ECOUTEZ ABSOLUMENT RIEN DE CE QU’ON VOUS DIT…

Bref.

Chaloux dit: à

Clopine, dans ce monde et dans l’autre, comme dirait Mme de Maintenon dont vous connaissez certainement par cœur l’abondante et passionnante correspondance, je ferai tout pour ne jamais vous rencontrer. Déduisez le reste.

Je ne crois pas à vos préoccupations environnementales en carton-pâte (dans votre cas, ce serait plutôt « carton-patate » ou « carton-pâté », mais passons). Je crois à l’homme qui se retire.

rose dit: à

Merci christiane.

Plus rard, j’ai su un autre bébé autiste.
Le père, martiniquais allait chercher les lycéennes à la sortie du lycée pour les niquer. Il était prof de gym. Max L.
Copain du père de mes enfants.
Il voulait rentrer en Martinique et sa femme rester en France. Sa femme martiniquaise aussi a fait un second fils, autiste.
Je lie la maladie au père, bouché, borné, coureur. Je n’en sais strictement rien. La mère gardait ce second fils totalelentcaccroché à elle, ne le confiant à personne. C’était une pathologie gravement familiale.
Dans le premier cas, je n’ai rien su. Pas amie avec cette famille.

Chaloux dit: à

Clopine, ce n’est pas qu’on ne vous écoute pas, c’est que vous comptez trop sur votre ignorance. Au piano on ne joue pas « pour piano », on joue tout ce qui se présente, des quatuors, des symphonies, des airs de flûte. Et le troisième piano peut être celui du professeur. Ce que vous ne voulez pas voir c’est votre fond d’obstination et de sottise. Un troisième piano est très utile, (pas pour une gourdasse comme vous, évidemment). D’ailleurs, je ne vois pas de raison de vous demander votre avis.

Chaloux dit: à

Cette enclume qui ne lit pas la clef de sol (ce en quoi elle est plus ignorante que Léon) vient vous dire combien il vous faut de pianos… Tant de sottises sorties d’une si petite cervelle… (on ne peut pas dire « d’oiseau », ce serait faire tort aux oiseaux).

Et elle, combien a-t-elle de râteaux? Il nous manque un Molière …

rose dit: à

Plus tard. J’avais 28 ans.
Un autre souvenir le revient violemment :
J’étais plus jeune, j’avais dix neuf ans.
Je vivais à Saint Cloud, en chambre de bonne, à l’entresol d’un immeuble de luxe ; avais quitté le foyer parental.Étais à l’école normale inférieure à Garches, avais réussi le concours à seize ans. 60 candidats reçus sur 600 candidatures. Je l’ai réussi soixantième parce que mon père m’avait dit  » tu ne l’auras pas » et « si tu l’as, je te paye un an d’équitation. »
J’aimais les chevaux.
Je l’ai réussi à cause du « tu ne l’auras pas ». Le un an a éte transformé en une heure.
Ce n’était pas notre milieu. Trop snob. Trop riche.
Ai gardé l’amour pour les chevaux.

rose dit: à

À dix neuf ans donc, bénévole le samedi je m’etais inscrite oour encadrer une équipe de jeunes gens handicapés oar la trisomie 21 pour les emmener faire du sport et courir dans la forêt de Saint Cloud.
Me souviens de ce très beau point de vue, une terrasse en demi cercle sur Paris la ligne La Défense la Concorde, une perspective formidable.

Me souviens aussi de ce jeune totalement à oart des autres, mince soortif, déciďé ; ses oarents lui faisaient totalement confiance et le laissaient faire du vélo tout seul. Il était dix, cinquante fois plus évolué et épanoui que ses copains.

rose dit: à

Zut hein je ne corrige pas.

Un jour, mais pourquoi moi ? J »etais encore au biberon, un des responsables encadrant le groupe m’ a emmenée. Je ne suis pas sûre d’avoir été consultée. Ni d’avoir donné mon accord.
Il m’ a emmenée visiter au pas de charge un institut pour enfants lourdement handicapés.Et/ou adultes.
Des êtres humains cachés à la face du monde et que je découvrais de mes yeux effarés.
Des corps attachés ⁰à des planches avec des têtes hydrocéphales et dans la tête de ces êtres humains, une intelligence normale.
Etc.
L’année d’après, j’ai fait deux ans à l’école normale de Garches, ne me suis pas proposée pour encadrer le groupe de sport.
Ai pratiqué l’escalade en forêt de Fontainebleau.

rose dit: à

Je ne fréquente pas des gens pervers, mais j’en connais.

Chaloux, en provence on ne dit pas ksss, mais sss, je le porte dans mon coeur. Point barre.
Y a pas à discuter. Il n’est pas le seul. J’ai ma maman aussi dans mon coeur. Et Vivien. Et Léo. Et Amandine. Et Jean Joseph. Et Guy Bertrand. Et du monde.

rose dit: à

Il y a les gens à part, et il y a le commun des mortels.
Les gens à part n’ont pas besoin de devenir des hommes augmentés parce qu’ils le sont déjà.

Ainsi va la vie.
En Chine en avril 2007, en soulevant un couvercle d’une marmite qui bouillotait, ai vu une tortue qui cuisait dans une soupe à la tortue.
Mangeant une soupe à la chauve souris sans en éprouver aucune honte, je trouve normal d’attraper le coronavirus et d’en crever.
Quoique regrettant que cette grosse saloperie de tafiole de Macron envoie le premier avion avec deux cents rapatriés à côté de Marseille avec le droit de sortir en plus.

rose dit: à

Et alii n’est pas insomniaque et ne produit pas des tonnes de com. parce qu’il ne dort pas la nuit.
Non.
Un de mes potes Dominique Didier aussi était érudit.
Après son décès, extrêmement prématuré, sa famille a supprimé son blog extraordinaire qui se nommait Le Petit Champignacien illustré.
Reste quelques pages, éparpillées, de ci, de là.

et alii dit: à

non rose, je ne suis pas insomniaque;je dors aussi parfois à la sieste:j’adore dormir et continuer mon « travail en rêve »;c’es toujours intéressant pour moi!
vous allez donc bien!
je ne suis pas lectrice de S.F et j’aime faire écho au billet donc à plus tard, j’espère

Marie Sasseur dit: à

31 janvier 6h20

#Qu’est-ce qui dit fillon ?

« Te voilà donc, ô toi dont la foule rampante
Admirait la vertu,
Déraciné, flétri, tombé sur une pente
Comme un cèdre abattu !

Te voilà sous les pieds des envieux sans nombre
Et des passants rieurs
Toi dont le front superbe accoutumait à l’ombre
Les fronts inférieurs !

Ta feuille est dans la poudre, et ta racine austère
Est découverte aux yeux.
Hélas ! tu n’as plus rien d’abrité dans la terre
Ni d’éclos dans les cieux !

Jeune homme, on vénérait jadis ton œil sévère,
Ton front calme et tonnant ;
Ton nom était de ceux qu’on craint et qu’on révère,
Hélas ! et maintenant

Les méchants, accourus pour déchirer ta vie,
L’ont prise entre leurs dents,

Et les hommes alors se sont avec envie
Penchés pour voir dedans ! »

Marie Sasseur dit: à

#Bilan :

la rosse ment.

rose dit: à

Et alii

Je ne vais pas bien. J’ai un niveau de stress +++.
C’est la troisième nuit que je re-dors. Je lutte contre de grandes périodes d’insomnie : sept. oct 2019 er janvier 2020.
On dirait que mon sommeil a repris sa voie paisible.

Nota :
les affinités électives : certaines se nouent sur ce blog. Assez mystérieuses.
Les amitiés imprescriptibles : je ne crois pas que cela se noue sur ce blog.
Chercher un mec : jamais fait, ni ici, ce n’est pas le lieu, ni en dehors.
Je ne suis pas hors d’âge pour chercher et trouver un mec. Suis su genre rétive tout en ceoyant mordicus à l’amour.

Les injures, cela ne sert à rien et c’est un acte facile. Hier soir, ai injurié en toute conscience Macrin et son avion qui emmène 200 passagers de Chine à Carry le Rouet.
Macron est un mec décalé qui ne connaît rien à la vie. L’injurier ne l’a pas atteint d’un crachat, et son opinion n’en aura pas fléchi d’un millimètre. Injurier c’est défoulatoire.
Oui ce blog évolue : beaucoup sont partis, de gré, Wgw, Lavande ou de force Màc et bien d’autres.
Avec explications ou sans.
Beaucoup d’évolutions au sein. De pacification aussi. De grandes ouvertures, de belles découvertes.

En Algérie, pour tenter d’échapper à une nouvelle manifestation d peuple ce vendredi, le gouvernement élu a inventé l’arresation d’un type se préparant à commettre un attentat dans la foule.
Chaque président a le désir de savourer voluptueusement son sirop d’orgeat, pendant que le peuple, à la masse, casse la caillasse.
N’empêche qu’il reste un espace de liberté incommensurable.

rose dit: à

Sasseur
Lorsque je vous lis, vous et vos monceaux d’ordures, au-dessus de mon espace habituel, je plane.
Merci de susciter cela en moi : i-e, me retrouve au-dessus des nuages.
Continuez : en rien ne me touchez. Comme on est soi-même, on voit les autres.

Marie Sasseur dit: à

#Bilan:

Le rosse ment. Je sais de quoi ce chameau est capable. Sur le net, rien ne se perd.

Jacques Drillon dit: à

Pour le tendre Chaloux
Cette discussion (si l’on peut appeler cela une discussion) à propos de 1, 2, 3 pianos m’attire comme le melon la guêpe. Je mets à la disposition de Chaloux, qui m’aime tant, ma bibliothèque de partitions numérisées, qui va de 2 mains sur un piano à 24 mains sur 12 pianos, et comporte une quantité fantastique de 2-pianos 4-mains (formation parfaite). Cliquer sur:
http://larepubliquedeslivres.com/wp-content/uploads/2020/01/Base-Drillon-classement-par-nomenclature.pdf
Il y en a 249 pages. Mais Chaloux est un grand lecteur – je l’espère aussi bon déchiffreur.

Jacques Drillon dit: à

J’oubliais de dire à Chaloux que le principe des Blüthner à une corde supplémentaire sympathique s’appelle le système « aliquot(e) ». Debussy en possédait un de 1904, qui se trouve aujourd’hui à Brive, et qui a été enregistré par Jean-Louis Haguenauer dans son intégrale des mélodies de Debussy.

rose dit: à

On pourrait dire comme la guêpe le melon.
Mais je conçois que l’on ait le melon.
Cela semble inhérent au bloggeur, le chapeau melon.

Subroger.

Tendre, et doux.
Distant et froid.
Hérissé de hallebardes.
La panacée.
Ah le Chaloux, il en excite des méninges concupiscentes.

rose dit: à

Noter, dans ses dispositions testamentaires, que l’on désire et exige que son blog fruit d’u travail de qualité et de fond, reste ouvert au public de la blogosphère et ne soit pas dirigé vers les limbes.
Déposer ses dernières volontés chez le notaire.

Chaloux dit: à

Oui, Cher Monsieur D., j’ai déchiffré bien des kilomètres de partitions, à peu près tout le répertoire de piano que j’ai pu trouver, et pas mal de transcriptions dont j’ai comme vous le goût. Je ne m’en sors pas trop mal d’après des amis professionnels. Je vous remercie de votre offre mais je voudrais maintenant me concentrer sur le travail de quelques œuvres que j’aimerais jouer ou rejouer.
Pour le reste, faisons la paix et devisons paisiblement. Je pense que vous êtes un très brave homme, et moi aussi, malgré une certaine vivacité de style, me dit-on. Certes, nous sommes rarement du même avis, mais finalement quelle importance?

Chaloux dit: à

Oui, merci cher Monsieur, ce sont des pianos que je connais bien et que j’apprécie particulièrement.

Jazzi dit: à

« Il y avait même une vente d’africaines à la table à ma gauche. »

!!!!!!
Faut consulter, rose.
Moi je garde un bon souvenir de notre rencontre…

rose dit: à

In situ, RDL, le vendredi 31 janvier 2020 à 8h47, il appert une saine et féconde réconciliation entre jacques drillon et notre Chaloux, qui devisent aimablement au sujet des pianos, forte, andante, de un à douze, mais pourquoi pas trente.
Hier, le jeudi 30 janvier 2020 en fin de journée, avons assisté à une aimable et courtoise conversation entre Clopine et Christiane qui, même si elles ne partagent pas les mêmes avis, ont enterré hache de guerre et sorti calumet de la paix.

cela ne répond pas à la question, pourquoi Carry le Rouet, où les oursinades sont programmées Dimanche et pourquoi pas Le Touquet ?

La quarantaine de 14 jours est organisée dans un centre de vacances de Carry-le-Rouet. France Bleu affirme qu’il s’agit du centre Vacanciel, un complexe de 140 chambres “avec tout le confort ainsi qu’une piscine et un accès à une plage de galets”. Le site est installé au milieu d’un parc de trois hectares au bout d’une allée résidentielle, détaille la radio.

Cité par France 3 Régions, le maire de la commune de la Côte Bleue redoute qu’“une psychose” gagne la population “dès que les gens vont apprendre qu’il y a des Français qui arrivent de Chine et qu’ils sont confinés pendant 14 jours”. L’édile regrette aussi la concomitance de ce confinement et l’organisation des traditionnelles “oursinades” dans sa commune. “On attend 4 à 5000 personnes ce dimanche”, s’inquiète Jean Montagnac.

Selon une source proche du dossier citée par l’AFP, au moins une partie des passagers arrivant en France seront hébergés en quarantaine à l’École nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiers d’Aix-en-Provence.

Jazzi dit: à

Moi j’aimerais bien t’entendre jouer du piano ou autre instrument, Chaloux.

et alii dit: à

rose, peur-être devriez vous trouver ce qui vous réussit pour vous déstresser;il ya souvent les petits footings dans la ville comme dans la campagne,avec des exercices de respiration (genre chinoise
https://www.respiration-et-conscience.com/medecine-chinoise-respiration/) vous trouverez même des groupes pour vous « entrainer »:j’ai connu des gens à qui ça a très bien réussi;et quand on est déstressé, une douche tiède assoupit et on dort mieux;le sommeil est bien réparateur
demandez conseil à un-e kinési qui vous aidera à vous orienter ; courage rose, ce sont des « passages, des contre coups d’épreuves,voyez aussi pour votre nourriture,qu’elle soit une aide; il y a des associations où vous rencontrerez des gens qui ont tous connu ces misères ,avec des professionnels de santé divers(bien que je croie que les kinésis soient les mieux informés et eux mêmes « pratiquants »

rose dit: à

Jazzi

moi aussi, je garde un excellent souvenir de notre rencontre, et suis ravie d’avoir fait votre connaissance.

Pourtant, le lieu était glauque.
Z’avez pas vu les africaines sublimes -ces petites gazelles apeurées- que les petits blancs s’échangeaient à la table à notre gauche ?

Consulter merci. C’est fait et en cours.
Il serait temps que d’autres consultent, bien atteints.

Chaloux dit: à

@ Jacques D. (je crois que mes posts qui comprennent votre nom disparaissent automatiquement, magie assoulinienne). Je vous ai répondu à côté. Je vais regarder votre liste, bien sûr, (je n’avais pas regardé le lien).

Jazzi, quel autre instrument? Tu me fais peur. Tu m’entendras bientôt.

rose dit: à

et alii
voyez aussi pour votre nourriture,qu’elle soit une aide; il y a des associations où vous rencontrerez des gens qui ont tous connu ces misères, avec des professionnels de santé divers(bien que je croie que les kinésis soient les mieux informés et eux mêmes « pratiquants »)

je crois avoir pris douze kilos en six mois. Comme les vingt que j’ai pris lors de neuf mois en Inde en 1980. C’est la conséquence du gros stress.
Merci de votre sympathie, mais tout ce qui est chinois, je viens de fêter le nouvel an de l’année du rat, j’évite jusqu’à cessation et éradiquation du virus, y compris la respiration, hein.
Quant aux kinés, leur niveau de co….ie est incommensurable, j’évite aussi.

rose dit: à

l’harmonica.

Bon, je me casse (y dit).

Bises Jazzi,
Qu’elle étaient belles ces africaines !

et alii dit: à

rose,une infirmière spécialisée en neurochirurgie (dans le midi),et qui est une femme remarquable me raconte que pour le sommeil et se détendre, elle a fait des séances de sophrologie qui l’ont bluffée!je la crois et lui fais confiance;renseignez vous sans crainte ,d’abord sur la toile,vous trouverez pour vous ce qui est le mieux adapté

et alii dit: à

rose, bien sur que les kilos sont liés au stress;ne vous affolez pas,ça passera aussi

et alii dit: à

la rencontre de Chaloux et Drillon donne de l’espérance , je leur souhaite beaucoup de bons échanges

Jazzi dit: à

« la rencontre de Chaloux et Drillon donne de l’espérance »

Oui, elle annonce un possible miracle, et alii : Notre rencontre !

Chaloux dit: à

Tu veux rencontrer et alii, Jazzi?

et alii dit: à

comme je ne suis pas en région parisienne, tenez moi pour un fantôme;bonne juornée

Jazzi dit: à

Moi je suis toujours partant pour rencontrer qui que ce soit, Chaloux. J’aime confronter la fiction ou la virtualité à la réalité.

rose non plus n’habite pas la région parisienne, et alii. Ni Clopine à l’époque de notre rencontre…

Jazzi dit: à

Ainsi, je serais curieux aussi de voir à quoi ressemble, qui est… Marie Sasseur !

et alii dit: à

chaloux le devin du village?

Marie Sasseur dit: à

#Ainsi, je serais curieux aussi de voir à quoi ressemble, qui est… Marie Sasseur !

J’ai rencontré physiquement deux personnes de ce blog.
Et vous ne m’intéressez pas. Vos petites histoires minables de vieux routards du web. Depuis le temps, je pense que c’est évident.

B dit: à

Deux personnes seulement n’attestent pas d’une sociabilité à toutes épreuves, cela me parait réducteur voire mensonger. Les gens d’ici ne sont ils pas littéralement statutairement riches intellectuellement pour susciter votre curiosité, votre intérêt, votre désir ou envie de donner une suite fructueuse à tant d’échanges passionnants?

Marie Sasseur dit: à

C’est bientôt la date anniversaire d’un grand deuil de la secte des libres en ébullition. On voit où les ont conduits leurs « rencontres ».

A plus, j’ai des personnes à voir.

B dit: à

Jazzi, avec des yeux bleus. Grand front presque démesuré, lèvres très dessinées et minces ornées d’une mouche, définitivement décapitée. Sinon 165cm, une cinquantaine de kilos, un maintien altier exemplaire, une peau laiteuse et fine, des seins légendaires, adepte et ayant pratiqué la danse classique ainsi des jambes et de bons muscles fessiers. Style vestimentaire un peu vieille France auparavant, sans maquillage. Souriait rarement, aimait les facéties.
Beaucoup de succès à ce que j’ai compris.
https://www.google.com/search?safe=active&client=ms-android-asus-tpin&sxsrf=ACYBGNTnzJnfM6S5Mqd2vkXCx15I-Avunw%3A1580462918543&ei=RvMzXvbhIPHpxgPYmoPgBg&q=queen+anne+boleyn+portrait&oq=Anne+boeyleportrait&gs_l=mobile-gws-wiz-serp.1.4.0i13j0i13i30l3j0i13i5i30j0i8i13i30.11482.20897..26316…4.0..0.236.3035.0j19j2……0….1………35i39j0i7i30j0i8i30j0i8i7i30j35i305i39j0i7i10i30.bHzJFNGf0rE#

Clopine dit: à

Les insultes de Chaloux à mon égard ne sont, à mon sens, pas seulement pénibles pour moi, mais pour tout le blog. Bien entendu, il se permet d’être encore pire avec moi qu’il ne l’est habituellement avec notre hôte, ou avec quiconque lui tombe sous la main, en fait : c’est un effet de sa conscience de classe, jamais interrogée, et pourtant : sait-il à quel point elle le domine, et le dirige ? J’en doute. Les capacités d’un Chaloux à se remettre en cause sont d’une minceur extrême. En fait, je crois qu’elles n’existent pas. Par exemple, sous l’insulte de l’ignorance, qu’il m’attribue régulièrement sans savoir qu’on ne saurait reprocher à quelqu’un son ignorance. Le manque de curiosité, ça, oui… Mais oser dire à quelqu’un qui n’a jamais eu les moyens nécessaires pour acquérir un savoir donné que c’est la marque d’une idiotie congénitale, ça c’est du Chaloux tout craché. Sans doute croit-il que la grossièreté est un apanage de la virilité ?

Pourtant, c’est un pianiste, et un musicien. J’ai longtemps vécu, presque dix ans de ma vie, avec un pianiste, doublé d’un musicologue hors pair. Je regrette que Chaloux arrive à défaire l’admiration que je porte aux musiciens de ce type… Jim avait eu 20 ans, précisément, en 1968. Cette année-là, il avait acheté son piano, un quart de queue qu’il avait introduit on ne sait commment dans le studio qu’il louait, et sous lequel, par manque de place et d’argent, il dormait, dans un sac de couchage… Ce piano l’a suivi partout – et pourtant « il ne tenait pas l’accord », soupirait Jim, « parce que c’était un cadre en bois ». Les touches blanches étaient parfaitement jaunies, et dans un sale état. Mais c’était la vie de Jim, que ce piano, et ma parole, les beaux instruments de Chaloux, dans le Gers ou à Paris, ne pourront jamais approcher l’humanité qui a existé autour de ce piano-là. Ce qui, ma foi, est une pensée extrêmement consolante pour « la conne » que je suis à ses yeux : car les insultes de Chaloux lui retombent dessus, et il pourrait parfaitement se les attribuer à lui-même.

B dit: à

Chaloux, c’est vous á Copenhague . Si oui , s’il n’y a pas erreur sur la personne, vous débutez une tournée et passerez à Hamburg. Une bise à ED si vous entrez en contact. Désolée pour ce classique qui ne laisse de m’amuser bêtement.

https://youtu.be/-9G7t9TYHQw

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