de Pierre Assouline

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Extension du domaine de l’humanisme à la photographie

Extension du domaine de l’humanisme à la photographie

Si nécessaire, Willy Ronis (1910-2009) justifierait à lui seul l’extension du domaine de l’humanisme à la photographie. Bien sûr, il ne fut pas le seul : Doisneau, Izis, Boubat, Brassaï… Comment définir ce courant qui ne fut pas une école ni même un mouvement ? Disons un mélange de réalisme social et de poésie du quotidien, qualifié de « réalisme poétique ». Ses principaux représentants (dès avant-guerre avec Marcel Bovis et d’autres) voulaient donner à voir l’infiniment humain en tendant à la société un miroir fraternel, au risque d’être taxés de « mièvrerie » ; ils privilégiaient la part du rêve tout en reflétant un imaginaire d’après nature qui fit son miel des mille et un incidents de la vie quotidienne ; elle était vécue comme un spectacle permanent et gratuit qui porte à l’optimisme malgré les difficultés de la vie ; on ne s’étonnera pas de les retrouver le plus souvent engagés à gauche ou parmi les chrétiens. On retrouve cet univers dans l’album Le Siècle de Willy Ronis (426 pages, 65 euros, éditions terre bleue) de Françoise Denoyelle.

Tout le livre, qui s’appuie sur une enquête rigoureuse dans les riches archives du photographe, semble conduit par un invisible fil d’Ariane. Ou plutôt un fil bien rouge : la naissance, l’épanouissement et la fidélité d’une conscience sociale. Lecture de Gorki, premiers reportages sur les grèves ouvrières, participation aux réunions de l’Association des écrivains et artistes révolutionnaires avec Boiffard, Cartier-Bresson, Chim, Capa, Man Ray, Kertesz, Germaine Krull, Eli Lotar, Gerda Taro, Brassaï… Le 14 juillet 1936 est son premier reportage d’envergure. Il n’a pas attendu la commande pour le réaliser. De toute façon, il sera photographe indépendant. Cette manifestation, il  devait en être, voilà tout, animé du romantisme prolétarien du film de Jean Renoir La Vie est à nous. Roness dit Ronis est né en 1910 à Paris dans une famille juive émigrée d’Odessa et de Kaunas. Père ouvrier retoucheur chez un portraitiste mondain, mère professeur de piano. Pour ses 16 ans, il reçoit un Kodak à soufflet 6,5 x 11 cm. C’est tracé… Universitaire et historienne de la photographie, l’auteur a travaillé sur le statut de l’image sous le Front populaire et sous le régime de Vichy, et sur le développement de leur marché entre les deux guerres. Autant dire qu’elle est là parfaitement à son affaire. Tous les Ronis y sont outre le photographe : le campeur, l’alpiniste, le skieur, l’amoureux de Belleville, l’homme à plume… Ah, Belleville Ménilmontant (Arthaud, 1954) commis avec l’ami Mac Orlan, un album qui a beaucoup fait pour que le fantastique social d’avant-guerre se métamorphose en pittoresque désuet, ce qui fut reproché à la photographie humaniste. On le suit pas à pas, jour après jour, avec une grande précision et une foule de détails, dans ses voyages, ses rencontres, ses doutes, ses désarrois, et ses repas, jusque dans ses plus grands regrets : n’avoir participé ni à la guerre d’Espagne ni à la Résistance –sans qu’on sache vraiment pourquoi. La postérité dira s’il était un artiste, mais on sait déjà que c’était un témoin. Grèves à la Snecma, mineurs polonais à Lens, et surtout la vie comme elle va au coin de la rue. Certains portraits portent son empreinte : Django Reinhardt en 1945, son frère Nin-Nin noyé dans la pénombre en second plan ; Jacques Prévert, pipe plutôt que clope, qui n’appartint pas qu’à Doisneau ; la trogne arcimboldesque de Fernand Léger ; l’avant-bras musculeux de Georges Carpentier ; et puis André Lhote encadrant un paysage d’Apt pour se l’approprier. Il travailla aussi bien pour Life et Vogue que pour L’Humanité ou Regards, le magazine illustré du PC. Et son reportage de mode pour les Lettres Françaises, agrémenté d’un long papier d’Aragon sur « L’art de prendre une photo pour les Lettres Françaises », est assez piquant. Comme le sont ses photos en couleurs : elles donnent l’impression d’avoir été prises à regret, comme des noir et blanc auxquelles on aurait rajouté au laboratoire une touche de couleur, mais une seule, comme cette rue Tholozé (1956) dont seule la devanture de la cordonnerie apparaît en rouge. C’est la France d’autrefois, une Atlantide engloutie celle des carcasses qui fument dans la cour des abattoirs de la Villette au petit matin, celle des vignerons de Cavignac aux prises avec le pinard du midi, celle d’une époque où le principe de précaution n’empêchait pas les patineurs de glisser sur le lac gelé du bois de Boulogne. Les découvertes y côtoient les icônes, plus nombreuses qu’on ne l’imaginait en pénétrant dans son univers. Ses photos les plus célèbres, et l’essentiel de son œuvre, il les réalisa entre la Libération et 1960, bien qu’il ne cessa jamais de photographier de son adolescence à sa toute fin. Cesse-t-on jamais de regarder ? Il travailla pour la SNCF sur le retour des prisonniers, aussi bien que pour la régie Renault. Quiconque l’a rencontré ne fut-ce qu’une seule fois a été frappé par son extrême courtoisie, la douceur de son sourire, sa bienveillance naturelle, l’optimisme de sa vision des choses, et son hypermnésie pour la moindre de ses prises de vues. Quasi-centenaire, toujours communiste dans l’âme (même s’il avait rendu sa carte du PC vers 1965), il continuait à arborer une allure de jeune homme.

« L’œuvre de Willy Ronis, sa quête de vérité dans le familier et l’universel, dans ce qui émeut et interroge, retient beaucoup et donne l’essentiel, traduit une plénitude, un  calme bonheur assez étranger à l’homme toujours inquiet et que la vie malmenât plus que beaucoup d’autres, sans que jamais son rêve d’harmonie ne l’abandonne ».

L’ouvrage de Françoise Denoyelle a ceci de remarquable que, au-delà de l’œuvre et de la vie de Willy Ronis, il offre un panorama de l’activité photographique en son temps. D’un certain point de vue, naturellement. Humaniste ? Si l’on veut. Une fois débarrassé des procès qu’on lui intenta et qui l’encombrent encore (nostalgie, mélancolie, folklore, misérabilisme), le label se révèle être à l’usage moins une auberge espagnole qu’on le craignait. Il y a bien une famille d’esprit derrière ce que ces images ont en commun. Mais en passant, cet album révèle que, derrière le témoin actif et le spectateur engagé, si souvent présenté comme tel à l’exclusion de toute autre préoccupation, le reporter-illustrateur (Ronis lui avait substitué l’expression de « photographe polygraphe ») avait aussi un véritable souci esthétique, formel, graphique. Celui d’un artiste. Grâces soient rendues à l’auteur de ce vrai beau livre d’avoir su faire entendre le timbre de la voix d’un photographe en donnant à voir son propre regard sur le siècle.

(« Chez Victor ; « Grève chez Citroën, la syndicaliste Rose Zehner, 1938 ; , impasse Compas, Paris XIXème, 1955 »; « Pluie place Vendôme, 1947 » photos Willy Ronis; « Place de la Concorde, 1952)

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622 Réponses pour Extension du domaine de l’humanisme à la photographie

le curé de prock'nd roll dit: à

le caviste de jc dit: 21 décembre 2012 à 10 h 56 min
les psys de jc lui ont d’un commun accord, après études et diagnostic de son cas, prescrit des gélules et tisanes de valériane

Papier baryté dit: à

On vous parle des humanistes, des HUMANISTES!
Vous êtes hors sujet ou vous coupez les cheveux en quatre.
Aux humains rien ne leur est étranger!
Surtout dans le regard.
Ça vous va comme ça?

Jacques Barozzi dit: à

« Comment définir les photographes qui travaillaient pour la Farm Security Administration, quel adjectif ? »

Des fonctionnaires ? Dans le sens qu’ils étaient rétribués par un organisme public au service duquel ils donnaient le meilleur de leur art photographique. Et par opposition à ceux qui travaillent pour le secteur privé. Ce qui n’exclut ni l’indépendance ni la bivalence (le même photographe pouvant travailer pour le public ou le privé avec autant de talent).

Jacques Barozzi dit: à

Qualifions les de photographes fonctionnaristes, renato. ça vous va comme ça !

renato dit: à

« Et par opposition à ceux qui travaillent pour le secteur privé. »

Je cause d’autre chose.

Jacques Barozzi dit: à

A moins que vous ne préfériez : photographes agricoles ?

renato dit: à

Pfffffffff… ce machin. Si participer devient un travail je laisses tomber…

Donc, re mis en ligne :

« Et par opposition à ceux qui travaillent pour le secteur privé. »

Je cause d’autre chose.

JC dit: à

LE CHANT DES BRUXELLOIS HUMANISTES

Debout ! les damnés de la taxes !
Debout ! les forçats de l’impôt !
La raison tonne en son cratère,
C’est l’éruption de la colère.

Du passé faisons table rase,
Foule riche, debout ! debout !
Le monde va changer de base :
N’étant plus rien, barrons nous !

Refrain :
C’est la lutte finale
Groupons-nous, et demain,
Dégommons la Sociale,
Ecrasons ces crétins !

Il n’est pas de sauveurs suprêmes,
Ni François, ni Arnaud, ni personne,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes !
Quittons ce Pays qui déconne !

Que l’Etat, voleur, rende gorge !
Pour lutter contre ces manchots,
Expatrions nos belles forges,
Battons le fer quand il est chaud !

renato dit: à

Nous pourrions définir comme « bistrotière » la première ⎯ et très anecdotique ⎯ photo du billet ?

Jacques Barozzi dit: à

La photo est un art mineur et l’anecdote, plutôt que l’histoire, est son domaine privilégié.
Ce qui n’empêche pas qu’il existe des photographes majeurs.

JC dit: à

D.
N’oublie pas de venir me chercher en soucoupe galactique avant le retour au chaos, hein ? J’ai un copain intéressé : on peut l’emmener en bagage cabine ?
D’avance, merci !

Jacques Barozzi dit: à

Comme pour la chanson, en somme.

JC dit: à

D.
N’oublie pas de venir me chercher en soucoupe galactique avant le retour au chaos, hein ?
J’ai un copain intéressé : on peut l’emmener en bagage cabine ?….
D’avance, merci !

Jacques Barozzi dit: à

Avec des sous-catégories en sodome !

renato dit: à

C’est quoi un art mineur ? Cela a été conceptuellement défini ? Si oui, quand, par qui, comment ?

Jacques Barozzi dit: à

Par moi, ici, aujourd’hui et maintenant.

Jacques Barozzi dit: à

C’est sur la durabilité de l’oeuvre que l’on juge du comment. Voyez comme les photos se démodent…

renato dit: à

« Voyez comme les photos se démodent… »

Ce n’est pas un critère. Le fait que l’approche change ne signifie pas grande chose. Les romans aussi se démodent.

Pour ce qui est de la qualité physique, sur le temps, si le processus de production est correct, la photo est comparable à l’aquarelle, et demande les même précautions.

Jacques Barozzi dit: à

Attendons un siècle ou deux, si certaines photos sont passées au rang de classiques, je serais prêt à revoir mon jugement…

Je me souviens d’avoir vu un jour Gilbert Bécaud dire à la télé que la chanson était un art mineur. Ce qui avait déclanché la fureur de Serge Gainsbourg, peintre râté mais musicien mineur réussi !

Jacques Barozzi dit: à

Ne pourrait-on pas dire que l’aquarelle est un art mineur ?

Esthète de l'art dit: à

Ansel Adams est-il un photographe humaniste ?

Si non, est-il un photographe non humaniste ?

Faut-il catégoriser l’art par intention ?

Merci pour vos réponses, j’ai une interro.

renato dit: à

Le fait est que vous raisonnez assez vieux. Les notions d’art mineur et d’art majeur ont eu un sens avant Dada. Aujourd’hui ne sont qu’un faire valoir pour velléitaires.

C.P. dit: à

renato, quel adjectif, en effet ? Je trouve un peu léger le « fonctionnaristes » de Jacques.

Par ailleurs, comme ma fille, j’ai bien aimé l’évocation de Manet par alec. Mais le même alec, plus haut, se demandait si Alfred Stieglitz avait pu influencer Ronis. Je suis retourné au gros livre-album de la National Gallery de Washington en 1999 (« Alfred Stieglitz, Photographs & Writings »). Stieglitz est certes très loin du social et du politique de Dorothea Lange, et en somme, avec de Zayas, l’idée de « pure photography » est très présente chez lui, vous le savez bien.
Cependant, quelques photos de Stieglitz, entre 1890 et 1910, en Europe et à New York, installent des personnages « simples » dans des lieux restreints. Qu’en dire ? Décidément, je crois que « photographie humaniste » n’a pas d’autre sens que celui de classer quelques estimables photographes français.

Jacques Barozzi dit: à

Pourquoi nier l’évidence ! De quoi êtes-vous le raté ?

C.P. dit: à

renato, je vous ai adressé un peu plus haut un commentaire mentionnant aussi des remarques d’alec…

Jacques Barozzi dit: à

Ma légèreté, C.P., ne visait qu’à répondre à toute cette lourdeur à vouloir qualifier, classer, catégoriser…

JC dit: à

Eh, les amis ! Vous êtes certains de sortir grandis de ce débat stérile sur l’art mineur ou majeur ?!

JC dit: à

Eh, les amis !
vous êtes certains de sortir grandis de ce débat stérile sur art mineur/majeur !!!

renato dit: à

Qui a parlé d’art mineur, Jacques ? vous. Et c’est quoi ça si ce n’est qualifier, classer, catégoriser… Moi, je posait une question sarcastique en réponse à cette manie de definir quelque chose par rapport à quelque chose d’autre. Vous n’avez pas compris ? Dédollé.

ueda dit: à

Jacques et renato,

Axiome du jour.
Tout art déclaré mineur travaille illico à son propre majorat.
(Avant cette déclaration, comme il était heureux).

Bien que n’étant pas venu à bout de la belle écharpe que je destinais à Daaphnée pour son grand passage, je tiens à affirmer ma solidarité militante avec les tricoteurs et tricoteuses dans leur lutte pour la reconnaissance de leurs droits légitimes.

Le fait de trouver sur notre chemin un JC, industriel cynique faisant suer le sari et le boubou, ne nous arrêtera pas dans notre juste combat pour la patrimonialisation du Tricot.

Voici déjà le tract d’une camarade:
« Dans l’inconscient collectif, le tricot est considéré comme une « occupation » féminine, ringarde et kitch de la femme au foyer, voir même un art ménager de la parfaite femme d’intérieur.
Ces dernières sont vues comme des « potiches » ayant peu de centre d’intérêt, une vie sociale et culturelle pauvre et n’étant pas capable de tenir une conversation intelligente lors de diner en société. »

(C’est envoyé)

« Cette image péjorative qui le suit depuis tant d’années, ne lui a pas encore permis de trouver sa place au même titre que la haute couture, la peinture ou la sculpture pour ne citer que ceux-là.
Pourtant, seuls quelques aiguilles, 2 points de base, un peu de fil ou autres matériaux et un peu d’inventivité ou de créativité permettent actuellement de le détourner de son but premier, le « bon vieux tricot » et d’en réaliser des œuvres d’arts. » (Gazouilis et compagnie).

Ayant déserté les ignobles cafés-philo pour la convivialité des cafés-tricot, j’appelle les intervenautes de ce blog à la prise de conscience.
Ne laissons pas passer cette belle occasion.

Félix Popotin dit: à

mineur/majeur : en musique, question de mode… l’architecture, par rapport à la chanson, est un art « premier » ainsi que le disait Gainsbourg

renato dit: à

Heureux de vous relire C.P. Je dois sortir, maintenat, en accord avec vous pour Stieglitz ⎯ son travail avec Camera Work, The Intimate Gallery et An American Place. J’y reviendrai plus tard.

JC dit: à

Pour ueda, le tricot est avant tout une couverture…

C.P. dit: à

Jacques, on peut aussi bien se souvenir de Gainsbourg se moquant de Guy Béart lorsque celui-ci parlait de chansons de poètes… Le modeste « chansonnier » suffisait à Brassens. Allons, ne classons pas trop ! En tout cas, pour moi non plus, « art mineur » n’a pas grand sens.

Jacques Barozzi dit: à

j’avais bien compris le sens de votre question, renato, c’est pourquoi j’en ai rajouté une couche à mon tour, et enfoncé le clou sans jamais vous insulter, pour ma part…

JC dit: à

Combien de cannibales amis, ayant fait Harvard, m’ont confirmé que la gastronomie actuelle était, hélas, devenue un « art mineur »….

Jacques Barozzi dit: à

L’art de la conversation est certainement du grand art, mais pas à la portée de tous.
J’ai beaucoup aimé l’aveu de Passou, disant, en commentaire, qu’il était incapable de collectionner quoi que ce soit.
Je n’aime pas les collectionneurs, dont la passion à plus à voir avec l’appropriation que l’amour des oeuvres d’arts…

Jacques Barozzi dit: à

On peut hélas aussi se souvenir, C.P., de Gainsbourg disant à Catherine Ringer qu’elle n’était qu’une sale pute !

Jacques Barozzi dit: à

Vous savez, C.P., les notions d’art majeur ou mineur ne me gênent pas : j’adore la télé, la chanson française et je regarde avec intérêt certains spots publicitaires…

JC dit: à

En général, Jacques, les « sales putes » font un autre métier…

Le Mercure défonce dit: à

« Je n’aime pas les collectionneurs, dont la passion à (sic) plus à voir avec l’appropriation que l’amour des oeuvres d’arts (re-sic)… »

Baroz, à quand un « Goût du beau langage françoys » ?

Jacques Barozzi dit: à

Politiques, chefs d’entreprises ou banquiers, J.C. ?

ueda dit: à

Autrefois, c’était Erasme ou Pico della Mirandola.
Aujourd’hui, l’humanisme a le visage de M. Jean-Pierre Raffarin, et de M. Leonetti.

« Si les humanistes ne sont qu’un groupe de 109 signataires au sein de l’UMP, leur existence, leur nom aussi, indique clairement que les autres membres de l’UMP n’en sont pas. »

Si j’ai bien compris, l’humanisme se veut une manière de terza gamba, entre la droite dure et la droite centriste :

« Jean Leonetti confirme qu’il y a à l’UMP les humanistes, concentrés dans son mouvement, et les autres : « L’UMP ne doit pas marcher sur une seule jambe »… » .

Le style, c’est l’homme, hein.

« Il faut reconnaître que Jean Leonetti, cofondateur de ce mouvement, n’est pas un UMP comme les autres. Médecin cardiologue toujours en exercice, il a toujours placé l’humain au cœur de sa réflexion, en politique comme dans son métier d’origine. Député populaire des Alpes-Maritimes, il est aussi un penseur de l’humain.
Spécialiste mais autodidacte en existentialisme (hihihi…), ses interventions aux commissions UMP sur la bioéthique notamment laissent pantois les technocrates : lettré, sage, sans prétention, il énonce ses lumières avec finesse et humanisme. Il apporte politiquement ce que Guaino laissait espérer à travers les discours du candidat de 2007 : de l’humanité ! De là à placer l’humain au cœur du système, c’est Leonetti qui innove et franchit le cap. L’humain n’est pas que le concept vide d’un candidat vil, larme de crocodile à l’œil, c’est une fin en soi politique. »

La politique, art majeur ou mineur ?

Bon, j’en étais à mon troisième café, c’est un de trop.
Buona giornata (et salut à C.P.).

Le Mercure défonce dit: à

« Je n’aime pas les collectionneurs, dont la passion à (sic) plus à voir avec l’appropriation que l’amour des oeuvres d’arts (re-sic)… »

Baroz, à quand un « Goût du beau langage françoys » ?

Bloom dit: à

Que nenni, Baroz, vous tombez dans le cliche , ne me dites pas que vous considerez que D.Lange pratiquait l’anecdote!
Je fis ,aux temps anciens, un DEA sur le photojournalisme anglais des annees 30, Picture post et J. Jarche , tout le contraire de ce que vous avancez hativement .
Le statut historique de la photo n’est pas encore blien defini, les historiens, encore un chouia etroits d’esprit , ne jurent que par l’ecrit, et parfois le peint . Lisez le maitre livre de Frederic Rousseau, L’Enfant de Varsovie , vous allez changer d’avis.

JC dit: à

Les putes se reconnaitront, sans besoin d’étiquettes…

W dit: à

Vous présumez avec trop d’assurance de ce qui m’anime,qui seriez vous d’ailleurs pour le savoir mieux que moi?quant à vos histoires de poissons,de conserves,de caviar ,de malades,de psychanalystes ou psychiatres gardez les vous à usage personnel.Immobilisée avec une température normale 37 degrés et je n’en suis pas arrivée là où vos explorations vous ont conduit,mon gout pour les mignardises ne me mène pas à déconditionner les aliments sans autorisation bien que vous y voyez encore et tout juste un délit mineur ,que vous n’ayez que faire de la période de latence ,que vous manipuliez avec une maitrise incontestable peut etre contestée?faut-il vous poser sur le crane un sémaphore pour que chacun vous repère en tant que potentiel dangereux.

Jacques Barozzi dit: à

Mais les putes c’est toujours les autres, JC !

Bloom au Siam dit: à

Que nenni, Baroz, vous tombez dans le cliche , ne me dites pas que vous considerez que D.Lange pratiquait l’anecdote!
Je fis ,aux temps anciens, un DEA sur le photojournalisme anglais des annees 30, Picture post et J. Jarche , tout le contraire de ce que vous avancez hativement .
Le statut historique de la photo n’est pas encore blien defini, les historiens, encore un chouia etroits d’esprit , ne jurent que par l’ecrit, et parfois le peint . Lisez le maitre livre de Frederic Rousseau, L’Enfant de Varsovie , vous allez changer d’avis.

JC dit: à

@jacques,
certainement pas !

@ueda,
l’humaniste de l’UMP, c’est Ciotti…

Jacques Barozzi dit: à

Il faut donner du travail aux bonnes et aux correcteurs, Le Mercure défonce, pour le ménage chez moi c’est quand vous voulez !

Jacques Barozzi dit: à

Il faut donner du travail aux bonnes et aux correcteurs, Le Mercure défonce, pour le ménage chez moi c’est quand vous voulez !

W dit: à

« les putes se reconnaitront » Définition de « la pute »:faire commerce de tout ou partie de son etre physique à étendre au moral ou spirituel,en d’autres termes faire passer la sincérité,les sentiments en arrière fond ou encore possible absence totale d’affect.En consacrant un minimum de temps avec quelques info ,il semble que beaucoup s’écartent avec facilité du crédo revendiqué,faut il les considérer et les ranger parmi vos »putes »?

JC dit: à

DERNIERE MINUTE

On vient de ramasser dans un caniveau l’ancien patron de la diplomatie sarkozienne, Bernard K., gisant à côté d’un sac de riz éventré par des moineaux.
Durant son transfert en ambulance, il n’a cessé de murmurer faiblement « Nicolas ! Nicolas … »
Nos services recherchent activement ce membre présumé de la famille.

Vendre dit: à

C’est parce qu’elle l’avait jeté.

Le plomb tue dit: à

Vous oubliez le verbe ,au commencement.

JC dit: à

J’ai le plus grand respect pour le travail de type « service public » rendu par ces dévouées jeunes femmes.
Elles ont toujours bénéficié, moyennant défraiement de frais généraux, de mon affectueuse protection …

i did not notice dit: à

la première photo est celle d’un homme accoudé au zinc regardant deux personnes (dont une femme) ensemble assises dans la salle
peut-être pense-t-il sans bien avoir ccnscience de quoi, et sans plus se préoccuper du photographe qui lui a peut-être suggéré la pose
Bonne journée.Il ya peut-être un monde entre les questions des contributeurs sur l’art et l' »humanisme » selon les critiques et acteurs irrécupérables des scènes intellectuelles sur blog et les pensées qui le traversent ,tandis qu’il fume,comme avec celles des personne dans la salle , et celle de la patronne du bistrot , qui en a surement vu d’autres , de passants , sans échanger beaucoup de mots avec eux, et peut-être n’en pensant pas moins après deux ou trois coups d’oeil et quelques parole entendues. pas question elle de disserter sur la mièvrerie , en lavant sa vaisselle .

W dit: à

JC je pense que de toutes façons vous vous etes abreuvé et avez achalandé tous les rayons ,qu’avec votre extreme habileté votre indéniable intelligence vous continuez d’exercer cet art comme un marionnettiste ,entendez MEFIANCE .Vous comprendrez.

D. dit: à

Je suis d’accord monsieur Schumacher, renato est trop souvent ordurier.

D. dit: à

Et Chantal W a beau prendre sa défense, c’est un fait.

ueda dit: à

Je m’en veux d’avoir ignoré l’existence de ce club, ils sont désopilants.
J’y cours de ce pas (maudit café) !

LES HUMANISTES DE L’UMP LAISSENT SCEPTIQUE

« Mercredi, à l’Assemblée nationale, avait lieu le lancement officiel du mouvement des « humanistes de l’UMP ». Mais il n’aura pas fallu attendre la fin de la conférence de presse, dans la chaleur du premier bureau du Palais-Bourbon, pour que le doute s’installe. »
(Diable)

« Interrogé à ce sujet à la sortie de la conférence de presse, Marc-Philippe Daubresse a pourtant fait mine d’être satisfait : « Plus nous serons nombreux, mieux ce sera », s’est-il exclamé. »
(C’est sûr, l’humanité n’est-elle pas sans rivages ?)

« Sauf que, cette fois, son argument a fait long feu. Soupirant en sortant de la pièce, Marie-Jo Zimmermann lui a adressé une réponse sans appel : « Oui, mais ce ne sera pas assez clair ! » Manifestement pas convaincue par l’idée d’un mouvement « oecuménique », l’élue de Moselle est repartie plus que déçue : « J’étais à la réunion de préparation, et ce n’est pas du tout ce qu’on m’avait proposé », confie-t-elle, la mine renfrognée. »
(C’était le même topo à l’expale sur la photographie humaniste)

« À l’UMP, on ne voit pas bien où est le problème. Le 19 octobre, les humanistes devraient répondre aux « 12 propositions » du collectif de Thierry Mariani. Mais comment peser autant avec des contours aussi flous ? « Il y aura sans doute un noyau dur qui travaillera sur les idées », reconnaît-on… »
(Naïveté bien sûr. Cernés par des durs, leur salut est naturellement le noyau mou, ils n’ont pas lu Clausewitz).

« Quant à Nathalie Kosciusko-Morizet, elle réfléchit, avec ses conseillers, à un autre mouvement, quelque chose comme la « Droite moderne », même si l’on précise que la « sémantique n’est pas encore définie »… »

Finalement l’humanisme, c’est une question de « champ sémantchique » comme disent les lycéens d’aujourd’hui (ils m’épatent tellement qu’ils sont bons).

Deneb dit: à

Au fait, la nouvelle ère a déjà commencé, mais vous ne vous en rendez pas compte.

W dit: à

Dimitri!Le Cantal fameux hier soir! Quand irons nous dans ce petit refuge bien chauffé d’altitude ,admirer ces neiges éphémères,je reve au lac Léman également,ça vous dit?

Swan's song dit: à

Eh oui, ueda, c’est le champ du signe.

renato dit: à

Si j’ai bien compris ce qu’est la photographie dite ‘humaniste’, C.P., il s’agit, en dernière analyse, d’images à travers lesquelles le photographe exprime son regard de l’objet ou du sujet. Or, vous avez raison de citer Stieglitz car, si on se tient à ce sens, c’est justement à lui qu’on revient.

Cela dit, la définition d’humanistes faite à propos de quelques photographes agissant dans l’environnement intellectuel français, ce n’est qu’une maladroite tentative de poser des limites nationales à une discipline qui, pour sa nature, les dépasse.

renato dit: à

Du bon usage du ‘sic’ :

le mot est utilisé pour montrer que l’on cite une phrase dont les termes ou le sens peuvent paraître étranges ou surprendre le lecteur, que ce soit par son contenu ou pour indiquer qu’on a noté une erreur mais qu’on l’a transcrite littéralement pour rester fidèle aux propos tenus.

Et on cause de gens qui pratiquent les livres ? Non, mais… ce n’est pas possible !

Île lettré.e dit: à

N’étant ni célibataire, ni insomniaque, ni l’asocial.e, je ne lis presque jamais les commentaires de la RDL. Les savoureux billets de Maître Pierre me semblent en effet totalement étrangers à cette sombre matière sur laquelle ils reposent, mélange de bile recuite et d’autre chose, un peu plus consistante mais pas moins indigeste, qui se veut littérature sans jamais dépasser le stade anal. Toute cette énergie à démolir, à haïr, plutôt qu’à faire partager ses enthousiasmes… On se croirait… en France! Le sujet du jour? L’humanisme. Aïe, mal barrés. Pure science fiction pour les fines gachettes du cloaque. Que peuvent-ils bien connaître à ce qu’a photographié Ronis? La Butte Rouge et Ménilmontant c’est tellement loin de la colline de Passy ou de celle de Chaillot, et puis ça fait un bail que Billancourt a désespéré Florange. Allez, messieurs (vous avez remarqué? pas de dames…), on vous laisse à votre misanthropie de poseurs. N’est pas Celan qui veut. Et longue vie à la RDL!

renato dit: à

Comme il y a des artistes, Jacques, qui ne travaillent que pour l’argent (avida dollars, disait quelqu’un à propos de Dalí), il y a des collectionneurs qui ne collectionnent que pour la spéculation. Il ne faudrait toutefois pas généraliser car ça devient vite grotesque. Il y a des collectionneurs qu’à travers leurs acquisitions expriment une idée, définissent un environnement historique. Mais faire des nuances avec vous est-ce utile ?

bouguereau dit: à

ce n’est qu’une maladroite tentative de poser des limites nationales à une discipline qui, pour sa nature, les dépasse.

kuuuruurkurrurkuk..les humaniss ? mais c’est des français..sacré rénato

bouguereau dit: à

pour jicé es humaniss c’est les socialos..beuurk aussi..on peut croiser

bouguereau dit: à

les belges comme dab c’est pas des huu des huhu des huuumaniss..

bouguereau dit: à

pas de doute jicé a trouvé un hobby à plein temps avec les humaniss..heu les socilaiss..heu non les français..qui sont cons les français qu’il a dit..vdqs
t’es pas payé par la cocoheu quand même jicé..bref tu fais ça « pour rien »..que pour le plaisir quoi..ben mon vieux

renato dit: à

bouguereau, « L’humanisme est une science ? », nous demandait notre prof de littérature. Et parfois il demandait aussi si on pouvait parler d’humanisme scientifique ou si science et humanisme étaient incompatibles. Maintenant (enfin depuis le XXe) on parle d’humanisme séculier… cela va avec l’idée de description du monde… mais ce qui est drôle c’est que c’était la préoccupation de fond de la Renaissance…

Jacques Barozzi dit: à

renato, vous ramenez toujours tout à l’argent. Je faisais une différence, toute en nuance, entre le désir de possession et l’amour véritable : pour une chose, un terrain, un paysage ou une maison, un objet, un animal ou un être humain…
Il y a celui qui aime et aime partager et celui qui veut seulement être le propriétaire exclusif : bien entendu qu’il existe aussi de bons collectionneurs !

bouguereau dit: à

Décidément, je crois que « photographie humaniste » n’a pas d’autre sens que celui de classer quelques estimables photographes français

..je remonte les posts..et si j’en crois renato ça fait de toi un gars surlequels des mythes se fabrique..et je m’étonne d’une chose, que tu ne comprennes pas que ce mot d’humaniste et une classification de journaliss vaseux et pressé qui « copient »..j’en veux pour preuve que les ismes se définissent un peu..celui ci « reste à définir »..bref essentiellement une réaction à l’air du temps, et justement : à l’air du temps quand on voit qu’un mot dont surtout « patelin et bonhomme »..devienne même une « raffarinade » pour zouzou..tout cela est grotesque

JC dit: à

C’est même pas nul, humanisme…,c’est creux.

bouguereau dit: à

bouguereau, « L’humanisme est une science ? »

..puisque c’est national et français, c’est mathématique..t’es inconséquent renato

Une amie qui vous veut du bien dit: à

Après avoir piétiné les couleurs et les fleurs, vous vous en prenez aux lettres?
Doctissimo c’est la porte à gauche au fond du couloir. De rien.
Votre nombril gélatineux n’intéresse personne ici.
[(ouste!!!)]

Sergio dit: à

Oui mais justement pour les motocyclistes l’air du temps il est plutôt frisquet bominable…

Jacques Barozzi dit: à

Histoire de rehausser au niveau métaphysique ce cahotique débat, rien de mieux qu’une belle citation :

« A cette apologie du désordre sympathique,
s’oppose la tentation mesquine de la bureaucratie individuelle : une chose pour chaque place et chaque place à sa chose et vice versa »
Penser/Classer – GEORGES PEREC

bouguereau dit: à

ou il est passé mon post
blog de mêêêêêrde

ptit dico dit: à

Humanisme subst. masc : terme abstrait de très large extension englobant tout ce que n’aime pas JC.

Jacques Barozzi dit: à

Histoire de rehausser au niveau métaphysique ce cahotique débat, rien de mieux qu’une belle citation :

« A cette apologie du désordre sympathique,
s’oppose la tentation mesquine de la bureaucratie individuelle : une chose pour chaque place et chaque place à sa chose et vice versa »
Penser/Classer – GEORGES PEREC

Lucienne Pitalugue dit: à

JC est un spiritualiste qui passe sa journée en prière. Normal qu’il ne se reconnaisse pas dans l’humanisme.

JC dit: à

Mais c’est pas possible d’être mécompris à ce point : dans la famille on est humanistes de père en fils ! C’est le « rhumanisme dévoyé » que je ne supporte pas !
Le genre Hessel, quoi !!!

Jacques Barozzi dit: à

Moi, mon prof il ne nous demandait pas si l’humaniste était une science, il l’affirmait : L’Humanisme EST une science.
C’était d’ailleurs plutôt le prof de philo que de lettres, renato.

JC dit: à

Lucienne,
dans notre isle paradionysiaque, nous connaissons tous les rapports incestueux que vous avez entretenu depuis votre première communion avec votre frère Anselme Pitalugue, renvoyé du FN pour droitisme pervers !
Alors…allez-y mollo avec l’élite éthylique !

JC dit: à

Quel con !
R.I.P.

JC dit: à

Cameron joue au baby-foot, en Afghanistan, sur du matériel pourri ! Peuchère… j’avais mal pour lui.

Gilles de la Tourette dit: à

L’expression « photographie humaniste » n’a rien à voir avec l’humanisme. C’est une appellation « coined by » Peter Hamilton dans les années soixante pour désigner un groupe de photographes français (comme l’a justement rappelé C.P.) La signification en est assez vague, cela veut dire en gros « qui s’intéresse à l’humain ». Autrement dit, cela désigne des photographes qui photographient des gens (les vraies gens, comme ont dit aujourd’hui). C’est un peu dans lignée de la peinture flamande dite « de genre ».

ueda dit: à

« bouguereau, « L’humanisme est une science ? », nous demandait notre prof de littérature. » (renato)

Moi, mon prof il ne nous demandait pas si l’humaniste était une science, il l’affirmait : L’Humanisme EST une science.
C’était d’ailleurs plutôt le prof de philo que de lettres, renato.
(J.B.)

Au fond, vous êtes des rescapés tous les deux.

Jean-Paul S. dit: à

L’existentialisme est un humanisme.

JC dit: à

Rescapés, oui … mais quand on a des mentors de cette envergure amibienne « L’humanisme est une science » …on garde des séquelles toute sa vie d’électeur.

Fernando, tecnico dé sourfache dit: à

« pour le ménage chez moi c’est quand vous voulez ! »

Esta bem, mouchiou baroche ! ché n’ai même pas bouchoin dé ploumeau : ché fais lo ménache toute noue,à plat ventre, lé braches tout écartéch !

laisseur de commentaire dit: à

bouguereau, qui termine un post sur cinq par « c’est humain », est-il un humaniste, ma mère de ma mère ?

W dit: à

Remplissez donc puisqu’il y a tant d’espace vide!

laisseur de commentaire dit: à

En tant que prof de philo moi-même, Barozzi, je peux vous dire que si le vôtre vous affirmait que « l’humanisme EST une science », c’était un curieux zigoto.

JC dit: à

Bougboug est un saint homme…
(un peu comme le tsaretz Raspoutine…)

W dit: à

Séquelles ou non ,c’est décidé je ne voterai plus qu’en cas de montée dangereuse du front nationale,après 15 degrés.Si toutefois la droite traditionnelle cesse de pactiser avec le programme de cette droite.

W dit: à

Election non non

question dit: à

JC dit: 21 décembre 2012 à 14 h 30 min
Quel con !
R.I.P.

Vous parlez de qui ?

W dit: à

Election pompon

Jacques Barozzi dit: à

Rescapé, oui, ueda, j’ai toujours été rebelle aux prof. Ceux qui ont essayé de m’inculquer l’orthographe s’y sont tous cassés les dents et je mettais un point d’honneur à avoir toujours zéro à la dictée !

W dit: à

Election piège à neutrons

V dit: à

Election oui oui.

Jacques Barozzi dit: à

Rescapé, oui, ueda, j’ai toujours été rebelle aux prof. Ceux qui ont essayé de m’inculquer l’orthographe s’y sont tous cassés les dents et je mettais un point d’honneur à avoir toujours zéro à la dictée !

W dit: à

tout se dit ,rien ne se signe, n’identifie.

W dit: à

Non non !

W dit: à

vous les courtisez sans conditions de programme?

Jacques Barozzi dit: à

Il me semble bien qu’il ne mettait pas un point d’interrogation à la phrase à commenter, laisseur de commentaire, mais bel et bien un point final.

Jacques Barozzi dit: à

Il me semble bien qu’il ne mettait pas un point d’interrogation à la phrase à commenter, laisseur de commentaire, mais bel et bien un point final.

Valérie P. dit: à

un point d’honneur à avoir toujours zéro à la dictée !

Et t’en en fier, vilain garnement ?

Jacques Barozzi dit: à

Mais je confond peut-être avec « L’existentialisme est un humanisme », qui lui ne souffrait d’aucune interrogation. En ce temps-là, nos prof étaient pratiquement tous marxistes, spécialement dans ces matières.

W dit: à

Le français s’appauvrit tant qu »il ne trouve plus de mots pour parler de son domaine artistique,c’est inquiétant.

ueda dit: à

Médiapart vient de déclarer que JC avait un compte en Suisse.

C’est tout simplement ignoble.
Et pourquoi pas poteau comme cochon avec Voldémar Poutine, tant qu’on y est?

Jacques Barozzi dit: à

« Et t’en en fier »

Non, pas vraiment, mais c’est mon esprit qui était ainsi fait. Depuis, j’ai quand même fait quelques progrès, non ?

W dit: à

Et ces gens qui tutoient,franchement sans commentaires.

Jacques Barozzi dit: à

« Et t’en en fier »

Non, pas vraiment, mais c’est mon esprit qui était ainsi fait. Depuis, j’ai quand même fait quelques progrès, non ?

W dit: à

Ueda merci je cherchai justement ce midi au milieu de la basse cour ce prénom mal rangé!

ueda dit: à

Je vois que le Monde Diplomatique parle également de JC comme d’un « financier cosmopolite ».

C’est un propos nauséabond, qui nous ramène aux heures les plus sombres de notre histoire.

W dit: à

UEDA MERCI JE CHERCHAI CE MIDI CE PRENOM MAL RANGE?VOYEZ COMME JE SUIS?OUBLIEUSE.

Sergio dit: à

Ben oui si on l’avait écouté on n’aurait pas eu la guerre le nez de Cléopatre en eût été changé…

ueda dit: à

Tiens bon, JC!

A bientôt

C pas J dit: à

> Vous parlez de qui ?

Evidemment non. qui est un des rares pseudos à avoir été épargnés ici.

W dit: à

Et puis maintenant après l’édifiant ministère de Valérie Pecresse j’en suis à rechercher l’apotre de la cool attitude …

ueda dit: à

Au fait, JC.

La NASA et le Vatican ont tous les deux démenti la fin du monde pour ce soir.
J’ai toujours pensé que, selon le cas, l’un des deux avait nécessairement tort.

Versubtil dit: à

Voilà que la photo humaniste peut se voir sur les murs d’un célèbre café à Toulouse…

bouguereau dit: à

bouguereau, qui termine un post sur cinq par « c’est humain », est-il un humaniste, ma mère de ma mère ?

..en tout cas je disais que le journalistique « humaniss » était le circoncolutatoire de « populaire »..les arts mineurs ne se définissent plus par les moyens d’expression mais par le soin que leur accorde les professionnel de la prophession a les théoriser, les critiques..ce qui est laissé au soin de la critique journalistique est « populaire »..voilà pourquoi tant de boutons aux roustons des caciques zouzouesque jicédique et rénatatoire..vdqs

bouguereau dit: à

..en vertu de quoi la faculté populaire de la devinière leur préconise un bain de siège
..vdqs

Félix Popotin dit: à

tes crottes son faisandées, boudegras

bouguereau dit: à

avec félisque j’ai comme l’impression d’être comme louis le 14ème : avec quelque faux savant keuputique humant et commentant mes selles

renato dit: à

« C’était d’ailleurs plutôt le prof de philo que de lettres… »

Dans ce cas là c’était de lettre,ueda, mais il philosophait beaucoup… enfin, il aimait mettre de points d’interrogation partout.

renato dit: à

« Je faisais une différence, toute en nuance, entre le désir de possession et l’amour véritable… »

Tout en finesse, Jacques ? vous ? et depuis quand ?

C.P. dit: à

bouguereau, laissons les journalistes nationaux. Je ne vois pas où serait le désaccord entre nous. Qu’ai-je dit d’autre qu’il n’y a pas de raison de faire de Stieglitz un formaliste froid, -par rapport à des attentions que je ne méprise pas du tout, quelle que soit leur classification-, au prétexte qu’il n’en remet pas sur « l’humain » dans ses textes et lettres ? Et bien sûr, je crois que renato a raison. Il y a toujours de la distance dans une photo suggestive, comme il y en a chez Mac Orlan ou Prévert (époque FP), quoi !

Mais Bloom a également raison, lorsque après renato, il sursaute pour ce qui concernerait « l’anecdote » chez les photographes de la FSA. Outre que leurs photos sont soignées, l’histoire (avec un H si vous voulez, mais vous n’y tenez pas tant) jugera ce qui restera des raisins de la colère, laquelle colère dépasse grandement, en telle ou telle situation, l’humanisme tendre.

C.P. dit: à

bouguereau, je vous ai répondu, c’est remonté un peu, mais pas trop…

ueda dit: à

Le tableau est un peu noir, bouguereau.

JC me paraît représenter sur ce blog une sensibilité de centre gauche.
C’est un douloureux devoir de le réveiller parfois de ses rêves généreux.

Bougrin Dubourge dit: à

> une sensibilité de centre gauche.

Ouais, moi aussi je présente une sensibilité du centre gauche, entre autres.

Veau de ris dit: à

« JC me paraît représenter sur ce blog une sensibilité de centre gauche. »

Gauche radicale, plutôt.

bouguereau dit: à

La NASA et le Vatican ont tous les deux démenti la fin du monde pour ce soir.
J’ai toujours pensé que, selon le cas, l’un des deux avait nécessairement tort.

soi c’est wernher soit c’est jean 23 qu’a bon?..t’en fais un de mariolle zouzou

Thérèse dit: à

Le jicéisme est un humanisme.

Thérèse dit: à

« Le zouzouisme est un mariolisme. » Jean-Philippe Bouguereau.

Thérèse dit: à

Le renouvellementdebilletisme est un urgentisme.

bouguereau dit: à

Qu’ai-je dit d’autre qu’il n’y a pas de raison de faire de Stieglitz un formaliste froid

..c’est un peu comme la carte postale erotique cochonne vintage dont les sites ricains déclinent tous les studios des années 1900 10 20 et 30..français..c’est bien plus que ça cépé..ce sont les anglosaxons qui nous renvoie a cette image, elle était naturelle », on y voyait rien de spécifiquement « français », « parisien »..tout le monde pouvait en faire..enfin ça prouve que nous ne retrouvons plus le chemin de la maison..c’est toujours ça le « vrai » humanisme..de voir stiglietz « froid » c’est bien plus qu’une formule de style..je sais pas si je me fais bien comprende

déjoûté dit: à

ce sont pas celles que tu crois, vieux dégoûtant rabougri

alec dit: à

au delà de la problématique humanisme mineur / humanisme majeur (quelqu’un ayant déjà coupé la poire à clystères des humanoïdes-philosophes-Diafoirus en deux en déclarant que la photographie était ‘un art moyen’, selon l’usage social qu’on en fait — mais justement Boltanski lorsqu’il il proposait cela n’avait évidemment pas en tête tous les usages récréatifs dont se rendent maîtres les amateurs de Canon EOS sur les différents réseaux dits sociaux d’aujourd’hui, même si les documents produits gardent plus que jamais leur face testimoniale, et donc une certaine acuité mémorielle, qui par la force des choses fera date), je pense que l’art photographique, disons plutôt ‘la photo’, même si un homme comme Etiemble, à la mémoire littéraire photographique, n’aimait pas qu’on coupât les mots, a peut-être carrément inventé l’art moderne. Stieglitz avec son Armory show de 1913 (mais aussi les Américains en général. sans eux, l’impressionnisme n’aurait pas connu autant de valeur esthétique ajoutée, si vite. ce sont bien les collectionneurs des USA qui ont les premiers senti le vent frais de la modernité de Monet, puis de celle de Picasso, en fait l’école de Paris, dès 1920, était une infra-bulle, capturée comme un insecte préhistorique au coeur d’une bille d’ambre, dans la grande shère du grand verre intact de l’école de New York.) et Paul Strand, avec une énergie folle, ont su faire émerger tout un esprit. (des mecs comme Dziga Vertov, Dali et Buñuel, en saisirent tous les enjeux au bond, mais pas Leni Riefensthal, une énergumène qui préféra toujours la volonté à l’énergie, conduisant à elle seule toute une cohorte de blancs moutons qui exulteront plus tard sous les drapeaux du concept de « positive thinking », cette chimérique billevesée pathétique des années post-hippies.) d’ailleurs, peut-être grâce à eux, Ronis a-t-il compris qu’avant d’être un humanisme, la photo était surtout une affaire de travail. C.P., je suis sûr que vous vient à l’esprit le nom de la revue de Strand, « Camera Work ». Andy Wahrol , grand magnétiseur d’énergie négative, la meilleure, en perpétuera les signes lorsqu’il confiait (notamment à Lou Reed qui en fit une chanson) « the important thing is ‘work’. » mais c’est vrai qu’on trouvera toujours un ministre assez humain pour dire que le travail est un humanisme.

Sergio dit: à

Mais… Tout est affaire de travail… Sauf le cognac naturellement comme disait Charles-Maurice, là il faut surtout en parler…

Et si le Père Noël... ? dit: à

Avec Thérèse, c’est bonne thèse…

renato dit: à

alec, Camera Work (1902-1917) c’est Stieglitz. Strand commence à photographier vers 1910.

bouguereau dit: à

t’en dis des conneries chics et toc alec..tu raccourcis téléscope comme si t’avais un truc a vendre.. »des magnétiseur d’energie négative »..rhoo : dla soupe

C.P. dit: à

alec, oui ! A renato aussi est revenu « Camera Work », et l’avant et l’après de « Photo Secession ».
Au fond, je crois bien comprendre bouguereau dans son dernier commentaire, et/mais en reste comme vous sur le travail. Ce qui n’empêche que bien des photos de Stieglitz -auxquelles je suis revenu grâce à vous-, de1890 à 1910 ou presque, quand même elles s’intitulent parfois « Effets de lumière », n’ont rien à envier à ce qui était le sujet (ambigu) du billet.
Un peu plus difficile, les photos plus tardives mais très diverses de Georgia O’ Keeffe par Stieglitz, par exemple, mais renato l’a fait exprès…

renato dit: à

Maintenant nous en sommes à Instagram ‏⎯ @instagram ⎯, on verra.

Thérèse dit: à

L’alecisme est un odradekisme.

D. dit: à

C’est très vrai, ce que vous dites, renato. Vous évoluez, c’est bien.

Et si le Père Noël n'était qu'une ... ? dit: à

Seigneur ! Epargnez nous l’odradekisme, la maladie qui ne pardonne pas et fait de vous un légume bavant, à vie !

louis-marc dit: à

Instagram… je n’y avais pas pensé. Merci renato. C’estune excellente idée .

alec dit: à

merci renato.
bouguereau, en voilà un beau post, bro.
je savais bien que parler de l’Amérique comme je l’ai fait te ferait l’effet d’une soupe à la grimace. conneries, oui, chic et toc, non, c’est comme l’eau ferrugineuse.
si tu savais le retour en grâce de la pensée positive que je vois dans mon boulot, de la part de (nombreuses) personnes qui partent s’installer en GB ou aux USA, qui cherchent de l’info, et qui font tout un pataquès de « business plan », de « préparation de terrain ». je leur conseille plutôt de mettre noir sur blanc ce qu’ils ne savent pas faire, de penser en amont à l’échec, de le laisser poindre, pour lui faire la peau le moment venu. souvent le « positif », quand il a réussi professionnellement, sa vie personnelle est en lambeaux, il mange sa turkey tout seul en novembre, quelquefois ses enfants ne lui parlent plus. les créateurs de jeune-pousses qui ont su et pu résister à l’éclatement de la bulle internet, il y a dix ans, étaient des « négatifs » dans l’âme. contrairement à ce que tu sembles penser, ce n’est pas neu-neu, ce n’est même pas platement binaire, c’est, c’est tout. cheers.

klonk dit: à

tout à fait d’accord avec D : renato s’améliore,il est en grand progrès je trouve toutes ses remarques d’un vif intérêt contrairement à ce qu’en pense Jacques Barozzi,qui est une mauvaise langue, au fond.

TKT dit: à

@ D.: Vous écrivez plus haut, que Renato, selon vous, est souvent ordurier.
Ordurier, comme freblantier ou banquier ? Ou vous voudriez dire que ses propos sont orduriers, voir qu’il utise un vocbulaire vugaire, comme souvent le fait Bouguereau ?
Renato est un homme bien-élevé, quand son langage est un peu vulgaire, c’est pour que vous le compreniez, bref il se met au niveau de votre vraie personnalité.Soyez sûr que quand Renato, utilise un vocabulaire grossier, son accent de garçon de bonne-famille relativise la chose.

un vieux de la vieille dit: à

alec dit: 21 décembre 2012 à 17 h 47 min
merci renato.

Qui eût cru qu’odradek écrirait ça un jour ?

h.b. dit: à

louis-marc dit: 21 décembre 2012 à 17 h 44 min
Merci renato.

alec dit: 21 décembre 2012 à 17 h 47 min
merci renato.

Eh bien, à mon tour de vous remercier, renato, pour tout ce que vous faites. Sincèrement, vous nous éclairez beaucoup. Encore merci.

Le Père Noël dit: à

merci renato
(les bonnes actions sont toujours récompensées, tu le sais, je ne t’oublierai pas)

renato dit: à

Éclairer ? moi ? Vous exagérez.

renato dit: à

Attention, le Père Noël, ma cheminée reste allumée la nuit du 24, et il n’y aura pas biscuits et verre de lait.

Et si le Père Noël n'était qu'un travelo mal fringué ... ? dit: à

Oui, merci pour tout renato !
Au moins vous, vous n’êtes pas comme cette ordure de Porquerollais débile qui fait honte aux iliens.

C.R.Z. dit: à

Non, non, personne n’exagère, renato. Vous nous éclairez. Du fond du cœur, merci renato.

Ginette, veuve Bouffarigue dit: à

Eh ! Oh ! on ne va pas recommencer à attaquer notre bonne âme, le Nanard de Porquerolles, la fierté du pays ?!

renato dit: à

Voilà, j’ai compris, tout le monde boit à la Non Fin du Monde, et la nébuleuse s’épaissit… et sous peu ce sera quelques chansons à boire…

Porte-parole de la RdL dit: à

louis-marc dit: 21 décembre 2012 à 17 h 44 min
Merci renato.
alec dit: 21 décembre 2012 à 17 h 47 min
merci renato.
h.b. dit: 21 décembre 2012 à 17 h 56 min
à mon tour de vous remercier, renato
Le Père Noël dit: 21 décembre 2012 à 17 h 59 min
merci renato
C.R.Z. dit: 21 décembre 2012 à 18 h 04 min
Du fond du cœur, merci renato.
Et si le Père Noël n’était qu’un travelo mal fringué … ? dit: 21 décembre 2012 à 18 h 04 min
Oui, merci pour tout renato !

Au nom de tous, je tiens à m’associer à ces remerciements spontanés. Merci, renato, sans vous la RdL ne serait pas ce qu’elle est.

W dit: à

MERCI RENATO !

W dit: à

Si vous etes fluorescent dans le noir!

D. dit: à

Vos progrès m’impressionnent, renato. Je vous adresse mes encouragements.

W dit: à

Pour quelles raisons devrais-je me répandre en remerciements? je souhaite vivement un éclaircissement sur cette affaire! depuis le début,Rénato vous me devez au moins ceci

Valeria Elena von Bank und Rottweiler dit: à

Cher monsieur renato, auriez vous l’amabilité de prendre contact avec l’un de mes conseillers ? Nous aimerions vous confier le poste de photographe officiel de la Présidence. Liberté du choix des images. Travail rémunérateur. Petite stagiaire à votre disposition pour tirages tardifs …

D. dit: à

Bon, vous êtes encore un peu ordurier par moments, mais je sens que ça va passer.

viva la vida dit: à

au nom de renato, merci Valeria Elena von Bank und Rottweiler.

victor dit: à

Merci JC et renato ! Merci Pierre Assouline de leur avoir permis d’exister. Mon cœur fait boum.

W dit: à

Alec je vous apprécie sans trouver à redire mais je vous comprends autant en anglais qu’en français ,peut etre devriez vous envoyer des images aussi sages que des images qui puissent vous prolonger en donnant une interprétation de votrediscours fleuve à remous comme un bain sans tourbillons une fumée sans volutes une braise sans couleur un jour sans pain une mort sans joie évidemment

Ginette, veuve Bouffarigue dit: à

Merci JC.

Valeria Elena von Bank und Rottweiler dit: à

Notre devoir est d’aider chaque Français à devenir meilleur, à trouver sa juste place ! Ce que nous a laissé la majorité précedente est insupportable : injustice et brutalité. Ce sera dur mais nous arriverons à mieux faire …

JC dit: à

Ce n’est pas grand chose, Ginette, et c’est bien naturel !
(à tout à l’heure…)

W dit: à

Alec ALEC alec!!! vous etes aussi un snob,un malotru,un menteur qui s’ignore,un noceur; ce qui n’invalide absolument pas vos qualités nombreuses et subsidiaires.

Josette Delamalle dit: à

C’est deja l’heure des présents?je note que tout le monde se congratule,que se passe-t-il de nouveau?

Ernest Legandin dit: à

En définitive, nous connaissions mal renato. Un cœur bat sous cette carapace rigide. C’est avec tendresse que nous le remercions tous pour son dévouement, sa ferveur pédagogique et, osons le mot, son abnégation. Ses efforts pour se mettre à notre niveau doivent lui coûter beaucoup et jamais il ne rechigne. Que Noël lui apporte tout ce qu’il désire, c’est le moins que nous pouvons lui souhaiter.

La grosse Colette sur son pouf dit: à

Merci renato.

Josette Delamalle dit: à

Merci Ginette.

dans mes bras le boug! aïe, tu me fais mal! dit: à

bouguereau dit: 21 décembre 2012 à 17 h 20 min
t’en dis des conneries chics et toc alec..tu raccourcis téléscope comme si t’avais un truc a vendre.. »des magnétiseur d’energie négative »..rhoo : dla soupe

tu sais bien que les représentants de connerce sont de sortie à noël. ils ont une âme, eux.
il ne nous reste plus qu’à boire du sirupeux contre la toux pour ne pas se faire repérer dans ce silence de cathédrôle.

Le gode ceinture de bouguereau dit: à

Merci, renato, pour votre modestie, votre gentillesse et votre esprit ouvert aux autres. Merci pour ce merveilleux savoir que vous nous faites partager. Mon maître vous admire, vous… comment dire ?… vous aime. Là ! Épicétou.

Valeria Elena von Bank und Rottweiler dit: à

Je vous rappelle, mes chers compatriotes, qu’un soir de fin du monde, les barrières morales, les tabous, les interdits, TOMBENT et que les dernières joies DOIVENT s’exprimer dans la plus grande licence !
Bonne soirée.
(pour ma part, un petit coup du préposé au redressement, hé hé …! ça me changera)

Audrey P. dit: à

Tu te fais des idées, ma vieille !

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