de Pierre Assouline

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La République des livres
Frédéric Verger et quelques autres violent l’Histoire avec bonheur

Frédéric Verger et quelques autres violent l’Histoire avec bonheur

Ce n’est pas d’aujourd’hui que les romanciers puisent dans l’Histoire la matière de leurs histoires. Ils y ont toujours fait leur marché avec une fortune diverse. Il y a toujours des critiques et des lecteurs pour y pointer un manque d’imagination, et il y en aura encore, ce qui révèle un manque d’imagination critique. Cette rentrée n’y échappe pas. Oublions les critiques, voyons les livres puisque cela seul compte. Faut-il le prendre comme une bonne nouvelle ? Question de point de vue, selon que l’on se place du côté des historiens ou de celui des romanciers. Mais si l’on est un peu des deux, et que l’on se réjouit du brouillage des frontières, on ne peut que s’en féliciter : avec ses 357 romans, la rentrée littéraire témoigne à nouveau que la fiction française ne s’est pas émancipée de l’Histoire avec une grande hache (copyright Perec). Mieux même : davantage que l’appel du grand large ou le polar, celle-ci est désormais la seule à faire durablement contrepoids aux ravages de l’autofiction, du moi dans tous ses états, du rapport au père et de l’introspection sans autre but qu’elle-même. Sans jamais oublier le conseil d’Alexandre Dumas à ses nègres :« Il est permis de violer l’Histoire à condition de lui faire de beaux enfants ».

Prenons les Trois grands fauves (288 pages, 18 euros, Belfond) de Hugo Boris. Les trois hommes en question sont Danton, Hugo, Churchill. Le rapport entre eux ? comment ils s’en sont sortis avec la mort à un moment de leur vie, et l’énergie qu’ils y ont puisé pour affronter l’existence. L’auteur les qualifie de prédateurs. Pourquoi pas. C’est très écrit, bien vu, bien senti, vif. A la Zweig dirait-on, celui des Trois maitres. De bons portraits même s’ils n’apportent rien que l’on sache déjà. Appeler cela « roman » est abusif, même si l’auteur prend ses libertés. Le problème est qu’il hésite entre deux thèses : ces hommes sont comme nous et ils agissent comme on agirait ; ce sont des monstres inhumains. Faudrait savoir. Un peu décevant par rapport à ce qui s’annonçait et ce qu’on annonçait.

Sorj Chalandon, c’est de mieux en mieux. On espérait qu’il quitte enfin l’Irlande pour une autre guerre puisqu’elle est sa matière, grands reportages obligent. C’est fait avec Le quatrième mur (336 pages, 19 euros, Grasset). Cette fois, le Moyen-Orient avec en prime le refoulé Gauche prolétarienne de mai 68. Une expérience de théâtre (le quatrième mur du titre) à Beyrouth coincé entre les phalangistes, les fedayin palestiniens et l’envahisseur israélien. L’Antigone d’Anouilh (dommage, celui de  Sophocle, c’est tout de même autre chose) en théâtre de la cruauté. La tragédie des planches rattrapée par la tragédie de la vie. A ceci près que, contrairement à l’héroïne tragique sacrifiée par les siens, la comédienne palestinienne est assassinée par les phalangistes. C’était une belle idée de faire jouer la pièce par toutes les communautés, même si elle fleure bon pathos et bons sentiments. Mais c’était sans compter avec Sabra & Chatila. Car la naïveté idéaliste du narrateur est vite corrigée par le choc du réel. Pourtant, on ne lâche pas le livre. C’est là le véritable exploit, plus encore que de monter Anouilh à Beyrouth en distribuant les rôles équitablement.

Laurent Seksik a souvent de bonnes idées, le succès des Derniers jours de Zweig en témoigne, même si un roman ne saurait se réduire à une idée. L’auteur n’est pas un styliste mais qu’importe. Là encore, avec Le cas Eduard Einstein (304 pages, 19 euros, Flammarion) une vraie idée : Einstein avait un fils psychotique à forte tendance schizoïde. Il le cachait dans une institution spécialisée, ne le voyait jamais, l’ignorait. La honte de la famille. C’est lui, le fils, qui parle et raconte sa souffrance. Sa langue est bien typée. Il n’existe qu’une photo du père et du fils. Elle est terrible de vérité tant elle exprime. Elle sert de bandeau au livre et reflète cruellement le texte qu’elle ceint. On y croit d’autant que sa vie a été documentée par les biographes du père. Sa voix ne s’oublie pas. Le mystère demeure… à la lecture des critiques déjà nombreuses que ce livre a suscitées. Non parce qu’elles sont unanimement laudatrices, et à juste titre, mais parce qu’elles mettent sur un plan égal la douleur du fils et celle du père. Alors qu’à la lecture, seule la première m’est apparue ; elle prend toute la place, ce qui est normal ; quant à Einstein-le-génie, je n’ai vu dans son attitude qu’indifférence, oubli, refoulement.

 Dans une veine plus strictement romanesque, un récit se détache. Dès son titre, L’Echange des princesses (348 pages, 20 euros, Seuil), Chantal Thomas dit tout, ce qui enlèverait du mystère à la chose. Mais c’est bien de cela qu’il s’agit puisqu’en 1722, en préparant le rapprochement des deux royaumes, le Régent Philippe d’Orléans invente d’échanger des princesses des deux côtés des Pyrénées afin de créer des alliances, Louis XV, 11 ans, épousant l’infante, 4 ans, tandis que sa propre fille, Mlle de Montpensier, épouse le jeune prince des Asturies, héritier du trône d’Espagne. Une fausse bonne idée, peut-être… Contrairement au roman. Sa réussite tient à l’écriture, donc à la voix : légèreté, grâce, élégance. Jusques et y compris dans la dénonciation du cynisme au pouvoir. Un régal de lecture. La narration est classique, bien dans le ton du matériau où elle s’enracine : moins La Gazette que les lettres, pour la plupart inédites, d’Elisabeth Farnèse, Louis 1er, Louise Elisabeth d’Orléans, Marie Anne Victoire de Bourbon, Philippe V et Madame de Ventadour consultées aux Archives historiques de Madrid. L’affaire est littérairement montée en symétrie, les deux histoires en parallèle, reconnaissance de dette de l’auteur au structuralisme. Ce qui n’exclut ni la douceur ni la cruauté sur lesquelles elle repose. Dans la première partie, l’historienne prend largement le pas sur la romancière, quasi absente. La première page est pesante ; dans la deuxième, une phrase fait déjà problème par rapport au statut du narrateur. Heureusement, par la suite, cela s’arrange et l’on retrouve la grâce, la légèreté et l’élégance des Adieux à la reine. C’est peu dire que Chantal Thomas est à son affaire en XVIIIème. C’est son temps ; elle en a épousé le rythme avec un naturel confondant. Les rituels de cette société la fascinent même si on perçoit ici ou là une pointe d’exaspération. On en regrette d’autant le hiatus introduit par la modernité parfois argotique de certains monologues intérieurs ou des rares dialogues, assez éloignés du « verbe des Lumières » cher à l’auteur. Fi des néologismes ! L’essentiel est qu’on y retrouve la musicalité de l’esprit de conversation. Mais on n’imagine pas que nos contemporains, que cette histoire devrait enthousiasmer, soient choqués par ces écarts de langage. De le belle ouvrage.

Avec Le divan de Staline (3212 pages, 20 euros, Seuil), Jean-Daniel Baltassat nous invite à passer quelques jours dans la vie du dictateur. C’est en 1950 eu palais Likani, près de Borjomi (Géorgie) où les cellules du pouvoir soviétique sont condensées en miniature chacune dans une pièce. C’est un roman qui joue sur le théâtre et c’est parfaitement réussi. Le rappel de son passé est incarné par son ancienne maîtresse et l’annonce de son futur par un jeune artiste chargé de lui présenter un « monument d’éternité » à sa gloire commandé par le Politburo. Encore que tout n’est pas aussi tranché : à la suite de nombreux interrogatoires destinés à éprouver sa pureté stalinolâtre, l’artiste se voit révéler par le pervers petit père des peuples la destinée tragique de ses parents, morts en déportation au goulag sibérien de Nazino, là même où furent observés des cas de cannibalisme, en 1933. Quant à la guerre de Corée qui fermente, qu’elle patiente. On navigue entre l’effroi et le grotesque, sans cesser d’arpenter l’intimité glaçante de Staline. Tout pour creuser à vif son inconscient et le mettre à nu. Impressionnant quand on croyait tout savoir de lui. C’est justement en cela que le romancier peut aider l’historien : par ce léger plus d’autant que la documentation a le talent de se faire oublier.

Mais dans ce registre, outre Au revoir là-haut dont je vous ai déjà dit grand bien, mon préféré c’est Arden (480 pages, 21,50 euros, Gallimard), premier roman de Frédéric Verger. Et si la composition d’une dernière opérette était le seul moyen de leur sauver la vie? Telle est la question que se posent en 1944 en Marsovie (on est déjà dans le Sceptre d’Ottokar) deux amis et associés : Alexandre de Rocoule, gérant du luxueux hôtel d’Arden, homme à femmes à la jovialité féroce, et Salomon Lengyel, veuf sérieux et solitaire, qui ont écrit ensemble depuis 1917 un grand nombre de pièces en trois actes, dont la particularité est de demeurer  inachevées car ils ne sont jamais d’accord sur la scène finale. Le premier tombe amoureux de la fille du second tandis que la bête nazie rode avec insistance…

C’est parfois si exubérant qu’on se croit en présence d’une histoire toute en arborescence dont la structure nous échappe. N’empêche, même si l’on s’y perd parfois, c’est une belle réussite qui fait penser à celle du Waltenberg de Hedi Kaddour il y a quelques années. C’est une histoire traitée à l’ancienne mais avec des dons et des moyens étourdissants, bluffants. Jouant d’une grande richesse lexicale et métaphorique, l’auteur excelle dans l’art du portrait, du détail physique, décoratif ou vestimentaire. Il est également impressionnant par sa culture généreuse et partageuse, et pas seulement musicale. Cet Arden est vraiment une chose étrange, une météorite atterrie en librairie, mais si envoûtante. Et quel humour, quel détachement ! Des réserves toutefois : des textes en incise, trop longs, qui gâtent le rythme du récit. Arden est une forêt mais pas celle que le titre semble annoncer. Une forêt de sensations, d’intrigues, de pistes, de sentiments, de parfums, de couleurs, d’émotions, d’érudition, d’allusions, de partitions musicales célébrant avec tambours et trompettes les noces du réel et du fantastique. N’en jetez plus ! Mais il sera beaucoup pardonné à celui a réussi à rendre ce délire romanesque au fond si léger.

(Photos Henri Cartier-Bresson)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

712 Réponses pour Frédéric Verger et quelques autres violent l’Histoire avec bonheur

JC..... dit: à

T’es qu’un aventurier anal, Bougboug ! Il faut prendre des risques lorsque l’on est sûr de la forte probabilité de gagner ….

4urartu8 dit: à

et pour les petites haches, ne tuez pas votre hébergeur , esssayez
« Woodsman Axe Coffee Table, une étonnante table basse créée par le studio Duffy London qui a simplement remplacé les traditionnels pieds par des haches. »

bouguereau dit: à

le monde appartient a ceux qui risquent gros sergio..

bouguereau dit: à

sûr de la forte probabilité de gagner ….

georges avait raison..entrepreneur n’est pas un mot français

des journées entières dans les arbres dit: à

Mademoiselle de Montpensier, promise à 4 ans, mariée à 12 ans, reine à 14 ans , veuve à 15 ans, reste en rideau…

bouguereau dit: à

ceci n’est pas une provocation

les huitemilles image a la seconde c’est a la portée d’un honkongais moyen renfield…c’est pas comme une bielle de panzer

JC..... dit: à

bouguereau dit: 16 septembre 2013 à 18 h 33 min
« le monde appartient a ceux qui risquent gros sergio.. »

Le Monde ? Appartenir !? On fait la liste de ceux qui depuis Alexandre ont cru y parvenir ? Et ne me parlez pas de finances, la possession c’est sur le terrain.

TKT dit: à

@ Phil: Il me semble que vous confondez Hong Kong avec Shanghai.
Avant que la Chine ne devienne communiste, sous le guide Mao, Shanghai était la ville la plus chic, la plus internationale du pays. Avec la main-mise des rouges, Hong Kong par miracle restée anglaise, devint la grande ville capitaliste de la région. Shanghai reprendra sa place dominante.

JC..... dit: à

Quel baveux, ce Ban Ki-Moon ! « Un crime de guerre » en Syrie …

Mais la guerre est un crime, en soi.

4urartu8 dit: à

cela se sent qu’il y en a à qui manque mauvaise
langue qui a a servi de révélateur à l’une des faces des méprises de la RdL

renato dit: à

Le cimetières sont pleins de gens indispensables.

des journées entières dans les arbres dit: à

Oui, enfin, internet s’il contribue à la confusion, des genres , des époques, surtout sur les blogs et réseaux sociaux, il faudrait quand même ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain.
http://www.cnrs.fr/publications/imagesdelaphysique/couv-PDF/IdP2005/01Einstein.pdf

Cela dit faites attention à ce que vous connectez, ou ce que, demain pour votre plus grand confort vous souhaiterez voir connecté, même vos vêtements, vous ne viendrez pas vous plaindre. D’être fliqué.

Journée du patrimoine dit: à

… Le talon aiguille saumon de la chaussure négligée au pied de la jambe gauche adroitement fuselée de Claire Chazal sur les tapis de l’Elysée… Un très grand moment d’émotion républicaine télévisuelle, hier au soir !…

Au cul médiatique de la politique ..... dit: à

Claire Chazal fait partie du patrimoine de la France.
(elle n’est pas très grande, ceci étant dit)

Observatoire des Naines connues..... dit: à

elle est référencée chez nous…

des journées entières dans les arbres dit: à

Journée du patrimoine, surveillez votre ligne.
Elle ne me semble pas claire.

Liberté, liberté chérie..... dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 16 septembre 2013 à 19 h 03 min
« Oui, enfin, internet s’il contribue à la confusion, des genres , des époques, surtout sur les blogs et réseaux sociaux …/…D’être fliqué. »

Toujours être du côté des flics… et alors, c’est le bonheur !

4urartu8 dit: à

Qui veut une marionnette de Hannah Arendt ? Une poupée Nietzsche ? Des chaussons Freud ?
Par Florian Cova le dimanche 22 novembre 2009, 05:44 – Geekeries
Arendt Freud Nietzsche produits dérivés

Vous trouverez tout cela et beaucoup plus sur le fantastique site : « The Unemployed Philosophers Guild ».

A l’approche de Noël, une mine de cadeaux personnalisés !

(Site découvert aujourd’hui grâce à un set de marionnettes à doigts Darwin / Einstein / Newton / Marie Curie rencontré à la Cité des Sciences et de l’Industrie)

des journées entières dans les arbres dit: à

Liberté, liberté chérie….. dit: 16 septembre 2013 à 19 h 21 min

S’cusez-moi, il faut aussi penser à ceux qui ne savent pas lire.

« Les fabricants inventent de nouveaux appareils intelligents dédiés au sport, au bien-être et à la santé. Avec leurs applications, certains objets vous livrent un historique détaillé de vos activités (course, repas…). Plus bluffant encore, d’autres remplacent votre médecin et mesure votre pression artérielle ou surveille votre prise de médicaments. »
http://www.cnetfrance.fr/produits/7-objets-connectes-au-service-de-la-sante-39790180-la-boite-de-medicaments-connectee_1.htm

Et s’il fait trop chaud chez vous, c’est pareil.
Ouvrez la fenêtre et respirez.

Bardamu dit: à

Près de 24 heures plus tard (15-9- à 21h42!)je reviens sur le mythe Einstein….
Et sur la fable récente et « nationale » au regard de Poincaré (ce n’est pas plus juste quant à Félix Faure, qui a bien été assassiné en fait… et par un homme!).
Bref c’est presque aussi ridicule que la tentative précédente de montrer qu’Einstein devait tout à Milena. Certes, il est vrai que les travaux de Poincaré furent bloqués outre-Rhin. Mais avec Einstein la différence était théoriquement profonde; par contre ce dernier se reconnaîtra volontiers dans les études du « français » de Broglie. Disons que la pensée de Poincaré culmine dans le « dodécaèdre » et reste totalement euclidienne à la différence de celle d’Einstein; c’est là une limite que Poincaré sans doute bien plus intelligent que le bricoleur Einstein, ne pouvait dépasser. Je répète que pour comprendre cela, il faut plonger dans les formations premières des uns et des autres, au cœur de leur enfance, à la différence de ce que font les différentes « histoires » (des sciences, de l’art, de la littérature…), où l’on se contente de confronter l’œuvre de l’un avec celle de l’autre, et d’un troisième…
Voyez BHL chez Maeght; en normalien on cite, Platon, Merleau… et Derrida of course… Mais Cézanne par exemple se foutait de tout cela, seules comptaient pour lui les « sensations » (et jamais la « raison »; la kantienne en plus des « critiques »). Il n’y a que P. Sollers qui a pu approcher au mieux la compréhension du « Maître d’Aix ». Idem pour Rimbaud !
(Marc Solitaire/Prolégomènes au Paris de Rimbaud…)
C’est Berrichon le premier qui a pu dire que Rimbaud avait fait en poésie quelque chose comme Cézanne en peinture… mais il faut aller plus loin, et ne pas craindre de dire: … comme Planck en science, etc…
Il faut même ne pas craindre de dire, qu’ Einstein a fait en science ce que Le Corbusier a fait en architecture, ce que Nietzsche a fait en philosophie…
A chaque fois, depuis la formation première dans la plus tendre enfance; là où Eduard a chuté, tandis qu’ Albert avait pu se maintenir malgré un certain autisme en effet (perceptible dans sa très lente élocution; très éloignée du « parlé rapide » (style BHL, Tapie… ou Cécile Duflot) où l’on croit souvent voir vivre « l’intelligence » de nos jours …

des journées entières dans les arbres dit: à

Bardamu dit: 16 septembre 2013 à 19 h 44 min

revenez à votre mythe des soeurs saint vincent de paul, ça ira plus vite !

D. dit: à

Vous savez que j’apprécie beaucoup la culture chinoise, TKT. Nous avons ce point commun.

D. dit: à

Dites, Chaloux, vous êtes sensé ne plus être là.
Voulez-vous que j’excipe vos propos que je tiens soigneusement notés sur des fiches ?

renato dit: à

« … où l’on croit souvent voir vivre « l’intelligence » de nos jours … »

Et on ne les a pas mis en cage ? ils pourraient obtenir un grand succès dans un zoo.

Pour Cézanne, vous devriez voir « Conversations avec Cézanne », Édition critique présentée par P.M. Doran, 1978 (éventuellement vous arrêter un moment sur les souvenir de Joachim Gasquet).

D. dit: à

Bonsoir, renato. Comme moi vous aimez la peinture et comme moi vous la connaissez bien. cela nous fait un point commun.

4urartu8 dit: à

Certes n’ai-je pas démêlé le propos de P.Assouline en appelant les passants à laisser des commentaires, à la suite de ses billets( dont je me lasse aussi : ils ne sauraient m’entraîner à la manifestation d’un désir d’ échange et de réflexion critique sur son blog avec ses visiteurs qui ne se renouvellent guère (il me sembla d’ailleurs que Mauvaise langue désirait lui des échanges et cherchaient une manière de les susciter )
Il ne s’agit pas, en faisant part de ma perplexité de juger le dispositif , sa fécondité et sa productivité, et pour qui ? ce qu’il rend possible à P Assouline de formuler , faire savoir à des personnes qui se sentent plus appelées, que moi-même je veux bien l’admettre , ouvertement quel que soit le biais.
cela m’étonnerait que je sois la seule personne à me limiter dans cette posture (en reconnaissant que certains livres m’attirent assez pour que je les lise un jour où l’autre)

Phil dit: à

Merci TKT. Indeed, la Dietrich, tout en cuissardes et fourreaux, prenait le Shanghai Express, avant de finir lesbienne au Maroc.

D. dit: à

Cézanne avait cette particularité d’être économe, il le dit d’ailleurs dans ses conversations. Très peu de peinture, parfois plusieurs cm² de toile brute, sans rien.
Eh bien en cela je l’admire, parce que si je suis relativement fortuné, je suis moi aussi économe. Je finis toujours mon pain et je n’achète qu’une demi-baguette. Ce qu’il me faut et pas plus.

Daaphnée dit: à

Bon, avant que nous ayons droit aux fiches de D. …
Un peu de poésie pour ce monde de brutes:

 » Suite

Dormir, la lune dans un œil et le soleil dans l’autre,
Un amour dans la bouche, un bel oiseau dans les cheveux,
Parée comme les champs, les bois, les routes et la mer,
Belle et parée comme le tour du monde.

Puis à travers le paysage,
Parmi les branches de fumée et tous les fruits du vent,
Jambes de pierre aux bas de sable,
Prise à la taille, à tous les muscles de rivière,
Et le dernier souci sur un visage transformé. »

Eluard, Répétitions

D. dit: à

Dietrich m’a toujours posé problème.

4urartu8 dit: à

et cherchait une manière !

Pov'type! dit: à

Dietrich m’a toujours posé problème.

S’il n’y avait qu’elle!

D. dit: à

Joséphine Baker aussi m’a posé problème.

4urartu8 dit: à

quelqu’un sur ce blog a me semble-t-il posé une question forte en demandant « mais qu’est-ce que vous lui trouvez à cet Assouline » elle me semble forte parce qu’il me semble que c’est aussi s question : « qu’est ce que j’ai et qu’est ce que je n’ai pas, pour »souvenir du « il me manquera toujours quelque chose », très théâtral, comme le « il n’en restera qu’un » ! et pourquoi pas et ne la partage-t-il pas avec beaucoup de « gens »?

4urartu8 dit: à

au fait ce qui s’affiche sur l’ordi, c’est « ont violé l’histoire avec fortune »

des journées entières dans les arbres dit: à

Oui, enfin tout cela reste une histoire de train Urucu.
Que l’on prend, ou pas.
« Et je partis moi aussi pour accompagner le voyageur en bijouterie qui se rendait à Kharbine »

Au secours, Mauvaise langue, reviens! dit: à

Bon, avant que nous ayons droit aux fiches de D. …

On nous inflige le pouème!

Analyse du pov'type en live dit: à

Joséphine Baker aussi m’a posé problème.

L’angoisse de la banane.

4urartu8 dit: à

j’ajoute , supplément de disgrace*, que certains commentateurs sont arrivés , par leur système d’adresse à faire croire que tous les commentateurs et auteurs, et lecteurs étaient des hommes et que le féminin avait été éradiqué, ou que le projet de ce blog était bien un projet d’éradication .
* je viens de lire une critique sur un livre de Coetzee qui a pour titre « la force de la faiblesse »

Mort aux cons dit: à

On nous inflige le pouème!

T’oblige pas à lire, Duconardo.

4urartu8 dit: à

Oui, enfin tout cela reste une histoire de train Urucu.
justement NON, et j’ai eu l

4urartu8 dit: à

et j’ai heureusement trouver un texte près éclairant pour mes souvenirs dans lequel j’ai appris que « tels » enfants appelaient « les cuillers décorées d’un écusson » bicyclette .

des journées entières dans les arbres dit: à

et j’ai eu une panne

4urartu8 dit: à

j’ai heureusement trouvé

Escartefigue dit: à

Quel con ce D.!

4urartu8 dit: à

et je dois dire que je sais gré à la personne qui a rapporté ce détail de nomination par des enfants: c’est pour moi la grâce même, celle que je n’ai jamais trouvée dans un commentaire

Marius dit: à

Je dirais même plus, quel con ce D.

Panisse dit: à

Une couche, bonne mère!

des journées entières dans les arbres dit: à

48, que vous cherchiez la grâce perdue, dans un commentaire de blog « qui a un projet d’éradication », parlera peut-être à quelques unes.
Surchauffe dans la machinerie ?

4urartu8 dit: à

une info
« Après avoir passé en revue plus de 120 études, il explique en outre « que le risque de développer des troubles (comme la schizophrénie) après l’exposition au cannabis n’est pas le même pour tous les individus. Il est corrélé avec des facteurs génétiques, l’intensité de l’exposition au cannabis et l’âge de cette exposition ».

4urartu8 dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 16 septembre 2013 à 21 h 26 min
, vous ne comprenez pas grand chose
pourquoi voulez-vous que je cherche quoi que ce soit, même dans un billet : « je ne cherche pas, je trouve » a-t-il déjà été dit
bonsoir

des journées entières dans les arbres dit: à

48, votre registre rhétorique n’abusera que les idiots.

D. dit: à

Le problème n’est que partiellement au niveau des bananes. Les bananes de Joséphine Baker, c’est très cliché. Je ne m’arrête pas à ça.
Ce qui m’a le plus dérangé c’est son incapacité à gérer sa fortune, et finalement une sorte d’orgueil démesuré et de manque de réalisme.

des journées entières dans les arbres dit: à

Et quoi que vous en pensiez, 48, tout à vos histoires d’enfant  » spécial », je préfère en revenir à Louise, également dans le billet !

« Louise-Élisabeth d’Orléans reçut une éducation peu soignée, du fait que personne ne s’intéressait à elle. Sans beauté, sans culture, égoiste et grossière jusqu’à l’indécence, elle était destinée à épouser un obscur prince allemand ou italien. Mais son destin fut tout différent, elle devint reine d’Espagne ! »
http://www.logpatethconsulting.homeip.net/blogpress/?p=191

4urartu8 dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 16 septembre 2013 à 21 h 40 min
mal vu comme d’habitude ! et comme tous les gens qui jouent les psychologues .
mais j’ai effectivement connu des gens qui avaient des enfant étiquetés shizo

Au secours, Mauvaise langue se retiens! dit: à

On insiste,de toute évidence duconardo n’est pas D!

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…un livre pour grandes personnes sérieuses,…
…Oui,…des gens comme on n’en fait plus,…

…Subversions du sujet,…
…Le retour tautologique de la chose à elle-même,…

…bien que le  » socialisme réellement existant  » soit désormais pour nous à une distance qui lui confère la magie nostalgique d’un objet perdu postmoderne,…etc,…etc,…

…la boutade célèbre :
…le socialisme est un système social qui est la synthèse dialectique de toute l’histoire qui le précède.

…je continue,… » De la société préhistorique sans classes, il a pris le primitivisme,
…de l’Antiquité l’esclavagisme,
…du féodalisme médiéval, la tyrannie sans merci,
…du capitalisme l’exploitation
…et du socialisme le nom « .

…une chose est complète  » en dehors d’elle même « .

…en conséquence,…des romans socialistes, que des  » Utopie « ,…des T.V.,…réalités,…à deux balles,…des Sports  » truqués,…
…l’escroquerie généralisée baigne dans l(huile,…plein de pognon,…partout,…et on surtaxes l’Europe pour des clopinettes de taux directeur à 3%,…
…les promesses électorales sous le joug des taxes , en veux tu, Non,…en voilà,…etc,…

…le socialisme-capitaliste,…à la bande des quatre,…des six,…droite-bio-vert agglutiner,…
…on en revient aux juifs d’états,…
…victimes ?,…Persécuteurs ?,…républicains,… » je le vaux bien,…etc,…
…envoyez,…avec les hymnes nationaux,…à triballes,…

…le livre,…cherchez,…encore,…
…tous cons, de gauche et de droite et le centre compris,…çà je savais pas,…
…j’apprend tout les jours ,…aussi, déjà, en réserves,…etc,..envoyez,….

4urartu8 dit: à

les gens qui la jouent psycho : comme ces médecins qui insultaient mères et enfants (des fainéants)en les culpabilisant pour leur fourguer leurs hormones de croissance- lu dans le monde!- et leur collaient l’ESB sur ordonnance

des journées entières dans les arbres dit: à

48,
« mal vu comme d’habitude !
Vos talents pratiques de psy quelque chose je ne les connais pas.
Ce que j’en lis ici est très inégal.

Une psy, médecin, que je connais bien est très souvent aussi HS.

4urartu8 dit: à

d’autres exemples de ceux qui la jouent psy?
dans chertok sur l’hypnose, les chirurgiens se trompent de côté dans leur suggestion : le cerveau de la patiente rétablit
autre exemple ? chez Anne Ancelin, , le client handicapé à vie en stage , l’un des premiers exemples : Derrida n’était pas plus intuitif !

4urartu8 dit: à

je ne fais pas profession de psy et je me garde de m’avancer avec quelque compétence dans ces domaines, et a fortiori de répéter des formules des autres

4urartu8 dit: à

je me limite à citer des exemples publiés avec les références / chacun peut en faire ce qu’il veut !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pas assez payer,…pour la jouez victime consentante,…les exemples publiés avec les références,…queue du bonheur,…
…Stop ou encore à bourrer,…etc,…

4urartu8 dit: à

depuis ces exemples, on a découvert l’adjectif contre intuitif! n’écrivez pas aux gens qu’ils sont parano ou schizo, comme un gamin de cours de récré !

des journées entières dans les arbres dit: à

chacun peut en faire ce qu’il veut !
oui, merci 48.

Merci pour votre photo du joueur de dés.

4urartu8 dit: à

il y a eu aussi l’exemple du distilbène (évoqué par Atlan) dans les étincelles de hasard , chers génies de la RdL

4urartu8 dit: à

petite remarque
Winnicott a dédié son livre phare à ses jeunes patients ! Adam Phillips le remarqua

D. dit: à

J’en ai un peu assez de tous ces pseudos incompréhensibles formés de chiffres et de lettres jetés au hasard. Un peu de décence, que diable !

D. dit: à

Prenez exemple sur Bouguereau, il a un bon gros pseudo bien franc, bien entier.
Bouguereau c’est Bouguereau, alors que 4urartu8 ça peut très bien être 3wsesvw6 le coup suivant.

4urartu8 dit: à

quel est le contraire de la décence, D ?

4urartu8 dit: à

vous confondez tous passoulinien et passoulipien
bons rêves

Faisons simple dit: à

« alors que 4urartu8 ça peut très bien être 3wsesvw6 le coup suivant. »

Alors que H.R. c’est simple, léger (euh !) efficace et mondialement connu.

D. dit: à

La décence, c’est que quand on a choisi de s’appeler D. et de le rester, on s’est mis à poil dès le début.

Pas comme les mijaurées 53turlututu42 qui changent de maillot de bain à toutes les poses.

C’est lassant et ça ne trompe personne.

D. dit: à

Ça fait des mois que curartutu nous promet d’enlever le bas, on attend toujours.

D. dit: à

Pour faire patienter, on nous envoie un ringardos avec entonnoir sur la tête et blouse blanche de psy, on veut être remboursé.

4urartu8 dit: à

ciao pantins !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…aux choix,…
…avec les turlus pimpins Stars  » pin-up girls « ,…à X inconnues,…etc,…

D. dit: à

Bon, passons maintenant à des choses réellement sérieuses.
Il existe en Mongolie dans le désert de Gobi des dizaines de milliers d’hectares jamais explorés par l’homme. Jamais, sauf par une expédition qui en 1954 a découvert des choses que plusieurs gouvernements se sont empressés de recouvrir d’une chape de plomb, tellement c’était dérangeant.
Voulez-vous en savoir plus ? Posez-moi des questions.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…j’ai trop d’imaginations pour vous en indiqué une limite,…etc,…

D. dit: à

J’en reviens à ce que j’ai toujours pensé depuis le début : renato est l’un des multiples pseudo d’HR.

Eureka dit: à

« renato est l’un des multiples pseudo d’HR. »

Donc, comme nous savons que renato est un avatar de TKT,

HR et TKT ne font qu’un.

Je me disais aussi.

L Sus Deï dit: à

« JC….. dit: 16 septembre 2013 à 17 h 57 min
Saigon et sese derniers hélicoptères. »

C’est-y point con:
for Saïgon ?.

Jep Pimko dit: à

Laurent Seksik ? j’ai lu ses derniers jours de Zweig : c’est très émouvant.
ce type est très bon : on a fait une pièce de ce son Zweig : les trois quarts de la salle pleurent du début à la fin.

et son Edward Einstein est parait-il encore plus émouvant, s’ils en font un pièces c’est plus les 3/4 de la salle qui va pleurer : c’est la salle entière, même les types qui donnent les billets au guichet von t pleurer.

si on devait juger un auteur au litres de larmes Seksik mériterait la médaille d’or olympique : depuis la dame aux camélias pas un seul auteur n’aura fait verser autant de larmes.

il est super bon.
il devrait exister une loi pour interdire de publier ce genre de bouquins qui dépassent un certain niveau de putasserie émotionnelle.

sauf que les critiques n’ont pas l’air de s’en plaindre, la putasserie est un critère de jugement qu’ils ignorent totalement, donc tout va bien dans le meilleur des mondes.

Jep Pimko dit: à

nos écrivains se divisent en 6 catégories :
– les niais qui représentent 80% du total, avec comme chef de file Darrieussecq et son père spirituel le mollasson le Clezio,
– les profonds qui plaisent tant à Maonsieur Chaloux
– les pédants comme Angot
– les « sans opinions » comme Carrère qui trouvent des bons sujets sur lesquels il n’a aucun avis personnel, même quand il tombe sur un barge qui fait du tir au pigeon sur des gamins dans une cour d’école il ne sait pas ce qu’il faut en penser.
– ceux qui aiment Schopenhauer parce que comme lui leurs mères les a laissé tombés à la naissance, comme welbec, même que si j’avais été sa mère j’aurais fait pareil vu qu’on se dit que s’il était gamin comme il est adulte quelle mère aurait envie de l’élever.
– et mes préférés : les enfoirés de pleureurs comme Seksik : pour son anniversaire je vais lui envoyer 800 boites de kleenex pour qu’il les distribue à ses lecteurs.

Jep Pimko dit: à

les librairies n’auront jamais autant senti la mort et la maladie.
et le public adore ça.
et c’est génial.

Jep Pimko dit: à

les historiens font un couple parfait avec les écrivains : ils leur fournissent du matériau pour faire pleurer le lecteur.

et ça du matériau pour pleurer sûr que c’est dans les livres d’histoire qu’on le plus de chance d’en trouver.

l’Histoire avec une grande H est une suite d’évènements catastrophiques qui font pleurer.
pour peu que l’écrivain ait un peu de talent pour la putasserie émotionnelle hop ! son boulot est torché en trois coups de cuillères à pot.

Jep Pimko dit: à

de tout temps la littérature a été critiquée, depuis l’époque de la Bruyère, c’est une vieille rengaine.

c’est faux : à l’époque de la Bruyère il n’y avait pas autant de niais.

niais, niais, niais, que des niais, pour écrire des livres de niais pour des niais.

la littérature est devenue une immense fabrique de niaiserie.
une compétition à celui qu sera le plus niais.

des tonnes de niaiseries, des avalanches de niaiserie, des tsunamis de niaiserie.

mais pas n’importe quelle niaiserie : de la niaiserie de pédants, de la niaiserie pour pédants.

avec des critiques grands spécialistes du niais, des fins connaisseurs du niais dans toutes ses formes.
quelle niaiserie recherchez-vous? de la niaiserie profonde? de la niaiserie scoop? de la niaiserie de pleureuses niaises versant de grosses larmes niaises ? de la niaiserie humaniste pour des humanistes niais?

pas de problème nous avons en stock toutes les niaiseries.
la rentrée littéraire est un grand marché du niais.

Club des niais dit: à

Jep Pimko, fort heureusement les librairies hébergent d’inclassables livres sans prétentions autres que commerciales qui partent comme des petits pains. Ces derniers se voient prêter des titres qui ne couvrent pas l’intégralité du contenu chèrement secrété pour la forme par des nègres assoiffés de matière habillant une absence d’idées nouvelles. Leur fonction tend à une occupation des espaces et, sous ce registre, nous est encore facile de quêter des études sociologiques du chaos, des exemples par le haut, des preuves par le bas, des mémoires d’amnésiques, des synthèses synthétiques, des résultats par l’absurde, des confessions de toutes confessions de prêtres naturistes et d’éminents spécialistes qui dédient leur science intègre à des essais masturbatoires, des éloges de l’infini, des regrets ponctuels, des excuses à l’histoire, des archéologies des frontières, des limites aux abus, des rallonges au cynisme, des extensions au présent, des galeries dessinées aux rêves, des fictions pour les prolongations, des mitans pour mineurs, des rapports d’impuissance, des topographies inutiles, des cartes et des pistes pour nous conduire ailleurs et nulle part ailleurs qu’au beau milieu d’un chantier bien conduit vers le meilleur et vers le pire.

JC..... dit: à

Je passe.

JC..... dit: à

Je repasse :

« L’ex-avocat Karim Achoui a officialisé ce soir le lancement d’une « Ligue de défense judiciaire des musulmans » dont la première action sera de porter plainte la semaine prochaine contre Charlie Hebdo pour des caricatures visant le Coran.

La Ligue de Défense judiciaire des musulmans s’est donné pour objet de « défendre judiciairement les individus victimes de discriminations fondées sur leur appartenance supposée ou réelle à la religion de l’Islam et leur convictions religieuses ».

Elle souhaite pour cela assurer « une cellule de veille des actes islamophobes » susceptibles de recevoir « une qualification pénale et civile », « lutter contre les discriminations islamophobes » et « accompagner et conseiller les individus qui en sont victimes en raison de leur pratique religieuse dans l’espace public ou privé ».

« Mais, on n’opposera pas aux musulmans la laïcité. La laïcité, c’est la neutralité. C’est l’Etat qui ne se mêle pas du religieux », a-t-il déclaré, estimant que les musulmans doivent pouvoir se prévaloir de leur convictions religieuses et même de leurs habits religieux dans l’espace privé comme dans l’espace public ».

Radié du Barreau à vie, l’ex-avocat se cherche un revenu … le drame est qu’il peut être suivi et encouragé dans son action. Nous avons là les prémisses d’un communautarisme dynamique et judiciaire combattif.

Tout cela se terminera par une bonne guerre civile religieuse, crise ouverte entre communautés, comme à l’époque de Montaigne. Où sont les sages ? Les Lumières seraient-elles en voie d’extinction ?

La vie réelle est bien plus « riche et excitante » que la littérature de rentrée littéraire, isn’t it ?

On assiste en direct à la fin d’une certaine idée de Nation …. passionnant !

Jacques le Fataliste dit: à

>Où sont les sages ?
Les Lumières seraient-elles en voie d’extinction ?<

Tués par les JC et leurs complices Karim A & associés.

des journées entières dans les arbres dit: à

JC c’est un peu le Jean Roucass du blog. Sa « daube » a longuement mijoté.

JC..... dit: à

Dans les arbres, des journées entières, levant les yeux, le spectateur d’en bas, étonné, fasciné, ravi, ne peut qu’apercevoir, comme pour le singe fameux, que la partie fondamentale de votre âme….Bàv !

james b dit: à

« Tués par les JC et leurs complices Karim A & associés. »
ça leur fait une disctraction

« JC c’est un peu le Jean Roucass du blog. Sa « daube » a longuement mijoté. »
oui ça schlingue

nicolas and co cash dit: à

Où sont les sages ?
Les Lumières seraient-elles en voie d’extinction ?<

me voilà avec ma bande d'amis !on a même déjà redressé le concordia avec nos petits muscles -çui qui me croille pas je le carchèrise et toc)

bouguereau dit: à

…. passionnant !

tes nuits avec hamon..tes journées avec karim..tu vis trop intensément jicé

JC..... dit: à

Redressement du Concordia : bravo Arnaud Montegourde, tu rayonnes au delà des frontières !

bouguereau dit: à

Sorj Chalandon, c’est de mieux en mieux.
Laurent Seksik a souvent de bonnes idées

les garçons c’est laborieux..mais pour les filles lassouline s’emporte un peu

Chantal Thomas dit tout, ce qui enlèverait du mystère à la chose. Mais c’est bien de cela qu’il s’agit

bouguereau dit: à

.. »la grosse chose »..ça c’est du titre à mystère

u. dit: à

Karim Achaoui…

Ce garçon est parfait, JC, pour pour servir de consigliere à un lobby islamiste.

Malfrat sans scrupule, il a été à ses débuts initié par le père Vergès à la « défense de rupture ».
La technique coco de noyautage, l’instrumentalisation du totalitarisme religieux et les gros sous de la pègre.
Parfait, vraiment parfait.
Il est à l’image de ce qu’il défend, il ne peut tromper personne d’un Tariq Ramadan, d’une intelligente suavité.
Il ne lui reste qu’un couronnement symbolique, le fameux « personnalité préférée des Français ».

La guerre civile en Europe?
Très possible dans l’avenir, mais encore évitable, insh’Allah.

Mais on préfère, dans les livres, être courageux et lucide sur le stalinisme.
C’est bien aussi…

bouguereau dit: à

que la partie fondamentale de votre âme….Bàv !

..toujours a éventer les mystères le jicé

bouguereau dit: à

Il ne lui reste qu’un couronnement symbolique, le fameux « personnalité préférée des Français »

..on a bien vu ta cible allez..assez d’antisémitisme primaire jicé..sois plus enlevé

bouguereau dit: à

pas jicé, zouzou !

santé pour tous dit: à

« La guerre civile en Europe? »

C’est apocalyptique ?
Il faut se soigner braves gens.
Avez-vous essayé un bon anxiolytique ?

u. dit: à

Puisqu’il s’agit d’un débat essentiel non seulement pour notre communauté politique mais de plus en plus pour le milieu protégé de nos cultureux, je signale, face au jésuitisme de Ramadan, la belle attaque de Abdelwahhab Meddeb.
Meddeb, malgré sa préciosité et son pédantisme (péchés tout à fait véniels) fait preuve, devant l’onctuosité du petit-fils de Banna, d’un assez beau tranchant et n’esquive aucune question difficile.
Ce long débat mérite le détour et est disponible sur YouTube.

bouguereau dit: à

jicé un jour j’ai reçu un courrier de la redoute, signé de la main même du directeur des ventes « on ne parle que de vous dans notre service, vous avez surement gagné la renault espace, je vous envoie les clefs, elle est garé a coté de ma place, je vous appelerais par téléphone.. » c’était tellement bien fait que je l’ai gardé magnété sur mon frigo pendant plusieurs années..avec les clefs..j’ai eu un mal fou à le poubelliser..dailleurs je le regrette

santé pour tous dit: à

« un débat essentiel » ?

De débats essentiels sont pleines les poubelles.

u. dit: à

La stratégie des lobbys merveilleusement incarnés par Achaoui est clairement exprimée dans sa déclaration:

« Mais, on n’opposera pas aux musulmans la laïcité. La laïcité, c’est la neutralité. C’est l’Etat qui ne se mêle pas du religieux »

C’est naturellement le contraire: responsable de la neutralité de l’espace public, l’Etat laïc se mêle naturellement du religieux pour lui indiquer sa juste place.

u. dit: à

Santé pour tous, mets au crochet ta blouse blanche qui nous fait débander, et viens nous rejoindre dans la Stultifera navis.

u. dit: à

Je tiens la notion de « personnalité préférée des Français » pour une insulte personnelle.

santé pour tous dit: à

vous rejoindre dans la Stultifera navis.. Il y aura des tartines ?

bouguereau dit: à

..j’avoue qu’elle est belle celle là zouzou..tu devrais la magnéter avec un calçon sur ton frigo

bouguereau dit: à

des tartines à la marmite et au concombre..c’est vontraube qui s’y colle aux toast et il dépotent

u. dit: à

Marmite et peanut butter, c’est l’aventure à la portée de tous.

Jep Pimko dit: à

qui a lu les premières pages de Frédéric Verger?
encore de l’écriture de prof de de lycée de littérature.

c’est fou ce que les professeurs de littérature écrivent bien, dans leurs phrases il ne manque rien, des tas de sujets, des tas de verbes et des tas de compléments d’objets directs et indirects.

Monsieur Assouline si c’est le meilleur livre de la rentrée avec tous ces sujets, ces verbes, ces compléments et ces objets directs, nul doute qu’il faut lui donner le prix Goncourt.

il le mérite, ne serait-ce que pour récompenser toutes ces années passées à enseigner dans ce lycée, lycée d’où ? de Versailles ? Mantes la Jolie Ecriture avec des sujets des verbes et des compléments.

il le mérite parce que son écriture est propre, comme lui, sur sa photo il semble être un monsieur très propre : il faut savoir récompenser la propreté, dans notre monde.

récompensons la propreté ! et le tri sélectif des déchets littéraire!!!

JC..... dit: à

santé pour tous dit: 17 septembre 2013 à 10 h 58 min
« La guerre civile en Europe? »

C’est apocalyptique ?
Il faut se soigner braves gens.
Avez-vous essayé un bon anxiolytique ?

Adorable Munichois,
Tu as raison ! jamais les intégristes nazis ne causeront le moindre mal aux Juifs allemands….

Jep Pimko dit: à

bouguereau, ne nous y trompons pas a reçu une belle éducation, une éducation cultivée, il a appris des langues totalement mortes et d’autres bien vivantes, comme l’allemand, c’est un germaniste de la plus belle eau, il a lu Montaigne et Rabelais en vieux français.

il tire de cette belle éducation classique un sentiment de supériorité sur ses contemporains en même temps qu’un sentiment de honte qui le pousse à parler mal en crachouillant sur les mots, cracra crachouille, bouguereau aime crachouiller, je crachouille, tu crachouilles un chouïa de cracradingue crachouillis, greubou crachouillons ensemble dans la langue du cracra niaiseux pour tordre le cou à la culture niaise germaniste crachouilleuse.

fan-club de bouguereau dit: à

ferme donc ta sale gueule keupu

JC..... dit: à

Et ta gueule, keupu, ça va ? Pas trop de frais d’esthétique chirurgicale ? …

JC..... dit: à

Bougboug,
je reconnais un immense courage à ton socialo-travailliste blaireux !
… Grimper une mémère conjugale, foutue comme sa pondeuse légale… faut le faire !

Jep Pimko dit: à

« lorsque nous étions enfants cette histoire nous terrifiait.
nous frissonnions sur nos chaises en nous serrant l’un contre l’autre lorsque nous entendions dans la pénombre sa voix de fauvette en murmurer les premiers mots :
« mon frère était tout jeune, il avait à peine vingt ans en 14 et pendant tout l’été il avait travaillé à l’hôtel Terminus à Cracovie. Quand l’armée russe se rapprocha il décida de rentrer à la maison, fit son baluchon et partit à pied sur les chemins. Il marcha ainsi des jours et des jours sous la pluie et le vent car c’était le début de l’hiver »…
 »

on croirait lire du Darrieussecq tellement c’est bien écrit.

on comprend que les historiens demandent un coup de main aux écrivains.

Jep Pimko dit: à

« êpêpêpe jicé..espèce de mauvais entrepreneur..mate celui là, un socialiss qu’est pas un trouillard comme toi »

socialiss trop cracra tes crachouillis, aimerais bien apprendre moi sissi à crachouiller dans la sissisoussoupe à crachouilles.

Polémikoeur. dit: à

Le petit message de 140 caractères max
sur José Giovanni est un scoop (ironique).
Milieu et collaboration, non, sans blague ?
Un peu Corse aussi, peut-être ?
Il semble s’être rangé des voitures
pour un second souffle de vie
assez réussi, plume à la main,
dans un genre qu’il devait bien connaître.
Aventueusement.

renato dit: à

Enfin, Dexter (à 12 h 30 min), c’est le dépassement du tragique grec. Ce corps qui n’a jamais réellement existé (« Toutes les actions humaines commencent par le violent, l’éphémère ; ce qui est calme, fondamental, ne vient qu’en dernier lieu »). Il a fallu Lessing, Burckhardt, Nietzsche, pour que le tragique grec se fasse entendre, et maintenant qu’on le dépasse vous vous plaignez ?

Quand keupu fait le trottoir... dit: à

le tri sélectif des déchets littéraire!!!

22, keupu, v’là le camion-benne qui s’amène ! Aïe…trop tard !

Jep Pimko dit: à

littérature française bien lissée de niaiseries bien niaiseuses, digne d’un pays expert dans les domaines théoriques de la laïcité, exemple donné au monde de l’expertise théorique de ceux qui savent tellement qu’ils n’ont plus besoin de dire qu’ils savent.
conjugaison moderne :
je laïcise !
tu laïcises ? non ? pourquoi le russe ? tu veux pas laïciser avec moi ? tu préfères me laisser à laïciser mes laïcités niaiseuses.
tiens le russe, prends! je te donne mon livre de Marie Darrieussecq sur la laïcité, et tous les autres laïcisateurs humanistes niaiseux.
lis donc le russe! et tu apprendras à bien te comporter dans le monde, à t’excuser quand tu marches sur le pied de ton voisin.
tiens le russe ! je te donne aussi le livre de Frédéric Vergès.

u. dit: à

Vu les 3 premières pages d’Arden, pour pouvoir faire le malin.

Le citoyen qui se cache sous le nom improbable de Pimko (c’est l’enseigne d’un pachinko à Shinjuku?) n’a pas tort.

Le genre litéraire est celui de la rédaction scolaire, mais porté ici par ce que nos maîtres appelaient « un excellent élément ».
(la classe et l’élément, le type… nos pédagogues étaient-ils russelliens?)

Mais comme le billet (qui ne saurait mentir) fait état d’exubérance, je suppose que cette belle tranquillité débouche sur autre chose.

(Je quitte les lieux, ravi d’avoir été pertinent, attentif, prévenant, littéraire. Bienveillant et fin, mon post est immunisé contre tout sucrage)

Jep Pimko dit: à

la littérature française apporte la preuve absolue que nous français connaissons l’Histoire !
nous la connaissons sur le bout des dix doigts de la main et aussi des dix orteils.

nous sommes les plus forts du monde ! le second est bien loin derrière, très loin, si loin que nous ne savons pas qui il peut bien être. le russe ou l’allemand? à moins que ce soit l’américain? ou le brésilien? qu’importe eux ne connaissent rien à l’Histoire.

nous français, seuls connaissons les misères de l’Histoire.
il nous faudra attendre encore un peu pour apprendre les misères du présent et celles du futur.

Polémikoeur. dit: à

Est-ce que la rentrée littéraire
fabrique son lot de laissés-pour-compte
dont certains échouent, entre autres,
sur le commentarium de la Rdl ?
Allez savoir !
Et leurs épandages sont-ils de nature
à expliquer leur envoi au purgatoire ?
C’est à craindre !
Délibérément.

u. dit: à

« nous français, seuls connaissons les misères de l’Histoire.
il nous faudra attendre encore un peu pour apprendre les misères du présent et celles du futur. »

Mais non, on les connaît, elles nous montent jusqu’aux cuisses.
Notre grandeur c’est de vivre au présent coiffés d’une perruque poudrée ou au contraire du falzar d’un sans-culotte en disant: « même pas mal ».

Jep Pimko dit: à

oui maître u. à l’évidence ce monsieur est encore un premier de la classe.
major de sa promo à khâgne, hypokhâgne, gengiskhâgne au lycée Louis Legrand Paris 8ème à 500 mille euros le mètre carré en habitation à loyer immodéré.

quel malheur que tous ces surdoués de la plume n’aient pas eu de pareils talents en d’autres domaines, comme le logement.

les loyers parisiens auront évolué au même ryhme que la niaiserie pédantesque de nos écrivains.

u. dit: à

Polémikoeur, vous ne manquez pas de toupet.

Osez-vous prétendre que nos posts nous ont été renvoyés par un éditeur?

Je suis atterré.

Jep Pimko dit: à

non! seuls ce qui connaissent les erreurs du passé peuvent éviter les erreurs du futur.

c’est pour cette raison qu’il nous faut encore apprendre nos erreurs du passé.
le seul problème est que le temps passe et les erreurs s’accumulent comme les nuages avant un syphonnage tropical.

n’a-t-on finit d’apprendre les erreurs de la première moitié du 20è s. que déjà nous voyons poindre celles de la première moitié de la seconde moitié du même siècle et ainsi de suite.

certains écrivains ont voulu attaquer les erreur des années 80, les autres ont dit hého! n’allez donc pas si vite ! à ce rythme vous allez finir par nous dépasser, ils les ont renvoyé derechefdegare en 45 !

par bonheur, certains de nos écrivains avancent plus vite que les autres, comme Darrieussecq qui vient de découvrir qu’il existait des individus blancs et des individus noirs, à ce rythme elle va finir par bientôt dépasser notre brave welbec.

renato dit: à

Ah ! la belle époque où chacun se croyait conçu par un intelligent créateur…

renato dit: à

« non! seuls ce qui connaissent les erreurs du passé peuvent éviter les erreurs du futur. »

Histoire magistra vitae ? Pfff ! en voilà un autre qui n’a pas lu Guicciardini.

bouguereau dit: à

Il a fallu Lessing, Burckhardt, Nietzsche, pour que le tragique grec se fasse entendre

ça n’attend pas, même pour un éditeur italote : au panier

renato dit: à

Tu manque de références, le petit célinien ?

Jep Pimko dit: à

seules nos erreurs du présent nous permettent de mieux comprendre nos erreurs du passé.

et seules nos erreurs du futur permettent de mieux comprendre nos erreurs du présent.

erreurs, erreurs, erreurs, toujours des erreurs… l’humanité ne se résume qu’en une suite interminable d’erreurs, et nos écrivains sont condamnés à courir interminablement derrière.

bouguereau dit: à

polémikeur s’exemptant en faisant le poête qui s’édite a compte d’auteur d’office..passe nous ton sel pour nos soupes fades et frouade..

renato dit: à

« Finiti gli errori è finito tutto », Dexter.
(Ennio Flaiano)

Polémikoeur. dit: à

Oser, oser, qui oserait parier
qu’aucun refus-de-publier
n’a jamais cherché
refuge ici ?
Refuge ou tribune.
Commentarium ou, pour certains, sanatorium.
Divangationnement.

Jep Pimko dit: à

nous avons la chance d’avoir en France un éminent spécialiste des erreurs humaines : Michel Onfray, il sait tout des platages, bévues et autres boulettes commises par des types pourtant dotés d’une rare intelligence.
à tel point qu’il en conclue que si des types aussi intelligents ont fait autant de boulettes seuls des surhommes suréquipés en surintelligence pourront les éviter, par bonheur c’est son cas : il ne s’est jamais trompé dans ses choix politiques, quand on est un spenglerien de gauche libertaire on a peu de chance de se tromper.
aussi invite-t-il tout le monde à devenir des spengleriens de gauche libertaire, pour le moment il n’y a que 20% de la population française qui ont rejoint son camp, il espère dépasser le cap des 60% dans 4 ans.

grâce à lui les étrangers n’ont pas fini de se foutre de notre gueule, et encre ils ne connaissent pas nos autres penseurs.

bouguereau dit: à

Ah ! la belle époque où chacun se croyait conçu par un intelligent créateur…

ha rénato..son père noel et ses années cinquante..on scroirait sur son site

Jep Pimko dit: à

la France tourne au ralenti dans tous les domaines sauf la littérature et la philosophie où, grâce à des écrivains comme Darrieussecq et Quignard, elle carbure à fond les manettes.

l’exception culturelle française tend à devenir de plus en plus exceptionnelle, elle n’a pas fini de nous étonner.

renato dit: à

L’humour, si ce n’est pas vulgaire le petit célinien il ne le comprend point.

Cela dit, vous savez Dexter, on se fout de votre gueule aussi à cause de vous ou du petit célinien : il y a un tel choix !

bouguereau dit: à

Refuge ou tribune

polémikeur..tu fais trop d’effort pour ne plus te rappeler le temps où t’aimais pisser dans lfeu des filles scout qui t’avaient invité..

Polémikoeur. dit: à

Ici, à l’auberge espassoulignole,
tout est en libre service
et même à volonté,
quels que soient l’appétit
et les manières des convives
et non, il n’y a pas de menu spécial
ni de carte à suppléments, tout le (petit) monde
qui vient là s’y râpe les fesses
sur les mêmes bancs
de bois brut.
Le plus drôle y est peut-être
justement le tortillement
des derrières poudrés
qui croient mériter
le velours d’un salon privé.
Kidordignement.

bouguereau dit: à

..zouzou? comment on les appelle déjà les filles scout..elles ont un nom spécial

bouguereau dit: à

des derrières poudrés
qui croient mériter
le velours d’un salon privé

oui je l’avoue jm’y frais bien poudrer..et réciproquement..tout honnêtome a de tel sentiment

Arno dit: à

« en voilà un autre qui n’a pas lu Guicciardini. »

Mais renato on s’en tape de ton Gucci, on s’en bat l’oeil,
arrête de faire ton LML,
oublie tes petits maîtres.

Amsterdamer jovial dit: à

« elles ont un nom spécial »

tu veux parler des guides,bouguereau ?

Amour toujours dit: à

« Cela dit, vous savez Dexter, on se fout de votre gueule aussi à cause de vous ou du petit célinien : il y a un tel choix ! »
renato

Là vous vous gourez grave toto, le seul dont tout le monde se fout de la gueule c’est vous.
Même TKT tenez, il est soutenu par baroz, et pourtant.

Polémikoeur. dit: à

Oublier ne se commande pas, chef éclaireur,
peut-être seulement une inattention soutenue
parvient-elle à laisser la poussière se déposer
sur un rayonnage choisi, peut-être…
Pour ce qui est de la mémoire,
le temps accomplit son œuvre
sans ordre apparent ni plan établi.
L’effort, croissant et pas toujours couronné, est plutôt généralement tourné vers la reconstitution
que vers la désintégration.
Synaptyssalement.

Les Jeannettes dit: à

Pour aider.

u. dit: à

« Refuge ou tribune.
Commentarium ou, pour certains, sanatorium. »

Et bientôt columbarium?
Misère…

bouguereau dit: à

voilà ! une guide.. j’en ai connu une..sniff.. souvenir ému!..c’était du temps où ils avaient pas des airs a changer de trottoir comme maintenant

Polémikoeur. dit: à

Chef éclaireur, peut-être faut-il chercher
du côté des (petits) noms d’oiseaux.
Toujourprêtement.

bouguereau dit: à

les éclaireurs c’étaient les cocos!..et ben je vais te dire..j’en ai connu aussi..pas si populo ni coco que ça dailleurs..non non je préfèrais les guides!

bouguereau dit: à

Toujourprêtement

trés joli!..(resniff)

u. dit: à

Les éclaireuses, j’essaie de comprendre…

La jupette?
Les socquettes?
La casquette?
Euh.. les couettes?

u. dit: à

La dînette?
Les gambettes?
Euh… la couette?

bouguereau dit: à

elles avaient fait un camp dans une espèce de décharge dans mon patelin..sans déconner, et à paques !..alors on allait faire des expéditions punitives quand elles étaient parti en promenade..la chef elle a du penser qu’on devait être des espèces de malheureux..alors un soir elles nous on invité autour du feu (reresnif)

Polémikoeur. dit: à

Les mouettes ?
Les trompettes ?
Les galipettes ?
Un autre (petit) nom d’oiseau, peut-être ?
Feudecampement.

Polémikoeur. dit: à

Indice : un p’ti oizeau
qui traîne près des troupeaux.
Bonactionnement.

bouguereau dit: à

Feudecampement.

on était beaucoup plus balaise qu’elles..on est aller chercher du bois qu’on savait où..et on leur a fait un feu qu’était pas de gonzesse..aprés on a chanté..la partie pas si chiante avec que des filles, et là j’ai fais sa connaissance..en ces temps là je couchais pas au premier coup attation..ni même au second..c’était tout un sacré boulot ! elle habitait à 15 bornes!

renato dit: à

@Amour toujours, vous vous gourez aussi car je ne me fous de la gueule de personne parce que, aux faits, je m’en fous. C’est le monde entier qui se fout la gueule de vous et des petits intellos aigris dans votre genre. D’ailleurs, vous-même, n’ayant pas encore abandonné le cocon du tablier maternel, vous êtes on ne peut plus ridicule.
Maintenant vous m’avez assez emmerdé, bonne journée.

Ah l'amour quand tu nous tiens dit: à

« Maintenant vous m’avez assez emmerdé, bonne journée. »

Et grossier avec ça le toto.
Grincheux et grossier, comme il remplit bien son rôle de nain de jardin.

renato dit: à

@bouguereau, tu donnes quel sens au mot « mémoire » ? cela t’échappe ? qui l’aurait dit venant d’un gars qui passe son temps en donnent des baffes au pot de chambre.
Bàt

Polémikoeur. dit: à

Merci de ne pas déranger la veillée en cours.
Trêveusement.
(Un nom d’oiseau qui commence par un b).
Binette ?
Bassinette ?
Bourdonnette ?
(Nimportequouette !).

Polémikoeur. dit: à

Non, pas bougueronnette !
(Ni bernache nonnette).
Lornitoglycérinement.

renato dit: à

« … il remplit bien son rôle de nain de jardin. »

Ce n’est point difficile quand on peut s’appuyer sur des benêts dans votre genre.

Pirouette dit: à

Comme je suis censurée sur le blog de Pauledel, (Popol pour les intimes), j’informe ceux qui se demandent qui est le « fienteux sus-nommé » : c’est moi, Pirouette, compagne de J.Ch., indésirable sur ledit blog ; j’avais osé écrire à propos des « frustrés de ne pas être édités » dans l’un de ses innombrables commentaires, qu’il y avait aussi une frustrée… piquée au vif !

Vide Thoma, vide latus dit: à

« en donnent des baffes au pot de chambre »

Toto, t’es comme saint Thomas : tu croyes que ce que tu voyes.

JC..... dit: à

Pirouette,
Bienvenue au Club des Censurés !
(être censuré n’est pas la garantie d’être intelligent ; être le censeur est la garantie de ne pas l’être !)

renato dit: à

« … tu croyes que ce que tu voyes. »

Vous ne croyez si bien dire, Monsieur, et encore, il arrive que je ne croie pas en ce que je vois — faux, artificiel, illusoire ; ou, banalement, trop stupide pour être vrai, ce qui semble être votre cas.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…aristo et réactionnaire la crème bourgeoise à la laitière, succulente,…de naïveté,…etc,…

JC..... dit: à

Je vous fait part d’un évènement insolite qui m’est arrivé ce matin. Les mains en porte-voix, je me suis écrié très simplement sur la Place du Marché noire de monde :

« J’ENTRETIENS D’EXCELLENTS RAPPORTS AVEC L’ILLUSTRE BOUGUEREAU ! »

En un instant, la Place est devenue déserte. Pourquoi fuir ? Les gens ont-ils eu peur ? Ont-ils mal interprété ma phrase ? Cela peut il se produire ailleurs qu’à Porquerolles …?

Cristobal dit: à

à JC, vous devriez faire cela lors de la Manif’ pour tous

Jep Pimko dit: à

à cause de ma gueule ?
censurer ? fermer sa petite gueugueule ?
la censure panpan sur le culcul ?
non pas pan pan culcul !!!

il faut être bien sage, propre, écriture Gallimard proprette sur elle, gueguele Gallimard proprette prof de lettres major de promo avec une belle cravate sur la photo.

gentils écrivains, bons humanistes laïcisés amour du prochain proche et lointain.
pas pan pan cucul, pas de censure Gallimard. le prix Goncourt pour gentils professeurs en fin de carrière, beau prix d’honneur déshonorant sur les misères de l’humanité blessée par tous les pan pan culcul, humanité censurée, bâillonnée, gentil professeur pas faire de mal à l’Histoire.
livres de bonté, si bonne bonté avec un petit sujet un petit verbe et un petit complément d’objet direct, tous à leur place, bien rangé, comme dans une commode les phrases comme des chemises bien pliées, sentent la lavande, elles sentent pas le pan pan cucul.

Jep Pimko dit: à

greubou le crachouilleur qui crache dans la soussoupe ?

ferme donc ta grande gueule greubou!!!

censuré le greubou sinon pan pan sur le culcul grosses fesses toutes rouges du greubou.

JC..... dit: à

Tonton Cristobal,
Les gens qui vont au marché ne sont pas animés de cette rude, puissante, divine, intention qui poussent les anti mariages-gay à considérer la négresse comme une diablesse vaudou …
Trop dangereux de jouer avec ces forces là, elles sont protégées au niveau supérieur, là haut dans le Ciel.

Jep Pimko dit: à

« Il y a toujours des critiques et des lecteurs pour y pointer un manque d’imagination, et il y en aura encore, ce qui révèle un manque d’imagination critique. »

ah bon? qui donc ? greubou ?
greubou c’est pas bien de critiquer les écrivains.
il faut censurer le greubou!!!

ta gueule greubou !!!

Jep Pimko dit: à

357 romans ?
357 comme nombre c’est bien, ça rappelle l’Airbus 357, ou le Colt 357 magnum.

Vidé, Thomas ? Vidé, l'as-tu ? dit: à

« ce qui semble être votre cas. »

Ah, Toto et sa comprenette, toujours un peu à latrines…à la traîne, scusi.
Attends, pars pas… Reste, je te dis ! V’là la version en rital ancien, pour que tu mordes bien l’astuce : « Credes quod vides » (« tu croives ce que tu vides »).

TKT dit: à

« la négresse comme une diablesse vaudou » écrit JC alias le catho D.bile:
Propos raciste et bêtissime qui devrait être censuré.
Vous voyez bien D. que vous êtes une montagne d’excrément non bio dégradable et malheureusement, ici pas de saine censure.

Pin pon ! dit: à

pan pan sur le culcul grosses fesses toutes rouges

Hamlet vient de couler une bielle sur l’A 357, prière de dégager la bande d’arrêt de toute urgence !

renato dit: à

« Credes quod vides »

Quelle astuce, Monsieur ? je vous ai répondu comme il convient. Ce n’est pas ma faute si votre culture n’est que bancale.

Jep Pimko dit: à

Chantal Thomas c’est la Stephane Bern de la littérature, elle connait tout de la vie des rois, des princes et des princesses.

il parait que son prochain livre portera sur les dessous de la Princesse au Petit Pois.

sûr que celui là je le lirai, de toutes les princesses c’est ma préférée.

Jep Pimko dit: à

désolé mon màcounet mais j’ai toujours été plus drôle que toi !!! même quand quand t’es au meilleur de ta forme et moi au plus pire de la mienne, c’est triste mais c’est comme ça.
tu peux te la jouer mais je suis plus drôle que toi ! et je serai toujours plus drôle que toi ! plus drôle ! plus drôle ! tu me fais à peine sourire, un tout petit demi sourire, une petite esquissette de sourire.
c’est drôle non ?

JC..... dit: à

Mon brave petit Thierry,
si je suis raciste et bêtissimme, sachez que vous n’avez pas besoin de moi comme coach : vous êtes dans ces domaines là, sous vos airs de faux-cul helvète d’apparence humaniste irréprochable, parfaitement au point !!!

Bête, et raciste, et sans la moindre noblesse ! Bien à vous, bolo alpestre !

Jep Pimko dit: à

qui a lu le dernier livre de Tristan Garcia ?
et qui, après avoir lu ce livre de Sergent Garcia, osera encore dire que la littérature française ne se tire pas une balle dans le pied?

Jep Pimko dit: à

« Une forêt de sensations, d’intrigues, de pistes, de sentiments, de parfums, de couleurs, d’émotions, d’érudition, d’allusions, de partitions musicales célébrant avec tambours et trompettes les noces du réel et du fantastique. »

c’est bien Monsieur Assouline !
vous clouez le bec une fois pour toute à ceux qui disent, par malveillance, que les profs de français ayant une tête de premier de la classe n’ont pas plus d’imagination qu’un oursin.

les prof de français ont autant d’imagination que les profs de maths ou de physique chimie.
il est d’ailleurs dommage que les lycées ne mettent pas à leur disposition des petits laboratoires avec des fioles, des erlens meilleurs, des burettes, des béchers, des éprouvettes et autres ballons à distiller pour faire de petites expériences…

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