de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Goûteux traité de miettaphysique

Goûteux traité de miettaphysique

Au fond, à y bien réfléchir, on pourrait le dire ainsi sans risque d’être contredit : l’humanité se divise entre ceux qui font des miettes et ceux qui les ramassent. La miette, tout le monde connaît. Inutile d’aller consulter le Littré : « Petite partie qui tombe du pain quand on le mange ou qu’on le coupe ». Mais une fois qu’on a dit cela, on n’a encore rien dit. Un monde s’ouvre. Car tout est une question d’échelle : « La miette du colosse est le quignon du nain ». Ceci étant, il faut savoir qu’on peut aborder la question de la miette soit sur le mode de l’angoisse (que faire ?) soit dans un esprit pratique (qu’en faire ?). Le dilemme est au cœur de Métaphysique de la miette (148 pages, 19 euros, Argol). L’auteur, Allen S. Weiss, ne nous est pas inconnu, et l’on se dit que ses étudiants de New York University ne doivent pas s’ennuyer avec lui ; mais son dernier livre, écrit directement en français, c’est dire à quelles extrémités le pousse sa francophilie, est assez différent par sa facture de son admirable Miroirs de l’infini. Le jardin à la française et la métaphysique au XVIIème siècle (Seuil, 1992).

Etrangement, Georges Perec est resté muet sur la miette dans sa Tentative d’épuisement d’un lieu parisien (Bourgois, 1975) alors que je puis assurer d’expérience que le pain des sandouiches s’émiette considérablement sur les tables du café de la Mairie, place Saint-Sulpice (VIème) où l’oulipien passa trois jours. Comment l’interpréter : indifférence ? rejet ? snobisme ? mépris ? On attend la thèse d’urbanistique sur l’absence de la miette dans la ville perecienne. D’autant que l’on a autrefois servi des crumbles dans cet ancien quartier général de Sempé, que le dessinateur déserta du jour où il constata que les chaises étaient enchainées les unes aux autres afin que nul ne trouble leur alignement. Notez que le crumble n’est pas cité avec désinvolture : c’est l’une des très rares recettes à la miette puisque, comme chacun sait, celle-ci sert surtout à farcir, encroûter, paner surtout : « Le véritable art de la miette, c’est le plat pané, ou la miette existe dans toute sa gloire » écrit M. Weiss pour mieux nous convaincre, croûte que croûte, que le panage est la seule manière d’apprivoiser ces petits riens ; on observera d’ailleurs comment le professeur parvient à élever la mystique de la panitude à des sommets insoupçonnés. On voit par là que la miette n’a pas d’existence gastronomique autonome, ce qui doit être dur à vivre en ces temps de revendication identitaire. On en a eu un témoignage il y a quelques mois lorsque des agriculteurs retraités ont envoyé quelque cinq cents lettres de doléances pleines de miettes de pain à l’Elysée pour faire savoir au président Hollande qu’ils en avaient assez de n’avoir que les épluchures des restes du gâteau.

Chemin faisant, il raconte des fragments de sa vie, des miettes si vous préférez, ses voyages à travers le monde, ses mésaventures, ses lectures, ses rencontres, ses visites d’expositions, bref, son allègre curiosité, mais en passant, jamais cuistre, avec l’air de ne pas y toucher, sans jamais se départir de cette légèreté qui est le sel de ce savoureux petit livre. Mais n’allez pas croire qu’il s’est contenté d’inscrire « miette » dans le moteur de recherche. Bien sûr, inévitablement, on a droit aux plus célèbres miettes de la littérature contemporaine, celle de la madeleine de Tom Proust :

 « Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d’un triste lendemain, j’ai porté à mes lèvres une cuillerée de thé où j’avais laissé s’amollir un morceau de madeleine. Mais à l’instant même où la gorgée mêlée de miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d’extraordinaire en moi » (Du côté de chez Swann, 1913)

Même si même si l’auteur a réussi à dénicher un site américain où Proust est dénoncé comme un faussaire, car aucune madeleine ne s’est jamais émietté après avoir été trempé dans du thé (ce qui est vrai, cela aurait plutôt l’effet contraire, sauf à croire, comme il nous le suggère, que la cuisinière n’avait pas mis assez de beurre dans la pâte), il a surtout puisé dans ses propres réminiscences littéraires et artistiques. Outre Artaud et quelques autres, il fait grand cas de poèmes que je n ‘ai jamais lus d’un auteur dont j’ignore tout : Connoisseurs of Chaos (1942) de Wallace Stevens. Il donne envie d’y aller voir, encore que la citation d’un vers particulièrement énigmatique doit émietter le cortex de celui qui s’acharnerait à le comprendre :

« Les faits grouillants dépassent l’esprit squameux ».

Mais il n’y a pas que les écrivains ; les philosophes aussi, mais rien sur les miettes de Kierkegaard ; et les peintres. Dubuffet pour ses matériologies ; plus récemment le plasticien Daniel Spoerri pour la mise en valeur des miettes dans sa fameuse Topographie anecdotée du hasard, précise description des objets se trouvant sur sa table ; et surtout le Chardin dont Les Apprêts d’un déjeuner l’aide comme aucune autre œuvre à pénétrer la miette dans sa profondeur ; mais pas les psychanalystes, bizarrement, malgré que le Maître y ait consacré deux pages dans sa Psychopathologie de la vie quotidienne (1901). La compagne de sa vie, qui tient une certaine place dans ce récit, qu’il l’appelle affectueusement la Lectrice, la Pulvériseuse, la Logographe, la Plumitive, l’Emietteuse, la Zizaniste, la Femme de Lettres, la Lectrice, ou la Dérangeuse, en est naturellement la dédicataire mais sous l’identité la plus inattendue qui soit : « A ma mie… »

On peut lire l’essai de M. Weiss comme un traité du chaos ambiant étant donné que le destin de toute miette de pain bien née est de se répandre en diaspora. C’est le cru du cœur d’un gastrolâtre qui sait ce que manger veut dire, et qui doit passer la moitié de son temps à faire le marché, et l’autre à cuisiner. Le tout est de ne pas se tromper de portes, ces innombrables portes qui jalonnent tant de rêves et dont l’auteur nous certifie qu’elles révèlent chez l’homme sa quête éperdue des toilettes.

On dira que tout ceci pèse de poids en regard des grands problèmes de l’heure, même s’il apparaît au fil des pages que la miette est bien la désolation du reste. Nous connaissons même un intellectuel qui, face aux problématiques soulevées par le délicieux opus de M. Weiss, lui répondrait droit dans les yeux : « Vous vous foutez de ma gueule ? ». C’est ignorer que, comme le disait déjà Bachelard, la conquête du superflu est spirituellement bien plus excitante que celle du nécessaire. Notre homme, je veux parler de l’auteur bien sûr, attention, pas frapper ! pas frapper ! est bien évidemment un maniaque. Il le faut pour établir une équation dédiée aux miettes ((surface x densité/temps), chercher le nombre d’or de la table de la salle à manger quand on s’apprête à dîner et haïr au-delà du raisonnable les couverts en plastique blanc. Weiss se défend en établissant comme un axiome que tout bon écrivain est au fond un maniaque. Ce qui n’est pas entièrement faux. Celui-là, qui passerait volontiers pour bordélique, tient que son désordre relève d’un certain ordre. Il est vrai qu’il appartient à l’école japonaise (culte de la dissymétrie) et non à l’école grecque (culte de la symétrie) de sa névrose obsessionnelle. Dans un cas comme dans l’autre, chaque chose doit être à sa place. N’allez pas imaginer pour autant que notre homme ne se nourrirait que de miettes à force de s’y identifier ; en fait, son emblème gastrobiographique est un chou, mais c’est une autre histoire, déjà racontée dans un autre livre où il apparaissait finalement comme quelqu’un d’assez chou.

On aura compris que la réussite de cet essai tient, non pas à son érudition, son humour, son absence de sérieux, son esprit décalé, son intelligence des hommes et des choses, ses rapprochements linguistiques (ah, volupté de la synonymie…) mais à tout cela lié par une écriture qui dégage un son des plus agréables. Il est si savoureux que l’on s’en voudrait d’en perdre, comment dire, une miette. En fait, si l’humanité se divise entre ceux qui rangent et ceux qui dérangent, cette méditation sur le destin de ces petites importantes nous invite, avec enthousiasme en ce qui me concerne, à rejoindre le camp des seconds, les dérangés.

(« Topographie anecdotée du hasard » , 1961, diagramme de Daniel Spoerri ; « Les apprêts d’un déjeuner » dit aussi « Le Gobelet d’argent », vers 1730, huile de Jean-Batiste Chardin, Palais des Beaux-Arts, Lille ;

Cette entrée a été publiée dans Philosophie.

902

commentaires

902 Réponses pour Goûteux traité de miettaphysique

u. dit: à

« Le goût de Cannes »

Son festival, ses écoles du Tabligh…
Son jumelage Sarcelles-Torcy-Cannes.

« Âgés de 19 à 25 ans, les onze gardés à vue à la sous-direction antiterroriste s’apprêtaient à lancer ce qu’ils appelaient leur «guerre contre la France». L’un d’eux considérant même l’affaire Merah comme la «bataille de Toulouse». »

Attention, JC.
Le port de la barbe peut être le signe d’une relative stabilité.
L’un de ces joyeux drilles, après avoir écrit un « Testament à Allah » (sic), s’était rasé.
«L’homme s’était coupé la barbe, signe habituel des martyrs juste avant le passage à l’acte», souffle un enquêteur. »

Au moins, ce n’est pas cette jeunesse désabusée et nombrilique que fustige notre ami ML. Pas des foutus post-modernes.
Ils sont clairs et courageux dans leur engagement.
« Sereins dans leurs propos, l’un d’eux a déclaré ne se référer qu’aux lois de la charia, incompatibles avec celles de la République ».

beiniette dit: à

écrit ici un jour que tu n’avais jamais rencontré de Juifs de ta vie ?
pour la symétrie le pendant de cette affirmation n’a d’égal que celle-ci non moins courante, bien avant ces temps de revendication identitaire « j’ai toujours su que j’étais juif »
les certitudes qu’on consent à interroger un peu , mais pas trop .
quant aux projections sur les filles, femmes , ce n’est pas plus réjouissant depuis les années « il n’y a plus de femmes » et les médicaments génériques

John Brown dit: à

JB, n’avais-tu pas écrit ici un jour que tu n’avais jamais rencontré de Juifs de ta vie ? (rédigé par Jacques Barozzi)

 »
Des Cigales pérore :
— Quand je vois un film, comme celui que nous venons de voir, je me transporte sur la toile par un acte en quelque sorte magique et en tout cas transcendantal et je me retrouve prenant conscience de moi-même en tant que l’un des héros de l’histoire à nous contée au moyen d’images plates mais mouvantes.
Les enfants se regardent.
— Par exemple dans celui qu’on vient de nous projeter devant les orifices visuels… Mais par exemple toi mon petit Jacquot lequel de ces personnages te croyais-tu ?
Jacquot hésite. Il trouve la question terriblement indiscrète et recule devant une telle confidence.
— Le type qui meurt à la fin ?
— Voui msieu.
— Et toi mon petit ?
— Moi-z-aussi msieu, dit Lucas.
— Eh bien moi, dit des Cigales, j’étais Daisy.
Et rêveur il suce un bonbon. Les enfant se regardent.  »

( Raymond Queneau, « Loin de Rueil » )

JC dit: à

«L’homme s’était coupé la barbe, signe habituel des martyrs juste avant le passage à l’acte», souffle un enquêteur.

J’ai toujours eu cette impression, en me rasant chaque matin, avant d’aller au boulot …

John Brown dit: à

Pour en revenir (une fois de plus) aux élucubrations anti-gombrowicziennes du sieur LML.
Peut-être que l’amour de la littérature (au sens large, j’y mets aussi bien — au hasard — Le Roy Ladurie que Corbin, que Primo Levi que Jean-Pierre Luminet que Schopenhauer que Nietzsche que Gombrowicz etc.) n’actualise ses innombrables vertus qu’à la condition d’une adhésion juvénile, naïve et quasiment inconditionnelle ( exception faite des réserves tendrement moqueuses qui sont celles de l’amour) à la façon particulière de voir les choses qui est celle de l’écrivain, à sa façon de traiter son sujet, et à ce sujet lui-même. C’est comme ça que je comprends cet éloge de la jeunesse qu’on trouve chez Gombrowicz : un mélange d’élan de curiosité enthousiaste, de goût effréné de l’expérimentation fantasque, et d’ironie blagueuse et joyeuse. « Quand vous parlez de lui, disait quelqu’un à une femme prise d’amour passionné, vos yeux brillent ». Eh bien, la littérature conserve-t-elle ses vertus si on ne parle pas d’elle avec les yeux qui brillent ? La seule critique qui vaille vraiment est celle que vivifie un élan de sympathie et d’adhésion intime. C’est d’ailleurs pourquoi ce billet d’Assouline est si réussi.

renato dit: à

Moi, Post-Ancien, je regarde d’un Olympe… c’est vrai, l’Olympe c’est une montagne à vaches, mais bon, on ne peut pas tout avoir, surtout s’il s’agit d’un Olympe domestique : on monte sur un escabeau ou tabouret et on scrute l’horizon… ou les horizons… Enfin, depuis cette hauteur, on peut évaluer et juger. Évidemment, les post-modernes sont avantagés “par rapport aux’’ pré-anciens pour ce qui est des relations entre les individus (drague et toutes ces choses-là), tandis que les pré-anciens sont avantagés pour tout ce qui est violence : tu prends un pré-ancien et lui donne le pouvoir et en moins de temps qu’il faut pour le dire, tous les post-modernes se retrouvent dans un champs de travail, mais le pré-ancien vous dira que c’est pour leur bien (rééducation) ou “par rapport à’’ une théorie… Pour finir, tu préfères descendre du tabouret, te préparer un Campari et rêvasser atour d’arbres généalogiques sans queue ni tête…

beiniette dit: à

Pur le dire simplement Mauvaise langue m’apparaît comme un homme qui s’est fait piéger à se raconter, avec ses élèves ses recherches ses passions , et ses identifications .Mais rien ne dit qu’il ne saura pas en tirer profit ,pour toutes ses pratiques .
comme l’écrit P.Assouline, pourquoi n’y a-t-l pas Freud? très exactement le genre de question auxquelles on se garder bien de donne suite, et ce n’est pas par malignité

beiniette dit: à

gardera
quant à mettaphysique, ce mot me rappelle trop une petite fille qui disait mimolette pour mobylette , ma première muse,et voyez vous elle habite maintenant au USA où l’un de ses premiers emplois a été dans une pâtisserie mais c’est une histoire trop personnelle pour la comédie du psy de la famille postfreudienne de blog ne vaut pas une miette de ses mots ses sourires , ses « folies » .
.

beiniette dit: à

pardon miettaphysique !

beiniette dit: à

le genre de questions .

renato dit: à

« ½ physique et ½ pas… ça vaut aussi pour les miettes ? »

C.P. dit: à

John, c’est parfaitement juste. Pour revenir à Gombrowicz, mes enfants, le garçon et les filles, ont lu « Ferdydurke » comme un texte aussi enthousiasmant que -ou parce que- largement ironique (l’immaturité n’en étant qu’un des thèmes provocants, cela aussi était très tôt souligné par Bruno Schulz).

Je suis intrigué par votre évocation de J-P. Luminet, qui a donné une belle préface aux travaux les plus récents d’un de mes gendres, le photographe Thierry Cohen.

beiniette dit: à

aux USA ,
cette jeune femme a travaillé aussi comme serveuse, avec son mari.Elle est née française, et son fils est américain (il es bilingue ) et joue du trombone .

beiniette dit: à

il est américain.

renato dit: à

Et encore Montale, avec en arrière-plan le souvenir de la mort de Isabelle Eberhardt…

Rebecca

Ogni giorno di più mi scopro difettivo:
manca il totale.
Gli addendi sono a posto, ineccepibili,
Rebecca abbeverava i suoi cammelli
e anche se stessa.
Io attendo alla penna e alla gamella
per me e per altri.
Rebecca era assetata, io famelico,
ma non saremo assolti.
Non c’era molt’acqua nell’uadi, forse qualche pozzanghera,
e nella mia cucina poca legna da ardere.
Eppure abbiamo tentato per noi, per tutti, nel fumo,
nel fango con qualche vivente bipede o anche quadrupede.
O mansueta Rebecca che non ho mai incontrata!
Appena una manciata di secoli ci dividono,
un batter d’occhio per chi comprende la tua lezione.
Solo il divino è totale nel sorso e nella briciola,
Solo la morte lo vince se chiede l’intera porzione.

JC dit: à

Beiniette,
ma question n’est pas sans intérêt : le bilingue joue t il du trombone à pistons, ou du trombone à coulisses.

Pour avoir tâté des deux quelques semaines, il me semble que le trombone à coulisse est infiniment plus jouissif.

beiniette dit: à

pour ceux qui raillent l’évocation de psycha alystes, je crois que marie Darrieussecq( En 1997, elle soutient sa thèse Autofiction et ironie tragique chez Georges Perec,) sut renvoyer un psychanalyste professionnel avec lequel elle avait envisagé de faire une analyse à ses fantasmes à lui.
il me semble que son mari est astrophysicien

beiniette dit: à

@JC dit: 6 juillet 2013 à 13 h 05 min
je ne doute pas un instant que votre remarque sinon votre question soit pleine d’intérêt : il se trouve qu’il joue aussi de la guitare, écrit des chansons et que sa mère a mis sur la toile la video du spectacle de l’école où il joue un morceau : elle a une formation « pub »en France, et sortit major de sa promotion etc: donc votre question estsurement pleine d’intérêt : je peux vous envoyer une histoire de trombones
http://www.slate.fr/story/56787/trombone-perfection

La mauvaise langue dit: à

Beiniette, pourquoi tenez-vous absolument à voir un piège là où il n’y a que spontanéité. Vous avez de ces repères…!

La mauvaise langue dit: à

JB, vous ne pensez pas que l’univers d’un écrivain engage aussi une vision du monde, bref des valeurs ? La littérature ne serait-elle qu’un jeu gratuit ?

John Brown dit: à

Je suis intrigué par votre évocation de J-P. Luminet, qui a donné une belle préface aux travaux les plus récents d’un de mes gendres, le photographe Thierry Cohen. (rédigé par C.P.)

Astrophysicien de haute volée, Jean-Pierre Luminet est aussi poète. Il a écrit d’excellents ouvrages de vulgarisation scientifique, dont « Le Destin de l’Univers » , publié chez Fayard en 2006 (c’est l’édition que je possède, je ne sais pas si elle a été actualisée depuis, car la recherche scientifique dans ce domaine avance rapidement).

La mauvaise langue dit: à

Manifestement, beaucoup ici ignorent que de nombreux juifs sépharades ont émigré en Pologne, dans le yidishland. Ma généalogie n’est bizarre que pour les ignorants de l’histoire des Juifs en Europe.

Les Juifs comme JB qui ne connaît rien à cette histoire, c’est hélas très fréquent en France.

La mauvaise langue dit: à

Quand Gombrowicz écrit que l’immaturité de la jeunesse vient dans son « structuralisme de la rue » en lieu et place de Dieu, ce n’est pas de l’ironie.

Quand il parle de « gueule », ce n’est pas ironique non plus. Une gueule, c’est fait pour être démolie, un visage pour être respecté.

renato dit: à

Bof, plus banalement on croit qu’il y a des gens qui s’inventent une histoire en ajoutant des bouts à mesure qu’ils trouvent quelque chose qui leur donne l’impression qu’ils sont ‘‘intéressants’’…

beiniette dit: à

La mauvaise langue dit: 6 juillet 2013 à 13 h 54 min
bizarre: n’est ce pas vous qui avez récemment écrit qu’un critique avait considéré tout récit comme un piège ?
je sais bien que la grande expression de philosophie pour la Chine c’et « sua sponte »au fait avez vous lu « les deux raisons »
Léon Vandermeersch, L’écriture folle, facette chinoise de l’extase lettrée.
je ne comprends pas votre passion de confidences sur la toile au risque de déchaîner des ouragans et des cyclones de fantasmes .
or le dispositif de la toile prête déjà à des extremités et P.Assouline en joue avec une
habileté consommée .
voyez ça qu’il n’y a pas telles pages de Freud qu’il pourrait indiquer lui Assouline avec la page et tout, et tout !
bon très bien bravo !et si l’on n’osait dire que le femmes dites autrefois juives en ont un peu marre aussi de toute cette comédie de « l’humour » et qu’elles ne rient plus du tout des ni avec les miettaphysiciens qui parlent d’elles et pour…. elles ?

beiniette dit: à

le titre :
« Les deux raisons de la pensée chinoise. Divination et idéographie
Auteur Léon Vandermeersch
Éditeur Gallimard
Pages: 208
Prix : 19,50 €
Niveau lecteur motivé
il y a de nombreux articles

beiniette dit: à

et si l’on osait dire que les femmes

La mauvaise langue dit: à

Beiniette raconte souvent n’importe quoi dans ses commentaires. Je ne sais pas si c’est un homme ou une femme. Mais il/elle parle souvent à propos de l’Ecole et de l’enseignement de la Shoah sans du tout savoir de quoi elle cause… Comme beaucoup d’ailleurs.

Quand je dis qu’il ne faut pas traumatiser ces chères têtes blondes, je ne parle pas au hasard. Je parle par expérience, pour avoir vécu au collège des tas de problèmes liés à l’enseignement de la Shoah.

Les gens sûrs d’eux-mêmes qui prétendent en remonter à ceux qui sont sur le terrain, ça a le don de m’irriter…

La mauvaise langue dit: à

Mais ça n’a aucun rapport ! Mais c’est qui ce beiniette pour tenir de tels propos inconsistants ? C’est le titre d’un livre fameux de Louis Marin, où il parle des fables de La Fontaine, des Mémoires de Retz, etc. N’importe quoi.

beiniette dit: à

c’est sua sponte (voir Jullien)

et bien sûr compte rendu dur le blog à Sollers sur les deux raisons

beiniette dit: à

sur zut de zut
mais le blog @ sollers et non de

La mauvaise langue dit: à

Et je ne vois pas pourquoi on n’aurait pas le droit d’injurier Gombrowicz ! Je ne vois pas pourquoi on ne serait pas justifié à s’en prendre à son cirque littéraire.

Cette espèce de condescendance académique devant les vieilles gloires qui seraient intouchables a je ne sais quoi d’infantile.

beiniette dit: à

cessez mauvaise langue , tout le monde peut avancer son papa sa maman,la Shoah: alors où en êtes -vous de votre oulpan ? avez-vous appris vos lettres en hébreu au moins ? combien connaissez-vous de familles qui habitent en Israël et un peu de leur histoire ?
qui ne saurait dire qu’il sait de quoi l parle sauf qu’avec un psy lettré juif (études diverses) professionnel de talent ça se passe tout autrement !rien à voir avec la RDL

beiniette dit: à

Mauvaise langue ,je ne vois pas pourquoi vous ne devriez pas injurier aussi Freud, avec votre lexique – freud que je crois, en mon nom,que l’on peut dire avoir été un génie de l’Occident et stratège de son école en sus (et Lacan dans la foulée)

La mauvaise langue dit: à

J’aime bien aussi JB qui se présente comme une sainte n’y touche, alors que ses propos outranciers défrayent la Rdl depuis des mois, et pas seulement la Rdl, il a provoqué à lui seul par ses délires la fermeture temporaire du blog de Paul Edel qui n’en pouvait plus.

Que d’hypocrisie tout de même chez ce JB.

En tout cas, c’est un juif typiquement français. Il a manifestement pas fait son travail de deuil de la Shoah, tout un parcours intérieur qu’il découvre on dirait, il découvre qu’un problème se pose. Ça va peut-être le modérer dans ses outrances. Les miracles sont toujours possibles…

La mauvaise langue dit: à

Je vous parle de Gombrowicz. Pourquoi tenez-vous absolument à ce que j’injurie Freud.

Mais ils sont vraiment drôles. On ne peut pas s’en prendre à un écrivain ici. On a d’un seul coup toute l’académie qui vous tombe sur le dos…!

Mais que le milieu académique soit conformiste, même et surtout avec la littérature carnavalesque postmoderne de Gombrowicz, c’est pas un scoop.

renato dit: à

Ah ! mon garçon ! qu’avez vous écrit pour juger Gombrowicz ? des romans, des essais ? oui, d’accord, quelques trucs qui vous vouliez nous fourguer comme poèmes… et une lettre comique à M. Jospin… pas une activité de romancier, donc, ni de critique, poète risible et lecteur mal équarri, laissez donc Gombrowicz tranquille et parlez-nous de littérature de gare… c’est tout ce que vous pouvez faire… et encore…

beiniette dit: à

mauvaise langue avez-vous fait des gateaux pour les enfants d’ un kibbutz dans un four de misère où il n’y avait pas plus ni moins de dieux que dans les poulaillers ?

La mauvaise langue dit: à

Manifestement Beiniette, vous ne comprendrez strictement rien à ce que j’ai écrit. Mais comme vous avez l’air très arrogante, il est peu probable que vous compreniez jamais de quoi il est question dans certains de mes commentaires. Vous êtes Française, quoi !

La mauvaise langue dit: à

Vous avez quel âge, beiniette ? Vous sortez d’où ?

La mauvaise langue dit: à

renato est parti dans son délire. Personne ne pourra plus l’arrêter.

sirius dit: à

« discuter avec LML, c’est manifestement quelqu’un (je ne dis pas un homme, je dis quelqu’un, car on n’est jamais sûr du sexe des anges avec ces pseudos, voyez Paul Edel, eh bien il y a quelque chose de féminin dans ses posts qui m’intrigue, me troublerait presque), »

On va te mettre au parfum JB, bien que tu ne le mérite pas. LML est bien entendu un hommme. Les anciens du blog connaissent tout de sa vie et des ses amours avec une artiste aujourd’hui disparue prématurément. Une très jolie femme, qui avait même publié sa photo en maillot de bain avec ML.

Quant à Paul Edel, nous savons qui il est dans la vraie vie…et quiconque a lu ses descriptions inoubliables des épaules des belles romaines sous son ancien pseudo d’opitz 43 (good old days!) ne peut douter de son amour d’homme pour les femmes.

Nostalgie, saudade, sehnsucht…Il faudrait expulser tous ces petits trouducs qui fréqentent le blog depuis à peine quelques mois et roulent des mécaniques au milieu de la cour de récré!

John Brown dit: à

JB, vous ne pensez pas que l’univers d’un écrivain engage aussi une vision du monde, bref des valeurs ? La littérature ne serait-elle qu’un jeu gratuit ?( rédigé par LML)

Je dirais plutôt que la littérature engage toujours des valeurs, mais qui ne sont pas toujours de l’ordre de la métaphysique et de la morale, et qu’elle reflète parfois une vision du monde,induisant le choix de valeurs, mais cela n’a rien d’obligatoire. La littérature n’est pas la philosophie, et d’ailleurs, même en philosophie, nous sommes apparemment sortis de la tyrannie des systèmes . Les écrivains « maîtres à penser » des années cinquante, les Claudel, les Sartre, Camus,Brecht ont disparu et, avec leur disparition, l’idée que l’oeuvre d’un grand écrivain doit défendre un système de croyances et de valeurs. Ces années qui voient leur disparition voient aussi la promotion d’écrivains dans l’oeuvre desquels la part du jeu, de l’expérimentation, est importante : Queneau,Ionesco,Sarraute, bien d’autres, Beckett bien sûr. « Mal vu mal dit », par exemple est pour moi une expérimentation littéraire envoûtante. Il y a toujours dans la littérature une part de jeu, mais de jeu gratuit, non; tout jeu est révélateur et porteur d’une part d’ombre. Une chose dans mon expérience de lecteur m’a toujours paru à la fois immédiatement évidente et pourtant troublante, c’est le fait de pouvoir admirer passionnément des écrivains qu’apparemment tout oppose. Ainsi, je suis un admirateur fervent de Claudel, dont les « Cinq grandes Odes » m’ont toujours transporté, dont « le Soulier de satin » me subjugue, en dépit de mon athéisme, et en même temps je considère « la Philosophie dans le boudoir » de Sade comme un des textes les plus étincelants de la prose française. Etc. Cette façon d’aimer la littérature est aussi ma façon d’aimer la peinture et la musique. Le résultat est qu’en littérature je n’ai pas de maître à penser, en peinture pas de maître à voir, en musique pas de maître à écouter. La vérité est plurielle. Nous errons dans un fascinant labyrinthe. Peut-être que, quand on est là-haut, on ne se demande pas si l’Eiger est plus beau que la Jungfrau.
En tout cas, s’il est une valeur-reine en littérature (pour le lecteur du moins), c’est la valeur-plaisir, et le temps qu’on s’y abandonne, le plaisir, quelle qu’en soit la source, n’est inféodé à aucune valeur. Or ce plaisir, c’est toujours celui de l’esprit, et,de toutes, la plus haute récréation, comme l’affirme et le démontre mon cher Schopenhauer.
De la poésie, Breton a écrit :
« L’étreinte poétique, comme l’étreinte de chair,
Tant qu’elle dure,
Défend toute échappée sur la misère du monde. »
Affirmation troublante qui, entre parenthèses, renvoie la poésie et la littérature « engagées » à leurs illusions.
« L’étreinte poétique »… Handke, Beckett, Faulkner, Gombrowicz… Tu penses bien que, tant que dure le plaisir qu’elle me donne, je me soucie comme d’une guigne d’y trouver d’autres valeurs que ce plaisir-là ou des confirmations de mes propres valeurs. Athée, je deviens catholique fervent avec Claudel, libertin avec Sade, mais toujours rêveur solitaire, avec Rousseau.
La littérature ? L’esprit et le langage portés au point d’incandescence. Le feu est plus important que ce qui l’alimente car ce qui l’alimente nous est commun à tous, mais peu savent faire flamber le brasier. Et quelle joie, quand ça flambe haut et clair !

renato dit: à

Tiens ! soulignes son incompétence et sa mythomanie serait un délire, pas mal…

La mauvaise langue dit: à

J’aime beaucoup le point de vue de Sirius décidément…

beiniette dit: à

là, vous devenez absolument crétin mauvaise langue ! pas un peit garçon un crétin . essayez de lire Alain didier weill qui n’a pas besoin de faire danser que un schéma de lacan!
oui j’ai la nationalité française , et je peux vous assurer qu’André Lwoff « n’hésitait pas dans la conversation ,à corriger ce qu’il considérait comme des fautes de français »

La mauvaise langue dit: à

Incompétence à quel propos ? Mythomanie, idem ? Renato n’aime simplement pas les gens qui ne sont pas comme lui et qui ne pensent pas comme lui. C’est ça qu’il appelle « incompétence » et « mythomanie ». Renato nous fait rire depuis des années maintenant, il participe du grand cirque. C’est d’époque.

beiniette dit: à

André Lwoff : »il passait au peigne finchaque publication qui sortait de son laboratoire,pour y chasser le mot impropre,la ponctuation mal placée le franglais surtout,alors en plein essor « 

La mauvaise langue dit: à

Qu’est-ce qu’il ne faut pas lire ici comme commentaire absurde et absolument sans intérêt. Je serais un crétin, a décrété Beiniette du haut de son arrogance ! infantile. Elle ne sait même pas de quoi il est question dans ma vie. Pauvre Rdl !

u. dit: à

La meilleure nouvelle de la semaine:

D’anciens musulmans ayant rompu avec l’islam lancent samedi à Paris un « Conseil des ex-musulmans de France » pour réclamer le droit de se dire publiquement athées et de critiquer leur religion d’origine.

Et ils se réfèrent au chevalier de la Barre.

Hourrah!

A côté de ce geste courageux, certaines entreprises de rejudéisation imaginaires (pas toutes) ne sont que peau d’zébi.

Ahlan wa sahlan!

La mauvaise langue dit: à

Oui, ok, j’ai compris, cette banette, c’est de la bouillie de chat passée par Lacan. Remballez donc vos gaules et allez à la pêche un peu plus loin… ça mord pas ici.

La mauvaise langue dit: à

L’avenir de l’Islam, c’est le Judaïsme. Ce n’est pas moi qui le dit mais un grand islamologue juif.

JC dit: à

Beiniette, vous avez le sens de l’humour et le goût du trombone de bureau : je préfère le son de ceux munis de pistons ou coulissants maniés avec bonheur par les nègres et les faces pâles du Village Vanguard.

Gombrowicz, je n’ai absolument rien lu de vous : un signe qui ne trompe pas ! Ne m’en tenez pas rigueur, on ne peut être parfait en tout…

renato dit: à

Enfin, Michel, vous êtes amusant. Votre mythomanie est une évidence pour qui a suivi votre manière de construire votre légende familiale. Quant aux compétences, bof… le même chemin…

La mauvaise langue dit: à

Ben si, JB ! Surtout Gombrowicz, un nobelisable ! Il engage des valeurs, une métaphysique, qui se définit à la suite de Nietzsche par la mort de Dieu, dont il tire les conséquences les plus radicales. Il participe de ce postmodernisme à tout va dont on voit aujourd’hui la catastrophe dans toute l’Europe.

La mauvaise langue dit: à

Qu’est-ce qu’elle a de mythomaniaque ma légende familiale ?

JC dit: à

L’apostasie est punie de mort par l’Alcoran – à chacun son mur de la honte. Voila du travail pour la Police républicaine : protéger les ex-musulmans !

On progresse. Lentement…

en vélo électrique qu'il dit: à

Et voilà l’effet raisin pas mûr

La mauvaise langue dit: à

En plus Gombrowicz était un féru de philosophie. Il avait une très grande culture philosophique au point que nombre de ses romans, de ses pièces sont souvent des parodies de pages de Descartes, Kant, Hegel, etc.

beiniette dit: à

danser sur un schéma !

La mauvaise langue dit: à

La Rdl draine pas mal de cinglés sur la toile, qui viennent se prendre au jeu, on vient de toucher Beiniette/Banette et ses miettes philosophiques. Je sens qu’on n’a pas fini de lire ses délires.

La mauvaise langue dit: à

JB n’a pas une conception très profonde de la littérature, c’est le moins qu’on puisse dire. Comme si la littérature ne transformait pas le monde de nos perceptions, restait sans conséquence anthropologique.

Montaigne modifie la représentation de la mort pour toujours.

Gombrowicz engage lui aussi une représentation de l’homme, de la société, des valeurs qui fondent l’humanité. Le lire, c’est dire ce qu’il en est. C’est aussi le critiquer.

Gombrowicz a toujours été au centre de polémiques virulentes.

JC dit: à

La DDR avait bâti son mur de la honte pour éviter que les allemands de l’ouest envahissent leur riante société… l’apostasie islamique, pour empêcher les croyants de ne plus croire des fadaises.

Nos nains progressent à pas de géants !

renato dit: à

« Qu’est-ce qu’elle a de mythomaniaque ma légende familiale ? »

Il faudrait vous relire de temps à autre.

La mauvaise langue dit: à

Soyons prudent, JC. Le fascisme vert a encore de quoi foutre le feu à la planète. Pour un Morsi qui tombe, dix sont prêts à se relever.

La mauvaise langue dit: à

C’est un peu facile d’injurier les gens à si peu de frais, renato. Moi, j’appelle ça des propos qui ne sont faits que pour blesser, sans aucune preuve. Et blesser les gens, c’est mal. C’est même monstrueux.

beiniette dit: à

lisez plutôt « la statue intérieure  » de François jacob ». et vous comprendrez peut-être ce que « jouer » veut dire pour des chercheurs dignes de ce nom

La mauvaise langue dit: à

Manifestement, vous voulez me faire lire toute votre bibliothèque avant d’engager le moindre dialogue avec moi… et sans même vous être soucié de quoi il est question. Vous êtes en effet une vraie cinglée. Mais c’est pas grave, ne vous inquiétez pas, on est habitué ici.

JC dit: à

Le Flaubert à gros noeunoeud par Winock, monstrueux… le gratouillis de Spoerri qui vous arrive en pleine gueule, sans prévenir … Léo Ferré et sa guenon, qui posent éternellement … j’en peux plus ! Il manque Joël Dicker, et sa trogne mal rasée, pour que le zoo soit complet. Heureusement, Blondin ! Bonne soirée…

beiniette dit: à

mauvaise langue, vous seul -de ce blog- savez les recherches que vous avez faites les documents écrits que vous avez pu lire sur votre famille parfois des miettes, et en miettes , outre les histoire qui vous ont été racontées. Ne vous laissez pas impressionner par les commentateurs de la Rdl ni d’autres pour les commentaires qu’ils peuvent faire sur le possible et l’impossible des rencontres et de ce qui peut se retrouver … rappelez vous le voyage de D.Mendelsohn

beiniette dit: à

mais non, mauvaise langue je ne comprends pas votre besoin de raconter vos histoires de famille sur ce blog !
quel dialogue cherchez-vous ? à propos de Gombrowicz….! : bon ce sont maintennt des histoires de critique sur ce blog : le ccuplet dans ma jeunesse ou mon fils est seconcaire .
Ce qui importe c’est que vous compreniez ourquoi vous racontez ici votre vie alors que certains doutent de l’existence de clopine qui a un blog tandis que d’autres ont écrit c’est moi clopine bref « nous sommes des jujuivres-allemandEs hystériques

renato dit: à

Comprenez Michel que je ne vous juge pas, ni ne conteste de vous inventer un passé intéressant faute d’un présent à la hauteur de vos espérances : tout le monde a droit à un minimum d’illusion — personne n’a jamais ris pour un voyage au Mexique que le Douanier n’a jamais fait… Simplement, en suivant l’évolution de votre légende familiale, on déduit que la partie inventée est très importante, et trop jouée pour être vraie…

La mauvaise langue dit: à

Mais pourquoi ne pourrait-on pas parler de ses histoires de famille juive ? Vous m’amusez. A lire les furies qu’elles déclenchent chez certains, il était pertinent de les évoquer ici. Ça a l’air de déranger beaucoup de monde. En plus, ici, sur ce fil, je n’en parle quasiment pas. J’ai simplement répondu à une de vos question sans du tout m’étendre sur ma famille. Je ne vois pas ce que vous avez tous. Vous devez être un peu malades pour vous poser de pareilles questions.

La mauvaise langue dit: à

Mais renato, vous êtes dans vos délires. Vous m’inventez des choses qui ne sont que dans votre tête. Je n’invente en plus rien du tout ici. Je parle de faits. Je parle très peu d’espérances, quasiment jamais. Ce n’est pas dans mon vocabulaire. Vous ne comprenez pas de quoi il est question, c’est quand même pas de ma faute si vous en faites en roman qui n’a rien à voir avec le mien. Vous êtes drôle, enfin façon de parler. Vous êtes surtout très ennuyeux, pas stimulant du tout pour l’esprit. Une sorte de rabat-joie désopilant à l’insu de son plein gré. Mais enfin, inutile d’épiloguer, nous nous sommes déjà tout dit, toutes les injures du monde ont dû y passer. Passons à autre chose…

renato dit: à

Bof, il est évident qu’il croit en ses inventions.

u. dit: à

« Ce n’est pas moi qui le dit mais un grand islamologue juif. » (ML)

Qui?

La mauvaise langue dit: à

A propos de Gombrowicz, je ne cherche pas spécialement un dialogue. De toute façon, on ne répondra pas ou on répond par des fadaises, ce qui revient au même.

On aime ici Gombrowicz et on n’aprécie pas du tout que je le range dans la catégorie malsaine des écrivains postmodernes, c’est tout. Je ne m’attendais guère à autre chose des bien pensants de gauche de la Rdl, de toute façon. Ce n’est pas avec ces gens-là qu’on peut engager un dialogue. Nous ne parlons pas la même langue…

La mauvaise langue dit: à

Eliezer Charki.

beiniette dit: à

une remarque mauvaise langue le psychanlyste Gérard Haddad dont la formation et scientifique et de lettré en choses juives n’est pas du tout contestee (et qui a -eu- un séminaire de traduction à Paris)avait créé une revue « littéraire  » en Israel sur fond de pensée lacanienne: il n’ a pas tenu et est revenu en France .
alors la RdL qui veut être plus juive que les juifs , plus lacanienne que les lacaniens d’école n’est pas du tout prête à supporter quelqu’un dont elle ne peut pas gérer « la pensée  » , le travail .

renato dit: à

Le postmoderne comme catégorie malsaine, il est vraiment comique ce garçonnet.

La mauvaise langue dit: à

renato, là où vous voyez des « inventions », il ne s’agit ici que de fait. Les faits pour moi, ça n’a pas vraiment d’intérêt, du moins ce n’est pas l’essentiel. L’essentiel ici je n’en parle jamais. C’est trop intime et personne ne comprendrait de toute façon. Et ça m’exposerait trop. On peut parler de tout mais pas avec n’importe qui. Quand j’écris c’est autre chose, l’écriture permet de se placer sur un autre plan. Mais de cela, je n’en parle jamais ici.

La mauvaise langue dit: à

Pourquoi comique ? C’est effectivement une nouvelle formed e fascisme le postmodernisme, du moins, ça peut virer tel. C’est pas drôle.

La mauvaise langue dit: à

La Rdl lacanienne ? Chacun voit midi à sa porte, hein. Vous voyez ce que vous voulez. Mais vous voyez des choses qui n’existe pas, c’est le propre des fous.

en vélo électrique qu'il dit: à

dracul, prof de 5éme qui a loupé l’agrégation, range Gombrowicz dans une catégorie, c’est fort de café

beiniette dit: à

mauvaise langue, j’ai entendu dire qu’il ne fallait pas montrer à un imbécile un travail qui n’est pas mené à son terme : il en va ainsi de vos recherches sur votre famille racontées sur ce blog ou de vos rencontres .
rien ne leur permet de savoir ce qui est confirmé par des papiers serait-ce un billet de chemin de fer .
or je vous assure que certaines personnes peuvent aller très très loin pour vous dépouiller de votre histoire de faille et substituer ses constructions !! même des psychanalystes que vous ne traiteirez pas de tdc alors qu’ils n’hésiteront pas à vous traiter de Tdc!
laissez courir !

en vélo électrique qu'il dit: à

« C’est effectivement une nouvelle formed e fascisme le postmodernisme, du moins, ça peut virer tel. »

Bon, à ce point LML ne sait même pas ce que fascisme veut dire.

La mauvaise langue dit: à

Je n’ai jamais raté l’agrégation. Je n’ai jamais pu ni la préparer correctement, faute de temps, ni jamais pu la passer effectivement. Mais j’ai eu par exemple une excellente note à l’épreuve de version que j’ai pu passer, 15/20. A l’agrégation, c’est une excellente note. Vous voyez donc que si j’avais disposé de temps, j’aurais très bien pu réussir l’agrégation. Vous êtes simplement médisant et méchant. C’est pas la peine de pousser votre refrain, on l’avait compris depuis longtemps… Bête et méchant, quoi, c’est tout !

La mauvaise langue dit: à

Mais si, je sais très bien ce que le fascisme veut dire. Lisez le dernier livre de Shmuel Trigano sur le postmodernisme, ça vous concerne.

en vélo électrique qu'il dit: à

Morire qu’il relit ses vieux posts…

beiniette dit: à

je n’ai pas dit que je le vois sinon comme un imaginaire collectif proclamé et qui en fait bander , même vous qui avez dit construire votre roman sur un schéma lacanien comme si c’était un gage de : mais de quoi au fait ?

renato dit: à

Gardez vos reference à 2balles pour vous mon garçon.

La mauvaise langue dit: à

Vous m’amusez, beiniette. C’est tout ce que je m’autoriserais à vous dire. Je n’ai nullement besoin de vous ni de quelque psy que ce soit. Vous n’avez pas compris de quoi il est question.

La mauvaise langue dit: à

J’ai jamais dit que je construisais mon roman sur un schéma lacanien. D’où tenez-vous cette fadaise ? N’importe quoi.

beiniette dit: à

mas vous n’aviez pas à parler de l’agreg mauvaise langue!
et maintenant vous dites une note ? mais laissez les « fantasmer » ! non très bêtes et très infantiles !

La mauvaise langue dit: à

Et je ne montre aucun travail ici ! Je ne sais pas où vous êtes allé chercher tout ça. C’est dingue.

La mauvaise langue dit: à

Je fais ce que je veux, je ne suis pas votre enfant. Mais vous vous prenez pour qui ?

renato dit: à

Tiens ! le « petit chéri » fa il risentito… oh ! poverino !

beiniette dit: à

vous l’avez écrit cette hsitoire de schéma sur ce blog ce que ‘ai trouvé doublement bizarre .
mais au fond vous avez bien raison vous dites que c’est la fin de l’ère « mes petits chéris » , assez joué! tout à fait d’accord, vous n’êtes pas notre tonton le merveilleux

La mauvaise langue dit: à

Ben bien sûr que je suis affecté. La connerie, ça affecte.

beiniette dit: à

Mais vous vous prenez pour qui ?
et vous vous prenez pour qui et pour quoi en faire ?

La mauvaise langue dit: à

Mais ça n’a rien à voir avec Lacan. Rien du tout.

u. dit: à

@ ML

Eliezer Sharki: inconnu au bataillon, sinon qu’il travaille pour le Ministère isr. de la justice.

Vous avez une référence?

La mauvaise langue dit: à

Mais moi, je ne vous donne pas d’ordre. Alors faites de même. Et n’allez pas greffer sur ce que j’écris vos obsessions. Mes miroirs n’ont strictement rien à voir avec Lacan.

La mauvaise langue dit: à

Eliezer ChErki.

La mauvaise langue dit: à

Il a fait une conférence sur ce sujet au coloque sur Jérusalem. C’était tout à fait passionnant. Mais vous ne connaissez pas.

renato dit: à

« Lisez le dernier livre de Shmuel Trigano… »

On éploie encore l’impératif pour donner des ordres, il me semble… ou pas ?

La mauvaise langue dit: à

Enlevez vos œillères, vous allez vous blesser bientôt. Pas de psychodrame ici.

La mauvaise langue dit: à

Oui, on éploie, on éploie beaucoup. Mais on sait bien que pour vous faire lire un livre, il faut beaucoup éployer d’efforts…

beiniette dit: à

personnellement je ne vous donne aucun ordre , mauvaise langue : je m’étonne que vous ne souveniez plus d’avoir dit que la structure sur laquelle vous écriviez n’était pas une fugue mais un schéma psy .
mais je ne le rechercherai pas sur le blog .
c’est ça une discussion infantile

renato dit: à

Je ne lis pas les sous-produits, petit chéri.

La mauvaise langue dit: à

Non, non, je n’ai jamais dit ça. Vous l’inventez sous nos yeux.

u. dit: à

@ ML

Eliezer ChErki.: idem.

J’ai naturellement beaucoup de considérations pour les islamologues israéliens (ils ont intéressés à être bons!), et j’en ai rencontré à Jérusalem et surtout Haifa.

A quel titre M. Cherki (ou Sherki) vous paraît être un « grand islamologue »?
Référence, please.

La mauvaise langue dit: à

Je n’ai jamais voulu écrire de fugue non plus. Vous le faites exprès.

u. dit: à

ils ont intéressés > intérêt

La mauvaise langue dit: à

Cherchez u. Si vous ne voulez pas qu’il soit grand, cela m’est complètement indifférent.

renato dit: à

« Non, non, je n’ai jamais dit ça. »
« Je n’ai jamais voulu écrire de fugue non plus. »

On se rappellera l’extraordinaire lecture du « Tristram »… par le petit chéri…

u. dit: à

@ ML

Votre site ne comprend pas, sauf erreur, de contribution d’Eliezer Cherki (qui parfois, pour votre gouverne, transcrit son nom comme Sherki: c’est bien le même).

Dommage, les raisons de cette surprenant intuition (l’avenir de l’islam, c’est le judaïsme) me resteront donc inconnues.

Je suppose que vous avez oublié l’argument?
Une miette ou deux, if you please.

La mauvaise langue dit: à

Non, je ne l’ai pas oublié mais d’une part c’est trop long à expliquer (il a pris une heure) et d’autre part, je ne vous trouve pas assez sympa pour me fatiguer pour votre pomme. Cherchez, il existe une vimeo de la contribution d’Eliezer Cherki, grand islamologue à Jérusalem. Il l’a entendu de la bouche de musulmans, en plus ! Mais il y a un fondement qui est lié à la l’orientation de la kebla et au changement d’orientation qui a eu lieu à une certaine époque.

beiniette dit: à

je n’ai aucun désir de participer à quelque chose comme l’instruction d’un procès contre mauvaise langue : cela m’apparaît comme une dérive qui n’est peut-être pas fatale des jeux- petits chéris /les nuls en assoulien – sur blog .
c’est d’une banalité!
les écoles de psychanalyse en ont inventé « la passe »
tout ça pour quoi et pour qui ?
envoyer quel miettaphysicien sur quelle nouvelle exoplanète ? ouexpoplanète ?
dites donc il n’y a pas que la miettaphysique en philo : dépêchez vous avant que P.Assouline en ait encore trouvé une ….
à la longue ça me barbe, ces familles !

u. dit: à

Le texte de Cherki a été publié par la revue Controverses, voici le lien:
http://www.controverses.fr/pdf/n17/cherki17.pdf

C’est un article très intéressant.
Il part du fait bien connu du changement de l’orientation de la prière (qibla) à l’époque de Muhammad, de Jerusalem d’abord à la Mecque ensuite.
Il montre la tension qu’on peut lire à ce sujet dans le texte du Qur’ân lui-même.
Rejet d’une racine judaïque, oblitération par l’histoire, histoire aujourd’hui nouvelle.

En revanche, comme vous lisez, comme toujours, avec une sorte de gloutonnerie minci-attalienne, vous faussez sa conclusion. Il ne dit pas (comme vous l’écrivez) « L’avenir de l’Islam, c’est le Judaïsme ».
Il espère seulement que cette histoire oblitérée puisse être relue en commun avec les Musulmans.
C’est très bien.

Mais il associe cette idée plutôt généreuse à une conclusion idéologique qui va dans le sens opposé, au prix d’un raisonnement paradoxal:

1. « … il existe une autre rencontre avec le réel, celui de la rencontre avec Israël, surgi du passé le plus lointain, Israël, l’ancien des mondes d’avant l’Islam, celui de la plus haute antériorité, Israël refoulé dans l’imaginaire anté-islamique, nié dans sa vérité, et qui surgit soudain sur la scène de l’histoire dans ce que M. Daniel Sibony a dénommé « le retour du spectre ». (Très bien !)

2. « Le premier mouvement est celui du refus, de la dénégation, de la volonté de meurtre. Celui de la dénégation : les juifs n’ont rien à faire à Jérusalem, ils n’y ont jamais été, le temple était une mosquée, le Kotel le lieu où Muhammad a attaché sa monture fantastique, Al Bouraq, etc. » (En effet).

3. « Conforter les Musulmans dans leur refus de considérer le caractère juif de Jérusalem en prônant la partition de Jérusalem, c’est les reléguer dans l’enfermement de la négation de l’autre – l’autre étant en l’occurrence la source, la racine de leur foi. C’est les enfermer dans un discours de guerre. » »

Ohlà !

La proposition 3 ne s’ensuit nullement logiquement des propositions 1 et 2.
S’il doit y avoir effort de relecture historique, il ne peut se faire par un accord réciproque.
Comment pourrait-on penser que laisser les Palestiniens habiter dans la partie Est de Jérusalem pourrait les laisser dans « l’enfermement de la négation de l’autre » ?
Pour les faire mieux reconnaître Israël comme une des racines de leur histoire, il faudrait les …éloigner d’Israël ?
C’est naturellement exactement le contraire qui est vrai.

Dans la conclusion de l’article, le savant passe la main à l’idéologue.

polder dit: à

Bonjour.
Bon, les années passent et je trouve qu’il y a, concernant les coms de LML, comme une impression de « surplace », de regrettable et réparable (tikkun olam!) stagnation. Aussi je me permets de suggérer à LML qu’il propose, à l’occasion, une contribution, sous son vrai nom, à Pierre Assouline, pour la rubrique Critique SDF.
LML a beaucoup contribué à l’intérêt de ce blog – je m’empresse de dire que c’est bien entendu la qualité des billets qui en font son attrait, et de loin.
Par exemple, on voit bien là que LML a une vision pertinente et dérangeante de Gombrowicz, et ce pourrait être un sujet. (LML va s’empresser de rétorquer, par modestie, que c’est inutile car tout ce qu’il dit sur WG est déjà bien connu, ce qui est possible, mais même si c’est le cas certaines choses peuvent être redites, que diable, et adaptées à un lectorat du monde d’aujourd’hui!)
(WG n’étant qu’un exemple de sujet parmi d’autres.)
Autre objection à prévoir de la part de LML : « je n’ai pas le temps car j’écris mon livre », à laquelle je rétorque : allons bon, le temps que vous passez ici pourrait certainement être utilisé à meilleur escient. (D’ailleurs l’un n’empêcherait pas l’autre.)
(Parenthèse : je me permets aussi de faire remarquer, fort méchamment, que lorsque LML nous dit qu’il a raté l’agrégation faute de temps de préparation, on peut tout à fait le croire. L’ennui est que tout porte à croire que ce temps manquant était largement utilisé, tout bonnement, à commenter à n’en plus finir, comme un vrai addict, sur la rdl.)
Bien à vous, dans l’espoir de lire de vrais textes de LML.

beiniette dit: à

Il ne dit pas (comme vous l’écrivez) « L’avenir de l’Islam, c’est le Judaïsme ».
vous montrez u ce que l’on appelle une intrprétation
de même ce n’est pas parce que P.Assouline a aimé ce livre , que les élèves se disputent les places pour profiter de l’enseignement de leur auteur.
Mauvaise langue répète qu’il n’est pas un enfant : c’est une remarque intéressante de la part d’un pédaogue qui ne s’est pas fait connaître comme ayant désiré-ou accepté- d’ être sinon le père du moins le « tuteur »d’un enfant .

hamlet dit: à

l’éditeur : allez me chercher Mardochée !!!
Mardochée : bonjour monsieur le Directeur vous me cherchiez ?
l’éditeur : assis-toi. c’est bien toi qui a écrit le livre de Jonas ?
Mardochée : oui monsieur le Directeur.
l’éditeur : tu l’as trouvée où cette histoire de baleine ? c’est encore une idée de ta fille?
Mardochée : non.. heu.. oui.. en fait non.. en fait oui.
l’éditeur : c’est l’ainée ? celle qui a 8 ans ?
Mardochée : oui monsieur le Directeur.
l’éditeur : bon, donc si je résume Jonas monte sur un bateau pour s’enfuir
Mardoché : oui c’est ça
l’éditeur : une tempête éclate
Mardochée : exact
l’éditeur : pour ne pas sombrer les marins jettent Jonas à la mer
Mardochée : c’est ça
l’éditeur : et là Jonas est avalé par une baleine
Mardochée : oui
l’éditeur : il séjourne trois jours et trois nuits dans le ventre de la baleine
Mardoché : c’est ça
l’éditeur : rappelle moi le prénom de ta fille ainée de 8 ans?
Mardochée : Jemima
l’éditeur : comme l’ainée des filles de Job
Mardochée : c’est exact
l’éditeur : rappelle moi, c’est toi qui a écrit le livre de Job ?
Mardochée : non c’est mon copain Moshe
l’éditeur : donc c’est ta fille Jemima qui a eu l’idée de laisser Jonas trois jours et trois nuits dans le ventre d’une baleine ?
Mardochée : oui monsieur le Directeur.
l’éditeur : et toi Mardochée ? je peux te demander ce que tu en penses ? trois jours et trois nuits dans le ventre d’une baleine ? ça te parait normal ? Mardochée nous sommes une maison sérieuse qui fait un boulot sérieux, je ne pas laisser cette histoire de baleine….

beiniette dit: à

de la part d’un pédagogue !

u. dit: à

« Je ne suis pas un enfant ».

ML a eu tort d’écrire cela, beiniette, c’est grâce au contraire à ce côté enfantin qu’il est parfois touchant.

beiniette dit: à

u c’et vrai qu’il est touchant, mais il n’a pas eu tort.il a voulus’affranchir du style des « recettes » , ce qu’il pratique lui-même à l’occasion, le « linguouistiti » du supérieur

TKT dit: à

Langue Moisie, vous devriez faire des fiches de ce que vous écrivez dans vos commentaires. Vous allez finir par nous raconter que vous n’avez même pas jamais penser de vous présenter à l’agrég.
Pour votre généalogie, comme on dit vulgairement, vous vous emmêlez les pinceaux. N’oubliez pas non plus, que vous vous aviez fantasmer des ascendances nobles, des ascendants juifs anoblis et puis partis vers la Pologne. À moins bien sûr que votre grand-père ait épousé une cousine, cette grand-mère déportée. Prenez une grande feuille de papier, posez là sur un mur et faites des tableaux de généalogie.
Votre patronyme, c’est bien le nom aryen de votre grand-père ?
D’autre part, votre mère n’étant pas juive, selon les lois vous êtes un goy. Que vous vouliez vous sentir juif est une chose, qui serait positive, si vous n’en faisiez pas le levain de vos histoires qui ne sont que des miettes bien incapables de former de la chapelure. Vous êtes une côte de porc panée dont la panure ne tient pas.
Quant aux juifs du sud immigrés en Pologne, ce n’est pas un scoop. Par sud j’entends aussi sud de la Méditerranée. C’est à dire après que les juifs quittèrent l’Espagne, et vinrent habiter ce qui est aujourd’hui le moyen-orient.
Le problème c’est que vos histoires n’ont pas de consistance, géographiquement et aussi socialement.
Quant au yiddishland, ayant lu une saga de juifs alsaciens, par un fils Debré, les juifs alsaciens, lorrains ou allemands, parlaient le yiddish en famille. Ce n’est donc pas une exclusivité des juifs à l’est de l’Oder.
Tenez deux mots de yiddish qui vous vont à ravir: Schlemihl et Schnorer. Que vous ayez fait de études supérieures (il y a 25 ans ou plus), ne change rien, vous avez aujourd’hui le cerveau imbibé d’alcool. Vous ne buvez pas ? Nous avons bien parmi nous un enculé vierge de partout. Alors pourquoi pas un alcoolique sobre ?
Quant à John Brown, il sait argumenter en apportant des exemples, ce que vous ne faites que rarement. Des deux, c’est peut-être lui le plus intéressant en matière de propos littéraires. Vous n’avez qu’un seul but, nous faire croire que vous êtes génial. Quant à la folie, si nous sommes tous un peu fou, vous, vous excellez, vous êtes dans le team de dingues de tête. HR qui assume, D. qui se croit normal et vous, un narcisse de comédie tragique.

beiniette dit: à

il yen a un qui doit vraiment souffrir aujourd’hui de ne pas avoir le bac et non plus à la place une conscience que la vie estautrement complexe que les simplismes q’il propose parce q’il a ppris a écrire narcissisme comme p.Assouline peut écrire yeah en tweet !
assumer est un mot qui était au pinacle en 1985 quand je suivais encore un enseignement où il fut abattu avec quelques psychanalystes et intellos qui se disaient libres et qui à la lumière des textes n’étaient que des affranchis .Un enseignant qui évoquait une aventure herméneutique plus proche de l’expérience talmudique » et qui faisait découvrir « un aspect méconnu de la nature liturgique de la question juridque: le temps circulaire à l’intérieure duquel se repère le mouvement des exégèse » .
c’est que je cherchais pour vous le citer le duobus , qu’il sont deux les principes
mais il est vrai que c’es U qui contrefait ici le mieux le français à toujours relancer sur le mode jouissance, à côté de quoi les cours sur « projection régression, narcissime » c’est vraiment du tacheron Haute péper version qui se la joue démo .

beiniette dit: à

à l’intérieur des exégèses ils sont deux
c’est vraiment U etc

C'est lui qui le dit. dit: à

en 1985 quand je suivais encore un enseignement (beiniette)

Ainsi vous avez « fait » des études, on ne dirait pas.

beiniette dit: à

cet enseignant était certainement un des chercheurs les plus érudits et connaisseurs en art et en hommes ! mais pas au point de réussir ses tours avec des talmudistes et érudits en mystique juive:il n’enseignait pas moins que les supposés autorisés et libres psychosaient (maniaco vous dites dépressif , non ? …) leurs émules

beiniette dit: à

Ainsi vous avez « fait » des études, on ne dirait pas.
ça c’est vraiment très gentil parce que certains commentateurs étouffent de culture .
ce professeur ironisa sur la pathologie propre auxérudits -comme lui- un jourqu’ilallait chercher, nous ditil un érudit à la gare. il s’était habillé d’un drôle costume de revenance je le compris plus tard , l’hypnose du transfert !

beiniette dit: à

nous dit-il wooow! hihihihi !

beiniette dit: à

d’ailleurs voyez-vous , ce qui me frappa, c’est combien j’avais apprécié un des livres de cet auteur alors que comme professeur , je comprenais trop sa pratique et il n’y avait pas beaucoup de pigeons !
plus tard, j’ai rencontré , par hasard de condisciples l’une française , fille de médecin amoureuse éperdue, une autre allemande mariée à un français qui pensait qu’il ne comprenait rien à l’allemand et à l’Allemagne : or il s’intéressait quand même beaucoup à la Shoah et avait une vie intellectuelle en Allemagne .
ça me frappa ces miettes d’après coup .

La mauvaise langue dit: à

TKT qui me fait la leçon au sujet de « ma » généalogie ! Que peut-on écrire de plus insignifiant que TKT à ce sujet. Il n’a toujours pas compris que le nom ALBA vient du fait que le duc d’Albe donnait l’autorisation aux Juifs d’Espagne de porter son nom en guise de protection. TKT est bête, on le sait ici depuis qu’il longtemps. Mon grand-père était Juif de Pologne russe, le russe était sa langue maternelle, et il portait ce nom qui n’est pas juif. Et alors ? Il y a de très nombreux juifs d’origine espagnole dont les descendants ont émigré au Maroc qui portent ce nom Alba. Par hasard, un jour, un Marocain m’a téléphoné pour savoir si j’étais l’un de ses amis juifs d’enfance. Mon père s’appelait Alba et il était juif. Je ne vois pas où est le problème. Tkt a la comprenette difficile, on le sait.A cause de ça il n’a jamais pu décrocher le bac, qui est le plus élémentaire des examens, et il prétend donner des leçons à quelqu’un qui a fait des études scientifiques et littéraires, passer des concours difficiles et qui est professeur. Mais de qui se moque-t-il ? Que de prétention, que d’arrogance mal placée ? Que de complexe d’infériorité en vérité, qui le conduit à chaque billet de Passou à s’acharner comme un malade sur sa tête de Turc, ML, comme s’il avait un compte personnel à régler avec son enfance. C’est Tkt qui aurait besoin d’un psychanalyste !
Oui, j’ai des ancêtres français qui étaient convertis au Calvinisme. Ils devaient être sans doute à l’origine des Marranes venus d’Espagne. Ils sont devenus Calvinistes et ils ont été anoblis en 1638 sous Louis XIII. Oui, et alors ? Quel est le problème. Ils ont fui ensuite la France et sont redevenus Juifs à Amsterdam où ils avaient déjà des cousins émigrés, il y a les preuves dans le livre de la noblesse du Périgord. C’est l’histoire de l’Europe : des Juifs venus d’Espagne, probablement marranes avant que l’Inquisition ne fasse des ravages, s’installent en France, se convertissent, deviennent nobles pas comme Juifs (mais le cas existe à Bordeaux, pas très loin) mais comme Calvinistes, sont obligés de fuir, chassés par la Révocation de l’Edit de Nantes, redeviennent Juifs à Amsterdam sous l’emprise de la ferveur messianique de la fin du 17è siècle à Amsterdam, émigrent ensuite encore vers Gdansk, puis probablement vers la fin du 18è siècle fuient encore plus vers l’Est à cause des guerres entre la Prusse et la Pologne pour se réfugier de l’autre côté de la frontière en Pologne à Raciaz. Oui, c’est l’histoire des Juifs d’Europe, c’est l’histoire de ma famille. Et alors, où est le problème.

Tkt veut absolument aussi que le rabbinat ait rejeté ma demande de me convertir au Judaïsme. Je ne sais pas où il est allé péché cette ânerie. Dans son esprit malade sans doute. Je n’ai jamais demandé quoi que ce soit à quelque rabbin que ce soit. Si je me converti un jour, je ferai les démarche. Ma cousine, dont le grand-père s’appelait lui aussi Alba, Abraham Alba, cousine tout à fait juive, qui a son fils aîné qui vit à Tel-Aviv avec sa famille, m’a assuré qu’elle connaissait très bien un rabbin qui accepterait volontiers de me convertir si je le décide un jour. Donc, je ne vois pas où ce pauvre Tkt est allé chercher ses informations. C’est un malade, un pauvre homme jaloux, qui bavent de prétention et de haine. A part ça, tout ce qu’il dit de moi n’est qu’un tissu d’âneries sans aucun intérêt. Si je parle de ma famille, c’est qu’elle est intéressante, et le reflet de l’histoire de l’Europe. Ceux qui ne s’intéressent pas à l’histoire de l’Europe ne sont pas obligés de la lire. Ils font ce qu’ils veulent et je fais ce que je veux.

La Suceuse Diplomée dit: à

Bonjour, « les petits chéris »,
la suceuse est de retour après quelques problèmes de connectique.
LML : êtes vous prête !!!.

Assez! dit: à

Il les a cherchés dans tes divagations dracul.

La mauvaise langue dit: à

Je n’ai jamais pu préparer l’agrégation parce qu’il est très difficile à la fois d’enseigner 18 heures par semaines devant des élèves de collège turbulants avec la fatigue, les copies à corriger, les cours à préparer, etc. et préparer les épreuves de l’agrégation consciencieusement puisque c’est un concours, il faut faire une préparation dans les règles, faire des travaux, rédiger des dissertations, des explications de textes, etc., se préparer à l’oral, etc. Or, je n’ai jamais pu trouver le temps de le faire. Mais l’épreuve de version allemande à laquelle j’ai pu participer montre bien que j’aurais très bien pu décrocher l’agrégation (dont je me fous par ailleurs comme test intellectuel, parce que ce n’est qu’un exercice de style auquel il faut simplement se conformer et qui ne veut pas dire autre chose). Je suis même parti une heure avant la fin de l’épreuve de version allemande que j’ai bouclée en trois heure et j’ai eu 15/20. C’est tout à fait excellent. Si j’avais pu préparer convenablement ce concours, je l’aurais eu mais je n’en aurais tiré aucune gloriole, et cela me m’aurait pas davantage autorisé de quelque façon que ce soit à parler avec autorité de Gombrowicz ou de n’importe qui. Si dans ce pays tout ceux qui parlent avec autorité de littérature devaient être agrégés, il n’y aurait que deux plés et un tondus sur la Rdl ! Il faut vraiment être tarés comme beaucoup ici (Tkt est un cas pathologique mais il n’est pas le seul) pour énoncer de telles âneries. Ce sont les âneries de Tkt qui sont inconsistantes, pas ce que j’écris ici de ma famille ou de mes difficicultés sociales à passer un concours que mes origines sociales modestes (mon père n’était qu’ouvrier) ne m’ont pas permis de passer normalement comme ceux ici qui l’ont décrochée. Ces gens de gauche devraient plutôt trouver à s’en prendre à la société au lieu de s’en prendre à moi. Mais on voit bien à les lire ce que sont devenus dans leur bouche les idéaux de gauche : de la haine, du mépris, de l’arrogance, beaucoup de suffisance. Et chez la plupart ici une jalousie dingue parce que, sans être agrégé, je tiens sur le blog des commentaires souvent très riches par leur contenu et leur pertinence critique, ce qui n’est pas pardonnable en France, comme l’a souvent écrit Passou d’ailleurs à propos de tel ou tel. On est en France avec la morgue et la bêtise française et une somme incommensurables d’âmes mortes.

La Suceuse Diplomée dit: à

Ah LML :
par devant, par derrière,
par la bouche,
et même se servant de leurs doigts de pied…
toujours partant.
Seriez vous urophile ???.

La Suceuse Diplomée dit: à

« âmes mortes. » ;
Oh crétin, laissez Gogol tranquille !.

La mauvaise langue dit: à

Des âmes mortes, oui ! Et vous en êtes…!

beiniette dit: à

mauvaise langue c’est bien la première fois que je lis ramassées, les recherches que vous avez faites .Ne vous laissez pas atteindre par le collectionneur si vous me permettez de vous dire que je me souviens d’un post où il manifestait son plaisir d’humilier publiquement .et du moins je crois que vous avez fait tout ce travail de recherche et de sens qui n’est pas facile , comme certains semblent le croire.
c’est effectivement ce que je pense, que nul sur ce blog n’a à essayer de vous influencer sur le bien fondé pour vous d’une conversion au judaïsme,et avec qui en discuter. vous donnez à comprendre combien cela peut-être complexe , tant mieux ! vos capacités intellectuelles peuvent vous aider à vous libérer de ces idiots
comme ce collectionneur qui se cherche encore dans les vedettes .
courage à vous mauvaise langue courage !

La mauvaise langue dit: à

En plus Tkt veut absolument que par les lois du rabbint, je ne sois pas Juif. Mais les lois du rabbinazt sont une chose, le fait d’être ou de se définir comme Juif en est une autre. Tkt ignore la complexité de la chose. De toute façon pour quelqu’un qui a eu du mal à décrocher son bac, il est évident que tout ce qui est complexe lui pose d’emblée des problèmes de compréhension. Il est avéré que se définir comme Juif quand seul son père est Juif (et pas sa mère) est tout à fait possible et très fréquent parmi la communauté juive de France Jacques Attali souligne même que statistiquement la moitié des Juifs potentiels de France sont dans ce cas. On peut aussi comme Jean-Claude Milner être dans ce cas et ne pas se définir comme Juif. C’est le cas aussi du fils de Serge Klarsfeld qui n’est pas juif au sens du rabbinat puisque sa mère est protestante et pourtant il se sent parfaitement juif, au point même d’avoir fait son service militaire en Israël dans une compagnie Druze. Et de nombreux Juifs d’Israël sont encore moins Juifs que moi (juif par un seul grand-parent) alors que je le suis par mon père. Être juif n’est pas seulement une question de lois rabbiniques. Tkt n’a pas exemple aucune culture juive, ils se définit tantôt comme Juif tantôt comme catholique. Il n’a vraiment rien de Juif. Être juif, c’est aussi une question de volonté, de culture, de référence, d’état d’esprit. Il ya mille et une façons de définir ce qu’est un Juif. Il faut être haineux et totalement intolérant comme Tkt pour harceler sans arrêt quelqu’un comme moi qui se définit comme Juif parce que tel est son choix de vie. Ça ne regarde pas du tout Tkt qui se mêle de ce qui ne le regarde pas en plus. Je me définis comme je veux et personne n’a rien à y redire !

La mauvaise langue dit: à

J’ai fait ce travail et cette recherche sur ma famille tout simplement à cause du silence de mon père sur sa famille juive. Tout les esprits honnêtes et bienveillants ici l’ont compris depuis bien longtemps. C’est une démarche qui n’a rien de bizarre. C’est celle aussi d’un Juif américain comme Mandelsohn avec ses ancêtres Juifs dans Les Disparus. Je ne vois pas ce que les malades mentaux comme Tkt peuvent avoir à y redire, sinon le désir maladif d’humilier les gens. En réalité, ils s’humilient eux-mêmes parce qu’ils ne voient pas que les gens normaux voient bien son petit jeu sadique et maladif, son profond complexe d’infériorité pour n’avoir jamais réussi à décrocher le bac qui est tout de même un examen hyperfacile où il suffit de bachoter pour l’avoir. Donc, il se venge sur moi de sa bêtise. C’est au fond le même tempérament qu’Hitler à qui il ne restait plus que la haine pour exister.

TKT dit: à

Alors c’est votre grand-père Alba qui était juif ? Et pas votre grand-mère ? Ou, ils étaient frères et sœurs ? Bon, et votre mère dans tout ça ?
Je récapitule, vous ne portez pas le nom de votre père ?
Le problème, albaUbu, vous devriez faire des fiches, que devient dans tout cela la noble famille de votre père ? Ou vous avez oublié cette fantaisie ?
Que voudrions nous, liseurs de vos commentaires ? Que vous mettiez de la logique dans votre généalogie fictionnelle, rien de plus. Pas que cela soit vrai, non, mais crédible.
Quant à l’histoire de votre famille, elle passe par celle de l’Europe, comme pour chacun de nous tous. Là, Albaschlemihl, n’insistez pas, l’Histoire ne vous appartient pas plus qu’à un autre.
Pour l’agrég et vos péripéties, vous devriez de pas vous contredire. Nous avons tous en tête votre histoire de métro raté, c’et tellement drôle, qu’il serait difficile de l’oublier.
Soyez content, vous êtes maître pour les classes de 5ème, vous auriez pu aussi rester en rade.
Je ne sais pas exactement quel est l’âge de enfants de 5ème, mais je crains (pour vous) qu’ils sachent déjà reconnaitre un prof fou d’un prof normal. Quand on est atteint comme vous, je ne peux pas imaginer, que vous puissiez donner le change en face d’élèves de 12-13 ans.
PS: L’histoire du refus des rabbins, c’est vous même qui l’avez raconté. Faites des fiches, Albadummegans. Le mieux c’est par ailleurs de raconter la vérité, le risque de ne pas se contredire est moindre.

La mauvaise langue dit: à

Mais les deux étaient Juifs, mon pauvre Tkt ! Les deux ! Le pauvre homme, qu’allait-il faire dans cette galère…?

Will dit: à

Ta gueule dracul.

La mauvaise langue dit: à

Je laisse tomber, parce qu’il est vraiment trop con, ce Tkt.

La mauvaise langue dit: à

Ben oui, métro non pas raté mais en panne.

La mauvaise langue dit: à

Non, vous l’avez inventé, l’histoire du rabbin. Je n’est jamais parlé de ça. Vous êtes cinglé, ça ne fait plus l’ombre d’un doute.

Will dit: à

Tu causes tu cause dracul et tu oublies tes délires.

La mauvaise langue dit: à

Et il cite trois mots de yiddish que tout le monde connaît pour se donner des airs ! M%ais vous ne voyez donc pas combien vous êtes ridicule, mon pauvre Tkt ? Sans doute que non, vous trop timbré pour vous en rendre compte.

La mauvaise langue dit: à

Non, u. C’est vous qui avez une approche très idéologique. Une approche très antijuive de Jérusalem. Je dis antijuive pour ne pas dire antisémite, mais je le pense très fort !

La mauvaise langue dit: à

En plus, u., Eliezer Cherki, sur la vidéo (que vous n’avez pas regardée manifestement au moment où vous avez posté) cite des musulmans qui voient le Judaïsme comme l’avenir de l’Islam. C’est lui qui le rapporte, il ne l’invente pas.

Will dit: à

Le seul antisémite ici c’est toi dracul.

John Brown dit: à

Comme si la littérature ne transformait pas le monde de nos perceptions, restait sans conséquence anthropologique.

Montaigne modifie la représentation de la mort pour toujours. (rédigé par LML)

C’est sans doute faire accorder une importance très excessive aux effets anthropologiques de la littérature et à l’influence de Montaigne. Bien sûr le battement d’une aile de papillon, dans le canton le plus reculé de la planète, modifie à lui seul l’ordre du cosmos, et le retentissement de l’oeuvre d’un écrivain égale sans doute celui d’une aile de papillon. Personne n’a pourtant vraiment besoin de Montaigne pour penser sa propre mort ni de Gombrowicz pour vivre les effets de la mort de Dieu. Innombrables consciences, innombrables voix, innombrables échos,innombrables formes, innombrables sens. Mais aucun sens ne s’impose, aucun sens ne l’emportera jamais. L’église interhumaine dont rêvait Gombrowicz n’existe pas, n’existera jamais. Il faut vivre jusqu’au bout la mort de Dieu, de tous les dieux.

La mauvaise langue dit: à

Mais pas du tout, JB ! Si un jour vous lisez la grosse thèse de Claude Blum, sur la représentation de la mort du moyen âge à Montaigne, vous vous en rendrez compte. De quelle méthode, en plus (pour votre gouverne) s’inspire Calude Blum, un de mes anciens professeurs de Nanterre ? Il s’inspire de Michel Foucault ! C’est Michel Foucault qui a mis en évidence cette archéologie du savoir, comme il l’appelle si justement. Ça ne vous avait manifestement pas effleuré l’esprit, tout JB que vous êtes…!

La mauvaise langue dit: à

Les textes modifient lentement nos représentations des choses. C’est une approche des textes tout à fait passionnante. Les cours de Claude Blum, qui est un très grand seiziémiste, étaient le fruit de l’archéologie du savoir, ils étaient passionnants. Et il aimait aussi nous raconter sa vie, comme j’aime le faire aussi ici. Il le faisait aussi vraisemblablement pour une autre raison, une raison épistémologique, parce qu’il y avait un lien évident entre sa thèse et ses problèmes d’angoisse intimes de la mort qu’il avait réglés à l’aide de Lacan. Son témoignage était aussi passionnant que ses cours.

beiniette dit: à

mauvaise langue ,même si j’ai quelques souvenirs laissez tomber, il essaie de vous meurtrir vous blesser , effectivement du dit du coup du bac et peut -être d’autres souffrances de famille mal cicatrisées.Il jalouse vos choix dans votre vie vos désirs de savoir, comprendre apprendre encore toujours .
vous êtes capable d’écrire vous êtes de façon suivie lisible par tous votre histoire! il n’en est pas encore là !
quand bien êe vous ne sauriez pas ecore un mot d’hébreu ni de yddish ce n’est pas la question et il n’y a pas à trop se laisser impressionner par les rabbins et leurs exigences non plus :choisissez la vie .

John Brown dit: à

Mais aucun sens ne s’impose, aucun sens ne l’emportera jamais. (rédigé par mézigue)

Aucun système philosophique, aucune croyance religieuse, a fortiori aucun écrivain n’a jamais fait réellement avancer d’un pouce qui que ce soit en ce monde dans la résolution des questions que sa condition lui pose. Tout reste en doute et le restera à jamais, jusqu’au jour où, la terre lui étant devenue un séjour irrespirable, l’humanité disparaîtra. Dans l’attente de cette inéluctable issue, relisons les pages lumineuses de Pascal qui,seul, a clairement expliqué les choses : la grande affaire est de se divertir. Seul le divertissement a réellement de l’importance.

La mauvaise langue dit: à

Il ne s’agit pas d’avoir une vision caricaturale de cette archéologie du savoir, JB. Les écrivains ne sont pas les causes des modifications de nos représentations. Ils sont eux-mêmes les fruits du milieu social, de l’époque à laquelle ils vivent, c’est évident. Mais ils sont la cause de ces modifications très sûr, c’est qu’ils les mettent en forme. Ce sont eux qui trouvent les mots.

Si, JB, votre représentation de la mort n’a plus rien à voir avec celle du moyen-âge qui reliait intimement la mort au péché : on ne meurt pas au moyen-âge parce qu’on est biologiquement vieux, mais parce qu’on est pécheur. Claude Blum analyse tout au long des siècles à partir du XIIè siècle comment la mort se détache peu à peu de la notion de péché pour se laïciser définitivement chez Montaigne avec le thème repris du moyen-âge mais entièrement modifié dans son contenu de la préparation à la mort (Preparatio ad mortem) qu’on trouve encore chez Erasme sous une forme qui n’est pas la forme laïque chez Montaigne.

Ma critique de Gombrowicz n’exclut pas son talent. Il ne s’agit pas de ça. Elle est au contraire une reconnaissance de son talent. C’est le fond que je critique par la Forme. Il a eu avant tout le monde de nombreuses intuitions qui sont aujourd’hui des sciences littéraires achevées comme le discours critique développé par Dominique Maingueneau sur l’influence des institutions littéraires dans une société donnée qui oriente la façon d’écrire. De même chez Bourdieu sur sa théorie des champs. Toute une science littéraire s’est développée depuis une trentaine d’années dont on trouve les premières approches dans Ferdydurke.

La mauvaise langue dit: à

Mais si, JB ! Le sens de la mort s’impose à vous : mourir c’est la conséquence d’un pur processus biologique. C’est ce que Montaigne a pensé pour la première fois au monde. Avant lui, personne n’avait cette représentation de la mort ; les gens de son époque pouvaient la vivre de cette façon, mais ils ne le savaient pas. C’est Montaigne qui l’a mis en Forme pour la première fois au monde dans le monde occidental.

renato dit: à

LML, vu les banalités que vous débitez à propos du postmodernisme, vous avez évidemment raté ce train. Quelques infos vous permettraient peut-être de comprendre quelque chose du réel… enfin, dans les limites du possible… ce qui n’est pas une mince affaire… et incidemment de ne pas lâcher de grosses conneries…

(Éventuellement : Linda Hutcheon, « A poetics of Modernism: History, Theory, Fiction » ; Londres et New York, Routledge, 1988)

John Brown dit: à

Mais pas du tout, JB ! Si un jour vous lisez la grosse thèse de Claude Blum, sur la représentation de la mort du moyen âge à Montaigne, vous vous en rendrez compte. De quelle méthode, en plus (pour votre gouverne) s’inspire Calude Blum, un de mes anciens professeurs de Nanterre ? Il s’inspire de Michel Foucault ! C’est Michel Foucault qui a mis en évidence cette archéologie du savoir, comme il l’appelle si justement. Ça ne vous avait manifestement pas effleuré l’esprit, tout JB que vous êtes…! (rédigé par LML)

Est-ce que je le conteste en quoi que ce soit ? Battements d’ailes de papillons… Voyons, que m’importe à moi qui vais mourir ce qu’en pensent Claude Blum, Michel Foucault et Montaigne ? Je ne nie pas que ce qu’ils en disent soit fort intéressant, et même je me promets de les lire. Mais ma mort à moi, si je n’ai nul besoin pour l’affronter des secours de la religion, vous pensez bien que Michel Foucault ou Montaigne… Ma mort à moi, ce n’est pas une affaire de culture, ce n’est même pas l’affaire de mes mots à moi.

La mauvaise langue dit: à

Mais si JB ! Le monde évolue en fait par deux processus : un processus mental, celui de nos représentations ; les écrivains y jouent un rôle majeur. Un autre cas passionnant est celui de la famuse lettre de Pétrarque à son confesseur augustinien où il parle de la réalité pour elle-même. C’est précisément saint Augustin qui l’avait rendu impossible parce que le réel devait ne renvoyer qu’à Dieu. C’est bien pourquoi Pétrarque parle de ce problème à son confesseur. Cette lettre de Pétrarque est la première mention dans la littérature occidentale d’un intérêt pour le réel en tant que tel, et elle est reconnue pour ça.

La mauvaise langue dit: à

Si, votre mort à vous, est une affaire de culture. C’est ça qu’a changé Michel Foucault au XXè siècle, c’est son apport essentiel à la pensée.

La mauvaise langue dit: à

Quasiment tout d’ailleurs est une affaire de culture, pas seulement nos représentations, mais aussi nos émotions qui ont une histoire archéologique elles aussi. C’est tout le travail passionnants des nouveaux historiens en France comme Alain Corbin et son école d’histoire.

La mauvaise langue dit: à

Nietzsche d’ailleurs déjà en avait une intuition très forte. C’est toute sa pensée déconstructive et déconstructionniste avant la lettre qui l’a conduit à ce genre de considération. Gombrowicz est l’héritier de ça. Il le radicalise et le pousse à la parodie carnavalesque. Mais ce faisant, il engage une vision de l’homme, des valeurs, de la société, dont il est responsable.

La mauvaise langue dit: à

L’autre processus de modification du monde, c’est l’évolution des outils. Un monde avec la technologie d’aujourd’hui n’est plus du tout le même.

Nos représentations sont des outils aussi, des outils mentaux à tisser du sens dans le monde.

La mauvaise langue dit: à

JB, sans vous offenser, je ne crois pas que vous ayez compris quoi que ce soit à ce que j’ai essayé de vous expliquer de nos représentations. Tant pis.

La mauvaise langue dit: à

Gombrowicz n’a pas changé grand-chose à nos représentations. Ils sait simplement se jouer d’elles en un grand guignol des Formes. Il fait grincer la machinerie mentale des représentations. Mais il n’en invente pas de nouvelles. C’est une idole du postmodernisme, c’est tout. Et comme toutes les idoles, elle sera abattue un jour, quand de nouvelles représentation du monde l’auront rangée au magasin des vieilles défroques. Mais nous n’en sommes pas encore là. On contemple à travers lui encore notre effroi.

beiniette dit: à

Nos représentations sont des outils aussi, des outils mentaux à tisser du sens dans le monde.
oui!
et il est très triste que l’on soit obligé de passer sur ce blog par un tel défilé de dénis et d’insultes pour arriver à ces miettes.
mauvaise langue ils ne sont pas prêts pour ce travail passionnant.

La mauvaise langue dit: à

Sans doute que non ! Déjà Màc me le disait, en me disant que je ne me rendait pas compte que ce que j’écrivais n’étaient pas à la portée des intervenautes de ce blog. Mais je pense qu’il faut quand même essayer, même si c’est, le plus souvent, pour recevoir un coup de poing dans la gueule virtuel. Les ignorants n’aiment pas qu’on leur enseigne quelque chose. Comme me disait un jour notre inspecteur en réunion avec mes collègues à Drancy : il faut comprendre que l’enseignement est une forme de violence.

Je crois qu’on en est là en effet du déni de savoir dans notre société postmoderne. Moi, fils d’ouvrier, je n’ai jamais ressenti l’Ecole et le savoir comme une violence. Bien au contraire. Plus on m’en donnait à bouffer, plus j’étais heureux et j’en redemandais. Mais tout le monde n’est sans doute pas comme ça. On est à l’époque de la téléréalité où on considère que les nuls doivent aussi avoir leur place, on les fait même défiler dans les défilés de mode maintenant pour se faire du fric sur leur dos : Allô, mais allô !

renato dit: à

« …ils ne sont pas prêts pour ce travail passionnant »

Mais c’es vous qui êtes en retard sur un argument déjà vieilli… et Michel n’a même pas encore passé le seuil du XXe… pfff…

La mauvaise langue dit: à

Et je constate heureusement que mes bons élèves sont aussi comme ça. Une expérience cette année dans une classe de 4è que j’avais. Devant les difficultés de cette classe, la pricipale a décidé de partager en deux la classe pour certains cours de français comme le cours d’explication de textes. La moitié de la classe constituée d’excellents élèves abattait dix fois plus de travail et on approfondissait considérablement l’analyse des textes avec elle, tandis que l’autre moitié allait à la vitesse d’un escargot. Mais comme ces élèves-là n’avaient pas l’humiliation de voir que d’autres comprenaient tout alors qu’eux ne comprenaient pas grand-chose, les tensions dans la classe ont diminué, et les agités pathologiques se sont un peu calmés, pas complètement, certains cas sociaux n’étant plus de notre compétence comme l’a dit la principale. Mais un seul élève de ce genre vous bousille toute une classe. Là, en coupant la classe en deux on a limité les dégâts.

Jacques Barozzi dit: à

On dirait une réunion de copropriétaires dont l’ordre du jour est de chasser le locataire ML !
Pour quel motif ? Trop bruyant ? Ne correspond pas aux normes requises ? Pas suffisamment sociable avec ses voisins ?
Son bail pourtant est l’un des plus anciens et il participe généreusement aux charges locatives.
Incontestablement, il contribue à l’animation de la résidence.
Son expulsion serait une perte sèche, créerait un vide, ferait naître un manque.
Personnellement, je vote pour son maintien dans la communauté.
Et vous remercie au passage de m’accepter parmi vous, malgré mon ignorance du moindre mot d’hébreu et de yiddish.
Shalom, salam, salut à tous !

C.P. dit: à

Michel, vous êtes ici moins négatif à l’égard de Gombrowicz que vous ne l’étiez. Ce sont les adjectifs « nul » et « fasciste » par exemple (son ami Schulz a été abattu par un officier de la Gestapo, vous le savez, et la fin de Witkiewicz est triste), qui m’avaient choqué. Je doute aussi que WG soit le parrain baroque (en 1938 !) d’une jeunesse que vous jugez affreusement postmoderne.
Evidemment, je me sens proche de John Brown, et trouve toujours vivant « Ferdydurke », et plus encore le théâtre de Gombrowicz. Mais vous avez parfaitement le droit de critiquer, … et d’argumenter à cet effet. J’ai revu et ré-entendu le document que vous connaissez sans doute : l’entretien critique de Michel Polac, Dominique de Roux et Michel Vianey avec Gombrowicz, peu avant la mort de celui-ci. Il est assez intéressant, il n’est pas complaisant (Vianey en particulier est aussi réticent que vous sur ce que vous appelez « le fond »), mais il est incomplet et insuffisant. L’idée dePolder est donc bonne. A vous de voir…

P.S. Sur l’agrégation, dont je ne parle jamais, je vous défends bien volontiers. Ce n’était pas un concours difficile à mon sens, mais il réclamait en effet -et réclame encore sans doute – du temps libre. Et un certain « formatage ». Sur ce point, je suis en accord avec DHH, bien sûr.

La mauvaise langue dit: à

Non, je n’ai pas changé à l’égard de Gombrowicz. Simplement j’ai eu le temps de compléter ce que j’avais écrit. Je pense toujours que le contenu est fasciste, il réunit du moins les conditions pour le fascisme . L’adjectif « nul » était simplement polémique.

Je ne vois pas le rapport avec Schulz ni avec la fin tragique de Witkaci, cela dit sans vous offenser. Il ne s’agit pas de ça du tout dans mes commentaires. J’ose penser que vous en êtes bien conscient quand même.

Il est toujours de toute façon très difficile de se faire entendre ici.

Flash cuculturel dit: à

Allô, non mais Allô quoi

La vérité sort de la bouche de Nabila. Il faut savoir que ‘Allô’, prononcé quotidiennement tant de fois, est un canular. Le grec ἀκούω (j’entends), altéré par assonance avec le latin aqua (l’eau), a conduit auditivement à signaler j’écoute par Allô.

La mauvaise langue dit: à

Vous m’avez compris tout de travers, CP, comme souvent.

Je parle de la jeunesse d’aujourd’hui, pas de celle de 38. Je parle de la déglingue de la jeunesse d’aujourd’hui comme conséquence de ce que Gombrowicz comme d’autres ont mis en place en leur temps.

La critique de l »Ecole comme reproduction de Bourdieu, on voit où ça mène aujourd’hui. Michel Foucault de même a contribué à détruire l’Ecole. Il en parle d’ailleurs comme un lieu anomal de la société dans un texte des années 70 publiés dans Dits et écrits.

Non, vous n’avez pas compris ce que j’ai écrit.

La mauvaise langue dit: à

Même mes élèves de 4è m’ont parlé de Nabila. Ils étaient effarés de voir ça ! C’est par eux que j’ai pris connaissance du phénomène Allô, quoi !

Dialectique dialogique dit: à

Oui enfin signalons quand-même que le TLFI, qui est une autre référence que Flash Cucu, donne pour Allô :

Étymol. ET HIST. 1880 appel au téléphone, interj. (Témoignage oral enregistré en juin 1906 par le Bull. Assoc. abonnés au téléph. d’apr. Dauzat ds Fr. mod. t. 6, p. 21); 1881 (DU MONCEL, Lum. Électr., t. V, 432 ds BONN. 1920 : Après avoir crié Hallo, Hallo, on prévient l’abonné qu’il est invité à entrer en correspondance avec tel numéro).
Empr. à l’anglo-amér. (premiers téléphones fr. importés des U.S.A.) hallóo de même emploi, attesté sous la forme helló en 1889 ds DAE 1938, en 1895 ds NED; spécialisation d’emploi de l’angl. hallóo interj. « an exclamation to incite dogs to the chase, to call attention at a distance, to express surprise » (dep. Shakespeare), prob. var. de hállow subst. « id. » (dep. 1440; fréq. terme cynégétique : 1576, G. DE TUBERVILLE, The Booke of Hunting, 32 ds G. TILANDER, Nouv. essais d’étymol. cynégétique, Lund, 1957, p. 94), dér. de to hallow « to chase or pursue with shouts » terme cynégétique (dep. ca 1340, NED); to hallow empr. à l’anglo-norm. halloer « poursuivre en criant » terme cynégétique (1160, Vie de S. Gilles; à rapprocher de l’a.-sax. halow « crier ». Fr. allo par chute de la spirante initiale. L’hyp. selon laquelle allo, serait une déformation volontaire de allons (Dauzat ds Fr. mod. t. 6, p. 21 et ds R. de Philol. fr., t. 34, p. 90) est improbable); allons prononcé en 1880, n’a été qu’une déformation passagère de halloo; la forme hallo de 1881 confirme cette hyp.; hallo est d’ailleurs appel téléphonique commun à l’angl., l’all., le suédois. BONN. 1920, 2-3; MACK. t. 1 1939, p. 242.

La mauvaise langue dit: à

Moi qui suis fils d’ouvrier, je n’ai jamais ressenti ni compris l’Ecole comme reproduction de la bourgeoisie. Tout au contraire. Dans mon adolescence, l’école a été à mes yeux comme à ceux de mes copains bourgeois un formidable outil de critique de la bourgeoisie.

Je m’en prend au fond chez Gombrowicz. Il ne me fait pas rire. Je ne suis jamais complice de ses grimaces et grincements. Je le dis comme image effroyable de notre société postmoderne. Comme un symptôme de la fin d’un monde. Mais je n’en ferai jamais l’éloge. Je ne l’admire pas.

La mauvaise langue dit: à

…je le lis comme…

u. dit: à

@ ML, puisque vous êtes à l’honneur (bravo)

Je suis scrupuleux jusqu’au masochisme et j’ai regardé la vidéo de Cherki.

Je ne retire rien sur les qualités.

Mais elle n’ajoute rien à l’article, pour ce qui est des perspectives d’avenir.
Il n’est pas question (contrairement à ce que vous suggériez) de dialogue concrets avec des Musulmans vivants sur le statut religieux et politique de Jérusalem.

Les Musulmans sont, comme je l’ai dit, invités à ceci: 1) retrouvez une de vos racines qui est judaïque (mille fois d’accord); 2) et pour réaliser cette nature intrinsèquement « juive » de Jérusalem qui n’existait plus quand vous avez conquis cette ville byzantine, eh bien, partez!
Une Jérusalem devenue intégralement israélienne vous aidera (de loin) à dissiper votre amnésie.

Je pense que Jonathan Swift aurait aimé l’apologue de cet intéressant conférencier.

Skander dit: à

Fr. allo par chute de la spirante initiale.

Dear Pen Pal,
Merci pour ces échanges qui m’ont enthousiasmé.

beiniette dit: à

que je ne me rendait pas compte que ce que j’écrivais n’étaient pas à la portée des intervenautes de ce blog.

ce n’est peut-être pas « ne pas être à la portée » mais que beaucoup sont dans un autre « trip » .
je lis des considérations sur l’enseignement et la recherche en france dans les années 50, c’est passionnant, l’implicaton intime des professeurs .
je n’ai pas bien compris votre dépit sur « etre français-e » tant il est vrai qu’au lendemain de la guerre ceux de la france libre qui avaient combattu le nazisme étaient aussi mobilisés par un désir de fierté pour la France contre la honte de la collaboration et du nazisme et des indifférences, apathies.
ceci au versant de la revendication identitaire.
sur ce blog tous les commentateurs ne sont pas de nationalité française certains se sont travestis à coup de pseudos imparfits du subjonctif, puis ont dégainé contre la langue française elle -même, sans limite, mais sans arriver à tromper qu’ils étaient masqués: cela en fait-il des artistes aussi considérables qu’ils s’imaginent être au point d’éclipser toute question sur leurs revendications et prétention quant à l’identité j’en doute .
je n’ai vu que grimaces imitées de maîtres supposés. sauf souvent U . Ne serait-ce pas la raison pour laquelle U partit, puis revint a, reconnu que mauvaise langue était touchant même quand il conseilla à p .assouline de faire du Q pour doper le blog et l’audience car Mauvaise lanue n’a pas hésité entre QI et QIV, et d’autres comme DIVA (voir Mendelsohn )

C.P. dit: à

Michel, si, il y a un rapport : polonais-1930, et vous en avez dit quelque chose (sur une dérive du catholicisme ?). Dans l’entretien que j’évoquais, il est vrai que Gombrowicz est assez embarrassé : il se dit à la fois polonais et universel.
Or je trouve votre « carnavalesque » tout à fait juste. Mais je crois bien vous avoir entendu défendre d’autres carnavals, chez Rabelais si je ne me trompe, où le jeu mettait en question l’autorité et la pose des prédécesseurs.
Si enfin Gombrowicz n’a pas changé grand-chose à nos représentations, alors…

La mauvaise langue dit: à

Je n’ai jamais parlé de dialogue avec les musulamns. Citez-moi l’endroit où j’ai dit ça. Je n’ai jamais dit ça !

beiniette dit: à

pour vous, mauvaise langue, les autres n’ont jamais compris : quoi ? qui a été le phallus de sa maman ? le système des attributions de bourses pour certains élèves ?qui fait le phallus de ce blog ?si c’est la question

La mauvaise langue dit: à

Mais le carnaval de Rabelais n’a absuloment pas ce côté délétère du carnaval gombrowiczien.

Le carnaval de Rabelais n’exclut nullement la foi en Dieu et le respect des grands récits qui fondent le monde occidental. Chez Gombrowicz tout ça a volé en éclats. Rien à voir avec Rabelais.

u. dit: à

« Il faut savoir que ‘Allô’, prononcé quotidiennement tant de fois, est un canular. Le grec ἀκούω (j’entends) »

C’est gentil.

Il est une autre interprétation.
– Laicité!
– Non mais, Allah?
– Liberté = liberté d’apostasie!
– Non mais… Vous m’recevez? Allah! Allah, quoi! T’es une femme t’as pas d’hijâb, non mais Allah?

Ça c’est pas toi, Nabila. Montre tes malheureux seins siliconés, tu as fait une grave erreur (tu étais mieux avant), mais vas-y!
Yallah, quoi, comme disait Soeur Emmanuelle!

La mauvaise langue dit: à

Votre histoire de phallus n’a pas de rapport avec ce dont je parle quand je dis qu’effectivement on n’a pazs comrpis ce que j’ai écrit. On me fait même dire ce que je n’ai pas dit. Là, pour le coup, il doit y avoir de l’inconscient. Mais ne pas comprendre c’est simplement ne pas comprendre, sans en plus aller y fourrer son phallus…

C.P. dit: à

Mais, Michel, je parlais de la jeunesse d’aujourd’hui, moi aussi, et du fait que vous faites de Gombrowicz son lointain tuteur.

La mauvaise langue dit: à

Non, je n’ai jamais demandé à Passou de faire du Q ici. Ce n’est pas moi. Je serais trop honteux de proposer un truc pareil à Passou, ce n’est pas mon genre du tout. Une fois de plus, on me fait dire ce que je n’ai jamais dit.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*