de Pierre Assouline

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La République des livres
H.D. Thoreau :  qu’est-ce qui est vraiment nécessaire à la vie ?

H.D. Thoreau : qu’est-ce qui est vraiment nécessaire à la vie ?

Bientôt les vacances ? Alors attendez-vous à ce que je vous bassine avec la visitation, la relecture, la redécouverte des classiques. Une vie de lecteur ne suffirait pas à épuiser le sujet. Voilà un rituel auquel je n’ai jamais manqué de sacrifier plus particulièrement en été, ce qui est devenu moins facile quand on a aussi et par ailleurs un roman à terminer et ceux de la rentrée à lire.

Aujourd’hui, Henry David Thoreau (1817-1862). Pourquoi lui ? Parce qu’il revient en force. Incroyable le nombre d’articles dans plusieurs langues qui le citent ou s’y réfèrent depuis quelques mois. Mort il y a un siècle et demi, il n’en est pas moins furieusement tendance en 2017. La crise climatique, l’inquiétude écologique, l’hypertechnologie envahissante et le besoin qui s’ensuit de se déconnecter n’y sont pas probablement pas étrangers. Radicale pour toutes les saisons (encore qu’il faut s’interroger sur les limites de ceux qui veulent aujourd’hui accorder leur radicalisme au sien), son œuvre manifeste « une surprenante persistance » dans le débat d’idées selon The Nation. On peut continuer à le traiter de narcisse, d’égocentrique, d’égoïste comme se complaisait à le faire le New Yorker il y a deux ans encore, ou même de « sous-Emerson ». Les Américains qui savent que sa mère continuaient à laver son linge (à lui) sont plus nombreux que les lecteurs de Walden ou des poèmes de cet individualiste qui se fit un rempart de sa solitude.

Un classique peut en cacher un autre. Encore faut-il avoir derrière ce qui ne va pas toujours de soi, le classique charriant par définition dans le halo qui le nimbe davantage de poncifs que n’importe quel autre livre. Walden (380 pages, 23 euros, Le mot et le reste) est donc à revisiter. D’abord le titre. Les connaisseurs en littérature américaine, qui pullulent sur «  »La République des livres » », auront remarqué le parti pris des éditeurs, une petite maison marseillaise, qui l’ont amputé puisque généralement, les autres éditions le présentent sous son habit de Walden ou la vie dans les bois (1854) suivant en cela les premières éditions de Walden ; or life in the woods (on peut lire ici la version originale en anglais) bien que l’auteur ait demandé à son éditeur de s’en tenir au seul Walden.cabane

La traduction ensuite. Elle est signé de Brice Matthieussent, l’un des plus réputés passeurs de littérature américaine, lauréat du prix Maurice-Edgar Coindreau, traducteur de Richard Ford, Bret Easton Ellis,Thomas McGuane, Charles Bukowski, John Fante, Paul Bowles entre autres. On ne s’étonnera pas de voir le nom de Jim Harrison aux côtés du sien sur la couverture (peu inspirée, un comble vu le sujet), l’un de ceux dont il est le plus proche. Ce n’est pas un hasard si c’est à l’auteur de Dalva et de Retour en terre qu’a été confiée la préface. Thoreau et Steinbeck, auteurs de chevet de son père, ont baigné son enfance. Son compagnonnage est donc ancien et c’est la volonté de balayer les lieux communs qui encombrent le chef d’oeuvre (idylles campagnardes pour chromos accrochés dans le salon, retour à la nature, idéal rousseauiste du bon sauvage) qui l’a poussé à écrire ces quelques pages à la gloire d’un Thoreau qu’il range parmi les géants de son temps aux côtés de Hermann Melville et Walt Whitman.

Alors, ce fameux livre ? Le guide de vie d’un voyageur immobile. Pendant deux ans et deux mois, entre 1845 et 1847, Henry D. Thoreau (prononcez Thó-row,« the h sounded, and accent on the first syllable« ) a décidé de faire une parenthèse dans sa vie (il travaillait dans l’entreprise familiale de crayons) et de s’installer sur les rives du lac Walden, un étang plutôt, à Concord, Massachusetts, un village situé à une trentaine de kms de Boston. Il s’y est construit sa maison, une cabane plutôt, a vécu seul et du seul travail de ses mains. Il l’a fait dans l’idée de tenter une expérience d’autosuffisance. Walden, le texte le plus connu d’une oeuvre qui en compte bien d’autres, est constitué de la mosaïque de fragments tirés du journal de cette expérience. Cela tient parfois du collage d’extraits, de citations, d’emprunts à toutes les sources (latine, grecque, anglaise, chinoise et biblique, surtout Matthieu, l’Ecclésiaste et l’Exode) mais si bien fait que les coutures en sont invisibles.

thoreau 2Sa lecture est d’une fluidité qui semble naturelle tant les observations comme les analyses coulent d’une même eau. Nulle affèterie de langage comme on en retrouve parfois chez les auteurs de cette époque. Aucune mièvrerie dans son discours (au contraire, il est même sans tendresse pour les villageois de Concord qu’il compare à une colonie de rats musqués), pas de faux-lyrisme comme on pourrait le craindre dès que la nature inspire, et pas davantage de vision manichéenne dans le débat nature vs culture qu’il vit au jour le jour (on en retrouve l’écho dans la passionnante Correspondance qu’il échangea avec son ami et mentor Emerson que les éditions du Sandre ont publié en français)..

Ce n’est pas «  »moderne » » ni actuel, comme on dit trop rapidement trop souvent pour mieux arrimer une ancienne pensée à notre siècle; c’est de tous temps, comme tout ce qui a une portée universelle. Même si on a voulu que Gandhi et Martin Luther King aient puisé chez lui leurs principes de non-violence. Mais c’est surtout son message de désobéissance civile (il refuse par exemple de payer ses impôts à un Etat qui soutient l’esclavage) qui a ressuscité Walden dans la France de mai 68. Dans une postface succincte mais éclairante, Michel Granger, qui fut le maître d’oeuvre d’un Cahier de l’Herne consacré à Thoreau, rappelle à juste titre que, derrière sa critique des institutions étatiques et du capitalisme industriel, Walden encourage le lecteur à s’affranchir de toute tutelle en développant un esprit non-conformiste. Il invite à exécuter un pas de côté en permanence pour penser au-delà du sens commun sans pour autant s’engluer dans l’idéologie. Dans son utopie, il rêve d’une Nouvelle-Angleterre où des sages lettrés éduqueraient la population (idéal qui ne rappelle pas que de bons souvenirs).

Ce voyage-autour-de-ma-cabane est d’une telle richesse que l’on s’en voudrait de le réduire en privilégiant les thèmes qui ont fait son succès en permettant de longue date aux écologistes de le récupérer (de tous les bruits de la nature environnante, celui du chemin de fer est le seul que l’auteur veut bannir). Même si son influence est aujourd’hui devenue si vaste dans tous les domaines (littérature, poésie, musique, cinéma…) que la récupération semble générale. Mais je ne résiste pas à la tentation d’isoler l’un des quinze chapitres, qui n’est pas «  »Le champ de haricots » » ni «  »Pendaison de crémaillère » » ou «  »Solitude » », encore qu’ils vaillent vraiment le détour, mais «  »Lire » ». Thoreau s’y livre en quelques pages à une puissante apologie de l’enseignement des humanités gréco-latines dans leur langue, qui mériterait d’être publiée en tiré-à-part et distribuée à la sortie de notre ministère de l’Education nationale. Même si un peu partout dans son livre, l’ humanisme est tempéré par un solide puritanisme calviniste dont il ne s’est pas défait quoi qu’il en dise.thoreau-type 2

A force d’observer la nature, il parvient à en découvrir le vraie nature. Il connaît sur le bout des doigts ce qu’il évoque joliment comme « la grammaire mordorée du monde naturel » et sait trouver les mots pour dire la grâce d’un paysage. Qu’est-ce qui est vraiment nécessaire à la vie ? La question court tout au long de son livre, avec un souci constant de s’en tenir à l’essentiel et de balancer le superflu.

« Les détails nous empoisonnent la vie. Simplifiez, simplifiez »

S’il revenait vivre parmi nous, Thoreau serait horrifié par ses contemporains et par ce qu’ils ont fait du paysage. Il les verrait tels qu’ils sont : des citoyens-consommateurs. Mais l’Amérique d’aujourd’hui ne manque pas de Concord et de lacs Walden tels qu’ils se présentaient il y a un siècle et demi. Elle est encore assez vaste et sauvage pour permettre à d’autres Thoreau de tenter la même expérience. Mais il ne suffit pas de tenir son Journal sur des petits carnets pour en faire un grand livre. Into the wild, sur l’expérience tragique de Chris McCandless en Alaska, a donné un bon livre de Jon Krakauer et un film saisissant de Sean Penn, mais ils seront oubliés quand Walden sera toujours lu, pour Walden, pour sa poésie et pour ses appels à la désobéissance civile.

Jim Harrison nous l’apprend : ces dernières années, le lac a été sauvé, des promoteurs, du tourisme et du reste, grâce aux dons d’un certain Don Henley, membre d’un ancien groupe de rock, The Eagles. Ce qui ne donne pas nécessairement envie de fredonner Hotel California. Ni même de lire les romans de ceux que Jim Harrison considère comme les héritiers de Thoreau en la personne de Peter Matthiessen et Gary Snyder. On a juste envie de (re)lire Walden, de préférence dans cette édition désormais car elle apporte un supplément d’âme. Le conseil général des Bouches-du-Rhône a été bien inspiré de lui donner un coup de main.

(« Dessin de A. Dan tiré de Thoreau. La vie sublime ; « Sa cabane » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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commentaires

1 121 Réponses pour H.D. Thoreau : qu’est-ce qui est vraiment nécessaire à la vie ?

rose dit: à

ce beau salopard de Klaus Kinski. Ce divin connard.

Chaloux dit: à

J’ai bien aimé son livre sur Cambacérès. Pas très très documenté mais très amusant à lire.

D. dit: à

bérénice dit: 29 juin 2017 à 22 h 49 min

On l’appelait te.p-gun, après.

olga dit: à

sergio 22h52 dit : ah, c’est mignon snif.
C’est que nous parlons le wolof avec un accent différent, vous le vholof du Nord, moi le ouolof du Sud..alors forcément, ça remue pas de la même façon !
Vous, ça vous trimbale,Môa, ça m’angôasse.
Baobabs Baobabs…

JC..... dit: à

Quoi ! Qu’ouïe-je ?! Qu’entrevoie-je ?! Qu’apprends-je ! ….la mandature HOLLANDE aurait présenté des budgets « insincères » ?!!!

Alors là …! Quelle surprise….!

Delaporte dit: à

Une petite voix protestataire se fait entendre, qui est la bienvenue : l’opposant Hamon, qui avait un projet politique pour les mille ans à venir, et que les Français n’ont pas su distinguer :

« A la veille du lancement de son Mouvement du 1er juillet, Benoît Hamon tacle le président de la République, le qualifiant de « libéral-autoritaire » dans Liberation. »

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la France à la reconquête du fascisme libéral, de  » à la Franco d’Espagne » ,!…

…pousser pas,…d’avant,!…1936,…

…au régime belge d’aujourd’hui,!…les pieds dans le plat,!…

…mais, si,!…vérifiez les comptes courants, et les aux paradis en Europe, avec ou sans châteaux,!…
…l’Europe, renoue avec les fascismes sous couverts de pluralités et humanismes pour ses intérêts privés,!…
…ma part du gâteau,!…faut y penser avant,!…à nos grâces à l’œil,!…le mousquet – tendus,!…tout mouillé,!…
…la discipline pour se faire mettre aux discours,!…l’horizon des espoirs,!…
…mon café est monté,!…avec un chocolat Jacques,…etc,!…

JC..... dit: à

Il est si petit et si chafouin, le pauvre Hamon : nous lui collons donc le pseudo « HAMON le RATON » !

Delaporte dit: à

Hamon, c’est au contraire comme un nom de dieu égyptien. Ce jeune ira loin, et remettra un jour la France à l’endroit grâce uniquement à sa réforme sur l’abolition légale du travail. Vous verrez, si vous êtes encore là.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…je ne soutien, qu’un, homme, moi-même,!…

…la question,…n’est pas des châteaux et domaines,!…
…la réponse est, quelles  » rixes  » s’inventer, entre franges et partis-pris,…
…pour avaler les couleuvres,…et travailler en plein-emplois,!…
…la machine à cacophoniques,…

…aux saturations d’informations, pour se faire croire,!…quelqu’un,…

…déjà, ne plus écouter, aucune radio,…
…en plus, j’ai coupé mon cable d’antenne,!…
…on verra la guerre d’Espagne française, par un raccord,… » Coaxal « ….ultérieur en réserve,!…
…que je me porte mieux, a tout réfléchir,!…faire mon  » égoïsme « ,…Atout,…As,!…sans Poker, lubrique ou jeux,…Bip,!…Bip,!…
…le Casino  » La France « ,!…etc,!…
…l’intendance à jour,…

bérénice dit: à

Olga, Sergio pourrait en souffrir mais sa diction n’est affectée d’aucun accent contrairement à son écrition.

renato dit: à

Patty Pravo, plutôt, JAZZI.

renato dit: à

Mais qu’est-ce que c’est qu’ils ont vraiment dans la boîte à conserve rouillée et cabossée qui leur sert de crâne ces fanatiques qui refusent les vaccins ? qu’ils aillent voir les dégâts produits déjà seulement par la poliomyélite ou par la variole ces champions d’ignorance et d’obscurantisme ! de toute évidence, grâce à leur stupidité, ils ne peuvent comprendre que la misérable et approximative pensée politique et pseudo-économique que leur sert de justification. Cela dit, leur corps leur appartient, certes, mais le corps des autres non ; or, puisque leur refus des vaccins met en danger l’intégrité physique et psychologique des autres, il est assimilable à un acte criminel et il devrait être traité comme tel, c’est-à-dire avec la prison.

Cela dit, il faudrait que quelqu’un réussisse à identifier le lieu où se cache l’humanisme européen car « che vi sia ciascun lo dice, dove sia nessun lo sa ». Au moins qu’il ne s’agisse d’un collutoire utile pour rafraîchir des haleines pas vraiment agreables. Il faut quand même que j’admette que la question présente aussi un côté comique : en gros ces soi-disants humanistes se disent chrétiens ! mais c’est vrai, les monothéismes sont les plus belles expressions de l’hypocrisie et puisqu’il n’y a pas mieux que l’humanisme pour cacher ça…

bérénice dit: à

Relevant vos topographies pour les avoir testées, je dirai qu’au nord les gens reçoivent et climat aidant cela se passe au chaud des intérieurs alors que plus au sud, un parc, une place, un trottoir, une terrasse suffisent la plupart du temps à s’échanger nos accents respectifs, si vous forcez l’intimité , alors vous ouvrira-t-on les portes du jardin.

renato dit: à

« … le selfie présidentiel… » ?!

J’avais cru comprendre que l’auteure du cliché est Soizic de la Maisonnière.

la vie dans les bois dit: à

renata bella, grand maître des coucous suisses à retardement.

tristan dit: à

Bérénice en mode « J’irai dormir chez les erdéliens ». Cotisons-nous pour lui offrir une caméra paluche.

Phil dit: à

Soizic de la Moissonière, dear Renato. le patronyme est fleuri, la photographie aussi.

renato dit: à

Tiens ! Cheeta est déjà en train de vomir !

la vie dans les bois dit: à

Kesk elle a renata, le matin comme merde dans le cerveau.
Laissez les Aurores, qui ne vous appartiennent pas.

renato dit: à

Merci Phil, cela m’apprendra à ne pas prendre les post de la RdL trop au sérieux : 29 juin 2017 à 21 h 05 min

renato dit: à

Ah, la pauvrette, toujours à court d’arguments !

Phil dit: à

no harm, dear Renat, vous seul savez nous entretenir de succubes et autres érinyes, tant que le prestigieux blog reste « décence » littéraire.

Phil dit: à

Renato..

bouguereau dit: à

la succube te vole ta smence à l’inçu et te la refourgue dieu sait où rénateau..c’est cqui harrive a george pell..vergèze va plaider

bouguereau dit: à

phil y sussure à l’oreille maintenant..heureusement que c’est infécond

bouguereau dit: à

vous ouvrira-t-on les portes du jardin

déjà aux 40 voleurs..sésame ouvre toi

Phil dit: à

Le président pose avec Julien Sorel, bientôt le prestigieux pauledel invité au champagne à l’Elysée pour causer HB.

JAZZI dit: à

Si Pravo, renato, elle ne vieillit pas !

bouguereau dit: à

Soizic de la Moissonière, dear Renato. le patronyme est fleuri

un cul comme une new holland

bérénice dit: à

La photo affiche une ouverture sur l’extérieur, plusieurs hypothèses interprétatives: 1 – Le président souffre de claustrophobie.
2 – Le président est acquis à la cause écologiste
3 – Joker,
4 – Simple recherche d’esthétisme
5 – La température n’était nullement fraîchie par un système de climatisation absent des installations Elyséennes et trop coûteux pour qu’il soit solutionné sérieusement, problème ponctuel qui d’ailleurs sera résolu par l’application des options prises lors de la Cop 21 puis 22 si Flamanville mis en fonction tient 7 ans avant que nous soyons tous radio-inactifs.

bérénice dit: à

Paul Klee, le peintre musicien ou le musicien peintre, que de poèmes , il aurait mérité un Nobel.

bouguereau dit: à

6 hon s’en fout

bouguereau dit: à

dla sulpicerie béré..

bouguereau dit: à

…je ne soutien, qu’un, homme, moi-même,!…

forte parole..si quon lfait pas..les succube ça chtroumpfent pas

bérénice dit: à

Tristan, peluche? Mes chattes me tiennent compagnie et bien qu’une de deux s’approche du jour où il faudra bien décider à sa place de lui laisser me fausser compagnie. Le sommeil quant à lui comme l’orgasme est une des façons que l’on a de mourir, la jouissance = petite mort, la mort= grand sommeil, le sommeil est une façon d’oublier salvatrice, pour ce qu’on nous donne mieux vaut disposer des moyens à choisir son panorama mais je rejoins lv qui faisait l’éloge du transport et voyage par immersion dans le monde océanique des livres et de ses profondeurs explorant mille et une possibilités et psychés.

bérénice dit: à

Ceci étant, saluons Nicolas H pour sa prise de position en défaveur des prospections pour de nouveaux gisements d’énergie fossiles, exit gaz des schistes. Il faudrait pouvoir faire des zones polaires au nord comme au sur des sanctuaires et limiter le tourisme de masse qui contribue à la dégradation de ces éco-système mais là où il y a du business possible il n’y a plus de morale ni de conscience ( écologique).

D. dit: à

Patrick Cohen, l’un des pires journalistes de radio que j’ai jamais entendu, vient enfin de quitter France Inter pour, parait-il, rejoindre une radio privée. Le monde n’est pas si sombre qu’on le croit et nous réserve encore parfois de petits bonheurs.

bérénice dit: à

sud, les russes veillent au grain et si Obama avait manifesté une volonté de préservation, on ne peut pas dire que son successeur aussi sénile , cupide qu’inconséquent suive cette voie tracée en pointillés précaires. Ils foreront, noirciront et hâteront la fin de ces paradis blancs qui de plus servent à réfléchir les rayons solaires qui réchauffent et qui amoindris ne seront plus effectifs à tempérer les climats.

Pat V dit: à

D. dit: 30 juin 2017 à 9 h 39 min

Et moi qui avait quitté France inter pour Europe 1 à cause de Cohen et Cie … Je vais être obligé de me trouver une nouvelle radio?!

D. dit: à

Ben oui, Pat : France Inter, où Demorand revient remplacer Cohen. C’est pas la crème mais ça ne pourra pas être pire.

bérénice dit: à

9h02 c’est d’une nature incorruptible, confrontée à plus instruits qu’elle, elle s’en tire, croit-elle, par l’insulte basique mais elle bénéficie de tant de soutiens et d’admirations que ce système puéril ne se sent nullement menacé et ne nuit en aucun cas à l’affluence avide de ses charmes et de son indéniable ouverture d’esprit curieux de tout , ce qui ne lasse de nous rendre à la perplexité du recours à l’insulte digne du caniveau néanmoins rien ne semble trop beau ou trop bas pour griffer, biffer, rayer ou rehausser ou rénover les couleurs de ce bel auto-portrait chargé en références livresques et que cette dernière tient à parfaire pour l’installer en nec plus ultra au fil du temps . De l’indépassable, assurément toujours au fait du dernier cri ou chuchotement quand ce ne serait pas du dernier souffle, râle, abandon .

D. dit: à

Bérénice, j’aimerais bien qu’on travaille un peu plus sur le moyen de fixer le CO2 en carbonates, c’est à dire en pierre calcaire, carbone fossile « définitif » et non combustible.
Il existe un animal qui réalise vite et bien cette transformation : le mollusque gasteropode. Vous lui donnez à manger des végétaux, même du bois, pour certaines espèces, et il vous fabrique de la coquille qui est à presque 100 pour cent du carbonate de calcium (CaCo3).
Le carbone y est piégé pour des temps d’ordre géologique, des centaines de millions d’années, voire des milliards.
Le seul agent qui peut en libérer le CO2 est l’acide. Réaction bien connue du vinaigre sur la craie, par exemple.

bérénice dit: à

Tristan, j’ajoute que je serais plutôt adepte du  » J’irai cracher sur vos tombes », il me faudrait d’ailleurs le relire tout comme  » Je hais les acteurs » et un tas d’autres cependant toujours pas découvert tant d’autres monuments que j’y renonce, seuls les titres me servent de devises, faciles, j’en conviens.

bérénice dit: à

D, un espoir donc? des ferme de gastéropodes installés au coeur des métropoles et près des puits que ces fous continuent de faire brûler à ciel ouvert en pratiquant la politique de la terre brûlée pour les rendre inexploitables et contribuant à polluer jusqu’au toit du monde.

bérénice dit: à

installées.

bérénice dit: à

D, j’ai mis en lien ce site hier, vous pouvez vous y promener, c’est une mine d’info .

D. dit: à

Chaque état pourrait être tenu de produire chaque année une quantité minimale de carbonate, mettons 100000 tonnes, sous la forme finale de pierre de construction, dont le commerce serait assorti d’aides d’état, défiscalisation etc..
Ces pierres seraient produites dans des réacteurs à mollusques dans lesquels on ferait entrer du végétal (épluchures de légumes par exemple, excédents de production, stocks périmés). Les mollusques gastéropodes peuvent pour certains se reproduire à une vitesse spectaculaires, les mollusques en fin de vie tomberaient au fond, des strates coquillières s’empileraient, des bactéries et une presse hydraulique termineraient le travail : de belles pierres de taille en sortiraient au final. Une pierre de 50 kg correspondrait à 22 kg de C02 atmosphérique définitivement fixé.

JC..... dit: à

Les fanatiques pro-vaccins sont de vieilles bêtes datant de Louis Pasteur. On peux, on doit, faire du tuning de vaccination, merbe alors, tenant compte des situations locales.

JC..... dit: à

Si j’étais Passou, l’étroit J, je censurerai tous tes posts tant ils dénaturent l’esprit haut de gamme de ce lieu mythique.

Avec toi, maudit malandrin, le Mythique devient le Mité.

Phil dit: à

jjj, vu passer votre commentaire sur les accointances journalis-tic, sic transit.

JC..... dit: à

Phil est trop bon : ça le perdra …

JC..... dit: à

Dieu merci, le monde nouveau met la Haine au niveau de cet Amour hypocrite que les prêtres, les rabbins, les imams, pédophiles enragés ont introduit dans l’âme des gamins du passé, et ce, par des voies insoupçonnables …uhuhu !

JC..... dit: à

Repose en paix, Simone !

bob dit: à

érénice dit: 30 juin 2017 à 9 h 35 min
(à cause de sa pensée complexe?) il ne fait rien contre les prospections en cours
(bougroc, ta gu…)

Phil dit: à

Il faut savoir revenir en odeur de sainteté. Jadis, le journaliste du sérail Demorand a fêté sur ses ondes la naissance d’un Nathanaël. Madame de la Moissonière était trop jeune pour recevoir une commande à cadrer.

D. dit: à

Je respecte la personne de Simone Veil, et reconnaît en elle de nombreuses qualités, mais reste opposé à la possibilité légale d’avorter en toutes circonstances, et estime que cette femme à endossé une responsabilité dont elle n’a jamais été capable d’être consciente.
La prise en charge financière de l’acte par la collectivité, géneralisée à tous les cas sans aucun discernement m’à toujours paru profondément inique quand on sait que certains petits vieux n’ont pas les moyens d’aller se faire soigner correctement une dame.
Madame Veil, je vous souhaite la paix dans l’au-delá, sincèrement, néanmoins voys risquez d’y rencontrer les âmes de ceux qui n’ont pu naître. Espérant que vous pourrez les convaincre du bien fondé de votre action.

D. dit: à

une dent

keupu dit: à

La procédure JC/Groucho….. suit son cours !

bouguereau dit: à

Phil est trop bon : ça le perdra …

suffit d’ête méchant pour se rtrouver

Janssen J-J dit: à

@12.32, en gros ça disait que la rdl était plus instructive sur la gaytitude des écrivains (péd.érasticles) que france inter ; et que, même si europe 1 était plus attractif financièrement pour PC (?) quoiqu’on aimât bien son immense culture, on n’irait pas le suivre sur cette chaîne, on se contenterait de léa demorand, hélas.
(Ché pas si ce résumé va passer ????)

JC..... dit: à

…. ta gueule, raclure de keupu : enfant de Putin et Trump !

JC..... dit: à

L’étroit J est…. comment dire ?…. lassant.

JC..... dit: à

Aviron, now…. par mistral… bravitude accompagnée de risquitude !

Janssen J-J dit: à

en revanche, les 5 JC….. sont toujours passionnants et, comment dire…, inattendus.

Janssen J-J dit: à

ben voui, je vois guère autre chose…

D. dit: à

Quel bonheur que cette fraicheur sur Paris, depuis 2 jours !
Ce matin, la bruine à sensuellement caressé ma peau, la végétation bruissant de contentement autour de moi.
La chaleur horriblement torride s’en est enfin allée, et pour très longtemps parce que j’ai calculé qu’il allait faire mauvais sur toute la France jusqu’au 22 septembre.

Janssen J-J dit: à

21 romans d’exo fictions de primo délinquant-es supplémentaires rapport à l’an dernier, ça va quand même pas faire peur à la rdl (surtout s’il mouille jusqu’à l’équinoxe)… & 5 de moinsse parmi les étrangers…, on est bien dans l’air du temps. C lassant !

Phil dit: à

bien triste, jjj, les récits des virées gaytophiles de baroz finissent si tragiquement que la censure baisse les bras. Le dogmatisme de Radio-France est intouchable, comme l’a repété Finkielkraut en invitant Camus la semaine passée.

la vie dans les bois dit: à

A l’ocacsion de la disparition de Madame Veil, les multiples tweets de  » vives condoléances « (sic) du président macaron, vont presque nous faire regretter certains bafouillements de son prédécesseur…
Quant au bègue Béarnais, empêtré dans ses « affaires » qui n’ont rien de bien « moral », on va attendre avec intérêt son hommage pour celle qui l’a en quelque sorte remercié de lui avoir ouvert les yeux sur des pratiques politiciennes de minable.

Jean dit: à

Simone Veil ? Connais pas.

Phil dit: à

Gide a résidé quelques semaines à Nice rue des frères Macoroni. Il fait part de son irritation de recevoir des lettres à lui adressées rue des frères « Macaroni ». Cette anecdote understatement livrer à l’adresse de mademoiselle laviedesbois.

D. dit: à

Il y a seulement une semaine, Paris connaissait l’une de ces épouvantables canicules, l’asphalte sale et poussiéreux collait aux pieds, les touristes trop dévêtus prenaient cette attitude à la fois lascive et harassée, leur cerveau reptilien, et la plupart du temps petit, se demandant s’il convenait bien de rester encor au soleil.
Les pelouses étaient jaunes et terreuses, le Samu connaissait une suraffluence de vingt pour cent, les garages automobiles aussi.

Jean dit: à

D. dit: 30 juin 2017 à 13 h 58 min
Quel bonheur que cette fraicheur sur Paris, depuis 2 jours !

La chaleur horriblement torride s’en est enfin allée

Apparemment que D. n’apprécie pas plus que moi les commentaires imbéciles des présentatrices météo de la 2. Dans ce registre, une certaine Chloé N. dépasse le mur de la çonnerie, dans le genre « mais rassurez-vous, la chaleur va bientôt revenir « . A croire que les amateurs de pluie, de vent et de fraîcheur ne sont pour elles qu’une minorité d’abrutis et que Brassens n’a jamais parlé de ces pays imbéciles où jamais il ne pleut. Parlez-moi de la pluie, parlez-moi du gros temps.

la vie dans les bois dit: à

la ministre du gouvernement Philippe II, et que vous connaissez bien maintenant sur la RDL, car elle a écrit un livre- Le livre s’intitule: » maman travaille »-, craint maintenant, avec la disparition de Madame Veil, que l’IVG ne soit plus reconnue comme moyen de contraception. Allô, nan mais allô, koi.

Janssen J-J dit: à

J’adresse mes plus vives condoléances à la famille de cette grande dame. J’eus l’honneur de la côtoyer durant quelques années, la profondeur de ses yeux verts m’a toujours fasciné et troublé. Ils étaient aussi profonds que la justesse de ses combats. Ce fut un sans faute. Ils ont auréolé de lumière le troisème tiers de notre XXe siècle.

la vie dans les bois dit: à

« Cette anecdote understatement livrer à l’adresse de mademoiselle laviedesbois.

Oh, Phil, quelle vilaine manière vous me faites avec vos pâtes et vos courbettes obséquieuses.
Parlant de Nice, savez-vous que le père de Madame Veil était architecte. A ce titre il avait bien compris que la Baie était ouverte à beaucoup de projets. C’est d’ailleurs pour cela qu’avec sa famille , de Paris, il était venu s’installer à Nice en 1924.
Vous trouverez tout cela dans le livre- précieux- que nous a laissé Madame Veil. Et dont j’ai déjà évoqué quelques passages, ici sur la RDL, mais pour d’autres sujets…
Ce livre a pour titre  » Une vie », emprunté comme elle l’écrit en épigraphe, à Maupassant.

Bonne digestion, Phil.

Phil dit: à

Merci Lavie. Ce titre n’est certes pas emprunté à celui de Morand sur Maupassant, selon le tenancier de ce prestigieux blog le plus médiocre des ouvrages du grand auteur collaborateur.
Madame Simone Veil avait une excellente expression française, à n’en pas douter nourrie du commerce des meilleurs écrivains de notre pays (qui vient de perdre un million de touristes cette année, la plupart asiatiques. les statistiques ethniques sont autorisées sur ce blog, avant goût de nos amis anglais)

Janssen J-J dit: à

why cette vulgarité gratuite, scriptalia 14.44 ?… Sans doute pour nous suggérer d’aller consulter vos récentes élucubrations sur la destruction de la dernière mosquée de mossoul. On comprend que vous ayez besoin de vous rassurer sur l’espoir d’une conversion des fanatiques « pas soufistes » (sic) à l’athéisme. Hélas, l’athéisme n’a jamais empêché la persistance du fanatisme, loin s’en faut, c le besoin de croire the pb, vous le savé bien. Brefl…, la où la raison raisonnante ne parvient jamais à s’urticaler à la déraison raisonnable, comme disait le volterrien tau’weau, dans sa cabine.

Janssen J-J dit: à

d’ailleurs, où en êtes-vous cher-es ami-es du dépôt de vos directives anticipées ? Les internautes de la rdl devraient être exemplaires à ce sujet. Moi, je le suis. C’est pour dans pas longtemps. Un peu de patience, JC., que diab’…

bouguereau dit: à

jean marron il a bsoin dconchier..ça lui est chevillé au corps..dou le chalet dans le pti bois derrière chez lui..c’est son droit

bouguereau dit: à

c’est a çui qui se servira dplus de laute comme grosse mule havec phil et tarzoune..et vazy que chte charge de pti paquets dcocke dans l’cul et à sdonner des rencarts derrière la frontière

bouguereau dit: à

Parlez-moi de la pluie, parlez-moi du gros temps

c’est teutatesse et cracboumhu havec jean marron

D. dit: à

La combativité de Simone Veil ne peut qu’inspirer le respect. Et l’admiration, surtout au vu de ce qu’elle a vécu, là où tant d’autres auraient mis genou à terre.
Mais avoir choisi CE combat…quelle erreur à mon sens. Et il demeure des millions de Français et Françaises à le penser, car on essaye de l’occulter, de laisser croire que seuls une poignée de fous pense que, décidément non, enfin pas comme ça au moins, pas autant, pas si banalement, si tragiquement automatique. Pas si gratuit.
Et d’aller jusqu’à aller aux limites de la liberté d’opinion et d’expression. Parfois.
La loi est ce qu’elle est, elle doit être respectée. Elle est l’expression indirecte d’une majorté. Mais ce n’est pas pour ça qu’elle est bonne.

bouguereau dit: à

comme l’a repété Finkielkraut en invitant Camus la semaine passée

tic et toc en stoc

bouguereau dit: à

Mais avoir choisi CE combat

c’est l’combat qui tchosit dédé..comme auteuil neuilly passy

D. dit: à

« Émotion de la communauté juive après la mort de Simone Veil »

—> on retrouve le paradoxe : certes son combat en mémoire de la Shoah, ô combien bon et juste, inspire l’émotion, mais que dit la communauté juive de cette légalisation d’un interdit absolu dans la religion hébraïque ?

bouguereau dit: à

par taranis je ma trompé
le ciel va tomber sur la tête a jean marron

Sergio dit: à

D. dit: 30 juin 2017 à 13 h 58 min
il allait faire mauvais sur toute la France jusqu’au 22 septembre.

No problemo nousses ici on a le Luxembourg à côté on ira pour voir la pluie tomber en France… Mais on hemportera du Piz Buin, hein !

D. dit: à

Faut-il par exemple rappeler qu’en Israël, l’avortement n’est pas légal pour les femmes âgées de 17 à 40 ans ?

JAZZI dit: à

Les femmes se faisaient avorter dans la clandestinité au péril de leur vie ou donnaient naissance à des enfants non désirés et le plus souvent abandonnés, D.
Qui, sinon Dieu, a sorti Simone de la nuit des camps pour lui confier cette nouvelle mission ?

JAZZI dit: à

De la Baie des Anges aux faiseuses d’anges !

Phil dit: à

les contrepétries de baroz passent mieux que les avis critiques sur le ton matinal de franceinter.

JAZZI dit: à

Pas un mot de Passou ou de Paul Edel sur leur confrère Pierre Combescot ? On est bien peu de choses à Saint-Germain-des-Prés !

Phil dit: à

Dear baroz, Pauledel n’a pas eu la chance de coucher avec Visconti, d’où témoignage de seconde main.

D. dit: à

Mais mieux vaut être abandonné quelques temps que mort, Jazzi !
D’autant plus que la demande pour adopter n’a jamais été aussi forte.
Et je connais des gens dont un parent,grand-parent,arrière grand-parent à été abandonné. C’est pas compliqué : sans lui ils n’existeraient pas. Et si vous remontez sur mille ans, les chances d’être issu d’au moins un ascendant abandonné sont de presque 100 pour 100. Donc personne n’existerait aujourd’hui de cette façon du moins. Et l’Histoire aurait été radicalement différente sans les enfants non désirés. Moïse n’en est-il pas un ? Et si Joseph avait fait pression sur Marie ?

Paul Edel dit: à

Jazzi, je ne parle que de romanciers que je lis.Je n’ai jamais lu une ligne de Combescot .. Pourquoi? parce que , dans le journal où je travaillais, des amoureux de sa prose rivalisaient de vitesse pour en parler ,et savaient bien en parler.

D. dit: à

C’est un veritable blasphème en tous cad que de laisser entendre que le Saint-Esprit de Dieu inspire la mort, alors qu’il est esprit de vie. Et évidemment et comme par hasard, ça vient de vous, Jacques…

D. dit: à

Cela-dit ce qui est remarquable ici, c’est de pouvoir tenir sur un yel sujet une conversation argumentée raisonnable, sans que les gens s’insultent ou soient censurées.
A l’heure d’aujourd’hui, c’est IMPOSSIBLE dans les médias « conventionnels ». IMPOSSIBLE. Pensée unique et grands chevaux de l’inadmissible à la moindre contrariété.

bérénice dit: à

Les femmes se faisaient avorter dans la clandestinité au péril de leur vie

Ou se souvenir de ca passage sanglant dans le voyage de Céline, vive les aiguilles à tricoter auxquelles on ne doit aucune layette mais quelques mortes , pas de quoi en concevoir un droit.

bérénice dit: à

Et l’Histoire aurait été radicalement différente sans les enfants non désirés.

une histoire de pédophiles vraisemblablement, vrai, on a raté un épisode sanitaire.

Janssen J-J dit: à

why cette vulgarité gratuite, scriptalia 14.44 ?…

Désolé si la rdl vous a également censuré, ce n’était ni évidemment pas ni certainement pas mon intention…
Je hume l’air du temps, et ça commence à craindre, même icite.. le macronisme erdélien commencerait-i à souffler ?
Passou, dites-nous que vous résistez à cette pestilence qui s’avance en loucedé, bel et bien fuligineuse…

Phil dit: à

Pauledel met Combescot au compost.

bérénice dit: à

Après tout ce temps, ces combats, son combat, vous m’étonnez D à remettre en cause le droit à l’avortement; certes il ne devrait pas servir de moyen contraceptif mais allez donc faire un tour dans ces zones où vous ne mettez pas les pieds pour évaluer le niveau d’éducation, d’information et de diffusion des connaissances en plus des tabous, des interdits, cela ajouté à l’inexpérience des adolescentes qui n’ont que l’infirmière scolaire à qui se confier, il y a aussi de la bêtise, de la malchance, et des marie couche toi là.

P. comme Paris dit: à

Je n’ai lu de Combescot que « les filles du calvaire » et ses chroniques de spectacle lyrique dans le canard enchainé sous le nom de Luc Descygnes.
Le roman m’avait plu.

Jean dit: à

Janssen J-J dit: 30 juin 2017 à 16 h 29 min
why cette vulgarité gratuite, scriptalia 14.44 ?…

Mes vulgarités ne sont jamais gratuites. D’ailleurs, mon censeur (ma censeuse) s’en est bien aperçue.

JC..... dit: à

Le mariage pour tous est une horreur, de même que l’avortement est une abomination, et la notation au baccalauréat une trahison de l’intelligence

JC..... dit: à

Quand à Simone Veil, elle avait de l’ampleur.
Pondérale …

Sergio dit: à

Janssen J-J dit: 30 juin 2017 à 16 h 29 min
ça commence à craindre

Ha mais le faf il est ubiquiste, polymorphe, protéiforme et même quantique ! I rente par les deux fentes à la fois…

C’est quéquechose, quand même…

Sergio dit: à

Ca c’est bien vrai : le mariage c’est bon pour les autes !

Widergänger dit: à

Dans la combe de l’Escot, Thoreau a planté sa cabane. Il écoute la respiration des collines, l’effroi dans les fourrés. La lune marche sur des os transis dans la chambre souterraine, et la parole sans gestes des choses se dégourdit dans l’ombre ; une pierre remue ; la salive des spectres jette leur acide dans le grand songe des commencements des langages. Tout s’étire et se bat dans le reliquaire des vitres de l’Occident.

Jean dit: à

JC….. dit: 30 juin 2017 à 16 h 59 min
Quand à Simone Veil, elle avait de l’ampleur.
Pondérale …

La voilà bien, l’injustice de la censure sur ce blog. Pour une petite vulgarité de rien du tout, on me sucre un commentaire qui, mine de rien, allait loin, trrès lloin, mais les plaisanteries saumâtres du sieur JC sur la même personne passent sans encombre. Ah là là… Justice ! Justice !

Jean dit: à

Widergänger dit: 30 juin 2017 à 17 h 15 min
Dans la combe de l’Escot, Thoreau a planté sa cabane.

… tandis que, winchester sous le bras, stetson sur l’oreille, Simone veille. Hi ! Veille, Geai !

Widergänger dit: à

Jean s’acharne contre l’injustice au fond de son fauteuil vide, sous des paroles ensevelies à jamais. Sa main brûle dans le cercle noir de sa colère. Il sort au bras de son cheval harnaché de pied en cape ; il s’est promis de laisser ses empreintes dans la cendre. Son cœur devient une syllabe de sable, une plante verte qui pousse pourries de Perséphone. Sur la page de ses blasphèmes court la ronde de nuit de ses petites souris gracieuses.

tristan dit: à

Moi j’aurais bien aimé être un avorton quand j’ai entendu mes parents me dire:
« Tristan, tu n’étais pas désiré, et puis tant qu’on y est, on n’est pas tes parents au fait ! »

bouguereau dit: à

bipbip

tristan dit: à

Le dialogue au sein d’une famille est le plus beau des cadeaux.

Janssen J-J dit: à

17.16, et là je vous rejoins à 200% !… non pour le censurer, le jc…, mais pour ne pas disposer d’explications sur les critères de démarcation. J’attends depuis des années l’explication de la tolérance absolue de la rdl à l’égard d’un mec pareil.
J’espère qu’un jour passoul s’expliquera là dessus dans les nouveaux mémoires de blogue. Sauf que moi, j’ai même plus la capacité de m’indigner devant ses ordures journalières, au JC., et c heureux…, parfois je les lis, d’autre part, je les c.chie. Le plus souvent, j’hausse les épaules, d’autres fois, je me gifle de lui répondre : faut dire que la plupart de ses réactions sont tellement con.nes et beaufes qu’elles me font rire, ricaner… disons plutôt.
Faut s’adapter à ce qu’on ne comprend pas, hélas.

bouguereau dit: à

tristan faut l’mette a bouillir dans le lait dsa mère

bouguereau dit: à

Faut s’adapter à ce qu’on ne comprend pas, hélas

quand c’est soi c’est pas pareil..tien par exempe jean marron pour moi y’en avait rien de rien a foute..mais rien..

bouguereau dit: à

Ca c’est bien vrai : le mariage c’est bon pour les autes !

même papa et manman..t’as 2 télécommandes

Widergänger dit: à

Tristan bout dans le lait de sa mère tandis que Bouguereau touille avec sa grande cuiller et que tombent sur lui des lunes en morceaux. Il arrache les ongles de son léopard et empaille le beau Tristan au fond de son crâne en émettant de petits rires sincères. À l’aube, Bouguereau entre dans l’alcôve du grand sommeil et disperse l’ossuaire verbal.

D. dit: à

« Des appels à inhumer Simone Veil au Panthéon »

…des détraqués, je vous dis. Certainement les mêmes qui, si on leur demandait juste 3 noms de gens inhumés au Panthéon vous repondraient : beuh, euh, attend, beuuhh, l’autre, là…beuh tu sais l’écrivain…

bouguereau dit: à

Pauledel met Combescot au compost

par exempe là c’est dla promotion de geste jardinier hinterdit..si hau moins c’était havec la couronne..vergez y pourrait plaider..c’est lui rtirer les mots dla bouche par hanticipation

tristan dit: à

« vive les aiguilles à tricoter auxquelles on ne doit aucune layette mais quelques mortes »
Qu’est-ce qu’on attend pour détricoter cette loi ?

D. dit: à

Remarquez, on y a bien mis Jean Monnet, un ennemi caractérisé de la France, pourquoi pas Simone Veil pour la légalisation de l’IVG ? Au point ou qu’on en est.

Delaporte dit: à

Au Monde, c’est à croire que personne ne voulait parler de Combescot. C’est Josyane Savigneau qui s’est occupé de la tâche, pas trop brillamment, comme toujours. Combescot méritait mieux, il me semble. Notamment, la manière de la journaliste d’insister sur l’enfance malheureuse de Combescot, c’est triste et gris.

keupu dit: à

JC à 11:20 : repose en paix, Simone !…
aucune chance pour les vieux dégueux comme toi

bouguereau dit: à

disperse l’ossuaire verbal

havec force effet d’emmanchements élimés aux poil de cul..

D. dit: à

C’est un canaillou, ce Tristan.

Janssen J-J dit: à

@pour moi y’en avait rien de rien a foute..mais rien; 17.30.

la preuv’que non… comme quoi, rin sur personne est jamais définitif, hein hein, moi par ex., je pensais que vous étiez un hétéro sur le plan métrosexuel. Finalement, j’en sais rien, et je m’en tape. Par contre, y a des lgbt graves, et là, samenbouche un coin, pasqu’en + elles ont aucune umoure.

Delaporte dit: à

Ils auraient dû demander à Jacuzzi une belle nécrologie à la mesure de Combescot, ça aurait eu de la gueule…

Jean dit: à

Widergänger dit: 30 juin 2017 à 17 h 23 min

Mais c’est proprement génital ! On dirait de l’André Breton enfin touché par la grâce ! Du fond de ma chaise percée, j’agite mes tout petits bras et je fais clap clap. Waaaouch !

Delaporte dit: à

Avec Savigneau, le pauvre Combescot est mort une deuxième fois.

Widergänger dit: à

Simone désormais veille. Elle a enterré avec elle le soleil sous les grands débris de l’Occident, là où la mémoire jette à la mort des phrases qui se divisent sur des langues gelées. Cendre et obscurité du troisième jour dans l’immutabilité de nos serments. Les siècles toussent sous la poussière, chacun ajuste sa vue, Un sonnet ne sied pas aux débris de l’ère industrielle.

Paul Edel dit: à

« La lune marche sur des os transis dans la chambre souterraine, et la parole sans gestes des choses se dégourdit dans l’ombre » ça fait un peu parodie Huysmans ce genre de prose WGG.. c’est votre lecture actuelle?

Widergänger dit: à

Non, mais votre remarque ne manque pas de sel, Popaul !

bouguereau dit: à

Les siècles toussent sous la poussière

..salambocul

bouguereau dit: à

mais voilà..faut hun phil dracul..hun fil a tes calots..et pis faut faire un trou d’dans havant

D. dit: à

Widergänger dit: 30 juin 2017 à 17 h 44 min

C’est faux, comme il fallait s’y attendre, mais beau.
Un autre ?

bouguereau dit: à

à tes pétroles..tes saturnes..tes noeils de chats..bipbip

bouguereau dit: à

Qu’est-ce qu’on attend pour détricoter cette loi ?

nona morta déssima..godot ça frait con dans la prose a dracul

Widergänger dit: à

Sur les utopies en miettes, D. prospère et monte une friperie érotique. Il espère nouer de nouveaux marchés avec les habitants d’Orion qui nous annoncent de nouveaux carnages sur la terre. Son incendie génital le propulse dans l’incandescence des nouvelles utopies sexuelles. Il pèse ses brandons, il retire son pyjama. Il gravite sur les très hautes tiges de l’Amour.

Sergio dit: à

Houi mais si c’est rétroactif et qui faut zigouiller tous les mecs qu’auraient pas dû naître…

D. dit: à

Widergänger dit: 30 juin 2017 à 18 h 06 min

Toujours très beau. Je vous lis ce soir avec délectation.

Simone Veil, femme moderne toute dévouée au bien de la France, s’est opposée à la création en 1990 du fichier informatisé des renseignements généraux. Ainsi ce projet fut retardé d’au moins un an.
Au Panthéon !

JAZZI dit: à

« Il sort au bras de son cheval harnaché de pied en cape »

Mais c’est Don Quichotte, ce Jean, WGG !
A moins que ce ne soit Sancho ?

Très belle ta nécrologie de Simone, plus digne, mais moins drôle que la mienne sur le Pierrot, double prix Médicis et Goncourt. Paix à ces cendres !

JAZZI dit: à

Votre témoignage ne m’étonne pas, Paul Edel. Combescot a été durant un bon temps la coqueluche des médias frétillantes. J’ai essayé d’en commencer un, à sa grande époque post goncourt, et j’ai été vite saturé par le trop plein de références culturelles mêlant l’empire romain à la renaissance italienne : plus kitch que baroque. Rien à voir avec la clarté érudite de Dominique Fernandez. Ce serait intéressant de savoir ce que Passou en pense ? Pivot l’invitait volontiers sur son plateau. En mettant son nom dans le moteur de recherche de la RDL, j’ai obtenu « 0 »…

JAZZI dit: à

« ses chroniques de spectacle lyrique dans le canard enchainé sous le nom de Luc Descygnes. »

Ne seriez-vous pas un peu chochotte, P comme Paris ?

JAZZI dit: à

« C’est un veritable blasphème en tous cad que de laisser entendre que le Saint-Esprit de Dieu inspire la mort, alors qu’il est esprit de vie. »

Mille excuses Monsignor !
Laisseriez-vous supposer que sainte Simone a été inspirée par le Diable ?
ça en devient combescotien…

JAZZI dit: à

Combescot, comme Jean-François Josselin, garçon fort sympathique, contrairement à Bory, était porté sur le bon vin et les alcools, les cigares et la cigarette. Les bons resto itou. De bons vivants à l’intelligence vive et aux pointes acérées…
C’était pour moi comme de grandes tantes. Je suis toutes allé les voir, une par une, du temps où je pigeais au Gai Pied, tout en étant salarié de la Mairie de Paris…

JAZZI dit: à

Simone Veil, premier symbole fort de l’Empire macronien annoncé !

D. dit: à

La « folie » Simone Veil s’installe. Édition spéciale dans les journaux, idée de panthéonisation. Je désapprouve totalement mais je m’arrête là sur ce sujet, j’ai déjà tout exprimé.

bérénice dit: à

Qu’est-ce qu’on attend pour détricoter cette loi ?

rien, elle va aux femmes comme une paire de gants et se passe de plus de votre assentiment de mâle à qui pour ce choix le pouvoir échappe.

D. dit: à

Le gouvernement Philippe s’annonce prometteur : de l’économie de petit épicier, à la botte de Juncker et Merkel. On ne pouvait rien attendre d’autre non plus.
Il est allé regarder dans la tirelire et oh surprise, y’avait pas grand chose dedans. Joue les offusqué alors que son Président Macron a été Ministre de l’Économie un bon moment, donc a priori bien placé pour gérer la tirelire trouvée vide.
Et tout va être comme ça, comme prévu. Mais sans doute pire.
Aucune perspective politique, étatique, sociale, rien. Cet ADN-là, venu de l’après-guerre et de De Gaulle, cet ADN qui subsistait encore à un certain degré dans la classe politique précédente, s’est complètement envolé.

Nicolas dit: à

Il faudra quand même que vous nous expliquiez D comment si un de vos poulains gouverne un jour il conciliera le contrôle des naissances et l’interdiction d’avorter. Vous saviez que Veil à libéraliser la pilule?

Chaloux dit: à

Jacquot, tu devrais écrire tes souvenirs littéraires sous forme d’abécédaire. Tout ce que tu écris m’intéresse, un vrai coup d’œil sur la vie, on est toujours dans le vrai en te lisant, et tu as vraiment tort de traiter ton talent par-dessus la jambe.

(Quand on compare avec ce que griffonne l’autre idiot (Edel confond Huysmans avec Char)…)

JAZZI dit: à

« Il est allé regarder dans la tirelire et oh surprise, y’avait pas grand chose dedans. Joue les offusqué alors que son Président Macron a été Ministre de l’Économie un bon moment, donc a priori bien placé pour gérer la tirelire trouvée vide. »

Il indique clairement à son Patron et à son bon peuple, qu’il va falloir rembourser les crédits, D. !

Mais qui donc va payer l’addition ?

JAZZI dit: à

Chaloux, sois mon secrétaire littéraire, mon directeur de collection ! Récupère tout ce que j’ai écris ici en dix ans, fais le tri, remonte bout à bout selon l’ordre choisi : chronologique ou thématique, je relirai le tout, le réécrirai en parti et on partage les bénéfices, si on trouve un éditeur ?

Jean dit: à

Certes, la mère Veil aura beaucoup oeuvré dans le sens du progrès. N’empêche que, question innovations, à l’IVG je préférerai toujours le TGV. Il y a progrès et prograis.

Delaporte dit: à

En 2002, Combescot a milité pour Chevènement. Il le voulait comme président de la République, ce qui n’était pas si stupide que ça. Qu’en aviez-vous pensé, Jacuzzi ?

JAZZI dit: à

Pas grand chose, Delaporte !

bouguereau dit: à

c’est pas lchiotte japonais et l’canard vécé l’idée dson havancement a jean marron..

bouguereau dit: à

et baroz qui tente la débauche de mon cerf de larbin..des bois comac

bouguereau dit: à

D comment si un de vos poulains gouverne un jour il conciliera le contrôle des naissances et l’interdiction d’avorter

dédé c’est la carpe et le lapin..t’as bzoin de rien

bouguereau dit: à

se passe de plus de votre assentiment de mâle à qui pour ce choix le pouvoir échappe

..béré elle s’essentialise

bouguereau dit: à

C’était pour moi comme de grandes tantes.

si elles en havaient..

bouguereau dit: à

Il pèse ses brandons, il retire son pyjama

du chrestien de troye à dada sur son bidet quand qu’il trotte il fait des pets

Chaloux dit: à

Jacquot, reparlons en septembre. Mais je ne te pousse pas à travailler pour commencer par te voler. Je le ferais volontiers à l’œil.
S’il n’y a pas d’éditeur, vois le succès de certains titres déposés sur des plateformes, je suis persuadé que les éditeurs sont has been, nous voici revenus au XVIIIe siècle. D’ailleurs, peu importe le succès immédiat. Il faut que l’œuvre existe, tout le reste est secondaire.

Phil dit: à

Les souvenirs à baroz du landerneau au demi-monde litteraire seraient bien lisibles. Du Léautaud gay sans les chiens chats mais avec un ”fléau” en cuir lanières.

bouguereau dit: à

mon larbin j’lai volé a jean marron..y fsait ses chiottes a la lame à razoir..baroz tu peux ête flatté

Chaloux dit: à

Évidemment, les éditeurs restent indispensables pour tout ce qui est publications scientifiques, histoire etc. Pour ce qui intéresse la littérature, je n’y crois pas. Il faut qu’elle reprenne sa liberté. L’essentiel de la littérature française avant 1850 a été révélé par de simples imprimeurs.

bouguereau dit: à

de simple himprimeur..hanalphabète

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 30 juin 2017 à 22 h 16 min

Le pauvre boumou ne saura jamais lâcher prise, c’est rien qu’une vieille gonzesse hystérique. Un destin.

bouguereau dit: à

mais avec un ”fléau” en cuir lanières

baroz c’est telement monoï et ruban dsatin..qu’un mot dlui et tu nrépond plus dton plein gré phiphil

bouguereau dit: à

22 h 16 min

c’est comme je veux quand jveux havec mon larbin..c’est ma chose

Widergänger dit: à

JAZZI dit: 30 juin 2017 à 21 h 56 min
Pas grand chose, Delaporte !
____________
Très drôle !

Chaloux dit: à

« Des débuts de l’imprimerie jusqu’aux années 1830, la fonction éditoriale a été assurée, soit par des imprimeurs, soit par des libraires. Ce n’est qu’au 19e siècle, le “ grand siècle de l’édition ”, qu’apparaît réellement une fonction éditoriale distincte. Cela se comprend pour tout un ensemble de raisons :

L’imprimerie devient un métier industriel où d’autres produits (la presse, l’affiche, les travaux de ville…) que le livre deviennent financièrement bien plus importants, amenant l’imprimeur à se spécialiser dans ses fonctions d’impression et à choisir dans les marchés d’impression. De ce point de vue, l’impression est devenue un marché concentré sur les périodiques et le publicitaire, l’impression de livres ne représentant plus qu’une toute petite partie des activités de ce secteur industriel.

Le nombre de lecteurs augmente en ce siècle avec la scolarisation amorcée par les lois Guizot, Falloux, concrétisée enfin par les lois Jules Ferry qui rendent l’école gratuite (en 1881) puis l’éducation obligatoire et l’enseignement public laïque (en 1882).

Parallèlement, le nombre d’auteurs et de livres publiés s’accroît dans de très notables proportions, avec une importante diversification et spécialisation et le commerce de la librairie, devant la masse des titres publiés (5400 en 1811, 14.000 en 1911 selon la Bibliographie de la France), devient également une spécialisation, avec une fonction de sélection, renseignement et aide aux lecteurs.
 »
http://mediadix.u-paris10.fr/cours/Edition/102Historique.htm

Chaloux dit: à

Pauvre boumou, dès qu’il a écrit caca il croit qu’il a gagné.

bouguereau dit: à

L’imprimerie devient un métier industriel

sans déconner..comme le wahington pos dans les western..sapré larbin

bouguereau dit: à

L’imprimerie devient un métier industriel

..comme le wahington pos dans les western..sapré larbin

Phil dit: à

Baroz aurait pu finir comme Camus Renaud, à prêcher la croisade contre le grand remplacement du haut de sa tour rénovée, après une vie passée au baisodrome.

bouguereau dit: à

dracul et mon larbin et phil..franchment baroz a ta place jleur baisse le pijama et jleur mettrais a tous les trois lbrandon..tu lmérites bien

bouguereau dit: à

chacun dans leur genre eux haussi..ça leur ferait les pieds qu’elle dirait béré

Chaloux dit: à

boumou, tu serais pas un peu PD honteux?

bouguereau dit: à

gonzesse histérique..pédé honteux..jean michel..tu vas phinir par trouver

Phil dit: à

Bougreau est un prodiouceur olihoude première manière, Stroheim qui déculotte swanson parce qu’elle articule pas assez l’austro-hongrois.

Widergänger dit: à

Une main de fer dans un gant de velours, Simone Veil. C’est sa jeunesse, et surtout son caractère qui lui a permis de survivre dans l’enfer de Birkenau. Une femme remarquable, devant laquelle je m’incline.

JAZZI dit: à

Je regarde Ninja Warrior à Cannes !

bouguereau dit: à

dla sobriété et dla tnu dracul..tu vas faire croire que t’as des brandons dans l’pijama

JAZZI dit: à

« Une femme remarquable, devant laquelle je m’incline. »

Simone Veil au Panthéon, un symbole fort, une main tendue à notre tradition judéo-chrétienne, WGG ?

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