de Pierre Assouline

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La République des livres
Kerangal, Amalric et la note juste

Kerangal, Amalric et la note juste

En toute création artistique, la réussite tient aussi à la note juste. La trouver et la tenir. Rares sont ceux qui y parviennent, discrets sont-ils le plus souvent. La preuve par deux : un livre et un film.

Après l’immense succès de Réparer les vivants, Maylis de Kerangal ne pouvait se manifester que par un petit signe. Ainsi publie-t-on sans paraître. Un livret plutôt qu’un livre avant de se lancer à nouveau dans une entreprise romanesque aussi ambitieuse et puissante. La collection « Paysages écrits » lui en a donné l’occasion. Editée par Guérin à l’initiative de la Fondation Facim, elle propose à un écrivain de composer en toute liberté un texte inédit en s’inspirant de ses paysages familiers, qu’ils soient intimes ou géographiques – sans se limiter à la Savoie… C’est tout le projet de à ce stade de la nuit (76 pages, 10 euros), avec un « à » » minuscule comme s’il s’agissait d’une phrase de milieu ou de fin, alors qu’elle revient en incipit de chacun des chapitres comme pour donner sa cadence au texte.

C’est de Lampedusa qu’il s’agit. « Lampedusa » : quel titre cela eût fait  si cet éclat de prose avait voulu rendre un autre son ! Le nom revient régulièrement à la radio chaque fois que de frêles bateaux chargés de clandestins fuyant l’Afrique échouent avant d’atteindre cette île dépendant de la province d’Agrigente (Sicile) qui doit être un mythe chez eux. Quelque chose comme la porte imaginaire de l’Europe, si près de la Tunisie et de la Libye, deux cents ou trois cents kms. Mais la narratrice, elle, ne peut se défendre de penser au « visage recouvert d’écritures de Burt Lancaster », au prince Salina du Guépard, à son créateur Giuseppe Tomasi di Lampedusa, l’acteur issu de l’émigration anglo-irlandaise interprétant un aristocrate ; mais aussi, moins connu mais tout aussi présent dans son réflexe incontrôlé, à Ned Merrill dans The Swimmer (1968), un film de Franck Perry dans lequel le héros forme le projet de rentrer chez lui à la nage en traversant toutes les piscines privées du Connecticut dont il imagine qu’elles forment une rivière ininterrompue.IMG_2931

Beau texte, sensible, mesuré. Pas un mot de trop, pas une émotion déplacée. Et puis quoi, la dernière fois qu’elle a revu Le Guépard, c’était au Reflet Médicis, rue Champollion, entre la Sorbonne et le Balzar, dans sa version restaurée – moi aussi, on aurait pu être assis à côté dans cette salle quasi déserte qui fleure bon le parfum des cinémas de quartier (« un précipité de velours synthétique, de larmes et de transpiration ») et non celle atrocement popcorneuse et cocaïfiée des multiplex. Il lui a fallu le revoir encore, ce film de légende, mais avec l’actualité en résonance dans le creux de l’oreille, pour s’apercevoir que Visconti avait mis en scène le grand bal comme un interminable naufrage, celui d’une société en décrépitude s’absorbant dans la lente dépose du temps.

D’autres réminiscences viennent parasiter celles-ci, créant un léger chaos de mémoire : la lecture du Chant des pistes de Bruce Chatwin lors de la traversée de la Sibérie en train, la leçon inaugurale de Gilles Clément au Collège de France lorsqu’il avait défini le paysage comme ce que nous gardons en mémoire après avoir cessé de regarder, des îles comme des idées, les vibrations du silence… Aujourd’hui, le nom de fiction de Lampedusa a été recouvert par « un autre état du monde » et l’indignation qu’il suscite, ou devrait susciter si l’on ne s’habituait pas à l’indigne. C’est un lieu dans un non-lieu où viennent échouer et mourir des milliers d’anonymes rejetés par la mer, migrants sans papiers dont personne ne veut, des corps en nombre indéterminé.

Voilà pour le livre. Le film, c’est La Chambre bleue de Mathieu Almaric. Un Simenon, forcément, je n’allais pas le laisser passer, ne fût-ce que par curiosité. Aussi réussi qu’à ce stade de la nuit pour les mêmes raisons. Mathieu Amalric, réalisateur et acteur principal de ce film aux côtés de Léa Drucker, a su trouver la note juste et s’y tenir. Une note bleue comme la chambre de l’hôtel des Voyageurs de la petite ville de Saint-Justin-du-Loup, dans la région de Poitiers, autant dire n’importe où en France (cela a été tourné à l’hôtel Cicero de La Flèche dans la Sarthe, où se retrouve régulièrement le couple adultère ; et bleue comme le papier peint de l’ancien tribunal de Baugé, près de La Flèche, où a été tourné leur procès, l’un et l’autre étant jugés ensemble pour avoir chacun empoisonné leur conjoint afin d’hériter et de fuir ensemble, et condamnés ensemble aux travaux forcés à perpétuité :

« Tu vois Julien, ils ne nous ont pas séparés ».

Du classique et du déjà lu. Sauf que c’est Simenon et c’est Amalric. L’esprit y est, à défaut de la lettre, fort heureusement. La seule fidélité et la seule trahison qui vaillent quand un artiste s’empare de l’œuvre d’un autre artiste pour se l’approprier et la réinventer, quitte à ce qu’ils soient à l’unisson dans leur économie de moyens. Une phrase dont j’ignore si elle figurait dans le roman (publié en 1964, il s’intitulait au départ « Les Amants frénétiques ») pourrait être la matrice de l’ensemble, lorsque le héros répond aux gendarmes qui l’interrogent sans relâche :

« La vie est différente quand on la vit et quand on l’épluche après-coup ».

Dès lors on comprend que, contrairement à ce que l’on pouvait craindre au début, (les amants, chacun mariés de leur côté, sont des amis d’enfances qui se retrouvent longtemps après) ce ne sera pas un remake du « Ni avec toi ni sans toi » de La femme d’à-côté de Truffaut. L’histoire est racontée d’un point de vue unique, celui de Julien, père de famille et marchand de machines agricoles, pris dans les rets tant de sa passion pour cette femme que dans ceux d’une machine judiciaire qui s’acharne à le rendre coupable. De beaux partis pris esthétiques qui ne sont jamais esthétisants, des corps mis à nu et une origine du monde dévoilée naturellement, des cadrages audacieux, une photographie inventive signée Christophe Beaucarne, un dépouillement sans froideur, une habile désynchronisation du son et de l’image viennent à point transcender un fait divers anodin.

La réussite, c’est ce ton d’inquiétante étrangeté conservé de bout en bout,  jusque dans les ambiguïtés d’un dossier judiciaire qui, en ce qui le concerne (car elle, tout la désigne comme coupable) ne s’appuie que sur des apparences et de la malchance, des coïncidences et un faux témoignage. Cela tient à un détail mais qui ne fait pas son petit important, un frémissement de narine, un haussement de sourcils, l’écho d’un soupir, à peine deux ou trois mots  murmurés, le tout baignant dans une lumière venue d’ailleurs au long de ce récit déconstruit et reconstruit au rythme d’une chaconne autour de l’enquête du magistrat-instructeur en flash-Bach. Amalric sait donner à voir autant qu’à entendre le désir, le doute, la passion et l’amour comme si c’était la première fois. Même les audiences rendent un son d’une rare authenticité, contrairement au toc de beaucoup de procès de cinéma et de télévision.

Les silences y sont admirables. Chez Mathieu Amalric omme chez Maylis de Kerangal. Des silences qui prennent la parole lorsque leurs auteurs, après nous avoir durablement inquiétés, nous laissent stupéfaits devant les choses de la vie.

(« La chambre bleue » photo extraite du film ; « Maylis de Kerangal » photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, Littérature de langue française.

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commentaires

688 Réponses pour Kerangal, Amalric et la note juste

Bihoreau de Bellerente dit: à

Ah, ce que je vais bien dormir! Le teigneux et son caniche dans le caca! Le caniche vient de démissionner, puisse le teigneux tomber aussi, et monsieur Fillon assumer son destin. Ce sera ma prière avant de dormir.

Marcel dit: à

A Rose, pour son intérêt oulipien.

Sonnet acrostiché avec le quatrième vers du calligramme d’Apollinaire dont il était question il y a deux jours.

ÉCOUTE mon désir d’accrocher des sourires.
S’IL faut, je me plierai en deux, en six, en neuf.
PLEUT les malheurs sur terre recouverts par le bluff,
TANDIS que les nantis planquent leurs tirelires.

QUE ne suis-je acrobate ou roi des oiseaux-lyres ?
LE pessimisme lourd serait tué dans l’oeuf.
REGRET s’envole au vent dans un spectacle neuf
ET le pitre ravit par ses joyeux délires.

LE clown se démaquille au soir dans son miroir,
DÉDAIN des bons pensants cerne son regard noir.
PLEURENT en lui des sacs d’actions inhumaines.

UNE chanson le prend dans ce monde asservi,
ANCIENNE musique au détour des rengaines,
MUSIQUE de burlesque, un doux baume à l’envi.

Jean Calbrix, le 28/05/14

Bloom dit: à

Un rapport entre les Anglais et le whisky? Très lointain, car le pays ne produit que des produits coupés, mélangés. Le whisk(e)y n’est (produite de ) culture qu’au nord du Solway et à l’ouest du Canal St George.
Comme dit l’aveugle, on sait qu’on est en Angleterre quand la bière est chaude et la soupe est froide.

Bloom dit: à

produit, c.n!

Bloom dit: à

Bygmalion l’a tuer. Les m(e)aux du Système.
Bon pour personne.
Mon pays va mal.

Bihoreau de Bellerente dit: à

Certes, les Anglais préfèrent le gin au scotch, mais le gin, malgré la Reine-Mère – Écossaise – qui l’aimait bien, garde un tout petit côté populacier. Je me demande combien pèse le whisky dans la balance des paiements écossaise.

Bihoreau de Bellerente dit: à

Tant que l’argent jouera un trop grand rôle dans la politique, ce sera comme ça. La politique c’est comme la peinture: seuls les salauds se salissent…

des journées entières dans les arbres dit: à

Quant à moi, sans vous faire de grande thèse, je voudrais redire tout le charme du Vercors.

(uhuh est alcoolo-dépendant ?)

maurice dit: à

des journées entières dans les arbres 27 mai 2014 à 19 h 29 min
(@maurice dit: 27 mai 2014 à 19 h 18 min
parait que Mélanchon pleurait comme un gosse dimanche soir, c’est vrai ?)

Je ne sais pas. Contrairement à vous je ne l’ai pas vu ni entendu ni lu – ni lui ni les autres – (il m’énerve, ceci dit au risque de contrarier vos préjugés de beauf (j’ai pas dit de « veau » ( ni de « bougnoule » du reste! Seule une élite a le droit d’employer ces mots oints par charlito )

« J’disais l’Egypte comme ça! J’aurais aussi bien pu dire… le Liban. »
L’oracle a causé ! Stupéfiant de vérité (comme toujours)

des journées entières dans les arbres dit: à

maurice dit: 28 mai 2014 à 7 h 23 min
bonne journée maurice; calmez-vous.

amen dit: à

Bihoreau 28 mai 2014 à 0 h 39 min
FF et alain, toujours si bien coiffés, si polis et self-controlled en apparence, c’est un signe

amenogun eddy deuxnante dit: à

Ueda
nos racines catholiques.

Cathos et gauloises

Onésiphore de Prébois dit: à

parait que Mélanchon pleurait comme un gosse dimanche soir, c’est vrai ?)( Des journées)

Il était au bord des larmes, en effet, derrière une tribune verdâtre, dans un décor glauque. On aurait dit un dinosaure découvrant l’inéluctable. C’était à la fois indécent, grotesque et révélateur. Encore un qui n’aura rien compris, mais rien. Sarko, lui, malgré toutes les casseroles tintinnabulant à ses basques, se sent l’âme pure d’un enfançon. T’inquiète, mon mignon, le trio Juppé/Raffarin/Fillon pense fort à toi.
Il est vrai que Mélanchon, comme beaucoup d’autres, s’était fait à son statut médiatique d’anti-vedette parmi les vedettes. Pauvre clown qui sent venir l’heure de la mise au rancart. Flanby, lui, reste droit dans ses charentaises : surtout on ne change rien, on confirme la feuille de route, et on marche l’oeil fixé sur les objectifs tagués sur le mur ; on y va droit. Le jour, très proche, où ça va vraiment péter,on se demande ce que notre Hollandais inapte à voler va faire : fera-t-il donner les CRS ? la troupe ? En tout cas, celle de notre petit cirque politico-médiatico-technarcho- friqué si tant bien franco-français, si tant bien installé dans son système de reconduction-cooptation quasi automatisé a du souci à se faire. On nous bassine avec les oligarques ukrainiens et russes : et les nôtres, personne ne les voit ? C’est vrai qu’on a le nez dessus, on manque de recul. Vivement dimanche, que ça pète.

Bloom dit: à

mais le gin, malgré la Reine-Mère – Écossaise – qui l’aimait bien, garde un tout petit côté populacier.
=====
Vrai, BdeB, et il est aussi synonyme de biture, voir Gin Lane, la célèbre gravure de Hogarth,(couplée à une Beer St, moins abrasive) qui mit son talent au service de la dénonciation des méfaits de l’alcool de genièvre, que Guillaume d’Orange, IIIe du nom, importa de Hollande en même temps que son protestantisme en 1690. Les murs des quartiers loyalistes de Belfast se souviennent encore la trace de la victoire de The Boyne contre les armées’papistes’ de Jacques II.
La Glorieuse révolution = gin à l’Orange.
http://www.britishmuseum.org/explore/highlights/highlight_objects/pd/w/william_hogarth,_gin_lane.aspx

Drunk for a penny
Dead drunk for twopence
Clean straw for nothing

Si le gin est un « alcool protestant », le whisk(e)y est indublitablement celui des ‘franges celtiques’, avec un développement, depuis les années 70, d’une industrie de qualité, notamment en Ecosse où on vous dira que le secret de l’ uisge beatha, l’eau-de-vie, réside dans la qualité de l’eau des rivières virginales de l’est et des iles occidentales de l’Ecosse.
Le gin ne se boit plus pur,comme au 18e, mais arrosé de Tonic (G & T)ou tout autre émollient. C’est un alcoll de fête entre amis. Le whisky est à son meilleur lorqu’il est consommé pur (neat, on its own) ou avec un filet d’eau. Il n’y a guère que les mufles qui y mettent des glaçons, ou les sudasiatiques qui y ajoutent et de l’eau et des cubes glacé en un bourre-pif radical qui met des degrés supplémentaires aux 40 ambiants.
Ai goûté les meilleurs whiskys en France chez des cavistes regroupés en étranges confréries.
Dernier chic: les repas aux whiskys…
On a des idées, et les Ecossais, eux, ont du pétrole, la vraie richesse qui rend l’indépendance tout à fait envisageable: « the industry association Oil and Gas UK has recently published figures which estimate that North Sea oil and gas production alone boosted the UK’s balance of payments by £32 billion in 2010, almost halving the UK’s deficit. The industry also estimate that some 14-24bn barrels of oil remain in the North Sea, with a potential value of up to £1.5 trillion (in real terms).
http://www.newsnetscotland.com/index.php/scottish-economy/5325-uks-balance-of-payments-would-double-without-scotland

la flute hollandaise dit: à

Et tous ces commentaires bas de plafond…!
Je retourne à contenir des bulles!

arthur dit: à

Dans l’UE, gouvernée à droite et à l’extrême droite, FH si imparfait soit-il, est pour l’instant le seul à tenter de sauver les acquis sociaux déjà bien amochés par ses prédécesseurs

le verre ballon dit: à

A propos de Peter Handke…
Pourquoi ne pas faire se rencontrer l’ écrivain de l’angoisse du gardien de but avant le pénalty avec le  » portiere » Ivano Bordon, double champion du monde italien de football?

d'amour et d'eau fraiche dit: à

arthur, où as-tu caché le mort?

bouguereau dit: à

On aurait dit un dinosaure découvrant l’inéluctable. C’était à la fois indécent, grotesque et révélateur

que c’est la déroute qui te réjouit jean marron..

bouguereau dit: à

La politique c’est comme la peinture: seuls les salauds se salissent…

..j’avoue moi que voir un peintre à l’oeuvre avec des gants silicon me laisse un peu mal a l’aise byoro

renato dit: à

Quoi, on ne peut plus faire usage d’un mot sans qu’un bas de plafond certifié authentique y voit une allusion ?

bouguereau dit: à

Pauvre clown qui sent venir l’heure de la mise au rancart

pouah t’es comme dracul a te selfier avec ton samsung au volant de ta viva sport en disant que t’es le male alpha.. »vous comprenez mes petites chéries »

bouguereau dit: à

Comme dit l’aveugle, on sait qu’on est en Angleterre quand la bière est chaude et la soupe est froide

« je me moque mieux de moi que quiconque et mes amis seront toujours bien plus vachard que vous pourrez jamais l’être, cloportes »..c’est ça l’humor anglais kabloom..pour ça que chez eux c’est les kings..je sais où il faut louer leurs indéniables qualités

bizemute dit: à

d’amour et d’eau fraiche dit: 28 mai 2014 à 8 h 46 min
arthur, où as-tu caché le mort?

les acquis sociaux quelle vulgarité

renato dit: à

Compte tenu que le plus des fois on ne pleure que sur soi-même, que le gars est le seul politique français dont on peut dire qu’il est « flamboyant », qu’il est aussi l’un des rares qui dispose d’une culture et d’une éducation (bonnes manières), je comprends qu’il pleure (bon, indépendamment de tout ça, il y a de quoi pleurer). C’est vrai que je comprends mal son engagement avec les archaïques du PC, mais c’est aussi vrai que les méandres de la pensée sont un mystère à tous les effets…

yves dit: à

les archaïques du PC

les ultracons être plus archaïques de plusieurs siècles

bérénice dit: à

« petite chose odieuse »
Comme les fonds, des journées, il vous faudrait déclarer les sources de votre affirmation et éplucher le livre de votre comptabilité. Je ne vois pas une fois de plus de preuves formelles à cette allégation, s’agit-il d’un transfert, en tout cas c’est une énormité que vous seule, êtes capable d’objectiver, je conclus à une trop grande part de subjectivité dans votre fonctionnement et c’est indigne de quelqu’un qui comme vous s’entoure de science pour en irriguer sa conscience. Seriez-vous par opposition une espèce de grand phare rayonnant ou une corne de brumes?

Onésiphore de Prébois dit: à

que c’est la déroute qui te réjouit jean marron..( bouguereau)

Oui, elle me réjouit, et sans réserve : que penses-tu de cette « démocratie », où ce sont les mêmes qui sont réélus jusqu’à plus soif, assistés par une bande de technocrates eux-mêmes quasiment inamovibles, où c’est le gouvernement qui fait les lois, nos Assemblées étant pratiquement réduites à des chambres d’enregistrement, où il est si facile aux « élites » qui nous gouvernent de se dédouaner de leurs erreurs, de leurs décisions aberrantes, de leurs malversations, où la collusion du pouvoir politique et des puissances de l’argent est éclatante, où à peu près 1% des citoyens de ce pays détient la réalité des décisions politiques tandis que les 99% restants ont juste le droit de (ne pas) déposer un bulletin dans une urne trois ou quatre fois par décennie ? Je n’appelle pas ça une démocratie, j’appelle ça une oligarchie maquillée en démocratie. Un livre est à relire d’urgence par les temps qui curent : c’est « Le rôle de la violence dans l’histoire », d’Engels. Il est toujours actuel. Mais cette fois, il ne faudra pas compter sur les « élites » du mouvement ouvrier pour encadrer cette violence; encore faudrait-il qu’elles aient des troupes pour les suivre. J’ai d’abord été indigné par le mouvement des bonnets rouges, mais j’ai changé d’avis à leur sujet : ce sont eux les précurseurs. Ils incarnent la récupération de la démocratie par les citoyens de la base, au détriment des décisions imposées d’en haut par un gouvernement piloté par les technocrates, sans consultation de la base. Notre « démocratie » oligarchique me paraît incapable de se réformer par le haut : trop de gens ont intérêt (un intérêt très concret, très personnel) à ce que les choses se perpétuent tant bien que mal. C’est d’en bas, des masses populaires (des jeunes notamment) qui se foutent d’aller voter, et qui ont raison de s’en foutre, que naîtra la démocratie de demain, en France et en Europe.

bouguereau dit: à

Compte tenu que le plus des fois on ne pleure que sur soi-même

pas plus qu’on se chirait dsus si qu’on fsait pas bien gaffe rénato

cristal flûte dit: à

« urgence par les temps qui curent » O de P
Belle expression involontaire où la politique pour les nuls!

bouguereau dit: à

Je n’appelle pas ça une démocratie, j’appelle ça une oligarchie maquillée en démocratie

..c’est le cas, et les djeunes qui ont voté lepen sont pas en reste..faut trés bien faire gaffe à la violence jean marron

bérénice dit: à

J’ajoute des journées bien que ce détail manque de grandeur et de pertinence ici que je n’ai jamais été mariée, l’hypothétique mari que vous m’octroyez n’a donc pu mourir soit de mort accidentelle, violente, de maladie ou suicidé. Aucun veuvage, aucun mariage, ni blanc ni noir. Voyez vos archives personnelles une fois de plus et ne diluez pas votre historiographie au flux, compartimentez, les chinois fabriquent d’excellents containers étanches et recyclables.

yves dit: à

Les bonnets rouges ces néocons aplatis devant l’écotaxe passée comme une lettre à la poste sous l’ultradroite !

Des copistes du Wikipédia entier dans les marbres dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 28 mai 2014 à 6 h 27 min
Quant à moi, sans vous faire de grande thèse, je voudrais redire tout le charme du Vercors.

Imaginons un instant mes frères le miel que Simenon aurait tiré d’une telle émeute de pétales de mots roses de notre phraseur préféré de la RdL.
« Madame Entière dans les arbres sortit à cinq heures, reposée, bichonnée, pomponnée, les joues juste un peu gonflées par l’air bleu d’une chambre à air que son gros ego vain avait avalé pendant son sommeil, la bouche ouverte ».

bouguereau dit: à

C’est vrai que je comprends mal son engagement avec les archaïques du PC

les « archaiques »..disons que les nouveaux à l’échelle d’un « continent » sont tellement destructuré qu' »ils ne savent plus ou ils habitent » comme dit de manière si bien imagé l’expression populaire..on peut leur proposer « le nomadisme » primitif comme kabloom comme « porte de sortie »..seulement voilà passé les borne ya pus dl’imite..faut reconnaite que le libéralisme dans tous les pays comme lénine c’était pandémonium..zig heil response..un staline et la part du feu c’est mieux

Phil dit: à

oui Onésiphore,
comme dit l’écrivain (de droite ?)
« Sur les ruines de l’Europe, le football ».
Répétition au Brésil cet été.

bérénice dit: à

Mon pays va mal

L’historique du financement de la campagne finit par peser lourd, de Kadhafi à Bygmalion , une cure d’intégrité. D’ailleurs le report de voix est un pur hasard, à choisir, une minorité comptabilisée à la hausse dans ce paysage politique désaffecté avec une abstention record, pour un parti qui sait cacher son gout pour l’argent entre autres choses graves comme le racisme, le fascisme; les gens sont si crédules qu’ils préfèrent une simplification des données qui touchent à la bêtise plutôt que croire à des politiques compromis.

cristal flûte dit: à

« Sur les ruines de l’Europe, le football ».

Le football c’est la guerre poursuivie par d&autres moyens!
C’ est du Pierre Bourgeade, Gallimard 1981, relu avec un vrai plaisir!
( Le rencontre Peter Handke Ivano Bordon, chic, chic, chic, à vous de jouer Passou!)

bouguereau dit: à

« Sur les ruines de l’Europe, le football »

le foot c’est chronique d’une mort annoncée phil..les places sont bien trop cher..et si tu crois qu’ils vont se contenter d’écran plat dans les bistrots..je dis ça pasque j’aime pas le foot..je préfère les combats dans les parkings a main nue..d’homme et de femme attation, on fait pas de mal aux chiens..on est civilisé

bouguereau dit: à

Le football c’est la guerre poursuivie par d&autres moyens!

plétment aout..ce bouquin date des hououligans..on entend pus parler des ououligans..il menançait trop le biz..passé à la zapette du fric

Glou glou dit: à

bouguereau en forme dès le matin en attendant Court sur pattes

Onésiphore de Prébois dit: à

..c’est le cas, et les djeunes qui ont voté lepen sont pas en reste..faut trés bien faire gaffe à la violence jean marron (bouguereau)

En effet, et si nous voulons éviter la violence, il est temps de nous y mettre tous, car, à cette occasion, le système a exhibé ses tares et son incapacité à se réformer. C’est d’un mouvement citoyen que nous avons besoin ,pas d’un quelconque club de Rome ou d’ailleurs ni d’un mouvement de recrutement de militants pour les partis actuels, mais d’un mouvement qui parte des masses, quelque chose comme les Indignés américains, mais plus ample et ancré dans la durée. Quelque chose qui rappellerait les clubs de la Révolution française. Ce qu’on appelle des contre-pouvoirs. Et l’expérience concrète des gens, sur le terrain, est irremplaçable, et elle mène loin. Tiens, je te cite un exemple : à l’hôpital d’une ville voisine où j’ai actuellement mes habitudes, on a engagé à grands frais une campagne de rénovation des bâtiments, notamment du bloc chirurgical. On en a même ajouté un autre. Du coup, l’hôpital s’est fortement endetté. Peu de temps après huit infirmières (huit!) affectées à ces blocs chirurgicaux ont démissionné en même temps ! Je n’en connais pas les raisons. Cela doit avoir un rapport avec les conditions de travail et de rémunération. Pour les remplacer, la direction de l’hôpital a engagé deux (deux!) intérimaires. Entre temps, comme par hasard, on s’est aperçu que, dans l’hôpital d’une ville voisine, on avait construit récemment des bâtiments neufs, vastes et actuellement inoccupés. Il serait question d’y construire un ou deux blocs chirurgicaux. Parallèlement, on supprimerait les blocs chirurgicaux de l’autre hôpital, endetté et en manque d’infirmières. Ces deux hôpitaux publics contribuent à couvrir à peu près les besoins de deux cent mille habitants. Bien entendu, la presse locale et régionale n’a soufflé mot de ce pataquès administratif et financier, certainement très révélateur, par ailleurs, des problèmes de l’hôpital public en France. Voilà de quoi nourrir une action authentiquement démocratique sur le terrain, et qui ferait sûrement boule de neige !

bouguereau dit: à

les gens sont si crédules qu’ils préfèrent une simplification des données qui touchent à la bêtise plutôt que croire à des politiques compromis

celle là j’aime bien..tu dois avoir des photos de shibari au dessus de ton lit..et t’hésites

bérénice dit: à

cristal flûte puisque vous aimez les allusions et les collages, pensez-vous que la vibration d’un lieu puisse être modifiée par le passé récent ou ancien, j’y pense alors que j’entre dans un de ces villages qu’avant j’aimais, empruntant cette route bordée d’arbres tout en majesté qui mène à la fontaine au poisson, au casino, desservant nombre de villas cossues, jardins entretenus et qui fut le théâtre d’évènements significatifs passés au blanc d’Espagne et dont seule la trace mnésique subsiste en chacun de ceux qui se refuse à les ignorer ou à les transformer en un de ces nouveaux repères pour monde en décomposition. J’en enregistre maintenant un décor maléfique barré d’un ruban blanc.

datura46/47/48 dit: à

réparer P.Assouline, vraiment ?
« Il peut sembler pervers d’exprimer de la nostalgie pour une catégorie de maladie mentale, note dans le Guardian Alexander Linklater, mais beaucoup regrettent la disparition de la “maniaco-dépression” », depuis que l’on parle de « trouble bipolaire ». Le psychanalyste Darian Leader est de ceux-là. Dans son dernier essai, il se désole de la banalisation du mal sous l’effet conjugué « de la culture populaire et du marketing pharmaceutique, qui ont transformé un concept psychiatrique en une variété de symptômes embrassant un spectre d’humeurs assez large pour s’appliquer à presque toute personne ayant des hauts et des bas », souligne Linklater. De fait, les diagnostics ont été multipliés par quatre depuis le milieu des années 1990. Et le manuel psychiatrique de référence « distingue les bipolaires 1, 2, 3, etc. », relève David Stenhouse dans le Scotsman. Mais l’imprécision de la définition n’est pas seule en cause : « De même que l’hystérie, qui touchait tant de femmes à l’époque de Freud, était en partie liée aux bouleversements de leur rôle social, renchérit Stenhouse, il n’est pas impossible que l’intense pression qui s’exerce aujourd (…)
sur books l’info
http://www.books.fr/en-librairie/tous-bipolaires-/

Daaphnée dit: à

les gens sont si crédules qu’ils préfèrent une simplification des données qui touchent à la bêtise plutôt que croire à des politiques compromis

ça et le reste, comme le souligne le Boug’, quelle bouillie !

Dada dit: à

Daaphnée, ueda vous a priée de vous taire, vous devriez l’écouter.

Widergänger dit: à

Prébois a la tête farcie de clichés : il croit encore au grand soir, et à la violence dans l’histoire, et portée par les jeunes.

Ce que tu te goures !

Qu’ça va, qu’ça va, qu’ça va durer toujours…! Les jeunes n’en ont rien à foutre non plus de changer le monde, mon brave Prébois.

Dada dit: à

Je répète, Daaphnée, écoutez votre ami :

ueda dit: 27 mai 2014 à 21 h 00 min
Vous êtes une conne.

ueDada dit: à

@ Widergänger

Vous êtes une conne.

Dadaaphnée dit: à

C’est vous la conne .. Na !
(Pff ..)

datura46/47/48 dit: à

Mais en ces temps difficiles, impossible d’écarter toute considération utilitaire. C’est pourquoi il faut tendre l’oreille aux propos de Laszlo Bock, le DRH de Google, qui fait cent recrutements par semaine. À la question: « L’étude des humanités est-elle importante ? », il répond dans une interview : « Oui, extraordinairement importante ! » Mais, attention au bémol : l’idéal, ajoute-t-il, c’est de les allier à des études de type scientifique, car celles-ci « sont le signal d’une pensée plus rigoureuse et d’une plus grande énergie au travail » (3). Entre les maths et les lettres, « l’esprit de géométrie et l’esprit de finesse », le débat n’est toujours pas près d’être tranché.

http://www.books.fr/blog/lavenir-radieux-de-la-lecture-les-lettres-meme-pour-entrer-chez-google-1/

kicking dit: à

@datura46/47/48

oui bon, quand on lit qu’un mec a peut-être tué sa femme parce qu’il était malade et « voyait tout en noir » pensez donc, sur le sujet psy tout le monde peut dire n’importe quoi et seuls les professionnels sont dangereux, n’est-ce pas..

dear me dit: à

Les molières 2014 : à rouler de rire ou à se pisser dessus ?

dear me dit: à

et le dernier tweet date d’il y a deux jours, c’est louche, dirait bouguereau.

Dada dit: à

bérénice dit: 28 mai 2014 à 9 h 36 min
quelqu’un qui comme vous s’entoure de science pour en irriguer sa conscience.

Joliment dit.
Ah, vous n’êtes pas n’importe qui, bérénice.

kicking dit: à

bref, s’il le binaire peut rassurer les cons..

domi dit: à

il n’y a aucun cinglé sur ce blog

bérénice dit: à

ça et le reste, comme le souligne le Boug’, quelle bouillie !
Et ne parlons pas du porridge mais Ânes ne mangez que du son.

Ciboulette dit: à

tout à fait d’accord, domi : sauf Court sur pattes, c’est Rénaldo Âne qui l’affirme, alors !

bérénice dit: à

les gens sont si crédules qu’ils préfèrent une simplification des données qui confine à la bêtise plutôt que croire à des politiques compromis.

Marcel dit: à

Dada dit: 28 mai 2014 à 11 h 24 min
bérénice dit: 28 mai 2014 à 9 h 36 min
quelqu’un qui comme vous s’entoure de science pour en irriguer sa conscience.

Joliment dit.
Ah, vous n’êtes pas n’importe qui, bérénice.

Une poétesse, mon vieux D., mais aussi un esprit éclairé qui bat en brèche l’adage « science sans conscience est la ruine des suppléments d’âme ». La véritable réflexion étant la conscience sans la science n’est que pipi de chat.

Dada dit: à

plutôt que croire à des politiques compromis.

Le compromis est au promis ce que la conscience est à la science.

Deneb dit: à

Moi non plus, je ne suis pas Deneb, mais D. le dada à Dimitri qui n’est pas Dimitri, mais Pathos.
Je suis facile à reconnaitre, je suis un catholique de la tradition extraterrestre, j’ai un implant dans le corps, je rêve de draguer les filles sur une île de 300 habitants. Dans la vraie vie, je piétine les manteaux de mes collègues femmes, je passe ma vie quand j’ai un emploi, à surfer sur internet enfermé dans les toilettes.

recherche dans l'intérêt des familles de pensée dit: à

Dada dit: 28 mai 2014 à 12 h 06 min
Cher Marcel, je ne suis pas D.

tu serais ueda que ça m’étonnerait pas…

recherche dans l'intérêt des familles de pensée dit: à

Deneb dit: 28 mai 2014 à 12 h 16 min

bonjour TKT !

Daaphnée dit: à

les gens sont si crédules qu’ils préfèrent une simplification des données qui confine à la bêtise plutôt que croire à des politiques compromis.

Bon, ce n’est pas gagné, Bérénice !
– croire à des politiques compromisES ?
– croire des (hommes) politiques compromis/corrompus ?

shocking dit: à

A 12 h 16 le troll TKT usurpe le pseudo de Deneb. Fais quelque chose, baroz, tu peux pas laisser passer ça !

Explication de texte dit: à

Daaphnée dit: 28 mai 2014 à 12 h 22 min

« Compromis » au sens de compromission, Daphné. UN politique. Ça se dit, si, si.

Vouzett Zuneconn dit: à

Plus ça va, plus Daaphnée s’aperçoit que Bérénice est beaucoup plus intelligente, plus fine, plus avisée qu’elle et ça l’énerve.

Daaphnée dit: à

UN politique. Ça se dit, si, si.

Certainement!
Mais en ce cas, il faut dire « croire un/des » et non « croire A un/des .. »
Sombre crétine !

Ah, les illétrés sur ce blog. Pfff !

Daaphnée dit: à

illettré.

D., prétendant à la couronne francilienne de souche dit: à

Nous adorons avec nos commentaires faire croire que nous sommes quelqu’un d’autre. Semer le trouble, voila notre mission divine.
Les Blocs auxquels nous participons grâce à nos mots d’esprit-malsain, gagnent en qualité.
Vive la France et les Français de souche, vive la France messe-en-latin, vive la France de Marine Le pen.
Bientôt nous aurons une nouvelle monnaie, le FM, soit le franc marin.
Unité principale, le marin, correspond à 10000 minimarin.
Pour bouster l’industrie française, nous interdirons tous produites non made in France, même les produits fabriqués avec une énergie étrangère, idem pour les matières premières, seront interdits.
Nous comptons reconquérir les anciennes colonies, afin d’avoir du vrai sucre de canne français, du pétrole français etc…
Il sera discuté qui est Français ou pas, premier critère, une peau blanche blafarde rougissant au soleil, des cheveux couleur lavasse, un blond tirant sur le beige. Uniforme pour les hommes, une veste de garçon de café en coton blanc, une cravate sombre, une chemise blanche à manches courtes. Pour les femmes, nous créerons un costume pantalon et veste, la veste ayant des manches comme une veste de fille du far-west. Les femmes sont priés de rire comme notre Guide Suprême, rire forcé, sourire léthal.
Nous annonçons pour l’avenir, la troisième génération de la famille du Guide Suprême.
Nous comptons faire la guerre aux Anglais, Monsieur Farage ayant déclaré qu’il ne voulait pas s’associer à un parti antisémite comme le FN.
Nous ne sommes pas antisémite, les Lois de Saint-Cloud, ne prévoient pas de solution radicale. Nous voulons sur le sol français, le bonheur français, foie gras et cuisine au beurre, sauce ä la crème fraîche double.

Daaphnée dit: à

Plus ça va, plus Daaphnée s’aperçoit que Bérénice est beaucoup plus intelligente, plus fine, plus avisée qu’elle et ça l’énerve.

Ce doit être cela ..
Nous sommes plusieurs à être TOTALEMENT et coitement subjugués ..

D. dit: à

Aujourd’hui c’est la Saint Germain.
Jeudi, jour de l’ascension, je pars vers la planète Deneb, en fusée-suppositoire.
Aujourd’hui, je jeûne, mon chat mangera ses croquettes en solitaire.

Ach! dit: à

Les Blocs auxquels nous participons grâce à nos mots d’esprit-malsain, gagnent en qualité.

Aujourd’hui le bloc, demain le bunker

bouguereau dit: à

allons vontraube tous les particularismes idiot lorgne sur monaco luxembourg les iles anglo..israel..rien d’antisémite de droite attation..tout le monde sait que c’est un des nombreux trou noir banquaire..avec des votations sur les émigrés et la peine de mort bref..tu pourras revenir vontraube et la suisse a du souci a se faire

bouguereau dit: à

coitement subjugués

explosante fisque!

bouguereau dit: à

Les jeunes n’en ont rien à foutre non plus de changer le monde, mon brave Prébois

au moins cherche t’il a les honorer de ses pensées tandisque toi tu les affubles de tes haillons

bérénice dit: à

Daaphnée je vous rappelle que je n’ai que faire de vos opinions et que je ne cherche pas à vous épater, je ne dispose pas des moyens ni de cette volonté, je dispose comme vous d’un droit à l’expression.

bérénice dit: à

Vous usez et abusez d’anglicismes pourquoi ne pas utiliser des termes employés dans le langage courant du journalisme, effectivement politiques pour des hommes, compromis pour ce que l’actualité ramène dans ses filets de compromission, d’abdication et de corruption.

bérénice dit: à

Mais il est vrai que c’est du meilleur effet dans une maison d’arrêt que les détenus concernés par cette déclaration sachent orthographier correctement: je l’ai violé ou je l’ai violée et reconnaitre le COD placé avant le verbe créateur, en y mettant toute leur attention, ça change tout bien évidemment, les statisticiens pourront produire une étude sur le niveau à la hausse dans ces maisons.

bérénice dit: à

Je ne comprends pas Daphnée pourquoi vous accordez plus d’importance à la forme et au respect inconditionnel des règles de grammaire qu’au fond sauf à vouloir fondre sur le fauteur tel une buse ayant repéré un mulot imprudent pour y épuiser votre sens de la rectitude.

D. dit: à

JC et MOIMÈME sont les seuls trolls autorisés par NOUSMÈMES.

bérénice dit: à

D faites-vous référence au noumène (en grec ancien νοούμενoν / nooúmenon)

Dédé de nouméa dit: à

Je me comprends pas devers moi et je n’en dirai pas plus.

recherche dans l'intérêt des familles de pensée dit: à

D. dit: 28 mai 2014 à 13 h 49 min
MOIMÈME

sachant que TKT est le seul commentateur à écrire mème au lieu de même…

Rirette, haltérophile pacifiste dit: à

Bérénice, ne vous laissez pas marcher dessus par ces deux aigries que sont Daaphnée et des-journées.

R. L. dit: à

À chacun son boulet : Daaphnée pour ueda, TKT pour Barozzi. Bah, c’est humain, comme dit bouguereau.

des journées entières dans les arbres dit: à

« Des silences qui prennent la parole lorsque leurs auteurs, après nous avoir durablement inquiétés, nous laissent stupéfaits devant les choses de la vie. »

abattu, au 36ème dessous, comme Jospin après le premier tour en 2002.

JCouille dit: à

Et moi, Thierry ? Tu m’oublies ?

Pinpin dit: à

haltérophile pacifiste

les boules, ça sert à rien

des journées entières dans les arbres dit: à

« Amalric sait donner à voir autant qu’à entendre le désir, le doute, la passion et l’amour comme si c’était la première fois. »

Oui, mais là faut savoir danser la chaconne.

Rôôôô dit: à

les boulets

t’as enflé des amygdales béré épicétou

En juillet avec le nez dit: à

je dispose comme vous d’un droit à l’expression.
béré de nice

En mai avec les pieds, en juin avec les mains.

bérénice dit: à

Des journées vous mélangez, Jospin démissionna, je le soupçonne de dépression chronique, là en l’occurrence c’est Copé qui se voit mal en point, la scène est si bien gérée que ces gens qui n’ont pas l’air de vous inquiéter totalisent un résultat jamais atteint, on peut accuser les pains au chocolat Joe Dassin ce n’est pas drôle du tout. Mais surement vivez-vous dans un bunker en compagnie d’un clone du Churchill qui vous fera parvenir l’appel du 18 juin quand enfin sortant de votre foret vierge vous prendrez note des accords de Genève.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…parlez pour ne rien dire!,…

…ne soyez pas jaloux des juifs!,…vous pouvez mieux faire!,…changer les valeurs et estimes!,…
…dites ce qui vaut!,…les dix commandements inversés déjà,…ensuite vous tenez vitrines de l!inverse en public comme le Pape et ses putes de bonnes-soeurs au service des comédies et de l’Union Européenne!,…
…continuez le combat bande de salauds normaliens,…
…qui peux le moins, peux le plus!,…l’école monastique en arrière-boutique,…
…chérie,…Monsieur du boudin!,…voyez l’arrière-boutique avec ma fille!,…
…pas deux fois,…Oui!,…la file est libre,…la maréchaussée viens de sortir,…avec la morale de biais!,…
…vous choisissez!,…Oui!,…vous avez bon goûts!,…vous payez en liquide avec votre bordeaux millésime!,…
…plus riche queue les juifs-riches!,…
…un con-cours d’€uro’s-vision!,…en  » dix-versions’!,…Ah !,…Ah!,…etc!,…
…queue du bonheur un bon manche!,…
…suivant!,…après!,…les F.N.,…milliardaires!,…le doigt dans l’€cul!,…etc!,…Urbi & Örbi!,…Ah!,…

bérénice dit: à

brumes? »

on dirait une tirade de l’amant frénétique, l’autre-là, comment déjà il s’appelait déjà ?
Corneille ?

Que voulez-vous quand on a des trous, se trouve toujours un souffleur de verre, l’artisanat première entreprise française.

bérénice dit: à

Giovanni que préconisez-vous pour purger la scène politique sans pour autant faire fuir les capitaux?

D. dit: à

Que voulez-vous quand on a des trous

Bérénice, n’insistez pas. Je me dresse ferme et inflexible au côté d’une autre et vous n’y pouvez rien.

bérénice dit: à

D bricolage! et de plus pas très pratique pour se garer, vous regretterez.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…je vous répondrais quand je serais réellement milliardaire!,…etc!,…

…je m’inscrit sur la liste pour battre les juifs à leurs jeux!,…
…sans partage!,…qui veut du boudin au beurre à l’ail!,…Ah!,…

Sergio dit: à

Coillon-Fipé y vont pas nous mettre le contrôle technique moto ? Ha les rats !

bérénice dit: à

C’est gênant de devoir en passer par ce type d’étiquetage juif/ non-juif comme avant, Giovanni.

Dada dit: à

Quel con, ce D. !

tiens tiens dit: à

quand je serais réellement milliardaire!,…etc!,…

… pour battre les juifs à leurs jeux!,…

Le poète se révèle…
(bip bip, hein)

Rassemblement citoyen de Nancy dit: à

Vivement le contrôle technique moto ! Nous en avons assez de ces sauvageons qui affûtent leurs cale-pieds sur la place Stanislas.

les lapins en choeur dit: à

vous regretterez.
béret de nice

Oh, la vieille bique!
Oh, la vieille bique!
Oh, la vieille bique!

Qui perd gagne dit: à

Coillon-Fipé

Copé dans les choux, Fillon au filet!

angela dit: à

Avec 0,6% le ‘Partei’ de Sonnenborn a un siège

Sergio dit: à

Rassemblement citoyen de Nancy dit: 28 mai 2014 à 15 h 37 min
affûtent leurs cale-pieds sur la place Stanislas.

Havec des étincelles ! Ca luit… Sur les pavés slovènes…

Bloom dit: à

Pour saluer Maya Angelou, formidable voix de l’Amérique noire et universelle, la militante des doits civiques et l’auteure de tant de textes bouleversants. I know why the caged bird weeps…
Un blues pour ceux qui comme moi sont blue blue blue….

Still I Rise
Maya Angelou, 1928-2014

You may write me down in history
With your bitter, twisted lies,
You may trod me in the very dirt
But still, like dust, I’ll rise.

Does my sassiness upset you?
Why are you beset with gloom?
‘Cause I walk like I’ve got oil wells
Pumping in my living room.

Just like moons and like suns,
With the certainty of tides,
Just like hopes springing high,
Still I’ll rise.

Did you want to see me broken?
Bowed head and lowered eyes?
Shoulders falling down like teardrops,
Weakened by my soulful cries?

Does my haughtiness offend you?
Don’t you take it awful hard
‘Cause I laugh like I’ve got gold mines
Diggin’ in my own backyard.

You may shoot me with your words,
You may cut me with your eyes,
You may kill me with your hatefulness,
But still, like air, I’ll rise.

Does my sexiness upset you?
Does it come as a surprise
That I dance like I’ve got diamonds
At the meeting of my thighs?

Out of the huts of history’s shame
I rise
Up from a past that’s rooted in pain
I rise
I’m a black ocean, leaping and wide,
Welling and swelling I bear in the tide.

Leaving behind nights of terror and fear
I rise
Into a daybreak that’s wondrously clear
I rise
Bringing the gifts that my ancestors gave,
I am the dream and the hope of the slave.
I rise
I rise
I rise.

fonction édit dit: à

Ça lui (cédille). Trommelfeuer !

traduction automatique dit: à

I rise
I rise
I rise.

Je bande
Je bande
Je bande.

bérénice dit: à

vous regretterez.
Si tant est que D puisse regretter quoique ce soit, Abel Caïn l’œil dans la tombe, Caïn au pays des délices.

Anette, de la ligne 7 dit: à

J’ai eu une histoire d’amour platonique avec D., nous nous étions rencontré dans le RER.
Il est excellent économe, quand nous allions prendre un verre, il avait toujours oublié son porte-monnaie.
Il m’invita un dimanche midi chez lui, après la messe de 11 heures, ce fut un vrai festin. Il reproduisit un menu des années d’Occupation.
Je n’ai jamais compris sa profession, il se disait mathématicien de haut-niveau, professeur de grammaire et orthographe, expert-comptable spécialisé dans les pâtisseries-confiseries.
La vérité, je crois que son chat menait une campagne contre moi, en effet, D. semble avoir des attaches particulières avec son félin.

Sergio dit: à

fonction édit dit: 28 mai 2014 à 16 h 26 min
Ça lui (cédille).

Lugubre hérésie ! Les majuscules ne prennent pas plus de cédille que la République n’est légitime. Et, plus prosaïquement, mon clavier le fait pas… Des fois quand je suis bourré je tape un peu dessus, faut dire…

bérénice dit: à

L’organigramme de ce blog révélant quelques conflits d’intérêt, je décide après délibérations de ne revenir qu’en octobre, je vais faire du vélo pour retendre mon anatomie détendue et nager pour chlorer mes poumons, la pneumonie ne passera pas par moi, je chausserai mes claquettes décathlon pour vaincre la verrue et oublier les risques de mycose buccale, je serai là à l’heure qui larmoie (z’êtes sûr?) pour ramasser une brouettée de feuilles nouvellement tombées de l’arbre rentrée.

Madame de Valognes dit: à

j’aime bien Ciboulette qui défie un Court-sur-pattes bien penaud et pas très finaud malgré les grands airs qu’il se donne.

Sergio dit: à

Anette, de la ligne 7 dit: 28 mai 2014 à 16 h 31 min
son chat menait une campagne

Les greffes c’est fait pour vivre dans un sac…

rigodon en slip dit: à

Sergio, vous avez le bonjour de Christiane, l’attachée de presse de Popaul

Bloom dit: à

16 h 28 min, où l’énoncé contre l’énonciateur…

Sergio dit: à

rigodon en slip dit: 28 mai 2014 à 17 h 05 min
l’attachée de presse

Attacher la presse ça peut pas faire de mal… Sauf bien sûr Moto-Revue !

Bloom dit: à

Passionnant cet article sur Julen Columeau, qui est non seulement en vue, mais surtout très respecté par les plus grands auteurs pakistanais dont Md Hanif.
Il faudrait qu’il se traduise ‘à la Beckett’ ou qu’il sollicite A. Désouilères.
Au pire, on le lira en anglais.
Seule bonne nouvelle littéraire depuis des lustres (parution du dernier premier Gary excepté)…

Sergio dit: à

bérénice dit: 28 mai 2014 à 16 h 46 min
L’organigramme

Hiérarchique ? Staff and line ? Anarcho…

D. dit: à

« Je me dresse ferme et inflexible »
Aucune connotation qui relèverait du péché de chair.
Je me dresse ferme et inflexible sur mes principes religieux, politiques et économiques. Je suis un vrai chrétien qui tend son autre fesse, pour être fouetté, flagellé et humilié professionnellement.
Je vais quitter définitivement ce Blog, je n’y reviendrais même pas pour saluer mon alter-ego.
Vive Poutine !
Vive la Sainte Russie !
Vive Absolut Vodka !
Vive les topinambours bio !
Votre Dédé, Dodu, Dada, Dimitri, Dominique, Dorotéo, Didi, Dudu, avec ses meilleurs sentiments !

rastaquouère dit: à

Faut pas croire que c’est facile.

Croire à quelqu’un ou à quelque chose marque une adhésion de l’esprit: »avoir foi à la réalité de »
ex:Croire au loup ce n’est pas difficile,il suffit d’avoir peur(Alain)
Croire en quelqu’un marque plutôt une disposition du coeur »avoir confiance dans les qualités,l’intelligence,le pouvoir de quelqu’un »
ex:je crois en marine le pen(il suffit d’avoir peur)
Croire quelqu’un,c’est estimer vraies ses paroles
ex:Nadine Morano croit François Copé.
Pour la plupart des Français,croire quelqu’un, c’est attacher valeur de vérité à ce qu’il dit; croire à quelque chose,c’est penser que ce quelque chose à une existence réelle;
ex:je crois à l’Europe.
Croire en quelque chose,c’est y attacher une valeur éthique et se comporter en conséquence.Croire à Dieu est purement rationnel,croire en Dieu comporte confiance et amour.
Ex:je crois à zouzou mais je crois en dédé.

bouguereau dit: à

je crois à zouzou mais je crois en dédé

ben mon colon

bouguereau dit: à

ex:je crois à l’Europe

ça peut être putatif..par exemple « l’europe nous encule »..ou l’aveu de peu d’estime..c’est meilleur « j’encule l’europe »

Zeus dit: à

« j’encule Europe »

oui mais en douce.

Dédé dit: à

rastaquouère dit: 28 mai 2014 à 17 h 31 min
je crois en dédé.

Et pourtant je suis mort.

Dédé dit: à

Croyez en bouguereau, car il existe. Chaloux en est convaincu : il pense à lui tous les jours, parle de lui dès qu’il vient ici. C’est une preuve.

bouguereau dit: à

Lugubre hérésie !

ha j’aime bien..ça fait gros chien

jean françois dit: à

faut croire à des trucs

Dédé dit: à

La divinité de bouguereau se reconnaît au fait qu’il donne la réponse avant la question. Voyez :

bouguereau dit: 28 mai 2014 à 18 h 12 min
« j’encule l’europe »

Réponse de l’Europe, cinq minutes avant :

bouguereau dit: 28 mai 2014 à 18 h 07 min
ben mon colon

L’Europe a anticipé, bouguereau le savait.

Dédé dit: à

Car toujours l’enculé(e) pense à son colon, un fameux anthologiste nous l’a enseigné.

Dédé dit: à

Par ailleurs, comme TKT, je suis favorable au contrôle technique moto.

Dédé dit: à

Et je pense, toujours comme TKT, que ce contrôle doit s’étendre au colon du motard, compte tenu des risques auxquels l’expose sa position de pilotage.

bref dit: à

de Passou, vous aviez rectifié

548 dit: à

548ème commentaire.
c’est drôle parce que mon digicode se termine justement par 548.
AB 548. 2ème étage porte gauche, demandez Lucienne.

Vision objective dit: à

Certains intervenants sont moins drôles que d’autres, faut bien le reconnaître.

Jean-Fanfan et Nicolas, patrouille des castors dit: à

Certains intervenants sont moins drôles que d’autres, faut bien le reconnaître.

Quand on y’arrive pus, on y’arrive pus.

Eric Besson..... dit: à

Yannick Noah, ex-tennisman publiquement engagé à gauche et longtemps personnalité préférée des français, a déclaré dans une interview accordée à BFMTV se sentir « insulté » par le score historique réalisé par le Front national aux élections européennes de dimanche.

« Je me suis réveillé le lendemain ça n’allait pas fort. Oh la tristesse! Quelle tristesse! Je me sens insulté, je me sens déchiré, j’ai un peu honte quand mes amis m’appellent d’autres pays en me disant: ‘qu’est ce qui se passe chez vous ?’ J’ai un peu honte »

QUI CONNAIT YANNICK NOAH ?

Chaloux dit: à

Lecture du jour.
Le vers libre dissimule bien des indigences.

Le chomage augmente..... dit: à

« La ministre de l’Écologie et de l’Énergie, Ségolène Royal, a invité à dîner mercredi ses homologues femmes du gouvernement, remettant au goût du jour un type de rendez-vous initié par Martine Aubry lorsqu’elle était ministre des Affaires sociales, a indiqué le ministère, confirmant une information du Parisien.

« C’est un dîner convivial, sans ordre du jour particulier, mais on évitera de parler de travail », a déclaré Ségolène Royal au quotidien.

« Ce sera un moment sympathique et détendu »

Selon le ministère, toutes les femmes ministres devraient être présentes, à l’exception de Sylvia Pinel (Logement), retenue par d’autres engagements :
-Christiane Taubira (Justice),
-Aurélie Filippetti (Culture),
-Marisol Touraine (Affaires sociales),
-Marylise Lebranchu (Décentralisation),
-George Pau-Langevin (Outre-mer) et
-Najat Vallaud-Belkacem (Droits des femmes, Sports, Ville)
seront reçues au ministère de l’Écologie.

Ce type de rendez-vous exclusivement féminin avait été lancé par Martine Aubry en 1998, alors ministre du gouvernement Jospin. « Ce sera un moment sympathique et détendu », a assuré Ségolène Royal au Parisien.

QUI PAIE ?
VOUS !

TOUT VA BIEN …..

Elle était la Chantal Goya américaine..... dit: à

« Poète, écrivain, actrice, auteur de pièces de théâtre, Maya Angelou fut une proche du prix Nobel de la paix assassiné Martin Luther King.

Maya Angelou avait également publié plusieurs albums de poésie parlée ou chantée, dont ‘Miss Calypso’, petit succès de 1956. »

INCONSOLABLES ….!

GALLIMARD Bande dessinée..... dit: à

Clopine vient de publier : « Ma belle-mère est une ordure ! » Un succès phénoménal, dans une région intellectuellement défavorisée…

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…@,…bérénice!,…à,…15 h 27,…&,…

…l’étiquetage,…juifs & non-juifs,…il y a plus de cons qu’on imagine faire exeptions!,…
…pour dire!,…le capitalisme rien de plus facile!,…à la portée de tout le mode!,…

…tiens tiens à 15 h 29 mn,…&,…Dudu à 15 h 33 mn,…faire un bénéfice!,…et déjà gros porc!,…mais si tout le monde y trouve son compte!,…Oui!,…

…il faut avoir le sens des affaires ( scabreuses ),…des cours particuliers en privé,…le soir,…enfin, de retour!,…ma fille veille au grain,…

…elle a, elle l’à le métier dans la peau!,…un moteur à deux temps qui en dis long,…au démarage!,…Oui!,…mettez aussi votre ceinture!,…çà plane pour moi!,…
…ouvrez votre parachute auto-matique lover’s!,…visez la cible!,…amorçez-vous au trein,…d’enfer!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…Oui!,…la fille à sa mère direct  » Acapulco « !,…à l’Expresso!,…sans sucre!,…mais,…quelle crême!,…etc!,…

des journées entières dans les arbres dit: à

« La vie est différente quand on la vit et quand on l’épluche après-coup »

fait faire quelque chose des épluchures.

« Pourquoi les dissidents politiques ukrainien et iranien, le photographe des marges, le pompier ou le sportif revenu de l’extrême réunis ici ont-ils risqué leur vie ? »

http://www.philomag.com/lepoque/a-quoi-bon-risquer-sa-peau-9594

Daaphnée dit: à

je décide après délibérations de ne revenir qu’en octobre
Bérénice

Mais qu’est-ce qu’elle nous fait ?!
Elle veut revenir avec un bouquet de feuilles toutes mortes ?
N’importe quoi !
Il faut lui trouver un amant.
– ou très jeune et insouciant
– ou mûr – pas trop nom plus, il ne faut pas exagérer – et très très très patient.

Pardon ?
J’entends le doux bruissement des ailes de la colombe de la paix ..

Daaphnée dit: à

Depuis le temps que certaines ici font semblant de ..
Il serait temps de dire les choses pour de vrai.
D. serait le greffier.
JC , le procureur.
Traube, l’avocat de la défense.
Sergio, U., le Boug’, Chaloux, ML ….. les jurés
Bon, il manque le président ..
Bon, M.Court et Paul Edel présidents à portion égale.

Les jurés auraient le droit de sortir de leur réserve légendaire .. mais pas de lancer:
ni des tomates,
ni des oeufs de poule,
ni des canettes de bière vides,
ni des cornichons.

ML aurait un temps de parole limité.

ueda dit: à

« Pardon ?
J’entends le doux bruissement des ailes de la colombe de la paix .. » (Daaphnée).

J’aime bien.

« fait faire quelque chose des épluchures. » (Trognon)

J’aime moins.

— C’est fou comme tout ça est subjectif.

ueda dit: à

Camarade JC,

Dans ta liste, tu as oublié Fleur.

C’est pas la meilleure?

ueda dit: à

« Les silences y sont admirables. Chez Mathieu Amalric omme chez Maylis de Kerangal. Des silences qui prennent la parole lorsque leurs auteurs, après nous avoir durablement inquiétés, nous laissent stupéfaits devant les choses de la vie. »

Trogne-san
ou plus fraternellement
Ma Trogne
(on m’a dit que vous étiez au féminin)

Pourriez-vous s’il vous plaît, par votre bouche enfin close, me laisser stupéfait devant les choses de la vie?

(On plaisante, on plaisante.
La liberté d’expression à laquelle je suis encore plus attaché que JC, c’est la liberté de penser faux et de penser con.
« C’est fou comme tout ça est subjectif »).

un soir dans l'oued A dit: à

« Pourriez-vous s’il vous plaît, par votre bouche enfin close, me laisser stupéfait devant les choses de la vie? » (Daaphnée)

J’aime pas trop.

« Certains intervenants sont moins drôles que d’autres, faut bien le reconnaître. » (vision objective)

J’aime mieux.

Daaphnée dit: à

[((Oui bon, U., si nous parlons bruissements … certains vont s’imaginer des trucs…
Mais voulez-vous que je vous confie l’un de mes grands fantasmes tant que personne n’écoute ?
Un immense, immense chapeau avec un immense, immense, immense voile … et je ferais des bulles de savon – vous savez avec le bidule exprès pour – Bon, pour que le voile s’envole, on ne peut pas dire le temps qu’il faudrait .. ))))))]

jeu-concours dit: à

je suis un pédant content de lui qui poste uniquement pour impressionner une greluche injustement devenue la risée de tous.
Qui suis-je ?

des journées entières dans les arbres dit: à

Tiens on nous écrit de New-York.
C’est en feuilletant la revue Books de juin 2014(*), avec en couv’ « juin 14 désir de guerre » que j’ai trouvé un fil à détricoter en page 19.
Il renvoie à cette lettre. A verser au dossier déjà bien volumineux.
http://www.nybooks.com/articles/archives/2014/apr/24/how-vichy-made-it-worse/

(*) j’ai aussi pris ce numéro de juin 2014 de la revue Philo Mag- mais j’ai reposé vite fait bien fait le mag litt, qui rassemble ce mois, un ramassis d’articles pour névrosés- j’ai feuilleté le magazine Lire, où, hélas, M. de Kerangal nous redonne sa nème version de comment elle fait sa thérapie.

PS/ uhuh danse pas mal la chaconne.
Un peu plus de frou frou et il peut faire le claque chez Michou.

un soir dans l'oued A dit: à

C’est trop facile, des journées entières : votre combat contre le pseudo-chinetoque de pacotille est gagné d’avance, il se ridiculise tout seul.

Daaphnée dit: à

Il est temps de revenir à la loi – tout le monde a le droit de faire ce rappel – s’il y en a une qui vient faire sa maline indésirée, elle se prendra d’office un jet de vieilles tomates molles.
Que ma voisine du rang en dessous ne vienne pas se plaindre.
Comme D. sait le rappeler, elle aura été prévenue.

ueda dit: à

« PS/ uhuh danse pas mal la chaconne.
Un peu plus de frou frou et il peut faire le claque chez Michou. »

Un peu contourné, mais certainement spirituel.

« Liberté d’expression »?
C’est aussi faire confiance!

Imres Bertouz dit: à

Allez vous coucher, Daaphnée, c’est ce que vous faites de mieux, paraît-il.

ueda dit: à

@ ma branche entière dans, hein

Je me suis frappé le front!

Mais bien sûr qu’il faut demander aux anciens.
On s’connaît!

« De la poétique », c’était ça?

(Mais si vous touchez au Dab à Mac,
on vous fout au feu).

Le chomage augmente..... dit: à

Ce n’est pas ma liste, camarade ueda.
Et je ne suis pas JC.

ueda dit: à

« j’ai aussi pris ce numéro de juin 2014 de la revue Philo Mag- mais j’ai reposé vite fait bien fait le mag litt, qui rassemble ce mois, un ramassis d’articles pour névrosés- j’ai feuilleté le magazine Lire, où, hélas »

Ça sent l’vécu.

C’est pas gai.

Daaphnée dit: à

Un peu contourné, mais certainement spirituel.

En fait, c’est cela le truc, U. :
faire le pari de ..
( bon, parfois ce peut être la catastrophe totale. Notre ami – devrais-je dire « camarde’ ? – a pris des risques inconsidérés et sidérants, il faut bien le dire .. )

D. dit: à

Daaphnée dit: 28 mai 2014 à 21 h 06 min
D. serait le greffier.

Au risque de me répéter : je n’aime pas les chats.

D. dit: à

Vous avez lu Jean-Claude Pirotte, ueda ?

des journées entières dans les arbres dit: à

un soir dans l’oued A dit: 28 mai 2014 à 21 h 54 min

C’est très sage ce que vous écrivez.
Cela me fait penser à une maxime, dont je ne connais pas l’auteur: à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.

des journées entières dans les arbres dit: à

Mais pour le mag litt, ça vaut le détour. C’est carrément hilarant. A commencer par l’éditorial du mois.

des journées entières dans les arbres dit: à

la lettre du New York review of books commence ainsi:

‘How Vichy Made it Worse’

Jacques Semelin, reply by Robert O. Paxton

April 24, 2014 Issue

In response to:

Jews: How Vichy Made It Worse from the March 6, 2014 issue

To the Editors:

Yes, Vichy made it worse and anti-Semitism was strong in France in the 1930s and during the war. But if we stop here, how can we explain that 75 percent of the Jews survived the Holocaust in this country?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…des journées,…vos interventions çà fait,…vraiment!,…un genre big-brother’s!,…collabo’s C.I.A.,!…

…sachez, je vous surveille!,…comme quoi!,…parler avec son cul!,…c’est magnifique pour les inquisiteurs en herbes!,…
…etc!,…un test aux parfums!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…Go!,…

Onésiphore de Prébois dit: à

j’ai aussi pris ce numéro de juin 2014 de la revue Philo Mag- mais j’ai reposé vite fait bien fait le mag litt, qui rassemble ce mois, un ramassis d’articles pour névrosés- j’ai feuilleté le magazine Lire, où, hélas, M. de Kerangal nous redonne sa nème version de comment elle fait sa thérapie (Des journées)

Que de temps perdu à lire des gloses prétentieuses et des commentaires poussifs, alors qu’il y a tant de beaux livres à découvrir. Signe de probable avachissement intellectuel.

des journées entières dans les arbres dit: à

Giovanni, il y a une notion développée par une philosophe, tout à l’heure à la radio française, qui faisait la distinction entre nationalisme et patriotisme. Comme quoi, le FN en France n’avait pas le monopole de la notion de patriotisme, loin s’en faut. J’imagine qu’en Belgique, le parti national identitaire raciste identitaire équivalent au FN français entretient la même confusion.

Si je vous dis cela, c’est que le point de vue, que vous développez ici, en long en large et travers est assez innovant. Je ne sais pas comment se décline votre statut d’expatrié, et cela ne me regarde pas, mais d’où parlez-vous ?
Résident en Belgique, vous avez des nouvelles de cet attentat antisémite au Musée juif de Bruxelles ?

Sergio dit: à

Ha le Tribunal des flagrants délires ça c’était bien…

– Bonjour qui ? Bonjour mon chien ?

des journées entières dans les arbres dit: à

JB, oui, j’ai dit du bien de ce livre  » le collier rouge » d’un académicien, il me semble, dernièrement.

kicking dit: à

Le chomage augmente…..

faire concurrence aux machines vous paraît une stratégie valable ?

des journées entières dans les arbres dit: à

C’est tout à fait ça Sergio. Le chien dans ce livre « le collier rouge » s’appelle Guillaume.

Sergio dit: à

– Vichy c’est pas de la crème ? Pour les dactylos de l’hôtel du Parc… Faire honneur au Maréchal !

des journées entières dans les arbres dit: à

« Vichy c’est pas de la crème ? »

Ah ben non.
Pas pour Jacques Semelin, en tout cas.

Widergänger dit: à

Il semble que Peter Hanke veuille réinventer le roman de chevalerie et la quête del saint Graal.

À lire.

Je trouve que sa notation sur l’effet d’irréalité produit par la solitude, surtout quand on se promène dans la campagne, à pied ou en bicyclette, est tout à fait pertinente. Je l’ai éprouvé mainte et mainte fois. Mais à cet effet d’irréalité s’en ajoutent souvent d’autres, comme le sentiment d’être le dernier homme, ou une communion avec le cosmos, le sentiment aussi de voyager dans le passé ou que le temps de l’enfance s’est arrêté à jamais sans pour autant être figé, comme s’il était une forme d’éternité. Très étrange sentiment.

datura46/47/48 dit: à

sans doute P.Assouline a-t-il troué la note lui assur

datura46/47/48 dit: à

lui assurant sa réussite qu’il distille : pour le plaisir de tels écrivains et lecteurs : pourquoi en dépit de ma reconnaissance de son travail immense , ses billets n’arrivent à me convaincre que dans des limites extrêmes, je ne veux plus m’exaspérer dans des analyses comparées de formules, de « critiques » : c’est du temps-presque- perdu. Lui c’est lui, et il y a longtemps que lui, ce n’est pas du tout mon objet , non plus (pas plus que de laisser des commentaires : pour qui ?)
Sans nul doute ce travail de réseau sera-t-il un jour apprécié à sa juste importance :peut-être se trompe-t-on grandement mai Il ne me semble pas qu’internet ait rien « tué » , pas même le plaisir de ne pas être addict de réseaux
http://www.laviedesidees.fr/Laborieuse-Nature.html

datura46/47/48 dit: à

« la preuve par deux ? » au moins trois me semble-t-il , à y aller dans cette mathématique de la fausse surprise d’un lecteur qui a été habitué, formaté ,mathématique entrelaçant les sinuosités et le choc, le général et l’intime …
comme j’aurais trouvé séduisante cette manière de paraître , autrefois !
Nulle accoutumance aux tours du… magicien-mage d’image donc, nulle habitude …au contraire !
Ce n’est pas un drame,même pas pour moi, déjà pointe la nouvelle fournée de lecteurs auteurs, le public nouveau …celui qui dans une ou deux générations ….reprendra l’air du désir …le nôtre , le leur …même si on ne le nomme plus désir , cet éternel.. désir .
horrible-pour moi- souvenir d’un psychanalyste très connu et défunt servant comme argument , en fin de séminaire de traduction « Lacan aimait les arbres « : ce que je veux bien croire, d’ailleurs …et proove it plaisant

datura46/47/48 dit: à

ce billet donne tant l’impression d’avoir été écrit pour des personnes bien réelles que j’ai envie de dire, mais oui, bien sûr, P.Assouline que je vous aime bien , vous , votre travail, votre journal.N’en rajoutez pas plus à propos de votre ancienne confusion sur votre blog à propos de
«  »Il faut que tout change pour que rien ne change. »

Marcel dit: à

Poursuite des sonnets acrostichés à l’aide du poème de Guillaume Apolinaire écrit sous la forme d’une pluie de lettres tombant verticalement.

Il pleut des voix de femmes comme si elles étaient mortes même dans le souvenir
C’est vous aussi qu’il pleut merveilleuses rencontres de ma vie ô gouttelettes
Et ces nuages cabrés se prennent à hennir tout un univers de villes auriculaires
Ecoute s’il pleut tandis que le regret et le dédain pleurent une ancienne musique
Ecoute tomber les liens qui te retiennent en haut et en bas

Suite à une erreur de comptage, j’ai cru que le deuxième vers ne pouvait fournir un sonnet. Je répare l’erreur :

C’ est la nuit et je pense à toi,
EST-il vrai que tu fais de même ?
VOUS pensez : faut-il que je l’aime
AUSSI fort qu’un oubli de soi.

QU’en est-il si j’en reste coi ?
IL se peut que ce soit carême,
PLEUT la chanson de ma bohême,
MERVEILLEUSES amours sans loi.

RENCONTRES au milieu d’un rêve,
DE son corps j’en eus toute sève,
MA tête en perdit la raison.

VIE avec toi, tu le refuses
Ô je te pleure en ma maison,
GOUTELETTES d’amour diffuses.

Le compte n’y étant pas pour le quatrième vers, l’acrostichage se fait sur trois quatrains.

ÉCOUTE cette pluie engorgeant les gouttières.
TOMBER dans les oublis, l’eau s’en souvient encor.
LES tréfonds de la nuit change tout le décor,
LIENS restent sous-jacents dans les grands cimetières.

QUI donc a souvenir des bûchers et des pals
TE rappeler, ami, c’est ta plus grande peine,
RETIENNENT les remords d’avoir plus que de haine
EN ces temps d’irraison, règnes des grands chacals.

HAUT désir de justice en la vie éphémère
ET les jours couleront harmonieux, heureux,
EN enterrant profond les instincts désastreux,
BAS ceux qui ne sont que pour spolier ton frère.

Jean Calbrix, le 29/05/14

Bloom dit: à

Contre la pouésie décorative, ce petit jeu sans enjeu de plumitifs bien nourris, petit bourgeois du sens.

ALONE
Maya Angelou, 1928 – 2014

Lying, thinking
Last night
How to find my soul a home
Where water is not thirsty
And bread loaf is not stone
I came up with one thing
And I don’t believe I’m wrong
That nobody,
But nobody
Can make it out here alone.

Alone, all alone
Nobody, but nobody
Can make it out here alone.

There are some millionaires
With money they can’t use
Their wives run round like banshees
Their children sing the blues
They’ve got expensive doctors
To cure their hearts of stone.
But nobody
No, nobody
Can make it out here alone.

Alone, all alone
Nobody, but nobody
Can make it out here alone.

Now if you listen closely
I’ll tell you what I know
Storm clouds are gathering
The wind is gonna blow
The race of man is suffering
And I can hear the moan,
‘Cause nobody,
But nobody
Can make it out here alone.

Alone, all alone
Nobody, but nobody
Can make it out here alone.

Marcelophiles de tous les pays, unissez-vous !..... dit: à

Soyons sérieux : la poésie de Jean Calbrix est infiniment meilleure que celle de la défunte Maya Angelou.

Elle est exprimée dans une langue honnête, le français, bien plus agréable que cette cochonnerie d’anglais de supermarché. Elle nait d’une culture qui nous est familière et nous enchante. Elle évoque des sujets infiniment plus raffinés que l’autre, ramassis de conventions, d’images ruinées, d’idées sans queue ni tête. Elle laisse voir ce beau travail d’artisanat poétique dont notre grand Marcel a le secret !

Cerise sur le gâteau : Calbrix est vivant, là où Angelou est définitivement refroidie, partie, oubliée…

La note juste, un zéro..... dit: à

On ne peut qu’être féministe lorsque l’on voit avec quelle intelligence Angela Merkel aime l’Allemagne, alors que Hollande -avec quelle bêtise !- n’aime que lui.

Jusqu'où ne pas aller trop loin..... dit: à

« Les silences y sont admirables. Chez Mathieu Amalric comme chez Maylis de Kerangal. Des silences qui prennent la parole lorsque leurs auteurs, après nous avoir durablement inquiétés, nous laissent stupéfaits devant les choses de la vie. »

Amalric, Kerangal, …Mozart. Silence dans les rangs !

Bienvenue à Ramsès XII..... dit: à

Score pharaonique pour Abdel Fattah Al Sissi, le morsiphobe, tueur de chienlit islamique : 96% des votants.

Une victoire de la démocratie à l’égyptienne.

en effet dit: à

« On ne peut qu’être féministe lorsque l’on voit avec quelle intelligence Angela Merkel aime l’Allemagne, »

Allemagne : la pauvreté grimpe à un niveau inédit
Le taux de pauvreté s’est élevé à 15,2 % en 2012. Du jamais vu. L’écart entre riches et pauvres augmente de façon significative et le fossé entre régions prospères et régions pauvres s’élargit.
http://www.lesechos.fr/19/12/2013/lesechos.fr/0203201246103_allemagne—la-pauvrete-grimpe-a-un-niveau-inedit.htm

n'en jetez plus dit: à

L’Allemagne n’a jamais compté (…) autant de pauvres. (…) L’écart se creuse entre une majorité qui profite d’un système performant et une minorité qui, faute souvent de qualification, ne parvient pas à en profiter. Au sein de l’agence fédérale pour l’emploi, on pointe notamment du doigt le développement des emplois précaires. Ceux qui tombent au minimum social peuvent difficilement en sortir (…)
(Le Figaro 13.1.2014)

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