de Pierre Assouline

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La République des livres
L’addiction, s’il vous plaît ! c’est pour Jonathan Franzen…

L’addiction, s’il vous plaît ! c’est pour Jonathan Franzen…

Franchement, si Jonathan Franzen n’exprimait pas périodiquement sa phobie des réseaux sociaux, on n’attacherait guère d’importance à ses conférences et ses interviews, tout Grand-Ecrivain-Américain qu’il soit (Les Corrections, Freedom qui vient de paraître en poche chez Points/Seuil). Elles sont le plus souvent faites de lieux communs sur le roman, les personnages, les lecteurs, et de poncifs sur leurs relations avec l’auteur. Ce fut encore le cas tout récemment à la Foire internationale du livre de Guadalajara. Morceau très choisi dans le compte-rendu d’El Pais, le seul qui présente un intérêt :

« Je ne suis pas opposé au livre électronique, mais en tant que créateur de contenus, je suis préoccupé de ce que les gens cessent de penser au livre comme à quelque chose qu’il faut payer. Les téléphones mobiles, Facebook, Twitter etc franchement me paraissent être des addictions ; elles ont un effet palliatif mais elles n’établissent pas de véritables relations, humaines. Le roman est une bonne occasion pour libérer les gens de ces addictions. »

Franchement, ce qui m’étonne le plus dans cette déclaration, ce n’est pas qu’elle passe sous silence l’une des plus vieilles addictions de nos sociétés (la lecture) ; c’est qu’un écrivain se présente comme un « créateur de contenus », et plus encore celui-ci, si allergique à la Toile. Même lui s’y met ! A croire qu’aux Etats-Unis, ce ne sont plus seulement les professionnels de l’édition qui ont remplacé « book » par « content », manière de dissocier le texte de son enveloppe traditionnelle. Qu’on n’espère pas pour autant le croiser au festival de twitlittérature !

Cela dit, Jonathan Franzen, qui se livre très rarement à des lectures publiques, est aussi capable de grands gestes. Une poignée de privilégiés qui n’en revenaient pas ont ainsi pu le voir et l’écouter lire des extraits de Strong Motion (1992, inédit en français) en toute simplicité à la librairie Arena de Brooklyn. Pour la bonne cause : il s’agissait de lever des fonds pour aider le libraire à reconstituer son stock bousillé par l’ouragan Sandy. Avant de consentir au rituel des dédicaces, il a donc lu debout durant une quinzaine de minutes des pages de son roman-catastrophe (les suites d’un tremblement de terre dans le Massachussets, entre Boston et Peabody), témoignant ainsi d’un vrai sens de l’à-propos. Il semble qu’il n’en ait pas été dégoûté. Attention, l’addiction commence souvent comme ça, franchement.

(« Franzen chez Arena » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

233 Réponses pour L’addiction, s’il vous plaît ! c’est pour Jonathan Franzen…

Félix Popotin dit: à

n’empêche que c’est un très grand écrivain, avec des faiblesses et des interrogations, comme tout le monde

bouguereau dit: à

c’est un grand écrivain comme tout le monde..si l’on juge l’artisss a sa popo à sa politique franzen c’est le degré eau distillé, un abruti, un crétin, okette avec toi lassouline que c’est un concours d’addiction, on ne veut pas admettre que le roman et l’écrivain rendait des services sociaux « par procuration » à la flaubert, il y a dissémination, l’écrivain n’est plus celui qui a le « monopole »..et c’est pas fortuit qu’il relise un tesque sur un coup de vent d’un de ses romans : au cas ou ces bourrins de lecteurs n’auraient pas bien « vécu » et joui du vrai, c’est dla thérapie à la keupu : franzen grand écrivain comme tout le monde et non pas le contraire

O* dit: à

Le doc sur Arte livrait en filigrane la même déception humaine de type « je suis un écrivain normal »… Un bon écrivain n’est pas forcément un génial bateleur! Et quelle que soit la posture adoptée par JF, son Freedom restera un sacré morceau d’Amérique, Les corrections pas moins.

bouguereau dit: à

ça awaiting vachement trop la modération

Phil dit: à

c’est un très grand écrivain..

l’avez lu en anglais. we hope so.

Henri dit: à

C’est comme une bouteille elle est « créatrice de contenu », sinon, sans bouteille comment tu fais, allez, allez, je t’écoute…

ouitéouitfon dit: à

Ah non!Quand aujourd’hui tout est addiction:
l’argent,le jeu,le sexe,la bouffe et j’en passe,quand il n’y a plus de vices mais des
pathologies,gardons précieusement la lecture comme vice,un vice impuni,comme l’a dit Larbaud,et incurable,grâce à dieu.

Thierry Kron dit: à

Il y a dans le concept de l’addiction, une valeur négative, au pire prédatrice. La lecture peut être t-elle considérée comme une addiction, une drogue ?
Tout dépend du choix des textes lus, de la qualité de la lecture et du liseur/lecteur.
Jonathan Franzen a peur du texte non lu sur le support papier, comme si le support changeait le contenu.
Elfriede Jelinek, Prix Nobel de Littérature, utilise le support virtuel comme outil de première édition de son travail.
Pour ce qui est de Facebook, chacun l’utilise suivant son désir, c’est une manière pour moi de rester en contact avec des gens qui habitent à des heures d’avion et de me tenir au courant de ce qui les préoccupe. C’est aussi le moyen de découvrir des gens qui ont les mêmes préoccupations, bref une sorte de « café », de « pub » virtuel.
Jonathan Franzen est né en 1959, avec ses 51 ans il me semble un peu tombé dans de l’aspic. Trop jeune pour ne pas s’ouvrir aux nouvelles technologies, qui dit au passage, ne sont plus si futuristes.
Si Jonathan Franzen a peur de ne plus recevoir ses droits d’auteur, là bien entendu je lui donne raison.

Ben dit: à

La lecture addictive (de romans) comme thérapie pour lutter contre l’addiction aux moyens de communication… et cela pour rétablir les « véritables relations humaines ». Quelle drôle de point de vue.

Ben dit: à

« quel » drôle de point de vue… Je devrais toujours me relire.

no dream last ***day dit: à

il est certain que créateur de rêveS peut très mal passer en français où les gens demandent des créatures de rêve

no dream last ***day dit: à

Et ce n’était pas un billet « sciences humaines », ça Pourquoi ? Parce que personne ne sera d’accord sur le premier homme désigné comme écrivain , puis se présentnt comme écrivain ?

no dream last ***day dit: à

>se présentant
j’en ai profité pour lire The Great Charles Dickens Scandal , les yeux embués de souvenirs …de Dickens sans Noël et je ne saurai pas vous dessiner 159 coms *****

no dream last ***day dit: à

th great ..scandal est signé Michael Slater Author (trouvé avec le lien )

no dream last ***day dit: à

* = 158+1

no dream last ***day dit: à

** écrivain ≠ romancier ≠auteur

Alexia Neuhoff dit: à

Je m’effraie par avance de tout ce que notre ami bouguereau trouvera à dire sur ce « créateur de contenus » !

Polémikoeur. dit: à

… « comme tout le monde » ?
Comme vous y allez !
Commentairriblement.

pado dit: à

Sublime
l’addiction aux réseaux dit sociaux et celle à la lecture mises sur le même plan.
Fallait oser, passou l’a fait.
Obsession de ne jamais rater un train, quelque soit la destination.

Philippe Régniez dit: à

Je partage l’aversion et le rejet de M. Franzen pour ces « réseaux sociaux » (bel euphémisme). Mais la chose est bien pire qu’une addiction, il s’agit de l’une des manifestations de l’antéchrist et de la dégénérescence dans laquelle il entraîne le monde, et ceux qui s’y adonnent – surtout les jeunes – n’ont pas besoin de contenu, aussi faible soit-il.

Jésus est grand! dit: à

Ce qui est bien avec Fifi L’araignée, c’est qu’il nous vend pour pas cher le fouet et la planche à clous. Pour le diable en personne, faut payer un supplément mais pas beaucoup.

Love on the beach dit: à

Meuh non, Boubouge te cause pas de cons tenus!

Phil dit: à

Le plus comique est sans doute ces cas d' »addicteurs » de réseaux sociaux qui annoncent à leurs centaines d’amis connectés, également fort « addicteurs », leur prochain suicide. Généralement personne ne bronche et la caravane passe. babel web.
Tout ça nous éloigne de la lecture sur planche virtuelle rétro-éclairée, sauf pour la laideur du procédé.

Sergio dit: à

Faut dire, « créateur de contenus » c’est pas très reluisant…

Philippe Régniez dit: à

La modération (blessée seulement) semble fonctionner par rames. On se croirait dans le métro avec une surabondance de textes et de racolage visuel.

Deneb dit: à

Pour qu’il y ait une valeur négative dans le concept de l’addiction il aurait fallu que l’addiction fusse un concept or il n’en est rien. L’addiction est un esclavage et c’est en ce sens qu’elle est négative. C’est tout simple, mais certains ont éprouvé de grandes difficultés à le formuler correctement.
Plutôt que de larguer des banalités, d’enfoncer des portes ouvertes et en plus de se faire mal parce que finalement elles n’étaient pas toutes ouvertes en saupoudrant le tout d’inexactitudes aussi lamentables qu’habituelles -et je passe sur l’expression au minimum chaotique, le commentateur intéressé aurait pu s’interroger sur la différence entre un reader tolérable et tout le bazar réseau-social en partie confié à des robots et construit par des règles empiriques et inhumaines dégageant des effluves nauséabondes dont certains s’accommodent consciemment ou pas, d’autres moins -ou pas et choisissent légitimement de le dire.

le parrain à fifi dit: à

Oui il (fifi) se croit toujours en chaire et baisse à vue d’oeil, ses prêches sont dignes des pires politicards, il a beau essayer de se raccrocher à de morceaux d’onctuosité!

bouguereau dit: à

son yquem à l’henri, clopine lui ferait boire les maims liés derrière le dos à même une poire à lavement

bouguereau dit: à

..fut un temps ou la « surabondance de texte » ne fréquenatait pas le populo..

Deneb dit: à

qu’elle fut. J’aurais du me relire au moins une fois.

Philippe Régniez dit: à

bouguereau, je vous aime bien, vous le savez, mais j’ai bien souvent du mal à vous comprendre.

bouguereau dit: à

la laideur aussi est dans l’oeil du..
ceci dit t’as pas faut : y’a des statues equestres pas de statue de benoit dans sa papa mobile

bouguereau dit: à

« l’écrit » perd de son statut..c’est tout simple, au début c’était lexpression de dieu, bientôt ça sera celle du robot..exemploe suplémentaire : avec la mort d’izraelewicz la presse « ecrite » suffit a qualifier le journal papier..autant dire que son billet lassouline, et pire tes commentaires dans l’ordre des statuts sont torchés ?

Sergio dit: à

Mais l’Antéchrist il a pas une majuscule ? Ou alors ils sont des tas une horde une racaille ou même du pays où le ciel est toujours bleu ? Alors là c’est férocement complexe pas limpide…

bouguereau dit: à

évidemment que l’addiction n’est pas toujours « négative », c’est le mot qui l’est..l’amour est trés souvent une addiction

bouguereau dit: à

et une quinzaine pour aoutpouter le même amount de conneries ?

Phil dit: à

m’enfin..ceux qui n’ont jamais feuilleté un hollande ne savent pas ce qu’est ..

QUIZZZ dit: à

qui est X dans cette pique lucide formulée par mathias reymond :

« Mais que fait donc X, si ce n’est de s’endormir tous les soirs en flattant ses amis, de se réveiller tous les matins en protégeant ses patrons et de déjeuner tous les midis en défendant son éditeur?

Deneb dit: à

Je ne voudrais pas donner un cours de philosophie, n’ayant aucune légitimité officielle pour cela…
Certains me rétorqueront que l’on peut trouver son équilibre dans un esclavage.
Eh bien non. Jamais.
Pourquoi ? Parce qu’un esclavage nous empêche de trouver découvrir -ou redécouvrir d’autres horizons. Par tout un tas de mécanismes plus ou moins complexes. Philippe Régniez a parfaitement raison lorsqu’il écrit ce qu’il écrit.
Peut-on être inconscient de son esclavage ? Bien entendu. Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ? Bien sûr que non. Nous venons de lire le long et pénible (j’aurais pu dire cocasse, j’aurais pu dire navrant, et encore d’autres choses…mais là n’est pas le propos), long et pénible commentaire d’un aveugle. Entouré d’autres aveugles, personne ne lui a fait voir ce qu’il devait voir jusqu’à ce que Philippe Régniez et moi-même intervenions, sans nous êtres concertés le moins du monde. Le fait est que l’un et l’autre sommes capable de voir ce que beaucoup ne voient pas. Et je m’arrêterai là.

bouguereau dit: à

« créateur de contenu » est un mot démocratique au finish..comme dirait phil le papier -aussi- se laissait écrire..certes il fallait connaitre un peu d’orthographe et avoir assez de filoche pour le vendre, car je rappelle que l’écrit se vendait..c’t’heure y’a pléthore et des izraelewicz se plaignait..ça eu payé mais ça paie pus ont été ses derniers mots il parait

bouguereau dit: à

..t’es aussi con que keupu..tu dois être keupu

Alexia Neuhoff dit: à

Donner raison à Ph Rgnz vous ôte, en effet, toute « légitimité » philosophique.

bouguereau dit: à

la limpidité c’est complesque a obtenir..il parait que la vodka faut la faire passer sur du charbon de bois..avant il ytilisaient des filtres a l’amiante..comme pour le pinard..demande a henri ! c’était pas trop complexe..mais ces cons l’ont interdit

Philippe Régniez dit: à

Alexia, ma fille, toujours aussi pimpante sous la boîte crânienne. Chienne de garde ou Femen ? Les deux mon Colonel.

bouguereau dit: à

la légitimité philosophique ? je crois que philippe s’assoit dessus alexia..et puis la « légitimité philosophique »..c’est du contenu..mais pas du trés bon..si t’avais un filtre à l’amiante..ça srait pas passé

PMB dit: à

Dommage que Joseph Bialobroda, pour des raisons qu’on imagine assez, ait amputé son patronyme de ce symbolique « broda »…

Deneb dit: à

L’Amour, le véritable, celui auquel je mets ici une majuscule bien qu’il n’en porte pas, mais qu’on a tellement galvaudé, cet amour qui conduit au sacrifice de soi-même pour l’autre, et parfois au sacrifice ultime, cet amour n’est pas à confondre avec l’acte sexuel, le flirt, la passion amoureuse etc…tout cela relevant du démon, car purement charnel. Dieu a permis au démon de régner sur le charnel.

Sergio dit: à

L’identité commence là où la réflexion s’arrête (Philip Roth).

Alexia Neuhoff dit: à

Voilà de la pure philosophie ! Dans le genre de votre cher Maurice Pujo.

Deneb dit: à

L’addiction est toujours négative, n’en déplaise à Bouguereau, qui ne sait pas toujours tout bien, bien qu’il en sache beaucoup. Qu’il ait au moins appris cela aujourd’hui.
Je me suis demandé s’il fallait que je vienne commenter ici. Si cela ne relèverai pas d’une addiction, justement. Et dans une certaine mesure, oui cela en relève. Mais lorsqu’il s’agit d’éclairer, lever des voiles et ôter des chaines, ai-je le droit de me taire ? Mon devoir est alors de commenter, et si après cela quelqu’un venait à me dire que ce raisonnement est celui d’un Jésuite, j’en serais fort flatté, car les Jésuites ont fait beaucoup de bien sur cette terre depuis que leur compagnie existe, ce sont en outre de grands intellectuels, ils comptent aussi beaucoup de martyrs dans leurs rangs, notamment en extrême-Orient et je reprendrai avec eux leur magnifique devise : Ad majorem Dei gloriam.

bouguereau dit: à

lhitler a dit quelquepart que l’amour du blond au zieux bleu pour sa nation doit être plus grand que celui qu’il a pour sa mère..que celui là étoye addictif..jésus dans les évangiles dit aussi la même chose

A. dit: à

C’est vrai qu’il y a du D. dans le crétinisme assez particulier de Deneb.

bouguereau dit: à

..par exemple dédé : si t’aimes une moche bossue qui a des boutons..tout le monde de dire « c’est une addiction »..si t’aimes une blonde a forte poitrine..t’aura beaucoup d’amis addictifs faut reconnaitre..mais si tu dois écrire un roman, je ne sais pas si la première situation est la plus inspiratrice..mais pour le pécho le lecteur, c’est certain

bouguereau dit: à

pour avoir plus de lecteur..moi aussi je devrais me relire dédé..mais je préfère pas..sinon je distroye tout..bon assez addicté

curé instit dit: à

Et avec ça, ça tend l’autre joue!c’est que ça sait son caté

Alexia Neuhoff dit: à

« la légitimité philosophique ? je crois que philippe s’assoit dessus alexia »
Je n’avais pas envisagé la « légitimité philosophique » sous l’angle d’un olisbos, détournement érotique du sceptre et du goupillon.

Alexia Neuhoff dit: à

D’accord avec Ph Rgnz, même alignement paranoïaque…

Deneb dit: à

J’arrête là parce que j’ai à faire aussi ailleurs, non pas parce vous m’en intimez l’ordre, A. Je ne suis pas du genre à ramper devant vous sous vos injonctions. Par ailleurs, il ne vous aura pas échappé que mon pseudonyme est Deneb, pas simplement D.
Deneb est une étoile très grande et très brillante situé dans la constellation du Cygne, c’est pour cela que je l’ai choisi.

jess dit: à

Même les cloportes, dont p.r. le fasciste, sont des créatures du bon dieu

ueda dit: à

« l’écrit » perd de son statut.

A ceci près que dans notre France post-tridentine, l’écrit (la bible) restait inférieure à la parole du prêtre.
C’est plutôt la démocratisation de l’écrit qui est marquante!

ueda dit: à

J’arrête là parce que j’ai à faire aussi ailleurs, non pas parce vous m’en intimez l’ordre, A. Je ne suis pas du genre à ramper devant vous sous vos injonctions.

Deneb, c’est pas Fillon?
François est réactif face à Jean-François.

touchstone dit: à

ça y est ? le blog est fini ? il fallait bien que ça arrive un jour, mieux vaut que jamais, le rideau est tombé.
Ici c’est bien mais c’est totalement différent, il manque un rideau.
il restera encore des fantômes sur l’ancien blog ? ils continueront d’envoyer des commentaires, seuls les fantômes pourront les lire.
c’est pas plus mal : le livre c’est une résidence pour les fantômes, ceux qui n’étaient venus que pour chercher l’amour. L’ont-ils trouvé ? il faut poser la question aux fantômes, eux seuls ont la réponse.
Pour être heureux les vivants doivent éviter de poser les questions auxquelles ils ne peuvent pas donner de réponses ; pour être heureux les fantômes doivent donner les réponses pour lesquelles ils ne connaissent pas les questions posées…..

Si nous, légers fantômes, nous avons déplu, figurez-vous seulement (et tout sera réparé), que vous avez fait ici un court sommeil, tandis que ces visions erraient autour de vous.
Seigneurs, ne blâmez point ce faible et vain sujet, et ne le prenez que pour un songe : si vous faites grâce, nous corrigerons.
Et comme je suis un honnête Puck, si nous avons le bonheur immérité d’échapper cette fois à la langue du serpent, nous ferons mieux avant peu, ou tenez Puck pour un menteur.
Ainsi ; bonne nuit à tous.
Prêtez-moi le secours de vos mains si nous sommes amis et Passou vous dédommagera quelque jour.

Simon dit: à

Sans en rajouter sur l’aversion, la phobie et l’addiction pour (se) faire peur avec des mots, il devrait être permis de se demander si le discours journalistique dominant pouvait autoriser l’expression de la moindre réserve vis-à-vis de l’utilisation actuelle des réseaux sociaux sans inciter les ouailles à hurler au blasphème. Bon, au sujet de Facebook, tombé dans la case des ringards, l’hystérie des médiateux est retombée quand elle ne s’est pas retournée. Mais tout de même, ces jubilations extatiques face aux compteurs de lecture (!) sur youtube ou de followers sur tweeter, c’est souvent à mourir de rire. Je veux bien que les débats qu’il eut un temps sur les dérives dans l’audiovisuel en raison de l’audimat soient dépassés, mais faut-il pour autant se sentir obligé d’applaudir à tout et n’importe quoi sous prétexte qu’un courant dominant le décrète ? Qui reste-t-il pour nous parler d’autre chose que ce qui est déjà accessible, prévu, vu et revu à grande échelle ? C’est pas de l’élitisme à l’envers et de travers ce barnum ?

Et je doute qu’une addiction commence ou encore moins se cultive en l’absence de complexes. L’imposition de codes-écrans est tellement flagrante que la dernière phrase me paraîtrait limite si elle n’était pas si clairement ironique.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il n’y a pas que le livre,qui est en danger de disparition,…

…il y a tout le progrès,…technologique,
qui devient inaccessible,…pour déjà,…croiser les sciences appliquées,…quand auront nous une grande marque automobile qui va se mettre à nous fabriquez des U.L.M.,…à décollage et atterrissage vertical,…

…quel économie de parking,…et l’espace,…le survol de la carte et du territoire,…des endroits de campagne plus accessible,…& pour les soins d’urgences.
…etc,…
…on arrive à une technologie débridée à nous faire devenir des têtes brûlées,… coupées de nos besoins et réalités,…est ce à escient,…

Virginia L dit: à

Ouah…
« Créateurs de contenus ». C’ est fort! Est-ce si faux? Est-ce typiquement américain? Sommes-nous réacs?

bref dit: à

alexia neuhoff  » d’accord avec Ph Régniez » on ne dira jamais assez les ravages qu’à pu faire copé dans la banalisation de l’extrême droite

daaphnée dit: à

N’oubliez pas qu’il tient de son mentor, un certain Nicolas qui peine à rester discret ..

Philippe Régniez dit: à

Il y a encore loin, mais alors très loin, de ce que vous appelez l’extrême droite et la véritable extrême droite.

ueda dit: à

Aidez nous à clarifier, M. Régniez.

L’authentique extrême-droite, c’est quoi?

1), 2), 3), if you please.

Gracias.

ueda dit: à

J’ai connu Copé, quand j’étais petit n’enfant, c’était la brute.
A la récré, c’est lui qui m’avait piqué mon quatre-heures.

Le pain à la rigueur, mais le chocolat.

Philippe Régniez dit: à

Lisez, documentez-vous, mon vieux, je ne sais pas moi, sortez dans la rue (c’est une image). Mais associer MM Copé ou Sarkozy et leurs discours pour papys à l’extrême droite…

ueda dit: à

Prêtez-moi le secours de vos mains si nous sommes amis et Passou vous dédommagera quelque jour.

Arrêtez, Puck.
Déjà, choisir de s’appeler Pierre de Touche. Je sais bien que c’est un signe d’amitié envers l’auteur du nouveau blog qui en est probablement très touché.
Mais les mains, non.
Ni les mains, ni les bras, ça suffit.

ueda dit: à

C’est à moi que vous parlez? Très honoré d’être votre vieux (« Suivez-moi, jeune homme »)

Mais je n’associe rien du tout.
Je vous suggère au contraire de dés-associer, ce qui est le sens du mot analyser.

J’ai des oreilles de bouddha, elles sont disproportionnées, tellement je suis à l’écoute.
Y compris de vous donc de tous (ou presque), croyez moi.
Katholikos, hein.

Alors, l’authentique droite, c’est quoi?
Rester évasif sur ce point, ce serait manquer de charité.

Chaloux dit: à

Pierre Assouline, je ne comprends rien à cet article. Mettre sur le même plan l’addiction aux réseaux sociaux (qui me semblent en effet le nec plus ultra de l’abrutissement intellectuel) et la lecture relève d’une audace un peu tirée par les cheveux. Quant aux lectures publiques, c’est une tradition anglo-saxonne, voyez les tournées de Dickens.
Comprends pas, vraiment.
Quant à la nouvelle présentation, elle me donne légèrement mal au coeur. Et ce n’est pas ce que j’ai sur l’estomac : un tout petit merlan qui ne m’avait rien fait, et un bol de soupe maison. Peut-être ce rouge…

Philippe Régniez dit: à

Il faudrait demander à quelqu’un qui est de l’extrême droite, dans le genre un type marié à une femme, mais attention une vraie pas une transgenre, et qui a des enfants à lui, un type d’une autre époque et qu’a rien compris au monde moderne. Tout ce que je sais c’est que c’est l’horreur effroyable, horrible, pire que l’enfer, à faire froid dans le dos et à empêcher de dormir.

arcadius dit: à

Hum, ça part dans tous les sens et chacun oublie le poids des mots.La lecture une addiction ? certainement pas, pas plus que l’usage du téléphone portable. Il y a trois degrés d’accoutumance,l’assuétude, la dépendance et enfin l’addiction.
Le premier terme ressort d’une manie, d’une forte envie d’un « revenez-y ». Le second fera que votre besoin augmente chaque fois davantage, en cela le livre comme le téléphone ont des limites pratiques, deux yeux deux oreilles et des journées de 24 heures…Enfin l’addiction, vous n’existez plus, vous mourrez sans votre vice.
Revenons donc à la logique du premier terme et ne nous perdons pas dans un franglais mal digéré.

ueda dit: à

Compris, pour vous le mec d’extrême-droite c’est le mec normal.
Bon.

Dans le tohubohu des opinions, le bigarré des coutumes et des modes éphémères, vous représentez le Naturel.
Eh bien voilà, c’est plus clair.

Philippe Régniez dit: à

Oui, des idées simples : le haut en haut, le bas en bas, assis c’est assis et debout c’est debout et pas le contraire. Un peu d’ordre, pas bien plus.

ueda dit: à

Le Naturel.
C’est-à-dire le Surnaturel, hein.
Suspendu à un geste de Création…

Prétendre le contraire serait du naturalisme.
La nature sans la grâce…

Philippe Régniez dit: à

Voyez, par exemple ça j’ai du mal, je sais que je suis un peu traditionnel mais j’ai du mal, remarquez qu’il y a moyen de faire de l’argent avec ça ici, avec toute cette faune naturelle, on pourrait leur organiser des voyages spéciaux, des charters pleins, avec des tarifs variés selon les espèces.
 » L’Allemagne va se doter d’une loi interdisant toute pratique zoophile afin de mieux protéger les animaux, avec une amende de 25 000 euros, ont indiqué lundi des sources parlementaire et gouvernementale à Berlin. L’association allemande de défense des Droits des zoophiles (Zeta), qui estime le nombre de personnes attirées sexuellement par des animaux à 100 000 en Allemagne, a annoncé son intention de porter l’affaire en justice. »

ueda dit: à

Chaloux, l’ancien terme français (« vice impuni ») faisait un peu Pensionnat de jésuites, alors on l’a remplacé par l’anglais « addiction ».
C’est beaucoup mieux, surtout avec les dames.

ueda dit: à

Pas facile ce blog à arborescences!
Bon, Chaloux, Arcadius…, bonne nuit à tous deux.

renato dit: à

« … un type d’une autre époque et qu’a rien compris au monde moderne. »

Quelle autre époque et quel monde moderne ?

ueda dit: à

« Voyez, par exemple ça j’ai du mal, je sais que je suis un peu traditionnel mais j’ai du mal »

Je ne suis pas sûr d’avoir compris si vous êtes contre l’état de fait ou la loi qui prétend l’interdire ou le réguler.
Je suis plus primitif que vous, le comportement je l’appelle nature (par convention) et la loi qui le règle je l’appelle culture.
Mais la surnature, c’est naturellement plus intéressant.

(Je suis sûr que, dans l’arche de Noé, tous les couples se tenaient bien tranquilles.
Moi même, je dois reconnaître qu’à part la femme…
Un appétit limité, hein).

renato dit: à

À propos « dell’embrouille francese », ueda, l’erreur est déjà dans l’origine du processus ; et ce qui m’étonne chez quelques uns de mes connaissances c’est qu’ils semblent ne pas le comprendre…

renato dit: à

La lecture peut devenir une addition, l’écriture aussi du reste, ⎯ je ne vois pas pourquoi cela ne serait possible : toute activité peut le devenir…

Philippe Régniez dit: à

Il ne s’agit pas de pour ou de contre, mais d’une profonde consternation devant l’ensemble de cette information et devant la banalité avec laquelle elle est présentée.

Philippe Régniez dit: à

Il convient d’ajouter une chose. Que M. Franzen, d’autres, et moi-même, soyons opposés à l’usage de ces « réseaux sociaux », ne sert pas à grand chose, il n’y a rien à faire, c’est inéluctable, c’est la pente savonneuse.

renato dit: à

« Créateurs de contenus »

Bon, il y à le contenant, le contenu et le support… je ne me souviens pas de les avoir jamais appelés autrement.

renato dit: à

Oups ! à > a

renato dit: à

Il n’y a aucune pente savonneuse, il n’y a que des gens plus ou moins conditionnables, et cela est vrai depuis toujours ⎯ voyez ceux qui sont accros à la messe, au match, au croissant au beurre : ils ont mordu, et de l’autre côté il suffit de rembobiner la ligne…

Philippe Régniez dit: à

Le croissant beurre et le sacrifice répété chaque jour de Notre Seigneur pour le rachat de nos péchés – puissant raisonnement.

renato dit: à

Votre ‘‘Seigneur’’, et la aussi je doute fort que votre superstition vous permette de comprendre la chose dont vous parlez, mais bon, on a l’habitude à vos pauvres archaïsmes.

abdelkader dit: à

des addictions a la lecture? euh…pas vraiment…je lis le blog d’Arsenal Football Club tous les jours, la RDL.com quand je peux et mon livre de chevet quand j’ai rien de mieux a faire (ce qui est rare hein)…c’est vrai que mon dernier bouqin me donne des boutons, mais j’y arriverai nom de nom…le boxeur contre le gardien de but, un truc sur Sartre v Camus assez amusant au debut mais qui commence a me gonfler…

no dream last ***day dit: à

et les gens ,après la lecture, ils étaient « CONTENTS »?

rose dit: à

nuance : vous mourez par votre vice. Si ce n’est lui, ce sera autre chose.
Il y a ce qui est ponctuel et soudain le suicide et ce qui est duratif et conduit à.
Il y a ce qui est déterminé par l’individu et ce qui l’entraîne hors sa détermination, extérieur à lui.
Au début, on disait drug addict ; la notion s’est étendue aux caramels mous.
Dans la mesure où on se prive de ce qui rend accro. et que l’on ne meurt pas, l’on n’est pas addict.
La lecture participe du bonheur mais est une activité solitaire. Les réseaux sociaux semblent aussi participer du bonheur mais portent à la convivialité : artificielle, sans fondement, sans affect. Autant lire.

rose dit: à

je comprends la phobie des réseaux sociaux dont on peut admettre l’aspect artificiel. Maintenant, on peut difficilement nier la porte ouverte sur le monde dans une certaine globalité et la moindre importance attachée aux lieux ou aux modes de vie, puisque nous sommes reliés collectivement par une immense toile.
Comme toujours, il s’agit de l’usage fait par l’homme d’une immense découverte, et a priori, nous n’en avons pas un usage adéquat, puisque cela n’augmente en rien mon aptitude au bonheur. Pour vous, je sais pas, mais pour moi je sais.
Ce mode de lien est flou, mais chacun en fait ce qu’il en veut.
Ce n’est pas une addiction.
On peut lire quelqu’un, puis ne plus le lire, cela ne change pas la vie menée.

rose dit: à

L’addiction est salée.

no dream last ***day dit: à

franchement, je suis perplexe, franchement

Magnus Pym dit: à

Bon, d’accord Passou : Franzen est sans doute un conférencier assommant. Mais honnête : le romancier tricote (presque) toujours poncifs et lieux communs. Sauf que s’il a du talent, le lecteur ne s’en aperçoit pas 🙂

no dream last ***day dit: à

elles n’établissent pas de véritables relations, humaines. Le roman est une bonne occasion pour libérer les gens de ces addictions. »
donc, les véritables et vraies de vrai relations humaines sont de l’ordre du roman ?

christian dit: à

Signe des temps? il y en a que ça a l’air d’amuser de perdre leur temps à répondre à PR cet admirateur d’adolphe, du pire, qui, il n’y a pas si longtemps, lançait sur la RDL des appels au meurtre et clamait que le fn est de centre gauche

no dream last ***day dit: à

ce qu’il avait dit , avec des précisions d’âge :
Tout dans la culture de consommation s’oppose à l’âge adulte. Et c’est particulièrement le cas aux États-Unis. Être un adulte, c’est accepter d’avoir des limites et d’endosser des responsabilités. Or ces deux choses apparaissent comme une hérésie dans une société consumérisme qui aimerait bien qu’un homme de 48 ans se sente à l’aise avec le fait d’acheter des jeux vidéo et des voitures de sport, comme tous les adolescents. Le mot d’ordre des années 1960 était : « Ne faites pas confiance à quelqu’un de plus de trente ans. » Depuis, beaucoup de baby-boomers confrontés au problème d’avoir dépassé la trentaine ont trouvé une solution simple : agir comme s’ils étaient toujours jeunes. C’est ainsi que vous voyez des parents tenter de devenir les meilleurs amis de leurs propres enfants et s’intéresser comme eux à ces machins nommés Facebook ou iTunes.

Bloom dit: à

Jonathan Franzen est né en 1959, avec ses 51 ans il me semble un peu tombé dans de l’aspic.

TKT, vous avez une façon flatteuse de faire des maths.

Le gus qui lit, aime la bouffe, le vin, les femmes, les enfants, la lecture, le sport, la musique, la nature, le cinema, l’art, la radio, passer du temps sur le Net, ‘tin, c’est un grave multi-addict à la vie…manquerait plus qu’il fume…
La pathologisation des comportements, un bon signe?
Franzen a commis un remarquable livre d’essais: How To be Alone. La solitude, une addiction, pour sûr.

Alexia Neuhoff dit: à

Précision : mon « D’accord avec Ph Rgnz, même alignement paranoïaque… » s’adressait à Deneb (28 novembre 2012 à 17 h 09 min). Je constate (avec horreur) qu’il pourrait être mal interprété.

bref dit: à

c’est certain P R que c’est pas en 1933-1945 qu’on aurait toléré la zoophilie en Allemagne, votre penseur préféré il n’aimait que son berger allemand qui lui était très fidèle

bouguereau dit: à

..être addicte a philippe c’est moins grave que de l’être au berger allemand alexia

addict, moi? dit: à

pathologisation, exactement, addiction ressort du lexique psy de la société thérapeutique ! et P.Assouline, qui garde dans ses manches une kyrielle de symptômes à pharmakotiser ses lecteurs , a été très contrarié que quelqu’un qui ait nommé crument la pathologie de son nom générique, si partagé (addiction au sexe par exemple avec des thérapeutes spécialisés ) »addiction, »qui était déjà monté en titre (Ronell Avital)

bouguereau dit: à

comme ici c’est un réseau social et que c’est l’immatérialité du rien sans afect qu’on pourrait faire autre chose..keupu s’efforce d’éxister par la force de la connerie..ça cré un effet de réalité certain faut reconnaitre..rose est faite aux pattes

addict, moi? dit: à

>que quelqu’un ait nommé (sans qui)

bouguereau dit: à

..c’est ça ! baroz est en train d’écrire « le gout de l’addiction » ça va faire un coup de trafalgar et de gout de pierre a fusil dans l’édition !

bouguereau dit: à

les lignes de colonnes sont superfétatoire lassouline..elles montrent ton addiction non assumé a l’ordre ..le fin du fin de l’addiction c’est de cacher son gout salée au finish et faire croire que l’on pourrait écrire au delà, c’est dailleurs j’y pense la meilleure définition de l’esthétique

Alexia Neuhoff dit: à

Je préfère les chats, c’est connu : il n’y a pas de chat policier (ni de chat-loup)

bref dit: à

et comme disait le berger allemand d’Adolf, « ça fait trois ans qu’il me caresse et il n’a pas encore osé m’embrasser sur la bouche »

addict, moi? dit: à

et d’abord on n’écrit pas « s’il vous plaît » mais sioux plaît , ou sew plaid S.V.P fait peut-être économe mais vulgaire)
mais j’ai encore une histoire avec « spic » qui est « épi » qui a désigné une herbe odoriférante au Moy. Âge. » et qui a traduit schibboleth :you spic !

Félix Popotin dit: à

je reviens sur mon commentaire en première place ; falsification : je n’ai pas écrit que « c’était un écrivain comme tout le monde » mais un écrivain qui, comme tout le monde, a des faiblesses et des interrogations ; on voit bien la supercherie d’un boudegros qui utilise ce procédé pour se faire mousser comme d’habitude ; on remarque aussi les positions négatives de tous ses commentaires, jamais une parole positive, toujours la volonté récurrente de nuire en ricanant… la solitude d’un râleur de fond avec la dialectique employée par l’extrême-droite, la bave aux lèvres

Henri dit: à

Je tente désespérément d’être addict à « Cheval blanc »,
mais attention Regniez, je ne suis pas zoophile, pas encore,
après tout pourquoi pas, je peux essayer, holà! apportez-moi, un cheval, blanc si possible!
C’est peutt-être plus dans mes moyens financiers de me taper un cheval que de boire un Cheval blanc.

Phil dit: à

« les nuits de charlottenburg », exemple de zoophilie berlinoise des années 20. beau morceau de littérature.

l’immatérialité du rien sans afect on s'en lasse pas dit: à

c’est l’immatérialité du rien sans afect

>trop fort! on sent qu’on a à faire à une lumière,copiez-collez la phrase gardez la dans vos archives elle vaut le détour!

Phil dit: à

ça marche ?

l’immatérialité du rien sans afect, on s'en lasse pas dit: à

tu t’embêtes pour rien:il est malheureux,seul,la prostate qui le chagrine,le crâne dégarni,le bide qui tombe au-dessous de la ceinture,un tout pet.t k.k., une catastrophe!on a essayé de le recaser avec daaphnée,rien à faire!il a peur qu’elle voit son état et qu’elle le répète, tu la connais ..

c'est bon comme là bas dit: à

c’est drole bravo!

de nota dit: à

Ah,on says plus on dit,comme dieu l’impair.
L’addiction remonte à la plus haute antiquité
Passou nous la joue façon Vialatte.
Question zoophilie,je vous laisse méditer la mise en garde d’Alphonse Allais:
« Il ne faut jamais embrasser un mouton qui a la laine mauvaise. »

Bloom dit: à

C’est peutt-être plus dans mes moyens financiers de me taper un cheval que de boire un Cheval blanc.

Voilà qui est rassurant. J’ne connais qui n’auraient les moyens de faire ni l’un, ni l’autre, ou l’autre sans l’un, ce qui n’a pas d’allure.
A votre (belle) santé!

Revizor dit: à

« addiction ressort du lexique psy  »
En serait-il déjà sorti ? Puis entré à nouveau ? Cette nouvelle sortie serait-elle la bonne ? Il est plus vraisemblable, et grammaticalement correct, qu’il ressortisse à ceci, voire à cela.
Arcadius, et son « le premier terme ressort d’une manie » (28 nov, 22h45), devrait en prendre de la graine.
Le « poids des mots »…Pfff.

bouguereau dit: à

« à la santé du cheval et de celui qui le monte »
..et sans tabouret..mine de rien faut toujours qu’il se vante ce ritchi

bouguereau dit: à

toi alexia t’es comme kabloom, qui accessoirement se vanter de sa souplesse, tu ne t’ennuies jamais toute seule à la maison

bouguereau dit: à

je cherche tes nuits de charlotenbourgue..je vois rien..même pas une image de tabouret ou de mouton..bref ça marche pas

Phil dit: à

avec des serpents. Berlin, 1920, chez egon von strawitz.

bouguereau dit: à

seurche « egon von stravitz les nuits de charlottenburg »
et ben..keutchi..
je suis bien tombé sur un hotel à la vontraube à charlottenburg..mais il parle pas de serpent en soirée

bouguereau dit: à

tu fais même pas de fight avec jicé sur world of warcraft ?

Phil dit: à

sapré bougreau. c’est dans « Fermé la nuit » de PM. les ancêtres à von traube, quand ligneroset produisait du fauteuil cloute.
Pour les adresses à friendly serpentins, faut consulter baroz.

bouguereau dit: à

justement c’est ça un grand romancier comme tout le monde..

bouguereau dit: à

pm! bon dieu mais c’est bien sur !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…c’est pas sérieux des discutions pareilles, la droite c’est du Pétain,…au XX°,…obéir et se faire enculer,…
…des français qui parle de la droite,..ils en redemande,…c’est sur,…la gauche est trop étroite , avec la droite çà élargie la zoophilie à cheval,…made of St-Cyr du Tyrol stratifié à rebours,…
…châteaux Clos  » les Napoléon’s »,…retours d’Espagne, et les nobles investis du Pape,…pour voguer en noce d’Amérique,…le bidet des croisades,…

…on remet la sauce,…de la différenciation,…les fauu-cons nobles & fidèles comme des chiens d’arrêts,…
…la droite le ridicule consensuel morbide de connivence,…qui en veux du droite à la Bourse,…l’économie dans la merde d’intérêts.
…etc,…la droite à l’ iPad en l’air,…
…à la recherche de nouveaux « privilèges »,…c’est tout et rien d’autres,…la droite des bandits de grands chemins,…des escrocs,…imiter en mieux par la gauche,…qui prend acte des erreurs de la droite,…pour se payer une gauche adroite,..
…sophiste,…sophistes,…et bla-bla,…à rien foutre,…la droite à la recherche des gros salaires,…adroit des connivences pour faire son beurre exclusif,…l’€urope ma colonie,…envoyez,…

Thierry Kron dit: à

Bloom, you make my day ! « une manière flatteuse de faire des maths », dommage que je n’avais pas en son temps, lors de ma scolarité, pensé à une réplique aussi drôle. Ceci dit, Bloom, 51 ou 53 ans, cela ne fait aucune différence, Jonathan Franzen semble trop vieux dans sa tête pour se servir à bon escient des nouvelles technologies.
Toutes les addictions sont mauvaises, sauf les positives, comme le goût de l’ordre et du travail bien fait. J’ajouterais aussi l’avantage d’être Kiasu et bien entendu savoir relativiser, surtout ses propres qualités et défauts.

Bloom dit: à

Le boug’ pourrait presque être ambassadeur, il comprend tout de travers; il lui manque juste un peu de veulerie…

renato dit: à

Enfin, le renard et le raisin en dit long sur le regard que certains portent sur les choses… il y a bien des gens qui ne savent pas conduire… je me souviens d’un qui pestait contre les voitures mais ne refusait jamais qu’on l’accompagne… dans les faits il avait loupé trois fois son rite initiatique pour obtenir le permis donc…

Cela dit je ne comprends pas pourquoi si je met un link dans l’espace ad hoc mon post ne passe pas… tandis que d’autres passent… mais bon : rodage…

Thierry Kron dit: à

@ “Elles sont le plus souvent faites de lieux communs sur le roman, les personnages, les lecteurs, et de poncifs sur leurs relations avec l’auteur.  » rédigé par Pierre Assouline: Déjà « Grand-Écrivain-Américain » est un compliment qui relativise la catégorie*, mais « lieux communs » fait de Jonathan Franzen un écrivain comme il y en tant, partout ?
* Un grand auteur, ne devrait-il pas être quelqu’un qui rend universel son sujet ? Par exemple « les lettres » de Suétone n’ont pas une seule ride.

Un grand auteur devrait faire oublier que le contenu et le contenant sont deux entités. Tout le monde n’est pas Fabergé, pour ses œufs, ou l’ébéniste David Roentgen, le spécialiste des meubles à tiroirs-secret.

Jacques Barozzi dit: à

« On n’a jamais vu de chat policier »
Jean Cocteau.

Et l’on pourrait rajouter, ni de chat Berger -Allemand !

renato dit: à

« Depuis, beaucoup de baby-boomers confrontés au problème d’avoir dépassé la trentaine ont trouvé une solution simple : agir comme s’ils étaient toujours jeunes. »

J’ai du mal à croire que d’emprunt quelqu’un puisse prendre une telle connerie au sérieux ⎯ un dépendent de la sociologie (et presse relative) bien à part, naturellement. J’étais âgé de moins de trente ans et j’ai connu des gens qu’agissaient comme moi… l’une de mes amie est rentrée dans le chaos originaire qu’elle avait 92 ans et n’a jamais rien lâché… tandis que ma grand-mère me disait qu’elle avait conscience de son âge seulement parce que son corps le lui rappelait et aussi parce que on n’échappe pas au regard des miroirs…

Alexia Neuhoff dit: à

M’ennuyer ? Pas question : imagine le temps que je passe à essayer de comprendre tes messages, exemple : »qui accessoirement se vanter de sa souplesse »… On ne parlera pas d’addiction pour autant.

John Brown dit: à

Quand Frantzen dit que les réseaux sociaux n’établissent pas de véritables relations humaines, il a raison dans la mesure où, massivement, les nouveaux moyens de communication rendus possibles par l’avènement du numérique (téléphones mobiles, facebook, twitter, blogs etc) ne font que renvoyer leurs utilisateurs à leur solitude, mais ni plus ni moins, après tout, que la lecture ou la correspondance traditionnelle. Les rencontres réelles, cependant, s’en trouvent grandement facilitées, et la multiplication des échanges indirects via la toile est un aspect éminemment positif de notre modernité.

renato dit: à

Bon, maintenant quelqu’un devrait être responsable de ce site, en outre il y a derrière un machin « création, développement, consulting, support »… mais bon, si on clique sur « Contact » pour dire qu’il y a des malfaçons, comme toute une réponse on reçoit « La page demandée n’existe pas »…

Si on ajoute une modération arbitraire…

Bloom dit: à

Quid du rôle crucial joué par les réseaux sociaux dans les révolutions tunisiennes et égyptiennes? Franzen, et d’autres ici, parlent comme les nouveaux maîtres au pouvoir dans ces pays, qui ont congédié illico presto une bonne partie de la jeunesse dépossédée de son action révolutionnaire. Etrange.

renato dit: à

Comment ça « l’immatérialité de rien sans afect », bouguereau ? Déjà, moi, je te trouve sympathique même si t’es parfois pénible ; puis, tu cause d’immatérialité à tort et à travers : tu devrais savoir que le support physique n’est pas toujours ce qu’il semble… enfin, l’esprit est immatériel, et parfois les désirs… tout le reste est lourdement matériel…

renato dit: à

Bon, c’est devenu un chienlit sans nom ici…

Phil dit: à

bloom, le paysan égyptien a jamais touché un compiouteur et dit yahoo qu’à ses chèvres. ça l’a pas empêché de voter.

John Brown dit: à

Ces « nouveaux » maîtres du pouvoir sont, dans ces pays, les représentants du plus ancien et archaïque pouvoir. Frantzen ne parle peut-être pas tout-à-fait comme eux (leur idéologie n’est sans doute pas la sienne), mais en s’en tenant, sur un terrain crucial (celui de la communication, de la circulation et de l’échange des informations, des opinions et des idées ), à des positions conservatrices et traditionnelles, il apparaît de fait comme un allié objectif de ces gens-là. Les moyens modernes de la communication popularisés par internet sont, eux, les alliés objectifs de la démocratie et de la liberté de pensée et de parole.

Alexia Neuhoff dit: à

Ce blog aurait besoin d’un bon coup de fer à repasser, ça plisse, ça chiffonne, ça fripe, ça froisse, ça fronce, ça ondule, ça vous met 14h avant midi.

Phil dit: à

renato, la chienlit vient de la fonction « répondre ». quand vous entrez dans l’ascenceur, vous n’arrivez jamais à l’étage souhaité. reste qu’un autre auteur que Franzen sur un autre sujet donnerait des discussions plus lisibles.

Phil dit: à

finalement l’ancienne formule n’était pas mal. trop de rouge. faut supprimer le « dit ».

John Brown dit: à

Les « nouveaux » maîtres du pouvoir en Tunisie et en Egypte (au Maroc aussi et bientôt, sans doute, en Syrie et en Libye) ne peuvent tout de même pas se déclarer des adversaires du livre, puisque c’est un Livre qui contient, pour eux, toute la vérité. Mais ces « amis du livre » ne le sont que d’un livre, et sacralisé. Or, l’histoire de la culture (pas seulement de la nôtre), c’est celle de la désacralisation progressive du livre et de la merveilleuse multiplication de ses usages profanes. D’où les efforts récurrents des tenants d’une vérité unique (religieuse, idéologique) pour restreindre et contrôler les usages profanes du livre. La multiplication et la diversification des échanges d’information et d’idées via internet place les tenants les plus sectaires et les plus réactionnaires de la « vérité » unique dans une situation affolante, intenable. « Je détruis les tiroirs du cerveau et ceux de l’organisation sociale », écrivait Tzara. Il pourrait écrire aujourd’hui, à la gloire d’internet : « Je détruis les tiroirs du cerveau ET les vérités uniques « .

renato dit: à

Non, Phil, la fonction « répondre » n’est pas le problème, elle le devient lorsque la modération intervient car le webmasters n’a pas bien paramétré le machin. Or 48 heures sont largement suffisantes pour ajouter les erreurs de conception et de paramétrage… au moins que… chez les littérateurs tout soit… exception exceptionnelle… (extra, quoi)…

bouguereau dit: à

il faut mettre « also sprach » pas « dit » et avant..sinon ça fait « phil also sprach » et vontraube trouverait ça fautif, et il aurait raison

Jacques Barozzi dit: à

Si on lisait les réactions des intellectuels lors de l’invention du télégraphe sans fil, on trouverait sans doute les mêmes arguments qu’emploie Franzen aujourd’hui.

Jacques Barozzi dit: à

Il m’étonnerait que ce blog restât longtemps sans publicité !

Thierry Kron dit: à

Phil, personne ne semble surtout n’avoir jamais lu un de ses romans. Personnellement, je n’ai jamais été au bout du premier livre, bien que le sujet m’interpellait.
Ce que je trouve regrettable, c’est que par rapport au passé, les commentateurs habituels n’ont pas perdu l’art d’éviter le sujet de la Note. Je ne parle pas de digressions qui sont le sel de toute conversation.

renato dit: à

Il suffirait, par exemple, une trace qui rappelle le post censuré (ou carrément pas mis en ligne)…

renato dit: à

Vous coupez votre entrecôte avec un couteau en silex, Phil ?

Black Elk Speaks dit: à

renato speaks… ce serait d’un chic à se pavaner à tout coin de rue…

Phil dit: à

bougreau: « hat gesagt » serait plus logique. on a toujours un train de retard dans le oueb; fessebouc précéde facebook.
renato, le maniement du silex est pas donné à tout le monde. comme les gros doigts qui tournent 50 plages de pléiade en un coup. ça finit par énerver.

renato dit: à

Enfin, Phil, Facebook est déjà has-been… quant à l’usage de la lame de silex, avant de savoir s’en servir il faut savoir la façonner… ce qui est un excellent exercice de coordination cerveau – main… même pour des littérateurs…

bouguereau dit: à

si clopine était là elle te dirait que les gros doigts..à part dans l’cul..c’est pas bon
mais elle est pas là..elle fait du boudin..c’est pas le même que baroz..il a pas le même gout

Phil dit: à

tout à fait renato. la famille « Feuerstein », série à grand succès en germanie.

bouguereau dit: à

mais si il est là baroz !..ha tu baves de jalousie..le tiens de blog blinkerais comme une façade de bordel..tu prendrais au clic sur des crèmes ici..des godes là..tu gagnerais même des thunes en dormant baroz

Phil dit: à

moi non plus, tkt, jamais été au bout du pavé de franzen. mais en anglais, bitte sehr

Phil dit: à

viens de constater que ceux qui ont un blog ont droit au bicolore: TKT dit.

Philippe Régniez dit: à

Heureusement que les balivernes déversées sur Genet ((facebook en haut à droite) viennent « d’un grand écrivain espagnol », si elles venaient d’une concierge, on pourrai se poser des questions.

renato dit: à

Des vacances en travaillant comme ouvrier sur une fouille paléo serait un bon exercice pour tout le monde, mais surtout pour les grands lecteurs et les webmasters…

bouguereau dit: à

musclé..alignement..blog d’homme..le cadavre devient esquis..et il a un gout salé

Phil dit: à

faut faire poser le curseur sur celui qui a causé en dernier. place aux gueulards.

Thierry Kron dit: à

Non, Phil, ce sont ceux qui laissent dans leur signature, une adresse www.
Ainsi un des premiers commentaires de D., voir dans l’accueil du site, contenait dans le D en rouge un lien qui amenait vers un autre autoportrait de celui qui se voit en étoile du lac au cygne noir. Amusant, Denem en arabe veut dire queue de poule.

renato dit: à

Il y a toujours des récalcitrants, Jacques… le monde est ainsi fait…

Phil dit: à

bicolore et bilingue, sapré tkt.

talweg dit: à

je ne vois pas comment on peut faire une approche comparative de la littérature et de ce qu’on trouve sur les « réseaux sociaux »; partant de là, je ne vois même pas l’objet de ce discours, passou…

Jacques Barozzi dit: à

Dans tout grand écrivain sommeille une concierge, Philippe Régniez, voyez Proust…

B. dit: à

Tout à fait d’accord avec renato. D’ailleurs, cette observation avait déjà été faite. Dès qu’un post est supprimé, s’il avait donné lieu à une réponse ou s’il était lui-même une réponse, le désordre s’installe. Comme le dit renato, il faut laisser la trace du post, avec la mention « supprimé ». Ce n’est pas un hasard si c’est la méthode utilisée dans d’autres blog, qui fonctionnent.

Deneb dit: à

UNE chienlit, renato.
Pas d’accord, d’ailleurs. Tout se passe bien. Je n’ai été censuré que deux fois : une fois parce que j’ai écrit qu’une remarque de Bouguereau était stupide, et ça c’est interdit, une autre fois parce que je me suis insurgé contre la pensée unique en prévenant que je lutterai contre (c’est interdit aussi).
Au moins on y voit clair, ce n’est pas comme auparavant où tout l’arbitraire prévalait.

Deneb dit: à

A ce que je constate, mon commentateur préféré mais que je n’ai pas le droit de nommer s’est empressé d’aller lire la page Wikipédia concernant Deneb. Au moins je contribue à sa culture, à condition qu’il n’ait pas tout mélangé et compris de travers. Allez, je lui fais confiance pour ça.

renato dit: à

Chienlit, flexion :
m. s. chienlit
m. pl. chienlits
f. s. chienlit
f. pl. chienlits

Deneb dit: à

je me demande si par malheur le site ne prend pas l’heure du PC du commentateur au lieu de celle du serveur à la réception du post. Je mets 30 novembre pour voir, et je teste avec ce commentaire

Deneb dit: à

Ben non.
Alors renato a raison : c’est la chienlit.

Thierry Kron dit: à

Le mot choisit pour ne pas utiliser de mots étrangers, est je crois Bloc. En écrivant Blogue, vous me faîtes penser au mot débile en queue de poule de « aliène » pour le mot anglais alien.

Thierry Kron dit: à

Trilingue, Phil, trilingue, plus quelques mots d’argots et, aussi des mots glanés dans les pays vraiment étrangers, c’est à dire là où mes trois langues usuelles ne sont pas les langues officielles.

Thierry Kron dit: à

Henri, essayez « Chenin Blanc », un cépage du Valais.

B. dit: à

Si, cette chienlit a un nom : worldpress

renato dit: à

Hum… moi, je pensais à un gars en chemise de nuit avec plein de moutarde à la hauteur des fesses

Deneb dit: à

Encore un qui est allé lire Wikipédia…

Deneb dit: à

Mes dessous ont toujours été impeccables, renato. Je ne comprends pas votre remarque désobligeante. Comme je l’ai déjà dit ici, je suis très à cheval sur l’hygiène.

renato dit: à

Je reviens à l’instant de Wikipédia : le mot est polysémique, pas besoin de Wiki, donc, un bon dico suffit ⎯ faudrait se montrer moins psychorigide et aller chercher noise ailleurs… ce n’est pas la faute de Traube ni la mienne si vous avez manqué votre vie…

rose dit: à

j’avoue : je l’aime beaucoup la fonction répondre qui met des complexités là où il n’y en a pas. Pourvu que cela dure (nota :dum se traduit par pourvu et non pas pas parce que dans oderint dum metuant).

Jacques Barozzi dit: à

Jacques Chirac, 80 ans. La vieillesse, quel naufrage !
Idem pour l’UMP (pas la vieillesse mais le naufrage).
Avec le PS qui cristalise toutes les frustrations et désillusions, va falloir rester vigilants si l’on ne veut pas voir le FN accéder au pouvoir.

addict, moi? dit: à

je viens de lire un entretiensur la toile qui répond à des questions que je n’aurais jamias formulées sur ce blog (réseau ??)
entretien de Goytisolo sur Genet ,Goytisolo qui de toute évidence connaît bien l’exercice et répond  » Je travaille à la main. Je n’ai jamais su taper à la machine. Je suis resté au XIXe siècle pour ça ! Je travaille le matin, je lis l’après-midi et le soir je me promène. »

Philippe Régniez dit: à

On compte sur vous, Jacques Barozzi, pour sauver le bateau France de l’effroyable naufrage. Restez vigilant !

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