de Pierre Assouline

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Des romans de Jean Lartéguy comme outil militaire

Des romans de Jean Lartéguy comme outil militaire

On savait déjà que La Guerre moderne (1961), dans lequel le colonel Trinquier théorisait la guerre subversive ( « ne pas tuer mais conquérir la population »), était un classique des écoles de guerre américaines ; ce combat contre l’ennemi avec ses propres armes avait été découvert par les officiers français en Indochine lors de l’affrontement avec le Viet Minh. On se souvenait également que les aventures de Malko Linge racontées dans ses romans d’espionnage par Gérard « SAS » de Villiers avaient suscité les éloges du ministre des affaires étrangères Hubert Védrine pour « un œil et un flair incroyables », pour sa capacité d’anticipation et pour la qualité de ses sources à la DGSE et… au Quai d’Orsay. En janvier 2013, le New York Times avait même publié un grand article sur lui, écrit par un ancien correspondant au Proche-Orient bluffé par son savoir. Et l’on en a encore en mémoire le récent et tardif succès du Camp des saints de Jean Raspail largement diffusé par la droite radicale aux Etats-Unis convaincue de se trouver en état de siège face à l’invasion étrangère.

Aussi, lorsqu’on a appris que l’œuvre de Jean Lartéguy (1920-2011) suscitait désormais un écho inattendu en Amérique latine, on s’est dit que, décidément… Jean qui ? Soldat, ancien de la France libre, grand reporter, anticommuniste, il fut un « écrivain de guerre » à grands succès dans les années soixante. Ses romans (Les Centurions, Les Mercenaires, Les Prétoriens, Le Mal jaune, Les Tambours de bronze parmi beaucoup d’autres) exaltant des valeurs telles que honneur, patrie, sacrifice, fraternité, semblent avoir été emportée par le vent de l’Histoire avec les guerres coloniales dont il avait peint la geste. Or Les Centurions (1963) son grand roman sur les parachutistes d’Indochine en Algérie, inspiré de Bigeard et ses hommes et porté à l’écran sous le titre Lost command avec Alain Delon, Anthony Quinn, a passionné, parmi nombre de galonnés, le général David Petraeus, commandant de la Coalition militaire en Irak avant de prendre le commandement des troupes de l’Otan en Afghanistan ; il en a réactivé le culte dans l’armée américaine en encourageant fortement l’éditeur à le publier à nouveau, et ses officiers à étudier le film qui en a été tiré, de même que La Bataille d’Alger de Pontecorvo.

C’est peu dire que son propre manuel de contre-insurrection est inspiré d’un chapitre des Centurions ; celui-là même où Bigeard alias Raspeguy, tirant les leçons de sa détention dans les geôles du Vietminh, décide d’adapter ses paras en Algérie à une guerre non-conventionnelle où il faut d’abord couper son adversaire de la population dès lors qu’elle lui fournit ravitaillement et informations. C’est un traité vivant et vécu de guerre contre-insurrectionnelle, dans lequel la dimension politique et psychologique, basée sur la primauté du renseignement, l’emporte sur l’aspect purement militaire des opérations.

Tout y est jusqu’à la « manière » de faire parler à temps des combattants, sachant qu’ils ont disséminé en ville quinze bombes réglées pour exploser dans les vingt-quatre heures. Ce qu’il appellera le ticking time bomb, scénario justifiant le recours dans l’urgence à la torture afin de sauver les vies de civils. Tout récemment, lors d’un colloque  à l’Université Sarmiento (Province de Buenos Aires), un jeune historien spécialiste de l’Amérique latine du nom de Jérémy Rubenstein (Paris-I), a fait une longue intervention remarquée sur « La popularité de la doctrine militaire française et l’influence des romans de Jean Lartéguy en Argentine » (consultable en espagnol ici).

« Les romans de Lartéguy ont deux vertus didactiques sur la DGR. D’une part, ils présentent une généalogie – certes mythifiée – de la doctrine et la pluralité de ses interprétations. D’autre part, le contenu de cette doctrine oblige à s’interroger sur le rôle du roman en tant que produit culturel, c’est-à-dire comme possible outil ou arme militaire.

Sa contribution (ici traduite en français) a ceci de remarquable qu’elle éclaire le point aveugle de la recherche sur la doctrine de la guerre révolutionnaire : elle resserre la focale non sur les théories des spécialistes à destination des spécialistes, mais sur l’impact d’un produit culturel de masse. Et si la lecture des Centurions avait agi à l’égal d’une arme psychologique sur les commandos de l’armée argentine, offrant ainsi une justification morale à toute une génération de militaires ?

 En 2009, Jean Lartéguy a remis officiellement l’ensemble de ses archives au service historique de la Défense (fort de Vincennes). Ainsi, celui qui, après une licence d’histoire à Toulouse était jadis entré tout jeune dans la vie active comme secrétaire du médiéviste Joseph Calmette, bouclait la boucle.

(« Alain Delon et Anthony Quinn dans « Les Centurions » réalisé d’après le roman de Jean Lartéguy)

Cette entrée a été publiée dans Histoire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 481 Réponses pour Des romans de Jean Lartéguy comme outil militaire

Phil dit: à

Nathalie Rheims, biberonnée par Morand, Stammgast de la table familiale, de belle commémoration en perpective sur le prestigieux blog à Passou. Amen

rose dit: à

Massu

christiane dit: à

@rose dit: 11 février 2018 à 15 h 54 min
L’argent ? qu’est-ce ? On ne l’emporte pas dans la tombe ! Ils en ont, qu’ils l’utilisent intelligemment / On n’en a pas ou guère ? qu’importe. On sait aimer aussi et s’émerveiller. On connait le pris de l’effort, de la patience, du renoncement au désir de posséder. On lit Christian Bobin… Le monde people, oubliez-le.
Nathalie Rheims n’est pas ce que vous dites. Lisez un de ses livres. Elle s’enchante et enchante. Je l’avais découverte chez Léo Scheer. C’était comme entrer dans ces contes qui commencent par : « Il était une fois… ». Il y a des ogres aussi…

christiane dit: à

le prix

Widergänger dit: à

Massu est aussi une massue…

Delaporte dit: à

Le miracle de Lourdes, ou comment ça marche :

«En février 2008, mon médecin traitant m’invite au pèlerinage diocésain du 3 au 7 juillet (…). Je n’avais jamais été à Lourdes en tant que malade (…) j’allais à Lourdes avec la joie de tous les pèlerins, puis en 2008, nous fêtions les 150 ans des apparitions de la Vierge Marie à Bernadette (…). Dans la grotte, j’ai ressenti la présence mystérieuse de Marie et de la petite Bernadette (…). En aucun cas, je n’ai demandé la guérison, mais la conversion du coeur et la force de poursuivre mon chemin de malade».

Clopine dit: à

Clopinou à Beaubec.

Debout sur la grande table de la salle à manger, en chaussettes. Précisément à l’endroit où tout le monde passe et repasse…

La première fois que je passe, je me dis « tiens, il cherche quelque chose ». Je me le dis sans plus, hein. Je suis fermement persuadée que c’est son problème. De toute façon, s’il ne trouve pas, il saura bien, par contre, me trouver…

Clopin passe lui aussi. Seule chose qu’il vérifie : que le Clopinou est bien en chaussettes, pas en godasses. C’est good. IL passe.

La petite amie du Clopinou, tranquille mimile, foutine quelque chose un peu plus loin, le grand frère va et vient, c’est dimanche, le chien bâille devant le poële.

Et puis je repasse. Le Clopinou est toujours debout sur la table. Je me risque à une question : « Euh… Tu cherches quelque chose, là ? »

« Ben non », me répond-il, « je teste juste combien de temps je peux rester debout sur la table avant que quelqu’un ne s’en inquiète.. » « Ah bon, et alors ?  » « six minutes et demie quand même ».

C’est mon fils à moi, ça.

DHH dit: à

@Bloom
Quelques indications qui peuvent vous intéresser a propos de vos post sous le fil précèdent

Bloom dit: à

Les Nus et les morts est un chef d’oeuvre. La trilogie de Pat Barker sur la PGM, en particulier The Ghost Road (La route fantôme), Booker 95, qui met en scène Wilfried Owen, est remarquable. Comme est remarquable le Booker 2014, du à l’australien R.Flanagan, The Narrow Road to the Deep North (La route étroite vers le nord lointain).
Sur la guerre du Vietnam, je ne connais pas la réf de P Edel, mais vais y aller voir de plus près: la filmographie est tellement riche..et ‘to the point’.

Clopine dit: à

Bien entendu, Clopinou n’était pas qu’en chaussettes,of course. Il portait aussi un jean et un superbe tee-shirt.

Bloom dit: à

Merci de ces précisions, DHH, qui tempèrent la violence de la lettre de la loi. J’ai lu l’intégralité du Code noir quand je faisais mon DEA sur l’historiographie de l’esclavage aux US. Le livre de L Sala-Molins, sorti dans les années 90 je rois, est un peu excessif, mais utile. J’ai aussi étudié les codes noirs de certains états du Sud – la « pensée » française rayonnait également dans ce domaine…
On oublie souvent que les premiers juifs à avoir mis les pieds dans le Nouveau Monde (Brésil, puis Nouvelle Amsterdam, future New York) étaient des Séfarades…

Ce que vous dites de cette jeune femme roumaine ne m’étonne qu’à moitié: ce n’est rien de dire que les habitants des ex-« démocraties » populaires n’ont jamais opéré de travail de mémoire…l’histoire y était, y est encore, synonyme de propagande (voir ce qui se passe en ex-RDA). Pour moi, cette Europe élargie est un non-sens – nous ne partageons pas l’essentiel, pour faire simple et vite…juste une volonté politique d’humilier la Russie, qui nous revient en boomerang…

Bloom dit: à

On croirait que Jean-François Kahn m’a lu!

Ne pas oublier vos petites pilules vertes, ce soir, monsieur Gaxotte.

Delaporte dit: à

Comment ça se passe, tout de suite après le « miracle » :

Suivent alors de nombreuses expertises et examens. Une fois tous les éléments accumulés, le Comité Médical International de Lourdes, constitué par une assemblée de médecins, généralistes et spécialistes de plusieurs pays, examine le cas et vote. Ce qu’il fit lors de sa réunion annuelle des 18 et 19 novembre 2016. A l’unanimité moins 1 voix, ce comité conclut que la guérison de Sr Bernadette Moriau «reste inexpliquée dans l’état actuel de nos connaissances scientifiques.» Figaro

Widergänger dit: à

Le vrai miracle, ce serait que Delaporte devienne un peu moins con… Mais là, je crains que le Seigneur ne nous ait abandonnés…!

closer dit: à

« Ben non », me répond-il, « je teste juste combien de temps je peux rester debout sur la table avant que quelqu’un ne s’en inquiète.. »

C’est drôle Clopine, ça me fait penser au personnage de David dans « L’Education de Jésus » de J.M. Coetzee, que je viens de terminer. David n’a que 7 ans, mais on le pressent capable de faire ce genre de test à l’adolescence.

Un OVNI, ce roman. Rien à voir avec le Jésus des Evangiles. David pourrait en être une sorte d’incarnation, mais ça ne marche pas vraiment. Le titre est une énigme. Voici un petit résume donné par Le Seuil:

« David est un petit garçon de six ans (7 ans dans le cours du roman ndlr) précoce et indépendant, qui pose sans cesse des questions. Il apprend la langue, il se fait des amis. Le grand chien Bolívar veille sur lui.
Mais il faut scolariser l’enfant de plus en plus rétif à l’enseignement de Simon.
Il entre alors à l’Académie de danse, où les élèves s’ébattent en chaussons dorés ; où la belle Ana Magdalena, ballerine, et son mari compositeur mêlent les nombres à la chorégraphie et à la musique pour créer une métaphysique inédite, qui séduit David et déconcerte Simon, les éloignant l’un de l’autre. Mais un événement violent met un terme abrupt à la scolarité du garçon et suscite en lui des questionnements sur ce que les adultes font aux adultes. »

Si l’on veut absolument trouver un lien avec Jésus, c’est à « Jésus parmi les Docteurs » que l’on peu éventuellement penser. Car David jouit d’un charisme extraordinaire et impose sa volonté à la plupart des adultes. La quatrième de couverture évoque Samuel Beckett, je vois assez mal pourquoi. Une interprétation au premier degré verrait la mise en scène d’un conflit entre deux personnages conventionnels et terre-à-terre, les parents ou beaux-parents de David et un couple de rêveurs la tête dans les étoiles, les fondateurs de l’Académie de Danse (de musique aussi), sorte de secte pythagoricienne fascinée par les nombres et les astres. Etrangement, le résumé du Seuil n’évoque pas Dmitri, un personnage quasi diabolique qui joue un rôle immense dans le livre.

Ce livre de Coetzee se lit avec un intérêt qui ne faiblit jamais.

Je sui certain que Christiane ou Rose pourrait nous en faire un commentaire passionnant. Je ne pense pas qu’il soit dans le territoire de Clopine, mais je peux me tromper.

Widergänger dit: à

Clopine dit: 11 février 2018 à 16 h 25 min
Bien entendu, Clopinou n’était pas qu’en chaussettes
_______
Un instant on a craint le pire…

Paul Edel dit: à

Wgg, helas, ce n’est pas du tout son meilleur livre, à Jean Rolin, plutot un maillon faible écrit à la paresseuse..

Delaporte dit: à

« Le vrai miracle, ce serait que Delaporte devienne un peu moins con… »

… et surtout un wgg un peu moins pédant avec ses recopiages incessants…

rose dit: à

Mais là, je crains que le Seigneur ne nous ait abandonnés

Widetgänger

c’est sans doute à ce point là qy’il ne nous abandonne pas.

la vie dans les bois dit: à

Bien évidemment que les livres de Miss choucroute sont culcul la praline pour ado attardée, qui lit femme magazine en se bourrant de popo corn devant la télé. Personne n’a dit le contraire..
Mais si  » Passou » comme il l’a fait à plusieurs reprises sur la RDL ne peut plus faire plaisir à Nathalie, ça laisse mal augurer de la liberté d’expression. Alors zut à ceux qui veulent tout savoir sans avoir lu le livre de  » Passou »,  » retour à Sefarad ».
Mince à la fin !

rose dit: à

: suis-je désirable dans les mots ?

C’est fort au-delà de cela et c’est totalement incompréhensible.
Tu lis cet ouvrage d’untel, tu le ramènes. Insipide. Comment peut être publié pareil monceaux d’insanités ?

rose dit: à

Cela peut.
Sache le.

christiane dit: à

Closer – 16h52
« L’Education de Jésus » de J.M. Coetzee ? je ne connais ni le livre (ni le précédent) ni l’auteur. De quoi s’agit-il ? Quel rapport avec « Jésus » ? Père inconnu ? Mère oublieuse ? (si toutefois il y a rapport entre les deux…)
Je lis un autre roman, très intéressant : « Les Orphée » d’Eric Metzger. Vous connaissez ? Peut-être un parallèle possible entre les deux : Orphée (Louis) qui n’est pas Orphée, cherche une Eurydice qui n’est pas Eurydice, sur les quais, à Paris…

Janssen J-J dit: à

(sœur Bernadette Mouriau, 70e miraculée, Delaporte) « Dans la grotte, j’ai ressenti la présence mystérieuse de Marie et de la petite Bernadette (…). En aucun cas, je n’ai demandé la guérison, mais la conversion du coeur et la force de poursuivre mon chemin de malade».
Quelle chance elle a eue cette charmante créature, bravo, toutes nos félicitations !

rose dit: à

Tu as lu untel aussi. Sacré co.. .rd. Tout s’écroule y compris son talent et sa culture artistique. Il ferme d’ailleurs son blog passionnant. Pck il veut être payé.
Tu as lu aussi trucmuche. Ses bouquins te tombent des mains. Dedans rien : le vide sidéral.

C’est vrai qu’il n’y a pas plus grande mise à nu que celle qui consiste à écrire.

Le roi nu.

rose dit: à

comme si les miracles avaient un lien quelconque avec la chance !

Janssen J-J dit: à

bien sûr que oui, roziemacramée.

rose dit: à

Le miracle de Bernadette à Lourdes, Maïa l’explique
(1. j’ai envie de relire les Evangiles, 2. je vais quand même tenter d’honorer mon devoir conjugal, 3. ah tiens, la sexualité est une jolie chose, 4. Dieu est amour).

rose dit: à

la chance, autant que le mérite sont des notions superfétatoires. Inventées pour faire iech le populo.

Lavande dit: à

Christiane si vous ne connaissez pas Coetzee (prix Nobel de littérature), vous avez de belles découvertes devant vous. Je n’ai pas lu le livre dont parle Closer mais plusieurs autres dont « Disgrace » dont j’avais vu une adaptation théâtrale très dure et violente, insoutenable.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…bon, ici, ou ailleurs, à le noter, pour tous,!…

…il, y a, depuis longtemps, que je collectionne, les élucubrations techniques et sciences,…( tours de mains et détails,…)

…et, ne voit t’il, pas,…que dans un de ces livres, je découvre un détail de rareté,…insérer, dans les pages, un bout de papier, rectangle,…que j’allais jeter à la poubelle, de couleur beige-usé,…

…par,instinct,je le remet, à sa place, et continue à lire,…
…et, puis, après des mois,…je me souvient, du petit papier, et vais, reprendre son étude,…

…que je reste ébahi, à la loupe, du détail des inscriptions et dessins graver et imprimés,…

…je photographie en carte-mémoire,…et j’agrandis pour voir, tout un travail de miniaturiste graver,!…

…et, comme je suis, philatéliste à mes heures,…je me dis,de au moins le mouillé, le papier, avec une goutte d’eau,…

…l’opération effectuée,… la papier ( ou timbre ), devient,noir intense,…avec, l’élégant N° 1, qui réapparait,…

…mais, alors, mille précautions, le timbre, reste très mous,…et, je m’oblige à rester inerte, et me rapproche d’un réchaud électrique, pour le sécher, sans bouger, de sur ma main,…

…et, v’là,…un timbre sauvé, réhabilité,…

…mais de quel pays est-ce,…

…et, je me met, à rêver,…et, si c’était, le premier, timbre au monde, par le concurrent écossais du timbre de l’anglais, du black penny de la reine Victoria,…

…l »écossait, avait juré, avoie fait, le premier timbre, avant l’anglais,…

…non, aucune photo, sur le réseau, ou dimensions,…sauf deux photod, avant et après, la goutte d’eau,…

…combien, çà vaut,?!…
…mystères et bulles de gommes,!…
…rareté unique extraordinaire,!…

…autre détail, la dentition est différente,…Ah,!Ah,!…etc,…

;;;

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…des sortes de hachures, pour n’avoir pas, à découper,le timbre à l’époque , non dentelé,!…

…qu’est ce qu’on en dit,!..les spécialistes,  » inconnu  » aux bataillons,…

christiane dit: à

@Lavande dit: 11 février 2018 à 17 h 46 min
chic alors ! j’adore avoir un auteur à découvrir.

Janssen J-J dit: à

@ pour faire iech le populo. (???)
pour enrichir la loterie nationale, putôt.
Melle Superfétatoire est une grue caronculée qui se balade dans un roman populaire à iech. Pas lu, bojangles, comme 2 millons de populastes ?

christiane dit: à

@rose dit: 11 février 2018 à 17 h 19 min

« suis-je désirable dans les mots ? »
Hors l’auteur, n’est-ce pas une des toiles de fond des « contacts » par internet où bien des jeunes filles se brûlent les ailes ? le fantasme fonctionne bien avec des mots, moins avec les rencontres dans la réalité qui demandent de multiples ajustements.
Je n’ai lu que deux livres de la dame concernée. Évocation d’une adolescence bafouée par un senior et l’autre (ou c’est peut-être le même…) une aventure onirique dans un monde ouaté et un peu terrifiant (un peu celui d’Odilon Redon).

christiane dit: à

@Giovanni Sant’Angelo dit: 11 février 2018 à 17 h 50 min

… superbe !

rose dit: à

non.JJJ.pas lu Bojangles.
en revanche ai vu nombre de grues demoiselles lors de grands trajets en train. Dans les champs.

D. dit: à

Propos de Rose parfaitement ecoeurants. J’aurais pas cru ça d’elle.
Je vais éviter de converser avec elle ici. Triste.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…christiane,!…à 18 h 11 min,…
…merci,!…pour aussi, notre humanité précieuse,…

raymond dit: à

Il y a cinquante ans Jean Lartéguy me faisait déjà sourire et je ne supposais jamais qu’un écrivain aussi médiocre pourrait avoir encore quelque intérêt cinquante ans plus tard. La vieille guerre recuite, Indochine Algérie, était déjà démodée, écrivain allons donc, c’était nullité, cela n’avait rien à voir avec la littérature; Claude Simon (pour employer le mot de Julien Gracq) avait réssuyé toutes ces histoires de badernes ridicules et nous les avait enfin proposées à plat, grotesques à force de prosaïsme et idiotes dans ses fondements. La guerre pour nous était morte d’avoir fait trop de morts (10 millions en 14 et 50 millions en 40, ça fait beaucoup)et aucun des sentiments proposés dans ces vaines écritures: honneur, obéissance, n’éveillait quelque chose de positif, sinon un ricanement incommensurable. Que s’est-il passé pour qu’on reparle de Lartéguy? Vraiment au temps du réchauffement de la terre et des 7 milliards d’habitants, y’a pas d’autres sujets que nos défaites d’antan? autre chose que: « moi mon colon celle que je préfère »…?

christiane dit: à

@raymond dit: 11 février 2018 à 18 h 57 min
Je ressens la même chose mais je n’arrivais pas à l’exprimer. Merci.

raymond dit: à

Merci Christiane, ils nous gonflent sévère avec leurs badernes admirables. Débaptisez les rues Foch et Joffre et donnez leur les noms des pauvres pèlerins qui furent assassinés pour rien dans ces conflits idiots… soyons enfin sérieux avec ces affaires gorgées de nationalisme mensonger qui firent les malheurs de générations entières.

Jean Langoncet dit: à

De l’art de la poudre qui pète deux fois : Washington > Trump > andouille blindée > en douille blindée > Full Metal Jacket > Trashmen

Jean Langoncet dit: à

@soyons enfin sérieux

Parfaitement. Occupons-nous des guerres à la mode.

Widergänger dit: à

Raymond n’a pas compris manifestement le sens du billet.

Jean Langoncet dit: à

@« ne pas tuer mais conquérir la population »

On peut dire que l’objectif est atteint, mais pas partout (plein de choses intéressantes chez Trinquier, cela dit)

Jean Langoncet dit: à

Qu’est-ce qu’on enseigne aujourd’hui à l’école de guerre, si elle existe encore ? Que rebaptiser les rue c’est commencer de mettre les populations de son côté ?

Jean Langoncet dit: à

rue > rues

Widergänger dit: à

Rome a aussi conquis les population mais par l’eau, les bains, les avantages de la civilisation à des peuplades barbares, ignares, sans écriture, sans hygiène. À part Jérusalem.

Chaloux dit: à

Jamais voulu ouvrir un bouquin de Lartéguy quand il m’arrivait d’en rencontrer.

Bon, les Mémoires – en Bouquins – de Jean-François Revel, ce n’est pas rien. Ouh le portrait d’Aragon… vers de mirlitons… la Libération… savoureux. J’espère que Lacroix-Riz à lu…

Ed dit: à

Suite à sa célèbre et récente interview dans Paris Match (« je quitterai ce monde sans regret »), j’ai re-visionné quelques films de Delon jeune et me disais que le regarder faisait mal aux yeux. Aucune métaphore, juste la vérité physiologique d’une beauté trop puissante.

rose dit: à

azerty
essai

rose dit: à

c’est du rock acrobatique : ma conception de l’amour. Après ils vont baiser.

Jean Langoncet dit: à

@je vous ai trouvés Chaloux et Widergänger

Speedballs missing…

Widergänger dit: à

Oooohhh, une beauté trop puissante, ooohhh la petite chérie en pâmoison devant Eros…! Ohhh que c’est mignon…!

Chaloux dit: à

« @je vous ai trouvés Chaloux et Widergänger ».

Oh que non. Il faudrait trouver un dessin animé dans lequel un chat -moi- poursuivrait une souris -lui- plus grosse que le chat.

Janssen J-J dit: à

@20.07 Oh voui… les mémoires du voleur dans la maison vide, la rencontre désopilante de JF Revel avec Gurjieff, sa « mésaventure avec l’escroc » (à cause de sarraute ?) ! Tu parles d’une lucidité rétrospective !
https://sites.google.com/site/psychosecte/les-plus-ruses
Même raymond A. n’aurait jamais osé serrer la paluche à ce taré de Lartéguy… que la rdl entend héroïser ast’heure !!!! mais qu’est-ce qui lui prend au just’ ? Et où va-t-on ?

Widergänger dit: à

Il faudrait refaire un film sur la guerre d’Algérie aujourd’hui pour montrer tous nos crimes abominables commis au nom de la République française par tous nos sbires de haut vol : les Mitterrand, les Chaban-Delmas, et toute cette clique de politicards verreux qui nous ont tondus la laine sur le dos pendant des décennies. Et Macron qui est en train de nous macroniser à coups de réformes avec sa gueule d’ange comme autant de serrages de vis pour nous prendre la tête dans l’étau, et qui serre, et qui serre, et qui serre tant que ça peut, tant que ça ne craque pas…

Widergänger dit: à

Tiens, je vais me visionner Seul dans Berlin pour me redonner un peu de courage dans ce monde de brutes épaisses et dégénérées.

Widergänger dit: à

Mers tu mala’s, comme on dit en latin.

Widergänger dit: à

Impossible à dire, impossible à taire, c’est tout à fait ça pour moi aussi avec mon fantôme d’Auschwitz.

rose dit: à

ne sais pas le traduire mers tu mal

Jean Langoncet dit: à

@illustration

Le cavalier me rappelle un bon ami et bon vivant

Widergänger dit: à

C’est normal, c’est du latin parlé. Mais l’expression est dans le Gaffiot.

mers tu mala’s

rose dit: à

jean à 22h19

ouaip, un tantinet bedonnant ; calme

Janssen J-J dit: à

@ j’adore avoir un auteur à découvrir.
Mon conseil : ne surtout pas commencer par « l’enfance de jésus », c’est le roman le plus raté de son œuvre pourtant immense, au j. m. Coetzee. Commencez plutôt par Disgrâce ou Elisabeth Costello. Puis, persistez avec
« En attendant les barbares ». Et surtout : « Au cœur de ce pays » (In the Heart of the Country, 1977) (wiki ->) qui prend la forme d’un journal de 266 segments que tient une vieille fille dans une ferme du veld. Sur un mode halluciné et oppressant, ce roman met en opposition quatre personnages : Magda, la narratrice, son père, maître blanc, leur contremaître noir et la jeune épouse de ce dernier. De manière brutale, parfois haineuse, Magda constate qu’« il n’existe pas de langage privé » et témoigne d’une entente impossible entre les communautés noire et blanche. Dans la même ambiance fantasmagorique, En attendant les barbares (Waiting for the Barbarians, 1980) narre les tourments d’un progressiste, surnommé le Magistrat, qui règne dans un temps incertain sur un fort désertique aux confins d’un État autoritaire dénommé l’Empire. Il tombe amoureux d’une prisonnière venue de la tribu nomade voisine qu’il soigne et veut ramener sur sa terre. L’Empire percevant le peuple de chasseurs-nomades hors de ses frontières comme un danger, se persuade de l’invasion imminente de son territoire et se livre à tous les extrêmes (expéditions punitives, tortures) dont le Magistrat fait l’objet pour avoir failli à sa mission. Comme dans la pièce de Beckett En attendant Godot, les « barbares » du titre représentent un but vain, absurde et dangereux pour les sujets impériaux, aveuglés par la peur de l’autre. Ce roman, qui trahit également l’influence thématique et stylistique du Désert des Tartares de Dino Buzzati vaut à Coetzee une renommée internationale et plusieurs louanges pour sa peinture allégorique et féroce d’un régime ségrégationniste, miroir de l’Afrique du Sud, à la fois paranoïaque, décomposé et mortifié »

christiane dit: à

Janssen J-J dit: 11 février 2018 à 22 h 32 min
Merci pour le conseil

Jean Langoncet dit: à

émission et débat introuvable ; brièvement évoquée > émission et débat introuvables ; brièvement évoqués

rose dit: à

grand regret, n’ai pas regardé l’entretien avant que de le coller copié.
nota : si son vélo tombe dans la rivière c en’est pas par malchance, c’est parce qu’il prend soin en un du chapeau, le sien, avant de son vélo à lui.
Je ne crois ni à la chance ni au mérite.

vais poursuivre comme une obstinée.

à 1mn 51 ce qu’elle dit

https://www.youtube.com/watch?v=9BGgotF35ok

nota bis : le premier meuble que je me suis acheté, c’est le rocking chair : celui de Barbara, pas celui d’Emmanuelle. Non.

Widergänger dit: à

rose dit: 11 février 2018 à 22 h 42 min
On peut le traduire par :

Tu es une pauvre chose ou tu n’es qu’un pauvre type ou pauvre type.

rose dit: à

pas tenu de regarder le tout, pas du tout.
j’ai pas de passé, j’ai pas d’avenir, j’ai l’instant présent.

rose dit: à

Widergänger dit: 11 février 2018 à 23 h 09 min

et cela est adressé à moi précisément ?

la vie dans les bois dit: à

@Qu’est-ce qu’on enseigne aujourd’hui à l’école de guerre, si elle existe encore ?

Les Saint Cyriens, ce sont des cadors en psycho-socio.

« Il faut attendre juin 1956 pour que le Centre acquiert une existence officielle et passe sous la tutelle de la section « instruction » du 3e bureau de la 10e région militaire. Le secrétaire d’État aux forces armées « terre », le socialiste Max Lejeune, annonce, le 1er juin 1956, à l’Assemblée nationale : « Un centre de contre-guérilla a été installé à Arzew et tous les cadres – surtout ceux qui viennent de France – y passeront pour recevoir l’instruction nécessaire [7]
[7] Journal officiel de la République française (JO), 1956,…
. » Dans un contexte politique chauffé à blanc par l’embuscade de Palestro [8]
[8] Le 18 mai 1956, à Palestro, une section du 9e régiment…
, le CIPCG est une des réponses à la guérilla du Front de libération nationale (FLN).
10

Son fondateur et premier commandant, le lieutenant-colonel Denis Fontès, organise des stages où l’effort physique et l’entraînement tactique priment. Saint-Cyrien de quarante-neuf ans, vétéran des campagnes du pacification du Rif, membre de l’Organisation de résistance de l’armée, chef des Forces françaises de l’intérieur (FFI) de Draguignan, ancien d’Indochine, instructeur dans l’infanterie alpine, il a participé aux premiers combats de l’Aurès et du Tlemcenois, avec le 2e RTA [9]
[9] SHD, dossier de carrière de Denis Fontès, 8 Ye 70-04448,…
. C’est donc un homme rompu aux conflits coloniaux, cumulant une expérience pratique de la guérilla et un savoir-faire d’instructeur, qui commande le CIPCG. Il entend casser « l’esprit “petit bourgeois” et routinier » des stagiaires et les rendre capables de « créer dans l’unité qui leur est confiée “l’ambiance agressive du corps à corps” nécessaire dans la contre-guérilla » [10]
[10] SHD, 1 H 2523, orientation générale des instructeurs,…
. Quelques conférences, où sont abordées la « sociologie musulmane » et l’« action psychologique », émaillent ce cursus. »

https://www.cairn.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2013-4-page-101.htm#re8no8

Widergänger dit: à

C’est adressé à qui s’y reconnaîtra…

rose dit: à

passionnant le général buis

son intérêt pour les poètes surréalistes et puis lorsquil dit « si j’avais suivi mes pentes secrètes »

merci jean langoncet

Widergänger dit: à

La réalité, c’est que la France est un pays qui a étouffé ses crimes et n’en parle quasiment pas. Ce n’est pas un pays où règne la liberté d’expression. Il y a une chappe de plomb terrible dans ce pays, ce n’est pas un pays drôle du tout. Un sale pays, teigneux, pourri, rance comme disait Sollers.

Jean Langoncet dit: à

Qu’est-ce qu’une parenthèse gaulliste de 60 ans peut bien représenter quand s’écoule le grand sablier qui nous conduit du cru au dur ? On a échappé au communisme ; ce n’est pas la moindre des libérations. Quant au reste …

rose dit: à

fort bien : et bien ce n’est pas moi.

rose dit: à

L’audacieux développement est ouvert et riche d’enseignements, dont « (…)transcenderaient les irrédentismes » est à méditer

et le premeir donné est fermé, dieu sait pourquoi.

Delaporte dit: à

« Delaporte, un film pour toi, qui sort mercredi prochain. J’irai sans doute le voir. »

Un bon acteur, un magnifique sujet, mais un mauvais réalisateur, si mes souvenirs sont bons, Jacuzzi. Si les spectateurs se convertissent, pourquoi pas…

Delaporte dit: à

« Un sale pays, teigneux, pourri, rance comme disait Sollers. »

Non, Sollers disait que la France était « moisie », ce qui est ridicule. C’est parce que ses livres ne se vendent pas et que c’est un écrivain raté. La France est au contraire pleine de forces vives, qui savent discerner les raclures de bidet comme Sollers et les profs ratés comme wgg, qui sont chahutés…

Delaporte dit: à

Est-ce que le film montre l’apparition de la Vierge, auréolé de lumière divine, comme pourrait le faire le cinéma ? Sinon, je ne vois pas l’intérêt du 7e art !

Delaporte dit: à

Aujourd’hui, l’Eglise catholique fêtait en majesté les 160 ans de l’apparition de la Sainte Vierge à Lourdes à la petite Soubirous. Chaque chrétien se rendant à la messe a pu commémorer cet événement fabuleux :

« Le 11 février 1858, la jeune Bernadette Soubirous se rend au lieu-dit Massabielle pour y chercher du bois. Elle est accompagnée de sa soeur Toinette et de son amie Jeanne. C’est alors qu’une «Dame», toute de blanc vêtue, lui apparaît. L’Immaculée Conception, c’est ainsi qu’elle se fait connaître auprès de Bernadette le 25 mars 1858. Elle lui apparaîtra dix-huit fois en tout, entre le 11 février et le 16 juillet 1858. »

TRUOMPEU dit: à

Delaporte O.39 /12

Exact pour Sollers, qui se référait alors à Rimbaud:
« Après Racine le jeu moisit. Il a duré deux mille ans » (à P. Demeny 15-5-1871)

Le comble c’est qu’il avait sorti cette paraphrase dans un contexte où il appelait à voter Balladur ou Hollande…(? – en tout cas il fut adepte de l’un et puis de l’autre… et puis aussi de Mao Tsé Toungggg…)

Et même si loin d’avoir été un « Centurion » (il se fit passer pour fou +/- pour ne pas risquer d’aller en Algérie), il n’en demeure pas moins que Sollers fut très courageux pour défendre LF. Céline en 2011 et l’édition des Pamphlets depuis.

Personne n’est parfait…

Widergänger dit: à

Delaporte est une pauvre merde qui prend ses calomnie pour la réalité et qui plus est, tellement il est ordurier, se permet d’invoquer la Vierge. C’est bien toi la raclure de bidet, les franchouillard qui pourrissent la vie de ce pays. La racaille fasciste catholique pourrie !

Bloom dit: à

ML, de Gaulle & Tonton étaient tout sauf des anges, mais ils connaissaient la vie et la mort; autre chose que les arrogants d’aujourd’hui, petits puceaux de l’existence.

JC..... dit: à

Lu Lartéguy par curiosité, il y a quelques décennies. Pas gardé le moindre souvenir. Sans grand intérêt ! …

Par contre, les récits des migrants pieds-noirs chassés de leur terre natale ne disparaissent pas de ma mémoire, tant ce qu’ils ont vécu est complexe, riche, et malmené par la version officielle de l’histoire, mensongère.

Pour avoir connu brièvement l’Algérie indépendante de sa capitale Alger, le clivage entre générations des indigènes était déjà en place, ceux qui regrettaient, ceux qui détruisaient, ceux qui espéraient, ceux qui s’installaient au pouvoir tyrannique, ceux qui mourraient ou partaient.

Il est idiot de parler en mal du militaire frankaoui, toujours soumis aux ordres flous du politique parisien de l’époque, souvent incompétent à comprendre le monde de la décolonisation, en ébullition dans les anciennes colonies des nations « civilisatrices » mal à l’aise.

JC..... dit: à

On parle de miracle à Lourdes, ville sainte ! Et si on y installait les Assemblées, Matignon et l’Elysée ? ça aiderait, non ?!

JC..... dit: à

Absolument toutes les Indépendances, tous les Printemps, ont foiré ! Pourquoi donc, finalement…?

Ed dit: à

Widergänger dit: 11 février 2018 à 21 h 36 min
Oooohhh, une beauté trop puissante, ooohhh la petite chérie en pâmoison devant Eros…! Ohhh que c’est mignon…!

L’homme jaloux et aigri dans toute sa splendeur. Mais ne le soyez pas, les gens trop beaux – comme Delon – ne sont jamais heureux. À ce niveau de beauté, on peut parler de malédiction. D’où l’effroi qu’elle procure chez le spectateur.

Tiens. Delon est si immense qu’un Cubain de notre hôtel de Varadero s’appellait « Alain » en son hommage. Bon. La maman du Cubain a dû espérer qu’il hérite également du physique de l’acteur en plus du nom. C’était raté.

JC..... dit: à

Je partage le point de vue d’Ed : ma beauté delonesque est une malédiction.

Elle m’a dispensé d’être intelligent. Toute ma carrière fut une succession de « promotion canapé » menée tambour-battant par des dirigeantes lubriques, exigeantes au delà du raisonnable ….

la vie dans les bois dit: à

@Jean Langoncet dit: 12 février 2018 à 1 h 44 min

« une certaine idée de la France » telle que développée aussi sur le récent billet Maurras.

Si vous avez bien suivi l’évolution du centre d’instruction d’ Arzew, avec l’extrait de lien que j’ai redonné hier à 23h14, vous aurez bien compris que le noyautage du CIPCG, par le  » 5ème bureau » psychologique a été opéré par les partisans du « projet colonial total » français.

Vous ne serez pas surpris d’y retrouver ce partisan de l’Algérie française, comme sans doute des fachos de l’oas.

« Raoul Girardet est, en effet, un de ces intellectuels civils qui participent alors à l’instruction militaire et donc, dans une certaine mesure, à l’émulation intellectuelle qui conduit à l’élaboration ce qu’il est convenu d’appeler la « doctrine de guerre révolutionnaire ». Il intervient, par exemple, dans le cadre du Centre d’instruction interarmées de l’arme psychologique, au moins de 1958 à 1961[11].

http://guerrealautre.hypotheses.org/165

Evidence dit: à

beauté delonienne : pas de danger de voir une photo d’un JC petit, chauve et bedonnant…. alors, la photo ???

Paleine dit: à

« La gloire est le deuil éclatant du bonheur », à précisément écrit Madame de Stael.

Jean Langoncet dit: à

@« Raoul Girardet est, en effet, un de ces intellectuels civils qui participent alors à l’instruction militaire et donc, dans une certaine mesure, à l’émulation intellectuelle qui conduit à l’élaboration ce qu’il est convenu d’appeler la « doctrine de guerre révolutionnaire ». « 

Décidément, ils sont partout … « Agrégé d’histoire et docteur ès lettres, Raoul Girardet fut professeur à l’université de Paris, à l’Institut d’études politiques de Paris — avec entre autres pour élèves Laurent Fabius et Jean-Pierre Chevènement—, à l’École nationale d’administration (ENA), l’École spéciale militaire de Saint-Cyr et à l’École polytechnique. »

la vie dans les bois dit: à

Les épreuves, les plus belles, n’ont pas commencé Renato.

Trop de vent.

rose dit: à

merci delaporte
ai trasmis illico à Bernadette qui vit pleinement son prénom.
bon lundi

la beauté, un soleil auquel se brûler.

la question qu’il eût été possible de poser aurait pu être : qu’est ce qui vous déclenche cela, rose, ma douce ?

Mais baste : j’ai fait l’amour la première fois à vingt ans, mon amoureux en avait deux de plus. Nous sommes restés amourzux, moi en tout vas de dix sept à.vingt sept ans.
Non ce n’était pas les meilleures années de ma vie.

Pourtant, à dix sept tous mes.prémisses étaient inscrits dans ma pierre de Rosette.
Pas, à ce jour de Champollion croisé pour risquer le déchiffrage.

nota à celui qui a peur des bêtes et à qui son pote laisse une grenade. Faut pas avoir peur, le sommes plus qu’elles. Elles le.savent : ce sont elles qui ont peur, à raison.

rose dit: à

moi en tout cas.
Lui je n’en suis guère sûre quarante ans après.

renato dit: à

Très mal organisé ces jeux, La Vie, et par-dessus le marché ils ont bâti une piste près d’un champ d’éoliennes !

https://pin.it/vgx7exe4wxixig

la vie dans les bois dit: à

Renato 😉

Bonne journée.

Clopine dit: à

Ed, je suis d’accord avec vous sur la beauté de Delon.

Néanmoins, je nuance, et ne suis pas d’accord avec la majorité là-dessus : je veux dire qu’on s’accorde généralement à trouver que Delon a atteint le sommet de sa beauté physique dans « la piscine », et les qualificatifs pour le décrire le placent tous dans le registre de la jungle : un corps de fauve, de tigre, un animal splendide, un sourire carnassier, etc.

Or, pour moi, la beauté de Delon, incontestable, est cependant bien plus prenante et touchante quelques années plus tôt, dans « Rocco et ses frères » et surtout « plein soleil ». L’enfance n’avait pas encore tout à fait déserté son visage, et il avait une manière de froncer le sourcil, exactement comme un adolescent se demandant si l’on se fiche de lui, ou s’il comprend bien ce qu’on veut de lui. Quand il abandonnait ce regard à la fois concentré et un peu perdu de très jeune homme, que sa figure se déplissait et qu’il inondait l’image de son sourire radieux, là, on touchait vraiment à un absolu de beauté humaine : la jeunesse et la grâce.

A mon sens, tout s’est gâté après le Guépard, où Delon était volontairement « sacrifié » à Lancaster, façon Isaac. Delon a perdu toute candeur, puis il s’est figé, puis il a vieilli, puis la superficialité de l’homme et ses problèmes d’ego ont pris le dessus (mais quand on est idolâtré comme il l’a été, il faut être sacrément équilibré pour résister). N’empêche que c’était sa fragilité et sa modestie première, trop tôt disparues, qui le rendaient irrésistible, à mon sens, et qui irradiaient ce visage et ce corps, à la façon d’un glacis interne, d’une transparence affleurant. IL n’a jamais été plus beau, à mes yeux, que quand, tout jeune, il était sur le point de rougir. Bien plus grec qu’animal, en quelque sorte.

JAZZI dit: à

« Michel Déon : la Mairie de Paris bloque la sépulture de l’académicien
Pourquoi le cabinet d’Anne Hidalgo a-t-il refusé la demande de l’Académie française d’accueillir les cendres du romancier dans un cimetière parisien ? »

Insensée, cette histoire ! Le règlement des cimetières parisiens dit que pour être inhumé à Paris il faut soit y être né, soit y mourir ou bien y posséder un caveau de famille. Déon n’y est pas mort et apparement sa famille n’y possède pas de caveau, mais il y est né et a passé son enfance rue de la Roquette. C’est un Parisien pure souche. Où est le problème ?

JAZZI dit: à

Erreur, naitre dans une ville ne vous donne pas le droit d’y être enterré !

« Article 1. Droit à inhumation.

La sépulture dans le cimetière communale est due :

1. Aux personnes décédées sur le territoire de la commune
2. Aux personnes domiciliées sur le territoire de la commune
3. Aux personnes ayant droit à l’inhumation dans une sépulture de famille ou une sépulture collective »

Un parent de Michel Déon vivant à Paris peut y acquérir une sépulture et y mettre ses cendres, sinon , l’Académie française…

JAZZI dit: à

« dans « Rocco et ses frères » et surtout « plein soleil ». L’enfance n’avait pas encore tout à fait déserté son visage »

Fais gaffe, Clopine, JC va dénoncer chez toi des tendances pédophiles ! Bien d’accord, surtout dans Rocco, où sa beauté s’allie à la douceur. Malgré tout, pour l’innocence c’était déjà foutu, il rentrait de la guerre en Indochine…

Bloom dit: à

Fasciné par l’Irlande rétrograde de Dev & McQuaid, rurale et catholique, Déon sous forme de cendres serait bien à sa place sur une des landes mauves du Comté de Sligo.

JAZZI dit: à

Pour contrer le processus kafkaïen mis en place par madame Hidalgo, l’Académie française devrait lui faire un Procès. Le statut d’Académicien ne donne-t-il pas une adresse à Michel Déon : quai Conti ? On peut considérer aussi qu’en tant qu’Immortel, il ne peut décéder nulle part ?

Phil dit: à

Déon secrétaire de Maurras réactive les prurits des Hidalgo républicains.

closer dit: à

Quant aux insultes de WG contre Delaporte, elles sont risibles (« fasciste catho »). Delaporte est un infâme gauchiste qui adule Benoît Hamon et le Pape François. Qu’il croit au miracle de Lourdes n’est pas incompatible…c’est même tout le contraire! On se demande si WG dessoule de temps en temps.

Delaporte dit: à

Je croyais que Déon avait été enterré en Irlande, sa patrie d’adoption.

Delaporte dit: à

Ce dernier miracle de Lourdes a en tout cas laissé pantois les hommes de science qui ont examiné la miraculée. De là à croire aux miracles, il n’y a qu’un pas…

JAZZI dit: à

Tu as une adresse parisienne, Bloom, sinon il risque de t’arriver la même mésaventure qu’à Déon ?

Phil dit: à

et devenez qui fut l’invité d’honneur de Déon à Spetsaï, dear Baroz ? Chardonne ! Hidalgo va labourer les allées droites des cimetières parisiens.

Delaporte dit: à

Apprécier le pape (et notamment son encyclique Laudato si’) et admirer Hamon pour sa volonté de réformer le travail (en l’abolissant légalement) n’est pas plus « infâme » qu’autre chose, closer. C’est même le contraire du fascisme, pour répondre au dément wgg. Quelques citoyens du monde, en l’occurrence français, sont dans mon cas…

JAZZI dit: à

Elle va virer Brasillach du cimetière de Charonne, Phil !

JAZZI dit: à

Madame Pétain et Laval sont enterrés à Montparnasse, Phil. Pas ensemble…

Bloom dit: à

One of (Déon’s) last wishes was to see « Horseman, Pass By! » his tribute to Ireland, published in English. That wish was fulfilled when the translation, published by Lilliput Press, was brought to him on his deathbed.
Irish Times

« Horseman, Pass By », titre du recueil d’essais publié par Anthony Farrell, fait référence à l’inscription figurant sur la tombe de W.B. Yeats, près de Sligo, à l’ombre de Ben Bulben, montagne qui ressemble à la Saint Victoire et à la Table Mountain du Cap.

Delaporte dit: à

Pour enterrer Déon, il aura fallu trouver un curé traditionaliste, l’écrivain étant un catholique adepte du rite tridentin.

Janssen J-J dit: à

@Je ne crois ni à la chance ni au mérite. vais poursuivre comme une obstinée.

Dans ces conditions, inutile de relire ce pauvre Lartéguy sans aucun intérêt. En revanche, pour mieux comprendre les guerres coloniales, je vous signale que l’influence des thèses de David Galula fut bien plus profonde que celle de Roger Trinquier. Evidemment, sa « Contre-insurrection, Théorie et pratique », publiée en 1964 après « la Guerre moderne » (1961), ne fut traduite en français qu’en 2008. D’où, la cécité nationale et le chauvinisme habituel d’un Passoul proi Trinquier, bien représentatif de la plupart des nostalgiques de l’OAS. Je rappelle également à Blomm et à Delpla que l’EM américain s’est abondamment servi de Galula, exhumé à temps, après l’invasion de l’Irak en 2003.
Sinon, Alain Delon n’eut aucune chance ni aucun mérite. Il est mortel comme tout un chacun et s’obstine à vivre.
Bon courage à toussent.

Bloom dit: à

rite tridentin

un saddhu shivaïte importé de Leicester aurait parfaitement fait l’affaire.

JC..... dit: à

OAS ? FLN ? ….

Une fort belle guerre d’indépendance … ! Sans aucun résultat autre que des exils anciens, suivi d’exils nouveaux !

L’Histoire est une discipline marrante …

JAZZI dit: à

Phil, avant la Grèce, Déon, l’apatride, s’était installé au Portugal, à cause de… Chardonne !

Hidalgo, lui refusant une sépulture à Paris, joue les nouveaux Créon ! Le costume n’est-il pas trop large pour ses frères épaules ? Depuis un an, la fille de Déon, pauvre Antigone, conserve les cendres de son père chez elle…

Bloom dit: à

l’EM américain s’est abondamment servi de Galula, exhumé à temps, après l’invasion de l’Irak en 2003

Galula parle-t-il des Sociétés militaires privées (SMP) type Blackwater?

JAZZI dit: à

frêles épaules

JAZZI dit: à

Les romans de guerre on s’en tape. Et ne pas réduire à cette catégorie littéraire des romans tels « Un balcon en forêt » ou « La route des Flandres », SVP !

closer dit: à

J’ai dit que vous étiez un « infâme gauchiste » Delaporte, pas que le fait d’apprécier le Pape était infâme en soit; c’est juste un symptôme parmi d’autres.

Bloom dit: à

Déon n’est pas Oedipe et il n’y a pas de frère assassin à la Eteocle, Baroz. Tu confonds tragédie et farce. Relis Marx.

Ed dit: à

« ma beauté delonesque est une malédiction. »

La mythomanie n’en est pas une, alors faîtes quelque chose !

Ed dit: à

Clopine,

Il est vrai que règne une sorte de consensus sur le paroxysme de la beauté de Delon dans « La piscine ». Je pense que votre description de celle qui rayonne de jeunesse – et intrigue déjà – dans Rocco et ses frères dénote plus vos goûts personnels. Je me trompe ? Car en ce qui me concerne, je suis nettement plus sensible – et me range du côté de la masse en effet – à cette virilité/promesse de danger qui éblouit dans « La piscine ». Sans doute l’effet de miroir avec l’autre beauté ultime, féminine cette fois, qu’est Romy Schneider n’y est pas tout à fait étranger.

JAZZI dit: à

Gallimard pourrait bien acheter une tombe à Déon. C’est un droit d’auteur !

Phil dit: à

Delon crève l’écran dans « Plein Soleil » pour éblouir l’insolent Truffaut qui voulait enterrer la génération de René Clément. La piscine est à film SM (citroën).

closer dit: à

« L’auteur du Taxi Mauve avait demandé à être incinéré. Son urne funéraire se trouve au domicile de sa fille à Paris. Cette dernière, Alice Déon a invité la mairie de la ville à lui trouver une place au cimetière Montparnasse. Pas de réponse de la mairie. On n’allait quand même pas se bouger pour une inconnue…
Alors l’Académie française a fait une démarche officielle dans le même sens. Là on a répondu. Dans un mail – c’est le Figaro qui rapporte les faits – la directrice de cabinet d’Anne Hidalgo, Ivoa Alavoine répond « niet ». Et quand on lui fait observer qu’une personnalité aussi importante que Michel Déon mérite peut-être une exception, elle précise que ce n’est pas possible car ça créerait un « précédent »!
Ben oui… Imaginons que des cohortes d’académiciens aient la fantaisie d’aller mourir au Lesotho, dans les îles Tonga, à Bahreïn, en Mongolie, au Népal. Mais s’ils choisissent intelligemment d’aller trépasser à Cuba ou au Venezuela, ça peut s’arranger non ? Anne Hidalgo, la mère Ubu de la mairie a en la personne d’Ivoa Alavoine une digne fille Ubu.
Très remontée, Hélène Carrère d’Encausse a appelé Anne Hidalgo. Cette dernière n’a pas daigné décrocher. L’académicienne a retéléphoné en demandant que la maire de Paris la rappelle. Rien non plus. Nous vivons une époque où une Anne Hidalgo, qui n’est pas grand-chose, peut se permettre de traiter avec dédain une femme qui fait honneur à la pensée française.

PS : Alerté par le bruit fait autour de cette affaire, Bruno Julliard, chargé de la Culture à la mairie de Paris a fait savoir que la question « serait réglée dans les dix jours ». Il est sensiblement moins bête que sa patronne. Ce qui n’est pas très difficile… »
(Benoit Raisky)

Que Bruno Julliard soit « sensiblement moins bête que sa patronne » reste à prouver.
Qu’en penses-tu Annibal?

JAZZI dit: à

Je pense qu’il va avoir des ennuis avec sa patronne, closer !

Delaporte dit: à

« Gallimard pourrait bien acheter une tombe à Déon. C’est un droit d’auteur ! »

De nos jours, les éditeurs sont très radins.

Bloom dit: à

Qui est allé au Cambodge n’a pas pu ne pas voir (et fumer) les cigarettes « Alain Delon »…Mieux que le cowboy de Marlborough, non?

DHH dit: à

@WGG 21h 45
Vous citez Mitterand comme un des auteurs des crimes abominables commis pendant la guerre d’Algerie
Vous avez mille fois raison !
Ce personnage qui se glorifiera plus tard d’être entré dans l’histoire pour avoir eu le courage d’abolir la peine de mort n’a jamais épargné aucun des pauvres diables musulmans qui ,en Algérie à un titre ou un autre avaient aidé la rebellion . Condamnés comme droits communs par une justice expéditive ils ne pouvient echapper à une condamnation à mort et celle-ci a toujours eté rapidement executée.,sans que les gouvernements d ‘alors s’en émeuvent
Pour écluser le flot de ces malheureux qui finissaient sous la guillotine, celle-ci fonctionnait en non stop à Alger .Et même devant l’ampleur de la tâche le bourreau officiel ,incapable d’y faire face tout seul ,devait souvent se délester sur un intérimaire , tenancier de bistrot de son état, qui ajoutait ces « piges » à ses revenus ordinaires
Encore une periode, dont celui qui a tant menti à la France ne sort pas grandi.

la vie dans les bois dit: à

Les « méthodes » de Tonton, en Algérie, ont aussi été illustrées dans le roman de Joseph Andras « de nos freres blessés »

closer dit: à

Excellent papier de Clopine sur Delon. Si j’avais une aussi bonne plume et suffisamment de connaissances cinématographiques, je me suis demandé à quelle actrice j’aurais envie de consacrer quelques lignes…Les premiers noms qui me sont venus à l’esprit sont, dans l’ordre, Lauren Bacall, Ornella Muti et Gong Li.

Janssen J-J dit: à

@ Galula parle-t-il des Sociétés militaires privées (SMP) type Blackwater?

Mais non, voyons donc ! L’ouvrage de Galula date de 1964. Celui qui annonce le mieux l’avènement des SMP (du genre Blackwatter et autre contractors) c’est dans l’incontournalbe P.W. Singer « Corporate Warriors, the rise of the privatised military industry », qui date, lui, de 2003. Aucune mention ni allusion ni parralèles au contexte du modèle de la contre-inusurrection asymétrique de Galula durant les guerres de décolonisation. Et ce n’est pas un manuel sur l’art de la pacification par les forces de police militaire internationale privatisée sur le théâtre des conflits les plus chauds de la planète. Un ouvrage universitaire critique très informé, en revanche, cher Mr. Bloom !

rappel : https://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_militaire_priv%C3%A9e

JC..... dit: à

Judith,
Dans la mesure où on a coupé la tête au bon Roy Louis XVI, un don de Dieu à la France éternellement ingrate, pourquoi ne pas couper celle de terroristes algériens, hein ?
Laïcité oblige !

On a même joué petit bras en abandonnant « les supplétifs » harkis aux vainqueurs, non ? ….

JC..... dit: à

Gong Li, closer !
Ne la mélangez pas avec des femmes de ménage Weinstein … elle est sublime.

la vie dans les bois dit: à

Joseph Andras qui , à la sortie de son roman, avait l’objet d’une traque immonde de la part de quelques journaleux, d’un quotidien parisien à scandale; on se demande bien pourquoi…

Ed dit: à

jazzi,
Avec la participation exceptionnelle de Valérie Pécresse dans le rôle de la barmaid.

JC..... dit: à

Ed dit: 12 février 2018 à 10 h 43 min
« ma beauté delonesque est une malédiction. »
La mythomanie n’en est pas une, alors faîtes quelque chose !

Delon est delonien ! je suis, magnifique compromis entre Schwartzetnigger et Louis le Funeste, comment dire : delonesque !

de nota dit: à

IL n’a jamais été plus beau, à mes yeux, que quand, tout jeune, il était sur le point de rougir.

Phénomène terriblement difficile à identifier dans les films en noir et blanc…

JC..... dit: à

C’est ça … les immenses c.onnes polychromes …. en noir et blanc.

JC..... dit: à

Passou,
On en a rien à foultre du passé….
Ce n’est pas une volonté établie de l’ignorer ! C’est de lui donner sa vraie place pour notre futur : 5%.

Bloom dit: à

Mais non, voyons donc !

Evidemment! Ma question était ironique car toute la stratégie de la coalition des « willing » reposait sur l’emploi de ces milices privées. Vous n’avez pas vu « Route Irish »?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…l’art de la guerre économique et sociale,…avec l’état,

…c’est déjà, de pouvoir éliminer, les vieux parents, pour prendre, les pensions par l’état,…avec la complicité du corps médical soignant,!…

…des soins, pour tuer, plus vite, l’air de rien,…
…la communion des corporations médicales et bancaires, contre vous,!…

…et, aux assurances pour  » abrutis « ,!…
…inutiles de tourner, en rond,…les assassins aux pouvoir,…toutes élites confondues,…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…etc,…
…Go,!…

closer dit: à

Ouais JC…Finalement je restreins mon choix à Lauren Bacall, à tomber par terre dans ses films avec Bogart et à Gong Li, sublime dans « Epouses et Concubines »…

Malheureusement, elles n’ont pas très bien vieilli. J’ai l’impression que Gong Li a été victime d’une chirurgie esthétique ratée. Je me souviens de Bacall vieillissante teinte en blonde, pas terrible. Tout le monde n’a pas la sagesse et/ou le courage de s’arrêter à temps comme Greta Garbo ou BB.

JAZZI dit: à

La plus belle c’était BB ! Aurait dû-t-elle faire comme Garbo, ne plus se montrer ensuite ?

Bloom dit: à

Tu as une adresse parisienne, Bloom, sinon il risque de t’arriver la même mésaventure qu’à Déon ?

T’inquiète Baroz, j’ai ce qui faut; le caveau familial est au cimetière de Pantin, dans un des « carrés juifs ». Allée des marronniers d’Inde, ça ne s’invente pas…!

Bloom dit: à

ce qu’il faut..j’parlais Pantin

JAZZI dit: à

Pantin est un peu triste, Bloom, mais tu auras pour voisin le cinéaste Jean-Pierre Melville, né Jean-Pierre Grumbach. Bagneux est plus verdoyant, et l’on y trouve Barbara…

JAZZI dit: à

Le plan de ton lointain domicile, Bloom, avec le nom de tes voisins les plus célèbres. Le carré n’est pas exclusivement juif. Et Damia a été transférée à Montmartre.

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