de Pierre Assouline

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Maugham & Floc’h & Rivière : Tremendous !

Maugham & Floc’h & Rivière : Tremendous !

L’anglophilie est-elle une maladie textuellement transmissible ? Si c’est le cas, alors ça craint à la lecture de Villa Mauresque du duo Floc’h & Rivière (104 pages, 20 euros, La Table ronde) car l’album est irrésistible. Il n’est pas indispensable de bien connaître la langue de Maugham (prononcez « Môôôme » si vous ne voulez pas passer pour un froggie) pour succomber à son charme. Car c’est bien de lui qu’il s’agit ainsi que l’annonce le bandeau « Somerset Maugham  et les siens » pudiquement placée par l’éditeur non au bas, comme il est d’usage, mais au centre de la couverture représentant l’écrivain nageant saisi en sa natation, de manière à masquer la verge de l’homme chaloupé qui l’observe au bord de la piscine (ce qui ne manque pas de sel au moment où le film L’Inconnu du lac est interdit d’affichage à Versailles et Saint-Cloud). Nous voilà déjà dans l’ambiance de cette Vie-du-grand-écrivain (1874-1965) racontée sous forme de roman graphique. Il tient autant de l’autobiographie que de la biographie : les pages où il se raconte alternent avec celles où ses proches le racontent. Frère, neveu, chroniqueur, partenaire de bridge, cuisinière… Pas complaisants pour autant. Ce qui donne un (auto)portrait éclaté du meilleur effet car une lumière trouble et stimulante née des versions contradictoires de la vérité l’éclaire mieux que toute enquête, fût-ce le très complet Willie. L’exercice est aussi audacieux que rare ; peu de biographes s’y sont essayés car un point d’ancrage est indispensable au récit afin qu’il ne s’éparpille pas et ne désoriente le lecteur dans ce labyrinthe de voix. En l’espèce, c’est la fameuse Villa Mauresque, maison tapie dans un nid de verdure odorante au Cap-Ferrat (Alpes-Maritimes) ; le roi des Belges l’avait fait construire pour son confesseur dans un style plus ou moins arabisant afin de lui rappeler les heureuses années où il évangélisait l’Algérie,

Plus encore qu’Oscar Wilde, qui traverse ces pages car son destin le traumatisa, W. Somerset Maugham n’avait mis que son talent dans son œuvre, et une touche de génie dans sa vie ; à se demander s’il ne voulait pas en faire une œuvre d’art. Encore qu’il avait une certaine idée de ses livres, notamment Servitude humaine/ Of Human Bondage (1915), Mr Ashenden, agent secret/Ashenden : Or the British Agent (1928), Le Fil du rasoir/The Razor’s Edge (1944) sans oublier son abondante production dramatique, qui fit sa fortune, ses innombrables nouvelles, et celui de ses livres pour lequel il nourrissait la plus grande estime La Ronde de l’amour/ Cakes and Ale : or the Skeleton in the Cupboard (1930), où la veuve d’un écrivain qui ressemble fort à Thomas Hardy demande à un jeune confrère d’écrire sa biographie.

Les deux complices qui signent cet album sont là à leur meilleur, en parfaite harmonie avec leur héros, son monde, son décor, son univers. Depuis 1977, ils ont fait œuvre commune au service d’une commune passion pour l’Angleterre et sa mythologie telle que la littérature et le cinéma nous l’ont transmise. « Sans la Grande-Bretagne, la vie ne vaudrait pas la peine d’être vécue » lâche Floc’h avec un sens consommé de la litote devant un journaliste du Monde qui lui tire le portrait. Ils sont du genre à vous entretenir pendant des heures de Tallulah Bankhead, égérie émancipée des années 1930 en Angleterre et héroïne du Lifeboat d’HitchcockGrâce au ton so brit de François Rivière, et malgré la ligne claire (pas d’ombre dans le trait  continu) de Jean-Claude Floch, question atmosphère, on se croirait dans Les Chariots de feu ou dans Les Vestiges du jour. A ceci près que des personnages littéraires y sont mis en abyme dans une bande puissamment dessinée. Il ne manque pas une rayure à la cravate club, et elle renseigne tant sur l’université que sur le régiment. Mais c’est de Maugham qui s’agit, dandy nonchalant au caractère épouvantable, excentrique et mondain, affligé d’un bégaiement qui n’était pas sans charme, homosexuel décomplexé, cuirassé de cynisme, masochiste en robe de chambre chinoise, amateur de ragots et mauvaise langue d’anthologie, d’un humour sarcastique dévastateur. Même dans le small talk, cette spécialité anglaise qui tue la conversation en la ramenant au plus anodin dans le fol espoir de lui conférer la légèreté de l’ineffable, il avait le chic plutôt vache, et l’air blasé, même quand il était jeune et pas encore revenu de tout et de presque tous. Lorsque le diariste en lui se mettait à la table d’écriture, il s’imaginait être la version gentleman de Jules Renard. L’homme au visage parcheminé et aux paupières de reptile n’en était pas moins un séducteur. Entouré d’éphèbes et d’égéries, il avait le sens de l’hospitalité. La Villa Mauresque a souvent servi d’auberge de vieillesse à Cecil Beaton, Noel Coward, Winston Churchill, Max Beerbhom, H.G. Wells, Arnold Bennett, Virginia Woolf, Jean Cocteau, Ian Fleming, les inévitables Windsor… Tous à poil dans la piscine ! car en principe, c’était la règle (enfin, peut-être pas Winston, encore qu’un cigare suffisait à l’habiller). Voilà pour l’homme et l’essentiel passe mieux que dans bien des biographies ou des portraits, y compris le très complet Willie de Robert Calder (Heinemann, 1990). Mais qu’on n’aille pas y chercher une analyse de la pertinence des reproches de la critique à son endroit : lexique réduit, impuissance à élever l’understatement au rang des beaux-arts, faibles qualités lyriques… A quoi il répondait en haussant les épaules : »On apprend à tout âge ».

Quelle prouesse d’avoir su rendre si british cette dolce vita sur la Riviera ! On en redemande. Il faudra attendre longtemps peut-être car il semble que les deux artistes ne peuvent plus s’encadrer ; un article fait état en effet d’un divorce dans le ménage Floc’h & Rivière ; il est vrai que trente-six années se sont écoulées depuis qu’ils ont fait connaissance dans une librairie, noué amitié en rendant visite à Hergé (pour son génie du trait, mais pour l’esprit, ils étaient des enfants d’Edgar P. Jacobs) et imaginé dans un wagon du Bruxelles-Paris Le rendez-vous de Seven Oaks… Mon seul regret : n’avoir pas eu la présence d’esprit de le signaler à mes petits camarades de la Société littéraire des Goncourt pour le rajouter à nos recommandations de lectures pour l’été. Quoi, un roman graphique chez Drouant ? Shocking !

(Dessins de Floc’h extraits de l’album Villa Mauresque)

 

Cette entrée a été publiée dans arts, Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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commentaires

968 Réponses pour Maugham & Floc’h & Rivière : Tremendous !

bouguereau dit: à

écris ta lettre de dénonciation, et n’oublie pas de la signer surtout

non dracul, l’anonymat de la dénonciation c’est aussi la démocratie..si tu crois pas que c’est pas aussi un régime de pute..t’es un démocrate en carton

renato dit: à

… « qui n’est lui-même pas un fondement », justement.

Mais la question n’est pas ce sur quoi nous nous sommes accordés politiquement, mais l’usage politique qui en a été fait.

TKT dit: à

Pazollini aimait les voyous, les gigolos qui aiment les filles quand ils ne sont pas payés. Vous devez, Bouguereau, confondre avec quelqu’un d’autre.
il y a aussi des homos qui ne peuvent baiser que si ils paient, il n’y a pas de cas de figure exclusif aux uns, ou aux autres.
Prosit, Bouguereau, prosit !

Phil dit: à

TKT, l’époque prend des vessies pour des lanternes. Fatalement la sortie d’années d’humiliation débouche sur le carnaval. Visconti produisait la fin d’une époque comme un champagne millésimé. Les Gael Morel et consorts n’ont pas encore sorti leurs caméras des saunas. M. Bergé reste juge du grand bien qu’il dit avoir fait à son compagnon YSL.

Bloom dit: à

Bien vu l’extrait du Voyage de Gide, Baroz. Un autre parcours au bout de la nuit, placé sous l’égide tutélaire de Conrad, dont Gide rappelle plusieurs fois la pertinence des observations.
Seul irritant pour ma part, sa manie pour la chasse aux papillons, forme de prédation certes mineure, mais pas mal révélatrice de l’instinct de possession qui caractérise les civilisations figées au stade anal de la thésaurisation.

John Brown dit: à

John Brown a raison, une fois de plus : ce qui se dit ici est inadmissible !

Passou, fais ton office ! (rédigé par Continuons…)

Assouline fait bien ce qu’il veut et sa politique très libérale de gestion des posts est sans doute toute à son honneur. Cependant, en laissant traîner des commentaires où s’affichent sans complexe, la haine des Arabes, des Musulmans, le mépris pour les homosexuels, commentaires qui, plus d’une fois, flirtent avec les interdictions légales quand ils ne tombent pas clairement sous le coup de la loi, il prend le risque de laisser son blog devenir la caisse de résonance d’opinions nauséabondes dont la proximité avec celles de l’extrême-droite et du Front National ne fait aucun doute.

TKT dit: à

il faut interdire les photos anciennes des dictateurs russes, embrassant leurs hôtes sur la bouche.

Jacques Barozzi dit: à

Si deux hommes ou deux femmes peuvent légalement se marier, on ne peut pas les montrer en train de s’embrasser ?

bouguereau dit: à

Mais la question n’est pas ce sur quoi nous nous sommes accordés politiquement

si l’usage est légal aux états zunis d’amérique..ce qui a permi par exemple dans l’anomymat démocratique bien putassier qui n’en a compris que ça ce keupu de copier et coller la liste des prix nobel juif d’un site ricain, renato sur la rdl..ad nauséam

Observatoire de la langue sale dit: à

Le problème de ce que ce malade raconte pendant ses cours se pose-t-il ou ne se pose-t-il pas ?

Continuons l'entourloupe, camarades !......... dit: à

C’est vrai que « les opinions nauséabondes nous rappellent les heures pénibles de notre histoire récente. Sans compter que le ventre de la bête est toujours fécond, blablabla… »

OUARF ! OUARF ! le bolo de luxe …

John Brown dit: à

Si deux hommes ou deux femmes peuvent légalement se marier, on ne peut pas les montrer en train de s’embrasser ? (rédigé par Jacques Barozzi)

C’est plutôt rigolo, en effet : une scène qui pourra bientôt être photographiée dans toutes les mairies de France serait censurée sur les murs de nos villes comme indécente, obscène, et de nature à nuire à la moralité publique ?

bouguereau dit: à

Si deux hommes ou deux femmes peuvent légalement se marier, on ne peut pas les montrer en train de s’embrasser ?

il peuvent s’enculer légalement aussi..c’est pas si automatique..mais je te comprends..et comprends aussi que le marketting est le fer de lance de l’avance des moeurs..jicé sait bien lui que le libre échange va faire que sa banque sra -obligé- d’investir dans la pma..en temps de crise faut anticiper l’occupation des creneaux juteux et rare..une bonne part de la merdouille vient de là : l’impossibilité de découpler

Observatoire de la langue sale dit: à

En même temps, si c’est l’unique voie érotique qu’il lui soit permis d’explorer…

Jacques Barozzi dit: à

Après le Voyage au Congo, Bloom, il faut que tu lises Le Retour du Tchad, où Gide se lache un peu plus :

« 3 mars [1926]

Il me semble que je vais mieux. Des vertiges encore, mais j’ai pu manger un peu, au chevet du lit de Marc, et avec lui. Porridge et riz à l’eau, avec une délicieuse compote d’abricots (nous sortons de nos cantines ce que nous avons de meilleur) arrosé d’eau de Vichy et de Moët.
Après ce court repas, je me recouche. Et, tandis que j’essaie de dormir, mes pagayeurs d’arrière – six Sara que nous avions déjà à l’aller (ceux d’avant, cinq, sont des gens de Moosgoum) – commencent un chant sur des paroles que me traduit Adoum :

Le Gouverneur, il est malade.
Ramons, ramons pour aller plus vite que la maladie,
L‘amener jusqu’au médecin du Logone,

qui est bien le chant le plus extraordinaire que j’aie entendu dans ce pays. Ah ! que Stravinski ne put-il l’entendre ! C’est une longue phrase, gueulée d’abord et qui s’achève en pianissimo, mais chantée comme en canon, de manière que le fortissimo de certains coïncide avec le pianissimo des autres, celui-ci formant comme une basse murmurée. – Les notes ne sont jamais exactement données (ce qui fait qu’il est extrêmement difficile de noter l’air) ; pas plus qu’en anglais il n’est de voyelles pures. Très difficile à comprendre pour nos oreilles septentrionales qui attachent tant de prix à la justesse du son. Ici la voix n’est jamais juste. De plus, lorsque l’un chante do ré, l’autre chante ré do. Certains font des variantes. Sur six, chacun chante une chose un peu différente, sans qu’il y ait précisément des « parties ». Mais cela fait une sorte d’épaisseur harmonique des plus étranges. La même phrase – presque la même (avec le petit changement parfois, à la Péguy) – se répète inlassablement un quart d’heure durant, une demi-heure. Parfois ils semblent se griser de ce chant, à tue-tête ; ils rament alors avec emportement, fureur. (Nous avons pris cette fois le bras profond du Logone.) Comment ai-je pu dire que les Sara ne chantaient pas ? (A noter pourtant qu’ils ne chantent jamais lorsqu’ils se servent de la perche, mais seulement pour accompagner le mouvement régulier des rames.)
Nos chants populaires, près de ceux-ci, paraissent grossiers, pauvres, simplets, rudimentaires. »

daniel dit: à

cette citation ne s’adresse pas aux fascistes car faute de QI et de coeur ils ne comprennent que la haine :
 » Le racisme et la xénophobie sont des violations directes des principes de liberté, de démocratie, de respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales, ainsi
que de l’État de droit, principes sur lesquels l’Union européenne est fondée et qui sont communs aux États membres. »
http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2008:328:0055:0058:FR:PDF

bouguereau dit: à

et de nature à nuire à la moralité publique ?

que des gens fasse du lobbying pour interdire un affichage est il plus scandaleux qu’un labo arrosant des parlemantaires ? c’est au coeur du coeur de notre système économique que vous attaquez là mes petits chéris

u. dit: à

La question, Jacques, est de distinguer ce qui relève de la politique (et donc du droit) et ce qui relève de l’érotique et de l’esthétique.

Le retrait de cette affiche (avec sa pipe entre 2 hommes à l’arrière-fond) ne me paraît pas nécessaire.
Mais personne n’est obligé de trouver belles ou attirantes les pratiques homosexuelles, ou les pratiques sexuelles tout court.

Quand Mauvaise Langue déclare sa répugnance pour un type de dessin qui (à son avis)- relève d’une esthétique pédé, il a parfaitement le droit de le dire.

« Respectez l’égalité de nos droits », oui.
« Aimez-nous, admirez-nous », mais non, pourquoi diable?

Continuons l'entourloupe, camarades !......... dit: à

On se marie pour avoir des enfants, beaucoup d’enfants, et devant Dieu, bordel de naines borgnes … Pas pour s’embrasser, petits vicelards ! Il faut sans cesse vous rappeler les données de base constituant une société civilisée, les p’tits gars ?

Jacques Barozzi dit: à

(extraits de mon prochain « Goût de l’Afrique », en vente dans toutes les bonnes librairies et en ligne…)

L'enjeu ?...Questionnement dit: à

Y aurait-il « un légalement correct’ et « une égalité des droits » en jeu?

Continuons l'entourloupe, camarades !......... dit: à

Et ce bâtard de Daniel qui nous tripote le QI et nous pompe l’artère… Ô grand dieu, il y a des avortements que nous eussions aimé chez madame sa mère.

Jacques Barozzi dit: à

« Respectez l’égalité de nos droits », oui.
« Aimez-nous, admirez-nous », mais non, pourquoi diable ?

L’affiche en question est juste une illustration de ces droits, u. Elle ne revendique ni admiration ni amour et encore moins la haine du spectateur.

u. dit: à

« Mais la question n’est pas ce sur quoi nous nous sommes accordés politiquement, mais l’usage politique qui en a été fait. » (renato)

Il me semble, renato, que ce qui permet de qualifier « l’usage politique » (comme bon ou mauvais), c’est justement la décision politique.
Tout ce qu’on peut espérer (puisqu’il y a toujours dissensus), c’est que cette décision soit le produit d’une procédure la plus ouverte possible.

Je ne vois rien au delà de cette « non-fondation » (en effet), parce que je ne crois pas à l’autorité absolue des experts (théologiens, journalistes, sociologues, historiens, psychanalystes, ou tout ce qu’on voudra).

Phil dit: à

Baroz, envoyez un exemplaire du Goût de l’Afrique à Camus.

bouguereau dit: à

Quand Mauvaise Langue déclare sa répugnance pour un type de dessin qui (à son avis)- relève d’une esthétique pédé, il a parfaitement le droit de le dire

« parfaitement » est ici spécieux, il n’y a pas plus d’essentialisme en esthétique qu’ailleurs, c’est aussi crétin que de parler de l’art impuissant des gonzesses..aprés ça mettons que dracul puisse le dire, bien que je sois à peu prés certain que ça se plaide et qu’il y ait de l’argent a perdre pour lui, et à gagner pour d’utres, (soyons précis quand on parle de « droit »).. ton « parfaitement » fait tache zouzou

ergo dit: à

le PQ se reconnaît dans les fascistes

u. dit: à

« L’affiche en question est juste une illustration de ces droits, u. Elle ne revendique ni admiration ni amour et encore moins la haine du spectateur. »

La question posée est celle des commentaires publics sur l’affiche.
Certains ont parfaitement le droit de dire à haute fois qu’ils trouve cela moche ou répugnant.
Libres à eux.

Vouloir l’interdire, c’est autre chose: politique (juridique).
C’est affaire non de Droits Eternels, mais de jurisprudence.

bouguereau dit: à

On se marie pour avoir des enfants, beaucoup d’enfants, et devant Dieu, bordel de naines borgnes … Pas pour s’embrasser, petits vicelards !

c’est exac jicé..prends les homos pour des cons..ils font les folles pour avoir le beurre..plus sérieux pour le crémier..et à la fin ils veulent toute la science à leur secours

Continuons l'entourloupe, camarades !......... dit: à

« Déclarer sa répugnance pour un type de dessin qui (à son avis)- relève d’une esthétique pédé »
ou
« Parler de l’art impuissant des gonzesses »
est PARFAITEMENT possible en démocratie garantie sans tache.

bouguereau dit: à

phil te trouve encore plus beau quand tu fais l’con baroz..pour moi il faudrait que tu mette le turbo chus moins esthète

L'enjeu ?...Questionnement dit: à

Pour le moment l’affiche :
http://media.rtl.fr/online/image/2013/0611/7762217057_l-inconnu-du-lac.jpg
semble « légalement correct », mais souffre de « l’égalité des droits » à l’affichage, donc il y a un lézard dans le potage.
Résumons:
leg
légal
égalité, ce « l' » apostrophe, prend enfin tout son sens, que ne l’apostrophions-nous plus souvent!

Continuons la flûte, camarades !......... dit: à

« JC prend les homos pour des cons »

Je connais assez le monstre pour savoir qu’il ne commet pas ce genre d’erreur

bouguereau dit: à

PARFAITEMENT possible en démocratie garantie sans tache

parfaitement possible comme l’avénement darwinine de la puce lit jicé c’est certain..mais moi je dis qu’il a de l’argent a perdre pasque y’en a qui vont trouver que ça peut se plaider..possibe sur la rdl..possibe chez ton curé..dans un compte rendu de conseil d’administration de banque et de labo pharmaceitique c’est une faute professionnelle qui te coute ta carrière

a men dit: à

Après les fuites,la marionnette du vatican est obligée de reconnaître officiellement l’existence d’un lobby gay au sein de l’illustre institution à but non lucratif et très rentable créée par le très-haut

indeed dit: à

« JC prend les homos pour des cons  »

tout le monde sait qu’il est très con

tranxodyl dit: à

Certains ont parfaitement le droit de dire à haute fois
parfaitement luttons contre les messes basses

u. dit: à

On perd facilement de vue le sens même du mot « liberté », et par là même on en devient indigne.
Que le lecteur de journaux moyen ne s’offusque pas qu’on le traite progressivement comme un enfant, il en est le seul responsable.
(Viendra le jour où « On Liberty » de John Stuart Mill deviendra incompréhensible).

Sur un autre plan, je pense que notre ami Mauvaise Langue a parfaitement le droit d’écrire qu’il n’aime pas ce qu’il appelle « les arabes » et de vouer un culte à ce qu’il appelle « les juifs ».
Cette détestation et cette adoration participent chez lui d’un même geste.
Préférer un objet X se fait logiquement au détriment (au moins relatif) d’un objet Y.
L’amour universel est toujours inconséquent (il ne fait pas ce qu’il prêche).

Ces passions collectives et anonymes ne sont pas très recommandables, à mon avis.
Mais la bonne réponse n’est pas le sucrage (je ne parle pas en termes généraux, je parle d’un blog).
C’est le rire et c’est l’argument.

bouguereau dit: à

Après les fuites,la marionnette du vatican

il y échappe pas non plus que toi keupu

Phil dit: à

Faites-donc Le goût des gays, baroz. succès assuré. par ici les pepettes.

petit nouveau dit: à

c’est qui « keupu »?

bouguereau dit: à

C’est le rire et c’est l’argument

non bien sûr..tu causes comme un scénariss de la goldwinmeilleur..y’a pas de happy ending zouzou
je trouve marrant l’acharnement a démontrer l’inocuité des dire de dracul, je respecte plus la parole et l’écrit pour croire qu’il est possibe de nuire gravement à la santé avec.. »le mal » comme ils disent..aprés quant a authoriser le mal..je laisse la parole a mon ami philippe

Bloom dit: à

Merci du conseil, Baroz; justment Le Tchad est dans le Biblos de Gallimard, que je dévore goulument dès que j’ai un moment de libre…

bouguereau dit: à

succès assuré. par ici les pepettes

baroz n’est pas vénal..hein que t’es pas vénal baroz?

Jacques Barozzi dit: à

Plus de 40 ans après, on est en pleine régression esthétique et morale !

Jacques Barozzi dit: à

« t’es pas vénal  »

Déjà, jeune, beau et un peu gigolo, je ne faisais pas payer, le boug !

Phil dit: à

c’est qu’une impression, baroz. les saunas désemplissent pas. bloom lit goulument du gide entouré d’indigènes à poil, la relève est assurée.

Mauvaise Langue de Pute dit: à

« Faites-donc « Le goût des gays », baroz. succès assuré. Par ici les pépettes ».

Ensuite, baroz, vous enchainez avec « Le gay dégoût » !

renato dit: à

Michel est en droit de déclarer sa répugnance pour un type de dessin qui relève, à son avis, d’une esthétique pédé.

Moi, sans être pédé, je suis en droit de lui demander des explications relativement au point de vue, disons, critique qu’il avance — esthétique ce serait trop demander.

bouguereau dit: à

Déjà, jeune, beau et un peu gigolo, je ne faisais pas payer, le boug !

ça t’aurait fait un pactol..et tu pourrais maintenant jouer au seigneur et aller tater du natif sélectionné par kabloom..et de loin dire a phil « mon semblable..mon frère..je vais te raconter et tu vas payer pour ça »

u. dit: à

« zouzou
je trouve marrant l’acharnement a démontrer l’inocuité des dire de dracul, je respecte plus la parole et l’écrit pour croire qu’il est possibe de nuire gravement à la santé avec. »

D’où ma parenthèse, bouguereau: « (je ne parle pas en termes généraux, je parle d’un blog). »

u. dit: à

« Moi, sans être pédé, je suis en droit de lui demander des explications relativement au point de vue, disons, critique qu’il avance — esthétique ce serait trop demander. »

Mais naturellement, renato!

Jacques Barozzi dit: à

Je n’aime rien moins que l’acte gratuit et librement consenti, le boug, on ne se refait pas, comme pour les poches…

renato dit: à

« Personne n’a encore expliqué à ML et JC que nous venons tous d’Afrique… »

Pas tout le monde Jacques, moi, par exemple, je suis tombé du ciel : Archange Teigneux est mon nom…

renato dit: à

« Mais naturellement… »

Et bien u., j’ai demandé et encore rien vu arriver… Enfin, l’Ocazzo tace…

Jacques Barozzi dit: à

Phil, j’ai surtout l’impression que Bloom va prochainement être affecté en Afrique, l’heureux homme !

Jacques Barozzi dit: à

Archange Teigneux et cannibale, renato !

renato dit: à

Il faut bien se nourrir, Jacques !

Jacques Barozzi dit: à

Où sont passés les anciens électeurs du PS, tel ML ?

Réponse :

« Européennes 2014: le FN à 18% devant le PS mais derrière l’UMP »

OneNote dit: à

Ce passage de Voyage au Congo me fait penser aux premières planches de Tembo Tabou, le tome 24 des aventures de Spirou et Fantasio.

Spirou et Fantasio, encore deux pédés maintenant que j’y pense ! Ils sont partout, Boutin avait raison !

renato dit: à

« Ils sont partout… »

Un ‘grand et puissant viril’ que je côtoyais des années de là, se félicitait de cette ‘invasion’ car, il disait, « è tutto grasso che cola » — traduit : ce n’était que du bénéfice, pour lui…

JC - dit: à

« Boutin avait raison ! »

Elle a toujours raison

Jacques Barozzi dit: à

Bloom, il faut aussi lire L’afrique fantôme de Michel Leiris, incontournable !

« 31 août [1931]

A Nkourala (159 km), visitant le village, nous tombons sur deux cases de fétiche nya* juste sur la grande place. Le portail de l’une d’elle est orné d’un crâne de bête à cornes, le toit de l’autre des crânes des chiens sacrifiés au fétiche. Les deux cases sont rondes, assez petites, basses, surmontées d’un toit conique de paille. Elles sont en pisé, construites sur un léger tertre, en pisé également. Les murs sont décorés de triangles orangé, blanc et noir qui donnent à l’ensemble de la construction une allure d’arlequin. Mais les deux solides blocs de pisé qui s’avancent de chaque côté de la très petite porte comme les pattes d’un sphinx balourd doivent faire écarter d’emblée une telle comparaison.
Mamadou Vad [l’interprète de la mission] nous a informés de ce qu’étaient ces cases, aussi ne sommes-nous pas surpris de leur aspect – à vrai dire assez anodin –, mais le mystère qui les entoure les avive à nos yeux.
Immédiatement, j’ai envie de « voir » le nya. Je consulte Lutten, qui est d’accord. Je fais dire par Mamadou Vad que nous sommes prêts à offrir un sacrifice. Vad transmet mes paroles et les hommes me montrent un vieillard assis sous un grand arbre : c’est le chef du nya ; il faut le consulter. Ils y vont et le vieillard déclare qu’il faut un chien, un poulet blanc et 20 kolas. Je donne 5 francs pour acheter le chien, paye un poulet, verse le prix des kolas. Le chef du nya s’avance et vient s’asseoir sur la patte droite du sphinx. Il a des bras noueux, un collier de barbe blanche sans moustache, des yeux à fente étroite et un bonnet pointu : – l’air d’un homme très rusé et très fort. Un homme plus jeune – celui à qui nous avons parlé – s’assied de l’autre côté de la porte. Ils attendent en parlant à mi-voix l’arrivée de la pâture à sacrifice. On ne trouve pas de chien (ou du moins, on dit qu’on n’en trouve pas) mais on apporte un poulet – noir tacheté au lieu de blanc – et une vingtaine de kolas. Tout le monde est rangé face à la porte de la case, fermée seulement par une rangée de pieux. L’assesseur du chef et trois autres hommes se dépouillent de leur boubou et apparaissent vêtu seulement du bila, si réduit que, chez la plupart, les poils du pubis apparaissent. Nus et musclés, avec leurs balafres sur la face ils ont une noblesse d’allure que l’on ne rencontre que chez les buveurs de dolo** et à laquelle n’atteignent presque jamais les musulmans.
Rapidement les pieux sont enlevés et, pendu au plafond de sa petite case, le fétiche apparaît : c’est une masse informe qui, lorsque les quatre hommes, avec précaution, l’ont sorti de son antre, se révèle être un sac de toile grossière et rapiécée, couvert d’une sorte de bitume qui est du sang coagulé, bourré à l’intérieur de choses qu’on devine poussiéreuses et hétéroclites, muni à un bout d’une protubérance plus particulièrement bitumeuse et, à l’autre bout, d’une clochette qui a l’air d’une petite queue. Grand émoi religieux : objet sale, simple, élémentaire dont l’abjection est une terrible force parce qu’y est condensé l’absolu de ces hommes et qu’ils y ont imprimé leur propre force, comme dans la petite boulette de terre qu’un enfant roule entre ses doigts quand il joue avec la boue.
Maintenant le chef, qui est resté assis, parle à haute voix au sacrificateur, qui se tient accroupi. Il lui donne le poulet, les 5 francs représentant le chien qu’on n’a pas pu trouver. Entre temps, le sacrificateur répond aux conseils que lui donne le vieux, ou parle à son fétiche d’une voix tendre et familière, un peu craintive, comme on parle à un ancêtre à la fois aimé et redouté.
Tout le monde est grave, et nul ne songe, j’en suis sûr, à la petite supercherie qui a consisté (pour ne pas faire le véritable sacrifice sous nos yeux) à remplacer le chien par des pièces de monnaie. La causerie avec l’infini pas encore terminée, le sacrificateur plume le cou du poulet et jette ses plumes derrière lui puis, d’un coup de couteau, ouvre la gorge, fait goutter le sang sur la protubérance innommable et jette la bête à quelques pas devant lui.
C’est ici que la crise commence : le volatile tombé se relève, tournoie, fait quelques pas, retombe, bat des ailes, se relève encore, semble tomber sur le dos (ce qui s’il devait y rester, serait mauvais), mais se relève encore et tombe finalement sur le côté droit, la tête orientée vers le nord. Le sacrifice est bon : toutes les consciences se relâchent. Je remercie en quelques mots, et les quatre hommes, toujours nus, rentrent le nya.
Lutten, qui a cinématographié la scène, et moi quittons alors le village et remontons dans le camion.
Nous en descendons quelques kilomètres plus loin, à Kampyasso, et trouvons une autre case de nya, à proximité d’un arbre, d’un tertre herbeux garni de canaris retournés et d’un foyer. Très poliment un homme complètement nu (à l’exception d’un bila guère plus important qu’une ficelle) à chéchia rouge et barbiche noire, m’explique en un français assez correct que sur ce foyer on fait cuire pour les manger les animaux sacrifiés au nya. Sur un côté de la case, pend une grappe de colliers : ceux que, de leur vivant, devaient porter les chiens victimes. »

*Ou nia, culte des « Sénoufo Minianka » rendu à la plus haute entité de leur panthéon. Les « Sénoufo » rencontrés ici par Leiris appartiennent au groupe Minianka qui peuple les anciens cercles administratifs de San et de Koutiala au Mali.

** Bière de mil, très épicée, appelée en sénoufo : tiapalo ou tyapalo.

Consolidons la cahute, camarades !..... dit: à

Nous venons de Lucy : des Chinois affirment (Politique, sors de ce corps !) que nous avons tous un ancêtre chinois plus vieux que Lucy !

Rions mes frères, cela en vaut la peine ….

bérénice dit: à

Cher u. aimez-vous les uns les autres aurait pu s’écrire à la forme interrogative le précepte se lirait sans l’ombre d’une réponse, le point d’interrogation n’est intervenu qu’après les croisades depuis plus personne ne prend la peine d’observer le règlement essentiel(fortement discrédité) alors que dire des lois qui ne servent qu’aux pauvres pécheurs pour remailler leur filet le soir à la veillée dans les maisons d’arrêt surpeuplées que nos églises saintes et apostoliques continuent de bénir pour décharger de la culpabilité ces âmes en voie de réhabilitation.

renato dit: à

Enfin, et entre nous soit dit, ce dessin me semble plutôt l’exercice fatigant et fatigué d’un gars qui cherche à définir un espace visuel sans en avoir vraiment les moyens… et cela n’a rien à voir avec un dessin homo ou pas homo, mais seulement avec un gars qui n’a qu’une idée approximative du dessin… Or, avoir une idée approximative du dessin n’est pas une condition pour être classé dessinateur homo car un tas de dessinateurs hétéro sont aussi à jeûne d’une vraie idée du dessin que le gars qui a dessiné ce truc… Non, mais a-t-on idée de simplifier ainsi le feuillage au centre de la première image ?

renato dit: à

« … des Chinois affirment… »

Il me semble que désormais eux aussi acceptent le tronc commun…

Consolidons la cahute, camarades !..... dit: à

« Moi, sans être pédé, je suis en droit de lui demander des explications relativement au point de vue, disons, critique qu’il avance — esthétique ce serait trop demander. »

Va te faire foutre, Renato !
(j’ai bon là ? j’ai bon ?…. Marre des argumentophiles qui doivent « expliquer » leurs goûts, leurs jugements, leurs actes. Témoignage d’une fausse sensibilité, d' »expliquer » car ne pas expliquer n’est pas en contradiction avec un usage de la raison … ok ?)

tranxodyl dit: à

cela me surprendrait que M.L.se laisse convaincre par des arguments de « savants » qu’il se stérilise lui-même l’imagination par ses phobies .

Jacques Barozzi dit: à

JC, homme de communication, dès qu’il entend le mot dialogue, il sort son révolver : « Va te faire foutre, Renato ! »

TKT dit: à

Jacques Barozzi, avouez, vous étiez embarrassé de demander « votre petit cadeau ». Dans la tête l’idée de faire le gigolo ne vous déplaisait pas, mais quant à réclamer un salaire pour une prestation, là, vous caliez.
Bref, vous étiez invité dans les *** de la région, sur un yacht ou dans une villa de La Californie ? Quelqu’un m’avait dit un jour, que les fils (valables aussi pour les filles) de famille coutaient plus cher à la longue. Un autre, hétéro, laid et riche, affirmait que les call-girls à plusieurs milliers de CHF la nuit, lui revenait moins cher qu’une amie de son milieu. Il finit par épouser une Russe, avec un contrat de mariage tout en or pour lui.
Cannes n’est plus une mecque, il y a des cloches, mais plus de Trois Cloches et les grands-michetons sont en enfer. Bref, il y a t’il encore un demi-monde ?
Je n’ai aucune expérience personnelle sur la vie cannoise des années dont je parlais plus haut, je fictionne bien entendu.

Consolidons la chute, camarades !..... dit: à

Mauroy & Jospin & Aubry ! Toute la Socialie Nordique enterre le premier d’entre eux…

A voir sans modération !

renato dit: à

« Témoignage d’une fausse sensibilité… »

Mais ce n’est pas une question de sensibilité Votre Altitude… mais vous êtes sans doute plus cultivé et plus civilisé que je ne le suis, donc du haut de votre cuvette vous avez sans doute raison… on cause de LML là, un type qui se pare de la prétention de tout objectiver… Non, mais le niveau ! raz les pâquerettes ! et puis ils causent de blog de prestige !

u. dit: à

Je n’ai aucune expérience personnelle sur la vie cannoise des années dont je parlais plus haut, je fictionne bien entendu. (TKT)

Frictionner dans la vie cannoise, je ne suis pas volontaire.

Jacques Barozzi dit: à

C’était beaucoup plus simple que ça et ça s’est surtout passé à Paris, TKT.
Le plus riche paye !
J’ai toujours choisi des partenaires à mon goût et, si d’aventure ils étaient quelque peu fortuné, je trouvais normal d’en bénéficier, mais je n’aurais jamais eu l’idée de demander un cadeau ou d’en faire un aux nombreux homos prolétaires qui ont en général ma préférence…

Considérons la chute, camarades !..... dit: à

Plus on monte, plus on manque d’air. c’est physique. Un contre-exemple célèbre : renato !

u. dit: à

« Marre des argumentophiles qui doivent « expliquer » leurs goûts, leurs jugements, leurs actes. Témoignage d’une fausse sensibilité, d’ »expliquer » car ne pas expliquer n’est pas en contradiction avec un usage de la raison … ok ? »

Yes and no.

« Je n’aime pas. »
Réaction: indifférence, approbation, ricanement…
Guère d’argument.

« Les X sont y » (ex. « les arabes sont pacifiques et travailleurs », hein)
Réaction: vrai ou faux, on argumente.

TKT dit: à

Albabouse alias OneNote:
Oui, les homosexuels sont partout, géographiquement, socialement etc… Mais bon, il y a toujours une majorité d’hétéros et la vraie minorité ce sont les gens comme D. et vous-même, asexués ou encore pas déniaisés.
Vous n’aimez pas les homosexuels, albabouse moisi, c’est votre droit, mais aimez vous les femmes ? Ou plutôt, avez vous jamais « fait le service » d’une dame ? Mauvaise Langue, mauvaise langue ? Qu’écrivait Eric Maria Remarque à Marlene Dietrich ? Qu’il était une « bonne langue »…

des journées entières dans les arbres dit: à

Continuons la lutte, camarades !……… dit: 13 juin 2013 à 8 h 32 min

le sujet économie et liberté ?
Pas de compétence théorique en la matière pour ce qui me concerne. Que des travaux pratiques ! et menés en parfaite cohérence avec ma conscience. D’autres parlent d’éthique, de morale, enfin, on se comprend.

Les envois de cette nuit , de Tranxodyl-que je remercie- à 3h19 et 3h30 sont une approche très différente, de ce que « faire de sa vie une oeuvre d’art » peut vouloir dire.
Un texte d’un professeur français, et celui d’un professeur belge.
Il y est question par exemple de « récit de vie » d’un côté, de connaissance de soi de l’autre.
Avec de très nombreuses occurences de mots entre les 2 textes; comme par exemple « sublime »

Alors du côté du professeur français, le mot sublime renvoie à une esthétique de vie, au talent,
du côté belge, qui présente un point de vue foulcadien, et très , comment dire: focalisé, le mot sublime est réduit aux « Sublimes »
je vous en donne ici la signification qui semble avoir été pompée texto dans le texte du professeur belge, car je l’ai retrouvée
par ailleurs:
« Il était une fois, au xixe siècle, les Sublimes. Ces ouvriers très qualifiés travaillaient à leur guise pour une durée qu’ils déterminaient eux-mêmes puis s’en allaient dépenser leurs revenus dans les guinguettes et les estaminets… »

est-ce que cela répond à l’une de vos idées d’économie et de liberté ?
Je ne sais pas. Et il ne m’est pas nécessaire de la savoir.

J’espère vous avoir donné l’envie de lire les envois de Tranxodyl

A bientôt

Laissons tomber la lutte, camarades !..... dit: à

On fait ce qu’on veut, on dit ce qu’on veut, la vie n’est pas un acte scientiste.

Bloom dit: à

bloom lit goulument du gide entouré d’indigènes à poil….

Phil, zêtes un devin. Effectivement entouré d’ingénieuses indigènes ingénues que je fus ces derniers soirs…je vous dis pas ce qui circule sur fessebouc après ces 4 défilés de mode initiés par ma pomme…chaud torride, mais classe en diable…Les potes au pays sont soufflés(« Pour moi, ce sera la noire…Pour moi, la rose…la verte à gauche…la jaune au fond, avec un turban…la grand bleue aux gambettes kilo met trique… »).
Le plus beau métier du monde, Phil, après prof de collège, bien sûr.
Voyage au con? Go!

u. dit: à

« On fait ce qu’on veut, on dit ce qu’on veut, la vie n’est pas un acte scientiste. »

Bravo, JC!
Jusqu’au moment où la force vitale rencontre un obstacle.

Quelle belle plage, je vais piquer une tête.
– « Désolé, vous n’avez pas le droit d’entrer.
– Et pourquoi? Il n’y a pas de panneau.
– C’est comme ça, circulez.
– Eh oh?…

Et voilà, comme un con, on se met à argumenter.

TKT dit: à

U.eda san, Cannes n’existe plus, Saint-Tropez n’existe plus, München n’existe plus. Le monde en se démocratisant est devenu moins amusant.
Vous employiez le verbe frictionner, non, je parlais bien de fiction, bien entendu la vraie vie est toujours plus cru que la fiction.
Une fiction se doit de paraitre crédible, logique, dans la vraie vie les choses sont plus sophistiquées.

La cane de TKT dit: à

« Je n’ai aucune expérience personnelle sur la vie cannoise des années dont je parlais plus haut »
« U.eda san, Cannes n’existe plus »
TKT

Y sait pas, y connait pas, mais y cause.
Bouffon.

Bloom dit: à

A quand un Goût de l’Afrique, Baroz? Je n’écarte pas l’idée d’y aller travailler pour une prochaine mission…

renato dit: à

des journées entières dans les arbres,

le sublime post Pseudo-Longin c’est l’un de ces trains que les francophones (Belgique, Canadada, France, Suisse Romande) ont loupé au premier passage… de là, part exemple, le marge désormais infranchissable entre Turner (1775-1851) et les très académiques Impressionnistes.

Enfin, j’avoue que lire ici ce mot (sublime) me laisse plutôt perplexe car transcender le beau c’est bien beau, mais voilà encore un truc où des explications sont demandées… et l’on n’a pas les bonnes réponses… surtout chez les littérateurs…

Initiation dit: à

Continuons la lutte, camarades !……… dit: 13 juin 2013 à 8 h 32 min
Si cela ne vous dérange pas, j’aimerai que l’on aborde le sujet « économie et liberté » ! Bien à vous …

Alors JC je vous comprends, comme vous n’avez aucune de la signification de ces mots je suis bien d’accord avec vous, vous avez besoin d’une solide initiation (formation serait trop, à l’impossible nul n’est tenu)
Mais on est bien d’accord, pour liberté vous oubliez ayoub et pour économie vous ne piquez plus dans la caisse.

Jacques Barozzi dit: à

« A quand un Goût de l’Afrique »

Le manuscrit est déjà rendu et à moitié payé, on attend plus que le bon vouloir d’Isabelle Gallimard, Bloom…

Gaspillons dans les luttes, camarades !..... dit: à

Economie et liberté : piquer dans la caisse comme tout le monde – ne niez pas vous n’êtes pas crédible car vous le faites – et liberté de continuer à mentir aux autres menteurs !

bouguereau dit: à

Cet Hercule Poirot-là est très maughamien, non ?

pas du tout baroz..c’est la tentative de virilisation d’une mémère a chien anglaise..moins bien que moi en xena la guerrière..que je te ferais des moulinet de mon épée entre les jambes baroz..ça te ferais des trucs

bouguereau dit: à

On fait ce qu’on veut, on dit ce qu’on veut, la vie n’est pas un acte scientiste

c’est ce que dit note bon roué françoué..t’es un sujet vernis et t’es pas content

bouguereau dit: à

on attend plus que le bon vouloir d’Isabelle Gallimard, Bloom…

on..on..on dirait que t’as les moyens de lui envoyer ton clone hétéro..au charbon baroz, au charbon

u. dit: à

« c’est la tentative de virilisation d’une mémère a chien anglaise. »

La mamère à moustache verte?
Interdit aujourd’hui d’en dire du mal: dans le sens de l’histoire depuis Bègles.

bouguereau dit: à

Dis, baroz, tu aimes les films de gladiateur ?

tiens par exempe baroz..on a toujours voulu et a toute fin que victor mature soit gay et on en a fait une icone homo..et ben non

bouguereau dit: à

..quand j’étais môme..victor mature souffrant fouetté..je lui trouvais un mauvais genre, mais un mauvais genre ! alors que quand c’était beurt, les mères elles pleuraient..vas comprende

bouguereau dit: à

dans le sens de l’histoire depuis Bègles

on voit bien que tu veux le trainer dans la boue et en faire une icone des coryphés aux yeux de jicé..il lui en faut plus que ça pour ruiner ses idoles à jicé

renato dit: à

« ..quand j’étais môme… »

Pour ma mère Luchino (Visconti) était le top du raffinement.

Jacques Barozzi dit: à

A Carpiagne, dans la cavalerie, j’avais été affecté au service culturel de la caserne, dans un beau bâtiment datant de l’ordre des Templiers. Je devais rédiger le journal local, le Grand Haulme. Et je faisais aussi partie, entre autres fonctions, du comité de sélection des films à projeter aux bidasses et aux officiers. Nous disposions d’une assez belle salle de cinéma. Le catalogue des films des armées, envoyé par Vichy, était drôlement bien achalandé. J’en ai profité pour m’organiser un super festival de films homos. A mon capitaine, qui n’y connaissais rien, je disais « ah, ça c’est un super polar ! » « ça c’est un très bon film d’espionnage ou un grand western ! » C’est ainsi que j’avais fait sélectionner les Damnés de Visconti, Sunday bloody sunday ou Le jardin qui bascule de Guy Gilles…
Au bout de quelques semaines, la révolution s’était installée dans le camp, les chiffres de fréquentation avaient sensiblement chuté et j’ai failli être envoyé au… Trou !
Mais au moins, les appelés de ma classe,1975-76, ont pu voir des films qu’ils ne seraient jamais allé voir de leur vie…

Bloom dit: à

au charbon baroz, au charbon

Et voilà le Boug qui pousse Baroz à commettre le péché en fouillant la mine jusqu’au point G-allimard. Méphistophelès! Virgile de Dante! Grand Débaucheur!

John Brown dit: à

 » marge désormais infranchissable entre Turner (1775-1851) et les très académiques Impressionnistes.  » (rédigé par Renato )

Quand l’impressionnisme se fige en un « faire » et se structure en école, il tourne fatalement à l’académisme. Le génie singulier de Turner, c’est la recette infaillible contre tous les académismes. Mais à combien est-elle accessible ?

Max Pégase dit: à

« des films à projeter aux bidasses »

Embraye, baroz, ça fume !

Phil dit: à

Felix Bloom, en vue de votre futur poste africain, emportez de bonnes lectures: « Paris-Tombouctou » de Morand. Comme du Gide au Tchad, mais en version hétéro, puisqu’il faut causer désormais « genres ». ça met de bon humeur sur le vapeur.
Et toujours personne pour se soucier du nombre d’affiches « du lac » collées dans le 93

Jacques Barozzi dit: à

« Paris-Tombouctou » de Morand figure dans mon prochain goût de l’A…, Phil.
Extrait en avant première life :

« Paméla Freedman n’était plus la femme blanche pour laquelle on donne un spectacle. Personne ne faisait attention à elle. Les yeux s’étaient fixés ailleurs. Car, maintenant, le fils du chef, Mamadou, dansait : il avait ce regard droit, cette noblesse de cou de la grande antilope du Sénégal, qu’on nomme l’ « antilope onctueuse » ; il lançait ses membres comme des offrandes, les reprenait, les distribuait encore ; il avait pris entre ses dents, par une ficelle, son balafon aux bois inégaux et, pivotant autour d’un axe invisible, il le faisait planer au-dessus des têtes. Paméla ne pouvait détacher des yeux cette figure qui, à mesure qu’elle s’enivrait de tournoiements, devenait sauvage et satisfaite comme celle des dieux. A force de danser, il trouait la terre ! Paméla se rappela qu’il lui avait dit : « Viens, je suis riche, il ne pleut pas dans ma case, mes femmes sont grasses et bien nourries… » Elle était venue… Elle lui apprendrait la mélancolie, l’alcool, le baiser et autres manières des Blancs… Les négresses nues, qui se pressaient derrière elle, l’enveloppaient de toutes parts, la soulevaient. Elle aplatissait les poitrines flasques des vieilles ; les seins durs des jeunes filles lui entraient dans le corps. L’odeur affreusement musquée du nègre la terrassait ; mais elle ne pouvait y faire renoncer ses narines. Elle se sentait entrer dans le monde noir, elle se noyait en lui. Rituellement, la lune s’était levée. Les agneaux, au fond de la cour, étaient devenus bleus, ainsi que les murs. Paméla pensa au dernier succès d’Irving à Berlin :

Les nègres ne sont vraiment des nègres
que sous le lune…

Elle retrouvait dans ce tam-tam aux sons mats le même engourdissement, la même extase qu’à Montmartre elle demandait au jazz, à l’heure des grandes orgues de l’ivresse… Elle en avait assez d’être une fausse Blanche ! Pourquoi s’enorgueillir d’un progrès emprunté ? Son progrès à elle, c’était de revenir, par une étonnante et harmonieuse union, à la terre ancestrale… Féminité, maternité immense de ce continent ! Les négresses sont les reines du monde noir. Elle arracha sa robe, ses colliers, jeta à terre sa carabine, ses cartouches, lança à la volée son argent, laissant la populace avide s’aplatir dans la poussière. Mamadou la serrait nue contre son torse nu, la frottait contre sa peau douce, hérissée de cicatrices scarifiées qui l’irritaient et accroissaient le plaisir. Non, la vue d’une Blanche ne le rendait pas fou, comme prétendent les lyncheurs de Virginie ; il prenait Paméla comme une autre, il avait pour les femmes cet énorme et indifférent appétit du mâle noir, à qui la quantité seule importe. Humée par le cercle magique, elle se donnait à lui, à cette foule sombre, parmi les cris, les détonations des tambours et celles des fusils de traite, le choc des castagnettes de fer. Adieu New York ! Paméla Freedman rentrait dans le ventre de l’Afrique. Elle ne valait plus cent millions de dollars, elle valait trois bœufs comme les autres femmes. On la vit se frapper les paumes, pliée en deux à chaque cadence, pieds joints, jambes collées, croupe tendue, comme les négresses, maintenant l’une d’elles.
(« Magie noire », Editions Bernard Grasset, 1928)

Jacques Barozzi dit: à

Oui, le boug, enfant j’ai vu tous les Hercule, Maciste, Ben Hur et autres films bibliques, tel Samson et Dalila, aprèsl a projection duquel je n’ai plus voulu que l’on me coupe les… cheveux et me suis mis à me méfier de l’amour des femmes !
Je me souviens aussi de la série des Joselito, l’enfant à la voix d’or… qui me fit verser bien des larmes !

u. dit: à

« Paméla Freedman rentrait dans le ventre de l’Afrique. »

Ce n’est pas le contraire?

Jacques Barozzi dit: à

Non, u., l’Afrique est la terre mère…

Phil dit: à

Excellent extrait, Baroz.
Un festival de seins piriformes à dégayïser tom of finland.

Jacques Barozzi dit: à

Voici le commentaire d’introduction de cet extrait :

« Dans Adieu New York !, l’une des nouvelles africaines du recueil Magie noire, de Paul Morand (1888-1976), datant de 1928, Paméla Freedman, belle et riche héritière américaine, embarqua par une froide nuit de Noël sur le Mammouth, un des plus somptueux paquebots de l’American Atlantic Line. Elle partait alors pour une croisière dont le programme promettait : « Le Tour de l’Afrique – 28 000 milles en 97 jours ! Toute l’Afrique : la plus noire Afrique ! Le pays du gros gibier… le sentier de la guerre… les tribus d’ébène… les chutes du Zambèze ou la fumée qui tonne… Visitez les repaires des traitants arabes de Mozambique… Le Cap, éternelle exposition florale… Un coup d’œil à Kimberley et son trou à diamants… Johannesburg et ses montagnes de quartz en poudre… Les charmeurs de serpents de Port-Elisabeth… Pretoria ; Krüger et sa grande pipe… Bulawayo, avec Cecil Rhodes sur son granit… Respirez Zanzibar et son odeur de girofles… Mombasa, l’île de corail… Kenya, la patrie des rhinocéros… On recommande Nairobi et ses femmes voilées. Le Victoria Nyanza et ses aérobus… Les monts de la Lune… l’Uganda et ses hippopotames… Le Nil !… » Mais pendant la traversée, l’héroïne, qui occupe la plus luxueuse suite et porte les toilettes les plus raffinées, va susciter la jalousie des autres passagers privilégiés, qui vont découvrir que celle-ci, malgré sa peau blanche, est la fille d’une quarteronne cubaine. C’est ainsi, qu’avec la complicité de l’équipage, ils vont se débrouiller, à l’occasion de leur première étape en Côte d’Ivoire, pour « l’oublier » à terre pendant qu’elle visite la savane africaine. C’est alors qu’elle trouva refuge en pleine brousse chez l’administrateur du cercle français, un beau mâle corse, où elle commence peu à peu à prendre ses aises et songe de moins en moins à retourner à New York. Jusqu’au jour où, au cours d’une partie de chasse en forêt, à l’appel des lointains tam-tam, son boy Mamadou, un splendide prisonnier noir, fils d’un chef local, accusé de fétichisme, l’entraîne au centre de son village pour un danse endiablée. »

renato dit: à

« … l’Afrique est la terre mère… »

Attention Jacques, si vous pensez à Morand il y a une erreur conceptuelle quelque part par là… Faites une petite recherche, c’est urgent car u a parfaitement raison…

Phil dit: à

vous n’avez pas été censuré, Baroz. plus fortiche que les colleurs d’affiches du lac.

Jacques Barozzi dit: à

Jacky et le cinéma

Enfant, mon père me donnait 600 anciens francs d’argent de poche chaque semaine. Que je dépensais en allant au cinéma et pour m’acheter mon Bleck le roc hebdomadaire.
Après sa mort, alors que j’avais dix ans, je dus me débrouiller par moi-même.
Je me mis à travailler en dehors des cours, comme en témoigne l’extrait inédit que voici :

« D’abord les week-ends, au marché Forville, avec ma tante Fifine. Sur un banc, dans une allée latérale. Plus tard avec Henriette, à même le sol, sous la grande horloge centrale. Les étés, je fus garçon charcutier, livreur, plongeur, commis de bar, serveur, chasseur, réceptionniste et, durant l’hiver, placeur de polices d’assurance-vie ou encore donneur de cours particuliers, entre autres !
J’ai beaucoup travaillé, jusqu’au bac, des saisons estivales entières, de 14 heures par jour, sans congés.
A chaque rentrée, j’étais content de retrouver le lycée. Et d’autant plus impatient d’en sortir, le diplôme en poche, pour partir vivre ma vie le plus loin possible !
[…]

Tandis qu’après le café et les dernières douceurs, les adultes, et notamment ma tante Henriette, levée depuis la première heure du jour, songeaient à faire une plus ou moins longue sieste, j’abandonnais l’assemblée, pour filer vers les salles de cinéma de la rue d’Antibes.
Mon argent de poche honnêtement gagné, je m’offrais alors une séance, selon le titre du film ou le nom des acteurs, soit au Vox, soit à l’Olympia, soit au Star ou une quelconque autre de ces nombreuses salles dont j’ai depuis oublié le nom.
Peu m’importait si le film avait déjà commencé, de toute façon, les films étant permanents, je les visionnais, en général, au moins deux fois d’affilée.
C’était fascinant de constater qu’à la deuxième vision, on découvrait toujours des images et on comprenait encore des choses que l’on n’avait pas vues ou auxquelles on n’avait pas pensées à la première vision !
Là, au milieu des demis dieux, splendides géants de celluloïd joliment coloriés – bientôt je commencerai à les apercevoir, en chair et en os, et même à leur demander des autographes, durant la période du Festival de Cannes ! – , je me sentais à l’abri du monde, bien protégé du chaud ou du froid, selon la saison, délicieusement lové au centre d’un univers de rêves : le paradis, ici, de surcroît, revêtait un délicieux goût d’esquimau glacé à la vanille, nappé de chocolat au lait parsemé d’éclats de noisettes.
Que demander de plus ? »

CAC40 dit: à

104 pages 20 euros…du balai les gueux !

Larmes-de-Zob dit: à

« Hercule, Maciste…qui me fit verser bien des larmes ! »

Tu veux dire que tous ces coloss’ ont fait pleurer le tien, baroz ?

bouguereau dit: à

Plus tard avec Henriette, à même le sol, sous la grande horloge centrale

clopine c’était dsous le grozorloge..t’as copié

Jacques Barozzi dit: à

Non, je ne songe pas à Morand quand je dis la terre-mère, renato, mais aux auteurs africains, tel Amadou Hampâté Bâ, comme dans cet extrait à propos de la circonsition des garçons :

« Après l’opération, tous les prépuces furent enterrés. Pour la tradition africaine ancienne, le prépuce est considéré comme un symbole de féminité dans la mesure où il recouvre le pénis et l’enveloppe dans une sorte d’obscurité, car tout ce qui est féminin, maternel et germinatif s’accomplit et se développe dans le secret et l’obscurité des lieux clos, que ce soit dans le sein de la femme ou dans le sein de la Terre-Mère. Une fois le garçon dépouillé de sa marque de féminité originelle, qu’il retrouvera plus tard chez sa compagne, il est censé devenir le support d’une « force » exclusivement masculine. »

bouguereau dit: à

un délicieux goût d’esquimau glacé à la vanille, nappé de chocolat au lait parsemé d’éclats de noisettes

..ben mon colon on dirait du tonnerre de brest

Jacques Barozzi dit: à

circoncission, pardon !

Jacques Barozzi dit: à

circoncision, pardon bis

bouguereau dit: à

Elle arracha sa robe, ses colliers

ma mère de ma mère..ça ne passerait pus qu’en bédé ou en scénar italien pas cher avec de vieille gloire..rocco passé au noir de suie..tourné en nuit américaine en normandie..je ferais bien le porteur de chandelle..la nuit tous les chats sont gris

u. dit: à

Je ne voudrais pas avoir l’air de me mêler de ce que je ne connais pas (la littérature), mais il me semble que la prose de Gide affiche une supériorité éclatante sur celle de Morand.

Jacques Barozzi dit: à

Mamadou, dansait : il avait ce regard droit, cette noblesse de cou de la grande antilope du Sénégal, qu’on nomme l’ « antilope onctueuse »

Va falloir que Bloom se mette sérieusement à la danse, s’il veut jouer les antilopes onctueuses !

Jacques Barozzi dit: à

u., ils ne boxent pas dans la même catégorie.

bouguereau dit: à

Je ne voudrais pas avoir l’air de me mêler de ce que je ne connais pas (la littérature)

..si c’est pour mieux affirmer ton espertise en film porno c’est d’un tordu..et faut demander à phil si c’est convaincant

renato dit: à

C’est vrai que le passage est plutôt comique (bien vu le « scénar italien pas cher »).

bouguereau dit: à

u., ils ne boxent pas dans la même catégorie.

petite et grosse bite..

Jacques Barozzi dit: à

renato, Magie Noire de Morand est un livre qu’Alain Mabanckou emporterait avec lui dans une île déserte…

Tête de Turc dit: à

« je lui trouvais un mauvais genre, mais un mauvais genre  »

Fectivement, on peut pas dire que Victor Mature (rien que son blase, pas étonnant qu’il déplût aux couguars) faisait partie du cercle des traits caucasiens, comme Brute Lancastré.
Lui, son bizness c’était plutôt le genre nervi levantin : teint suiffeux, cheveu gras et gominé à mort, costar de mac (sans accent). Un genre de toilette à la turque, quoi.

Mais le calbut plus soigné que celui de dracul, quand même.

u. dit: à

renato, Magie Noire de Morand est un livre qu’Alain Mabanckou emporterait avec lui dans une île déserte…

C’est le genre de truc que M. Régniez doit lire en loucedé.

renato dit: à

Jacques, vous énoncez une idée provinciale là, je ne suis pas responsable des goûts des écrivains dont j’apprécie le travail : lui oui, moi pas.

Jacques Barozzi dit: à

Au fait, pour une anthologie de la Côte d’Azur (ou Riviera française), évoqué hier, on peut toujours se reporter avec profit à mes goûts de Cannes, Nice, de la mer, etc…

Le guide « La Côte d’Azur », publié en 1888 par Stéphen Liégeard, et titré ainsi par analogie à sa Côte-d’Or natale, eut un tel retentissement, que, par la suite, cette appellation se substitua à celle de Riviera française, par laquelle on désignait alors la portion comprise entre Hyères et Menton : la Riviera proprement dite s’étendant jusqu’à Gênes.

Jacques Barozzi dit: à

Extrait parfumé de La Côte d’Azur :

« Les fleurs ! Partout il y en a ; mieux que Florence, Nice mériterait d’en retenir le nom. Entre les trois brins de violettes que la petite boutiquière vous jette en passant, et les adorables fantaisies de ces lyres ou de ces corbeilles dont s’émaillent les éventaires, il n’y a place pour l’hiver, ni pour la mélancolie. Etabli à Nice depuis 1854 jusqu’à son exode vers Saint-Raphaël, l’auteur de Sous les Tilleuls n’a pas peu contribué à cette mise en valeur des corolles. Il en fut comme le révélateur, et longtemps Paris se disputa ses envois. C’était l’époque où Lamartine adressait à Alphonse Karr, jardinier, des vers tout imprégnés de balsamiques senteurs :

… Nice t’a donc prêté le bord de ses corniches
Pour te faire au soleil le nid d’algues où tu niches ?…
On dit que d’écrivain tu t’es fait jardinier ;
Que ton âne au marché porte un double panier ;
Qu’en un carré de fleurs ta vie a jeté l’ancre,
Et que tu vis de thym au lieu de vivre d’encre ?
On dit que d’Albion la vierge au front vermeil
Qui vient comme à Baïa fleurir à ton soleil,
Achetant tes primeurs de la rosée écloses,
Trouve plus de velours et d’haleine à tes roses ?
Je le crois ; dans le miel plante et goût ne sont qu’un :
L’esprit du jardinier parfume le parfum.

Aujourd’hui encore, près du Jardin Public, le nom de Karr s’inscrit en lettres de cuivre, comme mémoire et porte-bonheur, sur la vitre de la boutiquière qui continue son odorant commerce.
Cannes possède un incomparable artiste, Solignac, qui, dans la science de grouper les tiges, demeure sans rival ; les Labrousse et les Vaillant-Rozeau ne lui viennent point à la racine. Mais ses boutonnières de corsage, ses guirlandes de bal, ses paniers-glaneuses ou ses miroirs encadrés ne sont pas le lot de tout acheteur. C’est un délicat, ciselant pour clientes armoriées, un inspiré floral que les princesses de la Maison de France tiennent en particulière estime. A Nice, au contraire, la fleur est l’apanage du peuple. Elle se fait bonne fille, elle se démocratise sans perdre son parfum, et l’ouvrière en jouit tout comme la grande dame, la trouvant à portée de sa bourse. Des panerées de violettes doubles arrivent, chaque matin, sur le marché, écloses aux tièdes abris de Vence ou sous la pyramide élancée de Saint-Jeannet. Les jardins de la banlieue ne chôment pas non plus. Le camélia et la rose s’y multiplient, cependant que cent villas rivalisent entre elles à qui peindra le sol des plus vives couleurs, à qui saura le mieux embaumer les brises flottantes de la plage*. »

*Stéphen Liégeard vivait régulièrement à Cannes, où il avait acquis la villa Les Violettes. En note de cet extrait, il indique : « Dans chacun des derniers hivers, la gare de Nice n’a pas expédié moins de 70 000 boîtes de fleurs fraîches ». Il précise aussi que Solignac était un fleuriste cannois réputé. Ajoutons encore, pour ceux qui n’auraient pas bien compris, qu’Alphonse Karr, installé à Nice à la fin de sa vie, y avait ouvert un commerce d’expédition de fleurs fraîches, plus lucratif que sa production poétique !

u. dit: à

16h12

Dans quelques heures, Jacques, va venir le bilan de ma journée.

Il est possible que je me dise: aujourd’hui, j’aurais appris ça
(en plus, c’est plus facile à resservir que les mathématiques de Sergio).

Marque déposée dit: à

« le calbut plus soigné que celui de dracul »

Depuis qu’un agent infiltré nous a révélé qu’il écrit dans son dégueuloir avec son calcif sur la tronche, il faudrait lui mettre à jour son état civil, à dracul.

Comment tu dis, Jean Marron ? La « Marque jaune »?

Jacques Barozzi dit: à

Mon pauvre u., je crains de n’avoir énoncé que des « idées provinciales », dixit le phénix de Colmar !

renato dit: à

J’ai écrit une pas des, Jacques.

Sergio dit: à

u. dit: 13 juin 2013 à 16 h 20 min
16h12
les mathématiques

Ha non mais maintenant il y a des gus qui font des conférences sur une sorte de synthèse entre la physique quantique et une espèce d’occultisme, de la sorcellerie véritable finalement c’est peut-être bien…

renato dit: à

C’est assez cocasse, tu dis « je n’aime pas ça » et l’autre te dit « mais untel aime ça et tu apprécies untel ». Donc, puisque j’apprécie untel je doit prendre ses goût en gros ? si ce n’est pas une idée provinciale c’est quoi ?

Jacques Barozzi dit: à

Vous savez, renato, Morand n’est pas vraiment ma tasse de thé, mais en tant qu’anthomologiste je retombe toujours sur lui : il a écrit sur pratiquement tout cet homme ! Et il a un talent synthétique digne d’Onfray, mais en beaucoup mieux dans le style « épicurien ».

Mme Michu dit: à

avancer des prétentions socio-politiques avec pour cache-nez le calbut d’autrui… pas mieux en magasin? dommage…

Jacques Barozzi dit: à

Dans ma fonction d’anthomologiste, c’est le sujet étudié (une ville, une région, un thème) qui prime sur mes goûts personnels. Il s’agit de constituer un bouquet le plus riche et le plus varié possible. Et je me laisse guider par des auteurs qui n’appartiennent pas forcément à ma bibliothèque idéale. C’est ce que j’aime bien dans ce travail, qui me fait découvrir d’autres auteurs, comme mes bidasses, habitués aux gendarmes de Saint-Tropez, et auxquels j’avais imposé du Visconti, du Losey, du Chaplin, et quelques autres piliers de la cinémathèque française…

Jacques Barozzi dit: à

d’anthologiste, pardon, je crois que je fatigue et vais aller me reposer en me promenant…

chantal boedts dit: à

how how on en apprend de belles sur le Maugham, je m’ennuyais .. il pleut .. encore.

dis barozzi tu crois vraiment que mabankou prend morand avec lui sur une île déserte, ce doit être encore une de ses farces pour journaliste.

Laissons tomber la lutte, camarades !..... dit: à

Nos chères sœurs, les Femen, s’en chargent ! D’accord, elles en font trop, elle manquent de tact mais elles en ont dans le calbut, les garces, pour aller faire de la prison chez les Printaniers Tunisiens Islamistes ….

Les pauvres types leur filent de la prison ferme : ah ! les glands…! Doivent avoir un mur des cons dans la tête, ceux là.

Combien de fois faut-il le répéter dit: à

« pour m’acheter mon Bleck le roc hebdomadaire. »
baroz

Tu frimes ou alzheimer te rattrappe baroz,

Blek(sans c) le roc était un bi-mensuel.

TKT dit: à

@ JC ou La cane de TKT dit:13 juin 2013 à 13 h 18: Vous lisez au premier degré, pauvre ducornaud, mauvais et bête comme D.
J’ai vécu à Cannes de l’âge de 15 ans à 42 ans. Par « vécu », je veux dire que mes parents y avaient leur résidence principale et que moi, j’y passais l’un dans l’autre plusieurs mois par an. Dans la même période, j’ai aussi vécu ailleurs, je ne vois pas pourquoi je parlerais d’une ville que je ne connais pas.

renato dit: à

Bon, maintenant le trip de la presse est l’espionnage ‘démocratisé’ (nous sommes tous espionnés), mais hors des milieux spécialisés, cela se savait depuis 2000 : IC 2000, par Duncan Campbell — éd. fr. Surveillance électronique planétaire, chez Allia, 2001.

Argent de poche dit: à

J’ai vécu à Cannes de l’âge de 15 ans à 42 ans….. et que moi, j’y passais l’un dans l’autre plusieurs mois par an.
TKT

Quand on sait que vontraube se vante de n’avoir jamais payé d’impôts en France il est facile d’imaginer ce que réussite veut dire pour lui.
« Bonjour papa, je viens toucher ma paie »

Laisse tomber ta flûte, camarade !..... dit: à

Thierry, tu vois des nains partout ! Par exemple à 13:18 ! ça me navre de te voir bêler comme une chèvre cannoise et te livrer à tes obsessions favorites, injurier l’ennemi de classe … Calme toi !

Déjà calme, tu es à peine supportable, alors nerveux comme une danseuse du Crazy Horse demandée en mariage, tu deviens infernal !

Espionnons nous tendrement, camarades !.... dit: à

Depuis toujours tout le monde espionne tout le monde, amis et ennemis, pas seulement pour le terrorisme, alibi sympa et pratique, mais aussi pour préparer la cyber-guerre et essentiellement pour l’espionnage industriel.

Bloom dit: à

Phil, je dois vous vouer avoir un peu de mal avec Morand, pas franchement ma pinte de Guinness, l’homme pressé…
Il doit me rester un ou deux Boyd sur l’Afrique, le Journey Without Maps de l’ami G.Greene (son ‘A Burned-Out Case’ est un grand livre de déglingue) et l’excellent Tip and Run d’Edward Paice sur le front est africain en 14-18 (von Lettow Vorbeck continue sa guerre contre les Brits jusqu’au 25 novembre 18), et dans lequel je ne fais que picorer pour la préparation d’un colloque international l’an prochain. Et puis Achebe, Ben Okri, Wole Soyinka….
Lire les pays avant de les vivre et après les avoir vécus est une vieille habitude dont je n’arrive pas à me départir. Dommage qu’on ne puisse pas appliquer au temps ce qui vaut pour l’espace…

Baroz, pour la danse, no problème, pour l’antilope languide, euh..no comment…si tu vois ce que je veux dire….

renato dit: à

Le rappel aux écoutes n’est pas casuel, cela se fait depuis toujours avec les moyens à disposition. Par exemple, en Juin 1917 le chef du Service britannique Secret Intelligence, confie à Maugham une mission spéciale en Russie pour fournir un soutien au gouvernement provisoire et d’entraver la propagande pacifiste allemand dont le bout était la sortie de la Russie de la guerre. C’était mission impossible, même si Maugham a parfois affirmé que s’il était allé en Russie six mois auparavant il aurait réussi… Bon, ça c’est du détail, le fait réel est que sans un bon réseaux d’informateurs, jamais le chef du Service britannique Secret Intelligence aurait pu envisager cette action.

renato dit: à

Oups ! d’entraver la propagande pacifiste allemand > entraver la propagande pacifiste allemandE

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…avant de dépenser votre argent,…

…sachez réfléchir,…n’achetez pas n’importe quoi,…
…penser décorez votre chambre avec les murs et plafonds de billets de 100 €uros,…
…et, puis pensez à tapissez les autres chambres,…la chambre à coucher avec des billets de 500 €uros,…le saloon de billets de 200 €uros,…
…dès que vous rentrer chez vous,…Ô les estampes  » japonaises « ,…
…le piège à Dutronc,…Bip,…Bip,…etc,…

…je vois Venise,…Honolulu,…dans ta chambre à coucher,…en pointant d’une main levé,…le vote aux parfums de Versailles,…
…à ajouter,…jamais sans châteaux,…les culs en l’air,…et les bourses qui montent,…etc,…Ah,…Ah,….
…les nouvelles morales des moeurs de l’étrange dictature,… » la conjuration de la Horde à l’Etat « ,…etc,…

La mauvaise langue dit: à

Tkt est tellement obsédé par LML qu’il me voit un peu partout dans les pseudos. C’est comique !

Il n’a qu’à demander à Passou si je publie sous le pseudo OneNote ! Passou pourra lui répondre que je ne prends jamais d’autres pseudos pour me cacher. Je n’ai d’ailleurs rien à cacher. Et j’emmerde tous les cons de ce blog !

Pauvre Tkt, je dois hanter ses nuits dans des cauchemars d’où il doit sortir dans des sueurs froides pour être obsédé par moi à ce point.

Je me marre…

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 13 juin 2013 à 16 h 35 min
Vous savez, renato, Morand n’est pas vraiment ma tasse de thé, mais en tant qu’anthomologiste

Mais oui, c’est lui qui explique que dans la rade de Port-au-prince il n’y a jamais de noyés : les requins les bouffent avant !

u. dit: à

« Je n’ai d’ailleurs rien à cacher. »

De grâce, restez au moins en short.

bérénice dit: à

A propos de piège, à quoi servent ces recherches quantiques sur le neutron, LML ou Tranxodyl en ont peut être une idée claire ou l’envie de partager

bérénice dit: à

U j’imagine Que LML ne porte pas de short et qu’il ne sort de chez lui qu’après minuit pour palier à la malédiction due à ses racines sémites, barré comme il donne à lire qu’il est m’étonnerait qu’il se divertisse autrement comme vous et moi qu’en étudiant et dévorant tout ce qui se présente à lui même en déshabillé de soie ou satin ou kimono brodé

TKT dit: à

JC le crétin-par-choix (D. ne l’est pas par choix personnel), pose une question intéressante, la réussite c’est quoi ? Pour moi, donc ?
Cela dépend d’où l’on vient et de qui on est le produit, nous sommes tous le produit des générations qui nous ont précédé.
La réussite pour moi, c’est de vivre en paix avec soi-même et son entourage propre. Pour ce qui est de la réussite économique, parfois c’est déjà pas trop mal, de ne pas avoir raté tout ce que la vie a proposé comme possibilités. La Rolex n’est pas un signe de réussite, ni une voiture, ni rien qui s’achète (sauf une maison et son contenu), chacun ses buts, ses rêves et ses fantasmes. Vous JC, votre scooter rose, pour draguer les filles sur une île pratiquement inhabitée, c’est un fantasme. En fait pour draguer, sur une île aussi petite, soit on a une villa, soit un voilier, non ? Votre réussite c’est de chier sur internet et vous n’êtes pas, comme D. ou Langue Pourrie-Moissie, un personnage de cartoon, vous êtes un aigri qui se croit drôle et qui n’est que sinistre et surtout, complètement con.

TKT dit: à

Non, Langue Pourie Moissie, vous ne me hantez pas, seuls vos commentaires me font réagir, ponctuellement. Quant aux pseudos, mais vous en avez souvent changé, allons un effort de mémoire. Vous n’êtres pas OneNote ? OK, c’est votre clone. C’est la même pensée qui sent la merde, que la votre. Tenez, vous tenez le même discours que Pathos alias D., il faut aller demander à Passouline, que vous n’êtes pas un de vos clones ou frère jumeau sorti du même œuf coupé en deux par perversité de la nature.

TKT dit: à

Michel Albabouse parle de lui-même à la troisième personne, c’est une Diva

Jacques Barozzi dit: à

« vous êtes un aigri qui se croit drôle et qui n’est que sinistre et surtout, complètement con. » (pour JC)

« Vous n’êtres pas OneNote ? OK, c’est votre clone. C’est la même pensée qui sent la merde, que la votre. » (pour ML)

En pleine forme, Thierry ! Fin prêt pour la castagne ?

kicking dit: à

les requins les bouffent avant !

semblerait que les poissons pilotes prennent leurs distances mais quant à savoir si c’est pour mieux se mettre à table…

Jacques Barozzi dit: à

« Michel Albabouse parle de lui-même à la troisième personne, c’est une Diva »

L’Albastafiore ou L’ Alballas ?

Sergio dit: à

Enfin bon faut être clair, ce bon Maugham a l’air de trouver sa bibine parfaitement dégueu ; au Prince of Wales cela n’arriverait pas ; à Balbec là ça se discute…

L'observatoire de l'helvète dit: à

Chouette j’ai une évolution de carrière.
Après m’avoir assimilé à D. pendant des années voilà que l’helvète me prend pour JC.
Est-ce un bien, est-ce un mal ?
Pour le boug’ ce serait comme tomber de Charib en Sila, mais pour TKT ?

Bon, mon Kron.enbourg adoré, disons-le franchement, t’es vraiment rien qu’une burne.
A propos de burne tu l’as fait opérer ou pas ton bichon ?

Sergio dit: à

bérénice dit: 13 juin 2013 à 19 h 12 min
ne porte pas de short

Le mieux c’est ceux en buffle de la Sûddeutschland Niederbayern c’est increvable pire qu’une cotte d’émail comme les blindages composites…

Le goût cannois dit: à

19h31 19h41

Le pipilet à la traîne de son maimaître.

Observatoire des Crétins de Naissance dit: à

Nos équipes n’avaient jamais découvert un chainon manquant, rarissime, entre le néanderthalien et la poule normande : c’est fait.

Il s’appelle Thierry.
L’animal, dégénéré, mange, chie, parle et gribouille en RdL (ordre d’importance décroissant)

bouguereau dit: à

Je me marre…

arrête de te marrer en juif..et en demi juif les neoils sourient même pas comme dirait môgame..

John Brown dit: à

Au fait, pour une anthologie de la Côte d’Azur (ou Riviera française), évoqué hier, on peut toujours se reporter avec profit à mes goûts de Cannes, Nice, de la mer, etc… (rédigé par jacques Barozzi)

Dans cette anthologie, il faudrait que figure ce si beau poème du « Roman inachevé », d’Aragon : « Une respiration profonde »

bouguereau dit: à

il a écrit sur pratiquement tout cet homme !

on s’emmerde pas avec lui faut reconnaitre..et puis il a un jugement esthétiche assez sûr..né avec une cuillère de vermeil dans la bouche ct’enlécu..et il a su garder les yeux ouverts..il a des défauts de coeur dirais je, il sent que par l’orgueil, à ce point : c’est une espèce de sens chez lui

bérénice dit: à

19h48 qu’est-ce qui est pire la crétinerie congénitale ou l’acquise, je voterai pour la seconde, impardonnable. Ceci dit coup de vent réfrigérant! Que se passe-t-il?

rivoir et carrer dit: à

la poule normande

cé clopinedepoulet qui va pô estre contente.

TKT dit: à

Jacques Barozzi, parfais Albafiore

TKT dit: à

@ En pleine forme, Thierry ! Fin prêt pour la castagne ? : Je compte déléguer, ou emprunter les fameuses tringles en titan londoniennes.
JC court les filles de Porquerolles et Albafiore-Albashtelmaniac zu Schlemihlsengegasse court après le métro.

Jean dit: à

Thierry…..titan
TKT

Ne rêve pas vonbraun, t’es un nain, un gnome et rien d’autre.

D. dit: à

Avec sept années de recul, je dois reconnaître que vous avez raison sur toute la ligne, Thierry.

D. dit: à

J’ai connu Cannes-Mandelieu quand j’avais six ans. Pas désagréable, mais il fait chaud. Je préfère le vent incisif du Cantal, il est plus franc du collier. On est plus proche de la nature dans le Cantal qu’à Cannes. Certains me diront que ce n’est pas comparable et je leur rétorquerai qu’ils ont tort.

bérénice dit: à

« t’es un nain,un gnome et rien d’autre » et moi je pensais que ces qualités appartenaient à notre particularisme régional(cette façon de définir), où vivez-vous si ce n’est pas indiscret que je ne me fourvoie pas dans une hypothétique nouvelle affectation?

bérénice dit: à

D oui je le savais mais que cela vous garde, les divinités ont horreur de recevoir du poisson avarié

des journées entières dans les arbres dit: à

Renato, je lis votre 13 h 27 min
« le sublime post Pseudo-Longin c’est l’un de ces trains que les francophones (Belgique, Canadada, France, Suisse Romande) ont loupé au premier passage… de là, part exemple, le marge désormais infranchissable entre Turner (1775-1851) et les très académiques Impressionnistes. »
Parole d’expert.
Déjà, Pseudo-Longin, je découvre; ça ne manque pas de sel.
Alors je ne sais faire le lien entre son « taité du sublime » et Turner.

Il y a sûrement plus d’une anecdote amusante concernant l’échange entre un critique d’art et someone « qui n’a pas commencé le plat par le dessert » ( salut Nietzsche)

Vue une expo parisienne, il y a quelques années, consacrée à Turner.
Alors quand j’entend Turner, je pense Le Lorrain.

John Brown dit: à

« J’ai connu Cannes-Mandelieu quand j’avais six ans. Pas désagréable, mais il fait chaud. Je préfère le vent incisif du Cantal, il est plus franc du collier. On est plus proche de la nature dans le Cantal qu’à Cannes. Certains me diront que ce n’est pas comparable et je leur rétorquerai qu’ils ont tort. » (rédigé par D.)

C’est un pays en escalier. Quand tu es sur la plage, du côté de La Bocca, et que tu regardes vers le Nord, tu comprends bien ça. Tu le comprends encore mieux, quand tu es un peu plus dans l’Ouest, dans la plaine des Maures, du côté de Gonfaron. Là, tu es à la marche 100m. Juste au-dessus, en face de toi, tu vois la marche 200 m. Puis tu sautes à la marche 600m. Puis à la marche 1000 m. Puis à la marche 1500 m. Puis à la marche 2000m. Puis à la marche 2500m. Le tout en moins de 100km à vol d’oiseau. Pour trouver un vent façon Cantal, c’est selon les saisons. A la marche 1000 m un bon mistral de début décembre, ça le vaut largement. Tu étends des draps le soir au jardin, après dîner tu peux jouer du tambour dessus. Le tout à 20 km à vol d’oiseau du Majestic. C’est un pays plus rude qu’on ne croit.

des journées entières dans les arbres dit: à

et j’entends siffler le train, oui, oui

Virginia L dit: à

Mélanger autobiographie et biographie. Un thème, deux points de vue et une idée à creuser.

des journées entières dans les arbres dit: à

Virginia L dit: 13 juin 2013 à 21 h 55 min
c’est une idée qui a eu de la suite.
Par exemple, le mélange ça peut donner des histoires de vie sublimes, les ouvrages réalisés par des « nègres littéraires »,de vraies fausses autobiographies.
Je ne connais pas l’origine de cette expression  » nègre littéraire ». Qui se l’est attribuée ou qui l’a inventée.

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…tantôt sur Arte,…et la foire de Bâle des tableaux,…

…je vous dis pas les commentaires pour faire plus blanc,…les explications d’escroqueries pour les évasions fiscales,…entre les sociétés offshore en pays neutre pour garder les tableaux en voies commerciales pour leurs rachats en fuite de capitaux,…
…laver plus blanc,…les restants des assiettes des autres,…Bip,…Bip,…etc,…
…baiser les peuples à l’€uro,…
…qu’il disent,…ont obéit aux ordres, aux injonctions de l’Europe,…
…bonjours mon frère,…la cave à vins,…Non,…je collectionne les châteaux sur cartes,…en Australie,…non,…déjà la-bas la terre appartient à l’état,…
…les châteaux des indiens kangourous,…etc,…une autre,…Attendez,…Bip,…Bip,…etc,…

renato dit: à

des journées : « Alors je ne sais faire le lien entre son « taité du sublime » et Turner. »

Lisez Joseph Addison…

des journées entières dans les arbres dit: à

Renato,
« Lisez ».
Cela ne me fait pas le même effet que si vous m’aviez fait l’injonction suivante:
« lisez de Michelle Touneur: La beauté m’assassine »

Au demeurant, très belle approche romanesque de Delacroix.

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