de Pierre Assouline

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La République des livres
Maurice Blanchot l’insurgé

Maurice Blanchot l’insurgé

En m’emparant de ce gros livre-là, mû par un réflexe chronique, je me suis également saisi d’un crayon à mine. Impensable de lire sans souligner, bâtonner, annoter, voire barrer, et même m’indigner, sinon corriger – à l’exception des Pléiade, tout de même, encore que j’en ai vu y surligner sans état d’âme à grands coups de stabilo rose fluo (j’ai failli appeler la police). On nous a assez répété qu’une fois publié, le livre n’appartenait plus à son auteur et que le lecteur devait se l’approprier ; or quelle meilleure manière d’y parvenir qu’en y superposant sa propre graphie aux impressions de l’écrivain ?

Sauf que cette fois, mon naturel porté au palimpseste a subi un coup d’arrêt dès l’entame de Blanchot (397 pages, 39 euros, L’Herne) : dans le premier article consacré à l’atelier de l’écrivain, Eric Hoppenot, l’un des deux maîtres d’œuvre du recueil avec Dominique Rabaté, raconte que, durant toute sa longue vie de lecteur, Maurice Blanchot (1907-2003) s’est toujours refusé à ajouter quoi que ce soit de sa main dans le livre d’un autre. Puisque le commentaire est extérieur, il doit le rester. Tel est son statut. Aussi a-t-il abondamment commenté ses lectures dans le feu de leur découverte mais en prenant soin de toujours consigner ses notes sur des feuilles à part, ailleurs, à côté mais pas dedans. Sa prise de notes de relevait pas seulement d’une technique mais d’un état d’esprit révélateur d’une esthétique ; car au début des années soixante, l’écrivain adopta une écriture fragmentaire qui n’est pas sans lien avec sa longue pratique de la citation dans son activité quotidienne de lecteur : partant du principe que de toute façon, dès lors que l’on isolait une phrase de son contexte originel, on trahissait l’auteur, il recopiait moins qu’il ne paraphrasait.Blanchot_m

Ce qui ne m’a pas empêché de le crayonner. Mais le recueil est d’une telle qualité, d’une si puissante densité, d’une exigence intellectuelle si bien tenue du début à la fin, les articles originaux sur ce que lui doivent de jeunes écrivains (Tanguy Viel, Marie Darrieusecq, Leslie Kaplan) y font si naturellement écho aux souvenirs plus ou moins connus des grands anciens (Roger Laporte, Maurice Nadeau, Georges Bataille), les lettres déjà publiées complètent si opportunément d’autres totalement inédites. L’ensemble est d’une acuité et d’une intensité si fécondes !

Il y a des morceaux magnifiques sur le silence dans la Bible ( à propos du Livre de Job, bien sûr). En creux, c’est aussi la révélation, ou la confirmation, d’un portrait de Maurice Blanchot qui se dégage. Tous les Blanchot en un seul. Sans oublier l’homme, dont on savait si peu (seuls les cyniques voulurent y voir une stratégie : disparaître pour mieux apparaître), l’homme au visage inconnu dont ce Cahier de l’Herne publie pour la première fois des photos intimes ; l’homme qui avait la religion de l’amitié, pas nécessairement en face à face ou téléphonages mais disons l’amitié épistolaire (Edmond Jabès, Robert Antelme, Jean Paulhan). On découvre le cinéphile au calendrier bloqué il y a … un certains temps (Bergman, Ozu, Murnau, Ophuls, Welles) pour qui le cinéma français semblait se limiter à Casque d’or et aux Enfants du paradis. Le journaliste, le critique, le romancier, l’intellectuel, tous résumés par une même faculté inébranlable de refus, de rébellion, d’insurrection, d’insoumission. Dans les grandes lignes et dans le détail. A une enquête japonaise qui lui demandait s’il s’intéressait au roman policier, il explicita son « non » en une poignée de mots : « Il y a déjà trop de police dans notre société ». Sa manière d’être encore un homme contre, même dans ce qu’il appelait « le communisme de pensée » ou « le communisme d’écriture ». A cet égard, on ne perd pas son temps à visionner ce numéro d' »Un siècle d’écrivains » qui lui avait été consacré, film de Hugo Santiago écrit par son biographe Christophe Bident, un exploit s’agissant d’un écrivain qui aura mis tant d’énergie dans sa volonté d’effacement.

Cela va du maurrassien convaincu de l’entre-deux-guerres à l’homme qui demeurait hanté par le génocide juif au soir de sa vie (exactement comme Marguerite Duras) jusqu’à rompre dans les années 70 avec ses amis d’extrême-gauche par sa volonté de soutenir Israël jusqu’au bout (comme s’il voulait expier encore son pêché de jeunesse, celui qui jugeait à la fin que l’antisémitisme, serait-il délirant, restait « la faute capitale »), en passant par celui qui avait appelé les jeunes appelés à ne pas se soumettre pendant la guerre d’Algérie. L’un avait écrit des articles antisémites, antiparlementaires, antidémocrates, antirépublicains appelant de ses vœux une révolution violente, seule capable, avec les secousses sanglantes du terrorisme, de réveiller une nation aveulie (1937) ; l’autre avait été l’un des principaux rédacteurs du fameux « Manifeste des 121 » ; l’autre encore partout dans Paris en mai 68 puis à Flins. A ses yeux, ceux d’un homme tout entier animé par « la passion politique » et qui le demeura tout en enjoignant les écrivains à mettre l’actualité à distance, afin que leurs écrits n’en fussent pas corrompus, il était évident que la Révolution n’avait jamais lieu une fois pour toutes.

L’ensemble de ses écrits rassemblés ici en une mosaïque, conjointement à une série de témoignages confrontés à des documents, offre un tableau très complet de la pensée de Maurice Blanchot. Impossible ici d’entrer dans le détail de chacune des facettes explorées. On se contentera de saluer plus précisément le coup de projecteur donné à son activité de critique. L’un des plus pertinents et des plus aigus en langue française. Ses critiques (des chroniques littéraires, disait-il) ne nous renseigne pas que sur les livres qu’il traitait, sur ses exigences formelles, son côté partisan dans le choix de la subversion littéraire avec les refus qui lui BqQZnk5CQAA8cyX.jpg-largefont cortège (contre le positivisme et le réalisme littéraires, contre toute tentation mimétique vis à vis du réel, contre toute tentation biographique sauf pour Goethe dans Faux-Pas), son entredeux permanent entre le sens et le sensible et son goût, pourtant, des histoires ; ses critiques dévoilent en creux son art poétique, son absolu de la littérature, sa conception de l’écriture comme activité aussi vaine que nécessaire, seul moyen d’opérer la jonction entre le vide que l’écrivain a en lui et le silence vers lequel il tend quitte à ne le connaître jamais que par ouï-dire. Incroyable ce que ce grand critique a fécondé comme vocations de critiques et d’écrivains, pour ne rien dire des lecteurs qui lui doivent d’avoir ouvert les yeux sur un livre (Kafka ou Des Forêts, peu importe) dont le sens leur aurait échappé sans l’incitation de Blanchot, avec en sus la sensation inédite de comprendre pour la première fois Le Château ou Le Bavard après les avoir pourtant maintes fois lus. Peut-être parce qu’ils ne le virent jamais comme un théoricien mais comme un penseur de la littérature.

Ni journaliste, ni universitaire, entre les deux. La contribution de Gérard Macé ouvre des perspectives fascinantes malgré sa brièveté ; peut-être son absence de complaisance dans l’admiration y est-elle pour quelque chose ; il a mis la focale tant sur ses paradoxes (un auteur engagé qui ne fut jamais un personnage public) que sur ses contradictions (comment peut-on devenir le meilleur ami à vie d’Emmanuel Levinas l’année même où l’on adhère à l’Action française (dédicace : « A Emmanuel Levinas, avec qui, depuis quarante ans, je suis lié d’une amitié qui m’est plus proche que moi-même : un rapport d’invisibilité avec le judaïsme »); Macé fait d’ailleurs remarquer que ce sont surtout ses épigones qui ont tenté de nier son passé d’extrême-droite avant-guerre (violentes diatribes antisémites contre Léon Blum, entre autres) et sa collaboration aux feuilles de la Révolution nationale sous l’Occupation, fut-ce pour des chroniques strictement littéraires ; in fine Gérard Macé formule un regret, tout en rappelant que Blanchot, au contraire de Cioran, avait toujours été antihitlérien : 

« Qu’il n’ait pas cherché à comprendre davantage, du moins dans ses livres, ce qui lui était arrivé. Ne se soit pas demandé en quoi consiste une intelligence qui ne protège pas du pire, à quoi sert un esprit critique, si pertinent et si gin, s’il ne préserve pas des dérives les plus contestables ».

On dira : air connu, à l’extrême-gauche comme à l’extrême-droite. N’empêche… Rarement un écrivain aussi constamment et authentiquement en retrait de la scène littéraire aura été aussi présent dans le paysage littéraire. Surtout un écrivain dont l’empire en France et à l’étranger n’a pas été diminué par sa réputation d’hermétisme, d’obscurité, de difficulté d’accès, la faute aux philosophes qui l’ont accaparé aux dépens des littéraires, rendant son œuvre encore plus cérébrale et abstraite qu’elle ne l’est, remarque Jean-Benoît Puech. Dominique Rabaté le reconnaît, singulier aveu venant de l’un des maîtres d’œuvre du recueil, aveu qui réconfortera tous ceux qui, un jour ou l’autre, sont ressortis désemparés d’un paragraphe, d’une page, d’un chapitre, sinon d’un livre signé Maurice Blanchot. Il est vrai qu’il n’a cessé de (se) poser des questions (l’une surtout : « Comment la littérature est-elle possible après tout ce qui s’est passé ? ») quand tant de lecteurs sont avides de réponses. Qu’est-ce qui vaut la peine d’être transmis si ce n’est justement l’intransmissible ?  Lui écrivait pour « amener à la surface quelque chose comme du sens absent », révéler l’invisible, vocation de ces artistes qui nous amènent au bord vertigineux du monde, de Goya à Paul Celan.

Il s’est éteint chez lui au Mesnil-Saint-Denis, place des Pensées, en lisant un texte de Paul Valéry, Les escaliers de Chambord de Pascal Quignard et Rosemary’s baby d’Ira Levin. A sa mort il était difficile de ne pas penser, et de ne pas relire encore et encore, ce petit texte d’une beauté minéral L’instant de ma mort dans lequel il évoquait « le bonheur d’être presque fusillé » le 20 juillet 1944. Il fut finalement incinéré non sans avoir précisé au fil de ses différents testaments que l’on pouvait l’enterrer n’importe où dans le monde sauf à Devrouze (Saône-et-Loire). Là où il avait vu le jour quatre-vingt-dix années plus tôt.

(« Emmanuel Levinas et Maurice Blanchot, assis sur le capot, étudiants en philosophie à Strasbourg » ; idem ; « Maurice Blanchot » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 371 Réponses pour Maurice Blanchot l’insurgé

bérénice dit: à

..j’en ai bu.. bouguereau

Vous ne vous êtes jamais vraiment remis Rémi, Beaucoup, certains quelques unes s’interrogeaient sur l’origine de la pensée chez vous, en fait elle est née d’un gadget dans le frigo, voili voilou

lambda dit: à

« Tarski, de Putnam, de Kripke, d’Austin ou de Quine… »

Hamlet!Foin de ces philosophes logiciens amerloques ici!ce blog est Français,on s’y exprime en Français ,on y pense Français,les plus assidus commentateurs sont Français,prof est Français,grincheux est Français,simplet aussi,même abdel!la philosophie est Française et widegrenier,son parfait exégète, est Français!Nom de dieu.

bérénice dit: à

Hamlet je tente de comprendre un article sur la philosophie du langage, en voici un passage aussi clair que de l’eau de roche/

Le modèle du système sans sujet

Si la langue est un système sans « sujet », il faut remettre en question le primat du sujet que la philosophie occidentale affirme depuis Descartes, Kant et Fichte et que la phénoménologie husserlienne a réactivé sous le signe de la conscience intentionnelle, de la réduction et de la constitution. Loin de constituer le sens, le sujet est lui-même institué par le langage. Comme la société, l’homme est le produit du langage plutôt qu’il n’en est l’inventeur. On peut alors se demander si le primat du sujet, l’apologie de l’homme en tant que conscience et moi, et tout l’« humanisme » moral et politique qui s’est greffé sur cette emphase de la subjectivité, ne dessinent pas simplement une idéologie relativement récente et déjà décadente. Les intentions des locuteurs sont seulement des effets de surface par rapport au jeu profond du signifiant et du signifié dont les déplacements se situent dans la région anonyme de la langue. Un curieux retour à Spinoza est ainsi dessiné par cette apologie du système aux dépens du sujet ; comme chez le philosophe de l’Éthique, la connexion des idées et celle des choses ne sont pas l’œuvre de quelque cogito ; la réflexivité est plutôt un effet secondaire de cet enchaînement.

bérénice dit: à

Suite:

. Cet antisubjectivisme, qui prolonge l’antipsychologisme de la linguistique structurale, suffit à distinguer le structuralisme de tout idéalisme ; ou plutôt le système impose des catégories qui récusent l’opposition du sujet et de l’objet dans laquelle se meuvent précisément Descartes, Kant et Husserl. C’est pourquoi une interprétation de Marx, dans l’esprit du structuralisme, parallèle à l’interprétation lacanienne de Freud, a pu être articulée par Louis Althusser. Dans Pour Marx (1965), il dissocie le marxisme de la maturité de la philosophie du jeune Marx qui est encore une anthropologie philosophique fondée sur la revendication de la subjectivité aliénée ; le marxisme proprement dit procède de la « coupure épistémologique » à l’égard de tout « humanisme » et s’établit sur la base d’une science des structures, des forces et des formes, qui, à l’instar de la sémiologie des mécanismes inconscients, ne requiert aucune conscience constituante, aucune subjectivité, aucun Cogito. Le marxisme « structuraliste » s’oppose diamétralement au marxisme « existentiel » de Sartre dans les « Questions de méthode » qui ouvrent la Critique de la raison dialectique (1960). Le même antisubjectivisme conduit également à un antihistoricisme décidé, comme l’atteste la polémique contre le même ouvrage de Sartre à la fin de La Pensée sauvage de Lévi-Strauss

bouguereau dit: à

Hamlet je tente de comprendre

d’où l’interet de boire du pif angliche bien lambrissé biroute de béré..et puis..attends que zouz te parle de ce scandal tiercelin au collége de frankreich..par ailleurs ça n’est qu’accessoirement une philosophie américaine..ce sont eux qui parlé en premier de « continental philo »..ou de frankreich thinking..des conneries de texan complexé

renato dit: à

bérénice, vous mettez le texte dans le microonde 6minutes à 850, puis vous voyez si à la fourchette il se présente bien…

Blanchot tient-il la route? dit: à

renato, le spécialiste de la pensée sous vide?

Béné dit: à

On n’est ensemble décidément! Quand j’ai un livre dans mes mains, je le respecte, j’en prend autant de soin que possible. Jamais de stabilo, évitons les cornes et les taches de café. Quand cela se produit, ce qui ce produit forcément, je suis désolée et embêtée parce que si un jour quelqu’un devait lire les même livres que moi, alors il devra être comme moi, dans la découverte.
Tous ces stabilos, on en a marre, ces passages obligés, raz le bol, on veut la paix et tous vos stabilos n’intéressent plus.

MCourt dit: à

Ce qu’Hamlet veut dire avec l’ironie qui est la sienne, c’est que Nietzsche est devenu le philosophe du Café du Commerce. Interrogez en dehors de vos chaires un jeune sur la philo.Je ne dis pas la philosophie, qui upposerait de quoi on parle. Pour lui, ce n’est ni Platon, ni Aristote, c’est Nietzsche.
Mais si tout le monde se réfère au meme, au delà des chères enceintes universitaires, dans un gloubi-glouba de Philo sans nom cela pose problème.Vivons-nous dans un monde de Nietzchéens? Si ouiDevons-nous nous en réjouir?
Le sérieux qui étouffe la mauvaise langue, joint à ses penchants pour les Autorités de l’Alma Mater , l’empeche d’appréhender le problème sous cet angle. C’est dommage. Ce n’est pas parce qu Hamlet aborde les choses ave humour qu’il a nécessairement tort. Mais l’humour et la mauvaise Langue forment un couple impossible.
Dommage.
MC

renato dit: à

« j’ai un iPad…meme que c »est Steve Job, un dont duquel le pere est Syrien… »

Ah, là, abdel ! je n’ai lu le post que maintenant, mais il faut que je vous remercie pour le bon moment qu’il m’a donné car le père biologique était Syrien, c’est vrai, ma la mère était Suisse ; et il fut élevé en bon luthérien par ses parent adoptifs… en bon luthérien… avec tout ce qui va avec… enfin, le comique : vous semblez vivre dans un monde où seul compte l’acte physique de la reproduction…

renato dit: à

« le spécialiste de la pensée sous vide? »

Un minimum de concision ne peut pas faire du mal, mais c’est vrai que si l’on veut sembler intelligent on pond une potée qui plaira au public qui aime sembler intelligent — il semble que dans certains environnement on drague avec…

bouguereau dit: à

Abdeladolf, z’avez toujours pas balancé votre ordinateur truffé de technologie sioniste? Vous êtes un faux derche!

gaga répondait à ça rénateau..ta remarque en différé schlingue pasque tu nous fais croire que tu la sors du micro onde..foireux

bouguereau dit: à

C’est dommage. Ce n’est pas parce qu Hamlet aborde les choses ave humour qu’il a nécessairement tort

keupu outre d’être un pousse cuillou il est con comme un manche..si tu n’as pas le sens de tel nuance tu cours à l’accident

renato dit: à

Bon, je l’ai sortie du micro onde… foireux, et alors ?

renato dit: à

« si tu n’as pas le sens de tel nuance tu cours à l’accident »

Mais c’est l’aspect amusant du jeu !

Passou dit: à

Pan sur le bec ! Mille excuses. Ce Cahier de l’Herne parait effectivement dans un peu plus d’un mois. Moi qui ai toujours eu pour règle de ne pas parler des livres avant qu’ils ne soient disponibles en librairie… A ma décharge, la mention de la date de parution sur la prière d’insérer est minuscule et peu explicite.

Nuance, (est-ce qu'il en faut?) dit: à

bouguereau dit: 27 juillet 2014 à 21 h 56 min

C’est dommage. Ce n’est pas parce qu Hamlet aborde les choses ave humour qu’il a nécessairement tort

keupu outre d’être un pousse cuillou il est con comme un manche..si tu n’as pas le sens de tel nuance tu cours à l’accident

Un illettré vous l’explique.

bouguereau dit: à

foireux, et alors ?

mais gaga il a bien l’droit d’jouer et d’s’amuser ici comme n’importe qui..’bourré de technologie sioniss »..surtout bourré oui

bouguereau dit: à

botte en touche rénato..faux derche

bouguereau dit: à

Un illettré vous l’explique.

mon copin baltringue à la rescousse..l’équipe des pousse cailloux a casquette de baisebol au complet?

bouguereau dit: à

« j’ai un iPad…meme que c »est Steve Job, un dont duquel le pere est Syrien… »

et voyez vous je trouve pas mal de retenu dans sa réponse et comme une lassitude aussi..et d’être allé la rechercher comme ça l’air de rien..c’est assez écoeurant..

renato dit: à

« botte en touche rénato..faux derche »

Je fais ce que je peu avec le peu que j’ai, c’est ça le sport, faux derche me semble donc inapproprié…

renato dit: à

« a casquette de baisebol »

Puisque personne n’a encore sorti sa batte… enfin… puisque je ne vois pas de battes, ça peut aller…

bouguereau dit: à

oui oui..et moi je ne suis qu’un petit célinien..pas bien grave hin ? cqui compte c’est pas les mots ni la langue ni les démonstrations mais d’où elle viennent..excellente philosophie

renato dit: à

Parfait.

Nec plus ultra dit: à

« le spécialiste de la pensée sous vide? »

Ce qui veut dire de la pensée réchauffée, renato.

Nuance, (est-ce qu'il en faut?) dit: à

bouguereau dit: 27 juillet 2014 à 22 h 15 min

cqui compte c’est pas les mots ni la langue ni les démonstrations mais d’où elle viennent

Pauvre gars.

renato dit: à

Faut-il répondre ? Pas nécessaire…

Ok, faut suivre dit: à

bouguereau dit: 27 juillet 2014 à 21 h 52 min

Un sérieux indice pour : oui.

renato dit: à

Déjà répondu.

Retour du breakophile dit: à

Nuance, (est-ce qu’il en faut?) dit: 27 juillet 2014 à 22 h 20 min

Eh oui, c’est l’heure de Chaloux.

lecteur du blog dit: à

Cet article de P. Assouline aura eu le mérite, en ce qui nous concerne de relire certains textes de Maurice Blanchot en attendant de lire ce Cahier de l’Herne.

lecteur du blog dit: à

de relire = de nous faire relire.

Sergio dit: à

Passou dit: 27 juillet 2014 à 22 h 01 min
la mention de la date de parution sur la prière d’insérer est minuscule

Ha voilà il faut un monocle comme Max Jacob, Saint-Loup et Rauffenstein…

bérénice dit: à

..c’est assez écoeurant..

Non c’est bien articulé, la jointure est discrète comme une c…..e de la paire de laquelle elle est une et invisible

D. mais le vrai cette fois_ci dit: à

Contrairement à ce que j’ai pu lire précédemment je n’ai jamais piloté de soucoupe volante, par contre j’ai bel et bien été préparé à en piloter une dans le cas où l’opportunité de saisir de nouveau un de ces engins se présenterait.
Le pilotage manuel n’est d’ailleurs pas possible à tel point l’instabilité naturelle de ces engins est grande. Nous utilisons une interface de pilotage automatique,conçue selon un diagramme particulier que je ne vous livrerai pas.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…encore, des ivrognes sur un clavier,…en revenant du billard,…souvenirs des boules rotatives sur un tapis essoufflé à rien faire, comme spéculateur avertis donner dans la dérision!,…
…les crocodiles en larmes!,…près des sources,…des lectrices radieuses,!…
…les affaires bien en mains,!…
…il faut choisir ,…recto ou verso,!…
…ne réfléchissez pas trop,…je compte jusqu’à 5,…les yeux fermés,…je tire sur les boules,…attention au tapis ( plastifier ),…pour la parade,…

…encore un con, qui délire plus que l’autre,…Ah,!…Ah,!…Bip, Bip,! ETC,…
…envoyez,!…c’est en cour!,…

l'intellicon dit: à

Un peu de respect pour les ivrognes, s’il vous plaît.
Sans les soûlards, la sobriété serait une erreur!
Foi d’Ozymandias, l’intellicon !!!

Widergänger dit: à

M. Court a les interprétations qu’il peut, le pauvre !

Toujours aussi mauvaise langue…

aher de bassan dit: à

Le philosophe marxiste Slavoj Žižek accusé d’avoir plagié un magazine prônant la suprématie blanche sur slate

JC..... dit: à

C’est décidé !

Je vais me mettre à injecter des liens déments dans mes commentaires, à la façon de Mêmer de Bassan, prolixe, inventif, monstrueux, dans sa nuit sans étoiles.

On n’y comprend rien, ça sert à rien, mais ça a de la gueule … bien dans l’air du temps.

JC..... dit: à

Travailler un livre au Stabilo, c’est vandalisme. Tatouer un corps humain, idem : souillures !

JC..... dit: à

Exciser, circoncire, botoxiser, siliconer sont manipulations inutiles, violentes, obscènes !

JC..... dit: à

Lire n’apportera jamais autant de satisfaction que boire lorsqu’on a soif…
(Correspondance Paul Ricard – Amedeo Cinzano, 1954)

JC..... dit: à

A la réflexion, les liens sont souvent plus intéressants que les commentaires … Stoppons net.

Nuance, (est-ce qu'il en faut?) dit: à

« Mojito. Boisson – Très facile – Bon marché . »

Dis-moi ce que tu bois, je te dirai…

Onésiphore de Prébois dit: à

Nietzsche est devenu le philosophe du Café du Commerce (MC Court)

Nietzsche n’est le philosophe du Café du Commerce que pour les habitués du Café du Commerce.

renato dit: à

Energy=MilkC²ofee

milou dit: à

définition rapide du verbe rabâcher : bouguereau (rot) !

Mélomane lubrique..... dit: à

Jacky,
je crois deviner qu’elle ne porte pas de culotte non plus …
(j’ai le goût des blogs littéraires…)

bouguereau dit: à

Lire n’apportera jamais autant de satisfaction que boire lorsqu’on a soif…
(Correspondance Paul Ricard – Amedeo Cinzano, 1954)

excellent jicé..si tu synchronisais un tel opus avec la sortie de clopine « et pour une poignée de gravier »..je prédis une rentrée littéraire copernicenne..creuse moi ça, on fait un tour de table et t’es édité à l’hunanimité a compte d’auteur pour financer les moritos..la gloire suivra

bouguereau dit: à

Sans les soûlards, la sobriété serait une erreur!

paul ricard – charles pasqua 1965
un 4 mains avec ozy ?

bouguereau dit: à

Nietzsche n’est le philosophe du Café du Commerce que pour les habitués du Café du Commerce

..quand jean marron fait le situ ça décoiffe

JC..... dit: à

Boug,
Ma « Correspondance Ricard-Cinzano » fait un malheur dans les bonnes librairies. Je suis actuellement en écriture sur une « Conversation de l’âne et du corps » qui se passerait en Normandie… Préface de Michel Onfray.

bouguereau dit: à

Dis-moi ce que tu bois, je te dirai…

« concierge descendant l’escalier »

bouguereau dit: à

« Correspondance Ricard-Cinzano »

l’idée est trés bonne

JC..... dit: à

Tu n’aimes pas mon idée de livre érotique, fermier, et normand ?

bouguereau dit: à

le marquettingue c’est un package, faire corps avec son destin!..calcule janséniste : pense à djonny !..c’est clopine la wanabi sodomite..toi c’est cinzano..en pyjama rayé jaune et noir pour les signatures!

bouguereau dit: à

« qu’as tu fais de ton talent » qu’il va dire saint pierre à clopine..ha elle aura pas l’air conne

JC..... dit: à

Clopine, elle s’aime trop pour aimer les hommes. C’est pour ça qu’elle raffole des ânes, des philosophes, des artistes, des femmes, des proustifondues, et des tafioles à jupon !

C’est pas Saint-pierre qui l’orientera direct en Enfer…un stagiaire probablement suffira.

bouguereau dit: à

évidemment sinon la plume ne lui démangerai pas (note clopiiiiine )..en tout cas si elle rend son talent impecabe sans plus value a saint pierre..je te dis pas le cercle de l’enfer dantex ou qu’il va l’envoyer

bouguereau dit: à

..c’est qu’il relève les compteurs saint pierre

bouguereau dit: à

et toi pense a ton pyjama..saint pierre y rajoutra un numéro comme un rapetou

JC..... dit: à

Je te le dis à toi, mais va pas le répéter à n’importe qui : Saint-Pierre, il en croque !

T’apportes quelques douceurs au miel quand t’arrives, discretos, ni vu ni connu : il t’envoie où tu veux.

Tout s’achète.

JC..... dit: à

A dire vrai, il faudrait être fou pour ne pas demander Les Enfers, et préférer le Paradis !

On se souviens que le dortoir du Premier Cercle de l’Enfer est sympa ! Il est actuellement occupé par quelques personnalités intéressantes : Homère, Horace, Ovide, Lucain, Électre, Hector, Énée, César, Camille, Penthésilée, Latinus, Lavinia, Lucius Junius Brutus, Lucrèce, Julia, Marzia, Cornelia, Saladin, Aristote, Socrate, Platon, Démocrite, Diogène de Sinope, Anaxagore, Thalès, Empédocle, Héraclite, Zénon d’Élée, Dioscoride, Orphée, Cicéron, Linos, Sénèque, Euclide, Ptolémée, Hippocrate, Avicenne, Galien, Averroès.

Autre chose que Saint-Bernard et tous les autres couillons de Saints, qui s’emmerdent en Paradis comme gazaouis enfermés par les Hamas !

renato dit: à

« T’apportes quelques douceurs au miel quand t’arrives, discretos, ni vu ni connu : il t’envoie où tu veux. »

Quoi, «… pas le répéter à n’importe qui » ? Tout le monde le sait, on appelle ça « route de velours »…

JC..... dit: à

Renato,
Qu’est ce que tu choisis toi ? Enfer ou Paradis ? Allez fait pas ton honnête homme : viens avec nous en Enfer !

renato dit: à

Le père du Faussaire crée par Gaddis était pasteur, et à un moment il s’était mis en tête qu’il faillait convertir les Natifs, lesquels lui demandèrent la garantie qu’ils seraient allés en enfer car le paradis était vraisemblablement un lieu ennuyeux.

Sans vergogne dit: à

Que de discussions oiseuses et misérables à la fin!

JC..... dit: à

Ce qu’il faut éviter à tout prix, ce sont les Derniers Cercles de l’Enfer, là où croupissent les sodomites, les coléreux, les hypocrites, les traîtres.

Vous imaginez l’Eternité, avec Taubira comme voisine vociférante ? Brrrrrr…. !

renato dit: à

Oiseuses peut-être ; mais pourquoi misérables, au juste ?

Cela dit, étant donnée la quantité de conjectures relatives à son nom, en Enfer on peut demander son opinion à César…

Sans vergogne dit: à

Des auto-satisfaits du bocal qui crachent sur Blanchot. Parlent-ils ainsi dans la vie réelle?

WS dit: à

en enfer, prostituées, critiques littéraires,éditeurs partis avec la caisse,le gratin de la télé , maffieux,la classe!

Sans vergogne dit: à

Un style au cul de plomb ces chaisières!

Ils n' ont pas lu Blanchot dit: à

Un style au cul de plomb ces chaisières!

c’ est-à-dire règne à taux j’y sais?

renato dit: à

« en enfer, prostituées, critiques littéraires,éditeurs partis avec la caisse,le gratin de la télé , maffieux,la classe! »

Vous faite erreur là, tous ces gens sont au paradis : la route de velours ne sert qu’à ça…
Je ne comprends pas pourquoi vous mettez les prostituées dans le lot, mais c’est vrai : chacun ses opinions.

Ils n' ont pas lu Blanchot dit: à

Quand ce n’ est pas chaloux/bouguereau, c’ est renato/JC, y’ en a marre de perdre du temps à sauter leurs inepties!

renato dit: à

Wow ! il y en a un qui arrive à jouer avec les sons, même…

renato dit: à

L’origine du nom de Jules César ce n’est pas une ineptie… le Faussaire de Gaddis non plus — bon, vous n’avez peut-être pas lu ce livre-là, vous devriez…

JC..... dit: à

Sans vergogne dit: 28 juillet 2014 à 11 h 13 min
« Des auto-satisfaits du bocal qui crachent sur Blanchot. Parlent-ils ainsi dans la vie réelle? »

Votre commentaire sent lui-même l’autosatisfaction ecclésiastique Tupperware béni …

N’ayant jamais lu Blanchot, j’attend la livraison d’Amazon, jeudi, pour le lire. Pourquoi cracher sans vergogne sur un inconnu au cou de héron comme Blanchot ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…d’une case à l’autre,…
…arriver à être de choisir  » les à placer sur les noirs-d’enfers,…des autres à placer sur les blancs-paradis « ,…
…du théâtre,…pour marionnettes de rôles,…
…du monopoly,…aux cases du jeux de l’oie,…
…les foutaises,…pour cadrer ses interlocuteurs sur l’échiquier ( groupir ),
…les monologues,…des pièces humaines vous en êtes de l’âme,…qui me place & me déplace!,…les rayons de soleil, les fruits de ma région de naissance,…somme nous programmés,…d’une poupée,…une autre identique,!…
…à Oui,!…je préfère celle qui à vécue et partagée, mes valeurs,…donc, les multiples de soie,…pour faire grands corps,…
…de la grenouille pour faire vache,…et ou de la vache, se retrouver en grenouilles,…

…comme, vous n’avez rien à vous mettre, ce matin,…service,…de prestidigitation,…sous la douche d’esprit d’Ô,!…la boucle pour finir son moi, de la nuit d’enfer,!…aux gay’s lurons,…
…encore,…etc!,…

renato dit: à

« Parlent-ils ainsi dans la vie réelle? »

Je répète : il n’est pas réel le temps que l’on consomme ici ?

Et puis, vous êtes novice ou vous avez changé d’imperméable ?

JC..... dit: à

Michel,
Ce sont des connards comme Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, qui ont bâti les fondations de la guerre de religion à venir, avec leur politique Eurabia !

Dans 20 ans, nous aurons une Saint-Barthélemy médiatique, villes et campagnes !

Je ne veux pas rater ça …

WS dit: à

renato, je mets les prosituées parce que je les aime beaucoup.c’est vrai que dans la Bible, elles ont souvent un rôle épatant, et les evnagiles leur font une place de choix. j’espère que je serai aussi avec quelques patrons de bistrot qui vendaient de la bibine trafiquée.

JC..... dit: à

Gianni, tu choisis quoi ? Enfer ou Paradis ?
(où crois-tu que l’Inoxydable se trouve…)

Ils n' ont pas lu Blanchot dit: à

JC et sa tête à claques, petit provocateur de rien que l’ on va laisser ici avec son clown blanc renato.
( Un peu de pratique sportive vous ferait du bien!)

Widergänger dit: à

Blanchot, « Du côté de Nietzsche » (in La Part du feu) :
« La Mort de Dieu est moins une négation visant l’infini qu’une affirmation du pouvoir infini de nier et de vivre jusqu’au bout ce pouvoir. On peut dire que, dans la Mort de Dieu, ce n’est pas l’athéislme qui compte (positif ou non), mais l’expérience de l’homme comme liberté ou, plus eactement, le fait que dans une seule et même expérience se dévoile l’absence de tout recours à un être inconditionné et la structure de la liberté humaine comme pouvoir inconditionné de se séparer de soi, d’échapper à soi, de se dégager par une contestation infinie. »

Ce faisant, ajoute-t-il, « la transcendance le hante, comme ce qu’il doit surmonter sans cesse pour être libre. »

Bien vu !

JC..... dit: à

J’en parle par ouï-dire : les courtisanes du sexe, vos putes, ont plus d’humanité que bien des femmes de bien …

UN devrait créer un Peace Corps humanitaire, spécialisé conflits religieux africains : cela diminuerait l’usage fait des jeunes chrétiennes nigérianes… !

renato dit: à

Ah ! non ! je suis un clown blanc qui a lu Blanchot…

Ils n' ont pas lu Blanchot dit: à

Merci Widergänger de revenir au sujet contrairement à ces deux plastronneurs de kermesse religieuse!

renato dit: à

Mais ‘plastronneur’ vous-même puisque vous vous protégez derrière une nécessité fictive.

bouguereau dit: à

« baltringue en souillon puant la javel »

paul edel dit: à

oui, abrasif sur Nietzsche, loyen sur baudelaire, souvent excitant tres bien sur kafka

bouguereau dit: à

..l’odeur de sainteté a cheuloux

Quel cirque! dit: à

La gueule de clown enfarinée, toto!

JC..... dit: à

Wanderer,
Une question de nature informationnelle :
« Pourquoi Blanchot ne s’exprime t il pas plus simplement ? Déformation … technicienne ?… »

JC..... dit: à

« Ils n’ont pas lu Blanchot »

Lorsqu’on choisit un pseudo pareil…. uhuhuhu !

Qui a lu Blanchot? dit: à

Pourquoi Blanchot ne s’exprime t il pas plus simplement ? JC

Bonne question!

Widergänger dit: à

Je viens de comprendre en relisant cet article sur Nietzsche, que le titre de l’un de ses récits « Au moment voulu » vient d’une phrase de Nietzsche : « Meurs au moment voulu. »

Qu’il interprète ainsi :
« c’est d’un côté une simple apologie stoïcienne de la mort volontaire, mais qui en outre, dissimule une tentation angoissante, puisqu’elle me recommande l’impossible, liant ma décision à un moment que personne ne peut reconnaître, le meilleur moment, le moment voulu, que je ne pourrais apercevoir qu’une fois mort, en revenant sur l’ensemble de mon existence achevée, de sorte que finalement le choix du moment de la mort, suppose que je saute par dessus ma mort et que de là je regarde toute ma vie, me suppose déjà mort. »

renato dit: à

« La gueule de clown enfarinée… »

Un qui n’a pas lu les classifications de Fellini…

bouguereau dit: à

abrasif sur Nietzsche

..pas tellement..il le paraphrase et fait reluire son mauvais coté..littéraire..dla part d’un maurassien sur ce coup la c’est faible

Qui a lu Blanchot? dit: à

@JC
Citation liminaire à L’ Entretien infini :
 » Ce jeu insensé d’ écrire.( Mallarmé )

bouguereau dit: à

Lorsqu’on choisit un pseudo pareil…. uhuhuhu !

confond avec sa marque d’eau de javel..hin baltringue

JC..... dit: à

Tu souffres en naissant : tu souffres en mourant ! Le suicide est lâcheté.

Ne jamais oublier de vivre entre ces deux souffrances…

Widergänger dit: à

Sa langue est courante et non pas jargonnante, mais on a souvent du mal à comprendre ce qu’il veut dire exactement, c’est vrai. À mon sens, cela vient d’un défaut de penser. Chaque fois qu’il pense effectivement, sa langue est très claire.

bouguereau dit: à

confond la litérat’hur avec sa page de sudocu..l’esprit de l’escalier faut que ça brille hin ma concierge

Widergänger dit: à

Ne jamais oublier de vivre entre ces deux souffrances… (JC)

Facile à dire, difficile à faire !…

bouguereau dit: à

..et il faut peu de mot pour le dire dracul !
..mais c’est pas bon pour le biz

bouguereau dit: à

Facile à dire, difficile à faire !…

abeit mart frei dracul !

Qui a lu Blanchot? dit: à

Chaque fois qu’il pense effectivement, sa langue est très claire.

Comme cela arrive rarement…

renato dit: à

« Facile à dire, difficile à faire !… »

Faut vois comment on prend la chose…

bouguereau dit: à

Tu souffres en naissant : tu souffres en mourant ! Le suicide est lâcheté.

c’est une légende utile ça tombe jicé..toujours a casser du bon roué françoué

On purge bébé dit: à

Faut vois comment on prend la chose…

La main dans le sac, la main dans le sac.

bouguereau dit: à

Comme cela arrive rarement…

ton silence et d’or ma javel blanchot..mais quand même..tu daubes

Widergänger dit: à

« Cette notion nouvelle, que Hegel appelle la Chose même. (…) : le silence, le néant, c’est bien là l’essence de la littérature, « la Chose même ».  » (La littérature et le droit à la mort)

paul edel dit: à

Il n’y a vraiment pas de difficulté particulière à lire Blanchot. Aucune. simplement, parfois il fait son grand théologien et s’emmêle les pinceaux dans sa dialectico- théologie. Personnellement j’apprends beaucoup plus avec les journées de lecture de Nimier, drôle, léger, percutant, pas universitaire (nul n’est parfait…) , primesautier, babillard, moqueur mais aigu et fin sur simenon sur faulkner, stendhal,sainte Beuve ou Maurice Scève surprenant et juste sur Paul Valery, notamment dans le volume « l’élève d’aristote ».

Clopine Trouillefou dit: à

… Parfois, quand une pensée est complexe, (ce qu’on entend souvent par « profonde », en une métaphore à mon sens inexacte), le discours ne peut être simplifié. Je connais bien l’injonction de Boileau, mais pourtant… En ce sens, Onfray a tort, quand il démonte en éléments simples ce qui ne peut pourtant se concevoir que dans sa totalité complexe. (je pense à Nietzsche, of course). Mais il a aussi raison d’un autre côté :

bouguereau dit: à

mais on a souvent du mal à comprendre ce qu’il veut dire exactement

le sait il lui même..mais ça fait rien y’a comme des pshiit crack et boum..et tout ça dans une espèce de fumée qu’un concierge comme cheuloux srait dépaysé dans son prope escalier..prope prope..ça bosse pas beaucoup

bouguereau dit: à

Mais il a aussi raison d’un autre côté :

c’est crypté clopine..

Widergänger dit: à

Ce qu’il ne voit pas, Blanchot, c’est que l’œuvre est travaillée à la fois par l’idéal et par l’échec. Cette tension est dynamique. Elle est à l’œuvre notamment dans les poèmes en prose de Baudelaire perpétuellement pris entre un idéal et un échec. C’est la tension même de la vie.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…J.C….à 11 h 36 mn, Gianni,…tu choisi, quoi!,…

…c’est vraiment le genre de choses, qui est au dessus de nous,…auquel nous n’avons aucune prise,…et les valeurs sont glissantes,…

…en restez dehors,…entre les portes,…ou un pied au paradis et l’autre plus au chaud au soi-disant enfer,…

…l’opinion du juge, sur des faits que l’on ne se reconnait pas,…pour vous enlever votre liberté,…doit aussi allez se faire juger,…dans le choix qu’il détermine au créatures, les siennes ou s’il s’en fiche aussi des autres,…Ah!,…Ah!,…

…sur un échiquier à placer!,…à l’envers,…une technique d’aimants sous les pièces,…déplacements automatiques par de très simples faits,…les rayons de soleil,…les mouvements par l’électrostatique aux points de rester objectif,…

…et, puis, les blocages indéterminés, pour les évolutions à maintenir,…un vrai cerveau,…

…çà doit être du bouleau,…de tous laisser faire,…et se faire à l’idée que le normal, c’est de ne plus exister, qu’entre le choix entre deux portes,…autant relier les deux portes ensembles par à coups pour atténuer les différences par un genre de parvis couvert,…

…déjà,…pour ne pas rester prisonnier, de pensées liées à son sort,…
…en être capable d’aller d’une porte à l »autre,… » à vous revoilà « ,!,…juste un moment,!…ils exagèrent à côté,…plein le cul,…
…Oui,…genre auberge espagnol, une cabane, un chalet en montagne!,…Alors tu descent nous rapporter des images-saintes,…encore!,…Mercure oblige,…le commerce à poils,!…
…Oui,!,…je vous prend comme çà à l’essai,…un ami en plus à toute heure sous la main,…Oui!,…c’est pas du Champagne sans bouchon,!…en fin de compte,…
…un âge à se déboucher son emploi!,…çà coule de source,…
…l’Ô, la source, les crocodiles,…se faire sa place,…d’une porte à l’autre,…çà baigne!,…allume le ventilateur,!…merci,!…etc!,…Ah,!Ah,!

milou dit: à

définition rapide du mot radotage : bouguereau (rot)

Widergänger dit: à

« Le mot me donne l’être mais il me le donne privé d’être » (Blanchot)

Dissertation en 6 heures !

géotrouvetout dit: à

« liant ma décision à un moment que personne ne peut reconnaître, le meilleur moment, le moment voulu, que je ne pourrais apercevoir qu’une fois mort, en revenant sur l’ensemble de mon existence achevée, de sorte que finalement le choix du moment de la mort, suppose que je saute par dessus ma mort et que de là je regarde toute ma vie, me suppose déjà mort. »

Autrement dit, une seconde avant sa mort il est encore en vie et il ne peut jamais considérer l’intégralité de son existence…pas besoin d’en faire tout un plat!

géotrouvetout dit: à

« La Mort de Dieu est moins une négation visant l’infini qu’une affirmation du pouvoir infini de nier et de vivre jusqu’au bout ce pouvoir. On peut dire que, dans la Mort de Dieu, ce n’est pas l’athéislme qui compte (positif ou non), mais l’expérience de l’homme comme liberté ou, plus eactement, le fait que dans une seule et même expérience se dévoile l’absence de tout recours à un être inconditionné et la structure de la liberté humaine comme pouvoir inconditionné de se séparer de soi, d’échapper à soi, de se dégager par une contestation infinie. »

Dostoievski disait mieux et plus clair: « si Dieu est mort, alors tout est permis! »…on a jamais dépassé cette phrase ni tiré toutes ses conséquences.

JC..... dit: à

Je veux bien que la pensée soit complexe … si elle n’est pas seulement « confuse » !!!

(Je vous préviens : s’il m’est impossible de terminer « Le livre à venir » du père Blanchot, ça va saigner pour que les conseilleurs soient les payeurs …)

Précision dit: à

milou dit: 28 juillet 2014 à 12 h 20 min

Salut Chaloux, alors on copie.

B comme BERLIN dit: à

« Widergänger dit: 28 juillet 2014 à 12 h 25 min »
Hypothèse
thèse
antithèse
synthèse.

4″ max.

J’ai bon ?…

Polémikoeur. dit: à

Meubler, intervenir,
ici, dans le commentarium,
en particulier, tension entre
la vie et la mort, choisie ou pas…
Question de l’existence, imposée,
car qui décide d’exister ?
Vaine, car qui peut décider
de ne pas cesser d’exister ?
Reste l’emploi de l’étincelle
qui marque un avant et un après
dans le même néant d’espace et de temps.
La société Apple vient d’acheter en loucedé
une start-up qui a développé un filtre lexical
et sémantique pour « analyser » les livres
et en livrer, sous forme de diagramme,
une sorte de fiche conseil de lecture,
à but commercial, bien sûr, dans le style :
« nos clients qui ont aimé (…/…),
nous ont aussi commandé (…/…) ».
Bref, une espèce de critique automatique.
Pas de souci à se faire, n’est-ce pas ?
C’est ce que tout le monde se dit. Avant.
Tout le monde, dont chacun(e) est irremplaçable,
au moins jusqu’à l’après.
En attendant, les compteurs, de mots, d’interventions,
de kilomètres, de secondes, crépitent
et forcent à piloter aux instruments
au lieu de coller le nez au hublot
d’un paysage qui ne passe qu’une fois.
Méditerriblement.

closer dit: à

« Did Marxist Philosophy Superstar Slavoj Žižek Plagiarize a White Nationalist Journal? »

Le philosophe marxiste slovène Slavoj Zizek soupçonné d’avoir plagié… un journal nationaliste blanc ! t.co/GCmWyK2ttO

Yes!

renato dit: à

« … une pensée est complexe… »

C’est une escroquerie ! Vaut, pour toutes pensées, l’observation de Michel-Ange : « Non ha l’ottimo artista alcun concetto / c’un marmo solo in sé non circonscriva / col suo superchio, e solo a quello arriva / la man che ubbidisce all’intelletto. ». Et vous avouerez qu’un bloc de marbre c’est une sacrée contrainte.

Et puis, enfin ! E=MC²…

bouguereau dit: à

Et vous avouerez qu’un bloc de marbre c’est une sacrée contrainte

sans doute que ça doit te faire mal au cul rénateau..mais c’est la vie

renato dit: à

« Le mot me donne l’être mais il me le donne privé d’être »

Là où ce type devient drôle c’est lorsqu’il dit suspecter Borges d’avoir découvert l’infini littéraire…

bouguereau dit: à

pour que les conseilleurs soient les payeurs …

tu vas pas nous faire une grève toudmême..mais rassure toi quand on s’est fait mettre on préfère dire que c’était bon..son égo en souffre moins il parait

JC..... dit: à

Avant de vous quitter – à regret mes petits choux, à regret – saluons ce lundi comme la Fête Nationale des Antifiscalistes : le moment, la date calculée, où le contribuable français cesse de travailler pour la « collectivité » gaspilleuse, gourmande et obèse, et commence à travailler pour lui …

Vous vous rendez compte si les familles nombreuses devaient réfléchir, être responsables totalement, AVANT d’avoir des gosses à nourrir !!! Quelle bonne et saine révolution mentale, et morale !

Ahahahaha !… Demain !

bouguereau dit: à

« si Dieu est mort, alors tout est permis! »

ha c’est pour ça les f16 ..ha ben merde

renato dit: à

« si Dieu est mort, alors tout est permis! »

Parce que lorsqu’il était « vivant » il arrivait à mettre un frein ?

bouguereau dit: à

« Le mot me donne l’être mais il me le donne privé d’être » (Blanchot)

fastoche dracul.. »le chat est noir » n’est vrai que si le chaten question est noir (couleur)..donc il faut une preuve une démo quelquechose quelqu’un un device pour vérifier..sinon vaut mieux se taire..
6lignes

bouguereau dit: à

6lignes

ecran pas grand

renato dit: à

« mais c’est la vie »

Enfin, bouguereau ! ce n’est pas comme le papier que si tu te trompes ce n’est pas grande chose… Là, on réfléchi avant de frapper… Et puis, t’as vu le prix au m² ?

bouguereau dit: à

ecran pas grand

bien sur je cite la les meilleures pages de la phi analytique..tu comprends pourquoi une vidéo d’un slavoï zizek en tshirt de métaleu parlant un anglais pourri..même s’il copie un peu ç sra toujours mieux..100fois mieux..1000..

bouguereau dit: à

Là, on réfléchi avant de frapper… Et puis, t’as vu le prix au m² ?

a carrare presque tout est fait pas des petites mains et des machines 3d

bouguereau dit: à

slavoï zizek en tshirt de métaleu

zozotant un anglais pourri..hail slavoï!

renato dit: à

« La seule chose qui n’a pas changé, et ne sera changera jamais, c’est l’anarchie totale et le désordre de mes méthodes. » Julio Cortázar

Clopine dit: à

Excusez-moi, j’ai été dérangée, je n’ai pas fini mon commentaire de commentaire… Je disais qu’Onfray, grand simplificateur, avait aussi raison d’un autre côté. Certes, il a toujours été impossible de démontrer, de prouver, que la somme des intérêts particuliers servait l’intérêt général, mais force est de constater que, dans la réalité, cela marche mieux que d’autres formules. Eh bien, il en est de même pour les pensées les plus complexes. On se doute qu’elles existent en-dehors de l’assemblage de leurs parties (si hétéroclite et contradictoire puisse-t-il être, comme ces charrettes de déménagement qui, jusqu’à l’apparition de l’automobile, contenaient un empilement disparate et invraisemblable, pourtant parfaitement univoque : l’équipement du foyer), mais cependant, on n’a rien trouvé de mieux pour pouvoir les appréhender qued’en dissocier les parties, comme on dissèque des tissus sous le microscope…

Renato, je sais que vous ne m’appréciez guère, mais cependant, j’en appelle à votre courtoisie : pourriez-vous traduire votre citation, s’il vous plaît, et la replacer dans son contexte ? Elle m’intéresse fortement…

renato dit: à

« a carrare… »

Ah ! mais ça c’est pour ceux qui n’aiment pas jouer… Cela dit, le prix au m² reste le même…

Polémikoeur. dit: à

Est-ce qu’une « pensée complexe » (à définir)
peut exister sans briques constitutives ?
Est-ce à dire qu’une pensée complexe
pourrait surgir « ex abrupto » ?
Faire fi du contexte et de l’historique
est-il concevable ?
La complexité n’est-elle pas une étape
vers la synthèse ?
Et si elle n’y parvient pas ?

renato dit: à

Clopine,

Sonnet I, À Vittoria Colonna, vers 1540.

Trad française courante : Un artiste éminent ne conçoit aucun sujet qu’un marbre ne puisse renfermer dans son sein. Mais seule y parvient la main qui obéit à l’intelligence.

Mais ce caractériel était bien plus précis — compte tenu que je ne suis pas traducteur : L’artiste éminent ne conçoit aucun concept / qu’un marbre ne puisse circonscrire / avec son pouvoir, et seulement à celui-là arrive / la main qui obéit à l’intellect.

Quant à apprécier, je n’apprécie point ceux qui emploient 14 mots là où 4 seraient suffisants…

Onésiphore de Prébois dit: à

Chaque fois qu’il pense effectivement, sa langue est très claire. (Widergänger)

Ce Widergänger, perfide, tu peux pas faire pire.

Vladimir Jankélévitch dit: à

« Simple, complexe, compliqué, confus représenteraient […] les étapes d’une aggravation progressive. »
« Entre simplicité et complexité, l’une purement et simplement simple, l’autre complexement simple, […] la différence n’est sans doute que de degré : […] la complexité aspire en somme à être simplement simple & se mesure par rapport à une simplicité idéale [Elle] diffère quantitativement de la simplicité nue, par les plis et les rides qu crée en elle le pluriel de composition: le royal entrelacs, l’entrecroisement subtil dont parle le Politique est en somme une allusion à la conscience combinatoire qui tisse ou tresse l’un sur l’autre les fils du pluriel … Mieux encore: la complexité, pluralité structurante, est simple et intelligible dès maintenant pour ceux qui en détiennent la clef, ou savent en calculer l’équation : car il y a un chiffre, une formule, des réducteurs qui font apparaître la simplicité virtuelle de la complexité […] La simplicité première et la simplicité seconde ne se distingueraient donc que par le temps nécessaire à l’intellect humain pour simplifier le complexe. »
« La complexité est toujours analysable, mais la complication, mélange sans intérêt et sans loi, décourage l’analyse. La complication est une complexité inutile et plus complexe qu’il n’est strictement nécessaire. Un labyrinthe, une fugue de Max Reger, un luxe de surcharges arbitraires et gratuites, une profusion de faux problèmes, un imbroglio provoqué par la fraude et aggravé par le malentendu, — voilà quelques-uns des monstres dont accouche le génie humain de la complication! La difficulté compliquée est due ici non pas à une nécessité organique ou à la nature des choses, par exemple à une pluralité objective d’éléments interrelatifs, mais à la maladresse de l’homme, à son ivrognerie passionnelle, à la faiblesse incurable de son intelligence; parfois encore elle est due, comme dans le cas d’un logogriphe ou d’un dédale, à l’esprit tortueux et trop ingénieux de la créature; c’est donc une difficulté artificielle et somme toute superficielle. »
Tragédie de la confusion
« L’homme moderne pressent une confusion définitive dans laquelle aucun ordre rationnel n’apparaît, un abîme sans nom qui n’est même pas l’origine ni la promesse d’un cosmos. C’est un indébrouillable embrouillement, un indémêlable entremêlement, un inextricable entortillement — non pas parce qu’il faudrait beaucoup de patience pour débrouiller en fait les fis de cet imbroglio, mais parce que l’imbroglio est impossible à débrouiller. »
« L’être humain est chez Pascal enfoncé « in medias res » ; enfoncé de la tête aux pieds, raison comprise … […] « embarqué », mais non point « engagé » […] la raison elle-même est englobée dans la nuit, enveloppée par les ténèbres […] la vie est une aventure sans forme, une aventure sans tête ni queue entre ses deux nuits. »
Le Pur et l’impur (138-147)

Onésiphore de Prébois dit: à

Chaque fois qu’il pense effectivement, sa langue est très claire. (Widergänger)

Conaisssant Widergänger, dans la phrase citée concernant Maurice Blanchot, quel sous-entendu convient-il de rétablir ?

1/ parfois
2/ rarement
3/ très rarement
4/ jamais

renato dit: à

Pour faire simple, Vladimir Jankélévitch : « La simplicité n’a pas besoin d’être simple, mais du complexe resserré et synthétisé », Alfred Jarry in « Les minutes de sable mémorial », il me semble.

renato dit: à

Hé ! merdre ! m² > m³…

Jacques Barozzi dit: à

« C’est quoi cette observation, Jacques ?! »

D. (ou hamlet ou Puck) s’est souvent plaint ici même du fait que les femmes ne portent pas de soutiens gorge à la plage, renato : comment peut-on adorer ce que l’on déteste ?

Clopine dit: à

Renato, pourquoi Michel-Ange était-il caractériel ? Dans le « palettes » à lui consacré, il est question de la longue lutte qui l’opposa au pape Jules II, des exigences sans cesse renouvelées du peintre, et qui tourna, in fine, à l’avantage de l’artiste. Mais est-ce bien la preuve d’un caractère insupportable ?

Jacques Barozzi dit: à

En définitive, Maurice Blanchot, il fait dans la complexité ou dans la complication ?

Capitalisme Complètement Chéri Paradoxalement victorieux dit: à

Alors comme ça pour préserver le sacro-saint pouvoir d’achat, on va pouvoir trouver des produits à visée médicale, ci-devant médicaments, au supermarché entre les compléments alimentaires, les fraises tagada, les fromages à la listériose et les tomates pourries. Super.

renato dit: à

« comment peut-on adorer ce que l’on déteste ? »

Mais il parle de la musicienne… Bon, lors de ce Crossroads elle ne portait pas de soutien-gorge, mais cela n’a rien à voir avec la musique…

Capitalisme victorieux dit: à

Ah oui mais pas chez le djerbien j’espère.

Clopine dit: à

Elle trop simple, votre question, là, Jacques. Simplissime, presque. Simplette, au moins.

Et si l’on disait que Blanchot, c’est abscons ?

(s’emmerde ici)

Bon d’accord, je sors.

Poésie vaincra dit: à

Le ‘Pharmakon’, à la fois délétère et antidote, cher à Derrida qui l’a utilisé pour déconstruire je sais pas quoi et reconstruire je sais pas quoi à la place, est aujourd’hui défini par destination par le code de la santé publique comme ce qui se vend dans la pharmacie, qu’elle soit de Platon, de garde, ou du coin.

Jacques Barozzi dit: à

« elle ne portait pas de soutien-gorge, mais cela n’a rien à voir avec la musique… »

Pas sûr, avec un soutien-gorge, sa musique serait sans doute plus « corsetée » ?

Poésie vaincra dit: à

Sans blague, t’as réussi à voir que fin juillet par 30° on peut s’intéresser au T-shirts ? T’es extra lucide ?

rose dit: à

comment peut-on adorer ce que l’on déteste ?

cela est : et même plus :

comment peut-on adorer qui l’on hait ?

rose dit: à

pardon
comment peut-on adorer ce que l’on hait ?

rose dit: à

le crayon à mine c’est le crayon gris = graphite.

Un peu plus au nord-est de Carrare on peut acheter du marbre aussi

rose dit: à

vais pas développer sur l’enfer : ce qui est clair c’est que c’est gris.
(graphite)

renato dit: à

« la formule guitare + seins nus »

Ce n’est pas ce dont il s’agit.

rose dit: à

le pire, avant la modernité, est, à mes yeux, impacter. Grrr.

salut, mon ordi est squatté : je n’y i droit que pendant les pauses : j’ai appris à faire l’espace insécable : flèche du haut + contrôle + espace.

Et toc.
Je l’aime (l’espace insécable) : comment peut-on être espace et insécable ? On le peut.

Jacques Barozzi dit: à

Pas besoin d’idée fixe, renato, pour voir ce splendide sein, tel une pleine lune, et dont vous noterez qu’il fait corps, si je puis dire, ou en symbiose, si vous préférez, avec la courbure supérieure de l’instrument musical : on pourrait presque dire que l’artiste ici joue avec ses seins !

rose dit: à

je n’y ai droit que (du coup j’ai le MAC ahahah dirait Clopine)
« comment exploiter ses connaissances fraîchement acquises entends-je d’un air narquois) : ben non, c’est manière de mémoriser ce que je viens d’apprendre et baste. Comme qd on écrit ds un répertoire.

Bises renato

si c’est pas cela qu’est-ce donc ?
C’est le fait de se balader nue ?
(je vais retrouver moyen de faire main basse sur mon ordi.; il s’agit d’une conspiration, me douté-je).

du nord est de Carrare on peut tirer sur Macucagna (j’en rêve de Macucagna, c’est de l’autre côté du mont rose, au sud)
ça doit pas être macucagna c’est le nom d’une poule : là-haut pas de poules, des montagnardes et baste. Chaussures au pied. Soutiens-gorges de volleyeuses.

D' dit: à

Je rappelle à Pésie Vaincra et Capitalisme Victorieux que selon la nouvelle clé du CCD (code à clé dynamique) qui vient d’être instaurée, les échanges concernent maintenant la livraison d’une cargaison d’armes à certains des belligérants, à ne pas confondre avec des gérants d’officine.

Jacques Barozzi dit: à

D’ pour déprime ?
Voyez ce sein que vous ne sauriez voir et ça ira mieux !

D' dit: à

Ben non, c’est juste pour pas usurper un pseudo, gigbaeche.

D' dit: à

Pardon gigabêche.

rose dit: à

Macugnaga

grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

rose dit: à

ben si t’es un âne renato tu voyages avec ton âne ds les Cévennes

rose dit: à

L’être est (dit Widergänger) : lettré.

Bises

Widergänger dit: à

« L’être humain est chez Pascal enfoncé « in medias res » ; enfoncé de la tête aux pieds, raison comprise … […] « embarqué », mais non point « engagé » […] la raison elle-même est englobée dans la nuit, enveloppée par les ténèbres […] la vie est une aventure sans forme, une aventure sans tête ni queue entre ses deux nuits. »
Le Pur et l’impur (138-147)
________

C’est ça la pensée tragique. D’où l’angoisse. Mais Jankélévitch oublie la joie tragique qui accompagne toujours tout. Quel écrivain contemporain ou du passé rencontre ce défi ? Même le gouffre de Baudelaire, poète pourtant éminemment pascalien, en est bien éloigné ! C’est de là que devrait partir la littérature pour être à la hauteur des enjeux de la conscience moderne. Mais pas un seul écrivaillon d’aujourd’hui n’est à la hauteur !

rose dit: à

renato dit: 27 juillet 2014 à 17 h 54 min

Au delà de la philosophie avec le marteau, hamlet, vous avez aussi observé combien de bonne bassistes on peut écouter aujourd’hui ? quelque nom au hasard : Tanya O Callaghan, Tal Wilkenfeld, Rhonda Smith, Divinity Roxx, Esperanza Spalding…

j’ai examiné l’élément : trouvé. Carton plein.

rose dit: à

c’est beau !

ici Londres dit: à

quand rénateau prend son air pincé sur les cordes de la basse ça lui fait pal aux seins

Widergänger dit: à

…joue avec ses seins, d’accord, mais à quoi ? Telle est la vraie question…! Je n’aurais pas cru Baroz sensible à ça…

rose dit: à

Ben si : un sein d’homme c comme un sein de femme.

Polémikoeur. dit: à

Merci Vladimir !
Sur un autre sujet moins complexe :
« dealer » des médocs à volonté
est un progrès (économique)
quand on peut « faire » médecine
par Internet en cinq minutes.
Monopoltronellement.

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