de Pierre Assouline

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La République des livres
Pardonnez Moix, sauvez Sureau !

Pardonnez Moix, sauvez Sureau !

Qui déjà disait : « Pardonnez-moi, mais je n’ai pas eu le temps de faire court ? » En cherchant un peu, on finit par trouver. Non pas l’un de nos contemporains à la formule facile, mais un très grand d’autrefois. D’ailleurs, la citation exacte est :

« Mes Révérends Pères, mes lettres n’avaient pas accoutumé de se suivre de si près, ni d’être si étendues. Le peu de temps que j’ai eu a été cause de l’un et de l’autre. Je n’ai l’ait celle-ci plus longue que parce que je n’ai pas eu le loisir de la faire plus courte…»

Ainsi Pascal s’adressait-il aux jésuites à la fin de sa seizième Provinciale, le 4 décembre 1656. Il faudrait conserver ces lignes en tête lorsque la tentation nous prend de juger hâtivement de la longueur d’un roman, de la durée supposée de sa lecture et partant du nombre d’heures qu’elles voleront à notre fugace existence dans le monde terrestre. Ainsi en avons-nous lu ou entendu plus d’une fois, ici ou là, ces jours-ci des critiques dénoncer la brièveté de Le chemin des morts (55 pages, 7,50 euros, Gallimard) de François Sureau et la longueur de Naissance (1143 pages, 26 euros, Grasset) de Yann Moix. Elles étaient jugées également abusives et néfastes à leur carrière en librairie.

L’important est de trouver la bonne distance. Certains auteurs la trouvent à leurs débuts et ne s’en éloignent jamais (le cas de Modiano) ; d’autres ne cessent de varier les plaisirs. La plupart s’adaptent aux exigences de chacun de leur roman. On connaît peu de romanciers qui décident au moment de s’y mettre qu’ils vont écrire un texte de 172 pages ou de 865 pages. L’histoire dicte sa loi, elle impose son rythme, sa cadence, sa musique d’où découlent un certain nombre de pages. Le récit de Sureau fait à peine une cinquantaine de pages et la chose de Moix près de mille deux-cents pages. Et alors ? On écrit sous l’empire d’une nécessité, surtout ce genre de romans, et le reste suit. Le nombre de pages correspond à l’économie du livre.

On dira de Naissance que son auteur en fait trop, ce qui est vrai, mais n’est-ce pas le moins pour raconter la venue au monde d’un personnage qui est né sous le signe de l’excès, qui exagère, qui pousse à bout. C’est burlesque, grotesque, hénaurme, baroque, passionnant, exaspérant, profus, gonflé, insolent, énumératif, mégalo, poétique, drôle, pathétique, épique, démesuré. Un véritable torrent, mais de quoi au juste ? Une citation, une seule là où l’on eût craint d’en trouver quinze, en épigraphe : « Dieu n’ayant pu faire de nous des humbles fait de nous des humiliés » (Julien Green, Journal). Pourtant, en lisant le monstre, ou plutôt en s’en emparant à la diable par paquets, ici ou là, de temps en temps et certainement pas dans une lecture en continu, une autre citation ne nous a pas quitté : « C’est naître qu’il aurait pas fallu. » (Céline, Mort à crédit). Impossible de réduire ce roman à un résumé, celui-là plus encore que les autres qui sont de toutes façons irréductibles à une histoire même si elle donne une petite idée de ce que le livre a dans le ventre. C’est évidemment de lui qu’il s’agit, et de sa sensation du monde : l’histoire surécrite d’un enfant qui surnaît en venant au monde déjà circoncis, ce qui est mal vu dans une famille catholique. Des pages éblouissantes qui forcent vraiment l’admiration y côtoient en permanence des tunnels où un chaos syntaxique s’accumule et s’agrège à faire fuir. Il faut alors passer son chemin pour se perdre plus loin et retrouver une densité aussi étourdissante. Moix ne se refuse rien, et si une digression doit courir sur vingt pages, qu’elle courre ! Rien n’est hors-sujet puisque le sujet est partout. Enfin un auteur qui s’autorise ! Enfin, presque : à la demande de son éditeur, il a supprimé la mort dans l’âme une lettre d’amour à une Coréenne qui occupait, il est vrai, les cinq-cents dernières pages… Une chose est sûre : celui-là est bien un écrivain qui ne place rien au-dessus de la littérature. Sans ses outrances, pas de fulgurances. Il est bien la somme des violences de toutes natures qu’il a subies. Naissance, on peut en dire ce qu’on veut, mais consacrer l’essentiel de son jugement critique à son poids dans le sac de plage et son encombrement au lit, comme on a entendu certaines le faire au Masque et à la plume, est un signe de plus de la décadence de ce métier. La folie à l’œuvre dans ce livre magnifique et saoulant exige une lecture aussi déraisonnable qu’elle. Encore faut-il avoir envie de se laisser déborder par un écrivain très français, le seul à notre connaissance qui jouisse de son addiction aux deux Corées.

François Sureau ne cache pas la dimension autobiographique de son récit, mais il n’en fait pas un argument pour autant : le cas de conscience d’un jeune juriste des années 1980 qui doit trancher dans un cas d’extradition ; le nationaliste basque que son arrêt motivé renverra ou non de l’autre côté de la frontière, vacille entre la vie et la mort ; mais la France ne veut pas mettre d’obstacle au retour de l’Espagne à la démocratie ; renvoyé dans son pays faute d’asile politique, il y est assassiné par des vengeurs ; trente ans après, devenu avocat, l’ancien juriste du Conseil d’Etat demeure hanté par son souvenir et il sait que son ombre l’accompagnera jusqu’à la fin de ses jours. L’auteur du Chemin des morts aurait pu raconter la même histoire en 400 pages. C’eut été un autre livre. Sa brièveté correspond à un parti pris autant littéraire qu’esthétique. Tel quel, il a sa respiration et rien ne dit que l’émotion serait passée pareillement une fois détaillée, documentée, mise en scène, et partant, diluée. Sa sobriété est la note juste. Il tire sa puissance de son apparente sécheresse qui n’est en réalité que l’expression de sa retenue et de sa pudeur. On en est saisi. On a pu en dire autant ces dernières années de Inconnu à cette adresse ou de Soie, entre autres.

Le secret, c’est de connaître intimement sa distance, savoir quand s’y tenir et quand le dépasser. Sureau et Moix ont tous deux du souffle, mais l’épaisseur de leurs livres ne dit pas que le premier est court et le second, long. Ils ne le sont pas « trop » , ni l’un ni l’autre, car il n’y a heureusement pas de critère en la matière. Les deux sont également troublants, le rachitique et l’obèse. Il serait regrettable que la société des apparences leur fasse payer leur physique. Il faut sauver Sureau de sa plaquette, et pardonner à Moix sa profusion. Quand apprendra-t-on à séparer un texte de ce que son enveloppe annonce (le numérique nous y invite instamment…) ? Difficile d’oublier la manière sans art par laquelle Anatole France récusa A la recherche du temps perdu « La vie est trop courte et Proust est trop long ». Cela dit, si je me fie au souvenir de conversations que j’ai pu avoir avec l’un et l’autre, François Sureau serait plutôt du genre à parler d’abondance, et Yann Moix du genre à écouter. Mais est-ce bien un paradoxe ?

(Photos Jean-Philippe Toussaint et Henri Zerdoun)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

865 Réponses pour Pardonnez Moix, sauvez Sureau !

renato dit: à

« Sauf si on vient y faire l’orgueilleux… »

D’accord, vous avez raison, être traité de non-animal-domestique ce n’est pas valorisant, d’autre part vous ne faites vraiment rien pour mériter vos croquettes.

renato dit: à

Pas de ligue, surtout pas de ligues…

JC..... dit: à

Isle d’Yeu…? Mais n’est pas l’endroit où est enterré le Maréchal, qui fut le plus vieux des prisonniers politiques ?!

Ecoutons celui qui réussit un miracle : transformer les Français pétainistes en Français gaullistes !

« L’âge le livrait aux manœuvres de gens habiles à se couvrir de sa majestueuse lassitude. La vieillesse est un naufrage. Pour que rien ne nous fût épargné, la vieillesse du maréchal Pétain allait s’identifier avec le naufrage de la France. »
Charles de Gaulle, Mémoires de guerre, l’Appel, 1940-1942.

JC..... dit: à

Je vais essayer de vous trouver un texte du Général Fromage, gloire du Mali, qui ne réussit toujours pas à transformer des Français sarkozystes en Français socialistes !

TKT dit: à

« Porquerolles » doit être le nom d’un HLM de la banlieue de Melun

christiane dit: à

@Giovanni Sant’Angelo dit: 10 septembre 2013 à 1 h 46 min
J’ai ressenti la même déception. Ce n’est effectivement pas une toile représentative de sa façon de traduire les paysages.

renato dit: à

« … transformer des Français sarkozystes en Français socialistes »

C’est une option écomusée ça car il n’y a en France pas plus de sarkozystes que de socialistes — à l’étranger ce n’est pas mieux, c’est vrai. Bon, on voit sarkozystes et socialistes, et tant d’autres, à la télé, et les journalistes politiques en parlent, mais il faudra bien admettre à un moment que même journaliste politique c’est un truc à mettre dans un écomusée.

Mdr dit: à

Comment, JC n’a pas encore parcouru Le Parisien ? Il y a pourtant une info qui va le faire jouir. Ah mais c’est bien sûr, hors saison, plus de Parisien sur l’île.

TKT dit: à

D.bile et JC, se prend pour dieu et son fils née d’une vierge, l’épouse de Joseph et mère d’autres enfants: Et cet enc….vierge de partout (depuis sa puberté), ne se trouve pas orgueilleux. Vadiou sur Krypton l’orgueil n’existe pas

TKT dit: à

Oui dans le cas de D.burné et JoCouillevide, on accorde le mot prendre avec l’idée du groupe des mille pseudos du toqué, l’amant de mimi-le-chat. Quant au scooter, c’est le nom qu’il donne à ses sabots en feutre.

JC..... dit: à

Thierry,
comme vous dites VRAI, comme vous voyez juste, comme vous êtes fin…!

Je suis, effectivement, le fils de D.ieu le Débile, et pour tout vous dire Notre Seigneur a niqué victorieusement ma mère que j’affectionne tant, vierge aux hanches larges et aux regard de génisse la bien-née demoiselle Bougboug.
(il venait de rompre avec une autre, dont j’ai oublié le nom ; Angela, il me semble, une grosse vacherine…)

JC..... dit: à

Renato, vous réécrivez l’histoire en dépit du bon sens : les Français étaient sarkozystes, je vous le jure.

Je vivais à cette époque là …. j’avais déjà honte.

renato dit: à

Je cause au présent JC, vous à l’imparfait…

JC..... dit: à

Renato, je cause toujours à l’imparfait …

renato dit: à

D’ailleurs, JC, je parlais d’écomusée, c’est-à-dire, selon le technical data, « un outil interdisciplinaire de conservation et de transmission de la mémoire ».

JC..... dit: à

Mdr dit: 10 septembre 2013 à 9 h 32 min
« Comment, JC n’a pas encore parcouru Le Parisien ? Il y a pourtant une info qui va le faire jouir. »

Mdr,
J’ai joui.
Deux fois.
La première, parce que trois ans de prison ferme pour le fils, braqueur, d’une ministre socialiste, ça plait à mon côté malsain et vulgaire…
La seconde, car j’ai éprouvé la honte de m’être réjoui de ce malheur de mère, pauvre Marisol, ce qui constitue de la gêne, et là où il y a de la gêne…boum ! on ne se refait pas.

Loufrog Tianac dit: à

Bonne journée à tous, mes amis !
Et spécialement à vous, Thierry Kron Traube, car vous êtes bien matinal aujourd’hui et vous me semblez en grande forme. Continuez.
Bàv
Jean Corbier

keupu ou quelque autre dit: à

divorce consommé entre la bonne Christiane et le méchant ML chez Popol, on n’attend plus que MCourt

renato dit: à

Comme quoi l’approche mésologique n’est pas toujours ce qu’il y a de mieux.

Jean Corbier..... dit: à

Aïe, aïe, aïe, une mauvaise manipulation m’a fait révéler que j’étais Loufrog Tianac. Mais vous l’aviez sans doute déjà deviné, Thierry. Rien ne vous échappe.

renato dit: à

Enfin ! Christianne est intrinsèquement une brave fille, ce qui fait qu’elle donne l’opportunité de se racheter à n’importe quel crétin.

jiçay friendly dit: à

pauvres jc, de plus en plus aigri ! après le départ de minus dalton et sa bande organisée, le départ des touristes ! Frustré dans sa haine de vieux beau(f) baveux par la tenue d’élections démocratiques au mali, il continue à chia.er ici même, ce qui le rend d’autant plus hideux, au lieu d’en finir une bonne fois

Arabella dit: à

Voyons, renato ! Bon, comme je ne sens aucune animosité dans votre post, je ne vous en veux pas, mais sachez qu’on ne dit pas « brave fille » en parlant de christiane. C’est une dame, bordel de merde.
Bàv
Jean C…..

Jacques Barozzi dit: à

Et aucune commisération pour cet enfant paumé, déclassé, qui va passer 3 ans à la Santé au risque de s’y faire violer ou d’être retrouvé pendu, malgré une lourde hérédité :

« Marisol Touraine est la fille du sociologue Alain Touraine et de la chercheuse chilienne Adriana Arenas Pizarro, décédée en 1990. Elle est également la nièce de René Touraine (1928-1988), père de la recherche clinique et thérapeutique en dermatologie en France. Marisol grandit à Paris. Elle est l’épouse de Michel Reveyrand de Menthon, ambassadeur de France au Mali de 2006 à 2010, puis ambassadeur de France au Tchad avec qui elle a trois enfants »
(fiche wiki)

Pablo75 dit: à

@ des journées entières dans les arbres

Des histoires des GAL il y en a de bien meilleures(en espagnol) que ce bref article de L’Express. Comme tous les gens qui lisent la presse espagnole chaque jour depuis 35 ans, cette histoire je l’ai suivi « en direct ». Ce n’est donc pas Xavier Raufer qui va m’apprendre quelque chose sur le thème.

Quant à votre « F.Sureau ne fabule pas », comment le savez-vous? Les renseignements qu’il donne dans son livre, selon P.Assouline, ont l’air bidon.

En ce qui concerne le problème moral qui paraît être le thème de son bouquin, permettez-moi de vous dire que il n’y a rien de moins crédible pour un étranger qu’un Français (pour ne pas dire un Parisien) parlant d’étique (surtout s’il s’agit d’un énarque, ancien juriste du Conseil d’Etat et avocat par dessus-le marché). Elle est très vieille, la frivolité étique des Français. On pourrait en parler pendant des heures. En Espagne personne a oublié la France protégeant pendant des années à Hendaye les assassins basques qui venaient de commettre un crime à Irún cinq minutes avant. Il suffisait de passer à pied le pont qui relie les deux villes pour être à l’abri. D’où la réaction des GAL, qui allaient tuer les types qui paradaient dans les tavernes du Pays Basque français sur leurs « exploits » au Pays Basque espagnol sous le regard bienveillant de la police française. Tout ça au nom des Droits de l’Homme et pour « aider » la jeune démocratie espagnole à se consolider face au danger fasciste qui avait essayé de faire un coup d’état avec la bande du crétin à moustaches Tejero.

Quant au problème du Mal ce n’est pas Sureau qui va apprendre quelque chose aux gens qui s’intéressent depuis longtemps au Livre de Job. Ses atermoiements étiques de Parisien élevé dans cette école de faux-culs qu’est l’ENA, il peut se les garder où il veut.

Pablo75 dit: à

« éthique », bien sûr…

Jacques Barozzi dit: à

Pas de Jean Corbier à Porquerolles, JC, seulement à Magagnosc, Beausoleil ou au Cannet ?

xavier dit: à

« transformer les Français pétainistes en Français gaullistes ! »

en décrétant, pour la cohésion de la patrie, que la la plupart avaient été gaullistes!

JC..... dit: à

jiçay friendly dit: 10 septembre 2013 à 10 h 37 min
« pauvres jc, de plus en plus aigri …/… au lieu d’en finir une bonne fois »

D’abord, je suis tout seul ! Mon « pauvres » ami …
Ensuite, je vous déclare solennellement qu’en cette Journée Mondiale de Prévention du Suicide, à Minuit, je serai mort de ma propre main !

Pablo75 dit: à

@ P. Assouline

Il faudrait envoyer à Sureau votre « Vies de Job » (livre dont il y aurait beaucoup de choses à dire). Peut-être ça l’aidera à résoudre son problème étHique avec les terroristes basques. Et s’il lit l’espagnol, qu’il s’attaque aux 700 pages de l’extraordinaire « Exposición del Libro de Job » du très grand poète et écrivain fray Luis de León (qui, pendant 15 ans, a traduit, commenté et fait une version en vers de ce livre).

CQFD!!! dit: à

renato dit: 9 septembre 2013 à 16 h 08 min

Aucun mérite Christiane, son blog est dans mes favoris, et je me souvenais vaguement de « robe bleu ».
renato dit: 10 septembre 2013 à 10 h 32 min

Enfin ! Christianne est intrinsèquement une brave fille, ce qui fait qu’elle donne l’opportunité de se racheter à n’importe quel crétin.

roselyne dit: à

JC ça fait peur

Jean Corbier..... dit: à

je serai mort de ma propre main !

Il manque un mot. Comprendre : la mort de ma propre main. Car je vais me la trancher ce soir. Ma main droite, bien sûr, celle avec laquelle je votais, sur les conseils d’u.

Mdr dit: à

Où l’on apprend (chez P Edel) que Christiane inonde LML de cartes postales et de BD.
JC a joui 2 fois à la lecture du scoop du Parisien, et Barozzi ?

renato dit: à

Je ne vais quand même pas répondre à n’importe quel crétin !

Jean Corbier..... dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2013 à 10 h 45 min
Pas de Jean Corbier à Porquerolles

Jacques, je suis sur liste rouge évidemment.
C’est une façon de parler, bien sûr, je suis plutôt sur une liste bleu horizon par conviction, comme chacun sait, de même que vous êtes sur liste rose, je suppose.

JC..... dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2013 à 10 h 45 min
« Pas de Jean Corbier à Porquerolles, JC »

Jacques,
Pas de Iossif Djougachvili, non plus !
Cela me rappelle un bon souvenir : la réponse surréaliste d’un X à la question stupide « Que ne peut-on pas faire dans…? » Réponse convenable du jeune homme : »Cuire un œuf ! »
Fureur du questionneur… naturellement !

Jean Corbier..... dit: à

renato dit: 10 septembre 2013 à 11 h 01 min
Je ne vais quand même pas répondre à n’importe quel crétin !

Mais je ne vous ai pas posé de question.
Bàv
D.

Dimitri d'Arlatan dit: à

Je suis embêté….
Comment m’y prendre pour avouer à Thierry que je suis Jacques ?

renato dit: à

Faut tout de même pas se prendre pour le centre d’un univers, qui vous di que je vous causais ?

Jean Corbier..... dit: à

qui vous di que je vous causais ? (renato)

Le crétin, ici, c’est moi.

renato dit: à

Bravo, vous faites, finalement, un petit pas vers la « plénitude de l’être »…

pages blanches dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2013 à 10 h 45 min
Pas de Jean Corbier à Porquerolles, JC

cherchez à Loufrog Tianac.

Jean Corbier..... dit: à

un petit pas vers la « plénitude de l’être »…

Pourtant je suis, comme vous, plutôt partisan de la plénitude de l’avoir.

renato dit: à

Pas de « plénitude de l’être » sans « plénitude de l’avoir », même si on pense hypocritement que la vie monastique nous donne accès à l’une sans l’autre car sans les sous, vous êtes « frère » certes, mais homme de fatigue (frère de fatigue ?).

scie des raies je suis dit: à

c’est vrai que t’es D., baroz ?

le petit-cousin de Sergio dit: à

renato dit: 10 septembre 2013 à 11 h 17 min
Pas de « plénitude de l’être » sans « plénitude de l’avoir »

Boh, dans les deux cas c’est auxiliaire.

baroz dit: à

Mais non je ne suis pas D. Vous ne devinerez jamais mes pseudos de troll.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…christiane,…à,…9 h 30 mn,…

…Ah,!…tout de même,…

…beaucoup de petits détails, qui ne clochent pas à l’oeil,…

…en plus de cela,…beaucoup de ses tableaux catalogués comme originaux de source sûre du maître Van Gogh,…font,…comme une école de second couteaux d’impressionnistes à deux balles,…( genre faire partager l’impétueuse euphorie de l’interprétation des natures ),…
…( mais,…plus résignée, plus morne, plus catholique,…plus commun,…),…

…ce qui n’est pas le cas du foudre de guerre artistique, avec toutes ses nuances extrême d’équilibre dans le contraste à chaque tableau,…

…je peint à l’huile aussi,…je sais ce que sait,…la vivacité juste,…au poil près,…

…même, s’il fait des expériences de recherches en peignant,…dès, qu’il voit que cela,…ne colle pas,…on peut reprendre à l’instant sur le vif, et apporter les sursauts et délicatesses nerveuses,…pour restructurer derechef l’ensemble à son bon plaisir d’aura des sens,…

…en, plus, peindre en pleine nature, Oui,…et chez-soi, le soir, reprendre l’oeuvre pour des détails de gestions de colorations ( tube déjà vides, une nuance à mieux rendre,…avant que la pâte ne se durcisse,…etc,…etc,…

…mais des tableaux recopier plusieurs fois, çà tient pas vraiment la route,…
…puisqu’il peut faire les corrections sur le champs,…çà n’a pas de sens, les doubles d’un même tableau,…
…en plus, qu’il était très pauvre, et achetais les meilleures couleurs,…au prix des toiles vide, il peignait aussi sur contreplaqué de bois d’époque, déjà,…

…et , pour finir,…son style vient dans l’essentiel,…d’une technique maniériste d’illustration à la plume à l’encre de chine,…etc,…
…le reste,…c’est pour moi,…il faut garder un minimum, un côté personnel et secret du maître Van Gogh,…
…etc,…Ah,…Ah,…etc,…bonne journée,…

renato dit: à

Le tableau « physique » vous l’avez vu ? Non, parce que sans ça ce ne sont que des mots dans le vide.
Bon, nous avons une année pour voir, on verra ça…

Christy Taub dit: à

Pas de Jean Corbier à Porquerolles, JC, seulement à Magagnosc, Beausoleil ou au Cannet ?

==

En revanche, il y a un Jean Culle, à qui on la met profond, en attendant son prochain naufrage.

Jacques Barozzi dit: à

Pablo75, le plus petit livre de la rentrée ne fait guère de vagues dans le landerneau parisien, en revanche, le plus gros est sur toutes les listes de prix, sans probablement avoir été lu en dehors des tunnels, un exploit qui en dit long sur l’état de la critique et des jury littéraires !

J’avais lu l’un des premiers romans de Yann Moix à ses débuts. J’avais trouvé cela assez gentil, gentil. Ensuite je l’ai beaucoup vu parader sur les plateaux de télévision et avais moins apprécié son ton pontifiant, sentencieux. J’ai parcouru de même en biais quelques une de ses chroniques du Figaro. Voilà qu’il fait l’éloge de Pierre Berger dans l’extrait mis en ligne hier par u. Exécuterait-il un pas de côté, un grand écrart, pour passer de la droite décomplexée de la maison Dassault à la gauche caviar du Monde littéraire ?
Les deux extraits reproduits par u. sont particulièrement représentatifs de son « style littéraire » : le délayage jusqu’à épuisement du sujet et du lecteur. On le voit en faire des tonnes pour nous expliquer pourquoi l’extême droite c’est la mort, selon lui, ou sur le Nord et le Sud de la Corée à ne pas confondre avec le nord et le sud et inversement. Je délaye, je délaye, je délaye, et je fais une lettre d’amour de 500 pages. Chapeau l’artiste. Renato a raison, c’est de la bouillie pour le livre des records, rien de plus ! Pas étonnant ainsi qu’à force d’enfoncer le clou, surgisse de temps à autre un beau coup de marteau, à faire se pâmer Passou ! Mais alors, autant jeter tout le reste. Il n’ont pas de revisor-editor chez Grasset ?

Mdr dit: à

J’ai acheté le Moix, j’en ai raturé puis charcuté les pages inutiles, lassantes, mal fagotées, il en reste 126.

Qu'est-ce qu'un gendarme ? C'est qqn de tout habillé, chef ! dit: à

Pas de Jean Corbier à Porquerolles, JC
cherchez à Loufrog Tianac.

Gardarem loufroc, c’est pas trop dans les habitudes vestimentaires des Levantins.

Miroir, mon beau miroir dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2013 à 11 h 31 min
Je délaye, je délaye, je délaye,

Tic-Tac-Tic-Tac dit: à

renato dit: 10 septembre 2013 à 9 h 15 min

Cas typique du roquet qui se prend pour son maître.
Personne à Colmar pour aller le faire pisser?

Jacques Barozzi dit: à

Dans cette histoire de solution à la russe, on a le sentiment qu’Obama s’est fait entuber par Poutine. Ne parlons pas du second couteau Hollande. Quid des victimes syriennes innocentes ? On les passe par pertes et profits ?

maurice dit: à

« il y a un Jean Culle, à qui on la met profond,  »

en remerciement de ses bonnes et innocentes lumières, sans doute

maurice dit: à

Baroz roule pour les intégristes salafistes sunnites?

Mdr dit: à

Giovanni Sant’Angelo dit:
-je peint à l’huile

Faites pas dans le « lettrisme », j’espère…

Des ïles... dit: à

JC….. dit: 10 septembre 2013 à 9 h 17 min
Isle d’Yeu…?

Oui, mais l’île est surtout un paradis.

Mdr dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2013 à 12 h 02 min
« Dans cette histoire de solution à la russe, on a le sentiment qu’Obama s’est fait entuber par Poutine. Ne parlons pas du second couteau Hollande. Quid des victimes syriennes innocentes ? On les passe par pertes et profits ? »

S’il y a un poste de journaliste politique disponible à Nice matin, vous avez quelque espoir.

J'en sais... dit: à

Jean C., c’est John Brown, Falicon.

Tic-Tac-Tic-Tac dit: à

L’animal de compagnie dit: 9 septembre 2013 à 23 h 43 min
Mon Toto, tu montres la trame… Celle de ton orgueil démesuré.

renato dit: 9 septembre 2013 à 23 h 57 min
Orgueil ? Moi ?

renato dit: 10 septembre 2013 à 10 h 32 min
Enfin ! Christianne est intrinsèquement une brave fille,

renato dit: 10 septembre 2013 à 11 h 01 min
Je ne vais quand même pas répondre à n’importe quel crétin !

Jacques Barozzi dit: à

« S’il y a un poste de journaliste politique disponible à Nice matin, vous avez quelque espoir. »

Merci Mdr, mais je jouis désormais d’une délicieuse « retraite » et n’écris plus que pour mon bon plaisir, et peut-être un peu le vôtre ?

Jacques Barozzi dit: à

D.-Puck, vous devriez aller sur la chronique des séries de Nils Ahl, c’est pour vous !

u. dit: à

Puisque Jacques remets le couvert, j’ai vu avec retard une critique que m’adresse Polder

polder dit: 8 septembre 2013 à 21 h 16 min
« Oui bon d’accord mais comme d’hab personne n’a lu le livre en question, forcément, et comme d’hab on se raccroche aux branches, y’a u qui va chercher le blog de l’écrivain en question, plusse une interview d’il y a quelques années, sauf qu’un écrivain c’est pas son blog – un blog c’est juste un blog et c’est farci d’occasions perdues de se taire – un écrivain c’est son livre, c’est là que ça se passe… c’est son livre … »

Il a raison bien sûr, aussi bien je ne dis rien sur YM romancier, j’en serais bien incapable (il est peut-être remarquable, je ne le saurais jamais), mais c’est YM lui-même qui se présente non seulement comme littérateur mais comme penseur et intellectuel public.
Il est donc normal qu’on s’intéresse à ses essais, c’est lui qui nous y invite.
Je n’ai lu que quelques textes et les ai trouvé parfois risibles. Ce que je suis allé voir à la suite de ce billet n’a pas démenti cette impression.

Je ne regrette qu’une formule.
On ne devrait jamais écrire « X est un sot » quand on ne connait pas la personne, mais seulement « Ce propos de X est une sottise ».
C’est bien assez!

— Au fait, JC, il me semble que Lacan n’a pas « Je ne parle pas pour les idiots », mais « je m’adresse aux non-idiots », dans un sens où « idiot  » (le « particulier ») n’a rien à voir avec l’imbécile ou le crétin.

Qu’il se soit à l’occasion comporté comme un pitre est tout à fait avéré.
Mais c’est qu’il mettait ce qu’il faisait en conformité avec ce qu’il pensait.
Quand on pense que « l’inconscient » n’est pas enseignable, que le discours qu’on tient devant un auditoire n’est pas d’une essence différente de celui que l’analysand tient sur son divan (ce qui est fort de café), on sait que ce qu’on pratique et transmet n’est pas une science. C’est celui à qui on semble s’adresser qui fait le travail –s’il le veut.

C’était un bouffon, mais d’une espèce particulière, mi-maître zen mi-chamane « à l’âge de la science moderne », comme il disait.

Je l’ai lu, puis plus du tout.
Si je le reprends à l’occasion (un peu au pif), j’y trouve des choses, alors que je pourrais citer des batteurs d’estrade chez qui on ne trouve rien.

Chaloux dit: à

Jacques, qu’est-ce que vous racontiez chez Paul Edel à propos de la sexualité de Gracq, et qui a été censuré? La seule mention que j’en connaisse se trouve je crois dans le bouquin de Jean de Malestroit. Une amie commune (je crois, pas le temps de chercher) a interrogé Gracq sur ce point, quelques années après la mort de Nora Mitrani. Et Gracq répond qu’il n’y a rien, strictement rien, que l’écriture lui tient lieu de tout.
Ce que corrobore en un sens le beau portrait parlé de Gracq que fait André Pieyre de Mandiargues à la fin du CD des entretiens radiophoniques de Gracq à France Culture. Il dit:
« Julien Gracq est un homme qui n’a pas beaucoup espéré ».

Chronique de la vie zürichoise dit: à

TKT dit: 10 septembre 2013 à 9 h 37 min
Quant au scooter, c’est le nom qu’il donne à ses sabots en feutre.

Thierry, lui, il n’appelle pas ses Todd’s à glands, elles sont toujours apportées par le bichon, avec le journal.

Chacun ses goûts dit: à

Jacques Barozzi dit: 9 septembre 2013 à 11 h 14 min
Non, merci, Harry, pour l’instant je lis le Vies de Job, de Passou, et La vérité sur Marie de Jean-Philippe Toussaint et vous ?

Ben mon colon, il fait pas dans le littéraire le baroz.

baroz dit: à

Il y a un Jean Culle à Jarnac.

Jean Corbier..... dit: à

J’en sais… dit: 10 septembre 2013 à 12 h 10 min
Jean C., c’est John Brown, Falicon.

Merde, Chaloux m’a reconnu.
(Mais est-ce bien Chaloux qui nous revient après avoir dit qu’il quittait « définitivement » la RdL ?)

Pfff dit: à

Chaloux dit: 10 septembre 2013 à 12 h 34 min
Jacques, qu’est-ce que vous racontiez chez Paul Edel

ah, celui-là ! curieux comme une vieille chouette.

Gale y mar dit: à

et n’écris plus que pour mon bon plaisir
Jacques Barozzi

Ouf ! Il n’essaie plus de se prendre pour un écrivain.

Dimitri d'Arlatan dit: à

Bonjour, Chaloux. Je suis heureux que vous soyez revenu* sur votre décision de partir.

*ou jamais parti (petit coquin)

Dimitri d'Arlatan dit: à

Je crois qu’au fond vous étiez parti sur la décision de revenir.

coucou le revoilà dit: à

Chaloux ou l’éternel retour du refoulé.

renato dit: à

K. lâche, « par erreur », une hypothèse « loufoque ».

P. saute sur l’occasion.

O. s’épargne quelques tirs « folkloriques ».

P. sauve la face car qui avait vendu le machin-truc-chose à Be-A ?

JC..... dit: à

« On ne devrait jamais écrire « X est un sot » quand on ne connait pas la personne, mais seulement « Ce propos de X est une sottise ».
C’est bien assez!… Au fait, JC,.. »

Ah, ce rapprochement que je découvre, camarade U.! Comme disait un personnage de Pagnol « Tu me fends le cœur ! » avec ce « Au fait !  » qui en dit plus long qu’il ne devrait.

PS : je ne sais pas ce qu’a dit Lacan, au juste ; je rapporte le propos de Rey, page 45 de la Saison, écrivant le propos entendu du Maître : »Je ne parle pas pour les idiots »

PS : Baroz 12h47
il y en a un à l’Elysée

trois jours déjà dit: à

Chaloux dit: 7 septembre 2013 à 19 h 18 min
Je quitte la RDL, cette fois définitivement. Renato m’a fait prendre conscience que vous êtes presque tous (à l’exception de quelques uns qui se reconnaîtront), à son image, d’infâmes aptères.
De plus ma femme vient de me dire : « Si tu postes encore une fois, je demande le divorce ».
J’ai dû négocier sec pour ce message d’adieu.

Comme le temps passe…
Votre ménage est-il brisé, Chaloux ?

Jacques Barozzi dit: à

Chaloux, je racontais qu’un de mes amis, qui était passé par Saint-Florent le Vieil la semaine dernière, en rentrant d’un séjour en Bretagne puis à Angers, avait rencontré un ami d’ami, natif du bourg, dont le père avait cultivé les terres de la famille Poirier. Selon celui-ci, qui allait enfant dans la maison de l’écrivain, Gracq se montrait toujours amical et courtois avec lui. Quoique père de deux enfants, cet homme aujourd’hui de mon âge, homosexuel affirmé, a dit à mon ami qu’il sentait une certaine homosexualité chez l’auteur d’Un beau ténébreux. Tandis que la rumeur publique dans la région, penchait plutôt pour des amours incestueuses entre la frère et la soeur qui vivaient ensemble. Et je me demandais donc, avant d’être impitoyablement censuré par Paul Edel, si l’on avait écrit sur la sexualité de Julien Gracq, pensant de bonne foi que cela pourrait éclairer la lecture de ses oeuvres. Mais c’est apparemment un sujet tabou, même, surtout pour les écrivains !

Mets de l'huile, petit homme dit: à

J’ai dû négocier sec pour ce message d’adieu.

Tu aurais peut-être dû négocier « à » sec, chaloux…?

nico lepèze dit: à

@JC 12h59
il y en a un à l’Elysée

Il y en a un à PQ , et il souffre tant à cause des socialos

Jacques la Cancane dit: à

– Savons nous pour quelle raison La Mauvaise Langue se veut haï de tous et de toutes ?
– Il veut souffrir, être incompris, sans amours, sans joies, sans espérances et sans amitiés.
– Mais pourquoi donc ?
– Pour devenir plus juif que juif.

Jacques Barozzi dit: à

Outre le témoignage d’Aragon, il est intéressant de voir quel était le programme de la rentrée 1963 dans l’émission littéraire télévisuelle de Pierre Dumayet…
(merci à Christiane pour ce lien mis par ses soins chez Paul Edel)

http://www.ina.fr/video/I05314439

Urucu dit: à

« Prières exaucées* est un livre techniquement compliqué ;et plus long, que dis-je? trois fois plus long que tous mes autres livres ensemble. ces dix à quinze derniers mois, il me radait vivement d’en finir, mais la littérature vit comme elle l’entend, elle veut danser au rythme qu’elle a choisi »
Truman Capote dans autoportrait1972**
né en 1924 il a 48 ans
* « formule empruntée à une remarque de Thérèse d’Avila »
**dernier texte de « les chiens aboient souvenirs sites silhouettes ‘( gallimard trad Malignon)

Jacques Barozzi dit: à

On s’en fout des états d’âmes de ML ou de D., ta gueule keupu !

Christy Taub dit: à

TKT est l’enfant que j’ai eu avec Georges Moustaki. Nous étions fous. Je l’ai abandonné à Zurich car il était trop clair. J’aime pas les Blancs. Des envahisseurs. Des exploiteurs.

Urucu dit: à

il a 48 ans en 1972 , âge de cet autoportrait

Jacques Barozzi dit: à

Pardon, c’était la rentrée 1967 et non 63

Jacques Barozzi dit: à

« P. sauve la face car qui avait vendu le machin-truc-chose à Be-A ? »

Mais qui alimente en armes les rebelles syriens, renato ?

Urucu dit: à

M.L. n’a peut-être pas compris lui non plus que avoir fait une longue cure , avoir été ami ou être parent d’un psy, serait-ce de Lacan lui-même, ou travaillé dans un cartel de psy n’habilite pas comme psy,ni comme auteur .

des journées entières dans les arbres dit: à

Pablo75 dit: 10 septembre 2013 à 10 h 42 min

Ouh la Pablo, on y va mollo.

J’ai déjà dit, et me me rékéképépète: Job je ne l’ai pas rencontré.

Vous l’avez rencontré vous ?
Il ressemble à qui ?
A un homme qui approche les soixantièmes mugissants ?
Vous savez où il en est maintenant ? S’il a avancé, s’il va bientôt atteindre sa Patagonie, toutes voiles dehors ?

« parlez-moi de lui, comment est sa vie… » etc.

Merci Pablo, avec votre phrase, je comprends que « morale » ( à deux balles de jeune coq) et « ethique » vous sont encore des notions bien obscures.
Sureau ne connaissait pas le pays basque en 1982. Si c’est ce que vous vouliez savoir: c’est écrit.
Il ne prétend pas vous enseigner le « Mal » si c’est ce que vous attendez de vos lectures.

vous relire !
« permettez-moi de vous dire que il n’y a rien de moins crédible pour un étranger qu’un Français (pour ne pas dire un Parisien) parlant d’étique »

De fait François Sureau ne présente pas, de prime abord, les traits physiques de quelqu’un qui s’alimente mal, ni ceux d’une maigreur particulière. Seule sa plume l’est. Dégraissée.

Observatoire de l'Abbé Désange dit: à

je racontais qu’un de mes amis, qui était passé par Saint-Florent le Vieil la semaine dernière, en rentrant d’un séjour en Bretagne puis à Angers, avait rencontré un ami d’ami, natif du bourg, dont le père avait …

Vadiou, ainsi HR c’était aussi Barozzi. Bien joué, Jacques.

Urucu dit: à

Ou Lacan a-t-il écrit : « l’analyste a horreur de son acte » ?

D’autre part est-ce quelqu’un connait suffisament bien la pensée de Lacan pour m’indiquer quelques pistes pour saisir cette phrase ?
Est-ce que tous les psychanalystes la partagent ? Si ce n’est pas le cas, est-ce que ceux qui éprouvent de l’horreur face à cet acte ne devrait-il pas faire autre chose ?
http://www.oedipe.org/forum/read.php?8,6499

Observatoire de l'abbé de Sureau dit: à

Le sureau est très apprécié par les phytothérapeutes (canal lacanien et urétral), notamment pour ses vertus diurétiques et laxatives.
Voilà un nouveau débouché (si l’on ose dire) pour John Brown et son chalet de nécessiteux.

des journées entières dans les arbres dit: à

Mais on va quand même dire : merci Job !
de cette découverte, qu’a été F. Sureau !

Miroir, mon beau miroir dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2013 à 13 h 26 min
On s’en fout des états d’âmes de ML ou de D

des journées entières dans les arbres dit: à

L’abbé, avec vos onomatopées un peu lourdingues, je viens de me rendre compte d’un truc.
Il faut rappeler ce qu’est le conseil d’état en France :
http://www.conseil-etat.fr/fr/missions/

Et nous, malheureusement dit: à

« je racontais qu’un de mes amis, qui était passé par Saint-Florent le Vieil la semaine dernière, en rentrant d’un séjour en Bretagne puis à Angers, avait rencontré un ami d’ami, natif du bourg, dont le père avait … »

Heureusement qu’il n’écrit plus que pour lui.

Observatoire des Décès Evitables par Fréquentation Régulière de la RdL dit: à

Jacques Barozzi dit: 9 septembre 2013 à 12 h 04 min
« Comme les déjections de cinq ou six personnes, pendant un an, sont
bien suffisantes pour fumer un hectare de terrain, et que rien en matière…
– Chut, chut, n’appuyez pas ! »

Ah ! si seulement Le King avait lu Colette, ou s’il avait eu l’adresse du chalet de Johnnie Brown…

http://williamreymond.com/elvis_presley

Chaloux dit: à

Non, mon ménage n’est pas brisé… Merci…

Jacques, sur Gracq j’ai à peu près tout entendu depuis trente ans. Mais je crois l’hypothèse de l’abstention assez crédible. (« Avec sa sœur »….Ah, Clochers, mails et promenades…petits bourgs…).
Il faut dire que Gracq n’était pas très aimé dans le pays. Ami de Pompidou depuis Normale Sup, il s’était servi de ses relations pour faire fermer une entreprise d’extraction de sable située juste devant ses fenêtres et dont le bruit le gênait.

Raybond Marre dit: à

Christy,
TKT est mon enfant, tu le sais !

Etienne Bougeotte dit: à

Mais enfin, Christy, qu’est ce que tu racontes : je suis le père de TKT, foutrecul !

Pif ! paf ! vlan, et re-vlan ! (tu as ta dose ?) dit: à

Où voyez-vous des onomatopées, des journées entières à vous les rouler ?

Observatoire de la Nativité dit: à

Alors ! Qui est le père de TKT ? On aimerait bien qu’il paye les factures du petit Suisse, depuis le temps.

tonton marcel dit: à

La Mauvaise Langue se veut haï de tous et de toutes ?

c’est comme JC, lui aussi détesté (sauf par les fafs). Les gens sont si méchants

Urucu dit: à

ça censure sec sur le bobinotori

Anthologie de la Papouasie française dit: à

« pour faire fermer une entreprise d’extraction de sable située juste devant ses fenêtres et dont le bruit le gênait. »

Discrètement récupéré,puis transféré sur une île, en Nouvelle-Guinée, le sable bruyant put alors servir les desseins littéraires de l’ami pompidolien.

« J’aimais ce silence menacé et ces replis d’ombre, comme suspendus sur une clameur profonde et énorme ; je faisais glisser dans mes doigts ce sable qu’avaient vanné tant de tempêtes, et qui maintenant bâillonnait la ville dans le sommeil ; je regardais Maremma s’ensevelir, et en même temps, les yeux blessés, giflé par le vent furieux qui mitraillait le sable, il me semblait sentir la vie même battre plus sauvagement à mes tempes et quelque chose se lever derrière cet ensevelissement. Puis il a plu sur cette plage, dans cet orage, elle a disparu. Et j’ai crié… »
(Le rivage des Syrtes)

tata edith dit: à

Cogne-moi, marcel ! fais-moi mal, salaud !

Jacques Barozzi dit: à

« je crois l’hypothèse de l’abstention assez crédible. »

Peut-être bien, Chaloux, comme D. alors ?
Pourtant ses romans, tel Un balcon en forêt, ne manquent pas de sensualité !
Quand à l’abstinence, même les très chrétiens Green ou Mauriac ne l’ont pas pratiquée, demandez à Phil…

Jacques Barozzi dit: à

« Et j’ai crié… »

…crié, Aline, pour qu’elle revienne !

Observatoire de l'abstinence dit: à

………………………………………..

Chaloux dit: à

Il y a Nora Mitrani, soeur du réalisateur Michel Mitrani,que Gracq a rencontrée aux réunions surréalistes en 53 et qui est morte vers 61. Je crois que condamnée par un cancer, elle s’est défenestrée.

Dans le Doubs, abstiens-toi ! dit: à

Chaloux dit: 10 septembre 2013 à 14 h 12 min
je crois l’hypothèse de l’abstention assez crédible.

Chaloux, qui vient de déménager -sa Volvo, sa femme, les enfants, la bonne et Moix- du côté de Montbéliard, a décidé de faire abstinence aux prochaines érections municipales.

Faisons du neuf avec du Vieux dit: à

Cri-cri Fleur Romantique ayant traité, dans un accès d’insolence inimaginable, chez Popaul « la Mauvaise Langue » de bouc émissaire, nous avons la possibilité de l’appeler désormais, soit « Le Bouc », soit « Le Messager », soit « Sortie d’Egout ».

Ternor Bock dit: à

Ne vous moquez pas de Chaloux, tout le monde peut faire des erreurs.

Ternor Bock dit: à

Certes, Chaloux en fait plus souvent que la moyenne mais, justement, c’est une raison supplémentaire de lui accorder notre compassion.

Ternor Bock dit: à

Enfin, l’essentiel est qu’il soit revenu. Réjouissons-nous.
renato et xlew commençaient à se sentir seuls.

Chaloux dit: à

Je vois ce que vous voulez dire, mais j’étais très concentré sur autre chose(des pièces d’orgue de Pachelbel et Elgar).
Cela dit, « abstinence » concerne avant tout les plaisirs. Si l’écriture tient lieu de tout, abstention me parait convenir aussi bien.

Standard & Prouts dit: à

C’est la crise : ne gaspillons pas la compassion.

Chaloux dit: à

Le cadre est tout petit, je vois de moins en moins bien de près, et donc je me corrige très mal. La solution serait de passer par Word.
Je conserve « abstention ».

Croisette en délire dit: à

Jacques Barozzi dit: 10 septembre 2013 à 14 h 30 min
Peut-être bien, Chaloux, comme D. alors ?

L’hypothèse que Jacques Barozzi ne soit qu’un avatar ridicule de TKT s’impose de plus en plus.
La passion des bichons n’est pas le moindre élément de confirmation.

Chaloux dit: à

Non Jacques, D. a été chassé des terres de l’amour.
C’est autre chose.

Une femme à sa fenêtre dit: à

Chaloux dit: 10 septembre 2013 à 14 h 35 min
« condamnée par un cancer, elle s’est défenestrée. »

Plus de trois siècles avant, les bobos pragois pratiquaient couramment cet exercice. Lequel se terminait sans trop de bobo pour les téméraires bourgeois bohèmes, grâce aux soins paillatifs d’un certain Jan Braun, qui déversa le trop-plein de son entreprsie d’extraction de fumier (« necessitàzny dum ») sous les fenêtres, dont le bruit ne le gênait pas plus que ça.

Urucu dit: à

nora : quel prénom!
justement on entre dans le judaïsme dans les jours terribles « nora =>terrible , le jugement)
dix jours dits terribles (yamim nora-im ימים נוראים), qui le séparent de Yom Kipour, au cours desquels le repentir peut influencer le Jugement.

Volvo grade dit: à

j’étais très concentré sur autre chose(des pièces d’orgue de Pachelbel et Elgar).
Chaloux

Mais quelle incroyable burne.

Pablo75 dit: à

@ Jacques Barozzi

Sur la sexualité de Gracq: dans les années 80 j’ai très bien connu (parce que traduit) un écrivain aujourd’hui très célèbre (une fois mort) mais à l’époque beaucoup moins, qui était l’un des rares amis de Gracq. Et je me rappelle d’une conversation avec lui et une amie espagnole commune sur les mystères de Mr. Poirier. Selon lui, il n’y avait aucun mystère, c’était un type très aimable en privé qui aimait avoir la paix, un homme très simple et qui vivait depuis très longtemps avec la même femme (sans être marié avec elle).

Quelque temps après, avec la même amie de la conversation, on a voulu le traduire. Grâce à l’écrivain en question il a bien voulu nous recevoir dans son appartement du VIIe (si mes souvenirs sont bons) pour parler de traduction. Le jour J je n’étais pas libre (et à l’époque cela ne m’a pas embêté du tout, ce qui m’étonne beaucoup aujourd’hui) et c’est elle qui est allé seule. Elle a confirmé l’amabilité de Gracq, pris le thé ou le café avec lui et sa « femme » et essuyé un refus catégorique quand elle lui a demandé un entretien pour une revue littéraire espagnole dans laquelle elle collaborait. Deux ou trois jours après on est allés ensemble dans la librairie José Corti où nous attendait un paquet de livres que Gracq avait demandé qu’ils nous donnent à chacun.

L’éditeur espagnol qui voulait publier Gracq ne s’intéressant qu’au roman, on s’est mis à lire « Un balcon en fôret » (« Le rivage des Syrtes » avait été traduit déjà). Elle l’a fini par conscience professionnelle, mais moi je n’ai pas pu passer des premières pages. Je n’avais jamais lu quelque chose d’aussi assommante. Il va sans dire qu’on a abandonné notre projet de traduction.

Par contre, je me suis régalé avec « La littérature à l’estomac » et surtout avec « En lisant, en écrivant » – qui n’intéressaient personne en Espagne à l’époque…

Organistes onanistes, organisons nous ! dit: à

Ne réparez avec délices vos amours d’orgues, qu’avec des pièces d’origine CHALOUX !

Mdr dit: à

Extrait du registre du commerce :
La société de Barozzi, Pompamerdre & Co, compte un nouvel associé en la personne de Chaloux

l'orgue bon tant pis, la chienlit dit: à

(des pièces d’orgue de Pachelbel et Elgar)

attation cheulou..la volvo c’t’une méchanic de précisyon..faut mette que des pièces casher sinon que t’a vite fait de coulé une bièle..sinon à monbéyar tu va bien trouver une 404 d’ocase

A côté Chaloux semble un monstre de concision dit: à

Pablo75 dit: 10 septembre 2013 à 15 h 01 min

Je délaye, je délaye, je délaye disais baroz.
Il n’avait jamais du lire Pablito sinon il aurait rajouté, je délaye.

Chaloux dit: à

Pablo, cette histoire m’intrigue. Est-ce que la femme avait un accent ?

Ben oui, Volvo grade, ce matin j’ai travaillé des pièces d’orgues. Et puis maintenant je m’en vais à la poste récupérer un colis qui contient un exemplaire du livre de Sénèque le Rhéteur. Si tu veux savoir autre chose, n’hésite pas. Je serai toujours là pour te répondre.

Chaloux dit: à

J’ai plus la Volvo, Le Boug, je l’ai changée pour une grosse teutonne. Certains mythes ont la vie dure…

Volvo gradetre de concision dit: à

maintenant je m’en vais à la poste récupérer un colis qui contient un exemplaire du livre de Sénèque le Rhéteur.
Chaloux

D’accord, une question.

Les facteurs font grève à Monbéyar ?

Christine B dit: à

« avec la même femme (sans être marié avec elle »

Mon Dieu!

Madame Verdurien dit: à

le livre de Yann Moix dans la première sélection du Renaudot
allez les mecs déchaînez-vous !

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

« Est-ce que la femme avait un accent ? »

Je ne me rappelle plus, mais ta question me paraît d’un coup pertinente et je ne sais pas pourquoi je pense à l’Algérie (ou je confonds avec un autre écrivain célèbre dont la femme était algérienne?). Il faudrait que je consulte le « Journal » que j’écrivais à l’époque…

C. de Moncuq dit: à

Chaloux dit: 10 septembre 2013 à 15 h 15 min
je l’ai changée pour une grosse teutonne.

Est-ce qu’elle avait un accent ?

pablito dit: à

oun accante ? Yé né soui plou très soûr por que yé n’ai pas tout compriss.

Monsieur Taub dit: à

Moi, je changerai bien ma grosse contre une petite allemande blonde !

Dialogue dit: à

Chaloux-Pablo75, TKT-JacquesBarozzi, renato-HR.

Ces ridicules duos font la joie et le bonheur de tout erdélien, encore merci à eux.

Chaloux dit: à

Non, mais tu peux toi aussi te faire livrer tes colis au bureau de poste de ton choix.

Pour une nouvelle, c'est une bonne nouvelle ! dit: à

« un colis qui contient un exemplaire du livre de Sénèque le Rhéteur »

Dans le « French County Herald Tribune », 10/09/2292 :

« La semaine passée – voir notre édition spéciale-, des ouvriers occupés au pénible labeur d’extraction du gaz de sable, sous les fenêtres de la Nouvelle Mairie de Montbéliard, ont exhumé ce qui s’est rapidement avéré être des restes humains.
Restaurées grâce au savoir-faire des paléontologues du Muséum de la ville, sous la responsabilité scientifique du Pr Ivan Braunzoff, ces reliques d’un temps passé ont fini par livrer de précieux renseignements sur les us et coutumes littéraires de la Franche-Comté du début du XXIè s.

On peut désormais les admirer (heures de visites 9h-22h, sauf le dim., tarifs spéciaux pour scolaires), sous le cartel : « Sénèque le Rhéteur, Chaloux le Poseur : destins mêlés ».

Chaloux dit: à

Je précise que je n’ai jamais foutu les pieds à Montbéliard.
L’article est bon comme du John Brown. Très drôle. Merci.

Chaloux dit: à

Il y a un lien entre l’Albucius de P. Quignard et Sénèque le Rhéteur. Quignard a d’ailleurs préfacé une réédition de ce livre chez Aubier en 92, malheureusement épuisée.
A bientôt,

Urucu dit: à

François Sureau serait plutôt du genre à parler d’abondance
d’où l’appellation

Im Lied mit Sergio dit: à

« tu prend des rixes cheulou, gross malher »

Boh…avec une bonne batterie d’orgues de Staline il peut voir venir.

précision socio-professionnelle dit: à

« Sénèque le Rhéteur, Chaloux le Poseur : destins mêlés ».

Evidemment, dans votre petit monde de dactylos à la retraite…

Chaloux dit: à

Non, je plaisantais le Boug, pas dans mes moyens et aucune envie d’avoir ça. Et puis j’osais pas te l’avouer : un break français, nettement moins cher,…Mais pas mal.

JC dit: à

En 2001, le 11 de septembre, je me suis fait livrer une grosse teutonne à la Poste. Il nous fallait une gouvernante parlant anglais. Rudement appétissante sur la photo 3D, la Walkyrie !

Je n’ai jamais pu la récupérer malgré la facture acquittée.

Les postiers cégétistes ont fait barrage de leur corps en s’opposant fermement au retrait. Ils l’avaient accueilli à la bière dans le local syndical. Elle venait de Bayreuth et leur chantait des chansons locales. Voulaient pas la voir repartir. Certains pleuraient, appelaient leurs mères, se tordaient le dard…

Elle avait l’air flattée, la grosse ! J’ai laissé tomber … L’assurance a payé les frais.

le Boug dit: à

..ma mère..jcrois que chelou mprend pour un aute..

Volvo grade dit: à

@Chaloux pisque j’ai le droit de poser des questions
un C5 ou une 307 ?

Jean C..... dit: à

Je précise que le 16 h 16 n’est pas de moi.

Donatella dit: à

ni de moi.
Bàv
D.

JC..... dit: à

Evidemment, Jean Cohne, il est de moi le 16h16 !

chelou dit: à

un break 403

Jean Cohne dit: à

Je me disais aussi…..
Merci pour la confirmation.

D. dit: à

Je vous demande bien pardon, mais le 16 h 16 est de moi. Interrogez TKT, il corroborera.

Réfléchissons ensemble, si vous voulez bien dit: à

Tout connentaire est-il d.bile par définition ?

Réfléchissons ensemble, si vous voulez bien dit: à

Si Jacques Barozzi et Traube ne nous parlent jamais des liens réels qui les unissent, est-ce parce qu’ils sont inavouables ?

JC..... dit: à

URGENT
On apprend que TKT a été enlevé aujourd’hui à Zurich par un groupe inconnu, l’H.S.A.T (les Horlogers Suisses en Avance sur leur Temps) ! Leur revendication n’est pas très claire mais la rançon exigée se monterait à 5 millions de rupiahs indonésiens…

Passou ayant refusé tout marchandage, ce sont les Restos du Cœur qui rachèteraient la bête. Spanghero serait intéressé…

Helmut Palmito dit: à

@ Urucu

est-ce pour vous moquer d’U que vous avez ajouté rucu ?

Helmut Palmito dit: à

JC….. dit: 10 septembre 2013 à 16 h 33 min
URGENT
On apprend que Tout Karlstadt Trolle.

On le savait déjà.

Urucu dit: à

16 h 30 min
peut-être pas inavouables mais avant de les romancer, il leur faut acquérir une syntaxe pénienne de péni’stance en relisant quelques romans et essais dont ledit pénis est le héros

Helmut Palmito dit: à

Urucu, je vous ai posé une question poliment mais je vous préviens : le ton pourrait monter, dirait bouguereau.

Ne bradons pas nos valeurs dit: à

« ce sont les Restos du Cœur qui rachèteraient la bête »
JC

Vous voulez parler du bichon ?
C’est dégueulasse, un animal élevé au Pétrus ne peut refilé à des pauvres.
Un peu de morale Monsieur.

rigobert dit: à

ta gueule keupu

Mdr dit: à

JC….. à 16 h 33 min
Ben voilà, JC, vous pouvez être drôle ! (Dès l’instant que vous ne vous contentez pas de nous rapporter les potins de la presse ump)

Urucu dit: à

Helmut Palmito dit: 10 septembre 2013 à 16 h 35 min
réponse : je ne me permettrai jamais .
souvenir d’un poème que j’avais écrit plein de noms propres dont Nankin, Nimègue,Nouméa , et les Nambikwara

Ne brodons pas nos voleurs dit: à

Je ne suis pas keupu !!!!

Mdr dit: à

Urucu bafouille
« peut-être pas inavouables mais avant de les romancer, il leur faut acquérir une syntaxe pénienne de péni’stance en relisant quelques romans et essais dont ledit pénis est le héros »

Grave !

Ne vidons pas nos branleurs dit: à

eussé-été bouguereau j’eusse dit ne branlons pas nos videurs mais je ne suis que keupu

JC..... dit: à

Mdr,
Vous n’aimez pas mon 16h16 ?

Mdr dit: à

Urucu rimaille
… noms propres dont Nankin, Nimègue,Nouméa , et les Nambikwara

Signé Neuneu, le poème ?

Mdr dit: à

JC…..
Vous n’aimez pas mon 16h16 ?

Beaucoup (surtout en imaginant Chaloux en postier cégétiste)

Urucu dit: à

Mdr dit: 10 septembre 2013 à 16 h 45 min
illettré !selon Mendelsohn,dans une parenthèse de Lost in Versailles,il paraît qu’il fallut l’intervention très explicite de l’empereur Joseph II d’Autriche pour éclairer le roi (Louis XVI donc) des mystères de la sexualité
pauvres franchouillants !

renato dit: à

Finalement une explication claire de pourquoi empereur est plus que roi…

auditeur dit: à

« je me suis fait livrer une grosse teutonne à la Poste.  »

Et tu l’as changée pour une grosse laitière sicilienne qu’avait déjà mis bas dix fois

renato dit: à

Une grosse sicilienne arabo-normande ou normanno-arabo-byzantine ?

le mari de la veuve et père de l'orphelin dit: à

« JC, vous pouvez être drôle  »

il est drôle quelque part?

Chaloux dit: à

Urucu dit: 10 septembre 2013 à 16 h 53 min
Mdr dit: 10 septembre 2013 à 16 h 45 min
illettré !selon Mendelsohn,

C’est la référence qui est d’un illettré.

Louis xvi ne savait pas qu’il fallait (qu’il faut!) bouger.
Il brigue quoi Mendelsohn? La place de Citati?

Famulus bougueraldus dit: à

« jcrois que chelou mprend pour un aute.. »

Preuve éclatante,s’il en était besoin que chelou marche à côté de ses pompes, et même de ses saussures, et que cette fâcheuse confusion entre le paradigme du Maître (sans vous offenser, m’sieur Bouguereau) et l’insignifiant signifiant de son obscur famulus nous fait douter qu’il sache seulement différencier chaude-pisse et première communion.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la Syrie,…demande plus de touristes,…pour se les nourrir Aux Chants,…du Labrador,…

…l’hiver sera chaud, au gaz gratuit,…il faut négocier,…on fait la paix,…pour combien de tonnes d’or,…comme les oncles Sam’s suffit,…laisse une réserve de miel aux autres nations pour se reconstruire dans la crise  » Cinéma « ,…à deux balles,…

…l’€mpire à l’€uro,…çà mondialise les privés à sec,…Club Med,…chez barbe-bleu- sans-culte,…les citoyens à la broche tartare,…les nouveaux hot-dog,…au gaz- moutarde,…un délice équitable,…etc,…

…spécialité du chef,…des chefs à deux balles,…etc,…Casse-Mir,…revient,…goûte -moi les noyaux,…Oui,…un délice,…sans diamants,…etc,…

Chaloux dit: à

Laguna.

JC..... dit: à

La grosse sicilienne pondeuse… c’est un gros cliché, mes petits choux. Faut voir les beautés locales, fruits d’un multiculturalisme enchanteur et séculaire ! Il vaut mieux, toutefois, être prudent sur ces sujets… capito ?

JC..... dit: à

« chaude-pisse et première communion »

Dans la durée, la communion fait beaucoup plus de mal…

Ne bridons pas nos vils heurts dit: à

Quand tu veux, rigoberto le rigolo.

La rade en délire dit: à

JC….. dit: 10 septembre 2013 à 17 h 22 min

J’ai failli dire une connerie (une de plus) et puis un reste de bienséance (ou de trouille) m’a retenu.
Je vois que j’ai bien fait, on ne touche pas à la Mamma.

Sergio dit: à

C’est flou on est dans le flou c’est pas bon c’est la porte ouverte à tout même la république on sait pas où on va…

Des dragées pour jicé dit: à

« Dans la durée, la communion fait beaucoup plus de mal… »

Si le vin d’Yves Rocher est le velours de l’estomac, les dragées Ladurée sont le délice du gros colon.
T’es un béotien, jicé.

JC..... dit: à

« Louis xvi ne savait pas qu’il fallait (qu’il faut!) bouger. »

Mais il ne faut pas bouger, Chaloux, c’est un manque de respect pour la partenaire !

C’est lui dire : « T’es une fainéante, faut que je fasse tout le travail ! » Hier, on a fait comme d’habitude, aujourd’hui on fera comme d’habitude. Allongement général, puis madame s’active sur le baudet pendant que l’intellectuel effeuille Léa Seydoux sur le nouveau LUI, allongé tranquillement sur le dos.
( ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit ! évidemment, aujourd’hui on changera de magazine… on n’est pas des ploucs des pays émergents ! demain, les gravures d’Achille Devéria… )

Sonnet du tronc du culte dit: à

les dragées Ladurée sont le délice du gros colon

« C’est l’olive pâmée, et la flûte caline ;
C’est le tube où descend la céleste praline… »

Mdr dit: à

Urucucul-la-praline nous fait son stéphane bern

Sergio dit: à

Les dragées Ladurée, les dragées Ladurée… Vaut pas celles de chez Smith en face…

Urucu dit: à

ai rencontré une dame qui a été à l’école avec une petite fille de G.Sand et qui devrait me le raconter des souvenirs de lycée .
là elle m’a raconté une histoire effroyable de suicide d’une agrégée de physique -chimie ,fille d’une famille dont elle a été -est l’amie…
bonsoir

Chaloux dit: à

Mme Marisol Touraine a « envoyé une lettre » à la victime de son fils, mais elle n’a pas glissé le chèque de l’amende et des dommages et intérêts, 3900 euros, dans l’enveloppe.(Marisol Touraine avoue 1.4 millions d’euros de patrimoine).
Merci Marisol !

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