de Pierre Assouline

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La République des livres
0euvre et vies de Milan Kundera

0euvre et vies de Milan Kundera

On croirait un cas d’école pour atelier d’écriture créative : comment écrire la biographie d’un grand écrivain vivant lorsque ledit écrivain est de longue date un homme qui se tait obstinément ? Milan Kundera (Brno, 1929) est si discret, si ennemi de tout épanchement médiatique et de toute confession aux exégètes, qu’il réussit à vivre en homme invisible alors qu’il habite en plein Paris à deux pas du « Récamier », l’un des restaurants qui compte le plus d’éditeurs et de critiques littéraires au mètre carré. On se doute qu’il a fait sienne la forte pensée de Cioran selon laquelle la perspective d’avoir un biographe devrait faire renoncer à avoir une vie. D’ailleurs, sa mort a été si souvent annoncée par les réseaux sociaux que l’on se prend à lui envier une telle mauvaise santé de fer. Malgré l’importance de son œuvre, sa reconnaissance internationale, sa consécration par la Pléiade et bien que son nom ait été régulièrement cité pour le Nobel, les académiciens suédois ne l’ont jamais couronné ; peut-être cherchent-ils encore ses disques pour voir s’il vaut Bob Dylan.

A ses yeux, c’est simple, sa vie tient en deux phrases :

« Milan Kundera est né en Tchécoslovaquie. En 1975, il s’installe en France ».

Voilà au moins quelqu’un qui ne vous envahit pas de son verbe et ne délaye pas son ego. C’est ainsi et pas autrement qu’il accepte d’être présenté dans les différentes éditions françaises de ses livres. Seulement voilà, on a beau fuir les parasites et décourager les curieux (pas d’interview, pas d’accès aux archives ni aux amis etc), il arrive qu’ils vous rattrapent. Une première fois l’an dernier, une biographie lui était consacrée en France aux éditions de l’Archipel par Jean-Dominique Brierre mais elle passa inaperçue en raison de son insoutenable légèreté. Elle semble avoir beaucoup plu à Kundera si l’on en croit le mot (en tchèque !) qu’il lui a adressé, mais pour un biographe, ce n’est pas forcément un compliment.

Il en est tout autrement de celle qui est parue en juin à Prague sous le titre Kundera: Český život a doba (une vie tchèque en son temps). Une biographie non-autorisée, cela va sans dire mais va mieux en l’écrivant. Son auteur, l’écrivain Jan Novák, a volontairement interrompu ses recherches et son récit à la date-butoir de 1975, lorsque l’écrivain a émigré en France. Seul l’intéresse l’homme d’avant comme il l’a confié au micro de Radio Prague international. Selon lui, Kundera a reconstruit son passé en arrivant en France, comme nombre d’émigrés. Non, affirme-t-il, il n’a pas été exclu d’une université ; non, il n’a pas travaillé dur dans des régions minières ; non, il n’était pas pratiquement inconnu dans son pays jusqu’à la parution de La Plaisanterie en 1967 puisqu’en 1963 déjà il avait été le lauréat d’un prix littéraire remis par l’Etat et l’auteur de poésie « stalinienne » ; non, il n’était pas anticommuniste comme en témoigneraient ses discours lors d’officiels congrès d’écrivains et ses distances par rapport aux réformateurs ; non, il ne fut pas une victime du système, il en a au contraire profité etc. Là où le biographe pointe des mystifications, le romancier peut dire qu’il s’est réinventé, ce qui n’a rien de surprenant venant d’un maitre de la fiction qui, dans L’ignorance, avait entrepris de comparer les mots et expressions dont usent les langues de la vieille Europe pour désigner le sentiment de nostalgie: saudade, spleen, sehnsucht…

Jan Novak a retrouvé des textes de jeunesse, certains publiés sous pseudonyme ; il a mis le pied dans la porte des témoins récalcitrants ; mais de son propre aveu, même si son pavé de 900 pages fouille d’innombrables zones d’ombre, deux points obscurs ont été les aiguillons de sa curiosité. D’abord le séducteur, l’homme à femmes à propos duquel son ami Ivo Pondělíček, psychanalyste et sexologue, complice de ses escapades et de son donjuanisme, semble avoir été bavard, éloquent, détaillé, lettres et souvenirs à l’appui. Ensuite, « l’affaire », cette sale histoire qui a resurgi en 2008 dans les colonnes du magazine Respekt lorsqu’un chercheur de l’Institut tchèque pour l’étude des régimes totalitaires a dévoilé des documents selon lesquels en 1950, Kundera aurait fourni des informations à la police et à la Sécurité d’Etat mettant en cause un ancien pilote du nom de Miroslav Dvořáček ; arrêté pour espionnage, condamné à 22 ans d’emprisonnement, celui-ci fut longtemps incarcéré dans un camp de travail. Soutenu par nombre d’écrivains un peu partout dans le monde, Kundera nia avec force ce qui n’empêche pas Novak d’y revenir en détail, se disant convaincu de la véracité de l’affaire sur la base de concordances avec des témoignages, des documents et… le réemploi de ce vécu de la délation dans La Plaisanterie et dans La Vie est ailleurs (1973) !

On croit savoir que le biographe Jan Novak, dont l’ouvrage est pour le moins controversé, travaille déjà au second volume, cette fois sur les années françaises, alors que Milan Kundera et sa femme viennent d’annoncer le don de leurs archives à la Bibliothèque de Moravie, à Brno, la ville où il est né. Il est à craindre que ce soit tout sauf un livre du rire et de l’oubli. Il sera intéressant de voir comment il traite notamment l’adoption par Milan Kundera du français comme langue d’écriture. La lecture de ses romans La lenteur (1995), L’identité (1998), L’ignorance (2003) puis de son essai Le Rideau (2005) et plus encore de La fête de l’insignifiance (2014) témoignait d’une étonnante lourdeur dans l’expression, surprenante sous la plume drôle, captivante, stylée, puissante et pétillante d’intelligence de l’auteur de La plaisanterie (1968) ou de La valse aux adieux (1976).

Dans Le Rideau, même la pensée souffrait d’être laborieuse, aussi épaisse que l’expression en était pauvre. Cet ensemble discontinu de réflexions sur l’art sous toutes ses formes brasse large : le coup d’envoi donné par Goethe à la Weltliteratur, Rabelais, le comparatisme etc. On ne retrouve le Kundera d’avant que lorsqu’on aperçoit des éclairs dans l’analyse qu’on voudrait lui faire aussitôt approfondir. Ainsi de sa détestation de l’idée de la mitteleuropa (expression qu’il abhorre), ou de son insistance à qualifier Kafka d' »écrivain allemand ». Comme on aurait aimé le voir développer des constats tels que :

« L’Europe n’a pas réussi penser sa littérature comme une unité historique et je ne cesserai de répéter que c’est là son irréparable échec intellectuel« .

Ou encore :

« Hitler avait apporté non seulement d’indicibles horreurs à l’Europe mais il l’avait spoliée de son sens du tragique ».

Mais quand on lit sous sa plume, à propos de l’invasion soviétique de la Tchécoslovaquie en 1968 : » Je sais depuis lors ce qu’aucun Français, aucun Américain ne peut savoir ; je sais ce qu’est pour un homme vivre la mort de sa nation« , on se demande s’il a jamais entendu parler de ce qu’a vécu la France entre 1940 et 1944.

Ce n’est pourtant pas faute d’avoir aimé la France en ne se contentant pas d’adopter sa langue et sa nationalité. Ainsi, par admiration pour Céline publié chez le même éditeur que lui en République tchèque, Milan Kundera a renoncé à une partie de ses droits d’auteur afin que cela serve à financer une nouvelle traduction du Voyage au bout de la nuit... Et puis quoi, quel écrivain est capable de nos jours de consacrer tout un chapitre d’Une rencontre (un recueil de ses critiques littéraires d’une pénétration remarquable) à louer le génie d’Anatole France et la grandeur inentamée des Dieux ont soif (1912), réflexion en creux sur la montée du fanatisme dans un esprit sensible et nuancé, celui d’Evariste Gamelin, jeune peintre jacobin que la Terreur (1793-1794) poussera à siéger dans un tribunal révolutionnaire et s’y montrer le plus implacable pourvoyeur de la guillotine.

On verra aussi comment le biographe s’en sort de « l’affaire Pléiade » : deux volumes d’Oeuvre (sans « s ») de Milan Kundera dont l’auteur s’assura la totale maitrise. Il l’a si bien épurée qu’il y manque des textes de jeunesse, des articles importants, des brouillons, des variantes, sa propre biographie et surtout ce qui a toujours fait l’intérêt de la Pléiade : l’appareil critique. Cette édition ne contient que du Kundera allégé, orné d’une succincte préface et d’une « biographie de l’œuvre » signées François Ricard. Le tout conforme à l’image que l’écrivain veut laisser de lui, en parfaite adéquation avec son aversion chronique pour les biographes, les généticiens de la littérature et leur commune « morale de l’archive ». Il y eut des universitaires pour s’en scandaliser, à quoi Gallimard se fit fort de rappeler qu’en leur temps, Gide, Borges, Simon, Gracq en firent tout autant que Kundera. Ils avaient certes exercé leur droit de contrôle mais pas au point de forcer la collection à abdiquer tout esprit critique.

Il n’empêche que l’on doit à Kundera. Un Européen, c’est celui qui a la nostalgie de l’Europe. Or cet écrivain nous a appris cela que seul un créateur venu de la fiction pouvait nous apporter. On lui doit d’avoir ressuscité l’idée d’Europe centrale. Contexte et fil rouge de l’essentiel de ses écrits, elle court tout au long de son œuvre comme en témoigne la lecture de ces deux volumes de Pléiade. A condition de ne jamais oublier ce qu’il a voulu faire du roman : un art, et non plus un genre, porteur d’une vision du monde, et dont l’avenir se joue dans la cale de l’Histoire.

Kundera nous a appris à regarder les régimes communistes en action non à travers leur prisme strictement socio-politique mais par les attitudes qu’ils suscitaient chez les citoyens/personnages. Du communisme en particulier, il tira la meilleure des introductions au monde moderne en général. L’impact de son œuvre est indissociable de l’émancipation des peuples de ces pays-là. Elle est des rares à avoir permis, à ses lecteurs emprisonnés derrière le rideau de fer, d’inscrire leur « moi » au sein d’un « nous » jusqu’alors dilué au sein d’une histoire collective. Traitant la politique en artiste radical, il a redonné des noms à des phénomènes, des sentiments et des sensations que le totalitarisme avait réussi à débaptiser. Kundera a regardé la société en adepte du pas de côté et du décalage. Il a revisité les anciennes catégories qui définissaient les grands romanciers d’Europe centrale, celle de la philosophie et du sérieux, pour les remplacer par un rire tout de désinvolture et d’impertinence, par l’humour et l’ironie contre les grotesques du système, et par l’élévation du kitsch au rang d’une catégorie quasi métaphysique. Sa méditation sur l’exil, et l’impossibilité pour l’émigré de rentrer au pays sous peine d’annuler de sa biographie intime ses longues années passées hors de chez lui, est inoubliable.

Il a ressuscité un Occident oublié au sein de notre Occident. La résurgence de cette Atlantide a cassé la vision bipolaire Est/Ouest ; celle-ci n’avait pas seulement écrasé l’identité de la Mitteleuropa : elle avait installé le choc des civilisations dans les esprits. On doit au romancier d’avoir hâté le retour de l’Europe centrale en restituant ses habitants à l’Europe, une véritable révolution culturelle, ce qui n’est pas peu (son article de 1983 sur « Un Occident kidnappé » fait date). Sa vision de l’Histoire n’en est pas moins « idéalisée parfois à la limite du kitsch » ainsi que le lui reproche Vaclav Belohradsky dans un article vigoureux de Literarni Noviny repris en français par la revue Books. Selon lui, Kundera n’a pas voulu voir que l’Europe centrale avait été aussi une allégorie de la face sombre du XXème siècle ; il n’en a retenu que l’éblouissante modernité à l’œuvre dans la Vienne de la grande époque pour mieux oublier la haine de la démocratie, le nationalisme anti-Lumières, l’antisémitisme et autres démons.

Vaclav Belohradsky pointe la racine de ce tropisme dans une naïveté propre à une conception avant-gardiste de la modernité, en vertu de laquelle le passage du passé au présent permettrait de se libérer des ténèbres. Comme quoi, pour avoir été un fin analyste de la mécanique totalitaire, le romancier n’en serait pas moins victime d’une illusion sur le brouillard qui enveloppe le passé et se dissipe dès que celui-ci devient présent. Il identifie la bêtise à la religion de l’archive, l’illusion biographique, le formalisme littéraire, la recherche génétique. Tout ce qui concourt selon lui à dépouiller un auteur de ce qui n’appartient qu’à lui. Nous sommes donc privés notamment de textes de jeunesse. Le fait est que cette édition épurée est la négation même du travail des historiens de la littérature.

On ne saura pas quand il est passé du rire à l’oubli, et de la tendresse au désenchantement. Ni comment le Kundera tchèque fut aussi engagé que le Kundera français ne l’est pas. Ni les étapes parfois douloureuses qui l’ont fait glisser de sa langue natale à sa langue d’adoption avec tout ce que cela suppose de renoncements. Ni l’évolution du lyrisme insolent, drôle, sarcastique, agressif, mordant, romantique des années de plaisanteries et de risibles amours à l’antilyrisme l’ayant mis à distance des sentiments pour verser dans une ironie qui n’aura conservé que le sarcasme des années d’avant, comme un adieu à l’innocence, prix à payer pour accéder à la sagesse, si Diderot à ses débuts, si Anatole France vers la fin. Ni pourquoi il lui fallu dissocier son art romanesque de tout contexte politique pour lui accorder le statut extraterritorial d’une autonomie radicale. Regrets éternels. On aurait ainsi mieux compris comment un grand écrivain se déhistoricise dès qu’il se veut universel. Alors à défaut de la Pléiade, la biographie, qui sait…

(photos Gisèle Freund puis D.R.)

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commentaires

1 520 Réponses pour 0euvre et vies de Milan Kundera

et alii dit: à

Le chien-loup tchécoslovaque (ou Vlčák) est une race de chien relativement nouvelle qui remonte sa lignée d’origine à une expérience menée en 1955 en Tchécoslovaquie.

Après avoir initialement sélectionné 48 bergers allemands avec quatre loups des Carpates, un plan a été élaboré pour créer une race qui aurait le tempérament, la mentalité de meute et l’entraînement du berger allemand, ainsi que la force, la constitution physique et l’endurance du loup des Carpates.

Cette race a été conçue pour aider à la surveillance des frontières en Tchécoslovaquie, mais a ensuite été également utilisée pour la recherche et le sauvetage, le pistage, la garde ou encore l’élevage. Attendez-vous à payer autour de 1300€ pour un chien-loup tchécoslovaque.

Soleil vert dit: à

Pat V dit: à
Pour faire un peu Gala…

Hervé Villard n’a pas parlé de Bernard Dimey ?

B dit: à

La salade de Nicolas Stael.

C’est fou comme les peintres sont atteints par le suicide comme si c’ était un agent extérieur. J’aime bien de Stael, peut être aussi en raison de son être physique, un peu mon genre.

B dit: à

L’ombelle, lasagnes réchauffés, abricots au sirop. Je n’ai plus de chantilly, crotte.

l’ombelle des talus dit: à

Un enfer de salades et de crudités, difficiles à assimiler comme tout ce qui est cru.

B dit: à

Qu’il soit flic ou curé, à vrai dire je m’en fous…

Quelle politesse habitait ce Vilard, si j’avais lui j’aurais chanté autre chose à sa place. Les critères sélectifs se situent pour lui autre part, c’est évident. Le motif d’une chanson, soit

B dit: à

Si j’avais été lui, à la place

renato dit: à

Il faudrait voir, B, la perceptuelle de commercialistes qui se suicident.

l’ombelle des talus dit: à

l’ombelle des talus dit: à
Un enfer de salades et de crudités, difficiles à assimiler comme tout ce qui est cru.

Bien qu’après trois jour à dégorger dans le frigo (les rondelles de concombre ont alors lâché toute leur eau), la salade mixte devienne digeste au plan physiologique ; quelques résidus de mozzarella ajoutent un peu de couleur à un ensemble rafraîchissant et tellement de saison.

l’ombelle des talus dit: à

l’ombelle des talus dit: à
l’ombelle des talus dit: à
Un enfer de salades et de crudités, difficiles à assimiler comme tout ce qui est cru.
Bien qu’après trois jour à dégorger dans le frigo (les rondelles de concombre ont alors lâché toute leur eau), la salade mixte devienne digeste au plan physiologique ; quelques résidus de mozzarella ajoutent un peu de couleur à un ensemble rafraîchissant et tellement de saison.

Après ça, un demi verre d’eau tiède et hop! au lit avec votre amoureux.

renato dit: à

Oups ! commercialiste > comptable, pardon

D. dit: à

La France est un pays complètement foutu.
Sa résurrection viendra mais cela passera hélas par des guerres terribles et longues qui finiront néanmoins par la défaites de ses ennemis.
La seconde Restauration sera éclatante. C’est écrit dans les astres. Le Roi sera sacré à Reims avec la Sainte Ampoule.

Phil dit: à

Bravo dédé. on voit bien que vous venez d’avaler du cauchon.

D. dit: à

Ne prenez pas mes écrits à la légère. Je sais ce que j’écris. Je vous parle bien de la restauration de la royauté de droit divin. Celle qui a prévalu de tous temps à la meilleure destinée du monde.

D. dit: à

Je vous prie de ne pas m’appeler « dédé », Phil.
Il me semble vous avoir toujours respecté et je vous exhorte d’en faire autant avec moi.

D. dit: à

Ça suffit les oups, renato. Vous passez votre journée à manger des carpaccios ou des gibiers faisandés et à faire oups.
C’est un peu facile au bout du compte.

D. dit: à

Les abricots au sirop c’est top zéro côté nutrition. A part les fibres, ça n’apporte que des mauvaises choses : sucre, acidité, absence de vitamines.

Une chantilly très peu sucrée réalisée avec une crème bio de vaches n’ayant mangé que de l’herbe fraiche est l’un des meilleurs aliments que l’on puisse trouver, riche en excellents acides gras.
Il faut néanmoins faire attention à ce que cette crème apportera en calories.
Je vous conseille ceci : www.http://www.bernardgaborit.fr/produits/au-lait-de-vache/58-cremerie-de-vaches/158-creme-fraiche-bio-25cl

Marc dit: à

D,

Je suis plus beau que toi, plus intelligent que toi, plus fort que toi et plus drôle que toi.
Donc,
Toi, D, tu es moins beau que moi, moins intelligent que moi, moins fort que moi et moins drôle que moi.
Donc,
Je peux te tutoyer puisque tu es moins que moi.
Voilà.

Janssen J-J dit: à

@ quikonsoit, le tutoiement est une pratique détestable pour ne point dire insupportable sur ce blog de l’erdélie, comme si nous avions, de près ou de loin, la moindre des choses à partager. Celzéceux qui en usent et en abusent comme d’armes offensives à l’appui de leurs pitoyables arguments, devraient faire attention à ce qu’on ne les leur retourne pas de la même façon, à la manière d’une contre-attaque vindicative, non dénuée de légitimité psychologique.

D. dit: à

Les crudités s’assimilent très bien lorsqu’elles sont consommées avec un aliment chaud/cuit.
C’est d’ailleurs l’un des principes de la plupart des cuisines extrêmes orientales.
Par exemple un bouillon dans lesquels on les aura jetées. Ou un mélange de légumes cuits 2/3 et crus 1/3.
Autrefois on mangeait très peu de légumes non cuits. L’organisme humain n’est pas fait principalement pour cela, contrairement à ce qu’on essaye de nous faire croire depuis trois décennies. Le seul intérêt du cru (en dehors du goût, que l’on peut apprécier) se trouve dans le respect des quelques vitamines.
La salade verte c’est bon, mais la réalité c’est qu’on ne la digère quasiment pas. Elle ressort souvent telle quelle.
Quand vous voyez les bonnes femmes à midi qui ne bouffent que de la salade verte avec trois olives et un bout de jambon, c’est terrible.
Il faudrait qu’elles quadruplent la quantité de jambon, mais comment leur dire sans courir à l’incident ?

Janssen J-J dit: à

Rentrez dans votre coque, aux Amandes. Vous devenez vulgaire par cette chaleure. Aucune excuse.

et alii dit: à

c’était en 2013
Le Hra Roku n’est pas un groupe de death métal finlandais mais le Jeu de l’Année de nos amis de Tchéquie. Comme ici, ce prix est décerné chaque année par un jury de spécialistes aidé par quelques « observateurs ».

Ce prix est accordé depuis 2004.
BONNE SOIREE

Janssen J-J dit: à

Il faut dire aux bonnes femmes leurs quatre vérités culinaires, quoiqu’il nous en croûte. A quoi bon jouer les cocoboys sur les blogs, sans risquer de prend’une mordale dans la tronche. Es pas un homme, sinon.

et alii dit: à

La plus grande bibliothèque du monde est à Prague
PAR CAMILLE
14/10/2016
· PRAGUE, RÉPUBLIQUE TCHÈQUE
La bibliothèque nationale tchèque : Clementinum
La bibliothèque Clementinum, exemple de l’architecture baroque, a été ouverte en 1622 par les jésuites qui y ont transféré les livres de l’université Charles. Elle contient plus de 20.000 mètres carré de livres !
https://www.atterrir.com/la-plus-grande-bibliotheque-du-monde-est-a-prague-846

Marc dit: à

Gigi l’alcoolobaveuse, impuissante comme un macchabée veut passer pour une vieille dame fine et spirituelle qui n’aime pas du tout la vulgarité !!!
Retourne dans ton jardin et essaye de te branler sur une photo d’Alice Sapritch… Hihihihihihihihihi

et alii dit: à

Joseph Stepling (né le 29 juin 1716 à Ratisbonne ; mort le 11 juillet 1778 à Prague) est un savant germano-bohémien du xviiie siècle.
En 1733 il entra dans la Société de Jésus et continua ses études à Olmütz, Glatz et Prague. Dans cette période, il parvient à calculer l’éclipse lunaire du 28 mars 1733. Il a alors seize ans1.

Dans ce dernier endroit il reçut entre autres l’enseignement d’Ignatz Mühlwenzel. En 1743 il termina ses études de théologie et après son ordination il enseigna aux novices les mathématiques et la physique. En 1748 il se démit de sa chaire, se refusant à enseigner selon les théories d’Aristote.

Au début des années 1750 on aménagea à sa demande au Clementinum de Prague un observatoire2 dont il fut le directeur jusqu’en 17783. Quand en 1753 on rectifia les instructions pour les études, Stepling revint diriger les disciplines mathématiques et physiques à l’École supérieure. Désormais, il enseignait les théories d’Isaac Newton, de Christian Wolff et de Leonhard Euler. Après la dissolution de la Société de Jésus, en 1773, il resta à l’École supérieure.

En 1982. l’astéroïde (6540) Stepling a reçu son nom en son honneur4.
SUR WIKI

Janssen J-J dit: à

cette amande au beurre d’araby qui essaie de se hausser dans le trou fumant d’un cul de basse fosse de la rue des Icoles. J’aurions tout vu icite, ce soir. c grandiose !
Et aucune pute à l’horizon pour regonfler leur bourse bien plate. Les vacances covidées, ça craint pour tout le monde, hein !…

D. dit: à

Oui la bouffe, en effet, est pour moi plus importante que la fornication. Je l’admets bien volontiers. Est-ce un mal ?
Moi c’est la bouffe, la bouffe, la bouffe.
Et encore la bouffe.

D. dit: à

Je suis plus beau que toi, plus intelligent que toi, plus fort que toi et plus drôle que toi.

C’est pas impossible, mais cela tiendrait de la prouesse.

D. dit: à

Par contre en effet comparé à JJJ on a deux Rafale en combat tournoyant qui soufflent un petit coucou suranné d’aéroclub et l’envoient tomber en feuille morte.

Janssen J-J dit: à

On ne peut pas lutter contre le summum de la perfection cybernétique, comme il disait l’ordinateur de l’odyssée. En revanche, un progrès fut décisif dès lors que nous pûmes mettre en ligne toutes nos publications sur HAL. Y compris celle de nos amis tchèques du CFRES. Je les salue pour les avoir visités en 2004 et leur avoir fait un exposé toujours en ligne depuis. Je pense leur avoir appris quelque chose, à cette époque. D’ailleurs ils m’en remercièrent vivement.
Le fait que d’aucuns s’occupent d’Allan G. me confirme qu’ils sont désormais dans le bon sens de l’histoire.
Merci pour ce rappel. Vos liens musicaux des année septante nous manquent beaucoup depuis quelque temps pour nous distraire un brin de la sympathique année Bétove. Quid ?

Marc dit: à

Un peu de sagesse après la baise :

« Si vous ne savez pas oú vous allez, tous les chemins vous y mènent ».

Saint Charbal, cher à mon coeur et au coeur de tous les maronites.

Jean Langoncet dit: à

@Marc dit: à
Je viens juste de quitter deux putes c’est pour ça que je suis heureux comme un lion repu et douceheureusement rassasié… Hihihihihihihihihihihihi
Encore une fois je vous le dis : » C’EST LE CUL QUI SAUVERA LE MOOOOOO

On réserve le meilleur pour la fin …Bisous
https://www.youtube.com/watch?v=ggsCnFSDC3c

Janssen J-J dit: à
On ne peut pas lutter contre le summum de la perfection cybernétique, comme il disait l’ordinateur de l’odyssée. En revanche, un progrès fut décisif dès lors que nous pûmes mettre en ligne toutes nos publications sur HAL. Y compris celle de nos amis tchèques du CFRES. Je les salue pour les avoir visités en 2004 et leur avoir fait un exposé toujours en ligne depuis. Je pense leur avoir appris quelque chose, à cette époque. D’ailleurs ils m’en remercièrent vivement.
Le fait que d’aucuns s’occupent d’Allan G. me confirme qu’ils sont désormais dans le bon sens de l’histoire.
Merci pour ce rappel. Vos liens musicaux des année septante nous manquent beaucoup depuis quelque temps pour nous distraire un brin de la sympathique année Bétove. Quid ?

D. dit: à
Par contre en effet comparé à JJJ on a deux Rafale en combat tournoyant qui soufflent un petit coucou suranné d’aéroclub et l’envoient tomber en feuille morte.

D. dit: à
Je suis plus beau que toi, plus intelligent que toi, plus fort que toi et plus drôle que toi.

C’est pas impossible, mais cela tiendrait de la prouesse.

D. dit: à
Oui la bouffe, en effet, est pour moi plus importante que la fornication. Je l’admets bien volontiers. Est-ce un mal ?
Moi c’est la bouffe, la bouffe, la bouffe.
Et encore la bouffe.

Janssen J-J dit: à
cette amande au beurre d’araby qui essaie de se hausser dans le trou fumant d’un cul de basse fosse de la rue des Icoles. J’aurions tout vu icite, ce soir. c grandiose !
Et aucune pute à l’horizon pour regonfler leur bourse bien plate. Les vacances covidées, ça craint pour tout le monde, hein !…

A defaut d’un bonne bouffarde, une bonne bouffe collective (le pluriel étant relatif, vous concernant) vous conviendrait-elle ? Etant entendu que le vaccin putinien n’a d’effet qy)

Janssen J-J dit: à

@ un petit coucou suranné d’aéroclub et l’envoient tomber en feuille morte

Mais non, mais non, voyons ! nous, on n’a pas de soucoupe supersonique, c plutôt nous-je les ‘tits coucous à côté. Lui, avec son petit drone manipulé à distance, je sais pas, moi je conduis qu’un modeste Piper seneca PA-34 et ench’ore…, je viens jus’ d’avoir mon pré-diplôme, j’ai encore pas mal d’heures de vol à faire, 250 environ… N’avez rin à craind’, D.

Janssen J-J dit: à

On réserve le meilleur pour la fin …Bisous
https://www.youtube.com/watch?v=ggsCnFSDC3c

Aggccch Langoncet, c’est ce que j’appelle de la bonne réactivité, là. Merci, je savions pouvoir compter sur vous. Voudriez pas vous vous joindre aux agapes proposées, loin des chaviruss ?, je trouve que ç’aurait de la gueule, hein… Plus on est d’oufs, hein hein…, avec deux trois meufs en pluss, mais des geishas raffinées, unikly… Quand même ! Restons-en à des niveaux de décence convenables. On est sur l’Herdélie, que diantre.

Patrice Charoulet dit: à

ISRAEL SUR ARTE

Ce que j’ai dit des Juifs hier ici et de mon soutien indéfectible à
Israël tombe à pic .Je n’avais pas lu le programme TV. Or, ce mardi soir, je cherchais ce que j’allais regarder à la télé. J’ai vu qu’il y aurait sur Arte à partir de 21h un documentaire sur la création de l’Etat hébreu et sur tous les événements qui l’ont suivie. Instructif et passionnant ! Si vous avez raté ce documentaire, trouvez-le : il vaut le détour, je vous en assure.

Marc dit: à

La plus ancienne bibliothèque de toute l’histoire de l’humanité, fondée par Ramsès II.
Fabuleuse et légendaire.
Elle avait pour nom : Amon bi Arakh.

Jean Langoncet dit: à

Janssen J-J dit: à
On réserve le meilleur pour la fin …Bisous
https://www.youtube.com/watch?v=ggsCnFSDC3c

0Aggccch Langoncet, c’est ce que j’appelle de la bonne réactivité, là. Merci, je savions pouvoir compter sur vous. Voudriez pas vous vous joindre aux agapes proposées, loin des chaviruss ?, je trouve que ç’aurait de la gueule, hein… Plus on est d’oufs, hein hein…, avec deux trois meufs en pluss, mais des geishas raffinées, unikly…

Peut-être est-il temps pour vous de prendre votre retraite ; que n’emboîtez-vous pas le pas d’un Castoriadis ? Une Datcha sur la côte océane bretonne vous déplairait-elle ? Les temps changent mais la figure de l’apparatchik fendu de culture demeure. Oui, mais où tenter votre chance de nos jours ? La virtualité, ça va bien un moment …

et alii dit: à

Le dernier film de Jiří Trnka, sorti en 1965, quatre ans avant sa mort.
Une allégorie de l’artiste confronté à l’emprise d’un pouvoir totalitaire qui tente de brider sa liberté créatrice. Le film fut interdit durant 20 ans en Tchécoslovaquie.
la main
https://www.youtube.com/watch?v=O7eWFxPgklU

et alii dit: à

je crois que ces histoires de perturbateurs sont très importantes le monde:
Perturbateurs endocriniens : ces experts contestés qui jouent les semeurs de doute
Un groupe de toxicologues aux compétences discutées et aux conflits d’intérêts voilés s’active pour faire dérailler la mise en place en Europe d’une réglementation sur l’usage des substances artificielles toxiques à très faibles doses.

vedo dit: à

Je suis allé saluer Léon Fleisher après un concert à Chaillot. (A ce moment il avait repris son activité de pianiste). Un ami avait été son assistant pendant de nombreuses années. A Chaillot il dirigeait un orchestre de jeunes (parisiens). Pas très content du niveau. Je lui ai serré la main trop fort et il a fait une grimace. Cela m’a fait très peur. 🙂

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mercredi 12 aout 2020 à 3 h 11 min.

…rien à faire,!…

…le peuple restera, toujours le peuple, tant qu’il prétend contrôler son environnement à chercher des brindilles, alors même, qu’il se met ( le peuple ) la poutre énorme dans sa gueule,!…

…plusieurs exemples déjà,!…déjà la formation au service militaire de base,!…
…la liberté de groupe régionaliste – armé,!…
…ensuite ?, quels contrôles sur les flux et reflux des  » masses  » monétaires,!…sur nos têtes,…

…et en plus, déjà les midinettes du droit, à évaluer, les degrés d’honnêtetés des individus, avec des  » pièges  » à gogo, pour se donner le change,!…du travail noble,!…

…plus bêtes pour se donner du prestige, tu meurs, avec rien,!…
…au service du capital,…des diversions à rechigner la peste, à l’eau courante de la lecture intellectuelle,!…nationalismes, partis politiques, religions,!…

…restez  » athée « , le parcourt du combattant, sans congrégations ad-hoc soumis,!…
…la plage pourquoi faire, pipi à la mer,!…

JiCé..... dit: à

Mercredi 12 août 2020, 5h39

Par Hercule ! …la canicule fait qu’on recule….

Marie Sasseur dit: à

#Et que vive le Liban des Lumières !

(Ce texte, à l’initiative des deux écrivains Abdellatif Laâbi et Issa Makhlouf, a recueilli l’adhésion de près de 150 créateurs et intellectuels du monde entier, et reste ouvert aux signatures à l’adresse suivante : sosliban1@gmail.com (en précisant : nom, prénom, profession, nationalité).

_____________

Cette référence au siècle des lumieres (?) ôte à cette petition le peu de raison, qu’elle pouvait contenir. La raison, valeur absolue du mouvement dit des Lumieres, qui en terme l’anticléricalisme prônait jusqu’au déisme, on oublie trop souvent que Voltaire en était le plus fanatique.

Foin de ces vieilleries de recup’

Lisez plutôt cet appel à la raison :

https://www.liberation.fr/debats/2020/08/11/liban-chronique-des-vivants_1796470

Chaloux dit: à

Censurée, hélas, la petite phrase, si drôle, tellement imagée… Juvénal, où es-tu?

Hurkhurkhurk!

Marie Sasseur dit: à

# Et que vive le Liban des Lumières !

(Ce texte, à l’initiative des deux écrivains Abdellatif Laâbi et Issa Makhlouf, a recueilli l’adhésion de près de 150 créateurs et intellectuels du monde entier)
_____________

Cette référence au siècle des lumieres (?) ôte à cette petition le peu de raison, qu’elle pouvait contenir. La raison, valeur absolue du mouvement dit des Lumieres, qui en terme l’anticléricalisme prônait jusqu’au déisme, on oublie trop souvent que Voltaire en était le plus fanatique.

Foin de ces vieilleries de recup’

Lisez plutôt cet appel à la raison :

https://www.liberation.fr/debats/2020/08/11/liban-chronique-des-vivants_1796470

Marie Sasseur dit: à

Vedo joue dans la cage aux folles, c’est pas possible, autrement.. de glousser avec une anecdote aussi débile et satisfaite d’elle-même.

Janssen J-J dit: à

Une nouvelle journée débute, purifiée, comme un mardi d’orages rafraichissants (12.8.20_8.45). La vraie vie… celle de la retraite dans ma datcha, avec de la bonne musique et un zeste d’activités virtuelles. Miasmes collectifs de la soirée envolés, de nouveaux projets de lectures et de baignades pour le jour, car la plage sera désertée. Le chapitre donné en anglais cet hiver dans un ouvrage collectif américain vient de paraitre. Mon avant-dernier papier, une récompense et une fierté. Cet étonnement : Doris Lessing aurait été une auteure de SF émérite, https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/08/12/hypermondes-12-lessing/ Faudra-t-il aller y voir pour réviser nos préjugés sur un genre prétendu mineur ?
A tous.tes et à chacun.e des erdélien.nes, donnons, ce jour, le meilleur de notre personnalité. S’il y a un bon dieu dans les cieux, c’est lui qui le demande. Bàv,

Janssen J-J dit: à

Le musée des jeux olympiques de Lausanne est intéressant à visiter, une heure à peu près, pour sa collection d’affiches, notamment. Signalons qu’il y a néanmoins pas mal de lacunes à ce sujet. Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ MC et SV, petites précisions de l’auteur retrouvées au sujet d’une discussion précédente sur la SF… Les connaissiez-vous ?

NB / [le fameux « J’avais atteint l’âge de mille kilomètres » a surtout été mis en avant par l’édition française. Christopher Priest indique en effet que plusieurs éditions anglaises faisaient précéder « I had reached the age of six hundred and fifty miles » d’un prologue de trois pages. Conseillé par le traducteur Bruno Martin, l’éditeur français Robert Louit a supprimé ce prologue et a aussi converti la distance dans le système métrique : l’effet en était radicalement changé ].
Bàv,

JiCé..... dit: à

Le Liban des Lumières ?
AHAHAHA !

Le Liban des Bougies du Hezbollah….

JiCé..... dit: à

Gigi !
Tu vas arrêter de faire chiller le monde avec ton écriture inclusive à la con ?….Racaille !

bouguereau dit: à

Robert Louit a supprimé ce prologue et a aussi converti la distance dans le système métrique

..mon prochain opus sra ‘quand jai eu l’age de 20 cm dans l’cul’..et harvey mfait déja des avaloir en myon d’dollar pour ladaptation de huit pouce in my ass

bouguereau dit: à

Le Liban des Bougies du Hezbollah…

on a jamais passé l’age quelle dit bonne clopine

bouguereau dit: à

Par Hercule ! …la canicule fait qu’on recule….

montre que t’as du courage jicé par junon

Janssen J-J dit: à

@ JM B / « mon prochain opus sra »

…mais l’est déjà écrit. Suffit jus’ de rabouter tous les bouts depuis l’espace-temps erdélien (et donner une ‘tit comm à passoul au passage) : le fait au moins 500 mètres d’âge de pinocchiu, ou 200 pages en folio/gallim/SF. Pour le film : environ 1h.40, temps réglementaire GMT.
Bàv,

Phil dit: à

as you know, million dollars movie, une des rares bonnes biographies de cinéma par Michael Powell, dear Bouguereau. le modèle du cinéphile en peeping tom. faut s’accrocher aux branches avec ce virus chinois qui condamnent les cinéphiles sans beamer à se crever la vue sur smartphone. encore un coup d’afflelou. Vive le 35mm (pas dans le slip).

bouguereau dit: à

La salade verte c’est bon, mais la réalité c’est qu’on ne la digère quasiment pas. Elle ressort souvent telle quelle

dédé pête des nicolas de stael comme rénateau des manzoni..jicé des cierges du hezbola..yavé aime les artistes

JiCé..... dit: à

Yavé ?
….Yapu….!

bouguereau dit: à

Michael Powell

il existe une interview avec scorsese avec lequel il était trés copin..du temps où il bullait dans son bureau a newyork..ça doit se trouver

bouguereau dit: à

….Yapu….!

mais yavol mein herr qu’il dit lindéfectible charoulet

Jibé dit: à

vache alors! MaC est mort et personne ne me dit ni quand ni rien, mais Jicé est là!
Est-ce le même? celui des îles du Levant, que je me le sui fait des posts durant?
ceci dit, le « Liban des Lumières », j’agrée avec Jicé, les Lumières au Liban? Y a de ces poncifs…

bouguereau dit: à

marche à l’ombre keupu

et alii dit: à

« Car la conversation transcende les frontières identitaires et elle remplit son rôle « en aidant simplement les êtres humains à s’habituer les uns aux autres », comme l’écrit Kwame Anthony Appiah [1]. Elle permet ainsi une éthique de la coexistence, laquelle n’exige pas que nous nous comprenions mais seulement que nous nous entendions. Ce qui doit donc être poursuivi, ce n’est pas la préservation des « cultures » mais l’égalité civique. L’universel alors ne se confond ni avec le global ni avec l’uniforme. Il pose notre appartenance à une communauté éthique et sans limites dont tous les membres sont égaux. Encore faut-il que de cette communauté éthique nul être humain ne soit exclu.

C’est sur l’exclusion réelle que se fonde la contestation intersectionnelle de l’universalisme. Elle est pensée, dès son origine, en 1989, par Kimberlé W. Crenshaw, une juriste américaine, comme une stratégie discursive visant à décentrer le féminisme occidental et à désigner la nature imbriquée des structures et des identités. Dès lors, la violence de genre sera le plus souvent perçue comme un outil du colonialisme que l’État, en situation postcoloniale, continue d’exercer. »
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/05/22/reves-emancipation-roza/

et alii dit: à

déboulonnage, images,racisme:
« La grande ironie de l’histoire est que Parr est un gauchiste antiraciste qui, dans un entretien accordé au Figaro avant qu’il ne soit obligé de démissionner, avait proclamé son soutien pour Black Lives Matter et s’était déclaré « complètement pour » la destruction des statues qui constitue, à son avis, une « réappropriation de notre histoire. » A force de déboulonner les autres, on finit par se faire déboulonner soi-même. Les accusateurs de Parr le Blanc n’ont fait preuve d’aucune hésitation, d’aucune mansuétude, en le condamnant. Mais dans le labyrinthe de la cancel culture, les choses ne se passent jamais comme prévu. Comme le confirme le cas de Wiley.

Se grimer en raciste
Ce rappeur britannique, connu comme le « Roi » d’une forme de hip-hop appelée « grime », récompensée d’une médaille par la Reine en 2018, commence mal le weekend du 25/26 juillet. Vendredi soir, il se lance dans une série de tirades antisémites sur différents médias sociaux. Interdit pendant quelques heures de publier sur Twitter, où il a un demi-million de suiveurs, il revient à la charge samedi matin. S’adressant aux juifs, qu’il qualifie de « lâches » et de « serpents » et qu’il compare aux membres du Ku Klux Klan, il leur assène qu’Israël « n’est pas votre pays » avant d’affirmer plus tard que c’est « à nous », invoquant ainsi le mythe des Hébreux noirs cher à certains Afro-Américains (Croyance selon laquelle les Noirs sont les vrais descendants des anciens Israélites.). Il semble que l’origine de ce déversement de haine se trouve dans un conflit entre le musicien et son manager qui s’avère être juif. Néanmoins, les « excuses » que le rappeur »
sur causeur

Pablo75 dit: à

Je suis allé saluer Léon Fleisher après un concert à Chaillot. (A ce moment il avait repris son activité de pianiste). Un ami avait été son assistant pendant de nombreuses années. A Chaillot il dirigeait un orchestre de jeunes (parisiens). Pas très content du niveau. Je lui ai serré la main trop fort et il a fait une grimace. Cela m’a fait très peur.
vedo dit:

Notre mythomane irrécupérable recommence avec ses délires pathologiques. Il nous prend tous pour des crétins, vraiment.

À Chaillot des concerts? Il avait repris son activité de pianiste mais il dirigeait des orchestres de jeunes parisiens? Quel orchestre de jeunes parisiens? Celle d’un lycée?

Ce Vedo est un vrai malade mental qui se fout de nos gueules. Je suis prêt à parier qu’il écrit depuis une chambre d’hôpital psychiatrique.

Soleil vert dit: à

>JJJ : Le prologue du monde inverti.
Le fait est connu. La SF fut dans les années 60 et 70 un genre mineur au niveau de la traduction. Certains éditeurs comme Le Masque Science-fiction tranchaient ou réinventaient le texte. Le plus spectaculaire travail effectué ces dernières années fut la restauration complète (effectuée par un français !) du Conan de Robert E Howard. Il fallu éliminer les scories (réécriture, censure …) de Sprague de Camp (un écrivain tâcheron américain ami d’Heinlein) et retraduire tout cela

Pablo75 dit: à

Une très belle chanson entendue l’autre jour sur France Musique, citée par le chef d’orchestre, pianiste et compositeur Clément Mao-Takacs (né à Paris en 1980) entre les oeuvres musicales qu’il préférait:

Misia – Te extraño

Te extraño
Como se extrañan las noches sin estrellas
Como se extrañan las mañanas bellas
No estar contigo por dios que me hace daño

Te extraño
Cuando camino, cuando lloro, cuando rio
Cuando el sol brilla, cuando hace mucho frio
Porque te siento como algo muy mio

Te extraño
Como los arboles extrañan el otoño
En esas noches que no concilio el sueño
No te imaginas amor como te extraño

Te extraño
En cada paso que siento solitario
Cada momento que estoy viviendo a diario
Estoy muriendo amor porque te extraño

Te extraño
Cuando la aurora comienza a dar colores
Con tus virtudes con todos tus errores
Por lo que quieras no se pero te extraño

https://es.wikipedia.org/wiki/M%C3%ADsia

(Misia es née à Oporto en 1955, d’un père portugais et une mère espagnole – à mon avis Vedo a dû saluer un jouer dans l’ascenseur le voisin du mari de la cousine de sa nièce).

Jazzi dit: à

« les Lumières au Liban ? »

Celles des roquettes, des lance-flammes, de la guerre, des massacres de Sabra et Chatila, des Libanais, du Liban et de la diaspora, fortunés jusqu’à l’obscénité au milieu des misérables, des réfugiés et de la menace des intégristes musulmans qui plane sur le pays ?

Jazzi dit: à

Kérylos…

bouguereau dit: à

de flanby..de rotchild..de karlos gone.. du roi à pédro..de dédé..t’as l gout dla jalousie baroz

bouguereau dit: à

Je suis prêt à parier qu’il écrit depuis une chambre d’hôpital psychiatrique

pédro y voit des inside man toupartou..

bouguereau dit: à

A force de déboulonner les autres, on finit par se faire déboulonner soi-même

renfield yest en rivet pop

bouguereau dit: à

Mais lui, à ces mots, devint sombre et s’en alla tout triste, car il avait de grands biens.
Alors Jésus regarda autour de lui et dit à ses disciples : « Comme il sera difficile à ceux qui possèdent des richesses d’entrer dans le royaume de Dieu ! »

Phil dit: à

Baroz en a vu d’autres, dear Bouguereau.
Je vous le dis encore, il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. Matthieu 19.24

Jazzi dit: à

Le chas, Phil.
Dans son Journal inutile, Morand parle beaucoup de sa superbe villa du côté de Villefranche, qu’il sera contraint de vendre. Il finira par acheter un modeste appartement dans un ancien palace de la Californie à Cannes…

et alii dit: à

le cèdre du liban
dans la région de Bcharré, au nord, au pied du mont Makmel. Il s’agit de la réserve dites « des Cèdres de Dieu » (Arz er Rab), inscrite en 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco avec la vallée de Qadisha qui lui est contiguë. Cette forêt compterait aujourd’hui 2 arbres trimillénaires, 10 millénaires et 363 plusieurs fois centenaires5. On y accède en passant par Bcharré ;
dans le Chouf, sur le mont Barouk. Il s’agit d’une forêt plus grande et plus difficile d’accès, protégée par la réserve naturelle du Chouf ; elle est aussi moins célèbre ;
sur wiki

et alii dit: à

« Ce cèdre a été introduit en Europe en 1650 et l’on raconte que le célèbre botaniste français Jussieu en aurait ramené un plant en 1734, en le cachant sous son chapeau ! Ce sujet prospère actuellement au jardin des Plantes, à Paris. »

Janssen J-J dit: à

@ SV « JJJ : Le prologue du monde inverti. Le fait est connu ».

Sans doute pour les spécialisss, mais moi je viens d’juste de l’apprendre… et à la sueur de mon front, même… Le chas de la SF est étroit.

« C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ton retour au sol, car de lui tu as été pris », hein ! (dans Gen, III,19, puis dans Job, X, 9 et XXXIV, puis dans Psaumes, XC 3, CIV 29, CXLVI, 4…, si mes souvenirs sont bons).

Allez zou…, Bàv, CT, pendant que j’essuie !

Janssen J-J dit: à

Je ne vois guère l’utilité de lire des journaux inutiles, disait ma concierge portugaise qui détestait la morue. Elle avait toujours beaucoup d’humour, mine de rien.

JiCé..... dit: à

« Comme il sera difficile à ceux qui possèdent des richesses d’entrer dans le royaume de Dieu ! »

Que ce couillon de prophète minable garde ses conseils pour lui. Un type qui marche sur l’eau, qui multiplie les pains, et qui est infoutu de déclouer ses poignets ne mérite que notre mépris.

Hélas, chez les prophètes….on a le choix des clowns qui finissent mal !

Jazzi dit: à

« Je ne vois guère l’utilité de lire des journaux inutiles »

Est-ce ainsi que vous êtes passés à côté des bonnes choses de la vie, JJJ ?

Des arbres bimillénaires, est-ce possible !
Après tout, Jésus est toujours bien vivant…

Jazzi dit: à

« Ses concepteurs ont poussé le sens de la perfection du détail jusqu’à reconstituer le piano d’Agamemnon. »

Un peu à la manière du musée Grévin, Imd !

Jazzi dit: à

La rumeur locale (les jaloux dirait le boug) disait que l’Aga Khan, qui avait reçu son (gros) poids en or lors de son couronnement, était… coprophage ?

Jazzi dit: à

« Après tout, Jésus est toujours bien vivant… »

Oui, mais où sont passés les Chrétiens du Moyen Orient ?

bouguereau dit: à

notre divinité locale

havec lolo djizeus aurait mieux réussi son coup..il te sera un peu pardonné baroz

bouguereau dit: à

était… coprophage ?

les gouts et les couleurs ça se discute pas qu’il dit mon larbin avec ses moustaches..

bouguereau dit: à

le cèdre du liban

là ou qu’il était houmbaba biroute..à cause de lui la face du monde en a été changé

Phil dit: à

villa du côté de Villefranche

merci baroz. Sa villa de Tanger, comme celle de l’avenue Floquet avec son aux dimensions de l’Alhambra, fut aussi rasée. les effets de la pastille de Vichy sans doute. aujourd’hui pas besoin de royalties pour occuper la villa Médicis, il suffit d’être du parti. Connaissez-vous le cap Nègre ? Pierre Marge, auteur de livres de voyage en automobile en Europe vers 1910, en avait une bien élégante, probablement encore debout aujourd’hui car il eut le bon goût de mourir avant la seconde guerre.

Janssen J-J dit: à

Après tout, Jésus est toujours bien vivant…

j’ai peur de pu pouvoir vous retrouver depuis que vous avez pris le mauvais goût du petit Jésus. Seriez-vous au bord d’une reconversion hétéro catho définitive, jzmn ?
Et Jeanne d’Arc ? l’avez-vous laissée tombée ? (allez pas zy faire un enfant dans l’dos, hein !)

Janssen J-J dit: à

@ les Chrétiens du Moyen Orient ???

Z’inquiétez pas, aux Zamandes gère nos maronniers du Liban, le sont en bonnes mains.
Makhlouf Charbel veille avec lui.

Bloom dit: à

Enfin une bonne nouvelle: une Américains d’origine afro-asiatique comme vice-présidente potentielle. Pour la petite histoire, Kamala signifie « lotus » en sanscrit. Certains ont peut-être lu un des plus beaux romans indiens, Le Riz et la mousson, de la grande Kamala Markandaya.

Pas inutile de préciser qu’à Berkeley, Californie, Kamala Harris a bénéficié de la politique de déségrégation scolaire appelée « busing » qui permettait aux enfants noirs de fréquenter des écoles publiques jusque là réservées aux Blancs car situées dans les quartiers blancs. Politique publique que l’on serait peut-être bien avisés de suivre en France (avec 40 ans de retard), afin d’éviter la calcification de ghettos totaux où la mobylette sociale est définitivement en panne.

Pas intéressant aussi de noter que, comme Obama, Kamala Harris, si elle incarne l’Amérique « non-blanche », n’a pas pour ancêtres des esclaves noirs américains. Encore et toujours aujourd’hui aux US, l’esclavage apparait comme un héritage historique renvoyant à un complexe de représentations tellement négatives qu’il constitue un obstacle à l’émancipation sociale et politique….

Comme il se doit pour accéder à la législature suprême, Kamala Harris se définit simplement comme « américaine », et non « américaine à tiret » (hyphenated American). Les journaux tamouls y voient eux, un motif fierté, à l’instar du Tamil Guardian, de Londres: https://www.tamilguardian.com/content/kamala-harris-becomes-first-black-and-tamil-woman-run-major-us-ticket
Kwakilensoi, Harris et Obama démontrent la vitalité des « nouveaux immigrés » américain, issus pour la plupart d’Asie (Inde, Chine, Vietnam) et d’Afrique anglophone. Vitalité inversement proportionnelle à la fuite des cerveaux qui affecte défavorablement les pays d’origine…

Il faut maintenant mobiliser l’électorat « noir », comme le firent les Freedom Riders des années 60 (in memoriam Alan Parker).

Phil dit: à

intéressante précision, dear Baroz. probablement future vice-présidente grâce à la sénilité galopante de Biden que nos médias antitrumpistes ne mentionnent jamais. la dame eut-elle d’aussi bonnes notes à l’école que Miss Rice ? suffit pas de faire de la discrimination à l’entrée pour diplômer des nullos. A Paris, l’expérience discriminative de sciencespo n’a pas été concluante, le directeur Descoings était sans doute trop occupé. La chaleur de France doit vous rappeler vos périodes dans les dominions, dear Bloom.

Phil dit: à

sorry, ich meine: dear Bloom

B dit: à

Janssen J-J dit: à
@ b. Donc il serait plutôt votre genre de salade, ce destael ?…

3J, j’aime assez sa peinture pour ce que j’ai vu, pas tout, de lui. J’ai découvert percevoir qu’il s’était suicidé en raison d’un sentiment passionné non partagé. Après avoir renvoyé son repousser,ses enfants à Paris, il a continué de vivre seul à Antibes et à aimer éperdument une femme, mariée, qui s’est refusé et ou qui n’éprouve pas le même amour. Il aurait rencontré son mari, lui aurait rendu une liasse de lettres avant de se jeter de la terrasse de l’appartement qu’il occupait. En tout cas, un sentimental. Je n’ai jamais encore été amoureuse d’un peintre , je pense que si je l’avais rencontré il m’aurait plu bien qu’une photo soit insuffisante pour affirmer avec certitude . Il faut encore entendre, voir se mouvoir, percevoir l’être dans son entièreté pour être touché, épris, charmé, conquis. Pour la profession, je pensais à Rothko entre autres suicidés, les autres ne me viennent pas à l’esprit. Tim faudrait dresser une liste fournie de peintres suicidés ou est ce une idée fausse?

Jazzi dit: à

« Connaissez-vous le cap Nègre ? »

Plus sauvage et difficile d’accès, Phil. Mais j’ai vu tous les films de miss Bruni Tedeschi. Comment se fait-il que les déboulonneurs de statues ne se soient pas intéressés à ce cas géographique particulier ? Ne le dites pas à dear Bloom, mais on pourrait le rebaptiser cap Sarkozy…

B dit: à

Épouse, il à la place de Tim, ce correcteur m’ennuie

renato dit: à

Il faudrait comparer la liste des peintres suicidés à celle des comptables ou des fonctionnaires ou des hommes d’affaires ou des femmes d’intérieurs, et ainsi de suite.

B dit: à

Vous avez raison, renato, le suicide est un sport international définitif. La question à poser serait de savoir si le taux est en augmentation, des enfants, chose nouvelle se suicident et des ado plus nombreux. Les gens célèbres se repèrent plus aisément et restent en mémoire.

B dit: à

Ed dit: à
Miaou,

Une progression certaine en langage chat due à votre grande sociabilité, le bain de langage bénéfique aux apprentissages quels qu’ils se présentent.

B dit: à

Ed dit: à
Miaou,

Une progression certaine en langage chat due à votre grande sociabilité, le bain de langage bénéfique aux apprentissages quels qu’ils se présentent. A part ça ?

B dit: à

Auriez vous cultivé une autre expression que la candeur? Pour ceux qui n’ont aucun a priori quant à vous, c’est tout à fait charmeur. Quel piège. Cela vous vient d’où et quand ? En tout cas, à conserver, c’est séduisant.

Jazzi dit: à

B, JJJ n’y connait rien en matière de beauté masculine. Nicolas de Staël était un beau mec (moi aussi, il aurait été mon style), un grand peintre et avait un sacré pedigree !
https://www.babelio.com/auteur/Nicolas-de-Stal/118552
Il repose au cimetière de Montrouge, Paris 14e arr. Dont la vedette est Coluche (un suicidé à moto ?) et René Crevel, qui avait avalé le tuyau à gaz.
Difficile de savoir si l’on se suicide plus aujourd’hui qu’hier ?
Je me souviens, lorsque j’étais au lycée, du suicide d’un camarade de classe et aussi d’une copine.

Soleil vert dit: à

Bloom dit: à
Enfin une bonne nouvelle: une Américains d’origine afro-asiatique comme vice-présidente potentielle. Pour la petite histoire, Kamala signifie « lotus » en sanscrit. Certains ont peut-être lu un des plus beaux romans indiens, Le Riz et la mousson, de la grande Kamala Markandaya.

Et hop dans ma besace. Merci Bloom !
ED :Miaou à toi 🙂

Jazzi dit: à

Avant sa mort, Nicolas de Staël a offert l’une de ses toiles à mon vieil ami le père Jacques Laval, qui fut l’amant du prince Youssoupov et le confesseur de François Mauriac. Que des tafioles dirait Marie Sasseur !
On peut toujours voir ce tableau au couvent des Dominicains de la rue de la Glacière…

Pablo75 dit: à

Miaou
Ed dit

Cela me rappelle que ce matin j’ai entendu sur France Musique que Marta Argerich, quand elle habitait Genève dans une grand maison avec toute sa tribu, avait 20 chats !

Janssen J-J dit: à

ebourlifant…

@ B. / Je trouve in fine que vous avez bon goût. Je vois pas pourquoi vous y connaitriez rin sur la beauté maculine (sic) vu que jazm dit la même chose. @ Non, je ne connais pas d’autres peintres suicidés, sauf sur le chantier d’Elodie à Ixelles, l’un d’eux est récemment tombé de l’échafaudage et s’est tué. Oa a parlé d’un accident du travail, mais elle a des raisons de croire que c’était autre chose. Il était un clandestin portugais, « beau comme un dieu », a-t-elle dit, même ensanglanté, un peu dépressif les derniers temps.
@ Jzmn, Je vous renvoie à soeur marie Kerrouz, magnifique créature maronite, la plus belle voix du monde, et vous avez très bon goût. L’espèce n’est pas en voie d’extinction. A été blessée à Beyrouth, mais dit qu’elle s’en remettra. Sa foi est irréductible.
https://www.youtube.com/watch?v=yjbV7EVdIhQ

Je vous avais déjà expliqué « les arbres multimillénaires » des forêts primaires, depuis le roman de Richard Powers « l’arbre-monde », mais vous n’écoutez jamais rien, ne voulez rien apprendre des autres… C’est regrettab’, jzmn ! Museau 1 brin trop braqué dans la construction de vos petits livres. Utiles à tous, certes, mais enfin…, laissez nous vivre et vous instruire des choses essentielles. Laissez toutes ces inutiles futilités, elles ne ne vous serviront à rien dans la mort.

@ Bloom. Je partage votre lueur d’espoir pour les States, et donc ne rajouterai rien sur la douche froide de Fil…, mais perso, en tant qu’afro-américain friendly, Barack m’avait tellement écoeuré… Suis trop vieux pour l’être à nouveau… Pas de cynisme politique en RI, mais sûrement, plus d’idéalisme non plus…

NB/ Outre les orages bienfaisants, à cette heure de la journée, j’ai reçu trois autres bonnes nouvelles, sur un plan privé et pondu sept pages que je ne retoucherai pas… Ne peux en dire plus, mais j’ai du baume au coeur.
Bàv à tous,

Bloom dit: à

suffit pas de faire de la discrimination à l’entrée pour diplômer des nullos.

Les examens sont anonymes, dear Phil, aux US comme en France, d’où les réticences à l’obtention de diplômes sur la foi des seules notes attribuées par les profs, et plus encore à la pondération ministérielle en rapport avec les performances du lycée; voir le débat ces jours-ci en Ecosse et dans le reste du RU.
Kamala Harris a obtenu son « Bac » à Westmount, quartier chic du Montréal anglophone où elle avait suivi sa maman divorcée et chercheuse en cancérologie à McGill U. Elle fit une double licence (sciences po + économie) à Howard College, Washington, D.C. (où elle fut Alpha Kappa Alpha)puis revint en Californie, passa son diplôme d’avocat avant d’être admise au barreau. En 2011, elle devint Procureur général de Californie, soit Ministre de la justice d’un état, qui s’il était indépendant, serait la 5e puissance économique au monde.
Et puis, comme vous le savez, dear Phil, « trumpery » signifie « bêtise, chose insignifiante »…
BàV

Janssen J-J dit: à

Décodage…

Quand on voit écrit miaou sur la rdl, ça vaut signaler qu’il y a un nouveau post sur l’autre chaine de la grande lectrice. Mais je n’irai pas voir, car je trouve cette manière de faire un brin cavalière. On nous prend pour qui, au juste, des pets d’lapin ?

Jazzi dit: à

« Les degré du coeur » de Jacques Laval commencent ainsi :

« Ni philosophe, ni théologien ; les idées, les concepts ne sont
pas mon fort. Pendant près de cinquante ans j’ai quand même
prêché, donné des conférences à Paris et dans d’autres pays que
la France. La plupart du temps je n’étais pas fier de moi après
coup, mais je tournais la page, c’est fini, je ferai mieux une autre fois.
Dans ce livre je ne veux pas raconter ma vie au séminaire, puis dans une paroisse et ensuite dans des couvents, mais comment j’ai essayé de comprendre certains êtres qui ont été des passants, des amis pour un certain temps, d’autres pour toujours ; qui m’ont donné de grandes joies, qui m’ont fait beaucoup souffrir. Dans d’autres livres, j’ai dit mes efforts auprès des immigrés, des peintres avec ou sans talent, des handicapés, des prostitués. Le secret professionnel est là, il oblige à taire des secrets, des peines, des héroïsmes, de terribles désillusions aussi. Des années après si l’on m’a remercié, sur le coup cela m’a encouragé, mais je ne m’y suis pas attardé. Je n’en parlerai pas.
La vie en communauté dans un couvent peut être, tour à tour et en même temps, une grâce et un supplice. Je dois beaucoup à mes frères. Certains m’ont agacé — j’ai dû les agacer aussi ! —, d’autres m’ont profondément édifié. Cependant, plus des frères que des amis ; comme des marins sur un navire, chacun à sa place par gros temps. Nous espérons voguer ensemble vers le large.
Jadis, j’ai attendu du merveilleux aussi bien des sacrements que de la vie religieuse. Mon espérance n’a pas été déçue, néanmoins elle a été différente de ce que j’imaginais. La durée de la vie m’a fait ressentir l’importance primordiale de la cordialité, de la gentillesse fraternelle, de l’effacement. Chacun témoigne à sa manière. Selon les tempéraments, les natures, la grâce fructifie de diverses façons. De tant de choses je n’ai pris conscience qu’à la longue. En entrant en religion je n’ai jamais voulu fuir le monde, je désirais par la prière, les pénitences, les sacrifices inévitables, la parole, la présence amicale, rejoindre les hommes de mon temps ; mes frères de quelque bord, pays, religion qu’ils soient. Je n’ai pas cherché à éteindre mes passions, mais à m’en servir ; je n’ai pas souhaité une vie angélique ; je n’ai jamais été un pur contemplatif ; j’ai essayé de rester humain, sensible ; je me suis méfié des mots abstraits mais pas de la tendresse humaine. Si je suis passé à côté de tant de dangers (je n’ai pas toujours su les éviter), je n’ai jamais voulu m’anéantir. Le cœur à cœur avec Jésus m’a guidé au jour le jour, à travers obsessions, fascinations, malentendus du corps et de la foi. Plus j’allais moins je me sentais un bon chrétien — j’aurais voulu l’être —, et moins j’essayais de me rassurer en découvrant ce que je valais. Mes anciens rêves de perfection personnelle m’ont paru faux, très vite ils n’ont plus compté devant la misère des autres et ma propre misère. L’une et l’autre me rabattaient toujours davantage vers l’Evangile vécu. J’avais à apprendre la vie terrestre comme les autres hommes, je me sentais tout à fait l’un d’entre eux, et avec eux. Je n’ai pas toujours su prendre mes distances. Tout en croyant foncièrement en la bonté de la vie j’ai connu la mélancolie ; j’ai entendu l’appel des hommes que j’aimais, et des hommes qui souffraient près de moi, et au loin sur toute la terre. La compassion m’a entraîné dans de grandes difficultés ; mon imprévoyance ne laissait-elle pas le champ plus libre aux initiatives de la Providence ? La bonté, la serviabilité, la lumière des cœurs, la dignité m’ont plus parlé que l’agressivité des vertus prétentieuses, que la peur du plaisir, que l’intransigeance doctrinale. J’ai accepté l’« autre » tel qu’il est, croyant ou incroyant, sans lui demander des papiers d’identité, des passeports, des références. J’ai eu pitié des souffrances de mes semblables sans me croire meilleur que qui que ce soit ; cette idée de me comparer à mes prochains ne m’a jamais intéressé. »

Janssen J-J dit: à

dans mes bras Bl…, vous venez d’exhumer un souvenir scolaire que j’avais totalement oublié. Mais oui, Mme Gautreau, en 3e, nous avait parlé avec tant de passion des Indes misérable de Kamala Markandaya, « le riz et la mousson »… Très ému par ce souvenir resurgi du passé. Merci. Vous n’imaginerez point tout ce que peut réactiver cette RDL…, des fois, de souvenirs merveilleux comme douloureux.
https://www.babelio.com/livres/Markandaya-Le-Riz-et-la-mousson/67727

Janssen J-J dit: à

@jzm… Comment peut’on avoir été curé et amant chrétien d’un assassin ? Je ne vous comprends pas, Raspoute-Titsa ! Vous avez de ces fréquentations… J’hallucine un max.

Jazzi dit: à

A l’automne 1986, je découvre ce livre et entre en scène !
Il avait alors 75 ans et, grand et mince, portait encore beau.
« Les degrés du coeur » sont remplis d’étonnantes révélations sur son homosexualité et celle de nombreuses personnalités.
Je demande à l’interviewer pour les pages du Gai Savoir de Gai Pied hebdo.
Lors de notre rencontre, il m’informe que la Vatican lui interdit de ne plus rien éditer.
Il m’en dit encore plus en répondant à mes questions et m’accorde le droit de tout publier dans le journal.
Au lendemain de la parution, sa maison de famille à Laval s’embrasse aussitôt et est réduite en cendres.
Dieu semble mécontent !
Nous restons néanmoins amis et je lui présente Chedly, que je venais juste de rencontrer.
Il vint dîner avec moi dans le restaurant de la rue Mouffetard où celui-ci travaillait.
Est-ce ainsi que notre amour naissant à été consacré ?
Il m’a montré le Nicolas de Staël, légué au couvent des Dominicains, qu’il avait aidé à ses débuts et j’allais régulièrement assister aux conférences que le père Laval donnait sur les écrivains français, tel Proust…
Nous nous étions un peu perdu quand j’ai appris sa mort à 91 ans.

Jazzi dit: à

Ici, l’intégral du récit de Jacques Laval dont le premier chapitre répond opportunément à JJJ :

« Mon désir, après celui de tant d’autres, d’essayer d’être vrai
èn avouant ma foi et mes excès, mes fautes et mes humbles
Victoires, ne servira-t-il qu’à scandaliser des âmes timorées,
coincées dans des habitudes de penser qui souvent ne leur sont
!même pas personnelles ? »

renato dit: à

Jacques-Louis David, tentative de suicide.

***

Arshile Gorky se suicida à 44 ans. Dans le petit monde de l’art on tenit Roberto Matta responsable — sa relation avec la femme d’AG. Je crois plutôt un sentiment d’échec — il parlait d’un pauvre art pour pauvres gens —.

***

Je suis plutôt d’accord avec Stendhal lorsqu’il dit qui si on veut se suicider il vaut mieux simuler un incident — il parlait d’une sortie en barque par mer agitée —, car lorsqu’on se suicide tout le monde fouille dans notre vie. Tandis qu’un incident ne donne pas beaucoup de grain à moudre.

***

La peinture de Nicolas de Staël n’est vraiment pas grande chose, mais amusante.

D. dit: à

On nous prend pour qui, au juste, des pets d’lapin ?

on nous prend en effet pour des cons. Moi non plus je n’y vais plus depuis longtemps.

et alii dit: à

sa maison de famille à Laval s’embrasse aussitôt et est réduite en cendres.
des baisers de feu évidemment!

bouguereau dit: à

..lamadou ou la au cul..pas à la barbe quelle dit bonne clopine..ha que tu sais pas halumêêê le feu renfield

bouguereau dit: à

On nous prend pour qui, au juste, des pets d’lapin ?
on nous prend en effet pour des cons

tes histoires de chapot ça hindispose ptête pas dédède..hon veut faire le répulsif et hon hattire..yavé aime pas ça dédé!

bouguereau dit: à

Je suis plutôt d’accord avec Stendhal lorsqu’il dit qui si on veut se suicider il vaut mieux simuler un incident

le propre du suicide c’est que ce n’est pas un discours au vivant rénateau..sauf en france et au japon..exeptions culturels

bouguereau dit: à

coincées dans des habitudes de penser qui souvent ne leur sont
!même pas personnelles ?

c’est hincontestablement bien dit baroz..sauf que c’est propre à induire les esprits fragile dans l’idée que sfaire hanculer c’est hindividualisant qu’il suggérerait morand à dirfilou

bouguereau dit: à

La peinture de Nicolas de Staël n’est vraiment pas grande chose, mais amusante

je crois que ça lui aurait plu..celle qui est ‘grand chose’ et surtout faite pour faire causer..cquil kiffait pas trop..et t’as bon gout baroz..il était handsome

renato dit: à

Certes, bouguereau, ce n’est pas un discours au vivant, mais l’origine de beaucoup de commerage chez les no life, d’où le conseil de Stendhal.

bouguereau dit: à

la longue lettre que lui adressa François Mauriac, lui demandant de réfléchir avant d’entrer dans les Ordres

cet hanculé de gide se srait hencore gondolé..non mais quel phumier dlapin quc’était ce gide qu’elle dirait dédède

bouguereau dit: à

d’où le conseil de Stendhal

il y a trés peu de société qui lui font -une place-..ça se discute hévidemment..les français sont les seuls en oxident..c’est même kasiment estrange

Jazzi dit: à

Sans vouloir relancer le débat entre renato et Pablo75, voici un extrait de la très complète fiche wikipedia de Nicolas de Staël, mort à 41 ans.
Il me semble bien que le père Laval m’avait parlé d’un don ? Mais peut-être estimait-il que le prix était très bas et que c’était un cadeau ?

« L’année suivante, grâce au père Laval, le peintre est exposé dans le couvent des dominicains du Saulchoir, à Étiolles, en compagnie de Braque, Henry Laurens et Lanskoy. Jacques Laval est un dominicain passionné de peinture. Il avait déjà tenté en 1944 d’exposer des toiles abstraites de Staël, mais avait été obligé de les décrocher sur ordre de ses supérieurs scandalisés. Cette fois l’exposition est acceptée et le père Laval achète un tableau de Staël pour le réfectoire du couvent Saint-Jacques, rue de la Glacière, à Paris.

Staël commence à vendre ses œuvres et la critique voit en lui le peintre représentatif d’un renouveau artistique. Léon Degand l’invite à montrer ses œuvres à l’exposition inaugurale du Museu de Arte Moderna de São Paulo. Mais Staël est très pointilleux sur la façon dont on interprète sa peinture. Il écrit à Degand :

« (…) les tendances non figuratives n’existent pas, tu le sais bien et je me demande bien comment on peut y trouver de la peinture (…). » »

bouguereau dit: à

c’est même kasiment estrange

« génant » je veux dire rénateau..d’où stindal..il est souvent trés prosaique au sens quil ne voudrait pas

renato dit: à

Débat ? quel débat ?

Bloom dit: à

@3xJ, j’ai lu cet émouvant roman retour de deux ans de coopé au Pakistan / Bengale oriental devenu Bangladesh depuis guère plus de 10 ans à l’époque. Au lit, à Mont-de-Marsan, entre tourtière et confit, compagne incandescente et férias délirantes.
Le sous-continent indien, réaliste magique mais pas seulement, possède de très considérables écrivains et poètes. Et surtout des femmes puissantissimes. Les 2 Kamalas citées plus bas en sont.

Jazzi dit: à

Vu de l’extérieur, vous et Pablo75 vous vous débattez sur la question de l’art moderne et c’est plutôt drôle !

renato dit: à

Je ne sais pas bouguereau s’il y a des spécificités locales, mais j’ai entendu fantasmer sur des suicides un peu partout : France, Italie, Suisse, USA, GB, j’apprécie donc le conseil de Stendhal.

renato dit: à

Vous avez une drôle idée de l’action de debattre, Jacques.

et alii dit: à

renato:
Shareimprimer
Le suicide d’un agent de la Bibliothèque nationale de France, le 3 août dernier, a eu lieu sur son lieu de travail, dans le jardin de l’établissement. Un choix qui rappelle la dangerosité du lieu, scène de plusieurs drames ces dernières années. Il révèle aussi de nombreuses problématiques relatives à la médecine de prévention dans l’établissement public. Et pose des questions quant au suivi des agents.
https://www.actualitte.com/article/monde-edition/apres-le-suicide-d-un-agent-le-suivi-medical-au-sein-de-la-bnf-en-question/102155?origin=newsletter

Pablo75 dit: à

La peinture de Nicolas de Staël n’est vraiment pas grande chose, mais amusante.
renato dit:

Quel crétin cet admirateur éperdu des toiles cirées de Mondrian et de tant d’autres merdes invraisemblables !!!

Renato c’est le Grand Raté du Blog (pour ne pas le confondre avec le Pétomane, qui n’est qu’un Petit Raté). Renato est un Multi-Raté avec une vraie vocation de Raté: musicien raté, compositeur raté, peintre raté, photographe raté, écrivain raté et même blogueur raté (puisque c’est exceptionnel qu’il raconte quelque chose d’intéressant).

C’est rare d’être un tel Raté Multitâches. Il a eu toutes les occasions de faire quelque chose dans sa vie, on lui a offert plein de possibilités et il finit son existence venant ici exhiber ses multiples ratages et déverser des conneries monumentales.

Et tout cela en exigeant qu’on le vouvoie quand on se dirige à lui, en dénonçant du haut de sa mégalomanie de petit bourgeois provincial la manie insupportable de la populace vulgaire « de tutoyer les gens sans accord préalable », comme le ferait un vieil aristocrate gâteux qui se croirait encore au XIXe siècle.

Jazzi dit: à

La stratégie du suicide selon Stendhal me parait relever d’une préoccupation bien bourgeoise.
Lorsque Dalida, après plusieurs tentatives, a fini par réussir à se suicider, on a retrouvé ces mots sur la table de nuit : « Pardonnez-moi, mais la vie m’est devenue trop insupportable »…

renato dit: à

Vous parliez de débat, Jacques ?

Jazzi dit: à

Un euphémisme, renato…

renato dit: à

Le suicide selon Stendhal révèle plutôt de la protection de la vie intime, Jacques.

B dit: à

Pablo, il vous faudrait de vrais gens en face de vous sur qui déverser cette belke réserve de critiques toujours négatives, toujours supposées à partir de ce que laissent ici les uns les autres. A quoi ça vous sert de vous décharger ici, rejoignez la vraie vie pour appréhender les individus après les avoir rencontrés. Vous vous plantes quand même des fois, genre doigt dans l’oeil jusqu’au coude!

B dit: à

Plantez, pourtant les plantages et vous n’étiez pas amis en musique, pour ce qui est des personnes, c’est une autre histoire. Vous avez tout faux!

B dit: à

Cela me rappelle que ce matin j’ai entendu sur France Musique que Marta Argerich, quand elle habitait Genève dans une grand maison avec toute sa tribu, avait 20 chats

Est ce que cette pianiste trouve grâce à vos oreilles?

B dit: à

Vous souvenez vous, Pablo, qu’un jour alors que nous marchions en bord de Marne, en réponse à mon avis vous retorquâtes que la gentillesse n’était jamais en trop . Résultat vous êtes aussi piquant qu’un marron dans sa bogue ou une châtaigne électrifiée et comble de tout vous cultivez une amitié inconditionnelle à cet horrible jobard hurhurkhurkisanthèmiant. Manque de discernement.

et alii dit: à

l’homme de BRNO
. Mendel retourne à son monastère de Brno en 1854 où il restera tout le restant de sa vie. En 1854 il devient professeur de physique et de sciences naturelles au lycée de Brno. Dès l’été 1854, il installe un jardin expérimental dans la cour et dans la serre, en accord avec son abbé, et met sur pied un plan d’expériences visant à comprendre les lois de l’origine et de la formation des hybrides. Il choisit pour cela le pois qui a l’avantage d’être facilement cultivé avec de nombreuses variétés décrites.

En 1854, à la demande de l’évêque – qui tente par ailleurs une reprise en main de l’abbé -, Mendel doit cesser l’étude de l’hybridation chez les souris : il menait en effet un élevage dans sa propre chambre11. Cinquante ans plus tard, la redécouverte de l’intérêt de Mendel pour les souris par Clarence C. Little incitera celui-ci à élever des souris pour ses propres recherches12. En 1856, il commence ses expériences d’hybridation avec les pois. En 1861 est créée la Société des sciences naturelles de Brünn ; Mendel en est un des cofondateurs ; Franz Unger en est membre d’honneur13.
page wiki

Jazzi dit: à

« Vous souvenez vous, Pablo, qu’un jour alors que nous marchions en bord de Marne, en réponse à mon avis vous retorquâtes que la gentillesse n’était jamais en trop. »

On ne nous dit pas tout ici, au nom de la protection de la vie privée, sans doute ?

Marie Sasseur dit: à

@l’homme de BRNO

On se souvient très bien de ses lois et des mouches…

Jazzi dit: à

« On ne toucherait pas à la structure de l’établissement », nous indique-t-on, évitant ainsi l’aval de l’architecte Dominique Perrault, réputé très réticent à toute modification de son œuvre selon nos interlocuteurs. Nous avons tenté de joindre l’agence Dominique Perrault Architecture, sans succès. »

Je passe très souvent sur le site cerclé de marches en teck de la BNF-François Mitterrand, et alii, et, hiver comme été, je regarde soigneusement où je mets les pieds de peur de finir le cul par-dessus tête.
Jamais vu un endroit aussi dangereusement architecturé !
Comment se fait-il que cet agent, qui a dû lire Stendhal, n’ai pas songé à faire passer son suicide pour un accident !
C’est pourtant le lieu idéal, mais il n’y plus de conscience professionnelle !

renato dit: à

Probablement, Jacques, il voulait qu’on sache que c’était un suicide.

Marie Sasseur dit: à

@La peinture de Nicolas de Staël n’est vraiment pas grande chose, mais amusante.

Je ne n’ai pas trouvé « amusante » la peinture de De Stael.
J’ai juste gardé d’Agigente, sa représentation, que la littérature ne saura jamais rendre…

D. dit: à

La peinture de Nicolas de Stael sonne faux.
Il donne l’impression d’avoir trouvé quelque chose mais la réalité c’est qu’il n’a rien trouvé du tout. À mettre à la poubelle sans hésitation.

D. dit: à

Martha Argerich ce n’est pas bien terrible non plus soit dit en passant.
Ce n’est pas pour casser gratuitement du sucre sur le dos des gens mais je suis exigeant artistiquement parlant. Les gens qui me connaissent le savent.

D. dit: à

Moi je ne jure que par Soutine.
Soutine, Soutine et encore Soutine.
Le génie est là. Le vrai.
Un lapin écorché de Soutine. Je peux regarder ça pendant des heures totalement émerveillé.

D. dit: à

En plus il détruisait ses oeuvres. 3/4 de ses oeuvres à été détruite par lui-même. La classe totale.

D. dit: à

Madeleine Castaing était à ses pieds. Soutine était autant l’homme de sa vie que son mari.

rose dit: à

J’ai une questoon à poser à la docte assemblée ; merci à ceusses qui pourraient m’éclairer :

est-ce que dans le pesonnae de Fantine crée par Victor Hugo dans les Misérables, il y a un lien /une référence à Marie Madeleine dans la Bible :
La prostitution
-la vente de ses dents
-la vente de ses cheveux

Lorsque Marie Madeleine rencontre Jésus après qu’il lui ait sauvé la vie -scène de lapidation -elle arrête tout.

Et Fantine meurt si je me souviens bien.

rose dit: à

Dslée
rose dit: à
J’ai une question 0à poser à la docte assemblée ; merci à ceusses qui pourraient m’éclairer :

est-ce que dans le personnage de Fantine crée par Victor Hugo dans les Misérables, il y a un lien /une référence à Marie Madeleine dans la Bible :
-la prostitution
-la vente de ses dents
-la vente de ses cheveux

Lorsque Marie Madeleine rencontre Jésus après qu’il lui ait sauvé la vie -scène de lapidation -elle arrête tout.

Et Fantine meurt si je me souviens bien..Cosette a t’elle le temps de dire au revoir à sa mère avant sa mort ?

D. dit: à

Non, rose, je ne pense pas.
Hugo ne fait jamais référence à des personnages bibliques par ailleurs, dans toute son œuvre.

D. dit: à

Non, rose, je ne pense pas.
Hugo ne fait jamais référence à des personnages bibliques par ailleurs, dans toute son œuvre.

Jazzi dit: à

Ne pas faire référence ne veut pas dire que l’on ne s’en inspire pas, D.

B dit: à

D, je ne peux pas regarder cette représentation de la souffrance, de la mort. Déjà que des poules en vie dans un poulailler me font pitié quand elles réclament à boire et à manger.

rose dit: à

Je n’en reviens pas.
C une conversation avec une copine.

Autre exemple : Jean Valjean lorsqu’il soulève l’essieu de la charette sous laquelle un est écrasé.
Occasion pour les keufs de le reconnaître par sa force exceptionnelle.
Les pauvres écrasés, au figuré mais aussi au propre. Salement.

P.S je ne regarde pas Soutine.
Tiens à dormir.

Ed dit: à

Jjj
Exactement Sherlock.

Pablito
Mes chattounes souffrent le martyr à cause du mercure. 20 chats, non merci.

Marc Court dit: à

Rose, pour dire la chose en peu de mots:Il y a du christique dans Valjean, qui connait un choc qui va le placer sur la voie de la rédemption, après ses deux entretiens avec Myriel, dont le second se solde par le don de flambeaux que V vient de voler. Un homme donne la lumière à un autre.
Il y a de fait, suite à ces entretiens, un souci conséquent de dépouiller le vieil homme, qui commence par la scène du procès ou Valjean, devenu notable, perd tout pour le pas sacrifier un innocent. Il est remarquable que, dans le fameux chapitre « Une tempete sous un crane » , revienne justement l’image des flambeaux (« éteins ces flambeaux, perds ce Champmathieu »,) etc

Il y a un Golgotha très hugolien dans le fait de devoir reperdre Cosette et la laisser faire sa vie avec Marius de Pontmercy. Repassent ici les fantômes de Léopoldine et de son Mari Charles Vacquerie, mariage qui rendit Hugo immensément malheureux et très injuste envers son gendre. Il est d’ailleurs révélateur que Marius héroïsé soit à peu près aussi crédible que la pièce sensée commémorer la mort de Charles Vacquerie dans les Contemplations, et qui brille surtout par son emphase creuse. (A Charles V…).

Enfin,à la mort de Valjean,par une nuit étoilée, le texte évoque bien une possible présence de l’au-delà. L’union Pontmercy-Cosette consomme le sacrifice suprême, ce qu’on peut comprendre chez un homme que ses enfants surnommaient à Jersey « Le pèrissime »!
Ce sont les points communs qu’on peut développer. Ils ne rendent pas compte de tout le roman, mais d’une bonne partie de l’intrigue centrale. Pour le reste, Fantine n’est pas Marie-Madeleine, qui, d’ailleurs, n’a vendu ni cheveux ni dents, et n’a pas fini à la fosse commune comme le précise le texte. Et Cosette ne sait pas qui est sa mère. Veiller sur l’enfant est une promesse de Valjean, un chapitre est d’ailleurs titré « Accomplissement de la promesse faite à la morte ». L’amour maternel de Fantine ne la sauve pas de la déchéance.
Il faudrait aussi évoquer Javert, victime collatérale de l’évolution de Valjean, dont la mort , peut-être le chef d’œuvre du roman, devient la négation de toute sa vie passée, mais pas sans une métanoia qui le fait se pencher, dans ses dernières volontés, sur le sort des détenus.
Sur le Morand Chardonne, Nimier, voir le très documenté et trop tôt parti François Dufay.
Bien à vous.
MC

JiCé..... dit: à

Jeudi 13 aout 2020, 5h31

Le suicide est une excellente pratique pour les cons, ce qui confirme leur vertu, acte choisi, noble, qui ment à mort. Il n’y a pas de noblesse dans un acte d’une telle lâcheté.

Ed dit: à

Dans ma PAL également. Comme quoi, ca sert de passer de temps en temps. Miaou canicoule.

rose dit: à

(Je vais cesser ce matin. Le.mal est fait. Je veux la chair et l’os. Beaucoup de nonos. Et plus JAMAIS être confinée seule. N’ai pas appris « tu es adorable » ; j’le savais. Ai appris « tu as un corps de rêve. » Planqué 15 ans, loin de la convoitise. Dans 10 ans serai vieille. Me restent dix ans, au secours, help, à l’aide, ayutaho.

rose dit: à

centrale. Pour le reste, Fantine n’est pas Marie-Madeleine, qui, d’ailleurs, n’a vendu ni cheveux ni dents, et n’a pas fini à la fosse commune comme le précise le texte. Et Cosette ne sait pas qui est sa mère. Veiller sur l’enfant est une promesse de Valjean, un chapitre est d’ailleurs titré « Accomplissement de la promesse faite à la morte ». L’amour maternel de Fantine ne la sauve pas de la déchéance.

rose dit: à

[…] aiuto).

Le mal est fait = ne s’efface pas. In memoriam.
Sur soi, passe encore ; sur autrui, tatoué.

rose dit: à

>Marc Court

Sur Marie Mad.
M’a été dit hier soir dents et cheveux. Z’auriez une référence pour moi ?

C’est la pauvreté qui la mène à la déchéance, pas la prostitution, non ?

Vous semblez souligner que l’on n’est pas sûr que Fantine soit la maman de Cosette ? 😳😟🥺

rose dit: à

pour dire la chose en peu de mots:Il y a du christique dans Valjean, qui connait un choc qui va le placer sur la voie de la rédemption, après ses deux entretiens avec Myriel, dont le second se solde par le don de flambeaux que V vient de voler. Un homme donne la lumière à un autre.

Marc Court
J’l’avais jamais vu comme ça. Pour moi l’important étant le versant argent. Les chandeliers sont en argent. Possessions matérielles versus possessions spirituelles.

J’vous réponds ensuite.
Dois changer ma voiture de place.

JiCé..... dit: à

Pour être clair…
Victor Hugo est un excellent dessinateur, un piètre romancier, un effroyable poète, un homme que l’on place trop haut en France, patrie de l’Exagération. Son Misérables est d’une effarante nullité !

rose dit: à

Marc Court

donne la lumière à un autre.
Il y a de fait, suite à ces entretiens, un souci conséquent de dépouiller le vieil homme, qui commence par la scène du procès ou Valjean, devenu notable, perd tout pour ne pas sacrifier un innocent. Il est remarquable que, dans le fameux chapitre « Une tempête sous un crâne » , revienne justement l’image des flambeaux (« éteins ces flambeaux, perds ce Champmathieu »,) etc.

Nous n’avons pas mémorisé les mêmes détails.
Avez-vous pris des notes ?
(Je me contente de mettre des marque-pages.).

Je le comprends comme il rend incessamment tout ce qu’il a reçu : il est la bonté même et ne tolère pas l’injustice. Depuis le bagne dû aux petits pains volés.

rose dit: à

et alii

Pouvez-vous me dire comment comprenez-vous le cadeau de l’éképhant (in Romain Gary, sa meilleure amie ?).

rose dit: à

Il y a un Golgotha très hugolien dans le fait de devoir reperdre Cosette et la laisser faire sa vie avec Marius de Pontmercy.

Oui. D’accord avec votre terme un Golgotha.
Pour moi, mais j’invente sans doute, est prégnante la crainte du retour à sa solitude honnie.
Cosette est la tendresse et l’innocence mais surtout sa seule fille.
Difficile de la laisser partir alors qu’il atteint ses vieux jours, durant lesquels ce sera plus cruel encore.

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