de Pierre Assouline

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La République des livres
Trois pépites de la rentrée

Trois pépites de la rentrée

De livre en livre, Sylvain Prudhomme surprend. Son ton décalé, nonchalant, glandeur a un charme fou. Cette fois, avec Par les routes (304 pages, L’Arbalète), l’histoire d’un autostoppeur, comment il est entré dans la vie du narrateur, comment il en est sorti et comment il y est revenu. Une sorte de road-movie plein de rencontres (ici un extrait).

Le travail sur la langue parlée est très réussi, ça sonne vrai sans vulgarité ni relâchement. C’est un livre plein de livres mais quels ! Les Géorgiques de Claude Simon, Pour un Malherbe de Françis Ponge, Le Grand passage de Cormac McCarthy. Classe ! En même temps, ça n’est jamais un roman cultivé ni cuistre. D’autant que Marie, elle, est obsédée par un roman de l’italien Marco Lodoli qu’elle doit traduire. Et surtout par l’incipit de L’Education sentimentaledans lequel Flaubert parle de « la mélancolie des paquebots ». Cette expression magnifique, j’en aurais fait le titre du roman même si elle n’a rien à voir avec son propos. Le héros projette d’inventer un instrument appelé « le vidomètre » : ça devrait servir à mesurer les degrés de vide rencontrés au cours de ses voyages. Son humour est savoureux :

« Le plus fou, c’est que même les conducteurs qui s’arrêtent pour me prendre en doutent. Je suis dans leur voiture et ils me demandent très sérieusement : Mais ça marche encore le stop ? ».

C’est l’anti-Blablacar où l’on se choisit. Cet autostoppeur est un type qui aime vraiment les gens, il veut les connaître à chaque fois comme s’ils s’apprêtaient à disparaître. On sent que l’auteur doit être passé maitre dans l’art de ne rien faire. Tout cela baigne dans l’ambiance de Famous Blue Raincoat, chanson de Leonard Cohen que l’on souhaite à tou.s..t.e.s (on n’est jamais trop prudent) d’écouter avant de mourir. C’est un très agréable roman sur la vie qui passe, le temps qui s’en va et c’est bien comme ça.

Attention au titre UnPur (224 pages, 18 euros, Belfond), c’est bien UnPur en un seul mot. Pas un jeu de mots ni un calembour mais une façon d’annoncer que cette histoire va être si nouée, si puissamment tressée par Isabelle Desesquelles, qu’elle en sera oppressante. Aussi violent que l’exige la situation.

L’antihéros s’appelle le Gargouilleur. Un homme qui n’aurait pas dû naitre. Il n’a pas d’autre nom. C’est un pédophile. Un ogre à la Fourniret. On le suit dans sa chasse aux enfants. Vingt et un à son tableau. Il les vole puis les tue. Pour l’aider, il garde de force l’un de ceux qu’il a ravis afin de lui servir d’appât. Il devient son favori. Ca durera cinq ans. Assez pour que « l’enfantôme » se demande si au fond, ce n’est pas lui le monstre. Ca se passe entre Bari, Venise et le Yucatan. Le tueur tient officiellement un double rôle auprès de lui : père et professeur. C’est une fable moderne dans laquelle l’ogre est le prédateur qui dit pourquoi l’enfant ne se révolte pas, pourquoi il est par nature faible et soumis.

Elle dit surtout en quoi la famille est une masse si fragile et friable. L’auteure donne la parole à l’enfant, l’infans celui qui n’est pas doué de parole. Après le père, la mère se suicide. Les deux pendus à un arbre. La victime devient bourreau. C’est lui que l’on juge pour complicité et pour meurtre, puisqu’il a fini par tuer le prédateur à coups de ciseaux. Il est acquitté bien qu’il ne croit pas lui-même à son innocence. Quand la victime se sent devenir bourreau, tentée de réitérer, reproduire le Mal subi.

C’est un roman de l’inavouable, étude en profondeur de ce que peut signifier l’emprise d’un esprit sur un autre, l’incarcération mentale, dénué de tout voyeurisme où d’autres se seraient vautrés. Le réel a ses frontières que la narratrice dit ne pas avoir franchies. « Quand l’enfance nous est arrachée, quel humain cela fait-il de nous ? ». Tout cela est raconté dans une langue très maitrisée. L’horreur est écrite mais jamais décrite, toute en suggestions, sons et gestes, ce qui n’en est que plus terrible. Le récit, d’une grande force, est parfaitement composé. Impressionnant.

 Après le coup d’éclat de son premier roman Fugitive parce que reine l’an dernier (et un accueil critique et public aussi important à l’étranger qu’en France), il était difficile d’ignorer le nouveau roman de Violaine Huisman Rose désert (236 pages, 19 euros, Gallimard). Les deuxièmes romans, on le sait, portent malheur : ils ne marchent jamais. Je conseille souvent au primoromanciers d’écrire directement leur troisième roman mais ils ne m’écoutent jamais. Violaine la narratrice (eh oui, comme l’auteur, et alors ?), qui travaille pour un agent littéraire, s’est mise en tête de traverser le désert du Maroc au Sénégal après un chagrin d’amour (faut-il qu’il soit puissant pour aller du côté de Dakhla !). Mais ca se passe en fait entre Marrakech, Nouakchott et New York (ici un extrait).

C’est l’occasion d’un retour sur elle-même centré sur ses rapports avec les hommes, ses aventures érotiques et si des poncifs sur la femme blanche en Afrique affleurent, ils sont aussitôt pulvérisés par l’autodérision. Les pages 140/141 sur une exposition où elle est frappée par un Twombly en disent centre fois plus sur l’art contemporain que les franchouillardises de La Carte et le territoire. Tout le long de son périple se dessine en creux le terrible portrait de sa mère destructrice assez frappadingue, des relations qu’elle entretient avec elle et des rapports de force imposés pour se libérer d’elle. Au bout du bout, sa quête d’identité (auberge espagnole de la rentrée) la mènera à découvrir des origines bien enfouies…

Si le récit de cette fuite m’a emballé, si j’y ai pris un plaisir fou, c’est en raison du ton de l’auteure. Cru, direct, drôle, coupant. Quelle énergie dans cette prose qui ne se pique pas de poésie ! (ca devient rare). Nul doute qu’il y a là une voix et qu’on n’a pas fini de l’entendre.

(« A protester in Whitehall, London, during the Cuban missile crisis in 1962 ». Photo Don McCullin)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 162 Réponses pour Trois pépites de la rentrée

Delaporte dit: à

« Fick dich ins Knie, Deutsche Technologie. »

21 h 04

Danke schön. Quand Ed parle allemand. C’est rare, et ça vaut son pesant de cacahuètes !

et alii dit: à

un rencart de barbara
J’te donne rendez-vous
A la gare de Lyon,
Sous la grand horloge,
Près du portillon.
Nous prendrons le train
Pour Capri la belle,
Pour Capri la belle,
Avant la saison.

Ed dit: à

Ouais. Apres avoir lu Eugene Oneguine dans la langue de Gœthe, moi aussi je suis capable de composer des vers magnifiques.

renato dit: à

et alii, le texte étant trop long pour un seul post, j’ai divisé Reportage émotionnel de la côte qui n’existe pas : à Balbec sur les traces de Proust en 13 segments. il faudrait faire mieux, mais le temps étant ce qu’il est…

01
Il y a des lieux où chaque première visite est aussi secrètement un retour : ce sont les lieux des livres que nous aimons, quand nous avons la chance de pouvoir y faire quelques pas et que toute promenade se transforme en un voyage dans le monde secret que nous gardons dans la tête, et qui se compose de tous les mots que nous lisons, des panoramas dont nous rêvions, des histoires que nous nous racontions ou que nous racontons, des chansons, des sons et des noms pensés puis à moitié oubliés.

renato dit: à

02
Ce n’est pas un petit privilège que de s’aventurer dans l’interstice entre la réalité et ce monde en désordre, plein de trésors et de pacotille, à la manière des brocanteurs : je crois en effet que ces promenades sont l’un des plus grands privilèges des lecteurs, parce que, comme pour tous les voyageurs aventureux, nous revenons un peu transformés.

renato dit: à

03
Moi, par exemple, cet été, je suis allée à Cabourg, une jolie ville côtière dans le Calvados, comprise non pas comme une liqueur, mais comme une région de Normandie ; et comme j’y mettais les pieds pour la première fois de ma vie dans cette petite ville balnéaire, je suis finalement revenue dans un endroit où j’avais déjà passé beaucoup de temps. Parce qu’à Cabourg j’y étais déjà allé ; j’y étais allé et je le savais bien, alors que dans la voiture nous courions dans la rue ensoleillée, tout était dégagé, j’ai regardé les vergers chargés de fruits de la fin de l’été, l’herbe très verte sur laquelle paissaient les vaches, sereines et imperturbables, avec leurs regards lents sous le ciel presque irisé d’une campagne qui avait quelque chose de marin dans la lumière changeante et saumâtre ; et moi, je me sentais fondre au moment où l’air de la fenêtre entrait plus froid et plus salé, d’une nostalgie douloureuse, comme lorsque l’on entend, dans une conversation entre étrangers, écoutés par hasard, le nom d’un être cher ou le train qui passe d’un endroit où on a vécu enfants, on partait en vacances et il n’y a pas de mots pour dire à des étrangers dans le wagon que, de ce banc de gare, qui avait déjà disparu par la fenêtre, un soir de juillet, nous avons vu notre père — qui était resté travailler dans la ville désertique de l’été — revenir ; et nous nous souvenons encore de ce retour, mais il n’y a pas aucun mots pour expliquer cela à des compagnons de voyage inconnus, à qui cependant, à juste titre, cela n’intéresserait point : ainsi les mots inexprimés, aussi innommables et inutiles soient-ils, deviennent un nœud dans la gorge et là dans le train, protégés précisément par le fait que ces étrangers ne se soucient de rien, on peut aussi pleurer et tout laisser passer.

Bérénice dit: à

Alii, sorri

Jazzi dit: à

La Deutsche Technologie n’est plus ce qu’elle était, Ed !
Pas grave, vous n’avez rien raté.
Allez plutôt voir le dernier Woody Allen…

renato dit: à

04
En bref, alors que les vergers de pommiers et les vaches, les petites églises gothiques et les toits de chaume et les champs couraient à gauche et à droite, et suivant le ruban de la route sur la carte du navigateur, je voyais la distance pour arriver à destination rapidement diminuer, grandissait en moi cette tension que je couve lorsque je dois faire quelque chose pour la première fois et je me prépare afin qu’elle soit mémorable. Et pourtant, malgré cette agitation solennelle, je savais au fond de moi qu’en ce lieu j’avais passé un nombre infini d’heures, d’épiphanies irréversibles.

renato dit: à

05
Sur le front de mer de Cabourg, le ciel était haut, translucide, avec des nuages, et je me demandais comment il était possible qu’après un siècle, ce lieu réel — la promenade dans laquelle j’avançais un pied après l’autre — tellement ressemblant à celui que j’avais imaginé en lisant loin du Calvados et de la Côte Fleurie. Je me demandais si ce Cabourg que j’avais trouvé sur Google Maps, celui dans lequel nous avions garé la voiture et payé le parking pour éviter une très pragmatique amende, ressemblait vraiment à l’idée qu’ont de Balbec tous ceux qui lisent À l’ombre des jeunes filles en fleur . Et j’ai répondu oui : ce jour-là, je me suis retrouvée dans un rêve rêvé par des millions de personnes qui, en rêvant, ont suivi un premier rêveur.

renato dit: à

06
Proust a été généreux avec ses lecteurs : il leur a laissé un livre monumental, un livre en sept livres qui est un monde en soi — en fait, certains se sentent rejetés par cette masse majestueuse, par l’idée du temps très long qu’il a fallu pour lire À la recherche du temps perdu ; puis il y a ceux qui, au contraire, se sentent flattés justement par cette revendication tyrannique d’heures et d’attention, par l’idée consolante d’un temps gaspillé pour pouvoir le retrouver deux fois.

renato dit: à

07
J’appartiens évidemment à la deuxième catégorie, avec d’ailleurs l’enthousiasme ennuyeux des convertis, car la première fois que j’ai vu toute la Recherche, dans une édition en coffret, je me souviens encore de m’être promise, forte de la méfiance des lycéens, de me tenir loin d’elle ; seulement, peu de temps après j’ai reçu en cadeau Du côté de chez Swann dans une belle édition Einaudi, un petit livre en couleur sucre, dans la traduction de Natalia Ginzburg : ainsi mon snobisme et ma méfiance ont fait place à une double passion.

renato dit: à

08
Mais au-delà de ce monde en sept volumes, Proust a laissé à ses lecteurs une clé magique qui leur permet de vaguer à volonté, entre le monde de l’invention de son travail et le monde réel de sa vie. Dans ces sept volumes, en tant qu’alchimiste, il a transfiguré des détails de sa vie réelle, en restant, en même temps fidèle aux faits. Derrière chaque image, chaque nom, chaque histoire, il y a un autre nom, une autre histoire, toujours différente et identique ; on peut entrer dans cette forêt de correspondances assez aisément et découvrir ce qui se cache derrière une certaine idée. On peut s’émerveiller du fait que le personnage d’Albertine — l’amour prisonnier de Marcel, qui la rencontra pour la première fois sur le digue devant un grand hôtel normand, jeune fille méprisante et sportive voué à des blagues cruelles contre des vieillards confiants — n’est pas du tout inspiré par une jeune fille [*], mais, en plus d’un nuage de modèles secondaires, d’un beau garçon nommé Alfred Agostinelli, chauffeur professionnel, rencontré à Cabourg à l’été 1907. Pendant deux étés successifs, celui de 1907 et le suivant, Agostinelli a conduit Proust dans les nuits de Normandie, ses phares braqués sur de petites églises gothiques de campagne.
[*L’auteure — dans l’idée d’avoir quelque chose à palper ? — emploie le substantif féminin « ragazzotta », diminutif péjoratif qui définit une fille espiègle, un peu grossière et désinvolte.]

renato dit: à

09
Proust, enfant, avait beaucoup fréquenté la côte normande, sachant que les nouvelles lignes de chemin de fer l’avaient transformée en fantastique lieu de vacances pour les riches parisiens : il était allé en vacances à Dieppe avec sa grand-mère, à Houlgate, une petite ville art nouveau d’une grande beauté, avec ses parents et séjourné à l’Hôtel des Roches Noires à Trouville pendant une longue période. Celles de 1907 et 1908 sont les premiers étés que P, qui a récemment aussi perdus par sa mère (son père l’avait perdu en 1903), a passés au Grand Hôtel de Cabourg, mais il y en eut beaucoup d’autres : jusqu’au début de la guerre qui incombait sur les débuts du siècle. Il y est toujours revenu, et c’est là qu’il écrivit de nombreuses pages, transfigurant également la ville dans laquelle il se trouvait dans la station balnéaire imaginaire de Balbec, avec un beau nom très normand, comme je le pensais chaque fois que je voyais des panneaux pour Bolbec, un village qui existe vraiment et qui ne une voyelle se distingue de celle dans laquelle Marcel se laisse pour la première fois confondre avec la jeunesse sportive des filles en fleurs.

renato dit: à

10
Je suis une lectrice désordonné et plutôt émotive ; alors, lors de mon pèlerinage à Balbec, je suis arrivée enthousiaste, presque exaltée, mais très peu préparée. C’était peut-être mieux ainsi : distraitement, je laissais les souvenirs de mes lectures se réveiller seuls, tandis que je marchais rêveusement sur la Promenade Marcel Proust, parmi tant de gens, et j’étais là, mais aussi ailleurs, très loin, ébranlé. Je réalisai tout à coup que toute la beauté de la Normandie, la beauté des noms figurant sur les cartes de Google Maps, les longues maisons au toit de chaume et une rangée d’iris plantés sur le côté, de petites églises gothiques et des murets des cimetières le long desquels fleurit la belladone, des cathédrales ruinées par la fureur révolutionnaire de la Terreur, des fenêtres qui racontent des histoires majestueuses de saints, de fossés, de chevaux, de ciels et de vaches, j’avais tout vu à travers le souvenir des étés normands racontés par Proust.

renato dit: à

11
Et je me rendais compte devant le Grand Hôtel de Cabourg, qui pourrait être n’importe quel Grand Hôtel de la fin XIXe, que dans l’une de ses 414 chambres, autant de pages ont été écrites pendant les étés d’isolement, et mis là par leur auteur, qui a probablement mélangé cet hôtel à l’Hôtel de Trouville. Les écrivains aussi, en fait, comme les lecteurs, ont le privilège de pouvoir brouiller les débris de la mémoire et de l’imagination dans des harmonies secrètes invisibles. J’ai pensé à certaines pages dont la pensée ne cesse de m’émouvoir : celles dans lesquelles Marcel, rentrant à l’hôtel de Balbec, réalise tard et pour la première fois que sa grand-mère est morte : son absence irréversible, le vide soudain qui se manifeste dans l’interruption d’une habitude. Je pensais à la manière dont, au fil des ans, mon idée du deuil et de la perte s’était mêlée à ces pages terribles et inoubliables, et j’ai pensé à Marcel en chair, qui, après être revenu en Normandie uniquement en été avec sa mère et sa grand-mère, juste dans l’hôtel en face de moi, fraîchement restauré, sous le ciel marin d’un jour fin août 2019, dans une pièce cachée à ma vue par le mur jaune de l’hôtel, il a écrit ces pages de solitude sans remède.

renato dit: à

12
Pendant ce temps, des enfants en trottinette, des couples d’âge moyen avec de petits chiens tenus en laisse, des cyclistes en short passaient sur le front de mer. Quelqu’un parlait sur un cellulaire, un autre commandait une bière devant les tables du bar du Grand Hôtel, qui brillait dans son magnifique plâtre jaune pâle. C’est un hôtel comme tous les hôtels du monde, on peut réserver des chambres même sur Booking ; mais moi, sans que personne ne me voie, je me suis approché de la fenêtre et ai jeté un coup d’œil à l’intérieur. J’ai jeté un coup d’œil comme si je regardais un aquarium, me suis-je dit — avant de me rappeler que la métaphore n’était pas la mienne, mais je l’avais trouvée juste en lisant À l’ombre des jeunes filles en fleur, et je ne l’avais jamais oubliée, car c’est devenu un moyen de me dire certaines choses entre moi et de les voir même : parce que les pages des grands écrivains sont des grains de sable que nous laissons entrer dans la coquille de notre vie secrète : elles deviendront vivantes, comme des perles, dans notre tête de lecteurs.

renato dit: à

13
J’ai jeté un coup d’œil dans le hall d’entrée et, le cœur battant, je vis que les gens à l’intérieur se comportaient exactement comme les gens dans les couloirs de tous les hôtels du monde. Après avoir espionné par les fenêtres, je suis retournée au bord de l’eau, je me suis assise et j’ai un peu pleuré. Personne ne s’est aperçu, tout le monde était occupé à vivre sa vie, une fin d’après midi, fin août, à Cabourg, mais à ce moment-là j’étais dans un endroit qui existe et n’existe pas. Et j’ai pensé que c’était bien de ne pas pouvoir deviner combien d’autres, parmi les baigneurs qui s’échappaient en éclaboussant la mousse, de la mer glacée, parmi les gens qui marchaient sous ce ciel haut et irisé, se tenaient là, sans que l’on puisse le soupçonner, à Balbec eux aussi, ou de quelque monde lointain et invisible alors que la vie continuait, que des gens entraient et sortaient des portes en verre de l’hôtel, les filles riaient et un chien en manteau reniflait le bout d’un chaussure.

Jazzi dit: à

« alors que dans la voiture nous courions dans la rue ensoleillée »

Même les voitures de courses roulent, renato. Elles ne courent pas. Pour cela, il faut avoir des jambes…

Bérénice dit: à

ED. Ça reste à prouver. C’est quand même cet André le meilleur traducteur. Lalalere et vous ne l’avez pas lu dans cette traduction, c’est sacrément dommage.

rose dit: à

renato dit: à
et alii, le texte étant trop long pour un seul post, j’ai divisé Reportage émotionnel de la côte qui n’existe pas : à Balbec sur les traces de Proust en 13 segments. il faudrait faire mieux, mais le temps étant ce qu’il est…

21h49

qui a écrit ces 13 segments renato ?

rose dit: à

ragazza

ragazzi
les filles et les garçons

c’est le rajout de zzota qui rend péjoratif ; sinon ce n’est pas.

bérénice

je vous quitte parce que que vous allez finir par me faire pleurer. Faites quelque chose. N’importe quoi. Allez danser. Ou en croisière à Malte. Achetez-vous des chaussures.

renato dit: à

C’est ragazz-otta, rose.

renato dit: à

« Se procurer une voiture est encore facile. On en touve sur le marché et le prix d’une voiture prête à courir est assez raisonnable, mais pour vous faciliter les choses certaines personnes sont incontournables. Une voiture peut également se louer à la course ou à la saison. Voir la page consacrée aux “Ecuries” dans le menu lien. »

Ici :

http://www.formula-ford-historic.fr/courir/

Mais « roules » ça va aussi.

Bérénice dit: à

Pourquoi des pompes, rose, j’en ai trop! Je ne peux lire qu’en plein air ou est ce une histoire d’ assise. Voyager, oui volontiers, vous budgétaires contre quoi ? Trois pipes et un mégot?

Bérénice dit: à

Budgetez, mes excuses.

rose dit: à

22h10
Bérénice Pour le moral. Les pompes c’est bien.

Renato ai noté
Alors l’ajout du ott rend péjoratif. Sinon c’est populaire mais pas péjoratif.

rose dit: à

Vous budgétez facilement. Les bals, l’entrée est gratuite pour les filles. Pour les greluches on vous offre un verre.
Les croisières, vous vous inscrivez trois jours avant, vous payez demi-tarif.

Bérénice dit: à

Je crains que les pompes ne changent rien à ma détresse, c’est fichu. Tiens je vais me suicider au baba au rhum!

rose dit: à

Courir c’est pour le guilledou.

Chaloux dit: à

Pablo75 dit:
En réalité tu as été puni par le Dieu des Livres chez Gibert pour n’être pas passé avant chez Boulinier.

Peut-être en effet, Pablo, je suis entré chez Boulinier deux fois en 35 ans. Vendredi, j’ai eu la tentation d’y faire un tour parce que tu en parles souvent, mais j’allais chez Gibert avant tout pour des DVD (anniversaire) et j’avais une fièvre non pas vraiment de cheval mais au moins de poney (où cette remarque risque d’entraîner les âmes perdues d’ici -tout en – bas, Dieu le sait) et j’avais dû faire chauffer la carte bleue à blanc dans la matinée. Ce qui explique ma parcimonie. Pas tout le même jour.
21H37.

Le traitement par le gouvernement de l’affaire de Rouen est hallucinant. Les gogues en marche.

Il me reste dix pages pour terminer Hécate. Vraiment pas convaincu. Je me demande ce qui a pu pousser Morand à publier ce récit que je trouve un brin ridicule. Je n’ai jamais pensé qu’il était était homosexuel (malgré le témoignage dont j’ai parlé l’autre jour et que je ne retrouve toujours pas), mais il faut bien avouer que si tu remplaces la partenaire par un partenaire tout s’éclaire. Et puis ce jeune homme exhale une petite odeur aigrelette de vieillard qui rend le texte difficilement crédible. Ecrit trop tard, avec des moyens trop académiques. Passé un certain âge, sans doute, vaudrait-il mieux ne plus trop s’étendre sur la sexualité. On n’y est plus.
Je me demande si le fait que Clotilde se donne au narrateur n’affaiblit pas le récit qui claudique ensuite du fait de sa briéveté. Il aurait été plus intéressant à mon avis qu’elle se refuse à lui dès le début, tout en se donnant à d’autres, incapables de la satisfaire, ce qui aurait renforcé son caractère de forteresse.

De plus, pages 17-18, elle est décrite comme un cadavre. Pas de hanches, peu de corsage, les bras sans chair, les cuisses maigres… Étrange. Quel tableau!
Je vais le relire et j’y reviendrai.

Bérénice dit: à

Rose, vous appartenez à des temps révolus. Tout ceci n’a plus cours. Vivre c’est payer. Si tu peux pas tu crèves. Au mieux tu végètes cependant les bibliothèques sont ouvertes les dimanches.

Bérénice dit: à

Il aurait été plus intéressant à mon avis qu’elle se refuse à lui dès le début, tout en se donnant à d’autres, incapables de la satisfaire, ce qui aurait renforcé son caractère de forteresse.

Y avait il d’autres comestibles dans son entourage, vous en avez de bonnes, comme s’il était si facile de se donner , s’offrir, défaillir ou faire semblant, succomber quand aucun charme n’agit!

chaloux dit: à

On me répondra que Morand a b. jusqu’à 85 ans. Sépulcres blanchis…

Bérénice dit: à

85 ans, oui, on disait de ces hommes qu’ils etaient encore verts ( comme les martiens).

rose dit: à

Bérénice
Je suis en avance sur vous d’une vingtaine d’années. Comme vous avez 9 ans de moins que moi, cela fait trente.
Vivre c’est respirer.
Cela me fait peine que vous vous suicidiez au baba au rhum. L’avait rien fait, lui.

rose dit: à

D’ailleurs, j’ai perdu ma carte bleue depuis qq. jours. Chauffer, pas question.

Chaloux dit: à

@Pablo. La fin est excellente : rencontre du mari, et dîner avec Clotilde, elle authentifie curieusement ce qui peinait à paraître vraisemblable -même fantastiquement vraisemblable- dans le cours du récit.

Je laisse reposer quelques jours et je relis.

Bérénice dit: à

Rose, je ne secrete que peu d’idées alors j’emprunte à ceux qui débordent. Pour le suicide, j’ai une recette qui j’espère ne servira qu’à l’annonce d’une dégénérescence , là bien sûr, il faut encore savoir évaluer le moment P comme present , le moment F comme foutu. Nous avons quelques années d’écart et come vous savez je suis toujours convaincue de mon hétérosexualité aussi ne puis je de vous, de nous rien espérer d’amoureux. C’est tragique.

rose dit: à

Dans mon lit, sous un duvet en plumes, je rigole
« e si le fait que Clotilde se donne au narrateur n’affaiblit pas le récit qui claudique ensuite du fait de sa briéveté. Il aurait été plus intéressant à mon avis qu’elle se refuse à lui dès le début, tout en se donnant à d’autres, incapables de la satisfaire, ce qui aurait renforcé son caractère de forteresse.

De plus, pages 17-18, elle est décrite  »

Y aurait pas plus compliqué encore ?

Aujourd’hui, François est arrivé en pleurant. Reparti en rigolant. Déjà, il parle plus de tuer son ex. . On avance.
Bérénice
J’ai bien pensé à vous le présenter mais vous êtes trop jeune. Et lui trop garde du corps. Et puis, les filles veulent le mariage et lui pas.
M’ a dit :
 » et comment on fait pour s’en débarasser après ? ».
L’ a oublié d’être bête.

Bérénice dit: à

Chaloux, c’est quoi ce Morand, j’ai pas bien compris.

D. dit: à

Pourquoi vous nous racontez ces choses qui n’ont ni queue ni tête, renato ?!

rose dit: à

Bérénice

Alors, il vous les manque, ces quelques années.
de mon hétérosexualité aussi ne puis je de vous, de nous rien espérer d’amoureux. C’est tragique.

Je n’arrête pas de rigoler.
Chaque fois qu’il vous a écrit ici, montre en mains
« Bérénice, voulez-vous m’épouser ? » fallait répondre oui, fillette.

Ou alors vous êtes comme Clopine, vous ne lisez pas tous les commentaires.

Bérénice dit: à

Rose, tres jeune me passaient de drôles de pensées, je n’ai jamais cru que je me marierai. A 14 ans j’en étais déjà convaincue. A 8 je plaignais les assassins pour le sentiment de culpabilité qu’ils devaient éprouver. Je ne savais rien bien sur psychopathes , j’envisageais seulement les désespérés.

rose dit: à

Chaloux, en fin de journée

Le traitement par le gouvernement de l’affaire de Rouen est hallucinant. Les gogues en marche.

Il me reste dix pages pour terminer[…]

Pense la même chose en ce qui concerne l’enterrement de Chirac.
Quelle honte.

Renato nous dit qq. chose.
Tout est dans le titre du livre payé sans l’emmener. On le saura en son temps. Patience.
Et longueurxde temps dont plus que force ou que rage.

Bérénice dit: à

Il faut ajouter l’article – des-.

Chaloux dit: à

@Pablo. En fait, ce qui frappe le plus, c’est que le texte est trop court pour la richesse de la matière (le plus intéressant étant peut-être ce qui longe le récit principal). La matière déborde sans cesse de la forme, comme dirait Cicéron. mais en même temps, c’est un récit qui sort évidemment d’une très grande plume, il est plein de petits trésors éparpillés, comme toujours chez Morand,- des aquarelles, de minuscules peintures à la Vuillard, et un coup d’œil à la fois implacable et d’une justesse absolue sur la créature humaine, un couperet. A propos du mari :C’était un de ces preux sans usage, au visage émacié, que font surgir les guerres et qui, après, ne savent plus où aller.

Même si on tirait de tout cela (ce que je ne fais pas) la conclusion que quelque chose cloche dans le récit, il fait tout de même davantage aimer et admirer Morand.

rose dit: à

Longueurxdetemps, c’est Playboy.

Bérénice
Alors vous l’apprendrez, tout chemin est magnifique, j’ai confiance pour vous. Mais ne vous en prenez pas aux bavas aux rhum, bien innocents dans l’affaire.
Peut-être Greta ouvre-t’elle la porte à ce que l’ on écoute la parole des enfants comme étant d’importance.
Et vous êtes allée jusqu’aux désespérés.
Les femmes, nous sommes faites pleines cellules pour le bonheur.

Chaloux dit: à

@Bérénice. Hécate et ses chiens

@Rose, le titre de l’ouvrage? Le manteau de Carmen, de Carmen Bouchard, avec patron, du 36 au 46 (!). 9782842216276. 14.95.

Un patron à découper à taille réelle (du 36 au 46) : plus besoin de reporter le patron !
Le manteau de type caban est un classique facile à porter. Ils’associe aussi bien avec un jean qu’un pantalon tailleur.
Un manteau déclinable à l’infini : version longue ou version 3/4, avec ou sans capuche, poches plaquées ou poche passepoilées…
Des consignes très illustrées, étape par étape, pour réaliser le vêtement, le modifier à sa morphologie ou décliner ses variantes.
Des astuces et des conseils professionnels pour choisir le bon tissu pour le bon rendu.
Carmen Bouchard (alias CarmencitaB sur les réseaux sociaux) est la gagnante de la première édition de Cousu Main, le concours de couture sur M6.

Vous m’en direz tant… Mes sous!

Chaloux dit: à

Les éditeurs du manteau de Carmen présentent le patron à découper comme une nouveauté, mais n’était-ce pas déjà le cas dans Modes de Paris. Je lisais ça vers sept ou huit ans chez mon arrière grand-mère. La dame de la rubrique sentimentale du journal écoutait les sottises qu’on lui rapportait dans un gros combiné téléphonique qui avait au moins trente ou quarante ans d’âge et qui m’intriguait fort. Et je regardais incrédule les illustrations du roman sentimental. Il me semblait obscurément que quelque chose clochait (déjà!) dans ces histoires. Car il ne faut pas sous-estimer la lecture de l’enfant. C’était ma période Comtesse de Ségur, auberge de l’ange gardien, général Dourakine, lus tous deux un nombre incalculable de fois, si incalculable qu’il m’arrive encore de les relire,- et Anatole France (Le livre de mon ami, bibliothèque verte), -et je voyais bien que ce n’était pas la même chose.

Chaloux dit: à

rose dit: à
Dans mon lit, sous un duvet en plumes, je rigole

Rose, ça me fait plaisir de savoir que je vous fais rire. Moi aussi, je rigole en vous lisant qui dites que vous rigolez en me lisant. C’est sans sans fin. (A chaque fois que je relis, je recommence à rire…). Je ne connais pas votre rire, mais je suis sûr qu’il me plairait.

Jean Langoncet dit: à

Deux heures moins le quart avant Jésus Christ

A propos d’un dont Chirac a pu dire dernièrement qu’il savait dire tout haut ce qu’on pense tout bas (you can count me out – https://www.youtube.com/watch?v=-3glcY2LQIk )
Luis Rego vient de passer une journée de ouf avec Jean_Marie Le Pen

Jean Langoncet dit: à

Les mêmes chroniquent aujourd’hui Pouchkine. Est-ce un progrès ou un prétexte ?

et alii dit: à

mediapart:
Après le gigantesque incendie de l’usine Lubrizol, survenu jeudi 26 septembre à Rouen, tout le monde s’interroge sur les matières présentes dans le panache de fumée et ses retombées. Photographiez ou décrivez-nous les dégâts survenus dans votre environnement et expliquez-nous comment vous faites face à cette crise !
30 SEPT. 2019 PAR SABRINA KASSA ÉDITION : APPEL À TÉMOIGNAGES
https://blogs.mediapart.fr/edition/appel-temoignages/article/300919/apres-l-incendie-de-l-usine-lubrizol-de-rouen-temoignez?utm_source=20190930&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-%5BQUOTIDIENNE%5D-20190930&M_BT=1249929909253

et alii dit: à

et appel à témoignages s’adresse aux abonnés de Mediapart. Mais si ce n’est pas (encore !) le cas, écrivez-nous à l’adresse suivante : leclub@mediapart.fr

rose dit: à

Il est 5h35

Paris s’ éveille.

Tiens, Bérénice, ai trouvé une réponse pour vous.

Sexe ? Cerveau ? Portefeuille ? Qui commande au juste….? dit: à

Le grand remplacement est une réalité ! Ceux qui le nient sont aussi bêtes que les Romains ne voyant pas le danger que représentaient les Chrétiens et les Barbares au delà du limes, qu’ils n’arrivaient plus ni à contenir, ni à assimiler…

Et arrêtez de foutre du cul partout ! La proportion reste un tiers pour le trio éternel sexe/pouvoir/argent…

On voit le résultat du trio gagnant.
Pas d’heure sur les vieux billets. Avons perdu le nord.

Ed dit: à

@jazzi
Je n’ai rien raté ? Ah ben je me sens mieux.

« en disent centre fois plus sur l’art contemporain que les franchouillardises de La Carte et le territoire » Allez, dans ta g.ueule. Vite fait, ni vu ni connu 😀

Le dernier Prudhomme ajouté à ma PAL https://www.babelio.com/monprofil.php?id_user=807261

Les autres, bof bof.

rose dit: à

5h58
Chaloux dit: à

Les éditeurs du manteau de Carmen présentent le patron à découper comme une nouveauté, mais n’était-ce pas déjà le cas dans Modes de Paris. Je lisais ça vers sept ou huit ans chez mon arrière grand-mère. La dame de la rubrique sentimentale du journal écoutait les sottises qu’on lui rapportait dans un gros combiné téléphonique qui avait au moins trente ou quarante ans d’âge et qui m’intriguait fort. Et je regardais incrédule les illustrations du roman sentimental. Il me semblait obscurément que quelque chose clochait (déjà!) dans ces histoires. Car il ne faut pas sous-estimer la lecture de l’enfant. C’était ma période Comtesse de Ségur, auberge de l’ange gardien, général Dourakine, lus tous deux un nombre incalculable de fois.

Moi, je, c’était :
mes parents me fourguaient Les petites filles modèles et je me ruais sur Un bon petit diable.

—–
Non, je ris comme une tordue : Quasimodoña
——

Oui, c’est bien ancien, Modes et Travaux aussi. Le retour du patron, maman pique et papa couds.
Carmencita est publiée, elle sort de l’anonymat, gare, gare.
La dame qui écoutait des sottises dans le gros téléphone, c’était Eve Ruggieri ?

Bon. 6h01.

rose dit: à

Papa coud.
N’a jamais cousu Papa.
Un bouton, à l’armée ?

rose dit: à

Et je regardais incrédule les illustrations du roman sentimental. Il me semblait obscurément que quelque chose clochait (déjà!) dans ces histoires. Car il ne faut pas sous-estimer la lecture de l’enfant.

Chaloux

L’enfant sait, l’enfançon.
Bien d’accord avec vous. Ne pas sous-estimer la lecture le point de vue les idées de l’enfant.
Ne pas sous estimer l’enfant, non ?

6h08, un ange passe.
Ai fait 666, je le porte.

rose dit: à

Chaloux

Vous riez parfois ? 😳

« La beauté et le pouvoir, la singularité de la voix de Jessye Norman : je ne me souviens pas d’autre chose de semblable », déclarait, en 2014 lors d’une soirée d’hommage à la cantatrice, Toni Morrison, prix Nobel de littérature (1993), décédée elle-même en août dernier. « Je dois dire que parfois lorsque j’entends votre voix, cela me brise le cœur. Mais à chaque fois, lorsque j’entends votre voix, cela soigne mon âme », avait poursuivi l’écrivaine, Toni Morrisson.

Ariane à Naxos

Jessie c’est presque comme le monstre du lough ness : Nessie.

rose dit: à

Bérénice

Pour vous I dreamed a dream by Suzan Boyle. Elle chante depuis qu’elle a 12 ans. Regardez ses pompes et l’élégance avec laquelle elle embrasse la foule.

https://youtu.be/wnn6mShs1P8

Marie Sasseur dit: à

Ô maître des horloges qui s’est fait dérober le temps atomique, n’a plus qu’un sablier, pour dater, et compter en siècles, rassemblez vos ressorts.

Applications ayant besoin de temps précis  Transactions boursières  Contrôle de trafic aérien et position d’aéronefs  Localisation de mobiles (GPS et autres)  Diffusion et contrôle de programmes de radio et TV  Gestion de risques climatiques, écologiques, pollution…  Synchronisation de flux multimédia dans la téléconférence  Simulation interactive  Jeux distribués, Musique distribuée  Enseignement à distance  Systèmes de commande en temps réel de processus physiques  Gestion de réseaux et de systèmes de télécommunications  Transactions sur les BD  Documents mis à jour de manière répartie (marques des m.à.j.), et datation de commentaires sur la rdl.

Marie Sasseur dit: à

1er octobre 2019, il est 7h56, heure de Paris.

Bérénice dit: à

8h08 je me depeche heure locale ou 7h58, cherchez l’erreur.

Bérénice dit: à

Rose, le fric, le cul, la ritournelle que le seul garçon de la section sciences eco en terminale, mon voisin de table volontairement recruté, j’avais besoin de sa masculine virile presence, me chantait en cours de français, d’anglais, de philosophie. Je me revoltais contre cette idée , actuellement je la classe comme vous parmi les principes dominants. Cependant il semble que l’intelligence n’y soit pas pour rien, il est nécessaire de savoir la faire fructifier. Encore faut il disposer de cette chance, je pense sincèrement que tous n’ont pas l’opportunité de se développer comme ils le mériteraient, question de milieu, d’education des lecdepart, de moyens economiques et l’avenir renforcera cet etat de fait. Voyez les frais d’indcription dans les facs anglaises, canadiennes, americaines. Segregation, selection par l’argent , pas sans exceptions mais la bataille est rude, les déterminismes sociaux fréquemment à l’ouvrage.

Marie Sasseur dit: à

@
« Pas d’heure sur les vieux billets. Avons perdu le nord. »
Que faire en attendant de « consulter »:

« Laisser le libre accès aux fenêtres pour pouvoir suivre le cycle du soleil et des saisons. Installer une horloge simple avec de gros chiffres, une horloge à carillon, un coucou ou un calendrier affichant un mois ou, mieux, un jour à la fois. »

A demain.

Chaloux dit: à

Vous riez parfois ? 😳

Toute la journée.

J’ai entendu une fois Jessye Norman à Pleyel. Je me souviens que Mme Pompidou, vêtue d’un invraisemblable tailleur vert pomme, était dans la salle. Programme plutôt rébarbatif, un cycle de Berlioz qui n’est pas toujours un charmeur et je ne sais quoi d’autre encore. Mais les bis demeurent inoubliables. Pendant Mary had a baby, personne ne respirait plus dans la salle. Merveilleux, miraculeux silence.

Là, je ne ris plus du tout.

https://www.youtube.com/watch?v=4WyueQhul3U

Bérénice dit: à

Marie, seriez vous à Paris vous zaussi? Ne répondez que si la question n’entraîne aucune réponse publicitaire, je sais de toutes façons qu’il est indiscret et malpoli de vouloir obtenir des renseignements spontanement non fournis .

Bérénice dit: à

Regardé hier soir un film de Philippe Garrel , pris quelques minutes après qu’il ait commencé, Ce devait être La jalousie, je vais vérifier. Étonnant, ce cinéaste n’a jamais voulu abandonner le noir et blanc dont il obtient d’ailleurs le meilleur. Je serai curieuse d’avoir de son cinéma des images de nature, de paysages, ce que j’ai eu l’occasion de voir de son travail est urbain.

Bérénice dit: à

Chaloux, en effet, il n’y a pas de quoi.pour un matin cette musique ne me parait pas très indiquée. Mais habituée à vos choix ou non- choix, je pense que celui ci ne se soustrait pas à vos règles ou à ses absences.

closer dit: à

Merci Passou. J’ai du mal à croire cependant qu’un petit coup de fil à Macron, qui lui-même enverra un SMS à Pedro Sanchez, ne réglerait pas votre problème en 24 heures…

closer dit: à

J’oubliais: 1/10 à 9h34

Chaloux dit: à

Bérénice, vous êtes de plus en plus débile. On ne va pas à un récital de J. Norman « le matin ». Voyez quelqu’un d’urgence.

A la cérémonie Chirac, Macron, avec son oreille en lavabo, a imposé Barenboim au piano. Un choix ridicule, comme d’habitude. Je ne sais pas ce que vaut Barenboim comme chef mais comme pianiste c’est vraiment une catastrophe. Étonnant tout de même que la -toute- petite bourgeoisie d’Amiens ait fabriqué ce modèle de crétinisme parfait. Peut-être pas d’ailleurs, quand on voit le niveau de son vieux tableau.

D. dit: à

J’admirais Jessye Norman pour son travail et d’avoir réussi en partant d’un milieu social bas. Mais je n’ai jamais aimé sa tessiture de voix…je ne possède pas un seul enregistrement d’elle.

closer dit: à

Une hypothèse plausible sur ce qu’a dit Hollande à Carla Bruni pour expliquer l’air stupéfait de cette dernière:

« François Hollande « Environ 1% des français pensent que j’ai été le meilleur président de la Vè République »
Carla Bruni: « Autant que ça ?! »

D’autres hypothèses sont nettement plus hard et peu compatibles avec la haute tenue de la RdL.

9h41

Chaloux dit: à

D, pour moi la plus belle en voix entendue en concert, c’est Montserrat Caballé.

Le virus assoulinien continue à faire des siennes. Pourrait vérifier ses sources… Hurkhurkhurk!

Les flics de Versailles ne veulent plus assurer la protection de Macron. Ce n’est qu’un début.

D. dit: à

Au lieu de vous accrocher à cette horloge disparue je vous invite à méditer sur le temps. Son absence. Sa présence. Sa mesure. Que mesure-t-on. Et pourquoi. À quoi servait cette horloge. À quoi son absence peut-elle servir. La fin des temps.

D. dit: à

Celles que j’aimais le plus ont quitté ce monde : Callas et la très vivante et charmeuse Schwartzkopf, plus récemment.

Il me suffit de revoir et entendre la Callas pour mesurer le fossé qui la séparera sans doute à jamais des autres.

D. dit: à

Schwarzkopf – t fautif

de nota dit: à

Jessye Norman est morte d’une septicémie, de septum, clôture… Une clôture en mi, en mi majeur.

D. dit: à

de nota, c’est un test pour voir ceux qui suivent ou vous bien vous êtes sérieux ?!

de σῆψις sepsis = putréfaction 

Bérénice dit: à

Chaloux, débile, si vous voulez, cette musique ne me convient pas de bon matin, c’est un argument incontestable en faveur de ma débilité. Ne vous fatiguez donc pas à cette volonté de ridiculiser, déprécier autrui. Venant de vous meme si Je suis loin de posséder votre QI et celui de vos aides ménagères, cela ne prend aucune importance, vous êtes fou, du genre psychopathe, dérangé, cinglé, regrette ce compagnonage virtuel, je ne méritais pas ça pas plus que vous méritiez qu’un cheveu tombe sur votre potage . J’ai l’impression d’être pour vous ce genre d’inconvénient. En plus de la folie vous cumulez les mandats: malhonnête, manipulateur, immoral, cruel, voleur, de mauvaise foi, menteur, obsédé etc etc toutes ces qualités ne réussissent pas à annihiler votre talent que d’ailleurs je n’entends pas, quel malheur!

D. dit: à

Ce cumul de mandats présumé pourrait vous mener en enfer, Chaloux.

Bérénice dit: à

C’est là qu’il aime resider. Je manque d’objectivité le concernant mais surement comme lui à mon égard je dispose d’arguments en sa défaveur.

D. dit: à

Si jamais les analyses des suies révélaient des quantités substantielles de PCB on aurait un énaurme scandale.

D dit: à

Je constate simplement qu’ils font partie des additifs utilisés dans les huiles minérales… donc peut-être présents parmi les produits atteints par l’incendie…dont on ne connait pas la liste. Il faudrait la connaitre.

www.http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Polychlorobiphényle

D. dit: à

Normalement on en trouvera pas puisque son utilisation est interdite et qu’aucun stock ne pouvait être conservé. Soyons rassurant, mais vérifions.

renato dit: à

Barenboim est un grand technicien, la Scala et les Berliner misent toujours sur les bons numéros — B, entre autre, directeur musical de La Scala puis chef honoraire des Berliner —. Comme pianiste, il est vrai, plutôt schématique.

Paul Edel dit: à

schématique? au piano Barenboim?Renato Vous n’avez visiblement pas écouté ses concertos de Mozart.quelle misère ce mépris.

D. dit: à

Oui je suis plutôt d’accord avec cette appréciation sur Barenboïm.
Mais comparé à Badura-Skoda – qui vient de décéder-, il reste bien en dessous à mon sens. Badura-Skoda était d’une justesse remarquable, respectait absolument les oeuvres sans jamais rendre leurs interprétation rebarbative. Je ne suis pas sûr que Barenboïm au piano soit dans le résultat capable de ça. Dans l’intention peut-être. C’est un bon professeur sans doute.

Chaloux dit: à

Barenboim n’est pas un bon pianiste. C’est un pianiste pour Paimpopol et Macron. Quant aux concertos de Mozart, trop d’enregistrements géniaux pour perdre son temps avec les siens. Il a même trouvé le moyen de massacrer des œuvres techniquement simples comme les romances sans paroles de Mendelssohn.

Badura-Skoda, vu parfois à Gaveau. Toujours intéressant d’entendre les remarques dont il était prodigue. Un musicien très honnête mais qui ne vous emportait pas.

D. dit: à

Marion Maréchal-Le Pen, qui pourtant a ouvert une école, m’apparaît comme une piètre politicienne.
Rien ne la forçait à dire en octobre 2019 qu’elle ne serait pas candidate à la présidentielle de mai 2022 !
C’est une erreur stratégique majeure. Une erreur de débutant.

Jazzi dit: à

En général, quand on affirme qu’on ne sera pas candidat, c’est qu’on le sera, D. !

Les B, c’est les meilleurs renato !

closer dit: à

Puisqu’on parle de piano, je ne saurais trop recommander l’extraordinaire interprétation du concerto numéro 3 de Rachmaninov par Denis Matsuev, le bon géant du piano russe, avec l’orchestre du festival de Lucerne sous la direction de Ricardo Chailly. Le public en délire pourra dire « j’y étais ». Une technique prodigieuse mais habitée, maîtrisée, sans clinquant. C’était sur Arte dimanche dernier 18h25…

https://www.arte.tv/fr/videos/090622-000-A/rachmaninov-par-chailly-et-matsuev/

closer dit: à

L’anti Lang Lang en somme…

12h36

Paul Edel dit: à

Jazzi, tu as raison à propos de Rouen. j’espère que des Rouennais ont sorti leurs cameras,dans les deux premiers jours ,et qu’ils ont interviewé des pompiers qui ont combattu sur place , des habitants proches du lieu . Autre problème. Pour savoir exactement ce qui a brulé à Rouen, quels composants chimiques se sont répandus dans l’air, et quels conséquences cela peut avoir sur l’organisme humain, animal, sur les végétaux, dans l’eau, tout ceci demande techniquement du temps ,et des mesures sur une étendue géographique immense balayée par les fumées nocives. or, avec les réseau sociaux et l’info en continu, on exige de l’immédiat ! Le temps médiatique exige des réponses instantanées,elles sont impossibles à donner scientifiquement dans l’immédiat.

Marie Sasseur dit: à

Amélie Nothomb et JP Dubois, encore en liste.
Bon app’
13h01

et alii dit: à

et quels conséquences cela peut avoir sur l’organisme humain, animal, sur les végétaux, dans l’eau, tout ceci demande techniquement du temps ,et des mesures sur une étendue géographique
et si j’ai bien compris, des analyses et études sur le long terme

Jazzi dit: à

Un film documentaire, posant les bonnes questions et montrant les réponses, permet aussi de voir comment l’on nous ment, Paul !

« Incendie de l’usine Lubrizol à Rouen : Des odeurs « gênantes » mais « pas nocives » selon Edouard Philippe »

Jazzi dit: à

On ne connait toujours pas les causes de l’incendie de Notre-dame de Paris…

Jazzi dit: à

La 2ème sélection du Goncourt 2019

Le ghetto intérieur de Santiago H. Amigorena (P.O.L)
Le ciel par-dessus le toit de Nathacha Appanah (Gallimard)
Un dimanche à Ville-d’Avray de Dominique Barbéris (Arléa)
La part du fils de Jean-Luc Coatalem (Stock)
Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon de Jean-Paul Dubois (L’Olivier)
Rouge impératrice de Léonora Miano (Grasset)
La terre invisible d’Hubert Mingarelli (Buchet Chastel)
Soif d’Amélie Nothomb (Albin Michel)
Extérieur monde d’Olivier Rolin (Gallimard)

Jazzi dit: à

« Pour savoir exactement ce qui a brulé à Rouen »

Jeanne d’Arc !

et alii dit: à

Toulouse : Un début d’incendie sur un site classé Seveso, dans un hangar à batteries
SINISTRE Un incendie, rapidement maîtrisé, s’est déclenché lundi soir à Toulouse, sur un site de stockage de batteries au plomb, classé Seveso

et alii dit: à

Les sites Seveso sont classés selon deux niveaux de risque, seuil haut et seuil bas, en fonction de la quantité de matières dangereuses présentes. Selon le ministère de la Transition écologique et solidaire, la France compte 1.312 sites classés Seveso (dont 705 en seuil haut) à ce jour. Fin 2015, lors du dernier recensement, la France en comptait 1.261 (700 en seuil haut et 561 en seuil bas).

« Les exploitants de sites industriels sont tenus de recenser tous les quatre ans les substances (y compris les déchets) susceptibles d’être présentes sur leur site, qui induisent leur classement en site Seveso », précise un expert du cabinet August-Debouzy, et « le prochain recensement était prévu cette année ».

10.000 sites dans l’UE
Plus de 10.000 sites Seveso sont recensés dans l’Union européenne. « Sur ces sites, des études de dangers sont réalisées afin d’évaluer les impacts potentiels d’un accident majeur ; des mesures de maîtrise des risques, visant à prévenir la survenue de tels accidents, sont imposées réglementairement ; et des plans de prévention des risques technologiques, qui limitent l’urbanisation, sont mis en place », précise le communiqué du ministère publié jeudi.

Jazzi dit: à

Pour le prochain film de Clopin et Clopine, qui ne sera pas une comédie, je propose : « Jours de suie à Rouen » !

Chaloux dit: à

Je trouve le Rachmaninov de Matsuev horriblement affecté, débordant de mélasse. Et très peu net. Dans le fameux passage fameux passage à 32’45, on n’entend rien.

A comparer avec ce qu’en fait Horowitz. Prodigieux. Rachmaninov avait dit à Horowitz « tu es le seul à jouer ce concerto mieux que moi ». Trente ans après sa mort, toujours pas de concurrence sérieuse.

Ici, à 26’10.

https://www.youtube.com/watch?v=D5mxU_7BTRA

Ed dit: à

Ma chattoune s’est barrée

D. dit: à

Ed, je fais une prière pour qu’elle revienne. Tiens-moi au courant.

Phil dit: à

Ma chattoune s’est barrée

à casablanca ?

closer dit: à

Ah bon..

et alii dit: à

ON DÉCRYPTE
Promise par François Hollande, repoussée plusieurs fois et finalement confirmée ce lundi par EDF, la fermeture de Fessenheim, la doyenne des centrales nucléaires encore en activité en France, pourrait bien mettre le réseau électrique français en tension.

L’engagement premier était clair : l’arrêt définitif des réacteurs de Fessenheim devait marquer l’ouverture de l’EPR de Flamanville, un réacteur nucléaire de troisième génération conçu pour offrir une puissance et une sûreté améliorées. La substitution aurait largement permis de compenser la fermeture de la centrale. C’était sans compter les délais multiples, qui retardent toujours l’ouverture du nouvel EPR. Selon les dernières estimations, le chantier ne devrait pas aboutir avant la fin 2022, soit au moins 10 ans après la date initialement prévue.

D. dit: à

Je me ferais bien des spaghetti à la boloniaise, ce soir.

P. comme Paris dit: à

Les raminagrobis de Hambourg s’en pourlèchent déjà le babines.

et alii dit: à

Pour André Cicolella, qui est également président du Réseau environnement santé, les effets de l’incendie survenus à Rouen pourraient se révéler sur le long terme. « Les nausées, les vomissements, ce n’est pas spécialement agréable, mais on n’est pas ici sur des effets à long terme », relève-t-il. « L’effet sur le long terme, ce sont des substances du type dioxine chlorée qui vont pénétrer dans l’organisme et qui vont y rester pendant des décennies. Ça va être stocké dans les graisses et ça va contaminer tous les organismes vivants. Et l’enjeu principal dans ce cas, c’est la protection des femmes enceintes, car le fœtus peut être impacté avec des conséquences extrêmement importantes. On le sait malheureusement grâce à Seveso, puisqu’on a étudié depuis 1976, et tous les ans ou tous les deux ans, on a l’état des connaissances sur cet impact. »

et alii dit: à

Je me ferais bien des spaghetti à la boloniaise, ce soir.ce sont les plus niais qui vous suivront ,mais pas jusqu’à Bologne

Dubruel dit: à

Le hic continue ici aussi ? Disparition de l’horloge, deux tentatives pour aller sur la page de la RDL ce matin et hier, soldées par des échecs, posts disparus.
D’autres répercussions : j’ai reçu un mail ‘de moi-même'(mon adresse mail) avec du charabia & demande de cliquer pour chasser le virus. Bizarre.

Marie, pas aujourd’hui que je vais retrouver l’H, votre ‘Funeral blues’. Oraison funebre de ‘4 mariages & Un enterrement’. Le barbu s’écroule en dansant la gigue avec Christine Scott Thomas, ange UK importé par l’obstétricien frère d’Olivennes !
Votre suggestion de m’envoyer chez le coiffeur, bon conseil, je suivrai. Les jeunes filles dans mon lycée vont rue de la Paix chez Nollet, la coupe d’entretien à cinq cents euros ‘ça fait partie de la prépa’, qu’elles disent. Vous comprenez pourquoi je risque d’être mal reçu si je fais négligé, en plus d’en avoir marre des gamines qui n’ont plus besoin d’aller rue Saint Dominique pour trouver un mec ‘qui assure’, suivant les critères papa-maman macronistes. Elles sont qualifiées, mais… manque indéfinissable. Ha, elles se serviront en premier et ne feront pas dans la dentelle.

et alii dit: à

Apparemment, le spaghetti à la sauce bolognaise n’existe pas!

et alii dit: à

le pseudo chef de la RDL est toqué
pour Virginio Merola, le maire de Bologne. Le monsieur en a plus qu’assez de voir sa ville associée à un plat qu’il juge somme toute correct, mais loin d’être aussi élégant que le reste de la gastronomie bolognaise. Même si M. Merola dit être heureux de l’attention que le spaghetti à la sauce bolognaise attire sur sa région, il préfèrerait que les touristes s’emballent davantage pour les tortellinis, la lasagne et les tagliatelles, toutes des pâtes alimentaires qui, elles, seraient véritablement issues de la Bologne. Il est bizarre, selon lui, que sa région soit reconnue pour un mets étranger. D’ailleurs, là-bas, si vous commandez un spaghetti à la sauce bolognaise, ce sont des tagliatelles qui se retrouveront probablement dans votre assiette, pas des spaghettis. À titre informatif, ces derniers seraient originaires de Naples.

et alii dit: à

Didier Guillaume, le ministre de l’Agriculture s’est rendu à Rouen et a promis une indemnisation totale pour les agriculteurs touchés par les retombées de suie, avec « des avances de trésorerie rapide ».

Sarah dit: à

Sesso à Lespinasse,
classé Seveso de loin,
La bolo niaise a perdu sa chatte, je répète la bolo dièse à perdu sa gratte.
On vit des heure formidables sur ce blog à 14 h 32!

Sarah dit: à

Des heures formidables à 14 h 33

Ed dit: à

Merci infiniment dede. Je vous tiens au courant.

Sarah dit: à

Sesso à Lespinasse,

notifier l’heure ce n’est pas enregistrer le test amant!
14 h 35

Sarah dit: à

Les poils sur le plaid comme un regret de la chatte perdue, je vous plains, Ed.
Le plein air,
à 14 h 39.

Soleil vert dit: à

Ed dit: à
Ma chattoune s’est barrée

Aie aie les chats c’est comme le lait sur le feu …

Rien dans ton quartier ?

Ed dit: à

Elle s’est barrée tôt le matin, profitant d’une visite de plombiers. Quand je suis partie au boulot qq heures plus tard, aucune trace d’elle. Sa sœur est seule à la maison toute la journée pour la première fois DE SA VIE.

Sarah dit: à

C’est sûr, Ed, la pilule est dure à avaler…

Glu et Gli, Henri Michaux
lu par Roger Blin

GLU ET GLI

Et glo

et glu

et déglutit sa bru

gli et glo

et déglutit son pied

glu et gli

et s’englugliglolera.

les glous glous

les sales rats

tape dans le tas !

il n’y a que le premier pas !

il n’y a que ça !

dans le tas !

le rire est dans ma …

un pleur est dans mon …

et le mal Dieu sait où

on en est tous là

vous êtes l’ordure de la terre

si l’ordure vient à se salir

qu’est-ce qui adviendra !

l’ordure n’est pas faite pour la démonstration

un homme qui n’aurait que son pet pour s’exprimer …

pas de rire

pas d’ordure

pas de turlururu

et pas se relire surtout Messieurs les écrivains

Ah ! que je te hais Boileau

Boiteux , Boignetière , Boiloux , Boigermain ,

Boiscamille ,

Boit de travers

Bois ça . »

Sarah dit: à

14 h 52

P. comme Paris dit: à

Si elle est tatouée, vous pouvez espérez la retrouver.
Sinon, les affichettes dans le quartier.

vedo dit: à

Merci Rose pour Erlkönig par Jessye Norman.

renato dit: à

Pas de puce sous-cutanée, Ed ?

Ed dit: à

Elle a une puce oui.

vedo dit: à

Barenboim, jeune, a été un très bon pianiste. (Voir ses enregistrements, par ex K 491 chez EMI, ou encore la sonate de Brahms en mi avec J. Dupré-sensationnel). Maintenant au piano, en effet… Mais Tristan et Isolde. !

Delaporte dit: à

15 h 11

Barenboïm excellent dans les Variations Goldberg. Là, on a vraiment tort de ne pas aimer.
Sarkozy en correctionnel. Enfin !
« Ses avocats auront tout tenté. En vain. Nicolas Sarkozy devra bien répondre de son rôle dans l’affaire Bygmalion devant un tribunal correctionnel. La Cour de cassation a confirmé définitivement mardi 1er octobre le renvoi en procès de l’ancien président de la République pour les dépenses excessives de sa campagne présidentielle malheureuse de 2012. Un procès était suspendu depuis deux ans et demi à de nombreux recours. » Le Monde

renato dit: à

« Elle a une puce oui. »

Il faut donc prévenir votre vétérinaire ; police ; pompiers ; refuges pour animaux.

vedo dit: à

Ah, on reparle de piano. Je répète un commentaire qui avait été effacé: vive recommendation pour Badura-Skoda, Appassionata au pianoforte. Tout à fait différent des interprétations sur les Steinway moderne. Enfin cela a du sens.
Et à propos de l’Appassionata, justement je l’ai entendue par Barenboim au Châtelet. J’étais avec quelqu’un et au milieu de la rangée. Sinon, je sortais au milieu. Une déconstruction délibérée.

Chaloux dit: à

Le chat qui disparaît, c’est ma hantise. Si ça se trouve elle n’est pas très loin, réfugiée sous une voiture ou autre. Dans le parking de l’immeuble s’il y en a un. Il faut la chercher sans relâche. Courage!

et alii dit: à

Jubilate : an homage in catterel verse » et publié dans le « New Yorker » en 2015, était une ode à Cherie :

« For I will consider my Cat Cherie
for she is the very apothesis of Cat-
Beauty
which is to say, nothing extraordinary
for in the Cat, beauty is ordinary
like the bliss
conferred
upon us
in the hypnosis
of purr-
ing. »
En gros : « Je considère ma chatte Chérie/ comme l’apothéose de la chat-beauté/ ce qui n’a rien d’extraordinaire/ Car pour un chat, la beauté est chose ordinaire/ Comme l’extase que l’on ressent/ dans l’hypnose du ronronnement. »
oates sur l’obs
https://www.nouvelobs.com/bibliobs/20190923.OBS18820/joyce-carol-oates-et-stephen-king-s-affrontent-sur-twitter-en-cause-un-papillon.html

Chaloux dit: à

C’est vrai, l’Appassionata sur pianoforte, ça donne la nostalgie des vieux pianos anglais qu’on menait finir leur aigre existence sur le vieux continent il y a quarante ans. Il y en avait absolument partout. Chacun avait le sien. Où sont-ils désormais? Mystère, il n’y en a plus nulle part. Peut-être sont-ils partis en Afrique sur le dos des break 404. Plus? Oui, un document, mais de là à y trouver « davantage de sens », il faut vraiment avoir une imagination peut-être pas débordante, mais qui déborde.

https://www.youtube.com/watch?v=gw9tZ6dCnZ0

D. dit: à

Tu vas avoir des chatons, Ed. Un beau gouttière comme papa, oeil borgne et oreille galeuse.

D. dit: à

Très bien Yves Nat, remarquable.

vedo dit: à

Merci pour Yves Nat. Mais pour écouter plus tard.

Ed dit: à

« Le chat qui disparaît, c’est ma hantise. »

Je m’y attendais, de toutes facons. Si elle ne rentre pas ce soir, je vais la déclarer perdue ici :
https://www.tasso.net/

C’est relié à la puce.

Ed dit: à

dédé et Phil – avec vos réflexions débiles,

Elles sont stérilisées !

Bérénice dit: à

ED, je ne sais pas dans quel genre d’endroit vous habitez, si ce n’est pas déjà fait, chercher dans l’immeuble. Il arrive aussi que ces animaux se cachent par lubie et reviennent alors que vous les aurez appelés, cherchés sans effet. Mais vos chats de race pourraient aussi intéresser quelqu’un qui jusqu’à rencontrer une telle bete ne pensait pas avoir envie de vivre en compagnie d’un chat. Voyez les voisins, on ne sait jamais.

D. dit: à

Elle revient, Ed.

Soleil vert dit: à

Bon courage Ed
Mon post de ce matin … viré

Delaporte dit: à

16 h 43
Pour moi, Barenboïm est un surdoué. Il est à l’aise dans tous les répertoirs, que ce soit au piano ou en tant que chef. J’ai été étonné de le voir arrivé dans l’église, aux obsèques de Chirac, et de se mettre au piano. C’est aussi une star mondaine. Le personnage est comme ça, il faut l’accepter comme il est ! Il faut voir le résultat : quand le sage montre la lune, le fou regarde le doigt.

Ed dit: à

 » vos chats de race pourraient aussi intéresser quelqu’un qui jusqu’à rencontrer une telle bete ne pensait pas avoir envie de vivre en compagnie d’un chat. »

EXACTEMENT ! On ne voit jamais des chats de race dehors, et même le véto m’avait fortement déconseillée de les laisser. Mais là, ce matin, elle a foncé quand les plombiers ont ouvert la fenêtre. Je me suis dit qu’elle reviendrait, mais au fond de moi j’avais un mauvais présentiment. L’instinct maternel ? 😀

Ma plus grande crainte est bien que quelqu’un me la prenne, et j’habite dans un immeuble si immense que faire le tour des voisins est impossible (d’autant plus que si on me la prend, on se gardera bien de me le dire).

Delaporte dit: à

16 h 45
Si votre chatte a une puce sous-cutanée, vous allez la retrouver. Arrêtez de nous casser les pieds avec ça !

Paul Edel dit: à

Oui Yves Nat notamment dans Schumann la merveille.il a laissé des carnets.

Ed dit: à

« Arrêtez de nous casser les pieds avec ça ! »

Le gros co.nnard de la RDL a encore frappé. Comment reconnaît-on un psychopathe ? À son absence d’empathie.

Delaporte dit: à

17 h 16

« Le gros co.nnard de la RDL a encore frappé. Comment reconnaît-on un psychopathe ? À son absence d’empathie. »

Je vous dis que vous allez le retrouver, votre chat. C’est encourageant, non ? Vous voudriez que j’aie de l’empathie pour vous, ma cher Ed ? Mais j’en ai ! Je vous aime beaucoup, mais vous en faites trop pour votre chatte. Que serait si vous aviez un enfant ! Il ne pourrait plus respirer, emprisonné au milieu de tant d’affection qui tuerait sa liberté. L’amour, c’est aussi de respecter la liberté de l’autre. Regardez Woody Allen qui se venge des mères juives, et de la sienne sans doute, dans son nouveau film, en en faisant une vieille putain. Incroyable !

D. dit: à

J’ai encore vu votre blonde épouse, Soleil vert. Elle s’occupait de deux beaux chats.

Janssen J-J dit: à

Ils n’ont jamais osé dire que devant la Tébaldi, Callas pouvait aller se rhabiller. Quant à Jessye Norman, elle faisait vibrer le coeur de fue Toni Morrison.
Je l’ai entendue, JN, chanter la Marseillaise engoncée dans un drapeau tricolore place de la Concordre, perché sur les toits de la rue de Rivoli, le 14 juillet 1989. Un souvenir à jamais inoubliable !

Delaporte dit: à

17 h 25
C’est une scène d’anthologie, ce moment où la mère « bourgeoise » à crever révèle à son fils pianiste de bar qu’elle est une ancienne pute. On ne s’est pas suffisamment interrogé ce qui a poussé W Allen à mettre ça dans le scénario. C’est outrageant. W Allen est un être qui ne respecte plus rien, comme ce film le montrait. Il a des ennuis partout, comme Polanski, sauf en France, pays d’une tolérance époustouflante. Ce nouveau film de W Allen est plus qu’un film : c’est une pièce à conviction. Son immoralité atteint l’être même de la mère, qu’il insulte de la manière la plus désobligeante. Je suis choqué !

et alii dit: à

ed, laissez tomber ces histoires de sociopathes et
psychopathes! ce n’est pas un grand ni un petit malin ;j’ai personnellement perdu un chat que j’aimais et qui était allé se promener sur des toits, ce qui « déplaisait » à des voisins;mon chat est revenu mourir dans notre jardin ; j’en fus très affectée et y repense souvent; mais sauf si vous connaissez des habitudes particulières à votre chatte comme de rentrer par telle fenêtre , ou telle autre, ou qu’elle réponde à son nom-et alors appelez la , et même alentour, il vous reste à patienter en essayant de vous accrocher à autre chose comme un livre, un site sur l’écran, et courage ! courage!

Delaporte dit: à

Il traite comme ça les mères, pas étonnant qu’on se demande si son attitude a été correcte avec ses enfants. W Allen est peut-être un criminel sexuel pédophile. On a l’habitude à ce que ce genre de délinquants courent dans la nature : cf. Polanski. Il faudrait vraiment que la France remette ce M. Polanski aux autorités américaines, afin qu’il soit jugé et purge sa peine de prison. Peut-être qu’un prochain gouvernement lévera le veto. A ce moment, Polanski ne sera plus libre de ses mouvements nulle part… Il sera fait comme un rat.

rose dit: à

Parlez-lui in petto à votre chatte. Elle comprend tout. Dites lui que vous l’aimez etc.
On va penser à elle, courage.

Janssen J-J dit: à

surtout que la tenue vestimentaire de cette femme escaladant son escalier en marbre est d’un ridicule achevé (comme si ça existait encore à NY en 2019 !). Franchement, ce pauvre Woody Allen est devenu mégalithe ! S’est imaginé une duchese de Villeparisis fascinée par la vie des demi-mondaines du milieu d’où elles s’ataient extirpées, ou quoi ?
Le film assurément de trop ! Il faut tourner la page à 83 ans, je pense.

et alii dit: à

j’ai eu une amie dont la mère avait été prostituée;elle avait été infirmière puis fait des études de psychologie et travaillait comme psycho dans un hopital; sa fille était psychotique et vivait dans une sorte d’association, parce que son mari,architecte, ne supportait pas de s’ en occuper, et le fils aîné non plus;mais je ne vois pas ce qu’il y a là d’effroyable!

Ed dit: à

« il vous reste à patienter en essayant de vous accrocher à autre chose comme un livre, un site sur l’écran »

Ou à mon autre chattoune, tout simplement.
Mais vous avez raison, si elle revient un jour, ce sera forcément quand je ne m’y attendrai pas. Mon chat Babounet était revenu énorme et le poil étincelant au bout de 6 mois de froid.

Jazzi dit: à

« Et l’enjeu principal dans ce cas, c’est la protection des femmes enceintes, car le fœtus peut être impacté avec des conséquences extrêmement importantes »

Là, pour « Jours de suie à Rouen », ça va être plus dur à tourner, Clopine !

Jazzi dit: à

Delaporte, les parents de Woody Allen étaient de condition plus modeste que ceux qu’il s’attribue idéalement dans « Un jour de pluie sur NY ».
La mère pute qui détecte immédiatement une jeune consœur au bras de son fils, c’est typiquement de l’humour juif !

et alii dit: à

ed, dites vous que les chats ont des amis qu’ils élisent ,eux;une de mes amies a été élue par une chatte voisine qui vient tous les matins lui réclamer à manger avec des caresses;elle la photographie, et l’aime comme son propre chat ,bien qu’elle retourne dans sa maison dans la journée;une indépendante, semi fidèle , voilà les chats que nous aimons!

et alii dit: à

« A gut gebentsht yohr », A gutten kvittel »

Jazzi dit: à

On peut aussi penser que si la chattounette d’Ed s’est fait la belle, à la première occasion qui s’est offerte, c’est qu’elle en avait assez de tourner en rond dans son studio ?
Quand elle en aura assez de sa liberté conditionnelle, elle rentrera à la maison…
Qui n’a pas fugué lui jette la première pierre !

Jazzi dit: à

« Le film assurément de trop ! Il faut tourner la page à 83 ans, je pense. »

Papier magistral et grand débat sur ce film sur la RDC, JJJ !
Vous devriez y faire entendre votre point de vue…

Jazzi dit: à

« J’ai encore vu votre blonde épouse, Soleil vert. »

L’épouse de Soleil vert c’est Lune rousse, D. ?

closer dit: à

D’accord Horowitz est impérial Chaloux, mais Matsuev ne mérite pas ta descente en flamme. L’audition du concerto dans son intégralité fut une grande expérience, partagée par mon entourage et les spectateurs du festival (à Lucerne, pas des ploucs a priori). Ce n’est pas une raison me diras-tu…Beaucoup de monde peut se tromper en même temps, certes, certes. Mais tout de même, la symbiose Chailly/Matsuev/les solistes était parfaite. Pour moi un grand moment…mais évidemment en citant Horowitz tu mets la barre très haut.

Ed dit: à

Jazzi, faut suivre un peu. Ca fait des mois qu’elle rentre et sort comme elle veut. Rien à voir.

Jazzi dit: à

« Ca fait des mois qu’elle rentre et sort comme elle veut. »

Mais alors, où est le problème, Ed ?
Si c’est la première fois qu’elle découche, soit elle a trouvé un mâle, soit elle a trouvé un toit plus confortable, voire les deux !
Quelle ingrate…

Jazzi dit: à

Les trois pépites de la rentrée n’intéressent visiblement personne ?

Ni même la dernière sélection des Goncourt ?

Delaporte dit: à

18 h 24

« La mère pute qui détecte immédiatement une jeune consœur au bras de son fils, c’est typiquement de l’humour juif ! »

C’est « typiquement de l’humour juif », dites-vous. Peut-être. Encore faudrait-il étayer ce jugement. Donnez-nous des exemples. Y en a-t-il par exemple chez Ph. Roth, chez Saul Bellow ? Dans ce film, de W Allen, il faut savoir qu’il y a un humour très codé. C’est vraiment les mots de la tribu, une toute petite tribu. Un ami qui parle très bien américain m’a confié qu’il y avait des choses qu’il n’avait pas saisies, mais que les sous-titres étaient remarquables. Bref, un film intello, d’un milieu spécial, archi-codé, où l’on traite des mamas juives de vieilles putains, et tout ça c’est marrant – surtout quand on est soi-même probablement un délinquant sexuel pédophile. On est plié de rire ! W Allen et Polanski rigoleront moins le jour où on les mettra en prison. In jail !!!

Jazzi dit: à

Il est exactement 18 h 25

Jazzi dit: à

Quoique anti goy (quelle gourde la wasp blonde !), le film de Woody Allen n’en est pas moins anti sémite, Delaporte…

Ed dit: à

Ben oui jazzi où est le problème ? On se le demande. Si Chaby partait voir ailleurs, où serait le problème ? Et j’ai commenté les pépites cette nuit pour info.

Candidd dit: à

Clopine :
je pense donc j essuie.
Un dossier à classer sans suie.

Bloom dit: à

W Allen est peut-être un criminel sexuel pédophile

Pas de « peut-être » en ce qui concerne George Pell, ancien archevêque de Melbourne et de Sydney, qui EST un pédophile notoire. Condamné en 2018 suite à de nombreuses agressions sexuelles sur mineurs, il a été incarcéré en février dernier.
Balayez devant votre porte, Delalourde, il y a plus de prêtre catholiques pédophiles que de dieux hindous et de cinéastes juifs.
Votre « église », qui s’est toujours arrogée le privilège de dire le bien du mal, fait beaucoup de mal. Vous devriez être confit de honte, demander pardon à toutes ces jeunes victimes et vous faire stylite dans un coin perdu de l’Anatolie afin d’expier les crimes de votre secte.

Janssen J-J dit: à

@jzm, vraiment pas le temps d’aller sur la RDC mettre un point de vue sur woody allen. Il m’a horriblement déçu, point barre, je vais pas pousser le masochisme jusqu’à aller voir les arguments contraires, histoire de changer d’avis. Y’a surtout tant de livres en retard qui pleurent de n’avoir pas été encore ouverts…) Si je vais au cinoche à temps à autre, c’est vraiment pour me reposer les yeux, car pour le reste, hein. C’était bon du temps où j’animais le ciné-club du campus de talence et puis plus tard, pour mes fiches de monsieur cinéma, le jeu de pierre tchernia et jean-paul rouland. J’étais très fort à ce jeu, avant de le jeter quand je me suis rendu compte qu’il était totalement inepte…. ainsi que Le Viager, le film de celui-là…

@ed. M’est avis qu’à force de lire le blog de la rdl par dessus votre épaule, elle a décidé de partir à la rencontre du chiot du CT pour le rassurer à cause de la suie. Elle est très courageuse et serait capable de vaincre tous les obstacles ! Prions pour qu’elle y arrive et ne se fasse pas écrabouiller entre temps (tu viens, Totom Juju Clé à molette ) ?

Je me suis abstenu de commenter les funérailles nationales, car il s’agissait vraiment d’un non-événement. Fus totalement indifférent à cette dramaturgie, d’autant que par ailleurs, passoul donnait des signes de grave inquiétude. Si l’histoire politique du pays m’a par ailleurs tjs intéressé (les 2 septennats de FM, surtout), après cette parenthèse om l’on nous a fait croire qu’il fallait barrer le Pen en 2002, tout n’a été que lent et splendide naufrage catastrophal.

renato dit: à

« Ils n’ont jamais osé dire que devant la Tébaldi… »

À propos de Tebaldi. Au cours de la prédication de saint Boniface — apôtre des Germains — , nombreuses familles germaniques, dont les Tebaldi, se sont rendues à Rome où elles ont été baptisées par Grégoire II et se sont ensuite installées dans diverses région d’Italie — VIIIe siècle —.

Janssen J-J dit: à

@ jzmn sur les goncourtables, quelqu’un a parlé des candidats « restés en liste » à ché plus quelle heure, nothomb, dubois, etc… Voulait-on dire qu’à la 2e pioche, ils n’avaient pas été éjectés de la 1è liste et étaient donc toujours en lice ?
Bonb alors c quoi les pronostices icite, toujours Dubois .
Moi j’aurais bien voté pour l’outsider hubert mingarelli, mais on le sait son éditeur Buffet-Chesnel n’a aucune chance, hélas, comme l’avait expliqué closer il y a déjà.

(NB/ Le dernier roman Modiano vaut-il la peine d’être lu – surtout dans les ehpad sélectes où sévit aussi la maladie d’Alzheimer, cependant ?). – Je me rappelle d’un roman de David Lodge qui avait troussé un personnage aux prises avec ses troubles mnésiques et s’en tirait à fort bon compte pour pondre un roman en faisant accroire au peuple que ce n’était qu’un jeu avec lui-même…. Argh, j’oublie le titre tout à coup ! Help me, lavande et christiane, par exemple. Merci.

D. dit: à

azzi dit: à

« J’ai encore vu votre blonde épouse, Soleil vert. »

L’épouse de Soleil vert c’est Lune rousse, D. ?

C’est une dame qui nourrit des chats au parc André Citroën. Quand j’y fais mon trek intensif je la croise.

rose dit: à

Karine Tuil
Les choses humaines
n’est plus en lice.
19h18

Comment cela se passe-t’il cette première sélection ?

D. dit: à

Allez, foutons le Goncourt à Nothomb et qu’on en parle plus. Ce sera une bonne chose de faite.

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