de Pierre Assouline

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Lucien Rebatet exhumé des décombres

Lucien Rebatet exhumé des décombres

« Fallait-il republier ça ? » Le livre que l’historien Pascal Ory désigne de manière inhabituellement méprisante pour un préfacier comme « ça », est un ensemble de textes du sulfureux journaliste, polémiste, écrivain Lucien Rebatet dont le navire-amiral s’intitule Les Décombres. Il est vrai que ce best-seller de l’Occupation, aussi passionnant qu’immonde, mérite d’être ainsi traité. Le recueil porte bien son titre de Dossier Rebatet (Bouquins/Robert Laffont) car il est vraiment conçu comme tel : un ensemble comprenant l’essentiel des pièces permettant de se faire une idée complète du cas Rebatet et de juger, ce qui ne revient pas nécessairement à le juger. Juger pour se faire une opinion sur une question qui dépasse sa seule personne. D’où le grand intérêt de ce livre pour tous ceux à qui l’Histoire et la littérature servent aussi de boussoles du temps présent.

C’était en 1942. Gaston Gallimard et Bernard Grasset ayant habilement refusé le paquet empoisonné, Robert Denoël sauta dessus, d’autant que le contenu correspondait à l’esprit de la maison alors éditrice des pamphlets de Céline ; il lui trouva son titre définitif et supprima un passage sur l’Alsace et la Lorraine terres françaises. « Chronique du long glissement, des écroulements successifs qui ont accumulé ces énormes tas de décombres », Mémoires conçus comme une confession, ce livre fit événement. On se l’arracha. N’eut été la pénurie de papier et le contingentement, la vente aurait excédé ses 65 000 exemplaires. Ce qui déjà, pour l’époque, était remarquable s’agissant d’une brique de 669 pages vendue dans la seule zone occupée. De quoi faire le bonheur des trafiquants du marché noir jusqu’à la fin de la guerre puis, jusqu’à nos jours, celui des bouquinistes des quais de la Seine à Paris.

Fils d’un notaire de Moras-en-Valloire, Lucien Rebatet était à son meilleur dans les portraits. Le trait féroce, ajusté, et d’autant plus implacable que le polémiste était doté d’une mémoire phénoménale. Des exécutions en série. La charge toujours violente, perfide aussi en ce qu’un détail, souvent drôle et juste, suffit à crédibiliser le reste. Maurras, le maître honni pour s’être couché le soir des émeutes antiparlementaires du 6 février 1934, ne s’en relèva pas. Mais que ce soit dans la taille des figures au burin ou dans la description des situations aussi apocalyptiques que l’exode, on retrouve un même talent dans la puissance d’évocation, une même violence, une même menace, un même mode ordurier et, encore et toujours, le leitmotiv de sa haine des Juifs comme responsable de tous les maux de la France. Jusqu’au bout ! En janvier 1944 encore :  rebatet

« Plus que jamais nous sommes du côté de l’Allemagne…L’Allemagne est la seule nation d’Europe qui dans cette guerre ait compris son devoir… »

Ecrire des articles, en 1944 encore, dans l’organe des Waffen SS français entre autres, en les achevant systématiquement d’un « Mort aux juifs ! » qui vaut signature, et dégager toute responsabilité sur la portée de ses écrits, comment appeler cela ? Dans l’excipit des Décombres, eu égard à sa solitude, Lucien Rebatet admettait faire figure d’ « énergumène ». Ce qui était bien trop faible. Il y manque la dimension criminelle.

En 1976, quatre ans après la mort de l’écrivain, l’éditeur Jean-Jacques Pauvert republia les Décombres en deux volumes sous le titre Mémoires d’un fasciste. Mais il tronqua le texte, suivant en cela la volonté de la veuve de l’écrivain : il expurgea les passages trop insultants pour François Mauriac et supprima carrément les 127 pages de la dernière partie où l’auteur se révélait plus idéologue que mémorialiste. Mais c’est bien l’édition originale des Décombres qui reparaît dans son intégralité au sein du Dossier Rebatet.

Il est mort dans son lit recru de jours, contrairement à son ami Robert Brasillach, à Georges Suarez et Paul Chack. S’il était resté en France à la Libération, l’épuration sauvage en aurait fait un gibier de potence au coin d’un bois ; et s’il avait échappé à ses justiciers improvisés, l’épuration légale l’aurait envoyé au poteau. Aucun doute à ce sujet. Sa lâcheté a payé : s’étant enfui en Allemagne, il a mis le temps entre lui et la sentence. A son retour, la fureur libératrice s’était calmée, l’heure était à la reconstruction. On fit valoir que les industriels du BTP qui s’étaient enrichis en faisant construire le mur de l’Atlantique s’en étaient sortis avec des amendes tandis que les journalistes et écrivains qui avaient appelé de leurs vœux l’édification du même mur pour déjouer un débarquement allié avaient été condamnés. Les avocats, de même que des témoins, insistèrent également sur l’absence de vénalité de l’accusé. Il n’en avait pas profité pour s’enrichir. N’empêche : condamné à mort pour intelligence avec l’ennemi.

Une pétition circula pour demander sa grâce. Que du beau monde : Camus, Claudel, Mauriac, Anouilh, Aymé, Bernanos, Gide, Jeanson… Ceux que Rebatet avait le plus atrocement insultés en un temps où ils ne pouvaient même pas lui répondre, mirent un point d’honneur à signer. Et c’est un chef de l’Etat socialiste, le premier président de la IVème République Vincent Auriol, qui signa sa grâce. L’ingrat n’en conçut pas moins de l’aigreur et de l’amertume, estimant avoir été lâché par ceux qui ne s’étaient pas mobilisés en sa faveur. La peine de mort fut commuée en travaux forcés à perpétuité, cette dernière étant finalement assez réduite avec le vote de la loi d’amnistie générale qui le remit en liberté en 1952.

cinemondial061142-4Lucien Rebatet put alors mettre à profit l’indulgence républicaine pour publier à la Nrf son grand roman Les Deux étendards, qui se voulait « une longue histoire sur l’amour et sur Dieu », reprendre sa collaboration à Rivarol, se lancer dans Une histoire de la musique, se passionner encore pour le cinéma et ne rien regretter de ses écrits. Son seul tort, à le lire, fut d’avoir trahi la littérature pour la politique. S’il n’avait pas eu si haut et si fort « la fibre française », il aurait écrit son grand roman au lieu de ce pamphlet. Ce n’est pas de lui qu’il faut attendre une quelconque réflexion sur la responsabilité de l’intellectuel, de l’écrivain, du journaliste. Il n’y va que contraint et forcé soit par un interviewer, soit par un juge. Pas la moindre ombre sur sa conscience. C’est lui qui le dit et on peut le croire.

Pour ses articles de Je suis partout comme pour ses Décombres, Lucien Rebatet méritait déjà douze balles. Rouillées et tirées dans le dos. Car la trahison louée, proclamée, revendiquée fut chez lui augmentée de dénonciations de résistants et d’appels au meurtre de juifs, à la chasse à l’homme et au pogrom permanent, signés d’un homme qui se trouvait alors du côté du manche, encore plus nazi que ceux qui occupaient son pays. Si on n’a pas la dignité de se sentir responsable après « ça » ! Il est vrai que, en s’associant aux pétitionnaires de sa demande en grâce, un Thierry Maulnier jugea que ce n’étaient là que des « erreurs » et qu’après tout, il n’avait commis « que des crimes de plume ». Ce qui est mettre bien bas la plume, ce qui en sort et l’honneur de la tenir.

En 2015, la capacité de nuisance d’un Rebatet est faible, pour ne pas dire nulle. On n’imagine pas un jeune extrémiste d’aujourd’hui alimenter son antiparlementarisme, son anticatholicisme, son négationnisme ni même son antisémitisme à cette auge. Même si la logique à l’œuvre est la même, les enjeux ne le sont plus. Ses références sont trop datées. Elles sont d’un homme né au tout début du XXème siècle, âgé de 37 ans en 1940 lorsqu’il se lança dans la rédaction de son monstre. Aujourd’hui, le jeune candidat à la haine ira voir plutôt du côté d’Alain Soral., un ersatz sans le talent, l’intelligence, la culture de l’original, qui n’a au fond de commun avec Rebatet que le complot comme explication du monde et la haine comme moyen d’expression.

Tout est à lire dans ce pavé car l’ensemble constitue un précipité unique d’un certain esprit français et de l’époque : les Décombres bien sûr, « cet abominable chef d’œuvre » comme disait Galtier-Boissière, mais aussi sa suite sous la forme de « L’inédit de Clairvaux », les interrogatoires par le juge d’instruction, les comptes rendus d’audience du procès, le verbatim de la Radioscopie avec Jacques Chancel. Sans oublier l’impeccable travail d’édition, de contextualisation et d’annotation de l’historienne Bénédicte Vergez-Chaignon, récente biographe remarquée du maréchal Pétain, et ses textes de présentation, remarquables. Alors, fallait-il republier « ça » ? Comme ça, sans aucun doute.

P.S. du 13 octobre : Selon une information publiée par L’Express, les 5000 exemplaires du premier tirage de ce Dossier Rebatet se sont vendus dès le premier jour. L’éditeur a aussitôt effectué un nouveau tirage.

(« Mur des noms au Mémorial de la Shoah à Paris » photo Passou ; « Séance de dédicaces à la Librairie « Rive gauche », place de la Sorbonne, le 3 octobre 1942, photo Le Petit Parisien. ; Albert Préjean Noël Roquevert,  Lucien Rebatet, Michel Simon au restaurant » 6 novembre 1942, photo Ciné-Mondial)

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commentaires

1 139 Réponses pour Lucien Rebatet exhumé des décombres

Phil dit: à

Le seul « souchien » parmi les convives était le moins diplômé

tout peut s’expliquer avec le menu, déashash.

Marcel Durand dit: à

DHH dit: 15 octobre 2015 à 10 h 27 min
Le seul « souchien » parmi les convives était le moins diplômé

C’était moi. Et alors ? C’est pas ma faute si j’étais pas doué les études. Pas une raison pour me traiter de sous-chien !

Nurpharic Doumac dit: à

Pourquoi opposer « français de souche » à « juif » ? Il y a des juifs établis en France depuis le XIIIème siècle. Combien de familles de l’aristocratie peuvent remonter aussi loin ?

Nurpharic Doumac dit: à

D’ailleurs, le plus parigot des Parisiens que je connaisse, qui parle argot et a encore l’accent de Paname (presque disparu aujourd’hui) est juif.

Je dis ça pour répondre à d’aucuns qui s’étonnaient dernièrement qu’il puisse y avoir des juifs au FN. On peut être juif et franchouillard, se taper un calendos après un steak ou des fruits de mer au Wepler.

Retardataire dit: à

je m’absente quelques trimestres et à mon retour qu’est-ce que j’apprends? Bloom a changé d’affectation? L’est plus dans le sud-est asiatique mais en Australie?
plus rien ne sera jamais pareil alors.

bouguereau dit: à

On peut être juif et franchouillard

..vontraube dirait que quand on sent que ça vient vaut mieux être suisse..que ça fait moins con..qutu déchois moinsse..que tu montres que t’as du caractère..qut’es indépendant..que..qu’c’est ta thune merde!!

Phil dit: à

le dîner chez déashash, comme le Panorama de Franceculture qui fit les beaux et mauvais jours du diariste Camus.
Pour ne pas faire trop crétin, le souchien a dû interroger le talentueux Jablonka sur sa vision de l’Histoire qui semble parfois passée au filtre de sa biographie.

geo dit: à

Il y a quelque chose qui cloche dans votre arithmétique, DHH…D’après mes comptes, il n’y aurait aucun « de souche »…

D’autre part, c’est trop facile, votre exemple…Tout indique que vos huit convives sont d’origine juive d’Europe centrale. Imaginons une situation aussi tragique aujourd’hui: Israël est vaincu dans une guerre avec ses voisins et des centaines de milliers de juifs se réfugient en France (d’autres ailleurs évidemment). Qui doute une seconde que malgré la décadence de notre système scolaire, l’immense majorité réussira scolairement, « universitairement » et professionnellement?

D. dit: à

« si demain une hypothétique guerre opposerait la France a Israël »

Sur le fond, je m’étonne, sur la forme je sursaute carrément.

bouguereau dit: à

Combien de familles de l’aristocratie peuvent remonter aussi loin ?

et pourquoi queul prolo y rmontrait pas a matuzalème..ha comme dit phil suffit dlire l’menu au wepler..

bouguereau dit: à

Tout indique que vos huit convives sont d’origine juive d’Europe centrale

tout tout..comment qutu lsais dabord..c’était pas en australie..

bouguereau dit: à

Mille fois d’accord avec vous sur ce qu’apportait à ma génération l’école de la République ,et que Bourdieu n’a pas su ni voulu voir

tu n’en sers de bourdieu que ce que tu as lu dofficine a la dracul..que tes diplome ne t’aient donné que cet aplomb de le ressortir comme vérité académique..c’est dans l’menu..du mozart au mess des matons

D. dit: à

23h 35 :

Le fait de reconnaître un sexe neutre à une personne physiologiquement bisexuée crée jurisprudence : c’est alors le sexe présent physiologiquement qui détermine le sexe juridique. C’est tout à fait contestable et au fond c’est l’ADN qui devrait plutôt faire foi.

bouguereau dit: à

Qui doute une seconde que malgré la décadence de notre système scolaire, l’immense majorité réussira scolairement, « universitairement » et professionnellement?

sache l’ami que ceci est archi documenté..archi analysé par des études de sociologues..notamment américain..tu penses! ça les as interpelé..des juifs parmis eux.;pas étonnant..et ouais..il en conclu tous en gros que les noirs et ben les noirs..c’est bien des cons

Phil dit: à

this morning, bougreau carbure au redboules

bouguereau dit: à

l’ADN qui devrait plutôt faire foi

..y’a l’épigénèse aussi dédé..une théorie..mais l’x est rajouté jcrois..en attendant.pas dquoi fouetter un chat

radioscopie dit: à

DHH dit: 15 octobre 2015 à 10 h 27 min
« Le seul « souchien » parmi les convives était le moins diplômé »
Démonstration est faite que l’on peut crouler sous les diplômes et n’avoir aucun recul par rapport à des expressions -quoique entre guillemets-pour le moins douteuses.

Merdique dit: à

DHH dit: 15 octobre 2015 à 10 h 27 min
« Le seul « souchien » parmi les convives était le moins diplômé »

La lecture, à plusieurs niveaux faite, le résultat est toujours atterrant. A tout niveau. Etonnant…

Lacenaire dit: à

comme dirait klaboom, comme dirait bonne clopine, comme dirait vontraube, comme dirait dracul, comme dirait jeanmarron, comme dirait ma mère de ma mère, comme dirait goering… ya que bouguereau qui dit rien, rien du tout

Merdique dit: à

bouguereau dit: 15 octobre 2015 à 11 h 26 min
« et ouais..il en conclu tous en gros que les noirs et ben les noirs..c’est bien des cons »

Et ça ?….. c’est quoi ?…..

Yahvé..... dit: à

VIVE REBATET, cornecul

bouguereau dit: à

tu vas pas nous l’ressuciter comme lazar..assez déconner

bouguereau dit: à

keupu ment keupu ment..et keupu est pas allemand..il est temps d’abandonner les idées reçues..

bouguereau dit: à

tu vas pas nous l’ressuciter comme lazar..assez dé-con-ner

bouguereau dit: à

La lecture, à plusieurs niveaux faite

t’as qu’un dmi soussol keupu..poulcharbon, l’gras djambon et les tonneaux dchoucroute..paré pour la prochaine

bouguereau dit: à

this morning, bougreau carbure au redboules

..l’feignant !

Le compte est bon dit: à

« Sur les huit convives il y avait deux agrégées, deux énarques, deux polytechniciens une pharmacienne, un ingénieur agronome ;aucun d’entre eux n’avait de père ou de mère nés en France  »
DHH

Sauriez-vous reconnaître le diplôme de DHH ?
Vu sa façon de comptabiliser les convives, les polytechniciens et l’ingénieur semblent exclus.
Le « souchien » (vraiment joli DHH, plein de sens) étant le seul « moins diplômé » nous supposerons donc que c’est la pharmacienne.

Sympa pour les pharmaciens qui se sont tapés entre six et neuf ans d’études.

Mais alors, DHH est-elle agrégée ou énarque ?

Merdique dit: à

Les personnes âgées mélangent souvent leurs souvenirs. DHH ne se rappelle plus que le souschien, c’est elle !

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…et c’est repartis,!…on parle des juifs du matin au soir,!…
…là, franchement, par quel soucis ou maux de têtes,!…y trouver un nombrilisme, même quelconque avec la littérature, de toutes sciences et remèdes,!…
…chéris, chéris,!…faites nous deux apostats,…après vos cons et fesses en diable à reproduire,…
…tout cet enfer à Dante,!…à évitez,…pour toucher du vrai-con, en chair et en os,!…pas de la vieille tarte – couguar qui sent le rancis des parfums, en politiquement correct, de docteurs en nombrilisme,!…
…à nos jeunes, formés aux incestes,…avec ou sans gode-ceintures abrutis – soumis, aux joies à leurres en perdues – retrouvés,!…

…ce n’est qu’un au revoir,!…aux dépouillés d’esprits seings,!…
…aux cris et à se forcer la foie au cul,!…
…Saint Denis, mon Jove,!…après la bataille de Tolbiac,…devient, Mont-joie saint-Denis,…etc,!…
…( Euraldic, le cri d’arme )

Phil dit: à

…et c’est repartis,!…on parle des juifs du matin au soir,!…

c’est Rebatet qui a commencé

né sous xxx dit: à

« Mais alors, DHH est-elle agrégée ou énarque ? »

Agrégée, de lettres, elle sait pas compter.

Bloom dit: à

Bravo, Bloom, belle preuve de racisme caractérisé

Vrai, Baroz, anti-Abdelkader je suis, anti-Abeldkader je resterai. Te fais pas le défenseur des amis d’Hitler, Baroz, on va croire que toi aussi tu bouffes là où il y a à manger.

D. dit: à

12h 45

Excellent, Phil.

D. dit: à

12h 28

Qu’est-ce qui vous fait dire que DHH est diplômée ? Il s’agit peut-être d’une autodidacte arrivée aux sommets, comme moi.

Le compte est bon dit: à

D. dit: 15 octobre 2015 à 13 h 11 min

8 à table, 8 diplômes.
Vous m’avez habitué à mieux.

D. dit: à

Cela-dit j’ai connu plusieurs polytechniciens incapable de poser une division sur le papier. J’ai même connu un énarque qui portait un short au travail et ne savait pas calculer une TVA.

D. dit: à

J’ai aussi connu un général petomane.

on se calme et on boit frais à Sigmaringen dit: à

Ce blog est la preuve éclatante que le multiculturalisme est une impasse tragique et un ferment de guerre civile. Feujs contre rebeus, les souchiens au milieu, et Dieu pour tous ! Décidément la paix au Moyen-Orient et dans le monde n’est pas pour demain.

Attila dit: à

DHH cumule l’agrég’ et l’ENA, le « souchien » c’était peut être le serveur ?

D. dit: à

J’ai également connu une jeune ingénieure agronome qu’avait l’esprit touffu à un point incroyable.

on se calme et on boit frais à Colobeu dit: à

On peut être un général et un homme de pet.

bouguereau dit: à

J’ai même connu un énarque qui portait un short au travail

c’était baroz par derrière aprés un ghb au bacroume.. »prends ça esclave..espèce de souchien »..et tu disais « daccord patron mais frappez pas! »

bouguereau dit: à

le multiculturalisme est une impasse tragique et un ferment de guerre civile

en même temps la vie est tellement courte que faut boire frais

bouguereau dit: à

Décidément la paix au Moyen-Orient et dans le monde n’est pas pour demain

c’est la faute à la communauté internationale..si elle parlait d’une seule voix comme nous mes ptis chéris au lieu de gueuler toujours la même chose..ça frait comme les indiens d’amériques..comme j’ai entendu une fois sur france culture..-jle jure-..aprés on peut mieux deviser sereinement..même faire des fimes..snif

bouguereau dit: à

bon et pis dédé arrête deum déranger pour des riens..ça va bien ctaffaire

D. dit: à

Je me suis renseigné et il est impossible d’avoir ET l’agregation ET l’ENA. C’est la loi n.91-1385 du 31 décembre 1991 parue au JORF du 1er janvier 1992 et il s’agit de l’article 191 qui est on ne peut plus clair à ce sujet (conformément à l’article 9 de l’ordonnance no. 1990-1301 du 28 octobre 1908, abrogée par l’article 7 de ladite ordonnance et maintenue par recours spécial du Conseil constitutionnel jusqu’à sa publication effective subrogatoire aux dispositions réglementaires du code du domaine public fluvial et des péniches)

bouguereau dit: à

bop mieux !

je lui sais gré dune grande chose baroz : je n’y pense pas souvent..et quand je l’entends je suis souvent quelquefois étonné « ..ha oui c’est lui note président.. » ..et jme dépèche d’oublier

Zoon dit: à

A un ami qui ne connaissait pas la RdL, je la lui ai fait découvrir en lui donnant à lire le dernier billet d’Assouline sur le « Dossier Rebatet ». « Alors, qu’en penses-tu ? lui demandai-je. — C’est entendu, me répondit-il, ce Rebatet était une belle ordure, mais en signant régulièrement ses articles d’un « Mort aux Juifs » sans ambiguïté, il avait au moins le courage de ses opinions. Tandis qu’aujourd’hui, regarde ces sionistes pur sucre que sont un Finkielkraut, un Zemmour ou un Taguieff, ou, sur le fil de ce blog, ce Kakabloom évoquant les massails ne signent pas leurs articles ou leurs livres d’un tonitruant « Mort Aux arabes », mis ils le pensent très fort

Zoon dit: à

A un ami qui ne connaissait pas la RdL, je la lui ai fait découvrir en lui donnant à lire le dernier billet d’Assouline sur le « Dossier Rebatet ». « Alors, qu’en penses-tu ? lui demandai-je. — C’est entendu, me répondit-il, ce Rebatet était une belle ordure, mais en signant régulièrement ses articles d’un « Mort aux Juifs » sans ambiguïté, il avait au moins le courage de ses opinions. Tandis qu’aujourd’hui, regarde ces sionistes pur sucre que sont un Finkielkraut, un Zemmour ou un Taguieff, ou, sur le fil de ce blog, ce Kakabloom évoquant les massacres d’Arabes par les « Britts » (comme il les appelle), ils ne signent pas leurs articles, leurs livres ou leurs posts d’un tonitruant « Mort aux Arabes », mais ils le pensent très fort.  » — Allons, allons, lui répondis-je, pas d’amalgame abusif autant que hâtif. Et puis, ajoutai-je, c’est un des effets vertueux de nos sages lois réprimant le racisme que, ce qu’on pense très fort tout bas, il n’est pas licite de le dire tout haut. Tu en conviendras.  » Il en convint. « Mais, me demanda-t-il, toi que je sais un farouche adversaire de la peine de mort, comment peux-tu continuer à fréquenter le blog de quelqu’un qui regrette que Rebatet n’ait pas été exécuté dans le dos d’une rafale de douze balles rouillées ? — Ta question m’interpelle, lui répondis-je, mais tu conviendras au moins que, tel Rebatet jadis, Assouline a au moins le courage de ses opinions ». Il en convint.

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

on va croire que toi aussi tu bouffes là où il y a à manger

comme le populo bougresque dans sa panoplie gangsta offerte par maman, misère…

La voix de la sagesse dit: à

Tout cela est bien triste.

Clopine réjouie dit: à

D. 13 h 43, pour une fois, vous m’avez fait sourire. Moi aussi, j’ai connaissance de toutes ces belles ordonnances réglementaires de nos multiples codes légiférant gaiement l’administration de notre beau pays…

Zoon de 13 h 58, vous voyez, quand vous faites un effort, vous pouvez exprimer vos opinions, même les plus violentes, les plus provocatrices ou les plus tranchées, avec une certaine ironie non dépourvue d’élégance : pourquoi donc vous laissez-vous si souvent aller à une goujaterie qui vous dessert et vous rend si déplaisant ?

D. dit: à

Si vous croyez m’impressionner, vous vous mettez le doigt dans l’œil, Jacques.

D. dit: à

Bon, assez ri. Maintenant au travail. Il est temps de se sortir les phalanges du rond, dirait notre cher Bouguereau.

le haiku du jour dit: à

Pas de JC aujourd’hui.
Pas de keupu non plus.
Un chien ne sort pas sans son maître.

neither here nor there dit: à

abdelkader est un QUOI? pov’douanier Bloom…sait plus devant quel râtelier garer son popotin…c’est la pression, comme dit mon pote Karim, (lui qui n’a jamais vraiment connu la pression, sauf celle de la bière au pub de l’Union, planqué qu’il était au collège a la fac de philo) … la pression qu’éprouve la mandarine face au presse-fruits…
j’admire vos qualités d’analyse qui vous ont permis de déduire, correctement d’ailleurs, que j’étais effectivement le seul arabe dans ce moulin, mais qu’en déduit-donc votre esprit critique (j’imagine que vous en avez un ?): le pourquoi et le comment du dont duquel je suis le seul arabe ici ? perso, on ne peut m’accuser d’être ici par communautarisme primaire…hein ? oui je sais, une autre réception, une autre montagne de Ferrero rochers a avaler…j’espère que la France vous est reconnaissante et vous traite bien…tous ces sacrifices au nom de l’essor de la Culture Française… en Australie aussi…Même Tintin n’avait pas osé y aller lui qui n’avait pourtant peur de rien…

Phil dit: à

sapré zoom. Sans Denoël (Belge de grand.. Steele), point de Céline ni Rebatet et le trio gagnant de Sollers perd au tiercé de la littérature française. Soixante-dix ans plus tard, il faudrait risquer d’attraper le tétanos comme une poissonnière allant nu-pied dans le Portugal de Salazar.
Candide, pouvez-vous expliquer ces « deditices » (dans les partouzes des thermes à caracalla) ?

Zoon dit: à

Candide, pouvez-vous expliquer ces « deditices » (Phil)

Ce sont les prisonniers de guerre et les esclaves. L’édit de Caracalla ne concernait que les hommes libres.

Phil dit: à

Merci zoon. c’est une Veyne de vous avoir répondant. pauledel est pourtant à rome mais ne réagit plus. de la grappa dans le caracalla.

D. dit: à

29 octobre, non pas 28. Veuillez me pardonner pour ma précipitation. J’ai beaucoup de travail aujourd’hui. Je ne vous dirai pas précisément ce que je fais, mais sachez tout de même qu’en ce moment même je conçois avec un logiciel de CAO/DAO 3D un moteur gravitationnel inspiré des horloges comtoises.C’est une commande de la NASA pour une mission spéciale.

Phil dit: à

si ça permet d’envoyer quelques chinois sur mars, continuez dédé. l’urgence c’est le climat et pékin est dans le gaz.

D. dit: à

L’information vient de tomber et Je la partage telle quelle avec vous :

DHH n’est pas pharmacienne.

Phil dit: à

déjà hier déashash voyait tout en violet sur son écran, pareil aux vaches milka en suisse. le dîner des surdiplômés devait pas être triste.

D. dit: à

Vous allez arrêtez de m’appeler dédé à tout bout de champ, Phil, ca ne vous vient pas à l’idée une seule seconde que ça puisse me porter préjudice ¿ Flûte à la fin !

Lacenaire dit: à

14:30 , ils sont partis se recueillir sur la tombe de Rebatet que dirait bouguereaue

D. dit: à

Mais qu’il est con, ce Lacenaire !

D. dit: à

Excusez mon langage mais enfin vient un moment où la soupape saute.

D. dit: à

Depuis que JC a déserté la République de l’art, plus personne n’y va. C’est dommage. M. Scemmama mérite toute notre attention.

D. dit: à

Permettez-moi de vous dire que les logiciels de CAO/DAO 3D ont encore des progrès à faire. La conception de mon moteur est parfaite mais je suis sans cesse retardé par des problèmes informatiques exaspérants. J’ai dû prévenir la NASA que j’aurai peut-être un peu de retard.

Lacenaire dit: à

épicétou, dédé, comme dirait bouguereau

D..... dit: à

les derniers commentaires ne sont pas de moi, usurpation

Sergio dit: à

neither here nor there dit: 15 octobre 2015 à 14 h 31 min
le seul arabe dans ce moulin

Ha ça on en sait rien, passeque les hordes, quand elles sont grimpées direction Poitiérs, on n’avait pas la boussole à l’époque, donc il y en a des certains iceux qui ont regrimpé encore plus à pic inside les volcans d’Auvergne ! Et alors là nom de Dieu ce qui s’y passe dans ces cas fortuits… Et pour corroborer ces troublants phénomènes, la première fois que j’ai eu les cheveux longs je me suis aperçu que j’avais des boucles ! Enfin finalement je me suis rendu compte que c’était pas que négatif…

Ha il s’en passe bien, des choses…

le garçon qu'on appelait monsieur dit: à

« le multiculturalisme est une impasse tragique et un ferment de guerre civile »

et sans cela on ferait comment pour dire c’est pas moi c’est l’autre ? vous voulez tous les faire crever d’ennui ?

Attila dit: à

Vous avez essayé le doigté anal, D., c’est bon pas seulement pour la prostate…

D. dit: à

Alors arrêtez de manger tous les jours du petit salé aux lentilles, Sergio.
Soyez cohérent avec vous-même.

D. dit: à

Fermez-la, Jacques. Vous vous posez toujours en grand spécialiste de tout, et ça commence à me courir sur le haricot. Je ne suis pas le seul à penser ça ici.

Candide dit: à

@Zoon : les déditices…
Les plus connus, les perigrini dediticii,les soldats des armées vaincues par Rome, les armes à la main, ou même ceux qui se rendaient en déposant les armes. Ils furent toujours maltraités, relégués, cantonnés loin de Rome , ne bénéficiant que de droits mineurs. Même pas des sous-citoyens. Antonin Caracalla dans son Edit de 211 les exclut de l’accession à la citoyenneté romaine (d’où l’expression fameuse : « exceptio dediticiis. »…
Edgar ( sans D ) Faure qui passa son Agrèg. de Droit Romain presque sexagénaire ( lors d’une traversée du désert) était un grand spécialiste de l’Edit de Caracalla – son sujet de Thèse-( Caracalla dit : « petite bottine », de par sa taille.) En toute modestie, j’ai eu la chance de suivre dans un D.E.S de Droit Privé, ses cours à la Fac de Dijon.Il y a quelques lunes. J’ai gardé longtemps ses cours et ses T.P, on ne disait pas encore T.D ( Travaux Dirigés) tapés à la machine, avec force papiers carbones sur des pelures presque illisibles (c’était avant la photocopie) par sa femme Lucie Faure et sa fille. Lucie était son chauffeur (une 15 cv/6 cylindres rutilante, elle le marquait à la culotte car Edgar ( Sandey pour les polars) était assez dragueur.
En pièce jointe :
Un très bon article de Gayet et Humbert (une grande pointure de l’histoire du Droit Romain)?
http://www.prima-elementa.fr/Articles/dediticii.html

lezopticiens dit: à

15h42 je me suis aperçu que j’avais des boucles !

c’est louche et doit être très traumatisant surtout quand il pleut ça se voit encore plus

taftaf dit: à

Attila dit: 15 octobre 2015 à 16 h 06 min
La mort en direct !

merci trop aimable mais ya du taf qui attend comme il dirait bougros

Phil dit: à

merci Candide. les dediticii pouvait-ils se rendre aux thermes de Caracalla ? tant que vous êtes ici, il rebatons le sujet.

Phil dit: à

dear Baroz, parfois vous faites penser à un déditice de la libido.

Ya une différence quand même dit: à

Phil dit: 15 octobre 2015 à 16 h 25 min
déditice de la libido

?????
Il se rend les armes à la main ou il est vaincu la queue basse

D. dit: à

Jacques, je ne sais pas vous etes capable de réaliser une seule petite seconde que j’étais cet après-midi en conversation avec Buzz Aldrin lui-même. De quoi parlions-nous à votre avis ? De doigté anaux ? De la prochaine mission habitée sur Mars ? Je vous laisse choisir la réponse et je suis désolé que ça vous decoive.

DHH dit: à

Nurpharic Doumac dit: 15 octobre 2015 à 10 h 41 min
Pourquoi opposer « français de souche » à « juif » ? Il y a des juifs établis en France depuis le XIIIème siècle. Combien de familles de l’aristocratie peuvent remonter aussi loin ?
je n’opposais des français de souche a des juifs mais au cas particulier à des enfants d’immigrés
le père de la pharmacienne était un émigré roumain par ailleurs mort en deportation et sachez qu’on peut être à la fois polytechnicien et énarque comme agrégé et énarque, comme médecin ou pharmacien et énarque ?lENA est une école attrape -tout et mon compte était bon

D. dit: à

D….. dit: 15 octobre 2015 à 15 h 31 min

Qui c’est, celui-là ?

Sergio dit: à

D. dit: 15 octobre 2015 à 15 h 54 min
Alors arrêtez de manger tous les jours du petit salé aux lentilles

Passeque c’est feurboteune ? Ha ben houi… Non mais si j’ai bien compris il y en a, des Arabes, non seulement à l’intérieur de la cité sacrée d’Israël, mais encore présidents de tout un tas de machins pire que Swann au Jockey, donc moi je m’isole et je graille…

D’ailleurs c’était aujourd’hui !

En revanche pour les cavalettis comme Portat des Oncelles je reste aux chevaux, passeque le chameau, ben déjà ça fait une belle altitude…

Candide dit: à

Phil dit: 15 octobre 2015 à 16 h 19 min
merci Candide. les dediticii pouvait-ils se rendre aux thermes de Caracalla ? tant que vous êtes ici, il rebatons le sujet.
Phil :bien sûr que non ! Ils ne pouvaient s’établir à moins de 100 kms de Rome. A moins de détrousser un citoyen et de lui piquer sa toge, attribut vestimentaire de sa condition. Ils n’ont donc pas pu bénéficier des délices du grand complexe des Thermes (Center Park avant l’heure, mieux Pompidolien Center )
Cet immense complexe de 11 hectares a été commandé par l’empereur Septime (très) Sévère mais l’inauguration se fait sous le règne de son successeur Caracalla en 217. Cet ensemble ne se limitait pas à un simple établissement de bain mais comprenait aussi des aires sportives (palestres), des bibliothèques, des médecins… Tout ceci faisait des thermes de Caracalla un lieu de plaisirs, de rencontres et d’affaires…

Situés au pied de la colline de l’Aventin, dans le Sud de Rome, proche du Circus Maximus ( des déditices sont devenus gladiateurs , des sous-sous-citoyens )
les Thermes sont dans un excellent état de conservation.
Phil : peut-on mettre un Therme à ce « hors sujet » ?

jem dit: à

« Le Dossier Rebatet » est certes surtout un document important à charge, puisqu’il publie par exemple (comme le souligne un récent article du « Point ») un texte, « L’inédit de Clairvaux » dans lequel Rebatet montre qu’il savait pertinemment où étaient transportés les Juifs pendant la guerre. Il en aurait même fait part à Brasillach, dont la défense à la Libération a été de dire qu’il n’en savait rien.

Phil dit: à

Candide, le dossier Rebatet rejoint aussi les désirs d’empires romains, à moyens et longs « thermes ».

bouguereau dit: à

je marne aujourdhui..et qu’est ceque je vois..les sneuf mouvies à baroz

bouguereau dit: à

dont la défense à la Libération a été de dire qu’il n’en savait rien

et tu t’attendais à quoi franchmen..tfaçon a part goering toulmonde savait

bouguereau dit: à

les esseuclu de l’accession à la citoyenneté romaine

..et les ceusses qu’on donné lassaut final « c’est le désir de tout barbare d’ête romain, pisqu’on peut pas y’en aura pus! » en goth évidemment mais tu croirais peut être queuchparle mal de ta mère..j’ai traduis pour qutu vois bien que là n’est pas la question

bouguereau dit: à

je n’opposais des français de souche a des juifs mais au cas particulier à des enfants d’immigrés

elle ça sneufe la saucisse au paprika spanghero

bouguereau dit: à

Je vous laisse choisir la réponse et je suis désolé que ça vous decoive

sur y s’en branle que t’aies causé supernovae..tes doigtés..il jalouzrocque..tu calcules ?

Cinéphile merdique dit: à

J’ai vu des pornos à petits budgets, où des mort-vivants épanouis enfilaient joyeusement des Prix Goncourt à bout d’imagination, dans le plus profond des caves de Drouant.

Rien ! Films de patronage en regard des derniers commentaires en RdL …

bouguereau dit: à

Alors arrêtez de manger tous les jours du petit salé aux lentilles

tout ça pasque baroz fait parti d’un loby agroalimentaire qui propulse la blédine au tofou..il fait son isabelle de fontenay..ça t’rend pas seksi moi chte ldis

bouguereau dit: à

encore la raclure !.. dingue

Sergio dit: à

bouguereau dit: 15 octobre 2015 à 17 h 33 min
un loby agroalimentaire

On a bien des trucs qui font pousser les muscles tout seuls, mais comme justement ça le coûte, le bras… C’est comme le loup, le chou et la chèvre qui peuvent pas prendre le bac ensemble !

bouguereau dit: à

On a bien des trucs qui font pousser les muscles tout seuls

..on va y arriver..on y est..encore un effort..la morale l’argent et la bouffe..plétment hors sol..bénédiction des cons et des connes comme isabelle..ça sra pus qudes « intrants » à queudalle..tremble planète..capitalisation maksimome

bouguereau dit: à

bouguereau dit: Votre commentaire est en attente de modération.
15 octobre 2015 à 17 h 44 min
bouguereau dit: Votre commentaire est en attente de modération.
15 octobre 2015 à 17 h 43 min
On a bien des trucs qui font pousser les muscles tout seuls

..on va y arriver..on y est..encore un effort..la morale l’argent et la bouffe..plétment hors sol..bénédiction des c-on-s et des co-n-nes comme isabelle..ça sra pus qudes « intrants » à queu-dalle..tremble planète..capitalisation maksimome

chi-e-rie a travailler pour les robots..chpréfère les miens tiens

Serge dit: à

Candide dit: « Ils (les dedititii) ne pouvaient s’établir à moins de 100 kms de Rome ».
Encore plus ! Environ 148 km, puisqu’il s’agissait de 100 milles romains.

Paul edel dit: à

Thermes de caracalla décevants,quelques hectares d’herbe rase et jaunie hautes murailles de briquettes mal entretenues,bassins et canalisations saccagés par des goths,peignoirs douteux rien pour suspendre les toges,belles esclaves numides absentes. Je l’ai signalé à booking com en revanche en arrière montez voir l’église Santa saba et la délicieuse piazza gl bernini; un quartier de Rome aux couleurs brunes terre de sienne et verdures pergola.

Widergänger dit: à

Cantona a mis son cerveau dans son cul. Mais c’est un génie.

Widergänger dit: à

Moi, j’ai cessé de participer à la souffrance des Syriens en cessant de regarder la télé…!

Zoon dit: à

@ Candide

Merci pour vos précisions de 16h03. Le mot englobe-t-il aussi les esclaves ? Je pense que oui, puisqu’eux aussi étaient exclus de la citoyenneté romaine.

D. dit: à

Ecoutez, Abdel, cela commence à bien faire ces histoires, si les Palestiniens ne sont pas contents, ils n’ont qu’à retourner dans leur pays. Vous me direz qu’ils n’en ont pas. C’est une excuse un peu facile.

Widergänger dit: à

Moi, j’ai cessé de participer à la souffrance des Juifs qu’égorgent les Palestiniens en cessant de les manger…

bouguereau dit: à

et dracul vu qu’il a rien d’intelligent a smete dans lcul y trouve qe c’est kasher de sfourrer sa vidange de kro vide..tu trouves pas que ça aussi c’est facile dédé?..t’es de parti pris épicétou

Zoon dit: à

Pour « dediticii », le Gaffiot est remarquablement imprécis. Bien sûr, il s’agit d’un dictionnaire de langue, et non de faits de civilisation. Dans le même dictionnaire, le mot « deditio », lui, renvoie clairement aux prisonniers de guerre. Il existe un « dictionnaire de la civilisation romaine » de Jean-Claude Fredouille, mais, ne l’ayant pas pratiqué, je ne sais pas ce qu’il vaut.

bouguereau dit: à

et polo l’apologie des quartier à putes sur un blog pasque mon mon larbin bigophone a la kommandantur pour couler la concurence tu crois pas que c’est fastoche aussi ?.. salod’polo

bouguereau dit: à

Jean-Claude Fredouille

il doit ête bon pourtant au bacroume

bouguereau dit: à

et polo l’apologie des quartier à pu-tes sur un blog pasque mon larbin bigophone a la komman-dantur pour couler la concurence c’est pas fastoche ça aussi ?.. salod’polo

Widergänger dit: à

Il y avait même un Juif qui était le médecin personnel de Himmler, et qui a sauvé, grâce à ce poste envié, beaucoup de Juifs. L’histoire a de ces mystères, mes pauvres chéris…

bouguereau dit: à

mon meusieu dgarçon y prend tout pour lui..c’est une façon de se donner dl’importance..c’est bien son droit

bouguereau dit: à

c’est comme la bouteille de kro bien profond..on sait jamais des mystères dracul

Va comprendre Jeannot dit: à

bouguereau dit: 15 octobre 2015 à 18 h 45 min
et polo

Ils gueulent après polo, ils pleurent parce qu’ils sont interdits (disent-ils) de séjour, mais ils passent leur temps à aller voir ce qui s’y passe.

Sergio dit: à

Widergänger dit: 15 octobre 2015 à 18 h 46 min
Il y avait même un Juif qui était le médecin personnel de Himmler, et qui a sauvé, grâce à ce poste

Les Mains du miracle ? (Kessel) ; mais je suis en train de me demander si c’était pas un masseur, parce que le « treue Heinrich » aurait donc eu une affection appelant cette situation.

En attendant, comme on dit, joli coup de la part du gars…

L'attrait des étoiles dit: à

Va comprendre Jeannot dit: 15 octobre 2015 à 18 h 52 min

L’histoire a de ces mystères,

bouguereau dit: à

keupu il mesure les habitus des autres a l’aulnes des fois qu’il se grattent le cul..et touche moi pas mon meusieu d’garçon

Pépé dit: à

Il existe un « dictionnaire de la civilisation romaine » de Jean-Claude Fredouille, mais, ne l’ayant pas pratiqué, je ne sais pas ce qu’il vaut.

Il vaut cher. Jean-Claude Fredouille (à ne pas confondre avec Fred Ouille, l’auteur du dictionnaire de la civilisation belge — 14 pages) ne mégote pas sur les à-valoir.

bouguereau dit: à

le « treue Heinrich » aurait donc eu une affection appelant cette situation

sil était encore bien vivant tu tournrait 7 fois ta langue dans ta bouche avant d’faire des allusions à la therme de caracala..tu niques la gestapo

bouguereau dit: à

bordel je sais pas pourquoi le rendment est pas bon aujourdhui..jvais avoir l’impression dvoler ma bière..au bistrot tous les herr doctor émigrés vont mtraiter dpharmacien..

keupu dit: à

vas-y bouguereau rente leur danl lard à ces pedzouille qui font rin qu’à nous embetté

keupu dit: à

le rendment est pas bon aujourdhui.

c’est surtout llarbin qu’est feignasse l’en fout pas une rame

D. dit: à

Réjouir Clopine ne m’amuse pas.

Kricri dit: à

Le sujet du billet est grave quand même. Un peu de retenue collective, non ?
Merci.

Juanita Banana dit: à

Desarthe, Kaddour, Sansal ?…
Mais où sont passés Angot et Enard ? Je crains qu’ils n’aient rien.

Sergio dit: à

Ministry…

C’est une bien belle musique ; faudrait mettre cela à dans les cent soixante décibels dans la rue ça imploserait toutes les vieilles même avec la peau dure…

Voris Bian dit: à

La conception de mon moteur est parfaite mais je suis sans cesse retardé par des problèmes informatiques exaspérants. J’ai dû prévenir la NASA que j’aurai peut-être un peu de retard.

J’y retourne immédiat’ment.

Whisky Bikini dit: à

Comment des vieilles étriquées peuvent-elles imploser ?

Sergio dit: à

Whisky Bikini dit: 15 octobre 2015 à 19 h 29 min
Comment des vieilles étriquées peuvent-elles imploser ?

Ben i faut retourner l’atmosphère, hein ! C’est un travail, mais enfin on va pas reculer au premier ras-bord…

Clara C. dit: à

Moi, j’ai cessé de participer à la souffrance des Syriens en cessant de regarder la télé…!

La souffrance à distance continue de faire son œuvre même si on ne la regarde pas, d’après le frère du peintre Boltanski. Une télé éteinte peut-elle abolir le spectacle de la misère ? Car l’oeil qui est en vous, D., ne continue-t-il pas à vous tarauder la conscience ? ne continue-t-il pas à travailler ce sentiment inhérent au genre humain, celui de la compassion du cœur à l’égard de la souffrance liée au martyrologe des autres ?

Widergänger dit: à

C’était à l’évidence ironique, ma bonne Clara.

Noel RoqueVERT dit: à

C’est quand même trop FORT, ça !

Melle Calpurnia dit: à

Est-ce que le Gaffiot est encore serviable aujourd’hui ? Je redoute de le donner à consulter à mes élèves de 6e classique.

Abdel dit: à

retourner dans leur pays. Vous me direz qu’ils n’en ont pas. C’est une excuse un peu facile.

Mais ils n’ont jamais été des juiferrants quand même, ils avaient un pays avant 1949. Alors, pourquoi tant d’ironie haineuse, nom de D. ?

Booz réveillé dit: à

montez voir l’église Santa saba et la délicieuse piazza gl bernini; un quartier de Rome aux couleurs brunes terre de sienne et verdures pergola.

J’y suis allé, et n’ai rien vu de tout cela, en dehors d’un français snob qui traînait par là, pour se faire accroire.

Chaloux dit: à

Attila dit: 15 octobre 2015 à 16 h 15 min
Le crime en direct : bon appétit, messieurs !

Je me demande si M. Max Roustan, maire d’Alès, ne devrait pas démissionner. Ou être démissionné, avec interdiction de se représenter à aucune élection.

Sexuellement demeuré dit: à

De doigté anaux ?
C’est une sorte d’étui péniaux ?

D. dit: à

Non Max Roustan doit rester à son poste jusqu’à temps que je lui demande personnellement d’en partir.

D. dit: à

Kricri dit: 15 octobre 2015 à 19 h 23 min

Le sujet du billet est grave quand même. Un peu de retenue collective, non ?
Merci.

oui mais à force de nous en servir on finit par se lasser et on se dissipe.

Fais dodo dit: à

Booz réveillé dit: 15 octobre 2015 à 19 h 52 min

Booz est un c.n, qu’il se rendorme.

Couché Chachal dit: à

Booz réveillé dit: 15 octobre 2015 à 19 h 52 min

Ah ben tiens !
Le booz c’est chaloux.
On se doutait bien qu’il était c.n, mais aussi !!!!!

Couché , j'oublie tout (pour cette fois) dit: à

Chaloux dit: 15 octobre 2015 à 19 h 53 min

Bon, t’es pardonné Chaloux.
Ya plus c.n que toi.

christiane dit: à

« Le guetteur mélancolique », c’est ainsi que Pierre Pachet situe Alain Finkielkraut dans ce livre La Seule Exactitude. (p.78 du n° 28 d’octobre de »Causeur », lu pour connaître en son entier son dialogue avec Renaud Camus ). Ce que P.Pachet écrit sur ce livre m’a donné envie de le lire. Je me suis arrêtée longuement p.111 au chapitre intitulé : « Peut-on ne pas être heideggérien ? ». C’est à propos de la publication en cours des Cahiers noirs (1930-1970) Parution restée privée jusqu’au printemps 2014.. Là encore, affronter l’antisémitisme conscient d’un écrivain. La tache, la débâcle dans son œuvre. Infréquentable ? Je m’attendais à une route parallèle à celle du billet de Pierre Assouline sur Rebatet. Surprise, car très rapidement, il introduit Emmanuel Levinas qui rencontra Heidegger à Fribourg en 1928 et qui reconnait (son dernier cours à la Sorbonne en 1975) dans Dieu, la mort et le temps, Grasset, 1993, p.16) : « J’ai su aussitôt que c’était l’un des plus grands philosophes de l’histoire. comme Platon; comme Kant, comme Hegel, comme Bergson. ». (Naturellement on pense à Hannah Arendt). Contre Heidegger (il y analyse son égarement face à la catastrophe nazie) tout en s’acquittant d’un éblouissement initial. Là, A. Finkielkraut oublie que Levinas n’a pas connu ces carnets, puis il aborde fort justement le destin de l’Union soviétique, le pouvoir stalinien. Le déracinement et le nomadisme de l’époque, pointant « l’obsession territoriale », « la superstition du lieu » des Juifs comme le fil de l’histoire qui serait pris à contresens.
Il termine ce chapitre par une quête « redécouvrir l’altérité de l’être et des dispositions oubliées de l’attention, de l’égard et de la gratitude. »
Un chapitre que j’ai besoin de relire et de creuser avant de lire les autres (indépendants les uns des autres).

Germain de Ballentrae dit: à

(Naturellement on pense à Hannah Arendt).

Personnellement j’avoue n’y avoir pas spontanément songé, bien que je me sente en général en osmose de pensée avec celles de M. Lévinas, M. Heidegger, P. Assouline et L. Rebatet. Mais les parallélismes et connexions de ces auteurs avec le présent billet ne me semblent pas aller autant de soi que vous le présumez de nous autres. Chère Christiane, peut-être est-ce lié au fait que nous n’entretenons pas les mêmes valeurs bien que, personnellement, j’essaie de partager les vôtres, mais je dois vous avouer ne pas y toujours parvenir, j’espère que vous saurez m’en excuser. En ce moment, Christian Bobin, Eric Holder et Marie-Hélène Lafon nous parlent dans le poste de télévision, mais votre voix les pulvérise infiniment,on préfère rester avec vous, voyez.

thyssens dit: à

A l’heure où j’écris, et j’irai me coucher ensuite, vous aurez emmagasiné quelque 750 messages. Dix ou douze méritent d’être conservés. Est-ce que vous faites le tri, de temps à autre ? Grands dieux, je suis bien heureux de n’avoir qu’un site : votre blog est une vraie poubelle pour tous les zinzins de l’Hexagone. On part d’un livre et de sa critique, et on aboutit à des prises de bec infantiles. Est-ce vraiment ce que vous souhaitiez ? Faire du chiffre ?

D. dit: à

Il y a des zinzins hors hexagone qui commentent ici, soyez assuré.

Passoul dit: à

Le « bon chiffre » de la censure devrait-il se limiter à la douzaine ? Mais quels seraient-ils au juste, cher monsieur ?

pado dit: à

thyssens dit: 15 octobre 2015 à 21 h 47 min

Ici (si je suis vos comptes) dix, douze commentaires à conserver en cinq jours, chez vous zéro donc rien que pour cela, vive cette liberté que l’on a d’écrire ici, chacun y fait son tri et y prend son plaisir et surtout svp, laissez-nous vivre.
Un dernier détail, vos commentaires ne ferons sûrement jamais partie de ceux à conserver.
BàV

thyssens dit: à

Mais oui, douze, très exactement. Comme les douze balles dans le dos que vous souhaitiez pour Rebatet. C’est tout simple.

pado dit: à

thyssens dit: 15 octobre 2015 à 22 h 11 min

L’ignominie s’ajoutant au ridicule.
Félicitations M.Thyssens.

Dopa dit: à

Thyssens, on pensait que vous étiez parti vous coucher à 21.47 ! Que faites vous encore à traîner ici ? Votre blog serait-il par hasard moins intéressant que celui-là ?

Zoon dit: à

Là encore, affronter l’antisémitisme conscient d’un écrivain. La tache, la débâcle dans son œuvre. Infréquentable ? (Christiane)

De quel écrivain Christiane parle-t-elle au juste ? D’autre part, son discours sur cet écrivain, quel qu’il soit (je suppose que ce n’est tout de même pas Finkielkraut !) me paraît verrouillé par un présupposé, qui tient peut-être à une origine personnelle de la lectrice. Car prenons, par exemple, un cas limite : celui de Céline. Que veut dire au juste, dans son cas, « affronter » son antisémitisme qui, certes était tout-à-fait conscient? On peut ne pas l’affronter du tout, en évitant soigneusement, par exemple, de lire les textes où s’affiche cet antisémitisme. En ce qui me concerne, j’ai été en contact avec l’antisémitisme de Céline lorsque j’ai lu « Bagatelles pour un massacre ». Je ne peux guère dire que j’aie « affronté » cet antisémitisme; disons que j’en ai pris connaissance, une connaissance d’ailleurs relativement détachée et amusée, tant l’argumentation antisémite de l’auteur me paraissait délirante et intenable. Certes, on peut soutenir que l’antisémitisme célinien est une tache sur son oeuvre. En revanche, en quoi aurait-il provoqué une « débâcle » de cette oeuvre? Il n’en est manifestement rien. Si l’on met de côté les pamphlets (la « tache »), l’oeuvre romanesque célinienne est au contraire un magnifique exemple de maîtrise de plus en plus affirmée, de progrès continus d’un romancier dans son art. Enfin, l’antisémitisme de Céline le rend-il « infréquentable » ? On constate, à l’évidence que non, en tout cas pour la très grande majorité des lecteurs. Pourtant, je me rappelle un numéro ancien des « Cahiers de l’Herne » réunissant des témoignages de lecteurs de Céline; certains d’entre eux écrivaient que l’oeuvre de Céline leur était devenue infréquentable à partir de la publication de « Bagatelles pour un massacre »; sans surprise, ces témoins étaient juifs. On pourra en conclure que l’approche et l’appréciation d’un écrivain antisémite, qu’il s’agisse de Rebatet, de Brasillach, de Céline ou de Chardonne risquent d’être fort différentes selon que le lecteur est juif ou non, ce qui, d’ailleurs, est fort compréhensible. Le lecteur juif sera beaucoup plus gêné, voire bloqué, définitivement rebuté, tandis que le lecteur non-juif aura beaucoup plus de chances d’évoluer avec souplesse, détachement et liberté dans une oeuvre pourtant sulfureuse. Il n’est pas sûr, d’ailleurs, qu’une telle différence dans la réception d’une oeuvre soit limitée aux écrivains antisémites : pensons, par exemple, au cas du marquis de Sade.

Déjà assez des crapules actuelles dit: à

« le lecteur non-juif aura beaucoup plus de chances d’évoluer avec souplesse, détachement et liberté dans une oeuvre pourtant sulfureuse. »
Zonzon

Parle pour toi mon zonzon formé au vieux fond antisémite de ta jeunesse perdue et laisse-moi (si tu le veux bien) considérer Rebatet comme pure crapule dont je vais continuer d’ignorer les écrits et m’en porter le mieux du monde.

Attila dit: à

On voit bien la différence entre Thyssens et Passou : c’est tout l’espace qui sépare une pensée de droite extrême, autoritaire, à une pensée démocrato-libérale, plus largement ouverte !
Au lit, le censeur !

Déjà assez des crapules actuelles dit: à

Et pour ce qui est, comme M. Ory le souhaite, savoir ce qui se passe dans la tête d’un fasciste, pas besoin des écrits de Rebatet, la lecture de mon journal quotidien me suffit.

Attila dit: à

Le talent excuserait-il la saloperie ?

Tout dépend du degré de l’un et de l’autre : Rebatet avait un joli petit talent mais sa haine avait dépassée le degré le plus élevé de l’ignominie, il s’en est bien tiré, grâce à qui ?

tonton dit: à

 » à cheval entre les constellations du Cygne et de la Lyre, entre les étoiles Deneb et Véga. Mais ils ont aussi détecté autre chose, des chutes étranges dans la lumière que nous recevons de l’étoile KIC 8462852. »
LeMonde.fr

D. a encore manipulé la galaxie.
Est-ce qu’il va jouer longtemps avec nos nerfs ?

Phil dit: à

Baroz, Rebatet s’en est peut- être tiré grâce aux mêmes qui ont liquidé Denoël. M. Thyssens est fort avancé dans cette histoire.

christiane dit: à

@Zoon dit: 15 octobre 2015 à 22 h 20 min

Là encore, affronter l’antisémitisme…
Je parle d’Heidegger. J’y reviendrai demain. Mon post est embrouillé. Je l’ai écrit trop vite et là je dois sortir. A demain donc.

Sergio dit: à

Si c’était si simple ! Parce que les gus qui peuvent publier trente coms d’une demi-page à propos de la huitième phrase de la cinq cent trente-septième bafouille de la correspondance Charand-Mordonne et ceux qui traitent leur voisin de moule à gaufres, eh bien fortuitement c’est les mêmes !

Et toute pensée est comme le baratin fétide que je viens d’énoncer plus haut ci-présent inclus…

christiane dit: à

@ Zoon
La publication des « Carnets noirs » inédits jusqu’à aujourd’hui semblent révéler un antisémitisme idéologique « conscient » de Heidegger et pour moi c’est comme si par ces carnets il avait introduit le nazisme dans son oeuvre.
Ce que j’ai traduit par « un affrontement à une pensée antisémite » de la part des lecteurs qui liront ces carnets. Lisant les premières lignes de ce chapitre du livre d’A. Finkielkraut, je m’attendais à une plongée analytique dans ces « carnets noirs ». Je me demandais si cela serait aussi « infréquentable » que Rebatet, Céline (« Pamphlets ») et j’ai été surprise qu’A. Finkielkraut amorce plutôt une analyse du travail philosophique de Lévinas sur l’œuvre d’Heidegger.

Je n’ai pas compris ce que vous entendez par « origine personnelle » dans votre phrase: « son discours sur cet écrivain, me paraît verrouillé par un présupposé, qui tient peut-être à une origine personnelle de la lectrice. »
J’essaie de comprendre ce que Finkielkraut essaie d’exprimer dans ce chapitre très complexe. Lire ce livre est très intéressant pour éclaircir tout ce qui se dit de contradictoire sur A. Finkielkraut ces temps-ci. De droite ? de gauche ? Proche des thèses de R.Camus ? Faux philosophe aimant les médias (comme dans le lien mis dans les commentaires ) ?
Donc, je lis et cela n’a rien à voir avec une « origine » particulière, Zoon.

Attila dit: à

Phil, avant que Thyssens casse sa pipe, il faut donc qu’il nous crache le morceau !

Widergänger dit: à

Il n’est pas sûr en effet que Finkielkraut soit le mieux placé pour commenter à bon escient la « pensée » de Heidegger.

p. 119-120, Finkielkraut tend à penser la pensée de Heidegger à travers l’équation : l’être = la nature. Il écrit en effet : « Hitler a conduit la sacralisation de la nature jusqu’à ses ultimes conséquences. On ne peut continuer d’ignorer, après lui, que « le mystère des choses est la source de toute cruauté envers les hommes ». (Levinas) Les liturgies païennes de Nuremberg ont débouché sur les camps de la mort. Entre l’être et l’Autre, il n’y a pas de moyen terme, il faut choisir, affirme, en substance, Levinas. » (p.118)

Il y a là des raccourcis de la pensée qui ne correspondent à rien. Est-ce que ce que Levinas appelle « le mystère des choses » se réduit à ce que Heidegger appelle l’Être ? Pas évident du tout.

Je crois plutôt que Heidegger tente (il s’agit bien d’une tentative, et une tentative inaboutie, à tout le moins inachevée, puisqu’il devait y avoir à Sein und Zeit un second tome qui n’a jamais pu être écrit par Heidegger) de penser l’homme en dehors du cogito, c’est-à-dire en dehors de la notion de Sujet. Il tente de fonder une « pensée » de l’homme, impersonnelle. L’impersonnalisation de l’homme comme « berger de l’être » et « être-pour-la-mort » est la grande innovation de la tentative heideggérienne. Il n’est pas le seul « penseur » allemand à opérer ce virement impersonnelle, le penseur allemand Karl Robert Eduard von Hartmann en est un autre. Plus anciennement, la pensée d’un Schelling initie une semblable tentative d’impersonnalisation de la pensée de l’homme, de dépassement du cogito cartésien. Il ne s’agit donc pas de penser l’homme à travers son ancrage territorial comme tend à le laisser penser Finkielkraut à propos de Heidegger. Le « paganisme » hitlérien, s’il est bien vrai qu’on puisse ainsi parler du nazisme, n’a strictement rien à voir avec la pensée de l’Être chez Heidegger.

Il n’en demeure pas moins que le ralliement de Heidegger, en tant que « penseur de l’Être », au nazisme, ne s’explique pas facilement. C’est même incompréhensible. Quel rapport a ou aurait le nazisme avec la « pensée de l’Être » ? À mon sens, aucun. Le nazisme est une sorte de fourre-tout qui s’alimente n’importe où, où surtout ça l’arrange. Parler à son sujet de « paganisme », ce serait même faire injure à la pensée païenne ou aux penseurs » de l’Antiquité païenne. Le nazisme pense-t-il vraiment rigoureusement quoi que ce soit ? À mon sens, il ne pense au sens strict du terme rigoureusement rien. Pense-t-il même l’extermination du peuple juif ? Même pas. Il exprime tout au plus des opinions, des bouffées de haine plus ou moins rationalisés. C’est bien tout ce qu’il est capable de faire « philosophiquement » parlant.

Widergänger dit: à

C’est d’ailleurs au nom de « l’être-pour-la-mort » que Heidegger a condamné les camps d’extermination nazis.

« Wir vermögen es nur, wenn unser Wesen das Wesen des Todes mag. »

En conséquence, c’est bien Emmanuel Faye qui a raison contre Ivan Segré, qui connaît mal l’allemand et s’avance un peu vite sans avoir pris soin de faire toutes les vérifications qui s’imposent ; la traduction la meilleure qui s’impose de la phrase de Heidegger :

« Wir vermögen es nur, wenn unser Wesen das Wesen des Todes mag. »

est en réalité :

« Nous le pouvons [à savoir mourir] seulement si notre essence AIME/VEUT l’essence de la mort. »

« pouvoir » étant pris ici dans le sens du verbe vermögen, à savoir « avoir la capacité de, l’aptitude à ». Contrairement à ce qu’affirme Ivan Segré, il y a bien ici une volonté à l’oeuvre. Mais il n’est pas certain que cette volonté soit d’ordre subjectif comme le laisserait entendre la traduction d’Emmanuel Faye, elle peut relever d’une volonté impersonnelle de type schopenhauerien comme peut le laisser entendre le mot Wesen, quoiqu’il laisse la porte ouverte à n’importe quelle interprétation, le sens du mot « essence » étant par essence obscur…

Le verbe de modalité mögen n’a le sens de « pouvoir » qu’employé avec un verbe à l’infinitif, et encore !

Ich mag heute nicht arbeiten = Je n’ai pas envie de travailler aujourd’hui.

Widergänger dit: à

Autrement dit, la notion heideggérienne de « Dasein » (le Da du Sein) ne se réduit pas à l’idée de Nature. C’est ce que Heidegger tente de penser, sans y parvenir, puisqu’il n’a pas écrit son second tome, on l’oublie toujours.

Widergänger dit: à

Pour le Judaïsme aussi, d’ailleurs, l’Homme est le Da du Sein, le « là » de l’Être transcendant qu’est YHV. J’ai d’ailleurs entendu des rabbins qui se réclament ou se rapproche explicitement de la pensée de l’Être chez Heidegger.

C’est dire combien les choses sont confuses et embrouillées.

Widergänger dit: à

C’est aussi pourquoi l’être-juif-au-monde, contrairement à ce que peut dire Heidegger et derrière lui Juri Slezkine, que cite Finkielkraut, (et toute le pensée antisémite depuis Marx au fond) n’a rien à voir avec l’âge moderne de la technique, de l’argent et des banquier qui construisent des chemins de fer qui donne le tournis aux voyageurs de l’Orient-Express (hein, Phil…). L’être juif, c’est ce que Levinas appelle « l’Autre », l’Autre comme horizon indépassable du Da. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que Levinas a écrit en quelque sorte le pendant de Sein und Zeit, qu’il a intitulé Le Temps et l’Autre (on remarquera qu’il ne l’a pas intitulé : L’Autre et le Temps ; il a choisit l’ordre inverse du titre de Heidegger).

Lazarillo dit: à

Abdeladof le 14 octobre 2015 à 21 h 13 min nous ressert le Passou juif marocain qui en 73, à 20 ans, à l’occasion de la guerre du Kippour, partit pour Israël afin de défendre ce pays contre l’offensive de la coalition arabe conduite par l’Egypte. Et Abdeladolf qui trouve que ce n’était pas sympa d’avoir à éventuellement tuer un soldat marocain envoyé par sa Majesté Hassan II semble oublier que l’objectif avoué (comme en 48 et 67) des Arabes était d’en finir avec Israël, et accessoirement, n’est-ce pas Abdeladolf, avec sa population car je vous lasse imaginer ce qu’aurait donné une victoire arabe. Une boucherie, tout simplement! Et si les Marocains se sentaient solidaires des Palestiniens au nom de quoi refusez vous ce droit aux Juifs vis-à-vis d’Israël? Et qu’était allé foutre le Maroc dans cette galère, hein Abdeladolf? Ce qui vous met en rage c’est que, là encore, un tout petit pays mit la fessée à la coalition des pays arabes. Ce n’est pas la faute aux Israéliens si les généraux arabes étaient des manches. D’ailleurs, depuis, ils se tiennent à carreau. C’est que les armées arabes servent surtout, pour ne pas dire exclusivement, à réprimer, voire massacrer, leur peuple. Ce qui vous aussi rager Abdeladolf ce que vous savez qu’Israël ne se laissera jamais détruire, qu’il est là pour longtemps et qu’en plus vous êtes obligé pour diffuser votre haine sur la toile, chez Passou, un sioniste, de recourir à la high tech sioniste. Vous êtes, Abdeladolf, sionodépendant. Sans Israël (et les Juifs) à vomir que feriez-vous de vos neurones? Alors au lieu de gueuler, réjouissez-vous.

neither here nor there dit: à

ah camarade Sancho, bien le bonjour chez vous…quelle défense inspirée de Passo ! en son nom plus ni moins…j’espère qu’il vous traite bien, et vous renvoie l’ascenseur de temps a autre…mais comme d’habitude, (et ce n’est pas votre faute, perso je plains le système), vous vous trompez sur la nature de ma question : je parle de terroir et de loyauté a son bled…que feriez-vous, si demain la France déclarait la guerre a l’Espagne, dans l’hypothèse, que vous fûtes apte a prendre les armes , d’un cote ou de l’autre ?

renato dit: à

« … à tous les habitants de l’empire »

Déjà les premiers roi offraient la citoyenneté aux esclaves en fuite, aux malfaiteurs, aux ostracisées d’autre bleds, etc. Faillait bien trouver de la main d’œuvre pour défendre les confins de la ville.

christiane dit: à

@Widergänger dit: 16 octobre 2015 à 1 h 40 min et précédents
Merci, W. de cette analyse comparée et de la pensée d’Heidegger et de ce chapitre du livre de Finkielkraut..
Les identités de notre monde contemporain sont-elles devenues toutes semblables ? L’idée d’un sol originaire n’a-t-elle plus d’importance (nomadisme, voyages, objets et techniques interchangeables) ? l’homme est-il « disponible » à toutes sortes de changements politiques, ethiques, philosophiques ? Ces questions latentes dans la fin de ces pages m’avaient troublée. Il semblerait que s’appuyant d’une façon obscure sur la philosophie d’Heidegger, A.Finkielkraut entre dans une méditation prisant « l’indisponible ».
Cela m’a rappelé certains débats de l’émission « Répliques » qu’il anime le samedi matin. Un grand nostalgique, dont la pensée refusant d’être immobilisée par l’histoire tragique de la dernière guerre mondiale et des horreurs qui ont eu lieu, encore, depuis, erre dans un présent où il semble ne plus trouver son chemin.
Votre analyse, savante, est aussi très complexe mais bien argumentée.
Ce qui serait souhaitable ? Un débat entre vous deux, un samedi matin. L’émission étant disponible pendant un an, je pourrais la réécouter à l’envi.

@zoon
ayant bien relu votre long commentaire posé dans la soirée, je trouve étrange que vous pensiez que seul le fait d’être juif rende impossible de lire sereinement des écrits antisémites. Le contenu de ces pages (livres et écrivains que vous citez) me donne la nausée sans pour autant dépendre de l’origine que vous imaginez. Et quand j’emploie le terme « débâcle » je l’associe au mot « pensée » et non aux livres. Je pense que l’homme se perd dans la haine et l’antisémitisme qu’il soit écrivain ou pas.

CSA dit: à

Abdeladolf est insultant, doublement insultant.

en sautant les commentaires inutiles dit: à

Widergänger dit: 16 octobre 2015 à 0 h 46 min

+1

Mais après…cela s’ embrouille.

De ce que écrit Christiane.
Une question bien complexe :

http://germanica.revues.org/2436

rose dit: à

L’attitude de Valls de Macron de Hollande c’est une honte.
Bravo au type des chantiers navaux d St Nazaire qui a dit nous n’avons pas nous à la CGT à vous rendre la politesse.

rose dit: à

Francesca Melandri parle exactement de cela : la géographie et l’appartenance à un territoire et puis le fascisme.
Ds une scène importante , le dit le.gout du zng du colonel. »Tuez les et rasez le village ». La non acceptation des ordres donnés du lieutenant colonel.La rétrogradation de celui-ci noté moyen par ses supérieurs.
Déchéance de l’excellence.

rose dit: à

Elle dit le goût du sang.
Les terroristes eux -leur bataille c plus l’emploi à égalité de traitement avec les italiens du sud immigrés de l’intérieur qu’autre chose- s’enfuient par les sentiers des contrebandiers.
Passés le mont Rose, ils seront à Zermatt.

rose dit: à

Les cadres et le drh d’air France s’ils n’avaient pas ri face aux salariés en colère, si seraient-ils retrouvés à poil ?

Surtout le drh avec son sabre dans l’oeil gauche ?
Son sabre de tueur.
Je serai en grève le 2 décembre jour de leur jugement pour les soutenir.

La violence c’est une grande preuve d’incompétence m’a dit l’autre couillon. Le lendemain je lui répliquais Jean Paul Sarthe : la violence appelle la violence.
Que l’on commence par foutre au chômage les drh.

rose dit: à

Sartre Jean sol.
je vis avec un correcteur inculte & automatique. Nulle harmonie.pas même sexuelle. Ce qui est la moindre des choses à tout le moins.

Saint Nazaire, priez pour elle !..... dit: à

Un chantier naval, des chantiers navals.

Croix Vitaflor dit: à

Voici la carte de visite hilarante de Mangeclous, qui aurait pu dans une autre monde (sur la planète de D.) décrisper les Heidegger et autres Rebatet s’ils avaient eu le moindre humour. Elle leur aurait peut-être donné envie d’aimer les pauvres hères efflanqués de l’espèce de ce héros à l’imagination si fertile (L’ouvrage de la trilogie d’AC parut en 1938)!

Carte de Visite de Maître Pinhas Solal
Des Solal originaires de France Bénie
Mais en Exil depuis des Siècles Hélas
A Céphalonie Ile grecque en Mer Ionienne
Citoyen Français Papiers en Règle
Surnommé Parole d’Honneur
Dit Mangeclous Professeur Très
Émérite de Droit Avocat Habile
Docteur en droit et médecine non diplômé
Rédige des Contrats Excellents
Et des Conventions Empoisonnées
Que Tu ne peux plus T’en Sortir!
Appelé aussi le Compliqueur de
Procès Qui un jour fit mettre en
Prison une Porte de Bois On Le Trouve
Assis sur les Marches des Divers
Tribunaux entre Six et Onze heures du
Matin le plus grand Jurisconsulte de
Céphalonie homme Honnête Les versements
En espèces sont Préférés Pour les
Ignorants on Donne l’explication de
L’expression élégante Espèces veut Dire
Argent Mais on accepte Aussi la Nourriture
On le trouve chez Lui la nuit Et il Se
Charge d’autres Affaires Il aurait Pu
Être Diplômé s’Il avait Daigné Mais il
N’a pas daigné Ne pas détruire La Carte
Qui a coûté Extrêmement d’Or et d’Argent

bouguereau dit: à

des touchés anals aussi..dam

christiane dit: à

@en sautant les commentaires inutiles dit: 16 octobre 2015 à 9 h 36 min
J’ai commencé à explorer cette étude de Jean Quillien, mise en lien (document « Germanica – Culture et violence dans la philosophie allemande du XXe siècle.
Une approche duelle de Heidegger rappelant Dr Jekyll et Mr Hyde par essais opposés de Farras et Weil.
L’un, pour sauver le philosophe, accable l’individu, l’autre sauve le philosophe contre Heidegger lui-même.
Heidegger en ressort crépusculaire, une figure d’ombre. A-t-il pu se tromper ?
Une question se glisse pour le lecteur d’aujourd’hui : « peut-on être juge et partie sans être impliqué » ? Juger, des années après ceux qui ont vécu l’histoire en direct ?
Dans l’alinéa (86), il est écrit que le nazisme a révélé au monde de quel degré d’inhumanité est capable en toute bonne conscience, l’homme civilisé.
Cette question me taraude.
Le génocide y est présenté comme l’aboutissement d’un système et le nazisme comme le triomphe de la démagogie et la destruction de la culture européenne. Un régime politique responsable de tant de barbarie, un système qui s’inscrirait dans une tradition de la pensée allemande , pas un accident mais une logique inscrite dans l’histoire de ce peuple ?
Ça fait froid dans le dos !
La philosophie devrait assumer toute son histoire, donc aussi la pensée d’Heidegger et son égarement politique.
Et loin de toutes ces analyses, « les internautes vivraient sur la toile en état d’apesanteur, se jouant des frontières » ( ce que semble cibler votre pseudo).
Ces « carnets noirs » à couverture « noire », que Heidegger avait prévu lui-même d’intégrer à son œuvre, sont-ils à inscrire dans « l’histoire de l’être » ? Et qu’en est-il du déracinement de notre époque nous projetant hors de l’être ? Quel est notre rapport à la vie, à l’autre ? quelle espérance nous reste-t-il ?

neither here nor there dit: à

mon frère, qui est bien plus instruit que moi, jure que l’on dit un chacal, des chacaux…je le crois et perso, j’utilise moi-même toujours cette expression…ceci dit, le chacal n’est pas un sujet fréquent de conversation…enfin pas pour moi, hein…je remarque que ma réponse , tres mesurée comme toujours, a l’ad hominem du camarade Sancho, a été moulinée…reste plus que le grincement de sa brouette…

Amicale des DRH en colère dit: à

Des voyous ! rien que des voyous de syndicalistes ! des trous de balle !

bouguereau dit: à

de recourir à la high tech sioniste

moi chprèfèr le votan des wernère..ford..howard..walt..et çui d’einstein tien qui voyait la terre promise a néchin que ton yavé en zinc hé..il tle prend tle rtourn et tlancul
..va tfaire un gargaris lazar tu rfoules encore du goulot

Serge dit: à

Extrait du Mercure galant (1683) de Boursault.

La Rissole : soldat.
Merlin : valet, cru secrétaire du Mercure.

La Rissole
Lui mort, les Hollandais souffrirent bien des mals,
On fit couler à fond les deux vice-amirals.

Merlin
Il faut dire des maux, des vice-amiraux, c’est l’ordre.

La Rissole
Les vice-amiraux, donc, ne pouvant plus nous mordre,
Nos coups aux ennemis furent des coups fataux,
Nous gagnâmes sur eux quatre combats navaux.

Merlin
Il faut dire fatals et navals, c’est la règle.

La Rissole
Les Hollandais, réduits à du biscuit de seigle,
Ayant connu qu’en nombre ils étaient inégals
Firent prendre la fuite aux vaisseaux principals.

Merlin
Il faut dire inégaux, principaux, c’est le terme.

La Rissole
Enfin; après cela nous fûmes à Palerme,
Les Bourgeois, à l’envi, nous firent des régaux.
Les huit jours qu’on y fut furent huit carnavaux.

Merlin
Il faut dire régals et carnavals.

La Rissole
Oh ! dame,
M’interrompre à tous coups, c’est me chiffonner l’âme,
Franchement.

Merlin
Parlez bien. On ne dit point navaux,
Ni fataux, ni régaux, non plus que carnavaux.
Vouloir parler ainsi, c’est faire une sottise.

La Rissole
Eh ! mordié, comment voulez-vous que je dise ?
Si vous me reprenez lorsque je dis des mals,
Inégals, principals et des vice-amirals,
Lorsqu’un moment après, pour mieux me faire entendre,
Je dis fataux, navaux, devez-vous me reprendre ?
J’enrage de bon coeur quand je trouve un trigaud
Qui souffle tout ensemble et le froid et le chaud.

Merlin
J’ai la raison pour moi, qui me fait vous reprendre,
Et je vais clairement vous le faire comprendre.
« Al » est un singulier dont le pluriel est « aux »,
On dit : c’est mon égal, et ce sont mes égaux.
C’est l’usage.

La Rissole
L’usage ? Eh ! bien soit, je l’accepte.

Merlin
Fatal, naval, régal, sont des termes qu’on excepte.
Pour peu qu’on ait de sens, ou d’érudition,
On sait que chaque règle a son exception.

Par conséquent, on voit que cette règle seule…

La Rissole
J’ai des démangeaisons de te casser la g…

http://monsu.desiderio.free.fr/bibliotheque/mercure.html

bouguereau dit: à

a l’ad hominem du camarade Sancho, a été moulinée

quand que c’est pas l’robot mais lassouline soimême jle prend comme d’lartisanat..ça humanise un peu le sionisme..

rose dit: à

Mes chevals en hérissent de bonheur. Et mon Bilal.

bouguereau dit: à

..et dracul..encore a réécrire des symphonies dwagnère à bigoudi et d’ou que yavé sfait encore empaffé le ring au gode ceinture..avec lazar y vont nous faire des messes nouares à la baionnette rouillée dans les caves de singsingmaringueune.. »lhorreur..lhorreur! »

Végétarien convaincu dit: à

Les Nazis ne concevaient-ils pas simplement le Juif comme vous considérez, vous, l’Animal votre frère à savoir de la chair et du sang, bons pour nourrir vos ventres, le Juif étant pour les surhommes de la nourriture pour leur idéologie politique ?

Rose bonbon dit: à

Bilal est le surnom du sex-toy de cette rosse

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