de Pierre Assouline

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La République des livres
Rompre tout commerce avec ces gens

Rompre tout commerce avec ces gens

Appelons cela une simple coïncidence afin de pas convoquer la providence en vain : deux livres paraissent en même temps qui invitent à méditer sur la nature du pouvoir consacrés à deux personnages qui viennent de se croiser sous le regard de millions de Français. François Hollande sur le départ, Emmanuel Macron à l’arrivée. L’un et l’autre racontés de l’intérieur. Du vécu à coup sûr. De près, de si près même que c’en est d’un peu trop près.

Beau titre que le récit trouvé par Philippe Besson pour son récit Un personnage de roman (246 pages, 18 euros, Julliard). Mais dangereux car il imprime une telle trace sur le récit que l’on finit par se convaincre que la forme la plus juste pour raconter Emmanuel Macron eut été non le reportage mais le roman, justement, tant l’homme et ses circonstances sont balzaciens. Nul doute que l’auteur est un ami du couple. Embarqué, mais volontaire. Il a donc suivi sa campagne électorale aux premières loges et il raconte de l’intérieur. D’autres s’y sont essayés avant lui : Yasmina Reza avec Sarkozy, Laurent Binet avec Hollande… On va finir par croire que c’est en passe de devenir un genre littéraire en soi. Ce qui serait regrettable si l’on en juge par les résultats. Car rien n’est moins littéraire que ces tentatives. On verra comment Emmanuel Carrère s’en tirera bientôt avec le grand portrait d’Emmanuel Macron que The Guardian lui a commandé. Quelque chose me dit qu’il gardera ses distances. Ce qui n’est pas le cas de Philippe Besson.

A plusieurs reprises, il nous fait savoir que les Macron sont ses amis, et que le candidat puis le président lui demandent son avis, sollicitent ses conseils. Ils se voient, se parlent, s’envoient des textos, se téléphonent. Ce n’est plus du journalisme mais ce n’est pas non plus de la littérature. Curieux objet en vérité. A la manière dont il rapporte les propos du héros, on se pose des questions. Vraiment, même quand il est énervé par des rumeurs sur sa vie privée, il dit : « J’ai rompu tout commerce avec ces gens… » plutôt que : Qu’ils aillent se faire foutre ! comme tout à chacun ? Il est vrai qu’il n’est pas comme tout le monde.3527563-exclusif-jean-pisani-ferry-philippe-b-950x0-1 2

Il a conçu ce livre dans l’idée de montrer que le roman personnel d’un quasi inconnu peut rencontrer le roman national. Belle ambition. Il y a bien eu une rencontre mais on ne la sent pas. Il y manque la folie des mots de la fiction, sa liberté, son trouble, sa légèreté. Il y a bien des choses lues et vues, des anecdotes ici ou là (Manuel Valls n’en sort pas grandi), quelques piques lancées à des personnalités politiques. Des intellectuels médiatiques (Finkielkraut, Badiou, Todd, Debray, Onfray) par Jupiter tenus non sans mépris pour « des éditorialistes » de peu d’importance à l’aune d’un Habermas. Bien peu d’humour et de second degré. Il semble que Besson ait pris le spectacle du pouvoir très au sérieux, Comme si le syndrome du gyrophare l’avait atteint alors qu’il n’était que spectateur engagé et embarqué. Quand le cortège du candidat slalome à 130 km/h toutes sirènes hurlantes pour poursuivre sur les routes à 150, alors que l’attaché de presse dort à côté de lui comme un bébé dans l’une des voitures et que lui s’accroche à la poignée, il note :

« J’ignorais qu’il était à ce point périlleux d’écrire des livres ».

Certes… Sauf que le vrai danger est ailleurs quand on écrit : c’est de se rater. De rester dans le terne. Philippe Besson est décidément meilleur dans sa veine et non dans celle-ci.

« On reprend la route, direction Reims, la ville où les rois de France ont été sacrés. Ah, le beau symbole ! ».

Mmmm certes certes… Est-ce vraiment ce que l’on attend d’un écrivain, surtout quand celui-ci a toutes les complaisances pour son héros au motif que celui-ci égrène des citations et « convoque le souvenir de Rimbaud » ? Il eut fallu raconter toute cette campagne, la même chose à supposer qu’elle présente un intérêt, à travers le prisme exclusif des démons qui hantent la mémoire de Macron. Un surtout : sa grand-mère Manette qui l’a élevé. Là est l’émotion, la faille, la brèche. Et le talon d’Achille de celui qui se considère et qui est considéré comme le grand-père des petits-enfants de sa femme sans avoir jamais eu d’enfants. L’essentiel est là qui demeurera mais n’occupe qu’un misérable petit tas de lignes. Le reste n’est que péripéties d’un épisode déjà oublié.

Pierre-Louis Basse, lui, en pince pour François Hollande. Son titre lui ressemble : Le flâneur de l’Elysée (270 pages, 19,50 euros, Stock). Il y a là un côté Fargue et Apollinaire piéton de Paris et flâneur des deux rives. De ce journaliste de radio, je n’avais entendu parler que par mes amis footeux pour l’excellence de ses livres sur le ballon rond et ses hérauts et pour sa biographie de Guy Môquet. J’ai donc été voir, peut-être plus curiosité pour l’auteur que pour le personnage qu’il a servi puisqu’il a été conseiller « Grands événements » du président Hollande de 2014 à 2017. Lui aussi raconte de l’intérieur mais cela n’a rien à voir avec les souvenirs vite troussés des remerciés de la République (Aquilino Morelle and co et ces jours-ci encore Jean-Christophe Cambadélis accablant Hollande dans un essai sur la débâcle de la gauche). Ce que le distingue déjà et fait toute la différence, c’est l’écriture, nerveuse, colorée, heureuse dans le maniement des formules et le sens du détail.

 

Drieu la Rochelle, celui de Gilles, de Rêveuse bourgeoisie, du Feu follet, est son écrivain de chevet et cela se sent, pour le meilleur, jamais pour le pire. De même que sa tendresse pour les hussards. Là aussi, c’est la loi du genre, les coulisses du pouvoir, les rumeurs, les petites histoires se bousculent sur les travaux et les jours. Ah l’organisation de déjeuners d’intellectuels pour « distraire » le président. De même les portraits vaches (Pascal Bruckner, Michel Onfray, étrillés sans pitié, Hélène Carrère d’Encausse réduite à son sillage parfumé et à sa surdité). Faut-il vouloir déployer un summum de cruauté pour commencer ainsi un chapitre : « J’ai été heureux de retrouver la main molle de Jacques Attali » avant de remettre le couvert quelques pages plus loin sur « cette main morte » non sans l’assortir d’ »un regard fuyant ». Mais Basse sait en faire autre chose que ce que c’est avec de l’esprit et du doigté. Il y a de fortes pages sur le spectacle caché, du pouvoir, la transformation des individus par le décor et le rythme, les gaietés du protocole, la solitude le ouikende la nuit à l’Elysée, la ronde des courtisans, la toile des comportements. Il excelle à décrire cette étrange palais où jamais les portes ne claquent ; quand il y a un problème, cela se solde silencieusement par la disparition de l’intéressé, sa chaise vide un beau jour « comme une scène d’un roman de Buzzati ». Bien vu !

Pendant trois ans, on lui a donné un bureau rue de l’Elysée pour y lire et réfléchir. Et de temps en temps y écrire des notes et des discours jugés toujours trop lyriques que le président (sobre) s’appliquerait tant à réécrire qu’il n’en resterait plus qu’un ou deux lambeaux de phrases. Mais on ne se refait pas, même en trois années à piaffer et désespérer sous les lambris : Basse est trop écrivain pour supporter la notion même d’éléments de langage. De quoi éteindre à jamais toute vanité d’auteur. Sans oublier la fonction de grand chambellan des événements républicains type : la commémoration du centenaire de la bataille de Verdun. L’idée du concert in situ du rappeur Black M n’est pas de lui mais du Conseil municipal ; cela dit, il la soutient et la justifie. Il faut bien distraire les milliers de jeunes bénévoles qui ont trimé pendant quatre jours. Personnellement, je leur aurais plutôt offert Les Indes galantes de Rameau avec les Arts florissants sous la baguette de William Christie mais après tout, chacun son truc. Mais de même qu’il a appuyé le refus catégorique du cinéaste Volker Schlondorff , qui filmait la cérémonie, de faire accompagner les chefs d’Etat en tenant chacun un enfant par la main (« L’ossuaire de Douaumont n’était pas encore le Parc des Princes »), il aurait pu remarquer que ce n’était pas non plus la scène du Zénith.

Il lui a fallu aussi se farcir toutes les cérémonies internes au Palais, celles remises de bibelots, décos et autres hochets de vanité. L’occasion de croiser le couple Lang surnommé « Ginger & Fred » et de croquer les autres d’un œil implacable. Là où le bât blesse, qui en réjouira certains et en énervera d’autres, c’est dans le vieux fond bien-pensant et si politiquement correct de l’auteur. Faut-il que ce soit un enchantement de lire une plume aussi précise et coruscante, pour qu’on ne lâche pas ce livre même lorsqu’il lui arrive de nous exaspérer, et les occasions ne manquent pas ! Il juge que « Comprendre, c’est déjà excuser » est la réflexion la plus idiote qui soit quand elle sort de la bouche de Manuel Valls mais modèrerait certainement son jugement s’il la savait sortie en fait de la plume de Mme de Staël. S’agissant du même premier ministre, décidément à la fête, il juge « scandaleux son soutien à la politique d’extrême-droite de Netanyahu » mais ne s’interroge pas sur le soutien du gouvernement français au même moment aux pires dictatures arabes.

Soucieux de distinguer les mauvais musulmans (les « chiens enragés », les « salopards », et même les « petits kapos » ainsi qu’il désigne étrangement les terroristes qui ensanglantent la France) des bons, il évoque ceux-ci comme « une population qui, depuis toujours, priait en silence chez elle » ce qui est vraiment une vision petit-blanc très Télérama de l’islam de France dont on sait bien, pour peu qu’on s’y intéresse, qu’il est majoritairement laïc. De même on s’interroge sur ses critères lorsqu’il cherche à savoir si les youyous aux balcons de la manif des présidents post-Bataclan s’adressent à « Netanyahu le Juif ou Abbas le palestinien ». Coulibaly est « un grand malade » et Alain Badiou a raison de voir en les tueurs des « fascistes ». Quant aux appels au meurtre de Bagatelles pour un massacre, ils lui font penser « à nos joyeux suceurs de roue nationaliste beuglant sur les migrants de 2017 », genre de propos où l’immonde le dispute à la bêtise mais qui est un bon reflet de l’air du temps ; il devrait plutôt révolter Pierre-Louis Basse, lui qu’un parallèle entre le FN et un tract du PC des années 70 rend furieux malgré les passerelles entre leurs électorats etc

Pas toujours facile à suivre, Pierre-Louis Basse. D’un côté, il tient le Voyage au bout de la nuit pour un chef d’œuvre, de l’autre il se flatte d’avoir été celui qui a alerté Serge Klarsfeld sur la commémoration officielle du centenaire de Céline, ce qui a déclenche le scandale, le piteux retrait et l’annulation que l’on sait. Mais il sera pardonné à un écrivain d’un tempérament si coléreux, qui a dû subir la bouche fermée l’amputation sinon la négation de ses écrits par son commanditaire même. Mais que de colères refoulées ! Elles sont touchantes car romantiques lorsqu’elles viennent d’un ancien compagnon du PC fidèle au militantisme de sa mère, aux fusillés de Chateaubriant et du Mont Valérien.

Elles le sont moins lorsqu’il évoque François Mitterrand comme « le dernier président à avoir vécu physiquement le combat contre le nazisme », ce qui mériterait à tout le moins un développement nuancé. Ou lorsqu’il présente François Hollande comme « un homme qui n’a jamais été dans ce spectacle qui nous dévorait », celui que les Français ont eu « la chance » et « le privilège » d’avoir eu comme président pendant cinq ans. Une chose est claire au moins : « l’amitié » qui le liait au président Hollande, cet homme allergique au roman et à la fiction, l’a contraint à la « fidélité ».

Cela laisse une drôle d’impression que de lire ces deux livres successivement. Le plus embedded des deux n’est pas le salarié de l’Elysée mais l’ami du couple. Il est vrai aussi que pour l’un, c’est du passé alors que pour l’autre, c’est peut-être l’avenir. Mais dans les deux cas, on se dit que des écrivains devraient se tenir à bonne distance du pouvoir. Et que si ils y touchent, comme tant d’intellectuels séduits par l’illusion de conseiller des princes et qui se sont déjà brûlés les ailes à trop s’approcher du soleil, leur œuvre n’y gagnera rien. Autant rompre tout commerce avec ces gens, comme disent certains.

(« Solitude au Palais » photo D.R. ; « Philippe Besson avec Emmanuel Macron en campagne », « Pierre-Louis-Basse avec le président » photos Afp, 2016)

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commentaires

653 Réponses pour Rompre tout commerce avec ces gens

Sergio dit: à

bérénice dit: 28 septembre 2017 à 22 h 28 min
partis? définitivement?

Meunon… Boug il a l’air d’avoir pas mal de déplacements ; JC il a ptêt une régate mondiale dans l’hémisphère sud ; reste WGG-LVDLB là effectivement il faudrait bien.

Attendre et espérer, disait le comte de Monte-Cristo…

bérénice dit: à

Jazzi à 21h41: ou elle n’est pas son genre, il est des hommes qui préfèrent les brunes ou les rousses ou sont attachés à un fétiche et pas un autre , va savoir…

la vie dans les bois dit: à

serdgio, c’est un brave gars. Un peu con sur les bords, a jamais ouvert un bouquin de philo, mais sympa.

JAZZI dit: à

Un homme qui aime les femmes ne peut pas être insensible à une belle femme, nue devant lui de surcroit, sans nécessairement lui sauter dessus, bérénice… Sa mère dit qu’il ne la regarderait même pas !

bérénice dit: à

Vous savez Jazzi, la mienne n’imagine pas ce que j’ai bien pu faire avec les hommes, ce qui ne lui retire en rien son statut ni n’altère mon genre et ses prérogatives.

bérénice dit: à

serdgio, c’est un brave gars

on ne dira rien de tel vous concernant mais je crois que de façon général vous avez tendance à sous-estimer les acquis de tout un chacun et le potentiel de votre entourage.

bérénice dit: à

générale, courbettes et pardonnations.

hamlet dit: à

à lire sur cette question du pouvoir : la trahison des éditeurs de Thierry Discepolo – 208 pages – editions agone :

https://agone.org/contrefeux/latrahisondesediteurs/index.html

L’édition est la grande absente des analyses du rôle de l’industrie des relations publiques dans l’« éternel combat pour le contrôle des esprits ». Pourtant, comme les autres médias, l’édition est depuis longtemps aux mains de grands groupes, souvent les mêmes. Et elle remplit la même fonction dans le maintien de l’ordre idéologique. Suivant la même ­logique de croissance par acquisition qui prépare la suivante, les grands éditeurs perpé­tuent l’existence d’un type d’acteur qui, du seul fait de sa taille et de son mode d’organisation, forge un monde social et économique face auquel les idées de changement ne pèsent pas grand-chose. La distinction ­artificielle entre « groupes de communication » et « groupes éditoriaux » occulte le rôle de ces entreprises dans une société à caractère de masse : transformer les lecteurs en consommateurs et limiter la capacité d’agir du plus grand nombre.
Écrit par un éditeur, ce livre propose à la fois une antilégende de l’édition et les bases d’une ­réflexion sur les ­responsabilités sociales et politiques de tout métier. Un questionnement qui prend une forme plus directe lorsqu’il touche à la diffusion d’idées : de quelles manières et sous quelles bannières défendre quels projets de société.
La première édition de ce livre est parue à la fin de l’été 2011. Un an plus tard, le rachat de Flammarion par Gallimard puis celui de Payot & Rivages par Actes Sud bouleversaient la structure sur laquelle étaient basées ses analyses, et les confirmaient ; au moment où nous en faisons paraître, aux seuls formats numériques, la deuxième édition, Média-Participations absorbe le groupe La Martinière : nous nous sommes limités à indiquer ces manipulations quand elles illustrent cette histoire répétitive.

la vie dans les bois dit: à

L’ami du président a démenti formellement tous ces ragots sur la sexualité de notre président.
Les blacks et les homos, même combat, en somme…

Je ne sais pas pourquoi, je repense à ce roman de Ph. Roth, « la tache ».

bérénice dit: à

oui, elle est top, je l’avais contemplée dans un cube en verre, nue également – la beauté faite femme, rien à dire de plus. Si, qu’elle a depuis donné des nouvelles de talents d’actrices et comédiennes.

la vie dans les bois dit: à

L’ami du président a démenti formellement tous ces ragots sur la sexualité de notre président.

là:
« C’était aussi absurde que si on m’avait dit qu’Em­ma­nuel Macron était noir. »

Sergio dit: à

bérénice dit: 28 septembre 2017 à 22 h 55 min
le tube de Georges

Garogorille ! Hon dirait le gros Lulu et sa guitare en bois, comme disait l’excellentissime Renaud…

Sergio dit: à

JAZZI dit: 28 septembre 2017 à 23 h 13 min
On peut juger sur pièce

Pas facile, l’intégral… Mais là c’est réussi…

bérénice dit: à

Hamlet dans cette moisson incessante il reste tout de même d’innombrables maisons d’édition, les petits éditeurs , les PUF par exemple que l’on ne pourra pas soupçonner d’être manipulés sans compter les sites internet dédiés à la diffusion du savoir et au relai d’auteurs spécialisés pour un lectorat interessé par d’autres publications que grand public, avec tous les moyens de recherche dont dispose chacun, il suffit de chercher.

la vie dans les bois dit: à

« Certaines scènes, dont « Camba » fut le témoin direct, possèdent une dimension comique »

Il faudrait pouvoir en rire, si ce n’était la tragédie d’un président qui mis la France à sac, et à sang.

bérénice dit: à

Hamlet, je décortique votre lien .

Phil dit: à

encore des livres que nous ne lirons point, sans renoncer pour autant aux causeries dans le micro du prestigieux passou.
incroyable ce Monsieur Basse, une voix fouteuse qui émarge aux crochets de la République. révèle-t-il au moins le nom du rédacteur communiste de la lettre de Guy Môquet, autrefois exposée dans la station de métro du côté des retours de Saint Denis ? depuis la rénovation de ladite station, la lettre a disparu de sa casemate communisante et les voyageurs illettrés poussent du coude pour descendre à guy moquette. Schlöndorf n’a pas fait mieux avec son fort raté téléfilm dogmatique où seul l’acteur qui figure Jünger joue correctement. la question qui importe à cette heure: le Président Macron boit-il du Drappier comme le Général ?

P. comme Paris dit: à

« Sergio dit: 28 septembre 2017 à 20 h 55 min
Au grand galop… Faut encore rester dessus ! »

Facile, y’a qu’a se laisser bercer.

bérénice dit: à

0h47 moi j’aimais bien mais l’enseigne qui en vendait à deux pas de chez moi a changé, fini les bons produits à moins de commander par six sur le net.

Mauvaise Pensée dit: à

Le sabir partageux de Bérénice évoque irrésistiblement  » Les bons Bourgeois de René de Obaldia. Toutes les Ticoteuses ne sont pas mortes en 1794. La France garde ses Vieux Croyants, cramponnés à leurs intenables oripeaux de gooooche…..

renato dit: à

oups ! Monor > Minor ! une vraie faute de frappe…

et alii dit: à

Comédie européenne à Bruxelles

Un roman sur l’Union européenne – pire : sur sa Commission et ses arcanes bureaucratiques – il fallait oser. On fait difficilement moins palpitant… L’Autrichien Robert Menasse a relevé le défi. Il n’a jamais caché son enthousiasme pour le projet européen, lui a déjà consacré un essai (voir Books n°66, juin 2015), dans lequel il plaidait notamment pour une entrée résolue dans l’ère du post-national. Les employés des institutions européennes, si décriés, constituent, à ses yeux, un type de fonctionnaire complètement nouveau et admirable : guidé par la pure rationalité. « Son essai était empreint de sérieux, lettre de books

closer dit: à

« Sa mère dit qu’il ne la regarderait même pas ! »

Zizzi, tu n’es pas nunuche au point de croire les affirmations d’une maman sur son fils!

JAZZI dit: à

closer, je n’ai pas dit que c’était-là parole de vérité. J’ai dit : « la vache, elle traite son fils de pédé ! », nuance…
Et Brigitte n’y va pas non plus avec le dos de la cuillère en comparant son grand homme à Jeanne d’Arc !

JAZZI dit: à

On est jamais mieux trahi que par ses femmes !

renato, c’est pas gentil de nous montrer que Toulouse-Lautrec était une jolie théière !

JAZZI dit: à

closer, à ma mère, qui ne cessait de me dire que tous les hommes sont des cochons, j’ai répondu un jour, en la regardant droit dans les yeux, que les femmes étaient toutes des salopes. Sous-entendu, elle aussi. Elle a éclaté de rire et n’a pas infirmé mon propos…

bérénice dit: à

, cramponnés à leurs intenables oripeaux de gooooche…

oui beaucoup s’en torchent les fesses, certains conservent précieusement des idées et en débattent comme de possibles encore envisageables mais l’on voudrait nous faire croire que l’ordre du monde est à jamais fixé dans cette marche absurde dans une croissance obligatoire, tout ceci devant nous conduire à la solution qui fera vivre 9 milliards d’individus bientôt en n’ayant pris si peu soin de la Terre qui si l’on continue sur cette lancée n’abritera plus que des humains dans du béton paysagé d’arbres artificiels où circulera une faune virtuelle.

bérénice dit: à

qui pour que, excuses.

bérénice dit: à

10h54 Jazzi, en considérant ces éléments de vocabulaire sur un plan horizontal qu’on pourra incliner jusqu’à la verticalité et même retourner dans tous les sens un peu comme un manège je ne pourrais pas fonctionner . Qu’on affectionne les choses de l’Amour ou plus organiquement celles du sexe ceux sont deux termes dissuasifs, qui aurait envie de s’identifier à une porc ou une femme de peu …

bérénice dit: à

ceux!!!! ce

JAZZI dit: à

S’agissant d’un « Personnage de roman », j’en appelle aux parents de ce blog. Imaginez. Nous sommes au début des années 1980 et vous habitez une ville moyenne de province. Votre fils de 15 ans vient vous dire qu’il vit une passion amoureuse avec la prof de français du lycée, 39 ans, mariée, mère de trois enfants. Celle-ci, par ailleurs, est l’héritière de la pâtisserie locale, de renommée internationale, grâce à l’excellence de ses macarons. Vous réagissez comment ? Les parents de notre personnage de roman sont allés trouver la dame et lui ont intimé l’ordre de ne plus revoir leur fils jusqu’à sa majorité. Cette dernière, en larmes, aurait répondu qu’elle ne pouvait rien leur promettre. Question subsidiaire : vous auriez préféré que votre fils vous avoue qu’il est homo ?

bérénice dit: à

Jazzi je n’aurais pas su que faire, j’ai lu dans la presse que cet épisode fut suivi d’une fuite à Varennes, le personnage principal de votre roman fut accueilli par son aïeule qui vraisemblablement avec la sagesse de l’âge comprit que rien ne pourrait vaincre ce sentiment hormis le temps , ce temps d’ailleurs n’a pas à ce jour eu raison de ce lien. La subsidiaire n’a, je pense, pas à être posée , les mauvaises fréquentations quelle qu’en soit la destination sexuelle éveillent toujours l’inquiétude légitime, les projections anxiogènes. On ne choisit ni ne détermine forcément la sexualité de ses enfants; de votre avis il y aurait des parents qui souffrent encore à l’annonce d’une homosexualité à l’ère du mariage pour tous? personnellement je suis d’accord avec l’idée du bonheur qui utilise plus d’une recette.

Delaporte dit: à

Pour ceux qui ont peur en avion, ils pourront prendre… une fusée :

« Voilà le nouveau projet, un peu fou, d’Elon Musk, l’un des dirigeants les plus en vue de la nouvelle économie. Le patron Tesla et de SpaceX a annoncé ce vendredi matin lors d’une conférence de presse en Australie qu’il souhaitait lancer des voyages terrestres en fusée. Il serait ainsi possible d’aller de New York à Paris en 29 minutes. »

bérénice dit: à

bof, y’a pas d’autres possibilités? paris new york, un aller sans retour pour des pics de pollution.

bérénice dit: à

Elle marcherait à quelle combustible sa fusée, les avions transporteurs grillent des tonnes de kerosène pour que ces messieursdames aillent se marcher dessus dans un ailleurs pas meilleur et frelaté.

Delaporte dit: à

Christine Angot a donc craqué, sur le plateau de ONPC. C’était prévisible. Quelle idée aussi d’inviter une autre femme, victime d’un viol, pour lui faire directement concurrence ? Le clash était inévitable, et il y en aura d’autres, Angot étant plus émotionnelle que professionnelle. C’est d’ailleurs ce qui fait la curiosité de sa participation à cette émission putride, dont elle relevait le niveau… Qu’en pensez-vous, Jacuzzi ?

Delaporte dit: à

Pour ceux que l’affaire Kardashian/Delaporte intéresse, je donne une interview à Match, rien de moins :

« Incarcéré pour le braquage de Kim Kardashian, Delaporte s’exprime pour la première fois. Son avocat, Me Manuel Abitbol, a réussi à le faire libérer. » (Paris Match)

Mauvaise Pensée dit: à

Entre Bérénice et Delaporte,On est sur les hautes cimes de la littérature, il n’y a pas à dire…

closer dit: à

Même si elle l’a pris avec humour, tu as mal agi avec ta maman en lui sortant une méchanceté sur les femmes, Zizzi…

C’est la deuxième mauvaise action que je relève chez toi en quelques jours.

closer dit: à

« Votre fils de 15 ans vient vous dire qu’il vit une passion amoureuse avec la prof de français du lycée, 39 ans, mariée, mère de trois enfants. »

Sérieux sur ce coup Annibal…Tu imagines que ta maman quand tu avais 15 ans te plaque, toi, tes frères et soeurs et ton papa pour se mettre en ménage avec un de tes potes du collège?

Tu imagines le choc, la douleur, l’incompréhension?

C’est la seule chose qui importe vraiment dans cette histoire. Comment une mère peut-elle se comporter avec une telle cruauté et un tel égoïsme vis-à-vis de sa propre famille?

Cette bonne femme ne m’intéresse pas.

closer dit: à

Je ne connais pas les détails de l’histoire, mais même si je dramatise le déroulement des faits, c’est tout de même bien à cela que ça revient.

Et il est incroyable que cet aspect des choses ne soit jamais évoqué sérieusement. Ça en dit long sur la pourriture morale actuelle…

Delaporte dit: à

« Entre Bérénice et Delaporte,On est sur les hautes cimes de la littérature, il n’y a pas à dire… »

N’empêche que moi, je suis dans Match !

closer dit: à

Côté parents du jeune homme, qui a l’air de t’intéresser plus, il n’y a pas de quoi faire un drame. Autant qu’il fasse ses premières armes avec une femme expérimentée…ça lui fera gagner du temps et le rendra moins khon dans sa pratique sexuelle.

Delaporte dit: à

« Si la séquence n’est pas coupée au montage, elle sera diffusée samedi soir sur France 2. »

Verra-t-on le clash avec Angot ? Je le souhaite. Il faudra admirer ce petit bout de femme, les nerfs à vif, craquant en direct au milieu des huées déshonorantes. Une perle dans l’immondice du spectacle médiatique. Après cela, les gens devraient au minimum jeter leur poste de TV par le fenêtre et ne plus payer leur redevance ! Mais ce n’est pas la dignité qui étouffe les téléspectateurs abrutis par tant d’heure télévisée de vide intégrale…

D. dit: à

Je vous rejoins entièrement, Closer. Il y a ici une limite largement franchie et une question morale évidente qui débouche sur des réponses toutes aussi évidentes.
D’autant plus que dans l’on peut ajouter à ce questionnement la dimension professionnelle avec son éthique.
Le relativisme qui nous tue depuis tant de décennies est devenu capable de transformer, même jusqu’aux yeux des enfants, l’odieux en simple originalité.

Delaporte dit: à

Au pluriel :

Mais ce n’est pas la dignité qui étouffe les téléspectateurs abrutis par tant d’heures télévisées de vide intégral…

D. dit: à

Delaporte, je regarde beaucoup la télévision, mais à 90 pour cent en vidéo à la demande. Ce qui me permet de choisir le meilleur des programme, sur un ensemble d’une bonne centaine de chaînes. Je m’estime être un téléspectateur responsable tout comme il existe des gens éco-responsables.

Sergio dit: à

Delaporte dit: 29 septembre 2017 à 15 h 48 min
ne plus payer leur redevance !

Y a le type du fisc qui vient vérifier tenter de s’infiltrer comme les Hezbollah, en général juillet août.

Chez nous ils ont dû faire un casting le gus j’ai jamais pigé comment il était possible de se montrer havec une tronche pareille…

Le mieux un chaudron avec deux tonnes de poissons type Ordralphabétix sur la tête ! Comme ça il hexiste plus il disparaît dans les tréfonds…

Delaporte dit: à

« Delaporte, je regarde beaucoup la télévision, mais à 90 pour cent en vidéo à la demande. »

Vous ingurgitez ce faisant des tonnes de niaiseries… Vous n’êtes pas « responsable » du tout. La responsabilité, c’est le non intégral !

Delaporte dit: à

Imaginez le temps que vous perdez à regarder des stupidités, en plus « à la demande » ! Au lieu de lire, de vous reposer, ou encore de prier Dieu ! Aujourd’hui, les gens ne prient plus Dieu. Leur dieu, c’est leur écran, d’Internet ou de télévision. C’est désormais leur seule idole, pour le malheur de l’humanité. Ce n’est pas comme ça que vous serez sauvé, D !

Delaporte dit: à

« Je m’estime être un téléspectateur responsable tout comme il existe des gens éco-responsables. »

Il ne faut pas tout mélanger : « téléspectateur responsable » est une contradiction dans les termes. La vraie « responsabilité », c’est de n’être pas « téléspectateur », ni spectateur. Le spectateur est passif, et il subit la dictature ambiante. Il consomme.
Quant à l’éco-responsable, là, oui, c’est du sérieux. Mais vous ne pouvez pas être éco-responsable si, à côté, vous êtes à plein dans l’imposture du spectacle. C’est une question d’éthique, au plan général, et d’ascèse, au plan particulier.
Bref, D, excusez-moi, mais vous avez tout faux.

D. dit: à

Je’an-Pier’re Pet’it relate sur son site sa participation au congrès annuel de cosmologie « Cosmo 17 ». Édifiant. Ça en dit long sur l’état de la recherche dans ce domaine…urk urk urk…
(Enlever les * dans l’URL)

htt*p:/*/w*w*w.jp-petit.o*rg/nouv_f/vi*deos_liens/Compte_rendu_COSMO17_2017.h*tm

D. dit: à

Ou tapée sur Google: Jean-Pierre Petit Cosmo17, ça ira plus vite.

christiane dit: à

Un nouveau venu : Mauvaise… pensée ? Un peu de piment sur une langue raffinée. Des références littéraires… Hum… hum…

D. dit: à

Quoi hum hum ?

D. dit: à

Ce soir, Christiane, je mange un jeune cabillaud en gelée. Avec une mayonnaise.

D. dit: à

A chaque bouchée je composerai une méditation sur la vie.

Paul Edel dit: à

Christiane, Court n’est pas loin..

D. dit: à

Pour aider la méditation je m’enverrai une bouteille de Chablis bien Chambré.

Delaporte dit: à

On aura l’altercation, mais pas la sortie d’Angot de l’immonde plateau, huée par toute une assemblée de tarés et de débiles. C’est dommage. On aurait vu un bouc émissaire s’échapper, pour éviter le lynchage. La victime, amoindrie, reviendra :

Si l’altercation sera diffusée, France 2 et la production de l’émission ont toutefois fait le choix de ne pas montrer le départ du plateau de Christine Angot « qui, éditorialement, n’apporte rien sur le fond ». « L’émission a en effet préféré de ne pas diffuser cette image, à l’heure où plus rien ne s’efface, et faire preuve d’élégance ». (Europe1)

D. dit: à

Aimez-vous le cabillaud, Delaporte ? Je vous inviterais volontiers. Sachez que je vous aime bien.

Delaporte dit: à

On arrive à ce paradoxe d’une émission de TV putride qui décide de censurer les images qui font scandale. Comme si c’était un spectacle de trop, qui allait montrer jusqu’à quelle gouffre la bassesse et la vulgarité médiatique pouvait aller : sacrifier une victime. Mais non. Tout doit rester clean. Le meurtre aura lieu en coulisses, vous verrez.

D. dit: à

Paul Edel pourra se joindre à nous également s’il apporte un dessert.

Delaporte dit: à

« Aimez-vous le cabillaud, Delaporte ? »

Oui, mais pas avec de la mayonnaise : je suis au régime. Merci quand même.

Phil dit: à

déde, un petit Chablis ou un Chablis grand cru ? le choix est parfois difficile, tant le petit Chablis est aussi un bon cru.
Dans le doute passez au Pouilly Fuissé, mais les terres de Chablis qui voisinent l’abbaye de Pontigny font de ce vin minéral le choix idéal pour les officiants du prestigieux blog à passou (malheureusement versés dans l’athéisme comme la plupart des colloqueux de Pontigny).

D. dit: à

Un filet de citron pour vous, alors.

Nicolas dit: à

Un « Chablis bien Chambré. » Faut pas s’étonner que la morale se barre en couille. Heureusement je préfère le Sancerre, le Chablis m’a saoulé.

Sergio dit: à

Une bouteille ça fait pas tellement…

rose dit: à

c bien suffisant.

bérénice dit: à

Un filet de citron pour vous, alors.

D vous rigolez, avec cette austérité revendiquée et érigée en mode de vie, une rondelle suffira, pas question de dépenser un filet de citron pour le cabillaud de régime du sieur Delaporte.
Mauvaise pensée, Court ou LVDLB ? le couple may be?

bérénice dit: à

mauvaise pensé, je me suis fait un devoir de vacance de lire le tome one de Don Quichotte, remarquez comme il m’inspire, le style, le contenu dense éloquent riche en matière première, l’orthographe impeccable, le fil et la suite des idées toutes extraordinairement généreuses et insensées, le rythme narratif qui court tout au long de ma prose tantôt fleuve ou ruisseau allant puiser à la source sa première goutte aussi claire et chantante qu’à la roche affleurant pour se faufiler sans faiblir bien qu’infime entre des fougères odorantes.

Jean Langoncet dit: à

chablis chambré, chambré, à défaut d’habiter un igloo … pas frappé mais quand même … disons slightly chilled

Janssen J-J dit: à

@ 19.15 mais vous nous décrivez la naissance du fleuve Alphée chez Honoré d’Urfé ou quoi !…
Plutôt M. Court !… Et je rejoins la position de ses deux connaisseurs patentés. Martine H ? Non, elle est beaucoup trop tordue en général, rouée, veux-je dire, dans la maîtrise de sa science de la production de l’ignorance, une vraie tuerie agnatologique, tout comme sa parfaite maîtrise de « l’économie du like par les trolls ».

Heureux de constater que les ébats du macroniste Philippe n’ont suscité aucun des élans espérés. Ces deux chancres-là ne feront d’ailleurs pas long feu, sans parler du sort de brigitte angot sur l’ashtag ONPC. Daniel CB dut ramer comme un malade pour sauver les meub’, le pauvre hulot est obligé de faire monter pulvar au créneau à sa place et à celle des vaches méthanisées pour dire que le déferlement de la viande canadienne…, et que l’arrivée de 94 fascistes au Bundestag en toute sérenpidité doivent être passés par pertes profitables.
Roule ma poule, les gens sont contents, ils font toujours beaucoup d’enfants.
Changeons vite de billet, passoul, Laetitia Casta, à la plastique parfaite, était un poil trop maigre : le rasage intégral fut une mode. Mais une foufoune un peu plus fournie et soyeuse, c quand même toujours mieux pour l’hiver, non ?

Delaporte dit: à

« pas question de dépenser un filet de citron pour le cabillaud de régime du sieur Delaporte. »

Ce manque de générosité me peine, bérénice. Ce n’est donc pas chez vous que j’irais dîner !

bérénice dit: à

Dommage, il y a du cabillaud en filet et des citrons plein ma coupe, pommes de terre vapeur. Salade, fromage frais de chèvre, rhubarbe en compote de chez cassegrain.

Nicolas dit: à

Je vais me faire des pâtes avec un chardonnay premier prix en attendant que la politique de Macron face effet.
Bon week end

JAZZI dit: à

« Laetitia Casta, à la plastique parfaite, était un poil trop maigre »

Mais quel nichons, JJJ !

et alii dit: à

stéréotpes et préjugés
Forum SRS : Un tiers des Français pensent que les hommes ont un cerveau plus adapté aux sciences

rose dit: à

ça vole à moins de 50 pieds, du rase-mottes pour tout dire.

Laura Delair dit: à

Ce n’est plus un blog littéraire mais un livre de recettes avec des illustrations de femmes aux seins opulents, bigre

JAZZI dit: à

Chassez le naturel il revient au galop !
Géniale, Christine Angot.
Quels faux culs, les producteurs, qui censurent le plus intéressant : la sortie du plateau ! On se souviens encore de celle de Maurice Clavel…

la vie dans les bois dit: à

« on se dit que des écrivains devraient se tenir à bonne distance du pouvoir. »

c’est quoi un écrivain, dans ce cas-là ?

Est-ce que cela s’applique à un journaliste qui recueille le témoignage d’un conseiller du Président ?

Je trouve très émouvant ce titre  » Président, la nuit vient de tomber » » (*)

(*)http://www.ledauphine.com/france-monde/2017/09/29/chirac-les-confessions-de-son-dernier-compagnon-de-route

il n’y a que le torchon  » le point » qui se distingue par sa déontologie journaleuse.
Mais après-tout, ne doit-on pas à FOG, ce petit livre  » La tragédie du Président », où il commence par demander au lecteur de se méfier des journalistes ?

la vie dans les bois dit: à

« Géniale, Christine Angot. »

Peut-être dans sa spontanéité.
Il sera intéressant en effet de voir ce clash.
De Christine face à Sandrine Rousseau, de l’atteinte à l’intime, face à la sociologisation du crime sexuel.

la vie dans les bois dit: à

@Quels faux culs, les producteurs, qui censurent le plus intéressant : la sortie du plateau !

Ah mais non, on se souvient de Christine qui a pris une leçon de  » doute » devant François Fillon…

JAZZI dit: à

Le vrai personnage de roman, c’est Jacques Chirac. Je ne savais pas qu’il avait des dons de guérisseur !

« Paris Match. Comment est né ce projet de livre avec le témoignage de Daniel Le Conte ?
Arnaud Ardoin. A l’origine, il n’était pas question de faire un livre avec Daniel Le Conte. J’enquêtais sur les passions ésotériques de Jacques Chirac, ses dons de guérisseurs comme l’avait confié l’ancien ministre Pierre Bédier. Et puis, le hasard a fait que… »

bérénice dit: à

Ce n’est plus un blog littéraire

en effet , c’est la rue des potins. Pour résumer, C A peut écrire son viol mais ne tient pas le discours, sortie de route qui si j’en crois ce qu’en rapportent les divers entre-filets pourrait être la conséquence outre l’émotion le trouble nés de l’objet du débat auquel les deux femmes ont abandonné quelques plumes d’un amour-propre blessé par la huée du public la désapprouvant .

wiki:
L’amour-propre est un concept philosophique développé notamment par Jean-Jacques Rousseau : l’amour-propre est l’amour de soi dans le regard des autres. Celui-là se substitue à l’innocence de celui-ci ; l’amour de soi est la tendance à rechercher sa propre conservation, ainsi que ce qui nous satisfait, dans un rapport intrinsèque et non pas extrinsèque comme l’induit la médiation nécessaire à l’amour-propre. Pour Rousseau, le passage de l’amour de soi à l’amour-propre consacre l’entrée de l’individu dans la confrontation à d’autres.

Jean Langoncet dit: à

Rien à voir avec les tambouilles évoquées plus haut …

« People ask me: Why do you write about food, and eating and drinking? Why don’t you write about the struggle for power and security, and about love, the way others do? The easiest answer is to say that, like most other humans, I am hungry. But there is more than that. It seems to me that our three basic needs, for food and security and love, are so mixed and mingled and entwined that we cannot straightly think of one without the others. . . There is a communion of more than our bodies when bread is broken and wine drunk. » – MFK Fisher

Delaporte dit: à

« Pour résumer, C A peut écrire son viol mais ne tient pas le discours »

Au contraire, elle le tient jusqu’à l’extinction délibérée. Ce n’est pas insignifiant pour un écrivain de venir dans cet immense cloaque télévisuel de ONPC, et d’essayer de ne pas être submergée par la honte. Voilà l’image qui ne nous sera pas rendue demain, car la chaîne a décidé de couper les images fatidiques. Une petite bonne femme de rien de tout s’est mesurée au monde du spectacle médiatique.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pour la seule France, qui se les roule,…
…et celle qui , marche,!…

…vernissez la France, ronde,!…
…comme une boule, de pétanque,!…Oui,!…

…et, les pieds, pour marcher,!…ou sont t’ ils terrer,!…avec les jambes articulées,!…

…les pieds nickelés,…qui ne se marchent pas, sur les pieds,!…en triomphe,!…

…la France, en boîte, pour en être devenir mise en boîtes, aux César,…of course,!…

…à chacun, sa chat-loupe,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…vendue et a reconstruire, du Lego à €,…à nos lobbyings, à avaler,!…

…les présidents,des couleuvres à avaler,!…la force aigu des états centraux,!…etc,!…
…avoir des ânes, pour porter des éléphants,!…pourquoi faire,!…des familles,!…du boudin sur mesures,!…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…du Lego, à César,!…erratum, en repassant,…

bérénice dit: à

23h49, ça dépend, les huîtres sont pour certaines génétiquement modifiées et de ce fait monstrueuses, il faut s’attendre à la revanche des huîtres qui n’ont pas commencé à s’exprimer, de plus il me semble qu’un projet architectural compte sur elles pour protéger New York de l’assaut de l’océan pour renforçer ses abords en réintroduisant des espaces ostréicoles.

http://www.nationalgeographic.fr/environnement/2013/11/40-millions-de-personnes-menacees-par-la-montee-des-eaux-comment-lutter

christiane dit: à

17h47
Oui…

bérénice dit: à

Delaporte, elle s’insurge contre la voix que s’octroie son interlocutrice au nom de toutes les femmes qui ont eu à subir une agression sexuelle considérant qu’il n’est possible que d’apporter sa propre expérience même si la publication, la publicité qui sont accordées à ce genre d’événements ainsi que les suites qui leur sont données ou non peuvent libérer la parole des femmes et mettre en échec le silence que certains verraient bien continuer d’envelopper ces violences.

http://www.lalibre.be/light/buzz-tele/onpc-christine-angot-s-emporte-contre-l-invitee-et-quitte-le-plateau-en-hurlant-59ce005ccd70be70bcb4c098

JAZZI dit: à

C’est-à-dire que chacune a réagi en fonction de ce qu’elle est fondamentalement : l’une une écrivaine, l’autre une politique. D’où l’incompréhension entre le singulier et le pluriel…
Le plus caractéristique de cette histoire, c’est que le public à pris partie pour la seconde contre la première !

closer dit: à

Ça sent l’oraison funèbre pour ce pauvre Chirac…Certes, il n’a pas fait grand chose (on ressort toujours l’opposition à la guerre d’Irak, mais, entre nous, les beaux discours de politique étrangère ne sont pas ce qu’il y a de plus difficiles à faire dans les fonctions de Président, comme Macron l’a compris très vite), mais il faut reconnaître qu’il a été le dernier Président à « faire Président ».

JAZZI dit: à

Et en conséquence, Christine Angot a voulu rompre tout commerce avec ces gens…

JAZZI dit: à

L’opposition à la guerre en Irak n’a pas été que paroles, closer, mais acte et vision géo politique à longue portée. Depuis la déstabilisation de cette région, du fait principal des Américains et des Anglais, tout le reste en a découlé…

JAZZI dit: à

Autre point fort à mettre au crédit de Chirac, sa position irréprochable vis à vis du Front National. Par ailleurs, Jacques Chirac a été un très grand maire de Paris…
Il a récemment offert à Macron le portrait de de Gaulle qui ornait son bureau à l’Elysée, et qui de ce fait y est retourné…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…avec, les nouvelles cultures Bio – Lesbos, pour faire sa tire-lire,!…casser, un petit-cochon de père à sa fille,avec un tourne-main agile du poignet,!…
…à toutes nos jeunes – veuves aux instruments, depuis le roi concombre de la partie – boum, du samedi-soir,…
…j’ai raté, les dernières instructions,!…
…du coq, à l’âne,!…d’une rive à l’autre,!…l’exhibitionnisme payant, à la carte, sur la T.V,…
…du vrais, à son faux,!…la souris, de la montagne des bleus,!…etc,!…
…la poésie ailleurs,!…sans clous, à se libérer,!…sur l’auditoire,!…people,…
…le parcourt du combattant, déjà vierge d’instructions,!…Oui,!…

…monter et revenir,…au centre,!…
…ne pas lâcher, la prise, e alter-ego,!…
…refaire, le scénario,!…
…avec des voyeurs, sur gazon,!…c’est trop,!…etc,!…

…les moules qui se la pensent,… » réservés « ,!…au ‘ Shah d’Iran ‘ « ,…

…c’est que çà court les rues,!…se ramener, les frais d’intendances, du portillon,!…
…aider, les contradicteurs  » avisés « ,!…
…etc,…
…c’est bon, çà ajoute de la flexibilité littéraire,!…l’Opus – Dei,!…mémorial,!…
…ces riches-lieus de nos campagne,!…
…vous étiez d’accords, avec les dromes en l’air,…au Studio,!…çà m’échappe,!…

Sergio dit: à

closer dit: 30 septembre 2017 à 10 h 14 min
il faut reconnaître qu’il a été le dernier Président à « faire Président ».

Voilà qui est très juste…

JAZZI dit: à

Chirac a probablement reconnu en Macron un autre personnage du roman… national ? Pas Hollande, considéré comme le dindon de la farce !

JAZZI dit: à

« faire Président »

La fonction ou le camembert industriel ?

D. dit: à

Chirac a été un maire de Paris très apprécié.
Beaucoup plus qu’Hidalgo et ses lubies démagogiques ne le sont.
Pendant près de 20 ans avec lui les parisiens ont eu la paix 1977-1995, époque bénie pour les parisiens.
Reconnaissons-lui au moins cela.

D. dit: à

Hidalgo a réussi le tour de force de se faire détester par la famille parisienne traditionnelle dont beaucoup ont préféré quitter la ville.
Elle préfère les polygames à allocs. Manifestement.

Phil dit: à

les années de votre jeunesse, dédé, toujours belles. maintenant c’est la porte étroite.

D. dit: à

Mais Hidalgo, bientôt tu ne seras plus rien. La roue électorale tourne. Plus rien du tout, juste une pensionnée de l’administration.

D. dit: à

Non il n’est pas disparu, je confonds avec un autre.

Nicolas dit: à

Bof D http://www.lejdd.fr/jdd-paris/sondage-les-deux-tiers-des-parisiens-favorables-a-la-pietonisation-3384092.amp
Je suis allé voir l’expo Autophoto de la fondation Cartier, l’histoire en parallèle de la voiture et de la photo, deux éléments de liberté apparue avec le révolution industrielle. C’est superbe mais c’est fini. Il y a des photos de Paris du début du siècle dernier et il y a déjà plein de voiture. Ce qui est drôle c’est qu’il n’y a pas de ligne blanche tout ça tout ça et qu’elles se deplacent comme des piétons. Arrêtées au feux rouge remplissant l’espace comme elles peuvent. Interview du commissaire de l’exposition ici http://m.leparisien.fr/culture-loisirs/exposition-a-la-fondation-cartier-autophoto-mon-amour-10-07-2017-7122348.php

Nicolas dit: à

Je me demande si Passou fait la grasse mat? Ca se trouve c’est un genre de « fainéant ».

et alii dit: à

Discours de Jacques Chirac sur la responsabilité de Vichy dans la déportation, 1995

Lacenaire dit: à

Toujours dans une ferme au Pays de Galles parmi les moutons, quel pied !
Claude M.

bérénice dit: à

1927 : Ballet mécanique, pour orchestre, enclumes, hélices d’avion, sonnettes électriques, klaxons de voitures et pianos mécaniques

certains de ces instruments sont encombrants et extrêmement difficiles à dévisser puis déplacer pour enfin les installer au Carnegie Hall par exemple.

zerbinette dit: à

Le professeur de psychiatrie Michel Lejoyeux, auteur d’Overdose d’info « un guide de survie en milieu en ligne qui se propose de vous guérir des névroses médiatiques » auquel PA avait consacré un article il y a 10 ans ferait bien de revenir par ici pour constater les dégâts. Non seulement la plupart des commentaires sont totalement ineptes mais même Passou se met à écrire n’importe quoi sur n’importe qui.

Quel gâchis !

et alii dit: à

on peut aussi rompre des lances

closer dit: à

« Non seulement la plupart des commentaires sont totalement ineptes mais même Passou se met à écrire n’importe quoi sur n’importe qui.

Quel gâchis ! »

N’accablez pas Passou Zerbinette…Il a peut-être des raisons très sérieuses que nous ne connaîtrons jamais pour consacrer un long et ennuyeux billet à deux non évènements absolus!

JAZZI dit: à

As-tu remarqué que deux chats au pelage très différent interprètent le même rôle dans cette scène érotique que tu nous a proposé, D. ?

zerbinette dit: à

Pierre Assouline-Enjeux Les Echos Le 01/01/2007
Blog : La Toile, c’est moi

Le temps est venu de rajouter le blog à la liste officielle des addictions, entre l’alcool et le tabac, pas loin de la drogue et du sexe. Il s’agit bien de « s’adonner à ». Le syndrome de dépendance est clairement établi. L’envie irrépressible de se connecter (dimension impulsive) est parfaitement corrélée au besoin de recommencer (dimension compulsive). Tout cela constitue une forme d’habitude pathologique qui domine une partie de ma vie mentale et sociale. Bref, de même qu’un amant – selon Cioran – commence en poète et finit en gynécologue, j’ai commencé en blogueur primesautier et je finis en blogodépendant, blogopathe, blogomane. Quel addictologue saura me montrer comment me débrancher ?
Cela m’a pris il y a deux ans. Rien ne me prédisposait alors à sombrer dans une telle dépendance. Au vrai, je ne savais même pas envoyer un courriel. Du jour où j’ai quitté mes fonctions de directeur à la tête d’un grand journal au sein d’un petit groupe, je me suis retrouvé seul face à mon incompétence crasse. J’ai appris à regarder un écran sans perdre la face, et un clavier les yeux dans les yeux. Puis Le Monde.fr m’a proposé de tenter l’expérience du blog, car en ces temps vétérotestamentaires, la chose passait encore pour du journalisme expérimental. Je savais que je parlerais de livres, de tous les livres et pas seulement de littérature. Restait à inventer mon propre modèle.

…/…

Quand un blogueur écrit, il s’adresse au monde entier. Le blog est le seul média urbi et orbi. Et vous voudriez que je décroche, docteur ?

le reste ici :

http://archives.lesechos.fr/archives/2007/Enjeux/00231-064-ENJ.htm

JAZZI dit: à

bérénice, si vous avez apprécié le « Don Quichotte » de Cervantès (lisez le tome 2, tout aussi savoureux), vous aimerez le « Jacques le fataliste », de Denis Diderot, délicieux !

Mauvaise Pensée dit: à

il serait peut-être temps de changer de page? ça ne s’améliore vraiment pas…

Sergio dit: à

Et puis la petite Hidalgo, elle aide tout de même pas ses administrés à démarrer leur moto « à la poussette » comme l’a fait une fois le père Rossinot havec moi ma geule…

Sergio dit: à

Mauvaise Pensée dit: 30 septembre 2017 à 13 h 26 min
il serait peut-être temps de changer de page?

Ben Passou il est sec parce que les écrivains sont secs…

Paul Edel dit: à

Exact Sergio. chaque marin, Passou fait son marché chez les éditeurs et il ne trouve peut-être pas le roman que le retient et le fascine..Il y a,en littérature ncomme les vins, de bons et de moins bonnes années..parfois, adviennent des surprises de derrière minute,un texte qui n’est pas vanté par les plus performantes attachées de presse etqui sont hors des lignes éditoriales conseillées par les « commerciaux. »Ça arrive.

Delaporte dit: à

« Delaporte, elle s’insurge contre la voix que s’octroie son interlocutrice au nom de toutes les femmes qui ont eu à subir une agression sexuelle »

Selon moi, elle est surtout victime de la pression médiatique qui formate tout, comme ce triste témoignage qui se fait devant elle, et qu’elle sent particulièrement artificiel. Le spectacle télévisuel détruit en nous jusqu’aux traces les plus terribles. Le risque pour Angot c’est d’en ressortir sans ne plus pouvoir écrire une ligne de protestation. L’avoir mise sur le plateau de ONPC, c’est l’avoir bâillonnée, en lui intimant : « Ferme bien ta gueule ! »

Sergio dit: à

Paul Edel dit: 30 septembre 2017 à 14 h 33 min
il ne trouve peut-être pas le roman que le retient et le fascine.

Fin annoncée de la littérature dirait JC… Un jour on va finir par se rabattre sur des développements à caractère scientifique ! Et c’est déjà presque arrivé une fois ou deux, avec surtout des glossaires…

bérénice dit: à

Delaporte, ce côté terrible de l’inceste est vraisemblablement indicible, qui n’est pas écrivain connaît ces choses qui nous sont précieuses ou douloureuses et que les mots dits rendent si peu ou si mal, si faiblement à leur vérité, leur sens, leur valeur, leur importance ou leur intensité heureuse ou malheureuse. Christine Angot était quelque peu ébranlée de ne pas être comprise, qu’est-elle allée faire dans cette galère.

JAZZI dit: à

« qu’est-elle allée faire dans cette galère »

Elle y était venue chercher de l’amour, de la reconnaissance, la gloire, et, comme il fallait s’y attendre, n’a reçu en retour qu’une volée de bois vert !
C’est comme si Passou attendait la même chose sur son blog. Fort heureusement, lui, il semble vacciné…

Delaporte dit: à

« qu’est-elle allée faire dans cette galère »

C’est exactement cela. Les fourberies de Scapin-Ruquier… Angot, elle va finir par comprendre, et dire : « Je rentre à la maison ». En direct. Et reprendre sur l’étagère de la bibliothèque La Société du Spectacle, et commencer enfin à comprendre ce fumeux bouquin et ce qu’il veut dire.

JC..... dit: à

Mes chers amis littéraires, ceci est ma dernière contribution, elle aussi inutile.

Je me meurs !

Pourtant, j’adorais ce blog d’enculeurs de mouches mortes ou faisant semblant de l’être pour avoir la paix et quelques indemnités.
(il s’agit des mouches, bien entendu)

Nécrophilie ou inceste ne m’ont jamais posé de problème moraux, car on fait avec ce qu’on a sous la main : tout détenu vous le confirmera. La question n’est pas là !

Lentement, surement, inexorablement je meurs. On vient de détecter chez moi un cancer des zygomatiques.

Détecté en 1995, il était seulement juppéiste, puis évolution chiraquienne froufroudroyante (10mn), enfin franchement hollandais à composante cambadelicio-hidalgoyave !

Et hier, la condamnation ultime ! MELENCHONIEN ! Je suis condamné à mourir de rire… !

Aussi, un conseil avant de trépasser, serein, lisez le livre d’un bon homme nommé FRANCOIS CHENG ! Intitulé « De l’âme ». Le bonhomme « animé », vous prend la main et vous entraine sur le chemin de la Foi pascalienne Corps-Ame-Esprit qui le préoccupe.

C’est à chier, aux yeux d’un bolo comme votre serviteur ! A CHIER !

Mais, vous devez lire ce qui vous interroge, pas ce qui vous sécurise, vous endort, ou vous fait du bien là où vous savez ….

Son bouquin est magnifique ! Sa 5ème lettre est magnifique ! Ce bon homme est un honnête homme….

Achetez. Lisez. Offrez le à Noel à votre concierge, si vos étagères croulent sous les Musso, Levy et autre Angot-Erasmus !

Adieu…..

bérénice dit: à

Le contrat de travail doit être alléchant, les écrivains ont aussi des besoins alimentaires que peut satisfaire la sphère médiatique. Quelqu’un a-t-il une idée des rétributions accordées dans le PAF pour intervenir , intéresser, divertir l’audimat quand ce n’est pas pour ennuyer, attrister, faire fuir, renoncer à la télé?

bérénice dit: à

Je me meurs !

Fleurs ou couronnes? Rien? une pensée invisible, silencieuse s’en ira vous accompagnant dans la nuit du temps infini, inconnu. Vos atomes perdus pour des milliards de milliards d’années peut-être renaîtront sous une forme inconnue également et inimaginable .

bérénice dit: à

Nécrophilie ou inceste ne m’ont jamais posé de problème moraux,

votre âme n’est pas une âme, c’est une passoire; si vous herbergiez une âme ces choses ne passeraient pas si facilement au menu.

bérénice dit: à

Ce genre de proposition est certainement éducative, sa lecture s’effectuant par palier comme pour de nombreux apprentissages chez l’enfant. Faut-il craindre qu’à force de proposer ils disposent d’un sens inusité, inattendu de l’époque qui est la nôtre en espérant que de ces constats et visions fermentent des idées novatrices pour en changer ? Changer tout…

https://youtu.be/eJ8aMmTtY78

Janssen J-J dit: à

Sur un autre blog, proche et lointain, j’ai retrouvé les senteurs de la vraie vie à l’évocation du marché de Monségur. C’était bien beau. Mais je dirai pourtant que les femmes qui se bavardent allégées du poids du monde, y sont encore plus parfumées sur le marché de Monflanquin, voire celui de Moncrabeau (elles y ont carrément plus d’humour, et rien à voir, disaient-elles avec les péronnelles de Brive la Gaillarde).
Il fait bon, oui, de s’attarder en France approfondie et alanguide, c’est là que se passa la vraie vie automnale. Pas icite,… avec les Basse ou les Besson. Quelle sombre misère !

@12.52 Merci pour le rappel et la mise en lien de la référence du 1.1.07 que j’avions jamais oublié. Oui, le mal guette toujours.

JAZZI dit: à

Ce n’est pas l’obscénité de l’œuvre « Domestikator » qui est gênante, c’est sa laideur ! Le Nôtre n’en aurait pas voulu aux Tuileries…

tristan dit: à

« évolution chiraquienne froufroudroyante (10mn) »

10 minutes ? Douche comprise ?

closer dit: à

Arnaque!

Vu cet après midi dans Paris une pub pour le dernier torchon consacré à Macron et commenté par Passou…

L’affiche proclamait: « Macron par Besson », sans préciser qu’il ne s’agissait pas de Patrick, un écrivain quoi, mais du nullissime Philippe!

Arnaque!

Jean Langoncet dit: à

VS-SS (oui, celui de Manassas) vous avez derrière le rideau de fer ?

Sergio dit: à

Janssen J-J dit: 30 septembre 2017 à 18 h 51 min
Moncrabeau

Parmi les Quarante-cinq, garde rapprochée d’Henri III mise sur pieds par le duc d’Epernon, naturellement tous nobles et fauchés, il y avait un Pertinax de Moncrabeau, qui dans aucun domaine ne donnait sa part aux chiens…

C’étaient des gars bien : ils parlaient pas, toutes manières en gascon impossible d’y rien baiser, mais ils perçaient d’arrache-pied les gidouilles !

Sergio dit: à

bérénice dit: 30 septembre 2017 à 16 h 51 min
renoncer à la télé?

Faut reconnaîte… Je l’ai regardée à l’hosto… Bof ! A la fin c’t’ait calé sur la chaîne franco-schpountze… Et c’est tout ! Misère… Tudieu !

Janssen J-J dit: à

des taiseux ouais, mais quand ils l’ouvraient, c’était que pour dire des menteries sur les femmes, hein pertinax !
http://academiedesmenteurs.fr/

Jean Langoncet dit: à

@perce bedaine, casse trogne et la boite à crabot

Collomb à la tv ((on dit la boite à con dans mon patois) ce soir dans l’émission culte de son vivant, enregistrée jeudi, on en parle encore ici-même, ça valait bien un peu de tapage

Sergio dit: à

Tapez « i » sur Glou ; qu’est-ce que vous hallez voir ?

– Impôts.gouve.vrounzé !

Ha les gaspards…

Peuvent se payer des référenceurs, eux… Mmh ?

Jean Langoncet dit: à

Et maintenant tapez u … On est seulement deuxième ; si vous tapez de l’étranger, tant pis pour vous

Jean Langoncet dit: à

« u »

Sergio dit: à

Jean Langoncet dit: 30 septembre 2017 à 23 h 10 min
si vous tapez de l’étranger, tant pis pour vous

Ben justement de Nancy c’est bien l’étranger on a toute une pléthore de trucs locaux… C’était URSSAF, non ?

Jean Langoncet dit: à

Back in URSSAF ?
C’est possible, mais j’ai décroché après Taxman

Jean Langoncet dit: à

: « par rapport à l’état d’urgence on rétabli un certain nombre de libertés »

Jean Langoncet dit: à

On rétabliT … Ben mon colon, la langue de bois

Jean Langoncet dit: à

« Créer la mort » … Adios

Jean Langoncet dit: à

« Nous et le Président Macron » … et les « migrants économiques « …

Jean Langoncet dit: à

Sous vos applaudissements, on ne résoudra rien avec des types pareils – m’y fice nickels

Jean Langoncet dit: à

five nickels

MC dit: à

Moncrabeau est aussi connue pour son Académie des Menteurs, ce qui est un peu la définition de toute académie…
Paul Edel, si vous le dites…

Delaporte dit: à

La discussion effectivement serrée avec Christine Angot à ONPC ce soir. Ce qu’elle a voulu exprimer n’était pas simple, mais tellement essentiel, face à une interlocutrice qui s’anéantit elle-même dans son discours préformaté et médiatique, que Angot réussit parfaitement à dénoncer :

https://youtu.be/ne6DS_h9nwI

la vie dans les bois dit: à

Sandrine Rousseau est une militante du féminisme en politique. Ce qui est insupportable dans son témoignage , comme l’a souligné Christine Angot, c’est la position de victime  » à priori ».
Ce qui est insupportable, c’est que ce l’agression qu’a subie Sandrine Rousseau, devient vecteur d’une radicalisation. Ce qui nous est maintenant présenté comme un problème  » sociétal » par tous les idéologues de gôche ne peut, avec des irresponsables comme Sandrine Rousseau, que conduire à une codification assortie de sanctions, des rapports hommes-femmes.
La loi ?
Mais elle existe, et penser qu’elle n’est pas applicable, et nécessite un code normatif, est bien un état d’esprit de politicien véreux. Véreuse, donc, puisque Sandrine Rousseau tient à la féminisation des noms.

renato dit: à

Advertising : Petite Maman, association de redistribution solidaire des vêtements pour enfants :

http://pin.it/Aom72gn

JAZZI dit: à

ONPC devrait s’appeler ONPF (on est pas fâché), tant au montage on y arrondi les angles ! Une émission qui se veut lisse, consensuelle, faussement dialectique et essentiellement promotionnelle. Angot devrait partir sur ce clash avant d’y perdre son âme…

JAZZI dit: à

« Je vois comment toute une génération s’est emparée des blogs, d’internet, on sent qu’il y a besoin de se dire, de proposer de la narration, mais on n’a pas envie d’aller vers l’édition. »

Pas faux, pas seulement pour les Noirs et toutes générations confondues aussi…

bérénice dit: à

Je l’ai regardée à l’hosto

rien de très grave? Au régime soupe de pissenlits à l’eau de source et queues de cerises en infusion pour ordonnance de sortie?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…mon tableau de Van Gogh, comporte, une théière en cuivre,…le bec verseur, sur le pot de fleurs,…zinnia dahlia,…

…la perspective de l’arrondi, de la théière, est vraiment, un peu, mal dessiné,…

…preuve, que c’est un original, de Van Gogh,!…

…la meilleure, c’est quand, vous incliner le tableau, à 45 °,…la théière, présente, l’aspect de Gauguin,!…
…avec un peu d’imagination,…
…Non, c’est pas signé,!…juste, le nettoyez, et, un rien le restaurer, du temps-passé, et respecter, les grands contrastes des couleurs,…par d’infimes retouches,!…
…au moins, pour moi-même,!…
…le genre à l’inverse, de ses tournesols,!…

…’ époque, sur carton – plâtre,!…’
…autant, le garder,!…Ah,!Ah,!…
…un style à copier,!…etc,!…

…questions – réponses,…vous, vous créer, des problèmes,…et attendez, des soins et solutions gratuites, par les autres,!…

… » tournez – manèges, c’est fini,!…
…tirer vos plans, tout seuls, comme les misérables de Victor Hugo,!…
…of course,!…les fesses gratuites,!…
…etc,!…

bérénice dit: à

Delaporte, pas de quoi partir en hurlant, de plus CA est définitive , quand on recueille de la souffrance pour aider celui ou celle qui l’a vécue une formation à l’écoute est nécessaire, demandez au thérapeute comment il s’en sorte s’ils veulent aider un tant soit peu ces personnes, cela ne s’improvise pas. Je note en passant 11 ans consentante selon un juge qui visiblement expulse la notion d’abus, de détournement, de minorité, dans quel monde vit-on, n’importe quoi cette histoire de consentement; comme si dans ces histoires d’abus et de viols n’était pas forcé le consentement qu’il concerne des enfants, des jeunes gens , des adultes. Là dans ce forçage réside peut-être la violence psychologique qui peine à guérir ou à s’effacer d’une mémoire.

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