de Pierre Assouline

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La République des livres
Virginia met sa vieille théière au clou

Virginia met sa vieille théière au clou

A l’heure où nous mettons sous presse, nous sommes en mesure de vous révéler, à vous authentiques lecteurs de livres et non pas vulgaires consommateurs de papier, une information capitale : l’écrivain est un être vivant comme un autre. Entendez qu’il mange, boit, dort, paie son loyer et ses factures d’électricité, souffre d’hernie fiscale, connaît des problèmes de fins de mois en début de mois. Bref, lui comme vous et parfois davantage. Cela paraît évident. Pourtant, à en croire ceux qui les mettent si souvent à contribution pour faire la roue en public, il vivrait d’amour et d’eau fraiche. Au-delà même du mythe romantique de l’écrivain éclairant son manuscrit à la chandelle, il y a dans cette attitude, plus ancrée en France qu’ailleurs où l’évocation de l’argent n’est pas taboue, l’étrange conviction que l’écrivain serait au fond « un créateur incréé », comme on le dit de certains livres sacrés.

L’expression, qui est de Pierre Bourdieu (l’auteur le plus cité en référence), revient souvent sous la plume des sociologues Gisèle Sapiro et Cécile Rabot, maîtresses d’œuvre du recueil collectif Profession ? Ecrivain (368 pages, 26 euros, Cnrs éditions). Sauf qu’elles en usent non pour s’y abriter mais pour la dénoncer. Leur panorama, fouillé et documenté, met en lumière un double constat paradoxal : plus l’activité d’écrivain se professionnalise, plus leur situation se précarise. C’est d’autant plus étrange que le développement des activités connexes qui participe de cette évolution (résidences d’écrivains, présences à des débats, conférences, lectures publiques, cours d’écriture dans des ateliers, bourses) est censé augmenter leurs revenus.

Désormais, l’écrivain doit se faire violence et sortir de chez lui, accompagner son livre sur les tréteaux un peu partout, faire savoir son savoir-faire, expliquer enfin ce qu’il s’est bien gardé d’expliquer, se donner les moyens de sa visibilité, arpenter la France et le globe, se produire face aux micros et caméras. Payer de sa personne, c’est à dire paraître quand son livre paraît. Le phénomène n’est pas récent. Mais outre qu’il s’est accentué, il a été enfin pris en main pour que l’écrivain ne soit plus exploité comme avant. Car lorsqu’il est en chair et en os en face de vous pour répondre à vos questions, reprendre le train et recommencer le lendemain dans une autre ville, il n’est pas à sa table en train d’écrire et de gagner sa vie.

Cette idée selon laquelle l’auteur doit plaider la cause de son livre, Virginia Woolf y avait répondu par une formule bien dans sa manière qui sert d’ailleurs de titre à un nouveau recueil de ses articles Les livres tiennent tout seuls sur leurs pieds (214 pages, 15 euros, Les Belles lettres). Et d’expliquer :

“ S’ils ont besoin d’être soutenus par une préface ici, une introduction là, ils n’ont pas plus le droit d’exister qu’une table qui a besoin d’un morceau de carton pour être d’aplomb”.

Ce n’est pas qu’une question d’avant-textes. L’auteure d’un Lieu à soi était d’avis que la cause d’un livre n’a pas à être plaidée par son auteur. Il doit se défendre seul en librairie avec ses propres armes. On trouve à la fin du recueil un texte daté de 1939 sur les relations entre l’écrivain et le critique. En le prolongeant un peu, on voit se profiler une nouvelle activité connexe pour les écrivains encore non-répertoriée par l’enquête de Sapiro & Rabot : celle de consultant littéraire. Car s’il y a bien une constante chez les auteurs en herbe, elle consiste à solliciter l’avis empathique d’un écrivain confirmé. Le plus souvent, ils lui envoient chez lui leur manuscrit, par la poste ou par courriel, comme une bouteille à la mer, en lui demandant « cet honneur » qui a beaucoup d’un petit service, de le lire et de leur faire part de son point de vue critique. Un rapport de lecture éclairé.

On comprend leurs affres et leurs doutes, mais eux n’imaginent pas un seul instant que ce travail, car cela en est un, requiert de s’y consacrer pendant deux ou trois jours. Et quand il y en a plusieurs dans le même mois… Autant en faire une activité professionnelle :

« Lorsqu’ils auront réalisé qu’une heure d’entretien, même si elle coûte trois guinées, les aide bien plus qu’une lettre expéditive extorquée au lecteur débordé de la maison d’édition, même le plus indigent d’entre eux estimera que l’investissement en vaut la peine (…) Qui ne mettrait au clou la théière familiale pour discuter poésie avec Keats, ou roman avec Jane Austen pendant une heure ? » se demandait Virginia Woolf.

Encore faut-il ne pas tromper. Car lorsqu’on lit, qu’on voit et qu’on écoute certains écrivains, on se dit que, si on a effectivement la même profession qu’eux, on n’exerce vraiment pas le même métier.

Post-scriptum : Aux amateurs de la romancière anglaise, et même aux autres qui l’y découvriront, je me permets de recommander l’écoute de la passionnante série sur France-Culture de Geneviève Brisac « Avoir raison avec Virginia Woolf » que l’on peut (ré)écouter ici   http://bit.ly/2vwZiBc )

(« Lytton Strachey and Virginia Woolf by Lady Ottoline Morrell » © National Portrait Gallery, London)

Cette entrée a été publiée dans documents, Histoire Littéraire.

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commentaires

605 Réponses pour Virginia met sa vieille théière au clou

Janssen J-J dit: à

S’agisant du « créateur incréé », nous le sommes tous peu ou prou. Ci joint le renvoi d’ascenseur d’Eddy Bellegueule à son pote Geoffroy de Lagasnerie qui s’achève sur la question de savoir si on sait lire un texte « réceptionné » par une fine compréhension de sa contextualisatin initiale de production, ou pas. Il me semble qu’il y a bien longtemps qu’on a dépassé, icite, les barrières de cette problématique un rien éculée, vu le grand n’importe quoi qui prévaut.
https://lectures.revues.org/6222
BJ à toussent, et aux mad pooper qui sévissent impunément sur la rdl
http://www.lessentiel.lu/fr/news/story/29036355

Janssen J-J dit: à

S’agisant du « créateur incréé », nous le sommes tous peu ou prou. Ci-joint le renvoi d’ascenseur d’Ed.dy Belleg.ueule à son pote Geof.froy de Lagas.nerie. Sa question est de savoir si on sait lire un texte « réceptionné » par une bonne compréhension de sa contextualisation initiale de production, ou pas. Il me semble qu’il y a bien longtemps qu’on a dépassé, icite, les barrières de cette problématique un rien éculée, vu le grand n’importe quoi qui prévaut.
https://lectures.revues.org/6222
BJ à toussent, et aux mad pooper qui sévissent toujours impunément sur la rdl.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Jazzi,!…à,…11 h 04 min,!…la pub,…

…en, vérité,il y a dans, l’année, deux ou trois fois, que je prend, ma longue pipe sculptée, à deux filtres,…toujours prête,!…

…pour fêtez, ma joie, d’avoir atteint, un grand plateau, des vacances raisonnées,!…

…que dire de plus, ne pas se faire exploitez, par des besoins inventez,!…

…la sobriété, pour chaque, métier,…avec un bordeaux, c’est mieux, suivant, son rythme musical, des grands jours,!…

…sans être sacré  » Charlemagne « ,!…avec vulgarité,!…encore un, sur le plateau,!…
…etc,…

cela ne nous regarde pas dit: à

Jerry Lewis a intentionnellement déshérité ses enfants
lesoir.be

JAZZI dit: à

Baudelaire

La Pipe

Je suis la pipe d’un auteur ;
On voit, à contempler ma mine
D’Abyssinienne ou de Cafrine,
Que mon maître est un grand fumeur.

Quand il est comblé de douleur,
Je fume comme la chaumine
Où se prépare la cuisine
Pour le retour du laboureur.

J’enlace et je berce son âme
Dans le réseau mobile et bleu
Qui monte de ma bouche en feu,

Et je roule un puissant dictame
Qui charme son coeur et guérit
De ses fatigues son esprit.
(« Les Fleurs du mal »)

OZYMANDIAS dit: à

Un écrivain sachant écrire passera le plus clair de son temps à écrire. Quand bien même il écrira tout le temps, il lui restera toujours du temps à ne pas écrire.
Que fera-t-il de ce temps du non-écrire ?
Les médias sont là pour remplir ce temps qui reste.
Les lumières factices des plateaux et des studios remplaceront bien pour un moment le noir de l’encre qui ne coule pas…

Delaporte dit: à

« Si l’école faisait son travail j’aurais un travail » (Medef)

Plutôt : Si l’école faisait son travail, il n’y aurait plus besoin de travailler.

Abolition éducative du travail !

Delaporte dit: à

Et « la pipe » de Mallarmé :

« Hier, j’ai trouvé ma pipe en rêvant une longue soirée de travail, de beau travail d’hiver. Jetées les cigarettes avec toutes les joies enfantines de l’été dans le passé qu’illuminent les feuilles bleues de soleil, les mousselines et reprise ma grave pipe par un homme sérieux qui veut fumer longtemps sans se déranger, afin de mieux travailler : mais je ne m’attendais pas à la surprise que préparait cette délaissée, à peine eus-je tiré la première bouffée, j’oubliai mes grands livres à faire, émerveillé, attendri, je respirai l’hiver dernier qui revenait. Je n’avais pas touché à la fidèle amie depuis ma rentrée en France, et tout Londres, Londres tel que je le vécus en entier à moi seul, il y a un an, est apparu… »

Sergio dit: à

Toutes manières les hidées, les phrases même, viennent souvent en faisant aute chose… En marchant, en péripatéticie !

Delaporte dit: à

« Bourse : le titre l’Oréal en hausse après l’annonce du décès de Liliane Bettencourt »

Il fallait s’être débarrassé de ses actions Lfarge et avoir investi dans L’Oréal. Telle aurait dû être la conduite du parfait petit capitaliste…

Sergio dit: à

Faut prendre du petit gris Fournier (c’est du belge !), havec un cuirassier dessus comme Ferdine…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…je ne donne, aucun,chemin, à suivre, une pensée,!…

…des anecdotes, dz ma prime, enfance, !…
…le curé du village, qui m’interpelle,le matin, en entrant, à l’école primaire, à l’âge de 8 – 9 ans,!…

…et, qui, me pose la question,…pourquoi, je vais, à l’école,!…je lui est répondu, pour ne pas devenir, un âne,!…

…( réflexion faites,!…est t’on, toujours, l’âne des autres,!)…

…et, puis, ce même, curé, me fais remettre,  » 1 nouveau franc « , de l’&poque, par la sœur, enseignante, devant, les écolier,!…

…vous voyez, tout, le cinéma, pour tous, se monter, en glorioles, avec rien,!…
…la façon,  » Goncourt « , de l’époque,!…

…pour comme, aujourd’hui, nous chevaucher, la liberté d’écrire, et ou, de penser,!…sans , si possible, ne pas entrer, dans un académisme, de contrôle, par une pensée unique,!…et son cinéma, de doléances, et justifications,!…
…écrivez, ce que vous, voulez, en plus, vrais ou faux,!…
…qui, à créer, le football, pourquoi faire, faire d’autres abrutis,!…arraisonner,!…

…anecdotes, la listes est longues, pour en philosopher,!…etc,!…
…en, plus, de créer, des jalousies de positionnements, avec rien,!…
…et les billes,!…Ah,!Ah,!…

Petit Rappel dit: à

Oui Le Geoffroy de La Gasnerie tente de faire parler de lui.Peut-etre pour oublier que la famille est inscrite (malgré elle?) dans le désopilant Simili-Nobiliaire français de Pierre-Marie Dioudonnat? Au fait, on ne la voit pas non plus dans le de St Houardon ou on devrait la trouver!
« Je sais un paysan qu’on appelait Gros Pierre..;
Qui de Monsieur de l’isle a pris le nom pompeux »
K Dick peut donner mal à la tete? lisez donc les nouvelles comme Les Pantins d’Argile;
Je ne sais si Gisèle Sapiro fait mal son travail. je sais que j’ai aimé, malgré quelques oublis dont Bernanos, sa Guerre des Ecrivains.
Bien à vous

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Petit Rappel,!…

…prise de sang, littéraire,!…rien à donner,!…etc,!…
…déjà, trop de fictions, alambiquées,!…

JC..... dit: à

« ce qui va pouvoir choquer un maximum ; aujourd’hui c’est l’incomparable Virginia Wolf ; quelle pitié ce cuistre » (keupu, celui qui pue)

Demain, ce sera keupu ! Quel con ce keupu … un con n’en fait plus, d’aussi keupu !

lucienne dit: à

quand on en est réduit à se moquer du physique des gens et qu’on mesure 1 mètre 58 et pèse 86 kilos, c’est qu’on est une grosse andouille comme JC que je vois dans PQ tous les jours, les gens rigolent

Sergio dit: à

Tous les jours dans Porquerolles ? Ca me plairait bien nom de delà…

Snif !

keupu dit: à

l’arsenic de Petit Rappel nous ressort ses vieilles dentelles, celles de la sacristie de Landernau

JC..... dit: à

Y a moyen d’être bon, en étant mauvais….. Lucienne ne sait pas faire !

Sergio dit: à

Delaporte dit: 22 septembre 2017 à 13 h 52 min
à peine eus-je tiré la première bouffée, j’oubliai mes grands livres à faire, émerveillé, attendri, je respirai l’hiver dernier qui revenait. Je n’avais pas touché à la fidèle amie depuis ma rentrée en France, et tout Londres, Londres tel que je le vécus en entier à moi seul, il y a un an, est apparu… »

Joli coup, bien trouvé, ce texte ; on croit le vivre. Et puis ça c’est de la madeleine !

Sergio dit: à

Hé ben je peux vous dire que pour trouver une belle pipe, à c’t’heure, même dans le plus idoine magasin de la ville…

La Butz-Choquin m’a fait un mois… La Chacom un peu mieux. Ca devait croupir là depuis quarante ans, les fumeurs de pipe ne sont plus légion…

lucienne dit: à

JC reproche à keupu de puer ; quant à lui c’est pire, il schlingue; les gens s’enfuient et ne rigolent plus

JAZZI dit: à

De l’usage de la pipe, par Claude Duneton, dans « La Puce à l’oreille » :

Faire des pipes
Cette expression est aujourd’hui de très loin la plus usuelle pour exprimer la fellation. Son emploi, cependant, n’est pas attesté avant les années 40, où elle alternait avec « faire un pompier », particulièrement dans le milieu de la prostitution où elle semble avoir pris naissance : « Une fois, par l’entrebâillement d’une croisée, il avait distingué une femme nue sous une robe ouverte. Dire qu’il n’était pas tenté… Tenté et intimidé, en même temps. Pourtant, il ne serait pas le premier. Elles étaient là pour ça. Et puis, il se ferait faire seulement une pipe. Comme ça, pas de risque ! » (R. Guérin, L’Apprenti, 1946.)
« Faire une pipe » est à l’origine la façon courante dans le langage populaire des années 20 et 30, de dire « rouler une cigarette » ; avant l’usage pour tous des cigarettes « toutes cousues » – lequel ne remonte guère qu’aux années 60 – il était habituel sur tous les chantiers de faire une petite pause, le temps de « s’en rouler une », de « se faire une pipe », et de l’allumer. Comment le sens a-t-il pu glisser de cette action banale à l’autre, parmi les plaisanteries des douillettes maisons closes de papa ? – Sans que rien soit assuré, on peut assez facilement rapprocher les deux choses : non seulement le roulage du tabac entre les doigts, à gestes méticuleux, évoque assez bien le tripotage d’une pine, mais surtout vient ensuite le léchage précis et délicat, du bout de la langue, tout au long de la cigarette, qui produit à lui seul une image assez irrésistible pour qu’elle jaillisse naturellement dans la gouaille des pipeuses professionnelles. « Tu veux que je te fasse pareil à ta petite queue, mon mignon ?… »

Sergio dit: à

Tiens c’est vrai, ça ! Le Macron i pourrait bien faire un petit quelque chose pour la rouverture des maisons closes ? C’est bien un job de président, aussi important que la révision Dreyfus…

keupu dit: à

on voit bien que tu les fréquentes pas, Sergio, demande plutôt les adresses à Baroz

Sergio dit: à

keupu dit: 22 septembre 2017 à 16 h 58 min
on voit bien que tu les fréquentes pas

Je crois que c’était très cher quand même… On pourrait imaginer d’en faire des low cost !

Avec bookage sur Internet, le Mac-Do dans les caves pour se refaire une santé au petit galop…

la vie dans les bois dit: à

Si l’écrivain n’est pas au taf, il tweete ?
Faut déléguer. Les deux sociologues n’y ont pas pensé.

D. dit: à

Ce soir je mange des rollmops avec peau.

D. dit: à

Je pense l’oeuvre de Virginia Wolf ne mérite pas qu’on lui donne une telle importance.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pour se positionner, avec l’art,…
…certains artistes, plus, que d’autres,!…

…sont, plus branchés,!…pour la réalisation de leurs œuvres,!…
…avec, plusieurs  » modèles  » en communions,!…déjà,  » Picasso « , passe pour un fin, connaisseur du chapeau, chevronné aux chaperons,!…
…mais, ce ne sont que des histoires, pour faire bander, l’imagination, des pauvres gens, coincés,!…
…il suffit, de  » payer « , dans le meilleur, des monde,!…aussi, avec les vidéos, vous changer, vites vos cinq sens,!…etc,!…

…les maisons spécialisées,!…non merci,!…la santé, suffit,!…

D. dit: à

Oui mais qu’est-ce que vous y connaissez, Jean ?

D. dit: à

Moi j’ai fait l’École du Louvre, je peux vous parler de Picasso (dont 80 pour cent de l’oeuvre ne vaut pas un caramel, soit-dit en passant).

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…Jean, n’y connait, que le fruit, normal, de ses déductions,!…
…tout le monde, peut faire çà,!…

…vaut, mieux, refuser, les invitations,!…
…rien , ne presse, de courir,!…
…j’ai des course à faire,!…
…rester bien documenter, à tout,!…hormis ces pratiques de choix,!…etc,!…

Phil dit: à

malgré le respect qu’on lui doit et me permettant un écart de fin de semaine (vendredi c’est les raviolis), dirais que Virginia Woolf présente un profil de théière.

bouguereau dit: à

lautrec était surnommé la théière à pattes par ses copines..

Janssen J-J dit: à

Oui, mais on n’a pas suffisamment regardé la main droite de son mari sur la photographie divulguée par rénato. A la place, un crochet discret dissimulé pour soulever le couvercle de la théière avec élégance. Une blessure de guerre, peut-être ?
Désolé de soutenir que Woolf reste une immense écrivaine des variations de l’âme dûment placée au firmament de la littérature mondiale, malgré quelques opus mineurs à son discrédit, ce qui la rend plus attachante encore. Bien plus intéressante et profonde que Marcel Proust je dirais, au risque sans doute de commettre quelque sacrilège auprès.

bouguereau dit: à

(dont 80 pour cent de l’oeuvre ne vaut pas un caramel, soit-dit en passant)

20% dmaig ça reste un bon ratio pour du lard de première bourre dédé..

bouguereau dit: à

Bien plus intéressante et profonde que Marcel Proust je dirais

sûr..ya le bon et le mauvais gras dirait serdgio

bouguereau dit: à

vieille théière au clou..dessous hon écrit ‘ceci n’est pas hune pipe’ lassouline ?

bouguereau dit: à

Ce soir je mange des rollmops avec peau

y’en a pas sans banane..et il faut de la crème et un tonneau de trappiss..une bonne baguette..et du beurre ferdom

bouguereau dit: à

tu peux faire le malin havec une bouteille de schiedam frappée pour épater lassouline dédé..mais ça fait touriss angliche

D. dit: à

Bouguereau,

Ces derniers temps je travaille beaucoup à des choses importantes et aujourd’hui, presque malgré moi j’ai réussi à déplacer un petit objet par la pensée. Ce qui m’a étonné c’est qu’il s’est déplacé au moment où je ne m’y attendais pas vraiment, et avec une vitesse incroyable, j’en ai été surpris. Ça m’a donné l’impression que je ne contrôlais rien, que ce n’était pas moi et pourtant c’était bien ce que ma pensée venait de formuler, instinctivement. Il s’agissait en effet d’un petit bout de papier blanc qui était tombé par terre, quand je l’ai vu j’ai eu une pensée d’agacement du genre « encore un truc par terre – j’en ai marre des trucs par terre, que ça disparaisse et vite »…j’allais me pencher et à ce moment précis, zou, le papier a filé comme une flèche sous le tapis. Je ne plaisante pas : sous le tapis.
J’en suis resté baba.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…çà fait, depuis, lundi, que mon chat, ne revient, plus,…pourvu, ou qu’il soit, qu’il est bien nourrit,!…

…bon, à par, çà,!…on ne vit, qu’une fois,!…
…encore,…pourquoi faire,!…se mousser, les mains propres,!…quand, l’imagination, dépasse la fiction,!…
…c’est mieux, ainsi,!…sans cinéma,!..
…etc,!…

Janssen J-J dit: à

@ 20.17 – Moi, où je suis devenu très fort en psychokinésie, c quand j’ai compris grâce à la rdl de passou, qu’on n’arrivait jamais à rien avec l’écriture virtuelle (je veux dire qu’on n’arriverait jamais à lui faire changer d’avis en mettant nos commentaires)… mais, en revanche, que de prendre un crayon en le vivant comme une extension de soi devant une pile de feuille blanche, ça favorisait drôlement l’imagination et la créativité littéraire romanesque. On attirait les pensées extérieures flottantes comme des mouches. Sinon, quand j’étais petit en CM2, j’attirais les bouts de papier éparpillés sur ma règle chauffée à l’aisselle grâce à l’électricité statique. Ça produisait un effet bœuf sur mes camarades.
J’espère que cette mise au point apportera une plus-value substantielle au dossier dit des rollmops dans la théière à Virginia.

Jean Langoncet dit: à

Un qui a porté au clou sa Remington
https://www.youtube.com/watch?v=2DEstQqgglk
SAG, votre chat fait le tour des gamelles du quartier ; à son retour il écrira un guide gastronomique, vous serez son éditeur et illustrateur

Sergio dit: à

Phil dit: 22 septembre 2017 à 19 h 30 min
Virginia Woolf présente un profil de théière.

Je sais pas comment tu les trouves, mais là je résiste pas…

JAZZI dit: à

« des rollmops avec peau »

Avec des gros cornichons doux, rien que d’y penser ça me donne envie de gerber ! La cuisine ashkénazes ne me convient pas du tout, en revanche, la cuisine sépharade, je dis oui ! Comment une telle dichotomie culturelle est-elle possible ?

JAZZI dit: à

ça fait longtemps que l’on a pas atteint le point godwin…

Janssen J-J dit: à

@14.21 « lisez donc les nouvelles comme Les Pantins d’Argile ». Vous faites plutôt allusion aux « Pantins cosmiques » non ? (the cosmics puppets), et pourquoi pas d’ailleurs ? Tous les avis sont bons à prendre. Mais franchement, MC, là n’est assurément pas le book qui le fera s’exhausser à la hauteur de son génie. J’ai toujours détesté la SF sans la connaître jusqu’à 50 balais, quoique je n’eusse pas craché sur certaines fameuses dystopies, jusqu’au moment où des âmes mieux nées ou plus aérées que la mienne m’eussent supplier de faire l’effort de lire un seul de ses romans (le maître des hauts châteaux pour pas le nommer). Et depuis lors, je suis tombé dans le chaudron, avec en outre la bénédiction du fils manu carrère d’encaisse qui n’avait pas encore viré « bon dieu, évangile de jean ». Je fus dès lors convaincu qu’il n’y avait plus de partition qui tienne et pût tenir entre romans classiques et/ou d’ignoble « anticipation ». Opération salutaire !

Soutenez-vous par ailleurs que les de Lagasnerie auraient usurpé leur pseudo de noblesse ? Vu que je n’y connais rien, je ne spéculerai pas trop, mais il est quand même à craindre que vous ne commettiez un acte de bas étage, une forme de racisme de l’intelligence mâtiné d’un brin d’arrogance face à ce Geffroy, un petit philosophe gauchiste bien merdeux, en l’accusant d’être le rejeton parvenu d’une aristocratie déchue. C’est pas trop bien comme Petit Rappel, 1 peu mesquin, non ?

JAZZI dit: à

ça doit être une conséquence de l’absence de WGG, qui a disparu avec le chat de GSA ! Les reverra-t-on un jour ?

Sergio dit: à

JAZZI dit: 22 septembre 2017 à 21 h 58 min
Les reverra-t-on un jour ?

Euh… Si on peut éviter…

Très juste pour le point Godwin ; pourvou qué ça doure…

Et rajouter LVDLB : le mieux c’est de les cryogéniser ensemble ! Havec le chat no problemo mon zami…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…les aventures du chat, adopté,…

…un étroit, passage, pour le chat, qui me permet, d’avoir, l’appartement, bien aéré,!…
…question, gamelles, c’est pas, un quartier d’aristo chats,…
…trop de soumis diplômés, à tout,!…clientélismes,!…carnavalesques,!…
…etc,!…comme partout,…


Petit Rappel dit: à

Selon sa fiche,Le nom complet est Geoffroy Daniel de la Gasnerie, famille bourgeoise du Haut-Limousin dont une branche cadette va porter le nom qui nous occupe;
Là ou les choses se compliquent, c’est que le meme nom va etre revendiqué par la famille Nicolas, de Toulouse, qui, peut-être pour rendre plus atractive son héritière, demande à porter le nom de Daniel de la Gasnerie.
Enfin il a existé, il existe peut etre encore, une famille bourgeoise cette fois Carré de La Gasnerie, du nom d’une terre éphémère, qui émigre du Dunois vers la Bretagne et dont on ne trouve pas trace dans Toussaint de St Luc ou plus près de nous de Saint Houardon.
Hors le cas folklorique de la famille Nicolas, il s’agit d’un nom de terre passé en patronyme, un peu comme nous parlons de Félicité de Lammenais, et non de Félicité Robert. C’est admissible, mais un brin abusif. et ça en dit beaucoup sur l’impensé aristocratique qui traverse ce pays! les trois cas sont d’ailleurs analysés sous les rubriques Daniel de L, Carré, et Nicolas, dans le Simili Nobiliaire Français, ce qui les classe bien.
Merci de m’avoir corrigé ces Pantins que je n’ai pas ici; meme gout SF mais chut….
Cordialement.
MC

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…déjà, 6 h , du matin, passé,!…

…dans les sphères, des mondes industriels, pour quels, fortunes, déjà, créer, sa banque à soit,!…

…la confiance en ses comptes, bien gérer,!…et, puis, qu’elles concurrences,…

…déjà, les rafles, des supermarchés, sur les productions, des marchés locaux du pays,…
…imposés des prix,!…et les élastiqués, les prix, les siens propres de productions,!…
…aujourd’hui, les supermarchés, produisent, aussi, tout, eux-mêmes,!…
…quels rôles des états, à jouer, double-jeux, avec, et le monde salarial, et celui des industriels, à galvauder,!…

…des salaires minimum ou maximum,!…pour quoi faire, d’illusions démocratiques,!…

…des riches et pauvres, la comédie humaine,!…
…vous me direz, quels livrées, pour tel industriel,!…si déjà, les laboratoires sont en étroites collaborations, avec les concurrences,!…idem, avec, les protections sociales,…

…la protection, des emplois, juste se taire, jusqu’à, quels engouements,!…

…des emplois, pour quels romans Goncourt,!…se raconter, son bidet à jour,!…un monde clos, sans aucune liberté, pour personne, riches ou pauvres du cinéma,!…les peurs de leurs ombres d’exister,!…Ah,!Ah,!…
…des présidents, ces fromages, pour çà,!…
…les rires, aux coins des feux,!…
…etc,!…lampes à candélabres, de petites tailles,…
…les enchevètrements des pris, à la consomation,!…et des services publics, déjà, tout les employers de banques, mis en exit,…par le net, et, les relevés ba,quaires, en absorbtions de vos chiffres, par l(état, et ses ba,ques,!…
…Hourra,!…
…des banques privés, ou çà,!…
…les états du lucre des nations, aux paradis – fiscaux, et les dommages et intérêts,!…le droit, en ramassis de services sociaux,…à la livrée nationale, européenne,!…
…les raisonnements fictifs, la part du lion, à ses propres besoins, pour se faire des publicités, et donner à croire, que le mieux, c’est vivre courber, sous l’échine des banques, en emplois vacants,!…

…et, j’en passe, des couleuvres à avaler,!…etc,!…
…l’organisation mondiale, pour vivre sa nullité,!…

…la théière, contre le pot de terre,!…

JC..... dit: à

Ayant soupé léger, j’avoue avoir passé une nuit entière en lévitation ludique…

Pendant ce temps là, Lucienne, ma voisine qui avait marché dans une crotte de dogue allemand, grattait ses semelles sur un exemplaire du Monde métallisé par d’infâmes gnomes, ses enfants de métier !…

rose dit: à

oui christiane, un voyage sur les ailes d’Antoine Jean Reine et alii.
Cap Juby.
Arrivée à Dakar et survol extraordinaire du delta du grand fleuve Sénégal qui marque la frontière avec la Mauritanie.
Dans mon groupe, les gens sont fous d’aviation ; je le suis de littérature. Antoine a lié les deux.

Nous remontons dimanche.
bien cordialement christiane

rose dit: à

A Saint Louis du Sénégal, ville dont le patrimoine est menacée, ville menacée d’être engloutie par les eaux est le lieu d’où démarrait le trajet St Louis/ Natal au Brésil.

rose dit: à

merci et alii

et alii dit: à

des fameuses kyusu ou théières en fonte.

Utilisé depuis 900 ans au Japon, notamment dans la fabrication d’objets usuels comme les ciseaux, la fonte présente l’avantage de se mouler facilement.

Par contre, sa fragilité nécessite d’être précautionneux avec sa théière…

renato dit: à

« Par contre, sa fragilité nécessite d’être précautionneux avec sa théière… »

Et surtout pas de ‘nettoyage’ au vinaigre.

diogène dit: à

Il faut faire quelque chose pour la chat de Giovanni, faire une battue, coller des avis de recherche, alerter la communauté internationale, appeler Bernard Kouchner ! La petite Maelys et les gars du Rohin (merdre, comment ça s’écrit ?) attendront !

Lucienne dit: à

Bon, c’est pas tout ça mais que vais-je pouvoir trouver comme sonneries à écrire sur ce blog littéraire, se demande l’andouille de JC coincé dans la charcterie

et alii dit: à

Tintin is a girl and ‘probably asexual’, French philosopher claims

Bloom dit: à

Virginia Woolf présente un profil de théière.

« Teapot », dear Phil, c’est ainsi que les élèves du lycée britanniques où j’officiais surnommait un de leurs profs passablement maniéré, « spout » (bec/goulot)), « handle » (anse) and all…
Cela dit, VW me fait plutôt penser à un morceau de réglisse vu de profil, ou à une lame de couteau, voire à l’Olive de Popeye qu’à une théière.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…soumis, aux trois singes, des bistrots,!…
…ne rien voir, ne rien dire, et ne rien entendre,!…
…comme moi, faire sa banque,!…de liquidités,!…etc,…
…aucune foie, aux lois,!…

D. dit: à

Le Sénégal est assurément l’un des derniers endroits où j’irai mettre les pieds.

D. dit: à

Est-ce que votre chat est tatoué/pucé, Giovanni ?

Janssen J-J dit: à

@ 3.16 Bien cordialement à vous, cher monsieur. Je vous sais gré du soin à la précision apportée en votre réponse, et surtout de votre indéfectible court-oisie, en dépit de mes petites provocations (et des autres, à ce que j’ai pu constater). Par delà nos oppositions idéologiques, heureux d’apprendre que nous avons un péché commun. N’aurais jamais cru…, comme quoi !… Bonjour à toussent, l’automne s’annonce coloré et odoriférant. Faisons comme si c’était le dernier avant l’extinction des feux. Et que vive le Sénégal !
NB/ Je pense que le chat Dangélo va revenir de lui-même, un peu plus efflanqué certes, comme S., mais en pleine forme quand même.

diogène dit: à

J’ai aussi perdu un chat que j’adorais, j’en suis inconsolable encore aujourd’hui. Je me suis remis de bien des ruptures, de bien des morts autour de moi ; de la disparition de mon chat, jamais. C’était ma faute, je m’absentais trop souvent de la maison. Alors il m’a quitté, ou il est mort, écrasé sous les roues d’une voiture. Je ne le saurai jamais. C’est le plus terrible de ne pas savoir, tout le monde vous le dira.
Je comprends parfaitement la détresse de Giovanni et je lui apporte tout mon soutien dans cette épreuve. Courage.

bouguereau dit: à

même dans la douleur keupu communie dans la connerie

bouguereau dit: à

même dans la douleur keupu communie dans la conerie

bouguereau dit: à

Et surtout pas de ‘nettoyage’ au vinaigre

..l’interieur est émaillé rénateau..c’est devnu obligatoire..les services vétérinaires..et pendant ctemps là spanghero tartine du chval à lhintérieur

bouguereau dit: à

Je pense que le chat Dangélo va revenir de lui-même

j’avais un supermagnifique matou..hénaurme..santé de fer..mangeur de pigeon urbain quil plumait sur mon tapis..de rats kolossaux quil me ramnait à moitié vif lhenculé..havant les matins précédents sa disparition j’avais noté quil revnait sentant à plein nez la cocote..’un parfum bon marché’ que me disait les copines pour me consoler..haprés jai sniffé dans l’ascenseur..au bistrot..chez l’arabe qui était mon hindic pour tout..mais nib

diogène dit: à

Bougro, tu crois qu’entre mon chat et un cloporte comme toi, j’hésite une demi-seconde ? Crève donc, saleté!

bouguereau dit: à

Comment une telle dichotomie culturelle est-elle possible ?

je te parle de la civilisation du herring qui fait que le monde est si vaste au nord et toi tu viens tout me coincer à jéruzalème..tmanque pus qula crème au cul et dracul derrière pour nous faire du godwin..comprends tu

JC..... dit: à

Je ne comprends toujours pas comment on peut lire une écrivaine aussi moche que Virginia Pizza !

keupu dit: à

la vieille taupe bourrée éructe encore péniblement croyant se rendre malin, ça sent la fin…

keupu dit: à

JC : pour bien écrire faut être beau, étant moche, il écrit comme une andouille

JC..... dit: à

Quant aux chats, ce sont des bêtes libres … ça va, ça vient . Leur disparition n’est pas une mort.

JC..... dit: à

Larve de keupu !

Etant un compromis équilibré entre Louis le Funeste et Arnold Schwarzenegger, majestueux, je suis béni des dieux olympiens, séduisant à en pleurer de joie, et d’une beauté rare, doré à l’or fin …. En outre, humble comme le
Macron dopé au Moi.

Jalouse de keupu…. !

JAZZI dit: à

Tout le monde s’accorde à reconnaitre que Phil à beaucoup d’esprit. Même WGG, c’est dire ! Au point que l’acariâtre LVDLB ne manque jamais de lui décocher son coup de pied de l’âne. C’est sans doute héréditaire, chez lui. Il paraitrait que son ancêtre aurait inspiré le personnage joué ici par le défunt Bernard Giraudeau ?
https://www.youtube.com/watch?v=fU_9aU47R_8

JAZZI dit: à

keupu parle comme lucienne, alias Lucie Delair, alias… !

Phil dit: à

dear Baroz, vous me flattez ou me draguez ? Le film n’avait pas fait de « vagues ». Yourcenar a sûrement traduit Virginia Woolf par esprit de genre avant la lettre. Bloom, une belle phrase de Virginia qui donne envie de la lire en version originale ?

JAZZI dit: à

Aucun risque Phil, pour la drague il me faut du concret, pas du virtuel !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,.D,.à,.10 h 14 min,…

…le chat,( il a le bout du bord de l’oreille gauche, de 4 millimètres,! de profondeur fendue,!…)

…? étiquette d’expériences,!…?

…en tout, cas, il fait, ce qu’il veut,…
…avec, ce qu’il me coûte, en viande,!…
…de quoi, fumer, le calumet de la paix, avec V.Woolf,!…que je prenais pour un travestis,!…bien affublé,!…
…se tromper, un métier,…etc,!…
…une diversion,!…

JAZZI dit: à

Pas mécontent d’avoir perdu son chat, ce radin de GSA !

JAZZI dit: à

Du temps de ma jeunesse nomade, j’avais un superbe chat siamois, Lotus, gras comme un moine bouddhiste. Et très difficile. Il n »acceptait que les plats cuisinés ou une seule marque de pâté pour chat de luxe, à base de saumon. Ayant épuisé mes amis parisiens pour le faire garder en mon absence, je le descendis à Cannes, chez ma mère. Quand je le revis, un an plus tard, il n’était plus que l’ombre de son ombre et ressemblait alors à Giuseppe Verdi, sec et alerte ! Ma mère, particulièrement « économe », l’avait mis au régime, sans état d’âme. Cela dit, il a vécu encore longtemps…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…tout, les banquiers, ne sont pas radins,!…
…à se découvrir, des prémonitions inavouables,!…
…des français, des banquiers confirmés, faisons, avec,!…dans ces jeux,!…sans Casino,!…
…etc,!…

olga dit: à

phil 12h04 Yourcenar n’a traduit V W que parce que elle avait besoin de ..money…money son père se ruinait au jeu .
Je ne suis pas Bloom ni son phantom, mais j’étais en train de lire « an unwritten novel » de la dite Virginia. Outre le titre, une phrase »the Times was no protection against such sorrow as hers.The best thing to do against life was to fold the paper so that it made a perfect square,crisp,thick, impervious even to life. »
And now, Write!

Laura Delair dit: à

11:58, ce n’est pas la première fois que Jazzibarozozo la concierge de la RdL se trompe !

Sergio dit: à

Ha ben bon si la théière c’est du Jean Barnery faut pas y mette un héléphant sur le dessus ! Ca coûte bonbon le Barnery…

Sergio dit: à

Phil dit: 23 septembre 2017 à 12 h 05 min
me draguez ?

Il madrague, ce dear : avec tous ses droits d’auteur il a un yaque à Cintrope !

Sergio dit: à

On est des commentateurs d’hélite, on est pas des vieilles théières nom d’une pipe !

la vie dans les bois dit: à

Il fait une jolie journée d’automne à Fontainebleau. Kisses à mes fans, ils sont trop nombreux 😉

Bloom dit: à

Le début Mrs Dalloway, dear Phil, roman qui connut un regain de faveur grâce au film de S.Daldry, The Hours, inspiré du roman de M. Cunningham?
Phrase proustienne, on est au début des années 20:

«  »How fresh, how calm, stiller than this of course, the air was in the early morning; like the flap of a wave; the kiss of a wave; chill and sharp and yet (for a girl of eighteen as she then was) solemn, feeling as she did, standing there at the open window, that something awful was about to happen; looking at the flowers, at the trees with the smoke winding off them and the rooks rising, falling; standing and looking until Peter Walsh said, “Musing among the vegetables?” »

Phil dit: à

Merci dear Bloom Olga pour ce don de scansion de Virginia. jugeons sur pièces (comme baroz dans sa garçonnière) what else. ma dernière vo fut pour Miss Daisy de James, bon souvenir et envie de colisée.
Les longues phrases ne plaisent pas aux écrans réduits des tablettes, peut-être sauveront-elles la littérature du télédéchargement.
Le père de Yourcenar, distingué anglophile de la génération de Virginia Woolf, n’aura pas déparé dans le cercle de Bloomsbury.

JC..... dit: à

Mélenchon dans la rue est chez lui : c’est le roi du caniveau !….

diogène dit: à

Il fait une jolie journée d’automne à Fontainebleau

Tu as pensé à prendre ton goûter et ton jus d’orange dans ton sac à dos ? Il est bientôt cinq heures.

Delaporte dit: à

Une protestation massive va ainsi sourdre de la rue. Les révoltés battent le pavé, où naît la vraie démocratie. Une révolte ? Non, une révolution…

JC..... dit: à

Seuls les cons marchent dans la rue : les honnêtes gens prennent un taxi ….

Delaporte dit: à

« Seuls les cons marchent dans la rue : les honnêtes gens prennent un taxi …. »

Remarque particulièrement stupide, mon pauvre ami. La marche est un sport extrêmement noble, et qui se pratique partout, y compris en milieu urbain. C’est par la marche qu’on découvre le monde, et parfois Dieu.

JC..... dit: à

Mon pauvre Delaporte …. les révolutions accouchent toujours d’enfants morts-nés, ou handicapés, car ils sont non désirés.

(N’oublie pas de faire ton pipi d’ange avant de retourner dormir dans ton berceau d’intellectuel à l’essai…)

JC..... dit: à

J’ai découvert l’inexistence de Dieu dans un taxi qui m’a fait rater le rendez-vous de ma vie, alors que j’avais prié à genoux le Très-Haut !

Certains automobilistes rencontrent dieu, bourrés, dans un platane …

bouguereau dit: à

J’ai découvert l’inexistence de Dieu

c’est comme le bourgogne aligoté qut’as houblié dmette dans l’frigo..quand que t’ouves la porte t’as comme un blanc..mais pas l’bon

bouguereau dit: à

c’est le roi du caniveau !….

yo le keiser du stritart..

bouguereau dit: à

Kisses à mes fans

la phiancée de phil lui fait hun pti coucou pour faire des jaloux

bouguereau dit: à

On est des commentateurs d’hélite

du pilpoul de pinet

bouguereau dit: à

…de quoi, fumer, le calumet de la paix, avec V.Woolf,!…que je prenais pour un travestis,!

calamity a une vie sessuelle secrète..dedans elle y met ses poils de cul

bouguereau dit: à

Crève donc, saleté!

sapré raclure de keupu

JC..... dit: à

Quittons nous sur une source de joie : demain, il fera jour pour les cons et pour les bons.

Noapte buna !

JC..... dit: à

Dernière comparaison idiote avant Morphée : des malheureux magaziniers à bas salaires osent comparer Mélenchon à Lenin, là où je le vois plutôt ressembler, le déchet, à Ouvrard, le comique troupier….

Sergio dit: à

Mais enfin on peut pas rater un rendez-vous… Les femmes sont toujours plus en retard !

JAZZI dit: à

Mais qui te dis qu’il avait rendez-vous avec une femme, le JC, Sergio !

et alii dit: à

un commencement
qui te dit que c’est mieux avec un t

JAZZI dit: à

Merci à mon correcteur et alii,!

christiane dit: à

Je n’oublie pas que Virginia Woolf n’était pas seulement une romancière, c’était une infatigable lectrice et critique (Montaigne, Jane Austen ,Baudelaire, Proust, Joyce, Defoe, Coleridge, TS.Eliot, Mme de Sévigné, L.Caroll Conrad, les sœurs Brontë, Tolstoï…) On retrouve ses Essais regroupés dans un Folio- classique (traduction de Catherine Bernard). Elle participa aux principales revues littéraires de son temps, une essayiste redoutable. Ainsi, dans son Journal :
« … plus je lis la critique des autres et plus je deviens indécise ; hésite ; mais rien ne presse. Je me demande quelle forme donner à mon livre sur la lecture… Écrire un livre de découverte, lire comme on tire un fil. ». C’est une contre-histoire littéraire qu’elle voudrait écrire.
Dans ce même livre, cité plus haut, on peut lire un autre essai sur la fiction moderne :
« Ce qui compte dans la littérature contemporaine donne, pour une large part, le sentiment d’être noté en toute hâte, jeté sur le papier sous une forme qui préserve avec un brio étonnant les mouvements et les expressions des silhouettes qui traversent l’écran. Mais l’éclat est fugace et il ne nous reste finalement qu’un sentiment profond de frustration. Notre agacement est aussi violent qu’a été intense notre plaisir. »
Mais ses romans lui offraient l’accès à la sensation, à la conscience.

JAZZI dit: à

Delaporte, je suis passé en vélo aux abords de la Bastille vers 14h, ce n’était pas la révolution, tout au plus une honorable manifestation. De retour des Halles, après le film, vers 18h, tout était devenu normal. Le gros du cortège se trouvai du côté de Reuilly-Diderot : public convenu, nullement les forces vives de la Nation…

JAZZI dit: à

Se trouvait, et alii, merci !

Sergio dit: à

Maintenant les manifs sont encadrées par la flicaille ; pièce d’identité obligatoire. On peut apporter son pavé mais dans un sac en plastique…

Paul Edel dit: à

« … plus je lis la critique des autres et plus je deviens indécise .. » écrit V. Woolf, mais quand elle écrivait sur d’autre écrivains de sa génération elle n’était pas si « indécise » que ça! elle répète que L’Ulysse de Joyce l’a ennuyé au possible.. et elle n ‘épargne par DH Lawrence.. sous les vagues compliments de circonstance, elle démolit très bien certains de ses textes.la perfidie féline et câline est aussi un instrument dont elle joue très bien dans ses critiques littéraires..

Phil dit: à

merci Pauledel pour cette confidence littéraire tardive d’after grappa. Virginia W. n’était pas une molle, de quoi parlait-elle avec Keynes ?

rose dit: à

d’ordinaire, c le vieux vélo que l’ on met au clou
?

JC..... dit: à

MELENCHONNERIE

Dans la capitale d’un pays de 66 millions d’habitants, peuplée de 10 millions de bolos, 30.000 niais qui marchouillent, c’est un triomphe ! un tsunami ! une déferlante ! un succès majeur ! que dis je une Révolution !

Bref, un gros flop de notre grand Comique La Mélenche rêveuse…. C’est Delaporte du Ridicule qui va être content !

JC..... dit: à

MELENCHONNERIES

« M.le président, il vous reste à consulter l’Histoire de France pour apprendre que c’est la rue qui a abattu les rois. C’est la rue qui a abattu les nazis » (Papy Jean-Luc)

Il se Mélenche les pinceaux, le Papy !

Ce sont les philosophes et la bourgeoisie qui ont abattu les rois se servant du mécontentement populaire.
Ce sont les Alliés qui ont abattu les nazis ! Essentiellement Américains, Anglais, Australiens, Russes et divers ! Pas la rue parisienne ….

On peut faire de beaux enfants à l’Histoire à condition de ne pas l’enfiler par derrière.

JC..... dit: à

MELENCHECONNERIES

Quel comique, cet olibrius… !

Taré ! Délirant ! Dégueulasse ! Minable ! Excité ! Menteur ! Aussi fada que les Maduro et Chavez de son espèce.

Spectacle désolant, car c’est nous qui payons ce déshonorant pitre et ses complices politiques démocratiques et populaires ….

JC..... dit: à

MELENCHECO.NNERIES

Quel comique, cet olibrius… !

Taré ! Délirant ! Dégreulasse ! Minable ! Excité ! Menteur ! Aussi fada que les Maduro et Chavez de son espèce.

Spectacle désolant, car c’est nous qui payons ce déshonorant pitre et ses complices politiques démocratiques et populaires ….

JAZZI dit: à

Alors, JC, ce rendez-vous raté de ta vie, c’était quoi, qui ?

JAZZI dit: à

« c’est la rue qui a abattu les rois. »

Et les putes sur les trottoirs, ce sont les véritables sans culottes ?

JAZZI dit: à

« c’est la rue qui a abattu les rois. »

Et les p.utes sur les trottoirs, ce sont elles les sans culottes ?

JC..... dit: à

Jibé, mon rendez-vous était d’ordre spirituel : une religieuse très jeune et très belle, étudiante en Fac, à qui j’avais promis d’obéir, corps et âme ….

Elle était la preuve par son charme que dieu existe, mais le Grand Barbu Blanc en a décidé autrement, en interrompant un processus délicat, subtil, incertain.

Il a perdu définitivement ma clientèle, le salaut !

renato dit: à

Clameurs étouffés par le silence des espaces immobiles de la métaphysique dechirichienne redécouverte et redimensionné — faux départs et organisation des vides : lieux contés, rêvés, inventés ; fixations kitsch — les appeler autrement ne change pas la substance — : restes du monde industriel qui dérangent la perception ; on attend que quelque chose advienne, sans autre justification que quelques libres associations mentales. Self-fulfilling prophecy : il miglior fabbro reste le spectateur — moi spectateur : giro un disco o vengo girato ? —. « Ecrivains multilingues et écritures métisses », heureusement je ne suis pas écrivain, lecteur plutôt ; étant donnée « la dispersion après Babel », lecteur errant dans les terrains vagues de l’entre-deux des langues, de leur « hospitalité » — contre les préjugés garder une distance de sécurité par rapport aux idéologies et aux mythologies fondantes : absit iniuria verbis. Bouts de vie, manœuvres d’approche du réel : souvenir d’un manuel d’instructions avec figures — Abete, Casa, Oca – Oco, Pera – Pero, Xilofono, Zanzara — ; la voix de Cathy Berberian ; bords de mer ; Anna Göldi ; action sans effort ; empathie ; Great Ape Project, distance de fuite, Little Nemo, Grace Slick, Levi’s, Ayn Rand, The Wall, Giuliano de Medici, Glastonbury, miroir aux alouettes, Krazy Kat & Ignatz Mouse. La marginalité protège, il faut naturellement prêter attention à ne pas laisser que les mécanismes qui la codifient prennent le dessus — noise : nier et cacher, deux actions qui ne résoudront jamais rien : tourner le dos aux désirs pré-confectionnés ; jamais s’épargner un ailleurs ; apprendre à vivre avec ses plus stupides contradictions — attention au surmenage ! — ; laisser la persuasion à ceux qui ne savent produire que des bêtises bien faites. Advertising : http://pin.it/Ez8iNDM « Un jour, la poésie prendra fin », écrit Tommaso Landolfi… mieux vaut se tenir à l’autre visage de l’approbation sociale et lire Emily Dickinson comme si elle avait lu Dōgen : A sepal, petal, and a thorn / Upon a common summer’s morn — / A flask of Dew — A Bee or two — / A Breeze — a caper in the trees — / And I’m a Rose!.

renato dit: à

Dans ce bas monde il y en a qui arrivent sans peine ni vergogne a lâcher : « Normes de coexistence qui ont été accordés ». À propos du gars qui s’est permis cette monstruosité nous avons deux possibilités :

il n’est pas conscient de la valeur des mots ;
plus banalement, il est un fasciste ordinaire.

JC..... dit: à

Il n’y a pas de honte à être fasciste, Renato, il suffit d’ouvrir les yeux pour le vérifier partout dans le monde.

L’humain est un fasciste né. Tout le monde est « fasciste ordinaire » ! Comme les fourmis, les abeilles, les hyènes et les loups des steppes….

christiane dit: à

Paul Edel – 1h40
Sur Joyce je ne sais ce que V.Woolf a écrit mais sur Tchekhov, et les russes, quel régal !
A propos de La dame au petit chien, elle écrit, partant d’une citation de la nouvelle :
« Il nous faut chercher avant de découvrir où se situe vraiment l’intensité de ces étranges nouvelles. Les mots de Tchekhov lui-même nous mettent sur la voie. « De fait, pareille conversation était inconcevable du temps de nos parents ; la nuit ils ne parlaient pas, mais dormaient à poings fermés. Notre génération à nous dort mal, se languit, parle beaucoup et est toujours en train de se demander si elle a tort ou raison. »* La satire sociale et la sophistication psychologique de notre littérature dérivent toutes deux de ce sommeil agité, de ces incessantes discussions ; et pourtant, il y a une énorme différence entre Tchekhov et Henry James, entre Tchekhov et Bernard Shaw. Cela est évident – mais d’où vient-elle ? (…) L’esprit l’intéresse au plus haut point ; c’est un analyste fin et délicat des relations humaines.(…)
Une fois que l’œil s’est accoutumé à ces nuances, les « conclusions » que demande la fiction s’évaporent pour partie ; elles nous apparaissent telles des silhouettes éclairées par transparence (…). Nous avons le sentiment que rien n’est résolu ; rien ne semble à sa juste place.(…)
En lisant Tchehkov, nous nous surprenons à répéter sans cesse le mot « âme ». Ses pages en sont parsemées.(…) En fait, l’âme est le personnage central de la fiction russe. Délicate et subtile chez Tchekhov, sujette à un nombre infini d’humeurs et de troubles, elle est plus profonde et plus vaste chez Dostoïevski… »

C’est dans le chapitre Le point de vue russe (essai rédigé pour le tome I du Commun des lecteurs), p.164 et suite dans le Folio 5895 Essais choisis de V.Woolf.
* Tchehkov, « La Dame au petit chien », Œuvres, t.III. trad. E.Parayre, Pléiade)
Qu’est-ce qu’elle a écrit sur Joyce ? Vous donnez envie de savoir !

christiane dit: à

Renato – 8h39
Carolyn Carlson – Magnifique ! vos photos sont des joyaux.

renato dit: à

« Comme les fourmis, les abeilles, les hyènes et les loups des steppes…. »

Si on mêle les choses elles attrapent la gale.

christiane dit: à

renato dit: 24 septembre 2017 à 8 h 09 min
Vous écrivez :  » on attend que quelque chose advienne, sans autre justification que quelques libres associations mentales. (…) heureusement je ne suis pas écrivain, lecteur plutôt ; étant donnée « la dispersion après Babel », lecteur errant dans les terrains vagues de l’entre-deux des langues, de leur « hospitalité » (…) Bouts de vie, manœuvres d’approche du réel, distance de fuite… »
et vous citez, entre autres : Little Nemo. Je savoure cette halte…

JC..... dit: à

Cette photo de Carlson est obscène, Christiane !

Voir cette malheureuse, dénudée, impudique, ravie, se faire sauter par l’Homme Invisible. Beurck !

Tu me surprend, Christiane….

JC..... dit: à

« Si on mêle les choses elles attrapent la gale. » (Renato)

Bien entendu ! Bien entendu ! Ne mêlons pas les choses …. Soyons fascistes ordinaires. Séparons les choses. Classons les soigneusement…

JC..... dit: à

Par contre, nous sommes d’accord sur Little Nemo, la seule BD présente dans ma bibliothèque. Une merveille souvent reparcourue au fil du temps…

JC..... dit: à

Pour en revenir au sujet, Virginia Woolf : si elle me sautait au cou, à Dieu ne plaise, j’exigerai d’être aussitôt décapité.

et alii dit: à

tutoyer christiane requiert au moins une orthographe correcte :pauvre christiane livrée aux tutoiements inconsidérés !virginia woolf n’en exige pas tant !

JC..... dit: à

« tutoyer christiane requiert au moins une orthographe correcte »

Tiens ! il est plus con que je ne pensais ….

JC..... dit: à

Les professeurs, souvent d’antiques fossiles, se croient souvent maîtres alors qu’ils sont la plupart du temps toujours esclaves de leurs normes désuettes* …

*je laisse le T en trop. Par pur sadisme.

D. dit: à

Moi je dis que chacun à sa place et tout ira bien dans le meilleur des mondes.

D. dit: à

Et je suis sur que Virginia Wolf était à sa place avec un tel physique.

D. dit: à

En effet je la trouve belle. Je la trouve même très belle sur certaines photos.

D. dit: à

JC….. dit: 24 septembre 2017 à 5 h 28 min

MELENCHONNERIE

Dans la capitale d’un pays de 66 millions d’habitants, peuplée de 10 millions de bolos, 30.000 niais qui marchouillent, c’est un triomphe ! un tsunami ! une déferlante ! un succès majeur ! que dis je une Révolution !

_

…c’est tout de même 1 sur 2000, JC.

Janssen J-J dit: à

Dechirichienne ? une dérivée de Chirico Georgio, rénato ? Cathy Berberian poussant son célèbre cri de tarzoune en sa cuisine, telle chaque matin en blouse affriolante
https://www.youtube.com/watch?v=0dNLAhL46xM
« Il faut naturellement prêter attention » (à Jacques Chirac ?) – Mon avis sur « Have a heart » ? je le donne bien volontiers au vu de l’image incriminée couleur chair : j’adore cette viande fraîche, au cœur des végétariennes. – L’historienne Danielle Tartakovsky a vu défiler Jazzman à contre courant en vélo ; elle théorise désormais le manque de rigueur et l’indiscipline des manifestants d’aujourd’hui qui osent dire NON et OUI à la réforme du code du travail, en s’objectant à contre-courant. – Une câlinothérapie trousse-chemise, sans doute ? – Qu’est-ce qu’un fasciste-né ? sinon un séparateur de cloisons nasales. Je brûle de savoir ce que pensait virginia de john maynard, j’imagine l’envie de le faire changer « d’orientation » (économique). Normann R., un vieil ami juif américain, sur la terrasse de l’O., m’a conseillé, entre chien et loup, deux romans indispensables qui auraient illuminé sa vie : la planète de M. Sammler et le don de Humboldt(de Saul Bellow). Cela dit-il quelque chose icite ? Quel lien d’ailleurs avec Jean-Pierre i-Luminet, l’astrophysicien ? Quel magnifique samedi avons-nous passé hier. Et ce en rdl, un festival de pépites et point trop d’immondices. Ce blog devient quelque chose d’inspiratoire avec ses feuilletons, ses gags en chroniques, et autres bouts rimés interlopes.
Bonjour à toussent, phil et olga notamment, pour ne pas les dénommer. Donnent l’air d’un potentiel intéressent quoiqu’aventureux, tout comme la sage claude bahia en ses lointaines contrées guatémaltèques.

D. dit: à

En 2015 Le Sénat a couté à la France 323 millions d’Euros. Oui vous avez bien lu. Le tiers d’un milliard d’euros.
Les sénateurs sont grassement rémunérés, beaucoup le sont quasiment à vie du fait du mode électoral.
Trente personnes à temps complet choisies parmi les vénérables pour une durée de 5 ans non renouvelable pourraient assurer la même mission avec un budget de 50 millions d’euros et le Palais du Luxembourg rendu au public.

Sergio dit: à

JC….. dit: 24 septembre 2017 à 9 h 09 min
L’humain est un fasciste né. Tout le monde est « fasciste ordinaire » !

Houi. Voilà. Cela c’est très vrai.

Malédiction originelle, encore pire que l’aute greluche havec sa pomme et son serpent python bicolore ! Sale bête…

Misère… Allons boire un coup, tiens !

Lucienne dit: à

Comment se faire remarquer sur la RdL : en écrivant des propos désobligeants, dérangeants ou idiots, ce que JC fait avec une obstination maladive mais avec le soutien de quelques personnes compatissantes

Sergio dit: à

Boh Chirico c’est un type de l’ombre…

Diogène dit: à

« C’est la rue qui a abattu les nazgûls ! » c’est faux : il s’agissait d’une coalition d’Elfes, d’Humains et de Hobbits emmenée par Aragorn (fils d’Arathorn) et Gandalf le magicien. J’ai lu le livre, j’ai vu le film, j’en suis sûr à 100%.

bouguereau dit: à

ta gueule keupu

bouguereau dit: à

Houi. Voilà. Cela c’est très vrai

pasque vous êtes pas naturellement capitaliss dla race des seigneurs havec grosses bite vous vous sentez esclu..

bouguereau dit: à

hassez dantiparlementarisme primaire dédé..la démocratie c’est entretenir une cour de corniauds..c’est haussi a ça qu’on la rconnait..

bouguereau dit: à

j’exigerai d’être aussitôt décapité

c’est un service qu’est pus rendu..hou halors faut payer un sicario..le faire venir par avion..la machette dans la soute attation..c’est fastidieux

bouguereau dit: à

Si on mêle les choses elles attrapent la gale

c’est pas faux..le ‘zoning’ urbain a là précisément son origine..et pis les gales sont haussi sociales

bouguereau dit: à

Et les p.utes sur les trottoirs, ce sont elles les sans culottes ?

c’est dun gout de..baroz

bouguereau dit: à

30.000 niais qui marchouillent, c’est un triomphe ! un tsunami ! une déferlante ! un succès majeur ! que dis je une Révolution !

en bref t’as peur d’un rien jicé..

Janssen J-J dit: à

On peut faire de beaux enfants à l’Histoire à condition de ne pas les enfiler par derrière.
De quoi ?

JAZZI dit: à

Six à la suite, bravo, le boug !

closer dit: à

bouguereau permet à Passou de faire du chiffre, Annibal…C’est sa seule fonction.

olga dit: à

J.C. 06h20 . Quelle injustice, quel manque d’esprit. Quoi ? le seul Guignol que la planète nous envie, et qui se produit ,gratis, en plein air,envoyant des baisers à la foule qu’il tient sous son charme. Et vous faites la fine bouche …Primum est delectare, comme a dit le Prophète. Sa parole laisse couler la crème Chantilly, l’or et l’argent, à grands flots dorés, tous tombent en pâmoison à l’idée de ces lendemains affriolants qui leur tendent les bras…C’est Cincinnatus à sa charrue, César traversant le Rubicon,Bonaparte du haut de ces Pyramides …vous ,J.C. seul, insensible à cette poésie mellifluente, ravageuse, ravaaageueueu, n’entendez-vous pas les Trompettes de Jéricho?? J.C. ouvrez_vous à cette nouvelle vie qui rayonne à l’horizon …

JAZZI dit: à

« et qui se produit ,gratis »

Un des plus gros salaires de la République, Olga ! Le plus beau Tartuffe du répertoire politique…

Petit Rappel dit: à

Virginia Woolf et Tchékov.
Peut-être raffolait-elle des morts, ne pouvant aimer les vivants?

keupu dit: à

la vieille taupe se réveille et son premier commentaire est de brailler « ta geuule keupu » sans qu’on sache vraiment à qui il s’adresse, sinon à lui-même peut-être ?

olga dit: à

Jazzi 12h43 : eh oui, je sais . Bientôt il va égaler le Napoléon Italien, voyons que je me rappelle, Berlu, Berlusk, ça m’échappe …
Jazzi, j’ai lu « le goùt du Portugal », excellent. E.Lorenço,(& annie de Faria) N.Judice, « le cul de Judas » : l’avez-vs lu en entier ? j’avais dû m’y reprendre à plusieurs fois..
Dommage que l’Algarve soit devenu le paradis des retraités français qui apprécient.. et se font construire…

JAZZI dit: à

Merci, olga. Moi aussi, « Le cul de Judas » m’était tombé plusieurs fois des mains, jusqu’à ce que je sois motivé par l’obligation professionnelle. Antonio Lobo Antunes est vraiment un écrivain majeur de la littérature portugaise, mentionné sous divers livres dans mon anthologie. Et là, miracle, il m’a paru limpide et l’ai lu d’une traite !
Pas seulement l’Algarve, Lisbonne aussi, qui ressemble de plus en plus à Barcelone. Le centre, vidé de ses populations autochtones et dont les logements sont principalement loués désormais par Airbnb. On peut craindre le pire pour la suite !

JAZZI dit: à

Pour que les erdéliens comprennent de quoi vous parlez, olga, je met ici la page concernée.

EDUARDO LOURENÇO

L’invention de la saudade

S’interrogeant sur ce qui, en dehors de la langue, pouvait bien être commun aux poètes portugais, Fernando Pessoa répondit : « Avant tout, la tendresse ». Une tendresse tour à tour rêveuse, héroïque, railleuse, mélancolique, métaphysique, voire mystique, précisa t-il. Mais de quoi cette tendresse est-elle le nom, sinon de la saudade, dont Pessoa, « devenu le Portugais universel », selon Eduardo Lourenço, est le plus flamboyant représentant ? Spécialiste de l’œuvre du poète de Lisbonne et auteur d’essais consacrés à la saudade, Eduardo Lourenço, né en 1923 au Portugal et retiré à Vence, nous éclaire sur cette spécificité nationale, nous entrainant à sa suite à travers le labyrinthe de la mémoire portugaise et de sa mythologie.

« La saudade, la nostalgie ou la mélancolie sont des modalités, des modulations de notre rapport d’être de mémoire et de sensibilité au Temps. Ou plutôt, à la temporalité, à ce que, à l’exemple de Georges Poulet, nous nommerons « temps humain ». Cela signifie que cette temporalité est d’une autre nature que celle, abstraitement universelle, que nous attribuons au temps comme succession irréversible. Seul ce « temps humain », jeu de la mémoire, permet le retournement et la suspension fictionnelle du temps irréversible, source d’une émotion à nulle autre comparable. En elle et à travers elle, nous éprouvons à la fois notre fugacité et notre éternité. À ce titre, la nostalgie, la mélancolie, la saudade même, revendiquée par les Portugais comme un état intraduisible et unique, sont des sentiments universels. De l’universalité du « temps humain ». C’est le contenu, la couleur de ce « temps », la diversité du jeu que la mémoire dessine en se retournant vers le passé, qui distingue la nostalgie, la mélancolie, et ces deux dernières de la saudade.
Se retourner vers le passé, se souvenir, n’est jamais un acte neutre, mais ce retournement constitutif de notre mémoire peut être vécu comme un simple rappel, une sorte de mise au point et mise à jour des événements ou des sentiments qui jalonnent, qui sont, « notre vie ». Ce retournement propre à la mélancolie, à la nostalgie et à la saudade donne un sens au passé vers lequel nous nous tournons. Il l’invente comme une fiction. La mélancolie se réfère au passé comme définitivement passé, et à ce titre, elle est la première et la plus pure expression de la temporalité, celle que la lyrique universelle ne finira jamais d’évoquer. La nostalgie est le rappel d’un passé déterminé, d’un lieu, d’un moment, d’un objet de désir hors de notre portée, mais encore réel ou imaginairement récupérable. La saudade participe de l’une et de l’autre, mais d’une façon si paradoxale, si étrange – tout comme est étrange et paradoxale la relation des Portugais avec « leur » temps – que, à juste titre, elle est devenue un labyrinthe et une énigme pour ceux qui l’éprouvent comme le plus mystérieux et le plus précieux des sentiments.
Avant d’être pensée, la saudade a été chantée. Avant de devenir le mythe dont il faudra décrypter le contenu et le sens pour ne pas rester prisonnier de son rôle hagiographique, la saudade ne fut autre chose que l’expression d’un trop plein d’amour envers tout ce qui mérite d’être aimé : l’ami absent, l’écrin des amours, la Nature avec sa voix immémoriale, murmure des feuilles ou des vagues de la mer. Aucune résonance tragique ne perce dans ces chansons où la saudade se présente avec toute sa naïveté. Dans son berceau celtique, celui de la Galice et du nord du Portugal, la saudade semble modulée par le rythme universel de la mer. On y apprend, sans vraiment le savoir encore, que l’éternité est faite de temps, et le temps d’éternité. Tout y est à la fois, passé et présent. Cette musique de fond d’abord extérieure, deviendra musique de l’âme. Contrairement à la légende, le peuple portugais, éprouvé comme tant d’autres par des tragédies réelles dans sa vie quotidienne, n’est pas un peuple tragique. Il est en-deçà et au-delà de la tragédie. Sa manière spontanée de se retourner vers le passé en général, vers le sien en particulier, n’est ni nostalgique, ni moins encore mélancolique. Elle est simplement saudosa, enracinée avec une telle intensité dans ce qu’il aime, c’est-à-dire dans ce qu’il est, que son retour vers le passé, qui supposerait un vrai éloignement de soi, une adhésion effective au présent, est davantage de l’ordre du rêve que de celui du réel. C’est ce lieu de rêve, ce lieu à l’abri du monde, ce passé-présent, que l’âme portugaise ne veut pas quitter. (…)
Avec la saudade, nous ne récupérons pas seulement le passé comme paradis perdu ou menacé de perte ; nous l’inventons. Ce peuple immémorialement rural, absorbé au-dehors dans des tâches dépourvues de transcendance, mais accomplies comme une épopée, avec son talent du détail, de la miniature, est un peuple-rêveur. Non pas tellement parce qu’il accomplit des rêves toujours plus grands que lui, mais parce que, au tréfonds de lui-même, il refuse ce qu’on appelle la réalité. Autrement dit l’ordre du temps, rivière sans retour. Plus quichottesques que don Quichotte, les Portugais ne tiennent pas vraiment compte de la réalité empirique. Ils la subissent, mais ne plient devant aucun démenti de cette réalité ; pas même devant le plus irréfutable de tous : la Mort. Dans leur île-saudade, à la fois île des Morts et île des Amours, comme les enfants, ils ignorent la mort. Ou, dans une autre version, elle leur est tellement consubstantielle (« Mort, sœur co-éternelle de mon âme ») qu’elle a fini par leur être invisible. Personne ne meurt au pays de la saudade. Rien n’est plus populaire au Portugal que le culte des âmes du Purgatoire. De toutes les forces de notre imaginaire, nous refusons le néant. Sans doute, cela est-il vrai de toute l’humanité. Mais pour nous, Portugais, ce refus est devenu le pli de notre âme. »
(« Mythologie de la saudade », traduit par Annie de Faria, Editions Chandeigne, 1997.)

Sergio dit: à

Bon Dieu je cherche le Goût de la terre de Baffin, hé bin il est caché comme le steak…

Sapristi !

JAZZI dit: à

Et pour faire taire les mauvaises langues qui prétendent que j’ai un yacht dans le port de Saint-Tropez, je rajoute, toujours gratuitement, l’autre auteur dont olga parlait !

NUNO JUDICE

Les influences invisibles

Né en Algarve en 1949, le poète Nuno Júdice, a étudié la philologie romane à Lisbonne. Devenu professeur, il enseigne toujours la littérature portugaise à l’Université nouvelle de Lisbonne. Auteur de plusieurs recueils, traduits en français, italien et espagnol, il dirige également la revue Tabacaria, qu’il a fondée en 1996, avec le soutien de la Casa Fernando Pessoa. En introduction de son ouvrage « Un chant dans l’épaisseur du temps », il rapporte les mots du poète António Ramos Rosa (1924-2013), qui affirme que tous les poètes contemporains ont lu Pessoa, mais qu’aucun d’eux n’a reçu la moindre influence de cet univers poétique. Moins catégorique que son confrère, Nuno Júdice pense, pour sa part, que : « l’influence de Pessoa se voit dans le fait que l’on ne la voit pas. » Sous influence ou sans influence, ce poème en forme d’hommage ?

PESSOA

Là où tu es, sans être jamais revenu de nulle part, sans volonté de partir là où tu n’arriveras jamais, parce que là c’est déjà hier, je te rencontre. Tu me demandes de m’asseoir : et tous deux, à la table d’un des cafés de l’Éternité, nous écrivons des lettres que jamais personne ne recevra. Mais tu ris, sachant que Lui, l’inConnu, est en train de les lire, et probablement aussi de les écrire, à travers toi, pour un autre qui a ton visage et tes mains, et cependant ce n’est pas toi, et qui me regarde maintenant. Et tu me dis : c’est un fantôme ! Et tu ris davantage, dans ces limbes où commence à tomber un crépuscule qu’ailleurs on appellerait la Mort : mais que tu sais être plus que la mort et, en même temps, une vie à laquelle nul n’oserait aspirer.
Et tu fais silence, songeant à celle à qui tu as écrit des lettres que personne d’autre que toi n’a jamais lues, même pas elle que tu regardais, dans un bureau plein de soleil et de vent, rêvant à des bateaux et à des voiles, tandis qu’elle pensait à ce que tu sentirais pour elle, sans savoir que ce que tu sentais, elle seule pouvait le sentir, dans ce reflet d’un temps où elle serait l’ombre, à peine, de quelqu’un qui pourrait avoir été. (Et cette ombre soudaine trouble ton ombre que je regarde, et qui me hante.)
11 juin 1985
Lisbonne
(« Un chant dans l’épaisseur du temps », traduit du portugais par Michel Chandeigne, Poésie/Gallimard, 1996.)

Sergio dit: à

Bon. Que faut-il faire pour que Passou me fasse remettre mon lien sur mon blogounet ? Chuis pourtant pas un méchant homme…

Sergio dit: à

JAZZI dit: 24 septembre 2017 à 14 h 30 min
un yacht dans le port de Saint-Tropez

Et un navion au terrain de la Môle. Enorme. Un bimoteur ; une splendeur une merveille des croyants !

JAZZI dit: à

C’est intéressant de voir que le poème en prose de Nino Judice confirme la thèse de Eduardo Lourenço !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…rien à voir, à comprendre,!..juste des techniques littéraires articulées à des mouvances d’esprits,!…des pantins,
…Non, juste, comme le fermier, des  » cris « , pour faire, avancer, les bêtes, à leurs  » labours « ,!…
…la gloire des présidents en Europe,!…
…la part, du  » malfrat « , honnête,!…

…une période,…j’ai côtoyer, des fils d’anciens ministres,!…avec, le temps, tout s’en vas,!…loger, à des enseignes aux loyers,!…

…la restauration et ses lois, à la même enseigne, des héritages,…aux mutuelles, bancaires,…
…vols et tromperies, d’assurances – vies,!…
…la république de France, un bordel, qui s’ignore,!…pas, mieux ailleurs,!…
…Ah,!Ah,!…et, pas, par quatre chemins,!…faisant,…
…la mare, des…!?,…qui regrettent, rien,!…etc,!…
…il ne faut rien à attendre,!…trop pourris de tout,!…

et alii dit: à

terrain de la Môle. Enorme.
comme Mathilde ?

Delaporte dit: à

Le vieux bandit livre son dernier combat face à la maladie. Combat pour lequel nulle entourloupe n’est plus possible :

« Une vie de combat et d’ad­ver­sité qui a trouvé son point d’orgue en mai dernier après que Bernard Tapie été défi­ni­ti­ve­ment condamné à rembour­ser les 404 millions d’euros qu’il avait obte­nus, en 2008, dans le cadre de son litige avec le Crédit lyon­nais sur la revente d’Adidas, surve­nue en 1993. »

Sergio dit: à

et alii dit: 24 septembre 2017 à 16 h 26 min
terrain de la Môle. Enorme.
comme Mathilde ?

Comme la Môle et Coconas, gentilshommes torturés pour protestantisme, sous Henri III. D’après Dumas père, mais on les retrouve aussi chez d’autres auteurs, dont, je crois, Robert Merle.

Peut-être que la Môle était le seigneur de cet endroit, quant à Coconas, ce sont des Savoyards.
Et peut-être que Mathilde aussi nous ramène à cet endroit…

Faut que Passou nous paye le voyage pour faire les archives de la cure et les terriers !

D. dit: à

Ce soir je mange du gras-double pané-purée bio.

et alii dit: à

le clou de la passion c’est le clou!
Afin de conserver cette relique insigne, plus le morceau de la Croix et le Clou de la Passion, le roi fera construire la Sainte-Chapelle, dont le trésor sera disséminé, six siècles plus tard, pendant la Révolution.

et alii dit: à

Quant au Clou de la Passion détenu par Notre-Dame de Paris depuis 1824, on suit sa trace de la Terre sainte à Aix-la-Chapelle, le patriarche de Jérusalem l’ayant offert à Charlemagne en 799, puis d’Aix-la-Chapelle à Saint-Denis. Une trentaine de Saints Clous existent en Europe, alors que Jésus a été crucifié avec trois ou quatre clous. Là encore, ce sont des siècles de prière qui donnent leur valeur à ces reliques d’origine incertaine.

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