de Pierre Assouline

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La République des livres
Quand les vies doubles abolissent les frontières

Quand les vies doubles abolissent les frontières

Canada n’est pas le seul roman du double de la rentrée, il s’en faut.  Il faut aussi compter avec quelques autres. Siamoises (284 pages, 19 euros, Naïve) est l’un des plus troublants et sans aucun doute le plus accompli du tandem formé par Michel Canesi et Jamil Rahmani. Cette fois, contrairement à leurs précédents romans, ils ne se contentent pas de traiter une bonne histoire : ils s’en donnent les moyens avec une technique irréprochable. Diabolique même eu égard au thème. Une manière bien à eux de refléter l’époque à travers des destins brisés. Essayons d’en dire davantage sans en dire trop. Car un coup de théâtre final (c’est déjà trop de l’annoncer) jette une lumière noire mais éblouissante sur l’ensemble.

Deux sœurs que leur caractère oppose sont soudées autour de l’insupportable disparition de leur père adoré, et contre les harcèlements de leur mère dépressive. Chacune sa voix dans ce roman qui se veut choral par nécessité et non par commodité ou goût du procédé. Arrive le beau-père, attentionné, trop même. Il faut à l’héroïne un voyage au Maroc et un séjour à Alger, pour y préparer les corps d’un industriel français et son fils assassinés, avec la découverte de véritables siamoises pour comprendre que sa tendance schizoïde lui a fait projeter une sœur fictive (tant pis, c’est dit mais comment en parler sans en parler ?). Advient alors le temps du traitement. Mais la soigner, c’est la normaliser en lui ôtant son imaginaire. Anesthésie et thanatopraxie. L’histoire commence dans la nuit et s’achève dans la lumière. Où se situe la frontière entre la raison et la folie ? La camisole chimique est au bout du chemin, et parfois les électrochocs. Même si à la veille de basculer, il y aura toujours une blouse blanche pour se demander si certains dérèglements de l’esprit n’ont pas plutôt partie liée avec l’univers des rêves. Autrement dit : par souci de préservation de l’ordre social, peut-on amputer des êtres de leur imaginaire, de leurs songes et de leurs fantasmes ?

On se prend alors à douter de la norme. Troublé au début de la lecture, le lecteur est dérangé en fin de parcours comme on peut l’être par un récit proprement dérangeant, dans la meilleure acception du terme, la seule qui vaille en littérature : un livre, voire un chapitre, une page, un paragraphe qui vous expliquent ce qui vous arrive mieux que vous ne sauriez le faire. « La frontière aujourd’hui c’est la mer » lit-on quand même les frontières identitaires, auxquelles tant s’accrochent lorsque tout vacille, se brouillent à leur tour. Le membre fantôme au centre d’un autre roman de ces médecins-écrivains a été remplacé cette fois par le gris neuroleptique. Une vraie trouvaille, idéale dans cette forêt de faux-semblants et de vrais indices avant de comprendre que l’une des deux sœurs n’est que le fruit de l’imagination de l’autre. Qui jurerait n’avoir jamais craint de basculer de l’autre côté ? C’est toute la réussite de ce thriller psychologique de nous forcer à affronter la question.

Un autre personnage de double est au centre de L’invention de nos vies (492 pages, 20,50 euros, Grasset) de Karine Tuil, l’un des romans les plus prenants et les mieux ficelés de la rentrée. Mais oui, c’est un art ! Les destins de trois personnages s’y croisent et s’y entremêlent entre Paris, New York et le Pakistan. Une histoire de double usurpation d’identité où l’on voit le (anti)héros Samir Tahar, fils d’immigrés tunisiens, intelligent, séducteur, brillant, devenu un brillant avocat pénaliste grâce à la méritocratie républicaine, se cogne à un plafond de verre. La faute à son prénom. Du moins en est-il persuadé. En le raccourcissant en Sam, il n’éprouve même pas la honte de sacrifier le nom du père par ambition puisqu’il ne s’agit que du prénom.

Engagé au cabinet d’un Maître Lévy qui le prend pour un séfarade, il se dit qu’il n’y aurait pas de mal au fond à le laisser croire. Le culte de la performance compense chez lui la honte des origines. Le voilà lancé sans faire exprès. Un cynique charismatique  au sourire de prédateur. Musulman devenu juif sans avoir même à se convertir, il falsifie tout pour parfaire son identité. Il s’invente une autre vie dans le fol et naïf espoir d’échapper au déterminisme. Juste assez pour conquérir sa place. Sauf qu’un tel projet est sans limite. Son ascension commence. Il a mis un doigt dans l’engrenage et s’engouffre non sans volupté dans la machine à réussir. Le voici à New York. Son charme agit sur la fille d’un magnat juif. Il l’épouse et bascule définitivement dans la mystification en empruntant le passé de son plus ancien ami, Samuel, un écrivain laborieux à qui il avait déjà disputé une femme dans leur jeunesse, une Nina à laquelle ils sont restés chacun liés à leur manière. Grisé par ses succès, il ignore les limites et outrepasse les frontières là même où il se croyait illégitime.

Les clichés ne manquent pas mais l’auteur désamorce toute critique en les détournant aussitôt. Elle fait de l’équilibrisme sur un fil tendu entre le mensonge, la tromperie, la trahison. Ce Tahar, dont le sentiment d’insécurité est le carburant, fait fortement penser à Karine Tuil, et au reflet qu’elle a déjà donné de sa propre fragilité dans ses précédents romans. C’est aussi palpitant qu’une bonne série télévisée dont les chapitres seraient autant de saisons. Efficace dans la férocité. Oublions le titre, très tendance. Il aurait fallu interdire « L’invention de… » après L’invention de la solitude de Paul Auster il y a une vingtaine d’années. J’aurais plutôt vu à la place La Consolation. Ceux qui l’ont lu comprendront pourquoi. Ce roman marque probablement l’accomplissement de Karine Tuil. Ce qu’elle a écrit de plus dense, de plus fouillé, de mieux composé. La réflexion sur le déni identitaire est forte, convaincante, nonobstant quelques tics d’écriture, plusieurs mots accolés pour ne pas en choisir un et quelques trucs typographiques énervants qui relèvent de l’affèterie.

Là encore, comme chez Canesi & Rahmani, un festival d’identités insincères, de faux-semblants, d’impostures aux autres et à soi-même, concentrés en un personnage que l’on finit par trouver pathétique, même si on ne sait plus s’il est Samir, Samuel ou Sam. Lui-même le sait-il encore ? Que l’on se rassure, la fin est morale. Il finira par tomber. Tout cela pour dire que nul n’a le pouvoir d’inventer sa vie : il peut juste la rêver avant de passer à côté en la manquant.

(Photos Jean-Pierre Bertin-Maghit)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 176 Réponses pour Quand les vies doubles abolissent les frontières

u. dit: à

« peuvent rester sur les dîmes » > peuvent rester sur les cîmes

Où va-t-on si le Correcteur automatique (ce SS, Barthes n’est pas allé assez loin) se met à faire de l’esprit?
Et comment sait-il que D. a été enfant de choeur?

sur le cou .. dit: à

Des cimes très scénarisées.. téléréalité sur blog ?

Daaphnée dit: à

Tiens, sur l’Islam, il y a cet article sur l’huffingtonpost en préambule au colloque qui va se tenir au Senat ..

Malek Chebel
Anthropologue des religions, spécialiste de l’islam, directeur de la revue Noor

« Les fondamentalistes nous ont mis en coupe réglée avec un vocabulaire bien précis: fatwa, jihad, hallal, haram, qui s’est insinué dans le quotidien, nous empêchant de prendre la parole. Or, nous pouvons combattre cela sur le plan des idées, en créant un nouveau vocabulaire, moderne, qui n’a pas peur -pour autant- de se référer à l’islam.

Quand les fondamentalistes parlent de « communauté », je leur réponds « vivre ensemble » ou bien « état-nation ».
Quand ils évoquent le passé, je leur dis « parlons du présent et de l’avenir ».
Quand ils font référence à la burqa, je leur rétorque qu’elle n’a jamais été musulmane.
Et quand ils abordent le Coran, je leur dis qu’il est traduit par mes soins dans un français compréhensible par tous. Cela m’a pris dix ans, c’était un travail un peu fou, mais c’est ma meilleure arme aujourd’hui. Qui peut dire que je ne connais pas l’islam ou que je m’en moque? Personne.
Et mieux encore, quand ces fondamentalistes parlent de chasteté de la femme et qu’ils essaient de la rendre impure aux yeux du monde, je leur assène que la sexualité féminine est à explorer sans cesse, et je publie un essai sur ce thème tous les deux ans. Je parle sans fausse pudeur de désirs d’amour et de tout ce qui relève des jouissances humaines, parce que eux souhaitent tout cacher, tout réduire au silence. Et aussi pour nous libérer de ces idéologies dangereuses et assumer le fait que le sexe est l’une des choses les plus savoureuses au monde.
Les musulmans doivent s’emparer de cette faculté de se penser, de se critiquer, sans pour autant culpabiliser ou se croire « mauvais musulmans ». Nous devons entamer un travail de désaliénation collective.
Mon Dieu à moi est libérateur, pas coercitif. Et j’ai appris à ignorer les menaces à mon encontre. Quand un prédicateur à la petite semaine lance une fatwa contre moi, je lui réponds en lui en lançant une autre! »

Bon, on peut toujours le laisser croire que la religion ne soit pas, par nature, aliénante ..

des journées entières dans les arbres dit: à

« Hmm, attention Richard Ford le domaine sériel semble devoir talonner votre cher domaine littéraire. Les frontières seraient-elles poreuses ? On ne respecte plus rien… »

pfff, j’ai déjà dit, je ne mange pas de la bouillie pour chat.
Le Canada de Richard Ford est réservé à ceux qui savent jouer au pinochle. Ou qui en ont vu les limites. C’est pas pour tout le monde.

bérénice dit: à

u. je ne comprends rien à vos mots d’esprit, vous m’agacez, est-ce que ça vous fait plaisir?

de nota dit: à

u. dit: »Voyons le monde comme Amos Oz. »Dans ce grand livre qu’est »Une histoire d’amour et de ténèbres »Oz nous donne à lire comment sa mère voyait l’existence:

« L’héritage,comme le milieu où nous avons grandi et notre statut social,sont des cartes qu’on nous distribue à l’aveuglette au début du jeu.Il n’y a aucune liberté là-dedans:on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement.Mais la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu’il a reçues.Il y en a qui joue formidablement avec des cartes médiocres,et d’autres qui font exactement le contraire:ils gaspillent et perdent tout,même avec des cartes exceptionnelles!Voilà où réside notre liberté:nous sommes libres de jouer avec les cartes que l’on nous a distribuées.Et nous sommes également libres d’y jouer comme nous l’entendons,en fonction-là est l’ironie-de la chance de chacun,de sa patience,de son intelligence,son intuition ou son audace:vertus qui sont également des cartes distribuées au hasard au début du jeu.Que reste-t-il donc de la liberté de choix,dans ce cas?
Pas grand-chose,sauf peut-être la liberté de rire de notre situation ou de la déplorer,de jouer ou de ne plus jouer,d’essayer plus ou moins de comprendre les tenants et les aboutissants ou d’y renoncer,bref-nous avons le choix entre passer notre vie sur le qui-vive ou dans l’inertie »

bérénice dit: à

@ de nota 13h27: Et vous? considérez-vous que nous soyons maîtres de tous les paramètres, qu’il n’y aurait d’un coté que le jeu dont nous disposerions et de l’autre le « hasard » qui déciderait du jeu?

u. dit: à

« u. je ne comprends rien à vos mots d’esprit, vous m’agacez, est-ce que ça vous fait plaisir? » (bérénice)

Mais non, je vous assure.
J’écris comme je parle tous les jours, je ne sais pas faire autrement.
Je n’ai jamais nié être insupportable.

u. dit: à

Quel merveilleux livre, de nota, quel merveilleux livre.

Réviseur dit: à

Il est gentil Malek Chebel…L’ennui est que son point de vue est légèrement isolé et passablement vague quand on le lit bien. Il exalte la sexualité féminine, très bien, mais quand est-il avant et hors mariage? Il n’aime pas le mot hallal, mais mange-t-il du porc? Il dit que la burka n’est pas musulmane, mais quid d’un foulard qui désigne la femme comme différente des autres femmes et gentiment soumise (il dira « à Dieu », mon oeil…)? Il dit qu’il a traduit le Coran dans un français compréhensible par tous, mais le résultat est-il le même texte que celui que lisent en arabe le milliard de musulmans? Qu’a-t-il fait des passages monstrueux contre les mécréants, les chrétiens, les juifs, les femmes, les appels à la guerre sainte? Les a-t-il gentiment glissé sous le tapis ou édulcoré?

Chebel a toute ma sympathie, mais outre des ambigüités dans son discours, je doute qu’il représente beaucoup plus que lui-même et une poignée d’amis concentrés dans les arrondissements bobos de Paris.

bérénice dit: à

Et bien u. je ne vous entends pas.

blog booming you pi*°°° dit: à

« peuvent rester sur les dîmes » > peuvent rester sur les cîmes

Où va-t-on si le Correcteur automatique (ce SS, Barthes n’est pas allé assez loin) se met à faire de l’esprit?
le sens du double eût été d’écrire didymeCQFD

des journées entières dans les arbres dit: à

bérénice dit: 6 octobre 2013 à 13 h 36 min
c’est emminement drôle cette question; qui ne m’est pas posée, mais me fais penser à un truc.
Lorsque j’aurai fini ce livre de R. Ford, il m’est venu l’idée de le faire parvenir à un ami.
Un vieux souvenir, qui me venait de Whistler. Et qui y est retourné depuis. Quelqu’un qui avait essayé de m’initier au tarot de Marseille.

u. dit: à

« Et bien u. je ne vous entends pas. »

Ce n’est pas grave, bérénice.
Mais vous le savez déjà!

Clopine Trouillefou dit: à

Week-end Proust sur France Culture… Il paraît qu' »à l’ombre des jeunes filles en fleurs » est le tome de la recherche le plus lu par les jeunes. En France. En Angleterre, on préfère les romans policiers : à Londre, les jeunes lisent Chandler.

Chaloux, si vous voulez voir in extenso « la bergère et l’orchidée », contactez-moi. Ca devrait s’arranger. Et merci de votre intérêt pour le travail de Clopin (et de votre humble servante !)

C.P. dit: à

de nota, u. parlait aussi de la paix. Qui mérite le « qui-vive », en effet.
Je suis attentif, comme d’autres, aux remarques d’Amos Oz, dans « Une histoire… », concernant non pas une coexistence vraiment heureuse entre deux communautés, mais du moins les souvenirs de brutales ruptures et de déplacements, après 1948, et en somme de fréquentations d’enfance mal consolées.

Bon, l’imagination d’un seul état israélo-palestinien paraît une utopie. Et pourtant…

bérénice dit: à

13h47 Nos perceptions diffèrent et nos seuils également, sinon nous ne serions pas ici à apprendre à comprendre, à arraisonner d’autres quantités qui la plupart du temps me dépassent et qui contiennent tant de qualités qui nous travaillent.

JC..... dit: à

« bérénice dit: 6 octobre 2013 à 12 h 42 min
8h57 Rien qu’à vous lire JC ça fait mal »

C’est bon, n’est ce pas ….?
(tant de mots pour ne rien dire viennent à nos oreilles de contribuables !)

Appeler « racisme » une opinion légitime est castrateur : nous devons rester libres, et « entier ».

Robert Charlebois dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 6 octobre 2013 à 13 h 45 min
c’est emminement drôle Quelqu’un qui avait essayé de m’initier au tarot de Marseille.

lol. le pauvre…il a dû passer des journée entières dans le pâté avec un yab comme toi. tous tes posts rappellent la slotch du Canada, un pays que « tu finiras » pas non plus, pas plus que le livre. t’es trop épais mon kétenne.

JC..... dit: à

Chebel a du mérite. Robinson en avait, lui aussi….

blog booming you pi*°°° dit: à

et encore n’-at-on pas vu unchinois Wei qui se fait passer pour un(e) Weil

JC..... dit: à

« Bon, l’imagination d’un seul état israélo-palestinien paraît une utopie. Et pourtant… »

Cher, très cher CP !
la situation naturelle des hommes est d’être en guerre ou de préparer la suivante, mieux faite, plus courte, plus juste ….

Chaloux dit: à

On s’arrête vingt minutes, le temps de déjeuner.

Et puisqu’on en est à ressortir les vieilles histoires:

Si les allusions du culbuto de C., qui se croit un demi-dieu, à une batte de baseball (basebal…) concernent le petit feuilleton d’il y a quelques années:
1) Il se trompe de département : Alpes Maritimes.
2)A ce moment-là, j’étais à plus de mille kilomètres du lieu des opérations supposées, donc JB ne risquait rien. Pure rhétorique.
3) Toute forme de violence physique (et pas seulement d’ailleurs) me fait horreur. Mais je me rappelle toujours cette phrase de Freud:
« L’homme qui le premier a lancé une insulte au lieu de jeter une pierre est le fondateur de la Civilisation ».
L’insulte, les tensions, les débats houleux, la rhétorique extrême, ont un rôle de premier plan. Ce sont des signes de vie.

Voila, c’est dit.
Bon appétit.

des journées entières dans les arbres dit: à

Robert Charlebois dit: 6 octobre 2013 à 14 h 05 min

C’est très drôle aussi.
Ne prenez pas exemple sur xlew qui ne lit pas les livres dont il cause.

D. dit: à

J’avoue ne pas détester la violence physique.

D. dit: à

Appliquée aux gens qui le méritent, elle a du bon.

D. dit: à

Mais je n’attaque jamais le premier, sauf si je sens que mon adversaire veut attaquer le premier.

D. dit: à

Au collège j’avais une réputation de bastonneur.
J’ai du ma calmer au lycée sans quoi je risquais l’exclusion définitive. Ce ne fut pas de gaieté de cœur.

D. dit: à

Sinon je suis un gars assez doux et effacé.

des journées entières dans les arbres dit: à

ah mais j’y pense, on écrit  » Kétaine »
Vous avez des news de Cathy, Robert ?

court , pour transmission. dit: à

Il me semble qu’il y a longtemps, sans remonter à l’Amour du Monde de Ramuz, que les frontières sont poreuses entre roman cinéma, et roman, spécialement dans l’école Américaine. Donc pourquoi ne pas intégrer des éléments de série, ceci quel que soit l’auteur et le genre littéraire concernés -SF, Road Movie- Tant que cela nourrit un imaginaire et l’efficacité du récit. Après, il n’est pas dit que les références sérielles perdurent au delà de cinq ans, mais, si le livre est bon, il y aura toujours l’Université pour les retrouver…
Bien à vous.
MCourt

un brat de bistrot dit: à

Y a du vrai dans ce que tu dis, Court.

Un Sanglier de Brocéliande , pour transmission. dit: à

Clopine
Qu’il y ait une nappe phréatique à Brocéliande, oui.
Que vous en fassiez l’équivalent du lac du fantome de l’Opéra,c’est contestable. « la plus grande nappe de Bretagne »
Le problème de Brocéliande n’est pas l’élevage porcin, mais l’installation d’une décharge monumentale au lieu particulièrement mal choisi.
Bien à vous.

blog booming you pi*°°° dit: à

Juste assez pour conquérir sa place.
Sa place ? ou pour se conquérir et se garder une place ?

déjeuner à Thiers dans l'esse arable dit: à

« Il me semble qu’il y a longtemps, sans remonter à l’Amour du Monde de Ramuz, que les frontières sont poreuses entre roman cinéma » (Court)

Depuis Naissance d’une nation, je dirais, premier long métrage vraiment démarqué de la narration théâtrale.

C.P. dit: à

Mais oui, Marc Court : l’improbable hold-up (raté) des parents de Dell et Berner est vu ainsi par le narrateur lui-même.

déjeuner à Thiers dans l'esse arable dit: à

Bonjour, blog booming you pi*°°°
Ça va ? C’est la forme, aujourd’hui ?

Vaâca Houbà dit: à

dites, blog booming you pi°°°, vous savez que TKT vous confond parfois avec D. ? Ça vous flatte, ça vous vexe, ça vous agace ou bien ?

Annette dit: à

vous confond parfois avec D.

… quand ce n’est pas avec u./JC alias miroir mon beau miroir.

Annette dit: à

À partir de maintenant, puisqu’il a été profané, le beau pseudo Annette est à la disposition de tout un chacun. Vous pouvez en user librement.

Les champs obligatoires sont indiqués avec* dit: à

et ça, blog booming you pi le sait bien.

blog booming you pi*°°° dit: à

bref un bilan chantal, n’étant ni philosophe ni psy, et en aucune façon un génie de surdoué de la hainième génération, je ne comprends même pas lentemnet quand on m’explique clairement à la française: donc bref un bilan : stop ou encore ?
c’est kit ou double ou Keats ou doublons

Daaphnée dit: à

Donc pourquoi ne pas intégrer des éléments de série, ceci quel que soit l’auteur et le genre littéraire concernés -SF, Road Movie- Tant que cela nourrit un imaginaire et l’efficacité du récit. Après, il n’est pas dit que les références sérielles perdurent au delà de cinq ans, mais, si le livre est bon, il y aura toujours l’Université pour les retrouver…

En effet, les éléments de série, c’est ce que l’on retrouve aussi chez les surréalistes avec la figure de Fantomas par exemple, roman puis série télévisée puis figure emblématique chez les surréalistes …. chez Magritte, et-comment cela s’appelait-il déjà le « club de Fantomas » ? Quelque chose comme cela, où une mythologie moderne se dessine à partir de personnages populaires … question de lecture et d’interprétation, Fantomas la métamorphose, la transgression, le crime gratuit, etc …

C’est quand même, dans ce cas, qqc auquel on trouve une consistance ..

Les champs obligatoires sont indiqués avec* dit: à

D’ailleurs, si les champs obligatoires étaient indiqués avec#, b b y p* signerait blog booming you pi#. N’est-ce pas, blog booming you pi*°°°?

blog booming you pi*°°° dit: à

quoiqu’il en soit « bien ficelé » n’est pas précisément gratifiant .

Les champs obligatoires sont indiqués avec* dit: à

Vous avez raison, blog booming you pi*°°°, ça fait dindon prêt pour la broche.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…aujourd’hui,…je ne sais pas ce que vous avez avec les femmes soumises,…c’est votre cuisine,…et à vos casseroles,…
…mais,…
…pour moi,…il n’y a aucune  » gloire « ,…à fréquenté des femmes soumises, ou vendues ou achetées,…
…c’est du domaine d’une certaine  » bestialité « ,…toute gratuite,…pratiquement des crimes et commerces  » hors-la-loi « ,…

…aussi des parents qui en présentent leurs filles-femmes,…pour jouer au chat et à la souris,…
…maintenant, j’ai autres choses à faire,…que d’en parlé en long et en large,…et l’auditoire est presque vide,…
…autant en parlé aux aristo-chats errants,…et aux siamois des gouttières,…

…la classe universel de la majorité divisée,…etc,…toutes ces machoires de lion(ne)s, à nourrir,…un musée de poupées de cire à cacheté,…sur papier  » bible « ,…etc,…

Téléportage dit: à

« roman puis série télévisée puis figure emblématique chez les surréalistes »

?????
Téléflip book ?

le clan u. dit: à

Téléportage dit: 6 octobre 2013 à 15 h 33 min

Avec un sourire : elle a voulu dire « série cinématographique », hein, mais vous le savez déjà, comme disent les lycéens. Bah, ce n’est pas bien grave.

le clan u. dit: à

Lisez les textes de plus près, Téléportage. Feignant. Au boulot !

Vous devez être socialocommuniste.

Dernier café.

le clan u. dit: à

C’est sûrement la grosse Clopine avec ses sabots bouseux de provinciale qui déteint sur vous, hein.
Comment ? Vous ne saviez pas ?
[(Pfff..)]

Vous écoutez trop les islamophiles humanistes.

tout s'explique dit: à

u. dit: 6 octobre 2013 à 13 h 37 min
J’écris comme je parle tous les jours

d’où l’orthographe phonétique. ah, d’accord, d’accord.

Le bonjour d'Al dit: à

des journées entières dans les arbres dit: 6 octobre 2013 à 14 h 28 min
xlew qui ne lit pas les livres dont il cause.

Tiens, vous avez remarqué, vous aussi ?

Le bonjour d'Al dit: à

xlew ou le charme discret de la superficialité. De la conversation de salon considérée comme un art critique.

des journées entières dans les arbres dit: à

bah, faut lui pardonner ses faiblesses à xlew, il préfère être emporté par le torrent du Gard. C’est plus près de lui, il connait, il est pas dépaysé.
Bref, laissons-lui sa Tuil.

Daaphnée dit: à

Ah, U., de toutes les façons je doute fort que, télévisuel ou cinématographe, téléportage ait compris de quoi il était question ..

blog booming you pi*°°° dit: à

lisant un article sur Van Gogh et le Van Goghe de Pialat , et avec un énorme Zut, à tous, bon souper chez Levi

blog booming you pi*°°° dit: à

his« L’homme n’est peut-être que le monstre de la femme, ou la femme le monstre de l’homme. » Denis Diderot,

blog booming you pi*°°° dit: à

Gogh

JC..... dit: à

« L’homme n’est peut-être que le monstre de la femme, ou la femme le monstre de l’homme. » Denis Diderot

Parler pour ne rien dire…

blog booming you pi*°°° dit: à

pour nos grands scientifiques, mnémotechique facile à partir de l’article du monde sur Fermi prix Nobel de l’erreur
« Le coupable était dans l’uranium. Le minerai naturel d’uranium contient deux isotopes de cet élément. Le premier, l’uranium 238 (92 protons + 146 neutrons) est de très loin le plus courant puisqu’il représente plus de 99 % du minerai.
92 est le double de 46 ( que l’on reeconnaît dans 146 )

d'aucuns naissent posthumes dit: à

satanés pluriel

blog booming you pi*°°° dit: à

Cette erreur de Fermi, qui oure la grande aventure de la science contmporaine à Los alamos me fait penser à la grande erreur de la relation de double de Freud avec Fliess ,(avec d’autres aussi) ce qui n’empêcha la sorcière psy de se poser des questions sur le double
Rank avait aussi changé de nom, pour publier
sur wiki
. Contre son père avec qui il était en constante opposition, celui-ci était alcoolique, il change de nom à 19 ans devenant de fait Rank à la place de Rosenfeld en référence au bon Dr Rank de la pièce d’Ibsen la Maison de poupée.

blog booming you pi*°°° dit: à

Rank a été exclu par les psys à 46 ans
Il est exclu de l’association internationale de psychanalyse le 10 mai 1930
il était né en 84

blog booming you pi*°°° dit: à

ce qui n’empêcha pas la
etc !!

rose dit: à

chantal dit: 5 octobre 2013 à 16 h 09 min

bisoux rose et bonne soirée.
j’admire ceux qui achètent encore des vieux ouvrages en ligne ou ailleurs, pour ma part je me désencombre de tout ce qui est fumeux, vivre et assumer le quotidien c’est déjà bien énergivore, je ne suis pas près de la retraite et un fils aux études, j’habite en ville et c’est beaucoup de bruit mais aussi la vie qui bouge, la mousson d’été a bien de la chance d’être hébergée dans une magnifique abbaye et le vieux théâtre en bois de Bussang dans le ballon d’Alsace reste un bon souvenir malgré la pluie torrentielle.

>Chantal j’ai lu tous vos commentaires : de très bons moments ds votre stage, y compris les dortoirs de quatre. Ce matin à Inter j’ai croisé une fille maçon.
Je vous cherche un bouquin d’une autre fille sur retaper des maisons.
Contente de vous avoir rencontrée ; ne vous bilez pas.

à +

rose dit: à

>Clopine
sur le portrait de daaetc. il y a qq erreurs. C’est une provinciale angevine montée à Paris. Peu importe le nombre de générations (elle s’exclame « mindieu » ce qui dénote pas mal de choses). Pensez à la traîtresse Loire.

Face à vous, IRL elle ne tient pas 30 secondes.
Face à moi, un fétu.

J’ai changé d’idées, ce jour festif : nous sommes tout ce qu’elle est incapable d’être, des femmes de caractère.

Le pire étant qu’il nous faudra l’épauler quand, comme elle se nomme elle-même, elle sera une veuve folle. Où pourra-t-on trouver, christiane, vous et moi, une telle force d’âme pour le pardon et la solidarité ? Je ne le sais pas.

Je n’ai pas encore regardé votre production ; journée festive chez moi, dans mon village. J’ai étudié les enduits à la chaux, à la caséine ou tempera. Teintures minérales ou végétales.

Bien cordialement,
à vous et à christiane

rose dit: à

leg en anglais c’est la jambe. Legs au pluriel, le « s » final audible.

Un legs c’est un héritage.

Perdre 100 € sur un pari éhonté c’est dommage.

Daaphnée dit: à

Vous êtes vraiment impayable, Rose !
Vous faites donc comme clopine ? Dès que vous ne comprenez pas – et le nombre de vos incompréhensions tient du phénoménal – vous inventez ?

Entre vous et clopine, on ne se demande même plus laquelle de vous deux est la plus sotte .

On en rit .

Daaphnée dit: à

Ah ! Et juste en passant.
Au lieu de vouloir venir faire la savante comme clopine qui nous fait des bouillies indigestes de tout et n’importe quoi, consulter un dictionnaire.
Tiens, TLF:

Legs
« Étymol. et Hist. 1474 legs (Ordonnances des rois de France, t. 18, p. 95); 1690 legs universel (Fur.). Altération sous l’infl. du lat. legatum « legs », v. légat II de l’a. fr. lais, v. lais, par suite d’un faux rapprochement étymol., qui rapproche ce mot de léguer et le sépare de laisser. Fréq. abs. littér. : 302. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 548, b) 261; xxes. : a) 805, b) 191. »

au lieu de nous tenir la jambe !

la veuve folle, le retour! dit: à

Face à moi, un fétu.

Une hommasse, cette rose!
Un Quasimodo.

JC..... dit: à

L’auberge se transforme vite en abattoir, par ici …

fervent admirateur dit: à

« Entre vous et clopine, on ne se demande même plus laquelle de vous deux est la plus sotte  »

daaaf la seutte du bleug…

jean dit: à

daaphnée et JC ou le couple de débiles…

JC..... dit: à

Vous exagérez, jean ….. largement !

Agence M. dit: à

Vos informations sont erronées, jean, JC et Daaphnée ne sont pas en couple. Certes, la loi sur le mariage pour tous permet l’union de deux personnes de même sexe, mais JC ne mange pas de ce pain-là.

blog booming you pi*°°° dit: à

« et Novalis pour qui il en va du langage comme de formules mathématiques qui n’expriment rien sinon leur propre nature merveilleuse , et c’est pourquoi elles expriment si bien les rapports les rapports entre les choses » cité par M. Calle Gruber dans sa bio sur Claude Simon

blog booming you pi*°°° dit: à

Novlis né Novalis, de son vrai nom Georg Philipp Friedrich, Freiherr (en français, « baron ») von Hardenberg

blog booming you pi*°°° dit: à

il resterait à avouer que toute femme est malvenue sur ce blog A MOINS D’…..

JC..... dit: à

Qui pourrait imaginer une union pareille ?

Daaphnée est pour moi un rêve inaccessible, un objectif hors d’atteinte, une oasis entourée d’eau… une Brunehilde ensoleillée face à un contribuable exténué, assoiffé, à sec de toile !!

blog booming you pi*°°° dit: à

Kenzaburo Oé note , sur les hibakusha (gens d’Hiroshima)
« ces gens qui, ayant survécu à la plus effroyable des expériences… ont sans doute au tréfonds d’eux-mêmes un lien aussi étroit que des frères siamois

blog booming you pi*°°° dit: à

le Noel, ça y est !
Ne pariez plus !

blog booming you pi*°°° dit: à

écho comique dans le monde sur « être dérangé »
« Moi, je suis un tout petit peu dérangé par tous les discours sur la parité et les discriminations positives », a commencé M. Mantovani,
Bruno Mantovani, directeur du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP), compositeur et chef d’orchestre,

blog booming you pi*°°° dit: à

Les nouvellistes, les Canadiens et les éditions de l’Olivier sabrent le champagne : Alice Munro (1931) Nobel de littérature.
quelques autres aussi , (et pas seulement libraires ou institutrices )
pourquoi pas un billet P.Assouline !

blog booming you pi*°°° dit: à

ceci pour dire que d’autres s’ en réjouissent et s’en réjouiront

blog booming you pi*°°° dit: à

ce billet maintenant me fait soudain penser que l’on pourrait dire que le cerveau d’Einstein découpé par Le Dr Thomas Harvey est comme le double de la bastille dont les pierres furent envoyées dans les provinces par Palloy le bien nommé

blog booming you pi*°°° dit: à

je me souvenais bien de lectures sur le cerveau volé D’Einstein (qu’un bon praticien de nos jours aurait suggéré à sa mère pliquait l’un d’eux ! mais je n’avais pas remarqué que celui qui avait retrouvé le voleur était stev Levy
« . Ce n’est qu’en 1978 que Steven Levy, alors journaliste au New Jersey Monthly, retrouve sa trace à Wichita (Kansas). « Après un moment, il a admis qu’il était toujours en possession du cerveau, raconte-t-il. Il a marché vers une caisse marquée “Cidre Costa” et en a sorti deux bocaux dans lesquels, il y avait les restes du cerveau qui a changé le monde […] Il m’a dit que jusqu’ici il n’avait rien trouvé qui indique la nature physique de ce qui rendait ce cerveau spécial. » L’article relance cependant l’intérêt médiatique. Harvey enchaîne les interviews… avant de disparaître à nouveau, avec ses bocaux.

blog booming you pi*°°° dit: à

expliquait

blog booming you pi*°°° dit: à

excuses : l’article expliquait
 » aurait suggéré à la mère d’Einstein d’avorter!
sic

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« deux soeurs s’introduisent un jour dans la cabane , se cachent;elles voient l’homme embrasser et étreindre la statue de bois .Cela les fait rire, l’homme les découvre et les invite à dîner ……et elle ne racontera à personne « ce qu’il faisait avec la statue de bois » Levi-Strauss – Nous sommes tous de cannibales
peut-être cette page du chapitre « portraits d’artistes aurait-elle dû être rappelées sous le billet « on peut tomber amoureux d’une statue
 » LE 9 AOÛT 2013
Aimer une œuvre d’art, c’est courant. Mais l’aimer à la folie et nourrir une véritable passion amoureuse pour ? Faut voir. Un tableau, c’est difficile. »
P.assouline a voulu savoir comment fonctionnait ma pensée, ma mémoire en me proposant de mettre des commentaires .
D’utres raconteront peut-être, en faisant une enquête, commet les médecins, en France, après guerre conseillaient de soumettre des femmes, « des emmerdeuses forcément  » à des électrochocs…… à titre préventif .

blog booming you pi*°°° dit: à

comment
soumettre les jeunes femmes

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la prescription d’électochocs d’éducation-instruction(sans doute aussi par peur de la pensée psy ) se faisait encore dans les années 60- 70 forcément

blog booming you pi*°°° dit: à

électro….

blog booming you pi*°°° dit: à

D’a illeurs, j’ai un souvenir un peu vague soit d’avoirlu soit d’avoir entendu dans un film que Bettelheim ne prenait pas en « thérapie » des personnes qui avaient subi des électrochocs : donc cette pratique était quasi « commune « et bien connue

des journées entières dans les arbres dit: à

blog booming you pi*°°°

Sur le lien du Monde et l’article  » le Nobel de l’erreur » auquel vous faites référence, le 06/10 à 21h30, voilà une oeuvre collective pleine de souvenirs:
http://archives.universcience.fr/francais/ala_cite/expo/tempo/aluminium/science/mendeleiev/

J’ai entendu hier soir, sur la TV, qu’il y avait plus d’étoiles dans l’univers que de grains de sable sur la totalité des plages de la Terre.

Bon week-end.

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tout jute une « expérience » qui me sidère
dans un lieu public où j’avais ouvert l’ordi: et ayant cru reconnaître mon voisin comme un auteur et en psy(, chez Gallimard d’ailleurs -un livre débordait de s poche!) , je vérifie sur « images »: lui bien sûr tout aussi curieux pendant que j’avais le nez en l’air regarde sur mon ordi et me dis « oui, c’est moi ». et Nous avons échangé quelques mots !
ouf , ça va mieux quand même

blog booming you pi*°°° dit: à

chacun de nous deux- même lui très connu ses initiales M.S.- a dû penser très vite , vitesse de la lumière au moins
c
.

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quand même lu l’entretien de Razon
C’est une nouvelle vie, en partie permise par le livre. Après avoir écrit les hallucinations, il a pu les oublier. «Mais beaucoup de romans aident leurs auteurs. Et celui-là c’est sûr, représente beaucoup de choses, il me permet de clore un chapitre de ma vie». Dans la nouvelle vie, C’est une nouvelle vie, en partie permise par le livre. Après avoir écrit les hallucinations, il a pu les oublier.
sur Slate

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quelqu’un sait-il si du nom des deux soeurs d’Atropos ont été inventés des remèdes ? C’est peut-être une des urgences sources de l’étude du grec par P.Assouline

blog booming you pi*°°° dit: à

Le « Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France » a été lancé mercredi soir au Musée de l’immigration, à Paris. L’ouvrage consacre 90 personnalités qui se sont illustrées dans les sciences.Le « Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France » a été lancé mercredi soir au Musée de l’immigration, à Paris. L’ouvrage consacre 90 personnalités qui se sont illustrées dans les sciences

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treve des chers fantasmes , une notion moins répandue
Les retours de l’écrit dans l’impensé de la parole et de la langue
Jean Ricardou
http://linx.revues.org/1243

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Ce Tahar, dont le sentiment d’insécurité est le carburant, fait fortement penser
P.Assouline n’écrit pas qu’une femme s’est fortement identifiée , pour s’accomplir et être reconnue comme écrivain , mis il l’insinue encore plus cruellement, lui qui n’ignore pas comment dès le lycée les uns et les autres sont poussés à se conformer à des idées reçues par leurs éducateurs: il y a eu plus d’une études sur ces phénomènes , et cela a été rappelé dans un colloque par une anthropologue

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excuse :plus d’une étude

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assez débilitant, un ériain de la frontière teer-mer Georges Perros « l’homme ne mérite pas la psychanalyse  »
incidemment : y-a-t-il des traducteurs de breton?
Bonne journée

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un écrivain de la frontière terre-mère

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et une citation d’un poète (chez Gallimard)
« tel est mon double: un être qui n’a d’autres préoccupation dans la vie que de me nuire, dont tous les actes , toutes les pensées n’ont qu’un seul but : me diminuer, me plonger dans l’erreur, me perdre, m’anéantir: le contraire, exactement du du fameux « ange gardien », une sorte de démon, mais un démon rapiécé, aux idées étroite, un vilain petit espion, employant pour me surveiller des moyens bas, grossiers. …..
bonne suite

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excuse => d’autre préoccupation

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aux idées étroiteS

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nombre de personnes qui refusent ou n’avouent pas une rencontre avec des praticiens psy -on ajoutait naguère dignes de ce nom !- donnent spontanément comme argument que cela les déposséderait de leur potentiel créatif (rarement mis à l’essai) et usent et abusent du jargon professionnel psy et des différentes théories des praticiens qu’elles ont croisés et de ce qui leur en a été rapporté raconté par des amis, collègues qui se sont professionnellement familiarisés, parfois par nécessité (de diplomes)-ou des manuels divers

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en lui ôtant son imaginaire.
cette proposition qu’on puisse « ôter l’imaginaire » de quelqu’un me semble un expression qui n’est empruntée aux , ni ne reflète ni les langues des professionnels du psy , ni celles de bien des patients d’aujourd’hui et de leur entourage qui se sont instruits au plus pressé: par exemple sur internet
.

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une réponse de Sylvie Germain
Ah bon ? Je termine toujours par la lumière après une longue traversée de ténèbres… Comme dans tous mes romans, je pars sans plan. L’imaginaire a une logique tortueuse mais implacable. L’inconscient est doté aussi d’une sorte de logique. Je leur fais confiance.

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, concentrés en un personnage que l’on finit par trouver pathétique, même si on ne sait plus s’il est Samir, Samuel ou Sam
même si ? on s ‘ attendrait plutôt à « alors qu’on ne  »
au fond , on est épuisé quand on est arrivé à cette considération ,avec presque l’impression d’avoir lu tous les livres, vécu toutes les vies sous tous les cieux tous les mensonges, et tous les tourments :c’est faux bien sûr et pourt

blog booming you pi*°°° dit: à

, concentrés en un personnage que l’on finit par trouver pathétique, même si on ne sait plus s’il est Samir, Samuel ou Sam
même si ? on s ‘ attendrait plutôt à « alors qu’on ne  »
au fond , on est épuisé quand on est arrivé à cette considération ,avec presque l’impression d’avoir lu tous les livres, vécu toutes les vies sous tous les cieux tous les mensonges, et tous les tourments :c’est faux bien sûr et pourtant c’est vrai

blog booming you pi*°°° dit: à

un livre, voire un chapitre, une page, un paragraphe qui vous expliquent ce qui vous arrive mieux que vous ne sauriez le faire.:
que de fois j’ai eu l’impression que m’était expliqué non pas seulement ce qui m’arrivait mais aussi ce que je ne saurais ni ne vivrais jamais, n’éprouverais jamais. étrane situ

blog booming you pi*°°° dit: à

cette impression est très pénible : car il ne s’agit pas de question de « norme » que l’on veut respecter pour épargner des personnes auxquelles on tient mais des questions de sens de la vie:tel sur ce blog balance du « chéri-e »( mon dieu , mon dieu!)!tels autres vous accuse de n’avoir pas le sens de l’humour- un poète lecteur chez Gallimard disait déjà que c’était une tarte à la crème, cette injonction d’humour ….comme aujourd’hui de communication et des péridurales !

blog booming you pi*°°° dit: à

tel balance du chéri-e

blog booming you pi*°°° dit: à

la première photo m’émeut d’autant plus qu’elle ient à la rencontre d’histoires de double entre réalité et fiction dans mon histoire et que l’on y voit P.Assouline fidèle à ses goûts : il a déjà montré des photos de ce photographe .

blog booming you pi*°°° dit: à

tels autres -vous- accusent de …
au fond de ne pas se laisser mystifier par leurs jeux

blog booming you pi*°°° dit: à

C’est aussi palpitant qu’une bonne série télévisée dont les chapitres seraient autant de saisons. Efficace dans la férocité.
on peut aussi se dire que cette histoire peut mettre la puce à l’oreille à des jeunes lectrices
P.Assouline s’adresse donc à un lectorat déjà « formé » , au moins par ses soins .

des journées entières dans les arbres dit: à

« Où se situe la frontière entre la raison et la folie ? »
Au delà d’un schéma médical de diagnostic, qui essaie d’en fixer les bornes, la  » norme » comme vous l’écrivez blog booming you pi*°°° , -disons  » la norme sociale »-, comme elle peut être illustrée par ce livre de Canesi et Rahmani, avec leur livre  » Siamoises » et ce qu’on peut en lire ici ou là, en ne confondant pas imaginaire et inconscient, rêve et vécu,
ce matin j’ai lu, beaucoup, sur le net à propos des mystiques.
Que le terme soit associé à psychanalyse, religion, psychédélisme.

L’aventure littéraire de S. germain, et ses « images mentales » ne serait-elle pas de cet ordre, une « expérience » mystique ? ( elle a dit écrire pour être la première  » surprise »)
Tout comme celle de Tuil ?
Tout comme la conclusion de ce billet, et ce terme « moral », tout à fait incongru dans la chute ? On se réveille, didon ! ou alors: ton rêve n’était pas moral, réveille-toi !

PS: Juste signaler que  » Canada » n’est ni « double », ni mystique, ni psy.

blog booming you pi*°°° dit: à

la norme ? sur le monde:
« xpérience. Ce jour-là, « un garçon a décidé de sauter du 4e, raconte-t-elle. Il a fini sa chute devant notre amphi. Une marche a été organisée par des étudiants, mais il y a eu peu de réactions de la part des professeurs. Ils avaient l’air de se foutre de ce qui s’était passé. La vie a suivi son cours et nous avons repris les nôtres, en silence. Rien ne devait perturber l’ordre de cette fac ! J’ai alors réalisé que ce milieu, si froid, n’était pas pour moi. »

Dégoûtée, Inès n’avait dès lors plus qu’une idée en tête : fuir l’université de Strasbourg où elle faisait ses études de droit. C’est aujourd’hui chose faite. La jeune femme de 25 ans a abandonné le droit pour une école de communication en Belgique. « Quand j’étais à Strasbourg, j’avais l’impression que ce que je vivais était normal, se souvient-elle. En venant ici, je me suis rendu compte que ça ne l’était pas… »

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Sam Peckinpah, né le 21 février 1925 à Fresno – mort le 28 décembre 1984 à Inglewood, était un scénariste et réalisateur américain.
Peckinpah prétendait avoir un grand-père indien, ce qui a été démenti par les membres de sa famille et ses biographes

blog booming you pi*°°° dit: à

rappel sans psy mais avec wiki
L’origine de l’Oncle Sam semble remonter à la guerre de 1812. Les militaires de la base de Troy (État de New York), recevant des caisses de viande marquées « U.S. », interprétaient avec humour ces initiales en « Uncle Sam » en l’honneur de leur fournisseur Samuel Wilson.

blog booming you pi*°°° dit: à

pas de blues:
Les auteures soulignent deux formes antagonistes de mise sous tutelle de la violence des femmes : soit elle est intégrée à une lecture naturalisante du genre, et pensée comme le propre du féminin qu’il convient de civiliser ; soit elle est pensée comme subordonnée à celle des hommes et comme renforçant finalement la domination masculine. La naturalisation de la violence des femmes se décline sous plusieurs formes : culturaliste ; biologisante ; psychologisante. Ces lectures renvoient par exemple les femmes criminelles à une forme d’hystérie qui induit un traitement singulier de la violence des femmes : la mise sous contrôle de leur corps et de leur sexualité, considérés comme responsables de leurs déviances. De ce fait, c’est l’institution médico-psychiatrique qui est le plus souvent chargé du traitement de la violence des femmes, lorsqu’elle est reconnue, alors que les hommes sont soumis aux instances de répression « classiques » : police, justice, prison.

Une autre façon de priver les femmes de la responsabilité de leurs actes de violence consiste à les penser comme un contrecoup de la violence des hommes et de la domination masculine. Les femmes arabes kamikazes étudiées par Sonia Dayan-Herzbrun sont ainsi vues comme les instruments – nécessairement dominés – du fanatisme des hommes alors que les femmes d’Action directe évoquées par Fanny Bugnon sont des amoureuses, victimes de leurs sentiments… Sous un autre angle, les violences commises par des femmes au sein du couple sont aussi souvent considérées comme une conséquence des violences du conjoint. Clothilde Lebas montre ….
http://www.laviedesidees.fr/La-violence-a-t-elle-un-sexe.html

blog booming you pi*°°° dit: à

sur Nabokov
? And Leymanski’s character, we’re further informed, is derived in part from the hamfistedly named “Dr. Froid,” a figure mentioned in passing in Ada proper. We know that the inventor of psychoanalysis, that “Viennese witchdoctor,” ranked only with Dostoevsky in the Nabokovian catalogue of comic intellectual or literary horrors. So this is how the old devil took oblique revenge on Amis’s review of Lolita, a pan justified by the book’s fundamental flaw that “so far from being too pornographic, it is not pornographic enough.”

blog booming you pi*°°° dit: à

Il aurait fallu interdire
on ne se demandera pas quelle a été la part de l’éditeur dans les choix et la mise au point, et noeuds ultimes , ni si P.Assouline etc, etc,
etc, .
bonne suite !

blog booming you pi*°°° dit: à

médecin?
Voilà ce que le docteur Louis Portes, président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, écrivait en 1954 au sujet du patient, qu’il qualifiait ailleurs de « jouet à peu près complètement aveugle, très douloureux et essentiellement passif, qui n’a qu’une connaissance objective très imparfaite de lui-même » [2]. En somme, le savoir médical serait une sorte de potion précieuse et rare mais aussi une potion dangereuse lorsqu’elle se trouve aux mains des profanes pour lesquels elle est conçue.
http://www.laviedesidees.fr/Les-servitudes-du-droit-de-savoir.html

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dans son beau livre rassemblant les questions qui l’ont requis au long de sa carrière, »le fil et les traces, l’historien Carlo Ginzburg conclut le chapitre « tolérance et commerce » du physicien Freeman Dyson et son autobiographie
« disturbing the Universe » « les dérangeurs de l’univers »

des journées entières dans les arbres dit: à

veille sanitaire ,blog booming you pi*°°°

« La personne est tenue d’informer les membres de sa famille potentiellement concernés dont elle ou, le cas échéant, son représentant légal possède ou peut obtenir les coordonnées, dès lors que des mesures de prévention ou de soins peuvent leur être proposées » (Article L1131-1-2 du Code de la santé publique, Loi n°2011-814 du 7 juillet 2011 – art. 2).

des journées entières dans les arbres dit: à

« Freeman Dyson s’est attiré un torrent d’invectives sur Internet, dans les journaux et jusque dans sa boîte aux lettres électronique. Il s’est vu tour à tour qualifié de “crétin présomptueux”, “fanfaron”, “fosse septique de désinformation”, “vieil excentrique” et “savant fou”. Car Dyson a eu l’imprudence de déclarer que les accès de fièvre du climat n’étaient peut-être pas si néfastes puisque le dioxyde de carbone favorisait la croissance des plantes. Et il a même ajouté que, si le niveau de CO2 devenait trop important, il serait toujours possible de le réduire en cultivant massivement une espèce génétiquement modifiée d’arbres “mangeurs de carbone”. »

« Les arbres absorbent du CO2. C’est vrai mais quand ? Quand se produit la photosynthèse, c’est à dire le jour »
http://www.palais-decouverte.fr/index.php?id=905

blog booming you pi*°°° dit: à

qui n’est pas à une occasion ou une autre , conférence, séminaire ,entretien plus privé, traité de crétin sur internet, et en France dans les cercles intellectuels nourris de psychanalyse de présomptueux, narcissique,et docteur folamour et fou ?

des journées entières dans les arbres dit: à

S’il me fallait retenir quelque chose, d’essentiel, c’est bien cela:
“Les gens qui étudient le réchauffement climatique en utilisant des modèles de simulation ont toujours tendance à surestimer la fiabilité de leur outil, explique-t-il. Ils en viennent à croire que leurs modèles représentent la réalité et oublient que ce ne sont que des simulations.”
Cette « fiabilité de l’outil » et des modèles, une nouvelle croyance.

blog booming you pi*°°° dit: à

conclut le chapitre par l’évocation
le livre de Ginzburg se termine par celle de l’histoire de Martin Guerre
bonne soirée

blog booming you pi*°°° dit: à

Arrive le beau-père, attentionné, trop même.

nouv obs:

ACCUEIL > QUESTION D’ACTU > DES CHERCHEURS PEUVENT ESPIONNER NOTRE CERVEAU
Ecole de médecine de Stanford
Des chercheurs peuvent espionner notre cerveau
par Audrey Vaugrente | Publié le 16 Octobre 2013

Surveiller les pensées serait-il bientôt possible ? On s’approche en tout cas de cette possibilité, avec la découverte des zones du cerveau qui gèrent la fonction de calcul.

PURESTOCK/SIPA
SUR LE MÊME THÈME
« Cerveau : des chercheurs pilotent une transmission de pensée »
« Nous pouvons maintenant espionner le cerveau dans la vie de tous les jours. » Voilà comment Josef Parvizi, professeur de neurologie à l’Ecole de Médecine de Stanford (Californie, Etats-Unis) résume sa découverte, publiée ce 15 octobre dans Nature Communications. Son équipe a identifié la région du cerveau qui s’active lorsque les chiffres, précis ou subjectifs, sont évoqués par la pensée : le sillon intracrânien. Cette zone contrôle également le mouvement des yeux et des mains. Si on est encore loin de l’espionnage et du contrôle de la pensée, on sait tout de même interpréter l’activité du cerveau.

Des électrodes espionnent l’activité cérébrale
« C’est excitant et un peu effrayant, » selon Henry Greely, détenteur d’une chaire d’éthique en biomédecine à Stanford. « Cela démontre dans un premier temps que nous savons quand quelqu’un utilise des chiffres, dans un second que nous pourrions manipuler l’esprit pour modifier la façon dont une personne appréhende les chiffres. »

Les chercheurs ont observé l’activité du cerveau à l’aide d’électrodes, implantées à la surface du cerveau. Ils ont utilisé une méthode appelée « enregistrement intracrânien. » Cela suppose de retirer une partie de l’os le temps de l’analyse. Le procédé est novateur puisqu’il permet d’analyser l’activité cérébrale en conditions de vie réelle. Les autres méthodes ne le permettent pas. Pendant une semaine, les participants à l’étude sont restés branchés à un appareil, presque sans bouger de leur lit. Mais ils ont reçu des visites de leurs proches, regardé des vidéos, mangé, bu, pensé… le tout sous étroite surveillance.

Chaque électrode a espionné un groupe de cellules nerveuses et rapporté les résultats à un ordinateur central. Les patients ont aussi été filmés afin de faire correspondre les réactions du cerveau à leur activité.

Certaines zones s’activent lorsqu’on évoque des quantités
La découverte de l’équipe de Stanford est pour le moins inattendue. Les pics du sillon intrapariétal, qu’ils supposaient liés aux fonctions de calcul uniquement, se sont activés hors des situations de test. Lorsqu’un patient mentionne un chiffre ou une référence quantitative (« plus que », « beaucoup » ou « plus gros que »), un pic d’activité électrique survient dans les mêmes cellules nerveuses que lors d’un calcul.

Les sceintifiques ne cachent pas leur enthousiasme : « Les cellules nerveuses ne se déclenchent pas de façon chaotique. Elles sont spécialisées, elles s’activent seulement quand le sujet évoque des chiffres, » précise Josef Parvizi. Il est donc possible, simplement en observant l’activité cérébrale, de savoir quand les participants évoquent une quantité.

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un billet que j’ai troué aussi bien ficelé -puisqu’il permet à P.Assouline d’avancer-présenterdes questions débattues au moins dans des cours et des séminaires philo-psy depuis nombre d’années, qu’agaçant.

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c’est un billet que j’ai trouvé particulièrement agaçant parce qu’il semble que son propos soit surtout de présenter des questions amplement débattues dans nombre de séminaires et colloques philo-psy littérature et auxquelles les jeunes sont sensibilisés dès le lycée : au moins .
le blog de P.Assouline tout en étant un des plus stimulants de la toile ne m’incite donc pas à y écrire une ligne de plus .

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http://middlestage.blogspot.fr/2006/04/alberto-manguel-with-borges.html
Essays on Indian and world literature
dixit Manguel à propos de Borges
 » He had no patience with faddish literary theories and blamed French literature in particular for concentrating not on books but on school and coteries….He was a haphazard reader who felt content, at times, with plot summaries and articles in encylopaedias, and who confessed that, even though he had never finished Finnegan’s Wake,…. »

blog booming you pi*°°° dit: à

index
précision : dnas le livre de Jean Clet Martin, l’index des noms propres est précisé par une parenthèse « réels ou imaginaires »

la biographie de l’éternité est publiée dans une collection de « philosophie imaginaire »

blog booming you pi*°°° dit: à

Pour qui n’a pas lu les livres, c’est un billet absolument impossible à commenter tant il est difficile de dissocier les interprétations proposées par P.Assouline des protagonistes des fictions des romanciers : on peut supposer qu’il en a été intéressé, pour les problématiques qu’il en extirpait, mais peut-être pas passionné .
il me semblerait donc malhonnête d’opiner de plus près .

blog booming you pi*°°° dit: à

Kubla Khan est un poème de Samuel Taylor Coleridge (1772-1834), qui évoque l’empereur mongol Kubilaï Khan, fondateur vers 1280 de la dynastie chinoise des Yuan et son palais d’été de Shangdu, ville à laquelle Coleridge donne le nom devenu célèbre de « Xanadu ».

blog booming you pi*°°° dit: à

si j’avais désiré demander à P.Assouline quelque chose à propos de ce billet, je lui aurais demandé de préciser par des exemples-pas forcément des citations de ces tics- ce qu’il ressent dans un texte comme « relevant de l’affèterie », sinon de l’affèterie caractérisée

blog booming you pi*°°° dit: à

elle a choisi de s’y installer
Fatiguée mentalement, elle rentre définitivement au Japon en 19734. À partir de 1977, elle vit dans l’hôpital psychiatrique Seiwa (清和病院, Seiwa byōin?) à Tokyo3. Elle dispose d’un atelier en plus de sa chambre au sein de l’hôpital. Son « studio », lieu de travail de son équipe, est situé de l’autre côté de la rue.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Yayoi_Kusamahttp://fr.wikipedia.org/wiki/Yayoi_Kusama

blog booming you pi*°°° dit: à

c’est apparemment à 48 ans47 +1 s’est ‘installée à l’hôpital
autre remarque
Borgès est mort 48 ans , soit47 +1 ans après cet accident de 1938 où il heurta le battant d’une fenêtre ouverte, trauma où il perdit la parole, et qui amplifia sa cécité (dans le préambule de Jean Clet Martin , le rappel de cet accident

blog booming you pi*°°° dit: à

1938 est aussi la date où il devient bibliothécaire, donc 47+1 an avant sa mort

blog booming you pi*°°° dit: à

qu’elle s’est installée (elle :Kusama)

blog booming you pi*°°° dit: à

tandis que je lis « Fame and Infamy
J. Michael Lennon’s ‘Norman Mailer: A Double Life’ », je note que  » No fewer than 15 biographies, quasi-­biographies and remembrances, by admirers, literary historians, wives and a mistress, have been published since 1969, when the torrent of Mailer-centric scholarship began, almost four decades before his death in 2007. My rough calculation… »
En 1969 , Mailer a 46 ans
et de 69 à sa mort en 2007 , il y a 47 ans

blog booming you pi*°°° dit: à

un ultime effort
 » Autrement dit : par souci de préservation de l’ordre social, peut-on amputer des êtres de leur imaginaire, de leurs songes et de leurs fantasmes ? »
les médecins ne pensent pas qu' »amputation » dans leurs fantasmes de consolation des humains d’être des humains.

JC..... dit: à

blog booming you pi*°°°
Pourquoi ne tenez-vous pas un blog ?

blog booming you pi*°°° dit: à

pas tout à fait hors sujet, une remrque de V.Debaene qui est à l’origine de son lire « l ‘adieu au voyage » (gallimard!)
« d’où l’intérêt de partir d’un phénomène aussi isolé et identifiable que ces « doubles livres des ethnologues français » (introduction)

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livre « l’adieu au voyage » « l’ethnologie entre science et littérature » Vincent Debaene

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parce que si Nabokov vous rappelle le docteur Froid, Vincent Debaene rappelle la place de Lucien Lévy-Bruhl dans l’archive des fondations

des journées entières dans les arbres dit: à

blog booming you pi*°°° dit: 12 octobre 2013 à 19 h 44 min

« Le « Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France » a été lancé mercredi soir au Musée de l’immigration, à Paris. L’ouvrage consacre 90 personnalités qui se sont illustrées dans les sciences. »

C’est tout à fait étrange et mystérieux cela.
Il me semble que ce n’est pas sous cet angle de la science que cet annuaire ait été présenté par P. Assouline.

blog booming you pi*°°° dit: à

voici la photo de Ronis place Vendôme 1947-que j’aime infiniment- qu’ait présentée P.aSSOULINE qui a douté de ma mémoire et mon regard

blog booming you pi*°°° dit: à

qu’avait présentée

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