60 ans de « Masque », 30 ans de « Répliques » : bon anniversaire !
Combien de temps une émission-culte peut-elle demeurer une émission-phare ? La preuve par deux : Le Masque et la plume, cela fait soixante ans ; Répliques, trente. Les deux viennent de souffler les bougies autant que l’air du temps le permettait.
Les fidèles disent « le masque » et Dieu sait qu’ils sont nombreux, tenaces et inconditionnels dans leur fidélité. Soixante ans que cela dure sous les férules successives du tandem François-Régis Bastide/Michel Polac, Pierre Bouteiller et Jérôme Garcin. Ce dernier vient d’y consacrer un livre-anniversaire Nos dimanches soirs (299 pages, 19 euros, Grasset/ France Inter) au ton un rien nostalgique alors que l’aventure continue, et de plus belle, avec un public nombreux que le podcast a encore augmenté. On peut, comme s’y emploie son chef d’orchestre/chef de gare/chef de gang depuis 1989, définir cette émission comme une réunion publique de beaux parleurs, un concours d’éloquence ou la rencontre entre l’Actors Studio et le grand oral de l’Ena. Au fond, c’est avant tout une pièce de théâtre.
Ne jamais oublier qu’elle est enregistrée en public trois jours avant sa diffusion. Ce qui change beaucoup de choses. Les critiques s’y produisent devant les centaines de personnes en gradins qui garnissent le studio Charles-Trenet. De quoi stimuler et encourager le cabotinage sinon la démagogie. Tout le sel de la joute orale. Nul doute qu’il en serait autrement dans le catimini d’un petit studio classique où l’on distingue à peine les réactions sur le visage des régisseurs à travers la vitre. Des passeurs, certes, mais des comédiens que ces chroniqueurs (je m’honore d’en avoir été de temps à autre, autrefois).
Pas sûr que tous bannissent « la complaisance et l’élitisme, l’à-plat-ventrisme et l’à-quoi-bonisme », ainsi que l’assure sans trembler le chef de la bande. On a même régulièrement la preuve du contraire chez tel ou telle. Mais globalement, c’est vrai que nul n’est épargné. Pas sûr que le conseil du Baltasar Gracian du Criticon y ait été souvent suivi d’effet : “ Tout bon entendeur doit y trouver salut et s’y retrouver non sali “.
Au vrai, lorsqu’un créateur consacre quelques années de sa vie à écrire un roman ou une pièce, à réaliser un film, s’il comprend qu’il faut accepter d’être critique selon l’adage “Qui expose s’expose”, il n’apprécie pas que l’on se serve de son travail pour rivaliser de bons mots, faire tordre de rire le public et s’emparer d’une oeuvre à seule fin d’en guignoliser l’auteur. Pas de droit de réponse qui tienne face au massacre. Les critiques bien nés se souviennent d’un papier assassin d’Henri Jeanson sur Un grand amour de Beethoven, film d’Abel Gance avec Harry Baur, à la suite duquel il adressa au journal une lettre pour se plaindre, que le critique commenta d’une phrase : « Même la lettre est mauvaise ». Le même Jeanson, lorsqu’il oeuvrait dans la critique dramatique, avait été fort mécontent de se retrouver à une première place derrière un pilier ; ne voyant que la moitié de la scène, il quitta le théâtre furibard à la moitié de la pièce et publia la moitié d’un article.
Sur ce plan, celui de la partialité de la critique d’humeur, comme sur les autres (vivacité du débat, violence des partis pris, humour, jugements acérés, dérision, goût des formules qui tuent – « c’est curieux de nullité »-, caricature, rosserie, exagération) rien n’a changé. Y compris dans l’excès en toutes choses. Jusque dans la méchanceté. Ainsi est-ce vécu à juste titre par nombre de créateurs systématiquement étrillés. Ils feraient mieux de ne jamais écouter cette émission lorsqu’elle les concerne de trop près, conseil d’ami que je suis le premier à suivre. De toute façon, gentillesse ou méchanceté, cela n’a guère de sens puisqu’un critique juge en fonction d’un absolu de la littérature, du cinéma ou du théâtre. Tant pis pour les dégâts.
A cette tribune, on a l’excommunication d’autant plus facile que l’on est dans l’entre-soi ; il en serait autrement si l’on faisait face à l’offensé. Mais lorsque la mauvaise foi enveloppe la malhonnêteté intellectuelle, c’est à mépriser et à fuir. Il suffisait d’écouter le florilège des moments les plus saillants proposé dimanche dernier par le malicieux Jérôme K. Jérôme Garcin pour s’en convaincre.
« Les critiques de théâtre sont un peu plus violents que les autres. Les critiques livres, eux, se régalent à prendre un air accablé pour lire une phrase accablante. Il y a plus d’empathie chez les critiques cinéma. Pour le reste, le principe est le même : on examine la forme, le style, avant le propos, l’histoire” explique l’animateur.
Grâces en soient rendues au légendaire tandem de frères ennemis Charensol/Bory qui ne perdait jamais une occasion de rompre des lances. La tradition a perduré avec les critiques cinéma Ciment/Kaganski, en théâtre avec Nerson/Costaz (autrefois Sandier, Schmitt) et même en littérature avec Crépu/Viviant. C’est peu dire que ces antagonismes sont encouragés ; ils font vivre l’émission et participent à sa réputation. Ils en sont l’esprit, à défaut de l’âme, pour le meilleur et pour le pire. Comme si on avait placé un micro à la bataille d’Hernani. Tant et si bien qu’au lendemain du suicide de Jean-Louis Bory, apprend-on dans Nos dimanches soirs, François-Régis Bastide envisagea de mettre un terme au Masque : « Car sans Bory, la fête était finie ». On aura compris, au cas où le doute planerait encore, que la radio, c’est du spectacle. Au fond, cette émission a préfiguré avec quelques décennies d’avance une récente tendance qui a consisté à installer des caméras dans tous les studios où se fait l’information en direct, comme c’était déjà le cas pour le divertissement.
Et ceux qui se demandent selon quelle mystérieuse alchimie se choisit l’indicatif d’une émission découvriront dans ce livre que c’est souvent pour des raisons extra-musicales : la Fileuse de Mendelssohn, extraite de Romances sans paroles (opus 67, No4) interprétée au piano par Daniel Barenboïm. Avant, un impromptu de Schubert accompagnait le générique du Masque. Mais en 1975, Bastide décida soudain d’en changer. Pour deux raisons : Bory le mélancolique survolté se trouvant en clinique terrassé par la dépression, l’animateur espérait que ce signe amical et particulièrement gai aurait des vertus thérapeutiques ; et le courrier du Masque étant devenu depuis quelque temps irrespirable, des auditeurs évidemment anonymes s’étant plaint du « trop de youtres à la tribune », plutôt que d’y faire le ménage comme on l’y invitait, Bastide leur infligea une double peine en choisissant un compositeur juif interprété par un musicien juif.
Nos dimanches soirs est en filigrane un bel éloge de la critique. Ne manque qu’une seule dimension à ceux du Masque pour être pleinement convaincants : le sens de l’autocritique, s’agissant notamment d’une tendance à sacrifier le fond d’une œuvre pour s’offrir l’effet facile d’un jeu de mots. Il leur faudrait tomber le masque. Cette famille d’esprit y gagnerait en noblesse ce qu’elle perdrait un peu en rigolade. « Plus on s’engueule, plus on est près de la vérité » disait Claude Chabrol. Raison de plus pour continuer à allumer le poste le dimanche à 20 heures et des poussières pour ce pur plaisir si français de la conversation lorsque, après avoir ferraillé, l’on s’accorde enfin sur ses désaccords.
Lors de la soirée anniversaire du Masque et la plume, qui s’est tenue jeudi dernier dans le studio Charles Trenet, au cours de laquelle deux émissions ont été enregistrées en présence d’invités, il y eut quelques beaux échanges. Celui-ci par exemple :
« Jean-Michel Ribes : A 25 ans, j’ai pleuré en écoutant votre émission : ce que vous avez dit de ma première pièce était tellement cruel et injuste… Et puis quoi : les critiques ne racontent pas la pièce : ils parlent d’eux. Le manque de talent, parfois, la haine le remplace. Enfin, c’est mieux que rien…
Les critiques : Nous ne nous adressons pas aux créateurs, contrairement à ce qu’ils croient, mais au public.
J.M. Ribes : Trop difficile d’être critique.
Les critiques : Qu’en savez-vous ?
J.M. Ribes : Ca ne doit pas être drôle d’aller tous les soirs au théâtre ».
Quand on vous dit que le Masque est une pièce ! Ce soir-là, on a pu notamment entendre cette réaction chue du courrier des lecteurs :
« Quand vous dites du mal d’un spectacle, est-ce que ça pourrait prendre moins de temps que quand vous en dites du bien ? »
Répliques n’a pas eu la chance du Masque de fêter dignement son anniversaire. A croire que le sort s’acharne sur l’émission d’Alain Finkielkraut. 2015 est l’année de ses trente ans. Cela devait être célébré par deux émissions enregistrées pour une fois en public avec des invités prestigieux : la première fois, la grande grève de mars-avril dernier a imposé l’annulation ; la seconde fois, la semaine dernière, les mesures de sécurité pendant les trois jours de deuil national faisant suite aux attentats, ont également poussé à l’annulation. Pas de chance. Raison de plus saluer cette émission qui n’a rien de commun avec le Masque, qui se situe même aux antipodes.
Pas de public qui applaudit aux saillies des uns et des autres, pas de critiques pour se battre en duel. Juste deux invités en studio feutré, parfois un seul, sans oublier l’invité principal, l’animateur de l’émission Alain Finkielkraut ; mais autant le temps de parole qu’il s’attribuait exaspérait autrefois, autant l’on peut désormais s’en réjouir. D’abord parce qu’il l’a réduit, ensuite parce que dans tout débat d’idées, c’est avant tout avec lui que l’on a rendez-vous eu égard à la place qu’il a prise désormais dans le champ médiatique et intellectuel. On est rarement déçu, sauf lorsqu’il quitte son domaine de compétence et s’aventure en territoire pour lui incertain : peinture, musique, cinéma, bref les domaines artistiques.
Pour le reste, que ses invités soient des abonnés (Paul Thibaud, Pierre Pachet, Marcel Gauchet etc) ou inattendus sinon inconnus, c’est un festival d’intelligences en action, un crépitement de réflexions et de citations qui ouvrent des pistes et des perspectives, stimulent d’autres réflexions, reflètent parfois les recherches en cours en philosophie, histoire, sciences humaines. De la conversation faite controverse entre des gens de bonne compagnie qui ne craignent pas si nécessaire que la polémique se fasse pugilat. Malgré et peut-être grâce aux thèmes (l’école, le communautarisme, la Shoah) et références (Arendt, Péguy, Lévinas) récurrents d’Alain Finkielkraut, son inquiétude et son intranquillité trop hâtivement catalogués comme une propension au tragique, toutes choses que d’aucuns jugeront obsessionnelles mais qui constituent la cohérence d’une pensée sur la durée.
Dans ce pays où l’on est sans cesse sommé de répondre aux injonctions binaires (êtes-vous Voltaire ou Rousseau ? Beatles ou Rolling Stones ? etc), osons être Masque et Répliques. Un concert de voix que ces deux rendez-vous hebdomadaires qui restent, à leur meilleur, des phares dans la circulation des idées et des arts. J’oubliai : la première, c’est sur France-Inter, la seconde, sur France-Culture. Alors, au cas où vous auriez encore un doute, vive la radio du service public !
(Photos Henri Cartier-Bresson)
959 Réponses pour 60 ans de « Masque », 30 ans de « Répliques » : bon anniversaire !
Quasi jamais de maghrébins dans le public de la comédie française, baroz. Rien n’a changé depuis le roi soleil qui ne portera pas le chapeau de la république.
christiane dit: 27 novembre 2015 à 13 h 28 min
outre son éducation -milieu raciste, fascisant- il essaie d’attirer l’attention sur sa pauvre existence, ça lui l’illusion d’être au-dessus des autres ( que ses maîtres appellent le troupeau )
Attila dit: 27 novembre 2015 à 13 h 46 min
Vous n’avez pas le monopole du coeur, monsieur masud al-bukhari ?
J’ai trouvé ce prolongement politique sous une apparence militaire profondément déplacé.
Si « nous sommes en guerre », le Président devra-t-il habiter les Invalides pour ne pas rater le discours compassionnel devenu nécessaire à l’adresse des futures (nombreuses) victimes?
Réveillez-vous, bobos!
« Chacun fait ce qu’il peut , comme il le sent, là où il est. » Christiane;
Acceptez donc, aussi, que des parents de victimes ainsi que de nombreux citoyens, n’ acceptent pas le drapeau cache-sexe sociétal comme sempiternel repentir.
Une dernière cuillerée de purée de pois idéologique pour la route.
« Habitant-e-s de Saint-Denis, nous avons vécu comme tous les dionysien-ne-s un mercredi 17 novembre particulièrement angoissant. L’intervention des forces du Raid et de la BRI contre des terroristes retranchés dans un appartement de la rue du Corbillon a placé la ville sous la terreur et le blocus militaire pendant quelques heures. Évidemment celles qui ont le plus souffert, ce sont les 30 familles qui vivaient dans les appartements de l’immeuble concerné. Réveillées à 4 heures du matin par les tirs en continu et les explosions, elles ont vécu un cauchemar, obligées de se calfeutrer, de cacher les enfants et de n’avoir plus rien d’autre à faire que de prier pour ne pas mourir. Evacuées en urgence, elles ont quitté leur domicile sans leurs affaires personnelles.
Au fond, ce traitement spécifique accordé aux familles des classes populaires n’est qu’une illustration, par l’abject et par l’absurde, d’une situation vécue quotidiennement à Saint-Denis : celle d’un Etat aux abonnés absents, discriminant quand il n’est pas maltraitant. À Saint-Denis, pendant l’union nationale et l’état d’urgence, la guerre contre les pauvres et les immigré-e-s ne connaît pas de trêve.’
C’est dans Libé, where else?
nous nous nous
sommes sous les immigrés.
Christiane il faut laisser parler les jc comme il faut laisser parler les Céline car ils representent sociologiquement un grand nombre de francais et puis les grands sentiments en avalanche ne valent pas un bon srrvir
Service de renseignements
Vous devez savoir, cher Monsieur Pierre Assouline, qu’on vous lit jusqu’icite dans notre belle province, nous apprécions vos billets de grande intelligence et les commentaires de quelques intervenants (chez les dames : bérénice, Clopine, christiane, lola, Madame Vernigia; chez les messieurs : Attila, Barozzi, Bloom, William Legrand, PMP, Paul Edel), nous rions souvent aux propos trissotinesques d’un MCourt ou ceux chaloupés d’un Chaloux, mais nous nous posons une question sur un personnage peu ragoûtant qui se répand sous différents pseudos à la noix comme dit chez nous, l’ignoble JC; à son sujet nous nous posons la question : quelle différence y-a-t-il entre un imam salafiste et ce JC ? réponse: aucune, ils prêchent tous les deux la haine, l’un en arabe, l’autre en français (enfin presque)
mon plaisir, Monsieur Pierre Assouline
Qu’est ce que vous en savez, Phil. Il y a même des comédiens maghrébins dans la troupe du Français !
14 h 18 : à Paul Edel, c’est pourquoi vous sucrez ses commentaires sur votre blog ?
petits profs, petits cailloux
quelle différence y-a-t-il entre un imam salafiste et ce JC ?
Elle est de taille et on ne comprend pas très bien que vous n’ ayez même pas la plus petite intelligence pour le comprendre et pour nous l’ expliquer.
à Phil, noms de maghrébins à la Comédie Française : notamment Suliane Brahim, Nâzim Boudjenah bientôt dans le Roméo et Juliette
Je ne vous parle pas de la troupe, Baroz, mais du public. Là est le désastre en marche. Point besoin de bourdieuseries pour voir le lendemain.
qui a son fnac, lit son Le monde, fait faire son sport….
@Paul edel dit: 27 novembre 2015 à 14 h 18 min
Je ne suis pas pour l’interdire, pour l’empêcher de parler ; je lui demande de cesser ce jeu. Non, JC, n’a pas la verve de Céline !
Il lance des commentaires brefs, faciles qui sont le négatif (à la fin lassant) d’une parole, d’une pensée positive.
Citez-moi ceux qui aident à penser.
Votre propre méfiance de la bonté en paroles, des compliments, de la sentimentalité, vous entraîne à porter sur JC un jugement que je ne partage pas. Vous n’êtes pas facile à suivre, Paul Edel. Votre personnalité éclatée en mille et un personnages si elle est chatoyante et propice à l’invention romanesque, est déroutante pour vos amis. Mais il est vrai que vous avez écrit récemment (sur votre blog) qu’un écrivain n’avait pas d’amis.
Seriez-vous la plume de JC ?
coup de froid, idem, mettez-vous une bouillotte sur la comprenette. Comptez nos amis maghrébins parmi le public d’un concert à Pleyel et revenez nous jouer l’air au piano.
Oui je sucre les insultes comme les flatterie et les réflexions souvent haineuses et hors sujet
Ne me suivez pas Christiane merci
christiane dit: 27 novembre 2015 à 14 h 46 min
+1
La comédie francaise, si c’est pas malheureux…
suivez Chardonne, Christiane. Le meilleur guide des couples en littérature.
Je viens de voir en résumé l’hommage aux Invalides sur BFM TV, j’ai trouvé le discours de Hollande très bien, sobre et ferme à souhait, émouvant sans excès… Bon accompagnement musical aussi, qui répond aux actes de haine par des mots d’amour, qui, seul, vaincra !
Voici le grand humaniste, auteur des discours qui vous font tant pleurer, bande de nigauds!
Vous n’avez pas honte?
Bref, ne cherchons pas une « haut porte » unité quand il est déjà quatorze heures passées…
Déjà Sergio et son assent qui sent trop fort…
Accrochez bien votre drapeau, baroz. ça souffle au cinquième.
Bonne pensée car Thésée hyène Minonosse ?
Tiens bon, mon JC, contre la molle dictature du Sentiment!
Ces veaux sont myopes, ils ne voient pas l’abattoir.
Avez-vous remarqué que depuis quelque temps, plus de point Godwin !
Il faudrait trouver l’équivalent pour « la question islamiste » ?
« aucun débat serein n’y est possible »
Allons bon… est-ce vraiment nouveau ? Faudrait-t-il prêter attention á l’orthographe ( d’usage, pour la grammaire suis aussi subjectivement nul que presque tout le monde ) ?
Attila dit: 27 novembre 2015 à 15 h 08 min
Avez-vous remarqué que depuis quelque temps, plus de point Godwin !
Il faudrait trouver l’équivalent pour « la question islamiste » ?
C’est fait depuis longtemps, Attila, c’est le Point Nasrallah (même sens en arabe).
Comptez sur moi pour le faire vivre!
« Je suis Charlie »
puis …
« Je suis Bataclan »
puis …
« Je suis invalide »
puis ….
tout simplement….
« Je suis con » alias JC.
Remplaçons le dernier mot par MORT..car comme dit Masud :
» Ces veaux sont myopes, ils ne voient pas l’abattoir. »
« Comptez sur moi pour le faire vivre! »
Pas certain qu’afficher un petit sourire doux et tranquille soit toujours une bonne promo…
« Comptez sur moi pour le faire vivre ! »
Ou mourir, colonel masud ?
14 h 58 : Phil, le comique triste, se prend pour un chardonneret
Attila dit: 27 novembre 2015 à 15 h 18 min
Ou mourir, colonel masud ?
Ne nous payons pas de mots, Attila, ce sera déjà plus que suffisant.
@Paul edel dit: 27 novembre 2015 à 14 h 51 min
Vous suivre ? Ça ne me viendrait pas à l’idée.
Vous avez choisi votre chemin, assumez !
« Ne nous payons pas de mots »
C’est pourtant ce que vous faites, mon colonel !
« Pétain est le seul grand. Je le trouve sublime. IL est totes la France. Je vomis les Juifs, Benda, les Anglais et la Révolution Française »
Jacques Chardonne, 1942
pour trouver le chemin faut prendre l’option gps. la dernière fois, la machine niquée m’a fichu que la ville de tokyo. entre temps pauledel a donné les nouvelles nippones, plutôt mauvaises. tout fait sens disait barthes.
Le moche et lâche ose.
hep, la devinette ? pour savoir qui écrivait le discours du maréchal, retourner le carambar.
( je me prends pas pour Todd non plus, n’exagérons pas )
Si on sucre les commentaires salés, après ça yoyote un peu, comme dirait Robert Bidochon…
Faut haussi dire qu’on parle de scientologie au brave peuple qu’avec des stars, donc…
chut, l’imam JC rédige son prochain prêche
Phil, je vous conseille la lecture du livre de Donna Tartt « Le Charonneret », prix Pulitzer 2014
sorry, LE CHARDONNERET
…
…un art certain,!…inventer des blasons, des armoiries,!…pour quelle discipline de débauchés,!…
…les faire-part,!… un soucis du goutez,!…
…la fève des rois,!…tu revoie l’emplacement,!…Autant, achetez le gâteaux entier sans partages,!…il tiendras bien une semaine au frigo,!…
…ma semaine d’Arthur,!…au steak tartare longue durée,…mon chat ( adoptif ) ne mange pas de saumon,!…normal, ou pas,!…
…maintenant, ils sont à deux,!…
…c’est que çà mange et boit du lait, pour quatre,!…
…le plaisir de voir des bêtes,!…les vrais quoi,!…enfin,!…on peux rien écrire,!…
…envoyez etc,!…
Elle est bon public, la fille, hein… Parce que lui hormis sa chope il a pas l’air d’avoir cassé trois pattes à un canard…
Ha oui José Arthur ! Ca aussi c’était un monument…
@ Attila
pour vous….. et pour d’autres s’ils sont intéressés nouvelle intrusion hors sujet dans le blog de Pierre Assouline:
Artichauts aux oranges
Ingrédients :
5 artichauts moyens (ou 4 gros):L’idéal est de réaliser la recette avec des artichauts violets( les artichauts ne devront être assez gros ,mais pas trop gros ,évitez en particulier les gros artichauts bretons .).
3 grosses oranges ;
Un petit bout de citron confit et un peu de sa sau :mure(facultatif)
Ail deux gousses, entières de préférence, mais on peut aussi utiliser leur équivalent écrasé ou congelé
Préparation
Nettoyer les fonds d’artichauts et les mettre dans un saladier d’eau citronnée.
Par ailleurs pressez le jus de deux oranges et pelez la troisième orange à vif en réservant la peau.
Faire revenir l’ail dans la cocotte minute avec une huile sans goût .
Dès qu’on commence à sentir l’odeur d’ail revenu, mouiller avec le jus d’oranges. Mettre alors dans la cocotte les artichauts coupés en quartiers, la peau d’orange et, si c’est possible, un petit morceau de citron confit et un peu de sa saumure(dans ce cas on ne sale pas ), enfin la troisième orange, coupée en lamelles fines sur le dessus. Ajouter le sel, un peu de sucre en poudre et cuire sous pression à petit feu.
Au bout de cinq à huit minutes –cela dépend de la qualité des artichauts- ceux-ci sont cuits.On vérifie cette cuisson en ouvrant la cocotte et en piquant les artichauts avec un couteau pointu. S’ils sont suffisamment tendres, on les retire et on les réserve sur une assiette ; Dans le cas contraire on prolonge un peu la cuisson.
On jette la peau d’orange et on referme la cocotte pour poursuivre la cuisson à très petit feu pendant une dizaine de minutes, ce qui ramollit bien en purée la pulpe d’oranges et la mélange avec les autres composants.
On ouvre alors la cocotte et on fait réduire à feu vif en remuant à la cuiller en bois ce fond de cuisson jusqu’à obtenir une émulsion sirupeuse, On réajuste alors si nécessaire l’assaisonnement (sel et surtout sucre) après avoir goûté.
Enfin on reverse les artichauts dans la cocotte en mélangeant à la cuiller en bois sur le feu, juste quelques instants pour qu’ils soient bien imprégnés et nappés de la sauce de cuisson à l’orange.
Présentation
Ce plat se mange frais ; il a une jolie couleur. Pour la présentation, des olives noires ou des éclats d’olives noires font un joli effet, et on peut ourler l’assiette de présentation avec des demi-tranches d’oranges cannelées éventuellement complétées par un éclat noir au centre
Remarque l :la même recette peut être réalisée avec du céleri rave ou des fenouils à la place des artichauts .C’est moins fin mais cela donne beaucoup moins de travail, car ces légumes se nettoient rapidement
achtung, recette d’agrégée, oranges introuvables
Quand vous aurez fini de regarder vous me rendrez mes clés. D’avance, je vous en remercie.
merci coup de froid. l’oiseau de la résurrection est d’actualité. qu’en a fait miss Tartt..
Attention à l’Artichaut, DHH. Ce légume peut être très dangereux.
J’ai en son temps plus d’une fois écouté José Arthur, Sergio, n’en ai certes pas gardé le souvenir d’un mégalo-tique!
Le temps d’avoir lu la recette, la cocotte-minute a esseplosée…
Pourquoi y a un E. à la fin d’esseplosée ? Ca va pas, ça…
Ce légume peut être très dangereux.
oui parfaitement il fait maigrir très exactement jusqu’à disparition du sujet, au moyen-âge à St Paul de Léon on l’utilisait pour supplicier les hérétiques qui les mains dans le dos devaient les effeuiller sous peine de poursuites religieuses et ils n’étaient pas du genre cool cool Raoul, un de mes ancêtres présumés témoigna à la barre comme Raymons en porta les faits outre mer, l’auditoire devint bleu comme le ang des rois, depuis on en voit la couleur.
« quelle différence y-a-t-il entre un imam salafiste et ce JC ? »
Aucune. Les deux s’épanouissent dans la haine et la bêtise crasse bien fasciste. D’ailleurs salafiste veut dire souche
Ueda
« J’ai trouvé ce prolongement politique sous une apparence militaire profondément déplacé. »
Pas assez viril pour le ueda à juju et fiffi
» La France n’a aucune intention de revoir ses relations avec l’Arabie saoudite et le Qatar »(Lemonde.fr)
On n’est pas sorti de l’auberge
14 h 15 min
parfaitement. zouzou veut plus de mixité sociale il faudrait loger nombre de familles pauvres rive droite dans l’ouest parisien les 15ème, 16èmes arrondissements par exemple, sans oublier naturellement neuilly sur seine et saint-cloud
C’est une jolie histoire, Bérénice. On aimerait bien consulter vos sources, les archives de la Seigneurie du Léon ayant disparu grace aux doux humanistes que furent les révolutionnaires. spécialement pour le Moyen Age. Dixit Jean Kerhervé, peu suspect de sympathie pour l’Ancien Régime.
A ce propos, c’est Pol Aurélien, et Saint Pol de Léon, qu’il vaut mieux écrire.
Bien à vous.
MC
supplice à l’artichaut..le secret du phrasé Bérénice
La famille d’Anne Frank n’a pas réussi à obtenir de visas pour les Etats-Unis
http://www.slate.fr/story/110589/famille-anne-frank-etats-unis
Pas assez viril pour le ueda
En effet Ueda est très viril.
Je me demande ce qu’il a pu dire pour que Bérénice se soulage l’arti-chaud .. pardon .. Y Leon, madre de Dios !
Beaucoup de choses intéressantes et profondes chez Olivier Roy, je m’étonne qu’on ne prenne pas la peine de l’écouter dans le tintamare ambiant, que son point de vue n’occupe pas le haut du panier.
Pourquoi ne pas porter plus d’attention à monsieur Olivier Roy ? Oh, mais pour une raison simple, Diagonal, c’est un con déconnant !
Pas étonnant, il écrit dans Le Monde !
Echec national du pavoisement gouvernemental !
Quel que soit le vêtement tricolore utilisé pour dissimuler l’infection, le malade grattera ses bubons qui le font souffrir !….
Je me demande ce qu’il a pu dire pour que Bérénice se soulage l’arti-chaud
Vous voyez du soulagement partout, c’est une récréation mais je connais ce haut-lieu de la production d’artichaut, en fleurs les champs peuvent se contempler sous un ciel hermétiquement gris qui tranche avec le violet de cette culture .
Court archive personnelle ou comment le Léon peut servir au voyage initiatique, pas vraiment une saison en Enfer car nous respections scrupuleusement les indications de la carte Michelin.
Quant à Ueda, daaphnée, je vous laisse le soin d’entretenir le feu d’une conversation que nous ne pourrions tenir, vous en avez l’art de plus comment le connaîtrais-je????
« En effet Ueda est très viril. »
s’il l’est autant que Vladimir P. , JC va être très intéressé
Pas étonnant, il écrit dans Le Monde !
Effectivement, voilà un bel « argument d’autorité ». Et par définition, la faiblesse de l’autorité, ça ne se discute pas.
Daaphnée dit: 27 novembre 2015 à 18 h 23 min
votre zouzou est plutôt tordu
bérénice dit: 27 novembre 2015 à 17 h 15 min
–
Vous n’êtes pas sérieuse, Bérénice ?
Moi je le suis : l’artichaut mal conservé peut envoyer à l’hôpital.
Bon, pour revenir au sujet, j’écoutais le dimanche soir, il y a 40 ans, presque encore gamin, Le masque et la plume. Et je le disais que tous les gens qui causaient étaient des intellectuels beau-parleurs. Et je les enviais d’une certaine façon.
Aujourd’hui je constate que je suis moi même devenu un intellectuel accompli m’exprimant avec aisance sur l’actualité de la littérature, le cinéma, le théâtre.
C’est assez impressionnant quand on y pense, parce qu’il s’agit de soi.
Original cette recette d’artichauts a l’orange, DHH, moi je connais surtout les artichauts à la barigoule, c’est délicieux aussi !
de la femme à l’orchidée
D je ne suis pas sérieuse, cœur d’artichaut, plutôt qu’à sucer les feuilles sans atteindre de cœur j’ai depuis longtemps opté pour le célibat ainsi j’ai l’immense plaisir de converser chaque jour avec deux chattes, c’est très Kafka on the beach , un nouveau mode de vie.
A table ?
Le jour même où il se fait alpaguer pour non respect de l’environnement, le chef dévoile son menu d’ouverture de la COP21. -Y’a un truc aux artichauts !-
Détendre l’atmosphère un peu alourdie par des jeunes gens – martyrs, dans le discours officiel- morts pour la « France en guerre » (sic)
« On va leur faire déguster du lichen! Tout cela composera une seule grande assiette »
A -2 jours de la COP21, les Franciliens sont priés de ne pas utiliser leur voiture et de ne pas surcharger les transports en commun.
J’irai donc à la confiserie en hélicoptère.
Dans la cacophonie diplomatique de notre époque (que J. Attali a pensée depuis un certain temps déjà et qui voit ainsi ses analyses confirmées), il faut saluer le grand courage politique, le sang froid, le pragmatisme du président de la République François Hollande de s’allier avec les forces de Damas pour anéantir Daesh, sans oublier pour autant les crimes du régime de Damas. La France ne renonce en rien aux principes qui la fondent.
Je suis souvent critique de Hollande mais, dans ce cas, il faut reconnaître que le président Hollande est un homme politique à la hauteur, qui signe un pacte nécessaire avec un criminel de guerre mais dans cette époque dangereuse et chaotique qui est la nôtre, c’est la seule chose rationnelle à faire. Toute autre position politique serait mauvaise.
On marche sur la ligne de crête. Il va falloir jouer serré. La France est un grand pays admirable que nous aimons, notre lien est aussi celui du cœur ! Ces jours-ci, on comprend vraiment ce que veut dire « se sentir Français ». Les drapeaux qui pavoisent les fenêtres m’émeuvent aux larmes et je me souviens que mon père pleurait chaque fois qu’il entendait la Marseillaise pour le 14 Juillet, lui que la France pourtant avait trahi en lui collant une étoile jaune sur la poitrine et en assassinant sa mère et sa tante. L’amour de la France l’avait emporté dans son cœur sur la haine. Mon père aussi était un grand homme.
Les temps qui viennent vont être difficiles pour nous tous sur la longue durée. Armons-nous de courage.
…
…bref,…depuis trois à quatre de mes interventions,…les effets d’une bouteille à tester,!…
…
…pour écrire, plus érotique,!…vus les aboutissants progrès en médecine, de se lier à l’éternité, ! garder des Kalachnikofs en réserve dans les hôpitaux,!…du cyanure,!…enfin choisir l’aboutissement de ses rêves,!…
…les grands cerveaux en danger de parasitologie,!…des ruptures d’électricité,!…
…
…mais, pas du tout, pas du tout,!…
…bref,!…tester,!…une autre bouteille de vin au gingembre,!…déjà vide,…pour voir, la littérature, le tumulte du Bac à plan,!…
…
…un sens nouveau,!…la journée,!…
…Oui,!…le vous constatez plus tôt,!…
…
…alors, la bouteille de vin,!…
…
… » Christkindles Markt – Glühwein » Nürnberger »
…contient comme le pain d’épices: anis, muscat, clou de girofle, piment, cannelle,…
…l’addition de myrtilles, lui procure toute sa robe voulue,!…degré d’alcool…8,5 % ,…
…
…il y a de quoi se faire sauter,!…Oui, mais vite,!…et en threesome,!…sur eBay,!…
…attendre les ouvrages à suivre,!…Ah,!Ah,!…
…la ligne,…etc,!…
Je ne pensais pas si aromatiques les effluves du Masque et la Plume..les artichauts de DHH me laissent sans voix.Mes papilles émoustillées m’ont dirigée vers le site de Marc Veyrat.Sur des assiettes en rondelle de sapin, fabriquées tout exprès par ses soins, le grand Chef va exposer des mini-reblochons au jus de myrrhe odorante; anxieuse, on le serait à moins, il me souvient que les Egyptiens s’en servaient pour embaumer les morts ….sur des assiettes de sapin ? wiki m’a presque rassurée : ne pas confondre la résine de la myrrhe molmol avec celle de la myrrhe guggul ; ouf; de plus la myrrhe -en usage externe-soulage les hémorrhoïdes; quels diplomates futés que Nos Grands Chefs ! Le Fouquet’s ne veut pas être en reste, on y servira ce jour-là des produits de saison »qui poussent à proximité »… mais pourquoi donc ne pas faire broûter directement les pelouses ??
Quant aux breuvages, aucune fuite, personne n’en dit mot ..du jus de persil ?de la Boldoflorine ?
NB: DHH publiez vos recettes, à G la recette en mots, à droite des photos; ma grande nullité en ce domaine s’en trouverait peut-être diminuée …
Ces femmes, ces hommes, étaient la jeunesse de France, la jeunesse d’un peuple libre, qui chérit la culture, la sienne, c’est-à-dire toutes les cultures.
—
Je ne suis pas sûr du sens de cette phrase….
1. La culture française = toutes les cultures….un peu présomptueux, non?
2. Qui accueille toutes les cultures? Ok.
3. « …qui chérit sa culture, la sienne ET toutes les cultures » eût été plus clair.
D’accord avec vous, ML, pour Hollande, converti à la realpolitik ( à l’instar de Mitterrand qui n’a jamais souhaité se débarrasser de Saddam). N’oublions pas tous les enjeux économiques qui nous sont pas connus.
Urgent de changer de façon de travailler en politique: les décideurs ne lisent pas les rapports de plus de 5 lignes: comment accéder à la complexité?
les Egyptiens s’en servaient pour embaumer les morts …
C’est bien d’évoquer les morts, signe des temps et du tact légendaire qui comme dans une recette bien connue imprégnerait de kummel notre pain quotidien, hommage qui sans fin ne cesse non plus d’honorer les vivants car il protège, répare, prévient sans remplacer, hélas.
…. et maintenant ?……ben… le soufflé va retomber !….
Bonjour à tous,
En raison des attentats tragiques du 13 novembre, les marches pour le climat prévues les 28 et 29 novembre en France ont été annulées. Cependant, au moins 57 grandes marches auront lieu à travers le monde, pour demander aux Etats présents au Sommet sur le Climat à Paris (COP21) de prendre enfin des engagements forts et contraignants pour limiter les changements climatiques.
Alors comment faire pour que ceux qui ne pourront pas marcher, en France ou ailleurs, puissent aussi faire retentir leur voix ? Nous avons trouvé la solution : si vous ne pouvez pas marcher, d’autres pourront le faire en votre nom. Il suffit pour cela de vous inscrire sur le site internet http://www.march4me.org et de trouver quelqu’un qui s’engagera à marcher pour vous, avec qui vous pourrez échanger directement.
Pourquoi retombera t il le soufflé ?!
Parce que la société française est bloquée sur des schémas, des pratiques, des prébendes inimaginables ailleurs…. et que personne, chez nous, ne tient plus ses promesses.
Mis à part, les islamistes radicaux !
« Au total, fin octobre 2015, le nombre de demandeurs d’emploi de catégories A, B, C s’établit à 5 435 800 en métropole (5 740 600 Dom compris). Ce nombre est en légère hausse sur un mois (+13 100) et augmente de 5,5% sur un an (+283 000). » (Ministère du Travail et de l’Emploi)
On tangente 6 millions de chômeurs avec les DOM, et les jeunes qui arrivent sur le marché constituent un vivier inépuisable !
Français, encore un effort pour être intelligents !
…. les chômeurs…. ce ne sont pas des dangers de masse pour votre vie !….
Par contre, les multirécidivistes, les agresseurs, les cambrioleurs, les condamnés en liberté taubiraphiles, ceux là vont continuer à vous rendre la vie impossible, s’ils ne vous la prennent pas à l’arme blanche !
Fermez les Ecoles ! Ouvrez des Prisons ! En grand nombre… ! La bourgeoisie a peur.
… la vie continue dans la déchetterie…..uhuhu !….
Pour revenir au sujet :
60 ans de « Masque de la Réalité », 30 ans de « Répliques Gauche/Droite » : bon anniversaire !
Bonne journée, les bisounours….
« Je suis souvent critique de Hollande mais, dans ce cas, il faut reconnaître que le président Hollande est un homme politique à la hauteur, »
WG, dommage qu’il lui ait fallu 130 morts pour faire en partie ce que l’opposition lui demande de faire depuis les attentats de Janvier et qu’il avait toujours refusé, aussi bien en matière diplomatique qu’en matière de sécurité.
Il n’y a vraiment pas de quoi s’extasier.
Et encore, il faudra voir la mise en oeuvre effective.
« WG, dommage qu’il lui ait fallu 130 morts pour faire en partie ce que l’opposition lui demande de faire depuis les attentats de Janvier »
Et même bien avant Janvier, en particulier Fillon, parfaitement lucide sur le plan diplomatique depuis longtemps.
Prendre les gens pour des imbéciles, c’est le B.A.BA des hommes politiques. Le Bedonnant n’échappe pas à la règle : vous avez vu sa gueule d’acteur, à la TV ?
Bloom, Onfray renonce à publier son essai sur l’islam, pas un bon signe pour l’élite culturelle française, qui avec son marche pied mediatico-technologique reste bien plus arabophobe que le boulanger de province où trime un marmiton maghrébin. Les exilés de la city, aussi nombreux qu’à Bordeaux, ne le font pas dire. Que devient Abdelkader ? Bunkerisé avec bhl ?
Du calme, il suffit de lire la presse! L’armée syrienne au sol oui, mais sans Assad… c’est dumoins ce que M. Fabius a dit. Par ailleurs, quelque chose dans ce goût-là déjà à Vienne la semaine avant les attentats.
L’état d’urgence,
pour le commentarium,
et reconductible !
Valsacazneuvement.
La « certification des imams » par le CFCM en France est une initiative qui nous emballe, nous autres dieux et déesses, et je lance ici même une certification de nos célébrités, Priape, Cupidon, Hercule, Aphrodite, Bacchus et autres prosélytes….
Un islam de France certifié conforme à l’Alcoran : voila une entreprise pleine de promesses. Seront elles tenues …
8 H 15 : Résumons/JC écrit : »vous avez vu sa gueule d’acteur à la tv ? »… Dieu nous préserve de voir la tienne bouffie de haine, salopard
Phil, Bhl est pas du genre à se bunkériser. Sortira un jour un docu sur les moments de gros grabuge au milieu duquel il s’est trouvé, « édités » au montage des divers films (principalement Bosna, Serment de Tobrouk). Pas du genre à se défiler, mais comme tout le monde, est dans ses petits souliers (en daim).
Je conseille à Onfray de mettre à profit sa « retraite » médiatique pour passer l’agrèg de philo & briguer un poste à l’étranger, si possible dans un pays musulman, pour 3 ou 4 ans. Sortir de son bocage normando-tribunicien et faire son Candide: voilà un programme digne d’un honnête homme.
gageons que le denié philosophe Onfray vous lira sur le prestigieux blog à passou, Bloom, tant les Répliques en France sont à droite tandis que le masque reste de gauche.
Vous avez observé bhl de près, il se chausse volontiers de daim.
9.32 je conseille à bloume de nous dire en quoi son agrégation et ses propres cours d’anglais dans les meilleures écoles de la bourgeoisie française ont apporté à la compréhension du monde contemporain
ALLEZ JE LACHE MON PANIER DE LINGE ET FONCE IC;
Alain Finkielkraut, je retire tout le mal que j’ai dit de vous ici, et je proclame que le « Répliques » de ce jour est absolument passionnant.
Suzanne Julliard ? Tout ce qu’elle dit me paraît non seulement frappé du bon sens, mais encore ce bon sens n’est ni terne, ni rugueux, au contraire lumineux de simplicité.
(je suis d’accord avec elle, quoi. Ahaha).
Luchini est, comme à chaque fois qu’on l’invite à la simplicité, tout sauf cabotin…
Finkie est comme un poisson dans l’eau. Je n’aime guère son agitation des nageoires, souvent, mais là, le bocal de la radio le met en valeur, comme à travers d’une transparence qui protège aussi l’auditeur !
Et quant à la discussion, cela fait si longtemps que j’ai divagué là autour…
Il s’agit, de la poésie à la prose, de la critique littéraire à l’écriture automatique, des mots.
Les mots sont le matériau de base. Certains sont de brique, d’autres de diamants, cela change suivant les époques, les bouches qui les prononcent, les poumons qui les aèrent, mais ce sont des matériaux…
L’écrivain se sert des mots comme l’architecte des briques. Les professeurs de français, eux, n’en déplaise à WGG, sont les maçons, n’est-ce pas.
Et les poètes ? Oh, ils ont juste la faculté de réduire les briques en sable, dont ils jouent, ensuite, entre leurs doigts – et parfois, ça étincelle comme le diamant…
(merdum, j’ai encore la moitié du panier devant moi !)
Henriette est-elle tout simplement cochonne, ou tout simplement co(cho)nne ? Comme vous tous, nous connaissons la réponse, bien évidemment : elle saute aux vieux !
Merveilleuse bouffée d’oxygène ce matin avec « Répliques », réunissant Suzanne Julliard et Fabrice Lucchini.
Lucchini en a fait un peu trop comme d’habitude, mais qu’importe…je vais me précipiter sur l’anthologie de Suzanne Julliard.
Même Clopine est d’accord! (je viens seulement de lire son commentaire).
Très belle trentième émission de « Répliques ». Un enchantement de prose poétique, de lectures dont celles des livres de Flaubert. Trois intelligences « crépitantes ». Magnifique Suzanne Julliard. Voilà un antidote qui me convient en ces temps où il est si facile de désespérer les autres (Je ne nomme personne !). J’en connais une qui a du être ravie à l’écoute de ce texte sublime sur les vaches.
Et maintenant J.M. Jeanneney. La joie sera complète !
Résumons….. dit: 28 novembre 2015 à 6 h 16 min
et les jeunes qui arrivent sur le marché constituent un vivier inépuisable
Et voilà JC se convertit à Stiegler.
L’économique prend le pas sur la religion.
Prodigieux salto.
It might seem crazy what I’m ’bout to say
Sunshine she’s here, you can take a break
* I’m a hot air balloon that could go to space
With the air, like I don’t care, baby, by the way
Défendre Stiegler est peine perdue !
Ce type est une andouille simplificatrice, tirant une réalité complexe par le mauvais bout, comme beaucoup d’intellectuels qui doivent se distinguer d’autres intellectuels dans un darwinesque processus !
Les élucubrations de Stiegler feraient rire si elles ne faisaient pas piètres alibis pour des tueurs islamistes et sources de masochisme jouissif pour le filou.
Finkie, vieille barbe réac qui tourne en rond sur son petit moi depuis trente ans invite Lucchini vieille barbe réac qui tourne en rond sur son moi depuis trente ans.
Le monde de la Culture est au top.
quelqu’un qui s’engagera à marcher pour vous
–
mais comment cela se pourrat-il, Bérénice concrètement, ?
Alain Finkielkraut est un remarquable visionnaire.
Lucchini essaie (mal) d’en faire moins.
Son numéro de clown citateur amuse de moins en moins les ménagères provinciales et les réservations chutent pour écouter le maître faire lecture.
Une reconversion s’impose, et vite.
Je vous écoute, Bloum. Je ne vais pas attendre une réponse toute la matinée, j’ai mes courses du samedi à faire.
Bérénice, j’ai réfléchi, vous n’avez rien de plus intelligent à faire que de vous faire marcher par quelqu’un d’autre ?
D. dit: 28 novembre 2015 à 10 h 26 min
Alain Finkielkraut est un remarquable visionnaire
Déco.ne pas Dédé ou tu vas revoir des petits hommes verts.
Je vais vous faire une confidence, Bérénice : plus le temps passe et plus j’ai une légère préférence pour DHH par rapport à vous. Cela n’enlève rien à l’estime que je vous porte, c’est une simple appréciation relative que je porte à votre connaissance.
Madame Verniglia nous dévoile : « cascades de rires à la supérette de la rue Fournier quand elle a raconté à l’assistance qu’une canadien, Monsieur Sycomore avait comparé l’ignoble JC à un imam prêcheur de haine, c’est notre imamànous, l’imamaboul, l’imamalodorant, l’imamature… ah!, il en a pris pour son grade le puant JC »… on attend sa réplique, injurieuse comme toujours.
Hermès, le maître des voleurs, toujours prêt à faire de la drachme, commercialise des tee-shirts qui ont beaucoup de succès auprès des burnes molles : Je suis Charlie, Je suis Bataclan, Je suis Réac, Je suis Barbu, Je suis Bobo, Je suis Explosif, Je suis Guillotin…
Celui qui se vend le mieux ? le marché est porteur : « Je suis con » …
on dit des scenari, tres drole
William Legrand, dites nous tout : êtes vous apparenté aux fameux Legland du Bocage, une famille honorable mais à l’esprit inexistant ?
…
…je me souvient, de ses déclarations, avant le » choc » de ses nouveaux attentats à » Paris « ,…
…
…un ministre de grande volonté économique, » je suis pas familier, des visages politiques « ,…Oui, mais, quoi,!…
…
…il disait,!…que pour l’avenir, et l’indépendance technologique de la France,!…
…
…elle doit mieux être, à la pointe de l’électronique,!…et son marché, de gadjets de pointe,!…aussi la robotique j’imagine,!…
…conclusion, préparer, les jeunes aux confort & développement aussi oisif, pour des français, dans un autre ( monde ),…
…pour y intégrer, l’élitisme du savoir faire technologique, en participation des bénéfices dans l’évolution des profits,!…
…
…étudier, Oui,!…combien je touche à l’américaine, sans être maltraiter, pour les libertés marginales exégues,!…que l’achat de matériel d’atelier,!…
…
…et, surtout, derrière les apparences mortifères des étudiants, un vrais maître du choix des étudiant, pour éviter les gigolos corporatistes du progrès,!…
…
…autrement, il n’y a pas d’élite électronique,!…mais des connivences, pour se faire copier/coller,!…des Stalag 13, entre stratifications parasites au progrès technologiques,!…( entretenir, le niveau top secret des dossiers, et des recherches concurrentiels,!…Oui,!…des diversions, de tout, les carnavals d’être plus pape que le pape,!…et autres hérésies, pour sans foutre,!…mais rester dans la maîtrise des perfections scientifiques à garder Top Secret,!…
…et, non, pas Top Secret,!…bêtement, pour s’aménager ses paradis fiscaux, comme des truands au de dessus, de nos têtes,!…
…comme une mafia d’état, à manager son peuple à l’italienne,!…
…Rois d’Italie,…rois de véritables merdes associés catholiques persécuteurs,!…
…l’autre choix, de ne pas travaillez pour des micro-mafia groupir à vivre comme des seigneurs, qu’il ne seront jamais,!…
…la force,!…toujours un plus à relancer,!…etc,!…
…autrement, Cinéma,!…contre Cinéma,!…( la belle de Cadiz, à des yeux de velours ), participez aux vols de vos systèmes et fonds de trésors divers,!…Oh,!…ce charme personnel,!…Mère-Grand,!…
…c’est pour mieux vous manger, en Rappetouts de charmes d’héritiers aux A.D.N….inversés,!…des couples de latins – grecs,!…avec un fils ( blond – prussien ),…pour voler la famille, en héritage,!…
…manipulations et chantages,!…tout les coucous, ne sont pas juifs,!…le blond rusée-nazis re-blondis,…ses possessions aristocrates,!…because fortune, détournée, d’amont confluant, en aval,!…& connivences,…
…ou valeurs de force d’héritier,!…sans contenues,…que l’hérésie de rester riches-idiots,…en voleurs constant copier/coller,!…
…enjouées, les couteaux derrières ton dos,!…distanciation,!…quant tu nous tiendras toujours, en ton corps unis,!…
…Ave César,!…travaillez, pour les voleurs de gestions parasites,!…
…
…et, les contrôles électroniques,!…une élite Chevaliers d’états Top-Secret,!…à long termes,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
ZEUS….. dit: 28 novembre 2015 à 10 h 38 min
William Legrand, dites nous tout : êtes vous apparenté aux fameux Legland du Bocage, une famille honorable mais à l’esprit inexistant ?
Mais c’est une Evidence.
Nous n’avons rien à voir avec monsieur William Legrand, connu pour être une fiotte de madrassa, une coquine de presbytère, un rapin de synagogue, un trouduc de temple, une balance janséniste, un Mishima shintoïste.
il faut les transpercer avec l’Épée de Sansal, par surgissement
On se fait une Boum en ville ?…
la réplique prévue de JC ne s’est pas fait attendre, tendre comme toujours, uhuhuhuhuh
William Legrand,
pourquoi signez-vous Henriette chez Paulo ?
Vous hésitez ?
Au début, j’ai vraiment cru que Suzanne Julliard était Cricri. Puis je m’ai dit que si c’était pas le cas, plutot que si Cricri l’écoutait en repassant ses flanelles de maison, elle devait qd même buver son petit lait. c’étai bien ; il y avait le coeur simple qui regardait les prairies de sa lucarne, c’était beau, mais là, on entendait m-h lafon derrière la voix de Lucchi. Et Céline ne parlait pas comme lui, ni Arthur…. Sa fé rien, c’était un beau sam’di matin, oui.
Je crois même que c’est machin
Je suis un auditeur assidu de le « Masque » et de le « Répliques » : ça me détend beaucoup bien très fort, de mes soucis journaleux.
Je crois que JC pourrait signer cette pétition pacifiste, elle ressemble à ses idées.
http://www.liberation.fr/planete/2015/11/24/a-qui-sert-leur-guerre_1415808
Vous avez observé bhl de près, il se chausse volontiers de daim.
—
Vous itou, dear Phil, ce me semble. Nous n’en dirons pas plus, car les tristes commères de Wouinne-Zor vont jaser.
Pour l’agrèg, je pourrai filer à Onfray mes cours de khâgne sur la conscience, en particulier les chapitres sur l’en soi & le pour soi chez Hegel & l’intentionnalité chez Husserl, où j’ai vraiment cru qu’on allait décoller à destination d’une Laputa idéale…
« Cette guerre ne se mènera pas en notre nom. »
(Signataires : Ludivine Bantigny, historienne, Emmanuel Barot, philosophe, Jacques Bidet, philosophe, Déborah Cohen, historienne, François Cusset, historien des idées, Laurence De Cock, historienne, Christine Delphy, sociologue, Cédric Durand, économiste, Fanny Gallot, historienne, Eric Hazan, Sabina Issehnane, économiste, Razmig Keucheyan, sociologue, Marius Loris, historien, poète, Marwan Mohammed, sociologue, Olivier Neveux, historien de l’art, Willy Pelletier, sociologue, Irène Pereira, sociologue, Julien Théry-Astruc, historien, Rémy Toulouse, éditeur, Enzo Traverso, historien.)
Il ne viendrait à l’idée de personne de mener une guerre au nom de ces c.onnards !
Messieurs Bloom et Phil, seriez vous prêts à témoigner contre le plus grand de nos philosophes, Bernard Henri Levy, dans le procès que nous lui intentons, pour zoophobie criminelle conduisant nos amis à terminer en babouches de luxe ?
à Alain Finkielkraut :
la réponse boy Georges.
Le monde de la Culture est au top 10h21
Vous oubliez de mentionner la vieille dame invitée pour célébrer Babar. Il ne fut question que de ce dernier dans un volet absolument inepte conçu pour les sourds et les malentendants.
D 10h33 je comprends que vous viviez une grande complicité avec cette somme DHH et quelque moindre affinité avec cette espèce d’anti-somme que je parviens tout juste à figurer tant il m’est difficile de circonscrire un rien en tout ou quelque consistance.Je n’ai jamais nourri l’espoir de vous ravir comme Lol V Stein et ceci n’a pas trouvé à me tourmenter plus que ça.
Alors JC en Résumons ? peut-être cette autre pétition ?
http://www.liberation.fr/debats/2015/11/24/bravons-l-etat-d-urgence-manifestons-le-29-novembre_1415769
Vous manifestez bien pour la défense du bon climat contre mes vilains qui veulent empêcher les manifs, non ? On pressent sous votre plume fantasque l’écologie de la décroissance comme votre dernier kampf avant noyade programmée
Anthologie, vous avez dit anthologie, où ?
« Manuel Valls dessine la France de l’après 13 Novembre » (Le Figaro)
Arrachage des vignes de Champagne, plantation à la place de vignobles de Cava catalan ….
Où on va là, où on va ?
à Eon 11 h 01: revoyez vos cours de détective c’est grave
à William Legland 10 h 50 : beau pseudo, JC, il vous va à merveille, du cousu main
Belles Répliques ce matin.
Un plaisir d’écouter Luchini récitant Un coeur simple.
Phil, hier, qui faites une confusion entre violon et violoncelle, j’ai heard on radio, que c’était l’instrument qui se rapproche le plus de la voix humaine.
http://theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2.2000.roblin_c&part=31011
On a jamais vu plus près de 21 jump street quand même
je sais pas, faut l’analyser?
Johnny
Maitre Passou, par pitié, pouvez vous retirer l’illustration première de votre billet ?
La demande en mariage de Clopin à Clopine, enceinte, lors de la Fête de la Bière à la Mekke en 1968, est une affaire intime …du domaine privé !
Nous autres, Normands, vous en remercions bien sincèrement.
Non, c’est juste entre la 20 et la 22 ><!
Johnny et Vanessa, c'est fini
Ici Paris.
C'est une pub pour la belle ville de ce monde.
(allez, les bleus)
Comment ça, « même Clopine a trouvé ça bien ? »
C’est normal que j’ai trouvé ça bien : c’était bien.
Et c’est tout aussi normal que le Répliques de la semaine dernière m’ait paru aussi indigeste et snob qu’un pudding servi à Buckingham : ça l’était.
C’est la même pour Onfray : autant j’aime le passeur fidèle à lui-même, l’hédoniste célébrant la vie, le libertaire point dupe des carcans sociaux, autant le « people » invité partout à donner une opinion qui ne s’autorise que d’elle-même sur tous les sujets, de la théorie des genres à l’islamisme, me déplaît au plus haut point…
Ce qui n’empêche pas Finkielkraut d’être un réactionnaire dans la mauvaise acception du terme, ni Onfray d’être sûrement un brave type, simplement raidi sous les insultes et arcbouté dans ses convictions, dont la première est qu’il est plus intelligent que n’importe qui.
Ah là là.
Ici, sur ce blog, tout porte à la caricature. Je participe évidemment à ce peu gracieux ballet, mais enfin, il me semble tenir à peu près sur mes deux jambes – pendant que tant d’autres ne font rien d’autre que de se taper le cul par terre !
William Legrand dit: 28 novembre 2015 à 12 h 10 min
à Eon 11 h 01: revoyez vos cours de détective c’est grave
Mais non mon(ma) petit(e) chéri(e) tout concorde.
Ton style, tes obsessions, les horaires.
Faut que tu fasses plus gaffe Henriette.
« mais enfin, il me semble tenir à peu près sur mes deux jambes » (Clopine)
Arquées…..
oui, mais Zora la rousse, son lit est fait de mousse.
Vous infliger « une double peine ».
Ici, il neige. Et c’est le pied, total.
@Stromaé dit: 28 novembre 2015 à 11 h 07 min
Vous êtes formidable ! Oui, j’ai bu du ptit lait mais je n’ai pas repassé de flanelle. (Je n’aime pas repasser et la cuisine c’est pas ma spécialité). Je ne suis pas Mme Julliard mais j’ai apprécié sa très fine distinction entre prose poétique et petits poèmes en prose. Ces exemples étaient bien choisis et je l’ai trouvé d’une infinie délicatesse quand il lui fallait rabattre le caquet à notre matamore national ! M-H. Lafon ? Je l’ai croisée un jour dans une rencontre littéraire à propos d’un de ses livres « Joseph » paru en 2014. La prof en elle écrasait l’écrivain. Elle s’emparait de ses textes pour en faire un cours. C’était horripilant ! Dommage, il aurait suffi qu’elle en lise quelques uns avec modestie. Le rapport avec Lucchini ? ah oui…
Je ne dirais pas « C’était beau » « formidable » ou nunuche (votre voix off). Je dirais que fouillant dans l’écriture de ces grands écrivains on se réappropriait un patrimoine littéraire qui permet de vivre l’angoisse de ces temps différemment.
Je me souviens avoir entendu Olivier Rolin évoquer l’importance de certaine bibliothèque pour les déportés politiques dans l’enfer blanc des îles de l’archipel Solovki, puis d’avoir lu « Le météorologue ».
Pour vous (dans les dernières lignes de son roman) cette citation de Nadiejda Mandelstam « De tout ce que nous avons connu, le plus fondamental et le plus fort, c’est la peur […] La peur a brouillé tout ce qui fait d’ordinaire une vie humaine. »
Contre cette peur actuelle, les livres sont mes étendards.
fri-TEU !
« faire son Candide »
du moment que celui-ci ne provoque pas des tremblements de terre…
bon, un radoteur obstiné et obtus la seule chose possible de changer chez lui c’est le décor… c’est súr et certain d’être clair…
@Clopine @Christiane
j’ai vécu aujourd’hui un des plus agreables de mes RV hebdomadaires culinaro radiophoniques .
Comme vous j’ai admiré la finesse l’intelligence et le brio de Suzanne Juillard et s’agissant de Lucchini ,j’ai apprecié que la radio en ne ne laissant passer que la voix ait un peu gommé un cabotinage envahissant qui n’est pas arrivé à tuer les textes magnifiques qu’il a lus, et que comme vous j’ai écoutés avec gourmandise
Et puis comme un bonheur n’arrive jamais seul, l’émission suivante de JNN consacrée à Christophe était aujourd’hui particulièrement rafraichisssante et rajeunissante
Ceci dit chez Fink je suis restée un peu sur ma faim ;j’espérais retirer de l’emission quelques idées claires sur la spécificité de la prose par rapport à la poesie ,pour en finir avec des questions que je me pose et qui restent confuses dans mon esprit .
Peut-être que la réponse est-elle dans la présentation de l’anthologie que nous propose Suzanne Julliard
1 sweat à capuche ça va, ou un jogging, de toutes façons on a vu le résultat avec, même si c’est pour aller dans les champs, ça va.
enfin… les faux-derches ont besoin d’un fauteuil pour prétendre avoir un c.l…
Finkie, S. Juillard et Lucchini.
Un segment de marché : la ménagère de plus de soixante ans.
Le repassage et la cuisine étaient au rendez-vous.
et pardon de ne pas suivre vos remakes partout
Eon: un con épicétou
@Lola
ce recueil numérique de recettes et de conseils issus de l’expérience de 50 années de vie ménagère ne mérite pas la publication.
mais s’il vous intéresse et si sa transmission est compatible avec la sauvegarde de votre anonymat « pseudonymal »,je le tiens à votre disposition (via son transfert sur une clé USB)
Parfois il m’arrive d’écouter « Répliques » en podcast; ce matin,ce fut en direct. Le sujet du jour est l’un des sujets bateaux les plus rabachés:prose poétique /poème en prose .La présence de Lucchini était évidente;il fit le job,semblable à lui-même. S.julliard, prof à Fénelon, a dû traiter le sujet des …centaines de fois avec ses élèves;elle le connaît à fond; comment alors expliquer qu’elle puisse parler de Flaubert de cette façon ? à côté de la plaque.Qu’elle ait publié une anthologie de la poésie française, récompensée d’une médaille, c’est sûrement mérité; qu’elle ait été un excellent professeur,c’est sûrement vrai;mis que le travail de Flaubert sur le style soit ainsi traité de « poétique » , ce matin, cela met de mauvaise humeur pour la journée.
¤¤pour Bérénice: monique Rollin ne jouait pas de la guitare mais de la CITHARE; c’est totalement différent(voir wiki) cithare qui fit la fortune d’Anton karas et le succès du » 3° homme », avec Jo.Cotten et Orson Welles.
¤¤¤j’ajouterai que je n’ai pas été élève de S.J. , que je n’ai pas fréquenté Fénelon; j’ai lu et relu Flaubert, j’ai lu et relu quelques poètes et j’exprime simplement mon opinion sur ce que j’ai entendu ce matin à « Répliques ».Si l’émission entraîne à lire romanciers et poètes, tant mieux, c’est l’essentiel; à écouter aussi Ferré chanter Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, ce sera « extra », « c’est extra » …
Libre de trouver sectaire n’avoir qu’à dire on après je ou pas…
14h31: . Je digressais et peu m’importe de savoir qu’untel ou unetelle joue du bilana, Monique présentait un prétexte, la mémoire est un compartiment d’étendue variable, la connaissance exacte pas forcément indispensable pour rire un peu ou beaucoup de tout et n’importe quoi, un peu comme pour un tricot il suffit de tirer sur le fil pour obtenir des résultats surprenant de drôlerie. J’avoue une certaine propension pour la farce qui peut être envisagée comme le démaillage d’un bas résilié quand on s’attarde à en montrer le mécanisme.
Pour DHH. Vous m’avez réellement bluffée par la précision et l’originalité de vos recettes. Comment avez-vous trouvé le temps de cuisiner de cette façon raffinée ? Mes grands’mères étaient décédées lorsque je suis née, ma mère n’avait ni le temps ni le goût de cuisiner; je me nourrissais dans le jardin,une carotte par ci, un radis par là, tout en lisant; je sais la vie des limaces, la délicatesse des oiseaux qui boivent, je n’ai jamais réussi à cuisiner correctement, malgré la bonne centaine d’ouvrages achetés, y compris le Ali Bab !Pour mes enfants, j’ai compensé en achetant des moules amusants en forme de poissons, d’escargots, et en les emmenant souvent chez l’excellent charcutier du quartier..je n’ai jamais compté sur mes talents culinaires pour séduire qui que ce soit !
Je serais ravie de découvrir vos recettes. Mon PC me joue des tours pendables; après avoir chassé des intrus , je découvre , ce matin, qu’un programme a installé une application espion, Damned, c’est flippant…Je pars prendre l’air d’ailleurs en ce début d’hiver morne à pleurer,et dès que je reviens, je vous appelle,j’aurai entre temps appris l’utilisation des clés USB ! Merci. Merci à P.A. de ne pas sucrer ces propos si féminins et peu littéraires .L
travail de Flaubert sur le style soit ainsi traité de « poétique » , ce matin, cela met de mauvaise humeur pour la journée.
En tout cas, quelle folie que la sienne, à pleurer de rire .
Lola, je sais que vous avez été profondément blessée par moi (involontairement, mais vous ne pouvez pas le savoir !) (et je ne tiens pas du tout à revenir sur le sujet !), cependant, je ne comprends pas votre post sur l’appréciation de Julliard sur Flaubert.
J’ai pourtant écouté la même émission que vous !
Eh bien, il me semble qu’elle a dit précisément l’inverse de ce que vous avancez (et j’ai été très contente, parce que je pense exactement comme elle) : à savoir que NON, L’ECRITURE DE FLAUBERT NE RELEVE PAS DE LA POESIE, NI DE LA POESIE EN PROSE, NI DE PROSE POETIQUE…
Luchini et Finkie étaient carrément déstabilisés d’entendre ça : comment, cette écriture, qui est la quintessence du travail littéraire, qu’on accomplit seul, debout devant un lutrin, suant comme un boeuf, avec des abcès sous les bras, comment, ces phrases qui sont célébrées partout comme étant géniales, dont la beauté est reconnue, ce n’est pas poétique ?
Julliard a fermement campé sur ses positions : la beauté n’a rien à voir là dedans. Une prose peut être géniale, magnifique : elle n’est pas poétique pour autant…
Et de citer un des rares passages de la Recherche où la langue devient musique : la description de l’écoute de la petite phrase de Vintueil par le Narrateur. C’était le contre-exemple parfait du passage lu par Luchini (la métaphore des grooms devenus une meute de chiens s’empressant autour de Swann), qui était terrible, magnifique et proustien, mais qui n’était pas une écriture poétique…
J’étais, je suis, 100 % du côté de Julliard… Et je pense que vous aussi, non ? Ce sont donc vos doigts, ou vos oreilles, qui ont fourché ?
La poésie souffle partout et ne se définit pas. On la trouve dans bon nombre de romans en prose et pas toujours dans des recueils de vers à bouts rimes…
quand une signature sur un bulletin secret ne peut être que celle d’un bloc faut-il vraiment jouer du pouce ? aucune envie/habitude/pensée/rage/sociétaleviralité de le faire
Calmez-vous, Clopine.
« mon père pleurait chaque fois qu’il entendait la Marseillaise pour le 14 Juillet, lui que la France pourtant avait trahi en lui collant une étoile jaune sur la poitrine et en assassinant sa mère et sa tante. »
Ceux qui ont assassiné votre grand-mère et grande-tante, et quelques autres, WGG, ce sont les nazis allemands, pas la France.
Avez-vous vu le film hongrois, « Le fils de Saul » ? Une réussite formelle dont je n’ai pas su quoi en penser en sortant de la projection…
@DHH et Lola
Ce que S.Julliard a différencié entre la prose poétique et l’écriture magnifique et « artisanale » de Flaubert ne m’a pas paru erroné. La poésie surgit d’un silence de derrière les mots, crée un sens différent de celui que l’écrivain a imposé aux mots.
MàC aimait à citer une phrase de Flaubert : « Elle reprit, en souriant, que c’était mal de se moquer. » Mais non, je vous jure ! » et du bras gauche il lui entoura la taille ; elle marchait soutenue par son étreinte ; ils se ralentirent. Le vent était mou, les étoiles brillaient… »(Un cœur simple). Là il y a un déplacement entre la mollesse de Félicité (dont rien n’est dit) et celle du vent. Une bien belle ellipse narrative. Un sens implicite que le lecteur trouve à mi-chemin entre sa lecture et sa rêverie. Ici, le vent semble se modeler sur les sentiments de Félicité. Flaubert travaille en virtuose sa prose. J’avais, au musée des manuscrits, observé attentivement ses manuscrits. On y voit ce travail d’orfèvre de la langue : phrases barrées, ajouts d’autres formulations, liens renvoyant à d’autres mots, à d’autres versions constituant des réseaux, des trames complexes. Une stratégie de narrateur hors du commun, un mode d’organisation du manuscrit retravaillé à l’infini remarquable mais épuisant. C’est dans sa correspondance et notamment dans les lettres adressées à G.Sand que l’on en trouve la trace. Il y évoque même l’écriture d' »Un cœur simple »(qu’il avait écrit pour elle et qu’elle ne lira jamais, hélas ! « J’écris maintenant une petite niaiserie dont la mère pourra permettre la lecture à sa fille. Le tout aura une trentaine de pages. Je vous l’enverrai dès qu’elle sera parue. ».)
Elle lui reprochait ce souci de beauté et il lui écrivait : « Vous m’attristez un peu, chère maître, en m’attribuant des opinions esthétiques qui ne sont pas les miennes (…) bien écrire est tout.(…) Ce souci de la Beauté extérieure que vous me reprochez est pour moi une méthode. Quand je découvre une mauvaise assonance ou une répétition dans une de mes phrases, je suis sûr que je patauge dans le Faux ; à force de chercher, je trouve l’expression juste. »
La poésie dans la prose, se dérobe. Elle est énigme. Invisible. Nous entrons dans un bonheur d’écriture. Une pulsation. Une grâce. Un noyau intime. Un souffle.
Une réussite formelle dont je n’ai pas su quoi en penser en sortant de la projection…
Pas facile, hein? Souvent confrontée à la touffeur complexe de certains films, je pense à ne rien oublier pour tout ramener chez moi et tenter d’y voir plus que cela semble montrer. Quant à vous si vous voulez présider le blog république du cinéma puisque c’est votre ambition, il va falloir bosser un peu ou aller voler aux cahiers du cinéma qui sont parmi tous les critiques les plus intransigeants, il distribue avec une grande parcimonie les étoiles, deux chez eux c’est déjà une prouesse.
Christiane reine de la tartine( onctueuse, moelleuse, fournie, construite et assurée), vous méritez la palme du tartinage.
« Le fils de Saul » ? Une réussite formelle dont je n’ai pas su quoi en penser en sortant de la projection…
faites une cure de phosphore, dear baroz. pensez-vous que ce soit une « réussite formelle » de conclure sur un enfant polonais à l’âme de bourreau ?
Effectivement une des rares fictions (rappelons-le car depuis les Bienveillantes la confusion est aimablement entretenue) qui eut l’imprimatur du manitou Lanzmann.
Quelque peu aboulique et velléitaire, jusqu’à ce que Répliques me fasse entendre prose et poésie comme il me fut rarement donné d’entendre. Ravissement…
bérénice, je n’ambitionne rien, ici, je m’amuse seulement.
8 H 15 « vous avez vu sa gueule d’acteur à la tv ? »
à la tévé et en vrai aussi , ya pas plus beau que Vlad
Il semble, qu’ici, l’on soit plus Répliques que Masque ?
Bonjour à tous,
Rien ne disparaissant jamais définitivement ici, quelqu’un connaîtrait-il un moyen d’accéder aux archives des anciens forum du monde.fr ?
Ce matin j’ai adoré Dieu à travers le soleil. Et pourtant le soleil mourra, et en ce moment même d’autres étoiles naissent, leur vie durera des milliards d’années. Seul Dieu est immuable et infiniment bon, et Dieu ne peut et pourra accepter en sa compagnie que les personnes qui tendent vers sa bonté et croient en Lui, bien évidemment.
« deux chez eux c’est déjà une prouesse »
dans la plupart des yeux un seul doigt suffit, l’appert y en pas deux
Vous savez tous que je n’existe pas, je suis seulement un avatar de JC, voyez sa longue liste de pseudos… à la con.
Le pauvre D , à 16 h 34 min, a besoin d’un remontant
Y a un truc je voudrais savoir la chope elle est remplie tous les jours, non ? Ou c’est en bois…
bérénice dit: 28 novembre 2015 à 15 h 53 min
la tartine
Ha mais justement Tartine é tape dur ! Y a intérêt à tartiner pour réchapper…
La prose de Flaubert, surtout dans l’Education sentimentale peut tout à fait être poétique, je pense notamment à la promenade en calèche de Frédéric dans la forêt de Fontainebleau pendant les journées de juin 1848 avec Rosanette. C’est un des passantes poétiques du roman, avec des phrases au rythme ternaire et toute un enchantement (faux et tragique bien évidemment) mais enchantement quand même dans les sons, les rythmes, jles jeux du sens et du son dans la prose flaubertienne. Les premières pages du roman également avec la fameuse phrase (« Ce fut comme une apparition ») qui est un octosyllabe.
Julliard est un gros patapouffe qui ne connaît rien à la poésie. C’est un cœur de pierre. Un plouc savant, comme il en existe, hélas, beaucoup dans l’enseignement supérieur. Punk, aus.
Attila dit: 28 novembre 2015 à 15 h 34 min
« mon père pleurait chaque fois qu’il entendait la Marseillaise pour le 14 Juillet, lui que la France pourtant avait trahi en lui collant une étoile jaune sur la poitrine et en assassinant sa mère et sa tante. »
Ceux qui ont assassiné votre grand-mère et grande-tante, et quelques autres, WGG, ce sont les nazis allemands, pas la France.
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Je préfère ne pas répondre.
Luc Bondy s’en est allé. Le prochain « Masque » consacré au théâtre saura lui rendre hommage.
« ne pas sucrer ces propos si féminins et peu littéraires .L »
Eh bien, Lola, vous restez dans un mode d’ expression typiquement culinaire avec votre sucrage de propos!
Hier au soir, j’ étais à l’ assemblée générale de mon club de sport favori, suivit d’ un repas préparé par les très nombreuses femmes de ce club.
Un régal, un vrai régal! D’ un millas truffé de pruneaux, au pastis traditionnel aux pommes, en passant à des salés-sucrés à base de potirons et de magret, quel plaisir pour la bouche et pour les yeux!
Tout était fait main et on se rendait bien compte de ce petit plus inimitable.
Attila dit: 28 novembre 2015 à 15 h 34 min
les nazis allemands, pas la France.
C’t’à-dire que comme les rails étaient euh… enraillés ensemble, c’est guère facile à savoir… Après heureusement ça s’est enrayé…
Votre vie est éternelle, Vlad. Préparez l’éternité, c’est tout ce que je puis vous dire. Vous devez être bon, surtout aimer. Ici je plaisante souvent mais c’est une façon de donner ma personne pour le bien des autres. Beaucoup l’ont compris et ne voudraient pour rien au monde me voir partir d’ici, nest-ce pas, Sergio ? Sergio est un homme de bonne volonté, il ira vite au ciel. Clopine n’aura qu’un court purgatoire, le temps nécessaire à réaliser que son athéisme fut la plus grosse méprise de sa vie. Le purgatoire de JC sera beaucoup plus long et douloureux, car son cœur est bien dur.
suivie, serait plus exact.
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