de Pierre Assouline

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Quel tohu-bohu métaphorique !


Quel tohu-bohu métaphorique !


Pierre Lazareff avait coutume de dire qu’un bon papier est un papier qui arrive à l’heure. Dans le même esprit, on serait tenté de dire qu’un bon dictionnaire est un dictionnaire dans lequel on peut chercher avant même d’être celui dans lequel on peut trouver. C’est la limite du Livre des métaphores (1120 pages, 30 euros, Bouquins/ Robert Laffont) de Marc Fumaroli, de l’Académie française, professeur au Collège de France et spécialiste des rhétoriques antique et moderne (et aussi Pierre-François Burger si l’on en juge par la formule des remerciements qui lui rend hommage) relu ces jours-ci quelques années après sa parution pour le plaisir d’y picorer.

L’érudition de l’auteur n’est pas en cause, non plus que la richesse de ses trouvailles. Le problème est dans le classement thématique :  « L’Univers anciens, astrologie et astronomie », « Le temps qui passe et les âges de la vie », « Le corps sémaphore », « La vie à la ferme, « Le cheval et son monde », « Le demeure urbaine » etc Quelle drôle d’idée ! Vraiment pas le genre de Bouquins dont le catalogue et la réussite témoignent du sens du pratique. Or rien n’est moins commode que ce livre qu’on aimerait tant aimer mais que son rangement rend si peu aimable. A moins de connaître à l’avance à quelle catégorie se rattache la métaphore que l’on cherche (seul Pic de La Mirandole devrait y parvenir), on ne peut s’en sortir. « Tirer son épingle du jeu », vous le cherchez où ? Je ne sais plus. Pour « Une douche écossaise », voyez à au chapitre « Médecine ». Et « Laver son linge sale en famille » ? Celui-ci au chapitre « Cuisine, aliments »…  Et « Se refaire une virginité « ? Celui-là, c’est au chapitre « Chimie et pharmacopée anciennes ».

Ah bon… Impossible de s’y retrouver, sauf quand c’est évident, ce qui arrive tout de même assez souvent, soyons justes (« Reprendre du poil de la bête » au chapitre « Animaux »). Marc Fumaroli dira qu’il a composé un lexique et non à proprement parler un dictionnaire. Question de vocabulaire, on ne va s’envoyer des lemmes à la figure ! Lexique ou dictionnaire, c’est tout un : même si celui-ci est sous-titré « Essai sur la mémoire de la langue française », il ne se lit évidemment pas en continu comme un essai ; on y pioche, on y pique, on s’y balade par sauts et gambades, souvent avec bonheur ; mais quant à y trouver ce qu’on y cherche, Tintin ! Dans sa préface, Marc Fumaroli rend à juste titre ses lettres de noblesse à la métaphore en lui accordant « le charme des citations poétiques ».

Les métaphores, il les chasse depuis longtemps non pour les mettre en fuite mais pour les attraper dans son filet à papillon et les conserver. Comment avaient procédé ses prédécesseurs pour ranger « Rompre le charme », « Graisser la patte », « Avoir le couteau sous la gorge », « jeter le froc aux orties », « Enfiler des perles »? Le lexicographe Alain Rey avait fait un classement classique par ordre alphabétique, et Claude Duneton un classement thématique. Marc Fumaroli juge le classement alphabétique« fort abstrait, en contradiction avec la nature, concrète, visuelle, sensuelle, imaginative et ironique de ces expressions verbales ou locutions adverbiales ». Il a donc opté pour un classement par champs sémantiques ; il a parié sur l’intelligence du lecteur en supposant que sa mémoire a emmagasiné « références tacites et points de comparaison cachées ». Il a tort. Non qu’on se perde dans son livre. Pire encore : on ne s’y retrouve pas. Ce qui est d’autant plus râlant qu’il est d’une grande richesse (même si dans les nombreux exemples choisis pour illustrer l’usage de telle ou telle métaphore, on est parfois surpris de trouver Métro, journal gratuit dont les qualités d’écriture nous transportent rarement, aux côtés de Joachim du Bellay).

Ceux qui ignorent que « Tohu-bohu » vient de l’hébreu n’auront jamais l’idée d’aller chercher dans « Ancien Testament » ! A noter une étrange absence : on cherche en vain un chapitre sur les métaphores sexuelles alors qu’elles abondent dans le langage courant, en littérature et en poésie. « Lever l’étendard »reste confiné au lexique de la guerre, et « Planter sa tente » ne sortira pas de l’itinéraire de Jérusalem (Ancien Testament) à Chateaubriand (Mémoires d’Outre-Tombe). Je suis bien tombé, tout à fait par hasard en « Histoire », sur une entrée « Discuter du sexe des anges », mais j’ai été plutôt déçu. Non parce que je m’attendais à quelque chose de sensuel. Le problème, c’est l’explication :

« Une légende veut qu’au moment où les Turcs du sultan Mehmet II forçaient en 1453 les défenses de Constantinople, les théologiens byzantins disputaient entre eux du sexe des anges. C’est un peu comme le vote des congés payés dans une France démobilisée face au réarmement hitlérien : une légèreté suicidaire ».

En revanche, question cheval, on est ferrés.

(« Une boutique aux Champs-Elysées, un dimanche de mars 2019 » photo Passou)

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1 788 Réponses pour Quel tohu-bohu métaphorique !


christiane dit: à

@Clopine dit: 1 août 2019 à 11 h 15 min

« mais encore faut-il respecter un minimum les mots qui sont écrits, et leur sens (par exemple, lire « empalement » à la place de « pénétration ». Pour moi, ce n’est pas tolérable de remplacer l’un par l’autre, et de justifier l’erreur au nom de la liberté du lecteur…). »

Clopine, n’en avez-vous pas assez de nous infliger le rappel de votre malheureux texte où, éhontée, vous offriez à tous les lecteurs de ce blog l’histoire de votre défloration ? Baissez donc votre jupe et reprenez un peu de dignité.
Vous aviez décrit cette « pénétration » avec tant de détails brutaux, sanguinolents que le terme « empalement » m’avait effectivement paru résumer l’acte consenti, recherché par vous.
Enfin, avez-vous lu une seule femme sur ce blog, osant ouvrir ses jambes en public et en être si fière qu’il vous a fallu la remettre ici en duplicata.
Et vous osez vous plaindre que cette scène brutale, recherchée par une adolescente (vous) pressée de perdre sa virginité, ait pu choquer, déplaire ? Allez vite vous cacher toute honte bue.
Quant à la « bêtise » dont vous m’attribuez l’excellence, il me semble avoir lu beaucoup de commentateurs sur ces fils – et pas que M.Court – vous lancer : – Mais que vous êtes bête ! mais vous ne comprenez rien ! Pensez-vous que, me renvoyant ces jugements, jamais explicités vous puissiez paraître plus intelligente ?

rose dit: à

Cahin-caha

Marie Sasseur dit: à

le texte de Paul Edel, remis à 12h01.

Absence d’indication de lieu, une plage, comme une autre.
Absence de temps. Peut se situer dernières années du XXeme, avant.

Avant quoi ?
Avant les téléphones portables!
Il y a une absence flagrante de cet objet, dans cette description hétéroclite d’un campement sur la plage.

Et l’explication, je l’ai trouvée pour P. Edel.
Qui voudrait nous faire raconter le truc à sa place comme tous les romanciers « collaboratifs », et sans talent. Ferrante, etc.
Ces personnes sur la plage pratiquent le niksen.
Ils n’ont plus les infos anxiogènes en flux continu. Ils ont déconnecté !
Voilà pourquoi ils n’en ont rien à faire du scénario catastrophe qu’Edel leur réserve.

Jazzi dit: à

« On sent une odeur d’héliotrope ;
je m’empresse de noter : 
odeur sucrée, couleur de deuil,
à évoquer dans la description d’un soir d’été. »
ANTON TCHEKHOV

Chaque été nous renvoie à la somme de tous les étés passés et annonce déjà tous ceux encore à venir.
Plus que les autres, cette saison est celle du temps aboli.
Raison pour laquelle nous sommes nombreux à vouloir faire de nos vies un éternel été.
Et comme Rimbaud, à la suite de tant de poètes ou d’aventuriers, nous rêvons de partir vers des pays où il fait toujours chaud.
Eden, Eden, Eden…
L’été, c’est le temps de la jeunesse des sensations et des désirs naissants et renaissants : une promesse de l’aube sans cesse renouvelée, reléguant au triste hiver le soin des regrets éternels.
L’été, c’est la chaleur de la lumière et la fraîcheur de l’ombre, la morsure du soleil et la caresse de l’onde, une période privilégiée au chant du monde.
Temps de canicule et de grands incendies, c’est le moment choisi par le Phoenix pour renaitre inlassablement de ses cendres.
Temps aussi de la vie à l’extérieur, au plus prés de la nature, réduisant les fonctionnalités de la maison aux seules nécessités impérieuses de la cuisine et de la chambre : boire, manger, aimer, dormir…
Temps de vacance(s) pour les uns mais aussi de labeur intense pour les autres.
Dans la catégorie des travailleurs particulièrement actifs à la belle saison il faut ranger les agriculteurs, transporteurs ferroviaires ou avionneurs, sans oublier la cohorte des employés saisonniers et autres intermittents du spectacle ainsi que les écrivains, tant l’on compte de titres de romans ou de poèmes dont l’été est le prétexte ?
Même si la plupart de leurs écrits fleuriront en hiver, car c’est durant la période chaude que murissent les impressions et sensations qui nourriront leur inspiration.
C’est durant cette période qu’il nous faut nous dépêcher d’engranger le maximum d’images, nous conseille Jean-René Huguenin, jeune romancier disparu trop tôt, pour qui l’été était la saison de l’enfance, du temps de l’insouciance, de la jeunesse de la vie. Dans La côte sauvage, il écrivit, à propos de son jeune héros, Olivier : « ce sont ces images, ces souvenirs sans importance, qui, plus tard le feront souffrir : quand, le visage errant derrière la vitre, face à la rue jonchée de feuilles qu’un balayeur poussera dans le ruisseau, il regardera passer des enfants portant leur cartable en bandoulière, sauteront à cloche-pied sur les feuilles, noirs et légers, pépiant, les jeunes écoliers, les enfants d’octobre, les successeurs des hirondelles… »
Les étés des écrivains sont souvent les plus chauds et, partant, les plus beaux !
Des étés de canicules, annonciateurs de bouleversements dont les protagonistes garderont indélébilement la trace.
Ainsi, pour Ginia, la jeune héroïne de dix-sept ans du Bel été de Cesare Pavese, qui en perdra son innocence : « Cette année-là, il faisait si chaud qu’il fallait sortir tous les soirs, et Ginia avait l’impression de n’avoir jamais compris avant ce qu’était l’été, tant c’était agréable de sortir toutes les nuits pour se promener sous les arbres des avenues. Parfois, elle pensait que cet été ne finirait jamais, et elle se disait en même temps qu’il fallait se dépêcher d’en jouir parce que, avec le changement de saisons, quelque chose devait nécessairement se produire. ».

Clopine dit: à

Je n’ai JAMAIS mis en ligne ce que vous appelez « ce malheureux texte », Christiane, ni même n’en ait fait état. C’est vous qui vous en êtes emparée… Il est un des chapitres, une des nouvelles, d’un livre qui s’appelle « petites histoires familiales et nombreuses », et oui, j’en suis fière.

Vous avez simplement fait état, en tentant de me discréditer, d’une lecture faussée par le besoin de VOUS réparer. Et ce faisant, vous avez laissé paraître ce qui, à mes yeux, est bien plus « sale » que ma nouvelle : votre moralité étouffée par la religion, qui ne supporte pas la sexualité sans l’entacher de honte.

Aussi, quand vous voulez salir quelqu’un, vous allez chercher ce registre…

Vous ne faites qu’emboîter le pas à tout ce que le clergé comporte de plus réactionnaire. A tout le malheur du monde, avec ces tabous jetés sur les corps, par-devant, pendant que par derrière, n’est-ce pas, la frustration sexuelle et la soumission conduisent vers les pires crimes – je parle ici des violences sexuelles commises dans l’église.

Encore un motif qui m’éloignera toujours de vous.

Bérénice dit: à

Hamlet, le bahut est aussi un meuble encombrant, une grosse pièce qui fait ( pardonnez je ne possède que de rares bons mots) au plus c’est gros, plus ça passe , du celebre nazi.

et alii dit: à

rouler dans la farine

Bérénice dit: à

Clopine, je repose la question. Est ce la deviance qui oriente les déviés vers la foi qui peut être se pose en rédemption ou le célibat exigé conduit il à la pédophilie? Les désirs coupables doivent à mon avis fournir quelques vocations religieuses.

Jazzi dit: à

« Allez vite vous cacher toute honte bue. »

ça y est l’instit’ a encore frappée !
C’est beau pourtant une défloraison.
Voyez Duras :

« Il est assis devant elle qui est debout. Elle baisse les yeux. Il prend sa robe par le bas, la lui enlève. Puis il fait glisser le slip d’enfant en coton blanc. Il jette la robe et le slip sur le fauteuil. Il enlève les mains de son corps, le regarde. La regarde. Elle, non. Elle a les yeux baissés, elle le laisse regarder.
Il se lève. Elle reste debout devant lui. Elle attend. Il se rassied. Il caresse mais à peine le corps encore maigre. Les seins d’enfant, le ventre. Il ferme les yeux comme un aveugle. Il s’arrête. Il retire ses mains. Il ouvre les yeux. Tout bas, il dit :
– Tu n’as pas seize ans. Ce n’est pas vrai.
Pas de réponse de l’enfant. Il dit : C’est un peu effrayant. Il n’attend pas de réponse. Il sourit et il pleure. Et elle, elle le regarde et elle pense – dans un sourire qui pleure – que peut-être elle va se mettre à l’aimer pour toute la durée de sa vie.
Avec une sorte de crainte, comme si elle était fragile, et aussi avec une brutalité contenue, il l’emporte et la pose sur le lit. Une fois qu’elle est là, posée, donnée, il la regarde encore et la peur le reprend. Il ferme les yeux, il se tait, il ne veut plus d’elle. Et c’est alors qu’elle le fait, elle. Les yeux fermés, elle le déshabille. Bouton après bouton, manche après manche.
Il ne l’aide pas. Ne bouge pas. Ferme les yeux comme elle.

L’enfant. Elle est seule dans l’image, elle regarde, le nu de son corps à lui aussi inconnu que celui d’un visage, aussi singulier, adorable, que celui de sa main sur son corps pendant le voyage. Elle le regarde encore et encore, et lui il laisse faire, il se laisse être regardé. Elle lui dit tout bas :
– C’est beau un homme chinois.
Elle embrasse. Elle n’est plus seule dans l’image. Il est là. A côté d’elle. Les yeux fermés elle embrasse. Les mains, elle les prend, les pose contre son visage. Ses mains, du voyage. Elle les prend et elle les pose sur son corps à elle. Et alors il bouge, il la prend dans ses bras et il roule doucement par-dessus le corps maigre et vierge. Et tandis que lentement il le recouvre de son corps à lui, sans encore la toucher, la caméra quitterait le lit, elle irait vers la fenêtre, s’arrêterait là aux persiennes fermées. Alors le bruit de la rue arriverait assourdi, lointain dans la nuit de la chambre. Et la voix du Chinois deviendrait aussi proche que ses mains.
Il dit :
– Je vais te faire mal.
Elle dit qu’elle sait.
Il dit aussi que quelquefois les femmes crient. Que les Chinoises crient. Mais que ça ne fait mal qu’une seule fois dans la vie, et pour toujours.
Il dit qu’il l’aime et qu’il ne veut pas lui mentir : que cette douleur, jamais ensuite elle ne revient, jamais plus, que c’est vrai, qu’il lui jure.
Il lui dit de fermer les yeux.
Qu’il va le faire : la prendre.
De fermer les yeux. Ma petite fille, il dit.
Elle dit : non, pas les yeux fermés.
Elle dit que tout le reste, oui, mais pas les yeux fermés.
Il dit que si, qu’il le faut. A cause du sang.
Elle ne savait pas pour le sang.
Elle a un geste pour se sauver du lit.
Avec sa main il l’empêche de se relever.
Elle n’essaye plus.
(…)

La douleur arrive dans le corps de l’enfant. Elle est d’abord vive. Puis terrible ; Puis contradictoire. Comme rien d’autre. Rien : c’est alors en effet que cette douleur devient intenable qu’elle commence à s’éloigner. Qu’elle change, quelle devient bonne à gémir, à en crier, qu’elle prend tout le corps, la tête, toute la force du corps, de la tête, et celle de la pensée, terrassée.
La souffrance quitte le corps maigre, elle quitte la tête. Le corps reste ouvert sur le dehors. Il a été franchi, il saigne. Il ne souffre plus. Ca ne s’appelle plus la douleur, ça s’appelle peut-être mourir.

Et puis cette souffrance quitte le corps, quitte la tête, elle quitte insensiblement toute la surface du corps et se perd dans un bonheur encore inconnu d’aimer sans savoir. »
(« L’Amant de la Chine du Nord », éditions Gallimard, 1991)

christiane dit: à

@pado dit: 1 août 2019 à 12 h 58 min
Ai-je dit qu’il était choquant ? J’ai lu une très fine critique d’hamlet à propos de ce texte. Plus tard, il s’est excusé de l’avoir écrite. J’ai écrit alors que je le regrettais, car je l’avais appréciée, ajoutant un autre début de texte que P.Edel avait mis en ligne, peu avant, où il décrivait une grosse femme, huilée, étalée les bras en croix sur le sable.
J’ai éprouvé, comme hamlet, une impression de dédain concernant le regard de P.E sur ces corps avachis sous le soleil, avant de lire cette angoisse qui l’a gagné, l’incitant à évoquer des corps carbonisés par une explosion nucléaire.
C’est uniquement sur ces description de corps que j’ai ressenti une gêne car, qui s’agglutine sur les plages pas trop huppées, l’été, si ce n’est les vacanciers de familles modestes bénéficiant des congés payés ? La mer, la plage ont été le lieu de vacances le plus recherché par ces familles avec leur lot d’arrangements avec la vie chère (paniers repas, sandwichs, parasols et jouets en plastique pour les enfants, camping, paiement par tempérament…, avec la surpopulation des plages, des centre-villes de ces stations balnéaires.
Comme le dit x, chacun peut ressentir par sa lecture des sentiments divers face à un texte.
Par ailleurs chacun a le droit d’écrire un texte, de le mettre en ligne ici. Certain(e)s ne s’en privent pas…
Je suis très attentive à ceux de Paul Edel car ils ont souvent un charme fou. Celui-ci est irréprochable sur le plan du style, des idées qu’il évoque clairement. Aux lecteurs de réagir ou de ne pas réagir, de le recevoir plus ou moin bien.

et alii dit: à

Commencer un roman par la queue : Métaphore signifiant que dans ce cas de figure le séducteur va d’abord coucher avec la dame, et lui faire la cour après.

et alii dit: à

Le diable bat sa femme et marie sa fille : se disait quand le soleil brille en même temps qu’il pleut.

Phil dit: à

« Héliotrope » est le titre d’un roman de l’écrivain hongrois Gyula Krudy, au tournant du siècle passé. Budapest, alors riche capitale du grenier à blé de l’Autriche-Hongrie, exhalait les senteurs de violettes et d’héliotropes. Quelques années de bonnes brises avant d’être mise à d’autres parfums moins flatteurs pour l’esprit.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 1 août 2019 à 13 h 44 min
Vous confondez la fiction d’un roman et une internaute qui aime raconter sa vie, (dont cette défloration), sa famille.
Les « instits » ! encore. Que savez-vous de ce métier ? que savez-vous de tout ce qui est mis en œuvre pour épanouir, cultiver, aider à la parole, à l’expression, à la créativité tous ces enfants ?
Quand je dis à clopine de baisser sa jupe, je ne la prend pas pour une enfant, ce n’est pas une instit qui parle mais une femme à une autre femme.
Dans ce retour de flamme vers votre ex-amie vous ne vous exprimez pas d’une façon honnête. C’est bien regrettable.

Clopine dit: à

Bérénice, je crois que je n’ai pas la réponse à votre question.

Les choses que je sais : quand l’homosexualité a cessé d’être criminalisé dans la plupart des pays d’ Europe, « comme par hasard », une baisse des « vocations » des jeunes gens à entrer dans l’église a été constatée. En fait, les jeunes gens homosexuels trouvaient dans l’église à la fois une protection et un paravent, en quelque sorte. Dans le récent documentaire sur les viols des religieuses par des prêtres (documentaire assez insoutenable, il faut le dire !) cette question est évoquée comme « toile de fond » d’une misogynie qui règnerait (ou plus exactement « règne », car elle a été constatée) dans les plus hauts cercles catholiques, vieillards ayant été des homosexuels « planqués » dans l’église et du même coup, particulièrement insensibles aux scandales concernant les religieuses.

Et évidemment, le fait que des jeunes gens homosexuels passent leur existence dans l’église peut sans doute favoriser les violences pédophiles. Surtout quand d’irresponsables parents laissent leurs enfants dans de telles mains.

Si vous joignez à cela la condamnation de l’avortement (alors même qu’en Afrique, au moment de l’épidémie du sida, certains prêtres abusaient des religieuses noires, censées ne pas être contaminées et donc ne pouvant les contaminer, en lieu et place des prostituées auxquels ils avaient recours avant, religieuses qui tombaient enceintes et que ce même clergé faisaient avorté, le cas cité dans le documentaire fait état d’une grossesse de 8 mois !!!, ce qui fait que ces femmes étaient triplement violées, dans leur corps, dans leur personnalité, dans leur foi, la honte attachée à tout ce qui est sexuel, et l’effroyable contamination des idées de saint Paul, champion toutes catégories de la frustration sexuelle, vous avez une église qui, ma foi, devrait, plutôt que rougir devant deux hommes qui s’embrassent ou une femme qui jouit, rougir à tout jamais d’elle-même…

Pat V dit: à

Jazzi dit: 1 août 2019 à 13 h 44 min

Avoir des bleus à l’âme.

rose dit: à

Défloration.

christiane dit: à

@Clopine dit: 1 août 2019 à 13 h 35 min

« Je n’ai JAMAIS mis en ligne ce que vous appelez « ce malheureux texte », Christiane, ni même n’en ait fait état. C’est vous qui vous en êtes emparée »
ABSOLUMENT faux ! je l’ai évoqué et vous avez réagi en écrivant, puisque c’est ça je le mets en ligne et vous pourrez juger. Et vous l’avez mis en ligne.
Je me souviens que Chaloux gêné a écrit : « ce n’est pas ce que vous avez écrit de mieux, clopine ».
J’espère que vous n’aurez pas l’indécence de le remettre en ligne encore une fois !

et alii dit: à

Classes de CM2 :

-1er prix : Métaphore d’Or : Floriane Relea « La pollution fait se révolution » école d’Ibos, classe Mme Cabalou.

-2éme prix : Métaphore d’Argent : Ruben Vanoverberghe « Trop de pollution » école d’Ibos, classe Mme Cabalou.

-3éme prix : Métaphore de Bronze : Hugo Junca « Arrêtons la pollution » école d’Ibos, classe Mme Cabalou.
http://www.tarbes-infos.com/spip.php?article14553

Jazzi dit: à

Christiane, Duras parle de sa propre défloration avec l’amant Chinois. Et toutes les femmes peuvent comparer avec leur propre histoire…
Quand tu dis à Clopine de baisser sa jupe, c’est plus l’instit qui parle mais plutôt la dame patronnesse !

Bérénice dit: à

Clopine, je n’oserai pas comme vous rapprocher l’homosexualité de la pédophilie. Cela dit, un cumul est possible. L’homosexualité n’étant plus considérée comme une maladie alors que la pédophilie en dehors de mouvements sectaires historiques ou peut être encore actuels est considérée en tant que deviance, perversion et délit condamnable.

christiane dit: à

@cloipne
Vous écrivez : « Vous avez simplement fait état, en tentant de me discréditer, d’une lecture faussée par le besoin de VOUS réparer. »
Mais qu’est-ce que c’est que ces suppositions aberrantes , En quoi ai-je besoin de me réparer ?
Pouvez-vous mettre ce soi-disant commentaire en ligne ?

 » Et ce faisant, vous avez laissé paraître ce qui, à mes yeux, est bien plus « sale » que ma nouvelle : votre moralité étouffée par la religion, qui ne supporte pas la sexualité sans l’entacher de honte. »
Ah oui, mais ce ne sont que des fantasmes, vos fantasmes. Trouvez-moi un seul commentaire de ma part qui reflète cette sexualité que je ne supporterai pas.
Imaginez-vous DHH, Lavande, Gisèle, Bérénice, Ed venant raconter ici leur défloration ?

« Aussi, quand vous voulez salir quelqu’un, vous allez chercher ce registre… »
Ah oui, j’attends une preuve. Citez, madame, citez.

Jazzi dit: à

Christiane, rose, Bérénice, Marie Sasseur, et alii, Ed…

Et si vous nous contiez l’histoire de votre défloration ?
Beau ou mauvais souvenir ?

Bérénice dit: à

Jazzi, oui on peut aussi parler de nos accouchements. J’ai accouché une fois, et j’ai eu peur de devoir me rendre en deux par devant. Fort heureusement cela ne s’est pas produit et ce souvenir de pensée m’amuse.

Bérénice dit: à

Me Fendre.

Clopine dit: à

Et Christiane m’a vraiment choquée d’utiliser mon texte comme cela. Et encore plus choquée de n’avoir jamais admis qu’elle l’avait déformé, qu’elle avait inventé des mots et mis une intention si complètement opposée au sujet que son interprétation fallacieuse était en plus grotesque.

Je me demande, à la réflexion, si, à la suite de cet infâme utilisation malhonnête, je n’avais pas mis en ligne ici les quelques lignes incriminées, alors que je viens d’affirmer le contraire…

C’est que je n’ai JAMAIS eu l’intention de me « pavaner » en mettant en ligne ce texte, et, si je l’ai fait, c’est poussée à bout par les affirmations si tendancieuses, si scandaleuses et si bêtes d’une Christiane qui raconte n’importe quoi sur moi, quand ça l’arrange.

Voilà, c’est tout ce que j’ai à en dire.

christiane dit: à

@Clopine
Vous écrivez : « Vous ne faites qu’emboîter le pas à tout ce que le clergé comporte de plus réactionnaire. A tout le malheur du monde, avec ces tabous jetés sur les corps, par-devant, pendant que par derrière, n’est-ce pas, la frustration sexuelle et la soumission conduisent vers les pires crimes – je parle ici des violences sexuelles commises dans l’église.
Encore un motif qui m’éloignera toujours de vous. »
Où m’avez-vous vu prendre ce genre de position ? Je vous rappelle que je ne suis pas plus pratiquante que vous, même si j’ai été baptisée comme vous et vécu avec la même exaspération le catéchisme. Je vous rappelle aussi que j’ai été élève de l’école laïque et enseigné de même, uniquement dans des établissements laïcs. Et que je condamne tout attouchement, tout viol d’enfant qu’il soit le fait d’un religieux, d’un laïc, d’un inconnu ou d’un membre de la famille de l’enfant.
Vous n’avez pas honte d’induire de telles saletés ?

christiane dit: à

@Clopine dit: 1 août 2019 à 14 h 07 min
Un peu facile, clopine. Prouvez ces accusations.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 1 août 2019 à 14 h 03 min
Nous ne sommes pas obligés de vous imiter, fort heureusement.

et alii dit: à

à Charenton
pour le sud ouest: à Lannemezan dit-on à Tarbes,Pau,etc.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 1 août 2019 à 14 h 00 min
Pauvre Jazzi, vous vous enferrez dans ces redites maladroites.

pado dit: à

Clopine
Corrélation entre baisse des vocations religieuses et dépénalisation de l’homosexualité ?
Celle-là je ne l’avais jamais vu venir.
Vous avez des chiffres ?
Vous êtes sûre qu’en 1930 une jeune de quinze ans qui se savait des tendances homosexuelles se disait, vite, vite le séminaire et la prêtrise, les petits m’attendent ?

Qu’en penses-tu Annibal ?

Delaporte dit: à

« l’effroyable contamination des idées de saint Paul, champion toutes catégories de la frustration sexuelle »

C’est cavalier et stupide de dire cela. Saint Paul est un grand écrivain, qui a certes prôné la chasteté, mais jamais la « frustration ». Au contraire. Il y a toute une méditation de l’Eglise catholique sur la continence, admirable et propre, jamais souillée de vains propos hors de saison comme certaine défloration. Mère Clopine, vous semblez être impressionnée par Jean-Paul II, véritable rock-star et idole des jeunes : il a consacré beaucoup de commentaires à la relation charnelle, et il faut être un sauvage pour le lui reprocher, ou tout simplement avoir des préjugés à son encontre. Mère Clopine, vous avez essentiellement des préjugés. Vous baignez dans la putréfaction cadavérique, et vous estimez malgré tout être un cas à part. Mais pas du tout. Il n’y a pas plus conformiste que vous, et c’est navrant. Alors dégorgez bien !

Marie Sasseur dit: à

@14h03, la féminité n’est pas de la pornographie.
et si vous leur racontiez votre viol consenti, qui a fait de vous « un homo comme ils disent « ?

gisèle dit: à

PHIL 13h53. J’ai noté « Héliotrope » de Gyula Krudy. J’ai vu qu’il était édité à l’Harmattan. Je n’apprécie guère le format ou la présentation de l’Harmattan; l’avez-vous dans une autre édition ?
(je travaille dans une organisation secrète: senteurs odeurs parfums !!!)
Pourriez-vous me conseiller un ou 2 autres livres du même écrivain, qui révélerait une image de son talent, de la Hongrie ? Merci.

Bérénice dit: à

Odeurs? Vous vivez dangereusement!

Clopine dit: à

Les détails brutaux et sanguinolents, la jupe retroussée, etc : vous n’avez pas honte de m’attribuer des saletés pareilles ?

Alors, s’il faut être encore plus explicite, bien entendu vous êtes parfaitement innocente des crimes pédophiles qui se commettent à l’ombre des crucifix des églises catholiques.

Mais votre pensée, votre moralité, tout ce qu’il y a derrière vos propos d’habitude dégoulinants de suavité et parfois, quand vous vous sentez attaqués, si grotesques et si faux, sont cependant imprégnés de cette foi chrétienne dont vous faites, oh, les yeux baissés n’est-ce pas, et en adoptant la posture faussement modeste d’une âme éprise de spiritualité, état par ici.

Et je persiste à penser que si vous étiez un tant soit peu distanciée d’avec vous-même, il y a longtemps que vous auriez admis, de bonne grâce, avoir, par souci de m’atteindre et me discréditer, déformé le sens de mon texte en y voyant de la pornographie (?) ou un exhibitionnisme sexuel (??) sur fond de « retape » du lecteur (????); ce qui prouve que vous n’êtes décidément pas « au clair » avec ces questions-là.

Et il s’agit en plus, d’un texte de fiction. Une nouvelle. Comme plein d’écrivains, j’ai bien entendu puisé dans la réalité, mais tout le travail de construction de l’anecdote (car c’en est une, au fait !) a consisté à concentrer dans une unité d’action, de temps et de personnages ce qui, pour de vrai, dans ma vraie vie veux-je dire, ne s’est absolument pas passé comme je l’ai écrit.

Mais ça, triple buse, vous ne vous en êtes même pas aperçue ; non plus qu’il s’agissait, en plus, d’évoquer la question de la « jeune fille » en littérature. C’est une question qui m ‘intéresse, parce qu’elle est avant tout littéraire : la description des jeunes filles, de Nausicaa à Lolita, est une telle obsession chez les écrivains qu’il faut bien la considérer comme une sorte d’énigme. La question de la virginité fait partie de cette énigme…

Bref, je vais arrêter sur ce sujet parce qu’à chaque fois que je pense à ce que vous osez lire dans mes mots, j’ai envie, tant c’est décourageanr, de déchirer ce que j’ai écrit, d’en quelque sorte me couper les mains. Ce qui vaut mieux, et montre que j’ai bon fond pour de vrai, que d’avoir envie de vous crever les yeux.

Clopine dit: à

Marie Sasseur, quand vous demandez à Jazzi de raconter « son » « viol consenti » (??????), n’avez-vous pas l’impression d’être légèrement putride ?

Marie Sasseur dit: à

jazzey est un pervers sexuel, et l’idée qu’il puisse un jour passer à l’acte délictueux, n’est plus pour moi, et depuis le temps qu’il tourne autour du pot, une vue, de l’esprit. La posture de voyeur est un quiproquo le concernant.

Bérénice dit: à

Les détails brutaux et sanguinolents, la jupe retroussée, etc : vous n’avez pas honte de m’attribuer des saletés pareilles ?

Quelqu’un avait coûté une histoire dans ce genre, deux enfants dont le garçon avait eu pour bonne idée de déflorer sa cousine , mais ce n’était pas vous Clopine. J’ai souvenir que le style en était inattendu et original, l’impression d’une petite machine lancée qui se déroulait dans un cliquetis métallique.

Jazzi dit: à

« Qu’en penses-tu Annibal ? »

Rien, pado. Je ne lis pas Clopine quand elle se fait penseuse généraliste. Seulement quand elle témoigne et parle directement d’elle-même.

D. dit: à

Ce soir je mange une côte de porc aux lentilles.

Marie Sasseur dit: à

Pas du tout, clopine.
Il a déjà raconté cette histoire, ici, et peut-être pas à ceux qui le connaissent… comme il est en surchauffe, lui rafraîchir les idées va l’aider à apprendre à vivre.

Bérénice dit: à

Conté.
Jazzi avait produit un texte peu ragoutant que j’ai zappé. Faire de la littérature avec de tels sujets n’est pas partie facile.

pado dit: à

Le duo Clopine-Annibal est en passe (une image) d’égaler celui indissociable de Bouvard et Pécuchet.
C’est beau l’amour.

Jazzi dit: à

« et si vous leur racontiez votre viol consenti »

Déjà fait plusieurs fois, Marie Sasseur, demandez à Christiane !

christiane dit: à

@Clopine dit: 1 août 2019 à 14 h 24 min

« Les détails brutaux et sanguinolents, la jupe retroussée, etc : vous n’avez pas honte de m’attribuer des saletés pareilles ? »

Relisez votre texte ! (celui-ci vous ne pouvez pas dire que vous l’avez perdu ou oublier.

Pour le reste supputations, fantasmes, haine, violence, rapport ambigu avec votre sexualité, obsession de l’église catholique néfaste, de l’homosexualité, de la pédophilie…

Vous êtes en soin actuellement ? ça vaudrait mieux que de vouloir crever les yeux à ceux qui vous voient telle que vous êtes…

christiane dit: à

oublié

christiane dit: à

@Jazzi dit: 1 août 2019 à 14 h 38 min
Non merci.

Clopine dit: à

Je n’arrive pas à « penser » ce que peut être un « viol consenti ».

Je sais que la question du « consentement » est au coeur des relations sexuelles, et que si tant de plaintes contre les violences sexuelles échouent, c’est justement à cause de la difficulté d’établir l’absence de consentement.

Mais consentir à un viol n’est à mon sens pas possible. Car l’idée de viol est corrélée, est issue directement, de l’absence de consentement.

C’est donc pour moi une expression aussi incompréhensible (et dangereuse !) que le célèbre « viva la muerte » dénoncé par Unamuno.

christiane dit: à

@pado dit: 1 août 2019 à 14 h 38 min
Eh oui, Pado, ils se sont trouvés !

christiane dit: à

@Bérénice dit: 1 août 2019 à 14 h 37 min
Oui, bérénice nous avons le même souvenir : « peu ragoûtant ».

Clopine dit: à

Peut-être est-ce de « résignation » qu’il s’agit ? Résignation à l’inévitable ?

Christiane, pffff… Je ne sais plus quoi vous dire, tant vous vous enferrez… Je dirais même plus : vous vous empalez, là !

(bon d’accord, je sors.)

et alii dit: à

à la masse ,pas à la messe

pado dit: à

Clopine 14h37

??????
Les prêtres qui violent des religieuses sont homosexuels ?
Je sens que j’ai besoin d’un cours de rattrapage sur l’éducation sexuelle.

et alii dit: à

Signification : Être fou ou inconscient, complètement déphasé, abruti.

Origine : Expression française récente qui puise ses origines dans le vocabulaire argot et s’expliquerait par l’effet coup de masse ou choc émotionnel violent. En effet, ce serait le coup sur la tête de par sa connotation qui rendrait idiot ou inapte à la réflexion. Selon d’autres interprétations, le terme masse serait lié au domaine de l’électricité et en rapport avec le passage du courant vers la terre qui peut dans certains cas favoriser des dysfonctionnements. De ce fait et pris au sens figuré, être à la masse serait être complètement disjoncté du monde qui l’entoure et donc cinglé.

et alii dit: à

La géode freudienne. À propos de la référence minéralogique dans la
psychopathologie de Freud
Miguel Angel Sierra Rubio

et alii dit: à

ma&is c’est à P.Edel qu’il faut demader de présenter « la cristallisation » de Stendhal

et alii dit: à

demander

Clopine dit: à

Pado, excusez-moi, je n’ai pas été assez explicite. Le mieux serait que vous regardiez le documentaire, mais enfin :

Il est avéré qu’il existe au Vatican ce que, dans le documentaire, on appelle une sorte de « clan » : de très hauts dignitaires, très âgés, prélats, etc., qui auraient en commun deux caractéristiques : une sorte de « complicité » homosexuelle et un mépris des femmes. Les deux allant de pair auraient contribué à faire régner le plus grand silence autour des « affaires » qui risquaient d’entacher l’église, d’une part autour des scandales pédophiles, et d’autre part les scandales hétérosexuels.

Car il existe des prêtres qui, ne respectant pas le voeu de chasteté, avaient recours à des prostituées.

Notamment dans le clergé africain.

Avec l’arrivée du sida, ces hommes, avec un cynisme époustouflant, ont cessé d’avoir des relations avec des prostituées, par peur de la contamination.

Et sont passées aux religieuses…

Certaines de ces religieuses ont bien entendu tenté de faire connaître l’épouvantable situation qui était la leur, à la haute hiérarchie catholique, donc à Rome…

Mais elles se sont heurtées à ce « clan » décrit plus haut, qui a toujours dédaigné la foi de ces femmes.

Est-ce plus clair ?

D. dit: à

Manque plus que ce con d’été Leonardo pour lui faire le portrait.

D. dit: à

Bon ça suffit, Clopine, maintenant.
Allez prendre un tranquillisant si ça ne va pas plutôt que de persécuter les commentateurs les uns après les autres.

D. dit: à

Quel gode freudien ?

D. dit: à

Ah, Géode. Pardon.

pado dit: à

Clopine dit: 1 août 2019 à 15 h 05 min
Est-ce plus clair ?

Non.
Je ne vois toujours pas le rapport entre baisse des vocations religieuses et dépénalisation de l’homosexualité.
Je vous rappelle que c’était ma question suite à votre commentaire.

hamlet dit: à

une scène de plage racontée par le pote d’un de mes gamins : à Saint Barth, le petit bateau de l’hôtel emmène un jeune couple sur une petite plage. Pendant que le couple attend sur le bateau une jeune fille transporte toutes les affaires : picnic, glacière, parasol, table, fauteuils, nappe, serviettes de bain etc… du bateau jusqu’à la plage, comme le niveau d’eau est assez haut elle est obligée de tout porter à bout de bras, l’eau qui lui arrive au menton, une fois que tout est bien installé sur la plage, le couple descend du bateau, s’installe et le bateau repart vers l’hôtel.

je dis au gamin (parlant de la jeune servante) : c’est de l’esclavage moderne.
sa réponse : non c’est génial comme boulot elle est bien payée et en plus elle passe des super vacances à St Barth.

MC dit: à

Que Clopine n’ait pas lu une ligne de St Paul, on peut le comprendre, ce n’est pas au programme, ni d’ailleurs dans son logiciel.

Qu’elle délire sur la baisse des vocations corrélée on ne sait par quel complot ou quelle acrobatie à la dépénalisation de l’homosexualité, passe encore, le fait de ne produire ni un chiffre , ni un historique qui se tienne, suffit à la discréditer elle-même.

Qu’elle revienne obsessionnellement sur son empalement (pas lu par l’auteur de ces lignes)est plus intéressant. « Oh le beau cas » dirait le psychiatre des Aventures d’Achille Talon.

Qu’elle fasse de Christiane un esprit nécessairement religieux, ce qu’il n’est pas, en dit long sur une âme manichéenne pour qui un athéisme de café du commerce est la seule position tenable, et malheur à celles et ceux qui ne le partagent pas.

Dans cette affaire, c’est Renan qui à raison : « On imagine pas ce qu’il faut savoir pour être athée ».

L’athéisme Clopinien est à cette position là , très respectable,ce que le Nietzsche de brasserie est au Nietzsche authentique: une caricature de niveau collège. L’argumentation, toute en nuances, ajoute encore s’il en était besoin à la finesse du trait. Prosternons-nous donc, puisqu’on nous y invite, devant cette pensée qui, comme les présocratiques, nous parvient toujours en miettes, faute de pouvoir opérer sa propre synthèse, pensée que nous « ne comprendrons jamais », l’incompréhension par autrui étant bien commode car constituant le fond de commerce de la petite boutique clopinienne…
Bien à vous.
MC

Phil dit: à

vos gamins prennent leurs vacances à Saint Barth, dear Hamlet ? tout va bien madame la Marquise !

MC dit: à

Pado, Les questions gênantes qui mettent en cause la Clopinienne Majesté, Notre Danube de la Pensée comme on disait sous Ceaucescu sont systématiquement évacuées. Vous ne vous en « tirez pas si mal d’avoir déjà un « documentaire ». Quant à savoir s’il est à décharge, ou meme équitable, ce sont concepts qui n’ont pas cours du coté de Beaubec. On y tire au canon de marine, tout simplement, meme s'(il arrive parfois que le projectile revienne, ou que le lanceur éclate.
De la philosophie conçue comme une Balistique, en quelque sorte.

Clopine dit: à

Mais ce n’est pas moi qui le dis. Faut-il remettre le lien vers le documentaire cité ?

C’est incroyable, tout de même, comment les tenants de la religion peuvent être… de mauvaise foi…

(bon d’accord, je sors derechef, parce que je vais finir par piquer un fou rire,, là.)

et alii dit: à

amitié:
Beau doublé pour Mona Ozouf et Michelle Perrot : les deux historiennes se connaissent depuis 1955, elles entretiennent une amitié, nourrie par six décennies de conversation. Et voilà que, sans se concerter, elles ont travaillé simultanément sur deux jumelles de la littérature : la française George Sand (1804-1876) pour Michelle Perrot, la britannique George Eliot (1819-1880) pour Mona Ozouf.

DHH dit: à

Qu’on parle défloration ou autre moment intime lié à la sexualité ,voire à ses dérives perverses , ce qui m’a toujours frappé c’est ce paradoxe qui veut que on puisse livrer au public dans les écrits auto fictionnels transparents de scènes présentées souvent avec une précisions et un luxe de détails qui relèveraient de l littérature porno s’ils ne visaient pas à rendre compte d’un vécu intime authentique, alors que jusqu’à cet étalage sur la place publique ils restaient enfouis au fond des âmes, la pudeur empêchant de partager ces secrets même avec les êtres les plus proches
En racontant sa défloration ,comme l’a fait Duras ,Clopine a écrit une nouvelle autofictionnelle et elle a donné à l’événement une précision sanguinolente qui correspond à ce qu’elle a vécu Aussi longtemps qu’on est au niveau de la littérature on considère cela comme tout a fait acceptable (voir christine Angot) ;mais cela est perçu comme incongru et transgressif lorsque cela prend place dans la conversation ordinaire entre personnes qui se connaissent et entre lesquelles la pudeur mais aussi, aux yeux de certains ,la bienséance(c’est le sens de la rection de Christiane) bannissent ordinairement l’échange de telles confidences
La question que je me pose :Quid de de la découverte par les proches de l’écrivain de ces secrets qu’il n’aurait pas osé leur livrer ,et qui s’étalent dans ses ecrits publiés ?comment peut réagir un enfant au compte rendu détaillé de la défloration de sa mère découverte dans un livre ?

et alii dit: à

: 1 août 2019 à 15 h 19 min
et pas de transistor?

DHH dit: à

Autre récit de défloration :dans la saga d’Elena Ferrante l’héroïne se fait déflorer par dépit, sur un coup de tête, à même le sable de la plage par le père de l’homme dont elle est amoureuse et qui deviendra bien plus tard son concubin

Phil dit: à

Gisèle, oui l’harmattan, hélas, n’est pas d’un format attrayant mais c’est la seule traduction française que je connaisse; mais il est sûrement possible en recherchant sur des sites bouquinistes de trouver des éditions antérieures, Krudy étant un écrivain considérable de la Hongrie resplendissante, « aspirateur » de femmes et de fleurs. Budapest embaumait (jusqu’en quatorze) des fruits et fleurs qui poussaient à l’est, senteurs portées vers les quartiers ouest (les « westend » beaux quartiers de toutes nos villes industrielles) par le souffle du danube. « Pirouette » parle aussi de fleurs et de femmes, vendeuses de violettes. Les spécialistes vous diront que la prose de Krudy en hongrois utilise tous les ressorts de cette langue agglutinante pour rendre un son poétique, bien sûr effacé au passage en traduction.

rose dit: à

Émile Ajar plutôt

Phil dit: à

comme le remarque justement M. Court, cette « statistique » agitée par Dame Clopine de la baisse des vocations dans l’église indexées sur celle des braguettes légalisées est assez croustillante. de quelle écurie bouffe-curés sort-elle ? (la statistique bien sûr)

et alii dit: à

, ce qui m’a toujours frappé c’est ce paradoxe
FRAPPee

rose dit: à

frappé

Marie Sasseur dit: à

« La question que je me pose :Quid de de la découverte par les proches de l’écrivain de ces secrets qu’il n’aurait pas osé leur livrer ,et qui s’étalent dans ses ecrits publiés ?comment peut réagir un enfant au compte rendu détaillé de la défloration de sa mère découverte dans un livre ? »
Les enfants de la mère Ernaux ?
Angot a été violée par son père.
Madame Rosa n’était pas toxico.

Janssen J-J dit: à

– le pote de l’un de ses gamins, de « la bath generation » ?

– ils ont une rationalité incompréhensible. Binaire, comme les nouvelles générations de keufs-policiers-flics, la morale bien/mal (souvent inversée) a remplacé le sens commun sociologique de la nuance issu de la théorie des systèmes (« Berthe à l’amphi », comme disaient les potaches de ma génération, mal à l’aise avec les « Cripures » de la raison tique). Les technologies de la PST sont censées départager les criminels des innocents (pauvres ou riches, jeunes ou vieux, blancs ou noirs, femmes ou hommes, cultivés ou incultes). A quoi bon toutes ces sciences humaines à la con ? A leurs yeux. Les vieux agents ne comprennent plus rien à Macron-Castaner et à cette pauvre Mme J. à la tête de l’IGPN. Comme par hasard, on y a collé une femme plus moyenne que la précédente, résultat : on peut pas lui reprocher grand chose, et notamment pas lui faire jouer les fusibles, les hautes fonctionnaires ne sont pas faites pour cela. Mais à l’IGA, ça va pas se passer comme ça, hein !… (m’enfin, on confiera plus jamais une commission d’enquête au maire de Bègles comme sous FH ; une vraie cata, il haîssait les keufs, par pure idéologie d’insoumis)…

– Une nouvelle affaire M. O. ? Absolument pas.

– vos propos puent le sociologisme, ils ne s’en tiennent pas à l’analyse des textes (a dit qqu’un à quelqu’une)… C’est dommage, car elle s’efforce toujours de tirer une généralité idéologique d’un auteur à partir d’une désobligeante sur les congés payés, d’où que provienne le propos. C’est sa pente naturelle maladroite, mais a-t-elle complètement tort ?

– à quoi il fut rétorqué qu’une nouvelle mettant en scène une jeune fille déflorée ne valait pas brevet de réalisme. Un pont (de charenton sur lequel séjournait félix le chat, en attendant), proustinien de surcroît ne suffirait point à expliquer l’affaire.

– Poutine à Brégançon ? N’aurait pas accepter de venir dans ce traquenard, les M. ne vont en faire qu’une bouchée… Il risque d’en ressortir défiguré surtout s’il vient seul, sans sa femme ni ses deux filles.

– des objurgations. Elizabeth Borne serait de gauche psycho rigide.

– un aller-retour VIP en Falcone dans la journée ? Mais c’était juste pour le remplir, nous dit-on, car il restait une place à côté des échantillons d’urine des coureurs !

– se trimballer un bahut comme un heidegger ? où est le souci ? N’était-ce pas un ébéniste autrichien qui signait parfois ses meubles ? Et PB le savait qui truffait ses textes d’un détail humour ravageur, soupçonnant bien que personne n’irait lui demander des comptes. Ce que personne n’osa faire de son vivant (demander à GAG qui en bava sur le bavut!). Sinon, voir dans l’Ontologie politique de MH, à minuit, il revient là-dessus, si mes souvenirs ne s’engorgent pas.

– platitude et bêtise ? on ne voit guère le lien nécessaire et suffisant entre les deux notions. Pourquoi tant d’acrimonie et de harcèlements ? Lamentable rime souvent avec ridicule, en revanche.

Bon je sors. pirsou, a a a a ah !

Bérénice dit: à

Phil, Christiane en rapportant un dossier télévisuel sur les violences sexuelles dans l’Eglise catholique a mentionné l’observation, le parallélisme entre l’acceptation de l’homosexualité et la baisse des vocations religieuses. Dossier TV diffusé cette année.

Bérénice dit: à

Excusez, c’est Clopine.

MC dit: à

DHH, cette défloration, cette Clopine mise à nu par les célibataires meme est un peu l’arlésienne du blog, non? Vous avez raison d’en souligner le caractère des plus intimes. Tant pour la chose que pour le public. On peut meme se demander si ne pas l’avoir lue n’est pas préférable! Cette page pare son auteur d’une aura de scandale dont pas un de ses autres textes n’approche, je crois? Sinon, on demande à voir!
Bien à vous.
MC

Marie Sasseur dit: à

Clopinou aura lu la fiction maternelle comme on amène la vache au taureau. La métaphore ne va guère plus loin que l’étable de Normandie.

Phil dit: à

Bérénice, qui est l’auteur de cet audacieux reportage ? probablement un émule du couple Prieur-Mordillat qui relit l’évangile avec l’oeil de Moscou pour le compte des ouailles télévisées françaises.

et alii dit: à

On peut meme se demander si ne pas l’avoir lue n’est pas préférable! Cette page pare son auteur d’une aura de scandale
je ne l’avais pas lue,et finalement, ça ne m’étonne pas du personnage qu’elle montre ;cela ne me séduit nullement ; mais c’est une étrange vision de la RDL.

Janssen J-J dit: à

(géopolitique pour les nulles)

Elle ne croit pas à l’hypothèse d’un nouveau Tien An Men à Hong-Kong. C’est tout à fait impossible.

Elle ne croit pas au pari de l’autre crétin à Londres. Il va se fracasser la g. sur la question irlandaise, et sur la pression de la coalition germano-américaine.

Elle est sûre que la Russie n’a plus aucun moyen de leur faire peur, vu la pauvreté de son arsenal. Car les frontistes et insoumistes souverainistes l’ont déjà laissé tomber, y compris Depardieu Gerald.

Elle pense que la Chine, dans les institutions onusiennes grâce aux Africains, annonce le véritable avenir de la planète, et que Trump n’en a plus pour longtemps à vivre sa carrière sur un coup de poker menteur.

Et que le dieu des chrétiens, des musulmans et des juifs n’a plus aucun avenir non plus. Ce qui va définitivement mettre fin au prétendu conflit israélo-palestinien et au drame des réfugiés climatiques.

Elle pense que la rdl va bientôt fermer, mettant 50 personnes au chômage, car aucun repreneur crédible ne se présente à l’horizon.

Bérénice dit: à

Finissons par accorder à Clopinettes une chance et une chanson et n’évoquons plus ce paragraphe fantôme douloureux , à chaque fois il y en a pour des heures de palabres.

https://m.youtube.com/watch?v=HW14ZFtXRHI

Bérénice dit: à

Le fait est, cher Phil, que les religieuses ont témoigné et la place des femmes dans cette Église n’est pas enviable. Vous aurez tout de même remarqué qu’on ne voit toujours que des bons hommes au pouvoir , homo ou pas, bien que vu d’avion ces gens me paraissent apprécier la bicyclette.

Janssen J-J dit: à

… la vache au taureau

« amener la vache au veau », plutôt…
(o fait dau vent à écorner des biques)…
Encore des petites citadines fémen qui veulent nous faire le coup du néo-ruralisme new age, en terroir de Bray !

Certaines ont renoncé, après un an, à la traite ambulatoire à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit.

Bloom dit: à

C’est ça le début du massacre?

Faut un un début à tout, son Insuffisance y crouton.
Des faits, pas des supputations.

Marie Sasseur dit: à

16h47, oui merci de remettre de la ponctuation.

Clopinou aura lu la fiction maternelle comme: on amène la vache au taureau.

Delaporte dit: à

C’est sans doute le côté Simone de Beauvoir (« il ferait beau voir, Simone » !) de Mère Clopine. Mauriac disait aux journalistes des Temps modernes, après la publication du Deuxième sexe : « Maintenant, je connais tout du vagin de votre patronne ! » Les féministes ont toujours eu un peu tendance, quand elles arrivaient quelque part, à « mettre leur con sur la table », comme disait Genet. Il faut faire avec, surtout quand on est habitué à de tels dégorgements, et en pleine période Weinstein, qui sera jugé en septembre. Quant à Polanski, on attend toujours sa reddition.

Clopine dit: à

Et les motivations de Christiane qui s’obstine à nier ce qui est pourtant une évidence, à savoir la malveillante intention qui lui a fait déformer sa lecture, personne d’autre que moi la réprouve ?

Qu’en diriez-vous, chacun d’entre vous, si quelqu’un se permettait d’en faire autant ?

renato dit: à

Carlo Emilio Gadda, Gli alberi
Gli Alberi… niente gesti: moltiplicano solo le braccia, le mani, le dita – alla maniera dei Buddha. E così, oziosi, vanno in fondo ai pensieri. Non sono altro che volontà d’espressione. Non hanno per se stessi nulla di nascosto, non possono tenere un’idea segreta, si spiegano interamente, onestamente, senza restrizioni. Oziosi, passano tutto il tempo a complicare la propria forma, a perfezionare nel senso d’una maggiore complessità d’analisi il proprio corpo.

Les arbres
Les arbres… pas de gestes: ils ne multiplient que les bras, les mains, les doigts – à la manière des bouddhas. Et ainsi, oisifs, ils vont au fond des pensées. Ils ne sont rien d’autre qu’un désir d’expression. Ils n’ont pour eux-mêmes rien de caché, ils ne peuvent pas garder une idée secrète, ils s’expliquent entièrement, honnêtement, sans restrictions. Au repos, ils passent tout leur temps à compliquer leur forme, perfectionnant leur corps dans le sens d’une plus grande complexité d’analyse.

rose dit: à

Clopine

Moi je vous ai déjà dit ce que j’en pense et j’en ai ras la patate.
Une fois que vous jetez votre texte sur la table, ceux qui le lisent ont droit à l’interprétation qui leur convient.
Vous n’êtes pas maître ni de la réception de.vos écrits ni de leur postérité.
Ce sont les lecteurs qui le sont. Eux seuls.
Vous n’avez pas voulu dire cela.
Paul non plus.
Christiane y a lu autre chose qui lui appartient en propre. Elle a le droit.
Pour votre texte et pareil que pour celui de Paul.
J’aurais pu avoir une autre interprétation, Josette aussi, Ginette, encore, Germaine aussi.
Les hommes c’est autre chose. Ils font clan. De manière à être les plus forts. Ne me demandez pas l’interprétation des hommes, je ne les comprends pas ; terrae incognitae. Pire encore lorsqu’ils se.sentent femmes. Alors là, renoncer définitivement à tenter de les comprendre. Larguer les amarres et mettre les voiles. Courir sous le vent.

Personne n’a raison et personne n’a tort.
Ce sont des points de vue différents et acceptables dans leur diversité.

À dieu vat (sans connotation chrétienne).

christiane dit: à

Bérénice,
vous écrivez à 16 h 41 : « Finissons par accorder à Clopinettes une chance et une chanson et n’évoquons plus ce paragraphe fantôme douloureux, à chaque fois il y en a pour des heures de palabres. »
Ce n’est pas moi mais Clopine qui a lancé la discussion à 11 h 15, par ces mots : « mais encore faut-il respecter un minimum les mots qui sont écrits, et leur sens (par exemple, lire «empalement» à la place de «pénétration».)
Ces mots évoquant notre discussion interminable, il me fallait, encore une fois, éclaircir ses accusations.
C’est comme si ce mot avait creusé une galerie en elle, chemin de ses préoccupations les plus obscures. Elle a besoin de s’y confronter en permanence. C’est épuisant pour moi mais étant donné ses accusations, ses fantasmes, ses mensonges, ses menaces (langue arrachée, œil crevé, empalement…) je suis bien obligée dans son monde qui chavire, ses repères qui se brouillent, de l’affronter dans un face-à-face, tout en essayant de ne pas céder à la violence, à l’agression. Et sous ses invectives qui continuent de pleuvoir de garder une certaine sérénité. Elle ne peut que répéter inlassablement sa propre parole se perdant dans le gouffre de son image tel Narcisse.

Pour la vidéo, je ne me souviens pas du lien. Je crois que je l’ai mise en ligne à l’époque où le journaliste gay Frédéric Martel a publié son enquête dans un livre Sodoma dont tout le monde parlait. Il avait, avec de nombreux collaborateurs, passé une semaine par mois au Vatican pendant quatre ans, pour recueillir les confidences de centaines de religieux (cardinaux, évêques, prêtres, séminaristes) sur le thème de leur homosexualité éventuelle. Cet auteur ne faisait pas de lien entre homosexualité et pédophilie, il avait trouvé une multitude de religieux homosexuels au Vatican, essayant de vivre, de cacher ou de surmonter leurs pulsions.
Je n’ai pas lu ce livre qui ne m’intéressait pas.

christiane dit: à

DHH,
comme toujours vous cernez bien le problème posé par ce texte de clopine. Je me suis aussi demandé comment ses proches, surtout son fils, avaient pu vivre ses confidences parues dans ce livre autobiographique dont j’ai oublié le nom.

christiane dit: à

@rose dit: 1 août 2019 à 17 h 38 min
Patiente et équitable Rose, vous lire donne tant de clarté. Vous avez la même position que x.

christiane dit: à

@MC dit: 1 août 2019 à 16 h 24 min
Oui.

Clopine dit: à

Wouarf, Christiane qui s’essaie à la psychologie de comptoir…

Il n’y a pas que l’empalement, vous savez. Vous avez aussi inventé un article où j’aurais complaisamment décrit une fellation entre mon compagnon et moi, vous êtes absolument persuadée avoir lu que je marivaudais avec les visiteurs de mon blog en leur faisant croire que j’avais le physique d’Emmanuelle Béart, vous avez insinué je ne sais combien de fois que j’étais un troll, m’avez décerné des tombereaux d’insultes et vous passez votre temps à classer les gens en catégories, flattant et encensant ceux qui me décrient et tentant de rallier à votre cause les autres.

Bref, vous êtes totalement obsédée et tragiquement à côté de la plaque.

Mais je peux encore comprendre que vous me détestiez : je vous ai dit crûment que je vous trouvais bête, et je réagis brutalement quand vous m’agacez trop.

Par contre, les visions et ces affirmations péremptoires, sans jamais l’ombre d’un doute, me sont effectivement pénibles. Comme est pénible la parole d’un fou, persuadé de détenir la vérité.

Et je n’ai hélas pas le moyen de prouver à quel point vos grotesques élucubrations sont mensongères.

Soupir.

Vous avez raison cependant sur un point : la place exagérée que cela prend sur ce blog…

Mais vous me permettrez de continuer à crier au fou, ou plutôt au mensonge, à chaque fois que vous persisterez à affirmer avoir lu ce que vous ne pouvez pas avoir lu, pour la bonne raison que les mots incriminés n’ont jamais été écrits.

Ce qui est quand même le minimum qu’on puisse m’accorder…

christiane dit: à

@Phil dit: 1 août 2019 à 16 h 34 min
Je viens de répondre à Bérénice sur ce point.

Delaporte dit: à

Je suis aussi de l’avis de rose : un texte, même particulièrement intime, soumis au public peut rencontrer diverses interprétations. Si le texte est bon, il résistera au temps. Sinon, il ne sera qu’un dégorgement supplémentaire. Sévère roulette du destin !

christiane dit: à

Clopine – 17h48
« Et je n’ai hélas pas le moyen de prouver à quel point vos grotesques élucubrations sont mensongères. »
Hum… on ne peut fermer un blog, effacer des photos, des commentaires et se désoler de ne pouvoir prouver ces dires !

Janssen J-J dit: à

Se refaire une virginité – Se faire recoudre l’hymen pour arriver pure au mariage et pouvoir alors « se mettre en ménage » avant de « tomber enceinte ».

– Après la folle nuit passée avec Kuchiouk-Hanem (le morceau torride tant attendu du Voyage égyptien), outre son « maculage du divan avec la petite Sophia Zougairah », voilà comment notre héros évoque sa détumescence post coïtale, après son 2e assaut et l’endormissement de Kuchiuk. Car il ne dort pas. Il la regarde juste dormir après avoir enveloppé sa nudité, car elle est un peu enrhumée, et elle a vraiment pris froid : « Je songeais à des autres nuits où je regardais d’autres femmes dormir – et toutes les autres nuits que j’ai passées, blanches. Je repensais à tout, je m’abîmais de tristesses et de rêveries – je m’amusais à tuer sur les murs les punaises qui marchaient et ça faisait sur cette muraille blanchie de longues arabesques rouge-noir ».
Ce qui rendit Louise Collet folle de rage et de jalousie rétrospective, parait-il (note 248 du flauberolâtre -sic-).
Il n’est pourtant nulle part question du piano-bahut de Georges Bizet, que je sache ! La vérité historique, même chez les romanciers, hein, mais à qui fera-t-on croire à cette VERITE-là, MS et P.E. ?…

Clopine dit: à

Rose, je vais tenter de vous faire comprendre. Que direz-vous si, demain ou un autre jour, j’insinuais dans un post :

« c’est comme Rose, qui aime courir NUE sous le vent, comme elle l’a dit ici même, sans doute pour faire fantasmer ces messieurs »

?

Vous laisseriez passer cela ?

Vous n’auriez pas envie de dire que vous avez simplement écrit : « courir sous le vent » ?

Vous diriez que c’est une interprétation, et qu’on a bien le droit d’interpréter votre phrase dans ce sens, et que oui, on peut comprendre effectivement que vous êtes une allumeuse qui montre sa nudité dans le but de séduire des lecteurs ?

Très très honnêtement, Rose, vous laisseriez passer ça SANS AUCUNE REACTION ?

pado dit: à

rose 17h38

La misandrie est un sexisme comme un autre.

christiane dit: à

Allons, allons, clopine qui est obsédé par ce rappel si ce n’est vous ? Essayez de comprendre pour quelles raisons. Parlez-en à votre psy…
Mais à chaque fois que vous remettrez cette « Arlésienne » sur le tapis, je vous répondrai.

Delaporte dit: à

« Et je n’ai hélas pas le moyen de prouver à quel point vos grotesques élucubrations sont mensongères. »

Ce texte existe-t-il ? N’est-il pas devenu lui-même une sorte de fantasme au fil de la polémique exacerbée ? Mère Clopine, vous n’avez qu’à le soumettre de nouveau à notre lecture, pour que nous jugions. Car désormais c’est un texte fantôme qui ne vit que par le souvenir impérissable de christiane et vos dénégations funestes.

renato dit: à

Excuses, etc., le 17 h 35 min c’est Ponge, non Gadda. Donc la trad. d’une trad.

pado dit: à

Clopine dit: 1 août 2019 à 17 h 48 min
vous avez insinué je ne sais combien de fois que j’étais un troll.

Là, c’est incontestable.

christiane dit: à

@Clopine dit: 1 août 2019 à 17 h 53 min
Il vous suffit de dire que cela n’a pas été et de passer à autre chose. Mais vous ne me ferez jamais dire que je n’ai pas lu ce commentaire ni vu comment vous avez joué avec cette photo.

Delaporte dit: à

« Très très honnêtement, Rose, vous laisseriez passer ça SANS AUCUNE REACTION ? »

Moi, ça me ferait plutôt marrer qu’on dise cela de moi. Je laisserais passer, car ici tout le monde s’en fout, en fait.

pado dit: à

renato dit: 1 août 2019 à 17 h 56 min
Excuses, etc., le 17 h 35 min c’est Ponge, non Gadda. Donc la trad. d’une trad.

C’est peut-être poétique, mais assez absurde.

Marie Sasseur dit: à

17h52
Tu demandes quoi à qui?
Ça t’arrive de causer in french ?

Delaporte dit: à

« Excuses, etc., le 17 h 35 min c’est Ponge, non Gadda. Donc la trad. d’une trad. »

Au moins il a convenablement orthographié « etc. ». C’est bien de suivre mes leçons, renato !

Clopine dit: à

Bien sûr ! Et le texte (publié !) où un « je », jeune fille, perd sa virginité est effectivement le récit d’un sanglant empalement qui est écrit exactement comme une fille trousse ses jupes pour faire bander les mâles.

Car c’est cela que vous avez lu !

J’ai déjà expliqué 20 fois que la photo de Béart postée sur mon blog, et qui est illustrissime, illustrait un article que vous n’avez visiblement jamais compris, et qu’il n’était nullement question d’appâter mes lecteurs, voyons.

Quant à la fellation… Pure imagination aussi.

Mais voilà : VOUS revenez sans arrêt à la charge. Vous vous dites sans doute que la publicité, à force de mentir encore et encore, passera bien pour de la vérité. Et vous comptez sur le peu d’empathie que je suscite aussi pour vous complaire dans vos fantasmes…

Moi je dis que j’ai le droit de me défendre. Vous ai-je jamais accusée de venir ici draguer des hommes qui manquent dans votre vie ? Non, n’est-ce pas ?

Et pourtant j’aurais pu, puisque le droit d’interprétation va jusqu’à lire des mots qui n’existent pas… On aurait donc tort de se priver !

et quand je pense qu’il y a eu un fil où vous vous êtes répandue en récriminations, car quelqu’un avait mal lu un post de vous, et vous avez doctement affirmé que vous attachiez une grande importance à l’exactitude des citations d’autrui…

Je continuerai à réclamer ce qui pour moi n’est que justice. Qu’on me critique sur ce que je dis et j’écris. Pas sur ce que je ne dis pas.

renato dit: à

Allez voir, j’ai toujours orthographié « etc. » ; en it. ecc., si au collège on oubliait le point c’était un point en moins.

Janssen J-J dit: à

17.38 @ Ne me demandez pas l’interprétation des hommes, je ne les comprends pas ; terrae incognitae. Pire encore lorsqu’ils se.sentent femmes. Alors là, renoncer définitivement à tenter de les comprendre.

FAUX ! vous LES comprenez en général mieux que l’incompréhensible CT qui n’est pas UNE femme parmi d’autres, mais UNE femme contre UNE autre. Et ce n’est pas une affaire de clan, croyez-le bien !… C’est une composante intrinsèque aux chromosomes de la plupart qui les porte à un struggle for life permanent pour conquérir un ledership, autant chez les lesbiennes que chez les hétéros, mais au prix de l’accpetation de la soumission au pouvoir des hommes en général, gays ou hétéros… etc.
La thèse des deux soeurs de FH ne tient pas la route, anthropologiquement.
Seules les transgenres, quand il
s.elle seront enfin compris.es, parviendront à sauver la planète grâce à leur compréhension intime des conditions d’obtention à une égalité universelle pacifiante, une finalité de vie recevable qui permettra de hisser l’espèce humaine au dessus des autres espèces vivantes, jusqu’à présent uniquement déterminés par leurs instincts reproducteurs.
C’est pourtant simple à comprendre, non ?

(ras la patate ? allons d’honc 🙂 !)

Clopine dit: à

Peut-être ce débat-là peut-il s’élargir à tous les enfants d’écrivain, pour quitter le sempiternel refrain sur moi;…

Car tous les enfants d’écrivains doivent accepter les histoires -scabreuses ou non,cruelles ou légères- inventées par leurs géniteurs.

C’est donc à eux qu’il faut,à mon sens, poser la question. Qu’en pense la fille de Régine Desforges ? Le fils de Duras ? Sont-ils traumatisés à vie par ces récits ?

franchement, je ne le crois pas…

Pablo75 dit: à

Bloom dit: 1 août 2019 à 16 h 59 min

Encore un indice du massacre qui se prépare selon notre Grand Géo-Stratège International, le petit fonctionnaire mégalomane aux taches inutiles qui se prend pour Le Grand Visionnaire du Quai d’Orsay:

« Pekín difunde un vídeo para amedrentar a los manifestantes en Hong Kong ». [L’armée chinoise diffuse une vidéo pour faire peur aux manifestants de Hong Kong]

https://elpais.com/internacional/2019/08/01/actualidad/1564658650_441956.html

Je ne comprends pas pourquoi les Américains ne font pas la même chose avec l’Iran et la Corée du Nord…

christiane dit: à

Faites comme moi, clopine. Quand Paul Edel m’a accusé d’avoir dévoilé son identité ici. Cela m’a peinée, révoltée. Je lui ai demandé de me mettre sous les yeux ce commentaire. Pas de réponse. Closer a même tenté de lui dire que c’était faux. Rien. Il ne s’est jamais excusé… J’ai laissé tomber et je suis passée à autre chose mais ce jour-là, j’ai fait le deuil d’une longue et profonde amitié.
Entre vous et moi il n’y a jamais eu, il n’y aura jamais d’amitié. Alors qu’avez-vous à perdre ? Dites que tout cela est faux et passez à autre chose sinon vous allez devenir vraiment folle et en rêverez la nuit ! (Mais moi, je ne dirai jamais le contraire de ce que je répète à chaque fois que vous nous servez ce plat refroidi pour justifiez votre haine envers moi, (qui, étrangement s’est manifestée bien avant ces histoires), dès que je suis apparue sur ce blog en 2008, dans les espaces commentaires, dès que vous avez multiplié les calomnies et le mépris à mon égard. (D’ailleurs contrairement à ce que vous affirmez, vous ne m’avez jamais défendue quand des trolls s’en prenaient à moi. Vous vous contentiez de vite recentrer le problème sur vous.) Je vous gênais donc tant que cela ?
Je crois savoir pourquoi…

Bérénice dit: à

17h51 un texte concombre, en quelque sorte ? Ma mère fait degorger ces curcubitacés avec du gros sel , elle produisait aussi dans son potager d’énormes courges, des portions et cornichons.

pado dit: à

Pablito 18h13
petit fonctionnaire mégalomane aux taches inutiles

Pablito ne jure que par Institut Cervantes.

Janssen J-J dit: à

Tu demandes quoi à qui? Ça t’arrive de causer in french ?

Cessez de me harceler en me tutoyant de la porte, nom de d’là !
Si vous ne savez pas lire, apprenez la méthode assimil, on en trouve gratos dans le darkweb.
https://www.assimil.com/blog/la-cantatrice-chauve-fete-ses-60-ans-au-theatre-de-la-huchette/
Et moi, si on me dit que je me balade à poil et que j’empoisse mes bouquins avant de les revendre, on va pas en faire une affaire d’Etat ! Gibert J. n’est pas obligé de les racheter non plus, hein ! Maralafin !

Bérénice dit: à

En plus Bloom est peut être perdu dans le labyrinthique fonctionnariat mais il ne laisse pas une moindre impression. Après tout, chacun livre ses craintes sans prétendre à l’oracle.

Clopine dit: à

Pffff… Allez, j’abandonne, je jette l’éponge, tiens.

Il est absolument exact que vous n’en valez pas la peine.

et alii dit: à

N’ayant personnellement vu aucun des « textes »de Clopine,ni sur la RDL,ni sur son blog où je ne vais pas,je m’étonne seulement qu’ils soient autant commentés sans allusion à cette  » qualité littéraire »,qu’elle revendique, réclame, et qui est autre chose que l’effet produit et les interprétations des auteurs qui se succèdent sur la RDL et où sont enrôlés ,non sans confusion dans les mémoires respectives,différents contributeurs qui, eux aussi, revendiquent d’autres « talents » que la verve en érotisme, en langue internet et ses clichés ,et se retrouvent invectivés par ceux-celles -qui sont partie prenante de la polémique, puisque l’accusation de troller a rejailli jusque sur LSP.Eet c’est à qui en redemande :au motif « qu
« on » -on c’est qui? on comprendra » je n’ai rien lu de la vie et la culture personnelle « érotiques » de
Clopine elle-même; mais je ne trouve pas bienveillant de la pousser dans ce registre ; il suffit bien qu’elle ait dit qu’elle a un compagnon, et un fils et ce que « fait » ce dernier;pourquoi la tracasser ,surtout quand elle réplique « bahut » et « Heidegger »comme elle le fait :un droit qu’elle aurait: en maîtresse des contributeurs ? Cette attitude de réclamer comme un dû ceci et cela sans rapport avec le billet et de le dénigrer parce que cela n’aurait rien apporté au demandeur ou à la demanderesse -rien qu’un expérience de « la haine »-est odieuse;je ne doute pas que cela ne soit pas « essentiel » à un blog suivi par bien d’autres que ses contributeurs

pado dit: à

Vous n’auriez pas envie de dire que vous avez simplement écrit : « courir sous le vent » ?
Clopine

Si le lecteur/la lectrice a envie d’imaginer rose nue (ce qu’aux dieux ne plaise) pourquoi lui retirer ce droit ?
S’il écrit à rose pour lui faire part de son interprétation, elle répond
« non, en short et tee shirt »
et tout le monde passe à autre chose (ce qui plairait bien aux dieux)

Delaporte dit: à

« Allez voir, j’ai toujours orthographié « etc. » ; en it. ecc., si au collège on oubliait le point c’était un point en moins. »

C’est bien, renato. Au moins, au collège, on vous aura appris ça. Ce qui n’est pas rien.

Pablo75 dit: à

@ Bloom

Toi qui es le Grand Géo-Stratège Visionnaire du Blog, tu pourrais nous expliquer ces histoires d’empalement et fellations, auxquelles on ne comprend strictement rien? Et aussi, tant qu’on y est, la relation entre elles et le fait que Rose aime courir nue sous le vent en fuyant les hommes qui font clan et qu’elle ne comprend pas surtout lorsqu’ils se sentent femmes?

Merci d’avance.

(Ce blog devient de plus en plus abscons. Bientôt il va falloir des sous-titres pour le suivre).

rose dit: à

Clopine dit: 1 août 2019 à 17 h 48 min

Wouarf, Christiane qui s’essaie à la psychologie de comptoir…

Il n’y a pas que l’empalement, vous savez. Vous avez aussi inventé un article où j’aurais complaisamment décrit une fellation entre mon compagnon et moi, vous êtes absolument persuadée avoir lu que je marivaudais avec les visiteurs de mon blog en leur faisant croire que j’avais le physique d’Emmanuelle Béart, vous avez insinué je ne sais combien de fois que j’étais un troll, m’avez décerné des tombereaux d’insultes et vous passez votre temps à classer les gens en catégories, flattant et encensant ceux qui […] et je réagis brutalement quand vous m’agacez trop.

Par contre, les visions et ces affirmations péremptoires, sans jamais l’ombre d’un doute, me sont effectivement pénibles. Comme est pénible la parole d’un fou, persuadé de détenir la vérité.

Et je n’ai hélas pas le moyen de prouver à quel point vos grotesques élucubrations sont mensongères.

Soupir.

Vous avez raison cependant sur un point : la place exagérée que cela prend sur ce blog…

Mais vous me permettrez de continuer à crier au fou, ou plutôt au mensonge, à chaque fois que vous persisterez à affirmer avoir lu ce que vous ne pouvez pas avoir lu, pour la bonne raison que les mots incriminés n’ont jamais été écrits.

Ce qui est quand même le minimum qu’on puisse m’accorder…

Bien, Clopine Trouillefou, je vais être claire avec vous, puisque comme d’habitude, vous ne répondez qu’à ceux qui vous arrangent pour maintenir le feu et prouver que vous avez entièrement raison.

Je ne vous accorde plus rien jusqu’à ce que vous vous calmiez et deveniez vivable.
Vous êtes une chieuse, cherchez le conflit et provoquez trois fois sur quatre Christiane qui n’en peut mai. Cela vous nourrit.

Je ne vous accorde pas ça et même je je vous accorderai rien jusqu’à ce que vous sachiez vivrecen société Madame moi je.
Merde de subir votre tyrannie sur ce blog poli et bien élevé.

Quant à vos termes de foi et de mensonges, ce que l’ onvapplique à autrui vient de soi-même.
Y’en a marre.
Autant que des injures de Pablo et chaloux.
Marre.
Lâchez le morceau. Vous n’en êtes plus au mollet vous emportez la jambe !
Pour moi, tolérance zéro comme Di Biaso à NYC ; on a vu le résultat et on en profite.

Janssen J-J dit: à

@18.30 j’ai relu 4 fois la démo, mais n’ai toujours rien compris. Mon logiciel Assimil du langagae etaliien n’est plus très à jour (etc.). Je laisse à votre amie MS le soin de vous décrypter, et de nous faire part de ses découvertes ; peut-être obtiendra-t-elle la guérison commune : l’histoire nous apprend qu’en de tels accidents on fait de pareils dévouements » (etc.)
Bon appétit. C’est l’heure du gin tonic et d’aller préparer le barbeuque au fond du jardin (1er août 2019).

rose dit: à

Quant à vos Termes de fou.
Comme on est soi-même on croit les autres.
Et bien, ce n’est pas brillant.

rose dit: à

J’ai jamais écrit nue P75.
Si tu vois nue alors que je ne l’ai pas écrit, lis Clopine et tu vas voir ce qui va t’arriver.
P.S les hommes sont clanique, on l’ a encore constaté ce matin.

rose dit: à

Il va t’ arriver des bisbilles.

Janssen J-J dit: à

@18.38 JE ME REJOINS à R., là, même si elle comprend pas tout…

Y’EN A MARRRRRRRRRRRRE !…
COMMENT LES FERTAIRE ?

Passoul : un nouveau bifton !… Ca commence à sentir le roussi après le tohu-bohu des 1700 passades, hein ! On n’en peut pute !

rose dit: à

Je le suis trompée de maire.
icle dresse une liste des maires de la ville de New York. Bill de Blasio élu le 5 novembre … Son prédécesseur, Rudolph Giuliani, est connu pour sa politique de tolérance zéro.
Tolérance zéro Guilani.

renato dit: à

Notre espèce est clanique, rose : les femelles aussi.

christiane dit: à

Pablo et JJJ,
je ne peux même pas taper sur les touches tant je ris. Ah, les femmes…

Delaporte dit: à

Woody Allen sommé d’aller se faire cuire un oeuf : il est débouté de son action en justice contre Amazon. Je vous conseille de regarder ce jugement en détail, qui est vraiment intéressant :

« Alors que le cinéaste attaquait en justice Amazon Studios pour rupture abusive de contrat, en lui réclamant pas moins de 68 millions $ de dommages et intérêts, un juge fédéral de New York vient de retoquer une large partie de sa plainte… »

Janssen J-J dit: à

moi je préfère l’imaginer nue plutôt qu’en tee shirt, et les dieux n’ont rien à voir là dedans. Elle n’a d’ailleurs aucune raison de contrecarrer mon imaginaire. Eh non, je ne vaux pas passer à autre chose, c’est un fantasme qui tient en haleine assez longtemps. On a envie de le laisser fructifier.

pado dit: à

Son prédécesseur, Rudolph Giuliani, est connu pour sa politique de tolérance zéro.
rose

Sauf qu’à la même époque presque toutes villes des US voient leur criminalité chuter.
Donc Giuliani… Une bonne com.

Voir sur le sujet : « Freakonomics » de Steven Levitt et Stephen Dubner (Denoël)

x dit: à

hamlet 1 août 2019 à 12 h 01 min merci !
J’ai recherché dans la foulée l’extrait musilien (Paul Edel 31 juillet 2019 à 19 h 05 min) évoquant les intermittences de la pensée sur fond de néant ; ce noir absolu, cette mort déjà là entre les pensées qui nous traversent.
Il me semble, à moins que le texte n’ait été composé bien avant, que l’on pourrait aussi supputer l’influence de la visite de G. Thunberg, les conversations sur le réchauffement climatique, l’idée que nous dansons sur un volcan, venant se mêler à l’empreinte musilienne.

Donc l’idée a surgi, née de la ressemblance de tous ces corps allongés, inertes avec des images d’après- catastrophe (en d’autres temps on l’aurait imaginée volcanique, il y a un petit côté pompéien, le sable collé remplaçant la gangue de lave).
Ici la menace est double (et inversée) : le feu d’abord, puis, si ça ne suffit pas, l’eau. Elle ne va pas venir leur chatouiller gentiment les orteils mais les happer et les engloutir ; sans doute à la vitesse d’un cheval lancé au galop, cheval de l’Apocalypse (glauque cette fois et sans cavalier).
Mais il y a tout de même cette figure très édèlienne : l’accumulation descriptive. Une signature.

La signature justement (pseudonymique ou non) joue, semble-t-il, un rôle dans la controverse à propos de la lecture du texte : le lecteur, comme le romancier saisi par sa vision, superpose des impressions, celles qu’il a retirées d’autres textes « du même auteur ».
Et là non plus ce n’est pas volontaire. (Le seul moyen pour le romancier d’y échapper, car on imagine qu’il puisse se sentir pris au piège d’un malentendu qui s’aggraverait à chacune de ses phrases, serait de changer non seulement de « nom de plume » mais de thèmes et de style, comme Romain Gary).
Par ailleurs, des clichés de Martin Parr voire des dessins de Cabu (a-t-il « croqué » son beauf à la plage ?) peuvent s’inviter en illustrations (non sollicitées par l’auteur, certes).

Mais si l’on se cantonne à ce seul texte, qu’est-ce qui pourrait susciter un certain malaise ? (pas d’ordre politique.)
Une seule voix se fait entendre, et elle provient de celui qui est debout et en position de surplomb ; il est séparé des autres, lui veille (ou hallucine), et il ne figure pas dans l’image. La chair étalée, c’est celle des autres (lui se réduit à un regard). Même chose pour le fourbi, le bric-à-brac (l’observateur se déplace sans attirail).
Dans le passage de Musil le sort commun est évoqué à la première personne du pluriel. Ici, après la description, il y a bien une adresse à la deuxième personne, ces « vous » précédés de « mes frères humains » (écho de Fr. Villon ? mais tout le reste suggère un écho inversé, non plus de celui qui va mourir à ceux qui vivront après lui. Si tout le monde doit être englouti dans la catastrophe cela n’apparaît guère.) La seule à être représentée comme une personne (la femme qui secoue sa serviette), à émerger en tant qu’individu d’une masse, d’une multitude indifférenciée où pourtant les corps sont fragmentés, « membres éparpillés » (comme après un bombardement, bien sûr, mais cela s’ajoute à une fragmentation qui s’apparente au « zoom » dans un contexte bien différent de celui, érotique, du blason).
Le cas n’est pas nécessairement pendable (si j’ose dire), on peut aussi vouloir se réduire à un œil dans une très grande humilité, d’une parfaite discrétion pour ne pas brouiller l’image (visionnaire) ni encombrer le tableau (ce qui arrive parfois, lorsqu’un narrateur nous impose ses petites misères, ou au contraire utilise une description-repoussoir pour mieux se mettre en valeur, sa peau ni blanche ni boucanée, mais dorée, sa sveltesse, sa vivacité).
J’ai un peu plus de mal avec la dernière phrase. Peut-être que si le texte s’était arrêté avec « crâne » ? (sans « fin fond »)  Mais il y a déjà « fausse » (torpeur). La position de surplomb n’est plus seulement physique, matérielle, fruit d’un hasard d’où l’on ne peut rien déduire : l’observateur sonde les pensées, les intentions, transperce le faire-semblant. Omniscient ?
(Bien sûr il y a « impression », mais l’énonciation en première personne, avec la limitation de point de vue qu’elle suppose, effacée, manque précisément, alors qu’elle aurait renforcé le sens de cette « impression ».)

Non que la question du faire semblant ne doive jamais être posée (on connaît le thème de la comédie de la fête, celle des réveillons par exemple). L’obligation de l’épanouissement dans le loisir, la vacance, le repos estival, familial et maritime n’est évidemment pas un « mauvais sujet », mais il me semble qu’il pourrait appartenir à un autre développement, qu’il affaiblit la tension née de cette idée de catastrophe vue comme en transparence.
Cela dit, je n’ai peut-être pas tout saisi.

x dit: à

Il y a une phrase plus que bancale, pas terminée.
Il faudrait :

Une seule est représentée comme une personne, la femme qui secoue sa serviette. Elle est la seule à émerger…

rose dit: à

Nouveau billet de Passou

renato dit: à

Vacances à Saint Barth ! hamlet est donc friqué ?

Janssen J-J dit: à

Merci Passou de m’avoir entendu, à 18 h44. IL était temps, on allait finir par s’entretuer, et p. edel aurait pas été en reste, hein ! Ouf-kir !

Marie Sasseur dit: à

« Cessez de me harceler en me tutoyant de la porte, nom de d’là ! »

Yes et tu arrêtes ton char et tu me lâches les baskets.

Pablo75 dit: à

Ce blog, on dirait de plus en plus la cour de recréation d’un asile de vieux autistes muets qui essaient de communiquer avec le langage des signes.

Je plains vraiment le Directeur de l’asile de devoir perdre son temps à comprendre toutes ces polémiques parfaitement inutiles.

Heureusement qu’il y a des gens qui mettent de la Belle Musique de temps en temps pour apaiser les esprits:

Arvo Pärt – Da Pacem Domine (2004)
https://www.youtube.com/watch?v=vA79jI9cCBE

hamlet dit: à

@x à 19 h 04 min :
ce que vous dites est intéressant.
l’auteur dit quand j’ai écrit ce commentaire j’avais en tête cet extrait de Musil, vous pensez que le lecteur peut modifier l’explication de l’auteur – en caricaturant : non il n’a pas été influencé par le texte de Musil comme il le prétend, mais plutôt par la visite de Greta ?
personnellement je vous suivrai assez dans cette voie de ne pas se fier (d’une façon générale) totalement aux cheminements explicatifs donnés par les auteurs.

j’ai été surpris pas cette expression « mes frères humains ».

dans le fait d’épingler une personne ou un groupe de personnes, chose que l’on retrouve souvent dans la littérature française (Flaubert, Proust etc…) il me semble qu’il peut attribuer trois positions différentes à l’auteur :
– prendre de la hauteur et se sortir du lot : ce type est un imbécile, je le sais parce que moi l’écrivain je suis plus futé que lui.
– ce type est un imbécile je le sais parce que je partage son humanité et je partage donc son imbécilité
– ce type est un imbécile, ce constat m’attriste et son imbécilité est justement pour moi une aubaine pour pouvoir exprimer ma tristesse.

le « mes frères humains » n’incite pas à prendre l’option 3 parce qu’on instrumentalise pas ses frères pour exprimer son mal être.

et pourtant c’est bien l’option 3 qui semble être choisie.

d’où l’incohérence de l’ensemble autour de ce « mes frères humains ».

vous me suivez ? je ne suis pas sûr d’être clair, si c’est le cas je peux essayer de m’expliquer autrement.

BàV

Chaloux dit: à

Est-ce que la staphyloclopine n’avait pas posté son texte sur la défloration sur Marmiton avec photos et vidéo explicatives?
On en serait bien étonné, avec sa pudeur légendaire.
Notons qu’elle ne se souvient pas non plus de son triste et assez répugnant poème dans lequel il était question des draps de son lit, lesquels malheureux draps, disait-elle, se retrouvaient, « flétris par l’amour ».

Pauvre fille, que de trous de mémoire, et quelles misérables amours elle a dû connaître…

Jazzi dit: à

« Cela dit, je n’ai peut-être pas tout saisi. »

Belle explication de texte, x, à cent coudées au-dessus de celles d’hamlet et Christiane !
Vous y voyez une critique des congés payés et une pointe de mépris de la part de Paul, vous ?

Jazzi dit: à

« vous me suivez ? je ne suis pas sûr d’être clair, si c’est le cas je peux essayer de m’expliquer autrement. »

Pas la peine, merci !
Tu oublies l’option 4 : Paul et un poète et en appelle au premier d’entre tous !

Jazzi dit: à

« Je vous gênais donc tant que cela ?
Je crois savoir pourquoi… »

Quel suspense, Christiane !
On peut savoir Pourquoi ?

Jazzi dit: à

« Allez voir, j’ai toujours orthographié « etc. » »

Je confirme ! renato a toujours été impeccable avec le etc.

christiane dit: à

X, passionnant votre travail d’exploration.
Oui, il faudrait le lire en oubliant l’auteur et ses autres textes et romans.
Le moment fort de ce texte ? Peut-être à la fin. D’abord : « Tous ces corps nus, inertes,endormis, dispersés sur trois kilomètres de sable, comme tombés d’un avion en haute altitude […] infinie traînée de l’espèce humaine, innombrables momies sableuses, épaules et orteils, membres éparpillés sur la plage courbe et si lisse ; et moi je vois une catastrophe nucléaire figée, lente à brûler, une catastrophe qui se consume au ralenti comme un décollage de fusée Soyouz. Alignements interminables de corps brûles, […] »

Puis un maigre retour à la réalité et la montée de la mer qui « va happer et engloutir ces allongés »

Et enfin ce qui est surprenant, inattendu :

après ce néant, l’écrivain efface tout et une indifférence plane : « tout le monde fait semblant et s’ennuie. » C’est peut-être l’impression la plus forte mais décrit-elle les pensées des « allongés » ou celles du narrateur-promeneur ? Si c’était lui qui se dissolvait, incapable de ne pas s’ennuyer dans une paysage familier qu’il ne reconnaît plus, qui ne lui appartient plus.

Il émane de cette marche une impression d’absurdité. Un peu comme L’Étranger de Camus : « Du fond de mon avenir, pendant toute cette vie absurde que j’avais menée, un souffle obscur remontait vers moi à travers des années qui n’étaient pas encore venues et ce souffle égalisait sur son passage tout ce qu’on me proposait alors dans les années pas plus réelles que je vivais. Que m’importait la mort des autres […] »

Clopine dit: à

?? Ca aussi, Chaloux, n’éveille absolument rien chez moi…Jamais compris à quoi exactement vous faites allusion. Je n’ai JAMAIS écrit le moindre poème « sur mes amours ».

Je n’ai écrit,de toute ma vie, que trois ou quatre poèmes.

L’un sur le pays de Bray « la fille d’eau douce »
l’un sur Apollinaire, sorte de déclaration d’amour à ce poète avec uchronie, où je parlais surtout de la blessure en forme d’étoile que Guillaume avait reçu à la guerre
– un autre sur demande de Françoise Treussard, une sorte de pastiche de fable, qui s’appelait « la Baigneuse et le Potiron »
– et tout récemment, un poème mis en ligne ici même qui s’appelait « introspection ».

Franchement, aucun poème sur mes amours là-dedans. J’en viens à me dire que vous l’avez rêvé, et que je fais décidément un drôle d’effet sur les erdéliens.

christiane dit: à

@Jazzi dit: 1 août 2019 à 20 h 28 min
Pourquoi as-tu écrit du texte de Paul Edel que c’était une carte postale plaisante ?

PS : ne me parle plus jamais de clopine.

Chaloux dit: à

De plus, quand on lit les analyses crétinissimes de la staphyloclopine à propos de l’Eglise, on se dit qu’elle vient parader ici avec un très mince bagage et moins encore de capacités intellectuelles. C’est quand des gens de cet acabit (et d’autres que je ne citerai pas) s’emparent de ce qu’ils croient être la culture – et l’histoire!- qu’une civilisation commence à s’effondrer.

Chaloux dit: à

Staphyloclopine, je vais regarder dans mes vieux disques durs si je ne le retrouve pas. Vous êtes décidément une menteuse des plus grossières, car vous ne pouvez pas avoir oublié ce poème.

Clopine dit: à

Et pourtant, si, absolument, Chaloux. Un poème sur mes amours avec Clopin, mentionnant des draps flétris ?

Je suis vraiment vraiment curieuse de ce que vous allez exhiber, là.

Clopine dit: à

C’est quand des gens de cet acabit (et d’autres que je ne citerai pas) s’emparent de ce qu’ils croient être la culture – et l’histoire!- qu’une civilisation commence à s’effondrer.

Les autres, ce sont les auteurs du documentaire que je n’ai fait que citer ?

Paul Edel dit: à

Merci X de votre analyse. beau travail.mais tout a été assez spontané dans ma « vision » de cette plage. et j’y tiens. la polysémie des textes n’est pas une invention..

Chaloux dit: à

Staphyloclopine, je vous parle de ce que vous avez induit dans des posts qui ne démontrent que deux choses, dans l’ordre qui vous plaira, votre immense sottise et votre immense ignorance. Je ne vous parle pas du viol de ces religieuses, mais de la bassesse ignare dont vous faites preuve par ailleurs.

Chaloux dit: à

Je me souviens d’autant mieux de ce poème, qu’il m’avait choqué une première fois et que, parce que vous aviez nié son existence, je vous l’avais remis sous le nez en vous disant que ce n’était pas Benoit XVI qui l’avait écrit. Vous êtes d’une malhonnêteté qui ne concerne en définitive que vous.

Jazzi dit: à

rose, qu’est-ce que c’est que cette histoire de solidarité masculine ?
Aucun mâle, hétéro ou homo, ne se réjouit ici du combat de catch dans la boue de Clopine et Christiane !
Nous représentons tous un bel échantillon d’individualités farouches en tous genres, libres de parole.
Tout comme vous.
Quand Paul nous envoie un texte littéraire, dont il a pesé chaque mots au plus près de ses impressions du moment, et que de surcroit il nous l’offre, et que Christiane, non en critique, mais en grande conscience humanitariste, s’arroge le droit de lui faire la leçon, au prétexte que ce n’est pas convenable pour les pauvres aoutiens en mal de vacances, je lui rappelle que nous sommes sur un blog littéraire…
S’il y a une solidarité de ma part, c’est contre la connerie, rien de plus !

x dit: à

Paul Edel dit: 1 août 2019 à 21 h 35 min

1) Il ne s’agit pas la même démarche (peut-être un peu comme aller soi-même d’un endroit à un autre, à pied, à cheval ou en voiture, et devoir expliquer le trajet à quelqu’un d’autre ? on peut faire l’un « spontanément » et beaucoup plus rapidement que l’autre).

2) ce n’est que mon « décorticage » (selon un point de vue parmi d’autres) et qui plus est celui DU MOMENT (avec en tête les réactions d’autres lecteurs ; sans elles, j’aurais sans doute suivi d’autres pistes), et sans aucune prétention à établir une supposée « vérité » du texte (évidemment d’accord sur la polysémie) … ni volonté normative (ci mancherebbe!)

Clopinec dit: à

Jazzi, tu parles d’un match « dans la boue ». Tu oublies que cette « boue » n’est pas de mon fait.

Elle m’est attribuée, ce qui est différent.

Et je tente simplement de m’en défendre, alors qu’en plus, la matière dont elle est faite n’est boue que pour les tenants d’une vision du monde où le sexe est sale.

Ce qui, en plus, n’est pas mon cas…

Mais bon : le renvoi dos à dos, la gêne et l’exaspération, le refus de répondre à des questions pourtant simples et simplement exprimées, l’appel au « bien-être du blog »…

C’est commode, à la fin, et significatif d’une certaine… comment dire ? Lâcheté, oui.

J’ai beaucoup de défauts. Je m’exprime trop, suis désordonnée et parfois futile, je mélange trop de choses, sans doute egocentrique comme tous ceux que je côtoie mais passons, je suis paranoïaque, parfois à tort, je n’ai pas de réel talent et suis toujours à la recherche d’une légitimité que je suis pourtant seule à pouvoir m’accorder. Pas bien sûr d’avoir le droit d’exister, quoi.

Mais au moins je n’ai pas la lâcheté d’aboyer avec les loups.

Bloom dit: à

Le Guardian tout à l’heure:

Chinese military garrison chief in Hong Kong says army is determined to protect China’s sovereignty, stoking fears of intervention (stoking fears of intervention = alimentant les craintes d’une intervention).

De source chinoise, la date de l’intervention serait celle qui correspond chez nous à celle de l’abolition des privilèges.

Évidemment,tout le monde espère que les choses en resteront là.

rose dit: à

Pado à 18h55

Sauf qu’à la même époque presque toutes villes des US voient leur criminalité chuter.
Donc Giuliani… Une bonne com.

Non.
J’y étais.
Les immeubles étaient murés comme à Turin. Les squats fermés.
Les dealers traqués.
Brocklyn patrouillé.
Guiliani Rudolph a fait école. Il a pris le taureau par les cornes et tolérance zéro.
Je ne lirai pas votre bouquin.
Aujourd’hui, les parents noirs américains apprennent à leurs gosses de ne pas mettre la fapuchecet sortir les deux mains de leurs poches pour tenter de rester vivant face à un cob. Et surtout ne jamais courir.

Sous le vent, c’est un terme de Marine. C’est le bateau qui court sous le vent. Le capitaine, lui, est à bord.

rose dit: à

ne pas mettre la capuche duxsweat shirt

rose dit: à

Bon cela s’appelle la polysémie, c’est vrai.

Jazzi
Vous répondrai sur le clan plus tard. Christiane est curieuse & attentive à autrui, au lieu de lui tomber dessus, il nous aurait été possible de dire chacun notre interprétation de cette vue sur la plage proposée par Paul.

christiane dit: à

@Jazzi
à 22 h 13 min
Avant de passer au billet suivant, une réponse à vous destinée.
Il me faut lire ce commentaire adressé à rose pour avoir une non-réponse de votre part.
Je vous avais demandé pourquoi vous aviez trouvé dans ce texte de P.Edel « une carte postale PLAISANTE ». Bien sûr vous éludez car comme contre-sens il n’y a pas mieux ! Plaisante ? Savez-vous lire, Jazzi ?
Vous préférez reprendre le dédain de clopine pour vous moquer de ma référence « congés payés » dont je me suis expliquée et qui, elle, est plausible.
Vous évoquez un « combat de catch dans la boue » entre clopine et moi. Peut-on, être accusée à tort par cette folle sans lui répondre ? c’est ce qu’elle espère : avoir le dernier mot d’une vérité, « sa vérité » qui n’est que son obsession maladive d’effacer ce dont elle n’est pas fière. Combat que vous avez bien alimenté avec vos incises vindicatives. Quant à : « s’arroge le droit de lui faire la leçon, au prétexte que ce n’est pas convenable pour les pauvres aoûtiens en mal de vacances »
Quelle leçon ? je répondais à hamlet…

« je lui rappelle que nous sommes sur un blog littéraire »
Dont vous profitez allègrement pour nous copier-coller des extraits de VOS livres… Une anthologie qui si elle n’est pas inintéressante est un peu envahissante et ne remplace pas le fait qu’en matière de littérature vous n’avez pas grand chose de personnel à écrire. Les livres ne sont pas que des extraits illustrant un thème… Bien sûr il reste vos résumés de films qui ne sont en rien une critique éclairée de cinéma.
« S’il y a une solidarité de ma part, c’est contre la connerie, rien de plus ! »
Remplacez contre par avec, celle de clopine !
Bon, rien d’honnête à tirer de vos élucubrations.

christiane dit: à

@rose dit: 2 août 2019 à 7 h 34 min
Merci Rose. Votre idée est excellente.

christiane dit: à

Ah, je vois que Jazzi a rectifié sa malheureuse impression « de carte postale plaisante » sur le blog de Paul Edel, pompant les idées émises ici… très drôle !

christiane dit: à

Ah voilà ! « délicieuse » ! C’est encore pire !
Jazzi dit: 31 juillet 2019 à 18 h 52 min
« Cette carte postale de Paul Edel était délicieuse, Christiane ! »

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