Boris got his gun
Des malades qui racontent leur maladie, l’histoire de la littérature en est pleine. Ce pourrait être un genre en soi. Chacun peut se constituer, de mémoire et sans forcer, sa propre anthologie. Dans la mienne figurent en bonne place les Carnets du sous-sol de Dostoïevski, Les Anneaux de Bicêtre de Simenon, Mars de Fritz Zorn… C’est le plus souvent d’inspiration autobiographique, ou le résultat de l’ observation d’un cas. Ceci pour dire que l’apparition d’un nouveau membre dans ce club largement ouvert est rarement événement. Sauf exception. Ce qui est le cas de Palladium (465 pages, 22 euros, Stock), premier roman de Boris Razon. « Roman » : c’est écrit dessus. Pour la forme ? Pour la forme, justement. Quant au fond, c’est son histoire telle qu’il l’a vécue. Après un certain nombre d’opérations littéraires que l’on nomme selon les cas tamis, alchimie ou transsubstantiation, ce qui aurait pu être un témoignage s’est métamorphosé en fiction. Avec une auto-thérapie en prime ? Pourquoi pas mais là n’est pas l’essentiel. Il est dans le coup au plexus que l’on prend à lire ce mémoire d’outre-monde.
On sait, ou l’on ne sait plus si on l’a jamais su, que Palladium, terme dérivé du nom de la statue protectrice de Pallas, désignait ce qu’un peuple considérait comme assurant sa durée, et évoque désormais le garant de la conservation de toute chose. Le narrateur s’adresse au lecteur. Il le prend par le col, le tutoie et l’emmène. On en connaît beaucoup qui prennent sans emporter. Celui-ci nous embarque dans l’odyssée intérieure d’un journaliste français de 29 ans, retour de vacances en Croatie avec son père, qui sent un jour que quelque chose ne va pas : deux grains blancs disparaissent d’une vieille cicatrice à la cheville où vient de surgir une grosse piqûre. S’ensuivent jour après jour une douleur, des fourmillements dans les doigts, un engourdissement général, des vomissements, l’effondrements du pouls, l’état cotonneux. Des symptômes qui forment un syndrome, mais de quoi ? L’hypocondriaque en lui jongle avec les hypothèses : un plat infecté, des eaux polluées, ou l’insecte, d’autant qu’avec Zagreb, il y eut la Guadeloupe et la Thaïlande, sait-on jamais ce qu’on boit et ce qu’on mange dans ces pays-là.
La métamorphose est déjà engagée en lui à son insu. L’insecte kafkaïen est à l’oeuvre. Il finit par se rendre aux urgences de l’hôpital Saint-Joseph. Une blouse blanche l’écoute, lui dit que ce n’est rien, que ça va s’arranger et qu’avec le plan Canicule et tous les vieux déshydratés qui vont débarquer il va les gêner plutôt qu’autre chose, alors rentrez chez vous ça va sûrement s’arranger. Trop épuisé pour le frapper, il rentre chez lui mais le malaise persiste et s’étend, et pour cause. Il y retourne peu après pour examens neurologiques. Rien à signaler malgré le malaise généralisé. Des coliques néphrétiques, peut-être.
« La métamorphose me demandait de tout lâcher : mon corps mais aussi les miens. Elle voulait m’entraîner sur son territoire. Une fois que j’y serais, elle pourrait me dévorer tout cru avec son armée de fourmis. Je comprenais bien qu’il fallait lutter mais je ne savais pas comment faire. Chez moi, rien ne répondait, mes gestes se faisaient à l’envers. Ma pensée, mes souvenirs se brouillaient. Tout était absorbé par la lutte, toutes ces forces étaient aussitôt avalées. »
Jusqu’à ce qu’il finisse par fermer les yeux sur ses proches à la Pitié-Salpêtrière. Il devient « le Sphinx », tous réflexes abolis, la vie comme suspendue. Commence alors son séjour dans les limbes. Ou quelque part sous l’eau mais hors des eaux tranquilles de la maladie. Enfermé dans un sarcophage à double fond. En tout cas hors du monde terrestre. Totalement paralysé en proie aux hallucinations dans un chaos d’images inédites avec putes japonaises, monstres internationaux, corps putréfiés et démons cosmopolites. Quelque chose en lui de l’inoubliable Johnny got his gun, le roman et le film de Dalton Trumbo. Sauf que dans la guerre de Boris Razon l’ennemi est intérieur et c’est contre ce mal inconnu qui le ronge qu’il prend son fusil. S’ensuivent un certain nombre d’aventures que la raison ne connaît pas, peuplées de personnages étranges et grotesques dans des situations absurdes. Pendant ce temps, les médecins réunis autour de la chose n’y comprennent rien. Ciguatera ? maladie de Lyme ? méningo-radiculite ? méningo-polyradiculo-névrite ? forme atypique de la maladie de Guillain Barré ? Disons une catastrophe neurologique rarissime et inidentifiable. Ils voient juste son état empirer, leur malade s’en aller, le cas leur échapper, intubé de partout, sous assistance respiratoire permanente dans son coma éveillé, d’hôpital en hôpital, tandis que se poursuit la vie intérieure délirante de cet homme désormais sans âge. Il se croit un meurtrier doublé d’un homme-oiseau – I’ am a bird now d’Anthony and the Johnsons est le dernier disque qu’il a écouté de son vivant d’autrefois. Trente deux jours hors du monde qui lui paraissent dix ans. Puis le retour sur l’écorce terrestre, l’aide de la présence des siens, le soutien des blouses blanches sauf une qui s’en fout et ne le cache pas. On lui parle, on lui dit Boris, reste avec nous ! il aimerait hurler J’arrive ! Je reviens ! mais rien ne sort ni ne bouge tandis que quelque chose ou quelqu’un le retient par la manche dans l’outre-monde. C’est si tentant de traverser le miroir et de rester voir ce qui se passe au-delà. Il y a deux hommes en lui, spectateurs d’un combat sans merci entre la vie et la mort dont sa carcasse fut le théâtre ardent. Sous l’effet des drogues, il a côtoyé la folie et en a ramené un compte-rendu.
Bien sûr, on fera le rapprochement avec Le Scaphandre et le papillon, terrible livre écrit des cils par Jean-Dominique Bauby sur son lit de souffrances. Palladium est tout autre chose : le projet littéraire de celui qui en est revenu et veut tout mettre en distance. Sept ans d’écriture pour raconter une odyssée dans les inframondes. Parti pour en faire trois volumes correspondant aux trois parties, il a heureusement tout resserré en un seul. Plusieurs éditeurs l’ont eu entre les mains. Celui a cru jusqu’au bout est mort d’un cancer quelques mois avant sa parution, Jean-Marc Roberts. Son ombre souriante et sa mémoire radieuse planent sur ces pages.
Le récit de cette descente aux affaires est à la fois vif, chaleureux et clinique. Son déroulé chronologique est ponctué d’extraits du dossier médical et du rôle infirmier en retrait du texte. Absence au monde, résurrection, renaissance, rééducation, séquelles, retour au monde. C’est d’une grande force, bouillonnante. Cela aurait pu n’être que le livre d’un ancien malade : il faut le lire comme le roman d’un écrivain. En parlant de lui et de l’autre en lui, c’est de l’humaine condition qu’il s’agit. Une fois achevée la lecture de cette chronique de la vie comme elle ne va pas, on revoit le nom de l’auteur et l’on songe à l’eau-forte de Goya El sueno de la razon produce monstruos… Le dernier mot de Palladium, c’est « Palladium ». Puis vient un lexique. Puis les remerciements. Qui ferment ce livre ainsi : « Merci est un bon mot pour le finir ». C’est justement celui qu’on voulait prononcer.
(« Photo tirée du film de Dalton Trumbo « Johnny got his gun »; “El sueño de la razón produce monstruos », 1799, gravure 43 des Caprices de Goya, Musée du Prado).
589 Réponses pour Boris got his gun
compétents ou complaisants, Daaphnée ?
C’est quoi le réseau MAE, c’est un truc de l’éducation nationale ? Je ne suis pas prof !
quand on dit compétent, il faut dire « en quoi » !
il n’y
compétent en couleur ou en longueur, parce que en amitié , on peut en douter
à la maison rouge pour Coetzee
http://news.peterandserguei.com/post/MarySibande
Chère kiasas, je ne comprends pas le pourquoi de votre lien. Pourriez-vous expliquer, s’il vous plaît, ce que vous avez voulu montrer ?
enfin quelqu’un qui accepte de dire ne pas comprendre et ne prétend même pas avoir un peu cherché à s’éclairer sur internet où ne manquent pas les sites avec du texte
Ah ! parce que vous croyez vraiment que tout le monde ouvre vos liens ?
…
…@,…hamlet,…à,…13 h O5 mn,…
…
…est ce que j’ai le droit d’écrire,…la liberté,…la solidarité,…l’harmonie,…
…
…pourquoi pas, y ajouter, les parfums,…l’irrégulière,…
…
…qui parle de fermer les commerces,…personne,…
…
…quel faux-procès de prophète, vous me faîte-là,…
…j’écris ce qui me passe par la tête,…par mon point de vue,…j’ai pas de normes standard d’abrutis endoctrinés à respecter,…
…
…ou est,…le problème,…sans châteaux,…sans autorité, de qu(elle assemblée,…je ne donne d’ordres à personne,…
…qui, que, quoi, donc, ou,…
…j’aime les connaissances les plus objectives,…bien au-delà des connivences de marchand de courtoisie aux cours féodales,…
…
…
…une nouvelle féodalité de la culture des prophètes,…
…dans un monde de putes,…et d’argent,…
…Diogène,!, ou est l’homme et pourquoi faire,…encore de la boucherie ?,…
…
…qui veux poser la première pierre,…etc,…
…
…raisonner Oui,…Oh,…chacun prend les raccourcis de ce qu’il cherche à savoir,…pour le mieux,…
…
…mais, inclure une culture du saucissonnage d’échecs des initiatives individuelles,…donne le devoir de resituer l’origine des humours dans leurs » gobelets » de couleurs d’origine,…nettoyez le pinceau, et reprendre d’autres couleurs successives,…et travaillez » proprement « , sans fumé d’opium,…ou dans un lupanar d’esprits,…ou tout est bon,…sauf le respect des existences,…
…y a des limites ou la liberté reprend ses droits,…sans permis de tout tyrans à l’eau douce,…plus propre que celle du voisin,…etc,…
…vertus et vices sont gérer ensembles mais dans une harmonies très humaniste,…dans le respect total des conceptions égocentriques des individus,…la jeunesse, l’âge,…la conscience individuelle, enfin, le naturel face aux traditions-corporatistes du pouvoir stérile,…aux partages équitables,…etc,…
…
…une autre tantôt,…le prophète va prendre l’air,…et s’en balance,…etc,…
…
…un original,…démoulé,…au suivant,…etc,…
…
Hazlitt explique très bien l’ennui dans son « plaisir de haïr »: on ne peut pas ne pas penser aux erdéliens en le lisant: je l’ai encore relu
Il n’y a aucun ‘plaisir à haïr’ dans le fait de ne pas ouvrir un lien, il s’agit plutôt une question d’épargne.
Bon cette photo de mouroir ça casse le bol, on pourrait pas avoir les tennis déserts d’Anne-Marie Stretter à la place ?
…
…@,…Kiassa,…à,…14 h 48 mn,…
…
…pour moi votre lien,…c’est pas de l’art,…
…c’est l’art en prétexte pour la condition humaine,…de la Pub,…en quelque sorte,…y a nuances,…
…
…y a aussi,…l’art en prétexte d’héritière-politique,…genre les patchworks de la » Delphine Boël « ,…ses trônes et fauteuils,…………l’argent, m’a tu vu,…à dénigrer,…etc,…
…
…
mais il y a un ennui immense à subir sur un blog des commentateurs qui s’imaginent subtils et psychologues qu’ils savent parler et écrire pour tous parce qu’ils y opinent sur un tablier alors que Hantaï en a fait une oeuvre.
Parti pour en faire trois volumes correspondant aux trois parties, il a heureusement tout resserré en un seul. Plusieurs éditeurs l’ont eu entre les mains. Celui a cru jusqu’au bout est mort d’un cancer quelques mois avant sa parution, Jean-Marc Roberts. Son ombre souriante et sa mémoire radieuse planent sur ces pages.
très inquiétant , cet « heureusement »
et un titre
http://www.editions-galilee.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=3195
Le Tablier de Simon Hantaï
Annagrammes suivi de H.C. S.H., Lettres
Mais il n’y a aucun ennui à subir, surtout pas immense. Quant à s’imaginer subtils et psychologues, là on parle de produire un effort, ce qui, puisque l’on écrit sur un blog, c’est inimaginable… mais peut-être que, puisque l’expression le fuit, l’écrivant de 15 h 50 min en exagère naturellement les qualités…
(non non, Jacques, MAE ce n’est pas le MEN; ce sont les autres. Et ils chapeautent …
Bon, ce n’est pas le lieu, ici, pour vous expliquer)
ennui , même PAssouline ne devrait pas se priver de relire ce petit texte de Hazlitt: ennui des baratins écrits à la bêche et au rateau : in blog i don’t trust
le comble d’un blog : un idiot quelconque n’accepte pas que quelqu’un dise ressentir de l’ennui des propos tenus sur le blog , et pousse la haine à nier l’affect de l’autre
Adieu P.Assouline votre blog devient trop ennuyeux
kiasas 15h50, je crois que je vois ce que vous voulez dire, et la référence à Hantaï est fort bien venue.
Ne confondez pas Assouline et les commentateurs, kiasas, pas vous !
inutile de me dorer les jeux des blogs .P.Assouline y repensera à Hazlitt aux heures Goncourt
bonne suite la culture de l’amitié petits chéris
bouguereau dit: 1 septembre 2013 à 11 h 38 min
C’est pas de bol, j’ai traversé une forêt de bas en haut et de haut en bas ce jour, eh bien je n’ai pas vu le moindre chapeau d’amanite muscaria.
Le truc des magic mushrooms ( achtung interdits à la cueillette en France !), si l’on considère ceux à psilocybine, c’est qu’ils ont aussi un effet thérapeutique.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Champignon_hallucinog%C3%A8ne
Sautant du coq à l’âne, en relisant le billet ( j’avais manqué ce trait d’esprit: » descente aux affaires » !) il et évoqué « l’outre-monde » et les « inframondes ».
Inframonde, la dernière fois que j’ai entendu ce mot c’est au Mexique, en territoire Maya.
« … et pousse la haine à nier l’affect de l’autre »
Petit chef-d’œuvre de niaiserie…
Il est évoqué
Le ton assoulinin lui-même en est venu à mennuyer , et il faut être un corniaud pour ne pas accepter que quelqu’un n’ait aucun plaisir à être apparemment-n’ait pas envie de faire semblant – sur la même longueur d’onde que soi-même
ah l’identification!!! Hé bien Hazzlitt fait très bien sans sonner de l’hystérie et du paranoïaque !
William Hazlitt, né le 10 avril 1778 et mort le 18 septembre 1830, était un écrivain irlando-britannique, connu pour ses essais et ses ouvrages de critiques littéraires, et souvent considéré comme le plus grand critique littéraire anglais de son temps après Samuel Johnson, en raison notamment de ses travaux sur Shakespeare.
“La nature, à y regarder de plus près, semble faite d’antipathies: sans quelque chose à haïr, nous perdrions le ressort même de la pensée et de l’action. La vie se changerait en une mare stagnante si elle n’était agitée par les intérêts discordants et les passions déréglées des hommes.”
Ce n’est pas l’amour qui meut les hommes, mais bien, à tous les niveaux, la haine. Hazlitt, avec une sorte de joie masochiste, s’applique dans ce bref mais percutant essai à montrer comment cette passion si décriée, qui va de la simple irritation à l’envie de meurtre est à la racine même de l’existence. La politique, les arts, les sentiments apparemment les plus nobles, rien n’échappe à son emprise. Héritier de Diogène, cousin de Leopardi, précurseur de Cioran, Hazlitt, avec Du plaisir de haïr, vient prendre sa place dans cette grande famille des esprits démystificateurs, dont la violence, le cynisme et la noirceur cachent le moraliste blessé.
C’est bon, là, Kiasas, on a retapissé Hazlitt ?
Hazzlitt ?!
Hazlitt… plutôt (on aura lu Henry, naturellement).
Z. dit: 1 septembre 2013 à 12 h 08 min
bouguereau est plus branché pop que montaigneàcheval.
Oui, c’est ça, plus branché culture et langue américaine contemporaines. Si c’est bel et bien màc, chapeau, belle reconversion! En somme il s’est bien « réinventé » !
Giovanni c’est un gros malentendu! vous avez mal interprété.
désolé et respect à 100% pour ce que vous écrivez.
Cioran dit qu’il avait été pris de panique quand il avait appris qu’Epicure avait écrit plus de 300 traités et soulagé quand il sut qu’ils avaient été perdus.
imagine-t-on la cata si ces traités d’Epicure avaient survécu jusqu’à nos jours, rien que l’idée de voir ces bataillons d’épicuriens ça fout le bourdon.
pauvre petit corniaud qui ne supporte pas qu’on le rappelle à l’orthographe du français et qui a emmerdé ce blog avec des caricatures d’imparfaits du subjonctif pour se faire prendre pour un styliste chevronné !
PAssouline , il est vrai est un homme de grandes machines:Gallimard,Goncourt , Bible, Recherche … et les autres !! tout tout tout
que tout le monde en ait pour ses fantasmes !
bravo ! moi, j’en ai marre de ces voyages organisés
« bravo ! moi, j’en ai marre de ces voyages organisés »
Le mieux pour le voyage, c’est le sac à dos et son paradoxe.
Je ne vous refais pas la leçon. Vous l’avez eue.
kiasas pourquoi parlez-vous d’ennui à lire les commentaires?
personne ne vous oblige à vous relire.
faites comme moi : quand vous voyez votre nom hop! vous passez au suivant.
sinon j’ai fait un classement : le top ten des commentaires les moins ennuyeux à lire.
si vous me donnez votre adresse je peux vous les envoyer en privé parce que la dernière où j’ai publié un classement ça m’a valu d’essuyer des critiques, il n’y a rien de plus ch.ant à essuyer que les critiques, sérieux essuyer la vaisselle à côté c’est trop le fun du kif du fun.
« bravo ! moi, j’en ai marre de ces voyages organisés »
Voilà d’où viennent tous ces déchets !
kiasas je peux vous poser une question en privé mais vous me promettez de pas le répéter à personne : c’est quoi l’imparfait du subjonctif? j’aime pas les trucs imparfaits, moi j’aime la perfection brother.
hamlet itbe tibia et péronnelle ,allez vous faire lyophéliser chez William comme Hazlitt
La lyophilisation, ou anciennement cryodessiccation, est la dessiccation d’un produit préalablement surgelé, par sublimation. Le solvant sublimé est généralement de l’eau, mais ce peut être également un alcool.
roll up for the magical mystery tour.
Voilà que, sous peu, il nous expliquera l’action initiale de Knorr et Maggi…
Le Daily Telegraph, quotidien anglais conservateur
(….)
Heaney wrote, of course, in English and in the rooted English poetic tradition of Milton, Wordsworth and Hopkins. His exploration of the language was relentless not only in his own poetry, but also in translations into English of such works as an old Irish version of the Sweeney legend or the 15th-century Scottish poet Robert Henryson. His acclaimed translation of Beowulf took a treasure trove of Anglo-Saxon out of the academic lecture halls and introduced it to a wider audience.
Heaney was taken to British hearts as the country’s leading poet, and his poems became a staple of the school curriculum: poems of childhood from his first collection, Death of a Naturalist (1966) at GCSE, and his more complex Bog poems from Wintering Out (1972) and North (1975) at A-level. Yet he confessed that, when he lectured at Harvard or Oxford, he was tempted to call his lectures “doing English” — almost as though he were a detached spectator and English a foreign tongue.
(…)
Le reste sur
http://www.telegraph.co.uk/news/obituaries/culture-obituaries/books-obituaries/10276008/Seamus-Heaney.html
Il y a un son of a bitch plus haut qui sait pas de quoi y cause. De South Derry lui vient cette gente apostrophe: « Shut the uck up, ye ucker »
j’ai trouvé kiasas c’est D.!
bien joué sur ce coup petit roublard mais moi on m’la fait pas.
C’est vrai ça, hamlet ! un bon tour…
ça faisait très longtemps que je ne l’avais entendu
http://www.youtube.com/watch?v=Hnrsqf33MXA
Renato, c’est la cata, la cacaphonie !
Bloom que pensez-vous du rapport des auteurs irlandais à la langue anglaise?
retrouve-t-on le combat contre l’anglais dans l’écriture des poètesses irlandaises?
et chez Joyce? un refus de laisser coloniser par la langue des dominants?
non lassiez tomber, c’était juste pour plaisanter.
on n’a pas si souvent l’occasion de rire.
Nous avons pensé la même chose au même moment, des journées, heureusement il y a une petite différence…
comment ça, personne ne sait encore que l’algèbre nouveau, celui qui clôt les vies de Job, c’est le projet de ce blog, , non pas un concept , mais l’algorithme nouveau de la paternité en RdL ,, l’ AP disent ceux qui lappent leur soucoupe , l’ANP , les visités d’Assouline ici et là, qui rament et ramènent leurs fraises , comme aucun peintre n’a su les montrer !
« Irlande, quand tu nous tiens ! »
Voilà, à quoi je pense, là, Renato.
A Shannon aussi.
Mais c’est pour plaisanter, comme Hamlet.
Elle a raison Daaphnée, le réseau culturel du MAE (Mystère des Affaires Etranges) n’usurpe pas toujours son doux sobriquet de Gay d’Orsay.
Pour le soleil (assez pâle en Russie et en Scandinavie), il va falloir faire vite parce que, si l’on en croit les gazettes, ce sont pas moins de 600 postes qui vont sauter (pas SE sauter) dans les 2 ans à venir. Si on n’est pas déjà de la maison, ça risque d’être problématique de bronzer utilement pour la patrie.
The blog’s the thing wherein I’ll catch the bollocks of the Prick.
En plus, ils sont en train de vendre les murs .. Le pire est toujours à venir, Bloom; mieux vaut garder le sourire ..
Que ceux dont les parents ont utilisé en Europe l’ypérite durant la Première Mondiale ne viennent pas nous emmerder chez nous : tout est permis quand on lutte pour la survie de son pays !
Sarin, c’est vilain ? Mortier c’est plus gai ? Connards de Français …
Kiasas, sérieux, celui qui a trouvé l’algorithme dans « Vie de Job » je lui dis : bravo !
( c’est dans quel chapitre Kiasas ? j’ai aperçu juste à, à votre invite, le grand Manitou, ça oui)
perso, je n’ai pas connu Job.
Pour ses « Vies », voyez le blasphème: j’ai fait une croix dessus, entendez: il est remisé dans la bibliothèque, j’attends de moins souffrir de « joie masochiste » pour le lire; ça ne m’empêche pas d’avancer.
Bloom dit: 1 septembre 2013 à 17 h 47 min
600 postes qui vont sauter (pas SE sauter)
Les agents de police aussi on pourrait les faire sauter ça éclaircirait…
Moi, j’étais à Suiseki Satō, des journées…
Bachar el Maussad dit: 1 septembre 2013 à 17 h 56 min
Que ceux dont les parents ont utilisé en Europe l’ypérite durant la Première Mondiale
Justement nous au moins on le sait faut pas pisser contre le vent…
vies de job de mémoire
« ça commence comme de la musique,…… algèbre ! »
bonsoir
et une référence pour tous
« théorie descriptive de l’explication »: Jacques Schlanger
« l’explication d’u événement , aussi minime soit-il n’est jamais terminée »
cité d’après Atlan
Kiasas, quand j’aurai trouvé les cinq pages dissimulées parmi cinq cents, on y reviendra si vous le souhaitez.
Rien ne presse pour ce qui me concerne.
Je remets vite cette » hantise » là où je l’ai prise.
pour ceux qui ont parlé de « magie »
c’est d’ailleurs en raison de ce carctère ouvert et de son incomplétude explicative que pour « tom » Settle , la science se distiguerait de la magie »
on y reviendra si vous le souhaitez.
et justement, je ne le souhaite pas ! vous peut-être , et vous trouverez bien un interlocuteur !
Un goujat ce kiasas.
Kiasas, vous êtes plutôt gonflé vahiné sur ce coup-là.
C’est vous qui revenez sans cesse à ce livre de P. Assouline!
Un peu de cohérence, si ce n’est d’honnêteté, SVP !
Vous me rassurez, kiasas, je vois que vous ne partez pas.
Ce que j’aime surtout chez vous, kiasas, c’est votre réactivité. Un esprit d’à-propos qui, joint à ce que j’appellerais votre candeur sublime, est très stimulant pour l’esprit.
renato vous prend pour une andouillette, kiasas, mais c’est parce qu’il ne reconnaît pas la gouaille de bon aloi qui se cache sous vos références culturelles.
sort d’ici, kiasas, on t’a reconnu JC
keupu est une couille molle, voilà, c’est dit, zut flûte !
Kiasas est redoutable.
Tout autant que le Dr, auquel je l’ai » identifié »
( c’est sympa pour vous Kiasas, reconnaissez-le)
Dr Lecter
un coup du sort
Je partage votre avis, « des journées entières dans les arbres », kiasas est un sacré numéro.
Et vous, d.j.e.d.l.a., vous êtes une drôle de coquine.
« … la gouaille de bon aloi » ?!
Ça doit être involontaire ou alors vous gouaillez…
Le teneur de ce post ne laisse pas de me surprendre :
olarepi dit: 1 septembre 2013 à 19 h 07 min
Pas du tout, cher renato, je persiste : kiasas n’est pas une andouillette.
Entre un cornichon et une andouillette, il y a tout de même une certaine différence, vous me l’accorderez.
JC a tenté de se suicider hier soir.
Il a raté le passage de son arme à gauche.
La camarde n’a pas voulu de lui.
Elle lui a posé un lapin… de vie !
Renato est trop fort intellectuellement.
Tellement fort que même son propre cerveau n’arrive pas parfois à le suivre dans la course de ses pensées.
C’est pour ça qu’il dépasse souvent ses propres idées, le Renato.
Et cela, ça dépasse l’entendement de Renato lui-même !
Bouguereau est argotiquement perspicace.
Sa sagacité agace plus d’un.
D’où son agacement.
La célinienne gouaille lui va comme un gant.
Il voyage, il voyage, le Bougou, au bout de sa nuit.
Sa nuit aux mille conneries !
Hé ! l’Anatole ce n’est pas parce que, tout comme J.C., vous avez loupé votre coup qu’il faut se croire tout permis : moi, je n’essaie même pas de suivre la course de mes pensées… d’ailleurs, vous étiez sans doute trop perturbé par votre possible trépas pour prendre conscience que mes pensés ne sont pas en mouvement… à vrai dire il est fort possible qu’ils ne soient tout simplement pas, et là l’opinion d’un expert de votre envergure pourrait se révéler précieux…
Oups précieux > précieuse… naturellement… l’opinion…
Hé Renato !
Tu loupes tout ce que tu touches.
Tu rates tout ce que tu mates !
Tu louches sur tout ce qui fait mouche !
Tu couches même pas avec les saintes-nitouhes!
Tu ramasses les « râteaux » à la louche !
Tu piges le Renatouche ???!!!
Respire l’Anatole, respire.
Pratiquer le chant, la solution contre les ronflements
Pour les ronfleurs adeptes des méthodes douces, une solution simple et sérieuse à leurs problèmes nocturnes vient d’être proposée par des scientifiques britanniques : chanter 20 minutes par jour. L’étude est fondée et avant une explication : il s’agirait de muscler le pharynx.
kiasas n’est pas une andouillette.
Non, mais elle ronfle!
Mieux vaut gonfler que ronfler.
Anatole dit: 1 septembre 2013 à 19 h 40 min
Renato est trop fort intellectuellement.
Non, c’est plutôt un chien de Pavlov. Un coup de sonnette, il jappe. Un coup de sonnette, il jappe. Un coup de sonnette, il jappe. Sans fin.
Quand on affirme que Dieu vit dans une soupente au-dessus d’un restau, à 500 km de Paris, dont il ne sort jamais sauf pour aller « à la montagne », personne ne veut le croire. Et pourtant…
Ah, Toto, s’ils savaient, cette bande de sous-développés à quel point TU ES GRAND!
Tiens ! Tu es LE PLUS GRAND de tous les Toto !
Borgèsien…
Et voilà que le crétin parfait a fait son entrée : bene, bravo, bis.
sur le cerveau d’Einstein pour tous ceux qui parlent de génie et d’intelligence
http://www.larecherche.fr/savoirs/dossier/exceptionnel-cerveau-einstein-01-12-1999-88595
Monsieur Pierre Assouline, homme de goût et de bon sens, pourriez-vous jeter à la décharge ce TRONC d’homme, en illustration de votre remarquable billet ?
En quoi pouvez-vous espérer que nous nous intéressions au sort de ce con d’humain, déchet de guerre, hein ?!
Ce qui nous intéresse est le pourquoi de cette boucherie. Bien à vous….
Kiasas, je comprends votre douleur.
Jamais, mais jamais, il ne me serait venu à l’idée d’aller en Inde pour rencontrer Job.
Ce que vous dites à 20h30 est faux.
Je le sais.
Juste le temps de faire apparaître l’imperfectible crétin.
Un crétin suit l’autre, inéluctablement.
Pourquoi pas mais là n’est pas l’essentiel. Il est dans le coup au plexus que l’on prend à lire ce mémoire d’outre-monde.
autrement dit préparez-vous à en souffrir !
Merci à tous ceux qui ont regretté le geste funeste de notre enfant qui a décidé de mettre fin à ses jours poussé à bout par un destin sadique.
Nous l’avons aimé dans l’amour du Christ-Roi et n’avons jamais compris son intérêt pour la sexualité des énarques, des mouches et de la littérature … Que n’a t il connu le destin exemplaire de ces socialistes erratiques mais repus ?…. C’était si simple !
Repose en paix, JC, proche des puissants et Prince des Cons, repose en paix !
Vous vous bouffez la queue, le parfait crétin.
capacité d’&bstraction
La gravure de signes abstraits sur des oeufs d’autruche a commencé plus tôt que ne le pensaient les préhistoriens. Des chercheurs français et sud-africains ont repris les datations du site de Diepkloof en Afrique du Sud, tout en y découvrant de nouveaux fragments : la pratique a débuté il y a 110 000 ans environ pour s’achever vers 50 000 ans, alors qu’elle semblait se limiter à une période autour de 60 000 ans. Les nouvelles dates font de ces signes abstraits les plus anciens connus, contemporains de ceux gravés sur des morceaux d’ocre et mis au jour dans un autre site sud-africain, […]
« JE N’ACCEPTERAI JAMAIS L’INACCEPTABLE ! »
(vous avez la Breubière Conculpine que vous méritez, happy taxpayers )
« Bon cette photo de mouroir ça casse le bol, on pourrait pas avoir les tennis déserts d’Anne-Marie Stretter à la place ? »
Mais d’où vous vient ce goût de Duras et de Proust, Sergio, c’est compatible avec la moto et les gros biscottos ? Vous ne levez quand même pas le petit doigt en buvant le thé avec le Boug !
sans quelque chose à haïr, nous perdrions le ressort même de la pensée et de l’action (William Hazlitt, cité par Des journées)
Je hais ce gros con de Paul Edel. Je le hais et je lui pisse à la raie. Grâce à cet enfoiré de mes deux, le ressort de ma pensée et de mon action est bandé à bloc ! Tiens, ça me fait penser qu’y faut que j’aille donner à bouffer aux lapins. Autant de feuilles de choux que le Paul Edel aura pas. Après, j’irai honorer Josette. Encore une qui passera sous le nez du Paul Edel Je me sens remonté à bloc ce soir.
« Après, j’irai honorer Josette. »
Des promesses ! toujours des promesses …. C’est fini, tout ça, John !
Je lis Duras d’une main et je bois mon thé de l’autre. Je crache dans le vent à la gueule de Paul Edel. C’est Josette qui tient le guidon de la moto. Je la sens dans mon dos collée comme une sangsue. Chaudasse comme elle est, ça me trouble forcément. Tempête sous un casque.
Tempête sous le casque, énurésie sous le blouson en toile cirée …
Paul Edel perd rien pour attendre, moi j’attends d’avoir des preuves, l’accord du Congrès, et je lance mon action. Toute manière j’ai pas le temps de m’en occuper maintenant, je suis téléguidé sur Damas par la DGSE, moi et Josette. Moto pleins gaz direct sur le palais présidentiel, Josette conduit, moi je bande le lance-pierres, direct le noyau de pêche dans l’oeil de Bachar. Ensuite l’Elysée la légion d’honneur et tout. Flanby honore Josette, moi j’honore Valérie. Fermez le ban.
« autrement dit préparez-vous à en souffrir ! »
Kiasas, fin de ma contribution, et c’est définitif, sur ce livre:
Une chose me paraît certaine, – le peu que j’en ai lu- c’est qu’il faut raison garder, à sa lecture.
Et de conseiller à P. Assouline de ne pas en rester à la carte, mais d’affronter le territoire. Le sien.
JB, avec votre fougue, vous êtes un vrai tigre en papier.
renato dit: 1 septembre 2013 à 21 h 09 min
Vous vous bouffez la queue, le parfait crétin.
…en faire autant.
John Brown dit: 1 septembre 2013 à 21 h 23 min
« Après, j’irai honorer Josette. »
Josette, sa main gauche.
Nénette, sa main droite.
Jacques Barozzi dit: 1 septembre 2013 à 21 h 22 min
c’est compatible avec la moto et les gros biscottos ?
Ben c’est quand on est polymorphe… Euh non tricuspide… Euh… Polycarburant… Eclectique comme ils disent… Une fois j’ai failli me faire tomater toute une expo à cause de cela, de l’aquarelle à l’aérographe…
vous avez remarqué que Sergio dit toujours « cela » au lieu de « ça ».
à mon avis, faut prononcer « sla », ça fait tout de suite plus ferdine, comme il dit.
c’est marrant parce que je j’ai écrit schrupalevitch, alors que mon nom, c’est schluparevitch. bah, ce n’est pas bien grave.
j’ai inversé deux lettres. mais, comme dit u., une petite inversion de temps en temps ne fait pas mal.
au fait, il paraît qu’u. a des problèmes. vous êtes au courant, sergio ?
y a plus personne ? bon, allez, on ferme !
schrupalevitch dit: 1 septembre 2013 à 22 h 55 min
« cela » au lieu de « ça »
Ben oui « cela » c’est l’imparfait du subjonctif de « ça »… Puis alors des fois plusieurs « ça » entre eux ça se coince…
schrupalevitch dit: 1 septembre 2013 à 23 h 06 min
au fait, il paraît qu’u. a des problèmes. vous êtes au courant,
Nietou nib ; mais je suis un peu épisodique en ce moment ; rien à ma connaissance en tous cas.
Je vais cesser de prendre comme pseudonyme Kiasas pour revenir à D. parce que j’ai peur que les moins perspicaces d’entre vous mélangent tout.
Dites-moi, Sergio, vous avez fait votre calage altimétrique ce soir ?
J’ai un petit sujet de dissertation pour vous tester : La droiture peut-elle surpasser la charité, et vice-versa.
je relève les copie demain en milieu d’après-midi.
Eh ben oui c’est la rentrée. Au boulot. Terminée, la bronzette académique.
…
…il en reste à noter,…des petits détails,…
…
…tout le monde à ses excuses,…et Epicure et autres références à William Hazlitt,…,…c’est du parti pris,…vite fait,…empresser,…
…
…
…un détail subsiste,…en dehors des intérêts et implications personnels,…
…
…c’est simplement,…l’état des » indicateurs « ,…personnels,…
…
…je veux dire, ce qui nous reste comme sensibilité,…
…après une » bonne éducation d’état « ,…
…
…un retard à l’admission qui produit une perte de travail,…alors que la pression est verticale,…aux premiers tours au démarrage des commentaires,…
…la vitesse du piston croissant, la pression diminue et la ligne d’admission s’infléchit,…à cause de l’insuffisance des conduits d’amenée, en augmentant la perte de travail,…
…nous voyons une forte contre-pression, par suite d’un retard à l’échappement et de l’insuffisance d’ouverture des lumières,…
…
…je n’invente rien,…juste » à little « , analogie,… » of course « ,…
…
…arrêtons nous là,…la similitude des indicateurs des machines,…aux réactions des intervenants,…dans leurs priorités,…
…
…un livre à faire,…le contrôle du pouvoir par » l’érotisme des mécanismes « , et leurs diagnostics,…
…auto-sabotage des diagrammes et coordonnées, aux bons plaisirs des pouvoirs,…
…
…etc,…Ah,…Ah,…Bip,…Bip,…etc,…
…envoyez,…
Heureusement que JC est là pour aller défendre les pauvres gens ine sitou
On l’enterre, ce morceau de viande inhumain, une fois pour toutes ?
Dites donc, je vous trouve gonflé. Kiasas, c’est moi !
Je m’adressais à D., bien sûr.
Arftiule est un nom de fille, bien sûr.
schrupalevitch dit: 1 septembre 2013 à 23 h 06 min
au fait, il paraît qu’u. a des problèmes.
des problèmes assez graves. Un début d’alzheimer, ce qu’on appelait autrefois ramollissement cérébral. On dit que c’est irréversible. Aux dernières nouvelles, il ne reconnaissait déjà plus Daaphnée.
« il ne reconnaissait déjà plus Daaphnée. »
Il ne quoi? Qui ça?
Moi je reconnaitrais Daaphnée entre mille.
Déjà, elle ronfle. Il faut lui donner de sacré coups de coudes pour que ça cesse. Du coup elle a des bleus partout.
Je lui ai conseillé le chant, mais après l’avoir entendue j’ai encore préféré sa ronflette.
Bon, la droiture, la charité, qu’est-ce qu’on met en premier ? C’est pourtant pas pareil. Faut que je continue à me tâter.
En plus de ça, ça dépend du référentiel, comme aurait dit Einstein, qui n’est pas si fort qu’on le croit, soit dit en passant.
Je pense que je vais recommencer à signer kiasas.
« comme aurait dit Einstein, qui n’est pas si fort qu’on le croit, soit dit en passant. »
Y vaut rien, l’Einstein ! bidon le mec !
On est prêts pour enterrer le cadavre, bon dieu ! Mort ou vif …
schrupalevitch dit: 1 septembre 2013 à 23 h 06 min
au fait, il paraît qu’u. a des problèmes.
J’ai.
Zuzu lost his gun.
Voilà une semaine que me réveille avec une désagréable impression de flaccidité.
Je refuse de croire que mon ticket ne serait plus valable.
En revanche, les quatre autres membres fonctionnent normalement.
Je touche du bois.
que me réveille > que je me réveille
Faut que je continue à me tâter
D.
Le matin au saut du lit.
Hummm !
Je touche du bois.
u.
Faut que je continue à me tâter
D.
La matinée s’annonce gaillarde.
on entend d’ici les cris d’orfraie de Christiane quand John Brown s’en prend à son Popaul, fichtre
Touite
Un article cité prend hamlet au collet:
Cette désaffection par les étudiants, occultée par le succès de la philo « populaire », devrait inquiéter ou questionner les philosophes autant que les professeurs, au-delà des constats désolés que l’on entend parfois, en privé. Pourquoi philosopher paraît inutile à tant de monde, notamment à ceux des étudiants qui a priori auraient une certaine propension à s’y intéresser ?
Boris got his tune.
« Pourquoi philosopher paraît inutile à tant de monde, notamment à ceux des étudiants qui a priori auraient une certaine propension à s’y intéresser ? »
– Pour apprendre à quoi sert la philosophie, consulter Sergio Poltrone.
– Pour apprendre à quoi servent les étudiants en philosophie, consulter Pole Emploi.
@12 h 55 min
Tout ce bruit pour rien -une si petite somme, de l’argent de poche
« Tout ce bruit pour rien -une si petite somme, de l’argent de poche »
Les pauvres sont impressionnables ! Faut comprendre : ils ne savent rien du double langage des gens de pouvoir.
Les étudiants boudent les cours de philo?
C’est que la réflexion et la méditation sont aujourd’hui offertes dans des lieux plus conviviaux que les amphithéâtres.
De plus, on semble échapper aux agrégés.
Libération:
« Après une courte pause, l’atelier «toutes les femmes sont des fontaines» ayant été malheureusement annulé, on se dirige vers celui consacré à l’«orgasme méditatif anal», animé par Christian, professeur de tao lui aussi. La séance se déroule en duo, sur des tapis de sol. 35 personnes sont venues, une majorité de couples homos, quelques hétéros. Sous une musique tantôt épique, tantôt méditative, Christian G., la cinquantaine, propose «une méditation anale».
Pour cela le «conducteur», celui qui masse, va s’occuper du «voyageur», celui qui reçoit, et les rôles ne changeront pas. Un gant en latex noir et de la vaseline sont fournis. D’une main, les premiers ont pour mission de commencer un massage délicat de l’anus, et, de l’autre, glisser lentement sur le haut du gland ou des lèvres. «Le geste doit être très lent, le plus lent possible. Le but n’est pas d’aller vers une éjaculation. Ceci dit, si ça vient, il n’y a pas de problème», rassure Christian. »
C’est comme l’attente remémorante, la sérénité active d’un Dasein tourné vers l’événement de l’Etre.
Si ça vient, il n’y a pas de problèmes.
Boris Boillon, la Tête de Noeud majuscule de l’année 2012.
Sauras-tu désigner celle de l’année 2013?
Notre jeu du jour :
Obama, dans l’affaire « ligne rouge », s’est ridiculisé tout seul, en allant devant le Congrès.
Question : quel est le chef d’Etat qui a l’air encore plus con qu’Obama ?
Choisir une réponse parmi les trois suivantes :
A/ François Fromage
B/ Pépère MoiJeNouille
C/ Mouloud Hollande
Roger la Frite?
Pour se réconforter, plaçons la bobine du Premier secrétaire à côté de celle du Chef de l’Etat.
Le second fait figure d’Athénien.
À poil.
« Ayrault promet une «transparence totale» aux députés » (les journaux).
On dit ça.
À la dernière minute, on garde le string.
quel est le chef d’Etat qui a l’air encore plus con qu’Obama ?
moralité pas faire la guerre ça rend con..on dirait du choron
À la dernière minute, on garde le string
les gaulois combattaient nus pour donner l’air con à césar
obsédé,le petit u.
Un article cité prend hamlet au collet
les articles de trouducul serrent les étrons..
mon dieu quel minable prose
C’est comme l’attente remémorante, la sérénité active d’un Dasein tourné vers l’événement de l’Etre.
Si ça vient, il n’y a pas de problèmes
tu causes vraiment comme un espert qu’on s’demande de quel coté t’en étais
moralité pas faire la guerre ça rend con
avec une jc ou un u. président ou conseiller du président, la planète serait plus fûtée
« la sérénité active d’un Dasein tourné vers l’événement de l’Etre. »
le Dortsein compte pas pour des prunes non plus
Ha oui Roger Lafrite là c’était pas dégueu…
Boh le calage altimétrique le seul problème c’est de répéter le QNH au contrôleur quand on n’a pas écouté…
…
…rappel,…les étrusques aussi combattaient tout nus,…mentalité du Club Med,…
…
…habillez ou nus,…amenez tout ce beau monde à la trappe, à la souricière, aux harnais,…le pied dans l’étrier,…
…
…enfin,…la France libre,…maître de la méditerranée,…au nom de l’€mpire,…cette guerre des étoiles qui n’en fini pas,…de nous éblouir de ces feux tigrés du Bengale,…
…
…toute seule,…pour la sociale-démocratie,…le gendarme de Syrie,…
…déjà,…la Turquie est avec,…pour les bases arrières,…le financement par les magnats du pétrole,…voisin,…
…
…
…pour une fois,…Israël,…peux se tourner les pouces,…
…un coup de main à nos amis français,…
…
…çà va pas la tête,…Non,…merci,…pas de bénéfices à partager,…pour quelques » pruneaux « ,…
…
…des Mirages au chocolat,…juste après,…
…
…B.B.,…On n’à besoin de personne en Harley-Davidson,…
…
…Ô Claques French,…Can-Can,…Boum, Boum,…à GÔ – GÔ,…
…etc,…
Il y avait ici un gars nommé Thierry, je crois, qui faisait des commentaires que j’appréciais particulièrement parce qu’ils ouvraient des perspectives à chaque fois inédites. Où qu’il est passé ?
Je suis très inquiet de cette histoire de site où l’on peut dénoncer les « bavures policières » qui sont en réalité extrêmement rares.
De plus, ce qui a été filmé il y a quelques temps et qui semble en être à l’origine n’est pas du tout une « bavure policière », mais une action courageuse de fonctionnaires de police pris à partie par l’entourage d’un délinquant routier.
Je peux vous dire gentiment qu’on est très mal parti dans ce pays. Ça va être de pire en pire.
La Nation est livré à des forces obscures de plus en plus puissantes. C’est aussi le résultat de la déchristianisation galopante depuis plus de deux siècles. Tout se paye.
Il y a encore un autre problème auquel peu de gens pensent et bien à tort, c’est l’augmentation de notre taille moyenne à raison de 1 cm par décennies. En effet, c’est exactement le contraire qui devrait se produire; c’est du moins exactement le contraire qui s’est produit dans l’évolution des différentes civilisations extraterrestres que nous connaissons et qui nous visitent régulièrement : diminution de la taille au profit de l’augmentation du volume de la boîte crânienne. Or les plus récentes générations présentent le plus souvent de petites têtes posées sur de grands corps.
Vous allez dire qu’il n’y a qu’à s’en foutre mais moi je ne m’en fous pas du tout. On est pas prêt de maîtriser l’énergie illimitée et la propulsion gravitationnelle en suivant un tel chemin. En suivant un tel chemin, on est plutôt plus enclin à former un grand zoo divertissant pour nos geôliers.
D. dit: 2 septembre 2013 à 15 h 38 min
un délinquant routier
Ha oui mais moi c’est la Yam qui est délinquante j’y suis absolument pour rien…
on entend d’ici les cris d’orfraie de Christiane quand John Brown s’en prend à son Popaul, fichtre (Keupu)
Je biche à l’arrêt de Christiane.
@John Brown dit: 2 septembre 2013 à 16 h 12 min (lire…)
Pourquoi « des cris d’orfraie » ? Ces commentaires de concernent que J.B. Si, d’exprimer une haine, sans la motiver le soulage, tant mieux.
Cela ne modifie en rien l’estime que je porte à un ami dont j’aime l’écriture et le tempérament qu’elle reflète. J.Ch. aussi, sous d’autres formes, exprime une exaspération, mais lui la justifie (attente d’une critique littéraire ouverte à des écrivains qu’il apprécie). C’est ainsi… on exaspère… on provoque des moqueries, des haines… et alors ? Où est le problème ? Chacun est libre d’accéder au blog de P.Assouline d’y lire des billets denses et variés, d’y lire ou pas la totalité des commentaires, de se faire une idée sur les uns et les autres même si nous sommes ici dans un bal masqué. Le détour vaut la lecture… et d’écrire…
@ B.
« … Et dans le livre que tu lis
Je vois que les mots sur la page
Sont les symboles de l’oubli »
(En exergue d’un roman magnifique dont nous avions tant parlé…)
à Christiane : chronique CD parue aujourd’hui sur mon blog
Chacun est libre d’accéder au blog de P.Assouline d’y lire des billets denses et variés, d’y lire ou pas la totalité des commentaires, de se faire une idée sur les uns et les autres même si nous sommes ici dans un bal masqué. (Christiane)
Mais certainement, ma chère, certainement. L’un des avantage de l’espace des commentaires de ce blog, c’est que diverses petites pulsions agressives s’y donnent libre cours, s’y soulagent, sans grand mal pour quiconque. Ballet de masques, comme vous dites. Certains déplorent parfois ces agressions verbales récurrentes, mais elles sont un des ingrédients obligés de la partie, qu’elles pimentent, avec plus ou moins de bonheur. Tout cela, vraiment, ne tire pas à grande conséquence. Tout n’est ici que jeu. Il ne manquerait plus que, les uns et les autres, nous nous prenions au sérieux.
Sergio dit: 1 septembre 2013 à 23 h 46 min
schrupalevitch dit: 1 septembre 2013 à 22 h 55 min
« cela » au lieu de « ça »
Ben oui « cela » c’est l’imparfait du subjonctif de « ça »… Puis alors des fois plusieurs « ça » entre eux ça se coince…
TOO Much !!! clap-clap
(J.B. : la vie est un bal masqué … o tout le monde est déguisée… le rappeler? why not
Oui, J.B
Chic, J.Ch
manquerait plus que nous nous prenions au sérieux… hélàs il y en a tout plein, heureusement on les reconnait et on se marre
John Brown dit: 2 septembre 2013 à 18 h 11 min
Mais certainement, ma chère, certainement. L’un des avantage de l’espace des commentaires de ce blog, c’est que diverses petites pulsions agressives s’y donnent libre cours, s’y soulagent, sans grand mal pour quiconque. Ballet de masques, comme vous dites. Certains déplorent parfois ces agressions verbales récurrentes, mais elles sont un des ingrédients obligés de la partie, qu’elles pimentent, avec plus ou moins de bonheur. Tout cela, vraiment, ne tire pas à grande conséquence. Tout n’est ici que jeu. Il ne manquerait plus que, les uns et les autres, nous nous prenions au sérieux.
En un christiane n'(est pas votre chère e tje me demande bien qui est votre chère parce que même Josette, que vous qualifiez à outrance d econne ne l’est pas.
Rintintin, comme d’habitude vos propos c’est du baratin et du fouille merde. Vos propos sont agressifs 999 fois sur cent et vous créez et maintenez de manière malsaine un sale esprit sur ce blog où vous vous développez à outrance comme un chancre verbeux.
Alors vos trucs et vos machins, haït c’est nromal l’agression c’est vivant on joue beaucoup et on aime bien ça, je vous réponds et mon cul c’est du poulet.
Bref, vous êtes tellement menteur que vous ne savez même plus que vous êtes un menteur.
Et votre « m
Et votre « ma chère » à christiane, dont vous ne pensez pas l’ombre d ela première syllabe est comme le « mes petits choux » de JC. Dans le style hypocrite, palme d’or.
Maintenant que vous n’aimiez pas vous em…… et que ce soit votre modus vivendi pour échapper à l’ennui, je le conçois. Que ce soit le seul mode opératoire pour cela,n je le conteste et vivement.
C’est dit.
Sous cape, je rigole, mais je me la boucle : l’important, c’est la suite donnée aux évènements : le temps c’est passionnant avec ces redites, ces trucs en boucle.
arftiule dit: 2 septembre 2013 à 9 h 39 min
Dites donc, je vous trouve gonflé. Kiasas, c’est moi !
Non moi. Ah non MOi
nON JE TE DIS C4EST MOI ;
AH non moi moi moi.
Moi je. Moi tu. Moi nous 2.
Le culte.
Je me tâte le culte pour savoir quoi penser.
Le culte de moi.
@rose dit: 2 septembre 2013 à 19 h 44 min
Ne vous fiez pas aux apparences… malgré les batailles, J.Ch est un ami de longue date dont j’aime les chroniques-jazz, les toiles et certains textes (blog) mais je n’aime pas quand il me chambre sur mon appréciation du blog de P.E. Alors on se griffe comme des chats…(je ne crois pas que ce soit un hypocrite, au contraire, c’est un homme à la langue ironique et rapidement. Un grand sensible aussi (façon Brassens).
bonne soirée.
Facile de taper sur un mort, rose …
Bibliophile attardé….. dit: 3 septembre 2013 à 9 h 31 min
Belle référence. Merci !
Bibliophile attardé….. dit: 3 septembre 2013 à 9 h 31 min
Cadeau pour cadeau :
http://www.franceculture.fr/emission-une-vie-une-oeuvre-frederic-dard-dit-san-antonio-1921-2000-2013-06-22
Dommage, « Mon culte sur la commode » est épuisé !
je n’ai pas compris le « taper sur un mort ».
>christiane si un ami vous chine/chambre grand bien vous fasse !
à bientôt
bonne soirée
>christiane le grand bien vous fasse est dit avec une connotation positive, je vous le précise pour éviter toute erreur 🙂
@Rose
Merci.
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