de Pierre Assouline

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La République des livres
Ce quelque chose d’absent qui tourmentait Laurent Mauvignier

Ce quelque chose d’absent qui tourmentait Laurent Mauvignier

 Nombre de romans plombent la rentrée, rares sont ceux qui la surplombent. La Maison vide (744 pages, 25 euros, Minuit) de Laurent Mauvignier est du lot. C’est une fresque familiale assez inattendue bien que cet auteur nous surprenne à chacun de ses livres. Puissance d’évocation, écriture ample, tressée, subtile, raffinée, précise… : l’impression provoquée par un tel embarras de richesses, un tel sens du romanesque, une telle émeute de sensations et une telle maitrise, si peu communes dans un roman contemporain, laissent admiratif face à l’ambition du projet et l’ampleur de la réalisation. Surtout, ne reculez pas face à l’épaisseur !

Tout roman est au départ une maison à construire et à remplir. Du moins est-ce ainsi que Laurent Mauvignier aime à se le représenter à chaque fois avant le grand saut dans le vide. Comme dans Loin d’eux (1999) et Apprendre à finir (2000), la maison est celle de sa mère mais elle est tout sauf un décor Les héritiers d’une maison de famille fermée pendant vingt ans, sur le flanc d’un village aujourd’hui en partie abandonné non loin de La Bassée, commune d’Indre-et-Loir assez analogue à celle de Descartes en Touraine où l’auteur a grandi (la mère l’y rêvait guichetier au Crédit Agricole), la rouvrent en 1976. La Bassée est à Mauvignier ce que le comté de Yoknapatawpha  (Mississippi) est à Faulkner ou le village de Macondo à Garcia Marquez. Un lieu fictif recréé pour les besoins de son œuvre et que l’on retrouve dans plusieurs de ses romans.

Trois générations se sont succédé dans celle de Mauvignier des arrières-grands-parents au père du narrateur. Le récit culmine donc dans les années 50 (l’auteur est né en 1967). Des objets, des lettres, des livres, des photos, des médailles, des archives et tous les volumes des Rougon-Macquart rangés au grenier s’offrent à la vue. Chacun raconte des histoires. Rien que de très classique. Ce qui ne l’est pas, c’est ce que Mauvignier en fait : l’histoire intérieure d’une famille. Enfin, « une » famille… C’est bien de la sienne qu’il s’agit au départ puisque l’auteur tente de comprendre à travers le suicide de son père en 1983 (une violence extrême que l’adolescent de 16 ans a prise de plein fouet) le mécanisme d’une déchéance dans ses racines les plus profondes et les plus anciennes. « C’est parfois par l’invention que l’histoire peut parfois survivre à l’oubli » écrit-il.  Il recolle les morceaux des légendes familiales sur une ou deux générations et au-delà l’imaginaire prend le relais. Sauf à ce que la grande histoire vienne à son secours. Ainsi pour le massacre de Maillé, l’un des « morceaux » de ce roman

 Mauvignier vient donc d’une famille ouvrière d’une petite ville du Nord. 4000 âmes lorsqu’il y est en 1967. Père éboueur, mère femme de ménage, cinq enfants, pas de livres à la maison mais ne comptez pas sur ce tourangeau pour clamer qu’il va venger sa race. Au XXème siècle, vu de Descartes, la capitale c’est Tours. La rencontre de Tanguy Viel, de six années plus âgé que lui, et leur amitié naissante l’ont amené du côté de Minuit. L’un y publie son premier roman en 1998 et l’autre en 1999. La maison vide est l’histoire très française dont les fondateurs s’appelaient Marie-Ernestine, Firmin, François-Marie, Anatole, Hégésippe mais dont les femmes sont les personnages les plus fouillés. Deux guerres ont d’abord pour effet de rendre une maison vide d’hommes. Laurent Mauvignier s’était déjà colleté à l’Histoire pour raconter une histoire. Ça a donné Des hommes avec la guerre d’Algérie. Une guerre asymétrique et non une guerre frontale comme le fut celle des tranchées. Ce qui n’est pas classique et détonne sous cette poussière, c’est la présence d’un piano. Le personnage, principal, c’est lui depuis le temps où cette famille jouissait d’un petit pouvoir sur le canton.

Il y a donc Marie-Ernestine née Proust, arrière-grand-mère du narrateur, que son père a décidé de marier à Jules Chichery « qui a l’air d’un péquenaud » et fera partie de ceux qui portaient une alliance au front et qui tombera en 1916 en Argonne. Jeune, elle est déjà la forte femme de cette famille car elle a du caractère. Au couvent où elle a passé huit années d’études, elle tenait tête aux pimbêches. Ses notes s’en ressentaient. Qu’importe car elle n’en avait que pour Mme Saint-Martin-des bois, la professeure de musique, celle qui lui a transmis son amour du piano. Comme elle résiste à la proposition de mariage, on lui fait miroiter la sombre perspective de rejoindre ces femmes sans homme qui servent de repoussoir et s’enfoncent dans leur solitude. Elle n’en a pas pour un autre homme mais pour une autre passion : le piano. La vie la fera veuve de guerre frustrée d’avoir dû renoncer à la carrière de concertiste qui s’ouvrait devant elle. Plus tard, au cours de l’autre guerre, sa fille Marguerite prendra un Allemand pour amant, sera tondue et mourra alcoolique à 41 ans, enfermée dans sa forteresse de silences. Comment expliquer à la Libération qu’il ne se contentait pas de lui faire l’amour : il la rassasiait de tendresse et quand on était privée de tout, cela n’avait pas de prix d’autant que sa mère lui avait aussi transmis le goût de la musique allemande. En se gardant de porter des jugements moraux sur ses personnages fussent-ils de son propre sang, tout en s’efforçant de mettre à nu leurs mensonges, il ne peut s’empêcher d’éprouver de l’empathie pour tous et pour chacun car ils sont tous et chacun saisis à un moment de leur vie où leur passé devient un passif. Tous lui sont d’un grand secours : ils l’aident à supporter sa solitude.

En fait, tout le projet littéraire de Laurent Mauvignier a pris naissance là, dans la découverte d’une photo d’un enfant de 7 ans assistant à l’humiliation de sa mère perdant ses cheveux sous la tondeuse, les rires et les insultes de la populace. Mais basta ! « A novel is never what it is about » m’avait prévenu Graham Greene et je l’en remercie chaque fois qu’un roman me fait un tel effet. Ce livre nous fait entrer dans l’intimité des personnes sans que le lecteur n’en éprouve de gêne, par exemple dans celle des couples lorsque le permissionnaire rentrait brièvement chez en 1914-1918. Il est plein de détails et d’anecdotes car ils sont constitutifs de ce que Barthes appelait l’ « effet de réel » (dans Un cœur simple, Flaubert mentionne la présence d’un baromètre, ce qui n’apporte rien au récit mais lui accorde du crédit par la seule évocation d’éléments matériels ou concrets). Plein de silences aussi à commencer par ceux de l’oncle rentré de quatre ans de stalag, de regards croisés à table, de détails personnels, de non-dits, de hontes tues, de portraits de famille aux traits du visage masqués, de mémoire encombrées de monuments aux morts de notes de musique échappées par la fenêtre, ce roman ailé qui tient la note juste de bout en bout sur une distance aussi longue, m’a donné le rare sentiment d’avoir lu quelque chose de hanté, d’habité, de frémissant tout entier contenu dans la grâce de la chrysalide qui s’échappe au moment où les descendants de cette famille ouvrent la maison.

 Cette lecture gagne à être complétée car éclairée par celle de Motifs de Laurent Mauvignier (186 pages, 9 euros, Minuit), entretiens avec Pascaline David sur l’écriture- art, technique etc parus en 2021 chez Diagonale, réalisés au lendemain de la parution d’Histoires de la nuit et réédités cette année sous le titre Quelque chose d’absent qui me tourmente (186 pages, 9 euros, Minuit). Laurent Mauvignier s’y livre comme jamais. Ce sont les confessions d’un écrivain persuadé que la fiction, royaume de la métaphore, peut tout. Il y dit tout ce qu’il doit aux écrivains qui le stimulent, László Krasznahorkai, Joyce Carol Oates, Antonio Lobo Antunes. Il avoue également que chaque fois qu’il a fini d’écrire un livre, à l’issue de sa longue traversée, après avoir noirci des centaines de pages, il sait pourquoi il l’a écrit. Cela tient en un mot contenu dans le texte. Mais ce mot, il ne le dévoile à personne. C’est son tabou et il s’interdit de le transgresser tant ce mot contient de secrets. Quelque chose d’absent qu’il a fini par trouver en explorant la maison vide.

(« La leçon de piano, Odessa, 1957, Photo Eliott Erwitt, ; « Laurent Mauvignier », Photo Hélène Bamberger)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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1 334 Réponses pour Ce quelque chose d’absent qui tourmentait Laurent Mauvignier

JC..... dit: 7 septembre 2025 à 4h00

POUR SALUER

« Figure emblématique des Grands-Mères de la Place de Mai et de la lutte contre la dictature argentine, dont elle avait fait traduire des responsables devant les tribunaux, Rosa Roisinblit est morte samedi à l’âge de 106 ans, a annoncé cette association. «Les Grands-Mères de la place de Mai font leurs adieux avec tristesse à leur très chère compagne Rosa Tarlovsky de Roisinblit, vice-présidente des Grands-mères de la place de Mai jusqu’en 2021, date à laquelle, en raison de son âge avancé, elle est devenue présidente d’honneur de l’institution», a annoncé l’organisation sur son site. » (Le Figaro)

Pour ne pas oublier prisons, tortures, enlèvement d’enfants, et autres sévices de la junte de l’époque …

Bon dimanche, camarades littéraires !

closer dit: 7 septembre 2025 à 6h57

Je n’ai évidemment aucun mépris pour les millions de victimes qui ont eu la malchance de naître au mauvais endroit au mauvais moment, notamment en URSS sous le règne d’une crapule qui s’était partagé l’Europe orientale avec Hitler qq années auparavant…
Ton obsession anti occidentale, ta haine des anglo saxons, assez répandue en France il faut bien le reconnaître, a qq chose de pathologique.
Il faudrait peut-être consulter puck…

Janssen J-J dit: 7 septembre 2025 à 7h41

@ 20.28 – parce que je ne se lasse pas de voir comment l’on NOUS convie à participer à une fausse démocratie directe sur les réseaux sociaux. Peut importe d’où cela vient. Tout le monde peut y avoir accès, y compris les erdéliens frontistes par conviction, à qui certaines pétitions à signer auraient échappé. J’espère seulement induire une « publicité » négative, dans le cas présent. Pour faire réfléchir et s’interroger les gens de passage, ma méthode pédagogique a toujours consisté à les étonner en provoquant de la dissonance de perception, à les faire réagir comme vous, au premier degré, et pour d’autres, à d’autre niveaux. Mesurer ce que les réactions éventuellement suscitées disent des caractères de chacun.e. C’est toujours passionnant… A 96 % de mes tests, j’ai rarement été trompé dans mes attentes. M’intéressent évidemment les 4 % restants où la surprise ayant provoqué un réel désarçonnement provient toujours de 3 mêmes erdéliens et d’1 erdélienne.

@ 20.27 – Je ne sais pas calculer mon IMC (selon vos critères), mais n’irais jamais les divulgacher à un internaute qui croit devoir singer ses congénères en me tutoyant, alors que nous n’avons assurément pas les mêmes poules.

Leçon n° 1 – TOUJOURS TENIR SES DISTANCES EN JOUANT SUR LES RESEAUX SOCIAUX AVEC DES VIRTUELS,
http://www.culturepub.fr/videos/lajaunie-cachou-la-femme/

Janssen J-J dit: 7 septembre 2025 à 7h47

cf. un grand moment de cruauté jubilatoire : l’ouverture du testament de Firmin, chez le notaire.

Janssen J-J dit: 7 septembre 2025 à 8h12

*comm d’hab, ce soir à 20.11, on verra rien du tout de la lune rouge. Va pleuvoir.

Chantal dit: 7 septembre 2025 à 8h56

Et si, chaque intervenant faisait la même chose que les 3 J càd truffer ses interventions de pièges à loup, au motif d’être dans le recul et l’analyse, j’ai subit déjà un individu de cet acabit qui gagnait chaque fois sur son interlocuteur en lui faisant répéter jusqu’à 4 fois ses intentions quand il ouvrait la bouche, sa phrase favorite avec une politesse toute mâtinée de paysan ardennais : « Pourrait-tu me reformuler précisément ce que tu viens d’énoncer » ? Cet ingénieur technico-commercial ayant fait ses classes chez les grands patrons français et ayant surmonté sa honte de classe parmi les ingénieurs ayant fait les mines et autres grandes écoles, m’a confié quand je lui expliquait que dans une relation sentimentale ce genre de comportement était exaspérant et infériorisait son interlocutrice en la prenant pour une demeurée. Il m’a répondu qu’en effet cette méthode était destinée à clarifier au maximum un contrat, mais qu’en matière sentimentale cela lui avait valu bien des déboires. En effet cette sournoise façon de faire répéter sans cesse des sentiments trahi un manque total de confiance envers son partenaire et à lui en demander toujours plus sans lui-même devoir se mouiller, à un moment donné las de devoir se justifier on claque la porte.

Chantal dit: 7 septembre 2025 à 9h21

un bon moment de concentration en matière de racisme, d’antisémitisme de conscience de classe et de jugements hâtifs serait par exemple d’interroger sur qui étaient par exemple les Verdurins …

Tante Winnie ou tante vinaigrette, alias la princesse de Polignac …

La machine à coudre et la lyre

un bel exercice rempli de pièges à loup à creuser bonne journée.

puck dit: 7 septembre 2025 à 9h25

closer tu vois notre plus gros problème actuel c’est de se faire de suite traiter d’anti occidental ou de pro Poutine.

pour toi ces millions de chinois sont morts dans leur guerre contre le Japon parce qu’ils n’ont pas eu la chance de naitre au bon moment au bon endroit, un peu comme les juifs en Europe pendant le nazisme : ils n’étaient pas au bon moment au bon endroit.

en fait non : c’est parce qu’ils ont refusé de capituler et qu’ils se sont battus contre les japonais qu »‘ils sont morts.

le truc très simple à comprendre est que cette résistance chinoise au Japon a aspiré une grande partie de l’armée vers la Chine.

si ces chinois ne les avaient pas aspirées vers eux ces forces japonaises se seraient retrouver face à qui ? aux américains !

et quand on sait la difficulté que les américains ont eu face aux japonais il est évident que si la partie de l’armée japonaise qui était en Chine avait été dans la Pacifique les américains l’auraient eu dans le baigneur !

closer, tu vois quand je t’explique ça j’ai l’impression d’expliquer un truc évident à un collégien.

toi tu dis que je suis anti occidental mais toi tu refuses de voir cette réalité historique à cause de ton arrogance d’occidental !

c’est là où tu pense que je suis anti occidental : je hais cette arrogance qui n’est que le signe d’une persistance d’un esprit colonial !

soit ça soit quand t’as vu le film « le jour le plus long » tu t’es dis si John Wayne est là c’est que cette histoire est la vraie ?

en fait ta culture historique elle est juste hollywoodienne, du coup tout ce qui n’entrait pas dans cette propagande pour bourrins tu l’ignores ?

renato dit: 7 septembre 2025 à 9h34

Normalement, si une question est insensée, mal placée ou maladroite, la faire répéter trois fois à celui qui la pose, lui permet d’en comprendre la nature.

Bon, il est toujours possible que la personne qui pose la question ait des poncifs en tête et ne comprenne pas le sens de sa question.

puck dit: 7 septembre 2025 à 9h35

closer l’autre truc qui cloche chez toi c’est que tu as pardonné aux allemands les chambres à gaz, mais tu n’as toujours pas gobé le goulag.

Staline et le goulag fait effectivement parie de l’histoire de la Russie.

tout comme Mao et la révolution culturelle fait partie de l’Historie de la Chine.

ton problème est que ça ne fait pas partie de l’historie mais c’est encore ton obsession aujourd’hui, alors que la nazisme c’est du passé.

comme pour la France les guerres de religion, ou la colonisation ou la guillotine etc… ça fait partie de son Histoire, mais c’est du passé.

alors que pour les russes et les chinois leur passé c’est pour toi toujours du présent.

tu es bien sûr que c’est moi qui devrais consulter un psy ?

si les gens comme toi ne soignent pas leur haine alors ce qui se passe aujourd’hui se finira mal.

pour moi le gros danger actuel pour l’avenir de la planète c’est pas le réchauffement climatique c’est les gens comme toi.

Chantal dit: 7 septembre 2025 à 9h43

Non c’est une manière d’affiner sa propre perception et d’en tirer des conclusion pour lui-même. Et de retarder toute décision au maximum afin d’éviter tout problème. Dans un sens quand vous hésitez ou vous ne voulez pas de quelque chose, c’est une façon de refuser polie et impeccable, mais quand l’interlocuteur est quelqu’un de très timide, c’est une catastrophe, limite du harcèlement moral qui le rend encore plus hésitant et confus.

puck dit: 7 septembre 2025 à 9h48

closer une dernière chose : je lis par exemple la presse indienne (Times of India).

incroyable le fossé qui se creuse entre notre récit occidental et celui des autres pays du monde.

exemple au hasard : pour nous en 2014 les russes ont annexé la Crimée.

pour tous les autres pays du monde en 2014 il y a eu un coup d’état mené par les amércains à Kiev et si Poutine n’avait pas récupéré la Crimée à ce moment là c’est l’otan qui l’aurait récupérée ce qui aurait eu pour effet de bloquer et d’interdire l’accès de la flotte russe aux mers chaudes ce qui était un des objectifs des américains : exactement ce qu’il se passe en ce moment dans la Baltique où l’otan essaie de bloquer les russes, donc l’otan est encore en train de provoquer la Russie.

du coup la vision que nous avons nous des bons et des méchants ailleurs dans le monde les gens ne la partagent pas du tout.

à partir de là soit on s’enferme dans nos histoires en nous les racontant entre nous, soit on s’ouvre au monde et on discute avec les autres.

pour moi l’attitude « anti occidentale » est celle qui consiste à se renfermer sur lui-même, à se parler tout seul, ce qui a terme finira par l’isoler du monde.

quand on pense à tous ces écrivains qui nous ont bassinés ces dernières décennies avec leur ouverture à l’Autre et à l’Ailleurs c’en est presque risible.

à

closer dit: 7 septembre 2025 à 9h48

Je ne pardonne rien aux responsables des chambres à gaz pas plus qu’à ceux du goulag, puck.
Je n’ai aucune haine contre « les russes » en général pas plus que contre « les allemands » en général.
Je ne connais pas suffisamment la guerre du pacifique pour te répondre en détail. Ce qui est certain, c’est que les japonais avaient déployé leurs forces jusqu’en Birmanie, Singapour, Indonésie en plus de la Chine, à cause d’une hubris démentielle.
De toute façon, les américains l’auraient emporté plus tôt ou plus tard pour deux raisons: leur territoire était à l’abri des japonais alors que le Japon était bombardé et évidemment grâce à la bombe atomique.
D’ailleurs, si les USA avaient disposé de la bombe trois ou quatre ans avant, ils auraient pu vaincre et l’Allemagne et le Japon à eux seuls en atomisant une à une leurs villes jusqu’à ce que ces deux pays n’aient plus le choix qu’entre la capitulation ou la disparition pure et simple de leur existence.

Sybil Pythie dit: 7 septembre 2025 à 11h36

On peut rappeler que l’armée rouge sous les ordres de Joukov a remporté la bataille de Khalkhin Gol en 1939 contre des troupes japonaises qui employèrent l’arme bactériologique (typhoïde) développée dans la sinistre l’unité 731 installée au Mandchoukouo. Cette défaite, revanche de la guerre de 1904, entraina la signature du pacte de non-agression entre le Japon et l’URSS qui permit à la Russie de n’avoir pas à se préoccuper de ses frontières est-asiatiques et au Japon de ne pas craindre de se faire prendre à revers par les Soviets. L’URSS attendit le 8 août 1945 avant de déclarer la guerre au Japon, afin de bien marquer son territoire face aux Américains.
Dans sa volonté de « libérer » les peuples asiatiques du joug occidental, simple prétexte à l’établissement d’un imperium nippon, le Japon a une responsabilité directe dans la famine qui frappa le Bengale en 1943 (2-4 millions de morts), que les nationalistes indiens imputent uniquement et de de façon erronée à Churchill et à son gouvernement colonial.
Les crimes de guerre japonais (30 millions de morts) ne furent pas jugés avec la même sévérité que ceux des nazis, toutes les vies ne se valant apparemment pas.

MC dit: 7 septembre 2025 à 12h54

(H) » Errera. « .A une lettre près, nous étions à Carlos, lequel n’est pas,en soi, un gage de repeuplement…

honneur de blog dit: 7 septembre 2025 à 14h16

La dernière affaire du bistrot des Laurel et Hardy du journalisme de service public

– Un journaliste a le droit d’avoir des opinions politiques
– La presse d’opinion peut et doit exister SI ET SEULEMENT SI elle n’a QUE des financements privés
– Elle peut donc tout à fait soutenir un parti ou un camp politique (c’est ce que fait l’Humanité à ceci près qu’elle est financée par nos impôts et là ça coince déjà…)
– Par corolaire le service public de l’information financé par tous les contribuables quelle que soit leur orientation politique (et souvenez-vous que moins de la moitié des foyers paie l’IR… et ce ne sont pas nécessairement des gauchistes en majorité…) DOIT ETRE NEUTRE (et les journalistes y mettent leurs opinions dans leur poche)
Il en résulte que lorsque des journalistes qui émargent au service public, non seulement ne sont pas neutres, mais encore pactisent avec un parti politique pour mettre leur média au service dudit parti et de ses campagnes électorales, non seulement on enfreint toute déontologie, mais encore on détourne purement et simplement des moyens publics au service d’intérêts privés.
La situation décrite constitue une violation grave de plusieurs dispositions pénales, caractérisant un ensemble d’infractions particulièrement sérieuses au regard de l’atteinte portée aux principes démocratiques et à l’intégrité du service public.
Le détournement de fonds publics
L’infraction la plus évidente réside dans le détournement de fonds publics prévu à l’article 432-15 du Code pénal
Les journalistes et dirigeants du service public audiovisuel, en tant que personnes chargées d’une mission de service public, détournent les moyens de l’État de leur destination légitime. Le financement par l’impôt confère un caractère public aux ressources du média, et leur utilisation exclusive au service d’une campagne électorale constitue un détournement caractérisé de l’objet pour lequel ces fonds ont été alloués.
La jurisprudence a précisé que l’affectation d’agents publics à des tâches non conformes à leurs emplois implique le détournement de leur rémunération
. L’intention de s’approprier personnellement les fonds n’est pas requise ; le simple fait de les affecter à une fin illégitime suffit à caractériser l’infraction
. L’infraction est punie de dix ans d’emprisonnement et d’une amende pouvant atteindre un million d’euros.
La prise illégale d’intérêts
L’article 432-12 du Code pénal
sanctionne la prise illégale d’intérêts par une personne chargée d’une mission de service public. Le pacte avec les dirigeants politiques caractérise la prise d’un intérêt indirect de nature à compromettre l’impartialité et l’objectivité des journalistes dans leur mission de couverture électorale.
Cet intérêt n’est pas nécessairement financier ; il peut être moral ou politique. La jurisprudence considère que le délit se consomme par le seul abus de fonction
Les peines encourues sont de cinq ans d’emprisonnement et 500 000 euros d’amende, pouvant être portée au double du produit de l’infraction.
La corruption
Le pacte entre journalistes et dirigeants politiques peut également relever de la corruption. Si les journalistes reçoivent des avantages en échange de la mise à disposition exclusive de leur média, cela constitue une corruption passive. Inversement, les dirigeants politiques proposant ces avantages s’exposent à des poursuites pour corruption active.
La loi Sapin 2 du 9 décembre 2016 a renforcé le dispositif de lutte contre la corruption en créant l’Agence française anticorruption dont la mission inclut la détection de ces infractions
Les violations du Code électoral
L’article L113 du Code électoral sanctionne quiconque porte atteinte à la sincérité du scrutin par des actes frauduleux. La mise d’un média public au service exclusif d’une campagne constitue un tel acte frauduleux, déséquilibrant l’information des électeurs et favorisant indûment un candidat. Pour les fonctionnaires ou personnes chargées d’un service public, la peine est doublée.
L’atteinte à la neutralité du service public
La loi du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication impose aux sociétés de service public audiovisuel d’assurer « l’honnêteté, l’indépendance et le pluralisme de l’information » dans le respect du principe d’égalité de traitement
L’obligation de neutralité, rappelée à l’article L121-2 du Code général de la fonction publique, s’applique avec une acuité particulière au service public audiovisuel.
La violation de cette neutralité en période électorale (on n’y est pas encore mais c’était le but) constitue une atteinte grave aux principes démocratiques, faussant la compétition électorale et portant atteinte à l’égalité des candidats devant les médias.
Ces infractions peuvent se cumuler, reflétant la gravité particulière de cette situation qui porte atteinte simultanément à l’intégrité du service public, à la sincérité du processus électoral et à la confiance des citoyens dans leurs institutions démocratiques. »

Chantal dit: 7 septembre 2025 à 15h47

Si je n’ai pas arrêté de tout l’été à par une ou deux journées d’excursion dans le Limbourg entre deux inventaires.

La position des journalistes , parlons en déjà 210 morts où tout le monde le devine bien.

Et en Belgique pays démocratique réputé normalement pour arrondir ses angles et faire des compromis nous avons un président de parti qui la joue disruptif en permanence,

Bonne chance pour demain, je vais voir la lune rouge avec ma voisine ce soir sur un point dominant bucolique, je prépare mon casse croûte.

B dit: 7 septembre 2025 à 15h47

La dernière affaire du bistrot des Laurel et Hardy du journalisme de service public
Je crois que le ministre de la culture n’aura pas besoin d’eux si tant est que ce qui a été enregistré veuillez bien dire ce que l’on veut lui faire dire. La justice s’est emparé du dossier RD, et à mon avis s’il y a délit de corruption elle ne pourra pas se présenter. Elle a fait appel deux fois pour tenter de casser ou modifier la procédure, sans succès. Si réellement l’argent perçu par la ministre n’est pas justifié , on pourra se souvenir de ses attaques contre le maire de Paris actuel suite à ses frais de voyages à Tahiti. Ceci étant, je ne défends ni n’accuse ni l’une ni l’autre. Les murs pourvus d’oreilles devraient à l’avenir dissuader les réunions informelles dans un restaurant.

Jean Langoncet dit: 7 septembre 2025 à 16h49

Tant que tévé-faits-divers, radio-cancan et racontars-de-cul-de basse-fosse auront pignon sur les zéros (quelle invention !) sociaux : alléluia ! éructe la mère Bibi, triomphale …

Jean Langoncet dit: 7 septembre 2025 à 16h50

S’il veut mieux soutenir la pêche française, la semaine prochaine calimero optera pour du lieu noir

Jean Langoncet dit: 7 septembre 2025 à 16h52

… en attendant un remake des chinois à Paris (désormais représentés par des droitards patentés)

MC dit: 7 septembre 2025 à 17h04

Je ne suis pas sûr du tout que, dans la liste des cadavres exhumés du passé français par Puck, certains appartiennent au Passé et d’ autres pas. Par quelle mécanique infernale en est-on venu la?

Jean Langoncet dit: 7 septembre 2025 à 17h04

Quant aux thèses de l’immonde Gobineau, on peut en effet se demander dans quelles mesure elles se distinguent de celles des suprémacistes qui gouvernent aujourd’hui Israël

Clopine dit: 7 septembre 2025 à 17h20

Merci, Jean Lagoncet. Vraiment merci. Dans les expressions d’opinions politiques qui s’expriment à travers des blogs littéraires comme celui-ci, se dégage aujourd’hui comme une certaine odeur nauséabonde. Je mets ça à côté des tabassages de militants politiques de LFI. Et je rappelle qu’aujourd’hui, jamais ce qu’on appelle ‘l’extreme gauche  » ou  » la gauche radicale  » ne s’en prennent, elles, aux personnes physiques.

Clopine dit: 7 septembre 2025 à 17h25

Jean-Marie Le Pen, en son temps, se gargarisait d’avoir agressée physiquement une députée socialiste :  » ça lui avait donné un coup de jeune ». Il n’a pas arrêté de promouvoir le « courage physique ». Un exemple du même type chez LFI ? Manuel Bompard, plus jeune et plus musclé que Mélenchon, brutalisant quiconque ?

B dit: 7 septembre 2025 à 17h28

MC, à propos du front est seconde guerre mondiale, de la guerre entre Chine et Japon. L’un d’entre nous il y a quelques jours soutenaient que les américains avaient été prépondérants dans la libération du pays, un autre répondait que s’il n’y avait pas eu les russes pour affaiblir le front, la riposte des allemands à l’ouest les américains auraient vraisemblablement connus plus de difficultés à débarquer. Le premier aux yeux du second passait pour quantité négligeable l’effort de l’armée soviétique et le nombre de morts laissés dans les batailles( autant parce qu’ impréparés, mal équipés, mal dirigés ). Le premier hérissés par Staline, sa politique, ce qui a suivi lui garde une rancune et le second de lui faire remarquer qu’il semblait avoir digéré le Reich et ainsi pardonné aux contemporains leur Histoire alors que pour la Chine et la Russie se passé restait vivant, actif, malfaisant, comme si ce qui est entré dans l’histoire pour les uns ne l’était pas encore pour les autres .

Jean Langoncet dit: 7 septembre 2025 à 17h33

… les réservistes mobilisés par Bibi comptent sans doute représentants du « sexe faible » ; les chemins de la parité échouent là où l’humanité est abolie : chez celles et ceux qui sèment la barbarie

Jean Langoncet dit: 7 septembre 2025 à 17h37

@celles et ceux qui sèment la barbarie

avec un zèle particulier dont, par surcroît, ils se vantent

Clopine dit: 7 septembre 2025 à 18h06

Je suis admirative de l’érudition, respectueuse aussi. Mais je crois que les érudits devraient « penser » le 10 septembre.

Clopine dit: 7 septembre 2025 à 18h26

La distance est, pour ma part, de plus en plus grande. Je pense être toujours curieuse de la pensée d’autrui, mais cette curiosité est comme masquée par l’absence de retour, l’absence de bienveillance.

Clopine dit: 7 septembre 2025 à 18h45

Sinon, le ciel est très bizarre ce soir (je suis à Beaubec, pour les animaux). Je crois n’avoir jamais vu un ciel pareil dans le pays de Bray. Imaginez-vous un ciel jaune ? Oui, jaunâtre ? Bon, au moins j’ai fermé les poules. (cette dernière phrase renvoie au processus de domination. Tous les mecs semblent vouloir fermer leurs poules. Ahaha)

closer dit: 7 septembre 2025 à 19h15

LFI pas violents? (Radio France)

« Cette année, c’est la troisième fois que La France insoumise est prise en étau sur la gestion difficile de cas de violences conjugales ou sexuelles. Taha Bouhafs qui devait porter les couleurs de la Nupes aux législatives, a été accusé de violences sexuelles. L’Insoumis Éric Coquerel, président de la commission des finances de l’Assemblée, est accusé de harcèlement. L’un a été écarté, l’autre est toujours en poste.

Du côté des Verts, Julien Bayou fait l’objet d’une enquête pour violences psychologiques sur son ex-compagne. En juillet, il avait lui-même révélé que la commission de lutte contre les violences sexistes et sexuelles du parti avait été saisie contre lui. Le responsable écologiste reconnaissait alors « une rupture douloureuse et difficile ». Mardi soir, Sandrine Rousseau sur le plateau de C à vous a affirmé que la victime avait « fait une tentative de suicide quelques semaines » après sa rencontre avec elle. »

closer dit: 7 septembre 2025 à 19h18

de doux agneaux LFI!

« Un bilan publié par le comité de suivi contre les violences sexistes et sexuelles de La France insoumise, sur le site du mouvement, fait état de 17 signalements de violences faites aux femmes au sein du parti. Au moins dix militants ont été exclus. Un signalement, en cours de traitement, accuse un cadre du parti »

Libé

closer dit: 7 septembre 2025 à 19h23

« Louis Morice raconte son agression par des députés LFI, PS et PC à l’Assemblée nationale »

Maurice revient... dit: 7 septembre 2025 à 19h24

Un ciel jaune !!!
Fais gaffe Clopine, ça va pleuvoir des chinetoques sur Beaubec !
À propos de chinetoques faces-de-citron, je vous confie cette maxime du maître taoïste Ping Pong Pang pleine de profonde sagesse :
« Celui qui mange beaucoup de riz, il rit beaucoup ».

Maurice revient... dit: 7 septembre 2025 à 19h30

C’est quand même curieux que Clopine est curieuse de la pensée d’autrui, alors que ce goujat d’autrui n’est pas du tout curieux de la pensée de Clopine la curieuse.
T’inquiète Clopine, je vais lui dire deux mots à cet incurieux monsieur Autrui qui n’a aucune curiosité pour ta curieuse pensée !

D. dit: 7 septembre 2025 à 19h46

En effet c’est quand même bizarre que Clopine soit curieuse de la pensée d’autrui, alors que ce goujat d’autrui n’est pas du tout curieux de la pensée de Clopine la bizarre.

D. dit: 7 septembre 2025 à 19h48

Bon. Moi aussi j’ai fermé mes poules.
Et je les ai comptées. Je fais l’appel matin, midi et soir.

Maurice revient... dit: 7 septembre 2025 à 19h53

Ce vieil abruti de Jean Langoncet n’a jamais lu Gobineau !
C’est vrai que son fameux « Essai sur l’inégalité des races humaines » a beaucoup fait pour assombrir sa mémoire car certains thèmes en ont été repris et développés par, notamment, les nazis, pourtant Gobineau y dénonçait tout ce que le III° Reich systématisera : le nationalisme, la bureaucratie, la démagogie, la haine des supériorités morales…etc,.
Mais c’est toujours fastidieux de vouloir éclairer la lanterne vide et éteinte qui sert de cerveau à ce Langon-sait-rien !

Jean Langoncet dit: 7 septembre 2025 à 20h01

A propos du gonze précité (keupu n’a qu’à bien se tenir)

– Hasil Adkins buvait entre quatre et cinq litres de vodka par jour
– La quantité de café qu’il buvait par jour se chiffrait en gallons (1 gallon = 3,785 4 L)
– Il pouvait ne pas dormir pendant des semaines
– Il pouvait avaler des kilos de viande crue.
Une anecdote raconte que durant l’enregistrement de What the Hell Was I Thinking? il gardait de la viande dans le freezer du studio et faisait régulièrement des pauses pour en consommer

Jean Langoncet dit: 7 septembre 2025 à 20h13

(micron le caméléon absolutiste est attendu au tournant et je ferme là mes observations sur la politique intérieure du pays)

Jazzi dit: 7 septembre 2025 à 20h18

« Et je rappelle qu’aujourd’hui, jamais ce qu’on appelle ‘l’extreme gauche » ou » la gauche radicale » ne s’en prennent, elles, aux personnes physiques. »

N’est-elle pas drôle !
Quel humour 🤣

Jazzi dit: 7 septembre 2025 à 20h31

« Je fais l’appel matin, midi et soir. »

Et elles répondent : « présente », D. ?

Janssen J-J dit: 7 septembre 2025 à 20h56

REVENONS AUX MOUTONS (à nos)
@ quand vous hésitez ou vous ne voulez pas de quelque chose, c’est une façon de refuser polie et impeccable, mais quand l’interlocuteur est quelqu’un de très timide, c’est une catastrophe, limite du harcèlement moral qui le rend encore plus hésitant et confus.
=> c’et exactement ce que raconte Mauvignier du drame qui se joue entre le prof de piano Florentin et la surdouée Marie-Ernestine. Bien vu, Chantale !

D. dit: 7 septembre 2025 à 21h17

Closer, la Lune rousse est d’un augure particulier pour la France, dont le premier ministre tombe demain.
Il faut en effet comprendre « Lune russe », c’est à dure un futur premier ministre qui sera favorable à la Roussie.

Janssen J-J dit: 7 septembre 2025 à 21h23

Chantal et CT, on vous imagine devant vos cieux. Nos lunes sont différentes. Pmp, je n’ai rien vu de l’éclipse partielle à cause des nuages. Il y avait un pigment de jaune essayant bien de percer des petits cumulonimbus bien noirs et envahissants le champ. Une heure plus tard, comme hier, la pleine lune, alors débarrassée de ses nuages chafoins, apparaissait entière, resplendissante et déterminée à retoruver sa totale intégrité… Comme hier dans la nuit chaude…, je me suis promené à poil-cul nu sur ma propriété, à l’abri de tout regard indiscret. J’étais comme enivré par le silence de la nuit et par le parfum captieux de la verveine citronnée. Je m’étais endormi face aux profondeurs infinies de l’espace, apaisé, en rien effrayé, allongé sur un arpent de pelouse reverdoyée en deux jours.

à vue de pays dit: 7 septembre 2025 à 23h33

Si, à l’occasion, Pierre Assouline accorde aussi l’asile aux commentateurs SDF…
Je voulais signaler à Paul Edel que j’avais envoyé une série de commentaires sur son blogue, à propos du roman de Brigitte Reimann, Une fratrie, et qu’ils étaient depuis 5 jours « en attente de modération ».
Il est possible que ce soit en raison du décalage temporel, le fil n’étant plus actif puisque son article date de plusieurs mois. (Et cependant, la formule « les commentaires sont les bienvenus » s’affiche encore.)
J’ai par ailleurs cherché, en vain, dans le premier de mes commentaires des termes qui auraient pu déclencher automatiquement le blocage — et me rendre par conséquent, et tout aussi automatiquement, indésirable sur son blogue, y compris sur le fil actuel (d’où ma démarche ici).
Ces commentaires ne contenaient pas non plus de « liens », lesquels ont parfois le même effet.
Bien entendu, s’il ne s’agit pas d’un problème technique mais d’un filtrage délibéré, ce n’est pas grave (et ce message-ci ne doit surtout pas être considéré comme une façon sournoise d’insister.)

Chantal dit: 8 septembre 2025 à 6h03

Le spectacle lunaire d’un croissant jaune flottant sur un coussinet nuageux préfigurait le sacré de notre humanité qui s’efface devant le tintamarre des conflits mondiaux. J’ai aimé ce temps suspendu, ce pic nique silencieux avec ma voisine, l’instant écoulé on est rentrées et j’ai reçu une photo de lune de mon frère, nous intériorisons fort nos incertitudes, chacun réagit différemment selon ce qu’il vit.

Comme sortie de route j’ai prévu d’aller voir « l’accident de piano » de Quentin Dupieux, on l’annonce fort grinçant.

Je lis que sous d’autres cieux, la lune a eu des effets libérateurs et reverdoyants, d’autres se sont penchés sur la cause animale, à chacun.e de retrouver les valeurs les plus précieuses qui l’animent.

Jean Langoncet dit: 8 septembre 2025 à 6h43

Amusant. à vue de pays doit vraiment tenir à la publication de son commentaire sous un billet de Paul Edel datant de plusieurs mois ; attente insoutenable

rose dit: 8 septembre 2025 à 8h24

Bonjour,
Pour B.,à Montpellier, je crois ce vendredi 12 septembre, à vérifier.

Concert gratuit du choeur de l’opéra de Montpellier sur le toit du Corum (panorama) à 20h30.

MC dit: 8 septembre 2025 à 8h24

Quelqu’un un qui connaissait ses lettres rappelait la récupération tintamarresque ( allusion à l’ Histoire de France tintamarresque de Touchatout) à propos des œuvres de Gobineau… Quant à Napoléon IIi, on lui connaît cette réaction à propos des Châtiments: voyez Essieurs, Napoléon le Petit par Victor Hugo le grand, ce qui est tout sauf une réaction déplacée. A noter que le calembour Ego Hugo figure, lui, dans les ´Contemplations, sauf avis contraire de Chaloux, mais dans Hugo
Certainement,,,

à vue de pays dit: 8 septembre 2025 à 8h37

6 h 43 : pure mesquinerie (dans le doute, choisir l’hypothèse basse) ou ignorance, ambiante et/ou personnelle, quant à l’intérêt d’une discussion littéraire argumentée ?
Il y a plusieurs mois, au moment de la parution de l’article, je n’avais pas lu le roman et n’avais rien à en dire. Depuis, et grâce à cette recension (et deux autres articles), c’est chose faite et je m’aperçois de certains désaccords sur fond d’appréciation commune.

renato dit: 8 septembre 2025 à 9h10

Il faut être patient avec les Carnets, à vue de pays, ça m’est arrivé aussi, puis les choses se sont arrangées.

renato dit: 8 septembre 2025 à 9h12

La lune du frère de Chantal est certainement plus intéressante que vos endives au poulet.

D. dit: 8 septembre 2025 à 9h23

Vous toutes et tous : Éduquez vos jeunes correctement, c’est à dire à travailler inlassablement en France et pour la Gloire de la France. Ne leur donnez jamais en exemple l’Etranger et refusez-leur les voyages en dehors de notre pays. Alors vous commencerez seulement être vertueux.

D. dit: 8 septembre 2025 à 9h24

renato dit: 8 septembre 2025 à 9h12
La lune du frère de Chantal est certainement plus intéressante que vos endives au poulet.

Oh certainement pas.

renato dit: 8 septembre 2025 à 9h30

Parce que vous pensez être un exemple de quelque chose, alors que vous n’êtes qu’un exemple de rien.

D. dit: 8 septembre 2025 à 9h30

Je m’étais endormi face aux profondeurs infinies de l’espace, apaisé, en rien effrayé, allongé sur un arpent de pelouse reverdoyée en deux jours.

…trop mignon. Dommage que la réalité du spectacle ait effrayé plus d’un sélénite rivé à sa lunette. C’est les échos que j’ai eu.

Maurice revient... dit: 8 septembre 2025 à 10h36

Lune rousse et croissant jaune !!!
Arrête avec la boisson, Chantal.
Les femmes et l’alcool, ça fait deux, vingt dieux !!!

Paul Edel dit: 8 septembre 2025 à 10h43

@ « à vue de pays, » vous avez changé de pseudo? Sur mon blog Paul Edel, le 2/09,vous avez laissé plusieurs longues analyses sur la romancière Brigitte Reinman et son roman « La fratrie » qui parle si intelligemment de la RDA des années 60 et vous enchainez aussi sur le cinéaste allemand Christian Petzold dont j’avais dis brièvement -avec humour- quelques lignes. . Votre travail a été mis entièrement en ligne le 2 septembre dernier dans les commentaires, entre ceux de Court et ceux de Christiane.

D. dit: 8 septembre 2025 à 11h31

Cette nuit à Chaville j’étais assis à califourchon sur mon toit à croquer des endives face à la lune et je criais « Vive la grande Roussie » !

Maurice revient... dit: 8 septembre 2025 à 11h42

Sagesse d’autrefois :
« Moins tu as, plus tu es ».
Règle d’aujourd’hui :
« Moins les autres ont, plus tu as ».

Janssen J-J dit: 8 septembre 2025 à 11h49

@ effrayé plus d’un sélénite (9.30)

(nb / La sélénite est une variété de gypse fibreux. Son nom vient de la mythologie grecque : elle a été appelé ainsi en l’hommage à la déesse Séléné, associé à la lune blanche, symbole de perfection, de pureté et de bienveillance. Cette pierre est très fragile : elle est hydrosoluble, il ne faut donc pas la nettoyer à l’eau).

UNE sélénite ?… Telle une pierre changée en statue de selle sur un tas de fumier d’endives ?

Rosanette dit: 8 septembre 2025 à 12h03

J’ai lu les premières pages du Mauvignier que m’offre mon Kindle et j’ai été un peu étonnée de ce début de roman qui ressemble à un pastiche, plutôt réussi un « à la manière de »de Claude Simon avec même en guise d’acacia un cerisier .j
Je présume que la suite si je lis le livre me fera revenir sur cette impression, mais, si tout est de cette eau, je ne le vois pas goncourable

renato dit: 8 septembre 2025 à 13h09

Il voulait peut-être parler de « séléniennes », mais comme elles n’étaient pas motorisées…

à vue de pays dit: 8 septembre 2025 à 13h38

@Paul Edel
« Curiouser and curiouser », comme dirait Alice.
J’ai tenté de répondre chez vous (fil actuel), mais mon message est encore en attente de modération.
Comme le sont apparemment restés une partie de mes commentaires du 2 septembre (le 1er, de 9:45 « Paul Edel, vous écrivez… », le 2ème « Certes, Uli déclare… », le 4ème de 10:16, « D’accord pour le reste »). C’est du moins ce qui s’affiche sur mon ordinateur et cela correspond aussi au chiffre de 7 « réflexions » suscitées par l’article et non 10.
Ces commentaires-fantômes sont-ils lisibles pour vous ?
On ne doit plus comprendre grand chose aux deux commentaires qui semblent être passés (le 3ème, « Il est évidemment tentant… », et le dernier, 11:01, « Désolée pour cette avalanche de commentaires » !) — les seuls à apparaître sur mon écran sans être suivis de la mention fatidique. Dommage pour une éventuelle discussion : ce sont, à mes yeux, les moins intéressants, parce que plus loin du texte (appréciation toute relative, n’impliquant pas que je me fasse une haute idée de l’intérêt de mes propres interventions…)
Quoi qu’il en soit, merci de m’avoir répondu.

Chantal dit: 8 septembre 2025 à 14h42

L’accident de piano ou bienvenue en absurdie 2.0

Ames sensibles, amateurs de quarts d’heures au tea -room, surtout refuser toute invitation au Quentin Dupieux, ce film est exclusivement réservé aux fans de Sandrine Kiberlain, aux amateurs de corbeaux morts et à ceux qui n’aiment pas les yaourts.
Inutile de s’attarder sur la bande son, elle est désaccordée.
Si vous aimez l’humour vache chavillois par contre précipitez vous, vous pourriez vous améliorer en haine de soi et des autres.
Pas besoin non plus de se saper comme un milord, mais effet miroir un peu sévère pour ceux qui se négligent depuis longtemps encastrés dans la servitude du net.
Ce film est-il vraiment dérangeant ? Oui pour ceux qui n’aiment pas le ricanement, les mimiques de Magaloche à la mister Bean, le journalisme d’investigation et notre monde en scroll.
Y a t-il une forme de morale pénible à vivre pour le spectateur, oui et non, le fil est tellement gros qu’il équivaut au degré de finesse de la grande bouffe côté sexy en moins. Heureusement après cette séance de cinéma français qu’on ne peut même pas qualifier d’avant garde … je prends quelques jours pour me concentrer sur mes projets, châlet en moins.

Clopine dit: 8 septembre 2025 à 16h25

21h23. J’aurais aimé être près de vous, j’en suis si loin, et ceci n’est pas une déclaration, plutôt un aveu de solitude. Merci donc de la combler grâce à ces quelques mots que vous avez mis en ligne, en toute amitié et rien de plus.

Clopine dit: 8 septembre 2025 à 16h36

Il y a un formidable documentaire s sur les Terriens. C’est d’Ariane Doublet. Une grande, et ici, nous sommes de facto si petits qu’une seule insulte nous fait disparaitre. Le danger est de l’accepter. Moi, j’en aurais eu des tombereaux (je crois que le mot « tombereaux », avec sa connotation mortifère, est assez juste, ahaha) de merde sur ma parole.

Clopine dit: 8 septembre 2025 à 16h54

Je me souviens d’une nuit d’été, Clopin avait traîné un matelas dehors, sous les étoiles, devant chez lui. J’étais éblouie. J’étais une victime. C’est ça qui est dégueulasse.

Clopine dit: 8 septembre 2025 à 17h04

Tant d’années, tant d’années, à aimer, vraiment à aimer un homme. A y croire. Et devoir admettre qu’on était, à ses yeux, qu’un objet, ou qu’une ennemie . Un adversaire. Ah là là .

Clopine dit: 8 septembre 2025 à 17h26

J’essayais de donner ce que ma mère, mère à tout point remarquable, bien qu’obscure, a donné.

Clopine dit: 8 septembre 2025 à 17h36

Oh ma mère, ma mère. Quand tu es morte, ton médecin s’est fendu d’une lettre à la famille, de trois pages y, où son admiration s’exprimait
.

Jazzi dit: 8 septembre 2025 à 18h02

Abonnez-moi !

« L’Accident de piano » de Quentin Dupieux, avec Adèle Exarchopoulos, Jérôme Commandeur, Sandrine Kiberlain et Karim Leklou.

Avant-hier, après 3/4 de projection de « L’Accident de piano » au UGC les Halles, panne électrique générale dans tous le Forum.
Nous avons dû quitter précipitamment les lieux dans l’obscurité.
Grande frustration à un moment capital du film…
Résumé de l’histoire.
Après un accident grave survenu sur le tournage d’une de ses vidéos, Magalie (étonnante Adèle Exarchopoulos dans le rôle d’une insupportable tête à claque) s’isole à la montagne avec Patrick (Jérôme Commandeur, son assistant personnel, tout à la fois veule et vénal).
Jusqu’à l’arrivée d’une journaliste (Sandrine Kiberlain), qui la fait chanter pour obtenir la première interview de cette créatrice internationale de contenus de vidéos diffusés sur internet.
Une star immature, passablement débile, mystérieuse et secrète, qui ne se nourrit que de yaourts nature et a fait néanmoins une immense fortune.
Un scoop qui, malheureusement pour la journaliste, tourne court, au moment où l’on allait enfin en savoir plus sur ce fameux accident de piano.
C’est alors que survint la panne…
Hier, à l’issu de la projection des « Amants astronautes » de Marco Berger au MK2-Beaubourg (un mélo gai bavard et pas terrible), j’ai pu m’introduire dans la salle voisine où j’ai pu voir, pile poil, la fin de « L’Accident de piano ».
Il aurait été triste de manquer ce dernier quart du film, où tout se précipite, se révèle et s’explique.
C’est ainsi qu’il m’a été donné d’assister, dans un monde où une simple panne d’électricité peut tout paralyser, à l’oeuvre la plus nihiliste, au double sens du terme, de Quentin Dupieux.
Une impitoyable évocation de nos sociétés post capitalistiques, où, sur les cendres des communismes soviétiques ou chinois et du moindre sentiment religieux, ne subsiste plus que la perspective de gagner du fric à tout prix.
Ici, en guise d’admiration et d’amour, il n’est déjà plus proposé au public de followers décérébrés et déshumanisés que nous sommes, sur le modèle du « enrichissez-vous de Guizot, un unique « n’oubliez pas de vous abonner ! »
Effrayant et totalement désenchantant.
Nihiliste, vous dis-je.
https://www.lelezarddeparis.fr/abonnez-moi



Maurice revient... dit: 8 septembre 2025 à 19h06

La Fée Électricité n’a pas du tout apprécié le film de Dupieux !
D’oú la panne… Hihihihihihi !

Jazzi dit: 8 septembre 2025 à 19h17

D’un extrême l’autre en passant par le PS, ils veulent tous aller à Matignon.
Le problème c’est que personne ne dispose de majorité absolue…
Bonjour les prochaines coalitions du temps de la IVe République.
S’il n’y a qu’une chose à sauver dans tout ce merdier, c’est bien la stabilité de la Ve et sa… majorité absolue !

Jazzi dit: 8 septembre 2025 à 19h21

« Hihihihihihi ! »

Tu riras moins lorsque l’un des débiles qui gouvernent le monde appuyera sur le bouton nucléaire, Maurice !
Tous aux abris…

renato dit: 8 septembre 2025 à 20h26

Dilemme : les gens apprécient les caricatures pour elles-mêmes, ou parce que le marché politique ne propose rien d’autre ?

kilekon dit: 8 septembre 2025 à 22h36

D pense comme une endive, jaune au-dessus, blanc par en dessous et le bout bien profond dans le sable.

JC..... dit: 9 septembre 2025 à 3h56

PROPOS INNOCENTS

« La vie politique est une pièce de théâtre totalement décalée se jouant devant une salle vide» (Jérôme FOURQUET)

On peut rajouter sans craindre de se tromper ; une pièce « comique »

La vie littéraire est, elle, une pièce de théâtre tragique, totalement décalée, se jouant devant une salle de village pleine à craquer !

rose dit: 9 septembre 2025 à 5h53

Bah, ces propos ci-dessus…
Au réveil, je lis deux choses :
D’un côté, un type caustique, qui couche avec la femme avec qui a couché son père, l’engrosse, conchie les journalistes.
Si sur le fond, nous ne partageons pas les propos de Raphaël Enthoven sur les journalistes à Gaza, Livres dans la boucle est depuis toujours un festival ouvert au débat et aux idées.
Communiqué des libraires partenaires du festival.

rose dit: 9 septembre 2025 à 6h03

De l’autre côté, je lis cela, je vais retrouver le lien idoine, le bon,

Restaurant LA CASA à Médan : manger, boire et chanter https://share.google/gpIi8DszW9YtiFiqG

Samedi 14 septembre à 18h30, visite de la maison d’Émile Zola, puis repas, en hommage à Alexandrine, bonne cuisinière : 120 euros. 70 pour je repas, 50 en soutien à la maison en difficultés financières.
Émile Zola, l’homme de l’affaire Dreyfus, son J’accuse, en première page d’un journal.
Dans le vie, on fait des choix, puis on assume.

rose dit: 9 septembre 2025 à 6h07

Dans la vie, etc.

Sur Macron, je le regarde -de loin- s’accrocher au fauteuil présidentiel : quelle vaste mascarade.
Ai noté, il y a peu de jours, avant la destitution de son gouvernement, la remise à Richard Ferrand de la médaille de Chevalier de la Légion d’Honneur.
Je constate l’ignominie journalière sous ce gouvernement, et les poches qui se remplissent à gogo.

rose dit: 9 septembre 2025 à 6h10

Moi, j’ai fait le choix de soutenir ma mère dans seschoix, puis de l’accompagner dans sa vieillesse.

C’est beau Clopine ce que vous écrivez sur la lettre de trois pages concernant votre maman, écrite par le médecin de famille.

rose dit: 9 septembre 2025 à 8h55

C’est pour cela qu’il est aussi difficile de se comprendre entre peuplades différentes :
nous, à Marseille, on enfile un maillot de bain.
On pose les sandales sur le sable, la robe pliée par dessus, les clés de la voiture cachées dedans.
On entre dans l’eau, bleue, de la Méditerranée, et on nage.
Vincent Macaigne, je ne sais pas ce qu’il a.

D. dit: 9 septembre 2025 à 10h57

Une personne âgée ayant perdue une partie de ses capacités de jugement ne peut être laissée libre de ses propres choix.

rose dit: 9 septembre 2025 à 11h03

Merci D.
Cela a été le cas de mon père.
Il n’a pas été responsable de ses choix.
Un m’a dit récemment « il a fait confiance ». Oui, mais quand la personne en question n’est pas de confiance, tu te retrouves blousé.
Pire, c’est de l’abus de faiblesse.

Ma maman dit « il était sous sa coupe ».

rose dit: 9 septembre 2025 à 11h06

Et quand la personne, qui n’est pas de confiance, en cinq mois, te fait signer chaque semaine un courrier qui t’engage à démolir de manière conséquente ta famille, tu gâches en cinq mois 64 ans de construction de ta vie de couple et de famille.
Ce n’est pas la vieillesse qui est un naufrage, c’est l’entourage.

Maurice revient... dit: 9 septembre 2025 à 11h52

Ce n’est pas le vieil âge qui est un dommage, c’est l’entourage qui est rage et carnage.

Bil Evola dit: 9 septembre 2025 à 11h53

Sur Macron, je le regarde -de loin- s’accrocher au fauteuil présidentiel

La rose pensée grangeonne mais n’amasse pas mousse!
Poujado-grangeon, yesss!

Bil Evola dit: 9 septembre 2025 à 11h56

s’accrocher au fauteuil présidentiel

Il est élu démocratiquement, ça ne vous suffit pas la facho-stalinienne rosie?

Chaloux dit: 9 septembre 2025 à 12h35

Hier, avec le peu de temps que j’avais, relu la première des Nouvelles asiatiques, La danseuse de Shamakha, un superbe texte qui illustre en partie les préoccupations de Gobineau. Je crois que je vais relire les deux volumes de nouvelles (Pauvert, 1956). Avec quelques vérifications dans le texte de la Pléiade.

Tout cela très éloigné, des jugements de Boum.rde et de la Boldoclopine, sa Claudette.

D. dit: 9 septembre 2025 à 12h37

Il n’y a plus rien de démocratique depuis longtemps dans la gouvernance de la France et des Français.
Les lois et l’esprit des lois : plus aucun esprit. La loi utilisée brutalement comment moyen de manipulation et d’oppression du peuple.

D. dit: 9 septembre 2025 à 13h35

Cette nuit j’ai eu un songe terrible : plusieurs volcans se formaient à Pontarlier et ensevelissaient toute sa région sous une épaisse couche de scories volcaniques.

Jazzi dit: 9 septembre 2025 à 14h30

C’est mauvais pour le Goncourt

« Quelques heures après sa nomination dans la première liste du prix Goncourt, Laurent Mauvignier a été couronné, mercredi 3 septembre, du 13e prix littéraire Le Monde pour son roman La maison vide, paru aux éditions Minuit. »
https://www.livreshebdo.fr/…/laurent-mauvignier…

Chantal dit: 9 septembre 2025 à 14h43

je trouvais très amusante ta recension électrique de « l’accident de piano » hier, et j’ajoutais que certains y voyaient une critique acide des critiques façon Telerama qui font des interview bienveillantes de personnalités émergentes prétendument artistes sans grand intérêt si ce n’est un buzz quelconque sur les réseaux sociaux.

D. dit: 9 septembre 2025 à 15h23

Non ce n’est pas un mensonge, j’ai songé ça. Pontarlier à 200 km près à la ronde. Il y a une incertitude.

rose dit: 9 septembre 2025 à 17h59

19h59, RDL
In Le Monde.fr
19:54 Urgent
Emmanuel Macron nomme Sébastien Lecornu au poste de premier ministre
Quelques heures après que François Bayrou a remis sa démission à Emmanuel Macron, le président de la République a nommé Sébastien Lecornu au poste de premier ministre, vient d’annoncer l’Elysée.

Sébastien Lecornu était ministre des armées depuis 2022. Il s’agit du cinquième premier ministre depuis la réélection d’Emmanuel Macron.

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 18h19

@ll s’agit du cinquième premier ministre depuis la réélection d’Emmanuel Macron.

Un effet de l’immaturité démocratique, voire de l’hostilité au régime démocratique, des RNeux et des LFIstes, au premier chef (Vlad nous voilà ! est leur motto commun) ? … Mais pas que ; n’est-ce pas, micron le caméléon absolutiste ?

et alii dit: 9 septembre 2025 à 18h22

tose
Étymologie de « sous la coupe de »
→ voir coupe dans le sens de « séparation en deux parties du jeu de cartes qu’un joueur a mêlé. »
Être sous la coupe de quelqu’un signifie être le premier en carte, le premier après la coupe. Les joueurs ont souvent cette superstitieuse croyance qu’il y a des gens qui ont une coupe malheureuse, et ils ne veulent point être sous leur coupe.

D. dit: 9 septembre 2025 à 18h24

De qui se moque-t-on ?

Lecornu, macroniste depuis 10 ans, inventeur des débats-bidons avec lrs gilets jaune, tout ça foutu chiffoné au fond du dernier des tiroirs.

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 18h27

Tiens, calimero reprend des couleurs ; une vidéo de philipopo pour appuyer le propos ?

et alii dit: 9 septembre 2025 à 18h55

rose une vonseriller de la vue sociale deoiy s’y conna$tre en couple comme endartes
vous me fendez le coeur rose

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 19h11

@une vidéo de philipopo pour appuyer le propos ?

Un couplet du professeur Raoult, rose et et… etc. ?

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 19h28

On attend keupu pour venir nous expliquer que Ubu le milliardaire jet-seteur représente l’Amérique « profonde »

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 19h31

Ubu proposé par Bibi pour le Nobel de la paix, c’est de la trempe de « Le travail rend libre » apposé à l’entrée d’un camp … de quoi au juste ?

rose dit: 9 septembre 2025 à 19h31

Et alii

« Tu me fends le cœur »est une réplique fameuse dans la partie de cartes jouée par Raimu dans Marcel Pagnol.

Du coup, j’ai fait le geste, pour comprendre votre intervention. Un vat les cartes., Le joueur coupe le jeu de cartes en deux, et puis la partie du dessous va au-dessus et la carte de la coupe devient la première. La dernière carte de la partie du dessus devient la dernière : c’est ma mère.
Et mon ainée est la première carte de la coupe : mon père s’est retrouvé sous sa coupe.
C’est comme cela que le dit ma mère : « il était sous sa coupe ».
Les deux bernés.
Mais ma mère lucide et mon père bafoué.
Cela s’est manifesté qq.annees avant qu’elle ne « l’enlève »de chez lui, et le sépare de ma mère, qui lui a dit « tu m’as volé la mort de papa ».
Ce qui est le cas.
Moi aussi, j’ai été volée de la mort de mon papa. Et interdite de lui dire au-revoir. Alors qu’il nous quittait.
Elle porte lourd l’aînée.

Ce qui compte, Chantal, c’est de connaître la très grande vulnérabilité des personnes du grand-âge, savoir à qui ils attribuent leur confiance ; mon père, c’était à moi.
La personne ne doit pas être vénale, ni dominée par la haine, ni par la jalousie, ni par la cupidité : cela fait beaucoup.
L’aînée de mes parents, elle a commencé insidieusement son influence : elle a fait supprimer à mon papa sa mutuelle d’assurance sociale complémentaire. Puis, elle le faisait changer de voiture et choisissait telle voiture.
Ma mère n’avait plus aucun droit à la parole. C’est sa fille aînée qui régentait le couple de mes parents.

Avec le temps, je suis dans les papiers, et je retrouve beaucoup de choses de mon papa, je découvre combien il était faible sous ses apparences de tyran, et combien il fut vulnérable à compter de ses 92 ans. C’est là qu’il m’a dit « je n’ai plus envie ».
Il s’est fait prendre en mains par sa fille aînée qui s’est occupée de ses biens plus que de sa santé, puisqu’il est mort.

Je ne suis plus assommée.
Je reste encore stupéfaite par la vieillesse de les parents, sur comment ils se sont fait baiser par deux de leurs propres enfants.
Chantal,
Ne laissez pas faire ça : c’est très abimant. Dominez la situation : je me suis laissée dominée ; cela fait six ans et demi, j’émerge vraiment depuis cet été.
On devient orpheline en se faisant maltraiter.
Et alii,
J’ai toutes les cartes en mains.
Et lorsqu’on me les tire, le tirage est sidérant.
Je suis dans les papiers, les lettres, les courriers, les mots de mon papa : la tendresse pour lui me submerge.

rose dit: 9 septembre 2025 à 19h33

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 19h12
@Quel mépris du peuple français.

En effet.

Moi, j’aurais dit « Quelle ignorance ! »
Mais, n’est-ce pas la même chose, le mépris et l’ignorance ? »

rose dit: 9 septembre 2025 à 19h46

Je ne suis plus assommée.
Je reste encore stupéfaite par la vieillesse de mes parents : ce sont les miens.
Très époustouflée sur comment, après une vie glorieuse, épique et flamboyante, ils se font retrouvés annexés, dépossédés et ma mère jetée violemment dans un EHPAD
Dans les papiers que je range, là, et trie, calmement, il est écrit, lorsque l’aînee et le cadet éjectent ma mère dehors du logement de l’aînée en la traînant dehors par les aisselles, ma mère couchée, les pieds raclant le sol, il est écrit (c’est enregistré) que son aînée l’injurie « tu es folle, je vais te faire interner dans un hôpital psychiatrique ». Ma mère a été internée vingt mois au sous-sol de l’Ehpad, étage réservé aux patients atteints douloureusement par la maladie d’Alzheimer, alors que ma maman n’a jamais eu et n’a toujours pas la maladie d’Alzheimer.
Vingt mois au sous-sol. Plein nord. Portes, fenêtres, escalier de secours, ascenseur, bloqués.
Menacée d’être enfermée, puis enfermée.

rose dit: 9 septembre 2025 à 19h49

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 19h45
la différence réside dans l’intentionnalité.

C’est pareil.
Un et l’autre induisent que tu n’existes pas.

rose dit: 9 septembre 2025 à 19h51

Moi ça va.
Relativement.
Ma mère, elle, répète « mais qu’est ce que je fais là ? ».
En boucle.
Moi, c’est relatif, par rapport à un repère indéfinissable.

closer dit: 9 septembre 2025 à 19h53

Au moins Lecornu nous épargne un PM socialiste. C’est déjà çà, D.
Que pouvait-t-on attendre?

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 19h54

(En ce cas, merci de dépasser le cercle familial de vos interventions récurrentes pour nous faire part des échanges avec vos députés qui seraient restés lettre morte, infructueux ; afin que nous envisagions les recours que la loi autorise pour faire valoir votre parole au plan national)

Maurice revient... dit: 9 septembre 2025 à 19h57

Je ne connais pas Sébastien Lecornu, mais comme il vient d’être nommé Premier ministre par mon idole Emmanuel Macron, le Chef de notre Nation, je trouve cette nomination tout à fait judicieuse et bénéfique à notre France chérie.
Je t’aime Macron des sources, tu es beau, tu es fort, tu es le soleil de notre pays, et pour toujours, je serai, moi, Maurice le bon citoyen sans malice, ton adorateur et ton serviteur.
Je t’aiiiiiiiiiiiiime Macron !

Jean Langoncet dit: 9 septembre 2025 à 19h57

… emportée par son propre élan ; Bibi et ses suprémacistes ont perdu les pédales depuis un bail

Maurice revient... dit: 9 septembre 2025 à 20h00

J’aime aussi Brigitte, mais bon… comme elle est très occupée avec l’opération des pièces jaunes, je ne vais pas l’importuner.

B dit: 9 septembre 2025 à 20h04

Décidément entre jazzi qui a de l’urticaire dès qu’il entend  » gauche » et Closer qui cuve son vin de droite, la route reste étroite.

B dit: 9 septembre 2025 à 20h06

Rose, vous n’avez pas digéré ( à votre place sûrement aurais-je ressenti la même rancune) mais dans votre entourage n’y a t il personne avec qui en parler?

rose dit: 9 septembre 2025 à 20h34

La gauche bêtement humaniste par Marceline Loridan, inquiète en 2005.
Nous y sommes.
Le 09/09/2025 (9).
https://www.instagram.com/reel/DN4rYleiDKG/?igsh=MWdlbmtreDA2cXhjdw==

Et d’un coup, je comprends, grâce à sous la coupe, et tu me fends le cœur, et alii, que je suis devenue orpheline de père en me faisant maltraiter et dépouiller.
Je n’en ferai pas un 500 et unième roman de la rentrée littéraire.
Mais, cela correspond parfaitement à la brutalité du monde dans lequel on vit. Maltraités. Bousculés.

rose dit: 9 septembre 2025 à 20h38

B.
Je n’ai aucune rancune.
Aucune haine.
Je constate dans quelles conditions j’ai perdu mon père.
Et ma mère son mari.
Je ne souhaite cela à personne.
Pas de colère non plus.
Je constate aussi que la violence de la société imprègne les relations interpersonnelles et intrafamiliales.

Jazzi dit: 9 septembre 2025 à 21h15

« Décidément entre jazzi qui a de l’urticaire dès qu’il entend « gauche » »

Avouez que la gauche est inaudible, B.
Voyez le cas ici de Clopine ou rose, des catastrophes ambulantes !

et alii dit: 9 septembre 2025 à 21h31

Les cartes du tarot représentent à mes yeux un outil de réflexion unique en son genre. Qu’il s’agisse des arcanes majeurs ou des arcanes mineurs, chaque carte a une portée symbolique propre et délivre un message singulier. Je pense qu’avec l’aide du tarot de Marseille, nous pouvons réfléchir à l’avenir, se donner de nouveaux objectifs et avancer plus sereinement dans son projet de vie. C’est cette vision du tarot qui m’anime en tant que tarologue et que je souhaite partager lors de mes tirages.

rose dit: 9 septembre 2025 à 21h32

J’m’en bats les cartes.
On s’en bat les couilles.
On tape le carton.
On s’en rebat les oreilles…
Quelles perspectives !

rose dit: 9 septembre 2025 à 21h38

B.
Ne vous faites pas de souci pour moi.
Ai mangé une petite cuisse de poulet mayonnaise. Un petit morceau de roquefort
Un petit Skyr avec une pomme Lafayette et de la confiture d’abricot.
Mis une lessive à tourner.
Draps propres.
Ai passé deux jours a avoir des conversations passionnantes avec la jeunesse et ai rencontré deux jeunes qui sont follement amoureux de leur amie. Intelligence rare !
Vous ne me voyez pas, quand même, leur dire « mon papa gnagna » ?
Et bé non.
Mais je cherche un papier que je ne trouve pas, je sais où il est pourtant et du coup, je tombe sur des kilos d’autres papiers.

Chantal,
Ne laissez pas s’installer n’importe quoi. Moi, j’ai laissé faire, j’ai eu tort.

rose dit: 9 septembre 2025 à 21h46

Travailler dans la BRI, quand même !

Libération d’un cryptoentrepreneur par 150 militaires du GIGN : »Il a vu sa vie défiler pendant 36 heures », des témoins racontent l’impressionnante intervention
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Libération d’un cryptoentrepreneur par 150 militaires du GIGN : »Il a vu sa vie défiler pendant 36 heures », des témoins racontent l’impressionnante intervention
Les 150 militaires de la GIGN ont retrouvé la victime ligotée et blessée.Les 150 militaires de la GIGN ont retrouvé la victime ligotée et blessée. Wikimédia
Faits divers, Actu
Publié le 05/09/2025 à 20:07
Margaux Masson

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by ETX Majelan

00:00 / 02:01
C’est une nouvelle affaire d’enlèvement ultra-violente qui s’est produite dans le monde de la cryptomonnaie. Jeudi 4 septembre, les militaires du GIGN annonçaient l’arrestation de sept des dix suspects liés à l’enlèvement d’un jeune entrepreneur en cryptomonnaie à Valence (Drôme). L’homme avait été découvert ligoté avec de multiples entailles après avoir été séquestré et torturé pendant plusieurs jours.

À lire aussi : Il a été séquestré et torturé pendant plusieurs jours… 150 militaires du GIGN retrouvent un crypto-entrepreneur ligoté, sept des dix personnes arrêtées placées en garde à vue

« Une opération secrète »
« Ils sont déterminés, ils sont armés ». Il est six heures du matin dimanche 31 août, quand le Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN) donne l’assaut sur un bar de Valence (Drôme). Les 150 militaires « déterminés et armés », »ont tapé deux trois fois avec une voiture bélier et sont rentrés carrément complètement, la voiture à l’intérieur », raconte Ayhan Demirtas, le gérant de l’établissement « Le Monzour », auprès de TF1. « Ils m’ont présenté leurs excuses en me disant qu’il s’agissait d’une opération secrète ». Le bar est fouillé de fond en comble, tout comme les immeubles aux alentours. « Fort heureusement, ils n’ont pas le temps de faire usage de leurs armes », précise le général Ghislain Rety.

Une rançon de 300 000 euros
On apprendra plus tard que le GIGN recherchait activement un jeune Suisse, cryptoentrepreneur. Ses ravisseurs réclament 300 000 euros de rançon. « On nous confirme assez vite qu’il est en relation avec des personnes qui ont une surface financière assez importante », explique le patron de la section de recherches de la gendarmerie de Grenoble (Isère).

La victime est retrouvée ligotée et blessée. « Il est extrêmement choqué. Je pense qu’il a vu sa vie défiler pendant 36 heures et qu’il a subit des sévices », rapporte Serge Procedes. La victime a été frappée et présente plusieurs entailles sur le corps. Jeudi, sept des dix suspects sont placés en détention provisoire. Leurs complices sont activement recherché.
Manque deux cent mille. Tant pis. On fera un cassé à Nice à la Spaggiari. En creusant un tunnel de deux cents mètres sous le Paillon.

rose dit: 9 septembre 2025 à 21h48

subi
recherchés
Etc.
Un jeune petit suisse.
_-_-_-_
un casse.
Tant pis pour les italiques.
C’était pour la pensée intérieure.

rose dit: 9 septembre 2025 à 21h50

à avoir
L’orthographe qui fout le camp.

Ne connais personne dans mon entourage quelqu’un d’aussi conventionnel que Jazzi
La vie me sourit.

rose dit: 9 septembre 2025 à 23h31

Bonne nuit, y compris aux conventionnels,
https://www.instagram.com/reel/DOXF5lUiHhv/?igsh=cHE1NWljeGFrZmNv

La petite fille à la guitare électrique, c’est moi.
Adèle Haenel va mal.
Les bretons aussi qui depuis 35 ans, n’ont pas admis qu’il fallait cesser l’hyperproduction d’élevages de porcs, la baie de Douarnenez n’est qu’un exemple terrifiant des algues vertes, et ceux qui posent les têtes sanglantes à l’entrée des mosquées aussi.

rose dit: 10 septembre 2025 à 0h19

Un camp de quoi ?
D’extermination. Un génocide.
« Le travail rend libre »
De quoi au juste ?

JC..... dit: 10 septembre 2025 à 4h07

MUSIQUE

Un orchestre, ça a beaucoup travaillé avant de se produire devant le public. Compositeurs, musiciens, solistes, partitions, chef d’orchestre à l’écoute, interprétation de chacun pour le bonheur de tous et la joie des auditeurs.

Le monde politique, comparativement ?

Euh, non …Rien ! En musique, on travaille tous ensemble…

renato dit: 10 septembre 2025 à 5h38

Mais, cher JC, l’orchestre reste un ensemble exclusivement composé d’adultes. En revanche, la sphère politique est dominée par une bande d’enfants égocentriques, ignorants et mal élevés.

et alii dit: 10 septembre 2025 à 5h38

rose,bonjour:
travail:
la vie des idées:
« Parmi d’autres, l’ouvrage Que sait-on du travail ?, qui s’appuie sur de nombreux travaux de recherche en sciences sociales, documente et explique ces situations difficiles. Il y est montré que les modalités d’organisation du travail sont déterminantes pour expliquer les difficultés rencontrées. Les salariées et salariés sont de plus en plus souvent soumis à un management par les chiffres, hiérarchique, vertical et distant, qui laisse peu de place à l’autonomie et à l’horizontalité, et tient rarement compte de la réalité des conditions de production, ou des retours que les personnes concernées souhaiteraient pouvoir faire sur l’organisation du travail [7].
https://laviedesidees.fr/La-qualite-du-travail

JC..... dit: 10 septembre 2025 à 6h17

Bien vu cher Renato : on doit laisser les enfants de moins de 30 ans en dehors du monde des adultes tant il est ridicule de laisser le pouvoir à des narcissiques incompétents, ignorants et mal élevés par des parents soumis à la pression des Zéros Sociaux tout puissants !

rose dit: 10 septembre 2025 à 6h45

Et alii

Le travail vient de tripalium, trois pieux sur lesquels on serait empalés.
Déjà lieu de souffrance, aujourd’hui souvent de maltraitance.
Ai noté Aa.est parti parce que c’était un job d’été. Il a repris ses études.
A.est partie en démissionnant ; est-ce son 6histoire d’amour au boulot qui a mal tourné ?
Les infirmiers / ères sont désormais vacataires, et certains aides-soignants aussi. Ils ne savent rien et surtout, ils ne veulent rien savoir.
À la cuisine, il y a aussi des départs.
Le tout donne un tableau peu reluisant de l’équilibre au travail.
Bonne journée à vous, et alii

closer dit: 10 septembre 2025 à 7h14

Pas mal du tout ce Lecornu finalement! Je ne le connaissais pas et en faisant un petit tour sur wiki, je m’aperçois qu’il est solidement conservateur, qu’il a été tenté de se faire moine, qu’il est colonel de réserve dans la gendarmerie, solidement ancré dans les territoires y compris outre mer, maire, conseiller général, tempérament calme, capable de négocier, pas frimeur pour un sou…
Lui qu’on présente dans le poste comme un clone de Macron, il est en fait l’anti Macron absolu! Ce n’est pas incompatible avec une bonne entente entre les deux, cela s’est déjà vu…Aux Armées il n’a guère eu l’occasion de s’opposer à son chef puisqu’il obtenait des hausses de crédit en veux tu en voilà.

Les choses sérieuses vont commencer, mais il est sans doute le moins mal placé dans la fonction dans les conditions actuelles.

Jazzi dit: 10 septembre 2025 à 7h25

Conventionnel !
Est-ce que j’ai une gueule de conventionnel ?

Ce qui est certain, c’est que je ne me pose pas en sempiternelle victime : du capitalisme, du machisme, pour l’une, qui se dit féministe radicale et rapplique illico quand son homme claque des doigts pour lui ordonner de venir tenir sa maison en son absence, de sa soeur et de son frère, de l’administration judiciaire et sanitaire, pour l’autre.
Pleurnichant à longueur de commentaires depuis des années, sans se remettre jamais en question et plaidant éternellement que les autres sont tous coupables !

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