Dans les coulisses du procès de Nuremberg
Ce roman tout ce qu’il y a d’historique est l’une des plus fortes surprises de la rentrée littéraire. Peu d’écrivains auront été aussi loin et aussi solidement en lançant un défi aux historiens sur leur propre terrain- même si tel n’était pas le but d’Alfred de Montesquiou en écrivant Le Crépuscule des hommes (382 pages, 22 euros, Robert Laffont), un titre passe-partout qui ne rend pas justice à l’originalité du livre. Le fait est que son récit est impeccable de précisions dans les détails sans que jamais la vue d’ensemble et les enjeux politiques n’échappent au lecteur. Il est si bien documenté que certains jurys littéraires l’ont classé dans la catégorie « Document »
406 audiences publiques, 94 témoins à charge ou à décharge, 200 000 pages de preuves et dépositions pour juger 21 accusés : c’est bien du procès de Nuremberg, intenté du 20 novembre 1945 au 1er octobre 1946 par les puissances alliées contre 24 des principaux responsables du IIIème Reich, qu’il s’agit. Rarement un prétoire ressembla autant à une salle de théâtre. La pièce qui s’y donnait était une tragédie dont les acteurs jouaient la comédie. Quatre jugent qui votent, quatre adjoints qui conseillent. Deux Français au sein du tribunal : le juge Henri Donnedieu de Vabres et son suppléant Robert Falco. Un procureur remarqué du côté soviétique : Vychinski, l’homme des procès de Moscou. Et côté américain, Biddle et Jackson, deux magistrats qui se vouent une haine réciproque chacun contrariant les ambitions de l’autre. Les Américains apparaissent comme soucieux de justice, mais les Soviétiques comme avides de vengeance. Un seul homme est armé à l’intérieur du tribunal : le colonel Andrus, responsable de la prison qui conserve sur lui son Smith & Wesson chargé ; les GI n’ont qu’une matraque.
L’auteur est un grand reporter dont la rigueur dans la recherche n’a jamais été prise en défaut (prix Albert-Londres 2012). Il possède la maitrise d’un vieux briscard du roman alors que c’est son deuxième. Il a naturellement quêté, écumé les archives, hanté les bibliothèques, épluché les comptes-rendus d’audience dans la presse internationale de l’époque. Son parti pris narratif est original : le procès vu des coulisses par le regard d’une poignée d’envoyés spéciaux parmi les quelques 300 journalistes, photographes et cameramen présents : le photographe aux Armées Ray d’Addario, Didier Lazard héritier de la banque du même nom et correspondant militaire, Madeleine Jacob, la chroniqueuse judiciaire de Franc-Tireur, Walter Cronkite et William Shirer les deux pour CBS mais l’un pour la télévision et l’autre pour la radio et surtout Ernst Michel, jeune journaliste survivant d’Auschwitz avec qui Göring demande à s’entretenir, selon leurs souvenirs, leurs articles et leurs correspondances. Si d’autres l’ont oublié ou l’ignorent, cet incroyable personnage se fait fort de rappeler que Dachau, premier camp de concentration construit par le régime national-socialiste, n’est qu’à 160 kms.
Nuremberg, c’est là qu’il faut être. Un vrai rendez-vous littéraire international que cette ultime échéance du nazisme. Parmi les VIP dont les médias se sont attaché le service exceptionnel, on distingue (ou l’on croit parfois distinguer tant leur légende les précède comme leur présence hypothétique) Joseph Kessel, Erika Mann, Elsa Triolet, Louis Aragon, Alfred Döblin, John Dos Passos, Ilya Ehrenbourg, Ernst Hemingway et sa femme en plein divorce et même Marlène Dietrich. Ils ne feront que passer, le temps de quelques articles. Ces touristes logent avec les huiles judiciaires au Grand Hôtel, seul établissement de prestige encore debout dans cette ville en ruines sur les murs de laquelle un nouveau slogan tracé à la craie surgit un peu partout : « 88 », pour « HH » autrement « Heil Hitler ». Le petit personnel de la presse est cantonné tout près à Stein chez le comte von Faber-Castell, la vaste demeure princière de l’industriel ayant été réquisitionnée pour l’occasion et rebaptisée « le château des crayons » on devine pourquoi.
Difficile de trouver un angle journalistique original et vivant sous le poids des jérémiades de la défense et le rideau des procédures énoncées dans un flot logorrhéique en quatre langues. Commentaires, ragots, murmures, échos, scoops, rumeurs, fuites… Ca bruisse de mille détails jamais gratuits. Rien n’échappe à l’auteur, mais après tout ce sont ses confrères à quelques générations de distance (l’auteur a 47 ans). On s’y croirait. Quel exploit d’avoir pu rendre si passionnant le récit de ce procès interminable qui suintait un ennui profond, quelle prouesse d’avoir pu en faire un page turner. Les débats ne se réveillent que lorsque changent les stratégies des défenseurs. Il leur apparait que leur seule chance de s’en tirer est soit de passer du déni à la contrition, soit de se défausser de leurs responsabilités sur les autres. A ce jeu trouble, l’architecte et ministre de l’Armement Albert Speer sort vainqueur : séducteur et manœuvrier, il n’écope que de vingt ans de prison quand son adjoint Sauckel est pendu. On n’ignore rien de leurs mimiques, les lectures, leurs maladies réelles ou feintes. Rudolf Hess passe pour un halluciné qui perd et retrouve la mémoire selon son humeur avant de se replonger dans la lecture de romans policiers en anglais. Les avocats des dignitaires nazis déplient largement leur journal et demeurent immobiles afin que leurs clients, qui n’en ont pas le droit, puissent lire par-dessus leur épaule. Celui de Von Papen n’est autre que son propre fils. Göring, très amaigri, perd son pantalon d’autant que les accusés n’ont pas le droit de conserver leur ceinture. N’empêche qu’il les bat tous par l’abondant courrier qu’il reçoit tous les jours d’un peu partout dans le monde. Impossible de rater la scène des réactions des accusés au moment des sentences : « A vos ordres ! » ont lâché les militaires en claquant les talons. « Merci » a dit Ernst Kaltenbrunner, l’homme de la Gestapo et des camps. Quant à Albert Speer, s’il a difficilement retenu un sourire, il n’a pu s’empêcher de se frotter les mains.
Deux femmes ont une présence éclatante : la résistante et déportée Marie-Claude Vaillant-Couturier venue non en victime mais en témoin et qui traverse lentement le prétoire afin de clouer de son regard chaque accusé nul n’osant soutenir le sien. Et puis, l’écrivaine argentine Victoria Ocampo, seule latino-américaine à assister au procès, qui interpelle la salle en faisant lourdement remarquer que, hormis les sténographes et les interprètes, il n’y a pas de femmes. Ni parmi les accusés ni parmi les juges ni parmi les avocats. Comme si la guerre n’avait été qu’une affaire d’hommes :
« Si les résultats du procès de Nuremberg doivent peser sur le destin de l’Europe, ne serait-il pas juste que les femmes aient leur mot à dire ? La guerre leur a -t-elle été épargnée ? »
(« Les accusés (Göring et Hess à gauche) » photo D.R.; « 1er octobre 1946. Les journalistes s’empressent de transmettre le verdict du procès de Nuremberg » photo Keystone ; « Joseph Kessel, envoyé spécial de France-Soir au procès de Nuremberg en décembre 1945 » photo France-Soir)
923 Réponses pour Dans les coulisses du procès de Nuremberg
Jacques G. criant « Allah Akhbar ? » sur l’Ile d’Oléron… ? Un pas de plus dans l’islamisation de la France profonde.
En tout cas plusieurs blessés graves polytraumatisés se sont offerts un voyage en hélicoptère jusqu’au CHU de Poitiers. Quelle aubaine ! Leurs proches se contenteront de leur voiture et de leurs mouchoirs.
Même dans le cas de terroristes bien français, je suis pour la déchéance de nationalité (y compris pour les présidents détruisant leur pays). Si la France était un petit peu plus spartiate, elle ne s’en porterait pas plus mal, assurément. Il devrait être possible de fabriquer des apatrides, tout comme on naturalise à tour de bras. Si le type est fou, qu’on l’enferme et qu’il ne sorte plus jamais de son asile. Heureusement, on sent revenir ces derniers temps un délicat parfum de patriotisme et de violence légitime assumée et revendiquée.
crissian le chelou , huissier et délinquant fait une fixette sur les psi4, il est en soins intensifs à la maison avec bobonne , -comme un célèbre et scandaleux Goncourt au passage-, et cherche maintenant du renfort 3ème age sur ce blog, lui qui frequente exclusivement les vieilleries, flagorneur et lâche.
Cela ne changera rien à son affaire d’actes délicieux en ligne.
Actes délicieux 😋 y’a bon, pour ceux qui s’occupent de son dossier delictueux
Va dodo, vieux trave.
Quand je vois la constance avec laquelle la cloportine persécute ici Jazzi, dans ce style de petit maître-chanteur qui seul saurait lui convenir, on imagine le calvaire du pauvre cloportin qui devait sans doute s’envoyer ça H24. Pas étonnant qu’il ait fini par la mettre aux encombrants, comme un vieux bahut.
crissian le chelou, huissier et délinquant, est vite dépassé par ses lectures. Il a la sensiblerie et le niveau intellectuel d’une vieille dinde.
Et Clopine mordit, mordit, mordit…Fit-elle mieux que ledit Jazzi? On craint que non.
Pire? Sûrement !
Le vieux trave Assasseure lape, suce.
Pas pour moi, merci.
manque a crissian le chelou, huissier et délinquant , vieille dinde parée pour thanksgiving, son trave du 75.
Mais finalement, ce que Jazzi veut, depuis toujours, c’est « être comme les autres ». Et dans cette perspective de nier sa singularité, je crois que la médiocrité, ou au moins cette aspiration à cette « moyenne », ce truc balancé entre « gauche » et « droite » , lui a paru attractive. D’où le portrait de Macron au-dessus de son lit. C’est dire que les vivants ne s’y retrouvent pas.
Le vieux trave frustré et hystérique, c’est toi, mon pauvre assasseure. On le dit que ton rouge à lèvres est surgras et que tu es très décati. Poste une photo!
On me dit…
Il paraît qu’il existe des cas, rares et surnaturels, où le bahut qu’on a mis aux encombrants, revient toquer à votre porte!
Hurkhurkhurk !
Prudence, cloportin!
crissian le chelou, huissier et délinquant, confond ce blog avec le site coco qui a hébergé le boys club Pelicot.
Il va bientôt être détrompé.
Donne-toi de la joie, assasseure le vieux trave, et lâche un peu le monde avec tes obsessions à trois balles. Tu dois bien avoir un manche de Passoire ou de balai à c…
Hurkhurkhurk !
Vouloir se faire passer pour une femme pendant des années, alors qu’on n’est qu’un vieux sagouin…
Et j’ai la preuve de ce que j’avance.
Ah, l’assasseure…
Hurkhurkhurk !
crissian le chelou, huissier et délinquant, hardeur devant son écran, va tres bientôt reprendre pied dans la réalité.
Mais oui, mon gars, mais oui… On te voit d’ici, rêver les yeux ouverts, en combinaison…
Hurkhurkhurk !
Chez l’assasseure, il y a le même côté mythomane que chez notre vieux professeur d’illettres d’autrefois.
Guy Konopnicki
« Encore un mot sur le boycott des musiciens d’Israël que réclame la CGT… En 1916, Vincent d’Indy, Camille Saint-Saëns et quelques autres demandèrent l’interdiction de toute musique allemande et autrichienne contemporaine. Ravel leur fit une réponse cinglante, défendant les musiciens contemporains de l’Autriche impériale, tout particulièrement Arnold Schönberg, Bela Bartok et Zoltan Kodaly… Par la suite les nazis se sont chargés de boycotter la musique et la littérature allemandes… La France de Vichy leur emboita le pas, en interdisant aux juifs les professions artistiques, en spoliant les artistes de leurs droits d’auteurs, tout en permettant à des plagiaires de s’accaparer des partitions… Que l’interdiction des artistes soit devenue une exigence « de gauche », portée par la CGT, donne la mesure du naufrage idéologique. Ayant jadis dirigé une association culturelle liée à la CGT, avec une totale liberté quant au choix des artistes, je suis sidéré par cette évolution… Jamais Henri Krasucki, auquel je rendais compte de mon activité, de m’a demandé de refuser un artiste. Et surtout pas un musicien. Ce mélomane, fin connaisseur de musique et d’opéra, avait en politique bien des limites, mais ne mettait aucun critère national ou religieux à l’écoute d’un musicien. Grand Résistant, déporté politique à Auschwitz, Henri Krasucki n’a jamais cessé d’aimer la musique allemande, il connaissait Beethoven et Mozart sur le bout des doigts et ne ratait aucun spectacle de l’Opéra de Paris, où il payait ses places… Il n’aurait jamais signé la pétition de la CGT demandant l’interdiction de la Philharmonie d’Israël. »
Ce n’est certainement pas impunément que crissian le chelou, huissier et délinquant, va continuer ses actes répréhensibles sur ce blog.
Assasseure, VTFF.
Hurkhurkhurk !
Au début de la guerre en Ukraine, on a empêché la merveilleuse Anna Netrebko de chanter.
La gauche est ignare et imbécile. Impossible d’être de gauche aujourd’hui . Quant à la fausse lutte des socialistes en ce moment à l’assemblée, elle va les finir. Je m’en réjouis.
notre vieux professeur d’illettres d’autrefois.
–
Michel ?
« Encore un mot sur le boycott des musiciens d’Israël que réclame la CGT… »
La réalité, c’est que la musique allemande avait disparu des programmations musicales pendant la première guerre mondiale. Il ne faisait pas bon de prétendre aimer Wagner. (cf Proust « Les Berthas étaient la seule musique allemande qu’on entendait à Paris pendant la guerre. »)
Maurice Ravel était si animé d’un profond patriotisme que, malgré sa petite taille qui le rendait inapte au service militaire, il parvint à servir comme chauffeur dans le service médical du 13e régiment d’artillerie. Cependant, nonobstant cet engagement, il ne voyait pas d’un bon œil la Ligue pour la défense de la musique française, qui interdisait la publication d’œuvres de compositeurs allemands et autrichiens : « Le fait que M. Schoenberg soit autrichien ne me dérange pas. »
Mauvignier annonce la mort de Pennac.
Krasucki arrêté après un rendez-vous avec Katia la rouquine, proxénète française.
« Bientôt, la Rouquine achète de l’héroïne pour « les copains de la Mondaine » ou des livres, des photos et des films pornos pour « le groupe de la galanterie ». En 1950, elle donne un coup de main à la police des moeurs pour infiltrer les partouzes en plein air du bois de Boulogne entre des couples venus à bord de grosses cylindrées, « Salmson, Hotchkiss et 15 CV Citroën », et stopper cette « activité clandestine, interlope, fortement discutable sur le plan de la morale », ose-t-elle. »
Faux compte, fausse nouvelle.
Question de style.
Un journaliste littéraire peu connu pour faire de la critique d’opinion, mais vrai lecteur, pense comme moi.
«Laurent Mauvignier est un styliste parmi les plus grands écrivains contemporains»
«Avec « La maison vide », Laurent Mauvignier est à son apogée. C’est un discret qui ne se regarde pas écrire et un styliste parmi les plus grands écrivains contemporains», dépeint Mohammed Aïssaoui.
https://video.lefigaro.fr/figaro/medias/1-mohammed-aissaoui-20250912
« Cependant, nonobstant cet engagement, il ne voyait pas d’un bon oeil la Ligue pour la défense de la musique française, qui interdisait la publication d’oeuvres de compositeurs allemands et autrichiens […] »
Ça en dit surtout beaucoup sur Ravel mais moins sur la réalité des moeurs françaises pendant la guerre.
Les bruits de la nuit de Bartok:
Ravel est un grand esprit.
Asensio pense que Mauvignier c’est de la daube.
Quelqu’un a-t-il lu les français de la décadence d’André Lavacourt, que Gallimard refuse de rééditer?
En attendant les résultats de l’enquête et en tenant compte de ce que l’on sait de l’auteur des faits, visiblement bien connu sur l’île d’Oléron, crier qu’Allah est grand lorsque l’on a commis une tentative de meurtre et que l’on n’est pas djihadiste ni musulman peut, entre autres cas de figure, relever d’une bouffée délirante et/ou d’un acte à visée raciste visant à faire accroire que de toutes façons, « ce sont les musulmans qui tuent ».
Une des variantes considérablement atténuée de ce phénomène dans les commentaires sur internet des fascistoïdes et racistoïdes de tout poil est : « Je ne suis pas RN mais pour le coup je trouve que…etc. ». La dénégation est un grand classique de l’affirmation.
En tous cas, la vie humaine ne vaut pas cher, et lorsqu’on mesure le degré indécent d’agressivité dans ces colonnes, on n’est pas surpris que la haine (R-Haine) d’autrui atteigne des niveaux records dans la vraie vie avec les vraies gens. Comment le modérateur peut-il accepter cela ? Il doit se désintéresser de son Frankenstein, pour moi la seule explication qui vaille. « Il faut savoir terminer une grève » disait en 1936 le Thorez d’avant la fuite en URSS.
En lien avec URSS, j’apprends que E. Carrère est ravi d’avoir le Médicis car c’est le prix qu’obtint son écrivain favori, George Perec, pour La vie mode d’emploi. Les bras m’en tombent façon Milo car à moins de n’avoir pas saisi le sujet de son bouquin (sa fameuse maman, avec « ses verrues et tout le reste », comme dit l’angliche), il me semble me souvenir que le texte de Perec est un des plus extraordinaires « romans/olni » jamais écrit en français, résultat d’un joyeux labeur de plus de 10 années et bâti en fonction d’une une série de contraintes inspirées de l’Oulipo qui n’obèrent aucunement le plaisir de lecture de ce « livre-brocante, qu’on visite sans se presser, à la fois livre fourre-tout, livre promenade », comme l’écrivait fort à propos un certain critique…Le Kolkhoze mode d’emploi, serait-il donc aussi génial?
Enfin, question connaissance des réalités russes, je note que c’est toujours l’encéphalogramme plat du côté du putinolâtre de service qui non seulement ne sait rien des passeports russes des années 90 mais semble également ignorer que la « Rus’de Kiev » principauté slave orientale du 9e au 13e s, est à l’origine de la Russie, de l’Ukraine et de la Biélorussie contemporaines. Ergo, être pro-Ukrainien et anti-slave est juste une contradiction dans les termes. Mudak.
Le Kolkhoze mode d’emploi serait-il donc aussi génial?
Si oui, merci de préciser en quoi.
sauf que pour l’Europe être pro-Ukraine = pro-Azov.
exemple : l’UE a-t-elle émis une seule critique quand les ukrainiens votaient des lois où ils donnent des droits différents en fonction de l’ethnie ?équivalentes aux lois de Nuremberg.
pour ça que c’est limite drôle de lire cet article de passou parce que cela ne dit absolument rien de la réalité actuelle.
c’est sûr qu’être pro-ukrainien cela ne devrait pas signifier être anti-slave ou anti-russe !
sauf que le réel nous dit tout le contraire !
quand les ukrainiens avaient demandé à pouvoir faire des échanges à la fois avec l’UE et avec la Russie monsieur Baroso avait niet ! il vous faut choisir : c’est soit la Russie soit l’UE !
pourquoi faire ça ?
tu peux le l’expliquer bloomy à la cervelle de chiotte ?
c’est quoi ça pour toi ? être anti quoi espèce de débile profond !
voilà ça c’est le réel ! et tant que tu vivras dans tes rêves à ressasser ta haine des russes en nous reparlant de Staline tu continueras de refuser le réel d’aujourd’hui !
Lecornecu commence à évoquer l’idée de « mobiliser l’épargne des français ». On est bien parti pour une révolution…
Il faut virer ce type et obliger Macron à foutre le camp.
Même si les gauchistes ne l’aiment pas, Oriana Fallaci : « Il y a forcément quelque chose qui cloche chez ceux qui trouvent la guerre glorieuse ou excitante. Ce n’est ni glorieux, ni excitant, juste une terrible tragédie qui ne peut que susciter des larmes. »
Absolument.
Seulement lorsqu’il faut la faire, il la faut faire bien.
Je suis très étonné de ce que vous affirmez sur Ravel, renato.
S’il était très petit, comme Nicolas Sarkozy, comment pouvait-il atteindre les pédales des véhicules militaires ?
Ce soir je ne sais pas encore ce que je vais manger. Peut-être du boudin.
Peut-être pas.
D, Bernard Gavoty, qui a connu Ravel, raconte qu’il était incroyablement petit. Il me semble qu’il dit: « un enfant ».
D., « Exempté de service militaire en 1895 pour « faiblesse », Ravel cherche dès le début de la Grande Guerre à s’engager : il ne peut rester à l’arrière et laisser ses amis (Maurice Delage, Florent Schmitt…) risquer leur vie. Ses nombreuses tentatives pour intégrer l’armée, en particulier dans l’aviation, sont finalement couronnées de succès en mars 1915 ; il rejoint alors le service auxiliaire, où il sert dans le train des équipages militaires, qui gère le transport et la logistique du régiment. Ravel conduit un camion, sa célèbre « Adélaïde ». En septembre 1916, il attrape la dysenterie, qui le foudroie. Rapatrié sur Paris du 27 octobre 1916 au 24 janvier 1917, il est réformé le 1er juin 1917, d’abord temporairement, puis définitivement. »
https://www.rncm.ac.uk/fr/paris-manchester-1918/musiciens-au-front-musiciens-larriere/maurice-ravel/
Oui, personnellement je me souviens l’avoir lu, mais ce texte remontant au début du XXe ne m’avait guère emballé. Je crois me souvenir que ce roman touffu et complexe alignait une centaine de chapitres et une bonne soixantaine de personnages que l’on suivait de pages en pages avec ennui, aux motifs et aux registres de langue certes astucieusement entrecroisés mais ne faisaient le plus souvent qu’une unique apparition. Ce roman tombé dans l’oubli n’a pas été réédité depuis 1960. Mais on peut toujours le consulter à la bibliothèque nationale, comme je l’avais fait quand je me passionnais par les écrits de l’instituteur charentais Georges Hivernaud auquel on avait cru devoir imprudemment le comparer, à tort.
J’ai trouvé 161 cm et 45 Kg.
Périmètre thoracique : 76 cm.
Sarkozy mesure 4 cm de plus (165).
Evidemment Ravel est infiniment plus doué, intéressant et honnête que Sarkozy. C’était juste pour vous donner un point de repère connu (abstraction faite des talonettes).
L’insulte mollassonne mise dans le coin, l’argumentaire fleure bon le désert de Gobi, la Sibérie de la réflexion, l’Alaska de l’ignorance crasse.
Petit soldat en plomb vert aux semelles en carton bouilli, Putinovitch ne sait foutrement rien ni de la Russie d’hier ni de celle d’aujourd’hui et n’y connait personne, pas même un hypothétique agent traitant explosé à la Stolitchnaïa.
Puckoffsky l’imposteur est un nain posteur de cirque, citoyen esseulé de la satrapie pseudo-russe de Perpèteskaïa.
Idem pour les Etats-Unis, où le niais de Sologne ne sait pas que les néo-cons c’était il y a très longtemps (un de leurs chefs venant d’ailleurs de passer l’arme de destruction massive à gauche).
Ce logiciel 0.0. appartient à l’ère glaciaire, mais l’archéo-con continue à déverser sa piteuse lorgorrhée conspirationnsite, équivalent bloguesque dégradé du bon vieux waterborading d’antan.
A waste of space.
J’ai peur de comprendre. Est-ce que Gloomy-Bloomy ne serait pas missionné ici par BHZ pour nous faire accepter l’idée d’une guerre contre la Russie?
Puisqu’ il est question de Ravel et de la Première guerre mondiale , on peut rappeler que » le concerto pour la main gauche » a été écrit pour Paul Wittgenstein qui avait perdu un bras lors de la guerre ( je me suis un peu aidé de Wikipédia ,mais je connaissais le cadre général.)
@Jazzi . Merci pour votre citation de Guy KononickI. Il me semble en effet que ni Georges Séguy , ni Henri Krasicki , tous deux anciens déportés , n’auraient lancé un tel appel au boycott.
lire: « lorgorrhée conspirationniste ».
@Il me semble en effet que ni Georges Séguy , ni Henri Krasicki , tous deux anciens déportés , n’auraient lancé un tel appel au boycott.
Soutiendraient-ils la politique criminelle d’Israël conduite par Netanyahu et les sionistes religieux ?
« Le Kolkhoze mode d’emploi serait-il donc aussi génial?
Si oui, merci de préciser en quoi. »
https://larepubliquedeslivres.com/la-smala-dabd-el-carrere-mise-a-nu/
Il me semble légitime des protester contre la politique du gouvernement israélien, y compris par le boycott de ceux qui le représentent ; mais d’où parle « Guy KononickI » ?
de protester
Attention à l’orthographe des noms juifs:
– Guy Konopnicki (dit « Konop »).
– Henri Krazucki, dit Krazu, memebre des FTP-MOI de la région parisienne, déporté à Auschwitz et Buchewald, où il protégea Simcha/Simon Rajman, le jeune frère de Marcel Rajman, du groupe Manouchian, exécuté le 21 février 1944 au Mont Valerien dans un groupe de quatre comprenant Celestino Alfonso, Josef Boczor et Emeric Glasz.
Il me semble me souvenir que Wittgenstein avait considérablement adapté la partition du concerto pour la main gauche, ce qui avait mis Ravel hors de lui.
membre
Il me semble que Wittgenstein n’était pas familier avec le jazz, ce qui le mit en difficulté, d’où une interprétation qui a déplu à Ravel.
« mais d’où parle « Guy Konopnicki » ? »
Sur son blog et à propos de ça…
https://www.radiofrance.fr/francemusique/philharmonique-d-israel-a-paris-la-cgt-reclame-une-contextualisation-avant-le-concert-7947223
Le Goncourt à Mauvignier… C’est à la fois, à mon sens,un sujet futile, mais pourtant incrusté dans l’imbroglio du capitalisme (le chiffre des ventes, la massification de l’accès aux symboles de la culture bourgeoise, bref, faire du fric) et de ce qui reste de la créativité intellectuelle et individuelle. De toute manière, je suis totalement partagée sur le Goncourt, excusez-moi notre hôte. Romain Gary a démontré, avec sa supercherie, (bon tout le monde ici est au courant), que le petit monde littéraire parisien arbitre des modes n’avait qu’une idée en tête : ce qu’on appelait pas à l’époque le « buzz ». Gary avait été couronné, mais comme il ne faisait plus le buzz, du coup il coulait dans l’indifférence des critiques…. Il a voulu réagir : bon sang, j’ai une vie après le Goncourt ! Et il est devenu Ajar, et seconde consécration, tiens tu l’as vu le pénalty ? Bon alors mon mouvement premier est de dire bravo.Tout ça démontre le côté carnassier, de la chair fraîche, de la chair fraîche, genre Jacques Rançon, développé par le milieu littéraire dont il est question, et Gary rigole sous cape. Mais, mais, d’un autre côté, c’est peut-être à l’honneur des Goncourt, non d’avoir été abusés, mais d’avoir, par deux fois couronné le talent ? Z’étaient pas si nuls que ça les jurés, et « à l’aveugle » (ce qui est paradoxal car je doute que le braille ait pu jouer un rôle, c’est un autre sujet) ils ont démontré, pour une fois, leur capacité au discernement. Bref, Gary rigole, démonte la machine aux gloires factices. Mais d’honnêtes jurés Goncourt, opiniâtres malgré leurs déterminismes multiples (bourgeois parisiens, ah là la ça fait deux cent ans qu’on ne parle que d’eux), peuvent faire néanmoins montre d’une certaine lucidité dans leurs choix… Bref, les Goncourt, c’est pas simple. Je me demande si, dans le banquet qui suit l’attribution du prix, là, dans le restaurant, c’est menu identique pour tous ou la carte. Si c’est la carte, franchement, je plains le serveur, vu les egos autour de la table. Mais le truc qui me fait le plus flipper, au-delà de l’ironie bienveillante (oui, bienveillante, on peut être anticapitaliste et aimer les Goncourt), c’est que ce ne sera pas aux Goncourt, à cause des medias et des paillettes, que la Le Pen va s’attaquer, vous allez voir. Ce sera à la médiathèque de tel petit bled de province qui ose encore mettre un livre de Bourdieu sur ses étagères. Enfin, ce que j’en dis, ici…
« Entre ignominie et absurdité, une pétition, soutenues par certains syndicats, demande l’annulation du concert de l’Orchestre Philharmonique d’Israël, à la Philharmonie de Paris.
La musique n’adoucit pas les mœurs antisémites, le boycott des artistes juifs, Israéliens ou amis d’Israël, devient une exigence dans la patrie d’adoption d’Offenbach, celle de son maître Fromental Halévy… L’esprit de Vichy, est de retour, les néos-doriotistes traquent les musiciens juifs dans tous les domaines, de la variété à la musique orchestrale, en passant par le jazz, ils se mobilisent contre Amir à Roubaix et contre la Philharmonie d’Israël et son merveilleux chef, Lahav Shani. Je vous invite donc à répliquer en signant la pétition, sachant que le boycott est déjà un échec, le concert du 6 novembre dirigé par Lahav Shani est dores et déjà complet. »
https://www.facebook.com/p/Guy-Konopnicki-100051582949878/?locale=fr_FR
Merci de cette contextualisation a posteriori, Jazzi ; avez-vous un avis personnel sur la question ?
Euh, Jacques Rançon, c’est à cause de la « chair fraîche ». Tueur en série de très jeunes femmes, dotées de gros seins. Un programme masculiniste.
@Puck, Clopine et Jean Langoncet, [tatie mégot]
Nécessaire de regarder le lien en entier.
Me suis arrêtée à l’homme mou. Et plus tard, ai vu la totalité.
Lien fabuleux.
Non seulement l’homme devient – deviens qui tu es, cet homme fabuleux – beau, ce qui n’est pas négligeable, mais en plus il entre en communication totale avec le lion du zoo, qui se retrouve* dans sa jungle natale.
Bravo, bravo, bravo !
A propos de « cet homme fabuleux » : McClure & The Last Gathering of Beats
https://www.larrykeenan.com/
Gary rigole sous cape.
Lisez plutôt le dernier et magnifique essai de Pierre Bayard Je sommes plusieurs aux Les Éditions de Minuit.
Où il est analysé ( entre autre ) le je multiple de Romain Gary dans la multiplication même de ses pseudos.
Bien à vous.
Bonne soirée.
« Oléron : en garde à vue, l’assaillant a déclaré avoir récemment découvert l’islam et qu’Allah lui avait confié une mission ».
« Au moment de son interpellation, cet homme de 35 ans a crié « Allahou akbar ! »
Figaro, Le Monde
C’est la faute de l’extrême droite bien sûr.
Un maire islamiste, socialiste et antisémite a été élu dans la plus grande ville capitaliste et juive du monde.
@Un maire islamiste, socialiste et antisémite a été élu dans la plus grande ville capitaliste et juive du monde.
De quoi s’interroger sur ses propres représentations …
Renato, c’est le concerto en sol qui reprend des techniques du jazz, pas le concerto pour la main gauche.
« avez-vous un avis personnel sur la question ? »
Je trouve absurde de boycotter les artistes israéliens, JL, mais je me suis demandé aussi pourquoi avoir alors interdit aux sportifs russes de participer aux JO de Paris…
Pourmapar, quand vous dites « lisez plutôt », en fait vous dites « fermez-là et lisez plutôt », c’est bien ça ? Rassurez-moi, vous avez quelque chose d’autre à dire sur le sujet ? Ou bien juste, comme d’hab’ ici, une revendication de ce si délicieux, si confortable, « entre soi » ?
Quand des personnes représentent officiellement leur pays à l’étranger lors d’un évènement sportif ou culturel, ils en sont les ambassadeurs
à signaler que Ravel lui avait aussi composé sa rapsodie espagnole pour piano à 3 mains.
@Il me semble en effet que ni Georges Séguy , ni Henri Krasicki , tous deux anciens déportés , n’auraient lancé un tel appel au boycott.
Soutiendraient-ils la politique criminelle d’Israël conduite par Netanyahu et les sionistes religieux ?
Avant de convoquer lesdits pour les rallier à sa cause, « Konop » devrait commencer par se poser cette question
Chaloux, j’avais étudié ce concerto et me souvenais d’effets jazz dans l’Allegro. Cependant, la mémoire d’un vieil homme étant ce qu’elle est, j’ai vérifié et j’ai trouvé ceci :
à noter aussi que Paul Wittgenstein a perdu son bras lors d’une bataille contre l’armée russe.
en fait il n’était pas blessé au bras, mais les russes l’avait fait prisonnier, et quand les russes dont chacun connait la cruauté ont appris qu’il était pianiste ils l’ont amputé du bras gauche.
en fait ils ont ont voulu l’amputer du bras gauche, mais comme les russes n’arrivent pas à distinguer la droite de la gauche ils se sont plantés de bras.
à noter que Ludwig Wittgenstein avaient 4 frères dont Paul et 3 autres qui se sont suicidés, ou bien Paul en fait partie ? j’en sais rien, mais 3 frères d’une même famille qui se suicident et le 4è qui écrit le tractatus logico philosophico philosophicus c’est du lourd.
on se dit heureusement que Mauvignier n’est pas né dans cette famille.
Paul Wittgenstein
c’est tres trécisément à lui que je pensais, mais anec THOMAS BERNHARD pour intercesseur
à noter que le Paul Wittgenstein du bouquin de Thomas Bernhardt, qui était toqué genre parano schizophrène comme clopine n’est pas un des frères à Ludwig mais son cousin !
et là on se dit que vraiment on a du bol que Mauvignier ne soit pas né dans cette famille parce que là c’est du très lourd…
précisément
Mea culpa Renato, mais c’est beaucoup plus flagrant dans le concerto en sol, il me semble.
là où l’on voit qu’ils étaient pas nets dans cette famille c’est que Ludwig qui avait hérité de ses parents d’une fortune astronomique de ses parents avait tout refilé à ses 3 frères qui se sont suicidés, c’est ce qu’on appelle faire un très mauvais placement.
et là on se dit que c’est vraiment un sacré bol que Mauvignier ne soit pas né dans cette famille parce que c’est de l’hyper lourd.
Paul, « un vrai ami qui comprenait jusqu’aux escapades les plus folles de mon esprit », mais qu’il n’a pas eu la force d’accompagner dans les derniers instants de sa vie, « de peur d’être confronté directement avec la mort ». Avec ce texte, Bernhard rend hommage à son ami Paul, il lui écrit ce discours qu’il n’a pas prononcé sur sa tombe le jour de son enterrement. Lorsque j’ai lu la première fois ce roman, j’ai été étonné de l’immense tendresse et de l’émotion qui s’en dégagent. Je connaissais surtout le théâtre de Thomas Bernhard, sa férocité descriptive de la société autrichienne, la violence obsessionnelle de sa langue. Le neveu de Wittgenstein m’a révélé sa fragilité et sa profonde humanité que je percevais déjà, mais que je n’avais jamais aussi directement ressenties. Si le récit de l’amitié entre les deux hommes est une réflexion sur la solitude, la folie et la mort, il retrace aussi l’histoire de leur complicité par le biais d’anecdotes d’une drôlerie extraordinaire. Ce qui pourrait nous paraître violent et
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/fictions-theatre-et-cie/cycle-thomas-bernhard-le-neveu-de-wittgenstein-5578031
le truc agaçant chez TB c’est son côté obsessionnel.
quand je lis une phrase comme :
« Idem pour les Etats-Unis, où le niais de Sologne ne sait pas que les néo-cons c’était il y a très longtemps »
de suite je pense à Wittgenstein.
surtout le « très longtemps ».
les néoconservateurs américains ont existé autrefois il y a très longtemps.
ce « très longtemps » on se dit ils ont peut-être disparu à l’ère glaciaire ? du coup ils n’ont pas supporté le réchauffement climatique et hop ! ils se sont éteints.
et là je veux dire apprendre leur disparition c’est une sacrée bonne nouvelle.
je me dis peut-être que Victoria Nuland, Tony Blinken, Hillary Clinton, Blumenthal, Liz Cheney, Marco Rubio, Linsey Graham et toute la bande ils sont tous morts !
et ça sérieux c’est une super nouvelle !
c’est du lourd
avrc lr nombtre de T.S. dr THOMAS BERNHARD
-que je n »ai pas comptées,le compte sera bon!
l’autre option est de se dire que celui qui dit
« Idem pour les Etats-Unis, où le niais de Sologne ne sait pas que les néo-cons c’était il y a très longtemps »
ne sait pas de quoi il parle.
mais comme c’est un type qui a une grande culture et une profondeur d’analyse sans pareil quand il parle des livres.
et là je pense à Paul Edel : je me dis on ne peut pas avoir une grande culture livresque et avoir le qi d’une huitre.
du coup je sais plus trop quoi pensé.
et là je pense à Wittgenstein qui disait (paraphrasant Saint Augustin) « quand on ne pose pas une question sur un truc je sais ce que c’est mais dès qu’on me pose une question sur ce truc hop ! je sais plus ce que c’est ».
du coup je sais plus trop quoi penseR
c’est fou de se dire qu’un type comme L. Wittgenstein a été plus loin que Nietzsche dans la démolition de la philosophie.
Nietzsche disait c’est des falsificateurs, ils nous cachent l’essentiel et la vérité pour domestiquer les esprits
genre conspirationniste : le grand complot de la philosophie.
et là Wittgenstein se pointe il dément Nietzsche du genre les philosophes ne nous ont pas du tout menti c’est juste qu’ils n’ont pas compris que ce qu’ils disent ne tient pas debout.
en fait on n’importe quelle affirmation de n’importe quel philosophe, si on le passe à la moulinette wittgensteinienne on se rend que cette affirmation soit ne dit rien, soit ne veut rien dire.
J’ai quitté les carottes.
J’en suis aux feuilles d’acanthe. Ce feuillage merveilleux, vernissé, avec des hampes florales extraordinaires.
La particularité lorsque le fruit est mûr, il y en a de nombreuses dans le parc zoologique du jardin des plantes à Paris, lorsqu’il est bien sec, plop, il s’éjecte de la tige et va se résumer ailleurs.
Et bien, lundi, ô joie, quatre vingt mètres d’acanthes extraordinaires, de tailles mirifiques.
J’avais trois points à aborder, et un quatrième, et le troisième était les acanthes.
Cela est à peine pensable. À peine venais-je de défendre cette plantation extraordinaire en précisant de surtout la protéger, que nous sommes partis, quatre nous étions, la regarder. Je leur ai montré rasée, repoussant, lundi fantastique, et lorsque nous sommes arrivés en fin d’aprem l’admirer, pas croyable rasée de nouveau.
À ras le sol.
Mais qui est à ce point aussi parfaitement con pour ne rien connaître à l’acanthe ?
Qui ?
C’était hier la coupe. Un de nous quatre la vue.
Puck
S’il n’y avait que la philosophie.
Le fruit va se re-semer ailleurs. Mais ça peut être loin. Un mètre. Deux mètres.
Et tchoc pousse une petite acanthe qui deviendra grande.
l’a vu.
Celui qui coupait.
Quand des personnes représentent officiellement leur pays à l’étranger lors d’un évènement sportif ou culturel, ils en sont les ambassadeurs > Quand des personnes représentent officiellement leur pays à l’étranger lors d’un évènement sportif ou culturel, elles en sont les ambassadeurs
Adaptation : Bernard Levy Avec : Serge Merlin Réalisation : Jacques Taroni À la demande de la succession Thomas Bernhard : « les oeuvres autobiographiques de Thomas Bernhard sont de nature fictionnelle et ne prétendent pas rendre compte de faits.
Cette annotation dans le lien de et alii quand à sa conversation avec puck : la succession rend compte que ces autobiographies sont fictionnelles et ne rendent pas compte des faits.
Et bien, ce ne sont donc pas des autobiographies.
De ce point de vue, il est loisible de les critiquer, y compris par le boycott
L’Académie Goncourt marque son soutien à Boualem Sansal. Pascal Bruckner fait part de ses doutes quant à l’attitude de la France et son engagement réel vis-à-vis de cette cause.
Pendant ce temps, l’Académie française n’est toujours pas foutue d’élire Boualem Sansal.
Ce pays me fait honte. Dégoût.
@Je trouve absurde de boycotter les artistes israéliens, JL, mais je me suis demandé aussi pourquoi avoir alors interdit aux sportifs russes de participer aux JO de Paris…
Alors que le gouvernement Netanyahu a commis et continue de commettre des crimes de guerre d’une toute autre ampleur sur les populations civiles de Gaza et de Cisjordanie occupée, que son vis à vis Poutine en Ukraine ; du deux poids deux mesures jusqu’en matière de crimes de guerre et de possibles crimes contre l’humanité
Puck
une fortune astronomique de ses parents avait tout refilé à ses 3 frères qui se sont suicidés, c’est ce qu’on appelle faire un très mauvais placement.
Astronomique : tous les matins, il regardait ses comptes sur son ordinateur ; tous les matins.
Ma mère m’a dit aujourd’hui, il ne s’agissait pas de moi, et je ne sais pas de qui, que pour se suicider, il fallait vivre une grande souffrance.
Ce soir, c’est la première fois, elle m’a remerciée de m’occuper d’elle.
Il s’est passé un truc phénoménal aujourd’hui.
On parlait de qq.chose. Elle m’a dit je m’en souviens très bien.
Je lui ai demandé mais pourquoi est ce que, ce dont on n’a parlé hier tu ne t’en souviens pas, quelque chose d’énorme, et ça aujourd’hui, tu t’en souviens ?
Elle m’a répondu «parce que cela m’a beaucoup marqué. »
De quoi s’agissait-il aujourd’hui ? J’ai cherché deux heures, impossible de m’en souvenir.
D’hier, je le sais très bien.
La mémoire et ses mystères.
Aujourd’hui en ouverture de scrabble, j’ai écrit PUNISSENT.
Le E ma mère me l’a donné.
Le T je l’ai pris dans le saquet.
C’était à ma mère de jouer à l’entame.
Aux dominos, elle déteste perdre.
On a fini Ouh Ouh fit le loup. Mille pièces. Il en manque cinq. Le cul du loup. Trois marrons. Une beige et violette.
Mais on l’a fini.
On a mis un mois.
Et le Darfour ?
« Aujourd’hui en ouverture de scrabble, j’ai écrit PUNISSENT. »
Ce n’est pas bon, rose, pas de verbe conjugués…
@Et le Darfour ?
Demandez donc à Bardella, il en connait un rayon
Quant à « Konop » …
pas de verbe conjugués…
mais tioutes les formes d »‘un verve sont « conjuguées » par définition
Rions un peu
« Sciences Po n’est plus Sciences Po » dit Philippe « Le Pen light » de Villers ; « La CGT n’est plus la CGT » dit ledit Konop le spiritueux
« Entre ignominie et absurdité, une pétition, soutenues par certains syndicats, demande l’annulation du concert de l’Orchestre Philharmonique d’Israël, à la Philharmonie de Paris.
La musique n’adoucit pas les mœurs antisémites, le boycott des artistes juifs, Israéliens ou amis d’Israël, devient une exigence dans la patrie d’adoption d’Offenbach, celle de son maître Fromental Halévy… L’esprit de Vichy, est de retour, les néos-doriotistes traquent les musiciens juifs dans tous les domaines, de la variété à la musique orchestrale, en passant par le jazz, ils se mobilisent contre Amir à Roubaix et contre la Philharmonie d’Israël et son merveilleux chef, Lahav Shani. Je vous invite donc à répliquer en signant la pétition, sachant que le boycott est déjà un échec, le concert du 6 novembre dirigé par Lahav Shani est dores et déjà complet. »
https://www.facebook.com/p/Guy-Konopnicki-100051582949878/?locale=fr_FR
verbe zut
non d’avoir été abusés
Romain, lui, franchement désabusé.
Je trouve crétin d’idéologiser le résultat des élections municipales à New York. Surtout quand on voit Bernie Sanders et Zohran Mamdani célébrer la victoire côte à côte.
Beaucoup plus intéressant sur l’état de la démocratie en Amérique est l’analyse de la participation. NYC compte 4,95 millions de votants sur une population de plus de 8 millions.
Seuls 1,75 millions se sont déplacés pour cette élection qui est la deuxième plus importante en termes de participation depuis 1969, avec 2,46 millions de votants. C’est eux que la dernière qui plafonnier à 1,15 millions. Ceux qui aiment les % peuvent s’amuser.
Le fait marquant est que la démocratie en Amérique ne fonctionne pas, en tous cas encoreoins qu’ailleurs. Il suffit de comparer avec l’Europe ou même L’inde.
Sanders en Allemagne dans les années 30-40 aurait fini en savon ou abat-jour. Est-il suffisamment con pour se réjouir de la victoire de quelqun qui veut sa perte?
A force de regarder le monde avec sa petite lunette de franchouille autosatisfait, la droite la plus bête du monde et son alliée de plus en plus proche l’extrême droite sont incapables de comprendre ce qui fait sens dans le monde. La démocratie américaine est malade , gravement , et ils réduisent ça à de l’islamisme (à prouver) et de l’antisémitisme (idem).
Le niveau de ce type de commentaire est celui des torchons des ligues dans les années 30. Inepte et purement idéologique.
Ce n’est pas bon, rose, pas de verbe conjugués…
Juste après
PLAIRE
Mais ensuite
RAMAS
Pour pouvoir écrire
PLASMA
Suite à
HOAX
Nous conjuguons les verbes allègrement.
Et nous avons fini de tricher en sortant du cadre.
J’ai trouvé que, un scrabble de neuf lettres, c’était vraiment très bien.
Néanmoins, très étonnée que nous nous inclinâmes dans le jeu de la même manière que précédemment, en dépit de la grande ouverture de départ : le quart, en haut à gauche reste désespérément non rempli jusqu’à très tardivement.
Bah, moi j’en suis aux 34 ans.
L’énergie, d’accord. Mais le niveau de bêtise à l’aune.
On en a eu la démonstration en France pour les 39 ans de notre Président. De fait, c’est comme si aucune leçon ne suffisait et que l’on soit dans une répétition constante.
C’est comme au cinéma, les deux horribles dont le nom m’échappe avec Charlotte Gainsbourg et Emma Stone, Pauvres Créatures, on a l’impression que seuls, les immenses secouements sont à même de modifier ou faire modifier quelque chose.
Alors que les urgences sont tout à fait ailleurs.
Où est l’intelligence de l’expérience ?
De la culture ?
Du savoir savant ?
Où ?
Les chaînes et les journaux de droite et d’extrême droite expliquent ils pourquoi le second prénom de Mamdani est Kwame? Savent ils ce que signifie l’expression anglaise : » x,y,z, …is my middle name »?
C’est un islamiste et un antisémite et un « socialiste », voilà qui est réglé. Mieux vaut s’intéresser à Netanyahu , qui n’est qu’un criminel de guerre…ou à Balkany, un délinquant notoire…Le Nain jaune va t il sortir de son parcours de santé?
Misère du non débat.Jivarisme mortifère.
Lamarche, échouée brillamment sur la deuxième marche du podium Goncourt, m’amène à une pensée pour Noêl Godin et ses attentats pâtissiers ; BHL & Cie ne s’en remettront jamais tout à fait : ils sont désormais et pour longtemps encore des agités du bocal entartés
https://youtu.be/D6YyXOOB9AY?si=v4d5odhbPKnx-ZUs
La dénégation est un grand classique de l’affirmation.
En psychanalyse, toute dénégation est une affirmation.
Jivarisme mortifère.
Oui.
Angoisse existentielle.
Agitation.
@Alors que le gouvernement Netanyahu a commis et continue de commettre des crimes de guerre d’une toute autre ampleur sur les populations civiles de Gaza et de Cisjordanie occupée, que son vis à vis Poutine en Ukraine ; du deux poids deux mesures jusqu’en matière de crimes de guerre et de possibles crimes contre l’humanité
keupu est très loquace sur la question de la guerre en Ukraine alors qu’il est étonnamment taiseux sur celle de la guerre en Palestine ; des milliards de dollars US sont cependant à rembourser dans les deux cas
Vos convictions ont un coût, mesdames et messieurs
Aller vers le plus loyal sinon vers le plus crédible
Avis sur le Lamarche bienvenus
J’ai demandé à ma femme la raison de son refus catégorique de lire La maison vide de Mauvignier :
– Je ne lis pas un livre de 700 pages moi…
– Et pourquoi donc ?
– Parcequ’autrefois, les romanciers français, russes, allemands et autres anglais, tous de grands et vrais écrivains, pouvaient de part leur génie, créer à partir de leur imagination propre des mondes romanesques intrigants et composer, en s’inspirant de la grande Histoire comme de leurs petites histoires, des sagas familiales captivantes pour tous types de lecteurs… Mais ce Mauvignier, le pauvre, avec sa tête de capucin souffreteux qui n’a jamais goûté aux délices de la vie, que diable va-t-il bien nous raconter dans son pavé inutile de 700 pages écrites par un nègre…
– Un nègre ?! Tu veux dire que Mauvignuer a eu recours à quelqu’un d’autre pour pondre son gros bouquin ?
– Oui. Parfaitement. Et je connais très bien le nom de son nègre.
– Ah bon !!! C’est qui alors, Madame-je-sais-tout ?
– C’est ChatGPT, mon petit élève-qui-ne-sait-rien-du-tout !
– 😢😅😢😅😢😅😢😅😢😅😢😅😢😅😢😅
Qui se souvient de Pierre Dumayet ?
Pionnier de la télévision et grand amoureux de la littérature.
Lui aussi a écrit un délicieux petit roman d’une soixantaine de pages intitulé :
La Maison vide.
Ah ce plagiaire de Mauvignier !
« Mais qui est à ce point aussi parfaitement con pour ne rien connaître à l’acanthe ? » (rose)
Euh, non ! ….Rien
(…n’avouez jamais vous insuffisances primordiales !)
Essai.
Il y a un décalage d’une heure entre l’heure, 7h48 et celle affichée sur le blog.
On peut ne pas connaître à l’acanthe malgré le chapiteau et ne pas être con, ce qui vaut aussi pour l’asphodèle… nonobstant quelques poèmes.
Chapiteau corinthien asiatique, époque antonine, Ostie antique, frigidarium des thermes du Forum.
Usage de l’anachronisme nécessitant une suspension volontaire de l’incrédulité:
– Qui a appelé à l’extermination des Juifs : Mamdani ou Destouches ?
– Qui Radio Paris appelait-elle « notre grand écrivain antisémite » : Mamadni ou Destouches ?
– Qui qui a fui dans les bagages des nazis : Mamadni ou Destouches ?
– Qui qui a été frappé d’indignité nationale : Mamdani ou Destouches ?
– Pourquoi, relayant la propagande trumpiste et/ou sioniste de droite (extrême) sans apporter une seule preuve à l’appui de leurs allégations, sont aussi très souvent ceux qui clament que Mamdani est antisémite crient au génie chez Destouches, quitte à en faire « le plus grand écrivain » du siècle précédent, catégorie pour le moins discutable et ridicule.
Kwakilensoi, ce type de double standard est inacceptable. Il est urgent de rétablir un minimum de cohérence et de respect de la vérité des faits. S’il est avéré que le nouveau maire de NYC est judéophobe dans ses dires et /ou actions, alors OK. Mais jusqu’à présent cette accusation, d’une extrême gravité, ne repose sur rien.
Stupéfiant chapo du NYTimes du 19 mai dernier :
« Andrew Cuomo has attacked opponents, including Jewish ones, as antisemitic, while other candidates believe the issue is being used as a weapon to win Jewish voters.” Le mec traite ses adversaires juifs de judéophobes. Tout est dit.
Ces accusations d’antisémitisme à tout va, ou même la critique critique d’Israel devient supecte, met en danger tous les Juifs du monde, car à force de crier au loup on ne réagit plus quand il entre dans la bergerie.
Instrumentaliser la souffrance historique des Juifs pour concocter et faire avaler sa fichue tambouille politicienne est tout simplement dégueulasse.
Et derrière ces accusations d’antisémitisme dont une certaine France est friande, elle qui est incidemment le berceau de sa version contemporaine, pointe la haine du musulman, derrière laquelle pointe principalement la haine de l’Algérien que le Momo revenu d’ici pratique assidûment, mélange de frustration, de ressentiment et de honte à avoir été foutu dehors manu militari.
Je reviendrai sur Mamdani et l’islam et le chiisme duodécimain.
Mieux vaut tard que jamais !
Un acte de « réparation » : le Parlement s’apprête à élever Alfred Dreyfus au rang de général de brigade
https://www.leparisien.fr/politique/un-acte-de-reparation-le-parlement-sapprete-a-elever-alfred-dreyfus-au-rang-de-general-de-brigade-06-11-2025-SQKQOSOSOJBCDI76Y5PGBJI6HA.php
« Les États-Unis sont entrés mercredi dans leur 36e jour de blocage budgétaire, battant ainsi le record du plus long « shutdown » de l’histoire du pays. »
Mais c’est quoi le shutdown ?
https://www.youtube.com/shorts/pX4Ak2IZvf4
Le Net s’emballe !
« Depuis le vol spectaculaire de joyaux de la Couronne de France, survenu le 19 octobre dernier, la traque des braqueurs du Louvre est devenue un feuilleton largement suivi par les Français. »
A quand le roman, un prochain Prix Goncourt ?
https://www.leparisien.fr/faits-divers/ce-sont-eux-les-bijoux-de-la-couronne-une-fausse-photo-des-braqueurs-du-louvre-emballe-les-reseaux-sociaux-05-11-2025-CM6W6C73ZNAMBPZDGVJ2XGN6JI.php
Il y a un quart d’heure, les excellents journalistes de France Inter ricanaient sur « imminemment » qui ne se dit pas, etc.
Bien évidemment l’adverbe existe.
Forattini, un homme de droite qui travaillait pour des journaux de gauche, est décédé.
Autre époque, autre culture, autres tempéraments.
Un autoportrait
https://fumettologica.it/wp-content/uploads/2025/11/giorgio-forattini.webp
La gauche la plus antisémite du monde !
« La tête de liste insoumise pour les prochaines municipales à Brest (Finistère), Cécile Beaudouin, appelle dans un communiqué à la déprogrammation d’un concert du chanteur franco israélien prévu ce jeudi. Elle dénonce une « honte » et un « déshonneur ». »
https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/musique/la-honte-et-le-deshonneur-lfi-reclame-la-deprogrammation-dun-concert-damir-a-brest-05-11-2025-OR5ZU6M66RHUXPNAU3PLYBC5P4.php
Et dire qu’un gros tiers des israéliens sont des arabes ; démocratie quand tu nous tiens ….
On me souffle que depuis la politique de “discrimination positive” mise en place depuis des décennies par le gouvernement, il ne s’agirait plus que d’un gros quart … tout de même
Usage de l’anachronisme nécessitant une suspension volontaire de l’incrédulité:
qui a dit que les néoconservateurs ont disparu depuis longtemps.
croire à la disparition des néoconservateurs c’est n’avoir rien compris à l’origine de la guerre par procuration contre la Russie.
en fait c’est ne rien comprendre à ce qu’il se passe dans le monde.
la question est : pourquoi les médias français n’emploient jamais ce mot « néoconservateurs » et font tout pour faire croire à des crétins comme bloomy qu’ils ont disparu il y a très très longtemps…
c’est comme les manifs pro UE en Roumanie, en Serbie, en Géorgie, en Moldavie etc… où l’on retrouve les mêmes manifestants.
aucun médias n’a jamais fait un reportage pour se poser la question d’où ces types qu’on retrouve dans toutes ces manifs et où le plus souvent ils représentent la quasi totalité des manifestants.
vous avez dit incrédulité ?
Passou vous salue bien !
« Quand Emmanuel Macron s’invite dans la course du Goncourt 2025 »
https://www.parismatch.com/culture/livres/quand-emmanuel-macron-sinvite-dans-la-course-du-goncourt-2025-259610?fbclid=IwY2xjawN5StZleHRuA2FlbQIxMABicmlkETBIM2VkMXpqV1RxMXpTOTJzc3J0YwZhcHBfaWQQMjIyMDM5MTc4ODIwMDg5MgABHmdImEQP_z1Kzx-XjN3QETkT0RJ9r2fxTG7uFBPf32Hcf2mwC6PGQRk7j-so_aem_SqU7BTfuESYXmIBmWSxNHA&utm_campaign=mrf-facebook-parismatchmag&mrfcid=2025110469070f80c912c4624e9abde1
Joris-Karl Huysmans fut le premier président de l’Académie Goncourt. Situation qu’un de ses anciens amis n’appréciât guère.
« Leur Académie Goncourt, c’est une verrue sur le nez de l’Académie française.
Et je les connais à peu près tous. Huysmans est un égoïste et un orgueilleux ; je ne vois pas Huysmans donnant avec bonté un prix et des louanges à un jeune écrivain ; il n’est capable que de lui faire dédaigneusement l’aumône. »
(Léon Bloy, L’Invendable (Journal à la date du 26 décembre 1906), 1909)
L’Académie Goncourt à ses débuts est en étroite relation avec le groupe de Médan qui se réunissait chez Zola.
La relation entre le groupe de Médan et l’Académie Goncourt est directe et fondatrice : l’Académie Goncourt est, en quelque sorte, l’héritière institutionnelle de l’esprit du groupe de Médan. Voici le lien en détail :
1. Le groupe de Médan
Le groupe de Médan se forme autour d’Émile Zola, dans les années 1870-1880.
Il rassemble de jeunes écrivains naturalistes qui se réunissent dans la maison de Zola à Médan, près de Poissy.
Les membres principaux sont :
Émile Zola (chef de file)
Guy de Maupassant
Joris-Karl Huysmans
Henri Céard
Léon Hennique
Paul Alexis
Ensemble, ils publient en 1880 le recueil Les Soirées de Médan, manifeste du naturalisme littéraire.
2. L’Académie Goncourt
Fondée en 1900, selon le testament d’Edmond de Goncourt, frère de Jules de Goncourt.
Elle a pour mission de soutenir la littérature française contemporaine et de décerner le prix Goncourt chaque année.
Edmond de Goncourt avait été proche du milieu naturaliste, et ses idées littéraires étaient voisines de celles du groupe de Médan.
—
🔗 3. Le lien entre les deux
Léon Hennique, membre du groupe de Médan, est l’un des membres fondateurs de l’Académie Goncourt.
Plusieurs premiers membres de l’Académie étaient des héritiers intellectuels du naturalisme défendu par Zola et ses amis.
L’esprit du groupe de Médan — réalisme, observation sociale, modernité littéraire — a influencé la vision de la littérature que l’Académie Goncourt voulait promouvoir.
Eh bé oui.
Le premier concerto conçu pour « trompette organisée », c’est-à-dire la première qui permettait l’exécution de toutes les notes de la gamme chromatique, au contraire des précédentes dites « naturelles ».
Alison Balsom, Haydn
Yifat Tomer-Yerushalmi, procureure générale militaire d’Israël, est en prison pour avoir dénoncé des actes de torture commis sur des détenus palestiniens au nom de l’obligation de violer le droit formel afin de se conformer à des impératifs éthiques substantiels.
Bobine . « Lisez plutôt « peut aussi se traduire par « ne l’ignorez pas. »
Pourmapar, quand vous dites « lisez plutôt » clopine.
Plutôt que de dire des généralités sur, à propos de Romain Gary surtout.
Plutôt = mieux vaut tard que jamais. C’est le livre que je suis en train de lire.J’ai lu aussi le point de vue de P. Pavlovitch.
Je vous le conseille, sans obligation ni leçon, simplement une information.
Bonne journée.
Il faudrait peut-être envisager le cas de Huysmans, D, qui apostasie son Naturalisme après À Rebours ….
Grande activité ce matin, hors ce blog, voilà pourquoi ma réponse tardive clopine.
Lecture : Fabrice Flipo Les écologistes sans la nature? Le faux ami Bruno Latour chez Textuel.
Thomas Nagel Qu’est-ce que ça fait d’être une chauve-souris? chez Agone
Olivier Douville Lévi-Strauss à la plage chez Dunod,
Influences de Baudelaire, collectif chez PUR – Presses universitaires de renne,
Enfin, de Cyril Gerbron Les pierres et le rêve chez Actes Sud.
Bon, j’ai de la lecture!
Bonne journée.
Tout ça pour entendre sur la radio publique d’ état ce matin un soi-disant « grand philosophe » qui parle avec les loups…
(J. ext, 6 novembre 2025 / extraits inutiles)
—-
@ « avec sa tête de capucin souffreteux qui n’a jamais goûté aux délices de la vie » – Je sais pas, vous, mais moi, je supporte plus ce genre de saillies qui performent et parfument le lisier /// Takapa l’élire ! OK.
@ à la séance clinique de la mémoire, pu énoncer 9 noms communs en 2 minutes sur les 16 présentés sur 4 planches avec des intermittences (crapuleuses) entre elles, histoire de les oublier au fur et à mesure, par l’activation d’autres circuits cognitifs. – Au réveil @ 6.57 (12 h plus tard), outre le rêve paisible lié « aux petites filles modernes », ce conte cruel mis en scène par Joël Pommerat à la Coursive,
https://www.la-coursive.com/projects/les-petites-filles-modernes-25-26/
… retrouvé 11 de ces noms communs en 1 moins d’1 minute : bonnet, aluminium, équitation, sardine, abricot, épinard, puzzle, divan, mathématiques, platane, tango. Donc, « ça ne s’est pas trop dégradé » pour la mémoire immédiate depuis février dernier avec des tests psycho cognitifs à peu près identiques. Confusion récurrente entre le légume « céleris » au lieu « d’épinard » (épinard était le légume du test d’il y a dix mois – pas été trop parasité par les endives de Chaville, dieu merci !). Un sans faute pour la mémoire visuelle du nouveau test dit des 24 portes, et nette amélioration au test des séries de chiffres à répéter à l’endroit et à l’envers (entre 6 et 7 maxi… retenir 8 chiffres ? -> quasi impossible formi : « peu y arrivent », a-t-elle rassuré). En citant le plus de mots possibles commençant par P en 1 minute, elle a « bloqué » sur mes polder, phlox, philodendron et phacochère : 2 orthographes dont elle n’était pas sûre (f.) et 3 mots inconnus dont elle m’a demandé explication. J’avais repris un peu d’ascendant (une habilité ?) sur l’anxiété liée « à la blouse blanche ». Puis, Camille s’est expliquée sur le moment où elle comprit pourquoi elle était devenue une professionnelle de la psycho, à cause ou grâce à un patient tordu (mathématique-s). A un autre moment, « pour les intellectuels normalement névrosés, beaucoup plus alarmés par le déclin de leurs facultés cognitives, la critique selon laquelle la transcription frénétique des rêves du matin dénoterait un syndrome obsessionnel pathologique (comme l’avait fait remarquer son psy à Ferdinando Camon, dans « la Maladie humaine », une histoire que je le lui avait rapportée) : « Vous êtes sûr qu’il a vraiment dit « pathologiquz » ? » – Bingo ! « Euh non… pas sûr c’est sans doute moi, qui l’ai rajouté. « A bon !… parce qu’aucune obsession, à moins d’un TOC, n’est pathologique. Tout le monde a les siennes ». Bon, d’accord, OK, aij dit, un brin rassuré à nouveau.
@ Au restant de la journée, avec Visions de Cody… dans le sieste. Enfin venu à bout du gros bouquin apèrs être passé par tous les sentiments possibles d’un lecteur fasciné et exaspéré par les délires et les hallus rapportés à partir de cinq jours de dialogues de défonce enregistrés sur bande magnétique. Je veux en retenir l’héroïsme de l »amitié » fusionnelle que se vouèrent Kerouac et Cassady, bin plus argumentée que celle qui put unir jadis MdM &LB en leur sagesses respectives….
… Pour l’ile d’Oléron, pas pu suivre cette actu. Ni su trop quoi penser du prétendu ras de marée démocrate aux States (un frisson de plaisir dans l’échine)… Il y avait le chantier de sablage des murs de la grande grange à surveiller.
Les bribes de rêve du matin avant le souvenir des mots retenus de la séance de la veille : -> à la remise d’un rapport de stage, lors d’une escapade en province solognote avec la chorale -> des choristes veules me disent la fausseté de l’hypothèse de départ dans le rapport, vu que je ne CROIS pas vraiment à celle que j’ai voulu problématiser pour l’infirmer ou la confirmer. Ils se trompent évidement, stupides comme ils sont, mais ils ont raison car les vies entières d’écrivains « romanciers » (non scientifiques) sont basées sur des dénis de vérité ou de réalité. Or, à mes yeux, c’est l’une des seules conditions de leur survie au monde, à la différence d’implication de ceux et celles qui crèvent de faim et n’ont guère le temps de contempler leur imagination, avec le ventre vide.
Gustave Flaubert à Joris-Karl Huysmans, après lecture de son roman « Les Sœurs Vatard » :
« Ni les giroflées, ni les roses, ne sont intéressantes par elles-mêmes, il n’y a d’intéressant que la manière de les peindre. Le Gange n’est pas plus poétique que la Bièvre, mais la Bièvre ne l’est pas plus que le Gange. (…) La rhétorique est retournée, mais c’est toujours de la rhétorique. Je suis dépité de voir un homme aussi original que vous abîmer son œuvre par de pareils enfantillages. Soyez donc plus fier, nom de Dieu ! et ne croyez pas aux recettes. »
(Gustave Flaubert, Lettre à Joris-Karl Huysmans, février-mars 1879)
Si ce n’est que le Gange est sacré, et la Bièvre rintintin.
D. dit: 6 novembre 2025 à 10h08
L’Académie Goncourt à ses débuts est en étroite relation avec le groupe de Médan qui se réunissait chez Zola.
Oui, D.
Cela s’appelait les soirées de Médan.
La maison d’écrivain est en rénovation.
Merci D. pour tout ça à 10h15.
Beau rappel, bien complet. Les soirées sont dans votre recension.
les sœurs Vantard ? (ouarf). MS et MC vont pas être contents qu’on écorche encore leur joris-karl.
la Grange est sacrée et le Grangeon sucré-salé 🙂
Le Désert de Bièvre, voilà un roman à lire!
En 2018, on estimait que trois milliards de litres d’eaux usées étaient rejetés chaque jour dans le Gange, ce qui entraînait des niveaux de pollution trois mille fois supérieurs aux normes de l’Organisation mondiale de la santé.
Eaux usées bien à part, il y a la question des plastiques :
Bièvres.
Analyse percutante de la dernière lagasnerie :
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2025/11/04/que-faire-dedouard-louis/
je conseille de mes lire, comme je les ai lus avant mon trek dans celui du Sinaï, en 1999…, sinon juste d’en retrouver les auteurs dans les 5 secondes qui suivent pour le test de mémoire (sans tricher) :
Le désert des Tartares
Le désert de l’amour
Désert
Le sel du désert
Les chemins du désert
Le désert de Gobi
Le désert croît
Rose désert
Le désert des déserts
Maxence au désert
____________
Calculer vos points.
10 s/ 10 = Mémoire parfaite, deux péccables
7 s/ 10 = tout va encore bien, niveau « Prof de français » standard
5 sur 10 / Pas trop mal, pourrait mieux faire, niveau « agrégé de lettres classiques »
3 sur 10 / Mémoire un peu à plat à recycler en géo
0 sur 10 / Kulture crasse, désertique, ignarde, mais snorbonnarde…, comme ils disent parfois sur l’RDL à propos de nos « grands critiques littéraires » (genre Fred B. ou J.A.)
@ 13.52, je conseille de les lire (les lyres, l’élire) / oups- lipo- suçons-
Ah bon, pour moi ce sera un petit dessert, je n’aime pas les notations.
J’ai été voir sur le site de Juan Ascensio, pfioutt il fait des vidéos de cambrioleur maintenant pour un livre entre connaisseurs, pire que du Céline en dingueries. Je me demande s’il a encore toutes ses frites dans son sachet.
C’est d’un triste à se jeter corps et biens dans un canal, faut croire qu’il aime, bien évidemment il a lu tous les bouquins du dernier Nobel hongrois.
@Rose
La maison de Zola à Medan est entièrement rénovée et se visite
L »association qui à présidé à cette restauration a travaillé à partir des photos d’époque de de la maison, quand Zola y séjournait et y recevait ses amis écrivains ;
Munis de ces images, ses membres ont écumé brocantes et antiquailles pour dénicher meubles, objets, carrelages, modéles de papiers peints, pour une reconstitution fidéle du décor tel qu’il était au temps de Zola. Cette maison, qui semble animée d’une vie quotidienne , avec sa cuisine, sa lingerie , sa chambre à coucher est très émouvante .
Une partie du bâtiment, séparée des pièces habitées par Zola, abrite un petit musée consacré à Dreyfus et à l’Affaire, avec de nombreuses pièces très intéressantes (correspondance, affiches, presse, photos) ; j’ai eu la chance de le visiter sous la houlette de Philippe Oriol.
S’agissant de Dreyfus je trouve que l’élever au grade de Général n’a pas grand sens.
En effet, cet homme, victime d’un scandale d’Etat qui a fait grand bruit et a eté lourd de conséquences pour notre pays, est entré dans l’histoire de France comme « Le capitaine Dreyfus »
Une reconstitution de carrière qui en ferait un General Dreyfus, ce reclassement sur le modèle de la compensation qu’on accorde à un fonctionnaire ordinaire ayant eu un « accident de carrière », cela revient à inscrire son exceptionnel destin, et le retentissement qu’il a eu, dans une banalité dérisoire.
Le léZard sur la Croisette
je vous mets la vidéo, que je ne sois pas la seule à rire de son autodafé
Y’a Tintin dans le désert, aussi, JJJ.
et ne croyez pas aux recettes. »
merci!
c »est ainsi que j’ai jugé » les cours d’un de mes profs de latin:des recettes qui me coupaient l’appétit quand j’avais faim
Ernesto Sabato – Héros et tombes – Points – Signatures
Claire Désert, née en 1967 à Angoulême, est une pianiste française.
un lien
https://www.clairedesert.com/
C’est aujourd’hui la journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école. 35 % des élèves touchés sont en primaire, 1
« Quand ils harcèlent trop, ça peut pousser à ce que tu n’aimes plus vivre, t’aimes pas ton corps, et du coup ça te pousse au suicide », explique un élève. L’animateur rebondit : « Ça peut paraître comme un jeu, ils pensent que c’est quelque chose de rigolo. Est-ce que c’est rigolo le harcèlement ? » Non, répondent les élèves en chœur
Jean-Noël Orengo s’attaque à Speer.
Alfred de Montesquiou aux criminels allemands nazis jugés à Nuremberg.
Olivier Gueze à Mengele.
Tous tracent le sillon creusé de si belle manière par Robert Merle avec Rudolf Lang/Hoess dans La Mort est mon métier, les Bienveillantes penchant davantage de ce côté-là que des trois pré-cités.
Or, à part les ouvrages récents sur les petites dames collabos du quotidien, comme ceux de Cécile Desprairies (très convainquant) et de Julie Héraclès (pas lu), pourquoi aucun(e) écrivain(e) ne s’empare-t-il/elle pas des grands salauds de la France de cette époque, les Philippe Henriot, René Bousquet, Jacques Doriot, Marcel Déat, Bonny et Lafont, Joseph Darnand, et autres Jean Hérold-Paquis (j’en oublie)?
Le quotidien de Radio-Paris-ment et de son abjection de patron propagandiste, par exemple ou les encouragements du gros ex-maire communiste de Saint-Denis à l’attention des bons gars de la LVF partis bouffer du Popov sur le front russe etc. etc.
Pourquoi?
Pas assez spectaculaire?
Demandez aux voisins de la Carlingue rue Lauriston si ce qu’ils entendaient ne sortait pas de l’ordinaire.
Un roman sur la rue Foch/Boche nous donnerait l’occasion de mieux apprécier la quiétude retrouvée des « beaux quartiers »…
Passou dans la position du tireur couché prêt à bondir ?
Claire Désert est une pianiste que j’apprécie beaucoup. Il est bien dommage qu’on en parle si peu.
« la quiétude retrouvée des « beaux quartiers »… »
Patrick Modiano !
Ce midi j’étais en voiture, je mets France Musique et paf : la mère Grimaud et ses mièvreries/incongruités pianistique. J’ai entendu moins de 10 mesures remarquablement jouées sur des centaines. Et beaucoup d’une vulgaritè frisant le comique, particulièrement dans les octaves graves.
Le léZard revu et corrigé par l’IA !
14.38, oui c’est là où le triste erdélien va puiser ses inspirations « culturelles », de chez qui il vient nous importer sa soupe… Ce gars-là, en sa fulggurante ascension, grâce à grégo-mion, avait connu la même aventure chez Passoul, naguère. Viré pour excès, sévices et injures graves envers l’RDL. Machin en est devenu le giton, comme au club des lagastanieries. Ca vous étonne ? – Moi non pluj, j’aime pas les classements scolaires, ni les auteurs que j’ai pas lus, genre Pierre Bayard, pour son roman « le désert en grandes largeurs » (éd. Minuit & 1/4).
Drôlement chic, cette colorisation niçoise ! Bravo.
35 % des élèves touchés sont en primaire,
et 92 % des erdéliens septuagénaires par 8 % du reste
Le lézard vert avait rendu un bel hommage à la rue Lauriston, des beaux quartiers, je crois… je sais plus trop où j’ai lu ça. Chez Modiano Lucien, peut-être ?
oui, je me l’ôte de la tête ce triste sire, il est sorti de ma mémoire par un cumulet arrière, le rire est libératoire.
l’ia fait ressortir le petit côté capon de Jazzi, la foto de la maman et de l’enfant au chapeau chinois en culotte courte bleu ciel semble bien loin des grands drames évoqués.
rude journée politique, j’ai espéré en vain être débarrassée du gouvernement à droite toutes qui s’avoue impuissant à régler nos problèmes, mais la peur consécutive à une invasion de drones qui a bloqué nos aéroports ou je ne sais quel agenda caché nous maintient sur le grill jusqu’à Noël. C’est dépitant.
Photos affligeantes. A l’avenir épargne-nous ça, Jazzi.
« il me semble me souvenir que le texte de Perec est un des plus extraordinaires « romans/olni » jamais écrit en français »
C’est très surfait. Une histoire pénible de type qui veut faire des aquarelles.
De Pérec je vous conseille plutôt « Les Choses », c’est très bien, ou « W ou le souvenir d’enfance », c’est très bien aussi.
Roland Barthes n’a pas voulu préfacer « Les Choses » ce qui a blessé Pérec car le roman est très inspiré des « Mythologies ».
* Perec
* « W ou le Souvenir d’enfance »
Tout Perec est génial. L’homme qui dort aurait pu trouver sa place dans La Vie mode d’emploi, voyage au bout de la vie.
« loin des grands drames évoqués. »
Pure fantasmagories d’un esprit dérangé, Chantal !
« Tout Perec est génial. »
Oui.
J’ai lu ici que l’on comparait « La Maison vide » de Mauvignier à « La Vie mode d’emploi ».
Rien à voir entre les deux livres : aucune autofiction dans ce roman d’imagination de Perec.
Ce qui n’est pas le cas de L’Homme qui dort et d’autres titres plus autobiographiques…
Cannoise, la colorisation, JJJ.
Merci.
culbute, galipette… un nouveau belgicisme à ma liste pour le « cumulet » arrière… Waou, merci.
La pauvre lavette des Charentes est complètement siphonnée.
Capté en passant
« Pascal Praud découvre l’émotion judiciaire ..quand l’édito devient lettre d’amour à nicolas Sarkozy.
Dans une chronique publiée au Journal du dimanche, pascal Praud vole au secours de nicolas Sarkozy.
L’édito se lit comme une lettre d’amour adressée à l’ancien président. Quand la presse d’opinion se mue en service après vente du pouvoir.Pascal Praud pense à lui et ne peut pas s’en empêcher.Nicolas Sarkozy dort mal, et soudain la plume du journaliste se fait douce, presque compatissante.
« L’impartialité est une chimère », écrit-il.« Les juges ont des enfants, ils payent des impôts. »
Voilà donc le scoop du weekend : la Justice serait humaine, donc partiale.Et nicolas Sarkozy, victime d’un chien qui aboie trop fort, peut être ?
C’est beau comme du Proust, mais en plateau de CNews.La chronique se lit comme une complainte monarchique …les juges sont suspects, les puissants sont tristes,
et le bon peuple celui qui n’a ni chroniqueur ni avocat attitré n’a qu’à se taire.
Sous prétexte d’humanité, Pascal Praud déroule une philosophie de l’impunité.Car si tout est affaire d’humeur, de contexte ou de chien insomniaque,alors plus rien n’est affaire de droit.
Ce n’est plus du journalisme….juste de la tendresse sous contrat »
Bonne soirée les téléfooteux
Je n’ai pas lu « La maison vide » de Pierre Dumayet mais son Autobiographie d’un lecteur est un livre à lire. Très haut lecteur, Dumayet, Gracq et Cabanis.
@ 20.20 – Mauvignier a dit aussi qu’il en avait un brin marre d’être comparé à ceci ou à cela, depuis 25 ans qu’il écrivait des romans différents les uns des autres… Jzmn, n’entonnez pas ce refrain ! Je vous conseille de le lire, vraiment, avant de le comparer à Garcia Marquez ou Margot Duras, ou que sais-je du grand n’importecouac… Sans quoi, CT et MS auront eu raison, que vous finirez par ressembler au Solognot stalkérisé. Brrrr. Ce serait dépitant, une grande perte pour l’RDL.
« n’entonnez pas ce refrain ! »
Mais je ne compare Mauvignier à rien, JJJ.
Je ne l’ai pas encore lu !
ça viendra peut-être…
C’est curieux qu’une belge, habitante d’un pays en ruines, se marre en écoutant Asensio.
Il y a des crânes vides, comme il y a des bourses vides (charentaises).

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