Feu le livre de poche ?
Drôle d’anniversaire que celui du livre au format de poche. Il y aura certainement des bougies et du champagne sur un petit air de fête début 2013 pour célébrer ses 60 ans et, dans la foulée, ceux de ses labels pionniers – le Livre de Poche suivi quelques années après par J’ai lu, 10/18, Pocket, Folio… Le ton sera au consensus et à la convivialité car enfin, qui est contre le grand instrument la démocratisation de la culture ? ou plutôt : qui oserait encore être contre une littérature de qualité à moindre prix pour un encombrement réduit ?
Espérons que, si elle est bien faite, la commémoration donne lieu à un rappel de l’intense débat qui agita la sphère culturelle française au mitan des années soixante ; partisans et adversaires du livre au format de poche s’affrontèrent alors autour d’un véritable enjeu de légitimité culturelle (lire ici l’étude que lui a consacré Bertrand Legendre), avec une intensité à laquelle à la même époque la controverse Barthes-Picard autour de Racine n’eut rien à envier. Dans sa livraison de novembre 1964, le Mercure de France publiait en effet un article d’une quinzaine de pages sur « La culture de poche ». Le philosophe Hubert Damisch y menait une charge en règle contre cette entreprise mystificatrice de réduction du lecteur en consommateur. La guerre des revues faisant rage, Les Temps modernes lui répondit en avril-mai 1965 par deux dossiers dans lesquels Jean-François Revel, François Erval, Bernard Pingaud entre autres annonçaient que le livre de poche sonnait le glas de la culture aristocratique et l’avènement inéluctable de la culture de masse, la lecture passant ainsi du stade du privilège à celui du partageEn ce temps-là, des voix aussi prestigieuses que celles de Maurice Blanchot, Henri Michaux, Julien Gracq pouvaient s’élever résolument contre la publication de leurs œuvres en format réduit et à vil prix sans passer pour politiquement incorrects. L’éditeur Jérôme Lindon fut des rares à résister avant d’accepter que Minuit se mette à l’heure, à partir des années quatre-vingt, du moins pour certains titres et certains auteurs.
Il y a peu encore, la parution de son texte en poche était vécue par l’auteur comme une consécration, et l’assurance que son livre serait longtemps disponible dans nombre de librairies ; la sélection des éditeurs était alors sévère, et le succès potentiel de l’ouvrage entrait en ligne de compte. Depuis, la prolifération des collections bon marché en petit format et la guerre entre éditeurs qui s’ensuit pour acquérir des droits ayant largement ouvert le compas, la parution d’un livre en poche n’est plus un critère de quoi que ce soit.
« On ne peut pas vivre sans un livre dans sa poche » : tel était le slogan trouvé par Henri Filipacchi, le fondateur du Livre de poche chez Hachette, pour le lancement de la chose, laquelle avait été déjà expérimentée dans les années vingt par Jacques Schiffrin, alors indépendant et visionnaire, lorsqu’il mit sa collection de la Pléiade sur le marché. Si les promoteurs des liseuses Kindle, Kobo, Archos, Bookeen et autres Sony Reader Touch avaient de la mémoire, ou disons, une passion de l’immatériel qui n’exclut pas une certaine culture de l’écrit, ils l’utiliseraient en remplaçant « un livre » par « une bibliothèque ». C’est là que la commémoration du premier demi-siècle du « poche » risque d’avoir un goût amer, du moins pour ceux qui ne posent pas un regard franco-français sur l’évolution de la librairie.
En effet, vu des Etats-Unis et de Grande-Bretagne, si l’on en juge par les débats qui agitent la presse spécialisée depuis des mois et les anticipations des éditeurs, l’affaire est déjà pliée : la marche triomphale du livre numérique se fera sur les décombres du livre de poche. A croire que dans le paysage éditorial qui s’annonce, il n’y aura presque plus rien entre le livre de qualité conçu avec soin pour être vendu tel un produit de luxe, et le même texte téléchargeable à bas prix sur une liseuse. Il y a soixante ans, l’apparition du poche déstabilisait le livre ; aujourd’hui, on vit une toute autre révolution en passant du papier à l’immatériel. Pas sûr que le « poche » y trouve encore sa place car l’un et l’autre seront sensiblement au même prix. Allez, bon anniversaire quand même ! En attendant, les éditeurs français mènent via leur syndicat une guerre sourde au livre numérique ; ils ont beau jeu de constater publiquement que le marché est encore insignifiant en France puisqu’ils font tout pour le freiner ! Comment ? En maintenant un prix anormalement haut au numérique : à titre d’exemple, le roman de J.K. Rowling Une place à prendre est vendu par Grasset 24 euros en version papier et 15,90 euros en version numérique – encore qu’on peut très bien se dispenser de le lire dans les deux versions, mais c’est une autre histoire. Tout cela pour quoi ? Pour ne pas concurrencer le livre de poche sur son terrain et ainsi contribuer à sa disparition annoncée et redoutée.
(Illustrations D.R. et Max)
453 Réponses pour Feu le livre de poche ?
Merci, renato, pour les infos sur le livre de poche en Italie. Si j’ai bien compris, c’est un bienfait apparu sous Mussolini, comme les autostrade !
et bien moi j’en suis à ne m,acheter que des livres de poche, je lis deux livres au lieubd’un seul au prix fort, il suffit d’attendre un peu; de moins en moins longtemps d’ailleurs. et l’immatériel ne me plaît pas du tout. Longue vie au Livre de poche !
ce qui n’est pas absolument hors sujet:sans doute aurais-je lu un jour ou l’autre le livre de Bougnoux, mais la « pression » de P.Assouline a précipité mon désir de le lire : et quel plaisir ; une impression extraordinaire aussi que m’a faite ce livre : de me faire toucher quelque chose de l’ordre de ma bêtise . et en même temps,de m’en consoler .
tain…y sont déchainés ce soir et se tapent dessus comme dans le match du Lazio contre Tottenham…Maitre Pierre nous parle de livres de poche (oui je sais , d’habitude le hors-sujet est mon sujet favori, mais pas ce soir hein)…j’ai longtemps tété a la mamelle du livre de poche et le fais encore…ils viennent de sortir en GB A La recherche Du Temps Perdu en audio…150 heures de Proust ! pour £380, ils auraient pu y ajouter des madeleines pur beurre, mais non… les nains…la maison Abdel & Co l’aurait fait gracieusement pour sa fidele clientèle…en ce moment, on fait meme une promo sur les figues de barbarie…
Brièvement, Jacques.
La politique culturelle du fascisme n’a que très peu en commun avec la politique culturelle du nazisme. Le Manifesto degli intellettuali fascisti (1925) ne traite pas vraiment des questions relatives à l’art, l’architecture, etc.
Pour ce qui pourrait être un Ministère de la culture, c’est seulement en 1937 que le Ministère de la Presse et de la Propagande (déjà Service de la presse du premier Ministre,1922 ; puis Sous-secrétariat de la Presse et de la Propagande,1934) devient Ministère de la Culture Populaire ⎯ avec surtout en charge la censure, la propagande et le cinéma de propagande fasciste. Enfin, sous un autre billet j’avais détaillé la forme et les fonctions de ce Ministère, et pas envie de tout réécrire ⎯ je crois que c’est là où il est question de la Villa Malaparte.
Disons que ce Ministère apparaît tard ce qui laisse aux artistes et aux intellectuels un certain marge de mouvement et d’action.
Par exemple, Giulio Einaudi fonde sa maison d’édition en 1933.
Et pour vous dire l’attitude du pouvoir vers les artistes, Montale devient directeur du Cabinet Vieusseux (1929) parce que il n’est pas encarté et le fascistes voulaient se montrer … ; et il est remercié (1938), parce que il n’est pas encarté, quand il fut question de trouver des places de prestige pour les encartés… mais avec les excuses de je ne sais quelle autorité.
Ou encore, Malaparte qui put bâtir sa villa en 1937, et pourtant il avait déjà dénoncé les dérives réactionnaires de Mussolini (1929), et la montée au pouvoir d’Hitler (1931).
Enfin, vous voyez le tableau… alors, parler des bienfaits de Mussolini n’est vraiment pas l’expression que j’emploierais. Disons, une certaine indifférence…
… « apparu sous Mussolini », certes, mais pas grâce à lui…
Au microscope la matière (substance) grise apparaît plus sombre que le reste du tissu nerveux, dit substance blanche… on la trouve à la périphérie de l’encéphale, autour de la substance blanche… bref, le cortex…
Ce « bienfait » était de pure provocation, renato. De même qu’il est fortement probable que le livre de poche soit apparu en Espagne sous Franco.
Mais les autoroutes et les logements sociaux à la périphérie des grandes villes, ainsi qu’à Rome, ne sont-ils pas à mettre au bénéfice du fascisme ?
je n’ai pas le temps de contrôler, mais en Allemagne, c’est le Bauhaus qui construisit les premiers logements sociaux. Le Bauhaus que combattit le NSDAP dès la prise du pouvoir. D’où exil de Lohse et Max Bill, entre autres, vers l’étranger.
Non, en Allemagne ce n’est pas les fascistes qui en premier pensèrent de faire des logements sociaux.
Philippe Régniez dit:30 novembre 2012
« Tout fout le camp ».
C’est qu’il connaît la chanson : Tout fout l’camp (Mouloudji)
Y a plus d´jeunesse, y a plus d´saison
Y a plus d´printemps, y a plus d´automne, y a plus d´façons
Tout fout l´camp
Y a plus d´enfant
Y a plus d´famille, y a plus d´morale
Y a plus d´civisme
Plus d´religion
Tout fout l´camp
Y a plus d´pognon
Y a plus d´pitié
Y a plus d´moisson
Plus d´charité
Y a plus d´joie d´vivre
Y a plus d´gaieté
Y a plus d´travail
Y a plus d´santé
Y a plus d´chanson
Y a plus d´chanteur
Y a plus d´bonheur
Y a plus d´boxon
Y a plus d´boxeur
Tout fout l´camp
Y a plus d´français
Y a plus d´rosière
Y a plus d´fontaine
Y a plus d´chalet d´nécessité
Tout fout l´camp
Y a plus de vrais hommes
Y a plus de drapeau
Y a plus d´Afrique
Y a plus d´colonies
Y a plus d´bonniche
Plus d´savoir-faire
Plus d´tradition
Plus qu´des affaires
A quoi bon
A quoi bon hurler
A quoi
Quoi bon gueuler
A quoi bon
A quoi bon s´griser
A quoi bon
Quoi bon s´bomber
A quoi bon
A quoi bon s´muter
A quoi bon
Quoi bon s´faire muter
A quoi bon
A quoi bon l´répéter
Le monde n´est plus ce qu´il était
Y a plus d´soleil
Y a plus d´chevaux
Y a plus d´romance
Y a plus de bon air
Y a plus d´essence
Tout fout l´camp
Y a plus Paris
Y a plus de halles
Plus d´bords de Seine
Plus qu´des autos
Plus qu´des problèmes
Tout fout l´camp
Y a plus d´maison
Plus qu´la télé
Y a plus d´trottin
Plus qu´du tapin
Y a plus d´blés d´or
Y a plus d´louis d´or
Y a plus d´conscience
Y a plus qu´des banques
Y a plus d´bon pain
Y a plus d´bonne viande
Y a plus d´fromage
Y a plus d´poulet
Y a plus d´vrai lait
Tout fout l´camp
Y a plus d´amour
Y a plus d´serment
Plus d´clairs de lune
Plus d´galanterie
Plus que la pilule
Tout fout l´camp
Y a plus d´ferveur
Y a plus qu´du sexe
Y a plus d´fleur bleue
Plus qu´du pince-fesses
Y a plus d´héros
Plus d´héroïne
Y a plus qu´du hasch
Et d´la morphine
A quoi bon
A quoi bon hurler
A quoi
Quoi bon gueuler
A quoi bon
A quoi bon s´griser
A quoi bon
Quoi bon s´bomber
A quoi bon
Adorer la vie
A quoi bon
Quoi bon quoi qu´on s´dit
A quoi bon
Puisque c´est fini
Ou c´est moi p´têt´ moi qui vieillis
Naturellement les cahiers jaunes de Reclam – die gelben Reclamhefte – sont (même de nos jours) un pas important vers la démocratisation. En plus il y aussi les cahiers rouge dont dernièrement « Images d’Allemagne dans la littérature et les médias français » édité par Franz Rudolf Weller (6 euro). Dans ma propre bibliothèque j’ai encore quelques gelbe Hefte – dont « Homer Odysse traduit par Roland Hampe » et « die Tänzerin von Izu de Yasunari Kawabata ».
si qu’on fait pas de replys ça marche pus ton barnum lassouline..hier déja
et t’as même pas les copies
bon salude et portez vous bien
Concernant les Reclam Hefte, – le Reclamverlag – considère ses Reclamhefte comme une série apart de traditionnels « livres de poches », car il édite aussi ses propres poches (Reclam Taschenbuch). Pour les allemanophones de la RDL voici un lien http://www.reclam.de/trck/data/media/Die_Welt_in_Gelb.pdf vers die Welt in Gelb – un livre (pdf) sur l’évolution de la Reclams Univeralsbibliothek. Dans ce livre on trouve aussi les top 10 depuis 1948, – sur la premier place on trouve Wilhelm Tell (Schiller), deuxième place Faust (Goethe), troisième place Kleider machen Leute (Keller)
Deuxième essai/zweiter Versuch
Concernant les Reclam Hefte, – le Reclamverlag – considère ses Reclamhefte comme une série apart de traditionnels « livres de poches », car il édite aussi ses propres poches (Reclam Taschenbuch). Pour les allemanophones de la RDL voici un lien http://www.reclam.de/trck/data/media/Die_Welt_in_Gelb.pdf vers die Welt in Gelb – un livre (pdf) sur l’évolution de la Reclams Univeralsbibliothek. Dans ce livre on trouve aussi les top 10 depuis 1948, – sur la premier place on trouve Wilhelm Tell (Schiller), deuxième place Faust (Goethe), troisième place Kleider machen Leute (Keller)
Ils ont eu 30 années pour faire quelque chose, Jacques ! quelque chose ils ont donc fait, mais c’était insuffisant et en partie sapé par un comportement irresponsable.
Cela dit, oui, en Espagne le Livre de Poche c’est en 39. Il ne faudrait cependant pas croire qu’il y a un lien entre l’ascension au pouvoir de Franco et l’apparition du Livre de Poche. C’était dans l’air du temps, comme l’architecture populaire, une meilleure règlementation du travail, l’assainissement des marais (en Italie), etc. ⎯ et ce ne sont certainement pas les frontières qui arrêtent la circulation des idées.
Sans oublier, la collection rouge, des textes bilingues.
juste pour voir où ça tombe…
?? c’est tombé où ?
merci de nous donner le début, ueda, mais la suite est où ?
Parfois,maryvonne se fiche en colère,mais alors très en colère!Et là je sais très bien ce qu’elle va me dire »à notre age,les autres ils ont un peu de bien,une petite maison,un bungalow,ou je sais pas moi,ils partent en voyage,mais nous,rien!parce que môssieur achète des livres,depuis trente ans môssieur achète des livres! »
ah,mais j’essaie bien de me défendre:
-mais bibiche…
-bibiche?on appelle sa femme bibiche!c’est bien la peine d’emmerder le monde avec ses lectures subversives,ah,môssieur lit gombrovice mais il dit bibiche à sa femme!mais mon ami,bibiche c’est pas gombrovice!c’est le gendarme à saint tropez,ah elle est jolie la subversion!
Et là,maryvonne excédée crie »tu sais quoi?tu sais ce que j’en fais moi de tes sacrés livres? regarde bien! » et maryvonne de s’emparer des poches qui sont stratégiquement les plus accessibles dans la bibliothèque pour les jeter par terre ou,à la belle saison,par la fenêtre,et moi de me lamenter lamente,mon balzac tout bouzillé!mon queneau en quenouille,je me lamente tant et si bien que je finis par culpabiliser maryvonne qui est bonne fille, au fond,mais si je n’avais pas de livres de poche?qu’est-ce qui se retrouverait fichu par terre?mes brochés,mes éditions originales,mes pleiades!Ah,je vous le dis,le livre de poche c’est formidable,ça coute pas tripette,ça résiste,quoique j’en dise,à la maltraitance,c’est résilient,pour tout dire.
Je vous laisse imaginer les colères de maryvonne si je n’avais qu’une tablette,on aurait l’air de quoi tous les deux,maryvonne qui ficherait la tablette par terre et moi ramassant des bouts de ferraille et des bris de verre.Je vous le demande,on aurait l’air de quoi?Elles seraient quand même bien tristes nos scènes de ménage.
Y a pas à dire, c’est des génies chez WordPress. Surtout que le hic a déjà été signalé et resignalé : la suppression d’un commentaire sans en laisser la trace comme ça se fait ailleurs entraîne un dérèglement de la chronologie et, du coup, un énervement de bouguereau qui décide de bouder. La RdL sans bouguereau c’est comme une couille sans poil, Félix Popotin l’a dit.
Lequel, du livre ou de la poche,
a précédé l’autre, réellement,
et y eut-il quelque relation
de cause à effet dans leur succession?
Trouve-t-on trace d’une poche à livre ?
Parce qu’il y a maintenant des poches
pour téléphones mobiles, et presque
adaptées à leurs cotes (un « smartphone »
refuse le vulgaire étui pour idiophone) !
Et à quand les tablettes et liseuses standardisées ? P’têt même qu’un jour
une sorte de plaquette d’identité
sera obligatoire, avec tout l’historique
individuel et mouchard de localisation ?
Pochiblement.
Félix Popotin retarde. Philippe vous a expliqué que nous allons vers la disparition des couilles.
Légère perplexité face au placement d’un commentaire dans la chronologie de la… discussion.
Robotiquement.
Editions de la Requéquête dit: 1 décembre 2012 à 10 h 00 min
Félix Popotin retarde. Philippe vous a expliqué que nous allons vers la disparition des couilles.
aller vous faire enculer tous
corso fleuri federico, c’eût pu être citrons confits (ou natures) sur la strada.
allez vous faire tous enculer
Bien le bonjour. Vous avez raison de préciser. Question intéressante. ça doit varier selon les pays, il faudrait les prendre un par un. A Vienne le logement social, modèle du genre, est largement le fait de la municipalité sociale-démocrate d’après 1918.
Oups, ça devait s’insérer plus haut en réponse à un commentaire de Jacques B et Thierry K (que je salue par la même occasion)
faudrait savoir, boudegros… à 9:09, gentil ; à 10:10, grossier (comme d’habitude) c’est bien l’innommable !… modérateurs, siouplait
J’ai une liseuse, mais justement, la quasi équivalence de prix entre l’édition de poche et l’édition numérique, fait que je choisis systématiquement la première, plus agréable. La différence de coût est plus importante avec le grand format, et de fait, il m’arrive parfois d’acheter la version numérique quand un ouvrage n’est pas encore sorti en poche. Conclusion: n’est-ce pas plutôt le grand format (hors les beaux livres) qui risque de souffrir, le poche subsistant grâce à son coût modique?
Je collectionne les Livres de Poche d’avant les années 70 (il faut bien se limiter). Autant pour leur qualité intrinsèque que pour la beauté et la variété des couvertures. Le noms des illustrateurs ne sont jamais mentionnés autrement que par leur signature. Ça va des émules de Gourdon à Siné (Clochemerle).
Assez rare : le Livre der Poche Classique (reliure rigide, dos toilé rouge, jaquette en rhodoïd.
Le plus cher que j’aie vendu est le numéro un, Koenigsmark, en édition d’origine, qui portait le tampon d’un librairie française de Haïphong. Le père de l’acheteur avait fait l’Indo.
(Alexia Neuhoff, vous auriez pu mettre aussi « Athée ô grâce à Dieu » du même Moulou à notre ami du Père Maciel)
(Moi aussi j’ai été mal inséré, je le remets ici. Passou, pouvez-vous nous dire si vous avez pactisé avec les bisounours prétentieux de WordPress ?)
Je collectionne les Livres de Poche d’avant les années 70 (il faut bien se limiter). Autant pour leur qualité intrinsèque que pour la beauté et la variété des couvertures. Le noms des illustrateurs ne sont jamais mentionnés autrement que par leur signature. Ça va des émules de Gourdon à Siné (Clochemerle).
Assez rare : le Livre der Poche Classique (reliure rigide, dos toilé rouge, jaquette en rhodoïd.
Le plus cher que j’aie vendu est le numéro un, Koenigsmark, en édition d’origine, qui portait le tampon d’un librairie française de Haïphong. Le père de l’acheteur avait fait l’Indo.
(Alexia Neuhoff, vous auriez pu mettre aussi « Athée ô grâce à Dieu » du même Moulou à notre ami du Père Maciel)
Un peu limitée pour la liste, car c’est le début ; format hyper pratique pour les trimballer : 8 X 12cm. épaisseur 1,5. Avantage inouï le texte est intégral, ce qui devient rare excepté chez le vrai livre de poche (éditions Hachette) et un de ses succédanés (dont folio chez Gallimard).
Cela s’appelle collection Point Deux aux éditions du Deuil : l’idée est géniale ! Merci… C’est l’équivalent d’un bébé Pléïade
éditions du Seuil
horresco referens
Tout ce bazar pourrait être une punition divine infligée a Pierre Assouline parce qu’il a commis Vies de Job.
il y avait 37 titres, il y en a 49 ; c’est pas mal l’avancée, je vous mets le lien
http://www.laprocure.com/rayons/collection-point.html
si cela vous intéresse ; la police de caractères n’est pas trop petite, non. La solidité de la couverture est bien conçue. Chouettes bouquins.
Il va sans dire que vous confondez les pseudonymes Deneb et D. qui sont pourtant différents.
Il y a une belle et bonne collection aux éditions Mille et une nuits : corrosive à souhait, assez iconoclaste et à 2€ 50.
Le dîner chez Trimalchion de Pétrone
Hymnes à la nuit de Novalis
La désobéissance civile de Thoreau
Qu’est ce que les Lumières de Kant et Mendelssohn n° 508 septembre 2006
(Mendelssohn publié en septembre 1784
Kant publié en décembre 1784)
département de la librairie Arthème Fayard
printed in Barcelone.
Implicitement il était demandé de tourner la page, je l’ai fait.
>PMB j’ai de 1967 La condition humaine de Malraux estampillé New York par son propriétaire.
J’en suis très fière ; je ne crois pas le vendre. Déjà, pour le prêter, faudrait m’arracher un œil en me prenant par surprise (car je me défendrais violemment).
c’est facile à vérifier à Berlin, à partir de 1913, avec les architectes Hans Sharoun, Bruno Taut, Walter Gropius …ces cités sont encore des modèles aujourd’hui, si l’on veut accorder densité et qualité.
D., la seule punition, c’est de vous laisser poster sur ce Blog. Pierre Assouline ne vous jette pas dehors systématiquement, ce qui prouve qu’il a une « belle âme ».
Pour « Vies de Job », que vous n’avez pas lu, ou seulement debout gratuitement dans une librairie, je ne vois pas en quoi « votre Dieu revisité par un catholicisme coincé » pourrait en vouloir à Pierre Assouline. Pourriez vous développer ?
Je ne crois pas en Dieu, mais laissez le quand même en paix.
Ce qui est plaisant, vous vivez l’enfer sur terre.
Françoise Parée, il y a aussi les habitations sociales que les Industriels firent bâtir pour leurs ouvriers. Partout en Europe.
Je me souviens très bien du Livre de poche Classique relié en rouge. A sa sortie, il coûtait 5F (contre 3 au Poche normal. J’en ai acheté pas mal.
difficile de suivre si les commentaires ne s’affichent pas à la sweet tweet pour tweet
Permettez-moi d’exprimer mon désaccord sur ce dernier point, rose. Ce que vous dites là n’est pas tout à fait exact.
pas partout en Europe, non, Thierry, vous transposez de A à B.
comprends pu rien
Partout en Europe ? Non.
c’est comme une punition pour P.Assouline de subir ces commentaires, alors que le traducteur est le critique sont « au coin ». mais ce sont des punitions qu’il a choisies , et lui seul sait -peut-être- un peu pourquoi .
>le traducteur et le critique sont
évidemment, renato, mais ce n’est pas le problème.
« notre ami du Père Maciel », voilà qui est bien trouvé PMB. On sait où se tenait la vocation du « saint » homme.
A 10:08, Popote, et arrête d’interpeller constamment les modérateurs, tu te prends pour le chouchou de la classe ? T’as déjà de la chance qu’ils laissent passer tes coms.
t’as pas honte de dire ça ?
@ Cneff + renato
Il est déjà éloquent que la notice de Wiki sur l’Universal-Bibliothek existe en italien, mais pas en français…
Les p’tits jaunes, ça n’est remplaçable par rien.
On est attaché à des formats, et les transferts de contenu n’y change rien (le Penguin reste le Penguin).
(Le dernier UB que j’ai gardé en poche est en fait de format pochette et ne pèse de quelques grammes.
C’est le petit livre d’Habermas, dont le titre est impossible, « Kommunikatives Handeln und detranszendentalierte Vernunft », pratiquement imbattable en rapport qualité/prix (2,60 euros).
C’est pratiquement son programme philosophique. Plus dense, tu meurs.
Son traducteur français, M. Bouchindhomme, en a fait une version française avec beaucoup de mérite (avec un titre à coucher dedans: Idéalisations et communication, mais qui évoque plutôt le contraire de ce dont il s’agit).
Ce n’est pleinement compréhensible qu’en allemand)
Das Geheimnis von Nr. 4 (dans Die Welt in Gelb): ce mystère de la Chambre jaune (un numéro qui n’existe plus, ayant été celui du poète Theodor Körner (Leyer und Schwert), laisse quand même rêveur.
Il est difficile de croire qu’après-guerre, un poète de l’époque des guerres napoléoniennes ait pu être considéré comme tabou… (quel que soit l’usage qui a pu en être fait par les Nazis, je n’en sais rien mais j’imagine).
Non, pas un bordel organique, mais un bordel or-ga-ni-sé.
le traducteur et le critique sont
oui, parce qu’ils pensent.
renato dit: 30 novembre 2012 à 18 h 57 min
Être intéressant ce n’est pas mon but.
On avait remarqué…
Il y a longtemps qu’on sait où il la met, sa « plume ».
eh, Floupépette, tu te prends pour qui ?
le choix du support ne permet surement pas de distnguer le producteur du consommateur .
une chose est certaine, il a une incidence sur la taille des poches d’un vêtemnt (penser le design d’un capuchon de feu les stylos ou les regrettés stylos qui font le bonheur de certains artistes : y a -t-il un accord entre les designers de mode habillement et livres ?
Ce commentaire n’a rien à faire là, c’était une « réponse à », mais je ne retrouve plus le com de référence.
Si Deneb n’avait pas fait le malin avec ses citations indentées et ses écritures à l’envers on n’en serait pas là.
être édité en poche prouve qu’on a vendu au moins 3000 exemplaires. C’est à peu près le chiffre à partir duquel…
le pire c’est que, dans ce dédale, on a perdu john brown.
que fait Chaloux ?
Entièrement d’accord avec Françoise Purée.
PMB dit: 1 décembre 2012 à 10 h 28 min
(Moi aussi j’ai été mal inséré
Aïe ! Ça fait mal ?
Je ne peux pas vous donner raison. Il y a plusieurs contradictions internes dans votre commentaire. Si vous comparez la date de la première édition avec celle que vous donnez, vous constatez que c’est impossible.
Par ailleurs, le livre de poche n’a pas eu historiquement cette portée. Voir ce qu’en a dit renato antérieurement.
erreur de placement
Le premier logement socal à Paris, destiné aux classes laborieuses, date de Napoléon III, avenue Daumesnil, 12e arr. Qui dit mieux
Le premier logement socal à Paris, destiné aux classes laborieuses, date de Napoléon III, avenue Daumesnil, 12e arr. Qui dit mieux ?
Eté 35, parution des premiers ‘Penguin Books’, les poches anglais. Pour le prix d’un paquet de clopes (6p.) on peut s’offrir Hemignway, Agatha Christie et…André Maurois, accessible au poulo en anglais avant de l’être en français.
Les Brits avaient une belle longueur d’avance (17 ans), mais il semblerait que les chances de survie du livre de poche soient aussi minces que par ici.
N’oublions pas la Série noire, première collection à publier des titres directement en poche (enfin, je crois).
Qu’est-ce que tu fais là, baroz ? Ta place est au-dessus.
ueda dit: 30 novembre 2012 à 20 h 37 min
je me suis efforcé de réfléchir à la question: mon cul vaut-il 6 millions de dollars?
Où va se nicher la folie des grandeurs du Japonais de Châteauroux ?
pour l’adieu le feu littéraire
qui trope embrasse mal ét-r-eint
Jacques, New Lanark, en Ecosse, XVIIIe ; San Leucio (Caserte), XVIIIe ⎯ les deux inscrites au patrimoine mondiale etc.
élɹɐd àɾép ıɐ uǝ,ɾ ˙slǝuuoıʇdǝɔxǝ sɹıoʌnod sǝp ʇuǝɯǝldɯıs ʇnoʇ
Il y a noʇjours sǝp suoıʇdǝɔxǝ, bien sûr.
Depuis qu’il a dépassé la soixantaine, Anibal accuse son âge.
effectivement
je me fais tout petit
D., vous accusez depuis votre naissance, votre état d’étron.
Franchement, croyez vous qu’Annibal changerait son âge contre le votre ? Vous n’êtes plus assez jeune depuis plus de trente ans pour être aussi con.
Calmez-vous, Thierry Kron. Je suis Deneb et je ne suis pas l’auteur de ce que vous évoquez.
Jusqu’à présent je vous ai laissé tranquille et tout le monde peut en témoigner, mais si vous me cherchez encore vous allez me trouver.
Je n’aime pas qu’on me cherche.
Je n’aime pas qu’on me cherche. Je supporte beaucoup ici mais ma patience aura des limites.
Je suis capable d’encaisser beaucoup, mais quand la coupe sera pleine, elle débordera.
Je suis un type posé et mesuré qui sait garder son sang-froid, mais si on me pousse à bout je ne répondrai plus de rien.
Le livre de poche est tout simplement l’intimité faite livre.
Le livre de poche est tout simplement l’intimité faite livre.
ouh lala ! l’arborescence me donne le tournis – pire que l’alcool, même qu’un petit pétard serait + sympa ; c’est dire …
c’est mega chiLLant (copyright TKT), si il ne l’a pas dit, j’l’dis, sans diplomatie
Assouline ! Cap’tai(g)ne, mille milliards de mille sabords (lasoupline is able to : se transformer en » mon brave Milou, etc … »
Sam suffit – certes, je continuerai à vous lire, toutezetous (tu tousses, ton patri-moine, f–k)
Ai ‘achement apprécié les contre-pêts de traviols/ou pêts (non, pas 🙂 foireux (?, non pas, pertinentes, RIE! Enjoy : de polémikeur-e (doit être belge !
(shit ! site « lesoir » ou site « lepost », on doit, s’inscrire –> LIBERTE, j’écris ton nom !
quelle main mise … pour les sAIgneurs … qq part, je rejoins truc-muche-machin, why not
bon, boudegros, on s’est tous fait enculer, alors et maintenant ?
De plus en plus vulgaire le Kronenbourg.
Vieillir doit le rendre hargneux.
Il aboie comme son bichon.
A votre âge une seule solution pour vous calmer Traube, une bonne pâtée, le pyjama en pilou, une camomille et dodo.
Nous (car nous sommes au moins deux) peut-être toujours aussi ….,
mais vous sans contestation possible vous explosez les compteurs,
vous accélérez avec l’âge, rien ne peut plus vous retenir
Ah mon Kronenbourg, toujours aussi à côté de la plaque.
L’âge ne vous apporte donc aucune possibilité supplémentaire de réflexion.
La vie aura été bien dure pour vous.
Je ne comprends pas trop, c’est bien ou ce n’est pas bien le livre de poche?
Morasse, Di Brazza, Polder !!!!!!!!!
Euh, SMDR, MàC, Laz ??????????
Anch’ io son pittore.
te laisse pas faire, dédé, c’est un méchant, mais tu l’auras !
Vous êtes trop bon avec Deneb, Thierry. Rentrez-lui dans le lard et qu’on n’en parle plus.
Dis voir, Deneb, c’est toi qui as saboté le blog ?
Sabotage ! Je ne vise personne mais si j’étais Deneb je réciterais mon acte de contrition.
Vero ! Senta, peut-être qu’il y avait aussi du logement social dans la Rome antique, perché no ?
D., vous faites très peur, je vais voir si mes manteaux sont bien à l’abris. Vous pourriez avoir le fantasme de les piétiner, même virtuellement, cela doit froisser.
Toujours à la Vodka, ou de l’eau bénite rance distillée à 100° ?
Bon, comme il n’y a plus de modération, et que je ne veux plus lire vos conneries qui se répètent en boucle, je compte attendre le prochain billet.
HR a disparu, vous vous êtes un tas de merde collante.
on se demande
au dessus, en dessous, tout lui convient en fait.
Bernhard Tauchnitz était un truand.
>F. si vous me dites le dernier point je vous répondrai.
Sapience Malivole ?
non ? oui ?oui ? Oui.
Sapience Malivole.
« Vous avez dit cela sur moi, mais je vous trouve particulièrement injuste. Lorsque j’interviens sur ce blog c’est avec correction par rapport aux autres intervenantes et j’ai à cœur de vous faire partager mon travail en Grèce avec toute l’ardeur que j’y mets. Alors le procès d’intention que vous me faites, laissez-moi vous dire qu’il n’est pas juste et je n’en suis pas contente. Sachez-le. Vous êtes d’une mauvaise foi terrifiante. »
>Sapience youyou ?
intervenautes (car c’était un homme bien sûr qui agressait ma Sapience Malivole et honni soit qui mal y pense.
Je vais remettre ma camisole : c’est le jour des lapsus clavii, autant me taire, hé.
intervenautes
en effet…comme Siemensstadt, et c’est Scharoun pour celle là.
« Je suis un type posé et mesuré qui sait garder son sang-froid, mais si on me pousse à bout je ne répondrai plus de rien. » Nous déclare D. un peu plus haut. Attention, mettons nos manteaux à l’abris !
ça dépend…
y a du pour et du contre
ce serait trop beau.
Vraiment trop beau
maintenant TKT pense que HR est un tas de merde.
Lazarillo, youyou ?
Lazarillo youhouhou ?
et elle le dit deux fois
« intervenautes ». Bon.
>Mauvaise Langue
y’a quelqu’un hé ho ? Youyou ? Z’êtes par là ?
autant suspends ton vole
toi aussi ? Non ? oui ? Peut-être ?
: ils ont aimé.
à vous tous, j’ai trouvé une clé (et le fil à couper le beurre)je vous la donne : pour être à la suite, il faut cliquer sur le réponse précédent. Sinon, on valdingue dans les cintres.
J’aime bien cela mais pas tout le temps. Non.
>PMB vous pouvez m’estimer mon livre de poche ? Peut-être bien que je vais le vendre à une brocante avant Noël.
Ce serait pas mal et sympathique si vous répondiez quand on vous parle, je songe.
Ce blog c’est un peu comme avec Florange, des promesses, des promesses et puis au bout du compte, voilà où on est.
je suis là, je suis là, pas la peine de crier.
Bérénice, m’aivez-mou toujours ?
voui,mon gros dédé.
collante
Je ne comprends pas trop, c’est bien ou ce n’est pas bien le livre de poche?
Henri dit: 1 décembre 2012 à 18 h 03 min
Il en pense quoi, Onfray?
Marrant, ce chaos.
C’était déjà arrivé une fois, il me semble.
Un clic, et hop, dans les cintres, c’était quand?
L’embarrassant était la séquence suivante.
Les « adresses de contact » laissaient apparaître les vraies adresses e-mail.
Je me souviens d’un ton devenu (soudain) très circonspect, quand on s’était rendu compte que bouguereau était probablement Jean d’Ormesson.
Jean, si vous êtes là, votre post, dans son amicale obstination, m’est allé droit au coeur:
« Allez vous faire tous enculer » (bouguereau, 1 décembre 2012 à 10 h 13 min)
Vous souvient-il?
Nous étions, vous et moi, des piliers de Cinémathèque.
Votre passion pour Godard avait soulevé l’émoi chez de très jeunes filles.
Vous étiez un peu pâteux, mais toujours gai.
« Qu’ils aillent se faire jean-luquer », aviez-vous risqué.
L’oeil vif et le sourire coquin, c’était passé comme une lettre à la poste.
Ce n’est pas très juste.
Chaque fois que je réponds courtoisement à Daaphnée, je suis recouvert de sucre candi.
Non seulement je disparais, mais je ne m’explique cette soudaine sensation dans les fesses.
C’est pas un peu tôt, pour planter le nain dans la bûche?
la république des livres the blog le plus surréaliste du monde
Je me souviens d’un ton devenu (soudain) très circonspect, quand on s’était rendu compte que bouguereau était probablement Jean d’Ormesson. »
Mais non, Ueda, jean d’Ormesson sucre déjà les fraises. Vous vous égarez, mon chéri! Le Boug’ ce serait plutôt fraises au schnaps (quoique, les effets d’un tel mélange …
Je peux vous dire que « c h e r c h e f e m m e s e u l e e n m a n q u e d’ a f f e c t i o n » ne passe pas. J’ai essayé, vérifiez-vous même.
Je me souviens d’un ton devenu (soudain) très circonspect, quand on s’était rendu compte que bouguereau était probablement Jean d’Ormesson.
Mais non, Ueda, jean d’Ormesson sucre déjà les fraises. Vous vous égarez, mon chéri! Le Boug’ ce serait plutôt fraises au schnaps (quoique, les effets d’un tel mélange …
Ah ça, une fois, il vous salue,
mais belge, godverdomme non !
Au demeurant, il ne s’en fut
que de naître, ou bien wallon
ou alors flamand, aussi ingénu,
sur l’Escaut, au bout du pont.
Natalement.
en fait la chronologie ne tient pas, parce que certains activent l’option « répondre » et que worpress ne maintient pas d’alinea pour les réponses-apartés ! Mal fichu.
Ladies and gentlemen, be aware: NE PAS ACTIVER L’option « REPONDRE »
D., essayez de leur proposer quelques chocolats (mais quittez le bonnet et les moufles) ..
y’a pas de gentlemen ici,O perfide
daaphnée
y’a que des mecs qui s’emmerdent,O bifide daaphnée
y’a que des gros dégueulasses,O frigide daaphnée
y’a que des intellos à deux balles,O glucide
daaphnée
y’a que des mysogines,O stupide daaphnée.
Tenez, regardez ces couvertures de bons vieux « Pelican » books :
http://www.guardian.co.uk/books/gallery/2012/dec/01/classic-pelican-book-covers-pictures
Comme j’ai déjà essayé de de le dire Daaphnée (hop, dans les cintres), à chaque fois que je vous réponds courtoisement (car je n’y manque pas), une nappe de sucre candi s’abat sur votre serviteur.
Tant pis.
L’alcool et les fraises?
Mon expérience vécue dit: Achtung, mais je reste à l’écoute.
C’est comme le sushi/ Bordeaux, ce n’est pas faute d’avoir maintes fois essayé, par respect pour la fécondation réciproque des cultures… le cross-fertilizing, hein (excellent negi-toro + excellent Pomerol).
Sur le papier, tout le monde serait content.
Naturellement c’est aberrant.
Mais pourquoi?
Ueda, regardez l’erreur:
Le Boug’ dit:
« 1 décembre 2012 à 10 h 13 min
allez vous faire tous enculer »
alors que Jean D’ormeson aurait dit:
Allez tous vous faire enculer, mes chéris.
Je vous assure, il y a un ordre. Idem pour les fruits et les alcools de leur terroir.
Mais je vous rassure, pour ce qui est de la grande affaire humaine, nous pouvons allègrement transgresser les frontières, sans commettre la moindre faute de goût ..
C’est une question de LA femme et de L’homme du moment, je crois bien . Brigre, nous ne sommes pas des fraises !
C’est assez convaincant, Daaphnée.
A ceci près que l’écho possible du « Mes petits chéris » de notre ami Mauvaise Langue introduit dans cette histoire ce que Sergio appellerait un effet Larsen.
Vous n’avez pas tort, il faut toujours que certains mettent un morceau de sucre en trop dans leur thé. Heureusement que Sergio garde sa réserve de Whisky dans sa boite à gants, on peut compter sur lui.
Un commentaire – je ne sais plus de qui exactement – disait que l’inconvénient des livres au format papier est qu’il faut les stocker. Mais la liseuse est-elle vraiment la bonne solution ? Étant petite, j’écarquillais les yeux devant la grande bibliothèque des grands-parents. Dès lors, un seul rêve ; celui d’avoir un jour la même. Passer au numérique est beaucoup plus difficile qu’il n’y paraît.
Pas de Sergio sans sa mignonnette, c’est sûr.
On est quand même inquiet pour Mauvaise langue (dont la déraison s’accompagne de beaucoup de raisons, qui nous intéressent, quel homme).
Nous l’avions tout de même averti sur le port obligatoire du bob dans les cas d’insolation, de méditation, de révélation.
Bon, il va nous revenir, en rouge et blanc…
rose dit: 1 décembre 2012 à 19 h 30 min
Allez sur abebooks.fr
Avec les idées qu’on lui connaît, Mauvaise Langue s’est fait huer sur Médiapart, où les médiapartistes, gens fort tolérants car de gauche, disent-ils, ont demandé et obtenu son départ
Mon premier message est parti par erreur, avec un avertissement typiquement wordpressien comme quoi… j’étais en train d’envoyer un doublon !
Ah les c..s !
(Et celui-ci va-t-il valser dans les cintres ? Chi lo sa ?)
…
…aucune cause,…ne vaut d’y perdre la vie,…et pourtant je lis encore,…des petits trucs d’ateliers,…pour un » must monopole « ,…
…etc,…
Vous savez, PMB, un monde entre-soi est rapidement insupportable.
Par exemple, sur ce blog libéral, un M. Régniez est probablement indispensable.
(Dans son discours à lui: une place infinitésimale mais non-substituable dans l’économie générale du salut.
Ce n’est pas lui qui dit ça, mais son perroquet qui s’appelle Marco: un vivant suffisamment malin pour parler espagnol et guarani, mais prétendre ne pas parler le français de son maître. Il a compris que la théologie de la libération, ce n’est pas hier, mais après-demain).
Mais quoi, ML avait de meilleures lectures, même s’il se mettait facilement en pétard.
De plus, je crois savoir que ML ne supporte pas la vue du sang, contrairement à ce que dit M. d’Ormesson, qui l’appelle Dracul.
Quelle caméra invisible nous a jamais montré les niches, les papouilles, les guili-guili qu’on se fait à la buvette de l’Académie?
(Ne comptez pas sur moi pour regarder ça, pas pour moi les adeptes de Jean-Luc, hein).
pfff
C’est peu convaincant, Daaphnée.
L’écho possible du « Mes petits chéris » de notre ami Mauvaise Langue introduit dans cette histoire ce que Sergio appellerait un effet Larsen.
Oui enfin faut pas qu’il y ait un Torre canyon dans les livraisons entretemps, sinon je suis cuit… Ou alors y a toujours la ressource de Lucky Luciano ou des Castallamarais…
C’est assez peu convaincant, Daaphnée.
L’écho possible du « Mes petits chéris » de notre ami Mauvaise Langue introduit dans cette histoire ce que Sergio appellerait un effet Larsen.
Pire, c’est vestibulaire, ça déséquilibre…
ça remonte
Mouais, le coup des indentations et des « répondre à », ça tient à peu près la route comme dans la Grande vadrouille, Herr Kapellmeister…
« Pour ce qui est de la grande affaire humaine, nous pouvons allègrement transgresser les frontières, sans commettre la moindre faute de goût .. »
Magnifique perspective, Daaphnée, c’est un véritable acte de foi.
Mais il faut au préalable reconnaître le qui, hein.
Pas une éthique universalisante, ça.
Plutôt une culture du secret.
Pour certain, la « grande affaire humaine » est la rencontre de dieu(x), la perpétuité de la filiation, la fidélité accordé (un jour) à une croyance commune…
Vous, c’est l’amour, quel intrépidité.
Le coup de dés.
ueda dit:
sans sa mignonnette
Euh… Un jéroboam, plutôt…
Ah ben voilà, ça marche aussi bien comme ça.
Si Pierre Assouline n’avait pas fait le malin en quittant bloglemonde on en serait pas là.
en guise de commentaire du lien, et de la dernière évocation du billet, ces premiers mots de la métaphysique d’Aristote :
1 [980a] L’homme a naturellement la passion de connaître; et la preuve que ce penchant existe en nous tous, c’est le plaisir que nous prenons aux perceptions des sens. Indépendamment de toute utilité spéciale, nous aimons ces perceptions pour elles-mêmes; et au-dessus de toutes les autres, nous plaçons celles que nous procurent les yeux. Or, ce n’est pas seulement afin de pouvoir agir qu’on préfère exclusivement, peut-on dire, le sens particulier de la vue au reste des sens; on le préfère même quand on n’a absolument rien à en tirer d’immédiat ; et cette prédilection tient à ce que, de tous nos sens, c’est la vue qui, sur une chose donnée, peut nous fournir le plus d’informations et nous révéler le plus de différences.
http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Aristote/metaphysique1.htm
Le sucre gâche le thé.
la manière dont vont s’insérer les commentaires
relèvant de la punition au moins pour moi qui ne tiens pas particulièrement à commenter sur aucun blog , et apprécie de trouver une certaine « cohérence dans les propos que j’y vlis par désir de « savoir » (voir Aristote cité et le commentaire * : « ), je ne suivrai plus les commentaires de la RdL,qui me semblent aussi comme un supplice pour P.Assouline qui se trouvera sans peine des diables plus talentueux que moi à régir
*le désir de savoir est naturel en nous; et c’est là un des caractères essentiels qui distinguent l’homme de la brute
À un moment je me suis fait l’idée que bouguereau est une masque de Sollers : un Arlequin mal composé… mègalo sur les bords, mais ce n’est pas grave. Comment a-t-il a pris la chose ? bien ? mal ? peu importe.
Voilà que mon post est parti on ne sait où. Si ça continue comme ça, ça devient un travail, et cela est détestable car il faut refaire la manouvre, ce qui fait :
1. consommation injustifiée d’énergie ;
2. usure de la machine ;
3. perte de temps.
Enfin, revoilà le post :
À un moment je me suis fait l’idée que bouguereau est une masque de Sollers : un Arlequin mal composé… mégalo sur les bords, mais ce n’est pas grave. Comment a-t-il a pris la chose ? bien ? mal ? peu importe.
Par exemple, j’ai ouvert la machine et écrit « Le sucre gâche le thé ». Bon, ce n’est qu’une opinion, mais où est-elle allée se ranger ?
… ce que Sergio appellerait un effet Larsen.
Plus banalement un feedback : un enfant qui fait son caprice…
l’affection de ML quand il nous appelle ses petits chéris est bon enfant et louable
tristesse à ceux qui ne savent pas reconnaître l’affection bon enfant mais savent que le sucre gâche le thé. Les amateurs de thé ne le sucrent pas, grands dieux !
Souvent les gens parlent du fait de vieillir comme d’un naufrage. Moi, je trouve ça plutôt divertissant.
Il y a des démonstrations d’affection dont on se passe volontiers. Par ailleurs, nous sommes libres de choisir qui peut nous donner une telle démonstration et qui peut aller voir ailleurs…
Une charge en règle : essai,
j’avoue ne pas comprendre comment ca marche sur l’annexe du moulin de Maitre Pierre en ce moment…la chronologie me semble devenir elastique et comme me disait ma gamine ce midi, nous nous approchons d’une singularite…laquelle j’en sais rien…un immense trou noir au beau milieu du blog… peut-etre dans l’ample derriere du bougre, qui nous avalera tous…et rien n’en ressortira, ni ses obscenites ni la chronologie de base qui veut que le commentaire date 30 novembre a 10:15 doit necessairement apparaitre avant celui date 1 decembre a 10:20…
pour être à la file indienne cliquer sur le réponse du précédent commentateur pour l’instant, après on verra.
Balises :
strike pour rayer le texte
strong pour le mettre en gras
em pour les italiques citations etc.
Have nice time.
renato je pense que libres sous votre plume, c’est une figure de rhétorique.
Avec tout le respect que je vous dois & sans arrière-pensée : pour moi vous êtes tout, et immensément, sauf libre.
On est aussi libre de répondre à qui l’on veut répondre sans que l’autre n’exige une réponse en se déguisant sous divers masques (persona). Sinon, c’est de l’ordre du viol.
Un a le droit d’appeler l’autre ma poulette, mes petits chéris, mes choubinets et autres formules hypocoristiques. Ceux qui reçoivent cela sont en droit de l’accepter ou de ne pas l’accepter. Cela n’interdit pas à celui d’appeler d’appeler ainsi, c’est la sienne de liberté individuelle.
Par contre, c’est bien autre chose que de se déguiser pour que quelqu’un vous parle ou vienne sur votre blog ou ouvre le lien que X désire qu’il ouvre. Là se situe la liberté à mes yeux. De dire c’est moi et l’autre ouvre ou pas, répond ou pas, accepte ou pas. Mais appeler les autres de petits mots doux n’a jamais été une imposition de quoi que ce soit envers autrui. Mais ce n’est qu’à mes petits yeux bien sûr.
J’espère que vous me comprenez.
Vous êtes libre, rose, de penser comme bon vous semble… quant à être plus, moins ou point, libre, j’ai sur ma table de travail une feuille gravée sur laquelle on lit : Et qui est libre ?
Cela dit la liberté de choisir qui peut et qui ne peut pas m’appeler de petits mots doux est comparable à la liberté qui m’est donnée de choisir mes fréquentations, de manger ou ne pas manger la viande, de nourrir ou ne pas nourrir les oiseaux, etc.
Plus explicitement, je crois que vous devriez revoir votre idée de la liberté.
Quant à vous comprendre, j’aime que l’autre reste, à tous les effets, un mystère… donc, je ne ferai pas l’effort…
eh bien renato cela tombe bien car vous prônez des idées que vous n’appliquez pas, de facto, à vous-même (la tolérance, l’iconoclastie) ; là est la différence essentielle que j’éprouve face à vous où dire et ne pas faire m’importent peu.
N’importe qui peut vous appeler de petits mots, Pierre, Paul, Jacques ou Vincent. A vous de les recevoir ou pas : c’est pareil que si on vous envoie un ballon et que vous ne l’attrapez pas : vous n’êtes pas à même d’interdire à quelqu’un de vous envoyer un ballon. Vous avez comme ressource de quitter le terrain de jeu. Comme vous jouez, vous êtes sur le terrain, donc propice à recevoir le ballon. Si vous voulez jouer seul, soyez seul sur votre propre terrain et fermez l’espace aux commentaires : faites-vous lire par qui aimera vous lire.
Vous n’avez pas, à mes petits yeux, une conception simple et saine du monde : je trouve cela effrayant de telles complications.
De plus, et je cesserai là, je pense que jouer un rôle et ne pas s’y identifier nécessite une grande maîtrise de soi et lucidité. Bien des acteurs s’y laissent prendre, au jeu.
Or, toute personne alcoolique manque précisément de discernement.
Je parle de manière générale sans vous accuser d’aucune sorte : néanmoins, j’insiste sur le fait que pour moi, quelqu’un qui se planque, pour entrer en contact avec autrui qui refuse cette relation, si ce n’est commet un viol, commet un cambriolage : mais souvent, c’est le terme viol qui me vient, quand l’un force la porte de l’autre contre sa volonté.
Je suis bien désolée que vous ne fassiez pas l’effort de me comprendre, mais je considère que c’est votre droit le plus strict.
cordialement,
Bon, une fois j’ai oublié de cliquer sur « Répondre » ; la deuxième fois j’ai cliqué et le post est parti ailleurs même si « RÉPONDRE À ROSE ANNULER LA RÉPONSE » était bien en évidence. Voyons encore une fois.
Si une personne reste trois jour sans boire, rose, et il en souffre pas, il n’est pas alcoolique. Or, moi, je reste jusqu’à 7 jours, parfois 10, sans boire. Par ailleurs, je ne bois que si je mange de la viande, et puisqu’après les 60 ans ce n’est vraiment pas une nécessité…
Je me souviens avoir joué avec les pseudo sans tenir en comte que le formulaire d’envoi était rempli, et la chose n’a pas duré longtemps, et maintenant je contrôle avant de cliquer sur « envoyer ».
Quant à la tolérance, la chose doit être réciproque ou alors ne sera pas… tandis que pour ce qui est de l’iconoclastie il faudrait me faire des exemples…
Pour ce qui est du fait que j’ai fermé les commentaires sur mes blog, je préfère un jeu plus privé : il y a une adresse et si quelqu’un veut me faire part de ses opinion, peut le faire comme tant d’autres le font.
Vous devriez vous réjouir que dans un monde où tout le monde demande à comprendre l’autre, quelqu’un refuse l’exercice. Voyez la chose comme ça, nous avons un système de signes afin de communiquer, et cela suffit pour nous comprendre même s’il arrive qu’on se trompe dans l’usage. Au delà de ce système, on se perd dans la nébuleuse des implicites, des sentiments qu’on arrive pas à exprimer, des désirs qu’on tait, et cela est un monde où je ne veux pas entrer.
la vérité c’est qu’il n’y a plus de discernement dans le passage en poche dans nombre de maisons d’éditions; c’est souvent affaire de rapports de force, de retours d’ascenseur qui n’ont rien à voir avec la qualité des textes. Le moindre membre de prix littéraire se le voit offrir comme un cadeau monnayable à souhait. Comment expliquer qu’un auteur aussi péniblement kitsch et ringard que Patrick Grainville, dont les chiffres de vente sont dérisoires, se voit ainsi rééditer en poche le moindre de ses innombrables et indigents romans. réponse : le prix Médicis. Plus de critères littéraires ni commerciaux, juste de la basse politique éditoriale.
pour le traitement des poches sous les yeux , consultez!
Tant pis pour le doublon et la violation
d’espace de réponse : juste pour essayer
d’expédier à la suite du temps qui passe…
« Feu-le-livre-de-poche » ?
L’pif lèche l’oeuvre !
Conteprêtriquement.
Ladies and gentlemen, be aware:
—
Je ne veux pas la ramener (fatale prétérition) mais je vous conseillerais la prochaine fois d’utiliser les expressions suivantes à la place de ‘be aware’:
1. « Beware »
(The soothsayer [to Caesar: « Beware the Ides of March », Shakespeare, Julius Caesar,I,2; « Beware the Jabberwock, my son!(…)Beware the Jubjub bird… » Lewis Carroll, Jabberwocky, Through The Looking-Glass And What Alice Found There, etc.)
2. à la rigueur « Be alert » (comme dans « Be alert, your country needs lerts (!) », Graffiti, vol 2)
Excuser la cuistrerie, mais l’anglais étant la langue la plus facile à mal parler…
>renato,
je vous remercie de votre réponse.
La difficulté est que je ne parlais pas de vous en particulier mais en général.
Ce n’est pas grave, j’y reviendrai, lorsque j’en serai capable.
Comprendre l’autre m’intéresse moins que de savoir qui il est.
Mais alors grands mystères, qui se déflorent néanmoins au gré de ce qui est essentiel dont la mort et les actes impliquant la mort.
Je ne me réjouis pas des particularismes. Je me réjouis des individus capables de respecter intensément l’autre individu, entre autres choses dans ses douleurs. En particulier en lui foutant la paix. Au réveil pense à cette femme artiste qui vampirise autrui : elle ne crée pas sas pomper aux autres les sujets de sa création. D’autres, bien sûr, se nourrissent de ce qu’ils vivent mais ont un acte créateur authentique, individuel, personnel. Je ne sais pas si je me fais comprendre en écrivant cela.
C’est clair pour moi.
Ce discours sur l’alcoolisme je l’ai subi, je l’ai vécu de plein fouet : il m’en reste des traces atroces, gravées sur mon corps et pis dans mon âme : je ne l’entends pas, je ne l’admets pas. La seule chose qui compte pour moi est de marcher vers une tentative allant vers la sincérité (je ne l’attends pas et ne parle pas de vous, mais là encore de manière générale).
Je ne suis là ni pour régler votre compte, ni celui d’autrui ; je voudrai que nous soyions capables de vivre ensemble sur un blog hors agressivité permanente.
J’aime entrer dans le monde où vous ne voulez pas entrer ; je vous aime bien renato, bonne journée cordialement à vous.
Je clique sur répondre à renato, je vais voir si je pars ds les cintres ou bien suis juste après vous, en dessous.
>renato cela n’a pas marché : je suis tombée après Polémikoeur.
Là je suis après lui -je clique répondre à Polémikoeur- je vais essayer voir si cela se met avant moi à 8h48. Hop, je fonce.
>reanto c’est trop triste, cela n’a pas marché non plus, je tombe après moi.
Tant pis, bonne journée à vous.
là je clique répondre à rose je parle à moi-même : c’est d’un malin ! Consommé…
« Je suis tombée après Polémikoeur »,
c’est la faute à l’programmateur !
Parachutristement.
je retente je clique sur Polemikoeur et je verrai où je vais choir, tristement, autant.
>renato juste comme cela pour vous dire encor.
Sans que je ne le décide de façon formelle, il y a peu de jours de cela, la semaine passée, j’ai laissé choir la moitié d’une torture que j’ai eu conçue pour quelqu’un qui m’a blessée grandement, accroissant par cela mon doute envers la résilience espérée.
Il me/lui reste la base de la torture, mais la seconde part est éradiquée, hors ma volonté première.
bon dimanche, j’aime à vous savoir heureux, que les choses soient.
//male étrenne dit: 2 décembre 2012 à 0 h 45 min
en guise de commentaire du lien, et de la dernière évocation du billet, ces premiers mots de la métaphysique d’Aristote :
1 [980a] L’homme a naturellement la passion de connaître;
2 décembre 2012 à 0 h 55 min
je ne suivrai plus les commentaires de la RdL //
Pour cet amour d’Aristote, souffrez qu’on vous invite malgré tout à reconsidérer.
Pendant longtemps, nous avons tous vécu dans l’illusion que l’espace de ce blog était tout simplement régi par des symplectomorphismes, après que Sergio nous ait expliqué les théorème de Darboux et de Gromov.
Mais non, nous sommes comme des curistes placés dans une suite linéaire, on ne peut s’avancer qu’en ayant saisi le peignoir du malade précédent.
A quoi c’est qu’on voit qu’on est dans un espace autoritaire sous l’oeil d’un grand Thérapeute?
A ce que nous ne pouvons plus que « Répondre ».
L’âge heureux des questions… c’était autrefois (comme c’était bon).
Pourtant, renato, il vous a été expliqué comment et pourquoi fonctionnait le bazar. Vous vous plaignez comme un enfant.
Revenons au sujet. Une idée m’est venue cette nuit : le livre de poche ne mourra pas tant qu’on le fera vivre.
Vous avez abordé le sujet de l’énergie, renato. Cela m’a donné une idée : vendre le livre de poche à très bas prix grâce à une subvention de l’Etat et mettre en place une filière organisée de leur recyclage dans le but de les transformer en granulés compacts qui iraient dans les chaudières à bois. Ce serait avantageux sur toute la ligne : pour le lecteur, pour le bilan carbone, pour l’emploi.
C’est une idée brillante, Deneb.
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