Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Vous avez encore l’été pour vous entraîner à prononcer le nom de Karl Ove Knausgaard. Ces dernières semaines, il était difficile au lecteur de la presse littéraire anglaise et américaine d’échapper au « Proust norvégien » ainsi qu’on le présente généralement. Il s’impose partout, comme avant lui un Bolano ou un Murakami, ; sauf que lui le fait avec d’autres moyens. C’est peu dire qu’il a fait sensation. Il y a deux jours, il y avait foule pour l’écouter à Brooklyn ; bientôt il sera à Varsovie où l’accueil sera probablement égal. Les plus grands journaux ont donné le la. Les articles qui lui sont consacrés en abondance sont tous incroyablement longs et détaillés, comme s’ils se voulaient à la mesure de son opus. Les critiques rivalisent de superlatifs à son endroit ; rares sont ceux d’entre eux qui mettent un bémol.
Le jour où il a constaté que sa femme l’avait quitté et qu’il venait de dépasser les 100kgs, il quitta la Norvège pour s’installer en Suède, se mit au jogging, collabora à une nouvelle traduction de l’Ancien Testament en norvégien, se remaria avec une amie de jeunesse maniaco-dépressive et éleva ses quatre enfants tout en écrivant sa grande œuvre. Min Kamp est son combat pour écrire son livre à la recherche de sa vérité. Cette fresque autobiographique en six volumes, parue en Norvège entre 2009 et 2011, ne se veut rien d’autre qu’un racontage de mézigue. 450 000 exemplaires y ont été vendus ce qui est considérable pour un pays qui compte à peine plus de 5 millions d’habitants. Depuis, l’auteur est accablé de prix littéraires chez lui comme à l’étranger, à commencer par le prix Brage qui est le Goncourt norvégien.
La chose a commencé à paraître dans une vingtaine de pays, suscitant une curiosité et, le plus souvent, un enthousiasme et une ferveur inouïs. En France, Denoël a publié le premier tome il y a deux ans. La Mort d’un père est le récit d’une enfance de souffrance et de martyr, minée par l’humiliation et la culpabilité, dans la terreur d’être moqué par son père pour ses larmes même, spectre qu’il évoque à travers l’image d’un Christ en croix la tête couronnée d’épines, sa madeleine semble-t-il. L’adolescent qu’il fut raconte ce que c’est d’être le fils d’un homme tyrannique, violent et alcoolique, traînant ses dernières années dans la déchéance la plus totale, pataugeant dans sa pisse, sa merde, sa crasse auprès de sa propre mère incontinente. Amazon conseille de l’offrir pour la fête des pères avec un sens de l’à-propos qui n’appartient qu’aux algorithmes. Le tome suivant paraîtra en France à la rentrée sous le titre Un Homme amoureux. L’entreprise est ambitieuse, riche, déroutante, hors-norme sans aucun doute. Mais encore ?
L’auteur, aujourd’hui âgé de 45 ans, se raconte avec un souci d’exhaustivité qui laisse perplexe car on ne lui en demande pas tant, d’autant que l’intérêt de son quotidien de 1968 à nos jours est, comment dire, inégal (je n’ai lu que La mort d’un père dans la traduction française de Marie-Pierre Fiquet, ainsi que A Man in love dans la version anglaise de Don Bartlett, mais il faudrait lire l’ensemble pour en juger). Tout y passe de ce que fut sa vie, au plus intime de ce qu’il a vécu, quels que soient les dégâts annoncés, au service d’un vrai projet littéraire. Mais peut-on tout raconter ? Sa famille n’a pas eu l’air trop d’accord, surtout du côté paternel. Elle lui a même fait rudement savoir par voie de presse que ce grand déballage la débectait quelque peu. Quatorze membres de ladite famille ont dénoncé « De la littérature de Judas » dans une lettre ouverte publiée dans la presse, après que les reporters soient partis à la recherche de chacun de ceux mis en cause par l’écrivain (il n’y a qu’une seule famille Knausgaard dans toute la Norvège). Le parfum de scandale n’a pas été étranger à son succès. Sa mémoire lui joue des tours, ce qu’il reconnaît volontiers. Ce qui ne poserait guère de problème si le statut de son livre était clair ; or si il a bien été présenté aux Norvégiens comme un roman, c’est avant tout par précaution à la demande des avocats.
Il semble que nombre de ses proches l’aient fui, ce qui ne l’a pas atteint dans la mesure où il place la littérature au-dessus de tout, du moins ce qu’il estime être son authenticité. A croire qu’il a conclu un pacte faustien avec le diable, quitte à tout perdre sauf l’intégrité de son oeuvre. Même si sa sincérité s’est quelque peu émoussée d’un tome à l’autre, les avocats de son éditeur veillant au grain en lui demandant d’être moins brutal. Comme il n’est pas avare d’interviews, révélant une pensée d’une étonnante platitude, on ne lui fera pas de procès d’intention ; mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense. Son rapport à la fiction pourrait se résumer à cela : la littérature, c’est lorsqu’on a réussi à se débarrasser de tout principe esthétique ou artistique pour s’en tenir au ressouvenir de ce qui s’est vraiment passé. Ce « tout ou rien » serait son absolu de l’écriture, et ce serait lui faire injure de lui faire le coup du « Je est un autre ». C’est sa confession et rien d’autre. Un échantillon de son style ? Lisez cette digression sur le cou qui vient de paraître dans The Paris Review.
Il y a effectivement quelque chose d’universel à monter ses meubles Ikéa tout en s’interrogeant sur le sens de la vie. D’où le succès interplanétaire d’un norvégien proustisant qui se contente de raconter la sienne. A propos, pourquoi Proust ? Parce qu’il est long et que la vie est courte. On nous avait déjà fait le coup dans les années 70 quand Anthony Powell fut présenté comme le Proust anglais, au motif que A Dance to the Music of Time, le cycle romanesque en douze volumes dont il venait d’achever la publication, était long et mélancomique. Un critique a été jusqu’à établir point par point ce qui rapproche et ce qui distingue Proust et Knausgaard… A ceux qui se demandent comment il peut consacrer une cinquantaine de pages à raconter un goûter d’enfants, on répond que Proust en consacre une dizaine d’emblée à dire son impossibilité à trouver le sommeil. Un critique anglais ayant remarqué que My Struggle (3622 pages à peine) était long de six volumes, alors que A la recherche du temps perdu en fait sept, faut-il en conclure que Knausgaard n’est pas Proust, mais presque ? On en est là.
On ignore quelles furent ses lectures mais on sait qu’il paie volontiers sa dette à Thomas Bernhard. L’influence ne saute pas aux yeux. On a même parlé à son propos d' »existentialisme nordique« . Mais où vont-ils chercher tout cela ! Sa phrase est longue, digressive, clichesque, détaillée, énumérative, hyperréaliste, conçue dans une logique d’inventaire. Il privilégie le gros plan sur la vue d’ensemble., et s’emploie à dépeindre son quotidien dans toute sa monotonie, en répétant par exemple la description des tâches ménagères que son frère et lui exécutent à la mort de leur père, après avoir constaté que la littérature ne le fait jamais. Du compte-rendu de ses travaux et de ses jours minute par minute, il ressort convaincu d’avoir repoussé les frontières du récit autobiographique jusqu’à des territoires jamais explorés avant lui. Cela se veut le rapport extraordinaire d’une vie ordinaire. Comme si l’exposition de l’ici et maintenant allait lui permettre d’exorciser le réel. Les événements rapportés y semblent indifférenciés, hors de portée de toute hiérarchie. Tout se vaut, l’essentiel et le superflu, l’évocation de sa baignoire et un vers de Paul Celan, la liste des courses à faire et Les Mots et les choses de Michel Foucault. Mais est-il vraiment indispensable de consacrer des pages à raconter comment il a finalement échouer à apprendre à jouer de la guitare quand il était jeune (qu’est-ce que ce serait s’il avait réussi !) ? Knausgaard explique son succès par la banalité même de son propos, mais une banalité non filtrée par la littérature, entendez : les artifices de la fiction, dans laquelle les lecteurs se retrouveraient mieux. Il est vrai que tout une page sur les vertus de l’Ajax multiusages, quand lui et son frère s’emploient à nettoyer l’appartement de leur père, favorise une identification maximum. Si encore l’Ajax en question était transcendé par quelque chose de plus haut que lui, en fils de Télamon et Péribée, ou en équipe de foot légendaire, mais même pas : l’Ajax n’intervient qu’en tant que tel, aussi platement qu’un nettoyant à l’ammoniaque qui n’est que ce qu’il est.
Min Kamp est logiquement devenu My Struggle dans la version anglaise, mais l’éditeur allemand a curieusement renoncé à Mein Kampf qui s’imposait, allez savoir pourquoi. Pour leur chance, Mon combat ne dit rien aux Français. Quant à comprendre la nécessité d’un tel titre, il faudra attendre la parution du tome 6 : bien que, pour l’essentiel, il y commente la réception houleuse des précédents volumes et leurs conséquences sur son entourage, l’auteur consacre 400 pages à un certain Hitler. Ainsi, Anders Breivik rencontrant le point Godwin, la boucle est bouclée. Ne manquait plus qu’une « gueule », ce qui ne gâte rien pour un jeune écrivain connu pour sa notoriété. C’est celle d’un acteur. On croirait que ces deux-là sont des jumeaux séparés à la naissance : quelque chose d’un Brad Pitt norvégien ou d’un Patrick Swayze scandinave mais en plus torturé, plus désespéré.
L’histoire littéraire n’est pas avare de grands romans où, en apparence, il ne se passe rien. Sauf que tout y advient quand rien ne se passe : un univers surgit, des personnages prennent forme, une sensibilité se dessine, une sensation du monde se précise petit à petit… Alors que là, rien. Du moins rien se produit dans l’écriture, l’analyse des sentiments, la perception des émotions, le rendu d’un paysage. Knausgaard, morne plaine. C’est d’un ennui sans qualité, car on connaît des ennuis sauvés par l’art. Même ceux qui critiquent la médiocrité de ses métaphores reconnaissent leur addiction à cette suite de livres, de l’ordre de celle qui les attache à certaines séries télévisées qu’ils se procurent en DVD par kgs de saisons. Difficile de dire si c’est bon ou pas, mais impossible de s’en déprendre. Une drogue qui réussit à vaincre et diluer l’ennui. Ceux qui en parlent disent qu’ils ne le lâchent pas. A commencer par des écrivains tels que Zadie Smith, Jonathan Lethem, Jeffrey Eugenides, Hari Kunzru qui ne se privent pas de le faire savoir. Ainsi devient-on l’auteur-favori-de-mon-auteur-favori, génial coup de marketing, d’autant plus efficace qu’il fut spontané.
Karl Ove Knausgaard s’est mis à son prochain livre, plus proche du genre fantastique, sous la double influence de Borges et Calvino. Une histoire dans laquelle il ne parle pas du tout de lui.
(Photos David Sandson, Daniel Nilsson et D.R.)
1 296 Réponses pour Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Enfin Passou s’est trouvé en capacité d’être apte à pouvoir écrire un nouveau billet!
Ce Proust norvégien me fait plutôt penser à un Bellegueule clopeur, genre viking-normand plat comme une table de ping-pong en hiver boréal …
On a même parlé à son propos d’ »existentialisme nordique« . Mais où vont-ils chercher tout cela !
c’est un peu les inventeurs nan..knutt hamsum..au hasard hin lassouline..va pas croire
…
…un autre genre à du Belle-gueule scandinave à la mode!,…encore de quoi se refaire son » riton ronde bosse d’or » au champagne,…etc!,…
…
…buvez et manger,!…ceci est mon sang,…et mon corps,…à la bonne heure!,…
…
…par ici,…la monnaie à César,…pour des Christie’s d’écrits – homes en vente public cousus-mains à touches & plumes naratives!,…
…etc!,…
Nous sommes tous des phénomènes de société.
Quand on a acheté dans la semaine un petit chef-d’œuvre de moins de cent pages, il y a quelque chose de réconfortant à l’idée qu’un livre qu’on n’achètera probablement pas en contient des milliers.
Si ces photos étaient postées à la RATP, on aurait droit à trois brins d’herbe, façon Lucky Luke.
Edouard Louis est picard, pas normand.
pour le billet
la question n’était pas de l’écrire, mais de choisir le zigue plus approprié pour ce tour? coup?
Viking-normand….
après le D.Day, Lucky Luke i’m a lonesome cowboy hé bé!
Tit punch , votre pseudo m’est fort parlant – dans un genre, comme dire ? affectif et canin !
Il fallait bien le scoop brayon du jour!
Bon sang, JC, Edouard Louis, faut avoir une sacrée imagination pour assimiler ce frêle jeune homme à un vicking… Or, je ne vous sais pas imaginatif. Bourré de poncifs, ça, oui…
Notre hôte cite, à propos du visage buriné du norvégien,Brad Pitt. Mouais. Je veux bien, mais bibi, c’est tout de suite Jeff Bridges que j’ai reconnu. Un Jeff Bridges inquiet et désolé…
Mais un Jeff Bridges quand même.
Pris le temps de lire un peu l’essai sur le cou.
Un aspect intéressant est qu’on ne sent aucune nécessité pour qu’il s’arrête, pour qu’il soit deux fois plus court ou dix fois plus long.
On est devant un causeur nonchalant, accoudé à une table rustique, et il faut très vite décider si on trouve un prétexte pour partir, ou si on commande une bière, une grande, très grande bière.
On parle d’influence de la Norse saga, ça aussi c’est un signe qui départage deux catégories de lecteurs, les imprudents qui viennent tremper l’orteil et les autres qui prennent leurs jambes à leur cou.
« Comme il n’est pas avare d’interviews, révélant une pensée d’une étonnante platitude, on ne lui fera pas de procès d’intention ; mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense. »
C’est à une phrase comme celle-ci qu’on aime notre Passou.
DECODAGE POUR LES NULLES
« Ce Proust norvégien me fait plutôt penser à un Bellegueule clopeur, genre viking-normand plat comme une table de ping-pong en hiver boréal … » (JC)
-Le viking-normand est évidemment le Proust norvégien
-un Bellegueule, pas parce qu’il est pédé comme un phoque le viking-normand, mais parce qu’il a eu une enfance cruelle, qu’il s’en badigeonne, et que la famille râle…
-fumeur, parce que ce tigeur semble accroché à sa clope comme un malade complètement addicted
-plat : ce que fait ressortir Passou par le terme « ennui »…
-ping-pong en hiver boréal, durant les longues nuits d’hiver, on y joue beaucoup sous les lumières artificielles, dans des salles tristes, en attendant le printemps.
Clopine, j’ai bien vu que c’était votre type.
A quand la saga de Karl Ove Klopin et Eddy Clopinou?
Si j’ai bien compris, il faut partir de choses sans relief (« Je fais la vaisselle »), mais comme c’est aussi le point de départ d’entreprises poétiques considérables (Ponge et son savon, tiens) ou d’expériences mystiques façon Zen pour tous, je me méfie.
Ne pas dévier du littéral, du détergent, du balais brosse ou de l’eau de vaisselle, ce n’est pas à la portée de tous.
Le débutant dévie aussitôt vers le psychologique, le politique, le théologique. C’est pas bon? C’est quand même du psychologique, du politique, du théologique.
-ping-pong en hiver boréal
Jade Ping et Grace Pong pour les longues nuits blanches.
mmm .. quand on regarde ce bleu des yeux perdu derrière les cheveux filasses et les mains rougeaudes .. On a effectivement envie de lui souhaiter un prochain livre où, enfin (?) « il ne parle pas du tout de lui. »
..
A quand le roman en kit livré à domicile par un bon géant à cornes, avec sa petite clé coudée?
ça, c’est un billet pour que ceux qui ne peuvent pas s’empêcher de parler de leur potager et leur buanderie sur ce blog puissent le faire en toute bonne conscience avec des hmmm, et des ha,et de hin!
Un spécialiste* de psychologie de bar-tabacs-terrasse dans mon genre peut vous garantir que ce type est certainement plus honnête poivrot, crade sur lui, pénible avec les gonzesses, insupportable emmerdeur, que génie de la plume créative …!
*auto-proclamé
… après avoir lu l’article, il me vient juste à l’esprit qu’every body needs somebody to love so much,
so much ..
Avec talent, Chet Baker,
Funny Valentine
and you will hear a persistent theme: that by writing about himself, Knausgaard has really written about them, that reading My Struggle is like opening someone else’s diary and finding your own secrets
c’est pas possible, je ne m’en doutais pas!
UN AUTRE PHENOMENE DE SOCIETE, FEMININ…LO(L)
« Il faut bien voir que la poussée du Front national est le fruit de la politique du Parti socialiste. C’est le résultat de nombreuses trahisons de la politique pour les travailleurs. Mais ça ne date pas de Hollande et remonte à Mitterrand, voire à 1914. » (Nathalie Arthaud sur Libé)
P’TAIN ! 1914 ? ….. qu’est ce qu’on rigole !
Fan club de Passou dit: 7 juin 2014 à 10 h 28 min
Est-ce que vous acceptez encore du monde ?
Je paie ma cotis’.
« l’image d’un Christ en croix la tête couronnée d’épines, sa madeleine semble-t-il. »
Et madeleine, c’est bien connu utilise le décapant: tornade blanche.
« il venait de dépasser les 100kgs, il quitta la Norvège pour s’installer en Suède, se mit au jogging, »
Nous pourrions ajouter pour l’efficacité bien supérieure, la marche nordique mais cela ne vous ouvrira pas la clef d’une nouvelle écriture proustienne pour autant!
ne vous donnera pas la clef…vous aurez déjà corrigé…
et si de la sortie d’un livre, il ne convient pas de dire que c’est un événement(P.Assouline) je ne support plus depuis l’âge de disons 25 ans (pas 27 comme on compte au monde) la critique qui verse dans « le proust alganusien », « la sagan boliote »
KOK, une vraie drogue, une sorte de Kristin Angott des glaces, un Edward Munch du roman familial, un Knut Hamsun des sales temps actuels..Il a eu aussi son manuscrit refusé, comme Marcello? La ressemblance est frappante, surtout la mort de la grand-mère qu’est en fait la mère. La kritik s’ennoblit.
avant de passer en clé d’ut pictura,
. Elle condense aussi une bonne partie de la modernité musicale sortie de la guerre de 1914-1918, qui se retrouve comme contenue dans cette petite onomatopée de rien, «ta poum».
je me retranche
http://next.liberation.fr/musique/2014/06/06/les-tranchees-berceau-musical_1035413
Ne surtout pas croire que les Norvégiens ne s’intéressent pas aux choses sérieuses: le N°2 de l’ambassade Norvège (petit pays à l’activité diplomatique intense) m’a appris que Battiston couchait avec la femme de Platiini, et que c’était que justice si Schumacher lui avait collé un pain.
On recherche le pain perdu et on le trouve.
Jean Santeuil au beurre noir
Bloom nous donne du KOK en stock…
Ne surtout pas croire que les Norvégiens ne s’intéressent pas aux choses sérieuses
ils ont bien trop d’pognon kabloom..et il tle font sentir..le vdqs au prix du chanel ça dégoute à la fin
L’adolescent qu’il fut raconte ce que c’est d’être le fils d’un homme tyrannique, violent et alcoolique, traînant ses dernières années dans la déchéance la plus totale, pataugeant dans sa pisse, sa merde, sa crasse auprès de sa propre mère incontinente. Amazon conseille de l’offrir pour la fête des pères
La calamité d’avoir des parents n’a d’égale que celle d’avoir des enfants. Je salue l’initiative courageuse, lucide et pédagogique d’Amazon.
Bloom est une langue de pute politique… et … sexuelle !
Nota bene : un poids de 100kg ne veut pas dire grand chose, tant que la taille du monstre n’est pas indiquée. Un finniste de 100 kg, c’est un type mince s’il mesure 1,95m sous la toise !
ha je vois christian..il se cache derrière son piano a bretelle en demi queue
La calamité d’avoir des parents n’a d’égale que celle d’avoir des enfants
le lebensborn..goering uber alleusse
Karl Trucmuche a sûrement quelque chose à voir avec les sinistres Eddy Bellegueule et Doubrovsky, mais sûrement rien à voir avec Proust. A commencer par le fait que, chez Proust, il n’y a pas de longueurs.
Amazon conseille de l’offrir pour la fête des pères avec un sens de l’à-propos qui n’appartient qu’aux algorithmes
rhooo.. »au delà de 12°5 y’a pus dlimite » qu’il dit lassouline
chez Proust, il n’y a pas de longueurs
ça pinoche a casser des pots..clopine te contresigne sur la fesse gauche..(mon dieu qu’elle est blanche!)
« A commencer par des écrivains tels que Zadie Smith, Jonathan Lethem, Jeffrey Eugenides, Hari Kunzru qui ne se privent pas de le faire savoir. » (billet)
Jonathan Lethem, c’est un bon, un très bon, alors peut-être que… peut-être que c’est pas si mal.
Sor,
entre malfrats, on s’entraide…
JC….. dit: 7 juin 2014 à 9 h 47 min
« genre viking-normand plat comme une table de ping-pong en hiver boréal »
JC
Pour un scooteriste subjugué par les blondes scandinaves on ne s’étonnera pas de cette basse jalousie.
JC, avez-vous des nouvelles de datura 46 7 8 ? Aucun signe de vie ce matin, je m’inquiète.
Clopine dit: 7 juin 2014 à 10 h 25 min
Mais quelle est c….
Incapable de réfléchir au-delà de ses ânes.
Personne ne s’étonnera de son addiction à Edouard et sûrement à Karl Ove si passou…..
… je n’ai jamais eu de scooter : j’ai le vertige là-haut … les blondes scandinaves m’indiffèrent… je ne sais pas ce qu’est au juste le sentiment de jalousie…. et franchement, être jaloux de Proust, qu’il soit asthmatique ou norvégien ? …. peuh !
« JC, avez-vous des nouvelles de datura 46 7 8 ? Aucun signe de vie ce matin, je m’inquiète. » (Mariette)
N’ayez aucune inquiétude, nous nous sommes quittés téléphoniquement vers 2h ce matin, c’est vraiment un transgenre sympa, psychotiquement parlant ….
« K.o.k » dans les langues du nord, c’est le « chef » (pas viking, quoique à mon humble avis il ressemble plus à Travis Fimmel, le Ragnar Lothbrok de la série qu’on regarde en direct sur des chaînes payantes ou lors d’une razzia en streaming mais en aucun cas sur DVD — qui sont les blaireaux qui achètent encore ces supports « par kilos ? » –, qu’aux deux vieux acteurs d’Hollynoodle, Swayze et Pitt le Jeune), celui qui cuisine lui-même sa littérature sur ses propres fourneaux. Ikéa, Kvänum, offrent le mobilier idéal pour le faire, qui n’a pas connu, ne serait-ce que d’une façon subreptice, parmi tous ces éléments en épicéa massif fabriqués par des cerveaux nordiques, cette délicieuse promesse de solitude, de dépression et de torture, comme si on était au coeur d’une toile d’Hammershøi, d’une pièce d’Ibsen, ou d’un roman d’Hamsun, ? Les critiques qui ronchonnent un peu, un début d’esquisse de rictus de dégoût caché derrière leur mouchoir en dentelle de Calais, cette magnifique Malmö française, à l’idée qu’on les assomme avec cet abusif rapprochement proustien ne voient pas que ce jeu des correspondance vient d’eux (la critique littéraire s’est diluée, tout le monde emploie les figures de style qui furent jadis leur chasse gardée, les ‘mise en abyme’, ‘le nouveau Proust’, etc., ils se pensaient des Césars de la Critique, alors qu’ils sont pompés vivants dans les tuyaux d’internet), et que Knausgaard, dans son « Min Kamp » (notons l’apocope du ‘f’ en norvégien, ça change tout par rapport à l’allemand), livre peut-être un combat contre ce que Samuel Beckett (dans l’une de ses lettres, opportunément chroniquées par Pierre Assouline il y a une semaine ou deux) appelaient un « esclavage » (voilà le texte exact de la lettre : « J’ai lu le premier volume de la Recherche et le trouve étrangement inégal. Il y a des choses incomparables et puis des passages qui sont d’une méticulosité pénible, artificiels et presque malhonnêtes. Il maîtrise si absolument sa forme qu’il en devient esclave. ») Knausgaard semble être conscient de cet enjeu et même paraît s’en amuser, c’est ici-même qu’il apparaît un commentateur intelligent de Proust ou peut-être s’en fiche-t-il royalement, c’est ce qui est bien dans son oeuvre de « cabinet maker », on peut la recréer à notre guise sans suivre la notice (qui n’est pas donnée.)
A « Death in the Family » et « Boyhood Island » sont à lire si l’on est des « hommes libres », à la manière viking, on peut même s’entraîner à maîtriser son addiction, en regrettant simplement que Régis Boyer n’est pas été chargé de la traduction de cette saga en langue fransk.
un transgenre sympa
‘tain, il a enfin appris à faire des cacas nerveux tout seul ?
auxiliaire avoir par Odin !
je sors d’avoir vu la chambre bleue d’Amalric adaptée du Simenon, j’ai trouvé çà un poil plombant. filmé comme un notebook, le comédien à fleur de peau tremblant entra sa femme pâle et sa vie de père tranquille et une furieuse brune qui réveille ses souvenirs d’adolescent. le cliché pluvieux, l’écart social, l’avocat, le commissaire, la secrétaire, tous avec ce look improbable un peu au rabais, fragiles et féroces, la pharmacienne aux cheveux rouges, le type perdu par la révélation physique, une vie ordinaire qui dévisse ..
j’en ai pour une dizaine de jour à visionner des films récents, peut-être écouter Alan Parker. Sorry si je suis brumeuse, je me remets d’une tamponne au jameson. le type lahaut n’a en effet rien qui casse des briques, on en voit quelques spécimens en ville, imbus d’eux-mêmes.
Clopine dit: 7 juin 2014 à 10 h 20 min
Tit punch , votre pseudo m’est fort parlant – dans un genre, comme dire ? affectif et canin !
Je remue la queue.
Je ne sais pas si c’est convenable.
xlew.m dit: 7 juin 2014 à 12 h 50 min
Salut, xlew!
comme si on était au coeur d’une toile d’Hammershøi
Sergio aussi va aimer, presqu’aussi beau que du cyrillique
son « Min Kamp » (notons l’apocope du ‘f’ en norvégien, ça change tout par rapport à l’allemand)
Ça fait pas un peu cantonais?
qui ne se privent pas de le faire savoir.
ils auraient bien tort de fin asser avec leurs algorithmes d’amour
« j’en ai pour une dizaine de jour. Sorry si je suis brumeuse, je me remets d’une tamponne au jameson »
Une dizaine de jours au jameson, chantal, vous avez forcément oublié ce que vous avez dit.
Vous êtes sûre de ne pas avoir raconté votre vie à un type costaud, barbu et plutôt clopeur?
« les blondes scandinaves m’indiffèrent… »
Tu ne peux pas comprendre, JC, tu vis en espadrilles.
Hier (nuit du D-Day)
j’ai vraiment eu peur,
trés peur de tomber sous les coups de « modération »
de l’omniprésente pensée talmudique…
Mais aujourd’hui il fait encore soleil !
« Les gaulois étaient là, dans les broussailles et, à la faveur des ténèbres, protégés par la nuit profonde, ils étaient maîtres de la citadelle.
Leurs longs cheveux ont la couleur de l’or,
leurs vêtements dorés aussi,
dans leurs sayons rayés ils brillent,
ils entourent d’un cercle d’or
leurs nuques blanches comme lait,
en main ils brandissent
chacun deux javelots alpins,
et se protègent derrière de longs boucliers.
Virgile; l’Enéide/chant VIII
oUI Aujourd’hui encore, il fait encore soleil…
ET voilà:
kARL oVE, Breivik, Viking-Normand, Ajax même! Oh n’en jetez plus
min gud sjömil takk !!
Min, min, min mein – min mein !? Hva ??
Ja « min Kamp » ?!!
(‘mein kampf’)Oh là là,
Mais c’est que Votre Billet Mr. Passouline
se doit d’être mis
-fort-
en attente de motivation.
coquille : la séquence powellienne, c’est Dance TO the Music of Time
Sinon je ne veux pas remettre à 13heures le couvert sur les « chiffres »,
mais 450.000 exemplaires pour 5Millions d’hab.
ne veut pas dire plus que le fait,
qu’en Norvège un quotidien-Presse à vite un tirage de 400 à 500000 exemplaires, soit plus que nos grands tabloïdeux « nationaux »
(tellement formatés-formolés qu’ils n’intéressent -comme la plupart des livres, je me répète-, plus personne. Sauf les actionnaires, sachant qu’un quelconque journaliste plumitif-patenté est subventionné en moyenne par l’état, à raison de 20 à 30000 euros par an !)
one of the great writers about male frustration.
qui a dit « je vous ai compris »?
Knausgaard’s third volume, Boyhood Island, is set almost entirely in Karl Ove’s childhood.
C’est à partir de quel volume qu’on entre dans les histoires de cul?
@ ueda, c’est plutôt moi qui écoute, le jameson aide a supporter les récits de vie, après les films ..
Pour les polardeux, une perle, que ce Jo Nesbo:
NESBØ, Jo
Le Chasseur de têtes
Roman traduit du norvégien par Alex Fouillet
Editions Gallimard, Collection La série noire, 2009
http://www.norvege.no/News_and_events/literature/Litterature-norvegienne-parue-en-francais/
With his ten internationally acclaimed crime novels featuring Detective Harry Hole, Jo Nesbø has achieved an unparalleled success both in his native country Norway and abroad, winning the hearts of critics, booksellers and readers alike. Translated into more than forty languages, awarded a whole range of awards and boasting record-breaking sales, Nesbø has been lavishly praised by international critics for broadening the scope of the contemporary crime novel, and is today regarded as one the best crime writers of our time.
http://jonesbo.com/#!/books/son
le jameson aide a supporter les récits de vie
dla gnole faite à la chandelle encore..du soleil en toute chose..sinon une aquavit aux graines de coriandre sur un kippers c’est pas mal faut reconnaitre
en attente de motivation
tlé joli..
‘…Il y a effectivement quelque chose d’universel à monter ses meubles Ikéa tout en s’interrogeant sur le sens de la vie…’
Perso, c’est quand j’inspecte les dégâts causés dans mon jardin par ces saloperies de limaces, que je m’interroge sur le sens de la vie…chacun son truc hein…dans son ‘Histoire du Monde en 9 chapitres ½’ , Julian Barnes racontait l’histoire du monde depuis Noah, telle que vue par une termite…je voudrais bien voir ce que donnerait l’histoire du monde racontée par une limace…
oui je sais, hors sujet, comme d’hab mais bon…j’ai entendu parler du monsieur dont duquel le billet de M. Passou compare a Proust, mais perso, un Proust ca me suffit…alors un Proust norvégien maniaco-dépressif, no thanks…j’ai encore le catalogue printemps-été de Black & Decker a finir…
sinon, la foule parisienne criant ‘Vive la Reine!’, it’s delicious, don’t you think? vous raccourcissez la tete de l’Antoinette pour ensuite le regretter? too late, you can’t have our Liz…you have Carla Bruni already…
« les blondes scandinaves m’indiffèrent… »
Tu ne peux pas comprendre, JC, tu vis en espadrilles.
sur qu’y a comme des ratés dans sa dialectique..ma mère de ma mère..il doit pas savoir
–je passe en coup de vent–salut bouguereau, salut chantal, salut ueda et tous les copains–
sinon, la foule parisienne criant ‘Vive la Reine!’, it’s delicious, don’t you think?
tu sais gaga c’est comme les écoles de jésuite qui dirait..bref! : « c’est encore meilleur quand ça se termine! »..le plaisir peut naitre de la frustration il parait..mais il ne peut pas durer
tu sais, abdel, les rois ça nous gêne pas quand c’est pour les autres. D’ailleurs, nos Bourbon bien de chez nous règnent toujours… en Espagne, c’est bien pour le folklore.
au fait, y a longtemps que ueda ne nous a pas fait le coup du « ce post n’est pas de moi ».
perdit 100 kilos, se remaria avec une amie de jeunesse maniaco-dépressive, .. de fait c’est plat, comme dans la chambre bleue retrouva une amie de lycée qu’il n’avait pas remarquée. Elle lui en a tenu rigueur.
-Pourquoi tu embrassait toutes les filles sauf moi ?
-Je n’y ai pas pensé.
-Tu aimes les blondes ?
– Je pas spécialement.
Amalric ressemble à un moineau mobile abasourdi, et le karl ove un pub pour ménagère : achetez un vapo-cuiseur et du dreft liquide, un rebelle vous attend .. lil
« les blondes scandinaves m’indiffèrent… »
J’ai menti !…
Je sais, c’est vilain.
Dieu, la honte … que vont penser mes pairs… uhuhu !
que vont penser mes pairs
En l’occurrence, c’est plutôt : que va penser ma paire.
JC….. dit: 7 juin 2014 à 14 h 42 min
uhuhu !
v’là qu’y cause comme des journées entières dans les arbres.
Ne manquait plus qu’une « gueule », ce qui ne gâte rien
combien de sosies de Love en bagnole (au rang car?)
ueda, je trouve que vous avez des idées fixes.
il ne peut pas durer
du phénomène de société à la satiété, il n’y a qu’une critique qui retourne les …cartes
Eh, Abdel, t’en as pas marre de venir toujours ici dégueuler sur la France ? Fais ça sur des blogs british, ils adorent. Ici, ça dérange.
KOK, c’est en somme le Proust du pauvre. C’est aussi Proust (enfin, un ersatz de Proust) à la portée de n’importe qui. Tiens, moi, par exemple, si un éditeur me le propose, je suis prêt à me déculotter publiquement sans aucune pudeur, à déballer en détail les menus faits et gestes d’une existence déjà longue, relativement banale, certes, mais sociologiquement non dépourvue d’intérêt, à m’étendre sur mes turpitudes dont je distillerai savamment les péripéties croustillantes, suspense suspense,, à cracher sur ma parentèle, en commençant par papa-maman jusqu’aux cousins (surtout les cousines, de fieffées salopes, mes cousines), du jour calamiteux de ma naissance jusqu’au jour d’aujourd’hui. Je suis même prêt à offrir une contribution financière à l’éditeur intéressé (j’irai jusqu’à 500 euros). Je prévois d’ores et déjà trente volumes de fort calibre. Et qu’on ne m’emmerde pas avec le style : ce qui compte, c’est le vécu, le ressenti.
De la part des copains dit: 7 juin 2014 à 14 h 49 min
Moi pas copain toi,
moi trouver toi gros beauf,
toi engager toi dans la marine ?
Je trouve que Kok est un beau nom pour un basile, mais ça s’arrête là.
Un bacille, pardon.
Tout juste une relation de blog dont je ne suis pas fier dit: 7 juin 2014 à 14 h 53 min
J’ai jamais dit que t’étais mon copain, eh, comique.
à m’étendre sur mes turpitudes dont je distillerai savamment les péripéties croustillantes, suspense suspense (mézigue)
S’il y avait une justice, j’aurais dû passer ma vie en prison. Je n’y ai échappé q’à cause d’une chance insolente. J’ai le cul bordé de médailles. Merdamouche, à côté de moi, c’est un enfant de choeur. Je dis ça pour préparer le terrain, et mon futur lectorat. Je suis le super KOK français !
Taisez-vous, Onésiphore, vous m’horripilez.
Ce qui est sûr c’est que le succès de ce blog n’aurait jamais eu lieu sans D.
Donald Daipiez-d’Anlleplas dit: 7 juin 2014 à 15 h 00 min
Et comme D. n’aurait pas existé sans TKT, merci qui ?
Le gode-ceinture de Bouguereau y est aussi pour quelques chose.
Rendons à Caesar ce qui est à Caesar.
De la part des copains dit: 7 juin 2014 à 14 h 55 min
eh, comique
Mieux vau être comique que grosse pouffe.
Je suis le super KOK français ! (mézigue)
Je suis le super KOK gaulois !
J’ai encore de petits réflexes d’écriture basique à acquérir.
Vive Rimbaud ! je suis le Rimbaud du pauvre !
se remaria avec une amie de jeunesse maniaco-dépressive
pour la mémoire ? ou la prochaine qui soeur a ?
D. existe, je l’ai rencontré. Bel homme, cultivé, pince-sans-rire.
Je vais vous faire une révélation :
Celui qui a écrit le commentaire de 15h 02 occupe un poste subalterne dans l’Opus Dei.
Comment je le sais ?
Sans doute que mon métier (le véritable, je ne parle pas de ma couverture) est de tout savoir.
Tout juste une relation de blog dont je ne suis pas fier dit: 7 juin 2014 à 15 h 03 min
Sors dehors si t’es un homme !
Son seul défaut c’est qu’il regarde ses pieds.
Pour le reste, rien à dire.
« Celui qui a écrit le commentaire de 15h 02 occupe un poste subalterne dans l’Opus Dei. »
Subalterne toi-même !
Taisez-vous, Onésiphore, vous m’horripilez. (Ginette Schumacher)
Ginette, c’est pour vous que je vais écrire cette saga autofamiliale ! Vous êtes ma Muse ! Je vous avoue et vous proclame ! D’office ! D’autor ! En votre honneur, le titre de mon premier volume sera « Mes amours » (en toute simplicité). 1200 pages, dont 1150 de notes.
Au dernières nouvelles c’était subalterne. Ça a pu changer, je dis pas.
Sors dehors si t’es un homme !
J’attends.
Ça tient à rien, ces épithètes.
Longtemps, j’ai picolé de bonne heure.
Hop, « blogueur proustien ».
« Avec sa petite clé coudée ».
C’est en ces termes que Jacques rêve aux livreurs asiatiques.
(J’espère qu’il n’est pas derrière un grillage à Lampedusa)
Sors dehors, sors dehors… Oui enfin d’abord la météo, hein !
Het pourquoi ce gars, au lieu de fumer des Goldo normales, il arbore U.S. ?
De la part des copains dit: 7 juin 2014 à 14 h 49 min
Eh, Abdel, t’en as pas marre de venir toujours ici dégueuler sur la France ?
Mais c’est parce qu’il regrette le temps béni, voyons ! Avec des ficelles au képi de garde-champêtre… Faut pas avoir ingurgité Freud, Lacan, Marcuse et même Desmond Morris pour piger ça…
Min Kamp, un beau nom pour un camp de rééducation, pour un laogai polaire ou une descente au fond du puits dans le sud du royaume de Norvège, à la même latitude que le nord de l’Ecosse…
En leder, en kamp, en knaar. Min kamp, din kamp.
» Sans doute que mon métier (le véritable, je ne parle pas de ma couverture) est de tout savoir. »
Le vrai véritable métier de D. est de polluer ce blogue de couenneries aussi variées que diverses, unies par un seul point commun : n’avoir aucun rapport avec l’article.
Pourquoi P.Assouline laisse-t-il un tel zigomar s’ébattre ici, insondable mystère.
C. dit: 7 juin 2014 à 16 h 05 min
Tiens ! Un copain de Thierry.
Vous aussi vous aimez les bichons ?
« De la littérature de Judas »
et si l’on déclineles caractérisations selon la famille min love
OU BIEN pierre, paul et jacques ?
OU BIEN verrou ?
après que les reporters soient partis à la recherche de chacun de ceux mis en cause par l’écrivain (il n’y a qu’une seule famille Knausgaard dans toute la Norvège).
ils auraient pu s’en abstenir : ils ont surfé sur :la manne du phénomène ? quelle imagination!!
@ Emile rama
Je vous le dis tout de go, excusez ma franchise, je trouve que votre pseudo fait un peu rataplouf.
pom pom pom pom, message: « le gode ceinture est réclamé par son propriétaire »; je répète: « le gode ceinture est réclamé par son propriétaire »
Difficile de dire si c’est bon ou pas, mais impossible de s’en déprendre. Une drogue qui réussit à vaincre et diluer l’ennui. Ceux qui en parlent disent qu’ils ne le lâchent pas. A commencer par des écrivains
c’est quand même troublant d’en « être là »: question de société et de savoir, vouloir, ou ne pas vouloir y faire savoir ou pas,mais quand même!
(j’ai aussi croisé pas mal de familles à « père alcoolique » , ce dernier ouvrier ou médecin-et notable- bibliothécaires)
dis toudsuite qu’un alcoolique anonyme ça trolle ta mère..ta gueule émile
ma mère de ma mère..keupu il trolle son père collabo défoncé derrière le mur de la honte..avec des lunettes a vision nocturne c’est clair..t’es pas équipé émile
C’est sa confession et rien d’autre.
déjà bien qu’il ait songé à une confession écrite, possible que les gens soient curieux de découvrir quelque chose de brut-comme l’art brut?- et non accommodé par des équipes de lettrés éducateurs
hors-norme sans aucun doute.
là, j’en ai !
alonzo bordel
Sors dehors, sors dehors… Oui enfin d’abord la météo, hein !
c’est mieux, pour un combat à mort il fait toujours noir et il pleut et c’est filmé a la grue
encore une histoire d’ailes!
« It’s not every day you see a photograph of a bird checking out her reflection in a mirror, especially not while in mid-flight while looking into a body of water. What a tremendous photograph from Norwegian photographer Geir Magne Sætre, you can see more of his work over on 500px.
Emile rama dit: 7 juin 2014 à 17 h 50 min
là, j’en ai !
Ma tante aussi, c’est pour ça qu’on l’appelle mon oncle.
Ah, Emille, si ton rama se rapporte à ton plumard tu es le phœnix, y a pas.
Bon, je me reprends un petit coup de datura en infusion, et au boulot !
« la déchéance la plus totale, pataugeant dans sa pisse, sa merde, sa crasse auprès de sa propre mère incontinente. »
Tout à fait proustien.
Les parisiens et la Norvège.
Anders Breivik porte-t-il la poisse aux hommes de lettres? Il y a un an, Richard Millet publiait un Éloge littéraire d’Anders Breivik.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/anders-breivik-monstre-de-sang-froid_1274935.html#QYbsUgBTSbLCGQYV.99
« Ainsi, Anders Breivik rencontrant le point Godwin, la boucle est bouclée. »
Voilà, ça c’est logique comme un algorithme dont l’incrémentation a foiré quelque part . Mais où ?
la description des taches ménagères que son frère et lui exécutent à la mort de leur père
Sans le circonflexe,ces taches sont sans doute celles que lui et son frère enchaînent en arabesques sur le carreau de la cuisine avec le sang du père qu’ils viennent d’assassiner (vu le portrait qu’Assouline trace de ce père, il n’y a pas lieu de leur en vouloir).
pom pom pom pom, message: « le glou glou gloube a oublié de reboucher la bouteille »; je répète: « le glou glou gloube a oublié de reboucher la bouteille ».
Chien fou dit: 7 juin 2014 à 16 h 17 min
Réponse : pas les bichons, ni les cons.
Et je ne suis le copain de personne ici.
génial coup de marketing,
le marketing n’est pas si tout puissant , n’en déplaise aux superlativiseurs de Joyce à Proust
mais l’éditeur allemand a curieusement renoncé à Mein Kampf qui s’imposait, allez savoir pourquoi.
et ne demandez pas aux critiques que ça pourrait ennuyer un peu plus
alors, ceux qui comptent ici, combien de fois dans ce billet le critique a-t-il écrit « vrai, vérité, vraiment », qu’en concluez-vous ?
Déjà fort à faire avec le vrai Proust. Pour les faux, repassez plus tard. Il fallait prévoir que nous glisserions petit à petit de la société de consommation vers une société de l’inutile. Bérulle a bien raison de ne voir en l’homme qu’un « néant qui se remplit et occupe aisément de rien ».
Je m’en vais chercher dans ma bibliothèque La Lettre au Gréco de Kazantzakis, qui mérite, elle, d’être lue et relue, ainsi que les essais et poèmes de Séféris.
Bonne soirée,
dont 1150 de notes.
Des notes de 0 à 20, quels sont vos critères et la marque du taille crayon qui vous servit à annoter?
l’homme qu’un « néant qui se remplit et occupe aisément de rien ».
Chaloux défini par Chaloux
Abdel finalement vous êtes irrésistible en arabe insatiable, vous n’aimez pas les juifs et « men in black » ne vous dit rien non plus. Vous devriez ne rencontrer aucun problème au Danemark si vous vous décidiez à quitter la City pour une autre terre d’asile.
Lu : Père de claques.
Mais ça date de 2012.
C’est comme un saumon qui aurait remonté le temps.
« En Norvège, le choix du titre, Mon combat, a fait couler beaucoup d’encre. «C’est un titre parfait, parce qu’il exprime ce que j’ai essayé de faire, mon combat pour écrire ce livre, et puis aussi la recherche de l’identité.» Il assume la référence à Mein Kampf : un livre dans lequel Adolf Hitler parle de son père, tyrannique. Comme un écho à sa propre histoire. Mais ironique : Hitler voulait conquérir le monde, l’écrivain norvégien cherche juste à comprendre qui il est. «Et puis, ajoute-t-il en souriant, j’étais tellement frustré à l’époque que c’était aussi un peu un doigt d’honneur au monde entier.»
http://www.liberation.fr/livres/2012/11/14/pere-de-claques_860457
pourquoi ca dérange? vous vous entez visé? Puis je degueule sur personne et même si je le faisais, comme dirait le canard enchaine, la liberté d’expression ne s’use que si on s’en sert pas…z’etes familier avec le concept ? c’est nouveau…ca s’appelle l’interweb, ou un truc comme ca…sinon, proposez donc un sujet qui ne vous dérangerait pas autant et je ferais de mon mieux, mais j’garantis rien hein…j’ai bon ? comment ? Céline ? euh…
Brrr, le regard perçant ce père viking.
http://larepubliquedeslivres.com/wp-content/uploads/2014/06/daniel-nilsson.jpg
Les citations pour les nuls dit: 7 juin 2014 à 19 h 28 min
C’était évident, et implicite. Qui pourrait s’excepter de cette sentence, à part un imbécile comme toi? Le fait que tu éprouves le besoin de le souligner montre à quel point tu as déjà dégringolé bien au fond de cette civilisation de la chute.
le père?
, Knausgaard uses the incident to demonstrate how his father, a schoolteacher, keeps everyone in terror
19h30 ça ne vaut pas le coup, personne ne l’aura lu.
La liberté d’expression suppose que l’homme soit libre.
Pour patienter:
http://www.youtube.com/watch?v=O2gDFJWhXp8
Sergio dit: 7 juin 2014 à 15 h 52 min
De la part des copains dit: 7 juin 2014 à 14 h 49 min
Mais c’est parce qu’il regrette le temps béni, voyons ! Avec des ficelles au képi de garde-champêtre… Faut pas avoir ingurgité Freud, Lacan, Marcuse et même Desmond Morris pour piger ça…
Allons, les mecs…c’est pas sympa tout ca…je vous donne gratos, et a gros frais personnels, une autre façon de voir les choses, sous un angle autre que celui du système B12 et du formatage et de l’étalage de la marmelade selon l’institut…et ne voila t-il pas qu’on me fustige…oui ma brave dame…on me fustige…et on m’accuse de tous les maux…de quoi vous laisser dubitatif…quelle ingratitude hein votre honneur…euh…non, dubitatif en un seul mot…
Il est parfait cet homme, pour connaître aussi bien l’art de faire le ménage.
«On choisit du Cif pour la salle de bains, du Cif pour cuisine, de l’Ajax multi-usages, de l’Ajax pour vitres, de l’eau de Javel, du savon noir, du Monsieur Propre pour les taches difficiles, un produit pour le four, un produit spécial pour les canapés, de la laine d’acier, des éponges, des lavettes, des serpillières, deux seaux et un balai…»
on m’accuse de tous les maux
Non pas tous, vous avez le courage de vos origines, c’est déjà ça.
bravo pour cet article Monsieur Assouline, c’est super intéressant.
il est super mince maintenant, il dit dans son livre quel genre de régime il a suivi ?
sans doute un chrono régime, c’est le plus simple à faire, en fait il suffit de ne pas du tout manger de produits sucrés sauf à 5 heures, résultat ça coupe la faim pour le soir.
et la matin on peut manger juste des tartines beurrées.
surtout pas de madeleines !!!!
les madeleines on y a droit qu’à 5 heures, pour le gouter, avec deux carreaux de chocolat noir et un fruit….
je vais lire son livre pour voir ce qu’il dit des madeleines.
Chaloux dit: 7 juin 2014 à 19 h 40 min
Ben, il avait dit qu’il partait, aucune parole ce Chaloux.
Bon mon Chachal, ta citation est d’une connerie sans nom, toutes ses phrases sur l’homme, le néant, … sont d’une telle facilité que seuls les pauvres d’esprit comme toi peuvent encore y trouver une raison de s’enthousiasmer sur ses mérites.
Tu n’est qu’un ML de pacotille, c’est dire.
n’empêche que ça fout un choc de découvrir comme ça l’existence d’un Proust norvégien.
on allume son ordinateur, tranquille, on se dit tiens allons voir les nouveautés littéraires et hop ! on tombe sur un nouveau Proust.
Monsieur Assouline vous n’aviez pas déjà le coup il y a quelques temps avec un Flaubert suédois ? ou un Stendhal finlandais ? ou un Hugo islandais ? ou un Zola danois ?
la liberté d’expression ne s’use que si on s’en sert pas…z’etes familier avec le concept ? (Abdelkader)
Pèpèpe.
On ne reproduit pas.
On écrit, tout bonnement.
pas tout à fait hors sujet : je vois que
Bateson, qui a divorcé de Margaret Mead en 1950, épouse Elisabeth Summer, une ancienne patiente de Ruesch qu’il avait engagée comme assistante.
ça a beau être assez banal, ce mariage du « thérapeute » et de sa patiente , ça justifierait toute une étude
« Allons, les mecs…c’est pas sympa tout ca…je vous donne gratos, et a gros frais personnels, une autre façon de voir les choses » »(Abd al-Qadîr)
Pour les autres je ne sais pas, j’accueille tout avec respect.
Voyons voir…
Propagande monarchiste, anti-Gallic feelings, snobisme pro-anglais, dévotion pour Wall Street…
Acceptable.
– Mais pas par nos pères, nom de Dieu!
En matière de rostbeefs, on veut les vrais, les bien rouges, les saignants.
Pas les pâles copies globalisées!
cet écrivain n’a pas l’air d’être lui un phénomène , mais bien au contraire une figure qui connaît bien le monde et le job :ce qui expliquerait assez son succès .ceux qui le vendent comme un Proust de plus aussi ont bien une petite idée des noms qui font tilt dans les têtes, même celle de M.L.
Les citations pour les nuls dit: 7 juin 2014 à 20 h 03 min
Chaloux dit: 7 juin 2014 à 19 h 40 min
» toutes Ses phrases sur l’homme, le néant, … sont d’une telle facilité que seuls les pauvres d’esprit comme toi peuvent encore y trouver une raison de s’enthousiasmer sur SES mérites. »
Question, ami : tu te sens plutôt analphabète ou plutôt illettré?
et qu’il venait de dépasser les 100kgs,
une réalité, un argument de poids qui a fait autorité
putain un poisson cha
On écrit, tout bonnement
zouz en retour du bout dla noye..juste qu’un mauvais rêve zouz..alors watsup?
Et pour ça il fait le job, ce viking.
http://snowflakesinrain.files.wordpress.com/2011/08/1788190_520_347.jpg
je vous donne gratos, et a gros frais personnels, une autre façon de voir les choses
..y’a pas t’es english gaga..les filles doivent te payer la bière sinon tu vas tfaire pédé..c’est the last exit..sapré gaga
Et pour ça il fait le job, ce viking
ma mère de ma mère..je préfère anders avé son uzi tien
Entre les 2, y’a pas photo. Et c’est sans hésitation.
http://jonesbo.com/#!/books/snowman
Le plus dur avec une omelette norvégienne, c’est de ne pas mettre le feu partout.
Bonsoir.
– Mais pas par nos pères, nom de Dieu!
pernofils..père jovème
C’est AbdelKADER…y’a une nuance entre quadir et kader en arabe, comme vous semblez l’ignorer…ensuite, propagandiste monarchiste ? la propagande auprès de qui et a quelle fin ? les anglais ont acheté le deal, il y’a plus de 1000 ans…
Anti-gallic feeling ? fuck no…anti-franchouillard, certainement mais j’ai rien contre la France, au contraire et puis j’ai rien a vous prouver la dessus, ca contrarierait ma religion de groucho-marxiste…quant a Wall St, je vous dis les choses telles qu’elles sont et pourquoi elles sont ainsi…si vous traitez en dollars ou avec des contrées sur la liste noire du NYSE, vous tombez sous le coup de plusieurs loi US dont desquelles je ne vais pas vous assommer avec…c’est ainsi et pas autrement…HSBC s’est faite assommer aussi, UBS, Deutsche Bank pour a peu après la même raison…z’ont payé l’amende et rien dit…qu’est-ce qui reste : ah oui snobisme pro-anglais…la oui peut-être…j’aime les fringues et les pompes anglaises ainsi que le Yorkshire…j’y peux rien, vot’Honneur…
P.S c’est soit Roastbeef ou Rosbif (a la française) mais pas Rostbeef…j’ai entendu parler du rostfrei mais pas du rostbeef… Ca vous va, vot’Grace ? vous avez l’air de me coller, mais be my guest…it’s a free country…kind of funny how you’re interested in what I say around here…what else you got?
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 20 h 46 min
ma mère de ma mère..je préfère anders avé son uzi tien
Le ventilateur à merde thermo-bouse estampillé Dunkerque vient de nous en lâcher une.
Merci !
Mais pas plus d’une, hein?
c’est l’attaque de la mort !..(bien sur on fait semblant que c’est l’omble chevalier et qu’on pêche fin)
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 20 h 56 min
avec toi mon gros, le « pêcher fin » me parait un peu utopique. C’est même la quadrature de la canne à pêche. Tu es si lourd…
tien gaga, cadeau, elle blesse ta queen
autoportrait en poisson cha..
Abdel, en France y’a comme ça des journaleux parisiens qui vont à l’économie de moyens. C’est à dire avec peu.
Sinon, la zique en Norvège c’était pop comme ça:
http://www.youtube.com/watch?v=djV11Xbc914&feature=kp
« ca contrarierait ma religion de groucho-marxiste… »
Pèpèpe,
pas de plaisanteries en boîte, if you please.
(Please, ignore this)
« y’a une nuance entre quadir et kader en arabe, comme vous semblez l’ignorer… »
On va se mettre d’accord.
On transcrit le qaf sans un « u », ce n’est pas quadir (pourquoi pas quaker?) mais qâdir.
Pour le reste, rien à redire.
fais bien le back pour la légende de la photo gaga..not bon roué avé sa fleur de lys sur la fesse c’est plus smart quand même
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 21 h 02 min
autoportrait en poisson cha..
Tu peux chercher, Bouguereau, dans tout ce qu’a écrit celui dont tu causes. Tu trouveras jamais une pareille saloperie.
Allez on la relit, pour s’amuser :
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 20 h 46 min
« ma mère de ma mère..je préfère anders avé son uzi tien »
C’est bien, hein…
j’ai un sens ésthétique aiguisé mon..
Chaloux dit: 7 juin 2014 à 20 h 35 min
Tu connais Guareschi mon Chachal ?
Non, dommage, demande à renato il va t’expliquer.
T’es petit le breakophile, limité et très petit.
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 21 h 08 min
j’ai un sens ésthétique aiguisé mon..
Je vois surtout en toi, mon gros pépère, un sens de l’immondice, un sens de la bêtise, et un sens du mépris de soi… qui te devraient te préoccuper…
Les citations pour les nuls dit: 7 juin 2014 à 21 h 10 min
Reviens quand tu sauras.
Tu trouveras jamais une pareille saloperie.
Allez on la relit, pour s’amuser :
signé par mon cheuloux..ha il est con..prétentieux et tartuffé comac avé des moustaches !..c’est pas popo
Attention Citations pour les nuls il ne faut attaquer Chaloux sur l’orthographe, il est super fort, si vous continuez c’est sûr il va vous « matter ».
Il faut relégender.
A l’ombre d’un jeune homme en fleurs
http://snowflakesinrain.files.wordpress.com/2011/08/1788190_520_347.jpg
Bouguereau, je crois quand même qu’il faut plutôt être très con, très prétentieux et complètement abruti pour écrire qu’on « préfère Anders avec son fusil » à quoi que ce soit. Roule toi dans tes wassingues pourries et ferme la jusqu’à demain, ça vaudra mieux…
dla tripe..un vieux bout de sandwiche et gnap ! allez hueee..mon cheuloux !
@Bouguereau
J’ai oublié la fin : pauvre con. Parce que tu es vraiment un pauvre con. Tu l’as prouvé l’autre jour avec des propos sur les juifs qui devraient te valoir le tribunal correctionnel, et ce soir avec ça.
Vraiment, tu devrais la fermer.
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 21 h 02 min
autoportrait en poisson cha..
Vous voulez dire que Observons le bouguereau est l’inéffable Chaloux, ça alors.
Il a Bouguereau, il a tout copro!
des propos sur les juifs qui devraient te valoir le tribunal correctionnel
..ouyouyouye c’est la preuve qu’il a tout donné ..lesquels mon cheuloux..cite qu' »on relise pour s’amuser »..
Bouguereau, quand le Pernod commence à atteindre la mémoire immédiate, faut voir à passer à la grenadine. Cherche toi-même, vieux porc.
Sur ce, je suis occupé.
sapré cheuloux et ses gros bout de discours amoureux..tu dvrais allez dans le caveau à baroz..
Bouguereau devrait faire preuve d’esprit, et tout ce qu’il prouve, avec ses entourloupes rhétoriques de petit politicard vérolé, c’est qu’il n’en a point, d’esprit.
Observons le Bouguereau dit: 7 juin 2014 à 21 h 29 min
Sur ce, je suis occupé
Comme il y a une heure ?
Tu fuis mon Chacal.
gnap et regnap..oqp..t’es minion
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 21 h 37 min
Plouf.
Citations pour les nuls dit: 7 juin 2014 à 21 h 36 min
Observons le Bouguereau dit: 7 juin 2014 à 21 h 29 min
Tu fuis
Ce pauvre gars ne sait pas encore qu’il ne sera jamais de ceux qu’on fuit mais, toujours, de ceux qu’on ignore.
Ne le lui disons pas.
Il l’apprendra toujours assez vite…
Une minute vingt , puis passons au Déluge… dit: 7 juin 2014 à 21 h 47 min
P’tin Chaloux vous êtes le plus balèze, vous les avez matté je vous dis pas.
Trop fort.
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