Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Vous avez encore l’été pour vous entraîner à prononcer le nom de Karl Ove Knausgaard. Ces dernières semaines, il était difficile au lecteur de la presse littéraire anglaise et américaine d’échapper au « Proust norvégien » ainsi qu’on le présente généralement. Il s’impose partout, comme avant lui un Bolano ou un Murakami, ; sauf que lui le fait avec d’autres moyens. C’est peu dire qu’il a fait sensation. Il y a deux jours, il y avait foule pour l’écouter à Brooklyn ; bientôt il sera à Varsovie où l’accueil sera probablement égal. Les plus grands journaux ont donné le la. Les articles qui lui sont consacrés en abondance sont tous incroyablement longs et détaillés, comme s’ils se voulaient à la mesure de son opus. Les critiques rivalisent de superlatifs à son endroit ; rares sont ceux d’entre eux qui mettent un bémol.
Le jour où il a constaté que sa femme l’avait quitté et qu’il venait de dépasser les 100kgs, il quitta la Norvège pour s’installer en Suède, se mit au jogging, collabora à une nouvelle traduction de l’Ancien Testament en norvégien, se remaria avec une amie de jeunesse maniaco-dépressive et éleva ses quatre enfants tout en écrivant sa grande œuvre. Min Kamp est son combat pour écrire son livre à la recherche de sa vérité. Cette fresque autobiographique en six volumes, parue en Norvège entre 2009 et 2011, ne se veut rien d’autre qu’un racontage de mézigue. 450 000 exemplaires y ont été vendus ce qui est considérable pour un pays qui compte à peine plus de 5 millions d’habitants. Depuis, l’auteur est accablé de prix littéraires chez lui comme à l’étranger, à commencer par le prix Brage qui est le Goncourt norvégien.
La chose a commencé à paraître dans une vingtaine de pays, suscitant une curiosité et, le plus souvent, un enthousiasme et une ferveur inouïs. En France, Denoël a publié le premier tome il y a deux ans. La Mort d’un père est le récit d’une enfance de souffrance et de martyr, minée par l’humiliation et la culpabilité, dans la terreur d’être moqué par son père pour ses larmes même, spectre qu’il évoque à travers l’image d’un Christ en croix la tête couronnée d’épines, sa madeleine semble-t-il. L’adolescent qu’il fut raconte ce que c’est d’être le fils d’un homme tyrannique, violent et alcoolique, traînant ses dernières années dans la déchéance la plus totale, pataugeant dans sa pisse, sa merde, sa crasse auprès de sa propre mère incontinente. Amazon conseille de l’offrir pour la fête des pères avec un sens de l’à-propos qui n’appartient qu’aux algorithmes. Le tome suivant paraîtra en France à la rentrée sous le titre Un Homme amoureux. L’entreprise est ambitieuse, riche, déroutante, hors-norme sans aucun doute. Mais encore ?
L’auteur, aujourd’hui âgé de 45 ans, se raconte avec un souci d’exhaustivité qui laisse perplexe car on ne lui en demande pas tant, d’autant que l’intérêt de son quotidien de 1968 à nos jours est, comment dire, inégal (je n’ai lu que La mort d’un père dans la traduction française de Marie-Pierre Fiquet, ainsi que A Man in love dans la version anglaise de Don Bartlett, mais il faudrait lire l’ensemble pour en juger). Tout y passe de ce que fut sa vie, au plus intime de ce qu’il a vécu, quels que soient les dégâts annoncés, au service d’un vrai projet littéraire. Mais peut-on tout raconter ? Sa famille n’a pas eu l’air trop d’accord, surtout du côté paternel. Elle lui a même fait rudement savoir par voie de presse que ce grand déballage la débectait quelque peu. Quatorze membres de ladite famille ont dénoncé « De la littérature de Judas » dans une lettre ouverte publiée dans la presse, après que les reporters soient partis à la recherche de chacun de ceux mis en cause par l’écrivain (il n’y a qu’une seule famille Knausgaard dans toute la Norvège). Le parfum de scandale n’a pas été étranger à son succès. Sa mémoire lui joue des tours, ce qu’il reconnaît volontiers. Ce qui ne poserait guère de problème si le statut de son livre était clair ; or si il a bien été présenté aux Norvégiens comme un roman, c’est avant tout par précaution à la demande des avocats.
Il semble que nombre de ses proches l’aient fui, ce qui ne l’a pas atteint dans la mesure où il place la littérature au-dessus de tout, du moins ce qu’il estime être son authenticité. A croire qu’il a conclu un pacte faustien avec le diable, quitte à tout perdre sauf l’intégrité de son oeuvre. Même si sa sincérité s’est quelque peu émoussée d’un tome à l’autre, les avocats de son éditeur veillant au grain en lui demandant d’être moins brutal. Comme il n’est pas avare d’interviews, révélant une pensée d’une étonnante platitude, on ne lui fera pas de procès d’intention ; mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense. Son rapport à la fiction pourrait se résumer à cela : la littérature, c’est lorsqu’on a réussi à se débarrasser de tout principe esthétique ou artistique pour s’en tenir au ressouvenir de ce qui s’est vraiment passé. Ce « tout ou rien » serait son absolu de l’écriture, et ce serait lui faire injure de lui faire le coup du « Je est un autre ». C’est sa confession et rien d’autre. Un échantillon de son style ? Lisez cette digression sur le cou qui vient de paraître dans The Paris Review.
Il y a effectivement quelque chose d’universel à monter ses meubles Ikéa tout en s’interrogeant sur le sens de la vie. D’où le succès interplanétaire d’un norvégien proustisant qui se contente de raconter la sienne. A propos, pourquoi Proust ? Parce qu’il est long et que la vie est courte. On nous avait déjà fait le coup dans les années 70 quand Anthony Powell fut présenté comme le Proust anglais, au motif que A Dance to the Music of Time, le cycle romanesque en douze volumes dont il venait d’achever la publication, était long et mélancomique. Un critique a été jusqu’à établir point par point ce qui rapproche et ce qui distingue Proust et Knausgaard… A ceux qui se demandent comment il peut consacrer une cinquantaine de pages à raconter un goûter d’enfants, on répond que Proust en consacre une dizaine d’emblée à dire son impossibilité à trouver le sommeil. Un critique anglais ayant remarqué que My Struggle (3622 pages à peine) était long de six volumes, alors que A la recherche du temps perdu en fait sept, faut-il en conclure que Knausgaard n’est pas Proust, mais presque ? On en est là.
On ignore quelles furent ses lectures mais on sait qu’il paie volontiers sa dette à Thomas Bernhard. L’influence ne saute pas aux yeux. On a même parlé à son propos d' »existentialisme nordique« . Mais où vont-ils chercher tout cela ! Sa phrase est longue, digressive, clichesque, détaillée, énumérative, hyperréaliste, conçue dans une logique d’inventaire. Il privilégie le gros plan sur la vue d’ensemble., et s’emploie à dépeindre son quotidien dans toute sa monotonie, en répétant par exemple la description des tâches ménagères que son frère et lui exécutent à la mort de leur père, après avoir constaté que la littérature ne le fait jamais. Du compte-rendu de ses travaux et de ses jours minute par minute, il ressort convaincu d’avoir repoussé les frontières du récit autobiographique jusqu’à des territoires jamais explorés avant lui. Cela se veut le rapport extraordinaire d’une vie ordinaire. Comme si l’exposition de l’ici et maintenant allait lui permettre d’exorciser le réel. Les événements rapportés y semblent indifférenciés, hors de portée de toute hiérarchie. Tout se vaut, l’essentiel et le superflu, l’évocation de sa baignoire et un vers de Paul Celan, la liste des courses à faire et Les Mots et les choses de Michel Foucault. Mais est-il vraiment indispensable de consacrer des pages à raconter comment il a finalement échouer à apprendre à jouer de la guitare quand il était jeune (qu’est-ce que ce serait s’il avait réussi !) ? Knausgaard explique son succès par la banalité même de son propos, mais une banalité non filtrée par la littérature, entendez : les artifices de la fiction, dans laquelle les lecteurs se retrouveraient mieux. Il est vrai que tout une page sur les vertus de l’Ajax multiusages, quand lui et son frère s’emploient à nettoyer l’appartement de leur père, favorise une identification maximum. Si encore l’Ajax en question était transcendé par quelque chose de plus haut que lui, en fils de Télamon et Péribée, ou en équipe de foot légendaire, mais même pas : l’Ajax n’intervient qu’en tant que tel, aussi platement qu’un nettoyant à l’ammoniaque qui n’est que ce qu’il est.
Min Kamp est logiquement devenu My Struggle dans la version anglaise, mais l’éditeur allemand a curieusement renoncé à Mein Kampf qui s’imposait, allez savoir pourquoi. Pour leur chance, Mon combat ne dit rien aux Français. Quant à comprendre la nécessité d’un tel titre, il faudra attendre la parution du tome 6 : bien que, pour l’essentiel, il y commente la réception houleuse des précédents volumes et leurs conséquences sur son entourage, l’auteur consacre 400 pages à un certain Hitler. Ainsi, Anders Breivik rencontrant le point Godwin, la boucle est bouclée. Ne manquait plus qu’une « gueule », ce qui ne gâte rien pour un jeune écrivain connu pour sa notoriété. C’est celle d’un acteur. On croirait que ces deux-là sont des jumeaux séparés à la naissance : quelque chose d’un Brad Pitt norvégien ou d’un Patrick Swayze scandinave mais en plus torturé, plus désespéré.
L’histoire littéraire n’est pas avare de grands romans où, en apparence, il ne se passe rien. Sauf que tout y advient quand rien ne se passe : un univers surgit, des personnages prennent forme, une sensibilité se dessine, une sensation du monde se précise petit à petit… Alors que là, rien. Du moins rien se produit dans l’écriture, l’analyse des sentiments, la perception des émotions, le rendu d’un paysage. Knausgaard, morne plaine. C’est d’un ennui sans qualité, car on connaît des ennuis sauvés par l’art. Même ceux qui critiquent la médiocrité de ses métaphores reconnaissent leur addiction à cette suite de livres, de l’ordre de celle qui les attache à certaines séries télévisées qu’ils se procurent en DVD par kgs de saisons. Difficile de dire si c’est bon ou pas, mais impossible de s’en déprendre. Une drogue qui réussit à vaincre et diluer l’ennui. Ceux qui en parlent disent qu’ils ne le lâchent pas. A commencer par des écrivains tels que Zadie Smith, Jonathan Lethem, Jeffrey Eugenides, Hari Kunzru qui ne se privent pas de le faire savoir. Ainsi devient-on l’auteur-favori-de-mon-auteur-favori, génial coup de marketing, d’autant plus efficace qu’il fut spontané.
Karl Ove Knausgaard s’est mis à son prochain livre, plus proche du genre fantastique, sous la double influence de Borges et Calvino. Une histoire dans laquelle il ne parle pas du tout de lui.
(Photos David Sandson, Daniel Nilsson et D.R.)
1 296 Réponses pour Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Observons le Bouguereau dit: 7 juin 2014 à 21 h 00 min
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 20 h 56 min
avec toi mon gros, le « pêcher fin » me parait un peu utopique. C’est même la quadrature de la canne à pêche. Tu es si lourd…
Sans compter que pêcher dans un champ d’épandage, ça alourdit encore la prise.
évidemment, pour la fantaisie, et la créativité si requises, je n’ai rien trouvé non plus dans les commentaires des échanges de la RdL : pas fjordisch
On transcrit le qaf sans un « u », ce n’est pas quadir (pourquoi pas quaker?) mais qâdir.
Tain..il va m’apprendre l’arabe maintenant… there is no start to your talent, your Honour…(une autre platitude gratuite d’AbdelKadEr)…qadEr est différent de qadIr (je vous l’accorde la transcription en français est mal placée, ainsi que le U…un peu comme vot’Grace) …je vous donnerais bien 100 lignes a faire, mais j’ai pas le morale a ca… ah oui une autre : vous me faite penser a ces 2 mecs chauves qui se battent pour un peigne…dans votre cas, c’est un miserable u…vous aimez avoir le dernier mot ? ben, vous l’aurez pas…
Emille s’est ramassé un second l dans la journée.
Vole-t-elle plus haut avec la paire ?
Non, l’autruche reste ce qu’elle est.
L du désir dit: 7 juin 2014 à 22 h 10 min
L’avantage c’est que maintenant avec ses deux ailes Emille peut se gratter à deux endroits à la fois.
Fjord c’est également le nom d’un yaourt.
« Victoria, c’est un grand roman d’amour, l’histoire d’un amour impossible à la mode norvégienne. Victoria et Johannes s’aiment depuis l’enfance mais elle est la fille du châtelain et lui le fils du meunier et, dans la Norvège de la fin du XIX° siècle, on ne mélange pas les châtelains et le meuniers. C’est l’archétype du roman de l’amour impossible.
Hamsun a écrit ce roman juste après son mariage qu’il savait condamné à l’avance car il n’aimait pas sa femme et préférait s’adonner à la boisson et au jeu ce qui lui causa de graves ennuis. Admirateur précoce d’Adolf Hitler, il reçut néanmoins le prix Nobel de littérature en 1920, avant qu’Adolf ne devienne réellement Hitler. »
En savoir plus sur http://www.paperblog.fr/2421554/lire-en-norvege-au-fond-des-fjords/#hSJoimmFbL3pZsJ4.99
ce n’est pas parce que selon P.ASSOULINE? KOK dit ce qu’il pense, que je ne pourrais le taire , comme dans le lien envoyé est passé sous silence le nom de Tarjei Vesaas, lu autrefois sur la lecture d’une critique .
la femme de KOK -dite maniaco dep est aussi écrivain (la première était journaliste) voilà our la paternité .
on peut aussi ne pas avoir envie de raconter, même l’ennui,
http://www.amazon.fr/Petite-philosophie-lennui-Lars-Svendsen/dp/2253111198
Les citations pour les nuls dit: 7 juin 2014 à 21 h 10 min
breakophile
Mais… Giuseppe il répare très bien les breaks ! Dans son garage… Sinon évidemment reste le vélo de Smilzo… Mais sans les freins, hein !
http://thehypertextual.com/2013/09/17/lars-svendsen-une-vision-philosophique-du-travail/
sanspenser répondre à P.Assouline
Lars Svendsen est professeur de philosophie à l’université de Bergen en Norvège. Avant de devenir professeur, il a été homme de ménage, ouvrier, journaliste sportif. Ses essais profondément ancrés dans le quotidien aiment faire dialoguer les philosophes classiques avec le monde actuel. Déjà paru en français : Petite Philosophie de l’ennui (Fayard, 2003).
http://www.scienceshumaines.com/petite-philosophie-de-l-ennui_fr_3468.html
» il venait de dépasser les 100kgs » Phrase proustienne imparable pour un début de roman du style » souvent je me suis couché de bonne heure »
Les mauvaises langues penserons certainement au » il venait d’avoir 18 ans » de Dalida!
penseront, bonne nuit.
Eh ben, mes petits chéris, ça a l’air postmoderne en diable, tout cet ennui ! Entre Breivick et (L)Ove etc. y nous la copieront, ces norvégiens.
J’ai bien aimé aussi le passage sur les « dix pages de Proust » censées raconter son endormissement. Ah, mes petits cochons, c’est vraiment n’importe quoi c’te Norvège-là ! Mais y sont fous, ces Norvégiens !
@des journees, bonsoir chez vous…c’est un phénomène parisien, vous pensez ? cette façon de se faire juge et jury en toutes choses, même quand ils ne savent pas et de passer sentence, d’une manière irrévocable? D’étaler son savoir aussi finement ? d’essayer de mettre les autres dans leurs cases ? et les gens lisent leurs articles dans les journaux ? puree…y doivent se marrer tous les jours…
Pour l’ennui, le prosaïsme, le banal qui n’est pas forcément la banalité, pour une poésie qui déconstruit la poésie dans l’inachèvement et le presque rien, il faut (re)lire d’urgence le grand, le très grand, j’ai nommé the big one : Baudelaire et ses merveilleux Petits Poèmes en prose. Ça, mes petits chéris, c’est quand autre chose que ce (L)Ove etc. Et puis, pour le banal, vous pouvez lire un super bouquin de psychanalyse de Sami-Ali, Le banal, « Connaissance de l’inconscient », Gallimard, 1980, qui commence par un super chapitre sur l’esthétique du banal avec des considérations géniales qui vous émoustilleront les neurones sur Kircher et sa machine à métaphores, sur Swift et le hasard généralisé, sur le surréalisme et l’indifférent, sur Nadja de Breton, sur le banal et l’espace de la rêverie à propos de Raymond Roussel, qu’on pourrait généraliser à Baudelaire, sur Marcel Duchamp (le banal et l’humour) sur le Pop Art, sur A. Warhol (le banal et la problématique du visage) ; et le dernier chapitre est génial aussi qui porte sur la mystique avec des considération qui vous emporteront, sur « Le tautologique et le mystique chez Wittgenstein » qu’il faudrait compléter par les bouquin de l’école de Chicago dont le grand Wtzlawick et sa Logique de la communication, incontournable pour comprendre la mystique de Wittgenstein, avec encore un article sur « Le banal et la mort chez J. Rigaut », qui fait aussi penser à Baudelaire dans bien des poèmes en prose comme par exemple « Le joujou du pauvre ». Et il termine son festival sur Tchouang Tseu avec « Le dépassement du banal et du non-banal ». Il fallait au moins un Chinois pour ça. Y a pas de doute Sami Ali est un grand Egyptien.
Les articles du colloque sur les émotions littéraires sont vraiment riches et passionnants. Notamment celui sur le caractère performatif du point de vue éthique de la littérature « par cas ». On peut tout à fait appliquer ce qu’écrit cette chercheuse aux poèmes en prose de Baudelaire qui constituent autant de « cas » de performativité morale. Julien Gracq dans En lisant en écrivant parle d’ailleurs de Baudelaire comme étant un poète essentiellement soucieux de morale : « Baudelaire est-il un voyant, comme Rimbaud l’a cru et l’a dit ? C’est la morale qui est sa Muse, et le registre presque entier de sa poésie, ce sont les irisations adorables qu’un paradis pressenti et presque entr’ouvert fait jouer sur la seule rétine du pécheur relaps. » C’est sacrément bien dit !
abdelkader dit: 8 juin 2014 à 1 h 01 min
Cette plainte n’est pas très anglaise.
Never complain, never explain.
…
…au fond,…de l’errance,…et des turpitudes!,…des croisés de chemins,…
…
…parmi les vides des espaces » culturels « ,…
…un volontaire!,…pour des fictions du » pansement » du pire,…juste deux lignes!,…
…
…au lieu des aventures du roi Arthur,!…
…
…les aventures du palefrenier » Quasimodo « ,…enfermé dans Notre Dame !,…
…
…et une pour papa!,…de miette en miettes avaler son pain quotidien pour engrosser notre Dame des plumes béatifiées,…du seigneur des saintes ânes aux « ne vois tu rien venir « !,…
…
…alcôves du sérails de ces Dames,…en fratrie,…des nains de jardins aux gay’s sous robes!,…
…la chaleur au zoo de Noé,…dans les presse-biter citron, bien serrés pour le jus de fruit,…tout ces coeurs en émois de Dieu!,…c’est la crise des vocations!,…
…
…mais arrête,…qu’est vous faite!,…rien!,…
…vous êtes prêt pour Notre Dame Supérieure!,…je vois!,…votre viking se dresse au naturel,…c’est du Bourbon-Bourgeon de première à Quasimodo!,…
…la bêbête qui monte!…qui monte sans perdre le Nord!,…
…
…à la poupe, pas bouger dans l’arche,…s.v.p.,…qu’et ce nous enfile ce Noé-Quasimodo,…plus à l’envers qu’à l’endroit!,…
…
…pas confondre les réflexes organiques hors-saison,…d’avec les vendanges des pieds refoulés!,…of course!,…deux par deux !,…
….Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip),…etc!,…
…etc!,…envoyez!,…
Plainte? Quelle plainte? Un constat plutot…je frequente ce bistrot depuis 2006 et je pense avoir fait le tour des choses…mais permettez moi quand meme de vous souhaiter un joyeux noël …en juin…
At the end of the day, I find your interest in me and what I occasionally say here, quite puzzling…who are you? And who am I to you? We don’t obviously have anything to say to each other other than your bitching about me from the sidelines…to the extent that you now want to teach me how to write my own fucking language…I mean get a grip, will you? You keep putting it about that you speak and write 36 languages, and understand one of them, well good for you, I say…now , as I advised you before, go play with yourself…
Du compte-rendu de ses travaux et de ses jours minute par minute,
sûr que ce n’est pas l’Hésiode boréal?
après avoir constaté que la littérature ne le fait jamais.
vite qu’on nous dise ce que la littérature ne fait pas du tout du tout!
Danny Bloom »KNAUSGAARD-FREE DAYS MYTH »: I did find a paper discussing this in Norwegian. try to find the link– so regard anecdote as true #knausgaard
Commandez qu’on vous aime, et vous serez aimé » (v. 458) : peu importe, sans doute, que ce conseil de Narcisse à Néron soit si démesurément improbable, il ne peut que réjouir le public, tant il satisfait simultanément chez lui son désir de pouvoir et sa demande d’amour, se faisant gratification érotique et dessein politique.
La critique : ou Les stratégies de l’émotion
des logiques
Si le pervers m’était conté – Préface d’Alberto Eiguer Claire-Lucie Cziffra. © Groupe … 173 LA LOGIQUE DU « TOUT OU RIEN» Repérage Du côté du pervers.
» il venait de dépasser les 100kgs »
Pour les conjurer,( ne jamais les atteindre…!) une bonne marche nordique de 12 km ce matin, on y va!
Hello Abdel,
Laissons-là cet épiphénomène asiatique parisien, du genre super poids-lourds à jouer en catégorie super-coqs. Le tordU ne fait pas vraiment la pige. Ses « copains » (c’est pas des amis, ils s’aiment trop par derrière, ça se lit) organisent des orgies dans un Valhalla obscur. Pas bien loin de chez Dalida.
Today dans les pentes et côtes, il va faire canicule, avec une belle remontée d’une masse d’air saharien.
(la Norvège , c’est très cher.
http://www.lemoci.com/011-47783-Presentation-generale-Norvege.html)
Des émotions propres à l’expérience littéraire ? Et comment penser l’émotion fictionnelle ?
On peut se demander si l’émotion n’est pas la grande absente de la littérature, que l’on se place du côté de l’écrivain ou du côté du lecteur. Le sens,oui, il y est, et le lecteur y a toujours accès, pour peu qu’il maîtrise l’idiome dont s’est servi l’auteur (ou son traducteur ). Mais l’émotion? Entendons-nous : l’écrivain s’est bien efforcé de rendre son émotion par les mots. mais au bout du compte, il ne reste que ces mots. Tout au plus une rhétorique de l’émotion est-elle, à la rigueur, repérable. Quant au lecteur, il reste, lui aussi, seul avec ses émotions, qu’elles soient littéraires ou pas. Il peut bien, lui aussi,tenter de les rendre par les mots, et l’on se retrouve dans le cas de figure précédent. Fréquent est le malaise qui vous saisit quand vous vous retrouvez devant quelqu’un qui se laisse envahir par son émotion en vous parlant. L’envie vous prend généralement de rire ou de le gifler. La littérature nous épargne au moins ces gesticulations et mimiques généralement grotesques. L’émotion est une expérience irrémédiablement solitaire, intraduisible, incommunicable, que ce soit par le corps ou par le langage. Toute tentative pour la rendre par des mots se solde par un déficit massif qu’on s’appelle Baudelaire ou Tartempion. Elle n’expose que la misère des mots et de toute rhétorique. Peut-être les seuls écrivains estimables et dignes d’être lus sont-ils ceux qui ont laissé toute émotion au vestiaire,ce qui condamne les neuf dixièmes de la littérature, et en particulier les déballages de ce Norvégien bavard.
C’est foutu, pour l’émotion littéraire…
Elle a contre elle, cette menteuse, cette garce, cette putain, l’émotion charnelle, physique, animale… une émotion bien plus naturelle.
en relisant le billet,avec des souvenirs, cette histoire de « phénomène de société » m’apparait de plus en plus troublante : et ce n’est pas du nom de Proust ici que mon trouble s’exaspère .
tendance à penser que les Zadie Smith ont mille fois raison de ne pas se laisser impressionner par les critiques, professionnel-le-s ou pas .
émotion négative par le choc des images ( photos) terribles : pas de cravate ni de noeud pap
8h30
Ydipa que des conneries JC.
C’est dimanche, le jour du bonheur donc.
Un café pour le plaisir et hop retour dodo avec la femme de ma vie du moment et bonjour « Les Fleurs du mâle ».
Jyvas, la messe de 10h00 se passera de moi.
A plus.
C’est dimanche, le jour du bonheur donc.
Un café pour le plaisir et hop retour dodo avec la femme de ma vie du moment et bonjour « Les Fleurs du mâle ».
Jyvas, la messe de 10h00 se passera de moi. (ADP)
Oui, l’émotion, peut-être, n’est tolérable, transcrite par des mots, que tant que l’expression en reste à ce niveau d’éructation naïve de l’animal humain. C’est grotesque, bien sûr, quelque peu canin et tout de même assez répugnant, mais au fond plus sympathique que tous ces prétentieux chichis dont tant d’écrivains patentés ont fait leur fond de commerce.
Proust fut & est tout sauf un phénomène de société: c’t’un auteur dont on parle mais qu’on ne lit pas. Tout sauf un best seller, Marcello: perso je lui trouve d’insupportable longueurs et rêve d’une Recherche en 300 pages maxi (sur le modèle du Shorter Finnegans Wake) d’Anthony Burgess, débarrassée de sa graisse et ses ampoulements. Conjugué à des livres aussi alléchants que ceux d’Alain de Botton ou Pierre Macheray, un Proust Digeste permettrait de mettre l’infini à la portée du plus grand nombre. Plaisir du texte enfin accessible.
sans doute est-ce la pratique de « la critique » par P.Assouline qui me « trouble ».Je m’astreins un peu à la suivre , comme ces livres que je termine,par conscience de l’amplitude de mon « ignorance » encore sur la folie « littéraire » des humains.
une de mes grandes émotions me fit un jour crier « Papa » . cri gratifié d’une gifle qui n’était pas la première que je reçus de ma courte vie alors .
Où il est question d’identifier
– de Sidentifier- problème majeur de la littérature vue du côté germanopratin:
« Si encore l’Ajax en question était transcendé par quelque chose de plus haut que lui, en fils de Télamon et Péribée, ou en équipe de foot légendaire, mais même pas : l’Ajax n’intervient qu’en tant que tel, aussi platement qu’un nettoyant à l’ammoniaque qui n’est que ce qu’il est. »
heu faut s’attendre à quoi ? A voir sortir le père le fils et le sain esprit par le goulot de la bouteille ?
Soyez un peu plus diéte ethique; les madeleines ça bourre.
http://p3.storage.canalblog.com/35/46/819472/90844762.jpg
Pour les bâtons, choississez-les téléscopiques.
J’men va écrire « Marcel Proust, raconté à mes pseudos ».
10 pages.
« Il sait que son oeuvre lui survivra. Il peut mourir. Les écrivains, aujourd’hui, depuis des décennies, n’éprouvent plus cette certitude. Ils savent qu’ils meurent pour rien, comme tout le monde. »
Henri Raczymow, Notre cher Marcel est mort ce soir
C’est p’têt ça aussi le truc de l’identification, -du prêt-à-porter littéraire vendu en exclusivité dans les échopes parisiennes psycho-socio.
En bourrant le thé de madeleines disloquées on peut voir la chose ainsi au fond de la tasse:
Y’en a qui se sont fait talocher méchamment par leur père- et là il faut se poser la question de la « réception » de ce cadeau de fête des pères- une vaillante provoc’ ?
Et les autres qui se régalent d’un saumon de fontaine; du souvenir de sa prise, surtout.
… En tout cas, ça ne donne pas envie de le lire, ce malheureux livre. Notre hôte serait-il critique à ce point, parce que légèrement ulcéré (si j’ose oxymorer, un dimanche matin…) qu’on puisse concevoir un Proust non français ???
Ce qui déssert votre discours, Wirderganger, ce sont vos idées fixes. Autant que vous le sachiez si vous voulez évoluer.
« Il sait que son oeuvre lui survivra.
Attendrissante illusion et très incertaine certitude.
… Mais j’aime bien le concept « littérature de Judas », qui résume fort bien la chose. Bon, Judas Iscariote a mal fini, souvenons-nous en ! Je mettrais assez volontiers un livre comme « mort à crédit » dans la catégorie « littérature de Judas ». Et non, je n’y mettrais pas « en finir avec Eddy Bellegueule » !
Ce qui déssert votre discours, Wirderganger, ce sont vos idées fixes. (D)
Des idées fixes ? Des fixettes plutôt.
Et non, je n’y mettrais pas « en finir avec Eddy Bellegueule » ! (Clopin
A chacun(e) ses fixettes.
« Il sait que son oeuvre lui survivra. Il peut mourir. »
Non mais quelle imbécillité, cette formule recuite, orgueilleuse, stupide !
Marcel Prout disparaitra entièrement, comme les autres…. question de temps ! Non mais ! comment peut on dire des conneries de cette dimension : « survivra »… mon cul !!!
Parrelez-vous : « Tout cède, rien ne tient bon «
« Il sait que son oeuvre lui survivra. Il peut mourir.
ça lui fera en effet un beau tibia.
« Tout cède, rien ne tient bon « (JC)
C’est vrai que, si on met de côté l’existence de Dieu, l’Ecclésiaste est vrai de bout en bout. Il faut mettre à la décharge de Proust que, dans le célèbre épisode de la mort de Bergotte, la survie de son oeuvre n’est envisagée par lui qu’à titre d’hypothèse, émouvante certes, mais seulement hypothèse. Du moins si je me souviens bien. N’en déplaise à Bloom, il n’y a pas une longueur, pas un mot de trop, dans toute la « Recherche ».
ce qui ne me donne pas envie de lire ce livre, c’est le texte sur le cou notamment ; mais s’il est dans une salle d’attente où je m’ennuie trop des pensées que je retourne ? je saisirai l’occasion d’en lire quelques pages!
Dans un nombre peu élevé de générations, les images auront remplacé définitivement les mots… et que, par conséquence, la littérature sera définitivement morte.
Ce qui ne gênera personne…
Il ne sert à rien de se cacher que la technologie est plus forte que tout, et qu’elle broie tout ce qui n’est plus « nécessaire » sous son passage.
« il n’y a pas une longueur, pas un mot de trop, dans toute la « Recherche ». »
Onéné
Certains devraient vraiment se relire avant de proférer de telles absurdités.
« C’est vrai que, si on met de côté l’existence de Dieu »
Prébois,
Honte ! tu blasphèmes ! Un dimanche, en plus ! Jour du Saigneur …
« il n’y a pas une longueur, pas un mot de trop, dans toute la « Recherche ». »
On en reparle dans sept siècles ?….
cet épiphénomène asiatique parisien, ils s’aiment trop par derrière, ça se lit organisent des orgies dans un Valhalla obscur. (des fournées entières)
Hihihi
Un petit chef matinal: différences ethniques, linguistiques, sexuelles…
Call me Conchita Wang!
De la « platitude »… Suite en bémol.
« Karl Ove Knausgård fait une pause. “On peut sortir en griller une ?” Nous sortons. Il fume sa cigarette jusqu’au filtre et raconte comment sa description de la réalité a eu un impact sur celle-ci. Aujourd’hui, il n’a plus aucun contact avec sa famille paternelle. Lorsqu’il a achevé le premier tome de Min kamp, il a envoyé le manuscrit à tous ceux qui y sont évoqués. Sa famille trouvait qu’il salissait la mémoire du père et ne voulait pas que le livre soit publié. Karl Ove Knausgård a changé leurs noms, mais n’a pas renoncé à la publication.
Est-ce que cela se justifie ?
Oui. La seule personne que j’aie décrite aussi précisément et aussi impitoyablement, c’est mon père décédé.
C’était aussi leur frère, leur oncle…
Bien sûr, mais c’était mon père. Je dois avoir le droit d’écrire sur lui, de raconter exactement comment je l’ai vécu. Si je ne peux pas, je ne peux pas être écrivain. Car c’est mon matériau. Mais la conséquence a été terrible. »
http://www.courrierinternational.com/article/2010/09/16/un-combat-de-longue-haleine
« Il ne sert à rien de se cacher que la technologie est plus forte que tout, et qu’elle broie tout ce qui n’est plus « nécessaire » sous son passage. »
Pris en flagrant délit de fatalisme, camarade JC!
C’est étonnant combien le libéralisme poussé à son extrême s’abolit en son contraire: célébrons le fatum.
Cette phrase, traduite en allemand, c’est pas un peu du Martin?
les langues zorientales ?
Pour ceux qui connaisent pas uhu c’est aussi et surtout ça, c’est chiant, ça colle partout.
Et pour ceux qui connaiSSsent, j’imagine que c’est pas différent.
Contre-sens absolu, camarade ueda !
La technologie est porteuse d’avenir, elle est destructrice de fatum qui n’est qu’une invention humaine absolument déraisonnable !
…et négligeable !…
ce qu’il confesse
« , mais j’avais toujours l’impression que ce n’était pas honnête. Que le littéraire me bloquait.” » Normalement, j’ai des idéaux esthétiques élevés. J’ai dû les abandonner et cela m’a procuré une force immense. «
« Un petit chef matinal: > Un petit chef d’OEUVRE matinal, bien sûr.
Car il y a du travail dans votre émotion (bravo).
Pour ce qui est du chef, non, je ne crois pas.
Voici ma perception, ce matin, de votre agréable personne (mais on peut se tromper):
« Documentaliste cherche maître. »
cet épiphénomène asiatique parisien
mmm .. quel fatras, cette desjournées !
(bien vu, le « desFournées ..)
Ouah la la ils sont tous sortis, didon.
avec des Danois proférant des jurons et un Norvégien silencieux au milieu de la salle.
c’est en littérature; mais si cela avait été en sciences humaines, ou en document ?
ça va fumer; j’vous le prédis.
« Le tome 6 porte néanmoins toujours sur la réalité telle que la voit Knausgård dans son esprit. Le récit de l’auteur va jusqu’à l’époque actuelle et évoque ainsi tout le tapage auquel il a été confronté lorsque des milliers de Norvégiens se sont mis à lire le premier tome. Le présent figurera dans le livre et il se peut même qu’on y trouve la soirée à l’Ecole des écrivains, avec des Danois proférant des jurons et un Norvégien silencieux au milieu de la salle. »
reste que la question demeure, que vient faire marcel proust dans ce drakkar ?
Poser la question est déjà y répondre: Rien.
A tantôt les caverneux.
Fiat lux trop beau dehors.
des journées entières dans les arbres dit: 8 juin 2014 à 10 h 14 min
De la « platitude »… Suite en bémol.
Vous êtes encore plus sévère que moi!
« A tantôt les caverneux.
Fiat lux trop beau dehors. »
Pèpèpe.
On garde un oeil.
Des fois que vous reviendriez en loucedé.
« Comme il n’est pas avare d’interviews, révélant une pensée d’une étonnante platitude, on ne lui fera pas de procès d’intention ; mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense. »
Camarade JC
« La technologie est porteuse d’avenir, elle est destructrice de fatum qui n’est qu’une invention humaine absolument déraisonnable ! »
La technologie est porteuse d’avenir … pour la technologie?
— Sous le billet précédent, un post insolent comparant deux débarquements, l’un du nord l’autre du sud, avait votre coup d’oeil.
Un problème d’ordre politique autrement important pour l’Europe que les questions trop familières de l’Ukraine.
Mais on est nordique aujourd’hui!
« mmm .. quel fatras, cette desjournées ! »
Elle est un peu conne c’est sûr, Daaphnée (alors qu’Abdelkader est très intelligent), mais elle a le mérite d’ouvrir un peu l’entre-soi.
Sur la terre comme au ciel, il y a de tels êtres.
camarade ueda,
Pour tout dire, il me semble que la pensée humaine est par nature tournée vers la technologie, seule issue de progrès – question de survie – pour un animal aussi faible, depuis la nuit des temps… et on accélère.
Entre marcher sur la Lune et lire, admiratif, un connard comme Proust… y a pas photo.
Ceux qui ne sont pas des optimistes scientifiques peuvent continuer à enfiler des mouches, l’humanité suivra les « outilleurs » …
On a beau dire, on ne titre pas impunément un bouquin « Mein Kampf », même traduit en norvégien…
Dernier détail avant le départ chez des amis musiciens : ceux qui s’inquiètent du « Hollande bashing » actuellement en vigueur devraient relire Suétone bavant sur Caligula, dans les Douze Césars.
Relu récemment, j’imaginais avec délices Ayrault en Incitatus du hollandais, si ridicule et petit, ce pôvre président courte-pattes !
« Entre marcher sur la Lune et lire, admiratif, un connard comme Proust… y a pas photo. »
Quand on est condamné à la colloquite et convié à un colloque somnolent sur l’émotion littéraire, ce serait excellent de commencer son papier par cette phrase.
« Debout là d’dans! »
« Entre marcher sur la Lune et lire, admiratif, un connard comme Proust… y a pas photo. » (JC)
Le pastis avant onze heures par ces chaleurs, c’est pas indiqué.
« il n’y a pas une longueur, pas un mot de trop, dans toute la « Recherche ». »
mmm .. une entreprise littéraire et un style, surtout, oui. Et qui fait suite à la grande affaire du XIX¨° – le R O M A N – oui.
De là, à ne pas en éprouver un ennui mortel .. Heu ..
Le style, d’accord mais chez Proust, l’effet soporifique est aussi au rendez-vous !
Bref .
Alors que certains – comme Knausgaard, d’après Pierre Assoulline – nous agonisent avec des pages et des pages d’un pathos du quotidien .. fût-il hyperréaliste
(sa singularité qui en serait la qualité majeure si elle était mieux servie par une écriture qui etc .. ?),
pourquoi n’y en aurait-il pas un lectorat pour aller s’abrutir …. ici, dans le pathos autofictionnel .. ?
L’autofiction est bien le genre où les pires navets puissent être produits, et qui trouve son lectorat .
C’est la critique qui devrait décliner l’invitation .
« Ceux qui ne sont pas des optimistes scientifiques peuvent continuer à enfiler des mouches, l’humanité suivra les « outilleurs » … » (JC)
Il est normal que les mouches traînent un peu des pieds avant de suivre les outilleurs.
Disons que la Norvège a produit également de grands auteurs, voyez Ibsen, alors on peut s’inquiéter – partant de ce qu’en dit PA, personnellement je ne l’ai pas lu .. – de ce succès de librairie ..
jamais je ne vuos raconterai « ma » vie comme un vulgaire coryphée alsacien ou un marchand de vin suisse
Ce n’est pas, fort heureusement, un nouveau scandale sanitaire. Mais, presque aussi grave, une gigantesque supercherie qui risque de longtemps prolonger la défiance des consommateurs envers ce qu’on leur donne à mangerCe n’est pas, fort heureusement, un nouveau scandale sanitaire. Mais, presque aussi grave, une gigantesque supercherie qui risque de longtemps prolonger la défiance des consommateurs envers ce qu’on leur donne à manger
bon appétit!
…
…quelques suggestions pour se coiffer du pouvoir phrygien en république!,…
…
…Georges Suarez,…nos seigneurs et maîtres, 1937,…
…
…Armand Bernardini,…les accointances entre Juifs et Gaullistes,…
…
…Eric Stemmelen,…la religion des seigneurs,…
…
…qui en veut de la liberté, égalité fraternité,…à protéger ses strates des paroxysmes des salaires entre lobbying de castes!,…
…
…gauches et droites,…les milliards sur tables,…Oui!,… serrer la vis au peuples » crédules « ,…
…Colla-boss’s ou êtes vous,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…
…Georges Suarez!,…1° journaliste de la collaboration exécuté,…fusillé le 9 novembre 1944,…
…la pureté à l’heure des consultation populaire,…un thème à l’ordre du jour,…de la bande à quatre, à cinq, à six,…
…taxé les pauvres,…et privilèges aux très riches!,…tiens v’la du boudin!,…etc!,…
…
…mémoire littéraire,…tous malins du terroir au beurre!,…Ah!,…etc!,…
…
court comme un lien
http://www.slate.fr/story/88043/femmes-mafieux-repentis-ndrangheta
mais est-ce le dernier commentaire sur la toile?
http://www.slate.fr/story/88171/foucault-accueilli-rejete
M.L. répondra
« on peut s’inquiéter de ce succès en librairie – que je n’ai pas lu » (Daaphnée)
Pourquoi s’inquiéter d’un succès en librairie ? Ce n’est pas un pamphlet raciste ou antisémite, ce n’est pas une apologie de la pédophilie, etc. Si le livre plaît aux lecteurs, il y a lieu de s’en réjouir, au contraire, pour l’auteur et pour ceux qui aiment.
[[((( dis, ueda, tu l’as trouvée dans une pochette-surprise, celle-là ? Pfff ..)))]]
Si le livre plaît aux lecteurs, il y a lieu de s’en réjouir, au contraire, pour l’auteur et pour ceux qui aiment.
Heu … certainement, certainement ..
Le panem et circenses remplissait le cirque romain .
à propos de Norvège
Il se rend ensuite en Suède et en Norvège, où il entreprend des recherches sur la « fonction biologique de la sexualité et de l’angoisse » (Biological function of sexuality and anxiety) avec l’aide d’une nouvelle équipe, formée de médecins, de psychanalystes, d’un ingénieur en électricité, étude qui le conduit à s’intéresser à la biogénèse qui l’amène à élaborer la théorie des « bions ». C’est à l’invitation du professeur Schjelderup, directeur de l’Institut de physiologie de l’université d’Oslo, qu’il donne des cours sur l’analyse caractérielle. Les travaux de cette période norvégienne sont publiés en 1937 sous le titre « Étude expérimentale de la fonction électrique de la sexualité.» Il pose en ces années les bases de la thérapie psychocorporelle en collaboration avec Ola Raknes. Il se lie durant ces années avec Alexander Sutherland Neill9.
Reich sur Wiki et non viking
(pendant qu’il compte ses bouteilles) remercions jicé et cheuloux de leur affirmation : « bouguereau n’est vieux bourrin fourbu et imbibé »,
merci messieurs
Sigurd Hoel (né le 14 décembre 1890 dans le Nord-Odal, et mort le 14 octobre 1960) est un écrivain et conseiller éditorial norvégien. Il a débuté en 1922 avec le recueil de nouvelles Veien vi gaar, et a connu son premier succès en 1927 avec le roman Syndere i sommersol (adapté au cinéma en 1934 puis en 2002).
copié de wiki :il serait féru de psy
« Étude expérimentale de la fonction électrique de la sexualité.»
Les électrodes sur les parties, ça eut payé mais ça paye pus.
Info le Parisien
Le CHU de Rennes se débarrasse de médicaments encore… valables !
Santé. Depuis quatre ans, l’établissement jette à la poubelle des centaines de boîtes non périmées, au grand dam des syndicats. La faute à un système informatique compliqué qui tombe régulièrement en panne.
mais qu’est-ce qui se passe ?
« On part le soir et, quand on revient le lendemain, il n’y a plus rien. Certains flaconnages représentent un mois de salaire d’un contractuel. Imaginez quand il y en a 10 qui disparaissent ! C’est très dur à vivre d’un point de vue éthique et psychologique », explique l’employé de la pharmacie, qui souhaite garder l’anonymat.
l’épouse de PAUL Auster Siri Hustvedt
« Son père est un américain d’origine norvégienne et sa mère est norvégienne. »
Em .rama dit: 8 juin 2014 à 12 h 04 min
Tss tss, dr Lecter; on est d’accord.
Sur toute la ligne.
http://www.youtube.com/watch?v=_LTsjwiTN7w&feature=kp
Un peu de (pas que) sport fiction- Et si l’Angleterre devenait championne du monde?
http://imgur.com/gallery/Eh9y0
Merci d’avir évoqué Siri Hustvedt:
« I spoke Norwegian before I spoke English but rural Minnesota was my everyday world…I succombed to an ideal elsewhere, a magic kingdom of trolls and ‘nisse’ and ‘fiskeboller’, of Ibsen, Hamsun and Munch, a fantastic ‘over there’, where the children were happier and healthier, floors were cleaner, and the people kinder and more just. »
Some musings on the word ‘Scandinavia’, in Living, Thinking, Looking’ 2012 (Attention, chef d’peuvre!)
peuvre
–> chef de pieuvre?
–> chef d’oeuvre?
chef de preuve ?
« exorciser le réel »
ici et maintenant
hic et ?
Les philosophes du présent
En Orient, bien sûr, mais aussi en Occident, la philosophie du hic et nunc s’est diffusée à différentes époques et dans différents courants de pensée. Rappel de ses apôtres les plus engagés et de leurs motivations.
Bloom 13h46
Il commence à me gonfler grave le mec de l’Alliance Française qui balance un commentaire sur deux en anglais (svp, pas de « connaître une seule langue, naninanère …, rien à voir)
Sur un blog écrit en français, par un écrivain français, on se fout de son passé de prof d’anglais.
Bloom, déjà que le site de votre Alliance est en anglais (ce qui même dans une ancienne colonie anglaise me paraît une aberration, même du point de vue marketing) je me demande quel est votre rôle et votre apport au « rayonnement » (!!) de la France et du français.
L’académicien qui débarque ou le philosophe en chemise blanche qui vous a tant impressionné ils font leurs interventions en anglais ?
(juste pour savoir l’utilité d’une déjà trop petite part de mes impôts).
Le philosophe en chemise blanche qui vous a tant impressionné
Se relire est un impératif pas toujours assumé
Recherche du temps perdu: merveilleux interview du fils de Walter Macken (un prêtre, nobody’s perfect) évoquant son père et la difficulté d’être écrivain, dans un pays où beaucoup se rêvent écrivains.
http://www.writingshow.com/podcasts/Walter_Macken.mp3
– Salut John, alors, tu fait quoi?
– Moi, j’écris un roman.
– Fantastique! Moi non plus, je n’écris pas de roman.
Ze fun!
Daaphnée dit: 8 juin 2014 à 11 h 11 min
chez Proust, l’effet soporifique est aussi au rendez-vous !
Ouais… Des fois faut enjamber tirer le manche… Mais chez Genet aussi, hein ! Et Sollers… Ha les rats les gaspards ! Y a que Ferdine… Là c’est pesé comme les médocs à Rennes…
Il commence à me gonfler grave le mec
je me demande quel est votre rôle
te demande plus et dégonfle hé banane!
Air bag dit: 8 juin 2014 à 14 h 53 min
Déconnez pas Bloom, c’est une bonne question.
De l’utilité de Bloomy dit: 8 juin 2014 à 14 h 36 min
Le pépé de PQ n’a rien d’autre à faire que de se vautrer dans les manières de minable petit gestapiste français. Pas étonnant qu’ils aient été du mauvais côté de l’histoire.
Pauvre type.
Shitface.
Après avoir lutté 5mn contre une tendance me faisant voir une préface d’Aussaresse à l’impayable « Etude expérimentale à la sexualit-E-lectrique » (je transfigure; je sais…), pour ne garder à l’esprit la farce que furent ces théories « Reich »-iennes (oui l’impérialisme d’un fruedo-morxisme imbécile),
je dirai que l’entreprise de Knausgaard m’est plutôt sympathique.
Sur le côté lancinant, « morne plaine », on a suffisamment parlé de Bergman (c’est l’esprit Nordique; la neige tombe doucement sous un ciel gris; on n’y peut rien)
Que le parallèle à Proust ne puisse être qu’une image (lorsqu’on connait la langue(dialect) Norvégienne, au regard du « +queparfait du.. » grandsiècle du français), il demeure plus crédible que le coup de Pub l’année du mariage Homo, avec « Eddy Bele.. » DE pICARDIE, qu’on ne craignait pas de comparer à Rimbaud…(!)
Reste; lE Billet-PA. regrette l’absence des sentiments,et parlapapa,… et qui seraient si caractéristique d’un roman (chose sur quoi Céline a tout dit, et démontré).
pERSO, je vois surtout l’importance dans une « O »euvre » authentique de ne se « raconter [que] sa vie à soi-même » (Nietzs..). Et le fait de tenir ainsi 2 tomes, 3 tomes… 6, 7… n’est pas rien. Je ne citerai pas (ce jour de modération me l’interdit) des écrivains français (« éclectico-électric »)qui firent grand bruit il y a pas si longtemps pour le Goncourt, etc… et qui -sagement-, ne se risquent plus du tout au roman; ou d’autres intellectuellement épuisés, qui ne cessent de moudre leur vieilles recettes; seul Modiano me semble ACCOMPLIR un vrai parcours d’écrivain (lui aussi de fait, en versant dans le « presque rien »).
« JC » de retour de son Adieu, a pu opposer la « marche sur la lune » et Proust (sans intention homophobe j’en suis sûr).
mAIS pour avoir été stupéfait de l’envoi d’un homme dans l’espace par les chinois, me passionner pour les projets d’avions à propulsion ionique… j’avoue mon plaisir à lire Proust, à suivre le fil d’un récit infini comme le temps, noué par des conjugaisons incroyables; dont on a plus idée de nos jours (si l’œuvre de Céline me fascine, je n’éprouve pas le même plaisir à lire certains de ces romans – à part « Le Voyage »…- que ceux de Proust). Toute proportion gardée, Bill Gatte n’avouait-il pas être fatigué de « l’écran », et prendre un grand plaisir à lire et écrire à la main… Marx impuissant à le conceptualiser, n’avouait-il pas lui aussi l’indéfinissable charme de l’art Grec.
En relisant la pr »ésentation que put faire Sollers des œuvres de Drieu dans la Pléiade. Celui-ci parlant d’un « mauvais bon écrivain » sans se mouiller, reprochait essentiellement au directeur de la nrf de jadis, des thèmes ordinaires, usées, et une pléthore de « plus que parfait du subj.. » « de passé truc et simple chose, etc… BREF d’une façon de parler inusitée aujourd’hui. Le même écrivain de St Germain -roi du pastiche-, avait même pu dire « Rimbaud vite! », comme si on avait la moindre possibilité (et lui surtout)de pouvoir écrire de nos jours quoi que ce soit comme Rimbaud, comme Céline, etc…
oUI, c’est qu’ON EST EN DROIT DE SE DEMANDER POURQUOI ON DEVrait, faire bref, coourt, journalistico-cinémato-télévisuel ! (je m’y emploie). En son temps M. Foucault avait pu dire combien il avait le sentiment que toutes ces expériences littéraires « nouveaux romans » truc machins, étaient de pures impasses (à dégoûter les lecteurs finalement)
Oui ; C’est pour tout cela, et un peu plus que la démarche de « K.O. » ‘100kg’ Knausgaard mérite d’être connue. On attend la suite…
Bardamu dit: 8 juin 2014 à 15 h 12 min
lire et écrire à la main…
Mais… La main c’est pas fait pour lire, c’est fait pour encombrer la fille… Pour lire, ce qu’il faut, c’est un monocle… Comme Saint-Loup !
Chez ceux dont on dira qu’ils sont de grands écrivains, Sergio, je ne dirai pas qu’il soit question d’enjamber ..
Il y a des choses qui n’en n’ont pas fini de « travailler » et qui re-surgiront .. On avait, par exemple, parlé des nouvelles puis d’Ulysses, de Joyce.
Et pour Genet et Celine, je dirais simplement que toutes les oeuvres n’ont pas la même portée, dès le premier mot de leur genèse probablement.
En prenant le contre-pied, cela me fait penser à la réflexion que faisait Godard à des admirateurs qui venaient le féliciter …
En substance, il leur répondait:
– Merci, mais qu’avez-vous vu de mon travail ?
A savoir, que ce ne sont pas nécessairement les oeuvres les plus reconnues et diffusées qui font sens pour leur auteur, ni même qu’il faille opérer un tri entre du meilleur et du moins bon. Les grands écrivains ne deviennent pas de grands écrivains à force de travail et de reconnaissance. Ce serait l’idée d’un « progrès » – notion scolaire s’il en est – qui n’a rien à faire là.
Et un autre exemple, c’est La recherche de l’absolu de Balzac où ses contemporains n’ont rien vu ..
Bloom dit: 8 juin 2014 à 15 h 07 min
T’es vraiment con, Bloom ! J’arrive à l’instant et je te vois bavant ta bile : personne ne te sauvera…. Tes ayant-droits innocents peut-être, sale gosse.
( NB pour Sergio, je ne suis pas lectrice de Sollers )
Nah, peut-être le succès se justifie-t-il par l’adéquation entre l’oeuvre et l’endroit où elle fut écrite. Si on en croit notre hôte étonné, il s’agit de rapporter des choses indifférenciées, d’être long, ennuyeux, sans hiérarchie ni saveur, une plate écriture pour une existence banale : ça fait effectivement penser à Ikea, et au-delà, à tous les norvégiens du monde…
Il y a des choses qui n’en ont
Bardamu,
Soyons lucide, ce Proust c’est un trou du cul ! Homophilie mise à part ! Une ruine sans intérêt, sans la moindre valeur !
Je me tue à le dire depuis des années… Inintéressant au possible !
Toutes ces phrases, tout ce dégueulé pour intellos à la con ! Et encore, je reste mesuré, délicat, respectueux des usages…
Proust, c’est pas de la merde, c’est de la chiure de mouche.
ça fait effectivement penser à Ikea, et au-delà, à tous les norvégiens du monde…
C’est connu, les Norvégiens vivent dans les boutiques IKEA
Bloom dit: 8 juin 2014 à 15 h 07 min
Ne jouez pas votre TKT Bloom, je ne suis pas JC, je ne vis pas à Porquerolles et je ne fais pas de scooter (pour les blondes scandinaves j’avoue que)
Alors ne m’insultez pas (ni lui d’ailleurs)
Votre nouvelle tendance à traiter tout le monde de gestapiste ou de kapo est non seulement très injurieuse et diffamante, mais surtout ridicule et stupide.
J’estime avoir le droit :
– d’écrire que vos perpétuelles citations en anglais me gonflent sans être traité de nazi;
– de demander à son responsable pourquoi un site de l’Alliance Française est écrit en anglais sans être traité de facho;
– de demander à leur organisateur si les interventions de nos académiciens ou personnalités à l’étranger se font en anglais sans être traité de gestapiste.
BàV comme il était coutume dans un passé récent de clore un commentaire.
En 1895, Roald Amundsen a vingt-trois ans. Il traverse la France à bicyclette et se rend à Carthagène où il réussit à embarquer sur le cargo Oscar pour regagner Christiana. Etape après étape, il accomplit le programme qu’il s’est fixé pour mener à bien son rêve.
Clo-Clo tu te goures les Norvégiens c’est Napapiri.
Se relire est un impératif pas toujours assumé
Rien de plus facile pourtant, juste une question de temps consacré à, en traduction immédiate de français à français voudriez-vous dire qu’une relecture ferait peur à certains? Qu’ils se débinent et ne signent pas leur production? Qu’ils ne veulent reconnaitre, repérer, les erreurs qui se glissent dans le texte originel et à vouloir les ignorer ou ne pas les voir ( ces erreurs), renoncent à la correction? Préfère un enterrement plutôt qu’une conciliation avec le sens et l’orthographe?
La transformation digitale vue par Maria Flament, directrice « Voix du Client » de Leroy Merlin.
Leroy Merlin, entreprise de bricolage leader du marché français, vient de franchir une nouvelle étape dans la digitalisation de sa relation client. « Nous nous attachons à écouter nos clients à tout moment et sur le canal qu’ils choisissent d’utiliser », explique Maria Flament.
Un objectif que l’entreprise entend atteindre en se dotant d’un système lui offrant la possibilité de répondre immédiatement, avec transparence et authenticité, à tous les internautes, clients ou non, qui s’adressent à elle.
« Gérer notre e-réputation », ajoute Maria Flament, « consiste aussi bien à trouver rapidement des solutions aux internautes mécontents qu’à récolter des contributions positives et à mesurer la notoriété de la marque ».
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/thema/0203536824263-leroy-merlin-la-e-reputation-au-coeur-de-lecoute-client-1008617.php?Pw7P41BAsSvA8W8I.99
demander à son responsable pourquoi un site de l’Alliance Française est écrit en anglais
Utiliser la langue du pays d’accueil, hé gourdasse!
Leroy Merlin, entreprise de bricolage
Nom de Dieu, desjournées, vous allez nous faire l’atelier bricolage du troisième âge !?
napa quoi ?
Pour séduire un consommateur en quête de simplicité et d’un mode de vie moderne, les marques misent sur les produits scandinaves. Qualité, authenticité et humour qualifient cet » exotisme frais » venu du Nord.
D’Argelès s/ mer dit: 8 juin 2014 à 15 h 42 min
Qu’ils se débinent et ne signent pas leur production?
Vous êtes ?
Préfèrent .
quantité négligeable installée sur territoire français depuis la naissance.
Daaphnée dit: 8 juin 2014 à 15 h 24 min
toutes les oeuvres n’ont pas la même portée, dès le premier mot de leur genèse probablement.
C’est le problème… Le fond il est probable qu’on a vraiment tout envisagé. L’intérêt c’est le style, la musique, tout ce que l’on n’arrive pas bien à qualifier. Au reste, les oeuvres les plus littéraires sont précisément celles où il ne se passe rien. Maintenant que veut dire littéraire, ça va faire long…
Tout commence le jour où Sophie Amundsen, une jeune fille de quinze ans, trouve dans sa boîte une lettre qui lui est adressée, et sur laquelle n’est inscrite qu’une seule phrase : « qui es-tu ? ». Une seconde enveloppe lui parvient, et à l’intérieur un nouveau petit mot : « d’où vient le monde ? ». Expéditeur de ces lettres reste un mystère, mais les questions posées intriguent Sophie. C’est le début d’une étrange correspondance qui va plonger la jeune fille en quête de réponses dans une longue visite des principales figures de la philosophie…
Jostein Gaarder a enseigné la philosophie et l’histoire des idées à Bergen en Norvège, avant de se lancer dans la littérature. Il connaît dans son pays un succès unanime pour son œuvre d’une profonde originalité. Son roman Le Monde de Sophie, publié en 1995, le fit connaître et l’a définitivement consacré auprès de la critique et du grand public, non seulement en Norvège mais également à l’étranger
wiki
La Gestapo c’est plutôt les imperméables, non ? Les trucs secrets ils sont mal habillés… Même Harras il a une dague, des Ritterkreuz en diamants adamantines et tout le fourbi c’est quand même une autre carrure…
De l’utilité de Bloomy dit: 8 juin 2014 à 15 h 34 min
L’hôpital qui se fout ce la charité. Le mépris affiché interdit tout réponse, quand bien même je les aurais. Demandez-les à votre entourage.
Le vent mauvais qui souffle sur notre pays et tourne la tête du plus grand nombre ne vient , heureusement, pas jusqu’ici.
Daaphnée dit: 8 juin 2014 à 15 h 47 min
l’atelier bricolage du troisième âge !?
Y aura plein de mecs coupés des hectolitres de mercurochrome soixante mètres de gaze Indosuez…
Au reste, les oeuvres les plus littéraires sont précisément celles où il ne se passe rien.
Quand même, Sergio !
Il y a le nouveau roman, mais ce n’est pas une raison ! Et d’un autre côté, si vous prenez le roman épistolaire … Laclos, par exemple, c’est du grand art !
desjournées 15h43 la finalité étant d’optimiser la croissance du marché, d’ailleurs je me demande ce qui en dehors des objets littéraires musicaux artistiques si l’on excepte les spéculations contemporaines sur le marché de l’Art, n’est pas destiné à transformer l’homme en mouton du troupeau acheteur/ consommateur, sauf à le réparer ou l’aider quand c’est désespéré et donc à perte, tout me semble orienté au bon fonctionnement de la machine à produire des produits.
Quand c’est pas un, c’est l’autre, de la glU en veux-tu ? en voilà:
http://www.oasisfle.com/ebook_oasisfle/Gaarder,%20Jostein%20-%20Le%20Monde%20De%20Sophie.pdf
Bloom dit: 8 juin 2014 à 16 h 00 min
« Le vent mauvais qui souffle sur notre pays et tourne la tête du plus grand nombre ne vient , heureusement, pas jusqu’ici. »
Il est content, le con ! Bien à l’abri…
Clopine dit: 8 juin 2014 à 15 h 30 min
Nah, peut-être le succès se justifie-t-il par l’adéquation entre l’oeuvre et l’endroit où elle fut écrite. Si on en croit notre hôte étonné, il s’agit de rapporter des choses indifférenciées, d’être long, ennuyeux, sans hiérarchie ni saveur, une plate écriture pour une existence banale : ça fait effectivement penser à Ikea, et au-delà, à tous les norvégiens du monde…
et c’est celle qui vient périodiquement nous infliger les bouses autobiographiques de son élevage de phacochères normands qui ose écrire ça ? heureusement qu’elle n’intéresse presque personne en Normandie sinon toutes les Normandes du monde auraient réagi depuis longtemps
Il est content, le con ! Bien à l’abri…
JC a pris le maquis!
…
…la trame sur ces écrivains,…du mérite à souvenirs égocentriques!,…
…en somme!,…
…l’espérance de l’argent facile!,…sans nous pondre du Harry Potter,…en lèche-cul des royal-house’s bien pensantes d’avortements et autres relégations des lignées en bonnes soeurs du bon coup pour Dieu en manque!,…
…
…comme le suggère notre,…@ bouguereau,…de service!,…attendre la dilatation des esprits pour les préambules aux godes-ceintures,…
…
…mes chéries déjà là,…de mes cages aux folles!,…mes gay’s introvertis!,…pourvu que la renommés mort à l’hameçon-nage,…sans divers-sions!,…étrangers à notre bonheur!,…
…service,!,…sexpresso sans sucre!,…etc!,…
…suivant!,…
…Oui!,…docteur!,…est ce que je suis belle pour vous!,…faut voir votre compte en banque ma chérie!,…Ah!…Ah!,…combien!…
…il vous reste,…cinq châteaux de vos aïeux Tartufes!,…vous recevez aux moins!,…un Casino par çi, pour vos reçyclages!,…une banque pour un autre château-bourgogne!,…
…mais!,…Si,si,sexy, que vous êtes adorable comme tout!,…
…vous au moins vous savez parlez aux dames!,…vous pouvez remplacez mon gode-ceinture en panne!,…of course!,…juste un modèle rapproché,…je vois!,…
…un cornet-glace Magnum, c’est pas mieux pour l’instant!,…bien frais!,…si si!,…
…pas de quoi tenté le diable à quatre sous!,…Ah!,…
…etc!,…envoyez!,…
U. pas finot ta méthode…moi, le Finlandais je me demande pourquoi le site de mon centre culturel national est pas en finnois, langue que parlent pourtant tant de parisiens snobs et tout et tout…Je suis en Norvège mais quand j’irai à Paris, comme tous les dix ans, je leur demanderai.
http://www.institut-finlandais.fr/
Nom de Dieu, desjournées, vous allez nous faire l’atelier bricolage du troisième âge !?
Cet article sur Leroy-Merlin est PASSIONNANT. Je l’ai relu trois fois. Vite, on en veut un autre !
Laclos, par exemple, c’est du grand art !
Encore un qui me manque et qu’il me tarde de lire, du retard, des ennuis…
@JC Il est content, le con ! Bien à l’abri…
planqué dans sa tour d’ivoire jc le satire de pécul être content
@daaphnée 15h47
tout le lmonde sait que vous être du troisième âge
ça sent le vécu, les liens de djdla, on sent la vieille fille désoeuvrée qui cherche désespérément quelqu’un avec qui partager ses expériences et coups de coeur. Faut qu’elle songe à s’inscrire sur e-Darling, ça soulagerait ce blog de ses déjections quotidiennes.
pourquoi un site de l’Alliance Française est écrit en anglais
parec que pauvre nouille ceux qu iveulent y apprendre le français ne le comprennent pas encore alors que l’anglais est l’idiome le plus largement utilisé et donc commpris dans le monde
Bloom dit: 8 juin 2014 à 16 h 00 min
Le vent mauvais qui souffle sur notre pays et tourne la tête du plus grand nombre ne vient , heureusement, pas jusqu’ici
La quintessence de TKT et ML,
champion M. Bloom.
Pour Djedla, il me semble que, plutôt que e-Darling, e-Shit est tout à fait indiqué…
Eh bien après Ajax et Cif amoniaqué, voilà de la contrefaçon:
Les faux produits scandinaves marchent aussi
Les pulls décorés de grands drapeaux rouge et blanc de Napapijri laissent croire qu’ils viennent de Norvège, alors qu’ils sont… italiens. Les yaourts Fjord sont fabriqués en France par Danone. Même les Scandinaves croient les crèmes Neutrogena (groupe Johnson & Johnson) norvégiennes.
même lien
la vieille fille désoeuvrée qui cherche désespérément quelqu’un avec qui partager ses expériences et coups de coeur. Faut qu’elle songe à s’inscrire sur e-Darling, ça soulagerait ce blog de ses déjections quotidiennes. »
eh oui la pauvre daaphnée est bien pltoyable sous son maquillage de déjections
Bloom ne s’est pas encore rendu compte que l’on s’est débarrassé de lui en l’envoyant chez les sauvages !!!!
Misère de l’homme sans cervelle…
le roucass de Porquerolles du blog est impuissant ?
— Hermès ! s’écria Sophie. Oh ! merci !
Le chien laissa tomber l’enveloppe sur les genoux de Sophie qui étendit la main et commença à lui caresser la nuque.
— Hermès, t’es un bon chien, tu sais ! murmura-t-elle.
même lien
@JC (Proust, c’est pas de la merde, c’est de la chiure de mouche.)
Quelle intelligence suprême ce JC! Et quelle culture!
S. Langerworhagissuissleich dit: 8 juin 2014 à 16 h 20 min
Mais cher finnois la très grande majorité des habitants qui entourent l’Alliance de Bloom ne parlent pas un mot d’anglais.
Le site de l’Institut Finlandais est-il en anglais ?
Patientez, dès que j’ai un truc concernant le sildénafil contrefait pour JC de Porquerolles et son copain la glU et affidés, je poste.
Djedla me rappelle ces vieilles que l’on vient chercher en bus pour les faire voter, revêtues de leurs plus belles couches urinaires ….
JC, ce que vous avez dans le cerveau malheureusement c’est votre reflet.
Vous avez besoin d’ajax, de cif, de monsieur propre ?
le projet le plus sérieux dure depuis une dizaine d’années, fruit d’un activisme culturel prôné par l’émirat d’Abu Dhabi. Avec un musée du Louvre conçu par Jean Nouvel et qui sera inauguré en 2015, et une Université Sorbonne Nouvelle qui a déjà ouvert ses portes, l’idée était d’instaurer un Booker Prize arabe (à l’instar d’un autre russophone et un asiatique) géré par des vétérans du prix original (Grande Bretagne et Commonwealth) et qui vient d’élire pour cette année le roman de l’Irakien Ahmad Saadawi, Frankenstein à Baghdad, métaphore fantasmagorique à l’hommage des victimes du terrorisme.
—
Un Booker Prize, horresco referens., Tu sais, U. moi j’aurais tant aimé un Brage arabe, toi un Goncourt arabe, mais question langue, on des minoritaires, on peut pas competitionner…
En plus c’est une inspiration anglaise qui est couronnée, Frankenstein, alors qu’il est tant de Grands de Grands ailleurs, chez toi, chez moi…
jean claude dit: 8 juin 2014 à 16 h 34 min
Tiens, encore un con qui a appris à réfléchir.
JC….. dit: 8 juin 2014 à 16 h 37 min
Bloom ne s’est pas encore rendu compte que l’on s’est débarrassé de lui en l’envoyant chez les sauvages !!!!
Misère de l’homme sans cervelle…
Et quelle humour il a ceJC! Pas étonnant que les têtes pensantes supérieures du blog soient flattées de ses bassesses et flatteries serviles
Pour apprendre le français prière de parler l’anglais dit: 8 juin 2014 à 16 h 45 min
pur apprendre le français prière de parler français comme tout le monde
ces vieilles que l’on vient chercher en bus pour les faire voter, revêtues de leurs plus belles couches urinaires
le vieux duconola joie pécul être adepte des jeunes éphèbes
cricri abasourdie dit: 8 juin 2014 à 16 h 41 min
Cricri jolie !
La merde peut servir de fumure, d’engrais, de nourriture ; le déguelis en chiure de mouches proustien n’est rien… Inutile ! Totalement inutile au monde à venir.
Amusant d’entendre les clameurs des adeptes impuissants de cette figure perdue, asmathique de la vie…
JC, comme son conpaire, n’a pas encore nettoyé l’image de son papa.
Lui conseiller de l’Ajax ? ça a l’air efficace.
Chère Djedla, je vous baise de bon coeur : à demain ?!
S. Langerworhagissuissleich dit: 8 juin 2014 à 16 h 44 min
Mais mon finnois chéri, ils prennent le Louvre, Jean Nouvel et la Sorbonne et laissent l’intitulé d’un prix à la culture anglaise, grand bien leurs fasse.
Je suis sûr que même passou s’en fout qu’à Abou Dabi il n’ait pas de prix Goncourt.
P’tin c’est le Pulitzer qui doit faire la gueule.
Tiens, de retour?
Que faire de Dans les branches?
La débrancher.
(Mais seulement après consultation de la famille, hein).
Pour « la main »,Sergio, c’est bien vu si j’ose dire
(j’y pense tj les jours d’ailleurs, même en écrivant, PUISQUon en a deux)
Mais n’oublions pas en ce lendemain de D-Day aveuglant (pauvre Obammamabiche),
le « se faire voyant » de Rimbaud!
C’est énorme dirait ARTHUR.
OUI, en Braille pourquoi pas; une aide-liseuse [de Lisieux] conduit la main qu’on lui confie, un peu partout… Et ON COMPREND TOUT sans avoir besoin du moindre livre comme le préconisait Pestalozzi)
Non sérieusement; je suis bien d’accord (une fois encore) avec ce JC qui nous a fait très très, peur en partant pour à-Dieu (Yaweh ?)sans aucune « modération ».
Oui, Prousteux c’est la plus énorme entreprise de machin de mouche qui fut. Oui, mAIS Louis Céline en avait absolument besoin pour faire contraste ! formidable complicité de deux êtres qui ne se rencontrèrent jamais.(ché pas si j’ai la permission d’évoquer cela, mais c’est un Pétain-de Gaulle… on fait ils s’estimainet profondément l’un l’autre). POour LES DEUX ZIGOTOS LITtéRAIREs Imaginons les, l’un sans l’autre (!?)la NRF en refusant les deux; elle ne s’y était pas trompée dans son erreur.
nE NOUS PRIVONS DE RIEN !!!
————
*pour Infos: Ikea est suédois pas norvégien!…
car là-haut c’est comme ici, dès qu’on est au Danemark on déteste tout ce qui est suédois, etc… en Hollande ce qui est danois, etc, etc… au nord de la Finlande on se moque des « méridionaux » du sud de ce MËME pays,…
Clopine, IKEA est une affaire suédoise.
Conseiller à JC et la glU d’en revenir au fondamental, le seul qui les anime ici ?
3ème volume
Fear, shit, sex — all in all, it’s a healthy romp through Freud’s stages of psychosexual development.
http://lareviewofbooks.org/review/sons-fathers-excesses-form#
…
…enfin,…bizarres et quels dommages!,…
…
…que personne ne signe,…sous le pseudo » Jack Lang « ,…héritier des cultures!,…
…
…c’est vrai que tout est plus égocentrique aujourd’hui!,…des clowns du pouvoir pour la galerie des glaces !,…
…les cultures en manques se défilent du lien,…reste la musique gay’s d’ambiance!,…
…avec la clef des champs Bio-niques!,…
…etc!,…et top!,…là,…
…
TKT dit: 8 juin 2014 à 17 h 05 min
Clopine, IKEA est une affaire suédoise.
Thierry toujours à l’heure.
Musique, Giovanni.
Mr. Knausgaard writes well about lust and music (two of his great themes); throughout this novel, his young self escapes into records or cassettes of bands like the Police, Roxy Music, Motörhead, the Specials and Queen. He plays in a band and, at one concert, politely explains the meaning of punk rock before ripping into a song.
C’est bien, Bardamu.
Vous dites n’importe quoi mais avec conviction !
…
…je reprend ma sieste!,…entre deux fenêtres bien ouvertes!,…etc!,…
…
La débrancher.
(Mais seulement après consultation de la famille, hein).
Take care, U. !
Elle est bien capable de vous mordre à l’instant fatal !
Patientez, dès que j’ai un truc concernant le sildénafil contrefait pour JC de Porquerolles et son copain la glU et affidés, je poste.
Ta gueule. Tu plombes ce blog. Personne peut t’encadrer, même bérénice te trouve saoulante. Va t’en et ne reviens pas. Et si tu te sens seule, adopte un petit chat, il te tiendra compagnie.
Bardamu dit: 8 juin 2014 à 17 h 03 min
c’est bien vu si j’ose dire
Ha mais il y a des cas particuliers ! Par exemple le tableau de lettres chez le toubib ZU MCF OHSUE NLTAVR OXPHBZD pour l’aptitude aéro il faut le regarder avec la main ! Disjointe sans plus… Sinon il croit qu’on sait pas lire on va se gourer dans l’altimètre !
M. Bricolage dit: 8 juin 2014 à 17 h 26 min
Ouvert le dimanche aussi, à ce que je vois.
Ce bricolage, c’est tous les « copains » de la caverne qui se rassemblent, collés-serrés, avant l’obscurité, et l’orgie d’enfer. Encore ce soir ?
Mon royaume pour une HACHE DE JARDIN !
Amusant de voir les deux tartes molles TKTroll et Bardas Mou, réputées pour leurs imprécisions, leurs erreurs, et leur expertise dans la maintenance des portes ouvertes, et la lubrification des monte-charges de leur mauvaise foi, s’agglutiner pour rappeler que Ikéa est suédois, ce que chacun ignore bien sûr.
orgie d’enfer. Encore ce soir ?
Vous exagérez, Desjournées !
Plusieurs parmi nous pratiquent le jeûne et l’abstinence sexuelle, le jour du Seigneur.
(Bon, il y a Dédé qui triche mais il ne faut pas le répéter.)
« des journées entières dans les arbres dit: 8 juin 2014 à 17 h 30 min
Ce bricolage, c’est tous les « copains » de la caverne qui se rassemblent, collés-serrés, avant l’obscurité, et l’orgie d’enfer. Encore ce soir ? »
Comme ils disent au rugby, on sent de l’envie, la détermination de mouiller le maillot.
Faudra y revenir plus souvent à ce sujet récurant d’Ajax. J’ai comme l’impression, que ça en survolte énormément.
Il doit leur rester deux ou trois saletés qui collent, à ceux-la, ‘les copains » . Et à mon avis ça doit pas se nettoyer aussi facilement que le voile de Véronique.
« Il doit leur rester deux ou trois saletés qui collent, à ceux-la, ‘les copains » .
C’est parce qu’on est libéraux.
On suggère le débranchement ou le débranchage, mais on n’exige rien!
Plaisir d’avoir fait un petit tour en Norvège.
Et surtout de garder ça en bouche:
« mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense »
A vous la cave, à vous les studios.
la glU: relire Freud en cas de besoin. Après pour « vos » pères, vous vous démerderez.
mais on n’exige rien!
C’est peut-être une erreur.
Roue mexicaine ou toute autre figure de haute voltige .. trois fois par semaine, sauf le dimanche, et tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes .
relire Freud en cas de besoin
tout ce temps perdu à lire .. Pfff !
« Nous connaissons ce médiateur, et ses positions. Nous savons qu’il est favorable à l’accord que nous dénonçons », explique Luc Sabot, qui devait jouer dans Marx Matériau, un des spectacles annulés.
« Nous ne croyons pas une seconde à cette médiation, que nous prenons pour une provocation », poursuit le comédien.
Nous sommes vivants ! On ne rit pas …. ou bien, si nécessaire, par intermittence.
Je confirme: Ikéa est suédois!
JC, tu craches sur Proust uniquement pour emmerder Clopine, avoue!
La tiédeur de Bloom sur la Recherche devrait pourtant te rendre prudent. Ce naze pédantissime préfère Joyce…No comment.
Je connais une trentenaire qui n’est ni doctorante, ni agrégée et qui lit la Recherche intégralement pour le plaisir. D’accord avec JF Revel, elle est très sensible aux aspects comiques de l’oeuvre.
Comme ils disent au rugby, on sent de l’envie, la détermination de mouiller le maillot
..vivement les douches
Plusieurs parmi nous pratiquent le jeûne et l’abstinence sexuelle, le jour du Seigneur
« il trouva qu’elle était bonne et piqua un roupillon »
Clopine, IKEA est une affaire suédoise
suédoise norvégienne normande..des cousines vontraube..comme toi avé le biznèce a jésus..avoue que c’est plus ou moins l’tien..que tu trouves normal de palper ta com
JC, tu craches sur Proust uniquement pour emmerder Clopine, avoue!
tout ça pasque meusiue veut pas faire cirer sa grosse meule débridée 213 db sur l’asphalte..ça fait trop prolo
l’Ajax n’intervient qu’en tant que tel, aussi platement qu’un nettoyant à l’ammoniaque qui n’est que ce qu’il est.
l’amoniaque c’est un genre d’extrait de dasein pour lassouline..
Bloch dit: 8 juin 2014 à 19 h 01 min
« JC, tu craches sur Proust uniquement pour emmerder Clopine, avoue! »
Il n’avouera jamais ! car son âme est aussi simple que méfiante. Je parlerai pour lui.
JC est un vieillard décrépi, 94 ans hier, amoureux fou de Clopine d’Ours … Désir quasi religieux… A son crédit, il faut savoir que sa jeunesse fut un enfer ! Un enfer qui le marqua à tout jamais.
Sa nourrice, Mae West, vache laitière hollywoodienne, abusa de lui entre deux tétées. Se remettant lentement de cette agression, il fut initié aux turpitudes les plus sulfureuses par Marilyn Monroe ! Délivré in extremis par Grace Kelly, il finit dans le pucier de Raquel Welch qui, pour s’en débarrasser le fourgua à Madonna, laquelle le recommanda à Benazir Butho.
Effrayé par le bruit des kalachs pakistanaises, il s’enfuit. Depuis lors, il se terre dans un endroit isolé de tout… où le seul Musée Picasso disponible est à plus d’une heure d’autoroute !!!
L’enfer…
Vous devez le comprendre. Proust est pour lui de la chiure de mouches, car il sait ce que vivre veut dire, et que ce couillon de Marcellou a vécu dans un bocal d’aquarium non-oxygéné qu’il faudra bien vider un jour, avec sa merde…
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