Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Vous avez encore l’été pour vous entraîner à prononcer le nom de Karl Ove Knausgaard. Ces dernières semaines, il était difficile au lecteur de la presse littéraire anglaise et américaine d’échapper au « Proust norvégien » ainsi qu’on le présente généralement. Il s’impose partout, comme avant lui un Bolano ou un Murakami, ; sauf que lui le fait avec d’autres moyens. C’est peu dire qu’il a fait sensation. Il y a deux jours, il y avait foule pour l’écouter à Brooklyn ; bientôt il sera à Varsovie où l’accueil sera probablement égal. Les plus grands journaux ont donné le la. Les articles qui lui sont consacrés en abondance sont tous incroyablement longs et détaillés, comme s’ils se voulaient à la mesure de son opus. Les critiques rivalisent de superlatifs à son endroit ; rares sont ceux d’entre eux qui mettent un bémol.
Le jour où il a constaté que sa femme l’avait quitté et qu’il venait de dépasser les 100kgs, il quitta la Norvège pour s’installer en Suède, se mit au jogging, collabora à une nouvelle traduction de l’Ancien Testament en norvégien, se remaria avec une amie de jeunesse maniaco-dépressive et éleva ses quatre enfants tout en écrivant sa grande œuvre. Min Kamp est son combat pour écrire son livre à la recherche de sa vérité. Cette fresque autobiographique en six volumes, parue en Norvège entre 2009 et 2011, ne se veut rien d’autre qu’un racontage de mézigue. 450 000 exemplaires y ont été vendus ce qui est considérable pour un pays qui compte à peine plus de 5 millions d’habitants. Depuis, l’auteur est accablé de prix littéraires chez lui comme à l’étranger, à commencer par le prix Brage qui est le Goncourt norvégien.
La chose a commencé à paraître dans une vingtaine de pays, suscitant une curiosité et, le plus souvent, un enthousiasme et une ferveur inouïs. En France, Denoël a publié le premier tome il y a deux ans. La Mort d’un père est le récit d’une enfance de souffrance et de martyr, minée par l’humiliation et la culpabilité, dans la terreur d’être moqué par son père pour ses larmes même, spectre qu’il évoque à travers l’image d’un Christ en croix la tête couronnée d’épines, sa madeleine semble-t-il. L’adolescent qu’il fut raconte ce que c’est d’être le fils d’un homme tyrannique, violent et alcoolique, traînant ses dernières années dans la déchéance la plus totale, pataugeant dans sa pisse, sa merde, sa crasse auprès de sa propre mère incontinente. Amazon conseille de l’offrir pour la fête des pères avec un sens de l’à-propos qui n’appartient qu’aux algorithmes. Le tome suivant paraîtra en France à la rentrée sous le titre Un Homme amoureux. L’entreprise est ambitieuse, riche, déroutante, hors-norme sans aucun doute. Mais encore ?
L’auteur, aujourd’hui âgé de 45 ans, se raconte avec un souci d’exhaustivité qui laisse perplexe car on ne lui en demande pas tant, d’autant que l’intérêt de son quotidien de 1968 à nos jours est, comment dire, inégal (je n’ai lu que La mort d’un père dans la traduction française de Marie-Pierre Fiquet, ainsi que A Man in love dans la version anglaise de Don Bartlett, mais il faudrait lire l’ensemble pour en juger). Tout y passe de ce que fut sa vie, au plus intime de ce qu’il a vécu, quels que soient les dégâts annoncés, au service d’un vrai projet littéraire. Mais peut-on tout raconter ? Sa famille n’a pas eu l’air trop d’accord, surtout du côté paternel. Elle lui a même fait rudement savoir par voie de presse que ce grand déballage la débectait quelque peu. Quatorze membres de ladite famille ont dénoncé « De la littérature de Judas » dans une lettre ouverte publiée dans la presse, après que les reporters soient partis à la recherche de chacun de ceux mis en cause par l’écrivain (il n’y a qu’une seule famille Knausgaard dans toute la Norvège). Le parfum de scandale n’a pas été étranger à son succès. Sa mémoire lui joue des tours, ce qu’il reconnaît volontiers. Ce qui ne poserait guère de problème si le statut de son livre était clair ; or si il a bien été présenté aux Norvégiens comme un roman, c’est avant tout par précaution à la demande des avocats.
Il semble que nombre de ses proches l’aient fui, ce qui ne l’a pas atteint dans la mesure où il place la littérature au-dessus de tout, du moins ce qu’il estime être son authenticité. A croire qu’il a conclu un pacte faustien avec le diable, quitte à tout perdre sauf l’intégrité de son oeuvre. Même si sa sincérité s’est quelque peu émoussée d’un tome à l’autre, les avocats de son éditeur veillant au grain en lui demandant d’être moins brutal. Comme il n’est pas avare d’interviews, révélant une pensée d’une étonnante platitude, on ne lui fera pas de procès d’intention ; mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense. Son rapport à la fiction pourrait se résumer à cela : la littérature, c’est lorsqu’on a réussi à se débarrasser de tout principe esthétique ou artistique pour s’en tenir au ressouvenir de ce qui s’est vraiment passé. Ce « tout ou rien » serait son absolu de l’écriture, et ce serait lui faire injure de lui faire le coup du « Je est un autre ». C’est sa confession et rien d’autre. Un échantillon de son style ? Lisez cette digression sur le cou qui vient de paraître dans The Paris Review.
Il y a effectivement quelque chose d’universel à monter ses meubles Ikéa tout en s’interrogeant sur le sens de la vie. D’où le succès interplanétaire d’un norvégien proustisant qui se contente de raconter la sienne. A propos, pourquoi Proust ? Parce qu’il est long et que la vie est courte. On nous avait déjà fait le coup dans les années 70 quand Anthony Powell fut présenté comme le Proust anglais, au motif que A Dance to the Music of Time, le cycle romanesque en douze volumes dont il venait d’achever la publication, était long et mélancomique. Un critique a été jusqu’à établir point par point ce qui rapproche et ce qui distingue Proust et Knausgaard… A ceux qui se demandent comment il peut consacrer une cinquantaine de pages à raconter un goûter d’enfants, on répond que Proust en consacre une dizaine d’emblée à dire son impossibilité à trouver le sommeil. Un critique anglais ayant remarqué que My Struggle (3622 pages à peine) était long de six volumes, alors que A la recherche du temps perdu en fait sept, faut-il en conclure que Knausgaard n’est pas Proust, mais presque ? On en est là.
On ignore quelles furent ses lectures mais on sait qu’il paie volontiers sa dette à Thomas Bernhard. L’influence ne saute pas aux yeux. On a même parlé à son propos d' »existentialisme nordique« . Mais où vont-ils chercher tout cela ! Sa phrase est longue, digressive, clichesque, détaillée, énumérative, hyperréaliste, conçue dans une logique d’inventaire. Il privilégie le gros plan sur la vue d’ensemble., et s’emploie à dépeindre son quotidien dans toute sa monotonie, en répétant par exemple la description des tâches ménagères que son frère et lui exécutent à la mort de leur père, après avoir constaté que la littérature ne le fait jamais. Du compte-rendu de ses travaux et de ses jours minute par minute, il ressort convaincu d’avoir repoussé les frontières du récit autobiographique jusqu’à des territoires jamais explorés avant lui. Cela se veut le rapport extraordinaire d’une vie ordinaire. Comme si l’exposition de l’ici et maintenant allait lui permettre d’exorciser le réel. Les événements rapportés y semblent indifférenciés, hors de portée de toute hiérarchie. Tout se vaut, l’essentiel et le superflu, l’évocation de sa baignoire et un vers de Paul Celan, la liste des courses à faire et Les Mots et les choses de Michel Foucault. Mais est-il vraiment indispensable de consacrer des pages à raconter comment il a finalement échouer à apprendre à jouer de la guitare quand il était jeune (qu’est-ce que ce serait s’il avait réussi !) ? Knausgaard explique son succès par la banalité même de son propos, mais une banalité non filtrée par la littérature, entendez : les artifices de la fiction, dans laquelle les lecteurs se retrouveraient mieux. Il est vrai que tout une page sur les vertus de l’Ajax multiusages, quand lui et son frère s’emploient à nettoyer l’appartement de leur père, favorise une identification maximum. Si encore l’Ajax en question était transcendé par quelque chose de plus haut que lui, en fils de Télamon et Péribée, ou en équipe de foot légendaire, mais même pas : l’Ajax n’intervient qu’en tant que tel, aussi platement qu’un nettoyant à l’ammoniaque qui n’est que ce qu’il est.
Min Kamp est logiquement devenu My Struggle dans la version anglaise, mais l’éditeur allemand a curieusement renoncé à Mein Kampf qui s’imposait, allez savoir pourquoi. Pour leur chance, Mon combat ne dit rien aux Français. Quant à comprendre la nécessité d’un tel titre, il faudra attendre la parution du tome 6 : bien que, pour l’essentiel, il y commente la réception houleuse des précédents volumes et leurs conséquences sur son entourage, l’auteur consacre 400 pages à un certain Hitler. Ainsi, Anders Breivik rencontrant le point Godwin, la boucle est bouclée. Ne manquait plus qu’une « gueule », ce qui ne gâte rien pour un jeune écrivain connu pour sa notoriété. C’est celle d’un acteur. On croirait que ces deux-là sont des jumeaux séparés à la naissance : quelque chose d’un Brad Pitt norvégien ou d’un Patrick Swayze scandinave mais en plus torturé, plus désespéré.
L’histoire littéraire n’est pas avare de grands romans où, en apparence, il ne se passe rien. Sauf que tout y advient quand rien ne se passe : un univers surgit, des personnages prennent forme, une sensibilité se dessine, une sensation du monde se précise petit à petit… Alors que là, rien. Du moins rien se produit dans l’écriture, l’analyse des sentiments, la perception des émotions, le rendu d’un paysage. Knausgaard, morne plaine. C’est d’un ennui sans qualité, car on connaît des ennuis sauvés par l’art. Même ceux qui critiquent la médiocrité de ses métaphores reconnaissent leur addiction à cette suite de livres, de l’ordre de celle qui les attache à certaines séries télévisées qu’ils se procurent en DVD par kgs de saisons. Difficile de dire si c’est bon ou pas, mais impossible de s’en déprendre. Une drogue qui réussit à vaincre et diluer l’ennui. Ceux qui en parlent disent qu’ils ne le lâchent pas. A commencer par des écrivains tels que Zadie Smith, Jonathan Lethem, Jeffrey Eugenides, Hari Kunzru qui ne se privent pas de le faire savoir. Ainsi devient-on l’auteur-favori-de-mon-auteur-favori, génial coup de marketing, d’autant plus efficace qu’il fut spontané.
Karl Ove Knausgaard s’est mis à son prochain livre, plus proche du genre fantastique, sous la double influence de Borges et Calvino. Une histoire dans laquelle il ne parle pas du tout de lui.
(Photos David Sandson, Daniel Nilsson et D.R.)
1 296 Réponses pour Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Je connais une trentenaire qui n’est ni doctorante, ni agrégée
..circonlocution pour dire qu’elle a un gros cul..le pot de terre contre le pot de fer qu’elle dirait clopine
Tiens, M. Brad Pitt nous écrit de Norvège
Karl Ove Knausgård@KarlOveKnausgr1 · 7 juin
today i feel very optimistic about being alive here on our planet, which is called earth
dont approach procreation (sex) with anxiety, you will be in trouble. Do so with genuine affection and care, and all will be allright
Il en est où de la traduction de la bible ?
relire Freud en cas de besoin
..quand que y’a l’feu au calbar du prefet faut savoir briser la glace
suivez au moins ce qui se passe sur la page
Pas de meilleur atelier d’écriture que les Ecritures ! Une étude publiée par des chercheurs de la ‘université d’Exeter le recommande.
Il en est où de la traduction de la bible ?
pêpêpe..dans la bibeul c’est tout l’contraire
bouguereau dit: 8 juin 2014 à 19 h 28 min
c’était pour la glU, mais vous pouvez aussi l’emporter si pas d’ajax ou de monsieur propre.
chercheurs de la ‘université d’Exeter le recommande
..c’est qu’ils ont un vieux fut de stout éventé a vende et qu’il cherche un locdu renfield..
! La bouffe, cette nouvelle religion du XXIe siècle, aiguise tous les appétits. Mais voilà, l’indigestion guette. Certes, les journalistes sont en partie responsables, étant les premiers goinfres à monter en mayonnaise les phénomènes de l’époque.
Knausgaard: Well, I did rush through Proust the first time I read him. I have always read extremely fast, which means that good sentences have been wasted on me. When reading fast, the rhythm becomes paramount. But then, a few years ago, I was involved in a re-translation of the Bible into Norwegian. We worked in teams, and my team was doing, among other books, Genesis and Exodus. Then I was forced to read extremely slowly—we could spend a day discussing one sentence—and through that process, I learned to read properly. One of the interesting things about the stories in the Old Testament is that the major ones are so short—Cain and Abel, for instance, is told in eight lines or so. That’s amazing, considering the impact that story has had, and continues to have, in the culture.
Oui, Ikéa est suédoise, et le plus fort taux de suicide aussi. Mais accordez-moi au moins que la Norvège n’est pas très loin…
Très belle journée finissante. On nous avait annoncé le tonnerre, la grêle même : je vous écris d’une chaise longue, les deux amoureux se balancent dans un hamac, et les chats s’étirent sur les pavés devenus blancs de soleil. S’il pleut, ce sera un dimanche où les renards se marient, comme dirait Kurosawa.
Et puis, dites donc, je crois que jc est pourvu d’une épouse (la pauvre) : alors, doucement sur la boîte à fantasmes, d’accord ? Si vraiment cela vous manque, eh bien, vous avez Daaphnée, non ?
…sans Bouguereau.
Partout en France nous constatons un cas de démence collective proustienne assez étrange !
Des zombies chuchotent, à pas lents, une curieuse litanie, tout en déambulant dans des villes jusqu’alors paisibles, bien que déficitaires.
On entend rugir silencieusement comme un mantra : « Notre nombril français est plus beau que votre nombril norvégien ! »
La police refusant de tirer, l’armée sort des casernes … les nationalistes exultent.
Quand on lit trop vite ou trop doucement on n’entend rien. PASCAL
Le fait que K.O.K lise la recherche du temps paumé en paramount me rapel 1 truk, fo qu jaille mcouché vit fé b1 fé.
lgtps, j m ss kouché de b0nn hr. parfoi, @ pein m bouji éteint, mes yeu ce ferméent si vite ke j’ n avé pas l tps d mdir : « J m endors. » é, un demi-h apr, la pensée qu il été tps 2 cherché l’ someil m éveyét ; g voulai pozer le v0lum k G cr0yai av enc dan lé m1 è soufflé mi lumière ; j n avais pas sessé en d0rman 2 fère des réflexion / ske jvenè de lire, mé c réflexion avé pris in tour 1 peu particulié ; y m semblè qu j ets mw-mm ze don parlèt l ouvraj : 1e églize, 1 katu0r, la rivalité de Françoi Ié è 2 Charles kint. set croyanse survivè pndnt kelke sekondes à m réveil ; ele n ch0quét ps m rezon mais pezait comme 2 écailes sr ms yeu é les empêchait d c rendre kompte k le bougewar n etai + alumé. P8 él komençé à m 2venir inintelijibl, com aprè la métempsykose ls penc d 1e existense antérieur ; l sjt du livre ce détachait d’ my, j étai libr d m y apliker ou na ; aussitô dje rekouvrè la vu è j ets bi1 étoné 2 trouvé autour 2 mwa 1e 0bskurité, douse i repozant pour m yx, mê p e plus kor pour mon espri, à ki ele aparaiSait come 1 choses san caus, inkompréhensibl, commé 1 chose vraim 0bskur. jeu m demandais kel heur y pouvait êtr ; j entendé l sifleman dè train ki, plu ou moin élwanié, kom le chan d 1 waso ds 1e f0ré, relevan les 10stances, m décrivait l étendue dLa campagn dézrt ou l’ v0yageur s’ hâte vé la station proch ; & l’ tit chemin qu y suit va êtr gravé dan sons souvnir par l exsitation qu i doit @ dè lieu nouvau, @ ds actes inacoutumé, @ la coserie résent i o adieu sou la lamp étranjèr ki le suivent enkor dan l silense 2 la nui, ala douceur pr0chène du retourd. J apuyais tendremt ms jou contre lé bL joue 2 l 0reiller qi, pleine e fraîch, st com les joue 2 n0tr enfanse. ze fr0tté 1e alumette pur rgardé ma montr. Biento min8. C è l instan où l maladeuuu, ki a été 0bligé 2 partir en v0yaj i a dû couché dan 1 h0tL inkonnu, réveilé par 1 criz, s réjwit en apercevan sou la port 1e rai 2 jours. kel boneur, c e Djà le matin ! ds 1 m0men les d0mestiques seront levé, i poura soné, 11 viendra l8 p0rté sekours.
1977
http://www.dailymotion.com/video/x4hkz9_emmylou-harris-you-never-can-tell-c_music
desjournées, presque du Leiris, remarquable exercice de style!
Clopine dit: 8 juin 2014 à 19 h 41 min
les pavés devenus blancs de soleil.
Ah que c’est beau, quelle poésie, quelle merveilleuse image.
Clo-Clo tu es notre reine.
le bourrin bouguereau a ressorti les chaussures à bascule du genre glou glou glou, comme dit l’autre depuis sa radio à Londres, ça va tanguer chez keupu, jicé et autre cheuloux
Quoiqu’il en soit, cet homme aux longs récits et aux grandes mains devrait moins fumer ou il perdra le droit de jouissance sur sa propre fortune. Passou semble tour à tour épaté et goguenard, évènement ou phénomène nous invite malgré le grand toi, au détour.
Eh voilà citron !
Le trio est reconstitué, la rdl peut s’endormir douilletement, les foldingues vont assurer le spectacle en coulisses.
Mangez baroque et restez mince
Philippe BEAUSSANT
min ce
Au lieu de vous énerver ici, Daaphnée vous feriez mieux d’aller prendre le soleil tant qu’il brille.
Oui, Ikéa est suédoise, et le plus fort taux de suicide aussi
raaa clopine avé tes gamelles 70’s du temps ou la sodomie était un signe secondaire de..bref..c’est l’contraire clopine
Nous ne sommes pas suédoise : nous sommes suédois.
Crypté, crypté… Pas si crypté. Quant à être « agité », je te renvoie à ton perpétuel mélodrame poético-littéraire, que je ne suis pas le seul à trouver un peu ridiculement auto-centré. Je t’expliquerai tout ça en octobre…
Oui, Ikéa est suédoise, et le plus fort taux de suicide aussi
Pour Clopine d’ours, la Suède est 41ème (avec des stats récentes) juste derrière les Etats-Unis et bien bien derrière la France (et la Creuse) Les meilleurs sont les pays sans statistiques valables, comme l’Egypte qui compte pareil pour les élections.
Comme le dit bouguereau, vivement qu’elle comprenne Bergman.
… Et un peu tristement désertique en fait d’écriture.
‘…Abdelkader est très intelligent…’
tain, il s’arrête jamais…mais si le BoUddha de la RdL le dit c’est que ca doit être vrai…voyez vous, il s’y connait en tout…en fait , l’isntitu se referre toujours a lui et s’y dit qu’un tel n’est pas a la hauteur, ben circulez y’a rien a voir…
Hit me with your rythm stick…le regretté Ian Dury et les Blockheads…du bon vieux pub rock de Camden Town, du temps jadis ou j’y habitais…
http://www.youtube.com/watch?v=0WGVgfjnLqc
C’est bizzare ça, Placide, non ?
The Old and New Testament should be employed to encourage children to learn about characterisation, themes and structuring a narrative, it was claimed. (Researchers from Exeter University)
I was involved in a re-translation of the Bible into Norwegian. We worked in teams, and my team was doing, among other books, Genesis and Exodus. Then I was forced to read extremely slowly—we could spend a day discussing one sentence—and through that process, I learned to read properly.( K.O.K)
…
…@,…Saint-Placide,………ou Sainte-Poire,!,…pourquoi!,…
…
…un jour!,…en 1965-66,…à l’Athénée,…
…notre prof’ d’histoire,…nous demanda,…
…par quel termes ou adjectifs définir l’attitude de Louis XVI,…pendant la révolution!,…
…
…j’ai levé le doigt!,…et répondu,…placide,…
…il a ajouté,…c’est exact!,…
…
…j’avais fait le rapprochement entre un livre de l’histoire de ce général-romain Placide et sa fin,…comme avec Louis XVI et son irresponsabilité face à l’objectivité de la situation-critique ou il était » glisser » pour devenir de la viande-hachée,…d’un coup sec!,…
…
…souvenir!,…souvenirs!,…etc!,…vraie anecdote,…
…
…
C’est excellent Giovanni, sainte-poire serait… Parfait.
…
…Saint-Placide,…est-ce un voisin de classe!,…ou un hasard de jeux d’esprits et de mots!,…etc!,…
…
Sauf que la poire c’est plutôt Louis-Philippe.
Saint-Placide c’est avant tout une rue de Paris, au coin de laquelle j’ai vécu de longues et fort belles années.
…
…Voilà,…comme quoi tout s’explique!,…sous le poirier royal!,…de Stalag 13,…de Paris!,…heureux comme Ulysse!,…
…& une autre,…pour mettre nos Cyclope mondialistes nouveau-nés aux lys de France!,…
…etc!,…
Et pour quoi « avant-tout » une rue de paris.
Avant tout quoi ?
Avant qu’ailleurs en france on appelle doryphores une certaine catégorie de parisiens ?
Pour faire simple, on pourrait considérer que les doryphores, c’est un peu comme des limaces dans un jardin.
…
…pour ne pas en rester aux limaces de jardin,…
…
…avec ce côté pub du non-fumeur invétéré!,…
…
…un livre qui se lit tout seul,…avec humour,…
…
…Michel Montignac,…
…la diététique du manager, alimentation et performance,…édition ARTULEN,…
…( Comment maigrir en faisant des repas d’affaires ),…à suivre,…
…interdiction de fumer avec les journalistes-photographes,…S.V.P.!,…merci!,…
…etc!,…
Giovanni pour en rester à cette histoire de cryptage,le hasard me fait revoir cette intrigue littéraire: The Ghost Writer. Un classique.
Bonne nuit.
sapré passou, ce norvégo-suédois n’est pas prêt de faucher le Nobel à Lagerlöf. Ikea se brise au démontage.
La Suède a perdu ses racines en quelques décennies de socialisme mou. Ressemblance inespérée avec un autre pays en voie de dissolution.
…
…@,…des journées,…
…
…bien reçu,…l’intrigue,…
…
…The Ghost Writer,…je vais m’en aviser!,…merci!,…
…
Et puis, dites donc, je crois que jc est pourvu d’une épouse (la pauvre) : alors, doucement sur la boîte à fantasmes, d’accord ? Si vraiment cela vous manque, eh bien, vous avez Daaphnée, non ?
Clopine
tu dis ça passque tu fais rêver personne grochonne épicétou
Clopine dit: 8 juin 2014 à 19 h 41 min
« Très belle journée finissante. On nous avait annoncé le tonnerre, la grêle même : je vous écris d’une chaise longue, les deux amoureux se balancent dans un hamac, et les chats s’étirent sur les pavés devenus blancs de soleil. S’il pleut, ce sera un dimanche où les renards se marient, comme dirait Kurosawa. »
Ecoutez, c’est quand même très bien.
Quelque chose est passé.
Achtung pour demain.
Les langues de feu…
L’enfant catho écoutait sans comprendre, l’adulte post-catho s’en foutait.
Aujourd’hui, il regarde de plus près ces admirables mythes.
Rendez-vous mardi!
Pauvre Clopine, mal dans sa peau !
Même pas de quoi en faire un mauvais roman .
Phil, pour vous permettre de s’exprimer ici avec une telle assurance doublée d’une quête de reconnaissance, il faudrait avant tout que vos intervention soient dotées d’un fond qui tiennent convenablement la route. Si vous voyez ce que je veux dire.
Je dis ça ppur votre bien, Phil, entendons-nous vien.
Si je parle de façon autoritaire, c’est que je fais authorité. C’est dans l’àrdre naturel des cjoses.
Quelque chose est passé.
Je me demande si cette évaluation encourageante type 2° trimestre, ne vient pas un peu tardivement, U. ..
et tagueulekeupu n’est pas une réponse admissible, je préfère vous rpévenir tout de suite, avanqt que j’aille faire pipip et me coucher.
authorité. C’est dans l’àrdre naturel des cjoses.
t’es bourré dédé ou koi
Ben ouik
une Proust
http://strassdelaphilosophie.blogspot.fr/2014/06/dune-valse-de-la-mort-avec-la-vie.html
50 à 23, Brisbane…
PSA, grand joueur, bon coach de club, mais pour le maillot frappé du coq, pas les épaules. Trinh Duc avec les Barbarians fait des étincelles. Quel gâchis.
Pendant ce temps-là, les manchots de DC sont impériaux. Faire honneur au Brésil des Chico Buarque, Socrates, Lula & Jorge Amado.
La surprise sera belge.
sur Françoise Proust
identification?
ce sont les fameux « repères » : le fou n’est jamais en quête de repères, il n’est en manque de repères que lorsqu’on le prive de ceux qu’il s’était spontanément donnés, mais qui ne sont pas souhaitables pour ses futurs revenus (quelqu’un qui décide d’être peintre, par exemple ; qu’on ne vienne pas me dire qu’il s’identifie à Cézanne, mais on va tout faire pour qu’il s’y identifie ; c’est à cela que servent les écoles des beaux-arts, où il s’agit de transformer secondairement une individuation non-identificatoire naissante en une identification à des modèles, dans tous les sens du terme).
http://www.paris-philo.com/tag/Sur%20l%27invention%20et%20les%20d%C3%A9couvertes/
La maison de vente aux enchères Pierre Bergé et Associés a décidé de retirer Mein Kampf et un livre à la couverture en peau humaine d’une séance prévue le 16 mai prochain. La décision fait suite aux réactions indignées du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA), et l’enquête du Centre des Ventes Volontaires (CVV).
Fanny Duckert pense que la plupart des parents norvégiens n’enseignent pas à leurs enfants une consommation rationnelle de l’alcool, les beuveries deviennent alors un comportement par défaut. Et pourtant les jeunes d’aujourd’hui sont plus ouverts et ont une plus grande facilité pour exprimer leurs émotions.
Le gouvernement norvégien encourage l’abus d’alcool en octroyant un jour de congé maladie pour cause de « gueule de bois ». La moitié des arrêts maladie sont dus à une trop grande consommation d’alcool. Le gouvernement Suédois a décidé de ne plus payer les travailleurs le 1er jour d’arrêt maladie mais les syndicats norvégiens sont très puissants et ont refusé cette réforme.
Il semble y avoir une convention collective, une volonté nationale de faire l’autruche face à l’abus d’alcool en Norvège. Le Dr Ole Johan Hoyberg, un ancien psychiatre de l’hôpital d’Aalesund, a déclaré au journal Sunnmørsposten: « J’ai beaucoup plus traiter des problèmes d’ivresse au cours de ma carrière que d’autres maladies pour un médecin en milieu hospitalier. L’abus d’alcool est sur le point de devenir une maladie nationale. « Fanny Duckert pense que la plupart des parents norvégiens n’enseignent pas à leurs enfants une consommation rationnelle de l’alcool, les beuveries deviennent alors un comportement par défaut. Et pourtant les jeunes d’aujourd’hui sont plus ouverts et ont une plus grande facilité pour exprimer leurs émotions.
Le gouvernement norvégien encourage l’abus d’alcool en octroyant un jour de congé maladie pour cause de « gueule de bois ». La moitié des arrêts maladie sont dus à une trop grande consommation d’alcool. Le gouvernement Suédois a décidé de ne plus payer les travailleurs le 1er jour d’arrêt maladie mais les syndicats norvégiens sont très puissants et ont refusé cette réforme.
Il semble y avoir une convention collective, une volonté nationale de faire l’autruche face à l’abus d’alcool en Norvège. Le Dr Ole Johan Hoyberg, un ancien psychiatre de l’hôpital d’Aalesund, a déclaré au journal Sunnmørsposten: « J’ai beaucoup plus traiter des problèmes d’ivresse au cours de ma carrière que d’autres maladies pour un médecin en milieu hospitalier. L’abus d’alcool est sur le point de devenir une maladie nationale. «
nous voilà bien avec la culture du diagnostic
« On apprend ainsi que Caton, Lucrèce, Cicéron, Sénèque et presque tous ceux dont le nom tombe sous la plume diagnostique du psychanalyste étaient autant de paranoïaques, d’hypocondriaques ou de malades sujets à la « dépression névrotique majeure » , dont l’œuvre philosophique ne serait en définitive qu’un vivier de symptômes. »
http://www.nonfiction.fr/article-7102-la_pensee_romaine_cette_maladie.htm
au bonheur des unités
Le quintal – de l’arabe qinṭār, poids de cent – dans sa définition la plus récente et la seule encore utilisée, est le quintal métrique (symbole : q), qui équivaut à 100 kilogrammes, ou encore 0,1 tonne.
Il a été défini par l’arrêté du 13 brumaire an IX (4 novembre 1800). Il s’agit d’une unité obsolète depuis l’abandon en 1840 des mesures usuelles de 1812, et il ne fait pas partie du système international d’unités. Il est cependant encore utilisé, notamment pour les mesures de rendements agricoles.
Historiquement, le quintal équivalait généralement à 100 livres.
« La France se fout de mon père !
l’occasion d’une fête inouïe. On l’a transformée en bérézina.
En remplacement de datura, une rame de papier soit pas trop loin du quintal?
n’y suis plus mais ne pas désespérer, un une autre vous relèvera de votre fonction et abrégera votre insomnie trouée.
Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures.
Devant ses légions sur la neige semées :
« Est-ce le châtiment, dit-il. Dieu des armées ? »
Alors il s’entendit appeler par son nom
Et quelqu’un qui parlait dans l’ombre lui dit : Non.
Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine !
On ne va pas se battre pour une bataille mais je ne réussis pas trop à articuler ce poème avec ce billet quoique nos vies ressemblent à des champs où pour commencer nous devrions éradiquer l’ennemi intérieur après avoir eu raison de nos pères mères etc
N’Est-ce pas une mise à plat et si c’en est une, nécessaire, pour ceux qui trouveront à s’y retrouver? Impossible de passer l’obstacle sans le voir.
à propos de « la Bible », sur le blog sibony, un bon billet
Journalistes ignorants et partage de l’être
Dr Lecter, c’est en contemplant cette « morne plaine » que j’ai repris le fil des commentaires d’un billet mis en favori.
Une association d’idées, -comme on dirait de malfaiteurs- me fait tout à coup penser au marteau:
« Si l’on n’a pas à l’horizon de sa vie des lignes fermes et paisibles, semblables à celles que font la montagne et la forêt, la volonté intérieure de l’homme est elle-même inquiète, distraite et troublée de désirs comme la nature de l’habitant des villes : il n’a pas de bonheur et n’en donne pas. »
(merci, et bonne journée)
Proust norvégien, esquimau plagiste, slalomeur touareg, nègre blanc, humaniste lucide, politicien honnête, socialiste compétent …
Rôôôô dit: 9 juin 2014 à 0 h 18 min
tu dis ça passque tu fais rêver personne grochonne épicétou
Parole d’un qui ne fait plus rêver que les vers. Il est vraiment complet…
C’est vrai qu’il est complet…
bouguereau dit: 7 juin 2014 à 20 h 46 min
« ma mère de ma mère..je préfère anders avé son uzi tien »
« L’idéologie de Breivik est décrite dans un document texte distribué électroniquement par lui-même le jour des attaques15,16. Dans celui-ci, il développe son soutien au « conservatisme culturel », à l’ultranationalisme, au populisme de droite, à l’islamophobie17, au sionisme18, à l’antiféminisme19,20 et au nationalisme blanc21. Il considère l’islam, le marxisme culturel et la plupart des partis politiques européens comme des ennemis et exige l’anihiliation violente de « l’Eurabia » et du multiculturalisme, ainsi que la déportation de tous les musulmans hors d’Europe pour l’année 208322 pour préserver la chrétienté23,24,25. Breivik a écrit que le motif principal de ses attentats était de faire de la publicité pour son manifeste. »
Source, les copains à Passou.
JC….. dit: 9 juin 2014 à 9 h 20 min
JC intelligent
« Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures. »
Il est vrai qu’il y en a ici qui concurrencent un ténia bien nourri…
L’idéologie de Breivik est tout à fait estimable, beaucoup de bonnes idées, quelques exagérations par ci par là, dans l’ensemble il y a du vrai, et ça se tient ! …
A contrario, il me semble que son marketing, bref sa communication, n’est pas bonne du tout. Trop tard …
http://colblog.blog.lemonde.fr/2014/06/04/nevrose-psychose-et-perversion/
Mais dites-moi, la dernière insulte de Daaphnée, là :
« Pauvre Clopine, mal dans sa peau !
Même pas de quoi en faire un mauvais roman . »
Vous ne trouvez pas que quelque chose a changé ? Je dirais même « en mieux » ?
D’habitude, Daaphnée ne connaît qu’un seul registre, qu’une seule sorte d’insulte, qui dévoile d’ailleurs ses préjugés les plus tenaces. Quand elle cherche à me blesser, elle rappelle systématiquement mon ancrage rural. « Normande » et « vivant aux champs » : ces mots la suffoquent tant qu’elle y puise les motifs de sa détestation. Ce serait « juive » et « friquée », on y verrait évidemment le racisme le plus primaire. On ne le décèle pas au prime abord, dans mon cas, mais le mécanisme est bien évidemment le même : tenter d’anihiler l’autre en le réduisant à des stérétoypes soi-disant dévalués révèle un fond de haine qui n’a de cesse de réapparaître, à la moindre occasion…
Et puis là, dites donc, on passe du crachat social invectivé à quelque chose qui semble relever de l’analyse (oh, modeste, hein, Daaphnée n’est pas Balzac) psychologique à mon endroit. Je serais « mal dans ma peau », ce qui me conduirait à écrire de « mauvais romans ». Je trouve qu’il y a là comme une tentative de dépasser son registre habituel, lamentable et redondant, ce qui est un bel effort quand on s’appelle Daaphnée. Je l’encourage donc à persévérer dans cette voie – elle arrivera peut-être, un jour, sait-on jamais, à dire quelque chose de pertinent sur moi ?
je lis les commentaires et je me demande un chouia comment trouver une solution narrative novatrice quand il s’agit en quelque sorte d’un récit de vie.
par exemple j’ai essayé à mon niveau modeste quelques tentatives d’évacuation non littérales qui m’ont été inspirées par des auteurs côtoyés dans la vraie vie.
comment parler de manière originale de quelque chose d’ordinaire, je prend l’exemple de la boisson. ici citée et reprise dans les commentaires, je ne sais pas boire mais c’est un phénomène de société, beaucoup d’alcool mondain considéré à tort comme inoffensif et festif, beigbeder qu’on aime ou qu’on aime pas en parle dans son roman biographique confession un roman français, comment il impose son éthylisme mondain de complexé comme un mode de vie, un dandysme. Il est alors facile de le prendre avec désinvolture, et de le lire en se disant ce n’est pas grave, l’auteur se remet lui-même en cause d’une façon exhibitionniste. Un autre auteur choqué par les dégâts de l’alcool autour de lui va réagir autrement, par l’exagération outrancière de traits caractéristiques pour le lecteur et des clins d’oeil appuyés à un milieu littéraire qui reconnaîtra un effet parodique occidentalisé d’une société rapportée, racontée par effet exotique transposé. L’auteur lui-même brouillant les pistes en interview : je ne bois que du lait, et réclamant une menthe à l’eau.
pour ma part en tant que femme disposant d’un certain niveau personnel d’éducation, je sais et c’est une figure récurrente dans les comédies la fille bourrée qui fait n’importe quoi et un peu pitié et une grosse ficelle.
donc si j’écris que je me suis pris une tamponne au jameson, en même temps j’évacue par l’écriture les sensations collectées au cours d’une soirée et je sais provoquer une réaction très basique masculine : ceux qui immédiatement pensent à leurs propres souvenirs de biture, trouvent le jameson à leur goût ou pas. D’autres iront plus loin en se demandant si c’est du lard ou du cochon et ce que j’ai fait du reste de ma soirée ( ils fantasment leurs propres souvenirs ). Or c’est un artefact, j’ai vaguement goûté du jameson noyé dans un océan de glace pillée arrosée de sprite et d’un zeste de citron vert.
Mais le profond de l’affaire est que je digère certaines choses qui brouillent ma recension des faits. Le lieu est l’ancienne maison de la radio place flagey, c’est un endroit culte évoqué dans le billet précédent, il est situé face à une pièce d’eau, plus loin il y a la rue du lac, adresse de félicien marceau lorsqu’il officiait à son poste de reporter pendant la guerre. Je suis dans le café belga ou l’épaulé jetté de l’autre côté de la place, je jouerait avec la géographie du lieu, si je devait travestir mon propos je me dédoublerait, une femme / un homme par exemple. Ceux qui sont de la fête, ceux qui n’en sont pas.
Il y aurait bien des choses à dire, sur écran simultané les confessions du roi albert II diffusée par une chaine privée, la projection de films européens qui touchent à priori des phénomènes de sociétés tels que le mariage homo d’un ex, de la dévastation d’une génération par l’alcool et la drogue, sur fond de rediffusion de Fame ou de Pink Floyd par l’oeil d’Alan Parker cinéaste britannique emblématique de la libération des moeurs.
Je pourrais transfigurer le récit par un écart esthétique: l’oiseau en me nourrissant de la projection de Bird et du dernier Pascale Ferran qui évoque ma situation de connectée à déconnecter ce qui est probablement mon sujet d’investigation personnelle, bien loin de la superficialité de la soirée de gala.
Cet aller/retour intéresse-il un lecteur potentiel ?
En sous-couche qu’est ce que je ressent à propos des événements récents : fusillade au musée juif dans le rue voisine de celle où j’ai été conçue ? score impressionnant de l’extrême droite en france milieu dans lequel j’ai été baignée, avant de me révolter ? partition possible de mon pays natal tiraillé par de vieux conflits issus de frustrations communautaires ? En parler ? Retrouver un axe, ou m’ébrouer dans une déliquescence lente et pernicieuse ?
Ce sont des réflexions égotistes .. pendant ce court espace -temps un accélération des cicatrices du passé : DDay commémoré, regroupement de puissants, parleriez diplomatiques, G7, fond de contestation au Brésil sur la misère du pays , pro contre foot, explosion au Pakistan, le pape reçoit Abbas et Perres, le taux d’inflation dépasse le taux d’intérêt, nous vivons encore et toujours à crédit .. sur le dos des générations futures.
renato dit: 9 juin 2014 à 9 h 39 min
C’est la tique qui se moque du vers solitaire.
« pour ma part en tant que femme disposant d’un certain niveau personnel d’éducation, je sais et c’est une figure récurrente dans les comédies la fille bourrée qui fait n’importe quoi et un peu pitié et une grosse ficelle. »
Chantal, une question me taraude : vous êtes alcoolique, ou pas ?
chantal dit: 9 juin 2014 à 9 h 50 min
« par exemple j’ai essayé à mon niveau modeste quelques tentatives d’évacuation »
Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer.
desjournées, étant donné que nos modes de vie s’urbanisent pour un nombre croissant d’individus, doit on déduire de votre note poétique et matinale que nous nous orientons vers un malheur collectif, l’homme des villes n’éprouvant plus de bonheur et conséquemment incapable de partage ou diffusion ? Le désertification des zones rurales ne fournit pas seulement des vies béates de bonheur à conjuguer, les problèmes y apparaissent identiques et ne sont pas liés aux courbes du paysage extérieur, voir le taux de suicide, d’échec scolaire, et pathologies chez les adultes jeunes ou moins jeunes: éthylisme, prises de risque inconsidérées, dépression etc
JC….. dit: 9 juin 2014 à 9 h 41 min
L’idéologie de Breivik est tout à fait estimable,
La question de savoir si JC est immonde taraude-t-elle quelqu’un?
« Normande » et « vivant aux champs » : ces mots la suffoquent tant qu’elle y puise les motifs de sa détestation. Ce serait « juive » et « friquée », on y verrait évidemment le racisme le plus primaire » (Clopine)
C’est pour moi, raciste de souche, amateur des insultes les plus viles, un juron délicieux : « NORMAND PLUVIEUX ! » ou encore « GLEBEUX PUANT ! »
J’ai laissé tomber « SALE JUIVE ! » et « SALOPE FRIQUEE ! » qui faisaient trop Muslim NPA …
JC .. je ne sais ni boire, ni fumer .. par contre l’imprégnation çà me connaît ..
Satisfaît ?
http://www.rfi.fr/culture/20140606-bird-people-bande-annonce-pascale-ferran-film-liberateur/
chantal dit: 9 juin 2014 à 10 h 02 min
JC .. je ne sais ni boire, ni fumer .. par contre l’imprégnation çà me connaît ..
Tampon…
« Si vous vous sentez coincés dans vos vies modernes, si vous rêvez d’ailleurs et d’envol, ce film est fait pour vous. Bird People nous parle de l’urgence de nous reconnecter à nous-mêmes. »
Ouaaaaaaaaaah ! Génial ! Demandez le programme …!
la fachosphère est en forme ce matin, Le Pen leur donne des ailes, jicé rebande de plus belle…. au secours, Monsieur Assouline
le taux d’inflation dépasse le taux d’intérêt
Pour changer, en quoi la déflation représenterait un risque pour nos économies?
Il n’y a pas d’issue. Un commentaire enflé, pour l’esprit intéressé du lecteur, n’est pas forcément le plus fructueux .
@9H50
Sur la forme: Pas mal ce style streaming.
Sur le fond: Compté 20Xje et 1Xnous dans une conclusion de type sociologique sur les effets de l’éthylisme chez les pipole.
J’ai trouvé ce film déroutant, un peu conte de fée pour finir et renouer avec la tradition, cendrillon.
« J’apprends que le père Le Pen a lâché un nouveau pet : Bruel, ce sera pour la prochaine fournée. Cette expression de sa haine antijuive viscérale a d’emblée un sens évident : une peau de banane sous les pattes de sa fille, qu’il doit clairement jalouser pour son succès ; et qu’il veut forcer ainsi à ne pas oublier les fondamentaux. Ce petit mot qui fera parler tous les médias avec délice, est un acte manqué œdipien : ramener la fille dans le giron paternel. »
Daniel Sibony a lâché son nouveau pet. Un vrai psy voit toujours plus loin que son patient, pardon ! son client…
Moi j’aime autant Daaphnée que Clopine que Bérécitron.
« jicé rebande de plus belle…. au secours, Monsieur Assouline »
‘Jeune et jolie’ comme vous êtes vous n’allez pas refuser une approche littéraire sensuelle , hein ma belle !?
Mais dites-moi, la dernière insulte de Daaphnée, là :
« Pauvre Clopine, mal dans sa peau !
Même pas de quoi en faire un mauvais roman . »
Clopine Trouillefou
Ce n’est pas une insulte, Clopine, c’est une remarque des plus objectives sur vos capacités – et je ne dirai pas « littéraires » – limitées.
Le sujet de ce billet tombe à pic.
Quant aux insultes, il suffit de reprendre votre petit jus thénardien:
» Et puis, dites donc, je crois que jc est pourvu d’une épouse (la pauvre) : alors, doucement sur la boîte à fantasmes, d’accord ? Si vraiment cela vous manque, eh bien, vous avez Daaphnée, non ? »
Votre Clopin (!) en a marre de vous ?
La belle affaire, vos ânes ne vous apporteront pas la contradiction !
Alors, ne venez pas vous accrocher à mes jupes. Vous n’avez ni la culture, ni l’esprit pour ne pas en souffrir.
On trouve, évidemment, dans la « vie moderne » des coincés car la capacité d’adaptation, qui fut jadis notre meilleur carte semble désormais faire défaut… bien que… cela ne semble qu’une limite crée chez certains par l’illusion que par le passé le monde fut un meilleur lieu… naturellement l’illusion se nourrit de poncifs construits de toutes pièces en prenant soin d’éliminer tous ces faits qui peuvent déranger : la famine, les maladies, etc., etc.
Armand est quand même moins con que la majorité ici (dont moi)
D si vous étiez juif vous iriez remercier le Hamas et si vous étiez palestiniens, bénir l’armée israélienne, vous êtes pacifiste et capable de pardonner jusqu’au meurtre de votre frère, exceptionnellement sage. Il est vrai que la haine ne transporte jamais rien de bon mais bon, toujours l’énigme de qui de l’œuf ou de la poule…
D. dit: 9 juin 2014 à 10 h 18 min
« Moi j’aime autant Daaphnée que Clopine que Bérécitron. »
Moi aussi, je les aime… Sois prudent, D., si tu veux conserver ta virginité ! Bougboug a livré un gode ceinture kingsize en titane à l’une d’entre elles…
Impossible de te dire laquelle avec certitude.
Chantal, moi je suis touchée par les questions que vous vous posez – si nombreuses, en si grand nombre, touffues et juxtaposées. Oui, être au monde, et en rendre compte, même avec la boîte à outils intellectuelle requise, ce n’est pas simple. Quant à l’alcool – puis-je soumettre à votre réflexion qu’il ne s’agit pas d’un mal restreint à une catégorie ou une autre, comme le milieu littéraire parisien, mais qu’il n’y a pas d’exemple où une société humaine n’ait pas cherché à utiliser telle ou telle substance psychotrope ? Aucune tribu, aucun peuple n’y a échappé. Perso je me dis que c’est la soupape nécessaire à nos consciences malades de nous-mêmes, à notre connaissance de notre finitude. Mais bien entendu, on finit toujours, toujours, par payer l’addiction !
Je me souviens d’une bd de science fiction particulièrement réussie (et qui faisait évoluer l’héroïne au fur et à mesure des conquêtes féministes) : Valérian et Laureline. Dans un épisode très crédible, Valérian allait visiter les colonies « terriennes » de l’espace. A chaque colonie, on l’invitait discrètement à partager le premier « verre » obtenu sur la colonie. Le héros finissait complètement paf (pas qu’au jameson, donc), et c’était Laureline qui devait prendre les commandes…
En tout cas, si vous devez entreprendre un projet littéraire quelconque, je vous conseille de ne pas trop en faire état par ici. Les erdéliens sont bien trop méchants pour accueillir un tel projet avec bienveillance, et rien ne trouve grâce à leurs yeux (au moins à ceux qui tiennent le haut du pavé par ici). Il y avait un site « sérieux », « SCRYF », où, avec honnêteté, on examinait les textes des uns et des autres, mais je crois qu’il a fermé. Peut-être pourriez-vous vous rapprocher d’un auteur comme François BON ?
« Vous n’avez ni la culture, ni l’esprit pour ne pas en souffrir »
dafnoz
Avec Chaloux ils forment un beau couple.
La fatuité virtuelle à son sommet.
la fachosphère est en forme ce matin,
J’ai lu: la phacochère est en forme ce matin, ce qui revient au même à peu de chose près mais ne donne pour autant pas l’ombre d’une piste de solution.
Chantal, n’écrivez pas ! ça déstabilise l’auteur, ça ennuie les lecteurs…
Restez à la cuisine : n’est ce pas un espace bien féminin où vous saurez réussir…?!
Bon, ben pas de miracle. Daaphnée reste bien toujours la même. Droite dans ses bottes (pas de caoutchouc, hein !) et la bouche tordue.
Impossible de te dire laquelle avec certitude.
Je n’ai qu’un fleuret, JC ..
Je me refuse à votre sentiment, l’amour a besoin de plus de précision et vous êtes indéterminés.
rénateau dit qu’avant on savait s’adapter à la famine mais que c’était moins bien que de pas savoir sadapter au 15ème cheeseburgeur..
« Chantal……….
En tout cas, si vous devez entreprendre un projet littéraire quelconque »
Clopine
Waouh !
La stupidité de la proustienne n’a d’égale que son incapacité à savoir lire les commentaires.
la bouche tordue.
t’as des séquelles d’hémiplégie épicétou clocloche
l’amour a besoin de plus de précision
excellent ! en plein d’dans !..dans le mimile qu’elle dirait clopine
Je n’ai qu’un fleuret, JC ..
Oui et je précise que je ne suis pas domiciliée en forêt d’Argonne.
Duo d’enfer dit: 9 juin 2014 à 10 h 29 min
Je crois qu’il reste encore pas mal de marches pour toi.
En tout cas, si vous devez entreprendre un projet littéraire quelconque, je vous conseille de ne pas trop en faire état par ici
tes pensée littéraires bien vautrées sur la commode auraient prospéré..mais non..tu t’adaptes pas comme dirait rénateau..tu préfères te baffrer de proust à la petite cuillère
En tout cas, si vous devez entreprendre un projet littéraire quelconque, je vous conseille de ne pas trop en faire état par ici. Les erdéliens sont bien trop méchants pour accueillir un tel projet avec bienveillance
Trouillefou
Ou comment se positionner en victime incomprise quand on n’a aucun succès!
L’amour est précis, c’est Garry. bref à 72 ans y renoncer définitivement ce qui laisse un peu de temps pour y songer encore comme un possible.
et c’était Laureline qui devait prendre les commandes…
moi aussi j’aimais bien clopine..les scénars étaient bons..mais ça manquait de commodes..des commodes de l’espace ça doit se trouver
« Je me refuse à votre sentiment, l’amour a besoin de plus de précision et vous êtes indéterminés. » (citronelle)
Allons donc ! Il n’a pas besoin de précision mais de beaux mensonges …
bouguereau dit: 9 juin 2014 à 10 h 34 min
Bonne nouvelle!
Vous avez gagné un petit déjeuner avec une ordure antisémite et raciste.
Une journée qui commence bien !
Ce serait « juive » et « friquée », on y verrait évidemment le racisme le plus primaire » (Clopine)
console toi y’en a des c’est à dunké le cul marinant dans l’minck..on trouve toujours plus consanguin pédophile que soi
« Cet aller/retour intéresse-il un lecteur potentiel ? (…) En parler ? Retrouver un axe, ou m’ébrouer dans une déliquescence lente et pernicieuse ? »
Je ne sais peut-être pas lire les commentaires (mais qui lit réellement les commentaires ici, sinon mal, vite, souvent avec malveillance, jamais soigneusement ?) , mais il me semble bien que Chantal a besoin des mots pour exprimer ce qu’elle ressent. Qu’on appelle cela « projet littéraire » ou autre chose importe peu. Il lui faudra de toute façon arriver à soumettre sa pensée à une forme littéraire, si elle veut être comprise, et donc partager ses réflexions et émotions…
ce n’est pas parce que mon entourage est facho que je le suis, mais je ne veux pas me faire manipuler non plus.
ce qui me dégoutte vraiment c’est de constater que ces dérapages sont de l’opportunisme intentionnel comme si le pen était payé pour faire le job du mouton noir français . ce type est financé par la secte moon, mis sur orbite par mitterand comme repoussoir, sa fille tente de le dédiaboliser mais n’y parvient pas. sortir de l’euro ? ok mais comment ? tout est ficelé par des traités et on engage encore quand d’autres veulent sortir. on est en train de se faire spolier et culpabiliser sans merci. le seul but est de faire sortir les maigres économies des petits particuliers acculés par l’augmentation des prix hallucinantes après le passage à l’euro. qui va payer l’amende de BNP fortis ? pas les emplois des banques qu’on dégraisse, pas ceux qui ont tracé sans scrupules .. pourquoi avoir donné des goûts frénétiques de consommation aux gens .. pour faire tourner le fric plus vite .. et donner l’illusion que tout s’achète .. il suffit de .. mais non .. on atteint une limite plus négociable. ce qu’on propose aux gens c’est de la boîte .. boîte pour bosser, boîte pour s’amuser, boîte pour emballer, fruits légumes en boîte, boîte mail, logement en containers recyclés, .. plus de fantaisies, logement nourriture en conformité, cornichons de taille conforme, physiques conformes, des vies low cost. vous avez le virtuel pour vous éclater .. super lol.
JC de toutes façons ce débat ne me concerne pas, je n’aime plus, vous me pardonnerez en attendant que ça me reprenne.
« si elle veut être comprise, et donc partager ses réflexions et émotions »… culinaires : GASTRONOMIE D’ABORD !
Les femmes à la cuisine ! Et partageons une bonne bouffe… y a rien de mieux* !
*quoiqu’en cherchant un peu …
bouguereau dit: 9 juin 2014 à 10 h 44 min
« Ce serait « juive » et « friquée », on y
console toi y’en a des c’est à dunké le cul marinant dans l’minck..on trouve toujours plus consanguin pédophile que soi »
Encore une petite tartine?
Un point de vue à propos de BNP Pbas
http://bouteillealamer.wordpress.com/2014/06/05/le-monde-moderne-va-mal-finir-mais-il-aime-ca-4-laffaire-bnp-paribas/
@Clopine Trouillefou
Ne pouvant commenter chez vous, je m’autorise un message personnel ici, à propos des tournesols dont vous parlez dans votre dernier article.
La fleur de tournesol ne tourne pas dans la journée, contrairement à la légende que nous pourrions qualifier de poétique.
Elle garde une orientation vaguement Est.
Da
si vous devez entreprendre un projet littéraire quelconque, je vous conseille
Clopine Trouillefou
A paraître » Tambouille et conseils de Clopine Trouillefou » !
Mon Dieu !
Si on ne lisait pas ses bourdes et autres sottises, on croirait qu’avoir un peu lu Proust pût produire quelques prodiges ..
soumettre sa pensée à une forme littéraire, si elle veut être comprise, et donc partager ses réflexions et émotions…
on dirait une commode de l’espace en phase gazeuse..comme le wisky de hadock..qui va lui tomber sur le nez
« cornichons de taille conforme »
Sévère pour la vie littéraire, chantal.
pom pom pom pom, message: « le vieux bourrin bourré de bouguereau vient de faire son rôôôtoto »; je répète: « le vieux bourrin bourré de bouguereau vient de faire son rôôôtot »… (et ça pue).
bouguereau dit: 9 juin 2014 à 10 h 51 min
» phase gazeuse »
Chantal, votre vision de la réalité est fausse, triste et dépressive : le monde actuel est merveilleux !
Il suffit d’avoir de la santé, de l’argent, des relations, des amis sûrs, des enfants beaux, généreux et intelligents, quelques ennemis affairés pour rire un peu…
Trois fois rien, quoi !
pom pom pom pom, message: « attendons ta gueule keupu avec fébrilité »; je répète: attendons ta gueule keupu avec fébrilité ».
..la place de bouffon principal est cher les amis..ou alors de conserve..je jette une pièce pour vous voir vous battre
comme si le pen était payé pour faire le job du mouton noir français . ce type est financé par la secte moon, mis sur orbite par mitterand comme repoussoir, sa fille tente de le dédiaboliser mais n’y parvient pas. (chantal)
Il est fort, il parvient à montrer que les insipides Noah, Bruel et autres PPF (Personnalités Préférés des Français, riches et écoeurants démagogues) sont encore plus cons que lui!
J’aime bien « dédiaboliser ».
Je me demande si ça s’emploie seulement à la troisième personne.
(« Viens, papa, on va te dédiaboliser », c’est une phrase étrange)
Trois fois rien, quoi !
..suffit d’avoir un beau cul..le reste suit
la « commode de l’espace en phase gazeuse » me laisse rêveuse, le Boug’. (non, en vrai, j’ai éclaté de rire, je le reconnais. Parmi les crocodiles, vous êtes souvent le plus marrant.)
Bon, je dois filer, il faut que je trouve un cadeau à faire à une jeune fille de quatorze ans… Aves-vous remarqué, Chantal, combien la vie moderne restreint nos possibilités de cadeaux ? On n’offre plus de livres, ni de disques, ni de fims, ni de revues… Et je me refuse à faire dans l’apparence, fringues, maquillage, parfums et autres attributs de la « féminité » – surtout pour une jeune fille qui est assommée d’injonctions redoutables en ce sens, du matin au soir… J’avais pensé (parce que j’ai reçu un cadeau de ce genre, jeune fille, et que cela m’avait fait plaisir) lui offrir un « journal intime », à l’instar de celui reçu par Anne Franck. Mais on n’écrit plus, de nos jours : on avertyse, et je ne vais offrir un blog à une jeune facebookée. Le problème reste entier !
A mon correcteur attentif : vous avez raison, mais vous savez, mon histoire n’est pas vraie, ahahah ! Juste une petite divagation matinale, causée en réalité par Giacometti…
« Viens, papa, on va te dédiaboliser », c’est une phrase étrange
la vérité c’est que c’est tout du contraire..elle a farouchement besoin d’un diab..et elle sort papa de sa boite régulièrement..
bouguereau dit: 9 juin 2014 à 10 h 57 min
..la place de bouffon principal
Phase gazeuse enflée.. .
Bouguereau est un flan enflé.
En hommage aux conseils du camarade Ueda Esq.
-tu le sens le Diable qui te gratouille, ô charmante enfant ?
-oui, je le sens, je le sens, là, au fond, par le milieu !
-viens… n’attendons pas ! je vais te dé-diaboliser à l’asiate !
« Je fais entendre le rire du Garçon… »
pom pom pom pom, message: « le flan enflé n’est qu’un glou glou glou dégonflé »; je répète: « le flan enflé n’est qu’un glou glou glou dégonflé ».
offrir un journal intime, à l’instar de celui reçu par Anne Franck
Trouillefou
A l’instar d’la bassine, la vaisselle finger in ze noze épicétou
..dites les gars..c’est pas trés bon
Ce gros con de Bouguereau se prend maintenant pour… »le bouffon principal ».
Amis de la RDL, nous entrons dans l’ère de l’Hénaurme.
Et si peu de gens pour dégonfler cette baudruche enflée au pet de bieère…
JC, devenir vierge fut un parcours douloureux.
J’ai 55 ans, je suis dans l’incapacité physique de procréer.
Mentalement, tous mes pseudos sont un peu mes enfants, tous réussis dans leurs genres diversifiés. Tous réunis par mon QI quand je me réveille mouillé, non pas de rêves humides, mais par ma déficience urinaire. Je dors dans des draps de nylon jaune et mon chat, mon compagnon de lit, plus propre que moi, lui va faire ses besoins dans l’évier de la cuisine. Vous et moi, nous sommes des scientifiques, tous les deux prix Nobel de l’ombre. Mais ne sommes nous pas aussi, des sortes de Jean Lié ?
Monseigneur Le pen, a mon soutient, c’est un grand humoriste.
JC, irons nous ensemble en pèlerinage à Vienne ? Ou, à Bangkok ?
Je nous imagine bien ensemble, fumer des joints, boire de la vodka sur le rocher, prier Dieu ensemble, apprendre la boxe thaïlandaise et la pêche à la tire, de crevettes de la mer d’Andaman.
JC, je sais que vous êtes mon aîné en âge, mais ne suis-je pas votre maître ?
Chaloux dit: 9 juin 2014 à 10 h 38 min
Je crois qu’il reste encore pas mal de marches pour toi.
Des marches pour atteindre ta fatuité, mais je l’espère bien.
..la place de bouffon principal est cher les amis
clopinedepiaf est dans les startingues blok VDQS
Clopine dit: 9 juin 2014 à 10 h 45 min
Et elle creuse,
la pauvre.
ha voilà mon cousin de maubeuge qui feraille sur les colonnes de réfugiés..un avion un oiseau non ..superherman !
pom pom pom pom, message: « l’épicétou, l’arme suprême du pochtron »; je répète: « l’épicétou, l’arme suprême du pochtron ».
Et elle creuse,
la pauvre.
à l’instar de son plein grès épicétou
Duo d’enfer dit: 9 juin 2014 à 11 h 09 mi
Non, au-dessus, tête de cul. Très au dessus. Et sans aucun risque…Mais c’est vrai qu’il te faudrait avoir assez de gingin pour en prendre.
« JC, je sais que vous êtes mon aîné en âge, mais ne suis-je pas votre maître ? » (D.)
Non, D. ! Un oubli de votre part – ma foi, bien compréhensible – le grand âge vient vite chez les sages. Rectifions. Je suis né en septembre 1972, et je suis votre maître.
Serviteur ! … et bonne journée à tous !
Bouguereau c’est un flan enflé, gonflé au pet de bière, auquel on aurait mis des bas de contention.
Et c’est … le « bouffon principal ».
pom pom pom pom, message:
c’est bien tu te démènes..je te jette un os..quand à l’autre..c’est pitié
Clopine, je pourrais être le cadeau pour cette jeune-fille de 14 ans.
Je saurais la préserver de la tentation, avec moi elle s’en sortira toujours pucelle et sentant la vodka Absolut.
Je me loue à l’heure, tarif de comptable habituel, plus mes frais: ticket de RER, déjeuner dans un Macdo, biscuits pour mon chat.
Si vous voulez, JC se joindra à la fête, c’est un fort bel homme, barbe blanche et coiffure des années 50, blouson de cuir noir, bottes de vacher, pantalon de coton marron. Il est mon voisin virtuel, nous partageons deux cellules à Charenton. Il est mon Napoléon, je suis sa comtesse polonaise. Je rêve d’être Gréta Garbeau.
Chaloux dit: 9 juin 2014 à 11 h 08 min
Tiens, il abandonne « Ici Londres », pas trop tôt, lassant.
Bouguereau, tu bottes en touche. « Pitié », ça fait bien sur le moment mais c’est un réflexe de chien de Pavlov. En réalité tu n’es qu’un gros tas dépourvu d’inventivité.
« Ici Londres » ce n’est pas moi.
Y en a vraiment qui savent pas lire…
on ne dit plus « vers solitaire » mais « verso littéraire »
« As far as I know, the only person ever to put Japanese lyrics to the Beatles song “Yesterday” (and to do so in the distinctive Kansai dialect, no less) was a guy named Kitaru. He used to belt out his own version when he was taking a bath. »
encore une fois, tu n’as rien vu.
http://www.youtube.com/watch?v=BNYAwcKl-_k
Clopine, je pourrais être le cadeau pour cette jeune-fille de 14 ans.
Je saurais la préserver de la tentation, avec moi elle s’en sortira toujours pucelle et sentant la vodka Absolut.
engrossée à l’instar d’son orifice malle au sein épicétou CQFD IKEA
ce Breivik est-il toujours considéré en pleine santé mentale ?
Bouguereau brigue le poste de « bouffon principal », c’est dire son inconscience.
A la vérité, on ne pourrait même pas lui faire passer la wassingue: il laisserait plus de traînées qu’il n’en aurait enlevé.
Chaloux dit: 9 juin 2014 à 11 h 32 min
passer la wassingue
T’es de ch’Nord aussi, tizaut’ ?
wassingue ?
Un vrai proustien eût dit serpillière, Chaloux.
la citation incitation aux reines de la RdL dans mots en anglais pour le coup du cou ?)
» Toute réussite déguise une abdication » (Simone de Beauvoir)
« A la vérité, on ne pourrait même pas lui faire passer la wassingue: »
la quoi ?
Un morceau de la rembarde du pont des Arts s’est effondré hier sous le poids de la bêtise.
il y auara
« ce Breivik est-il toujours considéré en pleine santé mentale ? »
Ceux qui sont en avance sur les temps semblent toujours fous à ceux qui sont en retard.
« Wassingue ». Je m’adapte au cas.
Sur ce, le goudron va pas tarder à grésiller…
Bonne route.
« l’auteur consacre 400 pages à un certain Hitler. Ainsi, Anders Breivik rencontrant le point Godwin, la boucle est bouclée. »
Rare exemple de tentative de salir à vie l’oeuvre d’un écrivain de la part d’un critique. La bave est bavée. The dog wins. (Et la caravane des commentaires passe sans ouvrir la bouche). L’éreintement, comme l’amour, est un chien de l’enfer, sa salive ne guérit rien.
xlew.m dit: 9 juin 2014 à 11 h 48 min
« Rare exemple de tentative de salir à vie l’oeuvre d’un écrivain de la part d’un critique. La bave est bavée. »
Rare exemple de tentative de salir à vie le travail d’un critique de la part d’un débile. La bave est bavée.
(Et la caravane des commentaires passe sans ouvrir la bouche)
Une incrémentation de l’algorithme qui a foiré. On l’a déjà dit.
Tout comme il était prévu que les ponts de Paris ne supportent pas le poids serments faciles à cadenasser.
« Le maire du 6ème arrondissement de Paris, Jean-Pierre Lecoq (UMP) s’est ému cet été des dommages que ces objets pourraient causer à la structure du pont des Arts. Il a même imaginé un scénario catastrophe : plombée par le poids du métal, une partie du parapet se détache et s’écrase, quelques mètres plus bas, sur une péniche ou un bateau-mouche. Plusieurs médias, dont BFMTV, ont relayé l’angoisse de l’élu. M. Lecoq propose que les cadenas soient retirés régulièrement, pour des raisons de sécurité mais aussi parce que cela fournirait aux amoureux une bonne occasion « de revenir à Paris ». M. le maire a le sens des affaires. »
http://transports.blog.lemonde.fr/2013/10/24/les-ponts-secroulent-sous-le-poids-de-lamour/
Miroir, mon beau miroir dit: 9 juin 2014 à 11 h 53 min
« Rare exemple de tentative de salir à vie l’œuvre d’un écrivain de la part d’un critique. La bave est bavée. »
« Rare (…) de (…) d’un (…) de (…) d’un »
Rare exemple d’une rare lourdeur d’un rare crétin.
« Le pire, c’est quand les amoureux, devenus simples ex, décident de retrouver leur cadenas pour lui faire la peau. »
les inconscients !
il faut que les aokcats de KOK ont aussi trouvé le titre très bon pour l’exprotation: ce succès est quand même toublant ; le billet beaucoup moins
Miroir, mon beau miroir dit: 9 juin 2014 à 12 h 04 min
xlew est un imbécile
…dans la glace…
et MIN ce , mince et remince: avocats.
Miroir, mon beau miroir dit: 9 juin 2014 à 11 h 53 min
Miroir, mon beau miroir, le vrai, ne rajoute jamais de commentaires.
A bon entendeur.
Quoi ! quoi ! quoi !
wiki dit
Le nom du dieu scandinave de la poésie, Bragi, a été donné au prix littéraire norvégien le Prix Brage.
la page du prix est intéressante pour les genres
Bouguereau, disparu des écrans. Je repète (pour faire comme lui), Bouguereau disparu des écrans.
En l’absence du « bouffon principal » faire passer RDL en pilotage automatique.
Mon pseudo se trouve utilisé sans mon aval, c’est un scandale.
Sachez, esclaves de la RdL, que je consomme de la vodka russe.
La marque ? « Dimitri Scharlatanov », distribuée dans toutes les bonnes filiales du distributeur AlDi.
Par fidélité au FN, je ne mange que français et roule en voiture électrique. Quand le pays d’Abdèlequaderre sera redevenu Français, je roulerais à l’essence.
Je suis cantalou et fière de mes vraies origines paysannes, Clopine est une prétentieuse, moi votre D., je sais traire les chèvres.
Vive le Cantal, vive l’Auvergne, vive Dédé !
D., je suis jaloux, personne fait de moi un personnage à parodier.
Tu as gagné le premier round.
Pour ce que je connais de le Culture, mais aussi de la Poste, l’Education nationale, l’enseignement supérieur et la recherche, les affaires étrangères, sans parler des collectivités locales: népotisme, piston, faux concours, copinage politique, harcèlement moral, placardisation, emplois fictifs, absences prolongées injustifiées, détournements de fonds au profit d’organismes bidons de formation, gaspillage de l’argent, abus de biens publics, etc. Des pratiques courantes dans la Fonction publique, et particulièrement à un niveau de responsabilité élevé, le tout sous l’égide d’un parti qui se veut le tenant de la morale et qui noyaute la haute fonction publique.
La Ministre n’est que le parfait exemple de ce genre de comportement qui est d’autant plus insupportable qu’il est associé à la morgue manichéenne de donneurs de leçons infatués.
Mais après tout, qu’est-ce qui restera de cette Ministre? Sa petite crise de nerfs mesquine pour être la seule à monter les marches de Cannes en compagnie de pseudo-artistes.
.
Je réponds J’alerte
Merci pour le lien, Em.rama, hr, on ne sait pas on ne sait plus!
Queue de commentaires ici.
La saillie m’assaille en tribu!
Clopine, votre Dagobert est un usurpateur, j’ai le © pour les noms commençant avec un D. Au contraire de votre Dagobert, je suis vierge et ne suis pas à vendre pour une saillie ponctuelle. Je me garde pour le vrai amour et pour la procréation dans le mariage. J’ai 55 ans, je suis encore frais et devient plus jeune chaque année. Je vais priez pour votre âne, j’espère qu’il est majeur, autrement je vais porter plainte, je suis le porte-parole des animaux domestiques.
Les comptables sont à la pointe des salaires du bureau-de-derrière*, croyez moi, Clopine, j’ai fait une carrière sans faute, jamais promu à un échelon supérieur, pourquoi ? j’étais le meilleur au lancer du manteau-de-collègue.
* Je parle français deuxième langue, cantalou langue natale.
J’ai trouver, un nouveau jeu. Je m’amuse à usurper les pseudo de D. et JC en essayant de ne pas faire, trop de faute d’orthographe pour qu’on ne me reconnaîsse pas. My sense of humour m’impressionne moi-mème. Fazit. Clopine la rouge s’est laisser prendre. Cela me faire rire.
pour les passionnés de psy, ce que je ne suis pas, ce n’est vraiment pas une grande révélation que de supposer le père à marine jaloux de sa fille .
pour le championnat d’orthographe, ça ne m’étonne pas ,
MIRROR NEURONS and imitation learning as the driving force behind « the great leap forward » in human evolution
By V.S. Ramachandran
ne perdez pas le nord avec (pour?)un homme du midi et demi
Foucault au nord (copié de wiki pour faire vite)
. En 1954 Foucault publie son premier livre, Maladie mentale et personnalité, un travail commandé par Louis Althusser et qu’il désavouera par la suite. Il lui devient rapidement apparent qu’il n’est pas intéressé par une carrière d’enseignant, et il entreprend alors un long exil hors de France. La même année, il accepte donc un poste à l’Université d’Uppsala en Suède en tant que conseiller culturel, position qui est arrangée pour lui par Georges Dumézil ; celui-ci devient par la suite un ami et mentor. C’est fin 1958 qu’il quitte la Suède pour Varsovie.
et demeurons littéraires: ie
« Les séries sont devenues la nouvelle littérature populaire de notre époque. Elles ne remplaceront pas la prose ou la poésie, mais elles offrent une expérience narrative ouverte à tous », explique-t-il, étonné qu’on ait pu songer qu’écrire pour la télé soit dégradant pour un romancier. Avant d’ajouter : « Les Soprano ou The Wire me semblent plus vitales, plus viscérales que la plupart des romans contemporains. »
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/series-tv/nic-pizzolatto-true-detective-le-conteur-electrique,113326.php#Q87rRtlL8tAeuxmy.99
vrai que j’suis une grosse loche, un vieux biniou qui pête, une vieille baleine échouée dans un champ d’épandage.
Mais attation jusurpe jamais.
« baleine ».
Un indice ?
Entr’acte:
O que sera que sera
uarque/Nascimento
Entr’acte 2 :
1296
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