Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Vous avez encore l’été pour vous entraîner à prononcer le nom de Karl Ove Knausgaard. Ces dernières semaines, il était difficile au lecteur de la presse littéraire anglaise et américaine d’échapper au « Proust norvégien » ainsi qu’on le présente généralement. Il s’impose partout, comme avant lui un Bolano ou un Murakami, ; sauf que lui le fait avec d’autres moyens. C’est peu dire qu’il a fait sensation. Il y a deux jours, il y avait foule pour l’écouter à Brooklyn ; bientôt il sera à Varsovie où l’accueil sera probablement égal. Les plus grands journaux ont donné le la. Les articles qui lui sont consacrés en abondance sont tous incroyablement longs et détaillés, comme s’ils se voulaient à la mesure de son opus. Les critiques rivalisent de superlatifs à son endroit ; rares sont ceux d’entre eux qui mettent un bémol.
Le jour où il a constaté que sa femme l’avait quitté et qu’il venait de dépasser les 100kgs, il quitta la Norvège pour s’installer en Suède, se mit au jogging, collabora à une nouvelle traduction de l’Ancien Testament en norvégien, se remaria avec une amie de jeunesse maniaco-dépressive et éleva ses quatre enfants tout en écrivant sa grande œuvre. Min Kamp est son combat pour écrire son livre à la recherche de sa vérité. Cette fresque autobiographique en six volumes, parue en Norvège entre 2009 et 2011, ne se veut rien d’autre qu’un racontage de mézigue. 450 000 exemplaires y ont été vendus ce qui est considérable pour un pays qui compte à peine plus de 5 millions d’habitants. Depuis, l’auteur est accablé de prix littéraires chez lui comme à l’étranger, à commencer par le prix Brage qui est le Goncourt norvégien.
La chose a commencé à paraître dans une vingtaine de pays, suscitant une curiosité et, le plus souvent, un enthousiasme et une ferveur inouïs. En France, Denoël a publié le premier tome il y a deux ans. La Mort d’un père est le récit d’une enfance de souffrance et de martyr, minée par l’humiliation et la culpabilité, dans la terreur d’être moqué par son père pour ses larmes même, spectre qu’il évoque à travers l’image d’un Christ en croix la tête couronnée d’épines, sa madeleine semble-t-il. L’adolescent qu’il fut raconte ce que c’est d’être le fils d’un homme tyrannique, violent et alcoolique, traînant ses dernières années dans la déchéance la plus totale, pataugeant dans sa pisse, sa merde, sa crasse auprès de sa propre mère incontinente. Amazon conseille de l’offrir pour la fête des pères avec un sens de l’à-propos qui n’appartient qu’aux algorithmes. Le tome suivant paraîtra en France à la rentrée sous le titre Un Homme amoureux. L’entreprise est ambitieuse, riche, déroutante, hors-norme sans aucun doute. Mais encore ?
L’auteur, aujourd’hui âgé de 45 ans, se raconte avec un souci d’exhaustivité qui laisse perplexe car on ne lui en demande pas tant, d’autant que l’intérêt de son quotidien de 1968 à nos jours est, comment dire, inégal (je n’ai lu que La mort d’un père dans la traduction française de Marie-Pierre Fiquet, ainsi que A Man in love dans la version anglaise de Don Bartlett, mais il faudrait lire l’ensemble pour en juger). Tout y passe de ce que fut sa vie, au plus intime de ce qu’il a vécu, quels que soient les dégâts annoncés, au service d’un vrai projet littéraire. Mais peut-on tout raconter ? Sa famille n’a pas eu l’air trop d’accord, surtout du côté paternel. Elle lui a même fait rudement savoir par voie de presse que ce grand déballage la débectait quelque peu. Quatorze membres de ladite famille ont dénoncé « De la littérature de Judas » dans une lettre ouverte publiée dans la presse, après que les reporters soient partis à la recherche de chacun de ceux mis en cause par l’écrivain (il n’y a qu’une seule famille Knausgaard dans toute la Norvège). Le parfum de scandale n’a pas été étranger à son succès. Sa mémoire lui joue des tours, ce qu’il reconnaît volontiers. Ce qui ne poserait guère de problème si le statut de son livre était clair ; or si il a bien été présenté aux Norvégiens comme un roman, c’est avant tout par précaution à la demande des avocats.
Il semble que nombre de ses proches l’aient fui, ce qui ne l’a pas atteint dans la mesure où il place la littérature au-dessus de tout, du moins ce qu’il estime être son authenticité. A croire qu’il a conclu un pacte faustien avec le diable, quitte à tout perdre sauf l’intégrité de son oeuvre. Même si sa sincérité s’est quelque peu émoussée d’un tome à l’autre, les avocats de son éditeur veillant au grain en lui demandant d’être moins brutal. Comme il n’est pas avare d’interviews, révélant une pensée d’une étonnante platitude, on ne lui fera pas de procès d’intention ; mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense. Son rapport à la fiction pourrait se résumer à cela : la littérature, c’est lorsqu’on a réussi à se débarrasser de tout principe esthétique ou artistique pour s’en tenir au ressouvenir de ce qui s’est vraiment passé. Ce « tout ou rien » serait son absolu de l’écriture, et ce serait lui faire injure de lui faire le coup du « Je est un autre ». C’est sa confession et rien d’autre. Un échantillon de son style ? Lisez cette digression sur le cou qui vient de paraître dans The Paris Review.
Il y a effectivement quelque chose d’universel à monter ses meubles Ikéa tout en s’interrogeant sur le sens de la vie. D’où le succès interplanétaire d’un norvégien proustisant qui se contente de raconter la sienne. A propos, pourquoi Proust ? Parce qu’il est long et que la vie est courte. On nous avait déjà fait le coup dans les années 70 quand Anthony Powell fut présenté comme le Proust anglais, au motif que A Dance to the Music of Time, le cycle romanesque en douze volumes dont il venait d’achever la publication, était long et mélancomique. Un critique a été jusqu’à établir point par point ce qui rapproche et ce qui distingue Proust et Knausgaard… A ceux qui se demandent comment il peut consacrer une cinquantaine de pages à raconter un goûter d’enfants, on répond que Proust en consacre une dizaine d’emblée à dire son impossibilité à trouver le sommeil. Un critique anglais ayant remarqué que My Struggle (3622 pages à peine) était long de six volumes, alors que A la recherche du temps perdu en fait sept, faut-il en conclure que Knausgaard n’est pas Proust, mais presque ? On en est là.
On ignore quelles furent ses lectures mais on sait qu’il paie volontiers sa dette à Thomas Bernhard. L’influence ne saute pas aux yeux. On a même parlé à son propos d' »existentialisme nordique« . Mais où vont-ils chercher tout cela ! Sa phrase est longue, digressive, clichesque, détaillée, énumérative, hyperréaliste, conçue dans une logique d’inventaire. Il privilégie le gros plan sur la vue d’ensemble., et s’emploie à dépeindre son quotidien dans toute sa monotonie, en répétant par exemple la description des tâches ménagères que son frère et lui exécutent à la mort de leur père, après avoir constaté que la littérature ne le fait jamais. Du compte-rendu de ses travaux et de ses jours minute par minute, il ressort convaincu d’avoir repoussé les frontières du récit autobiographique jusqu’à des territoires jamais explorés avant lui. Cela se veut le rapport extraordinaire d’une vie ordinaire. Comme si l’exposition de l’ici et maintenant allait lui permettre d’exorciser le réel. Les événements rapportés y semblent indifférenciés, hors de portée de toute hiérarchie. Tout se vaut, l’essentiel et le superflu, l’évocation de sa baignoire et un vers de Paul Celan, la liste des courses à faire et Les Mots et les choses de Michel Foucault. Mais est-il vraiment indispensable de consacrer des pages à raconter comment il a finalement échouer à apprendre à jouer de la guitare quand il était jeune (qu’est-ce que ce serait s’il avait réussi !) ? Knausgaard explique son succès par la banalité même de son propos, mais une banalité non filtrée par la littérature, entendez : les artifices de la fiction, dans laquelle les lecteurs se retrouveraient mieux. Il est vrai que tout une page sur les vertus de l’Ajax multiusages, quand lui et son frère s’emploient à nettoyer l’appartement de leur père, favorise une identification maximum. Si encore l’Ajax en question était transcendé par quelque chose de plus haut que lui, en fils de Télamon et Péribée, ou en équipe de foot légendaire, mais même pas : l’Ajax n’intervient qu’en tant que tel, aussi platement qu’un nettoyant à l’ammoniaque qui n’est que ce qu’il est.
Min Kamp est logiquement devenu My Struggle dans la version anglaise, mais l’éditeur allemand a curieusement renoncé à Mein Kampf qui s’imposait, allez savoir pourquoi. Pour leur chance, Mon combat ne dit rien aux Français. Quant à comprendre la nécessité d’un tel titre, il faudra attendre la parution du tome 6 : bien que, pour l’essentiel, il y commente la réception houleuse des précédents volumes et leurs conséquences sur son entourage, l’auteur consacre 400 pages à un certain Hitler. Ainsi, Anders Breivik rencontrant le point Godwin, la boucle est bouclée. Ne manquait plus qu’une « gueule », ce qui ne gâte rien pour un jeune écrivain connu pour sa notoriété. C’est celle d’un acteur. On croirait que ces deux-là sont des jumeaux séparés à la naissance : quelque chose d’un Brad Pitt norvégien ou d’un Patrick Swayze scandinave mais en plus torturé, plus désespéré.
L’histoire littéraire n’est pas avare de grands romans où, en apparence, il ne se passe rien. Sauf que tout y advient quand rien ne se passe : un univers surgit, des personnages prennent forme, une sensibilité se dessine, une sensation du monde se précise petit à petit… Alors que là, rien. Du moins rien se produit dans l’écriture, l’analyse des sentiments, la perception des émotions, le rendu d’un paysage. Knausgaard, morne plaine. C’est d’un ennui sans qualité, car on connaît des ennuis sauvés par l’art. Même ceux qui critiquent la médiocrité de ses métaphores reconnaissent leur addiction à cette suite de livres, de l’ordre de celle qui les attache à certaines séries télévisées qu’ils se procurent en DVD par kgs de saisons. Difficile de dire si c’est bon ou pas, mais impossible de s’en déprendre. Une drogue qui réussit à vaincre et diluer l’ennui. Ceux qui en parlent disent qu’ils ne le lâchent pas. A commencer par des écrivains tels que Zadie Smith, Jonathan Lethem, Jeffrey Eugenides, Hari Kunzru qui ne se privent pas de le faire savoir. Ainsi devient-on l’auteur-favori-de-mon-auteur-favori, génial coup de marketing, d’autant plus efficace qu’il fut spontané.
Karl Ove Knausgaard s’est mis à son prochain livre, plus proche du genre fantastique, sous la double influence de Borges et Calvino. Une histoire dans laquelle il ne parle pas du tout de lui.
(Photos David Sandson, Daniel Nilsson et D.R.)
1 296 Réponses pour Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Brise légère de sud-est
C’est rare à Porquerolles, où ça hésite plutôt entre vent d’Est et mistral d’habitude, n’est-il pas ?
JC….. dit: 10 juin 2014 à 10 h 34 min
Je paie beaucoup plus que 90 euros pour une saillie !
JC avait fait un lapsus.
On parlait d’un âne, JC, ne vous sentez pas nécessairement visé.
» la virginité du livre. »
Quand on pense à toutes celles et ceux qui se font une nouvelle virginité par la publication…
la merveilleuse Marie Mauron
C’est vrai, on l’oublie trop souvent.
Temps couvert, pour ce qui est de jouir, le sud-ouest se retient…
Temps couvert, pour ce qui est de jouir, le sud-ouest se retient…
le ciel normand reste bouché…
Tiens puisque Chaloux évoque l’épouse Marie, Charles Mauron, le mari, a écrit en 1957 un « L’inconscient dans l’œuvre et la vie de Racine » qui tient encore la route. Annales d’Aix/Ophrys/Gap.
Plutôt freudien que jungien (pour Mlle zhcjhd3h<?:!whyt)
Paris-Sud, il ne pleut pas.
« Je prends beaucoup plus que 90 euros pour une saillie ! »
« Mémoires d’un homme normal »
Une page, une petite blague.
Voyons voir, pour un bouquin de 120 pages… pour les droits d’auteur…
Stop, on arrête.
Il peut peu, mais pour D Day, il a fait tout ce qu’il pouvait.
Une petite trêve dans le FH-bashing, c’est quand même un réflexe citoyen.
L’automate de Vaucanson n’a rien laissé paraître du nain planqué dans son infrastructure.
Je m’en réjouis parce que je suis républicain.
L’écrivain et poète Marie Mauron est décédée à l’âge de 90 ans. Une école porte son nom à Saint Rémy de Provence où elle s’était installée après ses études, son diplôme d’institutrice en poche. Honorée des prix de l’Académie Française, George Sand et Frédéric Mistral, elle était également majorale du félibrige car elle publiait tous ses livres en deux langues : français et provençal.
« Plutôt freudien que jungien (pour Mlle zhcjhd3h<?:!whyt)"
Depuis qu'on sait que tu as lu et annoté la thèse de Lacan, JC, même les innocents de ce blog savent que tu te fous du monde.
C'est pas toi, le "Daniel Sibony"?
Ce con de Hollande tripote la Reine comme un vulgaire Berlusconi … Ah ! le Gland ! Il s’assoit avant elle lors du dîner !
Royales boulettes des coupeurs de têtes républicains … Vive la Queen ! Quel muffle !!!
Participation de la mini entreprise du collège Marie Mauron, vainqueur du championnat académique, à la finale nationale à Paris les 4 et 5 juin Un article en ligne sur le site de l’académie d’Aix Marseille :
camarade ueda,
tu mets notre fructueuse amitié en danger : tu me vois annoter ce farceur de Lacan ? Déjà l’avoir lu, c’est un miracle de détermination. Je l’ai fait pour bousculer mes potes et potesses psy, dans les dîners…
Si tu connais un peu le milieu, et les chapelles nombreuses et concurrentes, je faisais comme la Femen à Notre Dame : l’imbécile innocent.
Son œuvre est prolifique, on la surnomme « la Colette provençale », elle écrit plus de cent ouvrages, et reçoit de nombreux prix : Prix de l’Académie avec « Mes Grandes heures de Provence », Prix Frédéric Mistral pour « Charloun Rieu », prix Sully-Olivier de Serres pour « La transhumance ».
Elle meurt dans son « Mas d’Angirany », à Saint-Rémy, le 31 octobre 1986
Elle a été mariée de 1919 à 1949 avec Charles Mauron, traducteur d’auteurs anglais contemporains et critique littéraire, devenu aveugle
JC….. dit: 10 juin 2014 à 10 h 52 min
Hollande tripote le con de la Reine comme un vulgaire … Gland !
Là, je dis stop !
HR, vous me permettez de vous appeler « whynot » ? Allez, soyez sympa !…
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 10 h 47 min
Paris-Sud, il ne pleut pas.
Paris Nord-Ouest non plus.
Jusqu’où aller trop loin,
pensez à la mondialisation numérique, je vous en prie ! Des milliers d’Anglais cultivés (!) lisent le blog prestigieux de Passou …
Modérez votre ardente imagination !
quelques gouttes sur Paris-Est
Des milliers d’Anglais cultivés (!) lisent le blog prestigieux de Passou …
Des centaines de milliers. Abdelkader pense même qu’ils sont des millions. Et tous les jours !
Paris-Nord est épargné mais il fait humide.
10 h 27 min
moisie!espèce de moisissure crottesque de blogs où les pépins se prennent pour un hyperphallus
Paris-Centre: les trottoirs sont mouillés.
« moisissure crottesque de blogs où les pépins se prennent pour un hyperphallus »
Ce langage me choque un peu mais c’est bien envoyé.
Un souvenir à propos de ces lourds cadenas parisiens sur la passerelle.
J’ai, il y a longtemps, rendu un service à un copain afghan : corrompu, il offrait chaque année un lourd cadenas en or que son épouse première gardait autour du cou. Collier couteux augmenté depuis son mariage arrangé en 1968.
Hélas ! à la demande de mon ami, attaché culturel (imaginez un Bloom afghan), on a été faire un tour en bateau, et, malencontreusement, elle est tombée à l’eau par un inuit sans lune, fort mistral, grand génois envoyé à l’avant… Il a payé les flics. Moi, je n’avais rien vu.
Je ne l’ai jamais revu, lui. Ni elle, pauvre vieille. Elle était usée, démolie par les enfantements…
Tout de même ! Ce sont des mœurs qui me dépassent.
Eh bé mes aïeux ! j’aimerais pas à la place de 10h 27 !
mauron, je l’ai rencontrée, le jour où l’homme a marché sur la lune, ce qui ne m’impressionna pas .
« Des milliers d’Anglais cultivés lisent le blog prestigieux de Passou … »
Ils n’ont jamais compris que nos pères puissent en pleine tempête historique s’adresser ainsi aux citoyennes:
« Dansons la Carmagnole
Vive le con, vive le con »
Plus que la guillotine, c’est cette bonne humeur qui a stupéfié le monde.
un inuit sans lune,
toujours des histoires d’iglouglou
Comment dit-on carmagnole en japonais ?
C ‘est assez bien vu, whynot, votre image des pépins spermatiques…
(il y a deux 10:27, ce n’est pas comme à la SNCF où il n’y en a aucun… Alors, lequel, au juste ?)
Par un inuit sans lune, je l’ai fait pour vous, whynot, « no charge »… comme on dit dans les taxis à NYC !
Cet afghan cultureux est un coquin (j’ai eu le mien aussi, ancienne star de l’Unesco, cette formidable boîte à discours)
Offrir chaque année à sa vieille un cadenas très lourd pour qu’elle les porte à son cou, c’est quand même transparent.
Dans des sociétés moins raffinées, on offrait des cuvettes en plastique pour se laver les pieds au ciment, avant de convier à la baignade.
La démesure de ce Ciel commence à m’irriter.
Je fous mon condom sur la tête et je sors.
Mme Chaloux dit: 10 juin 2014 à 11 h 17 min
Chère amie, cessez de jouer les sossottes en public, vous savez bien que j’ai horreur de ça. (Gardons ces raffinements pour nos ébats privés.)
Le pseudo « Wallis et Foufouna », récemment apparu sur ce blog n’est PAS une allusion aux relations maritales étranges de la futée Wallis Simpson avec son duc anglais hésitant, dont j’ai oublié la terre…
Que Dieu garde, dans sa bonté, les républicains françois d’une approche ironique de la sensualité ilienne au plus haut sommet du Royaume britannique !…
ueda dit: 10 juin 2014 à 11 h 36 min
C’est La Journée Sombre de Bruegel.
« Dans des sociétés moins raffinées, on offrait des cuvettes en plastique pour se laver les pieds au ciment, avant de convier à la baignade. »
Cela n’est pas un signe d’absence de raffinement, il s’agit de pragmatisme. Bien nécessaire dans les affaires, le ciment. On aimerait, parfois, que cette attitude soit exemplaire à d’aucuns qui cherchent sans trouver.
Partisan d’une gestion rapide des conflits, je me souviens d’un ami sûr, attaché culturel (un Bloom sicilien), qui avait offert un éléphanteau, très attachant, à un concurrent rétif à ses arguments.
La pauvre bête ne savait pas nager ! La gendarmerie italienne avait conclut le rapport en une seule phrase : « Selon toute probabilité, la victime serait un cornac égaré »
Bergman s’explique sur ses années nazies.Le réalisateur confesse à une journaliste ses sympathies de jeunesse pour Hitler.
adepte à Passou dit: 10 juin 2014 à 9 h 51 min
Le Boug absent ( quelle chance!)
Je crois que mes injonctions (injONctions !) l’ont raisonnablement poussé à admettre qu’il lui fallait faire une petite lessive de temps en temps. D’autant que sa grand-tante de cambrai, comme qui dirait pour l’inciter, lui a offert pour sa fête une jolie bassine (jaune et marron pour rester dans les tons). Mais voila, c’est trop dur, il est trop mou, même l’épicerie du coin c’est trop loin. On n’est pas près de le voir revenir avec sous le bras son paquet de Conux.
JC….. dit: 10 juin 2014 à 11 h 46 min
Les souvenirs de famille de JC.
Copuler avec l’UNESCO, c’est se rendre compte de ce que la mondialisation a de pire : la bonne conscience humaniste hypocrite.
La lutte entre multinationales offre, au moins, une image chevaleresque : il y a des morts, des saints, des érudits, des résultats.
A l’UNESCO, il n’a que des privilégiés, des fringués, des friqués, des beaux parleurs, des impuissants (par bonheur !)
Chaloux,
Vous êtes envieux, jaloux, subjugué par Bouguereau, cette force de la nature sur canapé ! Réagissez. Sinon, vous êtes perdu…
« Copuler avec l’UNESCO, c’est se rendre compte de ce que la mondialisation a de pire »
Bien au contraire. J’ai eu la chance de faire quelques traductions pour l’UNESCO, c’est très grassement payé. Merci l’UNESCO. C’est vraiment ce que la mondialisation a fait de mieux pour le pouvoir d’achat.
Le soleil du sud ouest montre un quart de ses rayons, chipoteur!
Hélas ! il me faut vaquer…. A bientôt.
Puisque c’est le sujet du jour, sachez qu’il vient de pleuvoir sur les Batignolles.
mets tes hauts du jour dit: 10 juin 2014 à 12 h 06 min
Autant dire que ça joue à l’élastique?
Paris 11ème : le temps se lève.
JC….. dit: 10 juin 2014 à 12 h 04 min
JC, c’est surtout que j’ai toujours détesté les chefaillons, genre « bouffon principal ». D’autant que Bouguereau écrit des énormités que même vous, qui êtes pourtant un spécialiste, ne pourriez vous permettre et que ça passe comme une lettre à la poste. Répugnant.
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 12 h 19 min
JC….. Répugnant.
Sans compter que les femmes peuvent être grossières entre elles, c’est leur affaire et c’est bien amusant. mais ce bulot, non.
A mon avis, Barozzi se dore plutôt « le cyclope ».
Ou « la chevalière ».
Tout est là.
http://www.languefrancaise.net/bob/syno.php?id=139&synonyme=anus
Bonne journée,
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 12 h 19 min
j’ai toujours détesté les chefaillons, genre « bouffon principal
On s’en doutait un peu mais c’est bien qu’il l’avoue.
Chaloux se déteste.
b. dit: 10 juin 2014 à 12 h 25 min
Sacré Bouguereau, » dit le cyclope » de Dunkerque, » dit la chevalière du Nord », dit « l’oeil de Moshé », « l’excavation », « la rue aux pets »,dit « le couloir à lentilles », « la bagouse », dit « la porte de derrière », »pastille du sérail », le « bouffon principal », je te laisse la place. je repasserai te baffer plus tard.
Tiens, U., ..
En Tunisie, un père brûle sa fille ..
»
Âgée de 13 ans, Eya n’a pas survécu à ses blessures: elle était brûlée au 4e degré. Après un séjour de plus de 10 jours au Centre de traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous, les médecins n’ont rien pu faire pour la sauver. Son corps inerte sera transporté demain, lundi, de l’hôpital au domicile de ses parents un peu avant l’enterrement.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le père, énervé de voir sa fille rentrer du collège à la maison en compagnie de son camarade de classe, a perdu son self contrôle et a, sur un coup de folie, aspergé sa fille d’essence et mis le feu à son jeune corps. Il a été arrêté et l’enquête sur cette tragédie se poursuit. »
Ils ont déconnés, la division Das Reich ! On ne brûle pas plus de 666 personnes dans une EGLISE d’Oradour, bordel !!!
Y pouvaient pas choir un lieu plus NEUTRE ? Une étable ? L’Hôtel de ville ? La coopérative viticole ? l’Ecole ?
La guerre a ses règles, merde ! Où on va, là…
..sinon t’a aussi le camembert roti..quand t’a pas de rosbif tu le met dans l’oignon ça fait l’affère..
Brûlez le père !
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 12 h 34 min
je repasserai te baffer plus tard
Gaulé comme il est le Chachal, à part son crapaud je ne vois pas ce qu’il peut baffer.
L’avantage de « baffer » ce sont les deux f, un peu comme dans « matter ».
« Au moins 20 femmes ont été emmenées. Les ravisseurs appartiendraient au groupe Boko Haram, qui a capturé quelque 200 lycéennes il y a deux mois. »
Enfin ! ces farouches musulmans tricards reviennent aux fondamentaux bourgeois … source Zamzam, heil Siegsieg.
nwhyt dit: 10 juin 2014 à 9 h 40 min
Dr Lecter, sujet à méditation. Il n’est pas exclu qu’il faille faire un tour en librairie:
La Norvège, c’est le torride en morgue.
Pour un latin de souche, allongé sur la table bien propre, le nom du thanatopracteur ne compte guère : Proust, KOK…. rien à branler.
Dans le journal, c’est mardi. True.
Struggle c’est un peu struggle for life ausi, Dr Lecter.
Cette comptine existe en plusieurs versions, dont: traditionnel, cajun et rap celtique.
« j’ai vu le loup, le renard chanter »
struggle for life c’est d’un auteur très très connu.
Les aventures du nain Chaloux et de l’ogre bouguereau dit: 10 juin 2014 à 12 h 50 min
Baffes rhétoriques… Saint-Simon était tout petit et il a baffé tout ce qui comptait à la fin du règne de Louis XIV. Et Voltaire donc…
(Les microcéphales, donc toi en priorité, sont priés de rester en coulisse).
s’il faut compter tous ceux qui se la jouent pourfendeurs de tabous en marchant sur les restes de portes que d’autres ont enfoncées..
Je vais chercher le bon produit pour que les doryphores ne se goinfrent pas trop; et je reviens kicking. Pendant ce temps, mettez vous à l’ombre, dans votre wood bésilien.
pom pom pom pom, message: « bouguereau, vieux bourrin bourré file un mauvais coton »; je répète: « bouguereau, vieux bourrin bourré fil un mauvais coton ».
« pourfendeurs de tabous en marchant sur les restes de portes que d’autres ont enfoncées »
Perso, je trouve innommable le message de l’ordure de journaleux extime qui a posté en direct d’Oradour, tout à l’heure à 12H43.
son combat pour écrire son livre à la recherche de sa vérité.
qui dit que c’est à la recherche de SA vérité ?
l’hyperbole péremptoire est peut-être le sceau de notre temps.
P.Assouline même s’il imagine dédramatiser cette recherche par « racontage »(humour ne donne que plus de relief , et peut-être de crédit, à la possibilité d’une, au moins une,vérité qui rassemble tant de lecteurs à cette occasion .
« David Vann : « J’ai grandi dans une famille de menteurs »
LE MONDE DES LIVRES | 25.06.2010 à 19h06• Mis à jour le 08.11.2010 à 12h13 | Par Marie-Pierre Subtil
Il y a une quinzaine d’années, David Vann avait les cheveux longs, jusqu’au bas de la taille. Il a dû les couper quand il a monté en Turquie sa petite affaire de croisières en voilier pour Américains : ses dreadlocks risquaient de se prendre dans le moteur du bateau. Maintenant, avec ses cheveux ras, il ressemble à un marine. Il éclate de rire à cette remarque : « On me fait parfois pire comme réflexion : on me dit que j’ai l’air d’un Russe ! »
Surprenant, ce rire franc, massif et permanent chez un homme qui a connu le pire, auteur d’un roman sombre et violent dont le lecteur se dit qu’il contient forcément une part autobiographique. David Vann aurait-il trouvé le salut avec le succès de Sukkwan Island, paru aux éditions Gallmeister et qui vient de recevoir le Prix des lecteurs de L’Express 2010 ? Il avait 13 ans quand sa vie a basculé. Il en a 43 aujourd’hui et il l’avoue : s’il peut en parler en riant, c’est parce qu’il a su faire de sa tragédie une oeuvre, et accéder enfin au statut dont il a toujours rêvé, celui d’écrivain. « La vie idéale », selon lui, consiste à « vivre sur un bateau et écrire ». Tous les jours, il écrit jusqu’à 13 heures.
http://www.lemonde.fr/livres/article/2010/06/25/david-vann-j-ai-grandi-dans-une-famille-de-menteurs_1378453_3260.html
(refaire de la pub pour les éditions Gallmeister, oui, avec plaisir!)
quelqu’un se souvient-il d’un philosophe de renommée internationale , aujourd’hui défunt, qui dans un moment autobiographique de son oeuvre, s’était plaint que ses chers collègues ne supportaient pas qu’il fît du jogging
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 13 h 03 min
Baffes rhétoriques… Saint-Simon était tout petit et il a baffé tout ce qui comptait à la fin du règne de Louis XIV.
Il a baffé…..pour lui, dans son coin, sûr que la publication si elle était faite ne le serait qu’après sa mort.
Par contre, un peu comme toi, grand courtisan il fut.
Tu ne « bafferas » ni ne « matteras » jamais personne mon Chachal, tu es trop petit.
Les aventures du nain Chaloux et de l’ogre bouguereau dit: 10 juin 2014 à 14 h 59 min
Trop petit, trop facile, trop commun. Refais un essai. Tu te ridiculises. (Je sais que tu ne pourrais pas mieux faire, mais je ne me sens pas le droit de ne pas te prodiguer tout de même quelques encouragements.)
« que des privilégiés, des fringués, des friqués, des beaux parleurs, des impuissants »
plus simplement: 99% de pistonnés
Les aventures du nain Chaloux et de l’ogre bouguereau dit: 10 juin 2014 à 14 h 59 min
Cela dit, je conçois que tu ne saisisses pas certaines « différences », étant donnée l’évidente étroitesse de ta cavité cérébrale.
A ta place, je m’arrêterais sagement là.
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 12 h 34 min
Sacré Bouguereau……
je repasserai te baffer plus tard
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 13 h 03 min
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 15 h 09 min
Nous attendons, impatientes.
Que de la gueule.
Si encore l’Ajax en question était transcendé par quelque chose de plus haut que lui, en fils de Télamon et Péribée, ou en équipe de foot légendaire, mais même pas
se rappeler que P.Assouline dit qu’il apprend le grec: mais on ne peut pas non plus tout rappeler !
Bon alors mon Chachal, tu l’admets donc, ton exemple de Saint-Simon était une connerie (une de plus)
Pas grave, comme clown tu nous feras toujours bien rire.
Pas le temps de discuter avec un minable comme toi incapable de structurer un propos.
Casse toi (comme dirait ce pauvre Bouguereau qui doit être en train se tamponner les joues au Synthol).
(comme dirait ce pauvre Bouguereau qui doit être en train se tamponner les joues au Synthol).
Et de se passer le « cyclope » à la préparation H.
Les aventures du nain Chaloux et de l’ogre bouguereau dit: 10 juin 2014 à 15 h 26 min
…d’un cerveau monocellulaire en fusion.
Touite
« Quand le romancier japonais Haruki Murakami s’empare du « Yesterday » des Beatles, ça donne ça… »
Ce « Yesterday » fait parie du premier recueil de nouvelles publié par Murakami depuis de nombreuses années (en français: « Hommes sans femmes »)
Longues queues de fans dès avant l’heure d’ouverture de la librairie Kinokuniya…
Est-ce qu’on peut dire d’un écrivain qu’il est « charmant », sans que ce soit entendu en mauvaise part?
le titre-billet » « Cent ans de platitude » a été fait sur la toile ;trop tard:je ne compteraini n’imiterai les adjectifs de la phrase critico passoulinienne
que même si Chaloux ne baffe pas trop fort, Bouguereau ne l’affronte pas.
Doit avoir peur de la moindre pichenette… ¨
Pas héroïque, l’énorme…
une bonne question pour tous :
« peut-on estimer que l’âge de 13 ans constitue le pinacle de l’intelligence humaine ? », s’interroge le magazine scientifique britannique. »
Il a quand même de la présence, ce gus, KOK…
En voyant le Président faire des sourires idiots aux invités pendant que la Reine prononçait un discours fort élevé, j’ai compris que le Teigneux était de retour, voire qu’il n’était jamais parti. Ni de Gaulle, ni Pompidou, ni Giscard, Mitterrand ou même Chirac ne se seraient ainsi conduits. Misère…
Ceci est le fruit… dit: 10 juin 2014 à 15 h 34 min
C’est pas tout dit: 10 juin 2014 à 15 h 32 min
Chaloux, vu.
Malgré sa petite taille dit: 10 juin 2014 à 15 h 52 min
Excellent post qui correspond à tes capacités cérébrales. Considère-le comme un maître-étalon au-delà duquel ne pas t’aventurer.
15 h 44 min il n’a peut-être pas exclu de travailler pour le cinéma, ou la télé : et ce serait bien parti pour lui
15 h 44 min kampf!
Bihoreau de Bellerente dit: 10 juin 2014 à 15 h 48 min
Mais on s’en tape de la reine.
Elle aime le foie gras, on lui en a offert, alors basta !
Est-ce qu’elle a dit merci au moins.
Rapplique, Bouguereau, je voudrais commencer une série!
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 15 h 55 min
Malgré sa petite taille dit: 10 juin 2014 à 15 h 52 min
Excellent post
il n’a peut-être pas exclu de travailler pour le cinéma
Mais il a déjà fait ses débuts. Il avait un rôle (très jeune) dans la 7ème Compagnie (où jouait aussi le père de Chaloux, d’ailleurs).
mince, à à 16 h 00 min
j’ai voulu norvégisé: -f bien sûr
ça me rappelait bien quelqu’un, ces postures,
j’ai retrouvé qui
« Irvin David Yalom, né le 13 juin 1931 à Washington, est un écrivain américain, auteur de romans, essais et autres écrits. Il est également un professeur émérite en psychiatrie de l’université Stanford, un existentialiste et un psychothérapeute reconnu.
bouguereau : PPPP, pataquès, piteux, paumé, pipi… l’heure a sonné !
«Fuschia 10 juin 2014 16 h 02: Mais on s’en tape de la reine.»
La vulgarité du propos cache à peine l’indigence de l’intelligence. C’est du Président dont je parlais, de son comportement indigne de sa fonction. Que Sa Majesté apprécie le foie gras me réconforte.
D’aucuns se scandaliseront de l’effroyable grossièreté de ce carnet. J’y vois plutôt un refuge pour névrosés atteints de célinisme aigu. Refuge salutaire, comme ces lieux d’aisance sans lesquels toute la maison puerait. Saint Thomas d’Aquin, je crois.
on ne cherche pas on se souvient et on trouve
http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychoth%C3%A9rapie_existentielle
« son comportement indigne de sa fonction. »
c’est affreux
vivement le retour de raymond
Épandage dit: 10 juin 2014 à 16 h 15 min
pipi…
Je ne savais que ce blog était accessible aux moins de douze ans.
c’est sans rapport surement
http://laregledujeu.org/2014/06/10/17196/ma-guerre-en-litterature/
C’est effectivement sans rapport, 2nwhicth7
n whyt sans lune, vous nous gavez.
@16 h 40 min pauvres zoua ves
Bihoreau de Bellerente dit: 10 juin 2014 à 16 h 17 min
Mais il a été très très bien notre président.
Il a plus fait en journée que des mois de diplomatie tous azimuts pour débloquer la crise ukrainienne, alors les petits accrocs de protocole avec la Queen, foutaises.
Foutaises qui ne prennent de la valeur que pour les umpistes (ou JCistes) de votre genre qui n’ont trouvé que ça à se mettre sous la dent.
Le Hollande bashing forcené atteint là ses limites, celles du ridicule.
« D’aucuns se scandaliseront de l’effroyable grossièreté de ce carnet.J’y vois plutôt un refuge pour névrosés atteints de célinisme aigu…. »
Sans compter tant d’écrivains romains…
Je respecte notre Président, mais je déplore qu’il ne se soit pas encore rendu compte qu’il est le chef de l’État.
Quant à mes opinions politiques, elles sont bien connues de ceux qui me font l’honneur de me lire: je souhaite de tout coeur que monsieur Fillon arrive aux affaires. Un vrai gaulliste, un véritable gaullien. Je vomi la gauche caviar qui excite le peuple pour ensuite se moquer de lui, comme le fit ce faux cul qui gouverna la France de 1981 à 1995. Je lui reconnais volontiers des manières très convenables.
2nwhyt7 dit: 10 juin 2014 à 16 h 44 min
@16 h 40 min pauvres zoua ves
Tiens c’est vrai, ça, on n’a pas eu la météo sous le pont de l’Alma… Het là c’est utile !
Bihoreau de Bellerente dit: 10 juin 2014 à 16 h 53 min
« je souhaite de tout coeur que monsieur Fillon arrive aux affaires. »
Grossier personnage !
Bouguereaueaueaueaua! Bouguereaueaueaueaueau !
Reviens!
Ils sont devenus polis…
pour ensuite se moquer de lui,
c’est tout bénéf la droite
« Un vrai gaulliste, un véritable gaullien. »
ben voyons
Pompidou des sous !
Bihoreau de Bellerente dit: 10 juin 2014 à 16 h 53 min
« je souhaite de tout coeur que monsieur Fillon arrive aux affaires de Mme Fillon.»
Moi aussi.
fion est appelé araignée..
Pompidou des sous !
t’aurais du thésauriser au lieu de faire des pleins
bouguereau dit: 10 juin 2014 à 17 h 27 min
Chacun respire ! Il est là:
Bravo Bouguereau !
..bouguereau et amour vénal à tous les étages
« Bouffon principal » avec un léger accent ibérique, ça vous prend un tour vieille cour d’Espagne.
Bravo Bouguereau!
pendant que la Reine
avé une majuscule comme jéova et autre..tu judaises en secret
La vulgarité du propos cache à peine l’indigence de l’intelligence.
C’est qu’il en a dans le citron, le Bihoreau. Dommage que ce soit par ailleurs, et nonobstant, ce qu’en langage cru on appelle — et l’image est certes fautive mais néanmoins signifiante — un gros con.
pom pom pom pom, message: « glou glou gloube essaie d’exister encore un peu avant la chute »; je répète: « glou glou gloube essaie d’exister encore un peu avant la chute ». (keupu lui souhaite le bonsoir)
ma mère de ma mère..je vois que tous mes clébards remues les plumes quils ont fichées profond dans l’proze..des fins de races !..il me précéde de tellement loin que je suis le roi soleil épicétou
Monsieur de Bellerente, déconsidérer Hollande est une chose, mais de là à encenser Fillon il y a un pas que même ueda ne franchirait pas.
au fait
MADRID (AFP) – Madrid va offrir à tous les descendants des Juifs qui furent expulsés d’Espagne en 1492 la possibilité d’obtenir la nationalité espagnole, a annoncé jeudi le ministre espagnol de la Justice.
bouguereau dit: 10 juin 2014 à 17 h 39 min
« il me précéde de tellement loin que je suis le roi balaye épicétou »
fion a une tête de gagneur..l’encenser c’est insultant byo..faudrait lui mette des sacs de charbon sur sa f1..il est trop fort!
Il cause de son balai !
Bravo Bouguereau !
le lien
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20121123.AFP5783/espagne-les-descendants-des-juifs-expulses-en-1492-pourront-etre-naturalises.html
ce n’est pas mon cas , du moins à ma connaissance, mais c’est celle de l’un de vos collègues,comme on dit des écoliers dans le midi, au moins
ce n’est pas mon cas
J’aurais pourtant juré que 2nwhyt7 était un nom séfarade.
J’aurais pourtant juré que 2nwhyt7 était un nom séfarade.
Il avait pourtant été dit sur ce blog qu’il n’était pas réservé aux sépharades de « commenter », ni aux méditerranéens, même d’adoption .
J’aurais pourtant juré que 2nwhyt7 était un nom séfarade.
Il avait pourtant été dit sur ce blog qu’il n’était pas réservé aux sépharades de « commenter », ni aux méditerranéens, même d’adoption .
la première histoire que j’ai écrite pour enfants se passait à Oslo
et tout le monde ne s’appelle in_8
Mais je ne demande pas à ce qu’on m’appelle sancho
@ Chaloux
« Montaigne avait 47 ans à la 1ère edition ».
Et Cervantes 57 quand la première partie de Don Quijote a été publiée. Et 68 quand est sortie la deuxième (ou 55 et 66 – si c’est vrai qu’il est né en 1549 et pas en 1547, comme l’affirment certains « cervantologues » hétérodoxes).
où sont donc passée vos championnes de judaisme sépharade, celui-là même pour lequel il n’y a pas d’autres juifs ayant le droit de vivre que ceux qu’il a institués ?
Vous les avez aussi mangées?
@Pablo
Merci, je n’avais pas pensé au romancier des romanciers!
(La Comtesse de Ségur 58 ans!
La Fontaine 47 ans!)
Mais Cervantès est le plus grand.
Pablo75/Chaloux où Wiki pour les nuls.
Des pourcentages de Nabe évoqués PAR mR; cHALOUX? J’EN SUIS VENU à vérifier si je n’étais pas dans la liste des lauréats du Holder Prize
Non je ne veux pas avoir l’air de critiquer encore et tj, en franchouillard (que je n’suis pas)les distinctions offertes à Fortiori à des gens que je ne connais pas ou même (dit-on de façon suspectes) à shmuel ou Julia que je félicite.
C’est au contraire mon peu d’intérêt pour leurs écrits et surtout ceux de Madame qui me fait dire « chapeau » -(oui vraiment très trés fort)-, en voyant notamment le montant du prix en question . Une vraie gagneuse cette Julia!
Mais il faut être juste; à la conférence/Sorbonne-Céline en 2012 AVEC Godard, BHl… on pouvait mesurer en effet l’ampleur immense de la pensée Kristevatienne (j’nsaispas comme on dira dans 100 ans) mais quel moment de bafouille.
De plus chemin faisant j’ai découvert un autre prix dont j’ignorais tout et qui vaut le coup lui aussi: le Balzan !
Et même un heureux bénéficiaire (ne souffrant d’aucune contestation loin s’en faut)l’ayant eu, juste l’année qui suivait celle où on lui avait refilé le Holder !! J’ai nommé le sémillant Manuel CastelL. ET Là CEST pas de la tarte… Cest l’EPHE dans toute sa voltige… un re-sucé de N. Poulantzas POUR bIDONVIlle, et hop à Berkeley (l’année ou AF de l’académie en revenait). Et là-bas que faire me direz-vous… eh bien il (MC) observe la Sili-con Valley de très près, jusqu’à en devenir un grand spécialiste (pas de la Valley, NON DE SON OBSERVATION) ce qui ne pouvait qu’être récompensé et conduire au Holder + AU bALZAN.
uNE FOIS ENCORE CHAPEAU !! (ne fut-ce que pour la Visa Platinium)
La mère Veil à l’académie franchouille, ou Obramane au Pax WORLD NOBEL (LES DEUX NE SAVAIENT PAS POURQUOI EUX;;; INNOCENTS ils n’avaient rien fait!) c’st presque de l’amateurisme.
J’ne finirai donc avec Nabe, qui au-delà des calculs virtuels (70% tout pour moi de l’autoédition, dans la poche etc…) avoue « survivre » (voir l’amusante visite de Besson en TGV à Aix chez son ami PLUS PETIT QUE JAMAIS, le repas avec l’entrecôte… et la vente paR Nabe de ses « tableaux » pour joindre les deux bouts…)
Dans ce paysage de distinctions saturé par la magouille, le tout nouveau « Prix JC. » doté de 15 Mlls D’euros chaque année, arrivera-t-il à s’implanter, à trouver un lauréat désintéressé, digne d’éloges et de confiance ?
« Et BHL d’ajouter : « Pour les écrivains dont je suis, il y a cette certitude que c’est en s’installant à l’ombre des mots qu’on a une chance de changer les choses. »
http://laregledujeu.org/2014/06/10/17196/ma-guerre-en-litterature/
Ça va être dur de battre BHL pour le Prix de la phrase la plus ridicule de l’année 2014.
« romancier des romanciers! »
Chaloux
Assertion qui ne veut strictement rien dire quelque soit le sens qu’on lui donne.
où sont donc passées
quant à moi, je suis paranautiste au 47 ème degré sans doute ,
Ça va être dur de battre BHL pour le Prix de la phrase la plus ridicule de l’année 2014.
Vous oubliez Chaloux.
Jamais hors course.
J’aime taquiner ceux qui le désirent, mais je suis au fond de moi un artisan de paix et d’amour, comme certains l’ont compris depuis longtemps. Je vous fais donc part de ce très beau communiqué du Vatican, dont vous me pardonnerez bien la longueur :
PRIERE POUR LA PAIX AVEC LES PRESIDENTS PERES ET ABBAS
Cité du Vatican, 9 juin 2014 (Vatican Information Service).
Les Jardins du Vatican ont été hier soir le lieu de l’Invocation pour la paix, initiative à laquelle le Pape François a invité durant son pèlerinage en Terre sainte, les présidents Shimon Peres et Mahmoud Abbas, pour demander le don de la paix entre les peuples israéliens et palestiniens. MM.Peres et Abbas sont arrivés au Vatican respectivement, vers 18 h 15′ et vers 18 h 30′ et le Saint-Père les a reçus à l’entrée de la résidence Ste. Marthe, où il s’est brièvement entretenu d’abord avec le président israélien et ensuite avec le président palestinien. Peu après, tous trois sont entrés dans le hall de Sainte-Marthe et le Patriarche ?œcuménique Barthélémy I s’est joint à eux, avant de se rendre en voiture dans les Jardins du Vatican, où les délégations respectives les attendaient. La rencontre a commencé avec les mots suivants: « Que le Seigneur vous accorde la paix! Nous nous sommes réunis dans ce lieu, les Israéliens et les Palestiniens, les juifs, les chrétiens et les musulmans, pour offrir notre prière pour la paix pour la Terre Sainte et pour tous ses habitants ».
La rencontre s’est déroulée en trois phases, auxquelles a fait suite une conclusion. Dans l’ordre chronologique la communauté religieuse juive a commencé, ensuite la communauté chrétienne et enfin la communauté musulmane. La première phase a été celle de la louange à Dieu pour le don de la création et pour nous avoir créés membres d’une seule famille humaine. La deuxième phase a été une demande de pardon à Dieu de ne pas agir comme des frères et sœurs, et pour les péchés contre Dieu et contre le prochain. Dans la troisième phase, a été invoqué de Dieu le don de la paix en Terre sainte et notre conversion en constructeurs de paix. Chacune des phases était accompagnée d’un bref interlude musical. Une méditation musicale plus prolongée a ponctué chacune de trois parties principales. À la fin, avant d’échanger un vigoureux serrement de mains et avant de planter un petit olivier comme signe du désir commun de paix entre le peuple palestinien et le peuple israélien, ont pris la parole le Saint-Père, le Président Shimon Peres et le Président Mahmud Abbas: Messieurs les Présidents, a dit le Pape François, « avec grande joie, je vous salue et je désire vous offrir à vous et aux distinguées délégations qui vous accompagnent, le même accueil chaleureux que vous m’avez réservé lors du pèlerinage que je viens d’effectuer en Terre Sainte. Je vous remercie du fond du cœur pour avoir accepté mon invitation à venir ici afin d’invoquer ensemble de Dieu le don de la paix. J’espère que cette rencontre sera un chemin à la recherche de ce qui unit, pour dépasser ce qui divise. Et je remercie Votre Sainteté, vénéré Frère Barthélémy, d’être ici avec moi pour accueillir ces hôtes illustres. Votre participation est un grand don, un soutien précieux et un témoignage du chemin que, comme chrétiens, nous parcourons vers la pleine unité. Votre présence, Messieurs les Présidents, est un grand signe de fraternité, que vous accomplissez en tant que fils d’Abraham, et une expression concrète de confiance en Dieu, Seigneur de l’histoire, qui nous regarde aujourd’hui comme frères l’un de l’autre et désire nous conduire sur ses voies. Cette rencontre d’invocation de la paix en Terre Sainte, au Proche et Moyen Orient et dans le monde entier, est accompagnée par la prière de très nombreuses personnes, appartenant à diverses cultures, patries, langues et religions, des personnes qui ont prié pour cette rencontre et qui, maintenant, sont unies à nous dans la même invocation. C’est une rencontre qui répond à l’ardent désir de tous ceux qui aspirent à la paix et rêvent d’un monde où les hommes et les femmes puissent vivre en frères et non comme des adversaires ou des ennemis. Le monde est un héritage que nous avons reçu de nos ancêtres, mais c’est aussi l’héritage de nos enfants, de fils qui sont fatigués et épuisés par les conflits et désireux de parvenir à l’aube de la paix; des fils qui nous demandent d’abattre les murs de l’inimitié et de parcourir la route du dialogue et de la paix afin que l’amour et l’amitié triomphent. Beaucoup, trop de ces fils sont tombés, victimes innocentes de la guerre et de la violence, plantes arrachées en pleine vigueur. C’est notre devoir de faire en sorte que leur sacrifice ne soit pas vain. Que leur mémoire infuse en nous le courage de la paix, la force de persévérer dans le dialogue à tout prix, la patience de tisser jour après jour la trame toujours plus solide d’une cohabitation respectueuse et pacifique, pour la gloire de Dieu et le bien de tous. Pour faire la paix, il faut du courage, bien plus que pour faire la guerre. Il faut du courage pour dire oui à la rencontre et non à l’affrontement; oui au dialogue et non à la violence; oui à la négociation et non aux hostilités; oui au respect des accords et non aux provocations; oui à la sincérité et non à la duplicité. Pour tout cela, il faut du courage, une grande force d’âme. L’histoire nous enseigne que nos forces ne suffisent pas. Plus d’une fois, nous avons été proches de la paix, mais le malin, par divers moyens, a réussi à l’empêcher. C’est pourquoi nous sommes ici, parce que nous savons et nous croyons que nous avons besoin de l’aide de Dieu. Nous ne renonçons pas à nos responsabilités, mais nous invoquons Dieu comme un acte de suprême responsabilité, face à nos consciences et face à nos peuples. Nous avons entendu un appel, et nous devons répondre, l’appel à rompre la spirale de la haine et de la violence, à la rompre avec une seule parole: frère. Mais pour prononcer cette parole, nous devons tous lever le regard vers le Ciel, et nous reconnaître enfants d’un seul Père. C’est à lui que je m’adresse, dans l’Esprit de Jésus-Christ, demandant l’intercession de la Vierge Marie, fille de la Terre Sainte et notre Mère: Seigneur Dieu de paix, écoute notre supplication! Nous avons essayé tant de fois et durant tant d’années de résoudre nos conflits avec nos forces et aussi avec nos armes; tant de moments d’hostilité et d’obscurité; tant de sang versé; tant de vies brisées, tant d’espérances ensevelies. Mais nos efforts ont été vains. A présent, Seigneur, aide-nous Toi! Donne-nous Toi la paix, enseigne-nous Toi la paix, guide-nous Toi vers la paix. Ouvre nos yeux et nos cœurs et donne-nous le courage de dire: Plus jamais la guerre. Avec la guerre tout est perdu! Infuse en nous le courage d’accomplir des gestes concrets pour construire la paix. Seigneur, Dieu d’Abraham et des Prophètes, Dieu Amour qui nous a créés et nous appelle à vivre en frères, donne-nous la force d’être chaque jour des artisans de paix; donne-nous la capacité de regarder avec bienveillance tous les frères que nous rencontrons sur notre chemin. Rends-nous disponibles à écouter le cri de nos concitoyens qui nous demandent de transformer nos armes en instruments de paix, nos peurs en confiance et nos tensions en pardon. Maintiens allumée en nous la flamme de l?espérance pour accomplir avec une patiente persévérance des choix de dialogue et de réconciliation, afin que vainque finalement la paix. Et que du cœur de chaque homme soient bannis ces mots: division, haine, guerre! Seigneur, désarme la langue et les mains, renouvelle les cœurs et les esprits, pour que la parole qui nous fait nous rencontrer soit toujours frère, et que le style de notre vie devienne: Shalom, Salam! Amen ».
Le président israélien, M.Shimon Peres, a ensuite pris la parole: « Je suis venu de la Ville sainte de Jérusalem pour vous remercier de votre invitation exceptionnelle. La Ville sainte de Jérusalem est le cœur battant des Juifs. En hébreu, notre langue ancienne, le mot Jérusalem et le mot paix partagent la même racine. Et en effet la paix est la vision de Jérusalem. Comme il est dit dans le Livre des Psaumes: Priez pour la paix de Jérusalem: Que ceux qui t’aiment jouissent du repos. Que la paix soit dans tes murs et la tranquillité dans tes palais. A cause de mes frères et de mes amis, Je désire la Paix dans ton sein. A cause de la maison de l’Éternel, notre Dieu, Je fais des vœux pour ton bonheur. Pendant votre visite historique en Terre Sainte, vous nous avez remués avec la chaleur de votre cœur, la sincérité de vos intentions, votre modestie et vos façons gentilles. Vous avez touché les cœurs des gens indépendamment de leur foi ou nation. Vous êtes apparu comme un médiateur de fraternité et la paix. Nous avons besoin de toute l’inspiration qui accompagne votre caractère et votre façon. Merci. Deux peuples, les Israéliens et les Palestiniens, se languissent toujours de la paix. Les larmes de mères sur leurs enfants sont toujours gravées dans nos cœurs. Nous devons mettre fin aux cris, à la violence, au conflit. Nous avons tous besoin de la paix. La paix entre égaux. L’invitation que vous nous avez faite à vous rejoindre pour cette cérémonie importante pour appeler à la paix, ici dans les Jardins du Vatican, en présence de leaders juifs, chrétiens, musulmans et druze, reflète gracieusement votre vision de l’aspiration que nous partageons tous: La Paix. A cette occasion de déplacement, débordant d’espoir et pleins de foi, puissions nous élever avec vous, Votre Sainteté, un appel pour la paix entre les religions, entre les nations, entre les communautés et entre hommes et femmes. Laissons la vraie paix devenir notre héritage bientôt et vite. Notre Livre des Livres invoque sur nous le chemin de la paix, nous demande d’œuvrer dur pour sa réalisation. Il est dit dans le livre des Proverbes: Ses chemins sont des chemins de grâce et tous ses chemins sont la paix. Ainsi doivent être nos chemins. Des chemins de grâce et paix. Ce n’est pas par hasard que le Rabbin Akiva a capturé l’essence de notre Torah dans cette phrase: Aime ton prochain comme toi-même. Nous sommes tous égaux devant le Seigneur. Nous faisons tous la partie de la famille humaine. Car sans paix, nous ne sommes pas complets et nous devons encore réaliser la mission d’humanité. La paix ne vient pas facilement. Nous devons travailler dur avec toutes nos forces pour l’atteindre. L’atteindre bientôt. Même si cela exige sacrifice ou compromis. Le Livre des Psaumes nous dit : Qui aime la vie et désire voir beaucoup de bons jours, qu’il garde sa langue du mal et ses lèvres de dire des mensonges. Détourne toi du mal et fait le bien, cherche la paix et poursuit la. C’est à dire, qu’il nous est demandé de chercher la paix. Toute l’année. Chaque jour. Nous nous saluons avec cette bénédiction. Shalom. Salam. Nous devons être dignes de la signification profonde et exigeante de cette bénédiction. Même quand la paix semble éloignée, nous devons la poursuivre pour s’en rapprocher. Et si nous poursuivons la paix avec la persévérance, avec la foi, nous l’atteindrons. Et elle durera par nous, par nous tous, pour toutes les fois, toutes les nations, comme il est écrit: « Ils battront leurs épées dans des socs de charrue et leurs lances dans l’émondage de crochets. La nation ne prendra pas d’épée contre la nation, ils ne recevront plus de formation pour la guerre désormais. L’âme est enchantée à la lecture de ces versets de la vision éternelle. Et nous pouvons, ensemble et maintenant, Israéliens et Palestiniens, convertir notre noble vision en réalité de bien-être et de prospérité. Il est dans notre pouvoir d’apporter la paix à nos enfants. Ceci est notre devoir, la mission sainte de parents. Laissez-moi terminer avec cette prière: Lui qui fait la paix dans le ciel fera la paix sur nous et sur tout Israël et sur le monde entier et nous laissera dire Amen ».
Enfin, le président de l’État palestinien, M.Mahmud Abbas a dit: « C’est en effet un grand honneur pour nous de rencontrer de nouveau Votre Sainteté, Pape François, en réponse à votre gentille invitation de partager votre présence spirituelle et noble et d’écouter votre avis et votre sagesse de cristal, qui émane d’une conscience du cœur, une conscience vibrante, aussi bien qu’un sens éthique et religieux élevé. Je remercie votre Sainteté du fond du cœur d’avoir organisé cette importante rencontre ici, au Vatican. De même, nous apprécions fortement votre visite en Terre Sainte palestinienne et en particulier dans nos villes saintes de Jérusalem et de Bethléem; la ville d’amour et de paix et le berceau de Jésus Christ. Cette visite est une expression sincère de votre croyance en la paix et une véritable tentative de réaliser la paix entre Palestiniens et Israéliens. O Dieu, nous vous louons à jamais de faire de Jérusalem notre porte pour le ciel. Comme il est dit dans le saint Coran: Gloire à Lui qui a fait que son serviteur voyage de nuit du lieu de culte sacré au lieu de culte le plus éloigné, dont Nous avons béni les alentours. Vous avez fait de ce pèlerinage et de cette prière en ce lieu, les meilleurs actes que les fidèles puissent faire en votre honneur et vous avez exprimé votre promesse par ces paroles: Laissez-les entrer dans le Masjid comme ils l’ont fait pour la première fois. Dieu Tout-puissant a dit la vérité. O Dieu du Ciel et de la Terre, acceptez ma prière pour la réalisation de la vérité, de la paix et de la justice dans mon pays la Palestine, dans la région et dans le monde entier. Je vous prie, O Seigneur, au nom de mon peuple, le peuple de Palestine, musulmans, chrétiens et samaritains, qui désire ardemment une juste paix, une vie digne et la liberté; je vous prie, O Seigneur, de rendre prospère et prometteur l’avenir de notre peuple, avec la liberté dans un état souverain et indépendant, Accordez, O Seigneur, à notre région et à son peuple, la sécurité, le salut et la stabilité. Sauvez notre ville bénie Jérusalem; la première Kiblah, la deuxième sainte mosquée, la troisième des deux saintes mosquées et la ville de bénédictions et de la paix avec tout ce qui l’entoure. La réconciliation et la paix, O Seigneur, sont notre but. Dieu dans son Livre saint a dit aux fidèles: Faites la paix parmi vous. Nous voilà, O Dieu, inclinés à la paix. Rendez fermes nos pas et couronnez nos efforts et nos initiatives de succès. Vous êtes le promoteur de la vertu et celui qui prévient le vice, le mal et l’agression. Vous dites et vous êtes le plus véridique: Et s’ils penchent pour la paix, inclinez-vous aussi vers elle et ayez confiance en Allah. Voici! Il est celui qui écoute, celui qui connaît. Comme dit le Prophète Mahomet: Diffusez la paix parmi vous. Aujourd’hui, nous réaffirmons ce que Jésus Christ a dit s’adressant à Jérusalem: Si seulement vous aviez connu aujourd’hui le chemin de la paix! Laissez-nous aussi vous rappeler les paroles de saint Jean-Paul II quand il a dit: Si la paix est réalisée à Jérusalem, la paix sera témoignée dans le monde entier. Simultanément, dans notre prière aujourd’hui, nous avons proclamé à plusieurs reprises pour ceux qui s’engagent pour la paix: Bienheureux les ouvriers de paix, et Demandez la paix pour Jérusalem, comme il est écrit dans les Saintes Écritures. C’est pourquoi, nous vous demandons, O Seigneur, la paix en Terre Sainte, en Palestine et à Jérusalem ensemble avec votre peuple. Nous vous invitons à faire de la Palestine et de Jérusalem en particulier une terre sûre pour tous les croyants et un lieu de prière et d’adoration pour les adeptes des trois religions monothéistes, le judaïsme, le christianisme, l’islam, et pour tous ceux qui désirent la visiter telle qu’elle est établie dans le saint Coran. O Seigneur, Vous êtes la paix et la paix émane de Vous. O Dieu de Gloire et de Majesté donnez-nous la sécurité et la sûreté et soulagez la souffrance de mon peuple dans la patrie et la diaspora. O Seigneur, ramenez une paix juste et totale à notre pays et à la région pour que notre peuple et les peuples du Moyen-Orient et le monde entier puissent jouir du fruit de la paix, de la stabilité et de la coexistence. Nous voulons la paix pour nous et nos voisins. Nous cherchons la prospérité et la tranquillité d’esprit pour nous et pour les autres de la même façon. O Seigneur, répondez à nos prières et donnez succès à nos initiatives parce que vous êtes le plus juste, le plus miséricordieux, Seigneur des mondes. Amen ».
19 h 03 min
si les mots sont des jeunes filles …
http://www.fabula.org/colloques/document1726.phphttp://www.fabula.org/colloques/document1726.php
sur fabula
Politique et rhétorique dans Les Fleurs de Tarbes de Jean Paulhan
J. Michelet
je suis paranautiste au 47 ème degré sans doute
pas sûr, à voir le temps qu’il te faut pour te torcher avec un DSM on peut imaginer autre chose..
Gégé dit: 10 juin 2014 à 19 h 04 min
Si, ça signifie quelque chose, tête de paf, mais tu n’es pas concerné.
Alba, ne te gêne pas. Quelque chose me dit que tu es le prochain sur la liste et que ça va être du lourd.
Si tu savais, tu en dirais bien davantage…
Chaloux dit: 10 juin 2014 à 19 h 35 min
Si, ça signifie quelque chose, tête de paf, mais tu n’es pas concerné
AH, super !
Vous pouvez nous expliquer ?
Gégé dit: 10 juin 2014 à 19 h 47 min
Pas le temps, je sors, mais vous ne comprendriez pas, Gégé…
Gégé dit: 10 juin 2014 à 19 h 47 min
Il y a certaines choses dont on ne parle pas avec le premier duconneau venu, c’est à dire avec toi. Mon grand.
Bonne soirée,
c’est allah l’plus grand gégé épicétou
(comme dirait ce pauvre Bouguereau qui doit être en train se tamponner les joues au Synthol).
Et de se passer le « cyclope » à la préparation H.
Pablo75 dit: 10 juin 2014 à 19 h 03 min
« Et BHL d’ajouter : « Pour les écrivains dont je suis, il y a cette certitude que c’est en s’installant à l’ombre des mots qu’on a une chance de changer les choses. »
Ça va être dur de battre BHL pour le Prix de la phrase la plus ridicule de l’année 2014.
Pari relevé, Pablo.
(C’est vrai que ça va être dur.
J’ai encore 6 mois).
Planté sur Saint-Simon, planté sur Cervantes,
dure journée pour Chaloux.
Allez, sûr qu’il va revenir dans le sujet et tenter sa chance avec Proust.
« Pour les écrivains dont je suis, il y a cette certitude que c’est en s’installant à l’ombre des mots qu’on a une chance de changer les choses. »
Parfois je me dis que n’étant pas écrivain, j’ai de la chance… trallallero…
« quelque chose d’un Brad Pitt norvégien »
Espérons-lui la même compagne. Jolie, et tout, et tout.
http://www.rfi.fr/europe/20140610-angelina-jolie-william-hague-john-kerry-sommet-viol-arme-guerre/#./?&_suid=140242591353108754321150358977
Si certains n’aiment pas être taquinés, qu’ils se signalent. Ce n’est pas plus compliqué que ça.
(C’est vrai que ça va être dur.
J’ai encore 6 mois).
Sans compter qu’il faut penser à la tenue pour la remise des prix ..
Bon, j’ai vu que le Boug’ voulait lancer le chapeau à plumes et autres boas fous (à la Louis XIV).
Oh non, sans la perruque.
Bon,
je veux bien organiser l’événement,
il suffit que chacun me donne son tour de TÊTE.
C’est vrai que c’est un peu indiscret
et peut-être va-t-on avoir des surprises ..
cesse de te cacher à l’ombre d’une petite police verdana dédé..
dure journée pour Chaloux
..ho putain jme rendais pas compte a quel point il avait donné..homérique à entamer la falaise
en plus désespéré :comme qui ? surement pas comme un mientienrienlien
http://www.courrierinternational.com/article/2014/06/10/les-amplis-des-amphibiens
..par contre dédé est resté pépère dans son vaisseau mère à se servir des pinacolada au lait de schmol de la planète gluton
tiens renfield..un cadeau pour toi..pour te souvenir que t’es seph de 1492..comme quoi tout ces machins là c’est toujours plus gr!t en vrai
http://ridiculouslyinteresting.com/2011/09/06/agnes-richters-embroidered-straightjacket/
Ce soir j’ai pleuré en apprenant que le journal de bord de Jean-Marie Le Pen avait été supprimé du site officiel du Front national.
J’ai 55 ans, je suis cantalou de souche, je vote pour M. Le Pen depuis que je suis en âge de voter. Je ne comprends pas cette décision, c’est une faute politique grave qui met en péril l’unité du parti.
Vive le président d’honneur du FN ! Vive les grille-pains ! Vive Notre Seigneur Jésus Christ !
je veux bien organiser l’événement,
La réunion des têtes de nœud?
Elle se hausse du col!
veuillent les erdéliens et P.Assouline pardonner mes véeités, mais à cette heure , où je quitte une belle ukrainienne (traductrice:technique) j’aurais préféré à struggle un strudel
il suffit que chacun me donne son tour de TÊTE.
C’est vrai que c’est un peu indiscret
Personne en fera un fromage, promis, juré!
dédé s’envole pas pour le Brésil ?
tenez les culs nus, battez-vous pour vous les mettre à l’ombre: en norvège on a des tricoteuses et des tisserandes super hyper douées
http://archeo.blog.lemonde.fr/2014/06/03/le-plus-vieux-pantalon-du-monde/
P.Assouline, je n’aime pas trop les mots comme struggle qui commencent ps ce désordre alphabétique : str au lieu de rst comme reste
« D. le vrai, non pas l’une des pâles imitations sévissant sur ce blog dit: 10 juin 2014 à 19 h 13 min
J’aime taquiner ceux qui le désirent, mais je suis au fond de moi un artisan de paix et d’amour, comme certains l’ont compris depuis longtemps. »
Vous savez, hamlet, il est extrêmement difficile d’essayer de se faire passer pour un catho réactionnaire.
Ceux qui l’ont été, eux-mêmes ou par leur famille, repèrent immédiatement l’imposture.
Pourquoi?
C’est un bon sujet.
« Il faudrait y mettre des étudiants (si possible impécunieux et méritants), tellement c’est historique et complexe ».
C’est comme moi, accueilli à bras ouverts par les néo-hanbalites ou les Loubavich.
Au bout d’un moment la méfiance s’installe.
Alors, je décroche et vais draguer ailleurs, spirituellement s’entend.
Es ist so.
Ce n’est pas pour vous décourager, car vous êtes constant et appliqué (ce qui est quand même la moitié de l’histoire).
…
…niveau probable!,…avec un bon pinard!,…
…des histoires au genre » le magnifique « ,…encore à essorer !,…
…
…un style comme une mode rock-pop!,…va y c’est ton tour » écrit comme bon te semble « !,…
…Ho!,…& tout çà!,…mon Dieu queue c’est horrible!,…j’en ai les larmes aux yeux,…
…vous travaillez en trois équipes !,…Oui!,…cette semaine je fait le trottoir le long de la ligne T.G.V.,…c’est rapide!,…le coup de vent!,…
…et tu fait quoi!,…en kilt,…de la pub du cantal!,…Tonnerre de Brest!,…j’ai raté ça!,…
…et bien autre chose!,…
…c’est Mr. qui apporte le plus gros salaire,…parce que Madame le vaut-bien à ses heures!,…y met du sien!,…
…en équipe !,…les emplois factices!,…vous rentrer chez vous pour votre couverture,…d’état des lieux!,…
…
…le chômage au plein emploi,…la boutique arrière de la vitrine!,…C° & Trust’s,…
…vous avez gagné un voyage aux milles et une nuits!,…j’en revient bouche bée!,…
…etc!,…les gags possibles en ces jours de populismes choisis,…c’est incroyables!,…
…etc!,…
A oRADOUR mR gAZ rappelle l’idéologie de mort
(ou qql chose dans ce genre; il sait pas parler;;;)
« Les Filles de la Charité arrivèrent à Bétera en 1888 pour une mission éducative à la Maison d’enfants qui était sous le patronage de Notre-Dame du Carmel…/
Le 21 juillet 1936, les Sœurs furent explusées de la maison; d’abord elles se réfugièrent dans le village; ensuite on les obligea à partir. Elles trouvèrent une pension à Valence où elles furent reconnues et arrêtées. Cinq jours de prison et de tortures morales furent suffisants pour affronter le martyre… Le 9 décembre 1936, elles donnèrent leur vie et versèrent leur sang… »
(source ‘Les martyrs sont.. des foyers de lumière qui éclairent notre monde’/2013)
27 Filles de la Charité et une jeune Enfant de Marie -pour ne parler que d’elles-, furent exécutées durant ces années de Front.Popular
dont notre (hélas) ministre premier du dehors, paraît être de jour en jour l’image spectrale.
O Seigneur, répondez à nos prières et donnez succès à nos initiatives parce que vous êtes le plus juste, le plus miséricordieux, Seigneur des mondes. Amen ».(D)
Y a du Bossuet chez D. Ou alors de la sainte Thérèse de Lisieux. Ou alors sainte Thérèse de Lisieux fécondée par Bossuet. Ou alors le curé d’Ars sodomisé par un âne du Poitou.
Et Cervantes 57 quand la première partie de Don Quijote a été publiée. Et 68 quand est sortie la deuxième (ou 55 et 66 – si c’est vrai qu’il est né en 1549 et pas en 1547, comme l’affirment certains « cervantologues » hétérodoxes) (Pablo 75)
Cervantes n’a pas d’âge. C’est l’éternel Juif errant, comme nous l’a expliqué Widergänger un jour qu’il avait un peu trop abusé du vélo électrique. Il paraît d’ailleurs que Le Pen a opiné. Il a même écrit à Widergänger : » OK pour Cervantes; il sera de la prochaine fournée, avec Patrick Bruel. »
Laurent Fabius s’endort en pleine réunion à Alger
existentiel, docteur
qu’est-ce que ce serait s’il avait réussi !)
c’est justement ce que se demandent les -je ne nommerai personne mais je n’en pense pas moins
Daaphnée dit: 10 juin 2014 à 21 h 01 min
chacun me donne son tour de TÊTE.
On peut pas avoir des trucs comme Laurence d’Arabie ? Ca m’avait bien plu… Avec un poignard de chez Cartier !
et pas en 1547, comme l’affirment certains « cervantologues » hétérodoxes) (Pablo 75)
j’en a marre de tous ces flottements
« Martin Andler :
La science au risque de l’erreur : le cas des mathématiques
David Vann aurait-il trouvé le salut avec le succès de Sukkwan Island, paru aux éditions Gallmeister et qui vient de recevoir le Prix des lecteurs de L’Express 2010 (Des Journées)
Je suppose que tout le monde ici a lu « Sukkwann island », de David Vann. Si des fois certains ne l’avaient pas lu, ils ne savent pas ce qu’ils perdent. Question à 20 centimes d’euro : quel(le) romancier(e) français est capable d’écrire un chef-d’oeuvre de ce calibre ? de rivaliser avec un Cormac McCarthy, avec un Jim Harrison, avec un Pynchon, avec un Bret Easton Ellis et j’en passe ? La France serait-elle devenue un pays trop petit, trop étroit, trop étriqué pour susciter de pareilles pointures ? Damned : voilà que je verse dans le pessimisme et le dénigrement à la Widergänger. Je lis trop ses posts (en douce et sans l’avouer à personne).
Dire du mal de Passou est une honte ! (JC)
Tartuffe !
en fait de cervantologie, hypocrites, vous pensez la servante thrace , celle qui rit dont voici le blog
http://sedenion.blogg.org/
et maintenant, basta
Onésiphore de Prébois dit: 10 juin 2014 à 22 h 53 min
Tartuffe !
Mais… Passou son habit l’étoffe elle est pas moelleuse ! Le pauvre homme…
tout, rien?
Godard :
« « Je lis de temps en temps vos articles. Je trouve que les critiques d’art parlent encore, de temps en temps, de l’oeuvre, alors que les critiques cinéma parlent surtout de la personne. Les critiques d’art se réfèrent à quelque chose, encore ; les autres se réfèrent à rien… ou à tout… »
dans le monde
Nous vous invitons à faire de la Palestine et de Jérusalem en particulier une terre sûre pour tous les croyants et un lieu de prière et d’adoration pour les adeptes des trois religions monothéistes, le judaïsme, le christianisme, l’islam, et pour tous ceux qui désirent la visiter telle qu’elle est établie dans le saint Coran.
—
Comment ne pas voir dans pareille ridicule l’échec du projet religieux, monstrueux mensonge qui n’a de justification que le cadre complètement fantasmatique dans lequel il maintient les esprits faibles, fragiles et faussés.
La relativité des fois est le déni même de leur légitimité.
Jerusalem est une ville trois fois mal-sainte, trois fois malsaine, plus une une pour la pollution.
Même les ricaneurs de ce lieu tiennent des propos moins imbéciles, c’est dire.
Les travailleurs immigrés chinois non-chrétiens, – juifs ou -musulmans sont bien entendus exclus de la protection « divine ». Le catholicisme, c’est l’universel pour les siens.
ueda m’a démasqué. Je sais pas comment il a fait.
Ce type est d’une grande finesse.
Encore pire : les experts . . .
Sigmund, ce n’est pas parce que rien ne vous a été révélé pour une raison que j’ignore et sur laquelle je n’ai à prononcer aucun jugement, qu’il faut faire de votre cas une généralité.
Je vous signale, Sigmund, que sur cette terre vous faites partie de la petite minorité des mécréants et qu’il n’y a pas de raison d’en être fière. Ce n’est pas parce que la densité de mécréants est dense en Europe qu’elle est dense à une plus grande échelle. Et toc.
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