Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Vous avez encore l’été pour vous entraîner à prononcer le nom de Karl Ove Knausgaard. Ces dernières semaines, il était difficile au lecteur de la presse littéraire anglaise et américaine d’échapper au « Proust norvégien » ainsi qu’on le présente généralement. Il s’impose partout, comme avant lui un Bolano ou un Murakami, ; sauf que lui le fait avec d’autres moyens. C’est peu dire qu’il a fait sensation. Il y a deux jours, il y avait foule pour l’écouter à Brooklyn ; bientôt il sera à Varsovie où l’accueil sera probablement égal. Les plus grands journaux ont donné le la. Les articles qui lui sont consacrés en abondance sont tous incroyablement longs et détaillés, comme s’ils se voulaient à la mesure de son opus. Les critiques rivalisent de superlatifs à son endroit ; rares sont ceux d’entre eux qui mettent un bémol.
Le jour où il a constaté que sa femme l’avait quitté et qu’il venait de dépasser les 100kgs, il quitta la Norvège pour s’installer en Suède, se mit au jogging, collabora à une nouvelle traduction de l’Ancien Testament en norvégien, se remaria avec une amie de jeunesse maniaco-dépressive et éleva ses quatre enfants tout en écrivant sa grande œuvre. Min Kamp est son combat pour écrire son livre à la recherche de sa vérité. Cette fresque autobiographique en six volumes, parue en Norvège entre 2009 et 2011, ne se veut rien d’autre qu’un racontage de mézigue. 450 000 exemplaires y ont été vendus ce qui est considérable pour un pays qui compte à peine plus de 5 millions d’habitants. Depuis, l’auteur est accablé de prix littéraires chez lui comme à l’étranger, à commencer par le prix Brage qui est le Goncourt norvégien.
La chose a commencé à paraître dans une vingtaine de pays, suscitant une curiosité et, le plus souvent, un enthousiasme et une ferveur inouïs. En France, Denoël a publié le premier tome il y a deux ans. La Mort d’un père est le récit d’une enfance de souffrance et de martyr, minée par l’humiliation et la culpabilité, dans la terreur d’être moqué par son père pour ses larmes même, spectre qu’il évoque à travers l’image d’un Christ en croix la tête couronnée d’épines, sa madeleine semble-t-il. L’adolescent qu’il fut raconte ce que c’est d’être le fils d’un homme tyrannique, violent et alcoolique, traînant ses dernières années dans la déchéance la plus totale, pataugeant dans sa pisse, sa merde, sa crasse auprès de sa propre mère incontinente. Amazon conseille de l’offrir pour la fête des pères avec un sens de l’à-propos qui n’appartient qu’aux algorithmes. Le tome suivant paraîtra en France à la rentrée sous le titre Un Homme amoureux. L’entreprise est ambitieuse, riche, déroutante, hors-norme sans aucun doute. Mais encore ?
L’auteur, aujourd’hui âgé de 45 ans, se raconte avec un souci d’exhaustivité qui laisse perplexe car on ne lui en demande pas tant, d’autant que l’intérêt de son quotidien de 1968 à nos jours est, comment dire, inégal (je n’ai lu que La mort d’un père dans la traduction française de Marie-Pierre Fiquet, ainsi que A Man in love dans la version anglaise de Don Bartlett, mais il faudrait lire l’ensemble pour en juger). Tout y passe de ce que fut sa vie, au plus intime de ce qu’il a vécu, quels que soient les dégâts annoncés, au service d’un vrai projet littéraire. Mais peut-on tout raconter ? Sa famille n’a pas eu l’air trop d’accord, surtout du côté paternel. Elle lui a même fait rudement savoir par voie de presse que ce grand déballage la débectait quelque peu. Quatorze membres de ladite famille ont dénoncé « De la littérature de Judas » dans une lettre ouverte publiée dans la presse, après que les reporters soient partis à la recherche de chacun de ceux mis en cause par l’écrivain (il n’y a qu’une seule famille Knausgaard dans toute la Norvège). Le parfum de scandale n’a pas été étranger à son succès. Sa mémoire lui joue des tours, ce qu’il reconnaît volontiers. Ce qui ne poserait guère de problème si le statut de son livre était clair ; or si il a bien été présenté aux Norvégiens comme un roman, c’est avant tout par précaution à la demande des avocats.
Il semble que nombre de ses proches l’aient fui, ce qui ne l’a pas atteint dans la mesure où il place la littérature au-dessus de tout, du moins ce qu’il estime être son authenticité. A croire qu’il a conclu un pacte faustien avec le diable, quitte à tout perdre sauf l’intégrité de son oeuvre. Même si sa sincérité s’est quelque peu émoussée d’un tome à l’autre, les avocats de son éditeur veillant au grain en lui demandant d’être moins brutal. Comme il n’est pas avare d’interviews, révélant une pensée d’une étonnante platitude, on ne lui fera pas de procès d’intention ; mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense. Son rapport à la fiction pourrait se résumer à cela : la littérature, c’est lorsqu’on a réussi à se débarrasser de tout principe esthétique ou artistique pour s’en tenir au ressouvenir de ce qui s’est vraiment passé. Ce « tout ou rien » serait son absolu de l’écriture, et ce serait lui faire injure de lui faire le coup du « Je est un autre ». C’est sa confession et rien d’autre. Un échantillon de son style ? Lisez cette digression sur le cou qui vient de paraître dans The Paris Review.
Il y a effectivement quelque chose d’universel à monter ses meubles Ikéa tout en s’interrogeant sur le sens de la vie. D’où le succès interplanétaire d’un norvégien proustisant qui se contente de raconter la sienne. A propos, pourquoi Proust ? Parce qu’il est long et que la vie est courte. On nous avait déjà fait le coup dans les années 70 quand Anthony Powell fut présenté comme le Proust anglais, au motif que A Dance to the Music of Time, le cycle romanesque en douze volumes dont il venait d’achever la publication, était long et mélancomique. Un critique a été jusqu’à établir point par point ce qui rapproche et ce qui distingue Proust et Knausgaard… A ceux qui se demandent comment il peut consacrer une cinquantaine de pages à raconter un goûter d’enfants, on répond que Proust en consacre une dizaine d’emblée à dire son impossibilité à trouver le sommeil. Un critique anglais ayant remarqué que My Struggle (3622 pages à peine) était long de six volumes, alors que A la recherche du temps perdu en fait sept, faut-il en conclure que Knausgaard n’est pas Proust, mais presque ? On en est là.
On ignore quelles furent ses lectures mais on sait qu’il paie volontiers sa dette à Thomas Bernhard. L’influence ne saute pas aux yeux. On a même parlé à son propos d' »existentialisme nordique« . Mais où vont-ils chercher tout cela ! Sa phrase est longue, digressive, clichesque, détaillée, énumérative, hyperréaliste, conçue dans une logique d’inventaire. Il privilégie le gros plan sur la vue d’ensemble., et s’emploie à dépeindre son quotidien dans toute sa monotonie, en répétant par exemple la description des tâches ménagères que son frère et lui exécutent à la mort de leur père, après avoir constaté que la littérature ne le fait jamais. Du compte-rendu de ses travaux et de ses jours minute par minute, il ressort convaincu d’avoir repoussé les frontières du récit autobiographique jusqu’à des territoires jamais explorés avant lui. Cela se veut le rapport extraordinaire d’une vie ordinaire. Comme si l’exposition de l’ici et maintenant allait lui permettre d’exorciser le réel. Les événements rapportés y semblent indifférenciés, hors de portée de toute hiérarchie. Tout se vaut, l’essentiel et le superflu, l’évocation de sa baignoire et un vers de Paul Celan, la liste des courses à faire et Les Mots et les choses de Michel Foucault. Mais est-il vraiment indispensable de consacrer des pages à raconter comment il a finalement échouer à apprendre à jouer de la guitare quand il était jeune (qu’est-ce que ce serait s’il avait réussi !) ? Knausgaard explique son succès par la banalité même de son propos, mais une banalité non filtrée par la littérature, entendez : les artifices de la fiction, dans laquelle les lecteurs se retrouveraient mieux. Il est vrai que tout une page sur les vertus de l’Ajax multiusages, quand lui et son frère s’emploient à nettoyer l’appartement de leur père, favorise une identification maximum. Si encore l’Ajax en question était transcendé par quelque chose de plus haut que lui, en fils de Télamon et Péribée, ou en équipe de foot légendaire, mais même pas : l’Ajax n’intervient qu’en tant que tel, aussi platement qu’un nettoyant à l’ammoniaque qui n’est que ce qu’il est.
Min Kamp est logiquement devenu My Struggle dans la version anglaise, mais l’éditeur allemand a curieusement renoncé à Mein Kampf qui s’imposait, allez savoir pourquoi. Pour leur chance, Mon combat ne dit rien aux Français. Quant à comprendre la nécessité d’un tel titre, il faudra attendre la parution du tome 6 : bien que, pour l’essentiel, il y commente la réception houleuse des précédents volumes et leurs conséquences sur son entourage, l’auteur consacre 400 pages à un certain Hitler. Ainsi, Anders Breivik rencontrant le point Godwin, la boucle est bouclée. Ne manquait plus qu’une « gueule », ce qui ne gâte rien pour un jeune écrivain connu pour sa notoriété. C’est celle d’un acteur. On croirait que ces deux-là sont des jumeaux séparés à la naissance : quelque chose d’un Brad Pitt norvégien ou d’un Patrick Swayze scandinave mais en plus torturé, plus désespéré.
L’histoire littéraire n’est pas avare de grands romans où, en apparence, il ne se passe rien. Sauf que tout y advient quand rien ne se passe : un univers surgit, des personnages prennent forme, une sensibilité se dessine, une sensation du monde se précise petit à petit… Alors que là, rien. Du moins rien se produit dans l’écriture, l’analyse des sentiments, la perception des émotions, le rendu d’un paysage. Knausgaard, morne plaine. C’est d’un ennui sans qualité, car on connaît des ennuis sauvés par l’art. Même ceux qui critiquent la médiocrité de ses métaphores reconnaissent leur addiction à cette suite de livres, de l’ordre de celle qui les attache à certaines séries télévisées qu’ils se procurent en DVD par kgs de saisons. Difficile de dire si c’est bon ou pas, mais impossible de s’en déprendre. Une drogue qui réussit à vaincre et diluer l’ennui. Ceux qui en parlent disent qu’ils ne le lâchent pas. A commencer par des écrivains tels que Zadie Smith, Jonathan Lethem, Jeffrey Eugenides, Hari Kunzru qui ne se privent pas de le faire savoir. Ainsi devient-on l’auteur-favori-de-mon-auteur-favori, génial coup de marketing, d’autant plus efficace qu’il fut spontané.
Karl Ove Knausgaard s’est mis à son prochain livre, plus proche du genre fantastique, sous la double influence de Borges et Calvino. Une histoire dans laquelle il ne parle pas du tout de lui.
(Photos David Sandson, Daniel Nilsson et D.R.)
1 296 Réponses pour Karl Ove Knausgaard, Proust norvégien, phénomène de société
Ce n’est pas un hasard si j’ai fait le millième commentaire. En effet 1000 = 250 / 4.
250 est mon âge et 4 le nombre de doigts que je possède à chaque main. Je suis parfaitement sérieux en écrivant ceci, même si je prends des risques une fois encore.
bouguereau dit: 10 juin 2014 à 21 h 10 min
..ho putain jme rendais pas compte a quel point il avait donné..
Mon oeil… qu’il avait pas vu, ce Tartuffe.
Ce n’est pas pratique pour le piano, mais je compense par la vitesse et d’ailleurs le doigté est libre.
Maintenant je vous avertis que l’humanité approche à grands pas d’un point de non retour.
Je développerai longuement ce thème demain.
Nisse Riktig Størrelse
http://www.gnomeland.net/Gnome/origine-gnomes.php
le cadre complètement fantasmatique dans lequel il maintient les esprits faibles
‘tain, je viens de revoir un autel à ploucs qui m’avait déjà impressionné, z’ont encore atteint un sommet..
Le Coran ne parle pas du tout de Jérusalem.
Vous êtes bien ignorants, mes petits chéris. Et, pour cette raison, des gens extrêmement dangereux.
la densité de mécréants est dense en Europe qu’elle est dense à une plus grande échelle.
Ah…il me semble qu’en Chine elle est plus dense qu’ici.
Quant à vos amis en dévotion, les islamistes d’AQMI et autres taliban pakistanais, vous les comptez parmi les croyants, je suppose.
Degré zéro de l’être-au-mode.
…
…il faudrait!,…tout de même signaler un détail,…l’art comme la technique,…
…ne fait pas de politiques !,…
…
…vous possédé une oeuvre d’art,…une voiture,…
…celui qui paie se l’approprie au moment juste,…selon son plaisir personnel!,…
…
…alors!,…le gag du fürreur!,…& son art dégénéré!,…on n’impose pas une tendance,…
…
…évidement il y une question de choix,…celui qui préfère et achète pour éblouir sa galerie de relations par des couleurs et des formes,…
…ou en est la plus-valu dans l’existence!,…diamants, voitures, châteaux, et domestiques!,…à quels prix!,…
…l’oeuvre d’art à t’elle un syndicat!,…etc!,…Ah!,…Ah!,…existe à quelle éternité!,…
…
…bien sur, l’art est au dessus des partis-pris,…
…allez au plus pressé!,…l’art du milieu, chacun à son arbre & à sa pomme et ses goûts diversifiés!,…
…de toute façon!,…la politique par la force du plus grand-nombre,…n’est pas démocratique, ni raisonnable, et encore moins républicain, de là a l’oeuvre a façon académique,…
…c’est plus réel des oeuvres qui se succèdent dans la continuité à suivre et accompagné l’évolution des hommes,…dans le respect de l’accomplissement de leurs diversités!,…etc!,…merci!,…la tolérance!,…
…
moNde.
Eh bien, Marcel, ce poème? Nous sommes en manque.
http://www.norvege.no/News_and_events/literature/Trois-poetes-norvegiens/#.U5fhxMKKBdg
http://www.editions-du-murmure.fr/produit/66/9782915099812/Messaline%20Imperatrice%20et%20putain
Et d’arrêter ce marabout bout de ficelle car des tas de choses à faire autrement plus intéressantes, ces éditions ont un présentoir encore assez ludique …
http://www.editions-du-murmure.fr/produit/48/9782915099621/Esthetique%20de%20lejaculation
Cependant comme il fait chaud et que nous n’avons plus danino, il serait dommageable de nous priver en privé de l’entretien afférent qu’il faut bien souligner
http://www.letagparfait.com/fr/2013/02/19/entretien-antonio-dominguez-leiva/
et « incroyable » unbelieable
c’est un superlatif?
Ce qui reste assez incroyable est qu’il subsiste des choses que nous devrions encore ignorer dans la zone ombrée de cette culture mille et une fois ensemencée par des esprits curieux et performants.
De la docte ignorance (De docta ignorantia) est un ouvrage de Nicolas de Cues, écrit en 1440, consacré à Dieu (livre I), à l’univers (livre II) et à Jésus-Christ (livre III).
un coup de wiki
http://fr.wikipedia.org/wiki/De_la_docte_ignorance
7h13 super-relatif car nous sommes assis sur des découvertes en pelure d’oignon qui à la suite relègue la surprise au futur proche ou lointain.
http://www.youtube.com/watch?v=VLdoP4NHDVI&feature=player_embedded
7h23 Est-ce que ça veut dire qu’il nous faut, pour l’éternité, continuer d’inventer?
…
…la nature est ainsi faîte,…que toutes les personnes ne sont pas synchronisés de la même manière!,…ce qui fait le genre humain,…et la vie!,…
…et pas un monde mécanique comme un robot!,…
…chacun à ses détails importants,…
…dont le plus important, est le respect de la différence de jugement dans les appréciations individuels!,…et leurs suites logiques!,…
…comme une rhétorique à promouvoir,…des rôles de théâtres ou des pièces manquantes d’échiquier d’économie mondialiste!,…
…la transparence,…pour assurer quelle futur aux républiques!,… » le rêve éveillé ? « ,…
…etc!,…
ça peut vouloir dire que lorsqu’un psychanalyste théologien connu alla au mont Athos,les moines lui demandèrent de leur parler des femmes, ce qu’il raconta à ses étudiants
» le rêve éveillé » sans sortir de son entre-soi, ailleurs c’est la guerre qui n’a rien d’une idylle, un italique en nappage mouvant.
un foutugraphe très savant pour les chéris
Fontcuberta
https://encrypted-tbn3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTHEZ-OtXEcgkp4qLeeYc6kgJ1Q8HpvSFGcrNy0vD0Wzf5ogoUx&reload=on
Entre l’infinité de Dieu et la finitude de l’Homme, des mensurations?
mais aussi la répression, l’extermination
Irons-nous tous au Mont Pathos? bien plus accessible que le Mont Paradis, de quelques côtés que l’on se trouve.
Mont Pathos? bien plus accessible que le Mont Paradis
on ne vous le fait pas dire!
…
…depuis quand!,…les moines du mont Athos est une référence de pensée universelle globale,…
…une couvée de traditionaliste byzantins qui se régénèrent tout au plus avec la distanciation de la tolérance accordée!…
…
…introvertis de l’image à la connaissance du réel,…genre byzantins-arabes soumis & esclaves de miettes des sciences comme des parias ou autres genres d’intouchables dans tous les strates mondialistes!,…tiens!,…
…chambre simple double ou dortoir à l’Athos!,…string & bikini plage en vendange of course!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…
Oh zut, je ne connais pas le « psychanalyste théologien » (!) qui, en plus, va au Mont Athos ( !) Quelle anecdote !!! Mais qui est-ce ?
Nicolaus Cusanus ; Nicolaus de Cusa ; Nikolaus Krebs von Kues ; Nikolaus Chrypffs ; Nicola Cusano ; Niccolò Cusano ; Niccolò da Cusa… dès que possible… faudrait prendre un ticket pour sortir de Babel…
Je ne sais pas pourquoi quelqu’un a parlé de Nicolas de Cues, mais, selon Jacques Le Goff, c’était un penseur très en avance sur son temps (1401-1464). Il jette les bases de l’oecuménisme et de la tolérance religieuse…
(voir L’Europe est-elle née au Moyen Age? Points Histoire, page 239).
Savez-vous ce qu’est le « guet »?
…c’est une lettre de répudiation qui délie l’épouse des liens du mariage selon le droit hébraïque. Ce « guet » est obtenu généralement moyennant finance pour terminer un divorce religieux. Il est à l’entière discrétion du mari.
(voir L’Express en date du 28 mai 2014 « la guerre du guet » sur lequel je suis tombé par hasard…je ne savais pas qu’une telle chose pouvait exister en France en 2014 et se pratiquer réellement).
… Quand on tape « psychanalyste théologien » sur internet, on tombe sur deux occurrences, tenez-vous bien : M. LECUIT et M. VERGOTE. Disons que c’est Lecuit qui parle de Vergote ! Ca ne s’invente pas, des noms pareils. Ca se porte !
Quand même… je sais bien que la confusion des genres peut être fertile pour l’esprit humain, m’enfin, mélanger ainsi la théologie et la psychanalyse, c’est quand même revenir tout droit au bon vieux temps du confessionnal, non ?
« c’est quand même revenir tout droit au bon vieux temps du confessionnal, non ? »
Non.
revenir tout droit au bon vieux temps du confessionnal, non ?
y’en a plein vende sur internet à pas cher clopine, facilement démontabe, pense y pour la signature de « pot aux roses » ton prochain opus au salon du live
ach ! revoilà vieux bourrin bourré, bon courage à tous
ceux des petits patelins sont assez facilement démontabe et tiennent sur une remorque leclerc..jle sais..pour un « clopinetour » c’est valabe
ou une roulotte tiré par deux anes comme j’ai..la classe
faudrait prendre un ticket pour sortir de Babel…
..et pourquoi que kabloom y se décarcasse rénateau
m’enfin, mélanger ainsi la théologie et la psychanalyse, c’est quand même revenir tout droit au bon vieux temps du confessionnal, non ?Clopine.
Clopine ne confondons pas ignorance et idiotie…
La théologie faut-il vous le préciser n’ a rien à voir avec le confessionnal, la psychanalyse, plus grossièrement peut-être.
Liseuse d’Onfray, vous devriez exprimer ici moins de préjugés.
http://www.laviedesidees.fr/La-renaissance-de-la-metaphysique.html
La théologie faut-il vous le préciser n’ a rien à voir avec le confessionnal
..on licencie les marketters chez bouygue
» La distinction entre le sujet et l’attribut correspond à la différence métaphysique entre les choses individuelles (substances) et ce que nous en disons (les formes). On voit ainsi comment l’analyse du langage (entre le sujet et l’attribut) recouvre l’analyse ontologique (concernant les choses elles-mêmes). Cette sorte d’analyse permet à Geach d’insister sur l’erreur philosophique consistant à chosifier (réifier) les termes placés en prédicat. L’énoncé « Socrate est sage » encourage à parler de « la sagesse de Socrate » comme s’il s’agissait aussi d’une réalité dans le monde. Nous brouillons alors la différence ontologique entre ce qui existe réellement (les substances) et ce que nous en disons (leurs propriétés, les relations, les modalités), en faisant d’une description de quelque chose un sujet du discours. »
http://www.laviedesidees.fr/La-renaissance-de-la-metaphysique.html
Clopine, à propos de la théologie :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ologie
Bien à vous.
Quand on tape « psychanalyste théologien »
Clopine
Pour taper ça faut déjà être concon pas que d’une main épicétou
Merci du lien, Pierre Crayssac, et pardonnez mon ignorance, cependant… Cependant : comment concilier l’étude de dieu et l’appréhension de l’inconscient (ce qui est la marque de la psychanalyse – quelque chapelle qu’on fréquente), sans passer par l’idée de péché, ontologique à toute religion ??? Ca me semble aussi difficile à concevoir qu’oxymorique…
Clopine ne confondons pas ignorance et idiotie
y’en a qui z’y vont tête baissée épicétou
Si j’étais vous (vous tous) j’irais jeter un oeil sur la brève Facebook en haut à droite de ma page d’accueil, soit dit en passant…
… Bon, j’en viens, Pierre Assouline. J’étais déjà convaincue, notez… Il faudrait ajouter à cet article parfaitement illustratif de ce qui se passe (tristement) sur le web que les commentaires peuvent blesser les commentateurs eux-mêmes, pas seulement ruiner les sites et influencer la lecture des articles.
Ce qui serait bien aussi, ce serait de chercher des solutions autres que la fermeture des com’ ; par exemple : le tenancier du blog, admettons vous, n’ouvre les commentaires qu’aux participants acceptant de dévoiler leur identité au propriétaire, et adoptant une « charte de bonne conduite ». Tous ceux qui contreviennent à ces deux obligations : ouste.
Cela permettrait aux internautes venant sincèrement tenter d’échanger des idées d’échapper aux jeux du cirque journaliers.
Perso, une solution comme celle-là me réjouirait beaucoup – et je suis prête à signer une charte de bonne conduite interdisant toute attaque personnelle. Même en défense ? Ben, si Daaphnée (au hasard, hein) a signé la même charte, du coup, je n’ai plus besoin de me défendre ! Encore que se défendre en n’utilisant pas le même registre que l’attaquant, en s’interdisant, par exemple, les insultes et l’expression de racisme primaire, était un exercice comme un autre. M’enfin ce serait avec une joie infinie que je m’en abstiendrais, si je le pouvais…
sapré passou, le prestigieux blog à déjà connu l’époque des commentateurs diluants. Me souvenirs du Ramiel for instance qui vous engluait la communauté à coups de commentaires pour mollettes à souris. bougreau fait partie de la deuxième époque. le oueb est réservoir de haine, finkelkraut disait. l’est en train de peaufiner un gentil discours pour enterrer le Marceau.
Il faut dire que souvent les commentaires (…) sont stupides, ignorants
Tweet de Passou
D’où le ras le bol etc .. (voir ci-dessous!)
Mort, à 80 ans, du chef d’orchestre espagnol Rafael Frühbeck de Burgos, auteur d’une excellente intégrale des oeuvres de Manuel de Falla. Dans son dernier concert, à Washington, il y a trois mois, il a perdu connaissance pendant qu’il dirigeait.
« L’Amour sorcier », de Falla, avec l’Orchestre de la Radio danoise (il a du mérite de faire jouer « el amor brujo » à des Danois !).
…
…@,…Pierre Crayssac!,…nouveau pseudo,…
…
…seule métaphysique que la courtoisie peut accorder,…
…après les logiques d’algèbres,…
…c’est la force intérieure des substances à se régénérer dans les ères futures,…
…en cela, aussi les raccourcis antérieurs des connaissances globales qui limitent la pensée associée comme pour les fouines qui rôdent autour des poules ou le ver dans le fruit trop mûr!,…
…
…les faux-hommes du progrès, qui profitent des sciences pour leurs économies politiques,…
…sans hontes de s’approprier des ressources de la pensée des autres pour leurs bas de laines, sans ressentir aucune forces personnel que celle d’exploiter son monde,…
…genre employés de l’Union Européenne à l’€uro , administrations et lobbiyng,…religion du profit management,…
…
…et n’avoir aucune force lier à la transcendance du nombre d’or naturel lié et à n’être du futur,…qu’acteur improvisé à jouer des rôles de circonstance dans les futurs,…
…le genre la grenouille qui veut se faire aussi grosse que la vache!,…
…
…et là,…on retombe sur notre fabuleux Esope,…copier/coller par La Fontaine,…et autres poésies-morales,…pour dresser son serviteur,…au dessus de tout soupçon ministériable de pratiquer l’inverse des dix commandements,…
…de là !,…à la renaissance de l’anarchie planifié,…le futur à de ses tours de vis,…d’y être aux vendanges d’état,…en finalité des pressions d’esprits ( & cathodiques ) genre » morales & propaganda « ,…etc!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…d’un trait!,…envoyez!,…le dessin!,…
…
Sauf que, si les commentaires étaient supprimés ici, le nombre de clics serait divisé par deux ou trois.
serait divisé par deux ou trois.
Que dis-je ! Par cinq ou six : inutile de cliquer plusieurs fois pour lire le billet.
(source l’Union Ardennais)
Aurélie venue inaugurer (j’sais pas quoi) est prise à partie par des intermittents (du spectacle) pratiquant l’intégral…
EH BIEN;;; elle n’se démonte pas notre Filippettiiti, en bonne descendant d’antifaf italiens (dit-elle) elle ARGUMENTE et droit dans les yeux (elle ne baisse qu’une ou 2 FOIS LE REGARD;..(VOIR SES LIVRES D’AILLEURS tres sex;;;) ELLE SOUP7SE LES ARGUMENTS DES UNS ET DES AUTRES (oui elle parle même énormément avec ses mains…
Bref, Elle reste une des seules de la bande, à qui parfois je reste sensible cette petite Aurélie
Correction : par presque 200.
Mille commentaires par billet : environ 10 000 clics.
Cinquante lecteurs = 50 clics. Plus ceux des lecteurs qui viennent voir si le billet a été renouvelé.
La conversation, fût-elle sur le mode de la plaisanterie, n’est pas inintéressante; en revanche, la bêtise effarante et plâtresque de certains commentaires ..
Merci du lien, Pierre Crayssac, et pardonnez mon ignorance
Je n’ai rien à vous pardonner Clopine, je ne suis pas prêtre ni encore moins Dieu le Père!
Il s’agit d’expliquer et de s’expliquer.
En fait, les gens viennent ici pour lire bouguereau, s’offusquer de JC, détester Daaphnée, brocarder Clopine, charrier ueda, etc.
Vous n’avez rien à vous faire pardonner…désolé.(déjeuner et sport…)
détester Daaphnée
Non et je comprends aisément que cela vous dérange.
s’offusquer de JC, détester Daaphnée, charrier ueda
Sauf quand ces commentateurs sont JC, Daaphnée et ueda eux-mêmes, bien sûr.
@ Passou
« les commentaires des internautes sur les blogs ruinent la crédibilité des billets tant ils (les commentaires, bien sûr !) sont violents, à côté de la plaque, insultants, vulgaires, incultes. »
Vous ne croyez pas que ce qui ruine la crédibilité des billets dans certains blogs est plutôt le fait de ne pas éliminer le ramassis d’impuissants au cerveau en compote qui vont s’y défouler pour compenser leurs inguérissables frustrations dans la vraie vie en déversant leur diarrhée verbale quotidienne, puisque des méthodes pour s’en débarrasser existent?
Car, pour répondre à 12 h 16, on ne voit pas qui, en dehors de JC et ueda, ne déteste pas Daaphnée.
leur diarrhée verbale quotidienne:
HR, desjournées, rose, béré, clopine.
Le problème de la modération c’est que ça devient un grand n’importe quoi quand c’est confié à des contractuels sous-payés et délocalisés (sous l’ancien système, il ne faisait pas bon parler de l’Islam), et que c’est probablement une corvée assommante si elle est assumée par le responsable du blog.
Demander qu’on se montre juste et équitable avec la sottise et dans quelques cas la folie, c’est demander l’impossible (« lequel de ces posts est-il plus ou moins con »?, « J’en jette 50 ou j’en jette 500? »).
Il faudrait être un saint.
La conversation, fût-elle sur le mode de la plaisanterie Dafnée.
La vôtre est deezertement prévisible, sans aucune fantaisie et n’exerce aucune curiosité intellectuelle pour la/le lectrice ou lecteur.
( Prenez cela comme une critique constructive, bàv.)
« les commentaires des internautes sur les blogs ruinent la crédibilité des billets tant ils (les commentaires, bien sûr !) sont violents, à côté de la plaque, insultants, vulgaires, incultes. »
et c’est où ça ?
Qui est assez sotte pour se choisir « la voix de la vérité » comme pseudo?
Las! Une bêtissime toupie, probablement ..
roo clopine et lassouline nous font le couple à la léon féraillant sur les cochons..des mendiants ingrats épicétou
ueda dit: 11 juin 2014 à 12 h 25 min
Commenter ou répondre à bon escient, cela serait déjà pas mal.
L’excès de présence de certaines et certains les rend en fait inaudibles.
j’ai beau chercher je vois pas le lien..mais j’m’en fais une idée claire d’ici..hum..ha on voit bien qu’on est sur internet lassouline..du gringue sur les réseaux sociaux
La vôtre est deezertement prévisible
Quel dommage que vous ne m’ayez jamais pu (!) me donner la réplique !
Je sens que nous avons loupé des sommets d’érudion et de finesse d’esprit !
Commenter ou répondre à bon escient
C’est déjà (encore? toujours ??? ) votre problème, il est vrai ..
« les commentaires des internautes sur les blogs ruinent la crédibilité des billets tant ils (les commentaires, bien sûr !) sont violents, à côté de la plaque, insultants, vulgaires, incultes. »
Nous (de majesté) rappelons que ce propos n’est pas de passou mais pris dans l’article cité.
N’en déplaise à Clopine, passou ne semble pas prêt à fliquer la rdl.
Heureusement pour elle qui est systématiquement hors sujet.
Il faudrait faire des expériences.
Par exemple bannir les contributeurs les plus abondants (dont ma pomme).
On ferait le bilan 2 ou 3 mois plus tard.
Une nouvelle génération de commentateurs?
et c’est où ça ?
En haut de la page à droite, le Boug’
Nous (de majesté) rappelons que ce propos n’est pas de passou mais pris dans l’article cité
« y’en a des qui disent que vous êtes peut ête des cons vicieux..moi jme permetrais pas » ..sapré passou
plutôt que de relayer les conneries de slate et la démissions du populo pour une élections censitaire des consommateurs..lisez donc les attendus des tribunaux américains sur les applications de chat anonyme sur les mobiles..ils parlent de démocratie lassouline si si..et il se casse un peu plus la nénette que de faire relayer le biz
Karl Ove Knausgaard phénomène de société
Ah ben m * * * * alors.
biz..car en ce qui concerne la disqualitfications des commentaires.. »en masses »..c’est exactement de ce dont il sagit..comment faire sans en avoir l’honneur..ça srait beaucoup plus franc du collier et courageux que tu sois fendu d’un commentaire…sur ton blog
@ La voix de la vérité dit: 11 juin 2014 à 12 h 18 min
ne nous dites pas que vous avez cru à la réalité de Daaphnée, c’est un hoax comme D., un canular, une caricature (peut-être inventée par ueda, du reste)
Il faudrait faire des expériences.
Par exemple bannir les contributeurs les plus abondants (dont ma pomme).ueda
Epèpèpe comme vous dites, on est pas des cobayes!
Et à tout vous dire, vous n’êtes pas, loin de là, le plus gênant de conversation.
en masses »..c’est exactement de ce dont il sagit..comment faire sans en avoir l’honneur.
Oui, le Boug’, j’ai l’impression que PA victimise un chouïa ..
Et à tout vous dire, vous n’êtes pas, loin de là, le plus gênant de conversation.
zouz y calçonne..pasque ça rapporte..prends le pour un con
Oui, le Boug’, j’ai l’impression que PA victimise un chouïa ..
ça srait bat qu’il cause comme zouz « et si je mettrais mes liens de site de culs est ce que vous feriez plus gaffe..on essaie et on en reparle dans 3 mois ? »..
peut-être inventée par ueda, du reste
Oui, je suis sortie de sa cuisse virile et puissante .. comme Venus de celle de Jupiter.
Pfff !
Tu proposes quoi, bouguereau?
Quelle est la solution la moins pire?
Le laissez-faire?
(C’est ma position, mais faute de mieux, je n’ai pas le temps de voir ailleurs)
Le laissez-faire?
..avec un l majuscule..tu parles de lassouline ? oui forcément, il est chez lui quand même..il a des idées mais il les garde pour lui..à la cave avé les femmes nues..pas touche!
sa cuisse virile et puissante ..
Qui parlait ici-même de prévisibilité?
La voix de la vérité dit: 11 juin 2014 à 12 h 18 min
Vous pouvez ajouter mon pseudo à ceux « qui ne détestent pas Daaphnée ».
Il est vrai que, ne commentant que rarement, je ne compte pas…
Haïr, détester, aimer…
Curieux vocabulaire…
Haïr, détester, aimer
Curieux vocabulaire…
Un vocabulaire limité, probablement … comme les idées ..
likez, likez.
la ruine du petit commerce ?
« on ne lui fera pas de procès d’intention ; mais on est consterné lorsqu’il croit qu’il dit la vérité parce qu’il dit ce qu’il pense. »
Faut pas se tromper, y’a Ajax le grand, et Ajax le petit.
Tiens Brad Pitt de Norvège nous écrit encore.
A mon avis c’est pour tous ceux qui sont à pied.
Karl Ove Knausgård@KarlOveKnausgr1 · 13 h
if things arent what they seem, go see an ophthalmologist mate. And dont, under any circumstances, drive, because you might hit pedestrians.
Or just drive anyway. Fight the power!
Je précisais simplement, avec modération que Brad Pitt nous écrit de Norvège
Karl Ove Knausgård@KarlOveKnausgr1 · 13 h
if things arent what they seem, go see an ophthalmologist mate. And dont, under any circumstances, drive, because you might hit pedestrians.
Or just drive anyway. Fight the power!
A mon avis c’est pour tous ceux qui sont à pied.
Ajax le Grand
en grec Aias
Dans la légende mythologique grecque, héros de la guerre de Troie, fils du roi Télamon de Salamine. Cousin d’Achille et d’Ajax le Petit.
http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/Ajax_le_Grand/178259
« Il semble que nombre de ses proches l’aient fui, ce qui ne l’a pas atteint dans la mesure où il place la littérature au-dessus de tout, du moins ce qu’il estime être son authenticité. »
de qui on parle ?
Onésiphore de Prébois dit: 10 juin 2014 à 22 h 48 min
Attention, chef d’oeuvre JB.
C’est sur grand écran. C’est la far far west.
C’est époustouflant.
http://www.gallmeister.fr/livres/fiche/113/swarthout-glendon-homesman
Voilà, c’est fini pour aujourd’hui. Vous pouvez reprendre votre bavardage.
Voilà, c’est fini pour aujourd’hui. Vous pouvez reprendre votre bavardage.
Çà, ça pèse une plombe!
« Des commentaires sans aucun intérêt… si ce n’est de perdre foi dans l’humanité. » (lien du tweet à Passou)
Au contraire !
Perdre foi dans l’humanité est le début du salut individuel des meilleurs ….
le coup qui fait mouche dit: 11 juin 2014 à 13 h 41 min
Non, non, juste 30mn -à partir de 13H23- de « patientez, je cherche à comprendre où est l’argument de l’algorithme. »
Il y a une notion- philosophique, mettons- sur laquelle je vous ( enfin, heu, ceux qui savent de quoi ça cause) invite effectivement à réfléchir, c’est celle de : responsabilité.
Oradour sur Glane Circus
Eh, les connards, y a pas aut’chose à foutre que commémorer les vieilleries ?!
Sirius dit: 11 juin 2014 à 9 h 22 min
Savez-vous ce qu’est le « guet »?
…c’est une lettre de répudiation qui délie l’épouse des liens du mariage selon le droit hébraïque. Ce « guet » est obtenu généralement moyennant finance pour terminer un divorce religieux. Il est à l’entière discrétion du mari.
Ce que vous écrivez n’est pas tout à fait exact .
Le guet n’est pas une lettre de répudiation, c’est l’acte juridique par lequel le mari reconnaît la rupture du mariage , et c’est ce qui delie la femme et lui permet « d’etre libre pour tout autre » en toute compatibilité avec ses propres imperatifs religieux .
En fait le guet sanctionne lorsqu’il est signé l’accord des deux conjoints, ce qui ne correspond pas à la répudiation qui serait un acte unilatéral au détriment de la femme .
Le refus du guet est pour le mari l’expression religieuse du refus de la separation souhaitée par la femme, séparation que l’homme ne peut en effet décider contre la volonté de son épouse, ce que serait une répudiation .
Les complications dont il est fait etat dans les articles récents sur le sujet ,concernent des refus de guet qui intervenant t alors qu’un divorce laîc en bonne et due forme est deja acté .
Par le refus du guet le mari empêche son ex femme d’être en accord avec ses convictions religieuses, si elle decide comme la loi laïque le lui permet contracter une autre union.
De sorte que l’octroi du guet pour une femme divorcée qui tient à cette libération religieuse peut donner lieu à chantage de la part du mari et, notamment il sert parfois de base à une remise en question des conditions financières qui ont assorti le divorce civil .
Mais ces situations scandaleuses en elles-mêmes se doublent parfois d’un autre scandale quand des rabbins malhonnêtes se font grassement payer pour s’entremettre à la demande des epouses afin d’obtenir des maris ces documents libératoires .
Remarquons néanmoins que même dans ces conditions ,pour une femme attachée à sa religion ,il est moins inconfortable de divorcer et de refaire sa vie si elle est juive que chrétienne ,car pour celle-ci l’horizon est complètement bouché
Sur le probleme de ces femmes juives divorcéee qui se battent pour obtenir le guet Elyette Abecassis a ecrit l’an dernier un roman très autofictionnel où elle raconte son parcours du combattant
Côté religieux, juifs, musulmans, chrétiens, il faut tous les mettre dans le même panier : le panier des crabes déments.
Ah, DHH !
» un roman très autofictionnel où elle raconte son parcours du combattant »
Le genre du très autofictionnel manquait au palmares !
Dites, vous avez été poussée vers les porte de sortie de l’EN, avec pertes ou sans fracas ?
Déashash écrit bien. Déjournées livre un peu trop de liens mais faut pas en faire une fixette, l’époque est aux touitefessboucs ipodés. ça passera à l’égout, par la tête ! comme Stroheim fourguait sa fausse comtesse de Montecarlo en ahanant.
Daaphnée dit: 11 juin 2014 à 14 h 27 min
les porte de sortie de l’EN
Si c’est des portes à tambour comme au Cornavin…
@daphnée (14 h 27)
non je n’ai pas eté poussée hors de l’education nationale;je l’ai quittée de mon plein gré et pour cela j’ai dû passer un concours qui passe pour tres selectif
Qu’on se le dise : les commentaires des internautes sur les blogs ruinent la crédibilité des billets tant ils (les commentaires, bien sûr !) sont violents, à côté de la plaque, insultants, vulgaires, incultes.
Il ne s’agit pas des commentaires de certains internautes, mais des commentaires des internautes en général. La solution ne consiste donc pas à faire la chasse aux insulteurs vulgaires et incultes passant d’aventure par là, mais d’interdire tous les commentaires, ou bien de les réserver à quelques happy few dûment sélectionnés. C’est d’ailleurs cette solution qui prévaut sur certains blogs. Ceci dit, une solution raisonnable serait de sucrer tous les commentaires manifestement insultants. Pour la vulgarité ou l’inculture, c’est beaucoup plus délicat, ces notions étant très relatives.
faudrait aussi un concours pour causer chez le prestigieux passou. franchir la porte à tambour du Cornavin sans perdre sa brosse à dents.
tkt et baroz ont disparu. aux canaries ?
j’ai dû passer un concours
Sans fracas, donc.
@daphnée
sans fracas effectivement
mais avec eclat et brio
DHH dit: 11 juin 2014 à 14 h 17 min
« ……………
Le guet n’est pas une lettre de répudiation, c’est l’acte juridique par lequel le mari reconnaît la rupture du mariage , et c’est ce qui delie la femme et lui permet « d’etre libre pour tout autre » en toute compatibilité avec ses propres imperatifs religieux .
En fait le guet sanctionne lorsqu’il est signé l’accord des deux conjoints, ce qui ne correspond pas à la répudiation qui serait un acte unilatéral au détriment de la femme . »
Quel est l’équivalent quand le mari demande le divorce? L’épouse donne-t-elle le « guet » pour le libérer?
Min Kamp
Ces choses-là ne se disent plus en allemand ou en russe, mais en arabe.
« Notre jeunesse », idéaliste et internationaliste.
victimise un chouïa ..(12h54)
daaphnée la merveille a un vocabulaire si intense, érudit, cul turé…
(DHH comment osez-vous comment se fait-il d’autres femmes que daaphnée osent commenter ici ?! de quel droit ?! que fait bernadette? que fait jacques?!
la vulgarité ou l’inculture, c’est beaucoup plus délicat, ces notions étant très relatives.
Très relatives, en effet, JB
Se coltiner des plâtrasses de lecteurs qui sont dans l’identification première au personnage …, relève de l’insulte.
Même des gamins qui aujourd’hui passent le bac, n’en sont plus là !
Que d’autres, en revanche, venant d’horizons divers enrichissent les échanges par des points de vue inattendus, que sais-je … c’est autre chose et c’est bien là que réside le plaisir de la « conversation ».
mais avec eclat et brio
C’est que les autres devaient être épouvantablement mauvais .
Pfff !
Onésiphore de Prébois dit: 11 juin 2014 à 14 h 37 min
sucrer tous les commentaires manifestement insultants
Houi mais là on va se trouver devant une suite sans solution de continuité entre le pacson genre forteresse et le tout petit com epsilonnement ironique entre les deux le coeur du modo, s’ils en avaient, va balancer… Ca sera comme le polytechnicien triant ses pommes de terre !
@ Clopine
Vergote était un esprit remarquable, prof à Louvain.
Maintenant, on peut vouloir s’en passer.
Voici à quoi ressemble un théologien-psychanalyste qui a probablement suivi une école moins difficile:
c’est autre chose et c’est bien là que réside le plaisir de la « conversation ».
Un deezer et ça repart!
Ah!
Pffft!
[((((Flop)))]
@jacques de f
le mari prut refuser le guet mais non l’imposer,ce qui constituerait effectivement une repudiation.
en realité la situation religieuse ressemble à la situation juridique française les un conjoint ne peut imposer un divorce à l’autre.
Mais la difficulté ici c’est que, la loi juive autorisant le divorce ,il peut y avoir un probleme pour un divorce laîc acté que le conjoint juifmâle refuse de traduire en divorce religieux .
Certes dans ce cas il n’y a pas de moyen de pression pour la femme ,celle-ci etant sensée avoir accepté la separation en divorçant civilement, et legitimant de ce fait le guet que lui donne son mari qui apparaît des lors proceder aussi de son consentement
daphnée dit
« C’est que les autres devaient être épouvantablement mauvais »
je crois que vous changeriez d’avis si je vous donnais les noms de quelques uns de mes condisciples dans ma vie hors de l’EN
Ah, le coup qui fait la mouche!
ce doit être dur à vivre, l’inculture dans tous les domaines !
On commence à vous plaindre.
DHH dit: 11 juin 2014 à 15 h 13 min
Veuillez veiller à ne pas contredire daaphnée la +, la merveille, la aa a a a ! elle s’en trouverait fort contrariée et ne le supporterait pas, hyper sensible et finasse comme elle est
l’inculture dans tous les domaines !
Dans le secteur de la vigne, vous en soupesez la grappe!
Voyons, DHH, vous n’allez pas nous faire relire vos copies, si ?
Certains en sont déjà morts !
daaphnée a toujours raison
Daaphnée, le concours très sélectif dont parle DHH pour sortir de l’EN s’appelle l’ENA. Ce qui laisse imaginer des condisciples célèbres, en effet.
Merci DHH…Je constate tout de même qu’il n’y a pas symétrie, ce qui explique le choix du mot répudiation par l’auteur de l’article de l’Express. L’homme n’a pas de « guet » à demander, voire à acheter, à son ex-épouse.
Dans le cas du catholicisme, le divorce n’est pas admis, point (sauf les cas d’annulation du mariage pour des motifs admis par l’Eglise). L’homme et la femme sont exactement dans la même situation.
Bref, DHH = agrégation de lettres + ENA, un parcours classique.
faudrait aussi un concours pour causer chez le prestigieux passou.
Ou un vaccin !
Non ?
Parce que, Sergio, s’entendre sur le chose à remporter, le bidule à poser sur la cheminée..
pour les plus âpres au gain …
Houi mais là on va se trouver devant une suite sans solution de continuité entre le pacson genre forteresse et le tout petit com epsilonnement ironique entre les deux le coeur du modo, s’ils en avaient, va balancer… Ca sera comme le polytechnicien triant ses pommes de terre !
C’est toute la difficulté de l’art d’exercer la censure. C’est d’ailleurs tout à l’honneur d’Assouline de s’en tenir à une quasi absence de censure, politique qui révèle une conception du dialogue des plus généreuses et des plus intelligemment tolérantes. Il y a dans tous ces commentaires, à boire et à manger, certes, mais en fin de compte on s’y retrouve, et au moins, ça vit. Et puis, la culture des uns n’est pas celle des autres, l’ignorance des uns n’est pas celle des autres, le savoir non plus, et comme disait l’autre jour Chaloux, ce blog est une sorte de laboratoire d’écriture : chacun s’y entraîne avec ses moyens. Voilà un bilan des plus positifs, et qui devrait exclure la morosité. Mais traiter tout un chacun de gros con ou d’abruti inculte, ça sert surtout à déclencher des échanges de gracieusetés dont tout le monde se passerait.
ce qui m’intéresserait plus, c’est le parcours de ueda. je verrais bien langues o plus une thèse en sciences humaines.
parle DHH pour sortir de l’EN s’appelle l’ENA
Je sens qu’on va encore bien s’amuser ..
traiter tout un chacun de gros con ou d’abruti inculte, ça sert surtout à déclencher des échanges de gracieusetés dont tout le monde se passerait. (Onésiphore)
T’es pourtant pas le dernier pour ça, Jambrun, reconnais-le.
Bref, DHH = agrégation de lettres + ENA, un parcours classique. (Uriel)
On ne peut pas savoir, en l’absence d’informations plus précises. Peut-être que DHH = BEPC + femme de service dans une crèche + guichet à la poste. Un parcours des plus classiques aussi.
Il faudrait que DHH nous donne plus de précisions. Par exemple : j’ai eu mon bac lettres avec mention passable en 1946. Puis j’ai été engagée comme institutrice stagiaire grâce au piston de papa, directeur d’école à*** Enfin j’ai bifurqué vers la poste où j’ai distribué le courrier à mobylette, jusqu’à mon accident de 1978 qui m’a valu une pension d’invalidité de 75% (avec aide à domicile)
Ah, Oniséphore, vous êtes ici ( pas tout le temps,) un sage – rappelez-vous la » substance » de la philosophie analytique citée plus bas. Vous n’êtes donc pas la sagesse…mais y contribuez amplement par votre commentaire.
T’es pourtant pas le dernier pour ça, Jambrun, reconnais-le. (Jules)
J’ai effectivement traité Widergänger de salaud, mais il l’avait bien cherché. Pour ce péché, j’ai reçu l’absolution du Révérend D.
Ah, Oniséphore, vous êtes ici ( pas tout le temps,) un sage.
C’est donc un sage de passage…
@onesiphore
non je ne donnerai pas de precisions
ce que je disais de mon parcours ne visait qu’a moucher Daphnée de sa suffisante condescendance.
car quoi que j’aie pu etre dans le passé ,je suis à un âge où je ne suis plus qu’ une retraitée ordinaire
Vous vous mouchez fort, DHH, mais vous ne mouchez pas grand monde. Désolée ..
chez passou y’a des agrégés et des nains de jardin.
c’est ce qui donne un air de Pologne avant le partage.
je viens de lire, lassouline communique pour dire qu’il ne donne que peut de crédit a ces ragots qu’on srait des cons..je suis rassuré
..comme quoi commenter sans lire ça a du bon..on est plus dans le vrai..facebook is dze message
J’ai effectivement traité Widergänger de salaud,(onésiphore)
Oh, ça c’était rien. Rappelle-toi Daaphnée, Chaloux et d’autres…
Onésiphore de Prébois dit: 11 juin 2014 à 15 h 34 min
Oui pour tout.
..en fait c’est cheuloux ruiné de ridicule et perclu de honte qui risquant de se jeter sous le vintimille avec un papier « lassouline m’a tuer » qui a motivé cette relation de cause a effet entre bon billet et mauvais commentaire…et non pas le contraire
peut de crédit a ces ragots qu’on srait des cons.. (bouguereau)
Bien sûr qu’on est des cons, sinon on occuperait ses moments creux à autre chose.
je ne suis plus qu’ une retraitée ordinaire
Nous les retraités, nous sommes tous des sans grade DHH.!
Oui pour tout
ça va sentir le bon commentaire et le caoutchouc brulé..
Bon mais ça nous éloigne de la mobylette, tout cela… Une comment ? Une bleue, une orange ? Une cent quatre ? Une Flandria ? Faudrait la fiche technique…
@Clopine : l’intersection théologie/exégèse et psychanalyse est ancienne & désormais très fréquentée.
On peut lire avec profit Paul Beauchamp, Denis Vasse, Jean Ansaldi, Jean-Daniel Causse.
Les textes de Marc-François Lacan ont été assez récemment publiés chez Albin Michel.
Marie Balmary est assez connue (parcours intéressant, livres accessibles) et son dialogue avec le théologien Daniel Marguerat (Ns irons ts au paradis) est suffisamment vivant pour ne pas rebuter ceux qui n’ont pas lu une ligne de théologie.
Côté grand public, vs vs souvenez sûrement de Dolto (La Foi au risque de la pyschanalyse, l’Evangile au risque de la psychanalyse) ; aujourd’hui ds un genre un peu différent vs avez par ex Lytta Basset.
Quant à la notion de péché (qu’un Tillich rapprochait de celle d’aliénation) je vous conseillerais la lecture du tome 2 (« Finitude et culpabilité ») de Philosophie de la volonté de Ricœur (on le trouve maintenant en poche, Points-Essais)
Tiens, par exemple, moi qui suis un con reconnu et certifié, là j’ai une pile de courrier à rédiger et j’ai pas le courage. Ben je pourrais délayer autrement, mais, comme je suis con, je viens faire le badaud à regarder les conneries des autres.
il est moins inconfortable de divorcer et de refaire sa vie si elle est juive que chrétienne ,car pour celle-ci l’horizon est complètement bouché
tous les mecs eux sont au dessus de ces conneries
Bien sûr qu’on est des cons
on remercie la raclure de keupu de faire l’exeption à la règle..à lui tout seul « on » est dans la moyenne
Une Flandria ?
..du mozart
Philosophie de la volonté de Ricœur (on le trouve maintenant en poche, Points-Essais)
Pas dans la Bibliothèque verte?
ha non hein bougreau je suis pas con moi, faut pas me confondre.
clopine kiffe que l’éducation anglaise..c’est ça l’atavisme normand
..ta gueule keupu..
..allez c’est pas tout ça faut que jaille me faire enculer..
Hélas, tu n’es pas le seul, sacré Jules!
J’en profite pour répondre ici à J.S.: » la mise en place de ta réalisation est très réussie, surtout l’ absence de socle traditionnel – l’ espace d’ ardoises concassées circonscrivant le lieu de la sculpture opère un lien efficace avec les habitations – qui nous met à distance humaine directe avec l’ œuvre qui n’ est pas » vue de haut ».
J’espère que cette importante commande institutionnelle te sera payée dans des délais raisonnables.
je t’embrasse.
X.
couché mes clebs..
Ah, Oniséphore, vous êtes ici ( pas tout le temps,) (inculte mais pas aride)
Je ne suis pas souvent ici car je me déplace souvent, ces temps-ci, un peu toujours dans les mêmes lieux, plutôt conviviaux, où l’on se retrouve entre habitués, où l’on découvre aussi plein d’inconnus intéressants, où tous les milieux sociaux se côtoient; on parle de choses et d’autres, de politique locale, de l’art de faire pousser les poivrons ou de chasser le sanglier, on échange des informations, on fait des comparaisons ( « et vous, vos plaquettes ? », etc.); on se fait manipuler par des filles charmantes, expertes, aux beaux yeux (même pas mal), on déjeune frugalement, mais sainement, puis on s’en retourne chez soi, généralement en taxi de luxe, en Mercedes, en BMW, en Espace superluxe, avec, en bandoulière, un petit citron branché au niveau du téton droit (si vous êtes chasseur,c’est le gauche, car on prend en compte votre distraction favorite ; le moral compte beaucoup dans cette affaire. Deux jours après, le citron est vide, vous avez pompé votre potion magique jusqu’à la dernière goutte, Catherine ou Gisela vient vous débrancher (même pas mal). On cause un peu, et on prend rendez-vous pour dans quinze jours. Ce qu’il faut éviter, pendant ce laps de temps, c’est la tache noire, celle qui s’étend sur votre conscience,celle qui fait qu’il n’y a plus que ça, que ça, que ça, qui compte, au point d’y penser tout le temps, alors vous commencez à faire chier tout le monde, ceux qui vous aiment en priorité, votre femme qui vous a sur le dos 24h/sur24, et vous même, bien entendu, que vous faites chier à mort à jet continu. Contre la tache noire, tout est bon. Il faut vivre comme si tout était normal, il faut savourer tout ce qui vaut de l’être et se foutre de tout ce qui ne le vaut pas. Il faut se souvenir qu’on sait rire, qu’on sait être détendu, disponible pour l’instant qui va venir. Lire et écrire a beaucoup d’importance. Les amis aussi. Tout ce qui est bon et beau a de l’importance. Cependant, en règle générale, le whisky est déconseillé. C’est une sagesse qu’on apprend difficilement, mais on l’apprend. J’ai de la chance, bien sûr : la souffrance physique n’y est pas.
Je ne suis pas souvent ici car je me déplace souvent (onésiphore)
tkt aussi. friquent flyer.
Sacré Oniséphore, vous allez pas claquer en direct live!?
Quand je pense que Daaphnouse veut nous imposer ici à tous l’obligatoire piquouse
« Sacré Oniséphore, vous allez pas claquer en direct live!? »
Qu’en termes élégants ces choses-là sont dites…
Sacré Oniséphore, vous allez pas claquer en direct live!? (inculte mais pas aride)
Pensez-vous: ça fait trois ans que ça dure et j’ai même eu droit à deux ans de grandes vacances. J’y ai perdu quelques bas morceaux, mais comme j’étais en surpoids… Et puis le temps travaille pour nous. Le tout est de tenir jusqu’à la mise au point de la nouvelle potion miracle, de l’avancée décisive en génétique. C’est pour demain.
Phil dit: 11 juin 2014 à 14 h 28 min
salut phil, ça va bien ? vous avez passé une bonne journée ? il fait beau chez vous ? c’est quoi le dernier livre interessant- sauf morand, renaud camus,finkie- mais actuel et pas trop inverti que vous ayez lu ? « baroz » -cki çuilà?- vous manque ? vous allez allez à nice baie des anges ?
________________
Tenez phil, cet universitaire a l’air de savoir de quoi il cause.
« Ces résultats appellent ainsi d’autres interrogations concernant le caractère potentiellement fictif de l’identité électronique de ces blogueurs. »
http://ticetsociete.revues.org/412
ps phil: merci de revoir la définition de conversation dans le dico. Parce que vous avez à updater un peu votre style aussi.
pps: ce billet est extraordinairement instructif- tant sur son contenu que sur son auteur- ne vous déplaise. A commencer par la notion de « savoir ce que lire veut dire »
Vous savez DHH, il ne faut surtout pas dénoncer vos anciens camarades, il y en a une qui se gausserait encore.
Mais cette histoire me fait me souvenir du temps de la visite médicale au pensionnat et de la doctoresse,( genre … ). Un évènement peu ordinaire pour des pré pubères que nous étions, celui de nous décalotter le gland pour cause de dépistage d’un éventuel phimosis…
Eh bien, si vous saviez parmi des personnes publiques très célèbres à qui cela est arrivé ce jour là…Mais je ne le dirait surtout pas ici!
Clairement, ce billet est « phénoménal ».
Scandaleusement, même.
ce billet est extraordinairement instructif- tant sur son contenu que sur son auteur-
Instructif sur son propre contenu ..
mmm .. un peu métaphysique, non ?
@Rirette
Question claquage, je suis tout autant assez « branché » pour en parler sans circonlocutions ni affèteries.
L’ extrême élégance est de mettre un La à Rirette…Là là là!
Franchement, je ne comprends pas vraiment l’intérêt de ce long billet sur ce Knaus OK ; car enfin, s’il s’agit d’entretenir le buzz sur cet écrivain apparemment surfait, d’autres s’en chargent, et ils sont nombreux. Eddy Bellegueule, soit, ça a eu le mérite de faire s’extasier Clopine; mais là, trop c’est trop.
sirius dit: 11 juin 2014 à 9 h 22 min
ça c’est un autre combat. Dommage aussi qu’il ne soit vu que du côté velu…
Peut être interessant, sort le 25 juin en france: le procès de Viviane Amsalem.
sapré déjournées. vous avez sûrement réussi le concours de l’EN, celui des portes à tambour. certes, des liens intéressants mais pas le temps de cliquer, history on ze move ! desjournées…et tous ces links surexposés sont aussi laids que les jupons de nos grands-mères.
Dix ans que le prestigieux blog cause de conversations, aucun progrès dans les conversationneurs mais on rigole bien.
bon, dédé va sortir de son épicerie, il est temps de sortir. demain passouline cause Brésil.
Salut tout le monde. Ne vous battez pas, je n’ai pas de fan club. N’en veux pas.
Je reviendrai éventuellement commenter le billet, icelui, ou à venir.
Une conversation avec une très grande cuiller.
A tantôt.
Phil dit: 11 juin 2014 à 16 h 58 min
celui des portes à tambour
L’intérêt c’est le décollage horizontal… Comme sur les Harrier, quoi, mais à PI sur deux…C’est comme un catapultage, mais sans vapeur ça serait trop cuit comme dirait Téléféric…
Mon Sergio en sucre, 1200 bisous !
des journées entières dans les arbres dit: 11 juin 2014 à 17 h 00 min
je n’ai pas de fan club.
Mais si ! Mais si ! Le président est Marcel van der Groodt, plus connu sous le pseudonyme de ueda.
je n’ai pas de fan club. N’en veux pas.
depuis le temps que les donneurs de leçons sont irréductiblement fans de leur club de ploucs..
« La chute d’une grande ville comme Mossoul et la fuite des forces de sécurité a quelque chose de vraiment dramatique. » Ces mots, prononcés mercredi 11 juin par le ministre des affaires étrangères, Hochiar Zebari, montre toute l’inquiétude du gouvernement irakien devant la progression des djihadistes.
L’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) s’est emparé mardi de la deuxième ville du pays, Mossoul, et continuait son avancée mercredi.
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, s’est dit « très inquiet » de la « détérioration » de la situation, tandis que Washington a qualifié l’EIIL de « menace pour la stabilité (…) de toute la région ». » (Le Monde)
Je vous l’avais dit, bande de neuneux occidentaux ! Moi, ou le chaos ! et vous faites pareil avec Bachar ! Bien fait pour votre gueule !
Onésiphore, marre. Je ne suis pas la seule à « m’extasier » sur Edouard Louis. Je vais voous raconter une anecdote, ce sera votre punition.
Lors d’un festival littéraire, un « atelier lecture » était organisé, avec un choix de livres. J’aurais pu prendre « en finir avec », mais j’ai préféré un autre auteur. (car j’ai l’extase pondérée, voyez-vous ?) : ce fut une petite dame assez âgée, très respectable, cheveux de neige, tailleur saumon et petit collier fin, qui s’empara du livre, s’installa dans le grand fauteuil et, devant la trentaine de participants, commença sa lecture. La première phrase-choc, (« de mon endance je n’ai aucun souvenir heureux ») la sorte de démenti de la seconde (un truc du genre : « je ne dis pas que je n’ai jamais vécu de moments heureux ni pris de plaisir, mais la souffrance est totalitaire, elle mange tout »), et ensuite la longue description du crachat sur la figure…
L’acteur (de la Comédie Française) a fait recommencer sa lecture à la petite dame au moins huit fois, et à chaque fois, la force du passage nous saisissait, nous les spectateurs-auditeurs, et nous découvriions le choix minutieux, précis, et implacable, du style de Louis.
Mais perso j’étais préoccupée par la Lectrice. Elle lisait vraiment bien, avec la violence froide nécessaire, mais enfin : c’était un texte si impitoyable que je me demandais d’où elle puisait la grande intelligence avec laquelle elle procédait à sa lecture.
Quand elle revint (sous les applaudissements) à sa place, je me suis lancée. Je lui ai demandé, à voix basse, si cette lecture ne l’avait pas trop affectée : après tout, l’univers décrit là ne coïncidait visiblement pas avec la Dame que j’avais sous les yeux…
Elle s’est retournée (elle était assise juste devant moi) : elle avait les yeux flamboyants et m’a dit : « mais au contraire, vous ne pouvez pas savoir ce que cette lecture éveille chez moi – elle me fait revivre une telle intensité de souffrance ! Je vais acheter ce livre (elle ne le connaissait pas avant l’atelier) de ce pas, car il est vraiment… » Elle allait en dire plus, toute sincère et émue qu’elle était, mais l’atelier reprenait… Elle a repris sa place.
J’ai reconnu là une véritable émotion de lecture, telle que ce livre, cet indigne livre d’un indigne auteur, ici vilipendé par des gens comme jc qui ne le liront jamais, ou méprisé car tenu pour de la « non-littérature » par les esthètes un brin réactionnaires qui hante les lieux, ou quand notre hôte lui-même revient sur sa première admiration pour soupçonner l’auteur de coquetterie égocentrique, telle que ce livre, donc, en procure à ceux et celles qui sont capables d’empathie. Que cela ne soit pas votre cas, cela m’étonne de quelqu’un qui a autant besoin des mots que vous. Mais cela a conforté mon opinion « extasiée » sur ce bouquin.
Pouvoir toucher ainsi les gens, pouvoir partager avec eux, via sa propre histoire, quelque chose d’universel : l’extase ? Non, mais la reconnaissance du talent, oui.
trop, c’est trop
Fastoche à comprendre, sauf pour Clopine.
Moi, c’était Jésus, la moire Normande c’est Louis : à chacun ses héros, à chacun ses escrocs. Quelle époque !
l’extase ?
Clopine
Candide sur le champ de bataille ..
« ce qui m’intéresserait plus, c’est le parcours de ueda. je verrais bien… » mao-althussérien devenu idiot utile de facho pour se racheter.
A propos des commentaires creux ,desagreables hors sujet qui deconsidereraient ce blog ces explications pour apaiser ma mauvaise conscience:
Comme je n’ai que des compétences limitéees en matiere litteraire ,mes commentaires sont certes le plus souvent etrangers au sujet du billet ;mais,circonstance j’espere attenuante, ils sont en général dictés par un desir d’entrer dans une conversation interessante en cours où je peux avoir quelque chose à dire, une question à poser ou un éclaircissement à demander .
Mais j’avoue méconnaître ce principe d’abstinence et me mêler au magma insignifiant de vannes qui polluent ce blog,quand on m’y traite avec mepris et qu’on répète à l’envi des présupposés sur mon indigence intellectuelle .
Alors j’entre dans la danse avec des réponses ,vraies ou fausses ,tel n’est pas le problème ,mais destinées à ridiculiser ces gens que leur mépris à mon égard déconsidère de toutes manières ,car non fondé si je les vaux, et peu charitable s’il est le fait ceux qui valent mieux que moi
Mais bien sûr que je suis candide ! Je vais même vous étonner, ça se trouve : je prends très précisément au pied de la lettre l’injonction de cultiver mon jardin.
Ca me permet de faire des salades aux fèves qui, ma foi, « extasient » les palais (du moins, on me fait la gentillesse de me le dire). Alors, zou :
Vous faites cuire vos fèves. Pas trop, hein : faut qu’elles se tiennent, d’autant que vous allez les éplucher. Je dirais (je fais tout au pif, mais…) 15 minutes à l’eau bouillante.
Tout de suite après, vous les passez sous l’eau froide, bien froide. Ca les maintient debout.
Vous les épluchez. Hop, au saladier, le joli, transparent et simplissime, façon un peu bocal à poisson.
Vous sortez dehors, vous obliquez à droite, voilà vous y êtes : le long du mur, la menthe.
Plein de feuilles de menthe. Personne ne vous empêche d’en froisser deux ou trois dans votre main, hein. Le parfum monte…
Retour à la cuisine. On presse le citron, on attrape la bouteille d’huile d’olive, hop, c’est encore un petit bonheur le filet qui coule.
On ajoute à cette salade fraîche (une demi-heure au frigo) soit des crevettes roses, soit (je préfère) des lamelles de truite fumée bio. Sel, poivre…
Bon sang, candide je suis, candide je reste, mais ça a du bon, croyez-moi. Oui, croyez-moi !!!
. Vous êtes priés de réagir calmement à la lecture de cet article. Quant à moi, je crois toujours à l’art de la conversation numérique,
la suite de commentaires rarement ponctuée par une intervention de l’auteur du billet donne l’impression de grandes connivences.
autrement dit lorsque l’on est extérieur à ce style , on veut bien croire à la visée « d’intelligence du monde » prétendue, mais on ne peut s’empêcher de douter des « fondements », et supposer une sorte de « péché originel » autour de cet engouement psychanalytico numérique .
« Bon sang, candide je suis, candide je reste, mais ça a du bon, croyez-moi. Oui, croyez-moi !!! »
Candide ? Ce n’est pas tout à fait le mot qui convient pour une Clopine, il est par trop flatteur… Visons plus juste, plus bref !
,car non fondé si je les vaux, et peu charitable s’il est le fait ceux qui valent mieux que moi.
DHH
Quelqu’un peut traduire?
Vous faites cuire vos fèves. Pas trop, hein
..ma mère pas du tout a cette époque, à la croque au sel..avé une baguette chaude, un poing de beurre à la baratte et un kil de rouge ou de blanc, de loire mettons, comme en charentes, les normandes ont pas tout bon
Les fèves, c’est 4 minutes dès l’ébullition, Clopine. La cuisine ça se fait pas au pif.
Par ailleurs on ne les épluche pas : on ôte leur cuticule. Il y a une nuance.
ça a du bon, croyez-moi. Oui, croyez-moi !!!
clocloche
O yeah !
Si j’avais un marteau
Je cognerais le jour
Je cognerais la nuit
J’y mettrais tout mon cœur
Je bâtirais une ferme
Une grange et une barrière
Et j’y mettrais mon père
Ma mère, mes frères et mes sœurs
Oh oh, ce serait le bonheur
Si j’avais une cloche
Je sonnerais le jour
Je sonnerais la nuit
J’y mettrais tout mon cœur,
Pour le travail à l’aube
Et le soir pour la soupe
J’appellerais mon père
Ma mère, mes frères et mes sœurs
Oh oh, ce serait le bonheur
lu votre recommandation : faites vite le ménage, Passou, c’est urgent
ben zut, denb : moi c’est plus que quatre minutes, et pas question de cuticule : je les épluche toutes.
D’ailleurs, un de ces quatre, je m’en vais sûrement tester une purée de fèves. Je « sens » que ça risque d’être bon.
La cuisine, vous savez, c’est comme tout. Perso, je suis à fond pour l’improvisation. Sauf en pâtisserie, là je suis d’accord, on ne peut pas « couper » aux poids, aux mesures, au temps précis. Mais la cuisine, ah, la cuisine : un espace de liberté totale.
Si jamais, un jour, vous passez par là, je vous fais goûter. Evidemment, il faudrait que vous soyez de bonne foi…
Pour les feves ,rien ne vaut de les manger froides apres cuisson en sauce scabeche (ail cumin ,piment doux vinaigre)
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