L’« inventoire » des archives
Tout chercheur en a rêvé, l’IMec l’a fait ! On pourrait le dire ainsi. Qu’il soit professionnel ou dilettante, que sa curiosité le pousse vers l’histoire littéraire, l’archéologie des idées, l’aventure intellectuelle ou le passé des maisons d’édition, le dit chercheur disposait jusqu’à présent du riche fonds et des collections de l’IMec (Institut Mémoires de l’édition contemporaine) sis à l’abbaye d’Ardenne (Calvados), une sorte de Thélème en pleins champs près de Caen ; mais ces archives et collections (plus de 700 entrées) n’étaient présentées que dans un environnement d’interrogation unique. Si important que soit un centre de cette nature, il ne correspond plus tout à fait à sa vocation (conserver/communiquer) s’il ne peut accorder leur pleine visibilité à ses trésors. C’est chose faite grâce à Mnesys.
Conçu par Naoned, forme bretonne de la ville de Nantes mais surtout expert numérique spécialisé dans la gestion et la valorisation du patrimoine culturel, ce logiciel avait déjà fait ses preuves dans des centres d’archives départementaux à Saint-Lô et Caen, aux archives municipales de Poitiers ou dans celles de la région Limousin. En effet, il couvre l’ensemble des besoins d’un service d’archives public : collecte, description des documents, traitement, communication…
Déjà, et pour la première fois, le catalogue des imprimés est accessible qu’il s’agisse des revues ou des précieuses bibliothèques personnelles des auteurs notamment.. Désormais, les inventaires sont progressivement consultables sur le Portail des Collections de son site. Les notices descriptives des archives, imprimés et périodiques peuvent être interrogées de plusieurs manières : simple, bibliographique, thématique, par le cadre de classement….
Outre les fonds très sollicités de l’écrivain Jean Genet et du philosophe Michel Foucault qui attirent nombre de chercheurs venus des universités américaines notamment, de même que les papiers de Louis Althusser qui suscitent actuellement une intéressante initiative, on notera ceux d’écrivains aussi divers que Christine Angot, Tahar Ben Jelloun, Emmanuel Bove, Serge Doubrovsky, Sylvie Germain, Georges Hyvernaud, Irène Nemirovsky, Robert Sabatier ou Alain Robbe-Grillet, des philosophes, des sociologues, des éditeurs ainsi que des historiens tels que Jean-Pierre Vernant, Georges Duby, Jean Chesneaux, Fred Kupferman, et ceux plus récemment arrivés du grand théoricien de la modernité Paul Virilio, du passeur de mémoire Alain Decaux, du sociologue Jean Baudrillard, de l’historien de l’art Georges Didi-Huberman, de l’éditeur Jean-Jacques Pauvert etc ce qui ne donne qu’un faible aperçu de la richesse et de la diversité des papiers conservés à l’IMec. De l’extérieur, pour tout lecteur qui ne connait que les livres, cela peut paraitre très « vieux papiers », froid, désincarné ; c’est méconnaître les émotions, stupeurs et tremblements que peut provoquer ce type de recherche, tant le goût de l’archive peut donner parfois le vertige à celui qui trouve enfin (le document, la lettre, l’information, le signe) surtout s’il ne les cherchait pas vraiment.
Un blog est même consacré par les archivistes à l’actualité des collections : en cette période de commémoration de la première guerre mondiale, on peut y lire des billets sur « Les petits héros de la grande guerre » recueil de nouvelles publié par Hachette dans sa collection « Bibliothèque des écoles et des familles » ; ou encore sur les lettres de l’arrière, notamment celles des collègues, reçues à partir de 1915 par les employés des éditions Larousse mobilisés et envoyés au front.
Lorsque Nathalie Léger, sa directrice générale, a lancé ce chantier de réinformatisation de ses fonds, elle n’ignorait pas le risque encouru par tout projet de reprise et donc de migration de données archivistiques. Mais plutôt que le spectre de leur perte, c’est la perspective de leur amélioration et de leur restructuration qui a prévalu. Celle de leur réinvention en quelque sorte.
Dans une récente livraison des Cahiers de l’Imec (No 10, Automne 2018), un article y fait écho indirectement à propos d’un stage de futurs comédiens et d’un séminaire de metteurs en scène dans les murs de l’abbaye d’Ardenne, à deux pas des fonds de Robert Abirached, Samuel Beckett et Patrice Chéreau. Consacré au « Béguinage des inventeurs », il joue subtilement tant sur la polysémie du mot « béguinage » (petits logements individuels et espaces communs réunis autour d’un jardin en pays flamands depuis le Moyen Âge) que sur celle du mot « invention » (concevoir quelque chose de nouveau, mais aussi mettre au jour ce qui était enfoui). Tout cela pour dire que les milliers de documents conservés à l’IMec attendent en permanence leurs (ré)inventeurs :
« Un fonds d’archives n’est pas qu’un « conservatoire », c’est aussi un « inventoire ». Sans création, la mémoire est peau morte, sans mémoire la création est sans os ».
Tant le néologisme que la métaphore sont signés d’un homme de qualité qui avait voué sa vie au théâtre, Jean-Loup Rivière. Ce fut son dernier article.
(« L’IMec à l’abbaye d’Ardenne » photos Passou)
1 308 Réponses pour L’« inventoire » des archives
« Un fonds d’archives n’est pas qu’un « conservatoire », c’est aussi un « inventoire ». Sans création, la mémoire est peau morte, sans mémoire la création est sans os ».
De toute évidence…
renato touche le fonds.
« la gestion et LA valorisation du patrimoine culturel », Passou ?
« Sans création, la mémoire est peau morte, sans mémoire la création est sans os » »
Mais où est la chair dans tout cela, dans la mémoire ou dans la création ?
La photo 1 est très sombre, on ne voit que les néons !
On a changé de crémerie, je répète…
Les films d’animation ne m’attirent pas non plus…J’ai eu un autre avis, positif celui-là, sur Monsieur. Je verrai bien. Maya ne me dit trop rien, trop franchouillard, otage en Syrie, ça sent trop le journalisme engagé…Seul le nom de l’actrice, Banerjee, me fait rêver. Il évoque le Bengale et Satyajit Ray.
Ton avis sur « Monsieur » m’intéresse beaucoup, camarade closer !
« … touche le fonds. »
Dit par un qui passe son temps au raz des pâquerettes c’est une perle.
Oui, mais entre le fond et le fonds, il y a une grande différence, renato !
Quand je l’aurai vu camarade!
Bien évidemment, closer.
Les « camarades » de salles obscures et d’écrans de lumière sont tellement rares ici.
Entre autres camarades, Christiane s’est murée dans un silence de circonstance et rose a des soucis familiaux…
M’amusent beaucoup, les distingués erdéliens qui veulent absolument que je ne perde plus mon temps au cinéma !
Ils me font penser aux parents de Paul Edel, qui voulaient empêcher leur rejeton de lire des romans.
On voit le résultat !
Le titre du roman de Françoise Mallet-Joris, « Le Rempart des Béguines » m’a toujours fait rêver, même si en fait il n’a pas grand chose à voir avec le contenu de ce roman érotique. Je rêvais donc d’aller voir le Béguinage de Bruges, ce qui fut fait il y a quelques années et je n’ai pas été déçue. Superbe endroit plein de charme et de sérénité. Il n’y a plus de Béguines (sorte de religieuses qui ne prononçaient pas de voeux) et l’endroit est occupé par des Bénédictines. La tranquillité du lieu fait rêver.
C’est une très belle ville ancienne, Bruges, avec ses canaux, ses rues pavées et ses bâtiments médiévaux, son hôtel de ville, son Beffroi avec un superbe carillon ; ville de la dentelle, du chocolat et des béguinages donc.
La Flandre est certainement très belle Lavande, mais je ne supporte pas la francophobie de ses habitants…L’autre jour sur Arte: deux ou trois habitants d’Anvers et de ses environs dialoguaient en anglais! Sans compter les histoires que l’on m’a racontées: refus de répondre à une question en français, mépris affiché pour des francophones, etc…Insupportable. Quand on pense à ce que la Flandre a donné à la culture de langue française quand elle était encore ouverte à celle-ci! Ils n’ont pas l’air c… avec leur charabia que personne ne comprend, pas même les hollandais…
Bon, je me suis défoulé, j’espère n’avoir vexé personne, mais ça fait du bien après cette émission d’Arte qui m’a agacée, comme dirait Balasko où vous savez…Mes excuses auprès des « bons » flamands.
La Venise du Nord, Lavande !
Inventoire, ça rime avec pétoire !
À propos de la photo 1 :
Mino Blunda, L’inglese ha visto la bifora :
une invention
https://www.youtube.com/watch?v=xzU7xQmmXGE
politique de l’invention Derrida
https://journals.openedition.org/methodos/4962
L’inglese ha visto la bifora, prix Pirandello 1973 :
« Un futile, absurde procès qui se déroula à Palerme en 1834 se transforme, dans la tranchante transcription de Blunda, en un conflit entre les éternelles force antagonistes qui permettent à la Sicile de rester immobile. »
Dans La Sicile comme métaphore Sciascia dit : « La Sicile offre la représentation de beaucoup de problèmes, de beaucoup de contradictions, non seulement italiens mais aussi européens, au point de constituer la métaphore du monde actuel ».
Il me semble que le texte de Sciascia est composé à partir des questions posés par Marcelle Padovani, en 1979.
« … refus de répondre à une question en français… »
Ce n’est pas typique de la Flandre, closer. Faire un inventaire ce serait inutile, un exemple pour tous : on vous répondra plus facilement en français à Berne qu’à Bâle où il n’est par rare qu’un frontalier-ère (Français, donc) vous oppose une expression du visage à dire « Je ne comprends pas » accompagné d’une réponse en allemand ou en anglais cohérente à votre question.
jazzi dit: 3 janvier 2019 à 14 h 12 min
Inventoire, ça rime avec pétoire !
Avec branloire (pérenne) itou
« L’inventoire des archives »… Tintin a fait fort pour écrire un bel article pour les Rdéliens et pour sa revue préférée Histoire !
De quoi s’agit-il ? Un lieu d’une beauté rare, ce béguinage, qui ouvre ses portes et son calme studieux aux chercheurs. Quels chercheurs ?
Cette notion « d’auteur », chère à Michel Foucault (L’Archéologie du savoir) est-elle une piste pour rectifier, réinterpréter le passé, progresser vers plus d’objectivité.
En ce siècle de réflexion (et de confusion), il me plaît d’entrouvrir la porte d’un autre béguinage : la poésie, pour relire le temps par l’imaginaire jusqu’au seuil des métamorphoses.
René Char dans Retour Amont. Recueil inquiet situé entre biographie et réflexion sur l’Histoire, pour lequel Georges Bataille écrivait en épigraphe : « Cette fuite se dirigeant vers le sommet (qu’est, dominant les empires eux-mêmes, la composition du savoir) n’est que l’un des parcours du « labyrinthe ». Mais ce parcours qu’il nous faut suivre de leurre en leurre, à la recherche de l' »être », nous ne pouvons l’éviter d’aucune façon »
René Char y écrivait, dans le poème « mirage des aiguilles » : « Le présent n’est qu’un jeu ou un massacre d’archers. »
La face cachée des sources : Retour amont…
Bravo à Tintin pour cet obscur billet d’historien.
L’IMec à l’abbaye d’Ardenne ? Un lieu où j’aimerais dessiner, écrire, méditer…
Pierre Assouline, merci, ce billet m’a intéressé parce que je suis un familier de l’Imec depuis sa création… et son transfert à l’abbaye d’Ardenne. Très simplement, -et même si votre liste ne se prétend pas exhaustive-, vous auriez pu lui ajouter les importantes archives de Jean Paulhan. Sa petite fille Claire, éditrice vous le savez bien, a aussi beaucoup travaillé pour l’Imec depuis sa fondation, elle est « à la retraite » de cet organisme depuis peu, mais elle y aura encore beaucoup à faire sur les Correspondances, en particulier, de son grand-père…
Mal d’archive, une impression freudienne (Jacques Derrida, 1995) [MADA]
Conférence prononcée le 5 juin 1994 à Londres lors d’un colloque international intitulé : Memory : The Question of Archives. Le texte est daté du 22-28 mai 1994.
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-0704300844.html
Pensez-vous que la sortie de Sérotonine demain va provoquer des queues, voire des émeutes dans les librairies, avec ouverture exceptionnelle en soirée comme pour les sorties des Harry Potter? avec distribution gratuite de Captorix ?
Il s’agit avant tout, néanmoins, du singulier étymologique : arkhè, où se jouent indissociablement un principe ontologique de commencement et un principe nomologique de commandement1. D’où une « dimension archontique de la domiciliation […] sans laquelle aucune archive ne se mettrait en scène et n’apparaîtrait comme telle » : l’archive exprime un « pouvoir de consignation », c’est-à-dire littéralement de rassemblement des signes « en un seul corpus, en un système ou une synchronie dans laquelle tous les éléments articulent l’unité d’une configuration idéale2 ». Corpus, système, synchronie : trois termes dont chacun dit un peu la même chose et déjà autre chose, et suffisamment communs pour ouvrir une place à ceux qui restaient indifférents. Des archives à l’archive, le mouvement abolit ainsi l’exclusive historienne. La critique par Rancière, via le concept d’anachronisme, des figures du temps et de la « vérité de l’historien » qu’elles poétisent, accomplit une démarche semblable : si l’archive doit des comptes, ce n’est pas à la seule police des historiens3.
https://journals.openedition.org/labyrinthe/175
On ne ressuscite pas les vies échouées en archive. Ce n’est pas une raison pour les faire mourir une deuxième fois. L’espace est étroit pour élaborer un récit qui ne les annule ni ne les dissolve, qui les garde disponibles à ce qu’un jour, et ailleurs, une autre narration soit faite de leur énigmatique présence.
26 Arlette Farge, Le Goût de l’archive, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire »
J’ai fait un tour dans une librairie aujourd’hui, il y avait encore plus de livres que de gens, Lavande. Le Figaro littéraire est toujours en vacances. Quelle bande de paresseux ! Cela doit plaire à Neuhoff, qui cherche toujours à en faire de moins en moins. Et le prix du journal est passé à 2,80 €. Une fortune. Ma buraliste m’a dit : « Oui, monsieur, ça devient du luxe ! » Plus c’est cher, et moins il y a de choses à lire dedans. La presse putride, c’est comme ça. Ne pas passer à côté de l’éditorial faux-cul, en première page, qui raconte pourquoi cette hausse. Payer 2,80 € un torchon qui ne vaut pas 10 centimes, c’est vraiment un scandale !
Lavande, si vous avez peur de ne pas avoir votre exemplaire de Sérotonine, vous pouvez le réserver chez votre libraire. J’ai reçu un mail de mon libraire me le proposant. Mais je ne suis pas pressé. Il devrait y en avoir pour tout le monde. Et même il en restera : on en a tellement parlé que les gens sont dégoûtés…
lavande,avez vous lu le tweet sur MH?
. Il pense que les gogos sont partout il a raison
vous n’êtes pas la gogo de la RDLquand même!bien sur que vous trouverez sérotonine, même dans un mois,m^me s’il y a beaucoup de gogos
Mnemosyne-Atlas :
https://blogfigures.blogspot.com/2013/04/aby-warburg-mnemosyne-atlas.html
Un peu étrange, ces écrivains,mes frères, bien vivants,et pas encore atteints d’Alzheimer, qui annoncent avec un petit frisson mediatique qu’ils vont confier leurs archives à l’Imec.. Est-ce pour se donner de l’importance alors que nos romans ,aprés quatre mois de mauvaise survie en librairie,finissent invendus,transformés en cartons à pizzas.
Est-ce une manière de rêver à une survie religieuse parce qu’il s’agit d’une abbaye et qu’ils imaginent un moine lisant dans deux siècles, dans le réfectoire, un passage de leurs œuvres dans un silence parfait ? Je crois que je vais solennellement confier à l’Imec,(avec dépêche à l ‘AFP par mon attachée de presse) le carnet de vaccination de mon chat Achille -6 ans déjà comme le temps passe- et le vieux nounours à qui il manque un œil de verre et un bras, car enfant, je l’ai abandonné le soir,en Normandie, prés du clapier à lapins. Il est provisoirement sur une étagère dans mon bureau.Enfin , est-il prévu un tiroir, ou même une armoire, pour les objets aimés de nos meilleurs écrivains?
Il va vraiment falloir qu’on trouve un code spécial RDL pour spécifier que ce qu’on dit est à prendre au deuxième degré !
Dear Lavande, n’oubliez pas de lire « Bruges la Morte », dans une édition qui reproduit les photographies d’origine choisies par Rodenbach.
Cagnaccio du San Pietro :
Phil je l’ai trouvé sur Gallica et je vais le lire. Belles photos noir et blanc de Bruges effectivement.
bruges
https://enkidoublog.files.wordpress.com/2013/11/capture-d_c3a9cran-2013-11-15-c3a0-13-54-05.png?w=300&h=200
bonsoir
Clopine, à votre place je ne fermerais pas ma boîte mail, mais j’engagerais une procédure de plainte pour harcèlement, histoire de mettre le pantin à poils. Et qu’on rigole un peu.
« … des écrans de crêpe aux vitres. »
Beau, je ne connaissais pas.
Eh, merdre ! Cagnaccio du > Cagnaccio di
ah closer vous me paraphrasez sur la Flandres (cf. mon expérience à l’aéroport de Bruxelles racontée dans je ne sais plus quel espace commentaires).
C’est tout à votre honneur. Hurkhurkhurk
NB pour ceux que ca intéresse : pas de chronique vietnamienne au programme. Impossible de récupérer mes photos sur mon portable qui m’a lâchée il y a quelques jours. Les images restent dans ma têtes, dommage pour le blog, mais aucun regret pour moi. Ce n’est pas la première fois que cela m’arrive (Israel, 2013) par ailleurs.
jazzouille,
As-tu vu « Monsieur & Madame Adelman » à sa sortie ? Je l’ai vu pour la première fois il y a quelques jours et je suis partagée. Certes, j’adore son côté « fresque historique de ces dernières décennies », mais je l’ai trouvé parfois longuet.
19h57 Caulerpa, aucune légende , signature pour ce merveilleux cliché?
Aucune indication non plus sur le type d’appareil, l’objectif, le film argentique et les réglages, Caulerpa?
Effectivement Ed, maintenant que vous en parlez, je crois me souvenir de votre expérience bruxelloise…Une pièce de plus à mettre au dossier!
Bérénice, la photo mis en lien par Caumachin représente un pont de Bruges que l’on peut voir à l’expo Fernand Khnopff au Petit Palais. Le pont de l’expo est un pastel et crayon ou craie, une œuvre superbe.
Vous avez raison de lui demander des précisions car Cautruc a tendance à être vague et imprécis.
C’est vrai qu’Angot, Ben Jelloun, Sabatier peuvent davantage prétendre survivre par le legs que par leur gloire réelle.
J’imagine que Paul Bourget André Theuriet, Ferdinand Fabre, Jean Aicard,ou Emile Bergerat sans parler d’Henri Bordeaux feraient de même aujourd’hui…
C’est le vague de l’abondance.
closer
Vous avez raison de lui demander des précisions car Cautruc a tendance à être vague et imprécis.
vous pourriez recopier convenablement mon pseudo
aureste,on ne peut pas et me reprocher d’être impeécis et de mettre des liens;
votre problème à tous c’est de faire des reproches à*** et*****;vous cherchez des alibis parce que vous ne voulez pas chercher vous même ou trouver sur la toile;vous prenez les autres pour vos esclaves ;
je signale sur le monde l’article à méditer sur « l’appropriation culturelle »
rappel -dans le lien envoyé sur l’invention,Derrida conteste la paternité de Descartes
bonne nuit
La photo a été prise en novembre mais c’est tout ce que l’on sait. Je pleure quand je vois des gens bien équipés en materiel photo tout en me demandant combien de temps il me faudrait pour m’y adapter si j’en possédais un de cette sorte. Je me suis toujours fait cette réflexion que ma famille cueillait fruits, baies, champignons, ramassait les escargots alors que de mon côté je ne voyais jamais rien d’autre que des images.
tout ce que je sais sur la photo, c’estmisty Bruges – photo Patrick Gysen
pour le reste cherchez et vous trouverez peut-être,si vous respectez votre interlocuteur (identité etc)
Closer, c’est le nom d’une algue.
Ed, vous enregistrerez vos photo sur le téléphone ou sur la carte ? avez-vous un account Google ou de l’espace dans un cloud ?
closer;avant d’envoyer un jugement à l’emporte pièce,,apprenez aussi l’orthographe:
la photo mis en lien
ça suffit, votre comédie erdélienne!je ne répondrai plus;vous n’êtes que des prétentieux
Sérotonine suite
niort: L’élu a écrit au romancier, par l’intermédiaire de sa maison d’édition, « pour l’inviter à Niort et lui proposer de l’angélique », une plante qui, confite, est la spécialité de la ville, et dont « la vertu médicinale est de rendre heureux », a-t-il ajouté à l’AFP.
je ne sais pas si c’est du second degré préconisé par Lavande mais M.H.verra s’ouvrir le 7ème ciel!
l’angélique est aussi nommée racine du saint esprit!
Lavande se plaint qu’on n’apprécie pas suffisamment ses « seconds degrés ». Comme si on n’avait que ça à faire, Lavande. D’abord, un second degré, il faut qu’il soit repérable. Ce n’est pas toujours le cas. Quand la phrase est banale, second degré ou pas, ça reste banal. La matière première, oui, il faut la prendre au second degré. Par contre, il est autorisé (par Lavande), je l’espère, de répondre à sa phrase prétendument au second degré, mais comme si c’était une phrase normale. Même les personnes cultivés, qui ont le sens de l’humour, en ont le droit. Donc, Lavande, pour que votre reproche à propos de vos seconds degrés, qui seraient méprisés, peaufinez-les plutôt au lieu de vous plaindre, et faites-nous de vrais seconds degrés qui nous feront bien rire. Après tout, on ne demande que ça. Il y a tellement de choses tristes, sinon.
Dans le film , les adieux à la reine, Benoît Jacquot s’est amusé en une scène puisque le film montre les coulisses et la domesticitê de la cour, un religieux, un prêtre va rendre visite aux petites mains en cuisine et tente une jolie d’un bâton l’angélique confite.
d’angélique.
Delaporte, la tristesse irait à l’amble de la richesse, 90% détenue par 99% de la population. Les voies de la sagesse s’ouvrent à nous, seule la richesse de l’esprit et du coeur importent. Pour une balance équilibrée.
21h55 avec un léger différé et une franchise habituelle, je dois vous confier que je ne suis pas intéressée. Je présume que cela ne vous peinera ni ne vous offenser. Le cortège des aficionados ne s’en verra que d’un millionième amoindri.
OffenserA.
La Venise du nord, Jazzi, et pour ceux qui ne l’auraient pas vu, il y a ce film , Bons baisers de Bruges qui vaut bien le prix du ticket, 2008.
Non, Ed, pas vu « Monsieur & Madame Adelman », c’est bien ? ça semble être un film générationnel, pour les trentenaires actuels ? Nicolas Bedos me tape un peu sur les nerfs. Le père déjà, avant lui…
En revanche, Ed, j’ai beaucoup aimé le roman de Marguerite Duras, « L’après-midi de Monsieur Andesmas », pas vu le film qui en a été tiré.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18364839&cfilm=54152.html
2 poètes — elle, exceptionnellement, sans chapeau — :
https://blogfigures.blogspot.com/2011/04/marianne-moore-langston-hughes.html
Apparemment, Jacuzzi, vous êtes le seul ici qui ait été voir le film de Rupert Everret. Ce qui en dit long sur l’attractivité d’un tel ovni cinématographique.
Je crois reconnaître ce pont de Bruges qui enjambe le canal, on l’emprunte pour entrer dans la ville en venant de la gare http://www.photovoyage.org/bruges/photo.php?nom=5791&id=71
Un excellent roman sur Bruges pour Baroz et d’autres intéressés par les villes mortes aux âmes vives: « The Folding Star » de John Hollinghurst. La traduction est nécessaire, sauf pour dear Bloom, car la langue de Hollinghurst, critique littéraire, est dense et riche, à l’opposé de celle de Houellebecq.
Alan Hollinghurst (comme « Alan » dans Tintin)
La « plume » du président s’en va au moment où il doit écrire aux Français. Personne n’est irremplaçable, mais cette défection tombe au plus mauvais moment.
Dear Lavande, Flammarion a réédité en poche « Bruges la Morte » avec les photographies d’origine, placées aux bons endroits du récit comme le voulait Rodenbach. Sept euros pour retrouver sur papier l’âme ensablée de Bruges en 1892 valent mieux que toutes les expériences numériques.
C’est un fait que la Flandre actuelle s’éloigne de plus en plus de l’Etat Fédéral, les revendications autonomistes vont de pair avec un certain refus du Français jugé snob et royaliste, certains milieux catholiques flamands sont encore attachés à la Belgique, un curieux mélange entre tradition et mercantilisme ( VOKA ). Quand au flamand que je parle, j’en sais les limites ( le Brabant ), j’ai autrefois postulé pour un emploi à Bruges, et malgré mes efforts, la personne qui souhaitait m’engager avait reçu des instructions de n’engager qu’une personne parlant « brugeois », l’anglais étant universellement accepté pour les touristes. Les grands auteurs francophones du passé tels Maeterlinck et Rodenbach sont encore lus et réédités dans les collections Espace Nord. Je ne connais pas cet auteur Phil, c’est du roman fantastique ?
La deuxième photo montre à quel point ces édifices à peu près tous morts à leur fonction initiale peuvent être efficacement reconvertis pour des usages sociaux enfin utiles. Par exemple, on pourrait y installer des camps de concentration pour gilets jaunes. Une annexe dans le choeur en forme de chambre à gaz et le tour serait joué !
L’abbaye d’Ardenne ? Un bâtiment qui a subi les guerres. Ce document très complet donne à ce lieu une mémoire historique. Il serait dommage de le définir par la seule conservation des traces de l’histoire littéraire (parutions diverses, fiches biographiques…) ou du passé des maisons d’édition.
https://journals.openedition.org/lisa/4975
par le journaliste Tommasso Debenedetti, adepte de cette pratique et qui a réitéré cette semaine avec la création d’un faux compte Michel Houellebecq.
sur slate
bruges poèmes
https://enkidoublog.com/2013/11/16/poemes-sur-linfortunee-ville-de-bruges-plus-desiree-morte-que-vivante/
une lecture un poil nostalgique caulerpa, merci, Victor Hugo parle bien de la brique rouge …
Raphaël Fresnais, pour le quotidien Ouest-France le 27/10/2014, fit un reportage sur la vie de cette bibliothèque de l’Imec qui attire tant de chercheurs.
Les passages concernant Marguerite Duras, « Trouvillaise » d’adoption dont les carnets et manuscrits s’empilent « dans des boîtes rouges, bleues ou grises », ou « des pages de Violette Leduc rayées par Simone de Beauvoir », ne manquent pas de saveur.
Des manuscrits, mais pas seulement, écrit-il : « On ne trouve pas que des manuscrits. Des valises, cartables, objets de travail, des vêtements même… « On ne prend pas tout, nous ne sommes pas des déménageurs, sourit Nathalie Léger. J’ai refusé un fusil avec lequel un écrivain s’est donné la mort ».
Bref, un article plaisant à lire :
https://www.ouest-france.fr/normandie/labbaye-dardenne-un-tresor-de-29-km-darchives-2934661
devos :a caen les vacances
https://www.google.com/search?q=devos+caen&rlz=1C1CHBF_frFR769FR769&oq=devos+caen&aqs=chrome..69i57j0l5.6887j1j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
Ou encore « ces petits carnets de Levinas écrits dans un camp de concentration en 1942-1943 ».
merci,christiane
Victor Hugo parle aussi de la Madone à l’enfant de Michel Ange, une oeuvre assez remarquable de l’artiste, avec cet enfant joufflu, regardant de l’avant dans une sorte de vide, avec la mère en retrait, fermée. Il semble n’être même plus assis sur ses genoux. Mon père en a fait une copie en pierre de France blanche, elle orne la tombe d’une mère éplorée par le décès brutal de son fils.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Madone_de_Bruges#/media/File:Madonna_michelangelo.jpg
Il serait dommage de le définir par la seule conservation des traces de l’histoire littéraire (Christiane)
C’est bien ce que je disais. Simple question d’aménagement intérieur (j’avais oublié le crématoire, mais ça ne tient pas tellement de place). A raison de mille gilets jaunes traités par mois, on pourrait régler le problème dans des délais raisonnables.
Delaporte 6h05 : si vous ne comprenez pas mon hypothèse de queues et d’émeutes analogues à celles des sorties d’Harry Potter pour la sortie de Sérotonine, alors je déclare forfait et vous suggère de sauter mes commentaires, surtout si vous manquez de temps (« Comme si on n’avait que ça à faire, Lavande »)
Précision : si vous ne comprenez pas que c’était de l’humour, voulais-je dire, bien sûr !
« vous suggère de sauter mes commentaires, surtout si vous manquez de temps »
Mais non, chère Lavande. Pour déguster vos commentaires, j’ai tout mon temps. Mais laissez-moi les lire brut de décoffrage, sans me les expliquer a priori (le réflexe assommant de la prof que vous avez été, je crois).
impressionnante cette abbaye, merci pour le lien Christiane
Pas du tout Delaporte, je pratiquais la maïeutique (!)
Chantal, j’ai une collègue (et néanmoins amie comme on dit) qui a fait un post-doc à Louvain, si je me souviens bien. Ses collègues lui ont tout le temps parlé en anglais et ce n’est qu’à la fin qu’elle a découvert qu’ils parlaient parfaitement le français … quand ils le voulaient !
10h08: Merci à Christiane pour le lien à l’Abbaye d’Ardenne
C’est assez courant ici Lavande, d’autant que si les communications sont faites en anglais, les participants continuent dans cette langue après le travail, mais il suffit de lancer une phrase en français et on le parlera volontiers. On est un peu réservés. Si votre amie était à Louvain (l’ancienne ou la neuve ?) on a établi cet usage pour avoir la paix et travailler efficacement.
Aujourd’hui, c’est le premier vendredi du mois. Donc le premier rendez-vous du « mouvement des coquelicots », qui se décline fort simplement : rendez-vous à 18 heures devant la mairie pour réclamer l’arrêt des pesticides dans l’agriculture. Le signe de ralliement est un coquelicot (papier) à la boutonnière… Et j’ai bien envie de fabriquer quelques pancartes avec des images collées dessus, montrant des abeilles parées de magnifiques… gilets jaunes… Mais évidemment, je risque d’être toute seule devant la mairie de Forges-les-Eaux. Ou pas ???
Clopine, vous n’avez pas peur de vous faire arrêter par la police de Macron ?
C’est pas l’envie qui m’en manquerait … mais c’est un peu loin Forges-les-eaux !
Un sketch de Dino Risi qui montre la difficulté de vivre avec une grande lectrice, doublée d’une infernale adepte du téléphone (sublime Virna Lisi) :
Qu’est-ce qui nous vaut cette mélancolique escapade à Bruges, aujourd’hui ?
Y aurait-il un rapport avec le papier de Passou sur « l’abbaye d’Ardenne (Calvados), une sorte de Thélème en pleins champs près de Caen » ?
Delaporte, les coquelicots sont un mouvement de protestation citoyen et autorisé par la loi. Quant à la police, ce n’est pas elle que je crains, mais bien le tout-puissant syndicat des agriculteurs FNSEA, qui, je le sais d’expérience, peut être violent. Très violent. Mais cette violence n’est rien, par rapport à ce que subit le monde sensible, du fait de l’être humain (qui scie, ce faisant, la branche sur laquelle il est assis…). Et les abeilles, les papillons, les insectes et les oiseaux n’ont, eux, aucune autre parole que celle que nous pouvons porter pour eux. Alors… Moi j’y vais. Et vous ? Et vous tous ???
lavande, je suis persuadée qu’il y aura des coquelicots, ce soir à 18 heures, devant la Mairie de Grenoble…
Jazzi c’est moi qui ai embrayé sur le béguinage dont parle Passou pour dire que j’avais beaucoup aimé celui de Bruges.
Tu n’as pas honte, Delaporte, grand chrétien, de faire la promotion de l’adultère ?
Cet homme, qui a envie de baiser avec sa femme, est contraint d’aller passer son désir ailleurs !
Ah oui, Lavande, il suffit d’un mot, pour qu’immédiatement on déraille !
« Moi j’y vais. Et vous ? Et vous tous ??? »
Moi, je crois que je vais aller au cinéma !
@renato
Malheureusement non. Enregistré sur le portable, je suppose.
@jazzi
Le personnage principal est clairement celui de Tillier. Un véritable soleil, cette fille. Oubliez vos préjugés sur Bedos. Il est réalisateur ici, pas « polémiste ». Pas générationnel. J’adore Duras, mais vraiment. Merci pour le conseil de lecture !
Mon dernier film vu c’est Transit de Christian Petzold avec la remarquable Paula Beer, tourné à Marseille dans le quartier du port, il évoque la période trouble qui a précédé l’invasion de la ville en 40 et mets en relief la difficulté de trouver un « transit » pour se refaire une nouvelle vie quand tout bascule. On était deux dans la salle, mais c’était un film d’une rare émotion. http://www.transit-der-film.de/
On embraye Jazzi, on ne déraille pas !
trop loin pour moi clopine mais de tout coeur avec vous contre les pesticides je suis aussi pour les coquelicots
https://www.google.com/imgres?imgurl=https://www.kenzoparfums.com/sites/default/files/fbk_edp_packshot_480x720.jpg&imgrefurl=https://www.kenzoparfums.com/fr/collection-parfums-pour-femme/flower-kenzo&h=720&w=480&tbnid=kcj9P43V_soe6M:&q=kenzo+coquelicot&tbnh=186&tbnw=124&usg=AI4_-kTlBaC1NmeL-F3BuI1oiogpsOoR5Q&vet=12ahUKEwjrnJGli9TfAhUNz4UKHch7AsQQ_B0wCnoECAUQBg..i&docid=62RgrDDbWHPiYM&itg=1&sa=X&ved=2ahUKEwjrnJGli9TfAhUNz4UKHch7AsQQ_B0wCnoECAUQBg
Oui, Chantal, beau film, avec une transposition sur Marseille qui rajoute à son étrangeté. Encore une histoire de famille recomposée…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19577116&cfilm=252072.html
Bėrėnice dit: 3 janvier 2019 à 22 h 43 min
Closer, c’est le nom d’une algue.
–
…d’une algue invasive, précisons-le !
On embraye toujours du côté du chemin des écoliers indisciplinés et de l’école buissonnière, Lavande. Pas grave, le maître Passou ne nous en veut pas !
Oui Jazzi, la maman sourde muette et son petit garçon asthmatique m’a beaucoup touchée, les relations entre les personnages sont si ténues parfois … l’amour se niche curieusement. Un ballon, le silence de la honte.
l’espèce invasive,c’est surtout taxifolia,pas racemosa
« Quand au flamand que je parle, j’en sais les limites ( le Brabant ), j’ai autrefois postulé pour un emploi à Bruges, et malgré mes efforts, la personne qui souhaitait m’engager avait reçu des instructions de n’engager qu’une personne parlant « brugeois », »
A peine croyable! Tous ces gens ont-ils une once de cervelle? Ne se rendent-ils pas compte que, pour avoir refusé de jouer le jeu d’un bilinguisme national franco-flamand, ils se retrouveront à ne plus parler qu’anglais? Par haine du français et même, ici, de tout ce qui n’est pas leur patois local, ils préfèrent qu’à terme l’anglais deviennent la seule langue parlée en Flandres, ce qui arrivera nécessairement un jour ou l’autre…
d:précision pour racemosa ce qui les rend difficiles à identifier. bref, ce n’est pas des concombres,ni des potirons pour vos contes
Très drôle, D!
https://www.youtube.com/watch?v=yosog5dKhAc
les flamandes
Quand au flamand que je parle, j’en sais les limites
au français que vous écrivez,maintenant
Christiane, le résultat après renovation devrait encourager Stéphane Bern, quel travail stupéfiant, ce n’était pas gagné!
Caulerpa, D ne retient que ce qui l’arrange pour vous nuire , il n’a pas lu tout Wikipedia , Futura sciences, que sais-je no 568.
vous aviez des problèmes de cochon,maintenantcessez de balancer vos cochoncetés à la mode erdélienne
portez vous bien,et loin
N’exagérez pas, dear Closer. Le Flamand, néerlandais doit-on dire, fut un véhicule majeur du commerce mondial et parlé à l’égal de quatre autres langues par Charles V qui déjà « pissait dans 5 langues » comme on dit en bruxellois. La Flandre reproche simplement aux wallons francophones d’avoir exploité leurs ancêtres pendant 130 ans pour finir aujourd’hui par plomber les comptes du Royaume belge, incapables d’exercer des activités compétitives que eux Flamands sont habiles à développer.
Aucun souci pour l’avenir de la langue française assurée d’atteindre le quatrième rang mondial à l’horizon 2050 grâce aux surréalistes taux de natalité des pays africains.
Chantal, Hollinghurst a vécu à Bruges, bénéficié d’une bourse universitaire. Son « Folding Star » mêle Rodenbach avec Hitchcock dans une histoire homophile qui ravit les gays lettrés historicisants.
pas vraiment de la tête de gondole !
Pour la prochaine foire du livre à Bruxelles l’invité d’honneur sera la Flandre …
J’ai vu que pour le salon du livre de Paris de sera l’Europe …
Ed, iOS ou Android ?
je prends le risque de ne pas vous plaire caulerpa, mais les coquelicots de kenzo sont dépassés pour moi, je leur préfère la version suivante beaucoup plus spitante. Ne faites pas un infar hu hu :
Je ne vois pas pour quelle raison je chercherais à nuire à Caulerpa. Qu’est-ce que vous allez inventer-là, Bérénice ?
Pour moi la Caulerpe était connue comme algue invasive, j’ignorais qu’il existait diverses espèces. C’est tout.
Art Ensemble of Chicago, Urban Bushmen :
Parmi les 17 éléments que présente le chercheur contestant l’identité de Jeanne Calment figure une copie de sa carte d’identité datant des années 1930 où la couleur de ses yeux (noirs), sa taille (1m52) et la forme de son front (bas) ne correspondent pas à celles de la doyenne française au cours de ces dernières années de vie. Alimentant les doutes, Jeanne Calment avait ordonné de brûler une partie de ses archives photos quand elle est devenue célèbre, selon les chercheurs russes.
…donc la thèse russe n’est pas aussi extravagante qu’on le croit.
En général les femmes se rajeunissent, et pas seulement elles, mais Jeanne Calmant se serait volontairement vieilli ! Pour quelle raison, lointaine et obscure, qui remonterait à 1930 ? Et non pas pour entrer dans le livre des records de longévité.
Pour « Calment », il y avait une incitation économique si je me souviens. Elle avait vendu sa maison en viager.
Calment, pardon
La première « victime » de Jeanne Calment ce serait la caisse de retraite !
Bref on n’en sait rien. Seule l’exhumation des deux corps pourraient apporter une réponse et ce n’est pas prêt d’arriver.
Cela va faire comme avec Napoléon aux Invalides : impossible de savoir.
jazzi, que vous êtes naif. Les hommes se rajeunissent bien plus souvent que les femmes. À votre avis, le démon de midi, c’est quoi ? C’est une mise en pratique d’un même principe : le refus de vieillir.
renato, Android. Mes collègues m’ont conseillé d’aller dans une boutique
La victime ne serait pas la caisse de retraite (à moins de toucher deux fois en même temps, peu probable), mais l’acheteur de la maison qui est mort bien avant « Calment ».
Oui, Ed, mais les hommes ont moins souvent recourt à la chirurgie esthétique et notamment aux liftings… Ils préfèrent rester jeunes à coup de Captorix !
S’il y a des doutes sérieux, d’un point de vue scientifique, l’exhumation des corps s’impose !
Ed, avez-vous essayé le restart total (il n’efface ni le système d’exploitation ni les données).
Maintenir appuyées simultanément pendant quelques secondes les 3 touches « volume-bas » + « on off » + « touche centrale » (sur face avant en bas de l’écran), jusqu’à ce que s’affiche un écran en couleur avec un gros « WARNING » vous proposant 2 choix : « Volume haut » = installation nouveau système d’exploitation ou « volume bas » = Restart. Choisir Restart.
Si ça ne marche pas, essayez au préalable une charge de l’appareil pendant 1 heure au moins. Dites-moi si l’appareil chauffe ou non pendant la charge et si l’écran est noir ou au contraire affiche quelque chose.
Il faut par ailleurs savoir qu’une grande majorité de plantages viennent d’une batterie devenue défectueuse ce qui peut souvent arriver après 2-3 ans d’utilisation. Si la batterie est accessible le changement est à la portée de tous, il suffit d’acheter le bon modèle de batterie.
Sinon le changement est fait en boutique.
Il est plus rare que ça vienne du firmware qui s’est détraqué mais ça peut arriver. On peut installer soi-même un nouveau firmware mais c’est déjà une opération un peu compliquée et surtout cela EFFACERA TOUTES LES DONNÉES DÉJÀ ENREGISTRÉES. Évidement si vos photos étaient stockés sur carte SD enfichable, c’est du côté de la carte SD qu’il faut regarder. Mais comme vous êtes très intelligente vous le saviez déjà.
…
…on à beau, écrire; on révèle son niveau de personnalité, outre l’abondance, ou le système soumis d’héritiers,!…Ah,! bon,!…etc,!…
…
Ed, vous pouvez essayer ça :
https://www.eelphone.fr/photos/recuperer-photo-android-casse.html
C’est vrai que dans les boutiques ils font des miracles.
Cela dit, vous avez un blog Google, donc un account, vous avez donc accès au Drive où vous pouvez conserver vos documents, clichés, etc. Et c’est gratuit.
D. dit: 4 janvier 2019 à 15 h 29 min
Bref on n’en sait rien. Seule l’exhumation des deux corps pourraient apporter une réponse et ce n’est pas prêt d’arriver.
Ce n’est pas près d’arriver, en effet, et c’est très bien ainsi. A quoi bon, en effet, s’inquiéter de l’identité réelle de celle qui, un temps, fut supposée doyenne de l’humanité ? Ni elle ni celle qui, peut-être, usurpa cette identité n’existent plus. A quoi bon s’inquiéter des morts ? Ils ne sont plus, au mieux, qu’un nom sur une tombe. Nous qui sommes vivants jouissons de cet impréciable avantage dont parlait Sartre : la supériorité reconnue des chiens vivants sur les lions morts. Mais les lions morts ne sont même plus des lions. Il en va de même des humains. Un mort, c’est vraiment rien, absolument rien. Une vieille morte, c’est moins que rien.
« Un mort, c’est vraiment rien, absolument rien. Une vieille morte, c’est moins que rien. »…
Encore du sexisme.
Par ailleurs, si la mère Calment, qui avait vendu sa maison en viager, était morte, la fille se serait retrouvée à la rue. Ce n’est pas un simple problème de droits de succession.
On a bien exhumé le corps de ce pauvre Yves Montand, alors qu’il n’était pas encore tout à fait décomposé !
Si le corps de cette pauvre vieille vaut moins que rien, pourquoi ne pas l’exhumer, au nom de la science et de la vérité, Jacques R. ?
Surtout qu’en Arles, plus personne n’ose acheter en viager…
À votre avis, le démon de midi, c’est quoi ? C’est une mise en pratique d’un même principe : le refus de vieillir. (Ed)
On peut toujours se bercer d’illusions. Malheureusement nous tous, autant que nous sommes, en tant que systèmes thermodynamiques ouverts, sommes soumis à la seconde loi de la thermodynamique, et à sa conséquence : l’entropie. Comme chacun sait, l’entropie, c’est l’irréversible accroissement du désordre des constituants de ce système au fil du temps, c’est-à-dire l’irréversible accroissement de sa dégradation. Les maladies chroniques (diabète, AVC, cancers etc.), les déchéances du vieillissement, la mort, signent le triomphe de l’universelle entropie des systèmes thermodynamiques ouverts, et tous les êtres vivants en sont. Tout ce qu’on peut tenter, c’est ralentir un tout petit peu l’accroissement de l’entropie, à coups de médicaments et de gentilles pratiques inspirées de la médecine et de la gymnastique chinoises.
“My ideal for writing fiction is to put Dostoyevsky and Chandler together in one book.” —Haruki Murakami
C’est de la littérature ou de l’art culinaire ?
« »Patrick Modiano : la fabrique d’un Nobel », thème d’un séminaire de sociologie »
Là ce n’est plus de l’étude littéraire, c’est plutôt du domaine de l’autopsie !
« The point is that something, some psychological vitamin, is lacking in modern civilization, and as a result we are all more or less subject to this lunacy of believing that whole races or nations are mysteriously good or mysteriously evil. »
George Orwell
je ne sais plus qui n’aime pas les coquelicots de Kenzo;en voilàqui habillent leur homme (et leur femme)
https://www.google.com/search?q=coquelicot&rlz=1C1CHBF_frFR769FR769&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwio7tP-i9TfAhXFyYUKHak2Dg4Q_AUIDigB&biw=1280&bih=872#imgrc=OdEntEpTFgxDOM:
D’un point de vue thermodynamique, l’être humain, en tant que système ouvert, doit atteindre un état d’équilibre entre vingt et vingt-cinq ans. C’est vers vingt-cinq ans, en effet, que se manifestent les premiers signes de la sclérose du cristallin, première manifestation des dégradations liées au vieillissement. Si l’humanité doit atteindre un jour des records de longévité qui feront oublier celui de feu notre doyenne de l’humanité, ce sera en parvenant à prolonger considérablement cet état d’équilibre, auquel met fin l’accroissement sans cesse accéléré de l’entropie. Vu la complexité des choses, ce ne sera pas une mince affaire.
renato, je sais pour Drive. Malheureusement je ne l’ai pas fait jusqu’ici.
dédé : c’est la batterie, cela ne fait aucun doute. Malheureusement, c’était un S6, donc pas accès à celle-ci.
Bon je fais une dernière tentative ce soir. Si ca ne marche pas, je vais voir en boutique, sachant que je ne dépenserai pas plus de 30 EUR. Tant pis pour les photos.
Jacques R, je verrais plutôt ce demon comme un sauve qui peu avant qu’il ne soit trop tard, c’est humain néanmoins j’ai quand même l’impression que certains trainent avec ce demon au moins deux voir trois décennies. Je ne l’interprète pas comme un refus mais une peur motivant une quête de séductions, de plaisirs plus ou moins importante selon les individus. Que seraient les hommes sans leur sexe et combien de comportements à reprouver ordonne t il ? Concupiscence, quand tu nous tient , n’est ce pas. Côté femme , nous sommes plus habituées aux techniques et artifices du rajeunissement que s’approprient de plus en plus souvent les hommes, chirurgie, implants, mode et élégance pour rester attrayant, attirant, séduisant d’abords. Une hygiene de vie saine associée à une pratique sportive ou de l’exercice physique contribuent à ralentir le vieillissement des organes et de ce qui s’expose, se voit, le corps , les muscles. Pour finir, gare au soleil qui grille les peaux, toutes les peaux, les ride, les fane, les tane.
Ed, vous devriez opter pour un appareil photo, il en existe des tas, accessibles et qui font de meilleures photos qu’un portable. Si c’est votre batterie qui ne charge plus vous devriez pouvoir dépanner et accéder à vos images ?
Tiens.
je ne sais pas qui ne peut pas encaisser P.Bayard et Agatha CHRISTIE.On a censuré un exxercice de recherche de la vérité;la RDL?C est la calomnie et la nuisance permanentes par des narcisses flétris qui ne comprennent rien aux fleurs de l’édition, de l’université,et de P.Assouline eh bien cherchez et bonne soirée;moi, je préfère les vrais bouquets à ces pseudos conversations
« Tu n’as pas honte, Delaporte, grand chrétien, de faire la promotion de l’adultère ?
Cet homme, qui a envie de baiser avec sa femme, est contraint d’aller passer son désir ailleurs ! »
Ce court métrage est typique des années stupre. Qui dira après cela qu’elles furent autre chose ? L’immoralité était instituée en oeuvre d’art. Ici, à qui la faute ? Le mari est poussé à bout par sa femme, en une torture érotique retorse. Il n’a appris qu’à suivre ses pulsions, et elle aussi. Cela fait surtout un monde où l’incommunicabilité entre les sexes règne. Un monde de la damnation, pas si éloigné de celui d’Antonioni, qui heureusement savait rester plus sérieux.
J’hésite à ajouter cela sur un blog littéraire (mais après tout, voir plus bas), l’avantage d’une bonne caméra sur un portable, c’est de l’avoir avec soi. La meilleure caméra c’est celle qu’on a avec soi. Bien que j’ai plusieurs Nikon top, mes meilleures photos ont été par un portable (un peu retravaillées toutefois). Le portable, c’est peut-être, toutes proportions gardées, l’équivalent du Leica M3 +Elmarit de Cartier-Bresson (dont PA a écrit une biographie).
Le femme a choisi d’abord de lire un livre, puis de parler au téléphone, au lieu d’avoir une relation directe avec son mari. L’aliénation est là, dans l’objet inaccessible de la conversation et et du rapport à autrui. L’homme et la femme restent séparés, emprisonnés dans leur solitude respective, incapables d’un contact positif et immédiat. Belle illustration de la modernité, qui ici fait sourire, mais qui se révèle en réalité la plus terrifiante des choses.
que j’aie
Contrairement à ce que raconte Jacuzzi, ce film ne fait pas la promotion de l’adultère. Il le dénonce, à travers la misère et de l’homme et de la femme. C’est une oeuvre d’une moralité précise, qui dénonce aussi plus globalement les années stupre en en montrant la débilité intégrale. Pour un grand catholique comme moi, c’est de l’eau à mon moulin.
ni la haine ni le mépris, c’est la peur, H., ne m’aviez pas totalement convaincu. Vaincre la peur à tous les étiages de la lutte de classes, parmi le camp des dominées, le reste découle.
Bonnes circumnavigations 2019 à toutzétousses, je n’étais plus là, à temps (chaudière déconnectée, froid domestique mais chaleur du rond-point jaune, le 31 sylvestre en compensation). Aucune émeute au Leclerc de Surgères pour le Houellelbecq ce 4 au matin : les Niortais d’à côté boudent un brin, et l’angélique, c’est à Coulon qu’on la fabrique, dans le marais poitevin, et non pas à Bruges.
M’associe vivement à Pauléduel pour son bel hommage à la rdl, je le partage. Je sais que Christiane restera fidèle à ce blog (ô combien), saura éviter les pièges de sa meilleure ennemie.
Je reviendrai. Sûrement. Rhôz. Pour l’instant, il y a de la gelée le matin. ***Pensée émue à Blandine Verlet, et au clavecin qu’elle pratiqua au musée de Colmar, renato, le connaissez-vous ? (je viens d’apprendre le décès de cette grande artiste).
Regardez et admirez le jeu des acteurs : ils jouent des personnages stupides, vides, idiots. Jacuzzi ne l’a pas discerné, cela lui a échappé, comme beaucoup de choses. Jacuzzi est un consommateur de films, il les gobe sans réfléchir. Ses jugements sont toujours superficiels. Sur un court métrage de 15 mn, il se trompe pareillement. Il n’y a rien compris du tout, et c’est pourtant un film qui s’adressait au plus grand nombre.
Les Chinois se sont posés sur la lune.
Jacuzzi n’est pas là : il est reparti au cinéma voir un film. Comme si ça allait servir à quelque chose !
oubli, de quoi se p/réchauffer …
https://www.youtube.com/watch?v=NOX3WtkrbpY
Par exemple, Jacuzzi avait vu le film de Rupert Everret sur Wilde, mais n’a rien su nous en dire de précis. Le film que lui a vu, et que moi je n’ai pas vu, n’est pas le même. J’en conclus d’ailleurs qu’il est plus efficace de ne pas se déranger pour voir un tel film : on a plus de choses à en dire. J’en ai personnellement dit plus sur ce film que Jacuzzi, c’est indéniable. Ne pas se déranger conduit à réfléchir davantage. Jacuzzi est quelqu’un de trop actif, il perd le goût du cinéma et de la réflexion qui va avec. C’est bien dommage.
Mon Cher Delaporte, les chinois ne se sont pas posés sur la Lune, il y ont posé un de leurs engins, sur la face cachée. C’est tout différent. Ce n’est pas un exploit, la seule petite difficulté était d’établir un relais de communication via un satellite artificiel orbital afin de télécommander le bidule. Les données mettant alors non plus 1,5 secondes mais 3 secondes pour arriver sur la Lune ou à l’inverse sur la Terre.
Non la prouesse c’est plutôt d’avoir reçu l’autorisation de l’entité DÉJÀ INSTALLÉE sur la face cachée de la Lune depuis fort longtemps et qui envoie régulièrement des flottilles d’engins de toutes sortes sur Terre pour différentes missions de surveillance, recueil et contrôle.
Les photos qui en attestent nous les avons.
Et donc la question à se poser est : quel pacte a été passé avec le gouvernement chinois et quelles en seront les conséquences pour nous autres.
www.http://michelduchaine.com/2014/12/22/danciennes-installations-extraterrestres-sur-la-lune/
Le vrai écrivain et le Tire à l’Arc :
https://blogfigures.blogspot.com/2010/06/julio-cortazar.html
Une hygiène de vie saine associée à une pratique sportive ou de l’exercice physique contribuent à ralentir le vieillissement des organes et de ce qui s’expose, se voit, le corps , les muscles.
–
euh… ce n’est pas si simple. Encore faut-il avoir réussi à définir correctement le contenu de l’hygiène de vie et de la pratique sportive. Il y a beaucoup d’idées reçues. Par exemple la course à pied (jogging) est toujours néfaste et peu de gens l’ont compris. Même avec un bon équipement, à partir d’un certain âge elle martyrise les articulations, y fait de gros dégâts d’usure (genoux, dos) et ne fait travailler que le bas des muscles du corps. Son seul intérêt est d’entrainer le cœur mais il y a beaucoup d’autre façons de le faire sans courir ! Vous avez souvent évoqué la natation et, oui, c’est bien préférable au jogging en effet. Le vélo est bien mieux aussi pour les articulations et le dos. Mais rien en remplace à mon sens le Qi-gong qui peut comporter des phases intensives destinées à entrainer le cœur. Il n’y a pas plus équilibré et sain.
Quant à l’alimentation, à partir d’un certain âge aussi le grand écueil est la sous-nutrition du muscle par un apport protéique insuffisant. Genre soupe le soir, petite salade et yaourt 0 %. Très mauvais. Si en effet les glucides lents et les graisses doivent être restreints le soir en particulier, les protéines doivent être toujours augmentées et comporter une part importante de protéines animales (œuf, poisson, viande pas trop grasse etc…). Particulièrement après une pratique sportive même courte.
N’oublions pas que le cœur est un muscle et a besoin de protéines. Faire du cardiotraining c’est bien, mais le cœur doit être nourri correctement, pas seulement en oxygène pendant l’entrainement mais en protéines après l’entrainement.
Attention aux soupes du soir. La soupe c’est bon, mais en gros c’est de la flotte avec un peu de cellulose. Pour exagérer. Votre cœur après l’entrainement réclame du fromage blanc (maigre), des œufs, du blanc de poulet (bio), des lentilles, des pois cassés.
Eh ouich.
30 euros ça risque d’être un peu court pour un changement de batterie sur un S6. La batterie elle-même ne vaut pas plus de 15 euros. Mais il y a une bonne 1/2 heure de main d’œuvre à mon sens.
Il faut trouver un chinois ou un pakistanais et d’emblée négocier dès le départ un forfait pièce et main d’œuvre. En lui achetant une bricole en plus du genre coque ou autre. Ils aiment bien les petites négociations comme ça.
Il faut éviter ceux qui font la publicité sur internet avec les prix des forfaits déjà annoncés. Ils sont 2 fois plus chers que ce qui devrait. Mais comme vous êtes très intelligente et débrouillarde vous savez déjà tout ça.
Les personnes avec des problèmes rénaux ne doivent évidemment pas suivre mes conseils. Ceux-ci sont donnés pour une personne en bonne santé.
… un vrai ouvroir de littératures pestilentielles (ces recettes de santé sauvages de D.).
Qui a dit qu’il y avait moins d’idéologie dans Sérotonine que dans Soumission ? Mais c’en est truffé au contraire, le royaume restreint de l’amour, tu déco.nnes ou quoi, c’est des plus subversifs par les temps qui courent, mon pote !
Les chinois sont allés se cacher derrière la lune, m’étonne pas d’eux, ils nous envahissent sans que ce soit visible à l’oeil nu , là l’oeil muni d’une lunette astronomique.
qui parlait de DEGAS?
None of the former Impressionists, however, was as ardently anti-Dreyfusard and, it would seem, as anti-Semitic as Edgar Degas. When a model in Degas’ studio expressed doubt that Dreyfus was guilty, Degas screamed at her “you are Jewish … you are Jewish …” and ordered her to put on her clothes and leave, even though he was told that the woman was actually Protestant. Pissarro, who continued to admire Degas’ work, referred to him in a note to Lucien as “the ferocious anti-Semite.” He later told his friend Signac that since the anti-Semitic incidents of 1898, Degas, and Renoir as well, shunned him. Degas, at the height of the affair, even went so far as to suggest that Pissarro’s painting was ignoble; when reminded that he had once thought highly of his old friend’s work he replied, “Yes, but that was before the Dreyfus affair.”
. The first, a work in pastel and tempera on paper of 1879, is by Edgar Degas, and it represents Ludovic Halévy, the artist’s boyhood friend and constant companion, writer, librettist, and man-about-town. Halévy is shown backstage at the opera with another close friend, Boulanger-Cavé. The image is a poignant one. The inwardness of mood and the isolation of the figure of Halévy, silhouetted against the vital brilliance of the yellowish blue-green backdrop, suggest an empathy between the middle-aged artist and his equally middle-aged subject, who leans, with a kind of resigned nonchalance, against his furled umbrella. The gaiety and make-believe of the theater setting only serves as a foil to set off the essential solitude, the sense of worldly weariness, established by Halévy’s figure. Halévy himself commented on this discrepancy between mood and setting in the pages of his journal: “Myself, serious in a frivolous place: That’s what Degas wanted to represent.” The only touch of bright color on the figures is provided by the tiny dab of red at both men’s lapels: the ribbon of the Legion of Honor, glowing like an ember in the dark, signifying with Degas’ customary laconicism the distinction appropriate to members of his intimate circle—though Degas himself viewed such institutional accolades rather coolly. Halévy, of course, was a Jew; a convert to Catholicism, to be sure, but a Jew, nevertheless, and when the time came, a staunch Dreyfusard. His son, Daniel, one of Degas’ most fervent admirers, was to be, with his friend Charles Peguy, one of the most fervent of Dreyfus’ defenders. No one looking at this sympathetic, indeed empathetic, portrait would surmise that Degas was (or would become) an anti-Semite or that he would become a virulent anti-Dreyfusard; indeed, that within 10 years, he would pay his last visit to the Halévys home, which had been like his own for many years, and never return again, except briefly, on Ludovic’s death in 1908, to pay his final respects.
pour clopine
Bolivie : la culture de la coca menace les abeilles
En Bolivie, l’usage intensif de pesticides pour protéger les cultures de coca des insectes entraîne un déclin du nombre d’abeilles.
Pour l’hygiène de vie, une possibilité, la marche en montagne, et en hiver (neige plus douce pour les genoux à la descente). Les bras travaillent avec les bâtons.
Vous racontez toujours les mêmes histoires, JJJ.
Si vous nous parliez littérature pour changer ?
Et puis avez-vous seulement présenté vos bons voeux ? Je n’en ai trouvé trace nulle part ici.
J’espère, vedo, que vous ne faites pas partie de ces personnes d’âge mûr équipés de bâtons de marche ? Parce que je n’ai jamais pu réprimer mon agacement en les voyant ainsi.
Veuillez m’excuser si j’ai pu vous choquer, Caulerpa, car c’était bien involontaire de ma part. Sachez que je juge vos commentaires fort intéressants jusqu’à présent, quoique souvent inattendus. Ce qui n’est pas péjoratif.
Voici la liste des espèces du genre et elle est en effet considérable.
Selon ITIS :
Caulerpa ambigua Okamura
Caulerpa annulata Lucas
Caulerpa ashmeadi
Caulerpa bikinensis Taylor
Caulerpa biserrulata Sonder
Caulerpa brachypus Harv.
Caulerpa crassifolia (C. Ag.) J. Ag.
Caulerpa cupressoides (West) C. Agardh
Caulerpa falcifolia Bailey & Harvey
Caulerpa fastigiata Mont.
Caulerpa fergusonii Murray
Caulerpa filicoides Yamada
Caulerpa lentillifera J. Ag.
Caulerpa macrodisca Decaisne
Caulerpa mexicana (Sonder Ex Kuet.) J. Ahardh
Caulerpa microphysa (W. V. Bosse) Feldmann
Caulerpa nummularia (Harv.) Reinke
Caulerpa okamurai W. V. Bosse
Caulerpa paspaloides
Caulerpa prolifera (P. Forsskal) Lamouroux
Caulerpa racemosa (Forsskal) J. Agardh
Caulerpa sedoides (R. Br.) C. Ag.
Caulerpa serrulata (Forsskal) J. Agardh
Caulerpa sertularioides (S. G. Gmelin) Howe
Caulerpa taxifolia (Vahl) C. Ag.
Caulerpa urvilliana Mont.
Caulerpa verticillata J. Ag.
Caulerpa vickersiae
Caulerpa vieillardi Kuetz.
Caulerpa webbiana Mont.
Selon WRMS [archive] :
Caulerpa agardhii Weber-van Bosse, 1898
Caulerpa alternans Womersley, 1956
Caulerpa ambigua Okamura
Caulerpa annulata Lucas, 1931
Caulerpa antoensis Yamada
Caulerpa articulata Harvey, 1855
Caulerpa ashmeadii Harvey, 1858
Caulerpa bartoniae G. Murray
Caulerpa bikinensis W.R. Taylor, 1950
Caulerpa biserrulata Sonder, 1871
Caulerpa brachypus
Caulerpa brownii (C. Agardh) Endlicher
Caulerpa buginensis E. Verheij & Prud’homme van Reine, 1993
Caulerpa cactoides (Turner) C. Agardh
Caulerpa carruthersii G. Murray Caulerpa Carruthersii, 1893
Caulerpa clavifera (Turn.) Web. V. B
Caulerpa cliftonii Harvey
Caulerpa constricta I.R. Price, J.M. Huisman & M.A. Borowitzka, 1998
Caulerpa cupressoides (Vahl) C. Agardh, 1817
Caulerpa denticulata (Decne.) Web. V. B.
Caulerpa dichotoma Svedelius, 1906
Caulerpa diligulata Kraft & A.J.K. Millar, 2000
Caulerpa distichophylla Sonder, 1845
Caulerpa ellistoniae Womersley, 1955
Caulerpa elongata Weber-van Bosse
Caulerpa falcifolia Harvey & Bailey, 1851
Caulerpa faridii Nizamuddin, 1964
Caulerpa fastigiata Mont.
Caulerpa fergusonii G. Murray, 1891
Caulerpa filicoides
Caulerpa filiformis (Suhr) Hering
Caulerpa flexilis J.V. Lamouroux ex C. Agardh
Caulerpa floridana W.R. Taylor, 1960
Caulerpa geminata Harvey
Caulerpa gracilis (Zan.) Web. V. B.
Caulerpa harveyi F. Müller ex Harvey, 1859
Caulerpa hedleyi Weber-van Bosse, 1910
Caulerpa heterophylla I.R. Price, J.M. Huisman & M.A. Borowitzka, 1998
Caulerpa holmesiana G. Murray
Caulerpa imbricata G. Murray, 1887
Caulerpa juniperoides J. Agardh, 1883
Caulerpa kempfii A.B. Joly & S. Pereira
Caulerpa lagara Carruthers, Walker & Huisman, 1993
Caulerpa lanuginosa J. Agardh
Caulerpa lentillifera J. Agardh, 1837
Caulerpa lessonii Bory de Saint-Vincent, 1828
Caulerpa longifolia C. Agardh
Caulerpa macrophysa Web. V. B.
Caulerpa manorensis Nizamuddin, 1964
Caulerpa matsueana Yamada, 1940
Caulerpa mexicana Sonder ex Kützing, 1849
Caulerpa microphysa (Weber-van Bosse) J. Feldmann
Caulerpa murrayi Weber-van Bosse
Caulerpa nummelaria Harvey ex J. Agardh
Caulerpa nummularia Harvey ex J. Agardh, 1873
Caulerpa obscura Sonder
Caulerpa occidentalis (J. Ag.) Boergs.
Caulerpa okamurae Weber-van Bosse, 1897
Caulerpa oligophylla Montagne, 1842
Caulerpa ollivieri Dostál
Caulerpa opposita Coppejans & Meinesz, 1988
Caulerpa papillosa J. Agardh
Caulerpa parvula Svedelius, 1906
Caulerpa paspaloides (Bory de Saint-Vincent) Greville, 1830
Caulerpa peltata J.V. Lamouroux, 1809
Caulerpa pickeringii Harv. & Bail.
Caulerpa pinnata C. Agardh, 1817
Caulerpa plumulifera Zanardini, 1878
Caulerpa prolifera (Forsskål) J.V. Lamouroux, 1809
Caulerpa pusilla (Kützing) J. Agardh, 1873
Caulerpa qureshii Nizamuddin, 1964
Caulerpa racemosa (Forsskål) J. Agardh, 1873
Caulerpa remotifolia Sonder
Caulerpa reniformis South & Skelton, 2003
Caulerpa reyesii Meñez & Calumpong, 1982
Caulerpa scalpelliformis (R.Brown ex Turner) C. Agardh, 1817
Caulerpa sedoides C. Agardh, 1817
Caulerpa selago (Turner) C. Agardh
Caulerpa serrulata (Forsk.) J. Ag.
Caulerpa sertularioides (S.G.Gmelin) M.Howe, 1905
Caulerpa seuratii Weber-van Bosse, 1910
Caulerpa simpliciuscula (R. Brown ex Turner) C. Agardh
Caulerpa spathulata Womersley & A. Bailey, 1970
Caulerpa subserrata Okamura, 1897
Caulerpa taxifolia (M.Vahl) C. Agardh, 1817
Caulerpa tomentella (Harv.) Web. V. B.
Caulerpa trifaria Harvey
Caulerpa turbinata (J. Ag.) Eubank
Caulerpa urvilleana Montagne
Caulerpa uvifera (Turn.) Web. V. B.
Caulerpa vanbossea Setchell & N.L. Gardner, 1924
Caulerpa veravalensis Thivy & Chauhan, 1963
Caulerpa verticillata J. Ag.
Caulerpa vesiculifera (Harvey) Harvey
Caulerpa vickersiae Boergs.
Caulerpa webbiana Montagne, 1837
Caulerpa zeyheri Kutzing
Pour les bâtons, tout dépend des conditions. Quand elles requièrent des crampons, ou pour les descentes raides, ils sont bien utiles (comme je peux le constater autour de moi, à peu près tous âges confondus).
Mission accomplie. À bientôt sur l’un de mes blogs.
Pour les bâtons, tout dépend des conditions.vedo
Mais la marche en plaine ou en colline moyenne ( juste un bon petit cardio ) c’est pas mal non plus, non?
» juge vos commentaires fort intéressants jusqu’à présent, quoique souvent inattendus. »
Traduction en langage vrai, D., stp !
(c’est aussi chiant que ta dernière liste…)
merci,D!imaginez qu’on arrive à en faire des produits
selon leurs propriétés pour la pharmacie,l’hygiène etc ;quelle ressource!
bonsoir!
c’est une liste pour Eco!
https://journals.openedition.org/chrhc/2419
Ed dit: 4 janvier 2019 à 20 h 42 min
Mission accomplie. À bientôt sur l’un de mes blogs.
–
euh quelle mission ?
Vous pourriez-nous en dire un peu plus sur le dernier Houellebecq, JJJ ?
Donnez-nous l’envie… !
« euh quelle mission ? »
Tu le sais très bien, D.
Et en plus, ça a dû lui coûter moins de 30 euros !
Bien vu, Delaporte, j’étais au cinéma !
(Quand je ne suis pas au cinéma, c’est que je suis allé au bordel…)
0 étant inférieur à 30, oui jazzi.
filiformis, flexilis, ambigua, bikinensis, turbinata, anullata, vesiculifera… tu trouves ça pas intéressant, Jazzi ?! Moi ça me fait rêver.
Lu dans « Le Monde des livres » les deux pages consacrées à notre génie national, Michel Houellebecq. Enchaîné sur les comptes-rendus radio-télé de la parution de « Sérotonine ». C’est un concert unanime d’hommages, d’éloges, de commentaires enthousiastes. Avec son billet ronchon, Assouline reste bien seul de son bord. Et s’il n’en reste qu’un, il sera celui-là. Dans le registre de la méga-plantade, on ne voit guère que Macron qui ait fait plus fort. Peut-être pourrait-on exiger des excuses publiques. En tout cas, il semble qu’on puisse scander sans opprobre « Assouline demi-Sion », vu que le total sioniste, c’est Houellebecq ! Houellebecq le Grand !
Houellebecq le Grand !
Et non Zorbec le Gras, auquel je rends l’hommage enthousiaste qui lui est dû !
« La Flandre reproche simplement aux wallons francophones d’avoir exploité leurs ancêtres pendant 130 ans »
Je ne sais pas ce que vous entendez par là, dear Phil…La Wallonie a été dominante en tant que région des vieilles industries, charbon, sidérurgie, etc, comme le Nord de la France et la Lorraine. Mais, à ma connaissance, les flamands n’étaient pas réduits en esclavage et enchaînés dans les mines de charbon du Borinage! Et puis la roue a tourné et ces industries sont devenues des boulets à traîner et la Flandre, plus tournée vers le large, s’est retrouvée la plus prospère…Pas de quoi haïr les francophones jusqu’à la septième génération! Et surtout ne me sortez pas la fable des soldats flamands qui seraient morts en masse pendant la guerre de 14/18 parce qu’ils ne comprenaient pas les ordres des officiers tous francophones! Pitié, pas cette ânerie…
Si je suis un peu véhément sur ce sujet, Phil, c’est que j’ai une relation affective avec la Belgique pour des raisons personnelles, bien que sans la moindre ascendance belge…Il a manqué à ce pays un chef charismatique autoritaire pour imposer le bilinguisme partout, enseignement obligatoire de l’autre langue principale dès l’école primaire, matière éliminatoire à l’équivalent du CEP, du Brevet et du Bac, pendant qu’il était encore temps (probablement avant 1914). Hélas, c’est foutu, comme beaucoup d’autres choses.
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