
La smala d’Abd-el-Carrère mise à nu
D‘Emmanuel Carrère, je suis loin d’être un inconditionnel. Pour n’évoquer que les plus récents, si Le Royaume m’a exaspéré par sa vulgarité, Yoga m’a impressionné par sa violence psychique. Cette fois, avec Kolkhoze (560 pages, 24 pages, Pol), je suis, non sans réserves, conquis et convaincu que ce livre (non pas un roman mais « un Carrère ») sera des rares à dominer la rentrée à juste titre. Il explore l’histoire de ses familles, le côté des Zourabichvili et celui des Carrère d’Encausse (oui, Hélène, l’historienne et académicienne, était sa mère, issue de la famille aristocratique des comtes Panine, hante chaque page de Kolkhoze du début à la fin). Comme d’autres en pareille situation, le narrateur-auteur range la maison familiale après la mort de ses parents. En l’espèce, il s’agit de l’appartement de fonction de la secrétaire perpétuelle de l’Académie française. (« Déjà immortelle, elle l’était désormais à perpétuité »). Voilà le tableau : on n’est pas chez les bouseux- et alors ? les grands bourgeois n’ont pas droit à la mort eux aussi avec chasse aux souvenirs et réminiscences assorties ?
La touche Carrère, c’est une certaine manière de raconter, lui au centre les autres autour, sans que jamais ce ne soit irrespirable d’égolâtrie car dans l’histoire, d’autres vies que la sienne l’emportent toujours. De fait, la brique que constitue ces quelques 560 pages n’effraie pas. Epaisse mais jamais lourde, au contraire. Beaucoup d’humour, un zeste d’understatement (« cela semble une constante dans ma famille d’être toujours en politique du côté le moins sympathique »… »… « Il est devenu si affreux d’être russe aujourd’hui que j’ai envie de me trouver d’autres racines ») et une mémoire incertaine car trouée par des séances d’électrochocs à Sainte-Anne à la suite d’une sévère dépression mélancolique. Le choix d’une chronologie anachronique faite de flashbacks et de flashforwards le pousse souvent à prévenir et annoncer qu’il y reviendra par la suite.
Dans son autoportrait en filigrane, il ne se ménage guère et s’y révèle comme un type qui n’a pas le courage de ses opinions, ne comprend pas un mot d’anglais et parle mal le russe, asocial etc. Il est vrai que le personnage est clivant et qu’il suscite bien des jalousies chez ses pairs par ses succès tant critiques que publics ; certains ont parfois la carte quand lui semble avoir en permanence tout le jeu de cartes ; ça leur est si intolérable qu’ils en oublient de juger le livre. Son idéal, ce serait de se retirer dans le grand hôtel de la Montagne magique à Davos pour y lire sur la terrasse emmitouflé dans des plaids parmi des tuberculeux. La faute au caractère avec sa part d’héritage et à l’éducation :
« Ce n’est pas la même chose, ce n’est pas le même rapport au monde d’avoir eu comme ami de la famille Romain Gary ou Maurice Bardèche ».
Une devise familiale plus british que géorgienne : never explain, never complain. Pas de quoi dissiper les malentendus, ambiguïtés, non-dits et autres secrets de famille. Justement, c’est là que le bât blesse. Celui de sa mère, c’est d’avoir été la fille d’un collabo étrangement mort à la Libération. De cela on n’en parlait pas. On savait juste qu’il avait travaillé pour les services économiques de la Kommandantur parce qu’il parlait bien l’allemand, rien de grave. Ça, c’est la version de la mère, la seule femme qu’il ait jamais aimé, pas facile dès lors d’écrire ce livre « sous le signe de la piété filiale » ; car la version de son oncle était plus hard, et pour cause, elle disait le vrai.
Toute sa vie, il fut tiraillé entre les deux versions et en nourrira une passion pathologique pour la vérité. Après avoir transgressé l’omerta dans Un roman russe (2007), Carrère prit conscience, mais un peu tard car le mal était fait, que cette révélation urbi et orbi allait tuer sa mère. De fait, pour la seule fois de sa vie, elle fendit l’armure et s’écroula, elle qui jusqu’alors n’était qu’un bloc d’optimisme d’une mauvaise foi et d’une robustesse à toute épreuve. Elle songea à démissionner et à quitter la France tant la honte la submergeait. Pendant deux ans ils n’échangèrent pas un mot. Son père avait été un paria de la Libération et n’en était jamais sorti. Sa déchéance sous les yeux de son enfant a été « le noyau de tout ce qu’elle a été et de tout ce qu’elle sera ».
Là, il enfonce le clou post mortem sur la dimension franchement facho de sa mère, sa propension à honorer la mémoire de Robert Brasillach, sa longue et solide amitié pour le négationniste Maurice Bardèche, beau-frère du précédent. Mais la mère admirait tout autant Raul Girardet, le plus solaire des professeurs d’histoire de SciencesPo, et Maxime Rodinson, son directeur de thèse, un professeur Tournesol islamologue, juif et marxiste qui fut son mentor adoré, ainsi que, on allait l’oublier, Michel Houellebecq qui était devenu « sa boussole morale ». L’une des qualités de ce récit de famille qui n’en manque pas, c’est aussi de rappeler des silhouettes, des déclarations, des faits oubliés. Telle la réaction de Sartre lorsqu’on lui demandait de réagir à des preuves de l’existence de camps en URSS :
« Si cela existe, je trouve cela condamnable, bien sûr, mais tout autant l’usage qu’en fait la presse bourgeoise pour discréditer le communisme ».
Un « tout autant » qui pèse son poids d’ignominie. C’était vers 1968, plusieurs années avant la révélation du Goulag dira-t-on, mais longtemps après les dénonciations publiques de Boris Souvarine et Victor Kravchenko. Autre piqure de rappel bien plus tard la décision de la Tate Gallery de débaptiser ses Danseuses russes, des gouaches de Degas, pour les rebaptiser Danseuses ukrainiennes.
Avec Kolkhoze, l’auteur fore et creuse encore dans le fol espoir d’accéder à ce qu’il tient pour la source de son introspection : « l’amour sans limite qui nous a unis dans mon enfance », elle et lui bien sûr, dans un appartement où la lecture est érigée en règle absolue jusqu’à bannir radio et télévision. Longtemps, la mère et ses trois enfants (« la smala d’Abd el-Carrère ! ») ont dormi dans la chambre conjugale quand le père voyageait en province. Dans le lit et sur des matelas par terre. Ils appelaient ça « Faire kolkhoze ». Ca aurait ça, le bon titre, assez mystérieux, le vrai titre plutôt que Kolkhoze qui prête à confusion et annonce un traité sur la propriété collective des biens de production et des lopins de terre en Union soviétique à partir de 1928.
Son père, personnage si insignifiant et si anodin par sa présence, son apparence, son propos, est le plus attachant de tous ceux de cette tribu car il est le plus pathétique. Son effacement sous la férule de la mère supérieure du quai Conti, « la tsarine » comme l’y appelaient ses sujets, émeut. On a envie de l’aider quand on le voit partir pour ses tournées en province des agences d’assurances de la GMF en prenant soin d’emporter sa petite boite de Paic citron pour laver ses slips et ses chaussettes dans le lavabo de l’hôtel. Ou quand leur fils raconte l’adultère prolongé de la mère qui dès lors exila le père, brimé, humilié, cassé dans un cagibi amélioré au fond du long couloir de l’appartement. Le livre rend justice à cet homme, prince consort qui ne s’épanouissait qu’hors de l’ombre écrasante d’une femme qu’il admirait encore après soixante-et-onze ans de mariage.
(« Hommage national à Hélène Carrère d’Encausse, le 3 octobre 2023 aux Invalides à Paris » photo Ludovic Marin ; « Emmanuel Carrère » photo D.R.)
681 Réponses pour La smala d’Abd-el-Carrère mise à nu
Cette persévérance implacable de Gigi la visqueuse à faire l’autoportrait d’un imbécile.
« Je ne peux vous décrire à quel point cela me répugne quand les gens jouent avec les faits. Si je déformais les choses en fonction de ce qui m’arrange ou pour les rendre plus dramatiques, j’aurais l’impression d’avoir échoué en tant qu’écrivain. Si vous comprenez ce dont vous parlez, vous devriez tirer le drame de la vie réelle, et non pas l’ajouter, comme une couche de glaçage sur un gâteau. »
Il faut toujours prendre en compte le manque d’imagination de la plupart des créatifs et les désastres que le recours à la sociologie a produits dans les arts (le manque d’imagination produit des faux imaginaires). Enfin, cette plaie (pli) semble être une limite amplement partagée : vous prenez une histoire et vous la cousez selon vos propres phantasmes.
Exemple : 1867, pendant son service militaire, Nietzsche tombe de cheval lors d’un exercice d’entraînement : il se fracture le sternum, souffre d’atroces douleurs et reçoit de la morphine. Déclaré inapte au service militaire, il retourne à la vie civile et reprend ses études.
Des années de là Nietzsche embrasse un cheval puis s’effondre en spasmes. On sait que Nietzsche hurlait de douleur et que la police municipale de Turin l’a simplement arrêté pour trouble à l’ordre public. Nous savons aussi que, le cheval fouetté était un topos animalier et moral de l’époque (représentation de la Cruauté) — par ailleurs dans les écrits de Nietzsche la compassion ne jouit pas d’une grande estime.
Je voudrais aussi mentionner La Catastrophe de Nietzsche à Turin (Einaudi, 1978), où Anacleto Verrecchi reconstitue la genèse du mythe du cheval, et la seule bibliographie qu’il ait trouvée est un article de 1900 pour Nuova Antologia, publié un mois après la mort du philosophe et plus de dix ans après le prétendu accident de Turin.
Donc, l’incident n’est pas exactement une fake news, mais presque ; cependant un réalisateur parvient à reconstituer l’histoire du cheval de Turin, un de ces mythes qui hantent les biographies de personnages célèbres. Ce mythe semble calqué sur la scène de Crime et Châtiment où Raskolnikov rêve d’aider un cheval battu. Et comment pourrions-nous oublier la confession de Salieri, que personne n’a retrouvée, qui, parmi les nombreux fantasmes entourant la mort de Mozart, a donné à Pouchkine l’occasion d’écrire un court drame, et à Rimski-Korsakov d’en faire un opéra ?
Et Fritz Lang puisera quelque chose dans les Civiises pour Métropolis…
Pour le reste, il me semble qu’une partie de Mes Poisons avait déjà été publiée a l’époque de Troubat,le secrétaire de SB, qui fit argent des manuscrits du patron, non ? Le texte ne correspond pas tout à fait a la version Giraud mais certains passages sont communs aux deux. Lire aussi Ste Beuvert ses Incinues, d’ A-J Pons…
Sur la. Correspondance en principe détruite avec Madame Hugo, il existe le résumé tres complet établi sur les originaux avant autodafé, s’il eut lieu. Certains Hugoliens en doutent…. MC
Voilà qq précisions supplémentaires, dont on subodorait un brin l’arrivée. Comme quoi, il n’y a jamais de grandes surprises sur cette chaine, hélas… Cela dit, on passera notre chemin vu qu’on a assez donné à la gourme de l’RDL, sur la grande Sainte. Pour une réf. plus précise que la précédente, voir
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k204640q.image
De rien. Il pleut cafard-buvard ce matin. Tâchons de.
@ « Je ne peux vous décrire à quel point cela me répugne quand les gens jouent avec les faits. Si je déformais les choses en fonction de ce qui m’arrange ou pour les rendre plus dramatiques, j’aurais l’impression d’avoir échoué en tant qu’écrivain. Si vous comprenez ce dont vous parlez, vous devriez tirer le drame de la vie réelle, et non pas l’ajouter, comme une couche de glaçage sur un gâteau. »
Vous aussi, S-B/RM, vous approuvez cette opinion de bon sens ?
Il y existe une excellente version de Mes poisons chez Corti. Sans rien connaître de l’histoire littéraire et de ses contemporains, le sel en échappe.
Les Cahiers de Sainte Beuve ont paru vers 1975 chez Gallimard, du moins le premier volume. Mais l’éditeur du texte est mort au moment de cette publication ou peu après et, sauf erreur, le travail n’a pas été repris, le second volume n’est jamais paru. Curieuse négligence de la part de Gallimard.
L’érudition de Sainte Beuve est saisissante mais son étroitesse de vue l’est aussi. Proust a raison d’imaginer la comtesse de Boigne ouvrant Le Constitutionnel (est-ce bien ce titre? Je ne vérifie pas) chaque matin.
Moi, je ne sais pas faire le glaçage sur le gâteau au citron/pavot, dont pourtant je trouve fort esthétiques les coulures, et, à y penser bien après l’aube, il me semble que rajouter qq.violettes de Toulouse sur le glaçage serait fort seyant.
Pierre Loti a pratiqué aussi l’autodafé, si j’ai bien compris sur la correspondance et aussi sur ses carnets intimes, innombrables, et apparemment un de ses fils aurait persévéré dans ce sens. Je ne sais si c’est l’aîné, Samuel. Le second, de fait, puisque l’aîné est mort très rapidement, alors qu’il était le portrait craché de son père, ou parce qu’il l’était : qui sait l’intention des nourrissons ?
Enfin, le but de ses autodafés, pratiqués par Pierre Loti était de cacher.
Or, j’arrive lentement à la fin, hier, j’avais perdu le livre, Lesley Blanch a réuni une somme d’informations en tant que biographe, stupéfiante. Un jour, par exemple, ayant eu accès à la maison du pays basque, pays que Loti affectionna tout autant que sa Turquie aimée, Lesley trouva un paquet de lettres qui avait échappé à l’autodafé.
Oui, la Corti est actuellement la plus accessible. Peu ou pas de notes , mais on a l’habitude de faire sans….
Autodafe ou caviardage, Rose? Pour le Journal j’ai lu , ne me demandez pas dans quelle bio, qu’il s’agissait d’un caviardage. Et j’etais resté sur cette impression…
DEMELER LES FAITS AU BUREAU DES LEGENDES.
(Un exemple nietszchéen édifiant)
—-
Le récit de la femme de Loth dans la Genèse commence après l’arrivée de deux anges à Sodome, au soir, où ils ont été invités à passer la nuit dans la maison de Loth. À l’aube, les anges l’exhortèrent à fuir avec sa famille, afin d’éviter la catastrophe imminente qui allait châtier la ville. Loth tarda à partir, si bien que les anges prirent sa main ainsi que celles de sa femme et de ses filles, et les firent sortir de la ville, en leur intimant l’ordre suivant : « Fuyez pour sauver votre vie ! Ne regardez pas derrière vous, et ne vous arrêtez pas n’importe où dans la plaine ; fuyez vers les collines, de peur d’être emportés. ». Loth refusa de fuir vers les collines et demanda l’asile dans une petite ville à proximité, connue sous le nom de Zoar, qui accepta cette demande. Voyageant derrière son mari, la femme de Loth regarda en arrière vers Sodome, et fut changée en une statue de sel.
*** Le verbe hébreu utilisé pour désigner l’action de la femme de Loth « regarder » est traduit par תבט, tāḇeṭ. Un verbe distinct est utilisé pour désigner l’action d’Abraham «regarder» , qui se traduit alors par שקף, šāqap.
*** L’histoire de la femme de Loth semble être en partie fondée sur une légende populaire qui explique l’existence d’une structure géologique.
Un pilier de sel nommé « la femme de Loth » est situé près de la mer Morte sur le mont Sodome en Jordanie. La Mishna stipule qu’une bénédiction doit être déclamée à l’endroit où se trouve cette structure de sel. D’autres piliers se trouveraient du côté de la mer Rouge ainsi que près du mur de Jéricho.
*** L’historien juif Flavius Josèphe prétend avoir vu la statue de sel en laquelle fut changée la femme de Loth. Son existence est également attestée par les premiers pères de l’Église Clément de Rome et Irénée).
Alléchant choix fait par France Culture autour de huit romans, dont le Mauvignier.
Le lien ne passe pas.
Marc Court,
Apparemment, d’après Lesley Blanch, autodafé, sur ce qu’il n’a pas voulu que l’on sache de lui.
Les Cahiers de Sainte Beuve. Se rappeler que la Correspondance n’a fait l’objet que d’ une édition, je crois, sous le titre de Correspondance Générale…Ce qui la rend précieuse quant on la trouve, ce qui est rare….
Elle est une femme pas nommée dans la Bible
« Sodome (Genèse 19:26). Elle est appelée « Ado » ou « Édith » dans certaines traditions juives, mais n’est pas nommée dans la Bible. »
dit wiki.
Oure la bio mentionnée de Lesley Blanche, les meilleures bio de Pierre Loti sont celles d’Alain Quella Villéger, à mon humble avis (dont la première, Le Pélerin de la planète, éd. Aubéron, parue en 1998). On doit pouvoir compter avec la très précise et récente chronologie de sa vie établie en préface par Claude Martin, artisan de la publication des « Voyages » de Loti (Bouquins-Laffont, 2018).
En dehors de Samuel Loti-Viaud (1989-2 mai 1969), fils légitime de PL et de Blanche Franc de Ferrière, Julien Viaud conçut, des fruits de son union bigame avec Crucita Gainza, deux autres fils : Raymond (1895-1926 – mort à 31 ans) et Edmond /Alphonse-Lucien/ (1897-1975 – mort à 78 ans). Ces derniers n’ont rien entrepris, relativement à l’œuvre de leur père.
Ce que l’on connait du Journal intime de PL (de 1878 à 1885) fut publié en deux tomes par Samuel en 1925, avec quelques expurgations plutôt que d’un « autodafé ». Une correspondance inédite (de 1865-1904) fut en outre publiée par la nièce Nadine Duvignau et Nicolas Serban en 1929. En 1933, la fondation de l’AIAPL décida de publier un Bulletin – 12 numéros de 1933-1936 ; 8 numéros de 1950-1951, puis les Cahiers PL, 74 n° 1952-1979.
–
Voilà ce qu’on a pu rapporter, entre autres écrits et photos de la visite de la maison rénovée de Rochefort, du 31 juillet dernier. Pierre Loti suscite encore pas mal de fantasmes et d’intérêt au fur et à mesure qu’on le (re)découvre avec un autre regard jeté sur ses seuls romans, que ceux du 19 et 20e siècles. Je le pense et le crois. Je nourris pas mal de respect pour cet écrivain charentais de noble extravagance.
oups @ 7.41 (Outre…, SLV 1889-1969), etc.
Marc Court donne encore une fausse information. La correspondance complète de Sainte Beuve est disponible chez Honoré Champion. Elle n’a donc rien de rare. Il suffit d’avoir la possibilité d’y investir 300 euros (voir 400 avec les lettres retrouvées. Je ne vérifie pas la somme exacte.
Encore une erreur. Probablement un don…
Pour compléter le tout et en finir avec Samuel, ceci : https://www.alienor.org/collections/oeuvre/101846-photographie-sur-plaque-de-verre-samuel-le-fils-de-pierre-loti-enfant-posant-avec-sa-nourrice-titre-factice
Erreur de ma part, deux volumes de lettres retrouvées et non la correspondance complète.
Pan sur mon bec.
Je me corrige immédiatement, ce qui donne immédiatement une bonne leçon de modestie à Marc Court!
Hurkhurkhurk !
Loti m’a toujours ennuyé. Lorsque je suis passé à Rochefort la dernière fois, sa maison était en travaux. Une ville que je trouve détestable. Sans parler de l’île d’Oléron.
Pêcheur d’Islande? Ce livre avait embarqué l’adolescente que j’ai été, charme opérant .Je devrais aller plus loin pour voir.
PS à mon 30 août 2025 à 5h38
Puis tous les idiots ont tendance à croire à l’œuvre falsifiée plutôt qu’à ce qui s’est réellement passé. La célèbre expression « vu à la télévision » nous le confirme.
“ La pieuvre du marais. “ !
Liste insipide !!??
Avec Popaul dedans…?
C’est sûr que y’aurait eu toto dedans, on se serait ennuyé ferme. Heureusement qu’il ne sait pas écrure.
Il y a quand même la Corderie Royale à Rochefort, ce qui n’est pas si mal…
L’édition Champion des Lettres Retrouvées, que je ne connaissais pas , vient, au dire d’ Alain Bonnerot son Maître d’ Œuvre compléter la Correspondance Générale publié de 1935 à 1957 par Jean Bonnerot…Je crois ne l’avoir vu qu’une fois en x annees de glanes bibliographiques…. MC
je l’ai visitée 2 X la maison de Loti à Rochefort, la première x avec une amie qui travaille toujours au UHCR et voulait faire une cure à Châtelaillon avant de se décider à se marier avec un fond de château lyonnais. J’avais bien sûr lu Pêcheurs d’Islande au premier degré, c’est le livre favori de mon beau-père et il n’a pas capté je pense l’ambiguïté de Loti par rapport à cet amour sublimé pour le beau marin Yann. Avec cette phrase tournante dans la tête en sortant du cimetière avec tous les disparus en mer, « Il ne revint jamais » de ses noces avec la mer.
Mon amie était très férue de décoration exotique ( elle a eu différents postes en Argentine aux Chiapas et au Kosovo ) donc cette maison l’intriguait fortement. J’ai lu plus tard Aziyadé, une turquerie offerte par un ex un peu vexé que je reste en contact avec un ami d’école Stambouliote archéologue pour sa conversation raffinée d’Oxfordien. Ce n’est pas à proprement parler un chef d’oeuvre mais c’est une amourette qui vire au tragique un peu comme cette pauvre héroïne de Lamartine Graziella. Les écrivains voyageurs qui sortent des beautés exotiques pour faire mousser l’imagination des lectrices de salons dégustant le chocolat et les lecteurs se tordant la fine moustache.en fantasmant sur une possible dulcinée aux confins.
La seconde x j’ai commencé par Fouras un fort Vauban balayé par les vents, j’avais pris deux amis de mon fils pour aller camper à Oléron et ils ont beaucoup apprécié la région, visite du chantier de la frégate de la liberté à l’ancienne corderie à Rochefort, épatant. Par contre il faisait franchement très chaud et crapahuter avec 3 gaillards habitués aux hikes en forêt j’avoue j’ai eu le tournis et la seconde visite de la maison de Loti j’étais franchement à l’ouest. Et eux, Loti bof, ils avaient la dalle on a fini dans une crêperie. Par contre le coup de Jarnac et l’endroit lui-même très intéressés, et la visite des fûts et la dégustation des cognacs fortement approuvée. A la fin du séjour je me serais bien échappée sur l’île Madame, … pour ne pas rentrer: l’autoroute et la traversée de Paris j’ai dégusté avec les 3 zouaves et leur musique …
9.32 Des escapades édifiantes qui sentent le parfum du vrai vécu… et joliment argumentées. Je vous conseille une troisième virée, car les innovations de la maison Loti réouverte après un chantier gigantesque qui dura 13 ans, sont étonnantes et remarquables…, les architectes y ont fait des prouesses. Et si je puis me permettre, d’essayer l’île d’Aix plutôt que l’île Madame, sans grand intérêt, elle, hormis « la passe aux boeufs » qui se couvre à marée montante.
Le film de la rentrée du chef de file de l’école de Berlin du nouveau cinéma allemand.
Oui je pense un jour y retourner car ce que j’aimais bien c’était les carrelets postés sur les marais salins, la maison de Loti rénovée et à tête reposée volontiers. L’île d’Aix et ses roses trémières qui jaillissent des pavés, la traversée est agréable bonne idée. Je me tâte pour le livre sur la place à Nancy, j’ai vu le programme mais pas encore pigé comment réserver les grandes rencontres. C’est une organisation gigantesque !
La photo de Loti et ses trois fils.
De gauche à droite : Raymond, Samuel (en uniforme) et Edmond.
Les quatre ont des chapeaux, Loti le troisième en partant de la gauche une énorme moustache et des gants.
Le lien ne passe pas.
Merci Jazzi, je vais aller le voir, il sort le 10 septembre ici, j’aime bien Paula Béer et l’oeuvre de Christian Petzold.
il y a aussi un évent en octobre à la VUB dont je viens d’être informée
M’est avis que ces marais sont plus salants que salins.
Christian Petzold. C’est son film « Ondine » qui me reste vraiment en mémoire pour ses racines vers le romantisme allemand et La Motte Fouqué . Chez Petzold il y a la profondeur d’un conte, un souci de construction de l’intrigue . Ses plans de paysages forestiers , de routes sont souvent magnifiques. Dans « Miroirs N° 3 » il y a effectivement une sorcière noire. Ce metteur en scène aime filmer les comédiennes à bicyclette, sur des chemins en plein vent, solitaires, en foret ou en rase campagne plutôt vers l’Allemagne du Nord. Il construit très bien son histoire, mais ses débuts sont souvent lents. Paula Beer est bien dans « Miroirs N° 3 » mais je préférais le jeu de Nina Hoss dans « Barbara » excellent pour comprendre ce qui se passait en RDA quand on était mal vu du régime.
Bonne mise au point sur le Journal. Je l’ai eu entre mes mais , mais ne l’ai pas acheté. Idem pour la Correspondance, et la postérité,,légitime ou non. . Il neparaît pas que Chaloux, expert en l’art de jouer les faux modestes , soit sensible au romantisme Des gréements. L’est-il seulement à la mer? Pour Loti, il faut l’un et l’autre.
of course salants mister Court.
à propos d’Allemagne de l’Est est-ce que quelqu’un ici a lu la petite fille de Bernard Schlink ?
Barbara Auer est particulièrement émouvante dans « Miroir n°3 », Paul.
Procès d’intention allac’ du pauvre Marc Court. Je suis un fanatique compulsif de l’île d’Yeu où je souhaite me retirer le moment venu. L’océan , ce n’est pas du romantisme, c’est de la métaphysique. Hugo, qui voit toujours par-delà lui-même, l’a fort bien senti.
En heurtant de front les boomers, Bayrou s’attaque à son propre électorat.
Acte manqué ou désir d’être remercié ?
Sainte Beuve, Loti… ça bifurque beaucoup sur le commentarium.
Tout sauf Carrère !
Qui va regarder ce soir le journal de 20 h de France 2 présenté par Léa Salamé ?
@ 10.35, m’est avis que notre grand joycien disparu du blog depuis un an est pour quelque chose dans la consécration de Coetzee comme DHC à l’UVB. Je ne pourrais y assister, mais aurais bien aimé pouvoir les y rencontrer. Y serez-vous ?
« On regarde toujours l’Océan avec effroi.
C’est tout un ciel qui murmure ou qui rugit sous nos yeux ».
Joseph Conrad » Le Compagnon secret ».
Ils ne sont pas légion, les écrivains qui parlent le mieux des mers et des océans.
Conrad, « écrimarin », est l’un des rares qui a su donner au Grand Bleu ses lettres de terrifiante noblesse.
Jazzi, pas moi. Je regarde Public sénat et arte pour l’info parfois LCI, pour l’info locale FR3.
En heurtant de front les boomers, quand les retraités sont évoqués, il est donné l’impression que tous ont des retraités de 3000 euros et plus. J’ai moins et il n’y a rien de trop, je roule dans une vieille caisse car je préfère m’offrir des vacances, j’aide mon fils, je ne suis pas propriétaire, ne possède pas de résidence secondaire et j’accepte de petits remplacements pour le luxe. Les boomers n’ont pas tous été des cadres bien rémunérés. Le discours entretenu met tous les retraités dans la même catégorie, tous avons un pouvoir d’achat phénoménal, un confort inconcevable, des plans d’épargnes débordants, des jardiniers qui entretiennent nos pelouses etc etc.
Il a commencé par écrire Océano Nox, pourtant. L’Ocean ne devient
« métaphysique »
qu’à partir de l’ Exil, des Travailleurs de la Mer , du début du Shakespeare, et du prodigieux prologue de L’ Homme qui Rit…À quoi s’ajoute l’effet miroir de la Vague croquée dans Ma Destinée..,
Les deux évocations les plus difficiles pour un écrivain sont l’océan et la musique.
I.M.C. : Rappel
L’I.M.C.(indice de masse corporelle) est égal au poids en kilos divisé par le carré de la taille en
mètres.
On considère comme normal un I.M.C. compris entre 20 et 25 . Entre 25 et 30 , on parle de surcharge pondérale. Le seuil de l’obésité est en général fixé à 30, stade au-delà duquel les risques de maladie liées au poids croissent franchement.
Au-delà de 35, l’obésité est dite sévère, et, au-delà de 40, l’obséité est dite morbide
« Ils ne sont pas légion, les écrivains qui parlent le mieux des mers et des océans. »
Ils sont légion, Maurice !
Depuis longtemps, la littérature célèbre la mer et ses travailleurs. Les voyages de Marco Polo, Christophe Colomb, Vasco de Gama ont inspiré les poètes. Au XVIIIe siècle, en racontant des histoires de batailles navales, de pirates, d’îles au trésor et de pêches fabuleuses, les romanciers ont inventé un genre, le roman de mer. Entre ouragans et tempêtes, leurs récits transportent le lecteur immobile à travers l’Atlantique, l’océan Indien, le Pacifique, la mer de Chine, l’Antarctique, la multitude des mers intérieures, du pôle Nord au pôle Sud, et jusque dans leurs plus inaccessibles profondeurs. Mais la mer n’est pas seulement géographique, elle atteint aussi une dimension proprement métaphysique : mer des fantasmes, des ténèbres et de la folie, mais aussi mer du calme retrouvé, de l’aventure introspective et de la connaissance de soi…
Embarquement en compagnie de Homère, Luis de Camoens, Constantin Cavafy, Herman Melville, Victor Hugo, Louis-Ferdinand Céline, Marguerite Duras, Joseph Conrad, Jules Verne, Ernest Hemingway et bien d’autres
https://www.mercuredefrance.fr/le-gout-de-la-mer/9782715254800
Joseph Kessel
Fortune de mer
75 kg pour 1.76 m
J’obtient un I.M.C. égal à 24
Il est dans mon anthologie, rose.
Oui B, sauf surprise extraordinaire, Bayrou a planté le clou final de son cercueil de Premier Ministre avec cette déclaration imbécile sur les « boomers ». Il ressuscitera comme maire de Pau, ce qui est probablement dans ses compétences.
« Les deux évocation les plus difficiles pour un écrivain sont l’´ocean et la musique. « C’est peut-être pourquoi l’un et l’autre viennent aux tables de Jersey…
La mer couleur vin
Quelle mer ! Et où peut-on trouver une mer pareille ?
« On dirait du vin », dit Nené.
« Du vin ? » demanda le professeur, perplexe. « Je ne sais pas comment cet enfant voit les couleurs ! […] ».
[…] « J’ai entendu dire, ou lu quelque part : la mer est couleur vin », dit l’ingénieur.
« Un poète l’a peut-être écrit, mais je n’ai jamais vu une mer couleur vin », dit le professeur […].
« On dirait du vin ! » répéta l’enfant avec assurance.
Leonardo Sciascia, La mer couleur vin
« Célèbre Ulysse, tu aspires à un retour plus doux que le miel.
Mais un dieu te rendra la tâche difficile […].
Pourtant, tu reviendras, malgré l’angoisse,
si tu parviens à contenir tes désirs et ceux de tes compagnons,
lorsque tu débarqueras de la mer couleur de vin
sur l’île de Trinacrie avec tes robustes navires.»
Odyssée, Chant XI, vv. 100-107
plus simplement οἴνωψ πόντος…
« La mer violette » de L’Odyssée, je l’ai vue au large du Péloponnèse.
Raymond Devos a raison : « Quand on est poussière, il faut commencer par se mettre en tas ».
Chaloux, ce morceau de Ravel, « Miroir N°3 », qui a donné son titre au film du cinéaste allemand Christian Petzol, quelle merveille !
Un titre moderne, qui annonce ceux à venir de la musique acoustique, avec chez lui la mélodie en plus…
______________
L’été salvateur
« Miroirs N° 3 » de Christian Petzold, avec Paula Beer, Barbara Auer, Matthias Brandt et Enno Trebs.
C’est une histoire de sororité intergénérationnelle, d’autant plus belle qu’elle est racontée par un homme.
C’est la rencontre inopinée et déterminante entre une étudiante dépressive et une mère folle de chagrin.
C’est la recomposition, par substitution, des fragments d’une famille éclatée.
C’est doux comme des mains de femmes dans la farine et puissant comme des mains d’hommes dans le cambouis.
C’est agaçant comme les questions sans réponses que se posent les protagonistes du film heureusement compensées ici par des silences et des regards éloquents.
C’est accueillant comme une maison villageoise de la campagne berlinoise au coeur d’un été aux journées ensoleillées et aux nuits étoilées.
C’est limpide comme une mélodie de Ravel dans l’univers trépidant de la pop musique d’aujourd’hui.
C’est le dernier film d’un cinéaste inspiré par sa muse.
C’est…
https://www.youtube.com/watch?v=rOmEcYcQeEo
Jazzi, Ravel qui était un très médiocre pianiste (cela faisait rire Marguerite Long quand on lui en parlait) a eu le don d’écrire un répertoire pour piano absolument injouable. Il avait résolu le «comment faire », sans pouvoir l’exécuter lui-même . Marguerite Long raconte également que chef d’orchestre, il lui arrivait d’avoir deux minutes de retard sur la partition. L’orchestre se débrouillait comme il pouvait. Il lui dit : « chef d’orchestre, je ne suis pas plus mauvais qu’un autre»; elle lui répond « Oh que si! ». Mais quel génie. J’ai toujours préféré Ravel à Debussy, parce qu’il n’y a pas la moindre trace d’un système chez lui, et qu’il est un cœur pur et extrêmement loyal. J’aurais aimé écrire sur Ravel.
Quant au film dont tu me parles, il me donne plutôt envie de relire L’éloge de la fuite d’Henri Laborit, livre qui a compté dans ma vie.
Jamais lu qu’Henri Guillemin ait été mal outillé ce qui expliquerait je ne sais quoi. D’où vient cette rumeur, si elle existe ailleurs que dans l’esprit malade du crétin à fermette?
Pas deux minutes, deux mesures de retard, ce qui est déjà énorme.
@la smala soupline
en traduction par E. Littré, naturellement ; le premier siècle a une importance particulière dans l’imagination de certains de nos congénères et leurs motivations politiques
Dernière question avant de retourner à d’ingrates tâches de rentrée: quelqu’un a-t-il lu Les français de la décadence d’André Lavacourt, que d’après J.A. Gallimard refuse de rééditer?
Tout le monde connaît l’IMC.
Il est à moduler avec le rapport masse musculaire/masse graisseuse. Sinon beaucoup de sportifs de haut niveau seraient considérés comme étant en net surpoids. A l’inverse on peut présenter un IMC correct et posséder une masse musculaire à peine suffisante qui au moindre pépin conduira beaucoup plus vite à l’état de grabataire.
La masse musculaire s’entretient par une pratique sportive minimale et une alimentation contenant suffisamment de protéines pures, principalement d’origine animale.
Il ne faudrait peut-être pas tarder à donner le Goncourt à Laurent Mauvignier…
https://www.telerama.fr/livre/la-maison-vide-de-laurent-mauvignier-une-saga-d-une-pudeur-infinie_cri-7040354.php
@ 3 j, non c’est une initiative de Caroline Pauwels l’ancienne rectrice, c’est son successeur Jan Danckaert qui a insisté pour que Coetzee inaugure cette nouvelle chaire des minorités ( c’est lui qui me l’a dit ), comme vous le savez c’est un peu la course ici entre l’université libre francophone et néerlandophone, il y a la très controversée promotion de droit Rima Hassan baptisée par ses étudiants pro-palestiniens ulcérés par ce qui se passe à Gaza qui fâche l’establishment et cette invitation acceptée par Coetzee côté néerlandophone. Bloom n’y est pour rien, il ne veut juste plus venir ici. Passou va lire à Nancy une correspondance en trio avec un musulman et un chrétien, cela sera sûrement intéressant et imprégné de l’actualité. Bonne soirée.
Un pèse-personne qui indique la répartition entre masse musculaire, masse grasse, eau, masse osseuse etc., ne mesure pas directement ces composants. Il utilise une technique appelée impédancemétrie bioélectrique (BIA – Bioelectrical Impedance Analysis). Voici comment ça fonctionne :
—
🔹 Principe de base
1. Émission d’un courant électrique très faible
Le pèse-personne envoie un courant électrique de faible intensité (inoffensif, imperceptible) à travers le corps via des électrodes situées sur la surface où l’on pose ses pieds (ou parfois aussi sur des poignées pour une mesure plus complète).
2. Différence de conductivité selon les tissus
L’eau et les muscles contiennent beaucoup d’électrolytes → ils conduisent bien le courant.
La graisse et les os conduisent mal le courant → la résistance est plus élevée.
3. Calcul de l’impédance
L’appareil mesure la vitesse et la résistance du courant électrique à travers le corps (impédance).
4. Estimation par équations prédictives
À partir de votre poids total, taille, âge, sexe et impédance mesurée, l’appareil applique des formules statistiques (modèles prédéfinis issus d’études cliniques) pour estimer la proportion de :
masse grasse
masse maigre (muscles, eau, os)
—
🔹 Fiabilité
Pratique pour suivre une tendance (ex. baisse progressive de masse grasse).
Moins précis qu’un examen médical (comme le DEXA ou l’IRM).
Les résultats peuvent varier selon :
l’hydratation (si vous êtes déshydraté, la masse grasse peut sembler plus élevée),
l’heure de la journée,
si vous avez mangé, bu, ou fait du sport juste avant,
la position des pieds sur l’appareil.
—
👉 En résumé :
Un pèse-personne à impédancemétrie ne « voit » pas directement la graisse et les muscles. Il mesure la résistance électrique du corps et en déduit, grâce à des formules, une estimation de la composition corporelle.
@ 15.48, /Bloom n’y est pour rien, il ne veut juste plus venir ici/… @ la rdl ou à l’UVB ? – Mais pourquoi diable ?
@ Guillemin : « On répète qu’il n’a pas eu de chance, qu’il était laid, que l’amour lui fut refusé, qu’au surplus -il faut tout dire- une malformation sexuelle explique, pour une large part ses complexes. J’entends bien qu’il a gémi sur ses amours toujours manquées. Il n’en reste pas moins qu’il avait remporté cette victoire insigne de se faire préférer, et passionnément, par Adèle Hugo à son mari ». (introduction à l’op.cit supra, p. XXXV) etc. Et Billy d’ajouter (au portrait de cette tête qu’on devine disproportionnée sur un petit corps, à partir de la fiche de recrutement de SB : taille, 1m 60 cm ; de la race brève ; pas même les 1m62cm de Chateaubriand), au dessus-d’épaules étroites. Le nez est long : le menton s’efface : l’air d’un « séminariste sournois » (op. cit, XXVIII), etc.
Pour ce qu’on en ditj, des ragots glanés au fil du temps, franchement… Revoyez vos chères études, si passionnantes.
@ 15.56, Restons dans les sujets d’actualité littéraire. Chap*GPT pourrait-il nous établir une plus juste IMC de Charles-Auguste Ste Beuve, en fonction des éléments décrits plus haut ?
Demain je me fais une pintade.
Les amours ratées, cela n’a rien a voir avec le physique.
Mais plutôt avec le mental.
à voir
Décidément, le téléphone ne me vaut rien. J’avais cru comprendre qu’il s’agissait de Guillemin lui-même . Sainte Beuve était hypospade, tout le monde sait ça. Je ne donne pas de précisions supplémentaires.
Découvert Guillemin il y a bien longtemps par son Hugo des écrivains de toujours. Grand bonhomme parfois injuste (avec Sand notamment).
Ce qu’avance Guillemin est ici pour une fois physiologiquement parfaitement exact. Il faudrait y ajouter les phases de decristallisation par lequel il passe au sujet d’ Adele, laquelle en prend aussi pour son grade. Apres, qu’il le relativise est son problème…
Grand bonhomme souvent injuste . Comme disait Georges Pompidou: « « Qui-a-t-il encore sali? »
« Qui va-t-il encore salir? ».
Ce qu’il y a de plus grand chez Henri Guillemin, c’est son désir de justice. Grande école de pensée.
Contredit, il convenait honnêtement de ses erreurs ou de sa sévérité. Il a l’emportement des grands solitaires, et ressemble assez au Misanthrope. Alceste est-il sans qualités? Il faut le prendre tel qu’il est. Est-il injuste ? Les livres se corrigent les uns les autres. Et rien n’est précieux comme les ouvrages de grands lecteurs. Guillemin, Cabanis, Grace, Jean Grenier, André Billy etc.
Gracq
@Passou va lire à Nancy une correspondance en trio avec un musulman et un chrétien, cela sera sûrement intéressant et imprégné de l’actualité.
Tant qu’un point de vue républicain a voix au chapitre
Qu’entendez-bous par « système » s’agissant de Debussy, Chaloux ?
J’ai du mal à comprendre et à admettre qu’une infirmière n’ait pas pu devenir petit propriétaire d’une facon ou d’une autre, Bérénice. Je trouve même ça affligeant, pour tout vous dire.
Vous aidez votre fils, certes. Je vous crois. Et après vous, il héritera de quoi ? D’un livret A avec 5000 euros ?
@ Sainte Beuve était hypospade, tout le monde sait ça.
Ah bon ? alors…, si tout le monde le sait, tant mieux pour lui. La RDl a d’autres chats à fouetter avec Macron… Ne connaissant rien au sujet, j’aurais plutôt écrit que SB souffrait d’un hypospadias, vu qu’on ne saurait réduire sa personnalité à sa bite.
Pour les demeuré.es de ma sorte, lcé, cf. la fiche médicale ci-jointe :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypospadias
D, je ferai ce que je pourrai, pour le moment je compte sur une longue espérance de vie pour commencer d’économiser.
J’épargnerai après mes 72 ans. Pour le moment je compte profiter de ma retraite de ministre
D, si j’avais opté pour une acquisition immobilière, étant seule, il m’aurait fallu renoncer à toutes autres choses. Vacances, loisirs, financement des camps de vacances, comme vous le savez le métier n’est pas très bien payé et je suis un panier percé. J’ai vu tant de gens à qui on l’annonçait un pronostic fatal que je n’ai développé aucun don pour économiser en me privant des quelques plaisirs que ma condition me permettait. Il y a même un moment où mon véhicule inspirait honte à mon fils et la providence a mis sur mon chemin un refus de priorité, j’ai donc fait l’effort d’acquérir un véhicule plus acceptable pour un adolescent.
De plus, je ne suis pas manuelle et quand un logement vous appartient vous devez effectuer les travaux car avec peu de revenus faire appel à un artisan aurait dépassé de loin mes possibilités de financement. Alors voilà, je ne suis pas proprio.
Je n’ai pas de livret A. Rien, que dalle.
Le roman écrit pendant la guerre ( 2942) alors qu’il est en Suisse sur l’impossible amitié en 1914 d’un captif Allemand et d’un jeune Français appelle au moins quelques questions,..
en effet …
Ce n’est pas recevable, Bérénice.
Vous aviez tous les dispositifs à votre portée pour acquérir un 2-3 pièces qui aurait ensuite pris de la valeur. Vous avez connu les années-Mitterand et ses plans d’épargne logement très avantageux ainsi que les taux d’emprunt bas, voire même parfois nuls. Vous n’avez aucune excuse. La réalité est que vous êtes satisfaite idéooloogiquement de perpétuer de génération en génération l’indigène relative.
l’infigence
Bérénice,
Un peu de discrétion, voyons !
Cesse d’importuner les autres en leur posant des questions sur les affaires privées de leur vie !
Non mais c’est quoi ces manières cavalières, familières et même vulgaires de ta part qui embarrassent tant les autres… franchement !
Quand Bérénice babille, pudeur et discrétion se déshabillent !
Vous ressemblez étonnamment à Clopine mais en pire. Voilà qui est dit.
D, je ne vais pas poursuivre cette discussion. Il y a sûrement des femmes plus débrouillards et plus courageuses que je l’ai été. Sur de courtes périodes j’ai bien gagné ma vie mais dans l’ensemble, je vous assure y avoir pensé et compte à l’appui estimé que ce choix , alors que je ne vivais pas dans l’aisance, m’aurait contrainte à une austérité à laquelle je n’étais pas prête à consentir, ni pour moi, ni pour ma progéniture. Mais j’ai comme l’impression que vous vivez dans un autre monde que celui où j’ai évolué. Un peu comme ces gens qui ignorent le prix d’un paquet de pâtes ou du ticket de métro.
Tous ceux qui ont lu Sainte Beuve et se sont intéressés à son cas. Evidemment pas ceux qui n’ont pas lu Sainte Beuve etc.
D. Techniques d’écriture.
Dédé, c’est le Monsieur Sans-Gêne de la Rdl !
Comparées à lui, les deux commères Clopine et Rose sont des écolières !
Je ne me plains pas de ma condition contrairement à Clopine. Et je n’ai pas vécu les mêmes affres conjugaux puisque j’ai fêté mon 34 ème anniversaire alors que j’étais seule depuis 9 mois déjà, le temps d’une gestation.
La reprise par Jimi Hendrix de ce titre parabole est plus connue que la version originale du prix Nobel de littérature 2016 ; on a le sourcing qu’on peut
Savez-vous, Chaloux, que Debussy fut Grand maître du Prieuré de l’ordre de Sion ?
Demandez donc à Pablo si je raconte des histoires.
Si, vous vous plaignez de votre condition.
C’est typique des faux catholiques, ceux qui devraient commencer par être chrétiens.
D, j’ajoute que la rupture n’a été motivé que par une incompatibilité, une absence d’intérêts communs, nos personnalités ne s’accordaient plus, à quoi bon une vie de couple stérile et conflictuelle.
Vos commentaires fréquemment contiennent des sous-entendus relatifs à votre condition. Des sortes de rappels.
D, je ne me fait pas cette impression. Je rentre d’un séjour agréable en Ariège, jmpn chat va mourir, je n’ai pas de fric et ça ne me gène pas. L’absence de talent m’oblige un peu plus que l’état de mon compte en banque.
Dis-donc, toto, si tu allais bouffer tes macaronis en silence ? Ça nous ferait des vacances.
M’afflige.
Bon. Changeons de sujet.
Oui, vous avez raison sur ce point, je suis incapable de parler littérature et je n’ai de fait rien à partager qui intéresse ce blog.
Moi c’est pareil. Ce n’est pas le problème. Ne vous inquiétez pas pour ça.
Qu’est-ce que c’est que cette mentalité de petit propriétaire, D. !
Tu es une fourmi épargneuse et peu prêteuse, B et moi nous sommes des cigales chantantes, dansantes et généreuses…
Regardez Charoulet, ancien professeur de lettres modernes, il parle rarement de littérature. Un peu de La Fontaine, un peu de Cioran et basta. Tout le reste, c’est ses résultats d’analyse et son IMC.
Parfaitement, Jazzi. Je trouve invraisemblable de ne pas transmettre de propriété foncière à sa descendance. Ça me dépasse. C’est une mentalité bourgeoise, d’accord. Et alors ? Où est le problème ?
Mitterrand avec deux r.
Dans l’environnement catholique, l’hypocrisie consiste à prétendre posséder certaines vertus, sans pour autant les mettre en pratique. Philistins sans envergure, ils pratiquent ce vice apparenté au mensonge qui consiste à avoir un décalage entre les paroles et les actes, ce qui sape l’authenticité et la foi. Le christianisme primitif considérait cet aspect comme étant à éviter, car il était perçu comme une voie trompeuse pouvant nuire à l’âme.
Moi je n’ai aucune descendance.
Mes poules ne me survivront pas.
J’en suis conscient.
Ma propriété de Chaville sera transformée en musée de l’endive.
Dans l’immédiat je soupçonne Chaloux d’avoir une dent contre le Prieuré de Sion qu’il qualifie de « système » de façon détournée.
intelude
pour les brandillons (les ficelles) du killer, le mauvais foi supposé de son cousin et l’évocation de mr. … reagan
Mitterrand, 71 ans, courtisait Claire, 18 ans, et lui écrivait des lettres d’amour enflammées !
Par ailleurs, Claire jouait souvent avec Mazarine à saute-mouton.
Et pendant ce temps, Danielle tricotaot des passe-montagnes pour le sous-commandant Marcos qui faisait la guerilla au Mexique.
François, Claire, Mazarine, Danielle et Marcos…
C’est-y pas mignon tout cela ?!
Tu as un livret A, Jazzi, quand-même ?
Renato,
Laisse le Christianisme tranquille, ne blasphème pas et occupe-toi de tes oignons sinon notre Dédé, le catholicard à l’endive croisée, va te bouter hors de la sainte Rdl !
foie
…Danielle tricotait…
@foie
Quelqu’un évoquait hier la figure de henri du muscat ; dans cette ordre d’idées, le mauvais foie supposé du cousin de JJL conduit à une pensée pour CP, autre figure historique de ce cul de basse fosse, et à Tom Waits qu’il aimait
@Maurice revient… dit: 30 août 2025 à 21h18
Je suppose qu’il n’y a pas de particularités curieuses caractérisant le christianisme en France. Par conséquent, n’importe quel curé pourrait dire à D. ce que je lui ai dit. Si quelqu’un n’aime pas cela, qu’il prouve la fausseté de mon argument ou qu’il me dénonce au tribunal de bonne pensée !
JLL
Ma propriété de Chaville sera transformée en musée de l’endive.
D’ici là, Beaubourg pourra accueillir votre collection: l’art de l’endive ou l’endive de l’Art. Beau programme !
D, un plagiat pour l’intitulé de celle-ci (l’eau depuis a coulé sous les ponts).
https://cataloguedesexpositions.centrepompidou.fr/F%C3%A9minin-Masculin,_Le_Sexe_de_l%27art
B
Depuis 1995, je crois même que l’eau est arrivée à la mer.
B, le Centre Beaubourg ferme ses portes pour cinq ans de travaux.
Les endives de D. iront se faire voir ailleurs.
Jazzi, oui je suis au courant mais D envisageait une expo posthume, j’imagine qu’il lui reste quelques décennies à consommer ou consumer sur cette terre.
Chaloux, à propos de la couleur particulière de la mer en Grèce et bien que je n’aie pas voguer au large de cette région, au sud de geroliminas j’avais été surprise par cette couleur très sombre et particulière qui n’allait pas jusqu’au violet mais était d’un bleu proche du lapis lazuli si mon souvenir ne déforme pas cette vision d’alors. Peut-être cela tenait-il de la profondeur immédiate aux abords de la roche. Une région sauvage que vous avez parcourue, en faisant ce trajet dans les vieux autobus d’une Grèce pas encore entrée dans L Europe je pensais que je ne verrai sûrement plus ces paysages arides et austères et j’observais l’habitat éparse en pensant » des gens vivent là » , loin de tout, une impression de bout du monde l’envahissait. Pour finir, nous sommes descendus dans un hameau planté au bord du rivage avec son unique taverne et cette couleur si particuliere m’est restée en mémoire tout comme ces sortes de donjons qui jalonnent la région et sont les vestiges d’une méfiance entre clans .
Vogué.
Merci B.
. À cause du relief, la Laconie est difficile d’accès. Il n’existe que deux passes, au nord, qui permettent d’y entrer. Dans l’Antiquité, Hérodote rapporte que le Thébain Épaminondas hésita à envahir Sparte précisément pour cette raison.
La manière de parler des habitants de la Laconie dans l’Antiquité, peu bavards, a donné naissance au mot laconique.
Pas allée mais à Sparte, oui (les spartiates et Spartacus ❤️).
Pas vu la mer violette du Péloponnèse, ai pourtant gueulé Ulysse au large d’Ithaque,😚comme D, qui a toutes les cartes et les atouts.
La vie est injustement répartie.
Le bleu, faut le voir autour du château d’If dans le film Monte Christo, si la copie est bonne. C’est notre bleu à nous ( plan pris du ciel après le aison à la nage, le château blanc au milieu d’un bleu à vous couper le souffle ).
Appris aucun gâteau fameux russe s’appelle le Napoléon.
Quand est-ce que l’on se réconcilie avec les russes ?
L’écrasante responsabilité du Hamas dans la catastrophe palestinienne
Chronique
auteur
Jean-Pierre Filiu
Professeur des universités à Sciences Po
Le mouvement islamiste, au lieu d’accorder la priorité à l’intégrité du peuple palestinien, n’a cessé de fournir à Israël des prétextes pour dévaster la bande de Gaza, explique l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
Le Monde (une partie de l’article est accessible)
Closer, on avait compris, j’avais il y a peu fait remarquer que si ces forcenés extrémistes respectaient le petit un ple qu’ils prétendent représenter et défendre, ils auraient rendu les armes depuis longtemps, avant les 60000 morts, la famines, les vues estropiés, mais la mentalité de ces gens est nourrie de haine et d’esprit de revanche. Après les brimades et la domination qu’Israel exerce depuis longtemps on peut encore comprendre que le désir de faire évoluer dans un sens favorable le sort des palestiniens les occupent mais la méthode est loin d’être acceptable, pas plus d’ailleurs que la réponse du gouvernement israélien qui va en profiter pour récupérer tous les territoires. D’un côté comme de l’autre – Hamas et extrême droite istaelienne-, le mépris du peuple.
Le peuple, la famine, les vies estropiées, sans parler du carton sur la presse qui lui n’est pas de la responsabilité du Hamas.
B, ne passez pas la main. Expliquez aux israéliens ce qu’il doivent faire ! On vous écoute.
« Soutenir Netanyahou, c’était soutenir le financement du Hamas »
https://charliehebdo.fr/2023/10/societe/terrorisme/entretien-avec-charles-enderlin-soutenir-netanyahou-cetait-soutenir-le-financement-du-hamas/
Rose, un d’eux peut-être être célèbre la bérézina ? Les russes ont été longtemps francophones, du moins l’aristocratie . Il y a bien ce gâteau meringué la Pavlova mais c’est en mémoire d’une ballerine russe.
Chaloux, si vous trouvez la réponse proportionnée et diplomatique, c’est sûrement que je me trompe. Qu’Isrel fasse le ménage en affaiblissant ses nombreux ennemis, au nord, au sud, à l’est pour s’assurer de sa sécurité est compréhensible, cependant bien qu’il y ait eu des massacres plus important que ces quelques morts palestiniens qui n’ont pas eu l’occasion de choisir des dirigeants depuis 20 ans est une autre histoire. Il me semble que BN creditait les comptes du Hamas en pensant que quoi qu’il les en fassent, Israël serait toujours plus populaires que ces islamistes.
B, j’ai surtout vu les villages de tours dans le Magne, région fascinante, un de ces logis de Dieu que l’on découvre parfois au hasard des voyages, si on a de la chance.
Quel que soit l’usage que le Hamas en ferait… Correction.
Et puis ne pas oublier que BN ne tient au pouvoir qu’en satisfaisant l’extrême droite du pays, et echapoen pour le moment à des procès pour corruption.
« Le gouvernement israélien donne des armes à un groupe de criminels et à des voyous, proches de l’État islamique, sur ordre du Premier ministre »
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-info-de-france-inter/l-info-de-france-inter-3716809
Et pendant ce temps l’administration Ubu brime l’Autorité palestinienne ; tôt ou tard ces criminels seront jugés
ainsi que leurs collabos
Chaloux, nous avons parcouru la même région, trois mois en Grèce au printemps en 1982:ou 83, j’y suis allée plusieurs fois mais moins longtemps. C’est un pays que j’aimais, je ne sais pas trop si je l’aimerais autant actuellement.
Quel pays est-il encore enviable avec ces hordes de touristes, je préfère encore aller dans la Creuse. L’esprit grégaire n’a pas trop d’espace dans ma petite tête.
Il y a dans cet engrenage infernal quelque chose d’eschatologique, de biblique.
Ce n’est pas un hasard si Hitler a commencé par exterminer les juifs d’Europe avec l’assentiment du grand muphti de Jérusalem…
Tout cela sent la fin du monde.
La Creuse, c’est bien.
En parlant de ma petite tête, alors que je me fâche une fois tous les trous ans, j’ai envoyé bouillir hier un type qui m’expisaitv des théories à la mord moi le noeud et qui rapidement a chercher à m’inferioriser en prétextant que j’étais ignorante. Je suis rarement grossière mais j’ai fini par lui répondre qu’il était prétentieux et qu’il m’emmerdait. Sur ces amabilités il n’a pas insisté , je l’ai salué, ciao!
Trois ans.
B, je n’ai pas non plus de solution quant à Gaza. Ce que je veux dire c’est que nous mettrons sans doute des années à savoir ce qui s’y passe vraiment, à démêler les responsabilités. L’information est complètement vérouillée, et la presse française me semble assez indigne sur ce dossier. Là aussi, il faudra faire du tri.
Les docu d’Arte ou de la 5 sur les régions françaises montrent des paysages absolument magnifiques dans le centre de la France, y compris dans la Creuse évidemment. Je ne connais pour ainsi dire pas du tout l’Auvergne; c’est très dommage.
Si au moins D nous invitait dans son château d’Aurillac!
Closer, c’est surtout un prodigieux retournement qui se prépare. Même le Vatican s’y met, c’est un signe.
Une Q perso @ jzmn, ce matin. (Désolé pour les autres).
N’avez-vous jamais eu l’idée de publier sur votre site du Lézard votre « goût du Christ », initialement refusé par le Mercure, si je me souviens bien. Cela m’aurait été personnellement bien utile pour mon travail actuel. Ou, à défaut, -si vous en aviez laissé définitivement tomber le projet-, de faire parvenir un écho (un sommaire ?) des auteurs envisagés (source et paginations des fragments) de ce projet avorté.
Une réponse m’honorerait sur cette chaine ou la vôtre. Une NR ou un refus argumenté… tout autant, bien sûr.
Closer, Ford a soutenu des le départ le vénérable Führer. Et il a continué sans être musulman pour autant
La Creuse ? Plutôt en Limousin naguère, et aujourd’hui en Nouvelle Aquitaine. En aucun cas, auvergnate, je dirais.
Chaloux, verrouillée par qui? Ils snippent les journalistes.
La Gigi entreprend « un travail » mais ce sont les autres qui doivent lui fournir le résultat de leurs lectures. La paresse de ces universitaires, c’est vraiment quelque chose de curieux.
Bouge-toi le Q, grosse molasse!
Hurkhurkhurk !
B, quels journalistes sont-ils accrédités par le Hamas qui a toujours la main? Cherchez et vous trouverez.
Ce n’est pas le Hamas qui les dégomme. Les journalistes sont personnalisables non gratta et c’est Israël qui les dissuadent ou les éliminé, du moins l’armée reçoit des ordres, il me semble qu’ils ont jusqu’à présent démontrer une certaine précision dans l’élimination des personnes dangereuses ou indésirables.
B, cela n’a rien à voir. In fine les américains ont débarqué en Normandie…
Lisez le livre de Bensoussan sur l’histoire des relations entre juifs et arabes en Palestine même.
Je ne suis pas vraiment croyant mais il y a quelque chose de troublant dans cet engrenage…diabolique!
Personnae non grattae dissuade, éliminé, démontré.
@ jzmn. Dans la foulée précédente, quelles nouvelles de Vita la petite chienne, à l’orée de l’automne ?
Closer, je n’en disconvens pas, toujours est-il que Ford l’industriel a tout de même été un grand soutien d’Hitler, d’où peut être le salut de Musk sauf que ce ne sont plus les juifs que l’on pourchasse mais les arabes.
Arrêtez de pinailler JJJ! Auvergne/Limousin si vous voulez…Tout ça c’est le Massif Central!
B, vous faites une lecture très partiale. Je ne cite pas souvent Stendhal mais: « Souviens-toi de te méfier ».
Depuis l’Egypte, il y a des antécédents. Faites moi un résumé, je ne suis pas une intello et j’apprécie les synthèses car je lis à la vitesse de l’escargot.
Ah oui? Ou ça? Un musulman a toutes les chances de devenir maire de NY. C’est déjà le cas à Londres.
Sage conseil, cher Chaloux.
Les réfugiés, les migrants qui déstabilisent les équilibres démocratiques et font progresser les extreme- droites un peu partout. Je ne pensais pas à l’élite qui d’où qu’elle provienne s’intègre, en principe.
J’ai toujours soutenu qu’Ars-en-Ré était le lieu des meilleures réparations du monde. Je me réjouis pour elle.
https://www.lefigaro.fr/faits-divers/un-an-apres-le-debut-du-proces-mazan-la-nouvelle-vie-de-gisele-pelicot-20250831
il agace les ageasses
dans la mère
des Sargasses
Les travaux universitaires son tt souvent nourris par d’autres livres, ne serait-ce parce qu’il faut avoir l’humilité d’aller voir ce qu’on ne sait pas, et qui est, ou partiellement, ou en totalité, traité ailleurs. Ne pas comprendre ça , c’est s’exposer à méjuger la Recherche ou à faire de l’ Universitaire un démiurge. Deux contresens de même ampleur, car démiurge, il ne l’est plus, et chercheur, il doit s’appuyer sur ce qui existe. Mais il ne faut pas demander à qui vous savez de comprendre ça…
Il n’y a pas de mal à raconter ce que l’on apprend à tous les âges…, plutôt que de faire accroire qu’ayant tout lu, il n’y aurait plus rien à découvrir du passé.
anéfé…
« je suis un fanatique compulsif de l’île d’ Yeu »!. On n’espère que ce fanatisme n’inclut pas le Maréchal , seconde période….
Merci pour cette référence. Vos recherches portent bien leurs fruits, gratuitement divulgués.
https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb305425467
@ Massif Central
suggestion pour un bon roman au parfum de thriller, ainsi titré par Christian Oster, si l’on veut préfère ranger Carrère/Mauvigner au mag des axessoires.
8.30 – J’allais précisément conclure à l’inverse. Mais une main m’a retenu.
celle du diable, probablement …
Chaloux, à propos de méfiance, je me souviens d’un vieil ami, jeune à l’époque, que Pablo d’ailleurs connaissait aussi et qui de temps à autre scandait ironiquement une phrase du livre de la jungle, à l’époque je ne comprenais pas pour quelles raisons :
https://m.youtube.com/watch?v=NoX-4Hm1rPU&pp=0gcJCRsBo7VqN5tD
Il était guitariste lui aussi, plutôt doué mais n’a jamais souhaité bouger de sa ville natale, dommage car je crois qu’il aurait pu s’intégrer à un monde artistique mais il n’avait aucune autre ambition que de cultiver son art seul dans son coin.
J’ai bifurqué. L’avantage des bifurcations, c’est qu’on peut se perdre. Au fond ça me convenait assez bien. Là, je me suis perdu par rapport à rien. Je ne savais pas où je voulais aller, je n’ai pas su non plus où j’arrivais. Aucune importance donc (C. O. @ B’)
« On n’espère ».
Les objections de Marc Court, comme son usage de la langue française, toujours à la limite (supérieure) de la débilité.
Pour ne rien dire de la grosse molasse à fermette.
« quelles nouvelles de Vita la petite chienne, à l’orée de l’automne ? »
Elle a eu 11 mois le 26 août, elle est toujours aussi drôle et en pleine forme, mais après-demain elle va se faire… stériliser.
Petite inquiétude dans la maison.
8.56 J’apprécie énormément la façon dont vous vous faites passer pour « bé-bête ». Votre humour est d’une rare subtilité, sous les apparences de votre austérité argumentative sur le monde tel qu’il va…
wow
En attendant, on attend avec impatience,
Muni de toute sa science,
Les révélations de Gros Q
Sur Jésus!
Hurkhurkhurk !
marrante la photo de la photo d’Hélène portée par la garde nationale.
c’est souvent comme ça que finissent ceux qui se sont toujours trompés.
j’ai lu que Carrère est un type accro à la gloire, limite pathologique, le désir de gloire le rend malade.
en fait il est pas le seul.
c’est le prolongement logique du processus d’individualisme, en fait on passe par des étapes : égoïsme, égocentrisme etc… et ça finit par le désir maladif d’obtenir la gloire.
Les livres d’Hélène Carrère d’Encausse sont tout de même très souvent Intéressants. Elle possède en outre un indéniable talent. En littérature comme en histoire, « avoir raison » n’est pas tout. Seuls les très mauvais lecteurs s’imaginent le contraire.
« N’avez-vous jamais eu l’idée de publier sur votre site du Lézard votre « goût du Christ », initialement refusé par le Mercure, si je me souviens bien. »
C’était le « goût du christianisme », plusieurs fois commandé par le Mercure, JJJ.
J’avais fini par accepter et j’ai finalement constaté que je n’étais pas compétent ni motivé sur ce sujet et n’ai pas rendu le manuscrit.
Un autre que moi l’a mené à bien, son livre pourrait peut-être vous être utile ?
https://www.mercuredefrance.fr/le-gout-du-christianisme/9782715255364
du coup c’est marrant ce titre « Kolkhoze » parce que ça c’était la communauté, le partage avec au centre l’idée du « bien commun ».
je veux dire dans l’idée c’était çà, même si ça s’est terminé par un partage de la misère.
alors que lui c’est l’opposé de l’idée de « bien commun » : la seule chose au monde qui compte pour lui c’est juste lui.
le bien commun s’arrête au limite de sa personne.
c’est pour ça qu’il est tant aimé : il est la meilleure incarnation de nos sociétés individualistes peuplées de types hyper égocentrés et égoïstes.
ce type est la meilleure représentation du nihilisme dans lequel l’occident est en train de sombrer.
même l’évolution des commentateurs du blog à passou qui ont tous viré fachos est aussi une expression de ce nihilisme dans sa version la plus médiocre.
« C’était le « goût du christianisme », plusieurs fois commandé par le Mercure, JJJ.
J’avais fini par accepter et j’ai finalement constaté que je n’étais pas compétent ni motivé sur ce sujet »
tu m’étonnes…
Je crois malheureusement que beaucoup de citoyens ont été poussés vers la droite, parfois la plus extrême, par la gauche.
j’ai pas compris si sa mère est russe ou géorgienne ?
encore qu’on s’en fout complet.
sauf que c’est plus classe de dire qu’on est russe que géorgien.
« Je crois malheureusement que beaucoup de citoyens ont été poussés vers la droite, parfois la plus extrême, par la gauche. »
sans doute, sauf que ceux qui fréquentent le blogapassou ont été poussés vers l’extrême droite surtout par l’âge et l’entrée dans la vieillesse.
dur dur de devenir vieux, surtout vieux facho.
681
commentaires