Le droit inaliénable du poète en fin de droits
Vous, je ne sais pas ; mais moi, je n’y comprends rien à ce conflit des intermittents du spectacle. L’affaire a tout de la patate chaude que l’on se refile de gouvernement en gouvernement, de ministre de la Culture en ministre de la Culture (ici les dernières propositions d’Aurélie Filippetti) en espérant chaque fois l’envelopper dans une serviette pour ne pas se brûler, le temps que passe l’été de tous les dangers en raison des menaces d’annulations qui résonnent comme autant de mises à mort des festivals. La grève ? Pas vraiment la solution. A titre d’exemple, 80% des intermittents du festival d’art lyrique d’Aix-en-Provence viennent de faire savoir qu’ils lui étaient hostiles. Personnellement donc, je ne me risquerai à expliquer le pourquoi du comment de crainte d’obscurcir ce qui n’est déjà pas très clair sous cette avalanche de chiffres, de pourcentages et de clés de répartition. Charlotte Lipinska a du mérite d’avoir débrouillé tout cela sur son blog de « La République du théâtre ».
Je n’y connais rien. En revanche, je connais Yvon Le Men (Tréguier, 1953). Job avait fait les présentations il y a quelques années., un soir au Rosebud, rue Delambre. Ils s’étaient fréquentés, frottés l’un à l’autre. Job l’avait aidé à ne pas en finir, un soir de pluie sur une route de Bretagne. L’un de ces rares poètes qui vivent de, par et pour la poésie. Rien d’autre. Autant qu’il en vit difficilement. Il aurait pu faire sienne l’indignation de Camus qui disait ne pas supporter que l’on parle de la pauvreté autrement qu’en connaissance de cause. Mais l’indignation n’est pas son fort. Lui préfère glisser à mi-voix : « Le pire pour un pauvre c’est de ne pas pouvoir faire de cadeaux ». C’est tout Yvon le Men. La poésie, il l’écrit, la publie, la lit, la dit jusqu’à en faire un spectacle vivant. Après de nombreuses années de vaches maigres, ce breton au cœur sur la main, étranger comme ce n’est plus permis au cynisme ambiant, à la vulgarité de l’époque et à l’esprit de calcul, a réussi depuis vingt ans à faire passer la poésie, la sienne et celle des autres, ses glorieux devanciers et ses discrets contemporains, là où elle était le plus souvent ignorée. Il joignait les deux bouts sans jamais se plaindre, du côté de Lannion, soutenu le plus souvent par de petits éditeurs aussi fauchés que lui, constamment sollicités pour des théâtres, ateliers d’écritures, dans des écoles, des prisons, des rencontres, des festivals etc. Tout un travail qui relève de l’interprétation et de la mise en scène, mais dans lequel les pôlesemployeurs ne voient désormais qu’une conférence du troisième type.
Jusqu’à ce que la directrice de Pôle Emploi/ Bretagne (« un pôle/ comme pour nous dire/ où aller/ où chercher/ du travail/ de l’emploi ») lui réclame le remboursement de 30 000 euros d’indemnités au motif qu’en fait, selon elle, il a triché, menti pour prendre l’argent auquel il n’avait pas droit, via « Chant manuel », une association de Saint-Brieuc dont il aurait été le président fictif, ce qu’il conteste avec la dernière énergie (Le Men, président !..). Pardon : 29 796 euros de rétropédalage pour n’avoir pas été dans la bonne case depuis 1986. Il a essayé de savoir mais le chef a renvoyé au chef qui a renvoyé au chef. On lui a fait comprendre qu’un poète qui poétise en public ne pouvant décemment prétendre à être un artiste du spectacle vivant, il était donc radié du régime des intermittents.
« intermittent/ l’inter de mi-temps/ quel drôle de mot/ rien que de l’écrire/ on sent comme un/ trois-petits-points/ qui sautent moutons et mutent/ mes rêves en cauchemars/ je me réveille à l’abattoir/ il est vrai/ que nous sommes en république/ c’est au peuple/ de décider/ le peuple dont fait partie/ comme moi/ le directeur de Pôle Emploi/ des plaintes en proie/ au désarroi/ des rats des villes/ des rats des champs/ et cetera et cetera »…
Faut-il préciser qu’il n’a jamais disposé d’une telle somme sur son compte en banque ? Alors il a fait ce qu’il sait faire comme peu d’autres : un poème. En fin de droits (avec des dessins de Pef, 72 pages, 13 euros, Editions Bruno Doucey) a ceci de particulier qu’on y perçoit un cri d’une rare douceur. On ne se refait pas. Même dans la colère, il demeure courtois, poli, attentif, tendre. Pas de misérabilisme, pas de pathos, pas de violence. Même s’il a voulu l’écrire en lettres de sang. Le statut précaire est consubstantiel à la vie d’artiste. Les comédiens les plus réputés le savent – et il en est parmi eux qui ont la carte et savent qu’elle peut leur être retirée à tout moment. Yvon le Men a donc décidé de raconter son histoire en vers et contre tout avec les armes qui sont les siennes. Dans l’ombre portée de Verlaine « Voici des fruits… » et de Villon « Frères humains… ». Sa manière de remettre les conteurs à zéro. Seul moyen, avec la mobilisation des empathiques, de ne pas passer la prochaine saison en enfer. Car la date limite de paiement est fixée au 15 décembre 2014. Autant dire demain.
C’est un poème jeté sur le papier en espoir de cause. Pas faute d’avoir essayé de se faire entendre dans les bureaux mais, à défaut de l’écouter ou même de l’entendre, nul ne lui a parlé. Pas une voix n’a surgi de l’horreur administrative. Que des cliquetis de clavier. Pas âme qui vive. Ce que c’est que d’être accusé d’avoir piqué dans les caisses du chômage. Quelqu’un quelque part lui a suggéré de rédiger une lettre de recours gracieux. Mais comment expliquer qu’on peut avoir écrit cinquante livres sans être capable de composer un tel texte ?
« Emploi/ avant j’avais un métier/ maintenant j’ai un emploi/ m’a dit un jour/ un paludier/ dont le sel brillait encore en blanc/ dans ses yeux ».
Emploi… Quand je pense que j’ai connu Le Men grâce à un nommé Job ! La publication de ce poème, c’est son droit, l’ultime, le seul qu’on ne peut lui retirer. A Pôle Emploi/ Bretagne, c’est désormais le silence. On ne lui répond plus. Il n’y a même plus personne pour demander au poète ses papiers.
(« En rade » photo Bertrand Langlois/ Afp et « Yvon Le Men sur scène » photo D.R.)
1 285 Réponses pour Le droit inaliénable du poète en fin de droits
Il échoue là, lui, car il est poète …
Ca va faire comme le Graf Spee ça c’est sûr…
Y Le Men, le seul capable de raconter sans misérabilisme, avec un détachement ironique bourré de malice et de pudeur, devant une assistance qui rit en se demandant si c’est du lard ou du cochon, ses crises d’énurésie, enfant, comment on affublait ceux qui en étaient victimes de couches distillant des chataignes électriques, histoire de leur apprendre les bonnes manières. Il ya qq chose d’exemplaire dans sa façon d’évoquer la petite misère sociale bien noire et non truquée, en Bretagne, dans une famille pauvre de ces années-là. Inimaginable en effet pour ceux qui n’en ont jamais tâté, n’ont aucune envie de la voir. Ca me donne envie de caresser ce pôle emploi breton au démonte-pneu. (Mon prochain achat, peut-être, après En fin de droits, Pef, Doucey, 13euros) tenez bon, Yvon
Yvon Le Men, Tréguier, – 1953, ne peut donc pas prétendre être le fils naturel de Renan. Les dates sont contre.
Que dit Mme Filipetti?
C’est bien, Pierre Assouline, d’évoquer la pauvreté des poètes. Que deviendraient-ils si la culture devenait gratuite?
Au fait, Pierre Assouline, j’espère que vous avez payé votre exemplaire! Je passe à ma librairie habituelle demain et vous tiens au courant…
Bonne soirée
Manière de parler bien sûr. Jamais su changer une roue. Mais acheter son livre.
M. Le Men, « L’un de ces rares poètes qui vivent de, par et pour la poésie. Rien d’autre. Autant qu’il en vit difficilement »
Malheureusement, mon pauvre monsieur, malheureusement, par les temps qui courent, pour les permanents de rime, les Psy4 de la Rime aussi… peut-être qu’en le chantant, en cabaret au fond de la rade, ou dans la Ruelle en chantier ?
Mais cette mésaventure qui polarise l’intérêt fait-elle de M. Le Men un intermittent du spectacle, l’un d’eux, leur bonnet rouge ?
Cette photo est une oeuvre spectaculaire, en soi.
« Le pire pour un pauvre c’est de ne pas pouvoir faire de cadeaux »
interesant et zarbi si l’on le pren et d’où ça vient..et en plein dans le sujet..pour résumer : la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a
pour l’ensemble..quand même lassouline..je comprends pourquoi tu attires zouz..tu calçonnes mieux que lui..cadeau!
..bien que t’es une vieille dent contre le « spectacle vivant »..enfin..c’est pas du dracul..la dent
Chapeau à D.R. pour la photo, et la scène, et la mise en boîte et tout.
Peut on être poète et habile menteur ? Pas sûr de pouvoir cumuler. Pas impossible non plus, on en connaît d’autres …
Si son dossier est « clean », qu’il prenne un avocat et attaque ! En laissant la porte ouverte pour une négociation ! La vente de son livre sera la cerise sur le gâteau.
La sécurité, les protections sociales des poètes?
Que font les « autres »? Ils cherchent un emplois dans le spectacle et quand ils n’en n’ont pas ils travaillent ailleurs (usines, supermarchés, artisanat, pêcheries, etc etc) et touchent des indemnités sur les emplois qu’ils ont eu.
Et même lorsque vous avez cotisé 42 ans un quart et malheureusement pas la demie, on vous carotte 3 pour cent de votre retraite sécu et de toutes vos retraites complémentaires ( trois autres dans ce cas..)
Être poète, est-ce un métier?
Peut-on confondre un statut de sécurité social et une pratique artistique?
( Sinon soyons solidaire avec tous les » mal payés » de la pension retraite!Et avec le poète, la somme doit bien se trouver parmi les fabricant de best-sellers, non?)
Et que peut la Société des gens de lettre?
Que deviendraient-ils si la culture devenait gratuite?
surtout qu’elle a jamais rapporté autant d’argent..ceci dit c’est toujours pareil lassouline..darouine a dit que l’ennemi c’est celui qui partage la même niche..une microcosmique..dessus des lions n’y jette même plus un oeil, et c’est ça le cynisme ? piètre définition
« l’on se refile de gouvernement en gouvernement » : sous la III° au moins ça allait plus vite…
Camus qui disait ne pas supporter que l’on parle de la pauvreté autrement qu’en connaissance de cause
..bon en même temps son propre c’est de ne point pouvoir en parler..la soupe au cailloux dans la bouche dirait lésope
Sympathique, ce Le Men :
http://www.dailymotion.com/video/xe3sco_rencontre-avec-yvon-le-men_creation
sous la III° au moins ça allait plus vite…
but biznèce as youzoul..one way
Pauvre type, l’avait qu’à faire directeur de chaine et magouiller avec l’emploi d’intermittents, Pôle emploi lui foutrait la paix
ma mère..keupu la dessus..le cavalier de l’apopopo..de l’apopopo..de l’apopocalispe
quand je lis ici les commentaires de JC et bouguereau, je pense toujours à Ionesco et sa pièce: COMMENT S’EN DÉBARRASSER ?… Passou, vous aimez Ionesco ?
l’un demande a lassouline si qu’il a acheté le bouquin et l’autre..l’aute..c’est pas compliqué on a envie de leur acheter un pack de kro a ces deux fauchés consanguins..c’est vrai merde font pitié ces 2 pov gars..c’est que nous aussi on a un coeur lassouline
tu pourrais leur payer un billet au stade jicé..ils pourraient tenir une belle pencarte
2500 exemplaires de En fin de droit à 13 euros et le tour est joué!
Il faut lire du Verreghen à Pôle emploi!
On lui a fait comprendre qu’un poète qui poétise en public ne pouvant décemment prétendre à être un artiste du spectacle vivant, il était donc radié du régime des intermittents.
C’est pourtant bien ce qu’il est, puisqu’il se produit dans des spectacles. Son statut réel est celui d’un comédien à part entière.
Vous, je ne sais pas ; mais moi, je n’y comprends rien à ce conflit des intermittents du spectacle. L’affaire a tout de la patate chaude
Moi non plus.
Et aux histoires de « patates chaudes », pas plus.
Est-ce grave ?
Comme il dénonce les « corporations », même celle des poètes, ont-elles leurs entrées au ministère?
Est-ce grave ?
t’as pas de coeur épicétou
c’est bien comme le dit le billet qu’il n’est guère reconnu aux poètes et aux artistes le droit d’exister comme tels , même par les commentateurs de ce blog: P.Assouline soit-il remercié d’avoir écrit ce billet pour la défense de leur dignité au nombre des hommes
Son statut réel est celui d’un comédien à part entière
rahhha c’est un poéte qui tape dans la cagnote des intermitents..tu parles que la patate est superchaude pour les mecs de popo de popo de polemploi..faut aussi les comprende..eux..imagine qu’ils prennent le micro à tf1 et qu’ils « on comprends rien a ce qu’il dit ce poète à la con et vous ? »
Et Rougerie est un éditeur pauvre, dans la plus grande des dignités d’ailleurs…
Et ça ne fait pas un riche retraité.
( Bon Daaphnée, vous allez acheter cinq exemplaires, non?)
t’as pas de coeur épicétou
Non mais, le Boug’, je connais beaucoup de « plasticiens » …. ceux-là sont tellement peu organisés qu’ils ne sont pas dans ce système. Où ils se débrouillent où il faut qu’ils se trouvent une blonde côtée en bourse …
Quant aux musiciens, le seul que je connaisse qui critiquait ces nouvelles mesures, dirige un festival .. autant dire que ce n’est pas le plus mal loti ..
D’où ma perplexité ..
polemploi c’est le dernier rempart de l’académisme.. »si qu’on mélange le poète avec la stripteaseuse et doù qu’on va !? sans nous ça srait un franc bordel dans la culture..les critique y comprennent pas même lassouline..heureusment qu’on est là c’est teutchy et c’est trop long a vous espliquer..de toute façon vous comprendrez rien..vdqs et lachez nous »
une blonde côtée en bourse …
elles ont le coeur bien placé..tu le reconnais
Et Rougerie est un éditeur pauvre, dans la plus grande des dignités d’ailleurs…
Et ça ne fait pas un riche retraité.
( Bon Daaphnée, vous allez acheter cinq exemplaires, non?
Non, je lui proposerais plutôt de travailler pour lui avec seulement qqs parts sur d’éventuels bénéfices ..
..de toute façon tant que lassouline ne mettra pas le scan du billet leclerc ou figure le bouquin, dailleurs leclerc c’est aussi un grand rempart de l’académique lassouline..si c’est marqué « pack kro x 12 » on le verra..faut que ça soit écrit minimum « article saisonnier »..
une blonde côtée en bourse …
et ça s’éclate comme une bulle ?
elles ont le coeur bien placé..tu le reconnais
Ah mais c’est tout un travail pour les repérer !
Il faut avoir l’instinct du chasseur qui se lève à l’aube pour s’embusquer au bon endroit ..
J’en connais.
et ça s’éclate comme une bulle ?
Non, ça explose tout seul.
Mais il faut attendre un peu ..
Racine joué à la Comédie Française est aussi un spectacle « vivant », rappelait Marc Fumaroli, certes favorable uniquement à la continuité du spectacle.
Hésiode versus Homère et le football sur les ruines de l’Europe.
Longue vie au poète à passou, qui ne manquera d’être renfloué par une bonne âme (au long bras) après son passage sur le prestigieux blog.
Si j’écoute mon instinct, je n’achète pas le bouquin : j’attendrai d’y voir plus clair…
La littérature peut attendre, elle a le temps pour elle.
ça explose tout seul
Presque rassurée d’apprendre que des trucs pareils existent encore…
le scan du billet leclerc
Il y a bien A. de Galbert qui a trouvé mieux que vendre entre le rayon petits pois et couche-culottes ..
Leclerc manque d’audace, non ? Ou me trompe-je ?
( Bon, le Boug’, si vous voulez qu’on parle d’un concept inédit … cela peut se faire ..)
t’as pas de coeur épicétou
Allons Bouguereau n’essayez pas de nous faire gober que c’est une des choses qui vous importent le plus, il faut puisque vous évoquez la grande distribution qu’il y ait adéquation entre l’offre et la demande, gageons qu’avant minuit, ces parages aient accordé l’une et l’autre des deux parties en présence .
adéquation entre l’offre et la demande
voyons, Bérénice, vous n’avez toujours pas compris qu’offre et demande sont pures spéculations ? Autant dire des abstractions ?
C’est le fondement du succès commercial, adapter, faire correspondre, anticiper, prévoir, voir, concevoir.
Daaphnée c’est votre nom de revue ou Est-ce parce qu’il vous semble avoir abusé des journées, une variable adaptable à votre travail de documentaliste en ces lieux?
Bérénice, je crains que vous n’ayez quelque difficulté à vous abstraire .. de votre « rue de la soif » chérie, comme disait le Boug’ ..
La demande une spéculation, voilà qui me paraît assez bien vu avec suppression de la pureté. Mais Daaphnée, franchement, vous n’avez que des spéculations à offrir ? Quel dommage de vous voir ainsi pleine de l’air d’une bérénice…
« Vous, je ne sais pas ; mais moi, je n’y comprends rien à ce conflit des intermittents du spectacle. »
C’est pourtant simple:
Sophie Coignard: « Intermittents : le festival des profiteurs »
C’est pourtant simple
viens pas foutre le bordel pablo..
Allons Bouguereau n’essayez pas de nous faire gober que c’est une des choses qui vous importent le plus
..le coeur n’est pas le monopole de la droite béré !
Il n’est pas impensable que les intermittents qui piquent dans la caisse soient l’équivalent des Roms qui piquent dans les câbles …uhuhu !
Ne nous fâchons pas !
Leclerc manque d’audace, non ? Ou me trompe-je ?
..il y a des salles d’expo dans les centres culturels leclerc..j’ai eu la chance de discuter avec un des gars qui me semble être le curateur officieux de celui de mon coin (un gars responsabe du rayon apn si j’ai tout pigé)..c’était fort interessant..damien hirst ne serait pas accepté qu’il m’a dit.. »jamais! »
…
…l’union fait la force!,…
…
…pourquoi les poètes et écrivains avec quelques graphistes!,…
…ne publierait pas des nouvelles » genres gags « ,…politico-satyrique sur la société,…
…en plus fort, que radio et télé réunis!,…
…le genre » Pilote « ,…de B.D.,…une époque encore chaude!,…
…vous lisez-quoi, Monsieur,… » Mon Cul « ,…Oui!,…déjà le numéro!,…2014,…
…vingt dieux,…c’est encore mieux que Dallas et Dynastie réunis,…Oh!,…avec du Benny-Hill,…à Bonanza » gladiatore « ,…
…le Parque à mon Cul,…le N° inédit!,…
…20 €uro , ou avec le change,…25 Francs-libres!,…
…ou alors!,…allez fumez bandes d’ivrognes abrutis!,…
…capitaine !, vous êtes sur le Cul,…pas sur tintamarre!,…etc!,…
…l’union fait la force!,…
…de la vache,…par poncifs à grenouilles!,…etc!,…Ah!,…Ah!,…
…
Ne nous fâchons pas !
pas de danger..t’as du coeur pour un régiment!
l’union fait la force!
jicé avec nous !
Première photo – Bertrand Langlois. AFP
Pablo, l’article de sophie coignard, est, comme c’est souvent son cas, un poil truqué poujadiste en prenant exeple haut de gamme pour pointer les abus, mais la majorité, c’est tellement en dessous. cela dit, je connais un couple qui joue de la viole de gambe 3 mois pendant l ‘été et qui vit e le reste de l l’année du nombre d’heures accompi pendant l »été et fait,bien sûr, du travail au noir.
Mais pourquoi vous nous dites tout ça, Paul ?
C’est gênant de connaitre les histoires des autres comme ça d’un seul coup.
renato dit: 1 juillet 2014 à 20 h 43 min
Première photo – Bertrand Langlois. AFP
–
Je confirme.
Vous êtes donc une seule et unique personne aux multiples pseudonymes et à la personnalité changeante et perturbée. C’est mathématiquqe.
N’est-ce pas Jcouille ?
La poésie contemporaine incarnée par un Le Men…! On aura tout vu ici !
Bon je vais manger une escalope bolognèse que je dédie à renato.
Ce pauvre M. Le Men, quelle pitié.
Si c’est pas malheureux; ça dégouline de partout chez les bobos.
En plus j’imagine qu’il a une famille nombreuse, des enfants de bohème cachés, tout ça. Tout ça qui faire rire les oiseaux et chanter les écureuils.
Si on peut avoir des infos sur la future saison théâtrale, ça m’interesse.
Surtout cette pièce-là, les particules élémentaires.
Une vraie pitié en effet ! Pauvre France ! Pauvre Europe de la culture ! Tout ça est bien mort, tiens !
Les anglais, don’t mes potes, ont tous apprecie que l’equipe d’Algerie se soit battue avec tant de coeur et de couilles contre une puissante et arrogante Allemagne et presque reussi a l’eliminer…sauf sur ce site ou les bloggeurs s’excitent et se frottent les fesses sur des histoires de Ramadan…accordez au moins, bande de nazes, aux sportifs Algeriens un minimum d’intelligence pour decider de ce qui leur conviendrait le mieux, Jeuner ou pas…ni vous , ni moi, ni le muphti de Tatatouine-les-brains ne peut leur imposer quoi que ce soit, a moins que vous ne les consideriez comme des indigents mentaux, qui auraient besoin de l’opinion de p’tits profs retraitables pour decider de leur strategie sur le terrain…perso, si j’etais francais, la derniere chose que je voudrai faire serait de gueuler « vive l’Allemagne », n’etant ni collabo ni fils de collabo, ni corbeau…ensuite, vous vous plaignez que les beurs ne se sentent pas tout a fait jambon-beurre…P.S. J’ai toujours pense que le gagnant du match Algerie-Allemagne battrait la France…
Mais alors, WGG, qu’est-ce un poète contemporain?
Daaphnee , je trouve votre islamophobie de plus en plus penible…je vous pensais plus intelligente….reprenez-vous…
Hé oui, wgg, qu’ est-ce que vous avez contre Le Men?
On a évité une nouvelle guerre d’Algérie, Abdelkader !
Contre les boches on a toujours gagné en fin de compte.
À l’Assemblée, c’est presque huit fois plus…
alors là autant coucher..
Il est peut-etre temps pour la conclure cette guerre, non? Et les boches, vous ne les aurez jamais Battus sans les arabes, les rosbifs, les US et les blacks… »vive l’Allemagne »…tain…
Il s’agit d’un cas humain et ce n’est pas très drôle de mettre sa misère sur l’ estrade publique même si cela concerne un saltimbanque.
Voilà la liste, il n’est même pas dedans… !
http://www.sitaudis.fr/Poetes-contemporains/
Lisez Jude Stefan, André du Bouchet, Michel Deguy, Lionel Ray, Jacques Roubaud, etc. ça ce sont de réels poètes contemporains.
On a évité une nouvelle guerre d’Algérie
le sérail est sauvé.. pourvu qu’ils se piquent pas d’interdire le mot croissant au festival de Vienne.. je sais pas, un truc genre crochet de brioche.. on entendrait les marie-antoinette approcher comme dans la cité de la peur..
Alors ça, j’adore, WGG!
Sitaudis, sitaudis c’est une drôle de baraque :
« Sitaudis cherche la bagarre de chercheurs et la bonté, la beauté des genoux assis sur du casse et la vraie grammaire qui varie. » (sic)
C’est aussi folklorique que la poésie de Yvon Le men!
wgg, n’abusez pas de votre position de professeur pour prétendre dire qui a le droit d’être reconnu comme quoi par qui .
tous les poètes sont juifs, écrivit une poétesse.
Ceux-là, ce sont les poètes de la corporation, comme on pourrait parler de celle des bouchers?
On en connait d’autres, vous aussi n’ est-ce pas?
Popaul sur son blog censure à tour de bras ! Il ne supporte pas la contradiction, accuse les autres d’être haineux quand on analyse des œuvres dont il ne supporte pas qu’on les conteste… Rien ne m’étonne chez ces espèces de gens profondément intolérants !
ML, vous vous êtes trompé de liste.
Y’a le chef machiniste qui va encore crier en silence.
http://www.pole-emploi.fr/file/mmlelement/pj/3d/35/08/3c/metiers_intermittence_spectacle_annexe_8–juin_2010-24010.pdf
Non, je n’en connais pas d’autres, à part moi, mais je n’ai jamais publié chez un éditeur. Si je l’avais fait, je serais dans la liste, qui n’est pas de la corporation, comme vous dites. Ce sont simplement des gens qui publient des poèmes qui relève d’un travail sur la langue. Des œuvres d’art.
Ah ! s’ils relèveraient d’un travail sur l’a-langue ! il y aurait au moins l’excuse qu’après Lacan on peut dire tout et n’importe quoi sûrs et certains que quelqu’un apportera la sauce verte.
Je suis interdit de commentaire sur le blog à Popaul !
WWWWWWWWAAAAAIIIIIISSSSSSSSS!!!!!!!!!!!!!!!!!
Vive l’esprit libre ! À bas les censeurs !
C’est donc vous qui lui téléphonez à 3 heures du mat !
D’autre part, lui aussi, donner son n° de téléphone à n’importe qui !
// Daaphnee , je trouve votre islamophobie de plus en plus penible…je vous pensais plus intelligente….reprenez-vous… //
Abdlekader, je vous pensais plus informé. Il y a longtemps que la passagère de bus andin ne fait plus illusion ici, sauf pour les quelques mâles qui lui font la cour.
Respirez Michel, de ce pas vous nous faites un infarctus en ligne…
Et je viens de lui envoyer deux sms de plus d’injures !
Widergänger dit: 1 juillet 2014 à 21 h 51 min
Non, je n’en connais pas d’autres,
Alors pourquoi mettre dans votre panier de linges sales ceux et ils sont nombreux que vous ne connaissez pas?
( Bon sang, à cause d’un violent orage et des trombes d’eau, j’ai dû aller nettoyer le filtre d’évacuation du puits de retenue sinon tout se déverse dans les sous-sols du voisin!)
Et tout ça parce que mon analyse très objective de l’œuvre de Gombrowicz ne lui plaît pas !
Un vrai malade mental !
Popaul sur son blog censure à tour de bras ! Il ne supporte pas la contradiction, accuse les autres d’être haineux quand on analyse des œuvres dont il ne supporte pas qu’on les conteste… (Widergänger)
Pour avoir osé porter un avis contraire au sien à propos d’un roman de Balzac, j’avais été, il y a environ deux ans, injurié par ledit Popaul qui, pour me décourager de poster chez lui, n’avait pas hésité à porter contre moi des accusations mensongères (avoir révélé sur le présent blog) sa véritable identité, que je ne connaissais pas à l’époque. Popaul est, à ses heures, une sale petite ordure à qui je me propose de dire publiquement son fait lors d’une quelconque foire aux livres.
Mais je me fous de ceux que je ne connais pas, si vous voulez savoir !
Le Men en question est tout ce que vous voulez, sauf un poète. Un chansonnier à la rigueur. Bon. Qun’on répare une injustice à l’encontre d’un chansonnier, ok. Mais qu’on foute la paix à la poésie contemporaine, déjà suffisamment méprisée comme ça !
Quand je pense à Paul Edel, les paroles de la chanson de Boris Vian chantent dans ma mémoire :
Une bonne paire de claques
Dans la gueule
Un marron dans les
Mandibules
Un bon coup d’tatane
Dans les fesses
C’est ça qui vous r’fait un’ jeune-e-sse !
Un chansonnier à la rigueur. WGG.
Il est vrai qu’il existe dans le monde de la poésie un corporatisme que dénonce aussi Yvon Le Men. Petits lectorats, petits auditoires, petits cénacles, on a bien connu cela. Même ces sempiternels « poètes » affiliés quasi officiellement à des médiathèques, bibliothèques et autres centres culturels. Toujours les mêmes et dûment appointés. On en a connu un, qui nous a lu sa prochaine publication in extenso, ce fut très, très long et je n’ose écrire ici son nom…
C’est qui, ce Le Men ? Un poétaillon de quatrième zone . C’est pas à nous de cracher au bassinet pour l’aider à payer son redressement fiscal. Assouline est prêt à se porter garant de son honnêteté, mais nous, qu’est-ce qu’on en sait ? C’est comme pour Sarko, que la lumière soit, ensuite on verra quoi en penser. En plus, c’est un Breton. J’aime pas ces gens-là. Mauvais esprit, antinational.Le dénommé Le Men est probablement un sympathisant des Bonnets rouges.
Daaphnée dit: 1 juillet 2014 à 18 h 55 min
Vous, je ne sais pas ; mais moi, je n’y comprends rien à ce conflit des intermittents du spectacle.
C’est parce que c’est l’été.
Un poétaillon de quatrième zone .ODP
Dit par un commentaillon des 1200 ièmes réparties cela ne manque pas de sel!
Encore, s’il s’était prénommé Jean-Marie. Jean-Marie Le Men, ça vous avait tout de suite une autre gueule.
Le fantôme de MaC dit: 1 juillet 2014 à 22 h 08 min
islamophobie
Oui mais là on est cerné avant c’était la Catho avec la poiscaille immonde le vendredi même dans les lycées quasi-rouges, maintenant c’est le problème du boeuf kasher et du porc hallal y a plus rien qui rentre dans l’estomac…
Enfin, faut arrêter avec les clichés de ploucs ! Vous voyez un peu Jacques Roubaud ou Michel Deguy avec un tel esprit de corporatisme ! Ce que vous dites est débile.
Casher, Trommelfeuer !
Salut, mes copains,
Là, maintenant, critique objective… à mourir de rire…
moi, je n’y comprends rien à ce conflit des intermittents du spectacle.( Sergio)
Moi non plus, mais comme je ne vais jamais au spectacle, je m’en contrefiche. Ils peuvent bien bouffer de la vache enragée jusqu’à la fin des temps, c’est pas ça qui troublera ma digestion.
Ce qui est amusant c’est que Paul Edel m’avait envoyé un SMS en réponse à ce que je lui disait de positif de son dernier roman en date sur Rome, pour me dire que mon avis comptait beaucoup pour lui…
Quelle farce tout ce monde parisien de la littérature ! Des gens intoélrants, des vaniteux, de petits esprits mesquin incapables d’argumenter dans des textes critiques pour répondre à des arguments, qui se contentent d’une pauvre pensée « j’aime/j’aime pas ». Voilà, c’est ça la critique littéraire parisienne du Figaro ! Affligeant ! Le degré zéro de l’intelligence critique.
Oups ! critique objective > analyse objective… c’est encore pire…
Les intermittents nous font chier ! Les spectacles de merde d’Avignon nous font chier !
Vous voyez un peu Jacques Roubaud ou Michel Deguy avec un tel esprit de corporatisme !WGG
Ben, y’en a un qui se déplace et se fait payer pour une soirée, non?
( Ce qui est tout à fait normal, tout travail et surtout poétique mérite salaire.)
Enfin, faut arrêter avec les clichés de ploucs !
Vous avez beaucoup fréquenté les colloques poétiques WGG?
la Reine des chats dit: 1 juillet 2014 à 17 h 52 min
Manière de parler bien sûr. Jamais su changer une roue.
salut, la fille (quoique ?)
tu remontes tes manches. Tu prends une clé ds le coffre de ta caisse. Tu déboulonnes les quatre écrous d’un coup sec.
Puis tu glisses le cric sous la protection prévue à cet effet. Tu vérifies que t’as bien mis le frein à main, et que ta voiture est à plat. Si t’as vérifié avant c mieux. Si t’es tête en l’air c encore temps pour toi.
Tu remontes ta voiture grâce au cric qui va démultiplier tes efforts.
Quand ton peuneu est loin du sol, tu finis de démonter tes écrous et tu les ranges sur le capot.
Puis tu remplacer ton peuneu à plat par la roue que tu as extraite de sous les bagages dans le coffre.
Du coup, tu rends le doudou à Jules qui arrête net de chouiner.800 bornes que tout le monde le cherche. Ton mec se détend, il était temps.
Tu cales un peu tes quatre écrous, tu les revisses en fait. Tu reposes ta voiture au sol qui n’a pas dérapé.
Tu visses à fond tu bloques d’un grand coup de pied. T’as au préalable viré tes escarpins pour tes santiags.
Tu vas boire une antésite au bar de la Marine. Tu laisses ton mec faire goûter les gosses ; t’as fait ta part de taf.
T’en profite pour en jeter trois gouttes dans le dessert de ton voisin ( de l’antésite, ben ouais).
ça y est : voilà le nouveau dessert de la Baleine dont t’es l’auteur célèbre : la fameuse île flottante à l’antésite.
Tu récupères ton mec hagard.
Tu remets tes talons hauts.
Tu dis à tout le monde : venez mes amours on se tape la bulle : tu embarques tout ton monde sur le ferry-boîte : ils adorent. Tu décides d’embarquer dans trois jours seulement pour la Corse. Tu demandes à Sam s’il te suit et si ça lui suffit.
Com’ il te dit encore ben tu enchaînes avec le traîne-couillon et tu files vers le Frioul ; tu poses tout le monde en route sur l’île du château d’If.
Tu les laisses jusqu’à l’aube chercher l’issue du château.
A cinq heures t’arrives avec un thermos de chocolat chaud et des croissants frais. Tu rembarques tes aimés , tes quatre enfants et leur père vers la plage.
Là tu embarques tout le monde sur ton ketch de dix sept mètres et vous naviguez vers la Corse. Entre temps la baleine
mais je m’égare ha…
Marseille c’est chez moi.
ma ville natale.
Je l’écris, je pleure.
Comme devant les vitraux de Chagall ds la cathédrale de Reims : je les vois, je pleure.
salut mes copains,
Le Men est un sous-poète de chef-lieu de canton. Assouline le comparerait bien à un Guillevic ou à un Ségalen. Gardons le sens de la mesure. Toute cette affaire pue l’escroquerie. Je ne mettrai pas un centime d’euro dans la sébile du sieur Le Men. Si on était dans un pays civilisé comme Israël ou la Chine, il y a longtemps que le drôle aurait été passé par les armes.
Et bien m’est avis que celui que Bihoreau appelle le nain teigneux va connaître une très très longue intermittence politique. C’est pas moi qui va le regretter!
bon, je vous laisse vous disputer ; à Avignon tous les ans il y a des choses bien et d’autres moins. aujourd’hui j’ai corrigé trente copies de brevet en six heures dans une j’ai lu « y’a plus de théâtre, y’a plus de poètes, y’a plus d’écrivains ».
C’est peut-être un gosse de quelqu’un d’ici.
ça te remet les pendules à l’heure de ce qui reste au bout d’un an de cours.
si avignon a des propriétés laxatives ça mérite salaire dracul
y’a plus de théâtre, y’a plus de poètes, y’a plus d’écrivains
faut relacher sarkozy, l’art se venge
Ouaip ai lu tout le billet et vu les cercueils enflammés sur le vieux port.
En fait c’est tout une histoire d’abus. Au lieu de s’intéresser à un cas particulier il faut demander à plusieurs comment cela fonctionne le régime des intermittents du spectacle.
En Avignon ils vont jouer.
A Aix aussi.
A Orléans non je crois : un festival de jazz.
C’est un nombre d’heures à faire 550 . En douze mois avant, en neuf mois aujourd’hui.
Neuf mois et demi
Le Men est un sous-poète de chef-lieu de canton
dans tout pays civilisé comme la chine ou israel il aurait une rente de maréchaéogi..et le respect de sergio
Onésiphore de Prébois dit: 1 juillet 2014 à 22 h 52 min
bouffer de la vache enragée
Houlà fatal error ! Déjà en cas de morsure c’est le centre antirabique compter une bonne après-midi, ensuite faut dénoncer le propriétaire et si on le fait pas on est relancé pendant au moins dix ans…
c’est aussi une histoire de quota (comme l’agriculture ?)
et de nombre d’intermittents. On est passé d’un nombre à beaucoup plus.
Les gens quand ils sont dans un système rentable ils se la bouclent. Ils gueulent car il s’agit de réduire leurs droits aux allocations chômage. Dès que quelqu’un gagne suffisamment et dépasse un quota réduit il n’a plus droit à l’appellation intermittent du spectacle car il n’est plus intermittent puisqu’il a assez de revenus pour ne plus prétendre au statut sus-cité.
c’est très difficile : on ne peut pas dire on est pauvre alors on est talentueux ; on est riche on ne l’est pas.
bouffer de la vache enragée
personne n’est mort de chval tuberculeux dans les lasagnes..t’exagères toujours sergio
Mais la question est : peut-on être et talentueux et riche ?
ou faut-il bouffer de la vache enragée pour être talentueux ?
salut bouguereau
le confort tue-t-il le talent ?
on ne peut pas dire on est pauvre alors on est talentueux ; on est riche on ne l’est pas
en plus de tous les bénéfices les riches ont celui du doute
est-ce qu’on prend l’habitude de ne rien glander ?
« Mais la question est : peut-on être et talentueux et riche ? »
Proust.
le confort tue-t-il le talent ?
..les riches n’en ont que plus de mérite
Si mon souvenir est bon, Rudolf et Margot Wittkower in « Born under Saturn: The character and conduct of artists », dédient un chapitre aux artistes riches.
» Dès le début, en 1972, Yvon LE MEN écrivain a été aussi Yvon LE MEN diseur de ses poèmes. Et c’est d’ailleurs de cela qu’il vit puisque les droits d’un auteur de poésie sont dérisoires. C’est pourquoi il est affilié au régime des intermittent du spectacle depuis 1986.
Depuis cette date, il est salarié de l’association CHANT MANUEL qui lui établit ses contrats de travail, assure la fonction de producteur de ses prestations – c’est à dire qu’elle finance la préparation de ses prestations publiques en obtenant pour ce faire des subventions des collectivités locales (Conseil Général des Côtes d’Armor, Ville de LANNION, Conseil Régional de Bretagne, …) et s’acquitte envers lui des obligations de l’employeur. »
Il s’agit donc d’un poète départemantal, ce qui a remplacé de fait les poètes du roi ou des Princes comme un Clément Marot ( avec son gras) n’a t-il pas insulté ou froissé maladroitement dans ses écrits quelques édiles locaux?
bon j’ai assez dit de conneries rose..j’ai chopé une vieille antologie de poèmes érotique dans une brocante, le bouquin sniffe la vieille cave de sinsingmaringueune..je ferme les noeils et je vois facilement des nazis torturant des femmes nues comme lassouline..je dois me retenir pour pas faire l’écrivain..je résiste
Quand on a beaucoup de talents c’est qu’on est riche confer je ne sais plus quel Astérix… Ha oui celui des architectes… Amonbofis qui construisait des maisons écrasées…
j’ai du corriger les copies de widergänger
fan de chichourle
Je ne fréquente pas du tout le milieu des poètes. Je lis de la poésie, j’en écris, c’est tout.
L’idée qu’on puisse vivre de la poésie est proprement aberrante. Personne n’en vit ! Tous ceux qui écrivent de la poésie sont quasiment tous professeurs : Roubaud, Lionel Ray (qui fut mon prof de khâgne au lycée Chaptal), Jude Stéfan qui enseigne/enseignait dans une université américaine, Michel Deguy qui enseigna longtemps la philosophie, etc. Seule André du Bouchet n’était pas professeur, mais il était programmé au départ pour l’être aux Etats-Unis puis en France et même chercheur au CNRS, il travaillait finalement comme lecteur et à la télévision pour vivre. La poésie ne rapporte rien. Alors parler de 30 000 euros relève du n’importe quoi ou du vol à l’état pur. La poésie n’a jamais rapporté 30 000 euros à qui que ce soit écrivant de la poésie ! Faut arrêter de se foutre de notre gueule !
Pour Gombrowicz, voilà ce qu’écrit un grand critique littéraire :
« Pourquoi l’œuvre de Gombrowicz qui a connu toutes les louanges de la critique a toujours tant de mal à s’imposer en France ? (…) En dépit des commentaires pléthoriques aucun monument, aucune statue de Gombrowicz n’ont été jusqu’ici dressés à Vence ni ailleurs. Le vingtième anniversaire de sa mort a été célébré sans pompe ni parade, dans la seule intimité des témoignages écrits. »
(Marek Tomaszewski, « Witold Gombrowicz, l’antimythe polonais face au public français », in Mythologie polonaise, sous la direction de Jan Rubès, Alain van Crugten, Editions Complexe, 1998).
rose dit: 1 juillet 2014 à 23 h 23 min
est-ce qu’on prend l’habitude de ne rien glander ?
oui, rose
c terrible
ah, les riches pauvres chous, encore un sujet à la mode..
je suis désolée d’avoir à le dire, mais paul, avec les femmes, est très correct : pas de censure, pas d’injures : courtois, cordial etc. Accueillant.
Mais nous n’envahissons pas impunément son territoire, il faut le dire.
Avec nous, nul besoin de modérateurs car nous nous modérons ou faisons notre propre mea culpa en son temps (après les règles, après la ménopause, après l’orgasme, après les courses à carrefourre).
Le truc, les hommes, jc, michel, serait peut-être que vous cessiez vos prétentions à « moi j’ai toujours raison » ou » c’est moi le meilleur », « toi t’as une petite bite (on s’en fout).
Puisque de toutes façons, nous vous lisons avec beaucoup de bonhommie ; de tendresse même. (il sait pas ce qu’il perd thyssens, huyssens, byussens seul dans sa datcha isolée et glacée où il n’a rien à vendre : rien).
>boug
fais ce que tu veux avec tes mains dans les bouquins des bords de seine mais te chope pas la chtouille ; chais pas si amazone c’est pas moins risqué.
Widergänger dit: 1 juillet 2014 à 21 h 57 min
Je suis interdit de commentaire sur le blog à Popaul !
WWWWWWWWAAAAAIIIIIISSSSSSSSS!!!!!!!!!!!!!!!!!
Vive l’esprit libre ! À bas les censeurs !
Tiens, langue de pute s’est coincé les roubignoles dans l’as censeur
Il y a bien assez de culture comme ça en France et beaucoup trop de gens qui se croient investis de missions d’ordre culturelles alors qu’ils n’ont que peu de talents.
Il faut petit à petit s’habituer à voir clair. La gauche mitterrandienne et langienne nous a fait prendre de bien mauvaises habitudes qu’il convient tout simplement de perdre.
cinquante mille intermittants du spectacle peuvent fort bien faire cinquante mille maçons ou cinquante mille boulangers. Il suffit pour cela de se lever tôt, de travailler sans intermittence, et de tenter de commencer à s’habituer à concevoir que l’on est certainement plus utile en pétrissant ou en gâchant qu’en faisant le guignol avec des boutons et des décors en carton-pâte.
Rose, quand avez-vous fait votre dernier mea culpa ? Je n’ai rien trouvé et je pense qu’il est grand temps.
C’est vrai que cette histoire d’être payé à lire ses propres poèmes, c’est pas mal dans la provocation contre le monde du travail et de l’ utile quotidien. Ça n’a pas dû plaire à un fonctionnaire lambda de P.E.
Et il publie un livre pour se plaindre notre poète!
Mais d’un autre côté, combien de poètes qui ont un travail disons » normal », pour bouffer ont fait une croix sur la publication d’un ou plusieurs recueils de poèmes?
Le confort ne tue pas le talent. Flaubert était très riche, sa fortune héritée de ses parents se montait à quelque 50 millions d’Euros ! Au contraire Baudelaire a traîné sa misère quasiment toute sa vie après avoir dilapidé la fortune hérité de son père. Il était sous tutelle financière. Cela ne l’a pas empêché d’être le grand poète que nous apprécions aujourd’hui. La seule différence entre Flaubert et Baudelaire, qui étaient tous les deux nés en 1821, c’est que l’un fut acquitté à son procès pour atteinte aux bonnes mœurs tandis que l’autre fut condamné et humilié et obligé de retirer 6 poèmes des Fleurs du Mal, ce qui fut vécu par Baudelaire comme un traumatisme qui entraîna un profond bouleversement de perspective sur sa poésie dont se ressent fortement les nouveaux poèmes en vers qu’il inséra ensuite aux Fleurs du Mal et les poèmes en prose du Sleen de Paris, qui sont une déconstruction de sa propre poésie, ce qui en fait aujourd’hui un recueil passionnant à lire et à étudier dans ce sens. La critique récente, anglo-saxonne comme française a déjà donné à ce sujet de profonds commentaires de son œuvre.
Pas ce jour d’hui, en tous cas.
Vous employez souvent l’adjectif profond, Widerganger. Il ne faut pas en abuser.
Entre des poètes morts dans l’ œuf à travailler hors champ de la poésie et des poètes sur endettés pour cause de lecture autocitationnelle, dur le dilemme!
La lecture d’œuvres littéraires et de poèmes se pratiquent très couramment en Allemagne. La nouvelle de Peter Härtling Tage mit Echo.
Ça s’appelle Vorlesung et c’est bien payé.
Et voilà. 2 juillet déjà
Oui, j’ai oublié de finir ma phrase, je disais donc que le nouvelle de Peter Härtling « Brodbeck und die letzten Bücher » est fondée sur un héros, Brodbeck, qui pratique ce genre de Vorlesung dans les théâtre d’Allemagne.
Regardez D, entre ses bocaux de bonbons, il écrit des poèmes mais ne peut les publier, saisit d’attention qu’il est par les comptes!
On connait pourtant le titre de son recueil : » Repas du soir »
D. dit: 1 juillet 2014 à 23 h 53 min
>D Smack
pour l’instant c béné
à chacune son tour
riz blanc porc et crevettes au caramel (acheté à midi avec les rouleaux de printemps com pique-nique) yaourt confiture de raisins noirs eau
La nouvelle critique au sujet de Baudelaire a publié par exemple :
— Jean-Louis Cornille, Fin de Baudelaire Autopsie d’une œuvre sans nom, Essais, Hermann, 2009.
Pour mieux comprendre encore le Spleen de Paris, il faut lire de l’historienne Simone Delattre, avec une préface d’Alain Corbin, Les douze heures noires La nuit à Paris au XIXè siècle, Albin Michel, collection « L’évolution de l’humanité », 2003, pour la poétique de la ville chez Baudelaire, c’est remarquable.
parfois y’a lecture de poèmes ou de textes pas payée : gratos
Il manque juste le pinard, rose ! Autrement c’est parfait.
Widergänger dit: 1 juillet 2014 à 23 h 55 min
Le confort ne tue pas le talent.
ah ! bonne nouvelle (strasbourg saint denis)
D. dit: 1 juillet 2014 à 23 h 51 min
l’on est certainement plus utile en pétrissant ou en gâchant qu’en faisant le guignol avec des boutons et des décors en carton-pâte.
Privé de télé pendant un mois mon petit D. Cela t’apprendra à dire des âneries.
Baudelaire c son beau-père qui lui a serré la vis : je suis en train de me demander s’il n’a pas eu grandement raison : clac les boulons, clé de douze.
pas de pinard widergänger. Au restau, un verre ; pas chez moi. Sauf si invités ; or, pas d’invités.
salut marcel
encore faut-il faire du bon pain ; ou des bonnes gâches. On peut être un talentueux intermittent / cela arrive.
Autopsie d’une œuvre sans nom
Mais là, vous êtes hors-sujet WGG, l’ œuvre a un nom et le poète pas encore mort, agonise quasiment dans le non rôle de l’emploi.
Sur Baudelaire :
http://www.fabula.org/revue/document6348.php#bodyftn3
Bonsoir Rose. Je vous aurais bien écrit un triolet, mais je n’ai pas dormi depuis deux jours. Il faut que j’aille me coucher.
Bonne nuit.
à hue et à dia, c’est concaténatoire WGG!
Dormez bien marcel
merci pour le lien sur baudelaire widergänger
Le serpent qui danse
Que j’aime voir, chère indolente,
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau !
Sur ta chevelure profonde
Aux âcres parfums,
Mer odorante et vagabonde
Aux flots bleus et bruns,
Comme un navire qui s’éveille
Au vent du matin,
Mon âme rêveuse appareille
Pour un ciel lointain.
Tes yeux où rien ne se révèle
De doux ni d’amer,
Sont deux bijoux froids où se mêlent
L’or avec le fer.
A te voir marcher en cadence,
Belle d’abandon,
On dirait un serpent qui danse
Au bout d’un bâton.
Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d’enfant
Se balance avec la mollesse
D’un jeune éléphant,
Et ton corps se penche et s’allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ses vergues dans l’eau.
Comme un flot grossi par la fonte
Des glaciers grondants,
Quand l’eau de ta bouche remonte
Au bord de tes dents,
Je crois boire un vin de bohême,
Amer et vainqueur,
Un ciel liquide qui parsème
D’étoiles mon cœur !
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal
les poèmes à Jeanne bouguereau, la sensualité exagérée
bises
bonsoir
concaténation \Sigma^\star (ou A^\star).
« La poésie, en un premier mouvement, détruit les objets qu’elle appréhende, elle les rend, par une destruction, à l’inconnaissable fluidité de l’existence du poète, et c’est à ce prix qu’elle espère retrouver l’identité du monde et de l’homme. Mais en même temps qu’elle opère un dessaisissement, elle tente de saisir ce dessaisissement. »
(G. Bataille)
On peut le dire déjà de Baudelaire comme de la poésie d’André du Bouchet. C’était d’ailleurs l’objet de mon travail universitaire sur sa poésie où j’explicite ce « dessaisissement » dans le fonctionnement même de ses poèmes. Nous avions d’ailleurs ensemble, quand je l’avais rencontré chez lui, parlé de Baudelaire à ce sujet.
merci, P.Assouline d’admettre, au moins de manière rhétorique, que parois on ne comprend pas .C’est mon cas avec la RdL ? Et je ne suis plus assez jeune pour ne pas être perplexe , au moins quant à l’humanisme !, ce que j’ai confié à un critique de théâtre professionnel , ce soir même.
Toute la poésie du monde n’arrive pas à me calmer: le nain teigneux est enfin dans les filets de la Justice! De quoi rimailler!
À vouloir ses hisser là où il voulait être,
Il a fait des bassesses sans même les reconnaître,
mais voilà les Français peuvent bien être dupés,
sauf que si ils l’apprennent, ils savent bien se venger!
Terrible confusion commise par Paul Edel qui confond son « blog ouvert au public », avec son « domicile espace privé » … et censure sur le blog, en rétorsion, un intervenant qui le contredit et lui envoie des SMS furibards !!!
Quel couscous syrien, ma mère !!!
Daaphnee , je trouve votre islamophobie de plus en plus penible…je vous pensais plus intelligente….reprenez-vous…
Aucune islamophobie de ma part, Abdel .
En revanche, que l’intégrisme religieux soit une catastrophe pour l’humanité entière, la démonstration n’est plus à faire.
Il se trouve simplement qu’aujourd’hui, c’est l’islamisme dont on constate les ravages.
Après que l’Algérie ait perdu son match … peut-être cela n’a-t-il rien à voir avec le jeûne et je ne sais pas combien de joueurs dans l’équipe d’Algérie l’ont effectivement pratiqué. Le savez-vous ?
Mais ce n’est qu’une observation de bon sens que de dire qu’à ce niveau de compétition, diminuer ses chances de gagner par une diététique inappropriée …
Autant se contenter de matchs amicaux et je ne vois pas l’ « honneur » qu’il y aurait à aller disputer une compétition au seuil de l’évanouissement programmé !
S’agirait-il de glorifier le martyr ?
Personnellement, cela ne m’éblouit pas.
Le nain teigneux a fait comme fait tout le monde politique, de la plus petite commune, jusqu’au sommet de l’Etat. Prendre le maximum de pouvoir…
Il appartient au passé, désormais, politiquement. Et les magistrats du SM sont de bien mauvaises et petites gens !
Que croyez vous que font les petits minables actuels ? Idem Sarkozy ! Où sont ceux qui peuvent remplacer les « baudruches socialistes » ayant succédé au « nain teigneux UMP » ?….
A se battre dans les vestiaires …
Que l’Algérie ait perdu son match de foot « m’en touche une sans faire bouger l’autre », comme disait le grand (par la taille). Là n’est pas l’essentiel.
Ce riche territoire a surtout perdu son match politique en ayant salopé son indépendance concédée par les méchants colons français qui en avait créé toutes les structures utiles, à partir de zéro….
Aujourd’hui pour les jeunes algériens, c’est le match du visa qu’il importe de gagner ! Risible …
Et pour en finir avec « les droits inaliénables du poète », je ne vois pas pourquoi ils seraient supérieurs, a proportion, à ceux d’un charcutier, d’un éboueur, d’un plombier, d’un ingénieur, d’un préfet ou d’un ministre ….
Bérénice, je crains que vous n’ayez quelque difficulté à vous abstraire .. de votre « rue de la soif »
Rue Schubert et je ne dispose pas même d’un chef d’orchestre à qui tailler la baguette alors pour ce qui est de s’abstraire du lieu, ne me restent que les outils de locomotions en usage et habituels.
jc au moins il n’a pas peur de radoter
» m’en touche une sans faire bouger l’autre »
terriblement intéressants vos états d’âme de beauf borné
Anthropopithèque,
Le grand Chirac mérite notre respect : il fut plus mauvais président que le pourtant très mauvais Mitterrand. Et ça …il fallait le faire.
…
…en urgences! pour tailler la baguette avec les outils de locomotion habituels,…en usages,…
…
…vous sonner!,…
…premiers secours!,…montrez votre fiche-médicale!,…bon pour le service!,…je suis en retard , l’embouteillage!,…juste le temps de mettre ce petit déshabillé sur votre perron!,…entre deux coups de sifflets!,…
…l’escort-girl,…c’est pour monsieur!,…
…
…bon!,…nos enfants qui se lèvent encore » durs » pour la feuille de croissance!,…
…vous avez les compétences!,…notre voisin,…aussi!,…
…
…travaillez moins , pour gagner plus!,…choisissez votre lardon!,…
…
…tâter, tâtez,…aussi, le coeur du portefeuille,…la bonne souplesse des billets doux!,…Oui!,…
…il présente bien!,…et encore analphabète,…dis bonjours à mademoiselle!,…encore un illetré , mais quelle plume!,…il écrit de la main gauche!,…
…au début , je peux vous aider!,…
…Non, çà ira!,…tout les matins!,…quel Job!,…bon , à l’essaie!,…
…
…c’était qui!,…la nouvelle péda-guode,…affamée,…elle prend son petit déjeuné aux invalides, quelle jeunesse!,…
…tout dans l’écrit,…rien dans la tête!,…Oui!,…et elle porte la ligne en elle!,…pour faire les pointes avec son taille-crayons!,…
…
…tout les matins, çà en laisse plusieurs sur le tapis!,…le roulement!,…
…
…c’est un nouveau métier recycler sur le tard!,…des compétences spontanées, presqu’un job à la tête du client!,…les relations publiques,…un vaste champs de compétences!,…elle débute les yeux fermées!,…et trouve son chemin dans le noir!,…en s’écriant ou est l’anal-fait-bête!,…sur soit dis en passant!,…
…Ah!,…Ah!,…pousser pas les portes-ouvertes!,…pour les dindons de la farce!,…
…une autre!,…à deux mains!,…
…touchez pas au Grisby!,…etc!,…
…le droit inaliénable d’usurière,…
…
@JC « il fut plus mauvais président »
pas seulement comme président
(mon devoir dicté par les instances divines m’oblige à le lui faire payer chaque jour que dieu fait)
La cinquième république, vaste toboggan.
Photo
« No Euro-mediterranean community without peace » (Barcelona, 2009).
A sober view.
Bernie,
Ah ! l’Hôtel de Ville, la jeunesse, l’impatience !
(il est exact que 5 minutes, préliminaires et douche compris, ça laisse des souvenirs émouvants…)
Photo 2
Un pote emploi.
Je soutiens d’instinct, je réfléchis ensuite.
Vivent nos poètes bretons!
Neb zo lemm beg e deod a rank bezañ kalet kostez e benn!
JC 8h30
déjà bien avant sa période hôtel de ville
« La cinquième république, vaste toboggan. »
c’est mal fait, la preuve: on accable des innocents, des sauveurs
un intervenant qui le contredit et lui envoie des SMS furibards !!!
le sms deviennent une menace pas pour polo mais pour les blogs..et les coups de fil..je suis prés a payer un poête bien un poête pour renouveler mes « fernande je bande »
Je soutiens d’instinct, je réfléchis ensuite
tamouré zouzique
5 minutes, préliminaires et douche compris
rien en sus ?
les droits inaliénables du poète », je ne vois pas pourquoi ils seraient supérieurs, a proportion, à ceux d’un charcutier, d’un éboueur, d’un plombier, d’un ingénieur, d’un préfet ou d’un ministre
c’est le droit de cuissage jicé qui te fait peur..les cyrano à long nez te font peur..tu préfères demander à ton crèmier ou à clopinedours..c’est une péninsule mais sur la lune
Il est indispensable de maintenir au sein de ce blog prestigieux, intellectuel, littéraire, aéré, …un minimum de crasse, de vulgarité, de petitesse, de vilénie, de lâcheté, de compromission, et d’information débile n’ayant aucune importance.
Vous pouvez donc compter sur moi pour ce faire en rappelant à Bernie que la présidentielle Mitte, cet homme de droite passé à gauche par commodité, écrivain et homme d’Etat banal, sautait elle aussi sur les minettes et que ce beau François le Premier se farcissait régulièrement la grande loucheuse italo-égyptienne, Dieu ait son âme, la sculpturale Yolanda Cristina Gigliotti, plus connue sous son pseudonyme Dalida.
Comme quoi, il ne faut pas mélanger spiritualité, intellectualité et baise. Bonne journée, bons câlins, petits démons lubriques et que les poètes intermittents aillent se faire foutre chez Paul Emploi !
ce matin, non sans avoir hésité à le dire, je reconnais que je ne pense pas incarner une identité puissante et forte, comme ma mémoire: suscitée par ces cercueils: il s’agit d’une légende juive selon laquelle jacob avait demandé à ses fils d’emmener son cercueil, et de ne pas le laisser en terre égyptienne .
je vais essayer de la retrouver sur la toile si la connexion ne renacle pas trop
« passé à gauche par commodité »
Passer de droite à gauche dans la résistance active « par commodité », ben voyons!!
(de gauche à droite vous applaudiriez)
sacré JC!
« écrivain et homme d’Etat banal »
pas assez à droite pour JC
« la présidentielle Mitte, cet homme de droite passé à gauche par commodité, écrivain et homme d’Etat banal, sautait elle aussi sur les minettes »
Vous le traitez de pédophile??!
A part cela, à part le Général (mais on ne sait pas tout), on sait bien (ce n’est un secret pour personne), et c’est plutôt bien vu en france, en tout cas ça fait rigoler, les sommets de l’Etat n’ont jamais été avares de la gaudriole sous la Vème du moins
Les alarmes d’Assouline pour un ami sont bien compréhensibles. Il n’en reste que son billet laisse dans l’obscurité un point essentiel : oui ou non le dénommé Jean-Marie Le Men a-t-il indûment soutiré à Pôle emploi les 29 796 euros qu’on lui réclame ? Hic jacet lepus. Si c’est non, qu’il avoue sa faute et rembourse jusqu’au dernier centime. Les dirigeants de Paribas l’ont bien fait, pourquoi pas lui? Le statut d’intermittent du spectacle ne comporte aucune clause autorisant l’intermittent à être au-dessus de la loi. Surtout qu’en plus, c’est à moi, contribuable, que le Jean-Marie Le Men aurait piqué et argent. Alors là, non. Surtout que c’est un Breton. Et moi, les Bretons, je les piffe pas. Qu’ils remboursent d’abord les portails d’écotaxe incendiés, après on causera.
@ Paul Edel
« l’article de sophie coignard, est, comme c’est souvent son cas, un poil truqué poujadiste »
Et les intermittents ne sont pas « poujadistes »? (C’est quoi, d’ailleurs, le terme pour nommer le « poujadisme » de la gauche caviar?).
Ce que je ne comprends pas dans cette histoire, c’est pourquoi les écrivains et les traducteurs littéraires ne bénéficient pas du même régime que les intermittents du spectacle.
On revient toujours à la phrase de De Gaulle: « Tout Français désire bénéficier d’un ou de plusieurs privilèges. C’est sa façon d’affirmer sa passion pour l’égalité. »
@ Widergänger
« Je suis interdit de commentaire sur le blog à Popaul ! »
T’éliminer, toi, ce n’est pas de la censure, c’est de l’hygiène…
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