Le droit inaliénable du poète en fin de droits
Vous, je ne sais pas ; mais moi, je n’y comprends rien à ce conflit des intermittents du spectacle. L’affaire a tout de la patate chaude que l’on se refile de gouvernement en gouvernement, de ministre de la Culture en ministre de la Culture (ici les dernières propositions d’Aurélie Filippetti) en espérant chaque fois l’envelopper dans une serviette pour ne pas se brûler, le temps que passe l’été de tous les dangers en raison des menaces d’annulations qui résonnent comme autant de mises à mort des festivals. La grève ? Pas vraiment la solution. A titre d’exemple, 80% des intermittents du festival d’art lyrique d’Aix-en-Provence viennent de faire savoir qu’ils lui étaient hostiles. Personnellement donc, je ne me risquerai à expliquer le pourquoi du comment de crainte d’obscurcir ce qui n’est déjà pas très clair sous cette avalanche de chiffres, de pourcentages et de clés de répartition. Charlotte Lipinska a du mérite d’avoir débrouillé tout cela sur son blog de « La République du théâtre ».
Je n’y connais rien. En revanche, je connais Yvon Le Men (Tréguier, 1953). Job avait fait les présentations il y a quelques années., un soir au Rosebud, rue Delambre. Ils s’étaient fréquentés, frottés l’un à l’autre. Job l’avait aidé à ne pas en finir, un soir de pluie sur une route de Bretagne. L’un de ces rares poètes qui vivent de, par et pour la poésie. Rien d’autre. Autant qu’il en vit difficilement. Il aurait pu faire sienne l’indignation de Camus qui disait ne pas supporter que l’on parle de la pauvreté autrement qu’en connaissance de cause. Mais l’indignation n’est pas son fort. Lui préfère glisser à mi-voix : « Le pire pour un pauvre c’est de ne pas pouvoir faire de cadeaux ». C’est tout Yvon le Men. La poésie, il l’écrit, la publie, la lit, la dit jusqu’à en faire un spectacle vivant. Après de nombreuses années de vaches maigres, ce breton au cœur sur la main, étranger comme ce n’est plus permis au cynisme ambiant, à la vulgarité de l’époque et à l’esprit de calcul, a réussi depuis vingt ans à faire passer la poésie, la sienne et celle des autres, ses glorieux devanciers et ses discrets contemporains, là où elle était le plus souvent ignorée. Il joignait les deux bouts sans jamais se plaindre, du côté de Lannion, soutenu le plus souvent par de petits éditeurs aussi fauchés que lui, constamment sollicités pour des théâtres, ateliers d’écritures, dans des écoles, des prisons, des rencontres, des festivals etc. Tout un travail qui relève de l’interprétation et de la mise en scène, mais dans lequel les pôlesemployeurs ne voient désormais qu’une conférence du troisième type.
Jusqu’à ce que la directrice de Pôle Emploi/ Bretagne (« un pôle/ comme pour nous dire/ où aller/ où chercher/ du travail/ de l’emploi ») lui réclame le remboursement de 30 000 euros d’indemnités au motif qu’en fait, selon elle, il a triché, menti pour prendre l’argent auquel il n’avait pas droit, via « Chant manuel », une association de Saint-Brieuc dont il aurait été le président fictif, ce qu’il conteste avec la dernière énergie (Le Men, président !..). Pardon : 29 796 euros de rétropédalage pour n’avoir pas été dans la bonne case depuis 1986. Il a essayé de savoir mais le chef a renvoyé au chef qui a renvoyé au chef. On lui a fait comprendre qu’un poète qui poétise en public ne pouvant décemment prétendre à être un artiste du spectacle vivant, il était donc radié du régime des intermittents.
« intermittent/ l’inter de mi-temps/ quel drôle de mot/ rien que de l’écrire/ on sent comme un/ trois-petits-points/ qui sautent moutons et mutent/ mes rêves en cauchemars/ je me réveille à l’abattoir/ il est vrai/ que nous sommes en république/ c’est au peuple/ de décider/ le peuple dont fait partie/ comme moi/ le directeur de Pôle Emploi/ des plaintes en proie/ au désarroi/ des rats des villes/ des rats des champs/ et cetera et cetera »…
Faut-il préciser qu’il n’a jamais disposé d’une telle somme sur son compte en banque ? Alors il a fait ce qu’il sait faire comme peu d’autres : un poème. En fin de droits (avec des dessins de Pef, 72 pages, 13 euros, Editions Bruno Doucey) a ceci de particulier qu’on y perçoit un cri d’une rare douceur. On ne se refait pas. Même dans la colère, il demeure courtois, poli, attentif, tendre. Pas de misérabilisme, pas de pathos, pas de violence. Même s’il a voulu l’écrire en lettres de sang. Le statut précaire est consubstantiel à la vie d’artiste. Les comédiens les plus réputés le savent – et il en est parmi eux qui ont la carte et savent qu’elle peut leur être retirée à tout moment. Yvon le Men a donc décidé de raconter son histoire en vers et contre tout avec les armes qui sont les siennes. Dans l’ombre portée de Verlaine « Voici des fruits… » et de Villon « Frères humains… ». Sa manière de remettre les conteurs à zéro. Seul moyen, avec la mobilisation des empathiques, de ne pas passer la prochaine saison en enfer. Car la date limite de paiement est fixée au 15 décembre 2014. Autant dire demain.
C’est un poème jeté sur le papier en espoir de cause. Pas faute d’avoir essayé de se faire entendre dans les bureaux mais, à défaut de l’écouter ou même de l’entendre, nul ne lui a parlé. Pas une voix n’a surgi de l’horreur administrative. Que des cliquetis de clavier. Pas âme qui vive. Ce que c’est que d’être accusé d’avoir piqué dans les caisses du chômage. Quelqu’un quelque part lui a suggéré de rédiger une lettre de recours gracieux. Mais comment expliquer qu’on peut avoir écrit cinquante livres sans être capable de composer un tel texte ?
« Emploi/ avant j’avais un métier/ maintenant j’ai un emploi/ m’a dit un jour/ un paludier/ dont le sel brillait encore en blanc/ dans ses yeux ».
Emploi… Quand je pense que j’ai connu Le Men grâce à un nommé Job ! La publication de ce poème, c’est son droit, l’ultime, le seul qu’on ne peut lui retirer. A Pôle Emploi/ Bretagne, c’est désormais le silence. On ne lui répond plus. Il n’y a même plus personne pour demander au poète ses papiers.
(« En rade » photo Bertrand Langlois/ Afp et « Yvon Le Men sur scène » photo D.R.)
1 285 Réponses pour Le droit inaliénable du poète en fin de droits
Bon, bien à part la fraicheur discutable de l’info, et compte tenu que nous vivons l’ère du Common Man et aussi qu’une certaine stupidité est nécessaire à la pensée, ça nous apporte quoi le fait de savoir que François, le Premier, se farcissait régulièrement Dalida ?
En fait de droits inaliénables il restera toujours au poète celui de se baisser pour qu’on lui botte le cul.
« ça nous apporte quoi le fait de savoir que François, le Premier, se farcissait régulièrement Dalida »
ça nous apporte quoi le fait de savoir que Yvon, le Poète, se farcissait régulièrement Paul Emploi ?
Botter le cul de Paul Edel, tu imagines le pied ?
@ Widergänger
« Lisez Jude Stefan, André du Bouchet, Michel Deguy, Lionel Ray, Jacques Roubaud, etc. ça ce sont de réels poètes contemporains. »
Déguy un poète !!!
Si un jour, pour un roman, j’ai besoin d’un personnage d’intéllo parisien borné, snob, pédant, vulgaire, moutonnier, poseur, vaniteux, fanfaron, grotesque, baratineur, prétentieux, arrogant, creux, ridicule et sot, je viendrais ici étudier tes posts et le ton inimitable avec lequel tu dis autant de conneries…
Si un jour, pour un roman, j’ai besoin d’un personnage d’intéllo parisien borné, snob, pédant, vulgaire, moutonnier, poseur, vaniteux, fanfaron, grotesque, baratineur, prétentieux, arrogant, creux, ridicule et sot, je viendrais ici étudier tes posts et le ton inimitable avec lequel tu dis autant de conneries… (Pablo75)
ça c’est carrément méchant. Il reste à écrire le roman. Chiche ?
Sur les intermittents, il y a tout de même une chose simple à comprendre : leurs revenus sont à la veille d’être rognés subitement et sévèrement en vertu d’un accord général sur l’assurance chômage http://www.lesechos.fr/20/03/2014/lesechos.fr/0203386063436_accord-patronat-syndicats-sur-l-assurance-chomage.htm U, accord signé en mars dernier entre le Medef et trois organisations syndicales (CFDT, FO et CFTC) qui comptent fort peu d’adhérents parmi les intermittents du spectacle.
Les propositions de la CGT, qui est dans le cas inverse, ont été purement et simplement ignorées.
L’accord a été approuvé par les deux ministres du Travail successifs (Sapin et Rebsamen… qui jusque là, en tant que maire de Dijon, disait soutenir les positions de la CGT-spectacles -un remake de « Paris vaut bien une messe »), les deux premiers ministres successifs et l’immuable président.
Il serait, paraît-il, intouchable (l’accord) AU NOM DU RESPECT DU DIALOGUE SOCIAL !!!
Ce dialogue, si le bon sens y avait présidé, n’aurait pas dû avoir lieu avec les seules organisations très minoritaires flanquées de la CGT, mais avec l’ensemble des parties concernées, c’est-à-dire beaucoup de monde. Car la subvention à la culture qu’offre ce statut dérogatoire fait vivre bien des petits commerçants, bien des petites communes etc. Il donne aussi lieu à beaucoup d’abus dont la fin permettrait à l’assurance-chômage une économie substantielle, comme l’utilisation frauduleuse du statut par de gros employeurs telles les chaînes de télévision, pour augmenter la précarité en diminuant le nombre des CDI (contrats à durée indéterminée) que le code du travail, théoriquement, leur impose.
Déguy un poète !!! (Pablo75)
Et alors ? Deguy, c’et pas dégueu, ça vaut bien Saint-John Perse, et même Jean-Marie Le Men. N’oublions pas que la spécialité de poète n’est pas reconnue par Pôle-Emploi. On peut donc se l’approprier ou se la voir attribuer en toute légitimité. Sans l’avoir jamais beaucoup lu, je pose, sans crainte d’être démenti par d’imparables arguments, que Deguy est un grrrand pouiète.
« Il est des nô-ôo-tres ! il hait le Juif comme nous au-au-tres ! »
Ce dialogue, si le bon sens y avait présidé, n’aurait pas dû avoir lieu avec les seules organisations très minoritaires flanquées de la CGT, mais avec l’ensemble des parties concernées, c’est-à-dire beaucoup de monde (François DelpLa)
Oui, mais alors là, on n’en sort plus. Légiférer suppose un minimum d’efficacité, donc de rapidité. Il faut se faire aussi à l’idée que la loi, quelle qu’elle soit, suppose un mimimum d’injustice. Ou alors,comme dit à peu près un personnage de Voltaire, ce monde serait un autre monde et cette vie une autre vie. L’injustice est le nécessaire fumier des progrès futurs. Mais rien ne presse.
@françois delpla
quand un accord est signé régulièrement, on respecte l’accord signé.
« Ce que je ne comprends pas dans cette histoire, c’est pourquoi les écrivains et les traducteurs littéraires ne bénéficient pas du même régime que les intermittents du spectacle. »
taper à la machine est un spectacle en effet
Ce qui renvoie dos à dos Pablo75 et Widergänger, c’est qu’ils n’arrêtent pas de parler des livres qu’ils n’ont pas écrits. Ce sont d’interminables intermittents de la création littéraire.
« Si un jour, pour un roman, etc. »
Le choix ne me semble pas des meilleurs, il y a le risque que le personnage du romans ne résulte pas croyable. Nous, ici, on pourrait se dire : « Tiens, voilà Michel ». Mais le lecteur moyen, le gars qui ne sait rien du monde enchanté où vivent les intellectuels parisiens, il ne pourrait que se dire : « Ce n’est pas possible, c’est du fantasy ».
« ça nous apporte quoi le fait de savoir que Yvon, le Poète, se farcissait régulièrement Paul Emploi ? »
le spectacle de jc dans son ardante défense de ce pauvre chichi
Si par une nuit d’hiver un voyageur…
T’éliminer, toi, ce n’est pas de la censure, c’est de l’hygiène…(Pablo75)
Pablo veut dire par là qu’il en a des pas petites
« Car la subvention à la culture qu’offre ce statut dérogatoire fait vivre bien des petits commerçants, bien des petites communes »
Là, il faut nous expliquer ça!
Ces spectacles subventionnés sont surtout politiquement utiles aux réélections avec des contenus souvent fort peu culturels.
« un personnage d’intello parisien »
Je pensais que c’était ego-boosting.
Dans le monde de l’édition espagnol (1’8 milliards d’euros de chiffre d’affaires), la concentration du pouvoir s’accélère: les anglo-allemands de Penguin Random House (qui avaient déjà 20 maisons d’édition espagnoles) viennent d’acheter Santillana Ediciones Generales, qui appartenait au groupe propriétaire de El País (9 maisons d’édition, dont certaines très célèbres comme Aguilar , Taurus ou Alfaguara).
Penguin Random House devient ainsi le deuxième géant de l’édition en espagnol, après le Grupo Planeta.
http://cultura.elpais.com/cultura/2014/07/01/actualidad/1404242324_321871.html
il y a tout de même une chose simple à comprendre
..leclerc c’est gérome..polemploi c’est bouguereau..tf1 c’est napoléon 3..l’origine du monde est sous une tente et fais la retape..c’est de l’art vivant..lassouline est au bistrot..se demande où est le bien..la dessus dalida c’est pas un cadeau mais elle est là pour nous rappeler que l’art c’est chacun ses gouts comme les putes..pour rien en général c’est mieux, on a l’impression que c’est de l’amour courtois..c’est simple à comprende merde
Un accord signé doit être respecté, certes !
Mais en l’occurrence, le Medef et ses mignons syndicaux ne se sont engagés à rien d’autre qu’à le remettre au gouvernement, seul à même de statuer, et se devant de désavouer la cancrissime copie au nom du bon sens et de l’intérêt général.
Les conséquences sur les petits commerçants et les petites communes ? Il y aurait moins de spectacles et ils seraient moins bons, d’où moins de recettes, plus de gens repliés en désespoir de cause devant les télés insipides etc. Il y aurait à court terme moins d’emplois… et moins de recettes pour l’UNEDIC, dont il s’agit paraît-il de redresser les comptes et qui aurait, justement, intérêt à les faire, ces comptes, en regardant plus loin que le bout du nez de l’exercice 2014.
Il y a sûrement cent autres manières de soutenir la création culturelle. Encore faudrait-il, dans une société adulte, ne pas en supprimer une en se contrefichant du vide créé.
Ce sont d’interminables intermittents
on arrête pas de commencer et de finir, y’a qule pognon qui dort jamais..l’horreur la dedans c’est que lassouline comprend que c’est compliqué et qu’il faut se mouiller..alors il met en avant le coeur comme jésus dans le temple.. »faut faire bien gaffe avoir beaucoup d’humilité..ils sont peut être meilleur que moi »..ya des moment vaut mieux se tromper lassouline, « le coeur c’est pas le petit doigt attation ! il est gros comasse je peux m’y cacher derrière! toutafé que j’ai payé mon opus chez « mon » libraire »..inventeur de l’eau tiède, ça peut exister
Oh, le Boug’ !
J’ouvre l’ordinateur et j’aperçois en même temps dans la rue, par la fenêtre, une jeune fille en kimono japonais et cornes de Belzebuth sur la tête !
Il se passe des choses étranges ..
Il y aurait à court terme moins d’emplois…
le chantage a l’emploi ?..mais c’est bien..bien ..bien plus grave que ça
Cette histoire d’intermittents est une des mille anomalies françaises, des mille fraudes qui appauvrissent les comptes.
Pourquoi prendre la défense de celui là plutôt qu’un autre ? L’amitié a ses limites.
On ne contestera pas à Le Men le droit d’être poète ni même la qualité de poète de talent. Ni la tentative d’en vivre (mal) en recourant à diverses formes de combinazione. Mais franchement, dans la France d’aujourd’hui, et avec les problèmes où se débattent des millions de gens, si Assouline espère nous faire pleurer avec les problèmes de son copain Le Men, il se fourre le doigt dans l’oeil. La France d’aujourd’hui n’a que très accessoirement besoin de poètes, mais elle a , par contre, et pour ne donner que cet exemple, un besoin urgent et dramatique de personnel soignant qualifié dans ses hôpitaux. Ce ne sont pas les vocations de poète de sous-préfecture ou d’intermittent du spectacle qu’il urge d’encourager, ce sont celles d’infirmières et de médecins qu’il urge de ne pas décourager. Pour ne prendre que cet exemple. Remettons les priorités à leur juste place.
bouguereau se dévergonde, maintenant il écrit plus de deux lignes, bientôt ce sera un roman rempli d’insanités dédié à JC Priapupuce
@ dino
« taper à la machine est un spectacle en effet »
Pour qu’un intermittent puisse faire du théâtre ou chanter sur une scène il faut d’abord qu’un écrivain écrive une pièce ou une chanson. Donc, « taper à la machine » est beaucoup plus important que faire l’andouille sur une scène. Mais comme toujours et dans tous les domaines, ce sont les intermédiaires qui travaillent le moins qui pompent le fric.
Je te signale aussi, puisque ton cerveau, apparemment, n’est pas capable de faire tout seul le raisonnement, qu’aucune loi dans le monde oblige un État à financer les producteurs des spectacles. Il n’y a donc aucune raison objective de privilégier les saltimbanques par rapport aux écrivains ou aux traducteurs.
Il s’agit, encore une fois, dans l’un des pays avancés le moins démocratique du monde, du privilège d’une caste payé par le peuple.
pays avancés le moins démocratique du monde, du privilège d’une caste payé par le peuple
oooolé ?..mais pablo le populo c’est le toro..en france il est manso..toujours! l’espingoin..bravo !
bouguereau, jicé,
mes petits chéris, je suis partante pour faire appel à mes souvenirs et vous aider à écrire votre roman de cul. J’exige qu’il soit édité chez gallimuche et préfacé par l’assouline !
Donc, « taper à la machine » est beaucoup plus important que faire l’andouille sur une scène.pablo
Le cactus délicat
Le cactus délicat
est un sacré gaillard
est un fameux dépendeut d’andouilles
est un grand flandrin
est un va-nu-pied
est un pistolet
est un drôle de lascar
est un drôle
est un rigolo
comme de juste puisque c’est un pistolet
est un drôle de corps
un coquin
un animal des forêts
un général de peau de porc
La terreur des sables fins
Le ténor pour sourd et muet
mais ça n’arrange pas ses petites affaires
ni sa santé.
Robert Desnos Le parterre d’ Hyacinthe
une jeune fille en kimono japonais et cornes de Belzebuth sur la tête !
miley cyrus..ses pubs rapportent un max
un général de peau de porc
ça c’est la culotte de la générale!
Oui, Y. Le Men est un cactus délicat!
MONDIAL DE L’ENLEVEMENT MEURTRIER
Palestine 3 – Israël 1
« il y aurait à court terme moins d’emplois », c’est un constat, pas un chantage !
la seule réponse pertinente serait de démontrer la fausseté du constat.
Ce ne sont pas les vocations de poète de sous-préfecture ou d’intermittent du spectacle qu’il urge d’encourager, ce sont celles d’infirmières et de médecins qu’il urge de ne pas décourager
..flaubert maupassant fait aux pattes..là c’est un peu de l’art..comme cheuloux « attendu à pleyel »..tribulat tuant les cygnes en masse
la seule réponse pertinente serait de démontrer la fausseté du constat
..souviens toi de darouine..les rats faisant la pige aux lémures..de loin des faces réjouies les contemplent
Il a raison, Prébois ! Le besoin de poète n’est pas primordial…
On devrait apprendre aux adultes et aux gosses, non pas des faits à la 1515 Marignan – tous les faits utiles sont dans des Data Base exploitables facilement en numérique – mais de savoir hiérarchiser ces données !
Foin de poètes ! Des militaires, bordel !
@Pablo
« Pour qu’un intermittent puisse faire du théâtre ou chanter sur une scène il faut d’abord qu’un écrivain écrive une pièce ou une chanson. Donc, « taper à la machine » est beaucoup plus important que faire l’andouille sur une scène. »
Ce sont des activités, des arts, complémentaires.
Il n’existe pas de convention collective pour le s traducteurs , je crois (que foutent la sft et l’atlf pour ?)
« puisque ton cerveau, apparemment, n’est pas capable de faire tout seul le raisonnement, »
Ah ah !
« aucune loi dans le monde oblige un État à financer les producteurs des spectacles. Il n’y a donc aucune raison objective de privilégier les saltimbanques par rapport aux écrivains ou aux traducteurs.
Il s’agit, encore une fois, dans l’un des pays avancés le moins démocratique du monde, du privilège d’une caste payé par le peuple. »
Hélas nous n’avons plus de monarchie pour que les artistes puissent se produire à la Cour, c’est bien triste (je rigole )
Ce régime, que tu appelles privilège, (les artistes de) tous les autres pays aimeraient bien bénéficier eux aussi
en bénéficier
médecins qu’il urge de ne pas décourager
ce sont ceux qui le sont qui ont le pouvoir de décourager les autres de venir dévaloriser leurs honoraires jean marron..c’est la puissance du ricard et du porc
..évidemment ils s’associe volontier aux infirmières « le coeur »..hurkurkurk..elle n’ont que le niveau « licence » que depuis peu..c’est pas une preuve ça jean marron ?
JC….. dit: 2 juillet 2014 à 11 h 31 min
« MONDIAL DE L’ENLEVEMENT MEURTRIER
Palestine 3 – Israël 1 »
ça continue ( cinq palestiniens tués dont trois mineurs), les chefs des deux bords font mumuse
Dino, tu penses vraiment comme un pizzaiolo… la galette ! La galette !
« ce sont ceux qui le sont qui ont le pouvoir de décourager les autres de venir dévaloriser leurs honoraires jean marron »
la ruines des hôpitaux c’est le nabot et ses acolytes
jc tu aurais pas une mentalité de caissier?
Des militaires, bordel !
..bordel c’est une litote jicé.. »et des putes ! » on est pas tous poète bordel de pompe à cul (et des vidangeurs)
pompe à cul ça veut pas dire raclure keupu..attation
Caissier ! certes, car ils sont réalistes, les comptables, et leur monothéisme me convient. Au dessus de Jéhovah, Dieu et Allah… le Dollar US !!!
Comment faire rentrer dans la tête d’un pizzaïolo que le drame des hôpitaux, c’est Martine 35 heures et les syndicats … uhuhuhu !
jc
ça débauche à tour de bras – la casse du service public n’a rien à voir avec les 35 heures
Le drame des hôpitaux ce sont les malades, sans eux ils fonctionneraient vachement mieux.
bis repetita : l’indemnisation du chômage des intermittents n’est peut-être pas la meilleure ni la plus juste manière de subventionner la création. L’insupportable, c’est que des pontes se réunissent pour diminuer d’un trait de plume ce moyen sans alerter quiconque sur la nécessité de compenser le manque, ou pondre un raisonnement quelconque démontrant que ce manque est sans inconvénient. Cela s’appelle de l’irresponsabilité.
Le gouvernement qui va
Tant que les « Sévices Publics » ne seront pas repris par des « Services Privés », enfin responsables, tout ira mal dans ce pays de vieux, fossilisés depuis 1789… hurk hurk !
Le gouvernement qui valide la copie de ces pontes en prétendant que, s’il ne le faisait pas, il « porterait un coup mortel au dialogue social » se soucie de la culture comme d’une vieille chaussette, dans son obsession de démontrer, du côté de Bruxelles, son souci de faire des économies.
Il paraît qu’on cherche des sanctions plus intelligentes et formatrices que la prison. Pourquoi ne ferait-on pas faire vingt fois le tour de l’Opéra, coiffés d’un bonnet d’âne, à MM Gattaz, Berger, Mailly et Rebsamen, à une heure de grande affluence ?
renato dit: 2 juillet 2014 à 12 h 03 min
Le drame des hôpitaux ce sont les malades, sans eux ils fonctionneraient vachement mieux.
Exactement ! ils se tournent les pouces, comme les artistes ! Non à la paresse
Pablo ne reconnaît pas Deguy pour un poète et se réjouit de la censure sur le blog de Popaul. Je trouve ça très cohérent. Un crétin demeure un crétin.
De Deguy, vous pouvez lire :
— La raison poétique, Galilée, 2000; il y a un chapitre intitulé « Du culturel dans l’art » tout à fait sur le thème du billet du jour.
Voilà comment ça commence comme dirait l’autre :
« On l’entend aux revendications des artistes, les choses de l’art et les affaires politiques — l’Art et la Politique — sont passées les unes dans les autres. L’artiste et le chef de cabinet ont un terrain commun : le « culturel »; les sphères de l’esthétique et de l’économie politique s’emboutissent, se recoupent, s’indivisent. Le champ de leur confusion est celui du culturel où toute réalité est transférée. Le phénomène social total du culturel, dont l’illimitation n’est pas encore mesurée, production ontologique moderne par excellence, c’est en France que cette chimère a fait ses premiers pas dans l’existence et la réflexion : la création d’un ministère des Affaires culturelles fut, et est, l’index de cette « épochalité », pour emprunter un mot aux traduction de Heidegger. »
Voilà qui démarre fort bien en plaçant la réflexion au niveau qui convient. Mais il faut lire tout le chapitre qui est une méditation de haut vol sur la dégénérescence de l’art dans nos sociétés démocratiques avancées. Il faudrait mettre en contre-point le grand poèmled e Deguy sur la vigie du poète.
des hôpitaux soignant que les riches
« Pourquoi ne ferait-on pas faire vingt fois le tour de l’Opéra, coiffés d’un bonnet d’âne, à MM Gattaz, Berger, Mailly et Rebsamen, à une heure de grande affluence ? »
Belle équipe !
(… tous, suivant leur coach, François Delpla…)
« Exactement ! ils se tournent les pouces, comme les artistes ! Non à la paresse »
Ce n’est pas exactement ce que j’entendais…
…et maintenant JC couine comme le cochon qu’il est qu’on égorge… hurkhurkhurk… le pôvre
Notre historien Delpla n’a l’air de rien comme ça pris à la descente du lit mais il a de sacrées idées, dans le genre petit sadique qui se frotte les mains à l’idée d’humilier autrui, surtout un ministre… les bas instincts quand même…
Quel dommage, ici Londres ! j’aurais aimé ferrailler un peu avec vous (vous nous apportez énormément, en saine rigolade) mais j’ai un meeting* bientôt… Bien à vous !
*beuverie
le rêve de jc http://p9.storage.canalblog.com/91/08/529468/68273059_p.jpg
Tiens, je ne résiste pas au plaisir de vous envoyer un skud à la Deguy : « Le harcèlement culturel excite et épuise l’art, l’hystérise, le fait survivre en le transportant dans la sphère économico-politique, et le perd ».
Il me semble que déjà là tout est dit. L’essentiel.
« Reprendre en vue la relation du politique et de l’art impose de questionner et de dévisager l’énigme du culturel. Je propose de nouvelles remarques sur ce phénomène. » (Deguy)
« Ce n’est pas exactement ce que j’entendais… »
Ben quoi !
A Onésiphore de 11.08, Certes, certes, mais voyez-vous ici c’est la « République des livres » et non « La république de la santé ». Si on y consacrait un billet à la situation à l’APHP, vous seriez le premier à crier : « Et la littérature, bordel ! »
« Notre culture est la culture du culturel. Tout se passe comme si un adjectif, « culturel », prédéterminait son substantif « culture ». (Deguy).
Fine remarque, hein, mes petits chéris.
« Pancol, Levy, Musso: nous les avons testés pour vous. Ils sont tous les trois en tête des ventes. On se demande bien pourquoi. »
« on sent comme un… trois-petits-points… qui sautent moutons et mutent… et cetera et cetera »…
Giovanni?
La réflexion de Michel Deguy sur le « culturel » en lieu et place de l’Art et sur son caractère « illimité » rejoignent les réflexions de Jean-Claude Milner sur l' »illimité » dans nos démocraties. Il y a là quelque chose de tout à fait profond et d’indispensable à la compréhension du monde en train d’advenir sous nos yeux.
« Ben quoi ! »
dans les années 70, un ministre italien dont je préfère oublier le nom, avait transformé, par décret, une certaine quantité de brancardier en infirmiers… n.b. pas infirmiers assistants ou aides soignants : infirmiers ! et voilà résolu le problème… enfin, si on baisse les heures de travail, on augmente automatiquement le personnel soignant, ou alors on élimine les malades… c’est dans les corde de n’importe quel gouvernement…
Je n’y connais rien. En revanche, je connais Yvon Le Men (Tréguier, 1953). Job avait fait les présentations il y a quelques années., un soir au Rosebud, rue Delambre. Ils s’étaient fréquentés, frottés l’un à l’autre. Job l’avait aidé à ne pas en finir, un soir de pluie sur une route de Bretagne.
too good to be true : mais qui sait quoi?
Renato 12 h 38 min
Bonne idée…
« »Le nouveau sens de « culture » — celui qui vient souder les nouveaux syntagmes, tel celui de « culture d’entreprise », dépend de l’effet en retour du sens omniprésent de culturel qu’il faut à tout prix élucider. Le culturel ne réfère plus à la culture anthropologique d’une société (l’objet classique de l’ethnologie), ni à la culture de tel individu dans l’acception traditionnelle de « plus ou moins cultivé ».
« En proférant cette généralité, je reprends l’élan d’une proposition d’investigation qui se mesure au phénomène en question, celui du culturel, en tant que phénomène social global ou total. »
Michel Deguy, op. cit.)
1) j’ai proposé une alternative à la prison, et constate avec intérêt que d’aucun préféreraient voir Gattaz & C° derrière des barreaux.
2) les alternatives à l’amputation des revenus des intermittents s’élaborent pour l’instant dans le silence de mes contradicteurs, auxquels je souhaite de fructueux travaux.
Widergänger est beaucoup plus atteint que je le croyais. En plus d’un cancer de nombril il a une gangrène de la jugeote. Et depuis qu’il est impuissant, quand il veut jouir, il lit Deguy.
Mais au fond je l’admire: comment n’est-il pas déprimé d’être lui-même? Comment peut-il se regarder dans la glace sans s’effondrer de dégoût? Comment a-t-il résisté à la tentation de se flinguer?
Il n’y a que sa bêtise profonde qui peut expliquer ça.
Le drame des hôpitaux ce sont les malades, sans eux ils fonctionneraient vachement mieux. (renato)
Absolument. J’ai déjà eu l’occasion de le dire, mais une des grandes erreurs de l’humanité, c’est d’avoir développé la médecine. Sans la médecine et les médecins, les malades mouraient sans faire d’histoire, à leur heure, sans même se demander pourquoi. Au temps du Roi Soleil, on mourait aussi bien qu’aujourd’hui d’un cancer, mais personne ne savait ce que c’était qu’un cancer. Aussi la chose passait-elle comme une lettre à la poste. Aujourd’hui, on fait des tas de chichis. Résultat : les malades sont de plus en plus nombreux, de plus en plus exigeants. Résultat : le personnel soignant est de plus en plus débordé, et comme l’Etat n’a plus les moyens de lui assurer les conditions de rémunération et de travail de naguère, c’est la crise. Un oncologue, par exemple, c’est dix années d’études et un travail de dingue. Dans mon secteur géographique proche, trois d’entre eux ont récemment pété les plombs et raccroché. Il y a en France de moins en moins d’oncologues qualifiés et il y en aura de moins en moins. Mon généraliste (très qualifié, diagnostic des plus sûrs) s’est rapidement fait une clientèle d’enfer. Il a dû tenir quatre ans : plus de vie de famille et la santé qui se dégradait (c’est un jeune). Il a choisi la médecine du travail : moins stressant. Dans l’hôpital où j’ai mes habitudes, huit infirmières (HUIT) ont démissionné ensemble du bloc opératoire (conditions de travail dégradées, rémunérations insuffisantes). Elles ont été partiellement remplacées par des vacataires , des intérimaires.
Où vont ces gens qui pètent les plombs ou baissent les bras? Ailleurs. Dans le privé, sans doute, mais aussi à l’étranger, aux Etats-Unis, en Allemagne, dans les pays d’Europe du Nord, voire au Royaume-Uni, là où on travaille dans de meilleures conditions et pour un meilleur salaire. Pendant ce temps-là, nous accueillons de plus en plus pour les remplacer des gens venus de pays moins favorisés que le nôtre, des Roumains,des Serbes,des Ukrainiens, que nous payons moins cher que les gens qu’ils remplacent. C’est tout un système de chaises musicales qui se met en place, et notre pays st loin d’être le mieux loti. Le jeune médecin d’origine est-européenne qui a examiné les images de mon dernier scanner parlait à peine le français, était capable d’interpréter très correctement ces images, mais pas d’en rédiger une interprétation satisfaisante; ça a donné une espèce de salmigondis passe-partout,à base de formules toutes faites, inutilisable en l’état.
Un coiffeur pour homme vous demande en général un minimum de 20 euros pour une coupe (sans shampoing). Un généraliste qualifié, c’est 23 euros. Certains spécialistes, c’est 28 euros.
L’Etat fait tout pour bloquer ces tarifs, parce que la Sécu ne peut pas plus. Pour se faire soigner dans les meilleures conditions, le malade devra banquer, et toujours davantage. Un système de soins de plus en plus inégalitaire est en train de se mettre en place.
Passou a raison, la République des livres n’est pas la République de la santé. Quand j’ai rédigé mon post de 12h56, je n’avais pas lu le sien. Cependant, on a pris l’habitude, sur ce blog, de passer d’un sujet à l’autre, de fil en aiguille. Pour revenir à la littérature, si j’ai le temps d’écrire un roman, je n’ai pas besoin de préciser quel sera mon sujet.
« Et la littérature, bordel ! »
..et voilà..encore des putes..ha c’est le plus (petit) dénominateur dirait clopinee
si j’ai le temps d’écrire un roman
tu veux dire la santé ?..alors les infirmière c’est des intermitentes bordel!
les citations de dracul sont a propos pour une fois..faut rétropédaler au plan marchal dracul..imposer au moins 5mn de cul dans les séries par 1/4 d’heure pour raison de particularisme..hop exit les séries américaines dracul..putain si j’étais ministre de la culture je m’habillerai en bénard sans fond comme baroz..ça déménagerait
..et avec gode ceinture que j’irai faire un world tour..
… et les putes ? C’est pas de l’intermittente dionysiaque et utile, ça ?!!! … et l’Etat ne subventionne pas !
A tort.
« Et la littérature, bordel ! »
C’est quoi ça ?
La différence entre le blog à Popaul et celui à Passou ?
Celle qu’il y a entre la Musique et la musique milittéraire…
comment n’est-il pas déprimé d’être lui-même?
tlé tlé joli pablo..je te prendrai comme ambassadeur, sans fond attation, tu pourras causer d’égal avec kabloom, le bénard sans fond c’est salut et fraternité par l’image tu verras
Récapitulatif :
« Qu’entendre par culturel ? Récapitulons.
1°) Un état des « forces productives » caractérisé par une socialisation des rapports de production telle que la communication-information des « différences culturelles » soit le milieu, éther et catalyse, de leurs échanges.
2°) Un état de la société-spectacle accomplissant la prophétie de Debord : « Tout ce qui était directement vécu s’est éloigné dans une représentation ».
3°) Un état de mondialisation (« monde fini » chez Paul Valéry) caractérisé par la vitesse au sens de Paul Virilio : « l’information n’a de valeur que par la rapidité de sa délivrance ; mieux : la vitesse est l’information même » — identification qui relativise et secondarise tout « message » et sa signification.
4°) Une idéologie du « supplément d’âme » — dans la perspective où Javier Perez de Cuellar programme la fin de la misère du monde par le « développement culturel » procuré par les « autoroutes de l’information » et leurs métiers cantonniers. »
(Michel Deguy, op. cit.)
On la voit d’ailleurs bien à l’œuvre ici cette idéologie du « supplément d’âme », et d’autant plus que les commentaires qui le montrent viennent instinctivement comme un allant de soi : le culturel est assimilé aux soins dans les hôpitaux, aux putes, etc.
Cher monsieur Bouguereau,
Je voudrais faire cadeau à mon époux, chef d’entreprise spécialisée dans la pouésie, d’un de vos gode-ceintures en nacre plastique dont un ami me dit qu’ils ont été bénis par le pape François, au Vaticano.
Mon mari est actuellement en discussion avec les syndicats et aimerait s’en munir assez vite car le temps presse…
Pourriez vous m’en livrer un modèle lavable, solide, accompagné d’un carton « Toute à Toi, Jules ! signé Ginette «
« Repartons du patrimonial, en direction d’une hypothèse générale touchant l’essence du culturel. Le pressentiment qui m’oriente, c’est que le partage que croit pouvoir opérer un Fumaroli entre la conception traditionnelle du patrimoine et la monstruosité proliférante, métastasique, du culturel commence par ne pas prendre une mesure descriptive suffisante du fait lui-même »
(M. Deguy, op. cit.)
C’est ça crions en douceur et sans bruit :
et l’hôpital, bordel !
« Vous êtes en train de lire une quatrième de couverture. Ça s’appelle comme ça. Mes éditeurs, qui s’y connaissent un peu en marketing du livre m’ont dit que, dans l’idéal, ça devait être un texte accrocheur un peu putassier, genre aguicheur mais pas vulgaire, un texte qui vous donne envie de lire le livre. Alors je m’y suis collé. »
http://www.amazon.fr/Chambre-dAlbert-Camus-autres-nouvelles/dp/2350760464
Sinon, il y en a qui confondent impartialité et indépendance. Des méthodes à la stasi, quoi.
Qu’entendre par culturel ? Récapitulons
avant c’était mieux, le problème essentiel dracul c’est la nature de la sanction, « la reconnaissance », debord etait fauché et voyait le pogon comme « l’éloignement absolu »..core un qui veut l’amour courtois des putes gratos..les libéraux ne peuvent accepter qu’il y ait une autre aune que le poignon, c’est strictement symbolique, ça n’a rien a voir avec la spéculation, ça serait une menace métaphysique..et faut vachement s’en méfier des menaces métaphysique..des succubes!
avant c’était mieux
tes citations d’avant..là ça fait trop mélanchon..faut savoir se cacher dracul
il y en a qui confondent impartialité et indépendance
en popo en popo en politique c’est pareil..évidemment
debord etait fauché et voyait le pogon comme « l’éloignement absolu
..évidemment il avait organisé son insolvabilité en conséquence..mais ne mangeait pas des cloportes comme saint antoine..et interdisait qu’on puisse figurer « sa tentation »..
ne criez pas, la suite de la 4ème de couv’ est là:
» Salut, je suis Ron, je suis infirmier, je parle de mes patients, voilà. Oh, le truc qui s’annonce soporifique ! » Jamais vous n’achèteriez ça, non ? Je pourrais vous dire : » Bonjour, je suis Ron, je suis infirmier et j’écris pour survivre car, mon métier, c’est la souffrance et la plume de mon angoisse, elle frémit sur la page de mon livre cathartique. » Quelle rigolade ! Jamais vous ne liriez ça, non ? Remarque, le mec qui se la joue » auteur maudit « … Il a toujours un public pour ça. ».
Que dire de l’auteur qui s’la joue, dans son job de chauffeur de salle.
Il mérite d’être mis en examen.
Je m’en occupe.
ASAP !
Stupéfiante, la connaissance oniséphorienne des systèmes de santé, il devrait en faire un poème épique
Ce qui me paraît intéressant aussi dans l’article de M. Deguy, c’est qu’il cite des textes politiques, des décisions prises par des ministres qui ont construit cette notion nouvelle et englobante de « culturel » qui est notre nouveau cancer social :
« La problématique centrale de la difficulté est celle de la valeur. Il faut revenir aux assertions confiantes et résolues du conseiller Querrien (rapport pour Jack Lang de 1982) :
Le patrimoine est l’ensemble des traces qu’ont laissées sous des formes diverses, les messages génétiques qui d’étape en étape ont fait que notre civilisation est ce qu’elle est. Peu importe, de ce point de vue, que les traces en questions soient codées en expressions architecturales, en arts plastiques, en fabrications utilitaires, en actes solennels, ou en langage courant… »
« En tant que culturel tout vaut… en s’équivalant. »
On voit là où peut mener la langue de bois administrative abstraite de l’ENA.
L’ar g ent ne fait pa s le bonh eur
« je cherche job
-c’est par là »
et patati et patata, tu vas voir son karma, à çui-là.
Jamais vous n’achèteriez ça, non ?
évidemment que si banane, il y a un budget pour ça dans les hostos et l’intermittent est même associé a l’équipe de soin..imagine mieux
je suis infirmier et j’écris pour survivre car, mon métier, c’est la souffrance et la plume de mon angoisse, elle frémit sur la page de mon livre cathartique
..prends les pour des cons
Est-ce que le chimililibilik se mange?
« Repartons du patrimonial, en direction d’une hypothèse générale touchant l’essence du culturel. Le pressentiment qui m’oriente, c’est que le partage que croit pouvoir opérer un Fumaroli entre la conception traditionnelle du patrimoine et la monstruosité proliférante, métastasique, du culturel commence par ne pas prendre une mesure descriptive suffisante du fait lui-même »
Hé, merdre ! ça c’est le gars qui emmerdait déjà lors des assemblées estudiantines de ma jeunesse. Traduit dal le langage du banal quotidien, ça donne quoi ? non, parce que faire des frases c’est à la portée de n’importe qui, mais le poète il parle pour qui ? pour des gens avachis entra la salle de profs et un lieux de villégiature pour profs à la limite de la crise de nerfs, ou pour ce que, non sans un brin d’ironie, on appelle « le public » ?
« Les machinations de Sangiacomo », un des « Six problèmes pour don Isidro Parodi », du tandem infernal Borges/Bioy Casares, est dédié » A Mahomet »
Je me demande si je dois prendre conseil des services culturels du Califat avant de continuer ma lecture.
Yvon Le Men et Michel Deguy, pas mal.
Ce qui les unit, l’ énergie du désespoir ou d’une poétique continuée par tous les moyens (PUF.Collège international de philosophie 1998.)
« la culture numérique ne cesse de faire appel à des mythes » car « cette technique devenue culture a été animée par un souci de l’intelligent et de l’humain, de l’intelligent comme expression de l’humain »
une pause les mytho!
gode ceinture ressorti: ça se passe bien la coloscopie, bouguereau ?
à la vulgarité de l’époque et à l’esprit de calcul, a réussi depuis vingt ans à faire passer la poésie, la sienne et celle des autres, ses glorieux
sauf si il y a assez de recherches qui autorisent à « penser ou « croire »* que ça calcule dans l’inconscient humain
*http://www.laviedesidees.fr/Y-croire-ou-en-faire-L-astrologie.html
« l’ énergie du désespoir »
De toute évidence le gars qui se suicide à cause d’une peine d’amour fait plus info que celui qui meurt paisiblement dans son lit… enfin, « la vallée de larmes » est une constante. Par ailleurs, même dans le cinéma comique, le gars qui tombe est une « valeur sûre ».
Tués dans l’œuf parce qu’ils ont dû travailler ?! Pavese travaillait (bureau) 12 heures par jours, Montale juste un peu moins, et à ma connaissance, cela ne leur a pas porté préjudice…
il nous cause de quoi, le rénateau ?
Rassurez-vous, boudegras, de rien…
Ouf !
La France ….a , par contre, un besoin urgent et dramatique de personnel soignant qualifié (Onésiphore)
D’abord un besoin urgent de vendeurs.
Le personnel soignant s’occupe des loupeurs de marchés en tout genre.
Des vendeurs et des belles eo à vendre, cela suffit pour assurer le spectacle.
Pavese travaillait (bureau) 12 heures par jours
on ne travaille pas 12h comme 7 avec un reporting méthodique, c’était le temps du travail en perruque rénato..nombre d’écrivain ont su lire écrire des heures par jour jusque dans les chiottes..ce serait daillieurs aussi un excellent sujet sur les liens qu’entretenait le temps de travail et de la culture..au moins pour une certaine cathégorie de la population..pour mémoire : un youpi travaille toujours 27h par jour et donne des horaire de réunion a 4h du mat pour administrer ce monde de feignant
Le personnel soignant s’occupe des loupeurs de marchés en tout genre
des trouduc qui savent pas bien se servir de leur ipad phil..préfère lire des almanach outdatée avec beaucoup images dans les salles d’attentes
bouguereau dit: Votre commentaire est en attente de modération.
2 juillet 2014 à 16 h 36 min
ceci est un test : vas te faire enculer lassouline
..ghost in dze shell
bougreau, Laptop und Lederhosen (culottes de cuir), c’est ce qui manque à la France.
Le reste est littérature.
Phil dit: 2 juillet 2014 à 16 h 42 min
Lederhosen
Houi mais avec bretelles, ou sans ?
Sarkosy mis en examen et pendant ce temps là Depardieu toujours ivre…
Vive la France !
16 h 40 : je pense que Passou ne va suivre le conseil du ce si distingué bouguereau… à moins qu’il ne soit maso…
@bouguereau dit: 2 juillet 2014 à 14 h 14 min
quand on sait pas lire, on apprend; si ce n’est à vivre- car passé un certain âge, c’est plus la peine d’espérer- du moins à se taire.
http://www.amazon.fr/Chambre-dAlbert-Camus-autres-nouvelles/dp/2350760464
boudegras est bien comme bouguereau : l’abus d’alcool…
quand on fait dans la ventriloquie ma poule on fait des oeufs clairs..l’age c’est une billevesée pour peureux qui tient son décompte..et gaffe tout ça a été dit avant moi par jcvd
strange que l’alcool sonne dans ta bouche comme une escuze keupu, toi t’en as aucune
à moins qu’il ne soit maso…
..baroz manque pour t’en coller une
Laptop und Lederhosen
genoux cagneux mit wurst !
Le cerbère de 18H34 pernd une commission à chaque traversée ?
Allez, on va le rendre moins lourd, et lui indiquer le chemin qui mène à l’intérimaire:
l’histoire de William, c’est un peu celle-là, telle qu’il la raconte sur son blog:
« Plus je vieillis (ou plus j’apprends) et moins je souhaite posséder d’objets.
J’ai envie de tout donner pour partir un jour avec rien ou presque.
Je n’ai plus envie de garder, de stocker, d’avoir à vie.
Je veux juste savourer un temps commun avec des choses, le temps de les lire, de les écouter, de les partager et puis je veux passer à d’autres émotions.
J’ai compris que je ne relirai pas certains livres, que je ne reverrai pas certains films.
J’ai compris que je ne reviendrai pas dans certains lieux. »
C’est un peu le job idéal. Non ?
L’autre Job peut se cacher, je vous le dis.
Son patron va lui en donner de la vitesse: faire passer sa profondeur de son être dans sa profondeur de papier, tu vas voir le cimetière marin direct !
‘tain.. l’autre docteur qui aboie là.. l’ est tellement confus de jouer sur la confusion qu’il se conchie sans en être conscient (mais con chiant, par contre)..
..baroz manque pour t’en coller une
Mais non, notre Boug’ en culottes courtes,
Vous savez très bien faire par vous-même !
Jetez à la poubelle vos icônes,
inspirez,
soufflez – regardez-moi dans les yeux – et tout ira bien ..
( Dites, ML, j’ai cru comprendre que vous aviez voulu jouer les princesses chez Paul.
A 3 heures du matin !
Bien évidemment que votre carrosse allait se changer en citrouille !
Franchement, vous oubliez vos classiques .
Pfff ! )
Tiens, plutôt que pleurer après Barozizi ou Popol …
je ne sais pas moi …
Du nerf !
Everybody needs ..
http://www.youtube.com/watch?v=Wz-IzCvryqQ
Daaphne, que l’Algerie air perdu son match n’est en rien du au Ramadan, Croyez-moi…ils auraient pu et du gagner mais ils ne l’ont pas fait…c »est tout, on va pas en faire un Camembert…l’Espagne , l’Italie etc ont fait pareil sans que personne n’y trouve quoi que ce soit a redire…ceci etant, ce sont quand meme des sportifs de haut niveau etc qui n’ont pas besoin de votre avis ni du mien, ni du connard de PQ…c »est une histoire strictement perso et j’ai ete eleve pour ne jamais demander a personne s’ils font ou pas le Ramadan…un peu comme demander a votre voisine si elle aime les tournantes…pour clore cette conversation Byzantine, le jeune est un pillier de l’Islam et en rien islamiste…que vous n’appreciez pas, c »est votre droit mais vous ne devriez pas melanger vos poires et vos pommes…
can’t buy a thrill, though…
Euh.. Daaphnée.. la pensée magique ne fait pas de miracles.. si à votre âge la vie ne vous l’a pas appris si besoin en était..
si elle aime les tournantes
Ah ça… c’est ce qui s’appelle oeuvrer au bien commun depuis qu’on a eu le Berlu…
Pablo75 dit: 2 juillet 2014 à 12 h 54 min
Sainte Madone,
Faites que Saint Pablo s’occupe bientôt du cas Bouguereau et qu’il nous en débarrasse!
Amen.
Je ne ris pas.
Je te le dis.
Mon Abdel chéri,
1) ne profitez pas que j’aie pu avoir les idées confuses un certain soir ..
2) figurez-vous, que cette question du football – je ne vois toujours pas pourquoi on ne leur donne pas plusieurs ballons, à ces jolis garçons .. – je pensais plus au Nigeria qu’à l’Algérie – non, c’est vrai, je ne connais rien au foot mais comme mon fils est à Rio en ce moment avec des copains qui, eux, sont des fans de foot .. je m’y suis intéressée un minimum, bref – et donc, cette équipe nigérienne me semblait être des plus prometteuse .. si ce n’avait été leur (?) religiosité ..
2 ) Comme vous le dites vous-même, la pratique religieuse est une affaire privée. Autant dire que lorsque on joue collectif, les convictions personnelles doivent rester dans le sac au vestiaire.
3 ) Pourquoi une équipe nationale devrait-elle faire les frais de pratiques individuelles propres à diminuer les performances de l’équipe ?
je vous le demande.
السلام عليكم
un baiser sur le front,
Daaphnée dit: 2 juillet 2014 à 20 h 13 min
Mon Bouguereau chéri.
Casse toi.
Un coup de pied au cul.
(Daaphnée.. la pensée magique ne fait pas de miracles
Mme Michu, ne cherchez pas à vous incruster. Absel et moi avons quelques privautés qui ne regardent que nous-mêmes.
Quant à la pensée magique …
Nous ne sommes pas ici sur un fil de poèsie pour l’ignorer, que cela déplaise ou non à certains .. )
Daaphnée dit: 2 juillet 2014 à 19 h 34 min
( Dites, ML(…)
Bien évidemment que votre carrosse allait se changer en citrouille !
Erreur, Daaphnée, c’est Alba lui-même qui a été changé en citrouille !
au cynisme ambiant, à la vulgarité de l’époque et à l’esprit de calcul,
quelque peu perplexe sur la précision « de l’époque »: le caractère de notre temps justifie-t-il l’appellation de cynisme, sans un adjectif qui le distinguerait ?
toutes les époques n’ont-elles pas eu leur « vulgarité »? mais d’ailleurs qui parle là ?n’est-ce pas le politique Assouline qui appelle par ces mots tel ou tel commentateur-que je ne nommerai pas et qui se reconnaîtra , et qui retrouvera son interprétation?
ce serait aussi ridicule que de commenter « saison en enfer », parce qu’il me semble que sur ce blog, le plus souvent on en est là , et pas seulement sur ce blog ….
d’accord , je sature, saturnalement, et les billets me laissent de plus en plus perplexes : celui-ci aussi , donc, avec les références bibliques, comme elles sont égrénées, ces cercueils qui me rappellent les premiers cercueils d’artistes, grandeur réelle, que j’ai vus dans une galerie .
bonne suite à tous donc.
ouh là, si j’étais du genre à avoir besoin de « programmer » du rire.. misère..
((( oui bon, Abdel, ça fait « 4) » … Oui, ne chipotez pas .. )))
Erreur, Daaphnée, c’est Alba lui-même qui a été changé en citrouille !
Que voulez-vous, Chaloux, notre luminosité albinoïde est à maturité ..
Quand on fait dans le scogneugneu on a besoin de public. C’est assez logique…
le rire du gros tas bouffi de certitudes.. ah ça.. c’est du lourd..
Mon Bouguereau chéri.
Casse toi.
Pas du tout, j’aime bien le Boug’ .
Chaloux également.
Un coiffeur pour homme vous demande en général un minimum de 20 euros pour une coupe (sans shampoing)
–
Passez à Aurillac, c’est 11 euros avec Shampoing Dop brillance extrême.
« j’ai ete élevé pour ne jamais demander a personne s’ils font ou pas le Ramadan…un peu comme demander a votre voisine si elle aime les tournantes… » (Abdelkader)
Quelque chose heurte le sens commun dans cette demande.
Sauras-tu l’identifier?
Je suis intrigué par cette analogie qui fait du père Allah un violeur imposant sa volonté.
Un peu de respect pour les Soumis, Abdelkader!
— Car c’est ainsi, par considération post-coloniale pour la spécificité des cultures, qu’on devrait appeler ce qu’on nomme paresseusement en français « l’Islâm »: la Loi (dîn) de la Soumission est beaucoup plus fidèle.
Il y a naturellement beaucoup de grandeur à se choisir « serviteur », ne disons pas esclave (‘abd,) d’un tel maître absolu.
On se tient soi-même pour peu d’chose.
Les partisans des « Lumières », c’est jamais que des arrogants.
Non, mais quand même .
Travailler fatigue.
http://www.youtube.com/watch?v=4-ULMZ4tHSE
Il a raison, renato.
Bon, de toutes les façons,
il n’y a qu’1 métaphysique, 1.
Et seuls les poètes, les musiciens et qqs peintres, sont en mesure d’en dessiner le rivage ..
Il faudra bien que les autres s’y résolvent.
« Pas du tout, j’aime bien le Boug’ .
Chaloux également. »
Avec vous, Daaphnée.
Abdelkader aussi.
Pas jaloux, par ici!
Mais on a ses préférences, hein.
comme les liens youtube ne sont pas perennes:
Lavorare stanca
Traversare una strada per scappare di casa
lo fa solo un ragazzo, ma quest’uomo che gira
tutto il giorno le strade, non è più un ragazzo
e non scappa di casa.
Ci sono d’estate
pomeriggi che fino le piazze son vuote, distese
sotto il sole che sta per calare, e quest’uomo, che giunge
per un viale d’inutili piante, si ferma.
Val la pena esser solo, per essere sempre più solo?
Solamente girarle, le piazze e le strade
sono vuote. Bisogna fermare una donna
e parlarle e deciderla a vivere insieme.
Altrimenti, uno parla da solo. È per questo che a volte
c’è lo sbronzo notturno che attacca discorsi
e racconta i progetti di tutta la vita.
Vous auriez pu laisser « des Lumières » dans l’ombre ueda, une occasion de passer un peu moins pour un kapo de perdue. Bonne soirée !
— Quel dommage de ne pas avoir d’ennemi ici.
C’est tellement salubre.
Même le père Régniez mettait parfois un peu trop d’eau bénite dans son pinard.
(Reviens, Philippe!)
C’est un blog où tout le monde est bon, quel ennui.
Daaphnée, je n’ai pas voulu vous embrigader, juste citer la source imitée…
Mme Michu dit: 2 juillet 2014 à 20 h 45 min
Vous auriez pu laisser « des Lumières » dans l’ombre ueda, une occasion de passer un peu moins pour un kapo de perdue. Bonne soirée !
Votre chandelle, please, Mme Michu, je n’ai rien compris.
Bonne soirée à vous.
Mais on a ses préférences, hein.
Oui, mon U. d’amour.
Mais vous savez combien le XX° siècle s’est rendu et s’est ingénié à produire l’art de conjuguer les éclats…
Prenons-en acte et sachons reconnaître et prendre le meilleur où qu’il se niche ..
non ?
@Ueda
Notre ami Saint Pascal de Sens a fait l’éloge du conflit. Avec raison.
« Passez à Aurillac, c’est 11 euros avec Shampoing Dop brillance extrême. »
ah non mais là, trop c’est trop.
Et le resto, que t’espères même pas le trouver après 3 heures de route dans le brouillard, entre Limoges et Aurillac, la descente aux enfers, avec la soupe obligatoire dans le menu en entrée, c’est une plaisanterie ?
Bouguereau vend sa maison.
http://www.leboncoin.fr/ventes_immobilieres/673197071.htm?ca=8_s
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
(((((((((((((( Vous savez ce que j’aime chez vous, U. ? Disons, particulièrement ?
Ces « C’est un blog où tout le monde est bon, quel ennui. »
Autrement dit: ce souci de clarté auquel je n’ai plus – en réalité, jamais eu – envie de consacrer de l’énergie ..
Vous savez quoi ? C’est l’une des raisons pour lesquelles j’aime les Hommes… je veux dire; les mâles ..
Si.
)))))))))))))))))))))))
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
a propos de notre époque:
il me semble que sa passion est de vouloir inscrire de manière manifeste, et comme un manifeste une identité de soi et de l’autre : ainsi d’ailleurs l ‘inscription « l’emmerdeuse » qui ait tant jaser,comme si c’était une nudité obscène .
(l’opinion de Claude Simon sur « les femmes » en conclusion du livre de sA biographe !)
l’opinion de Claude Simon sur « les femmes » en conclusion du livre de sA biographe !
Ah ?
Je ne connais pas . je veux dire C.Simon – que je connais quelque peu .. – sur cette question-là .
A quel ouvrage précis faites-vous référence ?
bon.. daaphnée.. si vous -et d’autres connes- pouviez arrêter un jour de parler féminité comme du résultat d’une opération..
incise pour Yvon Le Men et à l’attention de Rose
Well, I ride on a mailtrain, baby
Can’t buy a thrill
Well, I’ve been up all night, baby
Leanin’ on the windowsill
Well, if I die
On top of the hill
And if I don’t make it
You know my baby will
Don’t the moon look good, mama
Shinin’ through the trees?
Don’t the brakeman look good, mama
Flagging down the “Double E?”
Don’t the sun look good
Goin’ down over the sea?
Don’t my gal look fine
When she’s comin’ after me?
Now the wintertime is coming
The windows are filled with frost
I went to tell everybody
But I could not get across
Well, I wanna be your lover, baby
I don’t wanna be your boss
Don’t say I never warned you
When your train gets lost
Well, I ride on a mailtrain, baby
Can’t buy a thrill
Well, I’ve been up all night, baby
Leanin’ on the windowsill
Well, if I die
On top of the hill
And if I don’t make it
You know my baby will
Don’t the moon look good, mama
Shinin’ through the trees?
Don’t the brakeman look good, mama
Flagging down the “Double E?”
Don’t the sun look good
Goin’ down over the sea?
Don’t my gal look fine
When she’s comin’ after me?
Now the wintertime is coming
The windows are filled with frost
I went to tell everybody
But I could not get across
Well, I wanna be your lover, baby
I don’t wanna be your boss
Don’t say I never warned you
When your train gets lost
Bon, avec cette question des éclats, il faudrait revenir à ce que ML cogitait sur Baudelaire.
Et ce que Baudelaire a mythifié de l’île, la femme-île, comme incarnation d’une unité perd.. disons, égarée ..
kicking est en tri-thérapie. C’est comme ça.
@ bbros groupies in rags
Il faut dire que kicking a la gueule de l’emploi. Il arrive au pôle et dit aux phoques: j’embrasse pas.
l’épaisseur du temps … pas souvent raccord
good bye version kiss vaut parfois mieux que l’adoration de la pose au-delà de son socle djedla, mais bon je ne fais pas comme vous là, je parle de que j’ai vécu et connu..
quant à vos prétentions de sélectionneur.. à part faire du bruit..
« l’emmerdeuse » traduit du japonais, pour ceux qui sont lost in translation, ça veut dire la même chose.
Bonsoir.
Je vais arroser mon jardin*je l’ai lu
http://kin-ou.over-blog.com/article-neige-sur-le-blog-90684175.html
Avec tous ces gagne-petit, faudrait pas oublier l’essentiel.
http://www.festival-avignon.com/fr/
http://www.slate.fr/story/89245/virer-prof-inegalites-scolaires
« l’emmerdeuse »
ouais, l’article défini peut bien faire top mais qui se la joue proprette (pas collante), à n’avoir que de petites têtes de noeud au bout de la ficelle, peut donner le vertige quand on se penche..
…
…rose & des journées,…
…pour jouir des mises en bouteilles!,…attendre,…d’être en jus des pressoirs du temps révolu,…
…une mode a y insérer d’un carnet, un feuillet d’or!,…
…pour nous faire la nique!,…au micro-ondes,!…Ah!,…Ah!,…etc!,…
…
tous ces gagne-petit
gratte..
Un bus scolaire abandonné dans l’Arkansas, en juin 2010
magnifique, l’échappée belle.
j’aime pas qu’on me cole aux basques. ça vaut pour le belge giovanni, pour le pervers SM kicking et bien d’autres.
ni qu’on me colle aux basques, d’ailleurs.
Daaphnée dit: 2 juillet 2014 à 20 h 13 min
football – je ne vois toujours pas pourquoi on ne leur donne pas plusieurs ballons
Sacha Guitry, i suppose…
Tiens le camembert c’est le seul truc à être épargné par les diverses religions qui battent l’estrade… Peut-être parce qu’ils croient qu’on en met sur les kalaches !
pour toi
» Vous qui émergez du flot
Dans lequel nous aurons sombré,
Pensez
Quand vous parlerez de nos faiblesses
Aux sombres temps
Dont vous serez sortis.
Car nous allions,
Changeant plus souvent de pays que de souliers
A travers les luttes des classes, désespérés,
Quand il n’y avait qu’injustice et pas de révolte.
En même temps nous savions pourtant :
Aussi la haine contre la bassesse
Durcit les traits.
Aussi la colère contre l’injustice
Rends rauque la voix. Ah ! nous,
Qui voulions préparer le terrain d’un monde amical,
Nous ne pouvions pas être amicaux.
Mais vous, quand on en sera là,
Que l’homme sera un ami pour l’homme,
Pensez à nous
Avec indulgence. »[32]
de Bertold Brecht
ci dessus trouvé sur le blog de claude Karnoouh
je te le demande, pense à nous avec indulgence parce que nous ne savons pas être à tes côtés
(je me cache vite fait)
daaphnée pour vous ai trouvé ceci :
http://www.lacuisinedebernard.com/2013/03/les-macarons-moelleux-des-baronnies.html
il apprend en trois heures et demi pour 65 euros, seulement des groupes de huit je crois, il a l’air sympa
je verrai bien onglet à l’échalote avec patates en papillotes
salut daaphnée
Comment chacun d’entre vous définirait-il un mauvais prof ?
dans les thompson sergio
Bouguereau vend sa maison.
..c’est gentil mais un peu cher mon cheuloux
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