de Pierre Assouline

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Le droit inaliénable du poète en fin de droits

Le droit inaliénable du poète en fin de droits

Vous, je ne sais pas ; mais moi, je n’y comprends rien à ce conflit des intermittents du spectacle. L’affaire a tout de la patate chaude que l’on se refile de gouvernement en gouvernement, de ministre de la Culture en ministre de la Culture (ici les dernières propositions d’Aurélie Filippetti) en espérant chaque fois l’envelopper dans une serviette pour ne pas se brûler, le temps que passe l’été de tous les dangers en raison des menaces d’annulations qui résonnent comme autant de mises à mort des festivals. La grève ? Pas vraiment la solution. A titre d’exemple, 80% des intermittents du festival d’art lyrique d’Aix-en-Provence viennent de faire savoir qu’ils lui étaient hostiles. Personnellement donc, je ne me risquerai à expliquer le pourquoi du comment de crainte d’obscurcir ce qui n’est déjà pas très clair sous cette avalanche de chiffres, de pourcentages et de clés de répartition. Charlotte Lipinska a du mérite d’avoir débrouillé tout cela sur son blog de « La République du théâtre ».

Je n’y connais rien. En revanche, je connais Yvon Le Men (Tréguier, 1953). Job avait fait les présentations il y a quelques années., un soir au Rosebud, rue Delambre. Ils s’étaient fréquentés, frottés l’un à l’autre. Job l’avait aidé à ne pas en finir, un soir de pluie sur une route de Bretagne. L’un de ces rares poètes qui vivent de, par et pour la poésie. Rien d’autre. Autant qu’il en vit difficilement. Il aurait pu faire sienne l’indignation de Camus qui disait ne pas supporter que l’on parle de la pauvreté autrement qu’en connaissance de cause. Mais l’indignation n’est pas son fort. Lui préfère glisser à mi-voix : « Le pire pour un pauvre c’est de ne pas pouvoir faire de cadeaux ». C’est tout Yvon le Men. La poésie, il l’écrit, la publie, la lit, la dit jusqu’à en faire un spectacle vivant. Après de nombreuses années de vaches maigres, ce breton au cœur sur la main, étranger comme ce n’est plus permis au cynisme ambiant, à la vulgarité de l’époque et à l’esprit de calcul, a réussi depuis vingt ans à faire passer la poésie, la sienne et celle des autres, ses glorieux devanciers et ses discrets contemporains, là où elle était le plus souvent ignorée. Il joignait les deux bouts sans Yvon-Le-Menjamais se plaindre, du côté de Lannion, soutenu le plus souvent par de petits éditeurs aussi fauchés que lui, constamment sollicités pour des théâtres, ateliers d’écritures, dans des écoles, des prisons, des rencontres, des festivals etc. Tout un travail qui relève de l’interprétation et de la mise en scène, mais dans lequel les pôlesemployeurs ne voient désormais qu’une conférence du troisième type.

Jusqu’à ce que la directrice de Pôle Emploi/ Bretagne (« un pôle/ comme pour nous dire/ où aller/ où chercher/ du travail/ de l’emploi ») lui réclame le remboursement de 30 000 euros d’indemnités au motif qu’en fait, selon elle, il a triché, menti pour prendre l’argent auquel il n’avait pas droit, via « Chant manuel », une association de Saint-Brieuc dont il aurait été le président fictif, ce qu’il conteste avec la dernière énergie (Le Men, président !..). Pardon : 29 796 euros de rétropédalage pour n’avoir pas été dans la bonne case depuis 1986. Il a essayé de savoir mais le chef a renvoyé au chef qui a renvoyé au chef.  On lui a fait comprendre qu’un poète qui poétise en public ne pouvant décemment prétendre à être un artiste du spectacle vivant, il était donc radié du régime des intermittents.

 « intermittent/ l’inter de mi-temps/ quel drôle de mot/ rien que de l’écrire/ on sent comme un/ trois-petits-points/ qui sautent moutons et mutent/ mes rêves en cauchemars/ je me réveille à l’abattoir/ il est vrai/ que nous sommes en république/ c’est au peuple/ de décider/ le peuple dont fait partie/ comme moi/ le directeur de Pôle Emploi/ des plaintes en proie/ au désarroi/ des rats des villes/ des rats des champs/ et cetera et cetera »…

Faut-il préciser qu’il n’a jamais disposé d’une telle somme sur son compte en banque ? Alors il a fait ce qu’il sait faire comme peu d’autres : un poème. En fin de droits (avec des dessins de Pef, 72 pages, 13 euros, Editions Bruno Doucey) a ceci de particulier qu’on y perçoit un cri d’une rare douceur. On ne se refait pas. Même dans la colère, il demeure courtois, poli, attentif, tendre. Pas de misérabilisme, pas de pathos, pas de violence. Même s’il a voulu l’écrire en lettres de sang. Le statut précaire est consubstantiel à la vie d’artiste. Les comédiens les plus réputés le savent – et il en est parmi eux qui ont la carte et savent qu’elle peut leur être retirée à tout moment. Yvon le Men a donc décidé de raconter son histoire en vers et contre tout avec les armes qui sont les siennes. Dans l’ombre portée de Verlaine « Voici des fruits… » et de Villon « Frères humains… ». Sa manière de remettre les conteurs à zéro. Seul moyen, avec la mobilisation des empathiques, de ne pas passer la prochaine saison en enfer. Car la date limite de paiement est fixée au 15 décembre 2014. Autant dire demain.

C’est un poème jeté sur le papier en espoir de cause. Pas faute d’avoir essayé de se faire entendre dans les bureaux mais, à défaut de l’écouter ou même de l’entendre, nul ne lui a parlé. Pas une voix n’a surgi de l’horreur administrative. Que des cliquetis de clavier. Pas âme qui vive. Ce que c’est que d’être accusé d’avoir piqué dans les caisses du chômage. Quelqu’un quelque part lui a suggéré de rédiger une lettre de recours gracieux. Mais comment expliquer qu’on peut avoir écrit cinquante livres sans être capable de composer un tel texte ?

« Emploi/ avant j’avais un métier/ maintenant j’ai un emploi/ m’a dit un jour/ un paludier/ dont le sel brillait encore en blanc/ dans ses yeux ».

 Emploi… Quand je pense que j’ai connu Le Men grâce à un nommé Job ! La publication de ce poème, c’est son droit, l’ultime, le seul qu’on ne peut lui retirer. A Pôle Emploi/ Bretagne, c’est désormais le silence. On ne lui répond plus. Il n’y a même plus personne pour demander au poète ses papiers.

(« En rade » photo Bertrand Langlois/ Afp et « Yvon Le Men sur scène » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Actualité, Poésie.

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commentaires

1 285 Réponses pour Le droit inaliénable du poète en fin de droits

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 8h41

rose,
je n’ai pas été clair. Je répète : « je vous souhaite de guérir, vous, rose », car il me semble que vous perdez de temps en temps votre chemin…

Soignez vous, avant de penser aux autres !

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 8h42

Gombrowicz, cet ignare bouffi d’orgueil

..peut être qu’y adjoindre l’expression « pourri de talents » te laisse peut être imaginer le génie populaire pour les expression et que l’esprit souffle où il veut..et pas dans ton pauvre cul dracul

rose dit: 4 juillet 2014 à 8h44

((« En rade » photo Bertrand Langlois/ Afp )

il ne s’agit pas d’une rade, comme à Toulon, mais d’un port, dit comme ça, juste en passant) la rade étant plus proche de la baie, telle celle des anges, à Copacabana. Un port étant bâti, lui.

rose dit: 4 juillet 2014 à 8h45

JC….. dit: 4 juillet 2014 à 10 h 41 min

Ouh la, c’est le match de foot qui vous rend agressif à mon encotre comme ça ?

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 8h45

« mais il en va ainsi de tout : quel usager des congés payés a une pensée pour les grévistes de 36  »

Pourquoi penser à eux pour les congés payés !? Vous rigolez …! Quand je pense au Front populaire et à 1936, je pense à notre branlée en 39-45…

Onésiphore de Prébois dit: 4 juillet 2014 à 8h45

Cela ne veux strictement rien dire car cela ne prouve en rien une quelconque « responsabilité » ! (JC)

Sans blague ! Un propos qui ne dépasse pas le niveau de l’invective grossière, sans l’ombre d’un argument, est certainement un propos responsable ! Et ta soeur ?

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 8h46

John Searle dans Philosophie magazine, dossier sur Michel Foucault, juin 2010

vaut mieux être un cleb vivant hin pablo
..c’est dans l’éclésisaste jean marron..pas de l’oeil qui dit merde à l’autre..dieu c’est pas lui..huuuurkurkurkurk

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 8h47

est certainement un propos responsable ! Et ta soeur ?

le propos responsabe est tenu par celui qu’y a un lugueur pé zéro à la main jean marron

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 8h48

-« Un propos qui ne dépasse pas le niveau de l’invective grossière, sans l’ombre d’un argument, est certainement un propos responsable ! »

Absolument !!!

-« Et ta soeur ? »

Qu’est ce que t’en a à foutre de ma sœur, eh, patate !!!

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 8h49

John Searle dans Philosophie magazine

un mec léger qui doit aimer paul macartné et les ouingues..

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 8h50

Qu’est ce que t’en a à foutre de ma sœur, eh, patate !!!

fais pas l’islamiss jicé

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 8h51

le rade est un café

la rade est un mouillage abrité

la radasse fait le va et vien

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 8h53

Non mais ! Qu’est ce qu’il vient me gonfler avec ma sœur ?

Raison pour laquelle « eh, patate ! » est un propos responsable, sans besoin d’argumenter comme un connard de Sorbonnard, en plus sur le dos dodu de ma sœur, merde alors !

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 8h55

Sans compter que je n’ai pas de soeur, foutre alors !!! Il me les brise, le poète en fin de droits…

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 8h56

le radassier, banquette provençale

ha je connaissais pas..c’est pas une connerie ?.. les brocs ont la dent dure

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h00

radasse serait le mot français pour couch potato..façon searle et les ouingues

Ciboulette dit: 4 juillet 2014 à 9h04

les aveux de JCurare à 10 h 45 : » oui, je préfère Hitler au Front Populaire » (!!!)

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h07

hyper difficile ton agressivité & pas méritée

fastoche calin et généreux..

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h09

paillée à trois places

avec renforts intermèdiaires..c’est pour sérieux derches

Ambassade de Suisse dit: 4 juillet 2014 à 9h15

Que ceux qui supputaient que cette radasse de Ciboulette était logée dans un claque de Zurich se réjouissent : ils ont gagné !

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 9h18

Vous n’êtes que des nains montés sur des béquilles bringuebalantes… Des petits cons, quoi !

Pablo75 dit: 4 juillet 2014 à 9h20

@ Onésiphore de Prébois

« Quand je lis, sous la plume de quelques habitués de ce blog, à propos de Gombrowicz, de Foucault ou de Derrida des propos aussi irresponsables qu’ineptes, me revient le mot de Sartre à propos de la supériorité reconnue des chiens vivants sur les lions morts. »

« Un propos responsable est un propos argumenté. »

Pauvre chou !!

Il faut être vraiment nul pour parler de responsabilité ici (ton âge avancé t’a fait oublier où tu es? tu te crois à la tribune de l’Unesco pendant un congrès mondial d’Éthique de la Discussion Philosophique?) et encore plus nul pour citer comme exemple d’intellos responsables Foucault, Derrida et Sartre! Surtout quand on est un fanatique de Nietzsche, connu pour la délicatesse de ses argumentations et la mesure de ses charmants propos. « Le Crépuscule des idoles ou Comment philosopher à coups de marteau » ça te dit quelque chose ou ton alzheimer t’a ravagé déjà la moitié du cerveau?

Si tu n’aimes pas les coups de marteau, mon pauvre prêcheur de moral à deux balles, va dans un blog d’explication des questions philosophiques du Bac pour ergoter sur les différences entre les notions de responsabilité chez Hans Jonas, Hannah Arendt et Paul Ricœur, et fous-nous la paix ici.

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h22

le lancé de nain est interdit dracul..pour le lancé de gros cons y’a un flou juridique..ton loyeur sra dans l’cac le moment vnu

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 9h24

Des petits cons bouffis d’orgueil, de braves ploucs au cerveau ramolli.

La Chaine Parlementaire dit: 4 juillet 2014 à 9h27

« pour le lancé de gros cons y’a un flou juridique »

Pas du tout, cela s’appelle « période électorale ».

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h29

va dans un blog d’explication des questions philosophiques du Bac

la philo sert a engourdir le giton et la blonde depuis platon pablo..mais qu’est ce t’y connais..béotien

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 9h29

En plus d’être un très grand penseur, Michel Foucault est un remarquable écrivain comme le faisait remarquer un jour Jean Daniel dans une émission tv. Je relisais justement hier quelques pages des Mots et les choses, et j’étais ébloui par la langue de Foucault, à la fois si précise, si claire et si poétique sur les questions qu’il aborde. Dans la grande tradition de Diderot et de Montesquieu. La France peut s’enorgueillir d’avoir eu un penseur de cette puissance et de ce talent.

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h31

Pas du tout, cela s’appelle « période électorale »

propos non irresponsabe..mais d’irresponsabe..le jury populaire dans sa mansuétude te pardonne..

Pablo75 dit: 4 juillet 2014 à 9h33

Je ne sais pas pourquoi j’ai un commentaire « en attente de modération »:

Plus sur ce livre de Mandosio:

« Ce petit livre se veut une contribution à la critique de ces « jargonneurs philosophiques » qui eurent leur heure de gloire en France et que les Anglo-saxons appellent French theory. L’auteur a une double ambition : montrer l’inconsistance théorique de la pensée de Foucault et démonter la statue du rebelle.

La première de ces ambitions n’est qu’esquissée. L’auteur rappelle fort justement combien la théorie des épistémès, qui s’appuie sur une idée floue de l’époque et de la période, est obligée de faire violence à l’histoire et aux faits. Cette théorie qui fit la gloire de Foucault dans « Les mots et les choses » fut péniblement corrigée dans. « L’archéologie du savoir » avant d’être abandonnée par son auteur. L’auteur ne fait qu’indiquer les réfutations par les historiens de ces analyses alors même qu’on fait mérite à Foucault d’avoir fait entrer l’histoire et les archives au cœur même de la pensée philosophique. De la deuxième grande phase de la pensée de Foucault, celle qui s’articule sur les notions de « biopouvoir » et de « gouvernementalité », l’auteur ne fait qu’en souligner quelques confusions et banalités, mais manque évidemment une critique méthodique qui reste (peut-être) à faire. L’auteur fait un rapprochement intéressant : il faudrait poursuivre avec Foucault le travail déjà commencé par Sokal et Bricmont à propos de quelques spécimens de la « french theory » – il faudrait d’ailleurs y ajouter l’utilisation extravagante des mathématiques et de la théorie des ensembles par Badiou.

La deuxième des ambitions de l’auteur concerne le Foucault personnage public et figure éminente de la contestation de l’ordre établi dans les années 70. Mandosio procède à une salutaire opération vérité. Il rappelle que Foucault se montra toujours soucieux de sa carrière académique et administrative. Membre de la Commission Fouchet, mère de toutes les réformes de l’enseignement de la Ve République, il ne rallia le gauchisme qu’à la fin 68, à son retour de Tunisie où il enseignait. Suivant toutes les modes, il se rallia à la mode « mao » en devenant directeur du département de philosophie de l’Université ghetto de Vincennes (l’os à ronger que le pouvoir gaulliste jeta, après 68, aux gauchistes de tous poils, surtout mao-délirants avec une pincée de trotskysme). Il se rallia ensuite aux « droits de l’homme » en apportant son soutien aux « nouveaux philosophes » (BHL, Glucksmann, et tutti quanti) pour devenir à partir de 1978 le premier d’une longue lignée d’admirateurs, non pas de la révolution iranienne, mais du prétendu « chiisme révolutionnaire ». Il est resté relativement distant du pouvoir socialiste en 1981 – celui-ci ne lui ayant offert qu’un poste d’attaché culturel à New-York alors qu’il aurait souhaité être nommé ambassadeur…

Mandosio note ironiquement que « Foucault représente avec Pierre Bourdieu (professeur tout comme lui au Collège de France), la figure désormais fort répandue d’un intellectuel “engagé” dont la carrière académique n’a pas entamé la crédibilité contestataire – du moins aux yeux de ceux qui portent ces deux auteurs au pinacle dans la littérature consacrée aux mouvements sociaux » (10). […] Mais laissons le mot de la fin à l’auteur qui nous livre un savoureux exemple de la « foucaulâtrie » :

« Post-scriptum. La publication du dernier volume des cours de Foucault a donné lieu à de nouveaux déferlements d’idolâtrie. À cette occasion, les bornes du ridicule, et même de l’indécence, ont été franchies par un certain Stéphane Legrand dans le journal Le Monde. Ce disciple extatique présente en effet Foucault comme un martyr de la philosophie, qui faisait ses cours au Collège de France « dans une constante souffrance », tant « il jugeait pénibles » sa « position magistrale » et son statut d’intellectuel vedette. Il est vrai que « le dispositif était impitoyable ». Rendez-vous compte : « Foucault aura enseigné vingt-six heures par an (à l’exception de 1977) » ! Dans un « cadre privilégié », qui plus est ! Il ne fait aucun doute qu’être si bien installé « dans la plus prestigieuse institution universitaire de France » devait être une véritable torture pour « ce penseur des marges, de la folie et de la délinquance ». On se demande évidemment, s’il trouvait si pesante la condition « du professeur, qui ne peut que faire passer une tradition d’une conscience à l’autre, moyennant quelques émoluments — sans risque ni éclat », pourquoi il ne la quitta pas pour s’en aller mener une vie plus éclatante et plus risquée. Mais justement, précise Legrand, « telle fut peut-être sa manière d’être courageux : assumer jusqu’au bout une telle “contradiction performative”, ce type de parole dans laquelle le contenu de ce qui est dit est en contradiction avec la manière dont cela est dit, où le sujet qui parle est contesté, voire aboli, par la teneur de son propre discours : je vais vous enseigner pourquoi il faudrait enseigner autrement que je ne puis le faire ».

Je dois avouer que cette description de la Passion du philosophe, crucifié en public pendant ses vingt-six heures de cours annuelles, m’a arraché des larmes. C’est en tout cas une belle leçon de courage et de ténacité pour tous les exploités, les laissés-pour-compte, les désespérés de la vie, qui pourraient être tentés de se plaindre de leur sort : vous ne connaissez pas votre bonheur ! Imaginez la « constante souffrance » que vous éprouveriez si vous étiez professeur au Collège de France ! » (pp. 109/110)

http://denis-collin.viabloga.com/news/longevite-d-une-imposture

ueda dit: 4 juillet 2014 à 9h33

Grâce à notre discussion, je bois mon café avec un coeur accéléré.

« Llegamos a Fortaleza con el corazón acelerado pero con la ilusión viva de seguir en el mundial, ¡Vamos con toda ! » (Gutierrez)

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h35

La France peut s’enorgueillir d’avoir eu un penseur de cette puissance et de ce talent

la france ne s’enorguiellit pas d’avoir mais de jouir d’elle même dracul..tu lis trop la presse américaine

Pablo75 dit: 4 juillet 2014 à 9h36

@ Widergänger

« Vous n’êtes que des nains montés sur des béquilles bringuebalantes ».

Et tu fais quoi ici, toi qui as un blog dans lequel tu pourrais exposer tranquillement à la galaxie entière ta pensée foudroyante? Tu ne viens ici que pour recevoir de coups de marteau sur la tête? Tu es si maso?

ueda dit: 4 juillet 2014 à 9h36

« La France peut s’enorgueillir d’avoir eu un penseur de cette puissance et de ce talent. » (WG)

Ça fait pas un peu congrès de Biedermeier-s pour le centenaire de la naissance du vieux Goethe?

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h37

je bois mon café avec un coeur accéléré

tu vas pas nous agiter le gland comme le caodyo zouzou..le calçon c’est ineuf

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 9h37

Et Baudelaire est un grand poète pascalien.

Comme il disait : « Mécontent de tous et mécontent de moi… »

ueda dit: 4 juillet 2014 à 9h39

« De toutes manières, qui va regretter Hollande ?
Personne. » (rose)

Pèpèpe.

Plus d’un chanceux aura la larme à l’oeil au moment de quitter un si plaisant frometon.

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 9h39

Tu ne viens ici que pour recevoir de coups de marteau sur la tête? Tu es si maso?

.dracul sait qu’il a tort mais il s’obstine par orgueil..même s’il s’en prend plein le cul,c’est sa francitude

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 9h40

Des coups de marteau sur la tête… Le pauvre homme…! Un nain qui parle. Affligeant. Un petit con, ce Pablo75. Il s’écroule d’une pichenette et il voudrait vous asséner des coups de marteau… un bouffon !

Mon voisin s'appelle Quijote dit: 4 juillet 2014 à 9h42

A défaut d’être aussi grand penseur que Michel Foucault, son valet Panza est grand pansu.

Sant'Angelo Giovanni dit: 4 juillet 2014 à 9h43


…comme une suggestion de cuisine populaire élitiste!,…
…en faire des nouveaux partis!,…

…le même peuple déjà!,…même varié, c’est pas des dinosaures!,…conclusion!,…

…avec la force du temps, des séparations, des divisions,…des aux priorités, les autres , aux neutres répertoriés des soumis aux persécuteurs!,…des salaires stratifiés,…aux pensions rabotées,…des villas , aux usuriers!,…le nouveaux gaullisme d’apparatchiks de la république refait surface!,…
…exactement le même à 100 pour 100,…Non!,…
…mais, avec la même formule de mayonnaise!,…
…la cuisine en politique,…çà aide!,…çà ira!,…çà ira,…
…mais, chérie,…le poulet,…Oui!,…
…Oui!,…déjà déplumé, au four, avec sauce!,…
…Oui!,…désabusé!,…Vert-Bio de peur!,…
…encore, pas trop de chocolat en col roulé,…pour la mayonnaise!,…avec 32 en cuisine!,…un peu le mic mac!,…pour débroussaillez un plat du jour!,…confis!,…
…etc!,…Ah!,…Ah!,…Ops!,…

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 9h45

si ce n’était qu’ici que le coup de marteau sur la tête est le passage obligé « du jeu du pas de côté de la relation à @!
mais le principe de ZEUS? c’est qu’il doit en jaillir Athéna !

Evangile selon Saint Alain du Bordelais dit: 4 juillet 2014 à 9h48

Vous avez aimé
Giscard
Mitterrand
Chirac
Sarkozy
Hollande ?

Vous aimerez Juppé !

Pitoyable dit: 4 juillet 2014 à 9h55

« Olivier Py a confirmé aujourd’hui que la première du Prince de Hombourg dans la cour d’honneur n’aura pas lieu ce soir. La retransmission du spectacle capté ces derniers jours est aussi annulée sur France 2. »

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 9h56

« J’ai un de ces heureux caractères qui tirent une jouissance de la haine, et qui se glorifient dans le mépris. Mon goût diaboliquement passionné de la bêtise me fait trouver des plaisirs dans les travestissements de la calomnie. »
(Baudelaire)

Sant'Angelo Giovanni dit: 4 juillet 2014 à 10h00


…je préfère encore Baladur!,…dans ce cas!,…tranquille dans les cuisines!,…

…Oui!, c’est pas mal!,…manque de poivre!,…la grève en cours!,…
…vite accordé ce qu’ils veulent!,…
…enfin,…gâcher mon dîner avec ces pacotilles de cirques en fin de droits,… inaliénables ces cordons bleus!,…
…etc!,…

ueda dit: 4 juillet 2014 à 10h03

A Avignon, la bataille de Fehrbellin a été perdue.
Bye bye, Prinz von Homburg!

J’ai vu des mecs allongés sur le pavé autour d’un cercueil en carton appelé « Culture ».
Des mecs pas gênés de l’ambiguité mortelle de leur message.

Il leur manque le raffinement nippon.
Il fallait aujourd’hui bosser comme des nègres, avec au font un bandeau marqué d’un « Gréviste jusqu’à la mort ».

C’était dans la poche.
Les mots « responsabilité », « grandeur d’âme » auraient rempli les manchettes.

ueda dit: 4 juillet 2014 à 10h05

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 11 h 56 min
« J’ai un de ces heureux caractères qui tirent une jouissance de la haine, et qui se glorifient dans le mépris. Mon goût diaboliquement passionné de la bêtise me fait trouver des plaisirs dans les travestissements de la calomnie. »
(Baudelaire)

Pèpèpe.

Après avoir mis la barre si haut, vous ne pouvez en rester là.

On exige à votre tour quelques fleurs du mal.

Baudelaire dit: 4 juillet 2014 à 10h05

« J’ai un de ces heureux caractères qui tirent une jouissance de la haine, et qui se glorifient dans le mépris. Mon goût diaboliquement passionné de la bêtise me fait trouver des plaisirs dans les travestissements de la calomnie. »
(Widergänger)

TKT dit: 4 juillet 2014 à 10h07

JCulé, ancien fan de Doriot,préfère le Chancelier Hitler, au Front Populaire, étrange le prmier est un homme, le second est un parti politique.
Léon Blum lui semble-t-il plus dangereux que le NSDAP ?
JCulsansburnes,peut-être, préférez vous, tout fantasme est permis, les villes rasées allemandes de 44/45, aux quelques femmes qui sous le FP, eurent des fonctions dans le gouvernement français ?

non à la culture libérale! dit: 4 juillet 2014 à 10h12

« Olivier Py a confirmé aujourd’hui que la première du Prince de Hombourg dans la cour d’honneur n’aura pas lieu ce soir. »

Tant mieux, y’en a marre de la culture élitiste pour ceux qu’ont des loisirs à plein temps!

poètes vos papiers! dit: 4 juillet 2014 à 10h17

« Olivier Py a confirmé aujourd’hui que la première du Prince de Hombourg dans la cour d’honneur n’aura pas lieu ce soir. »

Et Yvon Le Men est pressé par le P.E. comme un citron?!

Ciboulette dit: 4 juillet 2014 à 10h18

spectacles annulés… bientôt ici la diffusion des conneries et autres insultes de JCurare et bouguereau aussi ?… vite vite vite !

Mao dit: 4 juillet 2014 à 10h18

Oui à la culture popoulaire ! Acrobates et drapeaux rouges ! Py au goulag !

Vive le pouple !

Pablo75 dit: 4 juillet 2014 à 10h19

@ Widergänger

Tu es la preuve vivante que Baudrillard, pour une fois, avait raison:

« Trop d’info tue l’info – trop de sens tue le sens, etc. Mais trop de bêtise ne tue pas la bêtise, semble-t-il. La bêtise serait donc le seul phénomène exponentiel, échappant même aux lois de la physique – un miracle égal à celui du mouvement perpétuel. »
(Jean Baudrillard. Cool memories IV)

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 10h20

Mishima dit: 4 juillet 2014 à 12 h 09 min
en france , c’est au manganèse, le ptit dèj

Une institutrice de 34 ans a été poignardée à mort vendredi matin à Albi par la mère d’un élève qui a été immédiatement arrêtée et placée en garde à vue, a-t-on appris auprès du procureur d’Albi Claude Derens.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/albi-une-enseignante-poignardee-a-mort-par-un-parent-d-eleve_1556815.html?xtor=EPR-583-%5B20140704110453_27_nl_lexpress_flash_7053_000P4B%5D-20140704-%5B________Lire_la_suite_____001O5ZS%5D-%5BRB2D106H0014IHUC%5D-20140704090800#TzfXhRYUTXgvA7Z0.99

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 10h22

Tu ne crois pas si bien dire, mon brave Pablo75 ! On en a une preuve éclatante en te lisant… Le pauvre homme… !

Allo ? Renseignements Généraux ? J'écoute ...! dit: 4 juillet 2014 à 10h22

Thomas Neuwirth ?
Conchita Wurst !

TKT ?
Ciboulette !

ueda dit: 4 juillet 2014 à 10h24

« JCulé, ancien fan de Doriot,préfère le Chancelier Hitler, au Front Populaire, » (TKT)

C’est pas sympa, il n’est plus là.

Son attitude consiste plutôt à demander quelle est la part de responsabilité du FP dans l’impréparation à la guerre contre Hitler.

Ça s’discute, ça s’discute…

TKT dit: 4 juillet 2014 à 10h25

 » Tant mieux, y’en a marre de la culture élitiste pour ceux qu’ont des loisirs à plein temps! »:
Connentaire con s’il en ait, JCouille troll sans intermittence, doit fantasmer. Il se croit dans les années d’avant 68.
Aujourd’hui qui sont les gens, parmi les moins de 60 ans, qui n’

ueda dit: 4 juillet 2014 à 10h29

Pablo75 dit: 4 juillet 2014 à 12 h 19 min
Baudrillard

Je vais essayer de piquer le livre de Jean-Marc Mandosio parce qu’il a l’air poilant, et que j’ai toujours lu Foucault avec attention mais esprit critique (avec esprit critique mais avec attention).

Je me rappelle seulement ce qu’avait lancé Foucault, à la nouvelle que Baudrillard avait écrit sur lui un livre appelé « Oublier Foucault ».

« Mon problème serait plutôt de me rappeler Baudrillard ».

Peuchère dit: 4 juillet 2014 à 10h31

– T’as fait Avignon c’été?
– Tu parles, m’en va faire me rembourser les billets achetés à 50% au C.E.!

Urgences Education Nationale dit: 4 juillet 2014 à 10h34

« Poignardée à mort devant ses jeunes élèves. Vendredi, à l’heure de la rentrée des classes du dernier jour de l’année, une enseignante a été attaquée au sein de l’école maternelle Edouard Herriot à Albi dans le Tarn, par la mère d’une élève. Le ministre Benoit Hamon est en route pour Albi »

Nous espérons la résurrection de cette enseignante sous l’effet des psaumes du Ministre. Sinon, elles nous sembleront forcément déplacées.

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 10h38

TKT dit: 4 juillet 2014 à 12 h 25 min
jamais l’orthographe à propos:
qu’on enterre:

TKT dit: 4 juillet 2014 à 10h39

 » Tant mieux, y’en a marre de la culture élitiste pour ceux qu’ont des loisirs à plein temps! »:
Connentaire con s’il en ait, JCouille troll sans intermittence, doit fantasmer. Il se croit dans les années d’avant 68.
Aujourd’hui qui sont les gens, parmi les moins de 60 ans, qui n’ont pas d’activités professionnelles ?
D. et ses avatars ?

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 10h44

« Après 1830, le collège de Lyon, coups, batailles avec les professeurs et les camarades, lourdes mélancolies. »
(Baudelaire)

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 10h47

celle qui poignarda avait 47 ans
Une enseignante de 34 ans a été poignardée à mort par la mère d’un élève, vendredi 4 juillet, à Albi. Elle a été agressée dans l’enceinte de l’école primaire Edouard Herriot par une femme de 47 ans, qui serait déjà connue des services de police. Grièvement blessée, l’institutrice est morte peu avant 11 heures.

Raymond dit: 4 juillet 2014 à 10h48

TKT dit: 4 juillet 2014 à 12 h 39 min

Pauvre TKT, la décrépitude de l’âge fait inexorablement son oeuvre sur le cerveau ravagé de l’exilé fiscal.

Onésiphore de Prébois dit: 4 juillet 2014 à 10h52

et encore plus nul pour citer comme exemple d’intellos responsables Foucault, Derrida et Sartre! (Pablo75)

Ma foi, si Pablo75 trouve que Foucault, Derrida ou Sartre ne furent pas des intellectuels responsables, c’est son affaire à cet homme. On ne va pas le contrarier. Si ça le soulage, qu’il continue donc de déposer ses fientes le long des fils de ce blog, tel le roquet à sa mémère. Widergänger, au moins, quand il s’attaque à un Gombrowicz, esquisse une amorce d’argumentation à laquelle on peut répondre. Il le fait dans son style, qu’on peut contester, avec son humeur généralement détestable. Mais c’est un homme cultivé, et qui réfléchit, on ne peut pas lui retirer ça. En revanche les inepties d’un Pablo75 sont d’un vide sidéral.

Les fils de la Rdl sont surtout, pour ceux qui les rédigent et ceux qui les lisent, une occasion de se divertir et de se défouler; leur valeur intellectuelle et littéraire est proche de zéro. On serait mal venu de le leur reprocher, ce n’est pas leur rôle de faire avancer d’un pouce le moindre débat, de quelque nature (littéraire, philosophique, politique ou autre) que ce soit. On n’en attend pas davantage que le divertissement de l’instant, et c’et très bien comme ça. Chacun (moi compris) vient ici faire son pitre. L’inculture et la prétention de Pablo75, ses jugements philosophiques et littéraires dignes de figurer parmi divers graffiti obscènes sur les murs de chiottes publiques mal tenues, font de lui, dans la troupe des intermittents du spectacle qui se produisent sur la scène permanente de la RdL, un pitre très moyennement divertissant. Gugusse de commedia dell’arte, version vaguement hispanique,semble-t-il.

ueda dit: 4 juillet 2014 à 10h52

Le grotesque de l’infantilisme linguistique (ne dites plus « une mère », dites « une maman ») éclate en plein jour.

« Le procureur d’Albi, Claude Derens, a donné plus détails sur le drame :
« Ce matin, une maman est arrivée avec un couteau et a poignardé devant les enfants une enseignante… »

Un maman surineuse.
On avait déjà les tontons flingueurs…

TKT dit: 4 juillet 2014 à 10h57

JCulé, vivre dans un pays dont le taux d’imposition fiscale est confortable, empathique, ne peut qu’amenner un certain bien-être.
La bonne preuve, ne seriez vous pas moins frustré, si vous viviez, plus jeune, well laid et plus sophistiqué ?

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 11h01

Depuis longtemps, j’ai pris en horreur ces termes de « maman », « papa » bêtifiants ! Mais qui en disent long sur cette époque de merde !

Pablo75 dit: 4 juillet 2014 à 11h02

@ Widergänger

Tu ne dis rien sur le livre de Mandosio « Longévité d’une imposture: Michel Foucault »? Ni sur l’éloge de l’Iran de Khomeiny par ton idole?

Un article sur ce livre, qui commence bien mal pour tes « épistémès »:

« L’auteur rappelle fort justement combien la théorie des épistémès, qui s’appuie sur une idée floue de l’époque et de la période, est obligée de faire violence à l’histoire et aux faits.  »

http://denis-collin.viabloga.com/news/longevite-d-une-imposture

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h05

sujet trop souvent employé par les antisémites

chtement litlère a trop déshonnoré les antisémites..c’est ça qui veut dire que ça se discute le zouz

ueda dit: 4 juillet 2014 à 11h06

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 13 h 01 min
Depuis longtemps, j’ai pris en horreur ces termes de « maman », « papa » bêtifiants

À ajouter à votre « surite » (voyez comme je suis bon lecteur).

bérénice dit: 4 juillet 2014 à 11h07

Vous imaginez s’il était naturel, vrai et droit comme une équerre ? Quel ennui ce serait. A se flinguer. (hier avant 10h)

OdP la phrase à comparaître n’est pas de moi (un faux, info) je suis incapable de ce genre de projection tirant vers l’abstraction.

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h07

Ni sur l’éloge de l’Iran de Khomeiny par ton idole?

ha on pourra pas en dire autant de lassouline pour les intermitantes..affirmer « avoir tord avec lassouline c’est plus classe que d’êtes un âne avec pablo » c’est qu’un mirage

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h09

je suis incapable de ce genre de projection tirant vers l’abstraction

et pourtant ça fait bleu klein sur fond doré..t’es forte béré

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h11

ces termes de « maman », « papa » bêtifiants !

moi aussi.. »viens ici que je t’encule fils de con que j’y dis ».. »et toi salope susse la moi »..dans mes bras dracul ! on est frère

ueda dit: 4 juillet 2014 à 11h15

« chtement litlère a trop déshonnoré les antisémites.. »

Sauf chez les monothéistes d’à côté (des paroles gelées adaptées de notre occident tintinnabulent dans leurs pauvres crânes), on a droit aujourd’hui à des antisémites en peau d’lapin.
De la sournoiserie, mon cher.

C’est pour ça que je regrette le départ du père Philippe R., un vrai de vrai, lui.
Il suffisait avec lui d’un examen fenêtre…
De la pédagogie pour jeunes blogueurs!
Avec toute la stratigraphie désirable!

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 11h18

Je repasse toujours avec plaisir chez Passou, comme on repasse chez le garagiste, pour voir … Résumons et soyons à la fois simples, modérés, compréhensifs, mais lucides :

« Les intermittents du spectacle sont des enculés, miteux, stupides, suicidaires, et acculturés ! »

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h19

le départ du père Philippe R., un vrai de vrai, lui

jicé devrait cacher ce soutien dévirilisant a israél jicé et il aurait l’air d’un homme ?

bérénice dit: 4 juillet 2014 à 11h19

Ecoutez Bouguereau, retrouvons-nous le 5 septembre au phare de la jetée là où vous savez, nous sabrerons la bouteille en souvenir de toutes les l’âchetés, le mieux serait de pouvoir ne plus y penser, nous pourrions célébrer un jour nouveau pour un nouvel homme mais non toujours une femme pour dévier la trajectoire de l’avenir qui vire au mauve quand ce n’est pas noir ou rouge sang, bleu Klein n’a pas laissé son secret.

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h21

des enculés acculturés..c’est pas hélène jicé..cesse de faire l’islamisss!

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h22

bleu Klein n’a pas laissé son secret

tu confonds avec le secret de la cathédrales de khéops béré..c’était l’argent..beaucoup d’argent

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 11h27

Depuis longtemps, j’ai pris en horreur ces termes de « maman », « papa » bêtifiants
intéressant de comparer les « usages  » dans les autres langues et selon les contextes : qui dit quoi, quand, et où et à qui!

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 11h28

L’héritage de Baudelaire à 20 ans, de son père, de montait à quelque 3 millions d’euros, ce qui est peu par rapport aux quelque 50 millions d’euros de Flaubert.

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 11h28

Depuis longtemps, j’ai pris en horreur ces termes de « maman », « papa » bêtifiants
autrement dit, P.Assouline peut être un « tonton » , être appelé « le père assouline » etc

bérénice dit: 4 juillet 2014 à 11h30

Compression de personnel pour les intermittents, j’entendais il y a peu quelqu’un suggérer une harmonisation des politiques économiques industrielles et donc sociales en Europe, la question serait de trouver un modèle, en Allemagne par exemple le smic horaire en négociation est inférieur à celui de la France et pourrait convenir au président actuel du MEDEF qui en réclamait il y a peu la troncature pour accroitre la compétitivité des entreprises françaises en réduisant le prix de la production, visiblement il n’y aurait que de ce côté que les choses doivent et puissent être bougées.

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 11h30

J’ai le sentiment que la bêtification est assez générale dans toute l’Europe, en allemand, en anglais, etc. C’est l’époque qui est pourrie.

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h32

tu jeuxdmolises bétement pour tes pseu renfield..total du finiche tu arrives toujours à faire fils de de con de service

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h33

personne ne possède la recette exacte de ce « bleu »

tellement qu’il a voulu le breveter..allons béré c’est moins vrai que la bite à djon holmes dirait clopine

ueda dit: 4 juillet 2014 à 11h34

« « Les intermittents du spectacle sont des enculés, miteux, stupides, suicidaires, et acculturés ! » » (JC)

Pourquoi vouloir à tout prix être désagréable?

« Ouverts sur le plan sociétal mais pauvres, ils sont parfois habités par une pulsion de mort qui s’alimente néanmoins aux plus hautes sources de notre culture ».

C’est pas mieux, pour le vivre-ensemble?

Nous pouvons nous passer des lectures de Pablo dit: 4 juillet 2014 à 11h34

Pablo75 dit: 4 juillet 2014 à 13 h 02 min
Tu ne dis rien sur le livre de Mandosio « Longévité d’une imposture: Michel Foucault

Si tout le monde doit donner son avis sur les bouquins de pseudo-intellos ratés et frustrés où allons-nous.
Ils ont quelques lecteurs, généralement lecteurs de rivarol, de minute et de quelques publications paraguayennes.
Laissons ce petit monde s’agiter.

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h35

C’est l’époque qui est pourrie

..pour ça qu’on est que « des passants qui s’attardent » dracul..on nous mérite pas épicétou

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 11h36

ueda dit: 4 juillet 2014 à 13 h 34 min
« Pourquoi vouloir à tout prix être désagréable? »

Souvent, lorsque c’est désagréable pour les uns, c’est agréable pour les autres…

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 11h39

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 13 h 30 min
« C’est l’époque qui est pourrie. »

J’aimerai bien… Hélas, il me semble que c’est nouzautres qui le devenons, sous la pression de forces supérieures, maléfiques et inhumaines … !
Bonne soirée !

Deneb dit: 4 juillet 2014 à 11h40

Bérénice adore les légendes. je l’avais déjà remarqué. Et comme je suis une légende (je n’aime pas le dire, mais c’est la pure vérité et je respecte la vérité), elle m’a adoré tout de suite.

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h41

Souvent, lorsque c’est désagréable pour les uns, c’est agréable pour les autres…

tu veux absolument faire croire à tout le monde que t’as essayé jicé

bérénice dit: 4 juillet 2014 à 11h44

Ah oui exact bougue j’avais une version plus romantique de sa position esthétique, un peu similaire à celles des pharaons et de leurs tombeaux pour lesquels on a ramé un peu car à l’époque le concept brevet n’avait pas vu le jour et ainsi la carence conceptuelle fit jaillir ces merveilles du monde qui renfermaient tant d’or et de poulets aussi aisément que les villes nouvelles du Katar .

http://fr.wikipedia.org/wiki/International_Klein_Blue

bérénice dit: 4 juillet 2014 à 11h46

Souvent, lorsque c’est désagréable pour les uns, c’est agréable pour les autres…

Vous voilà bien loin de l’individu et de la capitale!

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h49

Ah oui exact bougue

hof..la performance de l’avoir fait croire est plus puissante que la vérité..le marquettingue !.. il y a des phrases de bourdieu terribe la dessus..sur la vérité qu’on croit qui s’impose et qui est la plus forte..dit a dracul que c’est de la naîveté mal placé de croire que le monde est pourri..c’est une faute métafisic, rien d’autre

bouguereau dit: 4 juillet 2014 à 11h52

pharaons et de leurs tombeaux pour lesquels on a ramé un peu

bicoz la science des pigments est à l’origine de notre chimie béré..c’est tout simplement copernicien derrière ton petit doigt

bérénice dit: 4 juillet 2014 à 11h55

la performance de l’avoir fait croire

La performance ne se joue qu’à l’unité par définition . On ne va pas en faire un fromage.

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 12h06

en espoir de cause.
vivre poétiquement est une cause , pas celle du
Un kolkhoze (en russe колхоз

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 12h08

c’est à la fois fascinant et émouvant de savoir que Baudelaire a habité avec Jeanne Duval 22 rue Beautreillis en 1857-58 à côté de la Bastille, et qu’on peut en un clic voir cet endroit sur Google Maps.

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 12h13

Au café Divan rue Le Peletier, en face de l’ancien opéra, un soir, Baudelaire récite le poème « Les chats ».

C’est au café Lemblin qu’au témoignage d’Asselineau, Hippolyte Babou, un soir, a inventé le titre : Les Fleurs du Mal, utilisé la première fois en 1855.

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 12h15

il y a donc une journée internationale du coming out !
et une journée internationale de l’oubli, l’oublie-t-on?

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 12h19

Baudelaire avait une pension de 300 frs par mois et sa chambre à l’hôtel de Dieppe, au 5ème étage, rue d’Amsterdam, en face la gare Saint-Lazare, en n° 26 lui coûtait 60 frs par mois, soit 20% de sa pension.

Immobilier dit: 4 juillet 2014 à 12h27

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 14 h 19 min

A priori on s’en fout, mais c’est pas très cher et on comprend la nana de l’agence qui a signé le contrat.

La poésie, son pesant de cacahuète dit: 4 juillet 2014 à 12h28

« Baudelaire avait une pension de 300 frs par mois et sa chambre à l’hôtel de Dieppe, au 5ème étage, rue d’Amsterdam, en face la gare Saint-Lazare, en n° 26 lui coûtait 60 frs par mois, soit 20% de sa pension. »

Il était mieux loti que Yvon Le Men, lui!?

La poésie, son pesant de cacahuète dit: 4 juillet 2014 à 12h31

« Baudelaire avait une pension de 300 frs par mois et sa chambre à l’hôtel de Dieppe,

Il n’a pas eu la chance de connaître Pôle Emploi, lui!

La poésie, son pesant de cacahuète dit: 4 juillet 2014 à 12h33

rue d’Amsterdam,

Bien loti pour un coin à putes, non?

La poésie, son pesant de cacahuète dit: 4 juillet 2014 à 12h34

rue d’Amsterdam,

Ah mais je confonds avec Jacques brel…

La poésie, son pesant de cacahuète dit: 4 juillet 2014 à 12h36

Ah, Pôle-Emploi, je ne vous dis que ça !

Pourquoi donc, vous y êtes?
( Employé ou appointé?)

La poésie, son pesant de cacahuète dit: 4 juillet 2014 à 12h39

 » Assommons les pauvres! », ça c’est du titre, non?

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 12h39

Quand on pense que Baudelaire habita l’hôtel Pimodan au troisième étage, quai d’Anjou sur l’île de la cité !

Compte-tours dit: 4 juillet 2014 à 12h44

Bon, v’là ML qui nous fait sa H.R., c’est passou qui va être content, le compteur tourne.

ambiance dit: 4 juillet 2014 à 12h47

« chut et à la radasserie keupute..tu pues la morue  » ( bouguereau 4 juillet 2014 à 11 h 08 min)

Ciboulette, faites pas attention à ce gros connard de bouguereau, qui pue le rance. Laissez-le brailler et s’ébrouer dans sa veulerie avec ses potes grotesques

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 12h50

Les rêves d’un grand poète :

« Quand donc aurai-je un valet de chambre et un cuisinier — et un ménage ? »
(Baudelaire, lettre à sa mère, 22 août 1854)

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 12h50

Le transport d’un cercueil rappelle que 285 personnes sont décédées au camp de Noé entre février 1941 et août 1943. Elles sont enterrées au cimetière créé spécialement pour le camp à côté du municipal. Beaucoup d’internés sont malades : durant l’hiver 42-43, la maladie de la faim touche près de la moitié d’entre eux. Devant la forte mortalité du camp, on peut dire que celui-ci n’a d’hôpital que le nom.
http://www.musee-resistance31.fr/images/stories/10%20dessin%20travail.jpg

daaphnée la nymphette dit: 4 juillet 2014 à 12h51

uead ‘une pulsion de mort qui s’alimente néanmoins aux plus hautes sources de notre culture ‘

zouzou dans l’coul

La poésie, son pesant de cacahuète dit: 4 juillet 2014 à 12h52

Ce poème en prose s’ applique bien à notre cas du jour.( Page 304 et suivantes dans La Pléiade.)

jc l'historien dit: 4 juillet 2014 à 12h53

« 285 personnes sont décédées au camp de Noé entre février 1941 et août 1943. Elles sont enterrées au cimetière créé spécialement pour le camp à côté du municipal. Beaucoup d’internés sont malades : durant l’hiver 42-43, la maladie de la faim touche près de la moitié d’entre eux.  »

C’est la faute au Front Popu et je peux le prouver scientifiquement

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 12h53

4 rue de Buci, où Poulet-Malassis ouvrit sa première librairie. Aujourd’hui c’est un marchand de poulets mal assis…

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 12h59

Dans le livre de Claude Pichois dédié Baudelaire à Paris, Hachette 1967, on voit celle qui a inspiré le poème en prose « La soupe et les nuages ». Je trouve qu’elle a tout à fait la gueule de l’emploi.

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 12h59

ne se trouve pas en français . je ne voulais pas griller la politesse à ceux qui se considèrent plus juifs que les juifs:
During the siege of Jerusalem in the Great Jewish Revolt, he argued in favour of peace; according to the Talmud, when he found the anger of the besieged populace to be intolerable, he arranged a secret escape from the city inside a coffin, so that he could negotiate with Vespasian (who, at this time, was still just a military commander).
http://en.wikipedia.org/wiki/Johanan_ben_Zakai

Widergänger dit: 4 juillet 2014 à 13h01

Quand j’étais petit j’allais avec mon père au bazar de la rue d’Amsterdam acheter de la colle à bois pour faire des maquettes. Je ne savais pas alors que Baudelaire avait habité juste au-dessus ni qui était Baudelaire.

bérénice dit: 4 juillet 2014 à 13h44

t’as prsque eu une pensée ouestétique béré épicétou

Rôôô ma dentelle aujourd’hui s’accorde presque sans élastique, grise dans le noir cependant vous pourriez me lâcher à moins que vous estimiez que n’ayant pas vidé les poubelles ensemble le droit vous est ouvert de me tutoyer, bien que ne remisant absolument pas 68 au néant comme certains le font, je n’ai pas cette habitude de tutoyer qui je ne connais et quand bien même, ça ne suffit pas, mais peut-être êtes vous berbère kabyle arabe pour résumer et tenir le tutoiement pour usage, vous pourriez dans ce cas tout aussi bien réveiller votre chat qui dort, c’est quif quif bourricot.

bérénice dit: 4 juillet 2014 à 13h46

» Assommons les pauvres! », ça c’est du titre, non?

Oui mais Est-ce plus vendeur que « taxons les riches? »

Phil dit: 4 juillet 2014 à 13h59

Rue de Buci…Léautaud enfant a raconté les marchandes de légumes qui poussaient leur charrette misérable. Aujourd’hui les marchandes enrichies vont à Avignon pour finir en légumes cultureuses. Avec Py, ça tourne en rond. history on ze mouve.

renato dit: 4 juillet 2014 à 13h59

@Miroir,

Crétin, suis le fil ! et arrête de te regarder dans les autres… puis il y aurait la question des erreurs et on ne souligne jamais assez la bassesse de ceux qui n’ont pas d’autres arguments…
BàV,
r

ici Londres dit: 4 juillet 2014 à 14h03

à JC 14 h 53 : on attend tes « preuves scientifiques » mais tu vas te déballonner comme d’habitude, t’es qu’une carpette aboyeuse, un minable petit roquet qui profite de ce blog pour exhaler ta rancœur aussi veule que celle de ton pote bouguereau

Miroir dit: 4 juillet 2014 à 14h09

renato dit: 4 juillet 2014 à 15 h 59 min

Toto, ton commentaire sur le valet de chambre était ridicule et digne du CM2, alors ne joue pas les moralisateurs, petit tu es, petit tu resteras.

Hôpital, Charité et autres lieux d'asile dit: 4 juillet 2014 à 14h12

ici Londres dit: 4 juillet 2014 à 16 h 03 min
un minable petit roquet qui profite de ce blog pour exhaler ta rancœur aussi veule

Sergio dit: 4 juillet 2014 à 14h13

Ha le cours moyen deux ça c’était bien… Surtout les trains qui se croisent à voile et à vapeur… Et les règles de trois ! On prenait des bombardements… Les forteresses !

Echo dit: 4 juillet 2014 à 14h17

ici Londres dit: 4 juillet 2014 à 16 h 03 min
à JC 14 h 53

Comme le commentaire de 14h53 n’est manifestement pas de JC, on se demande si le crétin de « ici Londres » ne fait pas les questions et les réponses.
Les deux sont de son niveau.

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 14h29

4 juillet 2014 à 16 h 13 min
il y avait aussi des problèmes de ROM/e/i/net!

ici Londres dit: 4 juillet 2014 à 14h44

merci de tous vos compliments… en attendant LES PREUVES… du vent,des aboiements, du bidon, RIEN

JC..... dit: 4 juillet 2014 à 14h46

FRANCE-ALLEMAGNE

Il se pourrait qu’une décision étonnante de la Chancellerie allemande assure la qualification pour l’Equipe de France au Mundial de football ….

En effet, la Chancelière Angela, n’écoutant que son sens de l’Etat, aurait décidé d’offrir son corps -et son âme- aux buteurs allemands de ce match !

Attendons nous à de nombreux loupés teutons …

ici Londres dit: 4 juillet 2014 à 15h05

qu’y a-t-il d’exceptionnel à demander des preuves de ce qu’on avance ? JC historien a donné une information grave dont il prétend avoir les preuves… ON LES ATTEND, normal, non ?

Sergio dit: 4 juillet 2014 à 15h06

JC….. dit: 4 juillet 2014 à 16 h 46 min
Attendons nous à de nombreux loupés teutons …

L’herbe, elle, ne ment pas…

des journées entières dans les arbres dit: 4 juillet 2014 à 15h07

Il n’est jamais trop tard, -pour laisser l’endroit aussi propre qu’on l’a trouvé en arrivant- alors à quelques uns: je viens de lire ce « portrait  » du poète aux poches crevées, , (Arthur, si tu m’entends…)

jobard dans toute sa splendeur :

http://www.lefigaro.fr/livres/2009/04/23/03005-20090423ARTFIG00417-les-poings-dans-mes-poches-crevees-.php

Alors je n’aurai qu’un mot, un seul: bravo !

Bravo, et soutien total au personnel de pôle emploi Bretagne.

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 15h13

très intéressant et à discuter la critique sur le monde sur l’identité
Or, selon moi, l’identité ne devrait rester qu’un outil stratégique. Sinon on prend le risque

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 15h31

j’ia lu l’article du figaro: P.Assouline a heureusement secoué l’inertie mortelle et la surdité de gens du livre qui sauront peut-être faire des propositions à ce poète , propositions conformes à ses tendances qui ont été des compétences : on ne peut en dire autant de tous ceux qui commentent , ici.
bonsoir, les génies de la lande

side storieds dit: 4 juillet 2014 à 15h45

Bernard de CHOISY
LA LOI DES SEIGNEURS
Préface de Sylvie Uderzo
L’art de la guerre appliqué à un petit village breton !

kicking dit: 4 juillet 2014 à 15h59

-pour laisser l’endroit aussi propre qu’on l’a trouvé en arrivant-

et lécher un cul déjà surlèché par d’autres cela doit être une question de goût..

Angela..... dit: 4 juillet 2014 à 16h57

Che fiens de changer de lincherie fine dans les bestiaires, che me prépare … Hummels a marqué un put ! Ach ! Deutschland über alles ! Gut ! Gut ! …

Sant'Angelo Giovanni dit: 4 juillet 2014 à 17h27


…l’art des seigneurs,…on vous protège,…des autres agresseurs!,…des autres partis!,…travaillez avec sérénité!,…
…juste un pourcentage,…pour nourrir la troupe!,…un peu de ci de çà!,…
…encore de qualité!,…
…quelques ginguettes – roturières , pour nos whalalha’s!,…sans vous forcés,…

…nous veillons sur vous!,…un petit registre,…de santé , les naissances, qui va faire le clown de l’autre!,…
…mais, si, vous avez du talent,…
…je vous engage à ma garde personnelle!,…
…madame et vos filles sous ma protection,…Non, ne refuser pas!,…vous me fâcheriez!,…tout en partage en chambre commune!,…

…ils attaquent encore ces bandits!,…Oui!,…et ils brûlent,…tout!,…madame y est déjà passée,…Saint-Georges d’un cheveux près!,…!,…etc!,…

…vous en avez de la chance, nous faisons aussi, des hommes d’églises!,…
…vos femmes en cuisines, la louche en bouches!,…la belle vie,…quoi!,…
…chacun son sacerdoce,…
…Oh!,…comme vous chantez bien,…vous disiez madame , vos cousines,…presque aussi bien que vous!,…expliquez-moi!,…laissons mieux votre mari,…à nos louanges!,…

…Charlemagne!,…et donc!,…vous avez commencez avec, presque rien!,…comme moi!,…
…grand-dieux!,…je vois,…vous vous immiscez dans notre vie privée,…il faut bien vous protéger!,…de vous même aussi!,…pardieu!,…etc!,…
…Ah!,…çà ira!,…çà ira,!…etc!,…

des journées entières dans les arbres dit: 4 juillet 2014 à 17h35

« Il n’y a même plus personne pour demander au poète ses papiers. »

Eh bien non que voulez-vous. A ce niveau , peut-on encore dire du poète qu’il a un patelot qui devient idéal…
Envisager une re- conversion, lui diront les pros de pôle emploi Bretagne, qui ont certainement une autre idée de l’intermittence dans le spectacle.
Et surtout changer de chaussures; celles d’Arthur ne sont pas de sa pointure.

Vous avez une idée de cadeau en particulier, ou il faut vous l’emballer?
(ma question est pour Job!)

Abdelkader dit: 4 juillet 2014 à 17h42

Desole que ca n’a it pas l’air de trop bien rouler pour les bleus et les blacks…j’ai mise gros sur les allemands…sinon le Guardian s’interroge sur la tactique de Deschamps:
‘…66 min: How do you say laissez-faire in French? Deschamps’ policy of non-intervention is not working: he needs to change something or this match will just trundle on to a German victory…’
exactement mon avis…Allez bonne chance…

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