de Pierre Assouline

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La République des livres
Le « Je » sans pareil de Joan Didion

Le « Je » sans pareil de Joan Didion

On a tellement identifié le « nouveau journalisme » des années 60 à ses plus bruyants représentants, Tom Wolfe et Hunter S. Thomson, qu’on en a oublié quelques autres sur le bas-côté de la route traversant la scène américaine, dans les colonnes ou en dehors du magazine Rolling Stone. Il a donc fallu que Grasset publie son puissant récit L’Année de la pensée magique et qu’il soit couronné du prix Médicis de l’essai, pour que les Français s’avisent que Joan Didion (1934-2021) avait une voix singulière. Ses Notes à John (traduit de l’anglais par Josée Kamoun, 304 pages, 23 euros, Grasset) qui viennent de paraitre en français, étaient espérées sinon attendues depuis la découverte d’un classeur les contenant dans son bureau, chez elle, il y a quatre ans. Mais malgré leur soigneux classement chronologique par l’autrice même, le doute demeure sur sa volonté de les publier à titre posthume. D’où la controverse qui a accompagné la publication aux Etats-Unis où elle est une star dotée d’une aura assez rare dans le monde littéraire (elle a même été l’égérie de la marque Céline en raison de ses lunettes). La romancière, journaliste, essayiste et scénariste née en Californie et morte à New York s’y adresse à son mari John Gregory Dune à travers le récit de ses 46 séances chez son psychiatre durant quatre années à la charnière des deux siècles. Elle y évoque tout ce qui hante son œuvre : ses doutes sur l’écriture bien sûr mais tout autant l’affrontement avec le quotidien de la maladie, la maternité, la perspective de la mort, la dépression, l’addiction, la culpabilité notamment vis-à-vis de sa fille adoptive Quintana qui sombre dans l’alcoolisme. Nous, les lecteurs, savons ce qu’elle ignore encore lorsqu’elle jette ces pensées sur le papier : la mort prochaine de son mari puis de leur fille. Des notes intimes, poignantes de sincérité mais jamais pathétiques. Didion n’écrit pas pour émouvoir mais pour se mettre à nu et se dévoiler à vif. Elle disait :

« J’écris pour découvrir ce que je pense, ce que je cherche, ce que je vois et sa signification »

Elle n’en conserve pas moins certains de ses masques, se refusant à tout mettre à distance comme à son habitude, si proche d’un troublant détachement alors que les évènements qu’elle évoque la touchent et la bouleversent au plus profond. L’Année de la pensée magique n’en demeure pas moins son livre majeur, son livre n’en constituant qu’un appendice dont les fans de Didion discuteront longtemps encore de la nécessité. Le lecteur a l’impression d’être de trop dans cette histoire entre elle, son mari et leur fille. Et ce n’est même pas, comme souvent chez d’autres écrivains en pareille circonstance, une question de voyeurisme ou d’exhibitionnisme. Pour tout ce qu’elle y dit à travers son monde intérieur d’une certaine Amérique et de certains Américains, la découverte de ses Notes à John m’a renvoyé à la (re)lecture de L’Amérique paru en 2009 (traduit de l’anglais par Pierre Demarty, 347 pages, 19 euros, Grasset), l’Amérique tout simplement (dommage qu’une fois de plus, l’éditeur ne prenne pas la peine de préciser le titre originel, il est vrai que le livre emprunte autant à Slouching Towards Bethlehem et à The White Album qu’à After Henry), un recueil de ses chroniques/enquêtes de ses années 1965-1990. Un vrai reportage dans la chapelle sixties.

On ne sait jamais quand exactement commence et s’achève une époque et qui en décide. Plus encore lorsqu’il s’agit de l’histoire culturelle ou de l’histoire des moeurs. Ce qui n’empêche pas de s’interroger sur les traces, balises et signaux qui la délimitent. Joan Didion, qui a pleinement vécu les Sixties un stylo à la main, tient que le massacre de Sharon Tate dans sa villa de Los Angeles le 9 août 1969 en marque la fin. « This is the end… » comme le chantait Jim Morrison avec les Doors, mêlant inextricablement l’amour, le sexe et la mort dans la quête du trip absolu, et ce n’est pas un hasard si Coppola en a fait le leitmotiv de son opéra vietnamien. L’auteur, née en 1934 à Sacramento, n’est pas seulement une californienne pur jus, issue d’une famille établie là depuis cinq générations après avoir quitté… l’Alsace : elle est l’enfant de son époque et, de son propre aveu, c’est bien de cela dont il s’agit à travers ce road-movie sans autre caméra que sa machine à écrire. Pierre-Yves Pétillon, l’un de tout meilleurs connaisseurs français de l’histoire de la littérature américaine, qualifie son art de la chronique de « journalisme limite » (mais traduirait-il cela par « borderline journalism »?). Il tient que son tropisme sombre, parfois mortifère et violent, puise ses racines souterraines dans une affaire de cannibalisme qui marqua la caravane Donner de ses aïeux autrefois dans la Sierra Nevada :

« Dans son Ouest, chaque fois qu’on retourne une pierre, il y a un serpent dessous ».

De quoi parle-t-elle en écrivain cette journaliste hors-pair qui sait mêler le meilleur des deux au service de la chronique ? De la vie dans le ghetto noir de Watts à Los Angeles; de Chester Anderson figure historique de la Beat Generation, de son District et des communiqués de sa Compagnie de communication; de la drogue considérée non comme le fin mot de tout mais comme un mouvement social romantique issu d’une crise sociale, avant de dégénérer dans le chaos; du Black Panther Elridge Cleaver négociant ses contrats ; de l’affaire Patricia Hearst, de sa pâle héroïne et du syndrome de Stockholm; et surtout du quotidien du Haight-Ashbury, quartier de San Francisco mythifié par la présence des hippies. Mais de cet ensemble, je retiens pour ma part deux morceaux de choix. Tout d’abord un remarquable portrait de John Wayne rencontré sur le tournage des Quatre fils de Katie Elder, son 165ème film, alors que le cow-boy essayait d' »avoir la peau du grand C », entendez le cancer qui le rongeait ; l’évocation est d’une grande humanité, loin des clichés, et elle a le bon goût de rappeler cette réplique de Fort Alamo :

« République est un joli mot ».

Ce n’est pas moi qui dirais le contraire… L’autre morceau d’anthologie est un saisissant récit de 1990 sur la peur à New York à travers une véritable enquête sur l’affaire dite de la joggeuse de Central Park, cette jeune collaboratrice du grand cabinet Salomon Brothers, blanche et célibataire, violée et massacrée par une bande dans une allée après la journée de travail. Inouïe tout ce que la chroniqueuse arrive en dire en 80 pages sur la mégapole, ses habitants, ses fantasmes et ses paradoxes. Le « Je » de Joan Didion est omniprésent, elle n’en est pas économe, c’était même la règle du new journalism, mais il n’est jamais envahissant. Rarement la mise en scène de soi n’est apparue aussi indispensable à l’économie d’un récit. Rien de gratuit dans ces choses vues, multiples nuances d’odeurs et détails de couleurs enchevêtrés qui constituent sa vérité sur ce moment de l’Amérique.

On n’imagine même pas que le « Je » s’absente ou se réfugie derrière d’hypocrites formules collectives tant le chroniqueur se situe naturellement à l’épicentre de ses passionnants textes. A lire en écoutant les Grateful Dead mais il n’est pas sûr qu’un savant cocktail de peyotl, alcool, acide, LSD, smack, mescaline, Benzédrine, Dexédrine et Methédrine aide au plaisir du texte, ni que le mélange cocaïne-farine encourage la compréhension. D’autant qu’à la fin, Joan Didion, il est vrai revenue de beaucoup de sensations à 75 ans lorsqu’elle écrivit L’Amérique, plane tout autrement, à la relecture de From here to eternity, au pèlerinage sur les lieux du grand roman du regretté James Jones, et au souvenir humide de Burt Lancaster allongé sur une plage d’Hawaï dans le film qui en fut tiré Tant qu’il y aura des hommes, petits bonheurs nostalgiques goûtés dans une parfaite plénitude tout en buvant un verre de sherry on the rocks.

(Photos John Bryson)

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900 Réponses pour Le « Je » sans pareil de Joan Didion

Soleil vert dit: 29 octobre 2025 à 13h50

Goncourt 2025, dernier carré :
Parité respectée, deux romans de sagas familiales et deux autres sur des thèmes brulants, coming out et féminicide

Rosanette dit: 29 octobre 2025 à 14h01

On a révelé sous ce fil que M. Charoulet est agrégé de lettres modernes
Ce titre d’agrégé lui procuré des avantages (moins d’heure de cours un meilleur salaire)
Mais il permet pas à lui seul ,comme certains semblent le penser ici , de présumer a priori quoi que ce soi de sa culture et de ses capacités intellectuelles .
A cet égard une anecdote qui m’avait convaincue de la mythification injustifiée dont bénéficie cette peau- d’âne
Fernand Braudel présidait le jury d’agrégation qui ,à deux ou trois reprises , avait collé Marc Ferro.
Quelques années plus tard Ferro devenait son successeur aux Annales et lors d’un colloque Braudel parlant de l’agrégation a eu un propos définitif montrant quille faut pas créditer l’agrégation d’un pouvoir de reconnaître et de sélectionner les meilleurs: »la preuve Ferro est le meilleur de nous tous et il n’a pas pu réussir le concours « 

rose dit: 29 octobre 2025 à 14h46

Rosanette,
Cela reste l’échec cuisant de ma vie.
Là, je ne raconterai pas en détail.
Deux heures et demi à écrire une lettre à ma fille aînée, et j’ai rendu copie blanche.
Sept heures de composition.
Interdit de sortir avant les deux premières heures et demies.
Durant la préparation, nous étions deux à être prêts à l’avoir. Un homme et moi. Lui l’a eue.

Assez récemment, je pensais à ces deux  » évènements  » de ma vie.
Le second était un poste élevé dans le numérique, au sein de l’Éducation Nationale.
Un ponte était venu interroger une poignée de gens dont j’étais, j’avais fourni le titre par rapport à ses propositions ; et soudain, alors qu’il nous prenait pour des abrutis, il avait regardé sa collègue, interloqué.
Un de mes collègues a eu le poste, et le salaire qui allait avec, chose que je n’ai pas même revendiquée.
Et qq.jours après avoir songé à tout ça, me voilà dans une foire agricole que j’affectionne tout particulièrement, et me serrant pour laisser la place à un rustre, qui venait s’asseoir à côté de moi.
Nous nous aimons bien, mais ne sommes pas amis.
On échange de ci et de là.
Il me reconnaît illico, moi pas tout de suite, il a vieilli.
Et après les nouvelles de circonstance sur la vie, nos enfants, la guitare flamenca, voilà pas qu’il me parle de ce boulot, que jusque là, je considérais un tant soit peu, qu’il me l’avait soufflé.
Comme l’autre homme, alors que je rendis copie blanche, et lui pas, bien évidemment.
Et là, j’assistais en live à son analyse critique de son boulot, où il finit par me dire qu’en acceptant ce poste, il avait perdu dix ans de sa vie.

Stupéfiant !
Il ne me reste donc qu’à regretter l’agrégation défunte – De profundis – de Lettres Modernes. Sans rave, ni désespoir, mais une certaine nostalgie cependant.

Vedo dit: 29 octobre 2025 à 14h48

Pour l’agrég, l’anecdote de Braudel est drôle, mais statistiquement c’est quand même un label de qualité. Mais souvent cette qualité permet d’autres étapes, après lesquelles on n’y pense plus.
Pour s’éduquer l’oreille en italien, Le Corriere permet d’écouter les articles. Pour traduire certains mots, combiner avec DeepL. Bien sûr, cela ne remplace pas la conversation, l’expression.

rose dit: 29 octobre 2025 à 14h52

Sans rave, mais essentiellement sans rage.
Comme c’est bon.

Puck,
Moi, je les aime bien vos analyses.
Sensibles et fines, elles me permettent souvent de m’interroger.
Ce matin, sur mes ovaires, oui, j’ai pu répondre qu’effectivement, à seize ans, si ce n’est quinze, le désir d’enfant était là, prégnant.
Après, trouver avec qui le/les faire, cela fut une autre paire de manches. Mais le désir était puissant, physique et chimique. Cela devait, pouvait, correspondre à des poussées d’hormones.
Puck, j’aime beaucoup votre façon de nous interroger.

rose dit: 29 octobre 2025 à 14h55

Sinon, ce matin, cet extrait mis en ligne de Cody de Jack Kerouac totalement stupéfiant : on dirait aujourd’hui.
Mais qu’y a-t-il eu de changé ?

renato dit: 29 octobre 2025 à 15h14

J’ai rencontré quelques agrégés, mais aucun ne m’a laissé une impression durable. Deux d’entre eux me viennent à l’esprit : des agrégés en histoire. L’un d’eux a quitté l’enseignement pour travailler dans les prisons en tant que travailleur social. Il collectionne des soldats de plomb et d’autres objets similaires, comme des chars et d’autres véhicules militaires. L’autre, une lectrice passionnée, a également abandonné l’enseignement et travaille maintenant comme conseillère culturelle dans une ambassade. Les autres, tout simplement oubliés.

renato dit: 29 octobre 2025 à 15h22

«… j’aime beaucoup votre façon de nous interroger. »

J’aime beaucoup votre façon de m’interroger serait préférable, surtout pour des contenus inintéressants.

Maurice revient... dit: 29 octobre 2025 à 15h23

Quoi d’neuf Clopine ?
Des infos sur Jazzi ???
Anciennes frasques et nouveaux scandales ???
Vas-y balance…
Sacrée Clopine !!!
Hi hi hi hi hi hi……

rose dit: 29 octobre 2025 à 15h26

Chacun ses goûts.
Ce que dit Puck, quoique ce soit terriblement répétitif, je le trouve passionnant.
Et le nous convient, puisque nous sommes deux.
Puck clame.
Je l’acciame.

Maurice revient... dit: 29 octobre 2025 à 15h29

Renato le Snobino se la joue prof à la Charoulet !!!
On se marrait déjà avec ce vieux Patrice Charlot d’opérette, mais avec le Maëstro Comico Renato, c’est carrément la fête du rire au cirque de la Rdl !!!

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 15h32

… ge/nou convient aussi, c’est Claire… Inénarrable et indispensable r^z ;

il pleut
sur le mouche _
à Rabiéh

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 15h38

Quelqu’un.e de nos babyboomers a-t-il appris par coeur, jadis, ce petit poème à l’école primaire, … retrouvé intact grâce à l’internet, exhumeur de mémoires enfouies ?
https://www.google.com/search?q=fransic+ajmmes+petit+%C3%A2ne&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&oq=fransic+ajmmes+petit+%C3%A2ne&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOTIICAEQABgWGB4yCggCEAAYgAQYogQyBwgDEAAY7wUyCggEEAAYgAQYogQyCggFEAAYgAQYogTSAQk2MzQ1ajBqMTWoAgiwAgHxBfo4zZ6JMSIn&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:40f9d440,vid:IO5iS9SjlGY,st:0

Maurice revient... dit: 29 octobre 2025 à 15h40

Nous aussi sommes agrégés en moult agrégations, mais nous ne daignons surtout pas à vous désagréger l’esprit par l’étendue de nos connaissances, alos nous abrégeons nos commentaires afin de vous agréer ledit esprit.

Soleil vert dit: 29 octobre 2025 à 15h50

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 15h38
Quelqu’un.e de nos babyboomers a-t-il appris par coeur, jadis, ce petit poème à l’école primaire, … retrouvé intact grâce à l’internet, exhumeur de mémoires enfouies ?

Une petite merveille déjà citée par Jazzi autrefois dans ce forum me semble t-il.

puck dit: 29 octobre 2025 à 16h08

clopine!!!!!!!!!!!!!!

bon, que vous dire ?

d’abord c’est pas bien du tout d’insulter les gens, même si on est un peu toquée comme vous c’est pas bien, je veux dire il faut respecter un minimum les conventions sociales et ne pas tomber direct dans la bestialité.

ensuite, sur cette histoire de l’homme, la femme et la nature, je veux dire je sais, j’ai lu en voiture Simone de Beauvoir le 3è sexe et d’autres et je sais que tout ça c’est de la construction sociale blablablabla !

d’accord, nous sommes d’accord sur ce point, raison de plus pour ne pas insulter les gens surtout quand ils sont d’accord avec vous.

ni l’homme ni la femme n’appartiennent à la nature ou à tous types d’ordre s’approchant de près oiu de la loin à la nature.

pour vous conforter sur ce point je ne m’en référerai aux féministes et autres socio existentialistes mais à Dieu.

parce que c’est toujours bien de se référer à Dieu, je veux dire c’est plutôt classe comme référence.

car c’est écrit au tout début de la Bible quand Dieu demande à Adam « où es-tu ? » autrement dit où te situes-tu dans ma création ? autrement dit d’où tu sors ? autrement dit qui a bien pu me pondre un truc pareil ?

le « où es-tu » que demande Dieu à Adam ça veut dire ça en fait, que ce type n’appartient pas à la nature.

du coup on voit qu’on s’en est rendu compte très vite de ces histoires, bien avant en voiture Simone de Beauvoir.

et ensuite on retrouve cette même question posée à Noé « où étais-tu ? » autrement dit « où étais-tu quand j’ai créé l’univers ? » en fait c’est la même chose qu’avec Adam.

du coup perso j’ai jamais pensé que ni l’homme et les femme n’entrait dans le règne des mammifères relevant d’un ordre naturel.

et ça même si les effets de la testostérone sur les supporters de foot ne sont plus démontrer.

où même si certains disent que si les femmes qui viennent d’accoucher ne lancent pas leur nouveau né pâr la fenêtre c’est parce que l’ocytocine est une hormone qui favorise l’attachement.

en fait c’est tout du flan : rien n’empêche une femme de balancer son nouveau né par la fenêtre si elle veut reprendre son boulot plus vite parce que son patron lui met la pression !*

je veux dire entre son patron et l’ocytocine c ‘esrt toujours le patron qui aura le dernier mot.

non Clopine je peux vous jurer sur la tête de passou que je n’ai jamais pensé une seconde quze la femme n’appartenait à la nature clopine !

à tel point que je suis même un ardent défenseur de la gestation in vitro ! ppour éviter aux femmes de perdre 9 mois à s’emmerder avec leur grossesse !

puck dit: 29 octobre 2025 à 16h10

et ensuite on retrouve cette même question posée à Noé « où étais-tu ? »

oupss : pas Noe : Job !

Sybil Pythie dit: 29 octobre 2025 à 16h17

Vissotsky écumait les rues et les avenues de Moscou au volant d’une Mercedes blanche. Il est mort en jouant Hamlet au théâtre de la Taganka.
Not to be…ce qu’on apprend en randonnant en montagne avec des Russes…

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 16h21

Rachida a l’air fumasse, ce soir. Ses bijoux de famille politique se sont encore dévalués pour ne pas dire dés-agrégés. La culture perd un peu plus de son ancien rayonnement, le toc remplaçant désormais l’authentique (ôte-toi d’là que j’m’y mette, Nico-Caco-las).

————-
(…) L’Amérique c’est d’être traqué par la police, poursuivi à travers le Kentucky et l’Ohio, c’est dormir avec les rats des parcs à bestiaux, caché sous les silos lugubres aux toits de tôle hurlante (…) l’Amérique c’est l’endroit où l’on n’a même pas le droit de pleurer sur son sort (…) c’est ce qui a marqué l’âme de Cody Pomeray de soucis et de stigmates -le gros flic en civil qui l’a tabassé à mort dans une arrière-salle jusqu’à ce qu’il avoue quelques chose qui n’a même plus d’importance aujourd’hui – l’Amérique (BANDES JEUNES SEXE CAME AUTO), c’est aussi le néon rouge et les cuisses dans le motel minable – C’est là où le soir, à la fermeture des bars, les ivrognes titubants sortent comme des cafards – Le pays où les foules de gens pleurent et se mordent les lèvres dans les bars ou les lits solitaires et se masturbent de mille façons dans toutes les tanières que l’on peut trouver dans la nuit – Elle possède des routes diaboliques derrière des réservoirs à essence où des chiens meurtriers montrent les crocs à travers les grillages, où des voitures de patrouille bondissent brusquement comme pour fuir un forfait plus secret et fatal que les mots ne sauraient dire – C’est là que Cody Pomeray a appris que les hommes ne sont pas bons, qu’ils désirent le mal – où il a appris qu’ils veulent ramper et se battre, et que leur amour se résume à des grognements (…). L’Amérique est une gros tas de merde solitaire » (op. cit, 191-192)

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 16h26

@ 15.50, merci SV pour cet hommage au vigilant jzmn. Je vous présente mes excuses, je ne l’avais pas vu passer, mais nous sommes d’accord avec le petit âne qui marche le long des houx. Vous êtes un internaute sensible et généreux. Je le sais depuis longtemps.

puck dit: 29 octobre 2025 à 16h52

@ »Ce que dit Puck, quoique ce soit terriblement répétitif, je le trouve passionnant. »

oui moi aussi je trouve ce que je dis assez passionnant.

par contre j’ai pas trop l’impression que ce soit répétitif.

déjà j’interviens assez peu et quand je me permets d’intervenir dans cette prestigieuse assemblée d’agrégés il m’arrive parfois de parler de la Russie.

aussi du conflit en Ukraine, mais c’est très rare.

par contre j’avoue que le sujet qui me passionne au plus haut point c’est la désinformation sur la Russie et l’Ukraine dans les médias.

je veux dire sur 10 trucs que nous pondent les journalistes il y en a 9 qui sont faux.

même dans le bouquin d’Orwell il n’a pas osé aller jusque là, limite c’est presque un record du monde de la désinformation.

je sais bien par exemple que le Monde appartient à Xavier Niel et que Niel a d’énormes investissements financiers en Ukraine mais de là à dire 1 truc vrai sur 10, je veux dire même si ces enjeux financiers sont énormes 90% de désinformation c’est énorme.

du coup j’avoue que ce sujet lié à la désinformation dans les médias dominants de trouve ça intéressant.

et je suis même étonné que un blog dédié à la littérature il n’y ait pas plus de monde qui soit scotché par ce niveau assez démentiel de désinformation.

je veux dire même si on n’est pas agrégé de lettres anciennes ou modern es ou d’histoire ou de philosophie la désinformation c’est un sujet qui touche tout le monde.

du coup cette indifférence à l’égard de ce niveau astronomique de désinformation dans les médias institutionnels ne me laisse pas indifférent je l’avoue humblement et vraiment je m’en excuse.

je veux dire je m’excuse si je vous gonfle avec cette question de la désinformation.

mais je le fais parce que vous me paraissez tous un peu zombies, je veux dire lire 9 trucs faux sur 10 dans le Monde ça n’a pas l’air de vous déranger.

limite si ça se trouve vous êtes tous des potes à Xavier Niel

rose dit: 29 octobre 2025 à 17h30

Non.
Pas du tout.

Mais ce que vous dites ne recouvre pas seulement la désinformation dans les médias.

Vous tenez un discours extrêmement pacifistes, durant lequel vous reprochez à certains de manipuler les belligérants pour en récolter leurs propres intérêts.
Vous soulignez aussi combien l’occident use et abuse des pays du tiers-monde en s’appropriant leurs richesses naturelles.
Vous soulignez combien le discours anti-russe est construit toujours dans ce but de manipulation des masses.
Et cætera.
Votre discours est éminemment politique.

Mais, ce matin, j’ai été particulièrement intéressée par ce questionnement soulevé autour des hormones féminines. En folie, ou pas ?
Moi, je pense que oui.
Et que les femmes se maîtrisent bien mieux que les hommes.

D. dit: 29 octobre 2025 à 17h32

Je suis d’accord pourqu’un professeur agrégé soit davantage payé qu’un autre. Je pense même qu’il faudrait encore augmenter leur salaire.
Je suis en revanche fermement opposé à ce qu’ils aient moins d’heures de cours. Ils devraient non seulement avoir le même nombre de cours que leurs collègues non agrégés, mais passer la moitié de leurs 4 mois de congés (!) à travailler POUR LE MINISTERE à l’élaboration de méthodes et de supports pédagogiques ou à des actions de formation ou de tutorat de leurs collègues. En aucun cas passer ce temps à la rédaction d’ouvrages privés ouvrant droits d’auteur. Cette possibilité subsisterait, mais en dehors des 2 mois consacrés au ministère.
C’est à dire, concrètement, en dehors de ces temps : 5 jours aux vacances d’automne, 5 jours à celles de Noël, 5 jours à celle de février, 5 jours à celles de printemps et 20 jours à celles d’été (10 jours début juillet, pouvant valoir pour examens le cas échéant) et 10 jours fin août-début septembre.

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 17h35

Que voulez-vous « débattre » avec un gars qui fait H24 ses questions et ses réponses sur le seul sujet littéraire qui l’intéresse : la désinformation ukrainienne de la presse française vendue à Xavier Niel sur la Russie de Poutine ? Pour ma part, je préfère en dialoguer sur des sites spécialisés plus intéressants sous un autre pseudo, plutôt qu’avec cet internaute surnombrilisé qui, sans doute avec un brin d’humour et d’auto dérision, pose souvent de très mauvaises questions auxquelles il apporte de très mauvaises réponses. Ses postulats sont des biais de perceptions idéologiques unilatéraux, ou pour mieux dire, des invariants ossifiés par l’aplomb de ses gênes autoritaires qui les surdéterminent. Il n’aura hélas jamais aucun sens de la pédagogie minimalement nuancée pour convaincre ses contemporain.es de quoi que ce soit, serait-ce à l’aide d’une AI sur mesure censée l’aider à s’améliorer. La RDL n’y peut rien.

D. dit: 29 octobre 2025 à 17h41

Je serais d’accord à ces conditions d’augmenter de 50 % leur salaire.
Soit 6000 à 7000 € / mois pour un agrégé en fin de carrière.
Il est inacceptable actuellement que ce beurre sur les endives (et non sur les épinards) s’obtienne, le cas echéant, exclusivement par des droits d’auteur, ni vu ni connu les doigt de pieds en évantail sur les plages ou dans les stations de ski.

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 17h43

Brefl, pour résumer la sauce… MOI, réaliste…
TOI, pauvre con d’idéaliste.

Next. Je rentre, il pleut. Suis détrumpé, détrompé, détrempé. Les poules mouillées, leurs oeufs en meurette. Il fait totale nuit trop tôt. Novembre, c le pire d’émoi.

rose dit: 29 octobre 2025 à 18h10

D.

Je ne vous suis plus du tout concernant vos obsessions des vacances des profs.
Je vous largué donc là, sans ménagement, et reprends derechef Les pierres sauvages de Fernand Pouillon.
Le livre de l’autre illuminée, là, je suis pas cap.

Nota :
Lorsque le cochonnet est bien placé, et que, harmonieusement les boules semblent s’accoquiner (j’en perds mon latin) harmonieusement dans une valse sereine, ce n’est pas une raison pour dégommer le cochonnet à perpète.
Non, c’est non.
Je ne cesserai pas un pouce sur les vacances scolaires.
Mieux, je propose :
Rentrée le 1 er septembre.
Sept semaines de travail ; équilibre parfait.
Toussaint : quinze jours de congés.
Sept semaines de travail ; équilibre parfait.
Toussaint : quinze jours de congés
Sept semaines de travail ; équilibre parfait.
Noël et jour de l’an : quinze jours de congés
Sept semaines de travail ; équilibre parfait.
Hiver, février : quinze jours de congés.
Sept semaines de travail ; équilibre parfait.
Pâques : quinze jours de congés.
Sept semaines de travail ; équilibre parfait.
Été : deux mois de congés.

Voire trois, moissons, montagne, canoë-kayak.

Nota : un agrégé qui travaille dans les classes prépa et fait des colles gagne un très bon salaire, voire excellent. Pas besoin de l’augmenter.
Nota bis : je ne céderai pas un pouce de terrain.

rose dit: 29 octobre 2025 à 18h14

Je ne cesserai pas un pouce sur les vacances scolaires.

Je ne cèderai pas un pouce sur les vacances scolaires.

Voyez B. ?

C’est cela, pile poil. Vous lui accordez ceci, qui est déjà énorme, et lui pousse le bouchon plus loin.
Mais si jamais, ô malheur, vous acceptiez (je) ce bouchon plus loin, lui, illico, chercherait à pousser le bouchon plus loin encore.
B.faites-moi l’immense bonheur de cesser tout ressentiment à son égard.

Vedo dit: 29 octobre 2025 à 18h32

Réduire le temps libre des enseignants, c’est ne pas comprendre grand chose au métier d’enseignant. En plus, offre et demande: déjà dans certaines disciplines, ce ne sont plus des concours. Et pour, je n’ose dire les meilleurs, l’agrégation ne mène pas au secondaire. De toute façon, l’IA va bouleverser tout cela.

Jean Langoncet dit: 29 octobre 2025 à 19h00

(Une poignée de trolls qui multiplie les commentaires oiseux, s’imaginant contraindre Passou à leur lecture, non sans l’avoir menacé d’engager sa responsabilité dans leur publication ; cf. « Charoulet enculée »)

Jean Langoncet dit: 29 octobre 2025 à 19h01

(Deux ou trois exceptions désormais ponctuelles dans ce cul de basse fosse, guère plus)

Jean Langoncet dit: 29 octobre 2025 à 19h35

(Quelques remarques en passant pour les lecteurs des billets qui se seraient aventurés dans ce cul de basse fosse pensant y trouver des prolongements stimulants)

Chaloux dit: 29 octobre 2025 à 19h55

Ce soir, je rentre trop tard pour commenter mais la Gigi et la cloportine ne sont vraiment pas piqués des vers…

La vieille correctrice s’est barrée? Si c’est cela, ça étonne quelqu’un?

Chaloux dit: 29 octobre 2025 à 20h14

Mme Macron souffrirait d’une « dégradation de ses conditions de santé ». Qu’est-ce que cette confiture sémantique?

Ces deux-là nous prendront jusqu’au bout pour des cons.

renato dit: 29 octobre 2025 à 20h33

Je mets 2 centimes dans la machine, voyons ce qui se passe :
« L’idée que la vie extraterrestre soit par définition d’un ordre supérieur au nôtre est une fantaisie qui apaise tous les enfants et nombre d’écrivains. »
Joan Didion

Soleil vert dit: 29 octobre 2025 à 20h33

JJJ : Je vous présente mes excuses

Mais non cher JJJ vous n’avez pas d’excuses à me présenter

renato dit: 29 octobre 2025 à 21h18

Joan Didion à propos de Joan Baez : « elle essaie, peut-être inconsciemment, de s’accrocher à l’innocence, aux troubles et à la capacité d’émerveillement, aussi faux ou superficiels qu’ils soient, de sa propre adolescence et de celle de tout un chacun. » À l’époque, beaucoup pensaient que les musiciens étaient la clé pour aider à résoudre les maux de la société ; Didion avait clairement des doutes.

Ici :
https://www.rollingstone.fr/la-contre-culture-rock-avait-un-cote-sombre-joan-didion-lavait-vu-venir/

Jean Langoncet dit: 29 octobre 2025 à 21h28

@rollinstone.fr

Le « .fr » a pris du recul … Heu ! Non, rien … Sinon, entre deux gouttes, la prestation du Dead à Herouville ; c’était peut-être rediffusé par « Bonjour ! c’est Pop2 » de la télé publique … en 71

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 22h28

20.20 et ce soir, Liliane Bettencourt ne savait pas qu’il fallait mettre une pièce (de 2 centimes) dans le distributeur de boissons pour obtenir une oranginade. Elle ne s’excusait jamais.

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 22h44

@ 19.35, il est certain que le nouvel art de la conversation constructive des intervenautes, espéré bouleversant les commodités littéraires dès 2005, a tourné très court, après chaque billet divulgué.
Cela dit, il faut bien reconnaître aujourd’hui que la grande ‘Je’ Didion n’impacte pas chaque erdélien de la même façon.

D. dit: 29 octobre 2025 à 22h45

Mon Cher renato, 2 centimes c’est beaucoup. Par les temps qui courent, gardez ça, c’est plus prudent.

La présence extraterrestre sur Terre est avérée, tous les gens bien renseignés de nombreux gouvernements vous le confirmeraient. Les technologies mises en oeuvre sont extrêmement avancées dans tous les domaines. L’intelligence de ces êtres, de forme humanoïde, surpasse de très loin la nôtre, donc la vôtre. La communication et même l’action s’effectue par le regard voire par télépathie. J’y ai eu droit un jour, évidemment au moment où je m’y attendais le moins. Heureusement j’ai eu le réflexe salvateur de tourner la tête, mais la seule 1/2 seconde pendant laquelle mon regard a croisé celui de cette entité fut un tel choc que j’en frémis encore aujourd’hui. Un conseil : ne vous mêlez jamais de ça de près ou de loin. Ça ne sert strictement à rien et ça peut vous causer des « inconvénients » très graves.

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 22h52

@ « je rentre trop tard pour commenter », en dehors d’un temps pris pour articuler un énième dégueulis spirituel sur le billet du jour : « J’imagine la Béré comme Joan Didion, en un peu moins ravagée » (sic). Quelle généreuse contribution aux tardifs débats aux Q de hautes fosses, mon dieu, tudieu !

D. dit: 29 octobre 2025 à 22h55

Vous ne cèderez pas un pouce, seulement ces fonctionnaires de l’Etat doivent travailler pour l’Etat et pendant les 2 à 3 mois de congés qu’ils ont en plus par rapport à n’importe quel autre fonctionaires, ils ne le font pas. Et en plus ils travaillent 2 à 3 fois moins (15 heures au lieu de 35). Et beaucoup se permettent d’y ajouter des arrêts-maladie de complaisance pour un oui ou pour un non.

Donc il sera mis fin à ces abus.

D. dit: 29 octobre 2025 à 23h01

L’argent de l’Etat est devenu si rare qu’on ne peut plus se permettre de ke jeter par les fenêtres pour faire plaisir à cette petite caste pédante des agrégés.
En résumé.

J J-J dit: 29 octobre 2025 à 23h05

On nous avait pourtant avertis au Grand Orient de ne pas alimenter les trolls outre mesure… C’était bien la peine !

B dit: 30 octobre 2025 à 3h44

Vous nous donez le mot dans toutes les langues!

இறுதி: Tamoul
эндива:Tatar de Crimée
ענדיוו : yiddish
αντίδι : Grec
mutunga : Maori
ཨེན་ཌི་ཝ། : Tibétain
Аендива : Abkhaze
cikória : Hongrois
الهندباء : Arabe
эндывій : Bielorusse
ⵜⴰⴳⴰⵔⴰ : Tamazight
endivija : Lituanien
အသုပ်အရွက် : Birman
ендівій : Ukrainien
эндивий : Russe
菊苣 : Cantonais
эндив : Mari des prairies
ཨེན་ཌི་ཝ། : Tibétain
បញ្ចប់ : Khmer
kut : Khasi
kwmajak : Kok Borok
꽃상추 : Coréen
эндива : Tchtchène

B dit: 30 octobre 2025 à 3h49

Et très bientot, pour les amateurs:

6 et 7 décembre 2025 – fête de l’endive à ILLIES (59)

B dit: 30 octobre 2025 à 4h05

3J, en tant que patiente je n’ai que très peu fréquenté les psychiatres, cinq ou six fois tout au plus et je n’opte pas pour le même genre de fauteuil. D’ailleurs, si j’en avais le moyens je choisirais un mobilier japonais qui conviendrait à mon niveau, assise au ras du sol pour ne pas dire proche des paquerettes. Cela entretient la souplesse des articulations et on peut imaginer que la syntaxe et l’enchainement des idées en sont également modifiés. Ceci dit, la première femme fraichement nommée au pouvoir au Japon ne me parait pas des plus cool, nationaliste (bonjour Mishima), anti-feministe (bonjour M. Trump), je suppose que le réarmement du Japon figure dans son programme.

rose dit: 30 octobre 2025 à 4h47

B.
Les gens sont tarés, tout particulièrement les militaristes : du moment que vous, vous ne l’êtes pas, c’est gagné.
D.
Pas un pouce de terrain, je ne cèderai.
Je connais un type, qui ne connaît pas la différence entre puis et un puits, qui organise des stages à la con, durant lesquels en deux jours , il gagne plus de vingt mille euros.
Normal, il n’a pas de retraite.
Un autre, doué à ce qu’il paraît, avec ses stages intelligents et utiles, je vous en dirai plus qui gagne 1350 euros par jour.
Bien sûr, ils doivent payer la location de la salle à de riches entrepreneurs.
Un enseignant gagne -en moyenne – 2500 euros par mois et est un homme heureux. Dans les locaux de la République, avec des gosses qu’il n’a pas pondu, que les parents sont catastrophés de récupérer à plein temps durant les vacances scolaires, tellement ils n’en peuvent plus.
Je vois deux choses :
Ou bien foutez-nous la paix.
Ou bien soyez vous-même enseignant un an pour y comprendre quelque chose.
Parce que vous êtes hors les clous avec votre obsession maladive.
J’en connais un, toubib, compétent, il a cessê l’hôpital, et un autre -qui fait un métier horrible, il pénètre dans la bouche des gens -plutôt proctologue, et encore !, celui que je connais est un enculé, icelui donc ci-dessus est passé de quatre jours de travail par semaine à trois jours : lundi, mardi et jeudi. Basta Cosi.
Pour gagner quatre fois le salaire d’un enseignant.

Sortez, mais sortez vite de vos obsessions, D.
Sortez, D.
Changez de disque.

Chaloux dit: 30 octobre 2025 à 4h55

L’andouillette faisandée des Charentes s’est fait larguer par sa vieille correctrice et continue d’étaler sa vie privée. On sait maintenant qu’il dort sous assistance respiratoire, que le chat couche sur une table à repasser jamais repliée. (Spectacle!), et qu’il a des envie de meurtre. Ce qui ne l’empêche pas de continuer à distribuer leçons et bons points, quand ce qu’il lui faudrait c’est un bon psychiatre et une bonne camisole.

Hurkhurkhurk !

rose dit: 30 octobre 2025 à 5h02

Recette :
Deux endives.
Une pomme.
Comté.
Quatre noix.
Un œuf plus que mollet.
Un petit morceau de roquefort.
Huile d’olive, citron, sel et poivre.
Régalez-vous.

rose dit: 30 octobre 2025 à 5h18

Contente de voir, en pleine terre, comment poussent les endives. La racine aussi grande que les feuilles.

rose dit: 30 octobre 2025 à 5h22

l’agrégation ne mène pas au secondaire

Et bien oui, au lycée, un certain nombre d’agrégés, les autres en classe prépa.

JC..... dit: 30 octobre 2025 à 5h25

« D. dit: 30 octobre 2025 à 0h33 »

A part ça, cher ami, … tout va bien ?
Bonne journée !

rose dit: 30 octobre 2025 à 6h18

Tu viens de te suicider.
Il est dit de toi que tu es un homme brillant.
Tu as détourne 950 000 euros et tu es condamné à en rembourser 375 000.
Ta condamnation pénale est avec sursis.
Et tu trouves cela injuste.
À ton âge tu ne le savais pas qu’il fallait te mettre un sac en plastique sur la tête ?
Tu es à l’hôpital américain de Neuilly. Là où Marguerite Duras faisait ses cures de désintoxication
On t’a fait un lavage d’estomac. Ma mère me l’a dit en septembre 2018, alors que mon père venait de quitter le domicile conjugal pour quinze jours de convalescence.
Elle m’a dit
 » On t’a fait un lavage d’estomac « .
Puis, mon père ayant dit « on n’en parle pas « , la pire des choses qui pouvait se passer est de ne pas en parler, on n’en a pas parlé, jusqu’à sa mort quarante cinq ans après.
La parole du père !
Hey, tu n’as pas encore compris que tu es un privilégié, et que l’argent tue l’amour ?
Tu n’as plus les 375000 euros que tu dois rembourser puisque tu as tout dépensé en endives caramélisées a l’orange place de la Victoire a Paris ?
Et bien, vends ton appartement et rachète plus petit.
Et rembourse tes dettes.
Tu seras allégé.

Nota : les envies de meurtre, c’est bien de les dominer.
Bis : au grand orient de France, on ne doit pas servir de modèle à un tas de gens paumés ?
Ter : ça sert à rien d’être intelligent.
Quatro : fais du bien à Bertrand, il te le rend en caguant.

Bonne journée,

J’ai pris deux dolipranes.
J’essaie de me suicider. Je vous préviens hein, que vous appeliez les pompiers !

rose dit: 30 octobre 2025 à 6h35

Nota cinquo :
 » Le métier que j’exerce « .
Non : tu es influenceuse, ce n’est pas un métier.
 » J’ai arrêté l’école a dix sept ans. Je n’ai pas le bac.  »
Tu n’as pas à t’en vanter. Presque 90% d’une tranche d’âge a le bac. Jean Louis Etienne a le bac technologique.
Et alors ?
Si tu ne l’as pas, tu as deux solutions :
Ou bien tu le passes, comme la petite sœur de Jade Lagardère qui vit avec le fils de son mari, et tu le réussis.
Ou, tu ne le passes pas et on s’en fout, tu peux vivre heureux sans.
En tout cas, le revendiquer comme une victoire, c’est nullissime. Abstiens-toi, crétine. Mais douée, je sais.

Sybil Pythie dit: 30 octobre 2025 à 6h58

Mes Russes et leurs blagues:
En France, on meurt pour l’amour.
En Angleterre, on meurt pour l’honneur.
En Allemagne, on meurt pour la gloire.
En Russie, on meurt.

rose dit: 30 octobre 2025 à 7h50

Trouvé dans un lien transmis par et alii en privé en janvier 2025, j’en transcris un morceau spécialement pour vous D.
Que vous puissiez être accompagné dans vos épreuves.
Puis j’ai rouvert le livre au début, au Deutéronome 21:10, et les mots de ce premier verset ont été comme une révélation : ils décrivaient parfaitement ce que je ressens face à mon trouble cognitif léger à un stade précoce : « Quand on quitte sa zone de confort, que les choses normales deviennent très difficiles et qu’on fait face à des défis inédits, alors, en se tournant vers son être profond, on découvre comment les intégrer à sa beauté intérieure. » Puisse chacun de nous être béni dans ses épreuves et dans la manière dont on les affronte.

rose dit: 30 octobre 2025 à 7h53

Je range/je pense.

Et je suis intriguée par cette double constatation :
Et, il me semble bien que cela n’a strictement aucune importance ce que l’on a été à vingt ans pute, gigolo, etc.) et, en parallèle, ce que l’on a vécu, on l’a vécu.

Or, dominer ses envies de meurtre, c’est extrêmement positif, mais l’idéal à atteindre serait de ne plus en avoir.

Je viens de retrouver un échange de mails stupéfiants, et une facture que je cherche depuis deux mois.

Et, Vassilissa, rose ?
D.le meilleur pour vous.

rose dit: 30 octobre 2025 à 8h51

Ozon,
Je l’ai vu il y a deux jours, il est très beau.
Pourtant…
Le premier L’Étranger filmique, c’était un pensum de première catégorie. Comme les films de Marguerite Duras, cinéaste.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 8h59

@ 4.55, merci pour avoir résumé les biscuits que l’on vous a donnés. Vous aurez au moins trois ans pour les recycler chaque jour, à défaut d’inspiration dans vos tartines de vaseline pianistique. Et entretenir mon incontournable réputation erdélienne pendant qu’on parlera d’autre chose. Le crin-crin de George Sand était devenu un brin usagé. Il regardait Abel, du fond de son hulk de basse t°

@ 0.30 (et @u robot de la RDL) : pourriez-vous annuler (à défaut de censurer) le charmant message de notre ami D., un poil trop long à lire dans son intégralité, lcé. Il donne mal aux doigts pour le défilé de la roulette russe. Merci.

Patrice Charoulet dit: 30 octobre 2025 à 9h01

Langue française

Ce jeudi matin, sur LCI , un des invités est Christophe Barbier , qui a ses mérites. Le sujet est le vol du Louvre. En bas de l’écran, on peut lire « Cinq personnes interpellées ». Chistophe Barbier, après une prépa littéraire, avait été élève de Normale Sup. C’est plutôt bon signe . Il est instruit, cultivé et parle avec aisance sur tous sujets. Il veut faire l’intéressant en disant « Vous mettez deux l à « interpellées  ? Moi, j’en aurais mis un ». L’animatrice opine du chef.
Christophe Barbier aurait mieux fait de se taire.Le verbe « interpeller » s’écrit avec deux l partout, à la différence du verbe « appeler ». On écrit « Nous interpellons », « Il a interpellé » . On a eu raison d’écrire « Cinq personnes interpellées ».

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 9h07

@ jzmn, Ce comédien a un beau visage sur l’affiche. Je n’avais jamais imaginé que Meursault pût lui ressembler. En revanche, Laurent L. dans le rôle de J_M Bernier, et Isabelle H. dans celui de Liliane, sont bluffants de vérité.
Des moments de cinéma agréables qui prennent pas trop la tête et nous reposent de la c… ambiante. Point trop n’en faut cependant.
… Des développements ultérieurs au GODF
https://450.fm/2025/06/11/17-06-25-a-9h-alain-bauer-face-a-la-justice-maconnique-du-godf/
—
Non, r^z, n’allez pas vous suicider, par pitié ! Restez avec nous. Nous vous aimons.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 9h11

Où allons nous, si nous ne pouvons plus compter sur christophe barbier ?… Heureusement qu’on a icite la sapience des (dés)agrégé des lettres classiques et modernes pour redresser le mâchefer des journalistes post modernes, à la traîne des dictionnaires de l’IA.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 9h16

@ Deviens ce que tu es, disait je ne sais plus quel cabotin (JL ?) -> : le Zara tout ça de Nitch, je crois.
Et moij, lui disaisj : « deviens ce que tu hais, mon bon » !… Il s’en sentit directement visé.

B dit: 30 octobre 2025 à 9h29

Quand Ozon ose ! Avec mon inquiétude écologique j’aurais mis : quand Ozone!

Bonjour à Pablo qui boude depuis longtemps, Pablo, revenez pour la beauté du catch, n’attendez pas la fin de la guerre en Ukraine, Poutine prépare toutes ses propulsions nucléaires d’une façon que l’on espère dissuasive, qu’aurait -il à gagner en irradiant toute la zone, hein? Vu que des chiens à pelage bleutés avaient été observés dans la zone d’exclusion de Tchernobyl, serait-ce un message du genre les étoiles de David, les têtes de cochons et dans ce cas que signifierait la teinture bleue de ces chiens? Certes après la cata, les lapins avaient trois yeux, les légumes prenaient un volume étonnant, les enfants à naître sont venus au monde avec des malformations diverses mais des chiens bleus personne n’avait encore relaté ces faits.

https://www.parismatch.com/Actu/International/Tchernobyl-enfants-maladie-malformation-1735655

B dit: 30 octobre 2025 à 9h37

L’œil de Gigi était dans le bouillon et regardait Chaloux.

Décidément, être mauvais est un de vos passe-temps. Quel confort que vous cultivez d’autres passions que celle de la méchanceté, vous avez déclarez il y a peu que vous vous étonnez de l’être autant et cela semblait vous procurer beaucoup de plaisir ou d’amusement. Vous n’êtes pas du genre quand les gens ne vous plaisent pas à passer votre chemin, j’aurai été l’exception qui confirme la règle.

B dit: 30 octobre 2025 à 9h40

Cultiviez.

Ou en êtes vous avec le piano? Demi-queue, quart de queue, droit, à queue? Des progrès ?

B dit: 30 octobre 2025 à 9h43

Je me suis endormie l’autre soir en écoutant Cicollini , pas qu’il soit soporifique mais sa poésie m’a bercée.

B dit: 30 octobre 2025 à 9h50

Il me revient que Chien bleu est un livre destiné aux jeunes enfants, un livre sur la différence et l’amitié, édité par l’école des loisirs. C’est une des histoires que je lisais à mon enfant.

B dit: 30 octobre 2025 à 9h51

Dans l’attente de votre réponse, veuillez accepter l’expression de mes salutations respectueuses.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 9h59

assistance respiratoire, rôz ? Juste un appareil pour combattre les trop fréquentes apnées du sommeil dangereuses à la longue. C’est pénible au début, mais on s’y habitue… La qualité de votre sommeil est contrôlée à distance. Par la Sécu chaque mois et par le spécialiste une fois par an. De 51 épisodes apnéiques/nuit lors du premier diagnostic à la clinique du sommeil, on est passé à moins de 4.
Des chiens bleus ?

B dit: 30 octobre 2025 à 10h13

3J, c’est tout de même assez chiant, contraignant, et vous vous sentez plus reposée?

Oui pelage bleutés, j’ai cherché des images ou une vidéo pour les voir, dans succès.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 10h17

@ 10.30, Oui, nettement plus…. Je suis très obéissant par rapport aux conseils de la médecine. Et ça marche plutôt bien, car je ne sais pas m’auto-médiquer, à la différence de la plupart des gens.

Chaloux dit: 30 octobre 2025 à 10h50

C’est bien ce que je reproche à la Gigi, tout autant qu’à la cloportine et à la rosse, leur étalage obscène de vie privée.

D. dit: 30 octobre 2025 à 11h20

Il n’y aurait plus que 20000 pigeons à Paris et sans doute moins encore.
Soit 1000 par arrondissement, ce qui est très bas et altère considérablement les paysages traditionnels notamment ceux des places publiques et des jardins.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 11h29

La vôtre est tout aussi obscène depuis votre expédition au CDBF où vous auriez dû disparaitre plutôt que de supplier AP de vous en extraire en rampant devant lui avec les excuses les plus obscènes que l’on sait.
Par ailleurs, on vous l’a déjà dit, personne ne vous oblige à lire les gens que vous haïssez, ni à les harceler, ni surtout à alimenter vos pulsions maladives à leurs dépens. Sachez que vous n’empêcherez jamais les gens d’enjoliver leur vie publique/privée comme bon leur semble dans un but que vous ne comprenez pas. De même que personne ne vous interdira de vous mettre en scène dans vos goûts et dégoûts jaloux, y compris dans vos relations incestueuses avec d’autres pseudo mélomanes de votre acabit, ou dans les bouquins rares que vous achetez à bas prix, sans compter mesquines querelles avec MC qui en disent très long sur votre personnalité de raté intégral.
Et ce ne sont pas vos ponctuations puériles en hurkhurk (pour faire accroire que vous plaisantez) qui vous rendront plus sympathique pour autant. Vous resterez un internaute imbu, vulgaire, fielleux, malveillant et stupide comme un gosse caractériel mal élevé, comme l’a bien souligné votre nouvelle amie B (jusqu’à la prochaine vacherie… qui a déjà commencé), un gamin à baffer qui n’a pas encore grandi à 50 balais. Hélas. Next.

(nb / et ce faisant, j’alimentons les trolls, en toute connaissance de cause, cher JL…, car il le faut parfois)

renato dit: 30 octobre 2025 à 11h58

« Le temps passe. La mémoire s’estompe, la mémoire s’adapte, la mémoire se conforme à ce que nous croyons nous rappeler. »
Joan Didion

Sybil Pythie dit: 30 octobre 2025 à 12h05

On a oublié o combien violentes étaient les 60s aussi US. Assassinats en série , Jfk, Lee Oswald, Jack Ruby, Malcolm X, Martin Luther King, Robert Kennedy, Sam Cooke, la vraie fin de l’innocence supposée étant l’assassinat de Meredith Hunter pendant le concert des Stones à Altamont. Le meurtre barbare de Sahron Tate, celui des 4 étudiants de Kent State U en 70 venant parachever la fin d’une décennie qui aura été plus mythifiée que tout autre…

Jazzi dit: 30 octobre 2025 à 12h32

« Il n’y aurait plus que 20000 pigeons à Paris et sans doute moins encore.
Soit 1000 par arrondissement »

Tu ne peux pas calculer comme ça, D. !
Les arrondissements n’ont pas la même taille, le 1er est tout petit et le 20e très étendu…

puck dit: 30 octobre 2025 à 13h04

hier le procès sur le cyberharcèlement de Brigitte Macron, sur le tas les 2 qui ont pris les peines les plus lourdes (12 mois de prison) sont décrits par les médias comme « les 2 intellectuels de la bande ».

comme quoi vaut mieux pas trop être un intellectuel par les temps qui marc courent.

en fait le fond du problème à l’origine qui est le point de départ du début au commencement de cette histoire c’est la question de l’âge de Macron au début de leur relation.

parait que pendant le procès quand un des avocats évoquait le sujet piouf ! ils passaient vite à autre chose.

en fait là encore c’est pas pour parler de désinformation mais des bios publiés en France Manu il a 15 ensuite 16 ensuite 17 ans, par contre il y a un type qui a écrit une bio où il dit qu’il a 14 ans et là aucun éditeur français n’a voulu sortir son bouquin du coup il l’a publié en Suisse ou en Belgique ou je sais pas où peut-être même en Russie ?

je veux dire c’est là qu’on voit une évolution dans la liberté d’expression, à ce rythme on sait pas trop jusqu’où ça va aller.

puck dit: 30 octobre 2025 à 13h08

perso j’ai jamais aimé les trucs du genre les guignols de l’info ou les émissions d’ardisson avec baffi, mais au rythme où ça évolue je sens qu’on vite le regretter le temps des guignols.

rose dit: 30 octobre 2025 à 14h10

Encore une obsession.
Macron et son épouse se sont retrouvés lorsque lui avait dix huit ans.
Quels salamalecs fait-on lorsque l’écart d’âge est dans l’autre sens ?
Ces attaques permanentes contre Brigitte Macron, son genre et son âge sont tout simplement honteuses.

L’obscénité, je la place ailleurs.
À Gaza et au Darfour.
En live, toutes ces vies détruites c’est obscène.
Ici, sur ce blog, l’obscénité je la place chez certains hommes, les mêmes toujours, zéro millimètre d’amélioration de leurs comportements qui, sous, faite la liste, tabac, joints, alcool et cocaïne prennent certaines femmes de ce blog, et les clouent consciencieusement au pilori, telles les chouettes, antérieurement, à la porte des granges, par des paysans incultes, pour chasser le mauvais œil.
Publiquement.
Cela est obscène, à mes yeux.

Ce matin, j’ai retrouvé l’avis de décès d’un de mes potes de blog qui nous a quitté, l’an prochain, cela fera dix ans.
Il m’avait admise dans son cénacle et ne m’avait jamais injuriée.
Entre son accident, début août 2010, je traversais l’Amérique avec les enfants, durant deux mois, et son décès, il s’est passé six ans et cinq mois.
Durant cinq ans, je suis allée le voir dans son hôpital deux fois par an, l’été et à Noël.
Pas un seul des autres bloggeurs ne lui a rendu visite.
C’était à 800 km de chez moi, au pays froid et pluvieux.
Pas non plus la fille qui lui avait sauvé la vie, marseillaise comme moi, et qui huit jours durant avait alerté les pompiers pour qu’on aille chez lui. Lorsqu’ils ont pénétré par la fenêtre dans son appartement, il était dans le coma. Il a passé sa première année à l’hôpital.
Je crois, je l’imagine, qu’il s’est laissé mourir de faim.
Voilà.
On bloggue avec des êtres vivants, qui existent.

Des vies crevées.
Ce genre de saloperie : oui, le soir, je me couche souvent exténuée parce que j’ai travaillé toute la journée.
Et, je ne suis ni camée, ni alcoolique, ni avec des conduites addictives.
Je n’ai pas besoin des autres pour me nourrir, puisque je me nourris moi-même.

Hommage à toi, Dominique.
Tu m’avais demandé de rester. Impossible pour moi, sauf pour bourlinguer, ancrée, de quitter mes deux ports d’attache.

Maintenant, honnêtement, je m’en tape complet.
Continuez, cela vous salit et pas moi.

J J-J j’ai reposé le troisième Doliprane. C’était de l’ironie cynique, l’aviez-vous compris ?

Nota bene : chacun s’invente ce qu’il veut ; la seule chose qui compte est ce que l’on fait.

PS : questionnez-vous, puisque vous m’injuriez, sur pourquoi ce que j’ai écrit vous concernant vous touche autant. Cela va vous apprendre quelque chose sur vous.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 14h40

@ chacun s’invente ce qu’il veut ; la seule chose qui compte est ce que l’on fait
—-
Exactement. Mais ce qu’on fait, on le tait, généralement, quand on n’est pas un gros vantard, ou pire un mythomane de première catégorie.
On le fait bien, ou du mieux qu’on le peut, et on laisse dire.
Tout internaute qui ne fout rien pour aider les autres s’invente leur vie calamiteuse pour n’avoir pas à regarder la sienne. Grand classique.

Jean Langoncet dit: 30 octobre 2025 à 15h18

@Je n’ai pas besoin des autres pour me nourrir, puisque je me nourris moi-même

Deviens ce que tu as

puck dit: 30 octobre 2025 à 15h44

@ »Encore une obsession.
Macron et son épouse se sont retrouvés lorsque lui avait dix huit ans.
Quels salamalecs fait-on lorsque l’écart d’âge est dans l’autre sens ?
Ces attaques permanentes contre Brigitte Macron, son genre et son âge sont tout simplement honteuses. »

là pour le coup ce n’est pas une obsession.
autant dans ce sens que dans l’autre, d’ailleurs il faut bien voir qu’on fait tout ce foin pour Matzneff aujourd’hui alors que cela faisait bidonner Pivot il y a qq années.

la morale c’est comme le bitcoin ce n’est pas une valeur stable dans le temps : ça évolue en fonction des époques : ce qui fait bidonner un critique à un temps T le scandalise au temps T + x.

non le problème c’est la question de la liberté d’expression, là vous dites c’est honteux, mais la honte doit-elle avoir une influence sur la liberté de parole ?

du temps des guignols ils foutaient aussi la honte.

en plus il y a un autre point important c’est la façon dont la justice et la politique instrumentalisent l’émotionnel.

exemple 1 : dans ce procès on a fait intervenir la fille de Brigitte pour lire un texte que les avocats de sa mère lui avait refilé pour qu’elle le lise (c’était visible parce que l’avocat lui tendait son téléphone où était écrit ce qu’elle devait lire).
ce texte disait que cette histoire avait rendu sa mère malade.
là encore est-ce que type d’argument doit jouer dans un tribunal ?

exemple 2 : dans le procès de Sarkozy on a fait venir les victimes et les proches des victimes du Bataclan : ces gens n’avaient à faire dans ce procès, Sarko n’était pas président à l’époque il n’est lié en rien avec le Bataclan.
sauf qu’on la fait pour jouer sur le côté émotionnel : qu’importe si Sarko était lié ou non au Bataclan la présence de ces victimes ça l’a démoli et peut-être même que c’est à cause de leur présence qu’il a été condamné.

vous voyez ces histoires c’est pas évident et on aura vite fait de faire taire les gens en invoquant des prétextes à la con.

d’autant que Macron porte aussi une responsabilité sur la mort de centaines de milliers d’ukrainiens parce qu’il interdit toutes discussion avec les russes.

maintenant, comme il ne reste plus personne dans l’armée ukrainienne les européens ont demandé aux ukrainiens de mobiliser les jeunes de moins de 24 ans, ce qu’ils avaient toujours refuser de faire, du coup tous ces soit ils arrivent à se barrer à l’étrzanger soirt on les envoie sur le front avec une durée de vie de 3 jours.

du coup les états d’âme mal placés faurt vachement y faire gaffe !

Clopine dit: 30 octobre 2025 à 16h10

Petit indice visant à assouvir l’autosatisfaction d’un Charoulet, qui ne comprendra jamais (s’il existe vraiment, j’en suis encore a m’demander, après tant et tant d’années, à quoi ça sert de vivre et tout, à quoi ça sert en bref d’êt’né) : un, il a raison sur l’interpellation. Voilà, il est content. Deux, on s’en fout complètement. Trois, allons dans les bois, tout le monde s’en fout de Charoulet, parfois un abruti réactionnaire lui passe la main sur le dos, personne ne se rend compte que c’est un spectre, un ancien prof de la quatrième république,.on se croirait dans les Diaboliques de Clouzot, la médiocrité des professeurs attachés à leur orthographe comme des moules au bouchot, ou comme dans « les choristes », le prof avec pustules au menton…

Jean Langoncet dit: 30 octobre 2025 à 16h50

Capté en passant

« Que Jordan Bardella ose citer Marc Bloch est un outrage à toutes les victimes de la France collaboratrice des nazis »

Dans une tribune au « Monde », les historiennes Joëlle Alazard et Annette Becker reviennent sur l’héritage du médiéviste et résistant Marc Bloch. Elles s’insurgent de « l’instrumentalisation des grandes figures humanistes par l’extrême droite ».

https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/10/29/que-jordan-bardella-ose-citer-marc-bloch-est-un-outrage-a-toutes-les-victimes-de-la-france-collaboratrice-des-nazis_6650212_3232.html

Jean Langoncet dit: 30 octobre 2025 à 16h58

Salut salut les godillots complices de crimes de guerre et de crime contre l’humanité ; il ne vous restera plus qu’à changer le sens des mots durant le siècle qui vient, l’entreprise est déjà en route

rose dit: 30 octobre 2025 à 17h04

maintenant, comme il ne reste plus personne dans l’armée ukrainienne les européens ont demandé aux ukrainiens de mobiliser les jeunes de moins de 24 ans, ce qu’ils avaient toujours refuser de faire, du coup tous ces soit ils arrivent à se barrer à l’étrzanger soit on les envoie sur le front avec une durée de vie de 3 jours.

du coup les états d’âme mal placés faut vachement y faire gaffe

Je suis d’accord. Belle argumentation dans sa totalité.
Sur un point, je croyais que les victimes « sous » sarko.c’etait un avion de ligne abattu qq part ?

B dit: 30 octobre 2025 à 18h33

D’autant que Macron porte aussi une responsabilité sur la mort de centaines de milliers d’ukrainiens parce qu’il interdit toutes les discussions avec les Russes.

Comme si ce que pense EM ou ce qu’il dit avait une influence de poids dans ce qui se joue dans ce conflit, Poutine mène en bateau Trump , alors EM , franchement, meme s’il arrive à VP de l’évoquer en Napoleon et de faire allusion à la Bérézina il n’en a strictement rien à foutre. Poutine arme la Russie à ne plus savoir où stocker ses engins de mort et reproche aux Européens leur volonté de muscler leur défense! Bien que cette industrie de l’armement boostée à la crainte profitera aux économies européennes pourvoyeuses d’armements , récession, infléchissement du taux de croissance, les grands industriels et les gouvernements y voient sûrement l’occasion d’engranger des profits.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 18h36

Petit rappel du texte de l’accord franco-algérien de 1968 par le GISTI, un texte qui devrait toujours rester d’actualité, vu la chance que nous devons encore aux travailleurs algériens et à leur descendance pour la reconstruction de notre pays.
Il semblerait que le fascisme aux quasi manettes parlementaires ait réussi à le faire capoter. Nous y voilà, Maréchal…
https://www.gisti.org/IMG/pdf/accord_franco-algerien.pdf

B dit: 30 octobre 2025 à 18h47

3J, ceux qui ont construit les villes nouvelles, les autoroutes, les Zup, ont tout de même eu plus de 50 ans pour s’installer et faire venir leurs proches. Il y a dans les accords de 68 des choses qui peut être ne sont plus d’actualité.

Jazzi dit: 30 octobre 2025 à 19h02

Moi j’aime bien les rappels à l’ordre orthographique de Patrice Charoulet.
Ne fait-il pas conscienceusement son boulot de prof de français ?
A l’opposé de ces profs sympas dont le laxisme masque leur médiocrité.

Maurice revient... dit: 30 octobre 2025 à 19h09

Si les algériens avaient ne serait-ce qu’une once de dignité, ils retourneraient vivre dans leur vaste pays de merde.
L’Algérie est une blague tragique qui a assez duré.
Comme la Libye, la Syrie, l’Irak, le Soudan, la Somalie et autre Yémen, elle est vouée à la disparition et ses peuplades à s’entretuer entre elles.

Chaloux dit: 30 octobre 2025 à 19h11

La république de tes lobes avachis? Non. La république de la trahison publique de tes amis? Non. La république de ton assistance respiratoire? Non. La république de ta vieille correctrice qui s’est enfin barrée? Non.

Ce que je voulais dire ce matin, c’est que pour se faire larguer à 72 ans, il ne suffit pas d’être l’emmerdeur courant. Il faut vraiment avoir fait vivre à sa compagne des choses insupportables, être un indécrottable pervers.
Évidemment, les trois vieilles tricoteuses ne voient pas le problème.

Quant à la cloportine, tout le monde se fout des insultes de cette minable. Charoulet est bien plus amusant et interessant qu’elle.

Le reste à demain.

Jean Langoncet dit: 30 octobre 2025 à 19h24

@B dit: 30 octobre 2025 à 9h51
Dans l’attente de votre réponse, veuillez accepter l’expression de mes salutations respectueuses.

Dans l’attente de votre retour, c’eût été la marque d’une quête quasi messianique

Chaloux dit: 30 octobre 2025 à 19h33

Quant à l’épisode du Bouchon, j’ai découvert avec joie que je partageais exactement l’avis d’Onfray. Je suis donc en excellente compagnie.

B dit: 30 octobre 2025 à 19h55

Ce que je voulais dire ce matin,

Mais comment avez-vous accès à la vie privée de 3J? Aucun journal ne titre, aucune radio ne commente. Les séparations sont fréquentes, pas de quoi se moquer ou imaginez les motifs d’une rupture.

Chaloux dit: 30 octobre 2025 à 20h00

Mais B, ma pauvre vieille, il vous peut-être quelques semaines, quelques mois, pour apprendre à lire! Profitez-en et lâchez-moi un peu la grappe.

B dit: 30 octobre 2025 à 20h02

D’ailleurs s’il fallait lister ces motifs

Ennui, relation conflictuelle, insatisfaction sexuelle, rencontre d’un autre amour, liaison fatale, infidélité non acceptée, désaccord politique, intellectuel, inappétence chronique de l’un pour l’autre, tentative d’homicide, viol conjugal, violence, connerie, egoisme, individualisme exacerbé, relation de domination devenue intolérable, progression de deux individualites dans des sens opposés, incompatibilité d’humeur etc etc ( insuffisance respiratoire)

B dit: 30 octobre 2025 à 20h03

Chaoux, je ne suis pas cancéreuse en stade terminal! Pardonnez-moi mais j’ai dû laisser passer cette nouvelle capitale.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 20h07

Mais, B., c’est surtout que ce troll se fait un film invraisemblable depuis des plombes sur mon compte, dans sa salle de projection privée. Pourquoi aller sur le terrain de ce bouchon vérolé, voyons, vouloir lui faire entendre raison en vous plaçant dans les fantasmes de son propre film ? Votre attitude est bizarre, non ?

B dit: 30 octobre 2025 à 20h07

lâchez-moi un peu la grappe.

et puis ça! Je n’essaierais même pas de la saisir. Offrez votre grappe à qui vous voulez, je n’y tiens pas.

B dit: 30 octobre 2025 à 20h13

D j’ai bien peur de ne pas vous arriver à la cheville intellectuelle, alors plaisantons!

B dit: 30 octobre 2025 à 20h20

Cet après-midi sur la route, j’ai croisé un mec en décapotable décapotée qui ressemblait à Gérard Darmon, je n’ai pas pu relever la plaque d’immatriculation. C’est peut-etre lui le 4eme qu’on ne retrouve pas, le 4eme du gang du Louvre qui se carapaterait via les départementales de France et de Navarre. Voilà ma préoccupation principale, retrouver les bijoux de la couronne!

D. dit: 30 octobre 2025 à 20h28

Quel boulet, cette Clopine, quand on y pense. Elle ne fait pas honneur à la Normandie. Ah non non non…

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 20h40

@ j’ai découvert avec joie que je partageais exactement l’avis d’Onfray (sic).

-… OUI à la République du partage du lit d’Onfray
(et d’aveux qui font sans doute partie de sa vie politique publique) – Bah… Surtout, ne jamais rester seul et sans compagnon de route pour s’exhausser d’une sinistre et injuste mise en CDBF de la RDL,
-… NON à la République des livres du non écrivain Laurent Mauvignier [genre -> aucun pur sang ne perdrait de temps à lire ce machin (sic) -> quant à s’engueuler pour un tel navet (sic) -> Quand Laurent Mauvignier est apparu sur ce qu’il fallait bien appeler de la littérature pour trentenaire à b. molle (sic) -> LM a une tête de moine défroqué qui vend des crevettes minutes chez Emmaüs (sic)],
– … VOUI à la République de Gobineau et des cancéreux du stade hurk-prénatal : laissez vivre leurs œuvres puissantes & ultra-modernes !
____
Couché, à la nicht – Next.

Vedo dit: 30 octobre 2025 à 20h41

L’agrégation ne signifie plus grand chose. Le métier d’enseignant du secondaire n’est plus assez intéressant. Les Ulms en math ne s’y présentent plus. On n’est plus à l’époque des Lebesgue, Bergson, Sartre ou Canguilhelm passant quelques années dans un lycée de province. A propos de Canguilhelm, pour se remonter le moral voir la fiche Wikipedia. Quel homme, quelle vie. Et a propos, sa démission du lycée Fermat en 40, « je n’ai pas passé l’agrégation de philosophie pour enseigner Travail, Famille, Patrie ».

Chaloux dit: 30 octobre 2025 à 20h49

Maintenant, inéluctablement, nous allons assister à la rapide dégringolade de la Gigi dans le néant. La vieille correctrice barrée, il n’aura plus de garde-folle.

renato dit: 30 octobre 2025 à 20h51

À l’exception de quelques leçons de contrepoint, Arnold Schönberg fut un autodidacte, pourtant il devint un pédagogue mondialement reconnu. Il enseigna à l’Académie des arts de Berlin et à l’University of California de Los Angeles. On lui doit des œuvres qui sont encore utilisé : Traité d’harmonie ; Fonctions structurelles de l’harmonie ; Exercices préliminaires de contrepoint ; Fondements de la composition musicale ; Modèles pour les débutants en composition. Je ne mentionnerai pas ses élèves, car je ne veux pas froisser PC avec une liste, mais je ne peux m’empêcher de mentionner Otto Klemperer.

Eh, merdre ! pas de diplôme ! sans doute un loser !

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 20h58

(20.41) Canguilhem, plutôt, non ?
N’empêche qu’il a aussi bien mis les pieds de Foucault et de Bourdieu à l’étrier… Fallait pouvoir disposer d’une sacrée force de tempérament pour secréter, à partir de ses dispositions et espace-carrefour, le mariage de la philo et de la socio et d’en rendre possible la coexistence institutionnelle française au plus haut niveau. Ce qui ne s’était jamais produit avant lui, tant les deux disciplines étaient historiquement cloisonnées, et la deuxième longtemps méprisée par la première, dont était issue une grande majorité de Normaliens.

Maurice revient... dit: 30 octobre 2025 à 21h08

Bérénice,
Laisse tranquille notre cher aristocrate Chaloux et occupe-toi de la roturière Gigi.
Entre gueux, vous allez bien vous entendre… comme deux rats dans le même trou !

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 21h15

@ Gérard Darmon, je n’ai pas pu relever la plaque d’immatriculation.
C’était la voiture du caporal Gérald Darmonian allant stationner vers la Santé pour trinquer avec un prisonnier, inconnu dans sa tombe.

J J-J dit: 30 octobre 2025 à 21h18

Momo, sa vieille nourrice morvandielle, prend le relai quand la trolle est sevrée et à sec.

B dit: 30 octobre 2025 à 21h23

comme deux rats dans le même trou !

Je suis une ratte, vous savez que les rattes sont des cimetières, à globules morts.

renato dit: 30 octobre 2025 à 21h37

L’image traditionnelle serait celle de « deux souris dans un bol de lait » — l’effort (épuisante) d’employer le dos de l’autre pour s’en sortir.

D. dit: 30 octobre 2025 à 21h50

Pourquoi pas. J’utiluse surtout le romarin pour chasser les mauvais esprits. J’en avais un dans le faux plafond de la buanderie, j’y au mis un brin de romarin, eh ben ça a été radical. Le problème c’est qu’on peut pas le faire sur ce blog. Hein.

MC dit: 30 octobre 2025 à 22h05

« Oui à la République de Gobineau ». Difficile. Il me semble que cet essai politique est paru sous le Second Empire, JJJ…

Vedo dit: 30 octobre 2025 à 22h28

JJ-J, merci pour la rectification sur Canguilhem. (J’en suis confus). Il y a quelques pages amusantes sur lui dans l’autobiographie de Tubeuf (un livre qu’on regrette pas d’voir lu).

D. dit: 30 octobre 2025 à 22h34

La nuit prochaine, tout enfant conçu sera damné dans l’éternité.
Il est toujours utile de le rappeler.

JC..... dit: 31 octobre 2025 à 5h34

ALGERIE-FRANCE

Les liens qui lient ces deux peuplades étrangères sont-ils ceux d’une affection irréaliste, simulée, dévoyée faute de foi de part et d’autre, ou bien d’un mépris historique qui perdure et vide de sens tout accord ancien, moisi, ne correspondant plus au monde actuel ?

Soyons trumpiste sur ce sujet rassis ! Retournons au réel, cornecul ! Et vite….

lulu dit: 31 octobre 2025 à 7h57

@ Jazzi . Vous n’êtes pas seul . Jean-Philippe Balasse a évoqué cette affaire dans sa revue de presse de France-Inter de ce vendredi 31 octobre.

lulu dit: 31 octobre 2025 à 8h13

@ Vedo . Merci pour cette évocation de Georges Canguilhem et la référence à la notice de Wikipédia. Quand j’étais en Terminale , notre professeur de philosophie nous avait conseillé la lecture de  » Le normal et le pathologique » .

Chaloux dit: 31 octobre 2025 à 8h21

« Inceste », homosexualité, il est temps de te libérer, Gigi…

Hurkhurkhurk !

J J-J dit: 31 octobre 2025 à 8h29

Reconnaissons qu’il est bien difficile de résister aux insultes par le mépris du silence. Bonne journée, Vedo, MC, jzmn et à la dame punie à cause de son chat. Le mien a mis l’empreinte de ses pattes sur le béton frais. Je ne l’ai pas puni, rptv. Bàv,

Chaloux dit: 31 octobre 2025 à 8h40

Gigi, maintenant qu’il y a une place dans ton lit, que ta vieille correctrice a foutu le camp chez une copine, il serait peut-être temps pour toi d’expérimenter tes obsessions… à 73 ans. Avec ta maman (tu sembles obsédé par l’inceste), il est sans doute trop tard, mais pour le c’est tout un monde qui peut s’ouvrir à toi, ou toi s’ouvrir à lui. N’oublie pas de tout nous raconter, comme tu le fais pour tout le reste !

Hurkhurkhurk !

(Hurkhurkhurk ! ne marque que je plaisante, contrairement à ce que tu crois).
L
Si tu as besoin d’accessoires, demande à Langoncet.

Patrice Charoulet dit: 31 octobre 2025 à 8h57

Appel à tous

Qui aurait la gentillesse de bien vouloir me dire qui est désigné oar « Gigi » ?

J J-J dit: 31 octobre 2025 à 8h58

Désormais je pense que Jack Kerouac, durant la longue période de ses 20 à 40 ans, constamment sous l’emprise de l’alcool et des drogues, développa une conscience suraiguë des moindres souvenirs affectifs de sa vie de vagabond, rêveur, queutard et mélancolique qu’il notait soigneusement au fur et à mesure sans jamais faire aucun tri entre eux. Tout était bon à prendre et à dépeindre dans un feu d’artifices de notations sensorielles et mentales des assuts d’une conscience du monde toujours aux aguets de la curiosité. Je crois que ses parenthèses d’abstinence lui étaient nécessaires et obstinément recherchées pour se les écrire d’un autre point de vue (la conscience de mettre le bric en broc), en tapant comme un sourd sur sa Remington emmenée partout, tel un forçat de la mémoire hypermnésique. Ces parenthèses de calme, chez sa mère, le plus souvent, lui permirent de revivre tous les fragments de sa vie échevelée faite des souvenirs d’amitiés, de galères, de voyages, de baises et d’insondables tristesses, des souvenirs lointains ou immédiats, de les homogénéiser en thématiques unifiées pour publications, car le besoin de fric aussitôt redépensé en nouvelles boissons et autres cames constituait sa condition de survie d’écrivian conscient peut-être à son époque d’avoir été reconnu. Quand Kerouac se calma après la quarantaine, sa fureur de vivre se transforma en fureur d’écrire le temps PERDU de sa vie comme celle de ses nombreux copains et copines, il RETROUVA le temps de la Vanité de Duoloz, rendant ainsi hommage à Proust dont il avait voulu égaler l’entreprise délirante, dans l’exact milieu et l’époque qui furent les siens.

Chantal dit: 31 octobre 2025 à 9h06

Vous l’avez sous votre nez Monsieur Charoulet Gigi = J J-J

je n’ai pas de chat car je n’ai pas le sens de la possession d’un animal, je les aimes libres ! il y a bien le chat de la voisine d’en bas qui lèche les pédales de mon vélo électrique et miaule derrière ma porte quand je cuis du poisson mais je n’aurais pas l’idée de déclencher une procédure à son encontre. par contre mon voisin a trois chiens un berger et deux chiens de luxe qui aboient parfois longuement quand le cabot du voisin d’en face passe sur le trottoir, cela n’est pas très agréable je mets des kiès. au début je ne comprenais pas leurs furies aboyeuses et cela m’affectais, j’avais envie de déménager mais quand j’ai compris que l’instinct animal se manifestait sans filtre et n’était pas contrôlable, j’ai laissé tomber. j’ai toujours préféré regarder les écureuils en forêt, ils ne sont pas domesticables mais ils me font rire et leur agilité est fascinante. Mon fils a une chienne qu’il élève consciencieusement une belle Golden Retriver qui adore s’élancer en forêt et plonger dans l’eau quand on trouve un chouette endroit, il m’arrive de la garder mais pas chez moi car ce n’est pas approprié avec mon voisinage réactif et la déco de mon intérieur fragile, elle est très câline et arsouille et n’aime pas trop être lavée dans un bain, c’est toutefois nécessaire parfois car sinon çà sent la vase.

J J-J dit: 31 octobre 2025 à 9h07

@ Il y a quelques pages amusantes sur lui dans l’autobiographie de Tubeuf (un livre qu’on regrette pas d’voir lu) (22.28)
____
Et surtout, aussi, un passage très stimulant de son empreinte sur Foucault et Bourdieu dans la belle biographie récente de Bourdieu par Victor Collard (Genèse d’un sociologue, CNRS éd, 2024). Bàv,

J J-J dit: 31 octobre 2025 à 9h16

@ racontpatavi,

A la différence de Paul Edel, j’adore les internautes qui osent raconter des petits fragments de leur vie, en rebondissant comme Chantal, par exemple. Elles font preuve d’une générosité gratuite sans croire devoir se « la péter »… Nous savons bien qu’elles sont capables d’autre chose, et que leur vie n’est évidemment pas là. C’est leur manière de dire bonjour au monde, en toute simplicité, comme des passantes du sans souci.
Mes hommages.

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