Le lecteur numérique serait-il profondément superficiel ?
C’est déjà une scie de tous les débats, tous les colloques, toutes les enquêtes, et Dieu sait qu’il y en a, sur les nouveaux usages de la lecture. Mais c’est en passe devenir un axiome en attente d’un Fl@ubert qui lui règlerait son compte dans un Dictionnaire des idées reçues en ligne : « Lecteur numérique : profondément superficiel ». En attendant ce point de non-retour, les recherches dans différentes disciplines (histoire, littérature, psychologie, informatique…) se multiplient pour prouver que, du moins dans les populations lycéennes et étudiantes (entendez : les générations montantes, celles qui seront demain aux manettes et nous gouverneront), lorsqu’on les compare, la lecture en ligne y est plus superficielle, quand la lecture sur papier y est, elle, plus profonde. Comme si c’était consubstantiel au support. On en a encore récemment lu une démonstration assez exemplaire dans son genre.
Prenez une étude effectuée par un chercheur sur l’évolution des comportements de lecture depuis dix ans. Le « nouveau lecteur » y apparaît de toute évidence moins concentré et moins profond que l’ancien, peu porté à une lecture en continu. Prenez une autre étude focalisée sur les processus cognitifs à l’œuvre lorsque le lecteur jongle avec les hypertextes et vous verrez que, sur ce plan-là, les cerveaux lents sont désavantagés par rapport aux cerveaux rapides (qui l’eût cru ?) et tout reste encore à faire.
Prenez une étude qui fait la peau à la légende selon laquelle la lecture sur écran prend plus de temps car la compréhension y est plus lente. Puis complétez-la par une autre prouvant que, contrairement à une idée reçue, on n’observe pas de différence dans l’ordre de la difficulté pour l’editing d’un texte sur papier et dans celui d’un texte numérisé.
Prenez une étude effectuée avec force tests sur un panel d’étudiants sud-coréens, donc une population hautement connectée (quand je pense qu’ils m’ont invité il y a sept ou huit ans déjà à parler en français à Séoul de « La République des livres » dans un amphithéâtre bondé ! ). Il en ressort que leur fatigue oculaire après des heures passées face à l’écran atténuait leur capacité d’attention au texte et, partant, l’acuité de leur perception. Pour autant, sans plébisciter le papier, ils appellent de leurs vœux un perfectionnement de l’outil technologique en matière d’éclairage.
Prenez simplement le programme d’un colloque international de spécialistes de la chose et vous serez tout épastrouillé par les thèmes, pistes, directions de leurs travaux et tout ce qui les empêche de dormir.
Touillez, demandez-vous si vous avez lu, compris, ingurgité et ruminé toutes ces informations en surface ou en en creusant bien les multiples couches de sens malgré l’écueil de l’écran, et vous avez une bonne synthèse du New Yorker, assez optimiste au fond sur les capacités d’adaptation du nouveau lecteur. Je l’ai lue sur mon ordinateur, celui-là même où j’ai stocké nombre de romans de la rentrée grâce à l’obligeance des éditeurs qui m’en ont communiqué le pdf. Ce qui est tout de même plus pratique que des voyager avec des sacs de 20 kgs de livres, permet de souligner, de surligner, d’entourer au lasso, de prendre des notes, de rechercher des occurrences de termes et de retrouver un passage aisément, tout en écrivant des commentaires à venir pour des billets destinés à un certain site littéraire. Je le fais aussi et surtout pour un jury littéraire auquel je m’honore d’appartenir ; mais ne le répétez pas ici ou là, d’aucuns pourraient soudainement en déduire que ma lecture en a été, comment dire, superficielle… Risqué, n’est-il pas ? Et qui sait si un jour un auteur ne me reprochera pas de l’avoir mal compris et mal apprécié pour avoir lu son livre sur écran…
(Illustrations Jonathan Rosen et David Plunkert)
1 414 Réponses pour Le lecteur numérique serait-il profondément superficiel ?
Il dit de même que le théâtre est une institution morte. Le dernier grand dramaturge qui a enterré le théâtre (Oh, les beaux jours !), c’est Beckett. (Widergänger)
!!!!!! Gratiné, décidément, le Maingueneau ! Koltès, Novarina, Lagarce, Mouawad, Pommerat, et j’en passe, inconnus au bataillon. Dérisoire et consternant d’ignorance et de bêtise.
Arrêtez de me faire rire ! J’en peux plus.
il suffira des yeux d’un seul lecteur posthume pour allumer, comme le lumignon des vers luisants (qui, pendant ce temps-là, pourront se nourrir de nos pauvres dépouilles
Alors là c’est plus de la mégalo, je sais pas, faudrait trouver un titre oxymorique…
faudra d’abord cloner les commentateurs de la rdl
C’est déjà beaucoup trop fait, la mort a du boulot…
Je ne connais pas par exemple de lecture plus profonde que celle que fait Pierre Brunel du poème en prose de Baudelaire « Le Désir de peindre » dans l’un de ses ouvrages sur Baudelaire. Il y a tout. La sensibilité, l’intuition, l’empathie avec le monde de Baudelaire, la science des textes, la précision des analyses, la complexité du commentaire qui se lit néanmoins avec une aisance étonnante dans un français courant très littéraire. Pour moi, c’est l’idéal. On ne trouvera jamais ça en lisant un article de journaliste, qui n’est pas du tout fait pour ça. C'(est tout ce que je veux dire. Aucun mépris de ma part pour les journalistes. Ce que je méprise en revanche, c’est que les journalistes usurpent une place qui ne leur revient nullement ! Ça oui ! Mille fois oui !
Bouguereau à 19h09, il paraît encore plus bourré quand il se la joue sobre. Quel sommet !
« Citez-moi un seul journaliste, Passou, qui ait compris le sens des description dans La Jalousie ! »
Bien vu Widergänger! Si aucun journaliste littéraire n’a compris le sens des descriptions dans La Jalousie, il est probable qu’aucun lecteur non universitaire ne l’a compris non plus. Autrement dit, il s’agit d’un livre pour universitaires seulement, c’est-à-dire sans le moindre intérêt.
Il faudrait que tu arrives à comprendre, mon cher WG, que l’on n’en a rien à foutre de ton étalage de savoir universitaire que tu qualifies de « scientifique » alors qu’il n’a strictement rien de tel! N’oublie pas Bricmont et Sokal!
Sainte Touche-Moi
« Je n’ai d’ailleurs pas un culte de la critique universitaire contrairement à ce que vous pourriez croire. Je dis simplement qu’elle est forcément intelligente et profonde, qu’elle est une caution scientifique à la lecture. »
Ce qui s’appelle dire une chose et son contraire dans le même paragraphe!
Faites le taire!
Pierre Brunel est un esprit exceptionnel, sauf, Alba, qu’il ne s’exprime jamais dans le jargon que tu cites à longueur de post.
une caution scientifique à la lecture. (Widergänger)
Ceux qui ont besoin d’une caution scientifique pour lire, levez le doigt !
ML, il faudrait que reveniez de ce côté-ci des Pyrénées. Il y a déjà un toquard qui y est resté coincé, et de la plus vilaine manière ( « viva la muerte », quel imbécile ce pablo)
le critique- journaliste- biographe-romancier-blogger- a eu un mot fameux à propos de la critique universitaire: » « la légèreté(…) Sinon on finit, à la manière des érudits absolus, rongé par ce pur cancer que William Blake nommait la » sainteté du très infime détail » »
Sinon, ma copine Liliane, celle en audi C, qu’a pas tenté l’agrégation comme vous, elle a bien compris – et pour cause- cette ère du soupçon . Toutes choses par ailleurs qui échappent à votre lourdeur mécanique.
Je dis simplement qu’elle est forcément intelligente et profonde (Widergänger)
En tout cas, une telle affirmation est hallucinante de connerie .
Chaloux Redivivus dit: 20 juillet 2014 à 19 h 46 min
Alba, tais-toi.
_
autrement dit, ta gueule keupu
André du Bouchet est sans doute le dernier poète (Widergänger)
Selon Maingueneau, Beckett a été le dernier dramaturge. Philip Roth aura sans doute été le dernier romancier. Assouline sera certainement le dernier critique. Certes, il nous restera toujours la critique universitaire pour gloser savamment sur la fin de la littérature, mais je ne suis pas sûr que les dégueulis de tous ce baveux nous consolent d’ne pareille cagade. Widergänger me fait décidément penser à ce prophète barbu qui, dans je ne sais plus quel album de Tintin, annonce « la fin du mô-onde ! ».
« j’en ressors plus intelligent pour pouvoir goûter Rousseau et le comprendre plus en profondeur. »
Ah, il vous faut un filtre. Pauvre âne voltairien, va. Pour comprendre Rousseau, faudrait déjà que vous ayez eu une vie à vous.
Pour comprendre Rousseau, faudrait déjà que vous ayez eu une vie à vous.
Quel drôle de propos. Nous avons tous une vie à soi. Et alors?
Le philtre est souvent une aide précieuse à se prémunir d’ une autosatisfaction certaine.
Pour comprendre Rousseau,
Me faudrait-il une Audi C?
Laissez les dire, ils ont pour profession d’être bêtes ! Regardez plutôt Basic instinct !
Mot utilisé par Bouguereau et son ancien copain WG:
Profond, profonde
Oui, oui, je sais, pas au même endroit, mais, de quel endroit Widergähner fait-il référence ?
Pour des analyses profondes, Widerwasimmer, me semble très à fleur de peau
Le dernier, le dernier, le dernier, de quoi Widerschwarzmaler est-il le dernier ?
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
Voici les preuves incontestables que les photos soit disant prises sur la Lune lors des missions Apollo ont bel et bien été faites en studio.
Non pas que le LEM n’ait jamais atterri. Je pense qu’il a effectivement atterri. Mais « quelque chose » n’a pas permis que les photographies réelles soient exploitées. Ou mêmes tout simplement prises.
Ecrit Calamane dit: 20 juillet 2014 à 22 h 06 min
Vous aimez la musique électro ?
Moi aussi.
http://www.youtube.com/watch?v=41_svUt5_e0
De même quand je lis Jean Rousset sur Marivaux et Ph. Lejeune sur l’autobiographie, j’en ressors plus intelligent pour pouvoir goûter Rousseau et le comprendre plus en profondeur. (Widergänger)
Cette remarque de Widegänger est théoriquement plausible, mais chacun sait que, dans la pratique réelle, vécue, de la lecture des oeuvres, il n’en va pas ainsi. On peut avoir lu Starobinski, Guéhenno et Lejeune, et avoir apprécié la pertinence de leurs études, et ne pas moins se retrouver seul et livré à ses seules ressources quand on reprend la lecture de Rousseau. De même, Genette est un grand critique para-universitaire, mais « Figures III », quel que soit l’intérêt des analyses de l’auteur, n’aide à peu près en rien le lecteur de Proust au moment où il lit Proust. Ce fait peut paraître singulier, puisque la raison d’être de ces études critiques, surtout quand elles sont l’oeuvre de gens d’une grande pénétration et d’un grand talent, est d’ « éclairer » les oeuvres littéraires; mais dans la pratique vécue de la lecture ou même de la relecture des oeuvres, elles n’éclairent à peu près plus rien du tout, parce qu’on les a tout simplement à peu près complètement oubliées. Seule existe alors l’oeuvre, avec la fascination qu’elle exerce sur vous et le plaisir qu’elle vous donne. Cela tient, me semble-t-il, à une différence de nature et de grandeur, qu’on retrouve aussi entre les plus grands critiques d’art et les oeuvres qu’ils étudient. Avec tout le talent qui est le leur, Starobinski, Lejeune, Genette, Brunel ou qui l’on voudra ne sont que des commentateurs, des exégètes, des glosateurs. Il y a entre eux et les textes qu’ils étudient une distance analogue à celle qui sépare du texte sacré le curé ou le rabbin qui le commente. Avec tout le respect et l’admiration que j’ai pour Gérard Genette, « Figures III », à côté de « A la recherche du temps perdu », c’est de la roupie de sansonnet. La « lecture profonde » de M. Untel, universitaire compétent, même si je l’ai lu, ne m’est à peu près d’aucune utilité quand je lis l’écrivain qu’il commente. Le contact avec les grandes oeuvres fait à peu près tout oublier de ce qui n’est pas elles.
Regarder Basic Instinct en lisant Dédé.
La manipulation assumée.
Avec plaisir.
C’est con qu’Onéné ne supporte pas Mimi (et inversement) sinon à eux deux ils réussiraient à nous procurer un minimum de plaisir à décortiquer un texte (plaisir inconnu de moi depuis qu’un crétin a tué en 3ème tout le bonheur de ma première lecture de Rabelais)
Vous me direz que si le choix c’est Onéné et Mimi vs Pablo et Chaloux, yapa combat, les deux anars franquistes sont trop à gerber.
Onésiphore de Prébois dit: 20 juillet 2014 à 22 h 27 min
Ce que vous dites est fort juste, quoique un peu excessif.
On peut lire avec érudition, enthousiasme, passion ou aveuglement voire naïveté ou crédulité. Mais nous n’ avons pas, tous autant que nous sommes, le même niveau de lecture ou de compréhension de l’ œuvre.
Le fait « d’ avoir une vie », style posséder une audi C ou une volvo break.
Oui enfin les bouquins dans les anciens temps on allait en colonne par douze chez Maspéro pour les voler ; un pdf y a plus le romantisme !
« Le fait « d’ avoir une vie », style posséder une audi C ou une volvo break »
Ecrit Calamane
Soyons fous.
Comme quoi voler n’est pas se suicider patron.
le même niveau de lecture ou de compréhension de l’ œuvre.
Il existe des journalistes érudits et des universitaires paresseux aux écrits inutiles sous l’ autorité de Machin Chose.
( Le liste est longue et non limitative!)
« Nous avons vécu depuis quelque trente ans la plus grande époque de la réflexion sur la création littéraire, du moins en France, et je tiens d’abord à le souligner, mais en ajoutant aussitôt que des problèmes d’importance fondamentale ne me paraissent pas moins avoir été mal posés./Au nombre de ces problèmes, la façon dont on lit une œuvre. »
(Yves Bonnefoy, « Lever les yeux de son livre », in « La Lecture », Nouvelle revue de psychanalyse, n°37, printemps 1988)
ecrit calamar c’est une qui voyage en train avec la carte vermeil renouvelée et qui regarde passer les vaches.
Soyons fous, osons le vélo sans moteur; comme ML.
http://www.youtube.com/watch?v=G98Bp6aPAtY
Merci de cette citation WG. Yves Bonnefoy est un poète que je trouve admirable.
Widergänger dit: 20 juillet 2014 à 22 h 52 min
Pouvez-vous nous expliquer cher ML le plaisir que vous avez à nous faire lire l’intense réflexion issue de la dissert d’un élève (brillant au demeurant) de seconde A’CM.
J’ose espérer que les secondes A (que je ne fréquentais guère) étaient d’un niveau autrement supérieur.
Pour Yves Bonnefoy c’est en levant les yeux du livre qu’on est en train de lire que le sens de l’œuvre se cristallise.
pado secrétaire intérimaire de Sergio dit: 20 juillet 2014 à 22 h 50 min
Comme quoi voler n’est pas se suicider patron.
Oui. Mais ce qu’il faut, c’est le voler aux autres mecs qui le volent chez Maspéro…
Sergio dit: 20 juillet 2014 à 23 h 05 min
Oui. Mais ce qu’il faut, c’est le voler aux autres mecs qui le volent chez Maspéro
Le summum, les reposer discrétement rue Saint-Séverin.
Widergänger dit: 20 juillet 2014 à 22 h 52 min
ML, votre message est un peu scandaleux, eu égard à tout ce que vous vouliez ici démontrer, sur l’intelligence du lecteur.
La première des choses est de donner le lien de ce texte de Y. Bonnefoy. Lien que les paresseux comme ecrit calamar ne chercheront pas.
Et puis vous nous expliquerez cette anecdote relatée à propos d’ Arthur. Arthur Rimbaud. Encore un qui a eu une vie à lui, n’est-ce pas.
lever les yeux du livre, quelle invitation extraordinaire.
« Le poète, en somme, le poète tout le premier, attend du lecteur qu’il cesse, à
des moments, de le lire. Et cette attente, qui est fondée, est d’ailleurs ce qui rend
possible la poésie qui se veut célébration, c’est-à-dire attestation d’une qualité,
d’une force, mais ne peut évidemment rien prouver, et ne parle de son objet que
de façon aussi allusive que passionnée. C’est bien parce que le lecteur est prêt à
quitter le texte qu’il peut en accepter et revivre la proposition fondamentale, qui
est qu’il y a eu dans son vécu propre un affleurement de présence. »
des journées entières dans les arbres dit: 20 juillet 2014 à 23 h 24 min
donner le lien
Ma biche,
tes liens, on s’en bat les c…….,
enfin moi les miennes.
Bonnefoy pose très bien le problème quand il écrit notamment dans ce même article, et pour ma part je me retrouve tout à fait dans cette problématique qui pose la question suivante : Lecture savante ou l’œuvre comme expérience existentielle ? L’œuvre doit d’abord être une expérience existentielle avant que d’être analyser. Quand j’étais adolescent, au lycée, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine ont d’abord été pour moi des expériences existentielles et je les lisais avec la curiosité de celui qui cherche à comprendre des expériences spirituelles de haut sens. C’est ce qui manque indéniablement aux jeunes d’aujourd’hui au lycée. Il est vrai que j’ai eu la chance de bénéficier à l’époque (1971-1973) d’un environnement au lycée Chaptal exceptionnel avec un prof qui est poète, qui connaissait très bien Aragon, Guillevic qu’il a invité à faire une conférence à Chaptal, Michel Deguy également un peu plus tardivement quand j’étais en khâgne. La perception de la littérature a d’emblée été pour moi étroitement liée à un mode de vie, à une expérience vitale, et pas du tout à un jeu intellectuel. La science est venu par la suite se greffer sur cette expérience première, ce qui m’a permis de faire un travail universitaire de haut niveau sur la poésie d’André du Bouchet, d’en discuter avec lui chez lui lors de plusieurs rencontres, à la fois comme expérience spirituelle vitale à portée métaphysique et comme travail d’écrivain, et mon travail l’a tellement intéressé qu’il a voulu que la revue L’Ire des Vents dont il était un des garants fondateurs avec Beckett, Celan, Leiris, Michaux, y fut publié. Moi-même j’écrivais et publiais des poèmes dans la revue Action poétique. Aujourd’hui, l’idéologie dominante n’est d’ailleurs plus celle que problématise ici Yves Bonnefoy, les média ont pris le pouvoir, les blogs, la superficialité de la lecture, qui met en péril la littérature. Depuis cet article écrit en 1988, la situation s’est largement dégradée au profit de tous les simulacres de la lecture avec à la clé une exploitation éhontée, financière, cynique et profondément méprisante pour ses lecteurs, soit dit en passant. C’est le plus inquiétant aujourd’hui.
« Il reste que ce lecteur qui n’écrit qu’en dégageant des pages d’un autre leur signification, simplement, ou une part de leurs aspects stylistiques, est voué de ce fait à l’emploi de mots dont le caractère éminemment conceptuel — c’est-à-dire abstrait, sans expérience directe des choses du temps, de la finitude — ne peut qu’amortir ce qui, chez Rimbaud, ou Artaud, et combien d’autres, fut souffrance ou joie plus directement plus violemment ressenties. Cette liberté que la révolution textualiste consent volontiers à ceux qui en veulent est donc en cela bien restreinte, à vrai dire on peut craindre qu’elle ne soit qu’un jeu, là où l’œuvre étudiée a pu, cependant, être tragique, un jeu sans responsabilité autre qu’intellectuelle ; et on doit donc s’inquiéter d’une philosophie qui déplace d’une façon si massive notre écriture moderne vers l’usage des métalangues. Est-ce que ce fait ne signifie pas qu’une dimension essentielle de la poésie peut cesser d’être perceptible quand on la définit comme texte ? »
Wilderganger !
sapré passou
…
…écrire,…
…
…pour tous à permettre à sa guise & donner accès à tout!,…de monter ou descendre, de son cocon le retrouver son chemin,…selon ce qu’on est ou veux devenir,…
…
…lire pour être, et donner l’accès à son coeur en partage,!…
…
…lire pour profiter des autres illettrés, victimes des obscurantismes coalisés,…
…
…la connaissance pour donner ou profiter,…
…les connaissances violés de leurs objectifs,…
…les blasphèmes et les profits situationnistes privés ou en clan, en groupe,…en partis-pris,…
…à refaire ses » inquisitions « ,…entre malades imaginaires,…
…puisque tous, déjà, comme artistes, clic – clac,…photo,…
…
…et après, » faire médecine « , pour tous!,…quels strates à interdire ou à ouvrir!,…l’Utopie,…
…tout le monde, un peu trop banquier,…
…la domesticité robotique,…avec un tigre dans le moteur!,…
…refaire l’éden & zoo,…quelle chutes de météores pour tout recommencer à Zéro,…
…le paradis, le quel pour quoi faire!,…
…les luttes entre » Paradis « , perdus!,…
…suivant,…
…encore vous,…il n’y à que trois millénaires qu’on se voit plus,…la santé,…çà va!,…un verre de Cognac,…encore!,…etc!,…Pfuff!,…quel brol de pérennité,…à maintenir,…
…
…c’est bon!,…tourner!,…
…
Tiens, « épastrouiller » est parait-il un belgicisme.
Tintin et Simenon se nichent dans tous les recoins de la rdl.
« L’œuvre doit d’abord être une expérience existentielle avant que d’être analyser »
et avec ça, l’élève en 6ème A aura bien 10/10 à la dictée. Avant de partir faire l’école buissonnière, histoire de ressourcer le poème.
« un environnement au lycée Chaptal »
Maillot rouge chevron noir.
Je crois que Richard Millet dit l’essentiel ici :
« Que la littérature (ce que nous appelons ainsi dans son acception millénaire, et non dégénérée dans le relativisme romanesque mondialisé) existe désormais pour n’être pas lue et rencontre une production contemporaine illisible à force d’insignifiance et de simulacre, ce n’est pas le moindre paradoxe d’une civilisation qui s’est débarrassée de sa mémoire en la confiant à l’éthique minimale de sa numérisation — la sauvegarde du monument comme condition de sa clôture, et les écrivains dès lors voués soit à la clandestinité, soit à l’insignifiance pompeuse d’un Eco devenu aussi l’auteur de ses imitations, en une sorte de palingénésie latérale ou parallèle dont la fatalité n’ôte pas au père sa responsabilité initiale dans la dégradation de l’idée même de littérature. »
(R. Millet, La Langue fantôme, 2012)
On peut guère dire mieux la situation de la littérature d’aujourd’hui, une littérature fantomatique qui tend vers le néant.
« L’Enfer de cette bibliothèque bientôt numérisée est donc moins un nouvel index que la DÉSAFFECTION suscitée par le refus d’hériter et par une haine de la culture qu’on n’avait vue que sous les totalitarismes du XXè siècle. »
Quel regard lucide sur notre catastrophe !
Encore un peu de Richard Millet, mes petits chéris, pour votre petit déjeuner tout à l’heure :
« J’affirme donc que je n’ « échange » pas, que je ne « communique » pas, comme on le dit, aujourd’hui, intransitivement dans le langage courant — celui, défiguré, mensonger, falsificateur, du journalisme, cette entreprise par laquelle on prétend « informer » mais grâce à quoi le pouvoir libéral élabore l’univocité d’un discours ayant fonction de miroir et prétention de vérité ; la vérité comme miroir déformant (flatteur, excessif) du narcissisme contemporain : voilà bien une situation dans laquelle l’échange est aussi un leurre — ce que révèle, justement, l’emploi intransitif des verbes échanger et communiquer, lequel signale, en outre, la position de domination absolue de l’instance qui informe, qui définit l’absolu d’un discours auquel, n’échangeant pas, ne communiquant pas, ne dialoguant pas, ne débattant pas, j’entends, moi, me soustraire par la seule affirmation de ce que je suis. »
(R. Millet)
Il définit admirablement bien le fonctionnement de ce blog, le pouvoir fallacieux qu’il permet, les leurres sur lesquels il fonctionne, la mort de la littérature qu’il implique. On ne se lasse pas de le relire !
merci pour votre point de vue équilibré et serein, ça change de ce qu’on lit trop souvent sur le sujet ces temps-ci. Je déplore malheureusement le ton si nocif de tant de commentaires habituels à vos billets. Je remarque que le milieu anglophone dans lequel j’évolue essentiellement est heureusement plus respectueux et positif. Qu’est-ce qu’on a donc dans la peau nous les Français à toujours vouloir critiquer et se plaindre?
« j’ai horreur des serviettes de table qui n’ont pas la bonne taille ou sont en papier » (TKT)
Je suis comme vous, Thierry, j’aime aller à l’essentiel ! J’ai horreur du papier-cul trop étroit ou zingué…
Passou traité ici de « fleur médiatique » !!!
Pourquoi pas Paul Edel de « Cactée doucereux » ? ou Pablo75 de « Don Quijote à pied » ? ou Clopine de « Pastèque farineuse » ???
Ah ! les Fumiers …
Emma @ Words And Peace dit: 21 juillet 2014 à 4 h 15 min
Soyez remerciée, Emma, pour votre arrivée en RdL et pour vos tentatives de donner aux USA une image ancienne de la France, c’est à dire un lieu où les idées brûlaient vivement plutôt que les automobiles, les pharmacies et où les magasins n’étaient pas pillés par les humanistes de banlieues..
Cependant, comme méridional, grand joueur de pétanque, je vous remercie de retirer de vos pages cette photo obscène de pétanqueurs jouant à Chicago sur gazon … J’en ai fait un malaise ! Il y a des limites au mauvais goût, et l’expatriation n’autorise pas la remise en cause de nos traditions les plus sablonneuses. On joue à pieds tanqués sur la terre battue, on est pas à Wimbledon !
Et bravo, pour le reste !
Il y a exactement 45 ans, après que les Russes aient avec Gagarine entrouvert petitement la porte, l’Américain Neil Armstrong posait un pied sur le tout proche palier du Cosmos.
Aventures technologiques de fourmis besogneuses … Petitesse de l’immense effort humain.
Un acte bien loin de la Grandeur du débat nocturne « Critique littéraire journalistique ou universitaire » qui a enchanté à sa lecture amusée, ma dégustation de café matinal.
Fallait le faire …. uhuhuhuhu !
« Qu’est-ce qu’on a donc dans la peau nous les Français à toujours vouloir critiquer et se plaindre? » (Emma)
Nous, Français, sommes depuis les Lumières juste avant la révolution de 1789, un peuple de paysans romanisés et de petits bourgeois qui avions de l’espoir dans le « changement révolutionnaire ». Liberté. Egalité. Fraternité. …Rigolade !
Hélas, raccourcir un roi ne rend pas un peuple intelligent et pragmatique et l’Histoire a noté notre interminable déclin, y compris napoléonien, contrairement à ce qui est enseigné.
Depuis le peuple élit ses Présidents en votant pour un Roi-Sauveur promettant « l’enchantement sans efforts » et ça rate à tous les coups !
Comme il ne peut en être autrement, nous ne pouvons que nous plaindre et critiquer tant notre déception est grande et notre impuissance manifeste, depuis la Grande Déception de 1789.
Quand on pense aux émeutes et pillages, à ce qui vient de se passer à Barbès et Sarcelles, on se dit à juste titre que la bonne place, pour Hollande et Valls, n’est pas aux commandes de l’Etat à l’Elysée/Matignon, mais sous un chapiteau au Festival Off d’Avignon … rayon burlesque subventionné !
Je vois bien ce duo de minus donner la réplique aux Joyeuses Commères d’Avignon, Py et Jolly, qui amusent tant les culcultureux germanopratins expatriés dans le Vaucluse.
Pendant ce temps, les voyous, les humanistes islamistes attaquent les synagogues, et la grenon se frotte les mains…
Pourrait-on rapprocher ces 2 notions ?
Celle » sémiotique » de kristeva:
« La transtextualité est un concept littéraire que Gérard Genette a développé, plus particulièrement dans son livre Palimpsestes – La littérature au second degré paru en 1982.
Pour Genette, l’objet de la poétique n’est pas le texte, considéré dans sa singularité, mais bien la transtextualité, ou transcendance textuelle du texte. Grossièrement, la transtextualité se définit par « tout ce qui met un texte en relation, manifeste ou secrète, avec un autre texte » »
et la définition de l’enrichisement textuel permis par le numérique:
« Un système hypertexte est un système contenant des nœuds liés entre eux par des hyperliens permettant de passer automatiquement d’un nœud à un autre. Un document hypertexte est donc un document qui contient des hyperliens et des nœuds. Un nœud est une « unité minimale d’information », notion assez floue qui signifie simplement que l’information d’un nœud sera toujours présentée entière. Les liens entre les parties du texte sont gérés par ordinateur et permettent d’accéder à l’information d’une manière associative ou, tout au moins, d’une façon de naviguer personnalisée, de manière non linéaire, au gré de l’utilisateur. La notion d’hypertexte a trouvé sa plus grande réalisation dans le World Wide Web. »
source: wikipedia.
Les petits qui vous gouverneront, faut pas les prendre pour des minimoys:
http://www.tilekol.org/tablettes-en-maternelle
Mon ouvrage récent : « Le survivre-ensemble multiculturel pour les Nuls » est en vente sur Amazbone au prix de 34 euros, livraison, cran d’arrêt, gilet pare-balles, alcoran de poche et casque lourd compris.
Lisez-le rapidement : votre vie, et celle de vos proches, en dépend !
Une analyse récente du Grand Onésiphore de Prébois, de l’Académie de billard du bar-restaurant Chez Mozart, aborde l’étude des émotions provenant du langage musical, qui ne peuvent être rendues textuellement.
Par le miracle d’un grand écart créatif, on pourrait revenir au problème posé par Messire Assouline : lecteur numérique vs lecteur papier.
Il me semble que ce problème auditeur/support d’enregistrement et restitution a été posé jadis, au XXème siècle, lorsque l’on est passé techniquement des amplis à lampes aux amplis actuellement utilisés.
On débattait alors de la sécheresse numérique de la restitution de ces amplis et lecteurs CD, en enjolivant style « conte de fées » les crachouillis microsillons et la « chaude rondeur » du son des lampes.
On n’en parle plus guère des microsillons et lampadaires, sinon chez les enlumineurs de parchemins dévots qui font la fortune des exploitants en religiosité musicale …!
Pour ceux qui lisent l’allemand, un article sur les e-books:
http://www.tagesanzeiger.ch/digital/daten/Der-gelesene-Leser/story/27635362
la fortune des exploitants en religiosité musicale …!
ils sont nombreux chez tes voisines jicé et ne leur dit pas que c’est des religieuses, tu te grillerais..outre c’est peut être une écrivaine sans culotte en remington électrique pour pas étre tenté par le réseau quand je disais que c’est la machine qui a du style..
Pour ceux qui lisent l’allemand
la machine l’a fait pour moi..mal on est jamais mieu servi que par soimême mais passons..tout est dans le « statistiquement » vontraube..urkurkurkurk..anonymisé ou déidentifié?..si si y’a un bémol technique et pas des moindes..t’es dataminer jusqu’au trou de bal..bref enfin la lecture redevient popo..popo politique..
Infâme Bougboug,
J’ai toujours été au mieux avec les religieuses, surtout jeunes et jolies novices. D’un autre côté une mère supérieure, genre Sophia Loren des années 60, c’est attaquable, spirituellement. Faut voir …
Eduqué par les compères jésuites, j’en savais assez pour leur susurrer des : « J’ai perdu la Foi, aidez-moi à la retrouver ! »
Elles ont cherché partout.
Fallait le faire …. uhuhuhuhu !
tout le monde monte au créneau jicé..comme ça se sent mal chez les journaliss..mais mal!..le coup de keupu disant que ça tuait plus ailleurs sans qu’on lui demande rien mais c’est de l’héroisme
«…c’est la machine qui a du style.. »
Satie déjà…
Je lis les citations de Millet données par Widergänger, et ce qui me frappe (et confirme l’impression que m’inspirait cet écrivain à l’époque où je le lisais), c’est le caractère dogmatique et abstrait de sa pensée. Une pensée desséchée, automatique, dont le développement uniforme est celui de l’idéologie, et façonnée par cette rhétorique de la radicalité naguère en usage (c’est le comble!) dans une certaine littérature militante, d’esprit soixante-huitarde, ou même situationniste….
C’est toute la stérilité de Richard Millet qui se manifeste ici. Stérilité d’écriture, stérilité de pensée, qui serait peut-être fascinante sans cet affreux esprit de système.
j’entends, moi, me soustraire par la seule affirmation de ce que je suis
de vive voix aux fleurs et aux petits oiseaux
Richard Millet n’est pas plus stérile que notre monde actuel : il est parfaitement dans le ton et à raison d’agiter des bras en criant : « Stop » …
Tant de connards, tout joyeux, nous vendent leur camelote multi/culti débile, en adoptant le ton inverse !
Evidemment, pour des optimistes comme moi, cela fait un peu médiéval, genre le vieux bibliothécaire apocalyptique dans » Le nom de la Rose », et je fais confiance à nos enfants pour éviter les écueils.
Si la formule de la critique universitaire, c’est brevet d’intelligence + science (selon Wilderganger), voilà deux raisons de la fuir ! Heureusement, elle est bien autre chose.
ha lassouline tu le kiffes ton dracul..
La science n’a rien à faire dans ce domaine.
c’est brevet d’intelligence + science (selon Wilderganger), voilà deux raisons de la fuir !
grace à nous c’est bonnet d’âne et calcifrie..voilà deux raison de revenir
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Les Champions de l’Inculte :
REPARER LES VIVANTS, par Maylis de Kerangal, Verticales, 18,90 euros.
– A CE STADE DE LA NUIT, par Maylis de Kerangal, Guérin, 10 euros.
– COMME UNE BETE, par Joy Sorman, Folio, 6,20 euros.
– FEERIE GENERALE, par Emmanuelle Pireyre, Points, 6,70 euros.
– QUE FONT LES RENNES APRES NOEL ?, par Olivia Rosenthal, Folio, 6,80 euros.
– MA DERNIERE CREATION EST UN PIEGE A TAUPES, par Oliver Rohe, Inculte, 13,90 euros.
– ACHARNEMENT, par Mathieu Larnaudie, Actes Sud, 19 euros.
– LA CONJURATION, par Philippe Vasset, Fayard, 17 euros.
– ETONNAMMENT ETONNE, par Arno Bertina, Le Bec en l’air, 25 euros.
Bandants, donc bandons …
et je fais confiance à nos enfants pour éviter les écueils
nos..nos..t’en es même pas sur..surtout scientifiquement..l’amour jicé..l’amour!
le vieux bibliothécaire apocalyptique dans » Le nom de la Rose »
il manque de matériel de visé optique qualité suisse
Enfin, braves gens ! quel que ce soit la chose dont on parle, Wilderganger ce n’est que l’expressions de tous les poncifs et de toutes les idées reçues…
« Tant de connards, tout joyeux, nous vendent leur camelote multi/culti débile, en adoptant le ton inverse ! », JC.
Sans doute. Mais je remarque que l’attitude qui consiste à prendre l’exact contrepied de cette connerie est encore de la connerie. Les adversaires systématiques de la « bien-pensance » se mettent inévitablement au niveau de ce qu’ils dénoncent.
Un exemple : Ph. Murray, qui n’intéresse maintenant que les vieilles filles et les impuissants, avides de goûter au petit frisson de la subversion .
Asper,
Nous sommes bien d’accord sur le fonctionnement du miroir : la gueule a beau être inversée, la ressemblance est frappante !
renato dit: 21 juillet 2014 à 9 h 40 min
« Enfin, braves gens ! quel que ce soit la chose dont on parle, Wilderganger ce n’est que l’expressions de tous les poncifs et de toutes les idées reçues… »
Malheureusement, brave Renato, il est impossible d’être original systématiquement, ce qui fait que les vieilles pierres usées resservent à bâtir de nouvelles cathédrales, non ?
(j’aurais mieux fait d’utiliser synagogues pour notre ami, mais… trop tard !)
Wilderganger ce n’est que l’expressions de tous les poncifs et de toutes les idées reçues…
les idées reçues sont celles les mieux partagées du monde rénato..celui qui les joue toute est par definition à part, il me fait penser à lukacs qui jouait le réalisme, balzac contre proust et kafka, et tout ça au nom de « l’histoire » déjà..évidemment c’est dur de dire que ce sera les jeux vidéo et le poker en ligne le ouinneur..dans « hypertesque » y’a tesque..mais avec du texte on code de la musique (si si) de l’image..c’est ça le w3c
Une pensée desséchée, automatique, dont le développement uniforme est celui de l’idéologie (Asper)
Entièrement d’accord. Le pire, c’est quand cette mécanique se met au service des obsessions racistes et xénophobes de cet auteur. Je lis actuellement le « Journal des années noires », de Jean Guéhenno, dans lequel celui-ci analyse avec lucidité le fonctionnement de l’écriture et de la pensée de certains écrivains, tentés par la collaboration (Drieu notamment). La parenté des écrits de Millet avec ceux de ces gens-là est frappante.
de vive voix aux fleurs et aux petits oiseaux
de loin préférable à la dépendance au public des cabots
de la pensée de certains écrivains, tentés par la collaboration (Drieu notamment)
ça sert a ça l’écriture, « d’être tenté »..toute sa science est là ! et ça en est une maous..succomber c’est de l’histoire
Il est certain qu’avec l’entrainement de nos forces de sécurité contre les millions d’attardés qui manifestaient en émeutiers confirmés, vols, incendies, agressions, pillages, contre le mariage des gouinettes avec les gouinouilles et des fiottes avec les tantes sans oxygène, ils ne pouvaient que céder à la peur panique devant des forces humanistes antisémites, supérieures en nombre.
Casenase, peuchère, n’a pas de chance : il est obligé de « déplorer l’intolérable » à défaut de faire respecter l’interdiction idiote.
Espérons que les assurances paieront les dégâts matériels. Moralement, politiquement, c’est impossible..
..gagarine le matin je te dis pas..on lui met des tuyo partout..on compte ses verres de vodka..il est briffé sur l’homme nouveau..l’amerloc doit croire en dieu et pas divorcer..un roman de gare en vrai jicé..c’est ça ta science
«… il est impossible d’être original systématiquement »
Personne ne demande l’originalité systématique, mais qu’il arrête de péter du plus que connu du haut de sa chaire imaginaire…
Moralement, politiquement, c’est impossible..
reste scientifique s’il te plait
du haut de sa chaire imaginaire…
on l’y met évidemment
Bouguereau,
Ce n’est pas parce que tu es le Sikorski, le Kalachnikov, le Korolev, le Von Braun, du gode-ceinture numérique le plus connu au monde, celui qui a permis tant d’envols dans l’Espasme … que tu vas me parler de Science, bordel !
le Von Braun, du gode-ceinture
je note jicé..je note..
« on l’y met évidemment »
Scientifiquement ?
« l’amerloc doit croire en dieu et pas divorcer »
ni commettre le péché d’adultère
Renato,
c’est son style au Wanderer ! Difficile, mais il faut l’admettre ! Le propos est himalayen … Himalayenne, l’invective … Himalayen le goût de l’ascension solitaire …
A prendre ou à laisser !
Scientifiquement ?
trés précisément, par exemple parler en bien ou en mal sur un certain long terme c’est maintenant la même chose nous le savons tous..et tien..est ce que lassouline donne la réplique à dédé sur les soucoupes?
Le propos est himalayen
il respire ses gazes..c’est un cherpa dopé
«… ce qui fait que les vieilles pierres usées resservent à bâtir de nouvelles cathédrales, non ? »
Bien évidemment, mais on table sur des bons ouvriers, pas sur un traine-savates…
En Israel ont lieu manifestations d’opposants de gauche israéliens à la politique de Netanyaou et du Hamas
Le gouvernement israélien débordé par son extrême-droite style oas, aussi conne que le Hamas,ça fait les délices du connard de PQ
C’est vrai que l’alpinisme est un sport méconnu, mais ‘himalayen’ me semble exagéré pour un gars qui parle depuis sa taupinière… Enfin… une taupinière himalayenne, peut-être ?
Négocions :
Pas un traine-savates, un bon contremaître qui n’en est pas à ses débuts…
J’aime beaucoup la notion de « taupe alpiniste », Renato ! ça me fait penser à Gégé, l’andouille de 10h29, toutes griffes dehors.
C’est peut-être là le problème du monde actuel : l’on parle de contremaître pour tout et n’importe quoi… Bon, à plus…
Renégocions :
Entendu ! il nous faudrait plus de contremaîtres agrégés d’architecture…
repasserai quand Wilderganger sera levé. doit être en train de beurrer sa biscotte en dounlodant clément rosset.
« Beurrer sa biscotte » ou biscotter sa beurette ?
a propos
. Le nom en est une preuve : c’est une identité imposée par autrui. C’est précisément cette question que je veux poser en littérature, faire de cette violence un espace littéraire. Car l’ignorer est le meilleur moyen de la laisser se reproduire indéfiniment.
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/livre/edouard-louis-j-ai-deux-langages-en-moi-celui-de-mon-enfance-et-celui-de-la-culture,114836.php#QYbbbQYDs1euRRe2.99
rappel sur ex 3,14 comme pi , donc
le livre traduit en français standard exode , se traduirait littéralement « des noms »
mon admiration est sans réserve pour cette écriture lecture
– AnjanaMme Anjana Iyer, qui vient de publier « Untranslatable Words ». Écrit et illustré par ses soins, c’est le premier et magnifique ouvrage de cette jeune femme de talent qui a vécu en Inde avant de s’installer en Nouvelle-Zélande.
comment/pourquoi la modération n’intervient sur le commentaire de 10 h 07 ????????????????????
c’est une identité imposée par autrui
se faire enculer au saindoux..dernier tango a jérusalème..excellent renfield
repasserai quand Wilderganger sera levé
accroc a ses gazes
La pensée de Microbout fait retour à sa source.
Fou de bassan,
Quelle découverte ! La richesse que m’a apporté votre lien Télérama… Quelles belles paroles ! Merci ! Merci ! Merci !
Aaaah ! Quelle richesse, cet interview de la Bellegueule de Normal Sup. Tout de même Télérama, quelle pépinière de gens intelligents !
Une émotion m’a étreint le cœur !
Jusqu’au trou du cul.
La voie d’un succès.
Un succès…
Dérisoire.
Honte.
Michu,
Tu sens bon la Milice, ô gentil milicien …
Un job comme un autre pour les impuissants*.
* information, de première main, donnée par Madame Michu. Bonne journée…
… A mon sens, il y a encore une autre différence entre la critique journalistique et la critique universitaire, que la simple contemporanéité de la première et le recul de la seconde. Certes, toutes deux participent de la transmission, les premiers à un public généraliste ou non, les seconds à des élèves. Mais les uns (je vous laisse deviner lesquels) sont par définition ouverts aux autres et se nourrissent d’eux, tandis que les seconds sont parfois-souvent, hélas, élitistes, pontifiants, repliés sur leurs acquis et exhibant, comme dirait DHH, leurs peaux d’âne acquises au détriment de l’ouverture au monde. Pas toujours, mais cependant… Bon, les deux ont cependant des complémentarités. Mais comme les seconds sont imbus d’eux-mêmes (et n’en avons-nous pas la preuve, sur ce blog précisément ?) !
« Mais comme les seconds sont imbus d’eux-mêmes (et n’en avons-nous pas la preuve, sur ce blog précisément ?) ! »
Non ! Non ! Non !
IMBUS D’EUX-MEMES ?
Cette autocritique est injuste…
la vérité c’est que c’est lassouline qu’a les petit fours et accés à tous les culs clopine et que dracul en a marre du vdqs et des intrigue de douche dhotel minabe a sitgesse
« intrigue de douche »
C’est une question qui me parait aussi importante que celle de savoir quel est le véritable talent d’Eddy Bellegueule, Bougboug : tes godes sont ils parfaitement étanches ?
Voyons…Le topos de la fin de la littérature, avant son avatar Mainguenesque, se trouve déjà chez Sainte Beuve, ou Gustave Planche, quand ce n’est pas Nisard, et, que je sache, aucun des trois n’est universitaire malgré un bref passage au Collège de France pour SB.
Quant à la critique universitaire qui serait dans tous les cas nécessairement profonde, on peut parfois en douter, au vu de ce qui est cité sur le précédent fil. Et des belles aneries que l’on entend parfois en colloque.
Pour les lettres de noblesse du journalisme vis-à-vis de la littérature, on pourrait se souvenir que c’est le Balzac journaliste qui comprend le mieux Stendhal. Ou Edmond Jaloux qui consacre cinq feuilletons au jeune Gracq du Château…Il y a des gens qui savent travailler partout, et je sais gré à Pierre Assouline de ses deux mises au point sur les impasses du discours Wiederganguesque.
C’est au fond l’histoire du représentant de commerce qui ne veut pas décrocher de son client. Fermez-vous la porte? Il passe par la fenètre. Fermez-vous la fenetre? Il passera par la cheminée! Que vend-t-il? des cravates? des encyclopédies? Non! des modes d’emploi.
Ce n’est pas que certains soient dénués de pertinence, mais le principe de la maison est qu’ à auteur unique , il faut un mode d’emploi unique. Là ou un texte est foisonnement, c’est toujours la dernière thèse en date qui l’emporte, proposée sous forme de digest. Actuellement , il a été décidé quelque part que Les Poèmes en Prose valent plus que les Fleurs du Mal. On y cherche une modernité fébrile, et le glosateur de service emboite le pas.
Peut-être aurait-il été plus judicieux de s’interroger sur les raisons de cette promotion soudaine d’un recueil disparate et médiocre que je n’échangerais pas contre tout Aloysius Bertrand ou Arthur Rimbaud, mais comme l’Université et la doxa officielle le disent, on les suit. Et d’invoquer la grande ombre d’Edgar Poe sans meme s’interroger sur la pertinence de cette hallucinante séance de spiritisme thésardo-scolaire!
Attendons que l’intelligence reprenne ses droits sur cet incessant panurgisme littéraire!En attendant, Dracula pompe, pompe, pompe à sa manière les productions de l’Alma Mater. J’ai comme dans l’idée qu’on en aura pour tout l’été…
Bien à vous.
MC
A propos d’ Eddy:
« A l’ENS, évidemment, personne ne m’a jamais dit « T’es un prolo, rentre chez toi ». Simplement, chaque année, quand vous venez avec vos papiers, pour l’inscription administrative, et que vous présentez un acte de naissance avec la mention « né d’un père ouvrier et d’une mère sans profession », là vous comprenez que vous n’êtes pas comme les autres. »
Là tu comprends surtout la boursouflure « sociologique » de l’engin.
Et y’en a qui sont obligés de faire du rab de taf, pour supporter ça.
Est-ce que quelqu’un connait exactement les modalités d’entrée à l’ENS paris ?
Je demande ça au cas ou un né de parents ouvriers ou sans profession devrait remplir les papiers avec un mot d’excuse.
Le copier-coller du lien télérama est filtré par modération.
C’est étrange.
Wilderganger ce n’est que l’expressions de tous les poncifs et de toutes les idées reçues…
Cela dit par un Ponce Pilate de la pierre ponce des poncifs, çà me gratte quelque part…
les premiers à un public généraliste ou non, les seconds à des élèves.
Et une pierre ponce aux poncifs, une!
les seconds à des élèves. Clopécrit.
Non pas. Les critiques universitaires s’ adressent principalement mais non exclusivement aux universitaires eux-mêmes!
Widerspucker ak. Michel Alba, ne se sent pas déprimé, c’est le monde autour de lui qui est pourri, moisie, grabataire, mourant etc…
Ce qui me fait froid dans le dos, c’est que l’EN lui donne des élèves de 5ème, il va les rendre tous tout aussi déprimés que lui-même.
WG ne semble avoir aucune idée personnelle, il recrache et, uniquement ce qui est négatif. L’EN n’a donc pas de tests psychologique pour évaluer la bonne santé psychiques des profs pour élèves ?
il se dit un scientifique des lettres, soit, veut-il dire uniquement qu’il connait le vocabulaire adéquat, où qu’il est capable de faire avancer la Critique Littéraire ? J’opterais pour la première proposition.
dear tkt, z’êtes toujours content de votre e-reader ?
Numérique… superficiel… si le format Touiteur
ou autre, encore plus télégraphique, s’installe
et si la forme SMS aussi ou, plutôt, quand l’un
et l’autre s’imposent, revenir à une articulation
risquée au point d’user du retour chariot et oser
l’application orthographique et le respect grammatical,
au moins approximatifs, ne relèvent-ils pas définitivement
du combat d’arrière-garde, ne nous en déplaise ?
Les jeux sont faits !
Bien sûr, il y a toujours des remous et des contre courants
près des berges et derrière les pierres (!…)
mais le gros du courant, le débit principal,
en très large majorité, s’échappe vers l’aval
et la moindre résistance à la loi de la gravitation universelle.
TF1contournablement.
** J’adore les grands sentimentals/taux, mais ils me renvoient l’image de saintes personnes, quasi divines : je veux dire qui ne font ni glou-glou, ni miam-miam, ni pipi, ni caca, ni zig-zig mam’zelle…
Pas du tout mon genre !***
Lui se contente de faire con-con !
Phil, je regrette les textes écrits à la main sur du parchemin, je regrette les enluminures, et mêmes les plus anciens textes, écrits sur des plaquettes dures.
Quant au e-reader, c’est une commodité, cela ne me va pas faire jeter mes livres. Mais, c’est peut-être une question de génération.
Notre camarade de Blog, souvent en voyage, respecte les 20 kg maximum de bagage quand il prend l’avion. Soit, il ne prend pas de linge de corps de rechange, soit il voyage sans livres. Bien sûr il peut le soir, laver dans un lavabos, une chemise, un slip et une paire de chaussettes.
Faire con-con est moins dramatique que faire kron-kron !
Quand il est écrit « superficiel »,
le journaliste et l’universitaire
ne sont-ils pas, de fait, presque
essentiellement, dans un rapport
au temps qui rend, globalement,
l’un plus… superficiel que l’autre ?
Même en chérissant l’exception
qui confirme la règle,
même en aimant l’art pour l’art,
celui de la polémique, en l’espèce,
ne paraît-il pas un peu vain ?
Même si les diplômes dûment estampillés,
encore majestueux, encadrés, en version papier,
ne sanctifient pas toujours à leur juste qualité
les têtes bien pleines qui les obtiennent.
Souficellement.
Observatoire de l’helvète dit: 21 juillet 2014 à 12 h 56 min
Faire con-con est moins dramatique que faire kron-kron !
Etre usurpateur de pseudo prouve une connerie au moins égale à celle de Kronenbourg.
Pas de quoi être fier, assez minable même.
Quand même, toutes ces études… !
(Et une ou deux auront bien échappé
au regard… forcément un peu superficiel
donc journalistique ou inversement du Patron).
Pour être toujours dans une incertitude béate
face aux conditions réelles et pratiques
de lecture, face à la fiche signalétique
du lecteur moyen, du client type
de la librairie numérique
embusquée au coin
du grand marché
en ligne.
Un seul lecteur, un seul livre, une seule boutique !
Hergémoniquement.
« Je ne voulais pas un langage comme celui de Céline, qui est un point de vue bourgeois sur la langue des classes populaires. »
(Edouard Louis)
Bouguereau, petit célinien ou petit bourgeois ?
Clopine Trouillefou dit: 21 juillet 2014 à 11 h 46 min
… A mon sens, il y a encore une autre différence entre la critique journalistique et la critique universitaire, que la simple contemporanéité de la première et le recul de la seconde. …. Mais comme les seconds sont imbus d’eux-mêmes (et n’en avons-nous pas la preuve, sur ce blog précisément ?) !
Quels critiques universitaires imbus d’eux-mêmes et s’exprimant sur ce blog?
Si vous pensez à un prof de collège, il n’est, en aucun cas Universitaire.
Edouard Louis affirme écrire contre Genet et contre Pasolini.
Sartre disait que l’homosexuel est toujours un traitre en puissance.
Pour Eddy Bellegueule, le parricide, réel ou littéraire, ce crime oedipien n’est-il pas plutôt considéré comme l’un des beaux arts ?
Je ne comprends toujours pas.
Si chaque année l’étudiant à l’ENS doit donner un bulletin de naissance avec indication de la profession des parents, comme le dit Eddy, grande gueule, je comprends maintenant parfaitement pourquoi « il ne sent pas comme les autres ».
Curiosité de savoir quel concours d’entrée il a passé .
Ah ? il n’a pas passé de concours ?
C’était un entretien ?
« La génération « Inculte » est-elle responsable du retour du roman sans fiction et du roman documentaire ? »
Conséquence d’auteurs essentiellement lecteurs et scripteurs numériques ?
Le meutre du père marque t-il toujours un retour au grand-père ?
Edouard Louis qui écrit contre Genet ou Pasolini se rattache à Zola !
« Je ne voulais pas un langage comme celui de Céline, qui est un point de vue bourgeois sur la langue des classes populaires. »
(Edouard Louis)
c’est pas dénué de sens..outre que ce louis a prouvé que ce n’est pas un « imbécile médiatique » je dirais que les études céliniennes intégre trop l’idée que « le prolo est un bourgeois qui n’a pas réussi »..céline c’est toujours d’un intermonde..langue a cellules embryonnaires
Edouard Louis qui écrit contre Genet ou Pasolini se rattache à Zola !
c’est un dracul en pantalon bleu sans fond..c’est un effort d’imagination c’est certain
Bouguereau, petit célinien ou petit bourgeois ?
..c’est pareil
Ah, c’est vrai il a la langue des dominants , des dominés. Mon dieu, mais c’est bien sûr.
Ce qui va être diablement interessant, dans son autobio in progress, c’est le volet parisien des aventures sexuelles d’Eddy.
« Je ne voulais pas un langage comme celui de Céline, qui est un point de vue bourgeois sur la langue des classes populaires. »
(Edouard Louis)
Un petit moment que je me demandais si Eddy Louis est une huitre ou une moule. J’ai la réponse : il fait des perles.
Microbout est d’accord, m’étonne pas. Depuis quand les bourgeois ne sont pas du peuple? E. Louis confond « peuple » et prolétariat.
Observatoire de l’helvète (sinon le vrai au moins le premier) dit: 21 juillet 2014 à 13 h 00 min
« Etre usurpateur de pseudo prouve une connerie au moins égale à celle de Kronenbourg. Pas de quoi être fier, assez minable même. »
Maman, ne t’as pas dit ? Je suis ton jumeau, mon frère ! Elle m’avait vendu à un Rom pour faire la manche, intéressée aux bénéfices : ça a payé tes études…
…
…des pierres et des » Silex « ,…&…journalistes du bricolage,…
…trop de mouches sur les » inca-cas » des profits du pouvoir!,…
…
…Charlemagne,!…et maintenant, le plus petit dénominateur commun,!…il est ou!,…
…
…chacun son plafond,…quelle foire d’empoigne,…sous les rochers des étoiles du temps !,…les » galeries des glaces » pour tout les insectes & cafards,…
…
…d’un rocher de domaine à l’autre pierre, entre les galactiques dinosaures,…encore des couches de cul-turisme des fées aux parfums,…
…
…la micro-macro économie!,…des loup-bards!,…en capture par le sang frais des profits à l’agneau du piège escompté!,…
…
…des os, pour les grands chiens!,…aux colliers nobiliaires & économiques,…
…&…donne la pas-pâtes des luxes-tout-crus aux Messieurs!,…sous les dômes des éternités, la vie des comédies tout cour!,…
…des fourmis, des abeilles, des hommes, des animaux!,…aux instincts,…
…
…vous faite comme vous le sentez!,…Ah!,Ah!,Ah!,…si c’est pas du » Silex « ,mes filles,…y pas le feux à couver!,…en cocon!,…la bise!,…etc!,…
…
…envoyez!,…une autre!,…
« Koweït : il insulte le prophète, 10 ans de prison »
Non ! Pas Lui… l’Autre !
Observatoire de l’helvète dit: 21 juillet 2014 à 13 h 59 min
Maman, ne t’as pas dit ? Je suis ton jumeau, mon frère ! Elle m’avait vendu à un Rom pour faire la manche, intéressée aux bénéfices : ça a payé tes études…
Pas de problème mon petit chéri, mais un con d’usurpateur restera toujours un con d’usurpateur.
Surtout sans humour.
Observatoire de l’helvète,
Je vous pensais moins à cheval sur les principes… A chacun sa monture !
soudaine d’un recueil disparate et médiocre que je n’échangerais pas contre tout Aloysius Bertrand
« c’est un dracul en pantalon bleu sans fond.. »
Surtout qu’Edouard Louis (quelle idée que ce pseudo entaché par le patronyme d’un sérial killer !) s’identifie surtout à l’héroïne du « Bonheur des dames » d’Emile Zola !
L’interview d’Edouard Louis dans « Télérama » est assez révélateur des ambiguïtés et des contradictions où se complaît l’auteur d’ « En finir avec Eddy Bellegueule ». Il a beau y avoir raconté l’histoire de son enfance et ses rapports avec ses parents et son entourage, ce n’est pas , selon lui, de l’autobiographie. Ce n’est pas non plus de l’autofiction. Alors quoi au juste? Un roman, répond l’auteur, voyez la page de titre. Mais attention! Ce n’est pas pour autant une oeuvre de fiction. Ah bon, mais quel genre de roman, alors ? Là-dessus, Edouard Louis reste dans le vague, tout en nous confiant qu’il s’est livré à un long travail d’écriture, et de ré-écriture des dialogues (avec sa mère notamment), que, selon lui, on n’aurait pas compris, sinon. Si c’est pas de la fiction, je veux bien qu’on m’y prenne. La vérité, me semble-t-il, c’est que le néophyte Edouard Louis a pris soin de mettre le mot « roman » sur la couverture, afin d’éviter les ennuis, probablement sur le conseil de son éditeur. Le résultat est que « Pour en finir avec Eddy Bellegueule » navigue entre le témoignage, la confession, l’autobiographie, l’autofiction et la fiction, sans trouver son port d’attache. Avons-nous affaire à un nouveau genre littéraire ? Nous avons surtout affaire à un jeune auteur qui n’a pas eu le culot d’assumer ses audaces.
Portrait de l’affreux, sale et méchant homonyme
http://www.lanouvellerepublique.fr/var/nrv2_archive/storage/images/contenus/articles/2013/10/21/le-tueur-en-serie-emile-louis-est-mort-1657577/30927444-1-fre-FR/Le-tueur-en-serie-Emile-Louis-est-mort_image_article_droite.jpg
C’est le Titre qui est à l’origine de ces palabres, en plus d’indiquer Roman il aurait fallu qu’il distancie son livre de sa propre identité, on en parlerait pas encore.
OdP, Edouard Louis dit que son livre est une oeuvre littéraire, essentiellement du fait de sa CONSTRUCTION : chapitres, paragraphes, points et virgules…
Qu’est-ce à dire ?
Restons modéré et serein : Eddy Louis est un mauvais fils ; à venir, un mauvais homme… Beurck !
Ce qu’il faut dire c’est que ce premier « roman » d’Edouard Louis est un livre lu, pas du genre de la notice précédente des livres que l’on abandonne en cour de route, et bien au-dela des 200 000 exemplaires vendus, impossible pour ma part de mettre la main dessus en bibliothèque parisienne !
Et bientôt, le film et la pièce de théâtre : on a pas fini d’en finir avec Eddy Bellegueule !
Chroniques,
Entre Eddy Bellegueule et Emile Salegueule, la ressemblance hors d’âge est frappante…
JC….. dit: 21 juillet 2014 à 14 h 07 min
Je vous pensais moins enclin à proner cette activité.
Peut-être finalement êtes-vous ce cher antoine (et dérivés prénomesques) qui vous écrit tant et soutenez-vous sans oser nous l’avouer la politique du Hamas.
Parce qu’ainsi publié, c’est comme s’il avait cherché le scandale pour s’attirer un lectorat toujours gourmand et quelque peu voyeur, avec pour bouée dégonflée « roman » au cas où l’embarcation soit soumise à un contrôle des services portuaires et de l’état civil, s’il avait choisi une autre introduction pour son talent littéraire, en serait-on à ce procès qui ne semble pas finir, Organisé? Orchestré? le procès pour booster les ventes, le doute est permis.
Onésiphore, oui je crois qu’il faut encadrer l’interview d’edouard louis dans télérama.Il a écrit un roman qui n’est pas du tout un vulgaire roman comme en écrivent les autres romanciers..ni autre chose d’ailleurs . mais de la sociologie écrivante .edouard louis revient intellectuellement tres fort vers la critique à la Lukacs et vers la conception – surveillance artistique d’un certain Jdanov.loeuvre littéraire lutte des classes. . Honte au bourgeois Céline!!et même au tout petit -bourgeois .Edouard Louis, du haut de ses 12O OOO exemplaires vendus revient à une merveilleuse lutte des classes introduite en littérature par les soviétiques grande époque..Vaz- y Edouard !!!.. ca suffit les petits bourgeois qui dominent et formatent la littérature française actuelle.. Le problème c’est que tu cites en exemples zola, dans l’interview Télérama, mais Zola était le modèle de Louis ferdinand Céline.ah.. malédiction !.. Mais tu n’es pas encore edouard- louis- Ferdinand céline, même avec un premier roman rageur liquidateur.
…
…@,…Bérénice, la femme de Titus,…
…
…zizanies ou les poésies, pour le temps à la mode!,…
……………et puis s’en vont!,…deux Paris pour un Troie,…
…
…Ah!,…Ah!,Ah!,Ah!,…sans » Silex « ,…etc!,…
…
Observatoire,
Bien vu ! Je soutiens de tout mon cœur les dirigeants du Hamas, aimables roquets et roquettes islamiques, transférant précautionneusement leur pétrodollars en Suisse, ainsi que le courageux peuple de Palestine aux pleurs si photogéniques.
Nous vaincrons car Allah est grand ! Les Juifs au four ! Palestine vaincra. Califat pour Barbès et Sarcelles !…
(j’adore m’usurper moi-même)
« Et bientôt, le film et la pièce de théâtre : on a pas fini d’en finir avec Eddy Bellegueule ! »
Richard Millet a raison : on est foutus.
Giovanni je ne suis pas en mesure d’évaluer votre post afin de voir exactement où se situerait l’ironie:
Par respect envers la volonté du peuple, il va renvoyer Bérénice « malgré lui et malgré elle » en Judée.
Dès lors il se sépare de tous ses favoris et s’interdit même d’assister aux représentations et renonce aux plaisirs.
Wiki
JC vous n’aurez qu’à vous inviter à un quelconque congrès de vieux sympathisant purs pour la cause, ça risque d’aller plus vite, avec un peu de chance un fou ou un autre sera démangé par l’envie de s’offrir un ball-trap.
sympathisants.
Edouard Louis se défend d’avoir voulu faire de l’autofiction ; il aurait même voulu, prétend-il, faire le contraire d’une autofiction, sans trop s’expliquer sur ce point. Mais ce qu’il dit par ailleurs de son livre indique qu’il a bel et bien écrit une autofiction. Cette façon de se prendre les pieds dans les concepts les plus simples, venant de ce jeune normalien, n’indique pas, contrairement à l’enthousiasme widergängérien, que l’Université française soit au top question théorie littéraire.
se faire traiter à 11 h 45 de milicien par le collabo/facho JC, le pied !
ah là là. Je cite l’article de Télérama sur Louis, et rien ne se produit que d’ordinaire sur ce blog, des lazzi à mon endroit et un ramassis de préjugés de la part même de ceux qui, de leur propre aveu, n’ont pas lu le livre… Deux jours plus tard, notre hôte pointe le même sujet via un tweet, et zou : les noms de Céline et Zola sont avancés, comme l’ombre d’un vrai débat commence à planer, et d’un coup d’un seul, on se met à considérer la question. Normal, me direz-vous : l’un est légitime, l’autre pas. Cependant, disons que je souris en coin. Encore un effort et vous verrez : vous trouverez que le sujet vaut le coup d’en débattre. Avancez encore un peu – vous trouverez le moyen de vous procurer le livre. Confrontez les dires de son auteur aux émotions ressenties à la lecture -fluidité du style, double jeu de langage, authenticité (je persiste à me servir, pour Edouard Louis, de la « parole authentique » dont Starobinski fait état pour Rousseau, dans le livre de Blanchot), témoignage, et vous flancherez vous aussi. Votre surmoi abandonnera le préjugé sur le « petit pédé qui crache à la gueule de ses parents » (c’était JC qui s’exprimait ainsi, je crois. N’importe nawak; Et dire qu’il sifflote par là-dessus que non, il ne lira pas le livre… Pauvre type.)et, comme vous êtes rdélien donc épris des mots, vous serez emporté par cette lecture et ce qu’elle nous renvoie à la figure sur notre violence sociale. M’enfin, hein, z’avez le droit de ne pas me croire, egt de continuez à bêler que Clopine et Louis, les deux font la paire de C. Perso, je ne suis pas savante, mais je m’accorde le droit de savoir lire. Et il faut être aveugle pour ne pas lire la force et la puissance de l’intelligence, dans ce livre-là.
vous avez en commun de faire la promo de la sodomie clopine..lassouline lui même va en être attendri
et renonce aux plaisirs.
Que la lumière soit.
ML et Titus même combat.
Du Millet pour les petits oiseaux.
En laissant de côté la provenance du matériau de base et l’analyse visant à déterminer ce qu’est ce livre ou ce qu’il n’est pas visant à le classer dans une catégorie ou une autre comme si c’était ce qui importait le plus, quelles sont ses qualités purement et indéniablement littéraires?
… Et puis renseignez-vous un peu mieux, Onésiphore. Louis est SOCIOLOGUE, il a étudié et analysé BOURDIEU, sa branche à Normale Sup est la sociologie et non la rue d’Ulm, il va animer une collection sociologique. Le fait est que la force de son procédé (s’appliquer à lui-même les thèses bourdieusiennes) est rehaussé, d’abord par l’intensité des scènes racontées, ensuite par ce style maîtrisé et mis à distance, pour la moitié du livre environ, et « recréé » -je croyais que Louis avait comme « enregistré » le langage parental, en fait il l’a recrée pour servir son propos – pour l’autre moitié. Lecture rapide, fluide, maîtrise et émotion. Ceci explique le chiffre de ventes -mais nous sommes ici dans un cénacle où tout succès est suspect. Ma parole, au dix-neuvième siècle, vous auriez tous en choeur craché sur Dumas ou Hugo, par pure jalousie et impuissance créatrice…
Le père d’Eddy le normalien a 47 ans.
Il est mort ?
la promo de la sodomie clopine..
L’apologie, Bouguereau que diable! situez-vous dans ces temps décadents ou vous serez, si vous ne l’êtes pas déjà, un Has-been déconnecté des réalités contemporaines.
Ah, c’est vrai il a la langue des dominants , des dominés. Mon dieu, mais c’est bien sûr
dans la façon de parler et d’écrire il y a une manière d’affirmation d’identité..ou de recherche..etc.. »social »..aprés qu’il y ait des glissement vers des superpositions de sous ensemble a « conscience politique » c’est banal.
ce sont des enjeux « classiques » polo, ça nous changra des mères castratrices
« Votre surmoi abandonnera le préjugé sur le « petit pédé qui crache à la gueule de ses parents » (c’était JC qui s’exprimait ainsi, je crois. N’importe nawak; Et dire qu’il sifflote par là-dessus que non, il ne lira pas le livre… Pauvre type.) »
Et pourquoi j’irai lire le livre de ce petit pédé qui crache à la gueule de ses parents, hein ?
Je lis ce que je veux, eh, grosse patate !!!
(Dites docteur, elle est vraiment conne, l’inculte, n’est il pas vrai, pour écrire : « je m’accorde le droit de savoir lire. Et il faut être aveugle pour ne pas lire la force et la puissance de l’intelligence, dans ce livre-là. ? Pauvre pétasse …)
Et voilà !
Vous êtes contents de vous ?
Pourriez quand même éviter de ramener Eddy sur le tapis,
ça vous plait vraiment de vous taper des dizaines de lignes de commentaires plus sirupeux et ridicules les uns que les autres de la part de la gardienne d’oies.
Ah vous l’aimez la soupière.
Il y a un compte-rendu d’admission de Eddy à l’ENS, disponible sur la toile. Il y a également un compte-rendu de conseil d’établissement, quand il était délégué de classe au lycée.
On verra bien jusqu’où le milieu gay, universitaire, boboïsant, et bourdieusien, va pousser son poulain.
Il n’en est pas encore au tirage éditorial faramineux d’une autre baudruche littéraire qu’a été Littel fils.
l’apologie ça fait vieille france déconnectée béré..toujours les larguées à faire obstruction aux force de vente en 4×4 hybride
« il va animer une collection sociologique. »
ça a déjà commencé, Clopine, vous croyez qu’il aura le Goncourt ?
Bérénice, ses qualités sont telles qu’elles m’ont permis de lire un livre très dur, du genre que je me force à lire d’habitude (Céline, Sade) sans m’identifier. Or, chez Louis, l’identification marche vraiment très très fort. J’ai déjà fait état, ici même, des « retours » surprenants, et souvent provenant de femmes c’est vrai, que l’auteur a reçu. Les victimes de la violence sociale se reconnaissent dans ce livre. C’est assez pour qu’ici, certains haussent les épaules et se pincent le nez, n’est-ce pas.
Mais je dois dire aussi que, dans mon admiration, entre aussi une part d’étonnement. Louis a écrit un livre à 20 ans, comme peu en écrivent au terme de toute une vie. Il a réussi à ne pas avoir une écriture du ressentiment, mais de l’analyse. Et cet effort constant (dès la seconde phrase du livre, qui commence par « de mon enfance, je n’ai aucun souvenir heuruex, il atténue et maîtrise son propos, puisque cette seconde phrase explique que, BIEN SUR IL A VECU DES TAS DE MOMENTS HEUREUX, mais que la violence oblitère le souvenir. De même, on lui reproche le portrait très noir et très cru de ses père et mère. Or, Louis précise très bien que son père lui a sauvé la vie en s’opposant à la vengeance du père, qu’il suivait sa mère, petit enfant, partout où elle allait, etc. etc.) paie bien entendu ses fruits… Je ne trouve pas d’autre mot qu' »authentique » pour qualifier cette écriture-là; Comme celle de Rousseau, éclairée par l’analyse sociologique de notre siècle.
En un mot : phénomène, oui, mais surtout bravo. Juste bravo.
Eddy et Clopine à la Trappe dit: 21 Pourriez quand même éviter de ramener Eddy sur le tapis
C’est de l’eau de rose de la comtesse de Ségur de l’Harlequin faut lire les quantiques instead là ça arrache hon devient fou absolument…
Et pourquoi j’irai lire le livre de ce petit pédé qui crache à la gueule de ses parents, hein ?
»
t’as pas de 4×4 ni de djetsky..va prende « les transports »! jicé
euh… Lire « frère aîné ; c’est une scène dure du livre. Le frère aîné manque vraiment d’exercer une violence physique sur le jeune homme, et c’est son père qui le protège, sans en ressortir indemne d’ailleurs. Le « passage à l’acte » s’est joué là. Une chance de plus pour Louis…
« sa branche à Normale Sup est la sociologie et non la rue d’Ulm »
Clopine
???????????
La lecture de google restera toujours un mystère pour celle qui se vante de savoir si bien lire.
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…@,…Bérénice,…il n’y a jamais, vraiment de l’ironie dans mes textes ou réflexions,…
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…je participe,…et m’en vais,…sans plus!,…pas passionné pour rien!,…dégoutté , Oui!,…déjà avec rien!,…
…beaucoup de Cinéma, pour une petite nature,…
…bien remuer le thé,…pour une mousse de bière!,…au genre Panaché d’Alsace,…bière-limonade!,…cool ! Bérénice,…on ne vit qu’une fois!,…et encore!,…Ah!,Ah!,Ah!,…
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Belle chronique Corse, Clopine, il lit quoi le Clopinou sous son livre parasol ?
Portrait de l’affreux, sale et méchant homonyme
c’est assez répugnant l’ami..et franchement comment ne pas se réjouir à la vue d’un gars de 21 ans cartonnant avec son premier un bouquin dans télérama..je le trouve plutot choux comme dirait dracul
Merdum, je vuolais dire qu’il ne fait pas d’études de lettres ou de philo (plus habituellement associées à la rue d’ulm) mais de la socio !
En Corse, cela se voit sur la photo, Clopinou révisait, voyons !!! (du droit administratif. A-t-on idée d’oser emmener un pensum pareil dans des endroits aussi beaux !)
BIEN SUR IL A VECU DES TAS DE MOMENTS HEUREUX
..pas la peine de crier si fort clopine
C’est vrai, le Boug’, je m’emporte, je m’emporte… Pardonnez-moi. C’est que j’ai l’admiration facile et passionnée. Encore une fois, je préfère ma part à celle des blasés, sceptiques et froids érudits…
Il a de la chance, Eddy !
Un siècle plus tôt il débutait chez les Freaks du BARNUM CIRCUS, entre la femme à barbe, le chauve aux cheveux roux, Tom Pouce, les Siamoises en folie et la Pastèque proustienne auto-normande !
Là, en France cultivée, il finira chez les freaks de l’édition sociologique, bourdieutiusé de son vivant, son œuvre oubliée sur les étagères poussiéreuses du temps perdu…
animer une collection sociologique. Clopécrit.
Cela ne veut rien dire!
Sinon que celle qui a trouvé sa dévotion nous explique.
Merci.
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…la communion par la famille et sa poule au pot,!…
…ce qui fait pilote Air-Bus auto-gode en famille!,…
…les exploits dans la vie de châteaux façon chaumières transparentes,…micro, caméra-cachées,…cool les rôles!,…
…le changement inversé,…
…la vie, dans les fermes ta gueule et travailles aux champs,!…
…revoir les gens du terroir à V.G.d’instinct à l’accordéon,…
…dans la belle-gueule mon chérie,…
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…résultats des misères en républiques des élites investis-soeurs aux bourses pleines, aux Cas-cas 40,…
…par ici,la galère à nos French-cancans 40,…Ah!,…
…ne nous forçons pas!,…pour rire du blé!,…c’est pas mieux ailleurs!,…etc!,…
…corporatismes!,…
Clopine vous le dit alors croyez la merdre, elle sait lire elle.
Epi c’est dans Télérama donc c’est juste.
La bible des ménauposées bien-pensantes, mais de Gauche, ne peut se tromper.
Alors…
Je sais lire donc je sais si c’est bon.
Du Widerganger ?
Non, du Clopine.
Wharfffffffffffffffff
Que cherchent donc les italiens (car ce sont souvent des italiens) ici, qu’ils n’ont donc pas chez eux ? Eh bien… Quand on a vu l’horreur des plages italiennes, privatisées c’est-à-dire payantes, Clopineréagit sur blog
Qu’ elle se contente du petit suisse André Louis, pour ce qui est des italiens, on en rencontre dans le monde entier et ce depuis des lustres!
Beaucoup de raison pour ne pas y croire.
Si Clopine vous le dit : méfiance, si c’est une affolée
Elle sait lire elle : tout le monde sait lire.
Epi c’est dans Télérama : un magazine pour les cons
Donc c’est juste : justement non !
La bible des ménauposées bien-pensantes : bien pesantes, oui !
Mais de Gauche, ne peut se tromper : hélas, nous savons qu’au contraire, la gaucherie …
Que cherchent donc les italiens (car ce sont souvent des italiens) ici, qu’ils n’ont donc pas chez eux ? Eh bien… Quand on a vu l’horreur des plages italiennes, privatisées c’est-à-dire payantes, Clopineréagit sur blog
Haute analyse bourdieusienne!
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…avec toutes les plages italiennes privées payantes,…
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…& avec tout les étrangers qui passent et nous repassent les hosties en groupe,!…
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…çà nous en fait des ballons-ronds des autres plus que français à nous mettre!,…
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…il y en à dans le monde, Oui!,…moins chez-eux, des vrais-enculés!,…de la botte aux fromages garde-suisses aux rats!,…Ah!,
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…modérations,…Attentions-Avalanches,!…
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