Le lecteur numérique serait-il profondément superficiel ?
C’est déjà une scie de tous les débats, tous les colloques, toutes les enquêtes, et Dieu sait qu’il y en a, sur les nouveaux usages de la lecture. Mais c’est en passe devenir un axiome en attente d’un Fl@ubert qui lui règlerait son compte dans un Dictionnaire des idées reçues en ligne : « Lecteur numérique : profondément superficiel ». En attendant ce point de non-retour, les recherches dans différentes disciplines (histoire, littérature, psychologie, informatique…) se multiplient pour prouver que, du moins dans les populations lycéennes et étudiantes (entendez : les générations montantes, celles qui seront demain aux manettes et nous gouverneront), lorsqu’on les compare, la lecture en ligne y est plus superficielle, quand la lecture sur papier y est, elle, plus profonde. Comme si c’était consubstantiel au support. On en a encore récemment lu une démonstration assez exemplaire dans son genre.
Prenez une étude effectuée par un chercheur sur l’évolution des comportements de lecture depuis dix ans. Le « nouveau lecteur » y apparaît de toute évidence moins concentré et moins profond que l’ancien, peu porté à une lecture en continu. Prenez une autre étude focalisée sur les processus cognitifs à l’œuvre lorsque le lecteur jongle avec les hypertextes et vous verrez que, sur ce plan-là, les cerveaux lents sont désavantagés par rapport aux cerveaux rapides (qui l’eût cru ?) et tout reste encore à faire.
Prenez une étude qui fait la peau à la légende selon laquelle la lecture sur écran prend plus de temps car la compréhension y est plus lente. Puis complétez-la par une autre prouvant que, contrairement à une idée reçue, on n’observe pas de différence dans l’ordre de la difficulté pour l’editing d’un texte sur papier et dans celui d’un texte numérisé.
Prenez une étude effectuée avec force tests sur un panel d’étudiants sud-coréens, donc une population hautement connectée (quand je pense qu’ils m’ont invité il y a sept ou huit ans déjà à parler en français à Séoul de « La République des livres » dans un amphithéâtre bondé ! ). Il en ressort que leur fatigue oculaire après des heures passées face à l’écran atténuait leur capacité d’attention au texte et, partant, l’acuité de leur perception. Pour autant, sans plébisciter le papier, ils appellent de leurs vœux un perfectionnement de l’outil technologique en matière d’éclairage.
Prenez simplement le programme d’un colloque international de spécialistes de la chose et vous serez tout épastrouillé par les thèmes, pistes, directions de leurs travaux et tout ce qui les empêche de dormir.
Touillez, demandez-vous si vous avez lu, compris, ingurgité et ruminé toutes ces informations en surface ou en en creusant bien les multiples couches de sens malgré l’écueil de l’écran, et vous avez une bonne synthèse du New Yorker, assez optimiste au fond sur les capacités d’adaptation du nouveau lecteur. Je l’ai lue sur mon ordinateur, celui-là même où j’ai stocké nombre de romans de la rentrée grâce à l’obligeance des éditeurs qui m’en ont communiqué le pdf. Ce qui est tout de même plus pratique que des voyager avec des sacs de 20 kgs de livres, permet de souligner, de surligner, d’entourer au lasso, de prendre des notes, de rechercher des occurrences de termes et de retrouver un passage aisément, tout en écrivant des commentaires à venir pour des billets destinés à un certain site littéraire. Je le fais aussi et surtout pour un jury littéraire auquel je m’honore d’appartenir ; mais ne le répétez pas ici ou là, d’aucuns pourraient soudainement en déduire que ma lecture en a été, comment dire, superficielle… Risqué, n’est-il pas ? Et qui sait si un jour un auteur ne me reprochera pas de l’avoir mal compris et mal apprécié pour avoir lu son livre sur écran…
(Illustrations Jonathan Rosen et David Plunkert)
1 414 Réponses pour Le lecteur numérique serait-il profondément superficiel ?
Le problème, Ducornaud, c’est que vous ne voyez pas plus loin que votre univers franchouillard. Je répète donc, les musulmans en Allemagne (en grande majorité des Turques), sont aussi souvent agressifs envers les Juifs. Se promener avec une kippa dans les rues de Berlin, est devenu dangereux. Oui, plus à Kreuzberg qu’à la Fasanenstrasse ou que dans les quartiers chics de Potsdam. Le centre culturel Juif de Berlin se trouve en sandwich au bon milieu de quartiers turques*. Votre explication concernant le Maghreb, ancienne région colonisée, me parait ne pas tenir la route. Je connais votre animosité envers tout ce qui n’est pas « de souche », désolé D.bile mais les Juifs, comme les Vikings sont venus d’ailleurs. Et puis vous êtes auvergnat, ce n’est pas non plus francilien de souche, non ?
Ducornaud, je ne vous rend pas la politesse, vous n’êtes pas « mon » Ducornaud. Votre familiarité me parait tout à fait prolétaire, enfin vu vos origines, campagnarde. Peut-être vous vous voyez en garçon de ferme et votre « mon » Thierry correspond à un « mon maître » ? Je suis donc très honoré, quoique, je préférerais que vous restassiez sur TKT.
* Question physique, rien ne différencie un Juif d’un turque, ou un juif d’un autre sémite.
Lu ce matin dans « le Monde » de ce jour un article intitulé » Mes enfants ont déjà la haine des Juifs ».
Sur ce, je suis allé récupérer mon petit-fils,six ans, au centre aéré de Marseille où ses parents l’ont inscrit pour les vacances. Comme nous passions devant la synagogue du quartier, « Un bon Juif est un Juif mort », a-t-il fait, sentencieux.
— Si petit, et déjà si sage, a commenté une dame souriante qui nous croisait à ce moment là.
— Mêlez-vous de ce qui vous regarde ! Vous devriez avoir honte, lui ai-je rétorqué vertement.
— Qui t’a dit ça ? , ai-je demandé à mon petit-fils.
— C’est mon copain Adolf.
— Adolphe, comment tu l’écris ?
— Avec un F . C’est ses parents qui l’ont voulu. En hommage à un grand homme, qu’ils lui ont expliqué.
Sale ambiance, c’st moi qui vous le dis.
Phil, j’ai un neveu de 12 ans, il lit des livres sur le support papier.
Je ne crois d’ailleurs pas que les maisons d’édition pour enfants, travaillent avec les e-books.
Samuel Klugger dit: 22 juillet 2014 à 12 h 00 min
Après les émeutes à propos de Gaza, la France se videra de ses Juifs et gardera ses Musulmans. Le choix est curieux.
C’est un bon critère (il y en a d’autres aussi) pour évaluer la faillite possible de notre gouvernement, et même de notre Etat.
« Qui sont nos amis, qui sont nos ennemis? » demandait avec justesse l’ignoble Mao Zedong!
L’identification de l’ennemi demande un travail très difficile.
Notre classe politique actuelle n’a ni l’intelligence ni la volonté pour procéder à cette réflexion publique.
(Pour éviter les malentendus, mais est-il nécessaire de le dire?, l’ennemi n’est pas l’Islam en général).
Le très bon penseur du politique Julien Freund a eu avec Jean Hyppolite, le commentateur de Hegel, lors d’une soutenance historique dirigée par Aron (1965), le dialogue suivant.
J.H.: « Reste la catégorie de l’ami-ennemi définissant la politique. Si vous avez vraiment raison, il ne me reste plus qu’à cultiver mon jardin ».
J.F.: Ecoutez, Monsieur Hyppolite, … vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi, comme tous les pacifistes. Du moment que nous ne voulons pas d’ennemis, nous n’en aurons pas, raisonnez-vous. Or c’est l’ennemi qui vous désigne. Et s’il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d’amitié. Du moment qu’il veut que vous soyez l’ennemi, vous l’êtes. Et il vous empêchera même de cultiver votre jardin.
J.H. « Résultat: il ne me reste plus qu’à me suicider! ».
Il y a dans ce dialogue quelque chose d’exemplaire.
« La paix ne se fait pas par exclusion mais par inclusion de l’inimitié » (JF). La paix qui exclut l’ennemi s’appelle guerre.
Par un apparent paradoxe, celui qui refuse l’idée de l’ennemi (par exemple l’homo europeanus) est un ennemi de la paix.
Politique de comptoir?
Mais bien sûr!
Dans les pays démocratiques la politique se débat au comptoir.
(Sous le Kuomintang, on lisait dans les maisons de thé: « Il est interdit de parler des choses de l’Etat »).
(Au fait, cet échange peut être trouvé dans la réédition du livre de Freund, L’essence du politique, Dalloz, 2004, p. 854-855)
« ai je oublié quekchose ? »
A savoir si le ghetto de Gaza diffère de celui de Varsovie ?
En vérité, je vous le dis, ces adorateurs d’Allah doivent être remis à leur place : il en va de notre civilisation judéo-chrétienne !
Qu’ils retournent se soumettre aux califes pétroliers d’Arabie Saoudite, gardienne des lieux saints ! Nous n’avons pas besoin de diversité, mais d’efficacité.
TKT dit: 22 juillet 2014 à 13 h 00 min
les musulmans en Allemagne (en grande majorité des Turques)
L’immigration féminine est à des niveaux jamais atteints.
Thierry suit cela de très près.
* Question physique, rien ne différencie un Juif d’un turque
Et une juive d’une turc ?
* Question physique, rien ne différencie un Juif d’un turque, ou un juif d’un autre sémite.
TKT
J’ai l’impression qu’il y a plusieurs loups dans cette phrase, mais où ?
En quoi notre conversation numérique sur la RDL serait-elle plus superficielle que si elle avait été publiée en version papier ?
On ne peut faire l’économie de l’écriture numérique aussi, bien avant de parler de la lecture du même nom.
Passou, dans sa note, oublie l’essentiel !
Timour dit: 22 juillet 2014 à 13 h 26 min
* Question physique, rien ne différencie un Juif d’un turque
Et une juive d’une turc ?
Ce n’est que la manifestation locale d’une dialectique éternelle, celle d’une Sublime porte et d’un Grand truc.
..tout tesque ou presque a été à un moment donné digitalisé.. sur papiir inclu
il en va de notre civilisation judéo-chrétienne !
tout petit déjà tu faisais l’athée qui se jette dans les jupons de l’archevèque..il trouvait ça meilleur
est ce que tu veux dire sale antisémite de keupu qu’y y’a trop de judéomaconique d’obédience de droite dans nos médias? bouguereau
il est lourd bouguereau
Le choix est curieux
jamais jicé echangerais ses 5 baril de gaga contre 1 baril d’antisémite à la keupu..autant le dire tout net
Le choix est curieux
c’est léger comme une plume
« ai je oublié quekchose ? »
A savoir si le ghetto de Gaza diffère de celui de Varsovie ?
Il diffère, en cela que les juifs qui ont péri n’étaient pas soutenu par le djihad islamique, les nazis se situaient à l’extérieur, alors que là, si tu ouvres la bande de Gaza, les islamistes vont rappliquer de partout en l’empruntant comme un passage pour piéton pour aller faire la peau à Israël.
même le franchouillard n’est pas de souche..le franchouillard moyen ça remonte pas a plus de..quoi..2 générations?..fils de salopes les franchouillards..tandis que toi vontraube t’es cousin a jésus..pas enraciné pour un rond.léger..une plume comme keupu..bande d’enculés!
Et l’orthogr@phe
P@ssou, @ll@ll@ etc
TKT : « Le centre culturel Juif de Berlin se trouve en sandwich au bon milieu de quartiers turques »
–
… ben c’est pas très malin de l’avoir construit ici. si c’était à refaire…
tais toi béré..tu t’enlaidis..sois coquette
OdP de grâce arrêtez de vous raconter des salades.
l’antisémitisme n’a jamais eu besoin de s’inventer des prétextes.
les gens s’en tapent des palestiniens !
l’armée syrienne a massacré un camp de réfugiés palestiniens il n’y avait un chat dans les rues.
si l’armée égyptienne rentrait à Gaza pour dégommer toute la population il n’y aurait pas un chat dans les rues.
regardez toutes les guerres, tous les massacres d’enfants, les viols, les crimes les plus sordides : il n’y a jamais un chat dans les rues.
parce que les gens se tapent de toutes les guerres.
vous connaissez la nature humaine aussi bien que moi les gens s’en foutent qu’on tue qu’on massacre.
à une seule exception : quand c’est des juifs.
alors là oui, un militaire israélien tue un enfant ? là vous pouvez faire descendre un pays entier dans la rue.
alors c’est quoi le problème ?
l’histoire doit se rejouer éternellement ?
vous auriez été en 1940 vous auriez mis d’autres choses sur le dos des juifs.
parce que les juifs ne sont jamais aussi parfaits qu’ils devraient l’être ?
l’humanité entière peut trucider à tour de bras qu’on s’en fout, mais qu’un juif commette un crime alors c’est la révolution ?
c’est toujours la même histoire qui se rejoue.
vous avez de la m.rde dans les yeux pour ne pas le voir ? ou vous êtes totalement idiot ?
A tantôt.
Un patient? un client? un mendiant? du ternaire, comme quoi la théorie musicale nous éloigne des affres du géopolitique.
bouguereau dit: 22 juillet 2014 à 13 h 50 min
1 baril d’antisémite à la keupu.
tout ça ne dit rien du goût pour les beaux papiers,
Une visite ici s’impose,
http://www.malatestiana.it/page.asp?IDprodotto=44
C’est ce que je vais faire à la fin de l’ été.
tu vois béré..keupu..une raclure..réagis
@ « Ce n’est que la manifestation locale d’une dialectique éternelle, celle d’une Sublime porte et d’un Grand truc. » nous écrit Ueda avec humour.
Rose, j’ai laissé Vineland à la page 201, ceci dit j’ai passé 1h à le chercher et je l’ai enfin retrouvé ce matin, coincé sous un baffle pour isolation sonore.
(- Ok, il me faut une équipe, on va sortir tous ces plats surprises, et puis on votera pour savoir si ça peut se manger.)
Je commence à en avoir plus que marre de me faire appeler Ducornaud par TKT. C’est un message que je lui adresse. S’il veut que ces messages soient conservés par la modération, auprès de laquelle je pourrais tout à fait me plaindre au vu du préjudice que je subis, qu’il apprenne à se modérer.
Même la couleur joue un rôle précis : les colonnes blanches, médianes, la terre cuite rouge et des demi-colonnes et le vert du plâtre, mis au jour par la restauration des années vingt du XXe siècle, se référer aux couleurs du blason du territoire.
Une invitation au voyage, ça donne envie.
bouguereau dit: 22 juillet 2014 à 14 h 07 min
tu vois béré..keupu..une raclure..réagi
D, installez-vous au dessus de l’insulte, vous verrez, on est plus tranquille.
bérénice, Ravenne dans la foulée et les plages de Fellini…!
Voir certains manuscrits des œuvres d’ Aristote ou de St. Augustin, on s’ en régale d’ avance!
Bérénice 14h 20
Merci, ma mie.
on on..et il a besoin de le dire ici pour en jouir d’avance..léger
voilà dédé du commerce agréable.. »on » s’en réjouis d’avance
bon ! dédé..garde ce lieu propre!
BALLADE EN L’HONNEUR DE MA TAN DOUCE TOURMENTE
Joaillier, choisis dans ta coupe tes pierres les plus précieuses, fais-les ruisseler entre tes doigts, embrase en gerbes multicolores les flammes des diamants et des rubis, des émeraudes et des topazes ; jamais leurs folles étincelles ne pétilleront comme les yeux de ma brune madone, comme les yeux de ma tant douce tourmente !
Les yeux de ma mie versent de morbides pâmoisons, de câlines stupeurs ! Ils flamboient comme des vesprées et reflètent, au déduit, les tons phosphorescents de la mer houleuse, le féerique scintillement des mouvantes lucioles dans les nuits d’orage.
Les yeux de ma mie rompent les plus fermes volontés : c’est le vin capiteux qui coule à plein bord, c’est le philtre qui charrie le vertige, c’est la vapeur de chanvre qui affole, c’est l’opium qui fait vaciller l’âme et la traîne, éperdue, dans d’inquiétantes hallucinations, dans de paradisiaques béatitudes.
Et qu’importe ! ivresse, vertige, enchantement, délire, je veux les boire jusqu’à l’extase dans ces coupes alléchantes, je veux assoupir mes angoisses, je veux étouffer mes rancœurs dans les chaudes fumées de ton haleine, dans l’inaltérable splendeur de tes grands yeux, ô brune charmeresse !
Je veux boire l’oubli, l’irrémissible oubli, sur tes lèvres veloutées, sur ces fleurs turbulentes de ton sang ! Je veux entr’ouvrir leurs rouges corolles et en faire jaillir, dans un rehaut de lumière, tes dents, tes dents qui provoquent aux luttes libertines, tes dents qui mordent cruellement les cœurs, tes dents qui sonnent furieusement la charge des baisers !
Joaillier, choisis dans ta coupe tes pierres les plus précieuses, fais-les ruisseler entre tes doigts, embrase en gerbes multicolores les flammes des grenats et des améthystes, des saphirs et des chrysoprases ; jamais leurs folles étincelles ne pétilleront comme les yeux de ma bonne madone, comme les yeux de ma tant douce tourmente !
bérénice, Ravenne dans la foulée et les plages de Fellini…!
C’est très bien tout ça, je n’ai jamais mis les pieds en Italie, on se connait?
Les yeux de ma mie rompent les plus fermes volontés : c’est le vin capiteux qui coule à plein bord, c’est le philtre qui charrie le vertige, c’est la vapeur de chanvre qui affole, c’est l’opium qui fait vaciller l’âme et la traîne, éperdue, dans d’inquiétantes hallucinations, dans de paradisiaques béatitudes.
Nous remarquerons qu’en ces temps lointains, déjà il était d’usage de comparer les tourments de l’amour au transport qu’offre l’usage des drogues douces jusqu’à l’opium sans que pour autant les poètes, écrivains, pauvres amants en souffrance ne reçoivent la visite d’une brigade, la censure et la sanction non-agissantes.
Oui, Bérénice. C’était ce que je voulais que vous remarquiez. Et vous êtes tombé pile dessus.
« cousin a jésus..pas enraciné pour un rond.léger..une plume comme keupu..bande d’enculés! » bouguereau
il en tient une bonne le dictateur bouguereau
pour les bouguereau les mouvements juifs laïques pour la pax c’est des enfoirés comme les obscurantistes du hamas
D pardonnez mon humeur qui ne prend rien au sérieux. De qui ce texte?
Vous pouvez aussi lui inventer un auteur, je n’irai pas vérifier.
bouguereau dit: 22 juillet 2014 à 13 h 56 min
même le franchouillard n’est pas de souche..le franchouillard moyen ça remonte pas a plus de..quoi..2 générations?
Qu’est-ce que tu peux raconter comme conneries, mon pauvre Microbout. J’en suis tout gondolé… Quelle mascotte… Il est servi le père Assouline…
De…qui ?!? Mais enfin… de moi, Bérénice !
Bouguereau votre affirmation est fausse, j’ai bien peur de n’être pas plus que de souche française, arbre remonté assez loin, jusqu’à la révolution française. C’est décevant, j’aurais aimé un métissage mais non…
On vous garde quand même, Bérénice. Ne vous inquiétez-pas.
Française, mais un peu du côté des Alpes par votre papa et de la Bretagne par votre maman.
Ce n’est déjà presque plus Français. Vous pourrez faire valoir ça si on vous embête encore.
Jamais mis les pieds en Italie, mais vous sortez d’où, Bérénice !
Si je m’y suis baladée mais je n’ai quasi rien vu, il me faudrait récidiver.
Disparition stratégique du vidangeur de Dunkerque.
Moi non plus je n’ai guère fréquenté l’Italie. Quelques jours à Salo, un petit tour en Sardaigne en 2001 sur la Costa smeralda avec un ami grand couturier et sa fille. Ça se limite à ça.
Je suis sis à quelques lieux du plateau de Gergovie, on peut pas faire plus Français que moi, je l’ai dans le fion jusqu’au gosier comme dirait un ami à moi qui s’appelle Grobout et que je vous présenterai, Bérénice.
D. dit: 22 juillet 2014 à 15 h 04 min
du côté des Alpes
Ca dépend hon a le Val d’Aoste à récupérer…
ChAlOuX rEdIvIvUs dit: 22 juillet 2014 à 14 h 53 min
Il est servi le père Assouline…
Y va nous mettre dans un bouquin des mauvais…
bérénice dit: 22 juillet 2014 à 14 h 59 min
j’aurais aimé un métissage mais non…
Faut pas se biler Paul Morand dit que dans un temps certain hon le sera tous, avec la peau cuivrée à mourir de plaisir, des yeux en acier qui soudent comme dans Christin et Bilal, et le reste à l’avenant tutti quanti…
Après Assouline, vous attaquez les oeuvres complètes de Paul Edel, Sergio ?
Paul Morand dit que dans un temps..(Sergio)
Certes, mais le métissage à la morand est un melting pot qui conduit au tout à l’égout.
Il faut vérifier si sa correspondance avec Chardonne est disponible pour e-reader, les écrans sensitifs risquent de pas résister. Passou, mandez-nous des nouvelles du second volume à venir. Excellente lecture de plage, abrité dans une corbeille à la mode baltique, à distance respectable des fesses tatouées.
on regarde on regarder on regarder on regarder on regarder on…
Chroniques de mon balcon dit: 22 juillet 2014 à 15 h 37 min
Après Assouline, vous attaquez les oeuvres complètes de Paul Edel
Ha si y a à la bib de Nancy, assurément oui ! Mais c’est loin dans l’Est, déjà, vers l’Ob en gros, donc les bouquins quand ils arrivent les piles elles sont cuites, ou alors mangés par les rats, et puis halors en général comme je viens sur la Yam je suis tellement bourré que j’arrive pas toujours jusqu’à la lettre E…
Phil dit: 22 juillet 2014 à 15 h 54 min
qui conduit au tout à l’égout.
Hey oui ! Mais c’est là que la vie est la plus vivace… Sans parler des scorpions antiatomiques…
le shit y pousse les crocodiles y sont gentils, des anacondas comac font peuter les tuyos pour rigoler..
phil est contre la pornographie qui a portée sur sa croupe la liberté..c’est un proxénète du 3615 à 1€ la mn
l’antisémitisme n’a jamais eu besoin de s’inventer des prétextes. (Hamlet)
C’est bien ce que j’avais en tête de montrer. Voyez-vous, quand des militaires syriens, irakiens, ou même français (c’est déjà arrivé) massacrent des enfants et des femmes sans défense, on s’en indigne, bien sûr, mais on y voit la manifestation de l’ancestrale sauvagerie humaine. Mais quand des militaires israéliens massacrent des enfants et des femmes sans défense, non seulement on s’en indigne, mais on a tendance à trouver ça contre nature. Peut-être, voyez-vous, parce que ce peuple qui a souffert ce qu’il a souffert, on ne comprend pas bien qu’il s’abaisse à agir comme ses tortionnaires d’antan. C’est un mystère qu’on ne comprend pas.
je vois béré qu’il suffit que je tourne le dos pour que tu te refasses une beauté infernale avec du noir de cul de marmite..
C’est un mystère qu’on ne comprend pas
..qui sommes nous et qui est tu pour juger..de quel coté est dieu jean marron ? t’es qu’un rat du navire, voltaire et toi, dieu s’assoit dessus
Ca dépend hon a le Val d’Aoste à récupérer…
ils sont trop prés des étoiles
Si je m’y suis baladée mais je n’ai quasi rien vu
..en italie ?..mais ma parole t’as le feu au cul
16h20 Bouguereau expliquez-vous car je fatigue à tenter de voir clair dans vos oracles. Je vieillis et l’énergie se raréfie comme l’oxygène de vos interventions. Je préfère que vous rattachiez vos wagons, ensuite je vous répondrai.
« Peut-être, voyez-vous, parce que ce peuple qui a souffert ce qu’il a souffert, on ne comprend pas bien qu’il s’abaisse à agir comme ses tortionnaires d’antan. C’est un mystère qu’on ne comprend pas. »
non non que nenni : c’est une chose très facile à comprendre, il n’y a aucun mystère là-dedans.
dites plutôt c’est une chose que je me refuse à comprendre, en fait il y a plein de mystères qui n’en sont pas, on dit juste que c’est mystère parce qu’on les préfère mystérieuses .
vous avez lu le réel et son double de Clément Rosset, l’histoire du mari qui trouve l’amant de sa femme dans le placard mais fait comme s’il n’y avait personne dans le placard ? lui aussi, il est tellement certain de la fidélité de sa femme qu’il trouve mystérieux d’entendre la voix d’un type sortir du placard.
c’est fuligineux..mais tu réagis..c’est l’essentiel béré
il dit qut’es cocu jean marron..c’est du pilpoul léger qu’il dirait dracul
Onésiphore de Prébois dit: 22 juillet 2014 à 16 h 19 min
Peuple et gouvernement ça fait deux
christian baltringue et patrick ça fait trois
« mais on y voit la manifestation de l’ancestrale sauvagerie humaine. Mais quand des militaires israéliens massacrent des enfants et des femmes sans défense, non seulement on s’en indigne, mais on a tendance à trouver ça contre nature. »
le réel et son double.
réfléchissez 2 secondes à ce que vous dites, c’est intéressant :
1/ postulat : les juifs ne sont des gens comme vous et moi.
2/pour vous et moi commettre des actes de sauvagerie est une chose normal et routinière.
3/pour les juifs commettre des actes de sauvagerie est contre nature.
c’est donc pour cette raison que quand des syriens ou des congolais massacrent à tour de bras personne ne manifeste : parce qu’ils ne sont pas juifs ! ils sont comme vous et moi.
cherchez l’erreur….
misère de misère avec des raisonnements pareils nous n’avons pas fini de nous massacrer joyeusement vu que c’est dans notre nature.
quelqu’un peut me dire pourquoi nous ne sommes pas tous juifs ?
je ne sais pas ce que vous en pensez mais si les juifs sont les seuls humains obligés d’aimer leur prochain il me semble que le mieux serait qu’on se convertisse tous au judaïsme.
non ?
« il n’y a pas une nette supériorité des idées reçues sur papier sur les idées reçues en ligne , supposées a priori de culture plus maciste »
on dirait du bouguereau il manque des insultes et rôts
« tout en écrivant des commentaires à venir pour des billets destinés à un certain site littéraire »
excellente idée.
Vous avez l’@dresse de ce site littéraire ?
Les Juifs sont comme nous tous, barbares, et nous pouvons les détester tranquillement, comme des boucs émissaires pratiques à haïr. Ils sont des nôtres !
L’erreur est de considérer les palestiniens labellisés Hamas comme des victimes, seulement des victimes. Ils sont tout aussi barbares !
En refusant la paix et en pratiquant le terrorisme, décidant ainsi de sacrifier femmes et enfants, ils agissent en crapules.
Bref, que des personnes enfants et adultes meurent en grand nombre est une pratique tout à fait normale en temps de guerre, surtout de guerre moderne… Pas de quoi s’en étonner ! Business as usual.
Hamlet, la récupération par les mouvements islamistes des situations pourrissantes ne fait que compliquer la donne, quelque soit la région du monde où le conflit trouve lieu, on en est là . Israël/Palestine, un passif extrêmement lourd, des responsabilités de chaque côté, comment en sortir? Personne ne trouve de solution de paix et durable.
bouguereau dit: 22 juillet 2014 à 16 h 24 min
C’est un mystère qu’on ne comprend pas.
Avec les déficientes capacités cérébrales de Microbout, quoiqu’il se croit un génie fondé à reprendre chacun, on n’est pas près d’y comprende’ queuque chose.
« Qu’il se croie »… Microbout n’aura pas corrigé.
L’orthographe et Microbout ça fait 24.
Microbout, Microbout! L’avez-vous mesuré, éprouvé, testé?
Allez-y si vous voulez, Bérénice, mais à mon avis vous en verrez aussi peu que de l’Italie.
L’affrontement Israël-Palestine est un excellent business !
Un business florissant qui permet à des pétro-monarchies, à des empires, à des cultures, à des théocraties, de s’affronter sans grand danger à l’extérieur de leurs frontières.
Pourquoi voulez-vous que cela cesse ? C’est une situation très pratique, très utile… on à connu ça avec l’URSS, on va peut-être remettre ça avec la Russie
AUCUNE RAISON DE SE PRIVER D’UN TERRAIN DE JEU INTERNATIONAL DE QUALITE ! … La lutte continue !
Je n’ai pas exprimé cette envie, qui serait moins qu’un désir et plus qu’un souhait. N’importe quoi Chaloux redivisé.
Nice Béret, on ne peut pas vous contredire. M’est avis que c’est « moins qu’un désir » et « pas du tout un souhait » depuis de nombreuses décennies.
Chaloux, votre Madame a-t-elle pris son bain de siège? Ou bien Est-ce que votre présence ici signifie que vous sortez enfin du lit de la rivière multicolore et que d’un arc en ciel vous puisez la lumière?
excellente idée.
Vous avez l’@dresse de ce site littéraire ?
ici les visiteurs ne parlent que de littérature !
quand un lecteur de romans vous dit qu’il existe sur terre 2 types d’humanité : une qui peut massacrer son prochain et une autre qui ne le peut pas, dans quel roman trouverez-vous une idée pareille ?
chez Darrieussecq ? chez Hoeullebecq ?
pourquoi les livre seraient-ils coupés du monde et de la vraie vie ?
sans lisez-vous trop de nos auteurs français actuels ?
le monde n’est -il pas un grand livre ?
lecture active.
croyez-moi (ou ne me croyez pas) les plus mauvais lecteurs sont ceux qui arrêtent de lire dès qu’ils ont fermé leur livre.
Charmante Bérénice, je suis seul à la maison, et je me repose en travaillant Smetana. De temps en temps, je passe devant le bureau et y répond à quelques sottises. Notamment aux vôtres. Mais pas de crainte, je serai bientôt – quelques jours, quelques heures- très éloigné de toute névrose commentatoire.
Chaloux Redivivus dit: 22 juillet 2014 à 17 h 13 min
L’orthographe et Microbout ça fait 24
Chaloux, le roi du mattage
Wwwwwwwwwoooouuuuuuaaaaarrfffffffff
Ne vous forcez pas, Chaloux, vos réponses ne me sont d’aucune utilité thérapeutique.
ne faut-il pas que la lecture commence dès que nous avons fermé notre livre ?
un personnage de roman à qui l’auteur posait la question répondit qu’il désirait vivre une vie hypothétique… à savoir laisser ses pensées subir l’influence de ses sentiments et non pas l’inverse.
nos auteurs hélas font souvent l’inverse.
lorsqu’il emploie une phrase du genre « j’aime cette chose » ils se posent la question de la subjectivité du « je » sans jamais se poser celle de la chose.
c’est ki l’imbécile ki a dit qu’il aimait lire sans se prendre la tête.
quelle misère la pauvreté de pensée de nos auteurs est telle qu’on nous fait prendre Houellebecq pour Thomas Mann.
« Mais pas de crainte, je serai bientôt – quelques jours, quelques heures- très éloigné de toute névrose commentatoire. »
Chaloux,
Un, vous ne profitez pas de l’absence de votre compagne pour attaquer la bonne ou la voisine, mais vous attaquez Smetana : lamentable !
Deux, vous souffrirez du manque des facéties erdééliennes, que vous le vouliez ou non : inévitable !
Trois, si vous allez en Corse, dites nous ce que vous pensez de ce monde là : quand on lit les conneries de Clopine, on peut espérer un changement saisissant et une analyse moins idiote !
On peut citer Guaresschi tous les quatre matins. Reste que l’orthographe est une forme élémentaire de courtoisie. Évidemment, les formes, même élémentaires, de courtoisie, c’est quelque chose qui échappe, déjà, à Microbout.
Le reste à l’avenant.
Chaloux, vos soucis ne s’éloignent guère de ceux de Daaphnée, formez-vous la paire-orthographe, le couple idéal, Roméo et Juliette quoiqu’un peu vieillis usés pour incarner ces deux là d’un impossible et malheureux sentiment…
JC, je ne mets jamais les pieds en Corse, bien que ce soit la plus belle île de la terre (j’ai vu beaucoup d’îles, notamment méditerranéennes). Des questions d’héritage qui sentent la poudre (à canon).
On fait toute une histoire avec les Corses sans jamais chercher à les comprendre. Vous y faites appel à un maçon pour construire une maison. Votre terrain ne se trouve pas sur « son territoire » (la Corse fonctionne toujours ainsi), mais il ne vous en dit rien et construit paisiblement. Vous payez tout aussi paisiblement. Dès la fin des travaux, le maçon dont c’est le territoire fait sauter la maison. Logique imparable.
Aux « informations », on appelle ça un « attentat ».
pour revenir un peu à la littérature; devinette : de qui est cette phrase et quel est l’écrivain cité : IL N’ÉCRIT PAS POUR FAIRE DU STYLE, IL TROUVE UNE ÉCRITURE DIFFÉRENTE POUR MONTRER UN VERSANT INÉDIT DE LA RÉALITÉ ???
Aux « informations », on appelle ça un « attentat »
a gaza c’est une frappe chirurgicale..ha c’est des plus malins que toi mon cheuloux
À celui qui n’a d’autre force que la sienne : il ne dépend que de toi de rester ou non confiné en ce lieu. Nul enchantement ne te fais demeurer dans cette île. Affranchis-toi de tes liens, ou ton projet échoue.
En Corse, il faut parler. Peu. Juste pour écouter.
Microbout, je ne suis pas « ton » Cheuloux, loin de là. Maintenant, que les vieux messieurs ne puissent s’empêcher de parler tout seuls, pour ne rien dire… Je n’y peux rien.
« Mais pas de crainte, je serai bientôt – quelques jours, quelques heures- très éloigné de toute névrose commentatoire. »
roo..allons..nous restera babouin baltringue et ses bonnes journées jusqu’à la trinité..risque pas de mourir à la guerre celui là..sapré cheuloux
Béré 17 h 40 min
la cloche daaphnée (déesse pour ueda) fait des fautes d’orthographe et de frappe et écrit des conneriescomme le commun des mortels
je ne sais pas ce que vous en pensez mais si les juifs sont les seuls humains obligés d’aimer leur prochain il me semble que le mieux serait qu’on se convertisse tous au judaïsme.
non ? (Hamlet)
Je ne sais pas, mais il me semble que ceux des Israéliens qui ont manifesté, ces jours derniers, contre l’offensive sur Gaza, sont des gens qui pensent que tuer des femmes et des enfants sans défense, bombarder un hôpital, sont des actes absolument indignes d’un Juif. C’est vrai que nos médias sont étrangement muets sur les protestations de ces Justes.
« moins qu’un désir » et « pas du tout un souhait » depuis de nombreuses décennies
..toujours élégant et prope sur lui..allez..du vent
La Corse est comme tous les pays. Il faut aller en Corse avec des corses, en Italie avec des italiens etc.
Mr Michu dit: 22 juillet 2014 à 17 h 48 min
Henri Guaino ?
bouguereau dit: 22 juillet 2014 à 17 h 56 min
allez..du vent
Ceci doit signifier que Microbout a, tant bien que mal, réussi à flatuler.
Bravo.
Onésiphore de Prébois dit: 22 juillet 2014 à 17 h 55 min
« C’est vrai que nos médias sont étrangement muets sur les protestations de ces Justes. »
A juste titre ! Tes justes sont des cons…
je ne suis pas « ton » Cheuloux, loin de là
tellement prés que tu me postillonnes mon cheuloux..allez va va..smétana va
bouguereau dit: 22 juillet 2014 à 17 h 54 min
Microbout, c’est toujours pareil. Signifie que je serai loin et sans informatique, donc dans l’impossibilité de lire tes arriérées sottises.
(Maintenant que tu as pu (!) flatuler, si tu m’en crois dirige-toi doucement vers les cabinets, un accident étant si vite arrivé. – A ton âge et dans ton état…-)
Chaloux Redivivus dit: 22 juillet 2014 à 17 h 43 min
Merveilleux Chaloux d’une logique implacable.
Si j’ai bien compris, il suffit d’arrêter tous les maçons corses et tous les problèmes de l’île sont réglés.
Il est fort ce Chaloux, pour le prix du commentaire le plus con sur la Corse c’est pas gagné pour Clopine.
Surtout, Microbout, pas de mouvement brusque qui te relâcherais… Vas-y doucement, comme en promenade.
« tuer des femmes et des enfants sans défense, bombarder un hôpital, »
JC,raciste, il adore
A casa dit: 22 juillet 2014 à 18 h 05 min
A casa, tu devrais te rebaptiser en « A Nicha ». T’as rien compris. On dirait Microbout.
bouguereau « tu me postillonnes mon cheuloux.. »
on apprend des trucs avec les commentaires de boug
Et pourtant, ma dentition étant complète, je postillonne peu.
pour le prix du commentaire le plus con
les cons avec les cons..c’est un huuulisse de méditeranée mon cheuloux..
Pour les nombreux incultes qui fréquentent ce blog culturel. Fantaisie sur des airs tchèques. Smetana.
… Tout comme bouguereau est le Sigfried de la couche …
bouguereau dit: 22 juillet 2014 à 18 h 10 min
Tu remarqueras tout de même, Microbout, que « Ulysse de la Méditerranée » est en soi un pléonasme.
Heu…non, je sais, tu ne pouvais pas le remarquer.
Passons… du vent, comme tu dis…
jean paul dit: 22 juillet 2014 à 18 h 07 min
« tuer des femmes et des enfants sans défense, bombarder un hôpital, »
JC,raciste, il adore
Simple constat, mon minet, réveille toi… ! Les « résistants » du Hamas sont les véritables assassins de leur peuple.
jeune..blond..grosse culture..musique? doch!..zimboum..sapré cheuloux épicétou
du vent, comme tu dis…
doch! ça aussi ça colle prés serré à ton personnage..tino
Houle lisse ?
Je me dois d’ajouter que je ne connais pas de bonne version de cette fantaisie, jamais jouée par les grands interprètes. j’ai mis ce qu’il y a de plus propre sur Internet (« de plus propre », déjà Microbout peut plus suivre).
remarque, Microbout, qu’en ce qui concerne ton personnage, à part ton gros c… à accessoires et ta langue plus lourde, plus fielleuse et plus puante que la décharge d’Entressen, on voit pas grand chose non plus qui soit pas « collé »… Et du « collé » y en a….
déjà Microbout peut plus suivre
..t’as trop d’vent huuulisse..
playel bordel ! allez bonne journée christian patrick baltringue..babouin!
(déesse pour ueda)
Quel réseau! Je suis jalouse!
bouguereau dit: 22 juillet 2014 à 18 h 30 min
Salut, Microbout, vieux porc sénile… Va dodo…
Microbout « décolle »…
« Les « résistants » du Hamas sont les véritables assassins de leur peuple. »
les assassins sont les deux extrêmes-droites,pour conserver le pouvoir- ils n’ont rien à foutre de l’ONU
Victoire de Chaloux par défection (on a bien dit « défection ») dudit Microbout, alias bouguereau.
Suite à un appel d’air qui a ventousé ses vieilles fesses, Microbout est coincé dans ses cabinets. Super-Alba, fin connaisseur du problème, est attendu à Dunkerque (ou à Bondy, – juste derrière le cimetière)pour dégager notre sympathique ami à quatre pattes de cette dangereuse mésaventure.
« Microbout notre sympathique ami à quatre pattes », je garde… Merci…
Eh bien, au moins mes vacances (comme le moindre de mes gestes ici) font réagir, dites donc ! Puisque de toute façon, on déformera à l’envi mes propos, allons-y !
Comme je m’étonnais, un soir, dans un jardin de Sartène, de la vigueur du racisme anti-arabe que je voyais sur les murs et entendais dans la bouche des enfants qui jouaient « à la guerre antiratons » sans que personne ne bronche ( et les insultes écrites visent aussi les français, bien que leur portée soit parfois constestable, ainsi ces « français = pd » qui s’étalent sur les murs, et ne me paraissent pas un argument politique ou économique bien solide) on m’expliqua (sans excuser pour autant) ce fait, que la statistique prouve : un quart des attentats racistes français ont lieu en Corse, disent le FRAP et la Licra. L’explication donnée était toute historique, et venait de ce que la société corse a très longtemps été d’une pauvreté remarquable. Or, après la guerre d’Algérie, on « relogea », sans l’accord des habitants, un certain nombre de pieds-noirs en Corse. Et des harkis aussi. Dame, cela ne fait pas comprendre l’amertume ressentie et la violence qui en découle, mais cela contribue peut-être à l’expliquer, d’autant que ces années-là furent celles de l’explosion économique dûe au tourisme. On comprend que l’autochtone eût voulu se la garder pour lui, en fait… Violents, les corses ? Encore que. L’ami qui nous recevait nous racontait ses toutes premières années d’enseignement, liées à son service militaire, en Algérie. Je crois n’avoir jamais entendu un enseignant parler avec autant de respect de ses élèves. « Une classe de 50 », nous racontait-il, « moitié filles, moitié garçons, et moi pas vingt ans là-dedans… »
« Dieu sait », ajoutait-il, « que nous étions pauvres : pendant la guerre, mes chaussures étaient taillées dans des pneus. Mais là-bas. C’était des pauvres de chez Pauvre. Au moins, nous, avions des vêtements… Eh bien, je n’ai jamais retrouvé une telle ferveur d’apprendre… » Et c’est un Corse qui parle…
Je vais vous dire une bonne chose, que l’on n’ose jamais dire. C’est que Mérimée a fait beaucoup de mal à cette île. Il a paré de romantisme une violence aussi barbare que stupide, voilà. Et même si l’omerta corse, issue de tant de vandetta, a parfois du bon (je rappelle que pas un seul juif ne fut livré pendant la seconde guerre mondiale, et que les corses tout seuls, et deux ans avant les autres, ont poliment fichu à la porte les fascistes italiens et allemands…), elle cautionne surtout des revendications identitaires sûrement généreuses mais surtout meurtrières. Mais chuuut (ah là là). Bon, je n’ai pas fait qu’évoquer l’histoire remarquable de la Corse, pendant mon séjour, hein (et pourtant, j’étais dans la famille d’un remarquable archéologu, alors, l’histoire… Elle prouve d’ailleurs mes dires : longtemps, les humains qui habitaient la Corse se détournèrent de la mer).
J’y ai aussi barboté dans les spots de plongée de Campomoro (cf mon blog, sous peu).
Tes justes sont des cons… (JC)
JC ne semble pas se rendre compte qu’avec une telle assertion il justifie Auschwitz. Il est vrai qu’il y a belle lurette que JC ne se soucie plus des implications logiques de ses éructations.
J’espère qu’Alba n’est pas déjà parti sur son vélo électrique rejoindre ses amis les ours dans la forêt de Nançay.
j’étais dans la famille d’un remarquable archéologu (Clopine)
Est-il indiscret de demander son nom ?
Clopine, vous racontez à côté. Le problème des pîeds-noirs, c’est qu’ils sont arrivés avec des prêts à taux zéro et qu’ils ont raflé aux corses leurs propres propriétés qu’ils ne pouvaient plus racheter. De là, leur amertume. Un point tout à fait compréhensible. De Gaulle, comme souvent, a fait là une politique de presbyte, et vous savez que le diable est dans les détails.
Oui, Chaloux, vous avez raison de préciser mon « on relogea » -c’est exactement ce qu’on m’a expliqué. Mais on pourrait parler pendant des heures de la Corse, non ? D’après mon ami, cela a été pendant longtemps une société « clanique », et la brusque accélération de la fin du siècle dernier fait ressembler l’île à un boa, qui a du mal à digérer une énorme proie : la prospérité apportée par le tourisme…
Clopine, allez faire un tour en Bulgarie, en Albanie, vous verrez bien si la tradition clanique est passée…
Ben oui. C’est indiscret. Et j’ai été si longtemps fustigée (je n’oublierai JAMAIS avoir été accusée de « racolage » parce que je mettais une photo de mon fils sur mon blog ; a-t-on accusé de racolage sexuel le père d’Anne Frank ? J’en ai encore la nausée) que je suis moins naïve qu’autrefois.
Onésiphore de Prébois dit: 22 juillet 2014 à 18 h 58 min
Tes justes sont des cons… (JC)
JC ne semble pas se rendre compte qu’avec une telle assertion il justifie Auschwitz. Il est vrai qu’il y a belle lurette que JC ne se soucie plus des implications logiques de ses éructations.
Résumons !
Parce que j’affirme que les « pacifistes juifs », que tu appelles des « Justes » ce qui est un contre sens absolu, sont des cons… je « justifie » Auschwitz !!!
Propos de dément. Mesure tes paroles, mon brave : ça ne passe pas. Adieu… !
True.
L’illustration, la 1ère, fait un peu penser au très houellbecquien Daniel 25, juste avant qu’il ne débranche tout et parte à l’aventure en terre devenue hostile, et ? , et ?
A vous de lire votre suite.
cela a été pendant longtemps une société « clanique » (Clopine)
Elle l’est toujours
Oh, je ne dis pas qu’elle est passée, Chaloux. Je me suis même laissée dire que les querelles intestines, au sein du FLNC, recouvraient parfois bizarrement les anciennes vendettas.. Mais je crois profondément que les Corses sont, avant toute chose, unis désormais dans la préservation de la beauté qui les imprègnent. On m’a raconté que, même pendant l’hiver, chaque jour ou presque, c’était plus fort que tout : il fallait s’arrêter sur la route, certains soirs, pour admirer le coucher du soleil sur la crinière du lion de Rocappina. Comme je suis persuadée que la beauté enbrichit l’homme plus que n’importe quel tiroir-caisse, je suis encline à souhaiter longue vie au peuple corse, à sa langue, et à lui souhaiter d’innover dans son contrat social. Evidemment, on ne manquera pas, ici, de taxer mon propos de toutes les insultes imaginables,mais que voulez-vous que la bonne y fass (chio) ?
bérénice dit: 22 juillet 2014 à 18 h 31 min
Nice béret, Daaphnée est avant tout une femme intelligente. C’est je suppose ce qu’apprécie particulièrement Ueda… Et ce que j’apprécie moi-même.
Propos de dément. Mesure tes paroles, mon brave : ça ne passe pas. Adieu… ! (JC)
Ce sont tes propos de sioniste déchaîné qui sont déments, mon brave. Ce sont tes perpétuelles éructations anti-arabes et antimusulmanes qui sont démentes, mon coco. Tu es un sale petit nazillon qui ne s’ignore pas, mon Loulou. A Auschwitz, tu aurais fait un kapo idéal. Va chier, chien bâtard.
CLOPINA FORA!
pas encore de réponse à ma question ?, il est vrai qu’ici parle-t-on encore de littérature ???à Part les deux P, Passou et Popaul
oh, Chaloux, arrêtez de reprocher ses propos à Bérénice. Ce n’est pas le manque d’intelligence qu’on reproche à Daaphnée. Elle en aurait même de trop. C’est le manque de coeur, tout simplement. A trop s’imer penser comme on se regarde dans un miroir, on s’assèche. D’où les longs brames à la fraîche en direction des mâles qui passent, et en écrasant du talon la « rivale » qui passerait, la malheureuse, par là. Histoire d’humidifier un terrain bien aride, en fait…
« L’explication donnée était toute historique, et venait de ce que la société corse a très longtemps été d’une pauvreté remarquable. Or, après la guerre d’Algérie, on « relogea », sans l’accord des habitants, un certain nombre de pieds-noirs en Corse. Et des harkis aussi. »
Pieds-noirs et harkis étaient donc riches…
Clopine, votre interprétation ressemble à toutes les interprétations de ce qu’on a vu trop vite. Les corses ne sont pas en Corse, ils sont cachés derrière leur île, invisibles au commun des touristes. Même ce qu’ils vous diraient d’eux-mêmes, à supposer qu’ils parlent, serait tronqué. Ce sera toujours un pays et un peuple incompréhensibles à ceux qui ne sont pas de la famille. On croit revenir de Corse et on n’y a jamais mis le pied. Le mieux serait que vos commentaires sur ce thème s’arrêtent aux paysages.
» pieds-noirs en Corse. Et des harkis aussi. »
Bourdieu revividus!
oniséphore 19 h 15 min
Bien dit
Sur Daaphnée, Clopine, il me semble que vous la fantasmez. Dans la composition de votre personnage, vous avez choisi de mettre votre naïveté en avant. Je ne crois pas que ce soit une qualité qu’apprécie particulièrement Daaphnée. C’est bien son droit. Quant aux relations entres intervenants, elles sont ce qu’elles sont. (Je n’ai pas de leçon à donner sur ce point).
Bonne soirée,
Vous voici inutilement remonté, Chaloux. Vous espérez vraiment que votre intervention va me faire limiter à « parler des paysages » (mais ces paysages sont façonnés par les hommes, andouille !) et ne pas tenter de réfléchir à ce que mes vacances m’ont humaines apportées ? D’où vous vient ce ton de douanier, inspectant le coffre d’un possible contrevenant aux frontières ? Du trop juste portrait que je dessine de votre copine Daaphnée, celle-là même dont vous avez quelquefois honte ?
Daaphnée passe des vacances chez des » pieds-noirs en Corse. Et des harkis aussi. »
effectivement la Corse, la Bretagne et le pays Basque sont les seules régions où on ne voit jamais de manifs pro palestiniennes.
tenter de réfléchir à ce que mes vacances m’ont humaines apportées ?
On est déjà au courant, abstenez-vous d’en faire état ici. Secret défense!
Faulkner bien à part, ce n’est pas parce que l’auteur voudrait que ce soit de la littérature que c’est de la littérature…
Eh bon sang,je ne me « compose pas » un personnage, Chaloux. Je me souviens que c’était ce que soupçonnait Renato… Or ma naïveté se double de spontanéité, Chaloux. Ni retorse, ni dans la fabrication. Je ne suis pas assez intelligente pour ça, mais in fine, je suis contente de ne pas être aussi intelligente que cela. Quand on voit ce que d’aucunes en font, de l’intelligence…
Pourtant ma forme de pensée ne me déplaît pas. Au moins, je suis autre. Il y a des dizaines de Daaphnée. Mais combien de Clopines ?
Résultat des courses dit: 22 juillet 2014 à 18 h 40 min
Victoire de Chaloux par défection (on a bien dit « défection ») dudit Microbout, alias bouguereau
Le pire c’est qu’il y croit le breakophile.
Une burne on vous dit.
Clopine,
« Honte », je ne vois pas.
Pour le reste (je vous le disais gentiment), il ne sert à rien de revenir de vos vacances en Corse comme un ministre de l’intérieur en tournée d’inspection. C’est un pays suffisamment merveilleux pour s’y trouver dans d’autres dispositions. On a surtout l’impression en vous lisant que vous avez les doigts tachés par du papier-journal. Votre côté Louise collet…
Bon, ce que j’en dis…
Daaphnée fait du monokini dans la maison du richissime X au Sud de l’ île…
Clopine, tout le monde compose un personnage et se choisit. Personne -presque personne- n’échappe à cette fatalité…
La Guna dit: 22 juillet 2014 à 19 h 35 min
Ton unique, elle joue quelle note quand on tape dessus?
Mais combien de Clopines ?
Faut lire Bourdieu!
les corses, les bretons et les basques sont les seules qui ne sont pas laissés enfumer ni par les démographes, ni par les économistes, ni par les parisiens.
si les corses avaient laissé faire les parisiens, aujourd’hui leur île serait bâtonnées : des immeubles et des hôtels hideux en bord de mer, des clubs de vacances tous les 50 mètres, un festival Berlioz à Ajaccio, un festival de théâtre à Bastia, un festival de cinéma à Porto Vecchio, des supermarchés et des zup…
les parisiens voulaient faire de la Corse ce qu’ils ont fait de la Provence : des endroits où les prix des logements auraient tellement grimpés que les corses n’auraient plus y vivre.
mais comme les corses sont moins c.ns et moins avides de pognon que les habitants du Lubéron au final c’est eux qui auront entubé les parisiens.
on peut critiquer les corses mais pour résister à cet air du temps qui réserve les plus endroits du monde qu’aux grosses fortune il faut avoir de sacrés c.uilles.
leur île serait bastonnées…
leur île serait bitumée..
Attention Clopine, depuis longtemps déjà parler de naïveté et de spontanéité s’apparente à une fiction…
Allez, Chaloux, tope-là. Venez voir les merveilleuses (là nous pourrons au moins tomber d’accord) images de Clopin sur mon blog : gratuites, donc pas chères ahaha, et prouvant que, du ministère de l’intérieur ou non, on peut tomber amoureux de la Corse… Brayonne qui s’en dédit. (Quand je suis rentrée, le ciel était sombre, le jardin détrempé. Il fallait faire un effort pour aimer la vie que me propose ce pays-ci. Mais en fait, tout de suite, Clopin fait revenir le fenouil, le chat me regarde (il demande ses croquettes, en fait) et je vais bientôt fermer ce bon dieu d’ordinateur. La vie peut être douce partout.)
quoi, renato, Faulkner ce n’es pas de la littérature ? expliquez-vous
ni par les parisiens.
Combien de Corses à Paris?
D’après mon ami, cela a été pendant longtemps une société « clanique »,
Clo-Clo
Si votre « ami » vous a raconté qu’elle ne l’était plus, votre « ami » vous a entubé de première.
En rien un ami donc.
même les russes riches qui achètent tout avec leur pognon n’ont pas pu s’y installer en Corse.
qui aujourd’hui résiste au pouvoir de l’argent ?
à part un corse ?
J’ai bien écrit « Faulkner bien à part », n’est-ce pas ?
Odb.ou j brown selon la muse pour les justes une centaine de bobos de tel aviv grande aubaine pour journalistes en mal de sujet.En jouissant de la mort de soldats pour defendre leur pays vous montrez votre vrai nature antisemite hysterique plein de haine
Clopine, je n’irai pas voir vos photos, simplement parce que, pour diverses raisons, mon regard ne peut pas encore se tourner vers Elle. Seul retour possible… Vous m’en donnez des idées… Merci…
…Bonne soirée (je suis en retard mais on ne m’attend pas à Pleyel…).
(Clopine, j’ai pensé à vous il y a quelques jours. Failli acheter un troisième piano. Une voix derrière moi : « Ce n’est pas raisonnable ». Las… C’était vrai, foutue place…).
(Secret Service, ne me dites pas que Daaphnée séjourne chez ma cousine… Ce serait trop drôle…)
il suffit d’aller dans le Var pour comprendre à quel point l’argent détruit l’habitat humain.
en 30 ans le Var c’est devenu un décor pour riches, Hollywood, résultat les varois vivent tous dans des hlm de m.erde et les baraques sont réservées pour les traders luxembourgeois.
résultat des courses l’ambiance est irrespirable.
alors qu’on peut faire le tour de la corse on n’y trouvera pas la moitié du quart ‘un trader luxembourgeois !
résultat l’ambiance y est resté sympathique, c’est le paradis pour celui qui ne regarde par son voisin avec mépris sous prétexte qu’il ne roule pas en bentley !
Pas seulement dans le Var. A 75 kilomètres de la côte on est encore tranquille et on a le meilleur…
Bon vent…
ls bretons c’est pareil : si les bretons avaient laissé faire les parisiens, aujourd’hui leur presqu’île serait bétonnée : des immeubles et des hôtels hideux en bord de mer, des clubs de vacances tous les 50 mètres, un festival Berlioz à Quimper, un festival de théâtre à Paimpol, un festival de cinéma à Brest, des supermarchés et des zup…
les parisiens voulaient faire de la Bretagne ce qu’ils n’ont pas pu faire de la Corse : des endroits où les prix des logements auraient tellement grimpés que les bretons n’auraient plus y vivre.
mais comme les bretons sont moins c.ns et moins avides de pognon que les habitants de Normandie au final c’est eux qui auront entubé les parisiens.
on peut critiquer les bretons mais pour résister à cet air du temps qui réserve les plus beaux endroits du monde qu’aux grosses fortune il faut avoir de sacrés c.uilles.
même les russes riches qui achètent tout avec leur pognon n’ont pas pu s’y installer en Bretagne, c’est dire.
quand le démographe et l’économiste discourent le breton se marre.
et il a raison de se marrer, on n’y trouve pas la moitié d’un chômeur.
Quand on monte dans la montagne des Alpes Maritimes, on découvre aussi une population aux limites -souvent franchies- de la grande pauvreté…
oui, renato; la remarque d’Eddy Louis est très pertinente
« on n’y trouvera pas la moitié du quart ‘un trader luxembourgeois ! »
A mais si yena !
Parqués dans le zoo de Cavallo ils en laissent quelques uns s’échapper pour Sperone.
Il ne faut pas tant médire de l’hospitalité corse.
Chaloux dit: 22 juillet 2014 à 19 h 57 min
Chaloux adepte du Lubéron.
Pas étonnant.
C »est la meme ritournelle…si on trouve les actions d’Israel indignes d’une nation moderne et civilisee et d’un people qui est passé de l’etat de victime a celui de Bourreau, c »est parce qu’on est anti-Semite…une juive anglaise a la radio ce matin disait que denoncer les exactions israeliennes ici a Londres lui coutera un ostracisme a vie pour elle et sa famille…le debat est clos…serrrez les rangs…mon test c »est de demander a tous ces faux-culs une response franche a la question suivante: et si c’etait les palestiniens qui traitaient ainsi les juifs? penseriez-vous , diriez-vous la meme chose? Perso, je penserais pareil…
Oublions la Corse. Parlons littérature.la vraie. Parlons rentrée littéraire. Questions à notre aubergiste.
Avec une joviale agilité », Passou est donc surement en train de découvrir et de déblayer l’autoroute des 3OO et quelques romans écrits dans la langue de Racine, de Turgot, de Marat et de Paul Geraldy, cet impeccable et lisse français, parfois giboyeux chez une québécoise, ou avalancheux chez un antillais à l’île éclatante. Donc une pensée pour notre hôte cerné par la peuplade fanatisée des attachées de presse.. Il séjourne dans la vallée heureuse de la pleine lecture des bouquins qui sortiront fin aout. Dans cette ascension himalayenne , est-ce que son piolet va découvrir parmi la mer de Glace et les parois verticales des épais romans, le génial chef d’œuvre d’un inconnu, le dahu littéraire .Est il en train de surprendre le grand auteur à l’ineffable clarté veronese, ou bien patauge-t-il dans de gros bahuts romanesques peints avec une queue de vache trempée dans le goudron du cliché .car, sachez le, dans le couloir de son appartement ,il y a au moins huit mètres de longueur de jeux d’épreuves, ca ressemble à une avalanche figée. Son mondial à lui a commencé.
Dans l’entretien d’Edouard Louis, je vois davantage la mise en place d’une carrière que des paroles d’écrivain. L’écrivain est celui qui est sorti des discours dominants (et celui de Bourdieu, par exemple, est devenu qu’on le veuille ou non un de ces discours dominants). Il est hors discours (c’est bien le cas d’Annie Ernaux). Littérairement, Louis s’est mis dans une impasse (comment faire aujourd’hui si l’on veut sortir du lot des 675 romans annuels?). Mais c’est une impasse bien fréquentée (mal mais bien), qui lui vaudra de juteux contrats.
Définitivement, ne m’intéresse pas.
Mr Michu, puisque Faulkner est attaché à la tradition expérimentale des écrivains européens (Joyce, Woolf, Proust), et il utilise le flux de conscience, des points de vue multiples et des lacunes temporelles dans la chronologie de l’histoire, il va sans dire qu’il « n’écrit pas pour faire du style, etc. », faut pas être grand sorcier pour le voir à la première lecture…
Non pas Lubéron, tu suis pas. Pas crapaud non plus. La-haut sublime demi-queue…
C’est qui ce Mr Michu ?
Encore un représentant de la chambrée ?
Paul Edel, je veux bien « oublier la Corse », mais peut-être pas quand même pour votre petit couplet tartignole et un brin lèche-c… sur la « rentrée littéraire », dont tout le monde se fout. Parler de septembre un 22 juillet, alors que les vraies vacances ne sont même pas encore commencées pour certains d’entre nous, c’est s’exposer à recevoir des pierres. Vous n’avez ni le sens de la grandeur ni celui de priorités… Ni celui d’une élémentaire prudence.(Ne me refaites pas le coup de la haine, rien à voir avec ça).
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