de Pierre Assouline

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Les intellectuels anéantis par la puissance des médias ?

Les intellectuels anéantis par la puissance des médias ?

Et d’abord, qu’est-ce qu’un intellectuel ? L’air de rien, une vraie colle eu égard au galvaudage de la notion. Passé l’instant de la stupeur face à l’incongruité de la question tellement la réponse paraît aller de soi, il n’y a rien de tel pour animer un débat ou réanimer une conversation. Malentendus et empoignades garantis dès les prémices, les uns s’employant à définir l’adjectif et les autres, le substantif. Où sont passés les intellectuels ? (17 euros, 110 pages textuel) vient à point nous guider dans le maquis des interprétations. L’auteur, Enzo Traverso, historien italien (Piémont, 1957) qui a enseigné les idées politiques à l’université de Picardie avant d’être nommé professeur de romance studies à l’université Cornell (NY), a consacré ses recherches notamment au phénomène totalitaire, à l’antisémitisme, aux violences contemporaines et la guerre civile européenne. Son essai est d’une remarquable clarté, ce qui peut-être dû à sa forme : une conversation avec Régis Meyran.

Enzo Traverso a choisi de l’ouvrir en se référant non à un livre, ni même à un penseur mais à une photographie de l’Agence France-Presse datant de 2000. On y voit un intellectuel palestinien, Edward Saïd (Jérusalem, 1935-NY, 2003), alors professeur de littérature comparée à Columbia, jetant des pierres contre un check-point israélien à la frontière libanaise. Un geste de protestation qu’il se garde de créditer d’un quelconque héroïsme pour y voir plutôt la révélation d’une « posture ». Rien de péjoratif dans cette observation, d’autant que Traverso, se souvenant de ce que la musicologie doit à Saïd (voir son essai Du style tardif qui vient de paraître chez Actes sud), s’en sert pour en faire un intellectuel de la dissonance et du contrepoint, jouant le contraste contre l’harmonie. Pour les Français, mais pas seulement pour eux, tout part de l’Affaire Dreyfus. D’un côté, le « J’accuse » de Zola dans l’Aurore de Clemenceau ; de l’autre, la campagne de l’Action française contre les esprits décadents,  cosmopolites, cérébraux, abstraits, transcendée par Maurice Barrès dans Les Déracinés. Il est vrai que l’intellectuel s’inscrit dans la tradition des Lumières si vivement combattue, et avec quelle persévérance, par les nationalistes.

Au passage, Traverso remet les pendules à l’heure, s’agissant de la manière dont les intellectuels français ont parfois interprété des penseurs allemands avant de les instrumentaliser. On pense à Heidegger, naturellement ; lui pense surtout à Nietzsche, dont Michel Onfray, à la suite de Gilles Deleuze, a voulu faire un usage libertaire alors qu’il était un réactionnaire, qui plus est « un grand critique conservateur de la modernité ». Dans le même élan, Enzo Traverso prévient, dans l’écriture de l’Histoire, une tendance à prétention postidéologique qu’il juge néfaste : l’humanitarisme par lequel certains voudraient nous faire analyser la seconde guerre mondiale (résistance en Italie, guerre civile espagnole, résistance et collaboration en France etc) à travers le prisme exclusif des droits de l’homme

Alors comment le définir désormais, cet intellectuel dont le statut a connu bien des aléas et pour lequel la formule de Sartre (« Celui qui se mêle de ce qui ne le regarde pas ») ne suffit plus, si elle a jamais suffi ? Dans un essai à paraître sur l’histoire des intellectuels italiens (le 15 mars aux Belles Lettres), Frédéric Attal a choisi de préciser en sous-titre : « Prophètes, philosophes et experts ». Disons que c’est l’Italie… Dans la dernière livraison du Débat (No 173, janvier-février 2013), Sylvie Laurent démonte l’idée reçue selon laquelle l’intellectuel de gauche aurait disparu aux Etats-Unis ; il est bel et bien vivant, quoique métamorphosé, mais toujours prompt à remplir sa mission telle que l’avait définie… Edward Saïd : « L’intellectuel est celui qui, à rebours de l’esprit du temps, élucide les conditions d’exercice d’un pouvoir parfois invisible ». Disons que c’est l’Amérique… Michel Foucault avait autrefois apporté sa pierre à l’édifice conceptuel en proposant cette distinction

° L’intellectuel spécifique, le plus souvent un universitaire, intervenant dans les affaires de la cité en s’autorisant de son savoir.

° L’intellectuel universel analysant et jugeant en fonction de valeurs humanistes.

C’était dans les années 70. Depuis, les données ne sont plus tout à fait les mêmes. Catégorisons puisque…

* D’un côté, le savant platonicien ou philosophe-roi de la cité idéale (effrayant)

* De l’autre, le conseiller du prince ou philosophe de cour (docile)

* Entre les deux, l’intellectuel critique du pouvoir (sans grande visibilité)

Le conseiller du prince, qui tient la corde de nos jours, Traverso le rebaptise « expert » : celui qui ne s’engage pas pour défendre des valeurs mais pour mettre en pratique ses compétences en mettant en avant une prétendue neutralité. Le cas de Traverso et Saïd eux-mêmes l’illustre : l’intellectuel n’est plus un écrivain, ni un journaliste, mais un universitaire, même s’il a été en quelque sorte dépossédé de sa maison par les experts. On comprend vite que l’intellectuel du troisième type, critique du pouvoir, est celui qui a les faveurs de l’auteur ; mais son statut social est si précaire qui lui est devenu difficile de peser. Il le préfère à l’intellectuel spécifique tel que l’exaltait Foucault car, même s’il se voulait un expert critique, quarante ans ont passé depuis et l’expert ressemble plutôt à un « technicien de gouvernement », fonction dont on sait qu’elle annihile tout esprit critique.

Cette évolution explique-t-elle pour autant ce que l’on pourra appeler au choix l’absence, la disparition, la mort, ou avec davantage d’optimisme, l’éclipse des intellectuels de ce qui reste du débat d’idées ? Traverso tient une explication : « leur anéantissement par la puissance des médias », ceux-ci confisquant le débat intellectuel comme ce fut le cas lors de la récente polémique autour de Freud lancée par Michel Onfray et sa maison d’édition avec une parfaite maîtrise des outils de la communication. Pas vraiment son genre de beauté. L’intellectuel selon son vœu serait plutôt un chercheur spécifique et critique. En existe-t-il seulement ? Et où rangerait-il alors les Marcel Gauchet, Pierre Rosanvallon, Jean-Claude Milner, Alain Finkielkraut et autres ? Dans la sous-catégorie « Variétés » ? Alors des noms, des noms ! L’auteur cite bien des philosophes (Jacques Rancière, Alain Badiou, Giorgio Agamben, Nancy Fraser, Toni Negri, Slavoj Zizek), un historien (Perry Anderson), un géographe (David Harvey), un sociologue (Philippe Corcuff), un écrivain (Tariq Ali), des théoriciens (Homi Bhabha, G.C. Spivak), dont on ne sache pas qu’ils soient tous étrangers à l’univers impitoyable des médias, pour la plupart marqués à l’extrême-gauche (vraiment pas de chercheurs-spécifiques-et-critiques ailleurs en cherchant bien ?) tout en reconnaissant : « La rupture entre intellectuels critiques et mouvements sociaux reste considérable ». C’est même une litote de le dire ainsi tant le fossé qui les sépare semble, dans bien des domaines, infranchissable. C’est en principe à la génération qu’il revient d’inventer ou, à tout le moins, de proposer de nouvelles utopies ; or elle semble paralysée, ce qui se traduit une étrange atonie de la contestation quand les dérèglements de l’époque devraient au contraire la stimuler.

« Elle (la paralysie) tient à la jonction entre la défaite historique des révolutions du XXème siècle et l’avènement d’une crise tout aussi historique du capitalisme, qui prive une génération d’avenir. Les plus sensibles aux injustices de la société sont les jeunes précarisés qui sont passés par l’université et ont eu accès à la culture. Les conditions d’une explosion sociale sont réunies, mais il n’y a pas de mèche pour mettre le feu aux poudres ».

Entendez qu’il n’y a plus d’horizon d’attente- ce qui devrait être inquiétant pour tous et non pour quelques uns seulement.

(« Bibliothèque de Holland House, Londres, 22 octobre 1940 » photo D.R ; « Edward Saïd en action » photo Afp ; « Le philosophe italien Toni Negri » photo D.R.)

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commentaires

1 180 Réponses pour Les intellectuels anéantis par la puissance des médias ?

D dit: 11 février 2013 à 15h05

Si vous voulez ma place, ne vous gênez pas, mapa ! Non mais ! Et ça me coupe la parole, et ça papote.

renato dit: 11 février 2013 à 15h06

« … il ne viendrait à l’idée de personne de rigoler avec Léon X. »

Enfin quoi ? Léon X était un bon gars : il prit position en faveur de Jean Reuchlin contre l’Inquisition ; il eut dans son cercle les proches d’Érasme ; et c’est seulement parce que Luther n’avait aucun sens de la diplomatie qu’il ne trouvèrent pas un accord…

e dit: 11 février 2013 à 15h08

mapa dit: 11 février 2013 à 15 h 49 min
e refuserai qu’il l’exige de moi.

Qu’en savez-vous ?

mapa dit: 11 février 2013 à 15h08

je n’ai pas d’états d’âme .
je ne vois pas pourquoi j’aurais devoir de dire à x ou y que je le/la trouve emmerdant-e au mieux (dans sa langue sur ce blog).
j’ai eu l’occasion d’entendre Negri à la Sorbonne(colloque Spinoza: Spinoza était-il un intellectuel ?), et donc d’aller suivre un enseignement de Traverso (qui apprit le Yddish )

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 15h11

À part le premier film qui est à l’évidence fantaisiste, tous les autres films sont d’authentiques témoignages filmés d’une présence extra-terrestre au-dessus du Dôme du Rocher le 28 janvier 2011 à une heure du matin. (il faut regarder jusqu’à 4’30 ; et il ne s’agit pas non plus d’un drone israélien):
http://www.youtube.com/watch?v=YRwC_HIL3A8

D dit: 11 février 2013 à 15h12

mapa dit: 11 février 2013 à 16 h 08 min
j’ai eu l’occasion d’entendre Negri à la Sorbonne(colloque Spinoza: Spinoza était-il un intellectuel ?), et donc d’aller suivre un enseignement de Traverso (qui apprit le Yddish )

Vous trouvez votre commentaire intéressant ?

renato dit: 11 février 2013 à 15h19

J-achère n’attend qu’une chose, que quelqu’un lui fasse signe et lui dise : « Vient qu’on cause ». C’est du reste pour cette simple raison qu’elle s’est tapé tous les ziziminaires et les culoques qu’elle s’est tapé.

maman j'ai peur dit: 11 février 2013 à 15h21

Mauvaise Langue, vous m’avez convaincu. J’avais pris David Vincent pour un paranoïaque mais, cette fois, les preuves sont absolument formelles. J’y vois également le signe que les extraterrestres sont antisémites.

mapa dit: 11 février 2013 à 15h22

et comme à la différence des prophètes de ce blog, je n’ai aucune annonce à faire « pour vous » comme ils disent , je me tire par ce que je ne suis pas bon public et que j’ai à faire .Et à lire .

Agent XVZ3 dit: 11 février 2013 à 15h24

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 16 h 21 min
Supprimez la répétition.

Répétition supprimée. A vous.

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 15h24

Non, au contraire. Ils ont pris en photo le seul lieu qui compte pour les Juifs du monde entier. Ils n’ont pas pris en photo n’importe quel lieu, et pas La Mecque.

mapa dit: 11 février 2013 à 15h26

et combien intéressant trouvez-vous le billet ?Comment le situez-vous dans les productions de P.Assouline?

renato dit: 11 février 2013 à 15h26

Avec le bouquet de paranos que déjà on se coltine, il ne manquerait plus que j-achère aussi fasse dans la prophétie.

Agent XVZ3 dit: 11 février 2013 à 15h27

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 16 h 24 min
Ils n’ont pas pris en photo n’importe quel lieu

Ils savent viser. Compris. Sommes sur nos gardes.

renato dit: 11 février 2013 à 15h30

« Ils ont pris en photo le seul lieu qui compte pour les Juifs du monde entier. »

Faire évacuer le lieu serait opportun : 10 contre 1 qu’ils l’ont prit en photo pour le bombarder — et personne ici ne peut imaginer la puissance de l’artillerie extraterrestre.

cé pô gagné! dit: 11 février 2013 à 15h31

les ficelles apprises au plus haut prix .
Mapa

Punaise, ce devait être un cours d’alpha et bêtises à Sion!

bouguereau dit: 11 février 2013 à 15h46

La décadence de l’Eglise suivra mais elle prendra du temps. En même temps que l’Europe sombrera dans le chaos et que l’islam prendra sa revanche…

rhoo..et tu joueras dans un film de série z turque ou tu seras connu pour ta fameuse réplique « my name is hul, drack hül »

renato dit: 11 février 2013 à 15h51

Tiens ! 11.02, c’est aujourd’hui le quatre-vingtième anniversaire des Accords du Latran !

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 15h51

Voilà ce qu’il en est aujourd’hui des débats sur Israël :

Double standard: l’ONU reporte le débat sur Israël par déférence envers l’agenda palestinien

Est-ce important que le Conseil des droits de l’homme de l’ONU reporte un débat sur les violations présumées d’Israël?

Gravement important, nous ont dit la semaine dernière le Conseil et ses défenseurs, qui on fait une crise d’apoplexie quand Israël, demandant un report, a osé manquer une session d’examen prévue le 29 Janvier.

Même le New York Times est entré dans la mêlée – avec un rare éditorial consacré aux activités de l’organisation genevoise – accusant Israël de porter atteinte aux droits de l’homme. Des manchettes dans le monde entier ont fait écho à l’indignation.

UN Watch a déjà exposé l’hypocrisie flagrante de ces accusations vides.

Pourtant, il s’avère désormais qu’exactement au même moment où cette tempête médiatique soufflait, le Conseil était en train d’adopter une approche tout à fait différente à l’égard d’une demande similaire faite par un de ses propres hauts responsables de l’ONU, de reporter le débat sur les violations présumées d’Israël.

UN Watch a découvert que le Conseil a tranquillement publié un préavis annonçant que son propre rapporteur sur la Palestine, le tristement célèbre Richard Falk, qui avait été expulsé de Human Rights Watch en réponse à notre campagne, allait sauter une apparition prévue au Conseil, reportant son rapport de plusieurs mois.

Falk, un théoricien du complot sur le 11-Septembre, devait présenter son rapport le lundi 18 mars – la journée spéciale contre Israël qui est une caractéristique permanente de chaque session – en même temps que la présentation du nouveau rapport de la mission d’établissement des faits du Conseil sur les colonies israéliennes. Au lieu de cela, nous apprenons que le rapport de Falk a été reporté à juin. Aucune raison n’a été donnée.

Même si le report de la présentation du rapport signifie qu’un débat prévu à l’agenda du Conseil sur les violations présumées d’Israël – un instrument supposément vital de justice pour une situation d’urgence – va maintenant être reporté de plusieurs mois, tout d’un coup il n’y a pas d’indignation, aucune objection de principe et aucune question posée par le Conseil et ses adeptes.

Apparemment, le lobby anti-Israël du Conseil était préoccupé que la diatribe prévue de Falk serait noyée par le rapport concurrent sur les colonies et a donc décidé arbitrairement de modifier le calendrier du Conseil afin d’espacer leurs véhicules de propagande en sessions séparées.

En l’occurrence, ce n’est pas la première fois que le Conseil reporte un rapport de Falk et un débat du Conseil pour des raisons politiques.

En 2010, ce sont les Palestiniens eux-mêmes qui ont exigé et facilement obtenu un report du rapport de Falk de la session de mars à celle de juin de cette année.

Falk avait provoqué la colère de Ramallah avec son rapport octroyant un statut onusien à son ennemi juré le Hamas et ses remarques cinglantes à l’endroit de l’Autorité palestinienne et de son chef, Mahmoud Abbas.

Voici ce que des diplomates américains ont signalé, tel que révélé par Wikileaks :
[L’Ambassadeur palestinien adjoint] Zuhairi était visiblement contrarié par la référence [de Falk] au Hamas dans son projet de rapport. Au paragraphe 8, Falk affirme que la résolution 64/10 de l’AGNU [Assemblée générale de l’ONU] appelle le Hamas – en substitution à l’Autorité palestinienne – à mener des enquêtes. Zuhairi a fait valoir qu’il avait trop souvent corrigé les nombreuses erreurs de Falk et que cette dernière tentative malencontreuse de Falk était allée trop loin. Zuhairi dit qu’il pourrait utiliser la réunion d’organisation du CDH [Conseil des droits de l’homme] du 18 février pour chercher à bloquer la présentation du rapport de Falk devant le CDH au motif que Falk avait outrepassé son mandat, avait abordé des questions étrangères à sa mission et n’avait pas correctement tenu compte d’une résolution de l’AGNU (sans parler de l’autorité légitime de l’Autorité palestinienne).
Effectivement, l’ONU, obéissante, a reporté le rapport de Falk – et le débat à son sujet – par déférence non pas à un quelconque souci relatif aux droits humains, mais par déférence aux impératifs de l’agenda politique de l’OLP.

Est-ce important que le Conseil des droits de l’homme de l’ONU reporte un débat sur les violations présumées d’Israël?

En vérité, d’un authentique point de vue des droits de l’homme, cela n’a aucune importance.

En vérité, il n’importe guère que le Conseil a reporté la session d’examen sur Israël de la semaine dernière ou le rapport Falk qui avait été prévu pour le 18 mars 2013.

En vérité, les prétendus débats du Conseil sur Israël ont toute la forme d’un procès stalinien, où le verdict est prononcé à l’avance, et les violeurs et les meurtriers défilent en tant que procureurs de la justice.

Le double standard du Conseil face au report de rapports et de séances n’est qu’un exemple de plus de son préjudice pathologique contre Israël qui sape sa crédibilité et jette une ombre sur la réputation de l’organisation mondiale dans son ensemble.
(UN Watch)

mapa dit: 11 février 2013 à 15h52

Les crétins de blog se reconnaissnet à laquestion : Quiêtes-vous et qui inerdisent aux autres ce qu’ils font , eux mais que jamais au grand jamais ils n’appelleraient, eux, une transgression. Et Ils vont faire sur le blog des autres ce qu’ils ne peuvent faire sur le leur !

Via Châteauroux dit: 11 février 2013 à 15h56

Fais chier ML, vraiment, avec ton obsession!
On parle de la démission des intellos et du pape face aux médias!
Bon, jamais deux sans trois, mais tu exagères!

renato dit: 11 février 2013 à 16h01

Voyez-vous j-achère-popotin-tout-sale, il vaut mieux être un crétin que vous. Comprenez : névrotique-pétant-plus-haut-que-son-cul n’est vraiment pas ce qu’il y a de mieux comme réalisation.

Gédéon Planté dit: 11 février 2013 à 16h01

la puissance de l’artillerie extraterrestre.

Tu l’as dit dédé, c’est pour ça que ML fouette comme un rat musqué!

renato dit: 11 février 2013 à 16h04

« sur le blog des autres en plus »

Évidemment, le sien c’est d’un ennui, mais d’un ennui…

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 16h07

Voilà la réponse des bofs face aux médias au sujet d’Israël : Fais chier !

Est-ce vraiment inattendu… ?

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 16h08

D’ailleurs c’est ce que dit J.C. Milner des bofs européens dans leur rapport avec Israël. Là encore il voit juste au sujet des Européens.

mapa dit: 11 février 2013 à 16h09

au fait, est-ce que le jargon psy est une pathologie typique des intellectuels, puisque les ados dans la rue d’une ville s’en décorent d’un trottoir à l’autre?
ou un indice d’expertise en idiotie de normopathe de l’imparfait du subjonctif bling bling à la m’as-tu vu ?
beaucoup d’articles en ce moment sur les ados et la tchatche avec internet(lus sur papier )

bouguereau dit: 11 février 2013 à 16h14

la tchatche avec internet(lus sur papier )

..ce mec me tue, c’est pas compliqué : je suis tué par lui

bouguereau dit: 11 février 2013 à 16h17

D’ailleurs c’est ce que dit J.C. Milner

je me demande dracul si on va pas inverser les roles, toi a manger des blattes et a renfield le beau rôle avec la cape

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 16h18

Traverso est de toute façon caricatural.

La tradition des Lumières n’est pas combattue que par les nationalistes mais, comme l’a bien montré Antoine Compagnon dans son bouquin, par ce qu’il a appelé les « anti-modernes ». Il faut ouvrir le cahmp de vision de Traverso pour saisir l’ampleur du problème et non pas le réduire aux nationalistes. D’emblée c’est déjà fausser le débat.

Bloom dit: 11 février 2013 à 16h21

Baroz, un homme inverti en vaut 2, tu les laisses à mille lieux en arrière, les homophobes jaloux.

On comprend qu’il ait perdu la foi, le pontifex, il a pris l’exacte mesure de l’étendue des mensonges, impostures, crimes et oppressions dont son Etat voyou s’est rendu coupable. Il a été saisi d’un rêve, le dernier songe du pape.
Il s’y est vu en chrétien tendance celtique d’avant les conciles de Whitby et de Latran. Il s’y est vu membre des aes dana, imprégné de gravité monachique et marié avec Maire, après avoir concubiné avec Siobhan et divorcé de Roisin. Il s’est vu et saint et savant.
Devant l’évidence de la révélation, continuer à incarner l’imposture romaine et ses falbalas n’était plus possible. Il a renoncé. Epiphanie.

chantal dit: 11 février 2013 à 16h21

je ne vois qu’une seule solution en cas de crise grave au sein de l’église : un belge, un noir ou une femme sur le trône de Pierre, et pourquoi pas les 3 en 1 ? La trinité ..

Qu’est-ce qui leur prend ? La reine de Hollande et maintenant le Pape ..

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 16h24

L’idée aussi qu’on instrumentaliserait des penseurs, fussent-ils Allemands…, me paraît une idée totalement fausse et de plus tout à fait réactionnaire.

C’est interdire par une espèce d’idéalisme de la lecture toute lecture qui ne lui conviendrait pas desdits penseurs. Les intellectuels français n’ont pas une lecture de Heidegger ou de Nietzsche mais mille… Cela n’a rien à voir avec quelque instrumentalisation que ce soit. Le mot « instrumentalisation » n’est pas un concept critique. C’est un mot simplement qui fait polémique. La polémique est précisément le niveau (assez médiocre) où se situe la pensée de Traverso dans ce cas de figure.

bouguereau dit: 11 février 2013 à 16h31

L’idée aussi qu’on instrumentaliserait des penseurs, fussent-ils Allemands

« got mit uns » sur la ceinture du gode..ça ferait vendre ça dracul

bouguereau dit: 11 février 2013 à 16h34

un homme inverti en vaut 2

celle là aussi..en cas de défaillance..au choix ! ça serait oecuménique comme ils disent

D. dit: 11 février 2013 à 16h43

Il me semble qu’on s’éloigne du sujet. Ce n’est pas un état d’âme c’est un état de fait. Tout le monde est coupable, sauf moi.

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 16h44

Un non événement en Allemagne, la démission du Pape :

Démission du pape : le départ de Benoît XVI ne bouleverse pas les Allemands

Les Allemands ont réagi avec surprise mais sans grande émotion lundi à l’annonce de la renonciation à venir de Benoît XVI, premier pape allemand en plus de mille ans dont ils avaient salué l’élection, il y a un peu moins de huit ans. A l’image de la réaction de la chancelière Angela Merkel, les compatriotes du pape démissionnaire évoquaient davantage lundi leur compréhension et leur respect que leur émotion.

mapa dit: 11 février 2013 à 16h44

C’est un mot simplement qui fait polémique.
du fait qu’il fasse polémiaque, on ne peut conclure qu’il n’est pas approprié ou l’un des mots à la disposition -sous la main?-de ceux qui débattent , le plus souvent avec des projets polémiques : d’avoir raison, de l’emporter, de gagner , persuader, vaincre de manière qui semble décisive sur l’instant . proposez en d’autres « mots ») : comme si ce n’était pas contre l’instrumentalisation de la psychanalyse de part et d’autre que des psychanalystes s’insurgent souvent , comme ce fut le cas dans l’histoire des archives freud

D. dit: 11 février 2013 à 16h44

Dans certains pays dégoutants, on boit du champagne dans des chaussures de femmes. Demain, ce sera du Coca dans des chaussures d’homme. Je passe mon tour.

chantal dit: 11 février 2013 à 16h45

je renaude pas le bougre, je reviens d’un tour dans la neige en rase campagne, je m’en fiche des problèmes vaticanesques, c’est carnaval !
Du moment qu’on ne me refile pas une lasagne findus avec de la viande de cheval ..

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 16h46

D’abord c’est pas « got » mais Gott mit uns ».

« got » c’est de l’anglais. Méfie-toi le Bougue de ne pas te faire enculer par dracul…

D. dit: 11 février 2013 à 16h47

Un non événement en Allemagne, c’est ne pas lire.
Le pape est allemand, le gouvernement allemand est celui qui a réagi le premier et l’émotion, au contraire, a été immédiate.
En Allemagne on est bien élevé.

JC dit: 11 février 2013 à 16h48

AFP
« Mes forces, en raison de l’avancement de mon éthylisme, ne sont plus aptes à exercer de façon adéquate mon ministère sur le blog prestigieux de Passou  » aurait affirmé à 17 heures, le nommé JC, surnommé le pape des imbéciles.
« Je me retirerai le 28 février à 20h précises » aurait-il ajouté, avant de repartir en zigzagant sur son scooter rose.

Un malheur n’arrive jamais seul…

mapa dit: 11 février 2013 à 16h49

allons je vais me soulager en disant que je crois que puisqu’il y a une mitre dite la mitre orfrayée
il y aurait lieu d’inventer une mitre onfrayée pour coiffer tous les méritants de débats

Chemin de Damas dit: 11 février 2013 à 16h51

Peut-être a t-il été trop « spirituel » notre pape, pas assez politique comme le précédent, qui lui, avait la dynamique du droit dans le mur(de Berlin).

mapa dit: 11 février 2013 à 16h52

Je crois qu ‘on peut le dire , bougeureua est d’accord avec la mauvaise langue sur le fond . Mais ce blog est trop axé -ou pacsé?- sur la pscyhanalyse pour mon g oût personnel. Aforce de tirer sur la corde , vous finirez par vous prendre l’ élastique sur lenez sans vous en
rendre compte!

renato dit: 11 février 2013 à 16h58

Évidemment que les Allemands l’évoquent davantage leur compréhension et leur respect que leur émotion. Ils sont réalistes et savent que Pape Ratzinger a perdu sa guerre contre le modernisme (ou la modernité), et qu’il ne peut que prendre acte que par sa sélection il a déjà orienté le Collège des Cardinaux, et donc (puisque Martini, dernier grand esprit conciliaire, n’est plus) que sauf « miracle », avec le prochain la chute ne sera pas stoppée. À moins qu’il n’arrive à orienter le Collège dans le sens inverse de sa politique. On verra. Il y a aussi la possibilité que l’Église prenne conscience, finalement, de l’état actuel des choses : cultures diverses (Europe, Asie, Afrique, les Amériques) Églises diverses, mais là nous sommes dans des projections pas faciles à faire aujourd’hui.

renato dit: 11 février 2013 à 17h01

« allons je vais me soulager… »

Nous avons droit même à l’info relative à son pipi…

mapa dit: 11 février 2013 à 17h01

renoncemnet ou renonciation?Je m ‘étonne que personnen ‘ait avordé ce point de vocabulaire parmi les intellectuels du blog à élite .

mapa dit: 11 février 2013 à 17h04

Sur l’info relative à son pipi , renato montre que sa régression infantile a commencé .Lâchez -vous, mon grand , dites cacaboudin puisque vos en avez tellement envie .

Le calice jusqu'à la lie dit: 11 février 2013 à 17h04

Mapa, n’était-ce pas une fameuse paire de gants en caoutchouc dont l’utilisatrice/teur voyait ses avant-bras tourner à la vitesse de ses commentaires sur ce blog?

mapa dit: 11 février 2013 à 17h06

pauvre 17 h 52 min
que ce blog soit pacsé ou sachsé ou sexé psy de bistro de presse, il ne m’intéresse pas.
je n’ai aucune envi d’instrumentaliser un nounours ou une casquette pour des sauts à l’élastique

mapa dit: 11 février 2013 à 17h08

non pas envie: désir ! désir ! qui fait les ridés et english rides !
attention aux tartines ce soir ! pas de corned horse!

Lavande dit: 11 février 2013 à 17h20

Une petite histoire, spéciale RDL, bête mais pas méchante:
« – Un nouveau pape est appelé à régner.
– Araignée? Araignée? Quel drôle de nom pour un pape! »

mapa dit: 11 février 2013 à 17h22

et comme vous ne saviez pas dans d’autres langues !
vous pouvez chercher , je ne vous dirai que cela : corned horse , ce n’est pas de l’antilope ni de la licorne

chantal dit: 11 février 2013 à 17h25

comme pour le prix nobel les bookmakers sont sur les dents,

un pape africain, italien, ou québécois .. on chuchote dans les salons feutrés d’herman van rompuy qui twitte comme un damné avec le cardinal daneels .. un des membre du prochain conclave.

curieux que ce mot particulier de conclave soit à présent plus souvent qu’à son tour utilisé pour concocter des budgets et s’éloigne de son origine chrétienne l’élection d’un pape.

Les cardinaux sont remplacés par des analystes financiers.

N’est-ce pas là le signe de la fin d’une certaine idée que se faisait l’occident de lui-même ?

l’église a voulu trop embrasser comme l’union européenne et fini par perdre son essence spirituelle, son idéal .. et tout fini par un gros malaise ..

mapa dit: 11 février 2013 à 17h30

Artiodactyles: Mammifères à sabots qui comprend les bovins, les porcins, les chèvres, les girafes, les chameaux, les cerfs, les antilopes et les hippopotames. Tous les artiodactyles, à l’exception du pécari à collier et du pécari à lèvres blanches, ont un nombre pair de doigts à chaque pied. Une majorité d’espèces de cet ordre sont originaires d’Afrique, mais elles sont bien représentées en Amérique du Nord et du Sud, en Europe et en Asie. Il n’existe pas d’artiodactyles originaires d’Australie.

Non aus paradis sans plumes dit: 11 février 2013 à 17h31

« trop embrasser »..
Et vous en êtes où,avec Depardieu,Chantal la belge?

renato dit: 11 février 2013 à 17h34

Comme il n’y a pas lion bien à part eut dit au baron de Calvino, pamapa, si je n’étais pas moi j’aimerais être vous.

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 17h36

Il y a une raison bien précise qui explique qu’il n’y ait plus d’intellectuels ni de débat. J.Cl. Milner l’explique très bien dans son court traité de politique La politique des choses :

« Depuis le XIXè siècle au moins, on en tombe d’accord : le gouvernement des êtres parlants est décidément une affaire trop sérieuse pour qu’on la confie aux êtres parlants. Mieux vaudrait le confier aux choses. Elles se gouvernent toutes seules ; pourquoi ne gouverneraient-elles pas les hommes ? »

Au fond, le dix-neuvième siècle siècle s’est prolongé jusqu’à la mort de Michel Foucault en 1984. La disparition des intellectuels est concomitant à l’invention du gouvernement par les choses.

C’est bien aussi pourquoi l’intellectuel a été remplacé par l’expert, qui se borne à traduire ce que disent les choses et nous expliquent ce que veulent les choses.

C’est ainsi que les médias légitiment le chômage de masse, assimilable en vérité à un crime de masse, comme l’a, à maintes reprises, suggéré Godard dans des entretiens chocs. C’est aussi ce que dit un expert de la contre-expertise, Christophe Dejours, dans La banalisatiuon de l’injustice sociale. (point seuil)

John Brown dit: 11 février 2013 à 17h38

« Et d’abord, qu’est-ce qu’un intellectuel ? »

L’intellectuel, c’est quelqu’un qui fait semblant de penser. donc je suis un intellectuel

Blogbuster dit: 11 février 2013 à 17h40

Ouaip!…des gants en latex, ou même de vulgaires Mapa, c’est ce qu’il faudrait au Commandant Passoud pour faire un peu de ménage sur son blog, ça devient carrément le foutoir du grand n’importe quoi ici!

sans plumes ni pantalon dit: 11 février 2013 à 17h40

Bien répondu, renato, c’était gentil, un brin nostalgique et voilà t’y pas la grossièreté pamapa..

ueda dit: 11 février 2013 à 17h41

Il était une fois un pape intellectuel, contraint de devenir chef d’Etat.
L’âge lui a permis d’abandonner le second état pour retrouver le premier, pour lequel il était fait.

Rétrospectivement, le chemin de croix rendu public par son prédécesseur (« voyez comme je souffre comme notre Seigneur ») apparaît étrangement archaïque.
Puisqu’il a été question de Weber, ce pape allemand introduit une sorte de « rationalisation » de la fonction papale.

Un fondamentaliste comme M. Régniez va-t-il glapir?
Je n’en sais rien, il va le dire, mais voici mon sentiment:
il va faire semblant de proclamer sa haine pour le moderniste Ratzinger (pour PhR, Ratzinger est moderniste, comme Obama est socialiste pour le Tea Party).
Mais il aura du mal à cacher son excitation: alors, alors? le prochain? Avons nous placé nos hommes? Les agents de notre Sainte Fraternité auront-ils assez noyauté ces idiots utiles de la Curie?

Affaire à suivre.

Robert Schumacher dit: 11 février 2013 à 17h43

Blogbuster dit: 11 février 2013 à 18 h 40 min
ça devient carrément le foutoir du grand n’importe quoi ici!

Je vous interdis de qualifier la mauvaise langue de « grand n’importe quoi ».

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 17h44

Chapitre III, « Mensonges de l’expertise » (.J.C. Milner) :

« Le mensonge, commun à Staline, aux démocrates verbaux et aux doctrinaires de l’Euroland, consiste à prétendre que les choses parlent. En vérité les choses ne disent rien. » (Milner, Court traité de politique, I)

ueda dit: 11 février 2013 à 17h46

Citoyen Mauvaise langue?

Une question, si vous le voulez bien, pour nous les braves gens (par définition ithyphalliques, c’est ça?), qui avons bien le droit de nous mêler de ces débats au sommet:

Pourquoi diable Milner parle-t-il « d’être parlants » plutôt que d’hommes?
(1) C’est la même chose? Gardons « homme », la politique est l’affaire de tous.
(2) Ce n’est pas la même chose? Très bien. Qui a qualité à être « être parlant »? ou à ne pas l’être?

Ne biaisez pas! Défendez Milner –ou jetez-le.

Robert Schumacher dit: 11 février 2013 à 17h49

Pourquoi diable Milner parle-t-il « d’être parlants » plutôt que d’hommes?

On voit que vous n’êtes pas philosophe, ueda. Il y a des hommes muets. Eh ouais. Voilà pourquoi. Comme dit la mauvaise langue, il faut réfléchir. Vous ne réfléchissez pas.

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 17h50

Bonne question, ueda. Excellente question même. Je vous laisse avec cette interrogation. Car la réponse est si évidente que vous ne tarderez pas à la trouver par vous-même. J’en suis convaincu. Mais je suis peut-être trop optimiste…?

Robert Schumacher dit: 11 février 2013 à 17h50

Et parmi les « êtres parlants », il y a des femmes aussi. Eh ouais. Et des mainates.

renato dit: 11 février 2013 à 17h51

Et Milner se trompe car « A History of the World in 100 Objects » par Neil MacGregor, et avant de dire l’une de vos conneries allez voir de qui on parle !

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 17h52

Ueda n’a jamais réfléchi sans doute à ce qu’était le démocratie. D’où sa question, qui révèle en fait ses lacunes. Mais il est là pour apprendre. Et il progresse. Indéniablement. La preuve : il sait poser une question.

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 17h54

Lire son paragraphe 10 sur l’expertise. Un chef d’œuvre de démontage des mensonges qu’on nous sert tous les jours et que les ineffables renato gobent comme des mouches.

A propos d'êtres parlants dit: 11 février 2013 à 17h55

Un type rencontre une grenouille qui lui dit : si tu m’embrasses, je me transformerai en jolie fille.
Le type met la grenouille dans sa poche et passe son chemin. La grenouille : ben, t’as compris ? Je t’ai dit que, si tu m’embrassais, je me transformerais en jolie fille !
Le type : ouais, j’ai compris. Seulement, des jolies filles, y en a plein, tandis que des grenouilles qui parlent, c’est rare.

renato dit: 11 février 2013 à 17h56

Et voilà qu’un faf qui se cache à lui-même cause de démocratie, c’est bien… ça…

Captain Jean-Luc Fuck dit: 11 février 2013 à 17h57

AFRIQUE
Robert Mugabe, 88 ans, vient de confirmer qu’il n’a pas envisagé une seconde de démissionner comme Benoit XVI « se sentant la force de conduire encore longtemps son peuple sur le chemin du bonheur « !
Quelle satisfaction ! une joie saine, une excellente nouvelle, dans cet océan de turpitudes africaines ….

Roger Dugommeau dit: 11 février 2013 à 17h58

Ueda n’a jamais réfléchi sans doute à ce qu’était le démocratie

En dehors du whisky et des femmes, ueda a des centres d’intérêt très limités.

renato dit: 11 février 2013 à 17h59

Bon, le faf qui se méconnait est parti en vrille, fini la récré… tous en classe de 5e… Moi, je vais voir autre chose…

mapahah dit: 11 février 2013 à 18h00

si 18 h 27 min attend un jus de pampam , je neferai pas le service: je ne sui pas un intellectuel qui joue au jeu de paume , moooooooooooooooah

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 18h10

Milner constate aussi que le gouvernement des choses et le rôle de l’expertise par l’évaluation s’accompagne d’une prolifération du vocabulaire policier : évidence, preuve, autopsie, etc.

La pensée des choses est devenue policière. Les choses parlent le langage de la criminalité. C’est bientôt au nom des choses qu’on exterminera les peuples. N’était-ce pas déjà le projet du national-socialisme ?

Bobshow dit: 11 février 2013 à 18h10

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 19 h 04 min
le renato file la queue entre les jambes…

Il interprète toujours selon ses intérêts ce parvenu de la culture.

mapahah dit: 11 février 2013 à 18h10

sur ce blog, c’est innommable (parlez nous des abeilles, P.Assouline)
au fait, une psychothérapeute a écrit un livre à partir d’une enquête sur « les enfants de la psychanalyse » ….il y en a qui se reconnaîtront surement d’une façon ou d’une autre …. souvenir de Maud .M , qui dans un de ses derniers livres évoquait l’enfance de Kipling avait dit que les parents étaient des cons même les parents psys ? )

Titin de la Canebière dit: 11 février 2013 à 18h12

Si la coloniale qui monte au nord, elle pouvait pousser jusqu’à Marseille…

chantal dit: 11 février 2013 à 18h13

ueda , voyons, PR a perdu son dernier joker a Rome, Ratzinger était favorable aux intégristes, depuis que le mariage gay est passé par la fille aînée de l’église, et que ses campagnes anti-préservatif ont été mal perçues en afrique, Ratzinger qui confondait magistère spirituel et temporel s’est retrouvé écartelé entre ses aspirations théologiques et la marche avant du siècle. On dit qu’il n’a pas eu le charisme d’un jean-paul 2 qui savait mettre les médias dans sa poche, un meilleur acteur sur la scène médiatique ..

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 18h15

« Lacan annonce que la criminologie formera l’horizon ultime des sciences humaines. Ou bien service expert du lien social, et alors criminologie ; ou bien refus de la criminologie et alors ni service du lien social ni expertise. »

ueda dit: 11 février 2013 à 18h19

Je n’ai aucun doute sur la réponse de Milner, chère Mauvaise Langue.

J’attends de voir non comment vous l’expliquez, mais comment vous vous l’appropriez.
Que faites-vous, vous-même, de cet « être-parlant »?

Car la question n’est pas, comme le disait renato de se référer à Untel (de planter un bâton d’encens devant tel ou tel livre) mais d’indiquer en quoi cela change votre comportement.

Voici une pensée de William James (de mémoire): there no différence which doesn’t MAKE a différence ».

En d’autres termes, si l’usage d’une notion nouvelle ne change rien dans l’action (et l’interprétation n’est pas contemplation mais action), fût-ce de manière infinitésimale, alors on peut se demander si elle n’est pas superflue.

Milner est imprégné de Lacan de sa Lalangue (hein).
Moi, je suis très à l’aise, je intéressé mais distant.
Je ne crois pas du tout que Milner nous dise le vrai sur les « instincts mortifères de la démocratie européenne ».
Vous, si.

Dès lors, la charge de la preuve vous appartient.

D’où le retour à la question: « être parlant » ou « homme », est-ce la même chose?
Ne biaisez pas, cher ami.

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 18h20

« L’axiome du gouvernement moderne : Les honnêtes gens sont des criminels qu’on ignore. » (Milner).

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 18h21

ueda, vous faites partie des croyants. Moi pas. Milner non plus. Il se contente de dresser un constat.

La mauvaise langue dit: 11 février 2013 à 18h23

ueda, votre problématique est celle de tous les inquisiteurs. Ce n’est pas la mienne.

Madonna' dit: 11 février 2013 à 18h24

En dehors du whisky et des femmes, ueda a des centres d’intérêt très limités.

Ueda est hyper sexy.

Une admiratrice anonyme dit: 11 février 2013 à 18h27

renato est revenu la queue entre les jambes
ML

Ben au moins il en a une , hé banane!

renato dit: 11 février 2013 à 18h33

ueda, poser cette question à ML c’est croire qu’il soit capable de faire expérience de ses lectures. Or, il est évident qu’il prend des auteurs comme d’autres prennent les dogmes et il est matériellement impossible que ces lectures changent de quelque façon que ce soit ses comportements.

D dit: 11 février 2013 à 18h35

J’ai compris le truc. On a le droit toutes les bêtises qu’on veut, mais à condition de oumpapaha ou mauvaise langue.

Alea jacta est dit: 11 février 2013 à 18h37

la queue entre les jambes… Il est drôle.

Le boug’ aussi quand il montre sa moumoute

D dit: 11 février 2013 à 18h37

J’ai oublié des mots. Hi hi.
le droit d’écrire toutes les bêtises
à condition de signer mapaha

Agathe Bonnefille dit: 11 février 2013 à 18h40

Pas faux, il n’a probablement qu’une auréole de petits cheveux à la base du crane. Et ça l’énerve.

John Brown dit: 11 février 2013 à 18h41

L’intellectuel, c’est, bien sûr, celui qui s’autorise à penser, mais cela ne suffit pas. Il faut aussi que d’autres le considèrent comme autorisé à penser. Si cela se produit, il fait partie de la confrérie. Sinon, non. Régis Debray, Michel Onfray, parmi bien d’autres, s’autorisent à penser . D’autres les considèrent comme autorisés à penser. Ce sont ceux qui les éditent, une fraction de ceux qui les lisent, et puis tous les braves gens qui, confiants dans la garantie des premiers et des seconds, les croient autorisés à penser. Les autres s’en moquent complètement. Les critères qui permettent de discerner les autorisés à penser sont éminemment variables et flous. Cela présente l’impréciable avantage de faire causer. Il paraît même qu’en Italie on trouve des gens pour perdre leur temps à tenter de définir l’intellectuel. Pourquoi pas. On trouve dans les oeuvres complètes de Coluche des pensées lumineuses sur les gens qui s’autorisent à penser.

mapahah dit: 11 février 2013 à 18h41

Un constat sans doute mais aussi ce qu’on nomme sommairement une analyse qui ne veut pas dire psychanalyse à tous les coups .
lu un article sur Slate sur Capote , (pour les inspecteurs de recherches et de vérités sur l’arrière plan des écritures de ce blog)

chantal dit: 11 février 2013 à 18h41

en effet, tant de lectures et de références à étaler à croire qu’il a besoin de se raccrocher à des textes pour se rassurer, à sa façon il est plus expert que véritable penseur ..

voici la liste des successeurs, Un Africain, un Italien ou peut-être même un Canadien: les bookmakers parient déjà sur le nom du successeur de Benoît XVI, qui a annoncé lundi qu’il démissionnerait le 28 février.
Selon l’agence de presse italienne de jeux et de paris Agipro News, les bookmakers britanniques misent sur un affrontement entre Italie et Afrique, donnés respectivement à 2,75 et 3,00 par l’agence Paddy Power. Un tête-à-tête confirmé par la liste de noms qui circule: le cardinal nigérian Francis Arinze mène le jeu à 2,90, suivi du Ghanéen Peter Turkson à 3,25 et du Canadien Marc Ouellet (6,00). Le premier Italien est l’archevêque Angelo Scola (8,00), suivi du cardinal secrétaire d’Etat Tarcisio Berlone (actuel numéro deux du Vatican). Les bookmakers ont également lancé des paris sur le nom du prochain pape: Pierre (5,00), Pie (6,00), Jean Paul (7,00) ou un nouveau Benoît (9,00). Le pape Benoît XVI a annoncé lundi sa démission du Vatican, une première dans l’histoire de l’Eglise moderne, affirmant ne plus avoir « les forces » de la diriger en raison de son « âge avancé », 85 ans. (JAV)

Et si le pape se ravisait ? il a peut-être eu juste un coup de mou .. j’attendrai le 28 , dans une religion où le christ ressuscite , c’est un peu bizarre de renoncer à sa charge ..

mapahah dit: 11 février 2013 à 18h44

mauvaise langue, vous savez bien que la grande folie, auourd’hui, ce sont quand même les objets dits intelligents(pas omme les écrivains et les intellectuels , donc ?)

commentateur à tout faire dit: 11 février 2013 à 18h47

Ueda, puisque Mauvaise langue ne veut pas vous répondre, je vais le faire à sa place.
1. Je ne suis pas un biaiseur.
2. Pourquoi être-parlant ? Ce qui caractérise l’être-parlant est l’élocution. Ce qui caractérise l’être-parleur est l’éloquence. C’est très différent mais vous ne pouvez pas comprendre, vous ne savez pas penser. On dit que le perroquet parle, c’est faux. Le perroquet pense. Vous n’êtes donc pas un perroquet. La question posée est celle de l’antisémitisme mais vous ne le voyez pas. Vous ne savez pas voir. On dit que la taupe est aveugle, c’est faux. La taupe pense avec ses oreilles. Vous n’écoutez pas, ueda. Vous n’êtes ni taupe ni perroquet. Que vous reste-t-il ? Le son ne vous sert qu’à faire l’âne, la vue ne vous sert qu’à boire.

Chaloux dit: 11 février 2013 à 18h48

Troufignon dit: 11 février 2013 à 11 h 36 min

Dear troufignon de Falicon, je trolle un peu, c’est vrai, mais en m’arrangeant pour qu’on sache que c’est moi, ou en l’avouant dix minutes plus tard. Je suis donc à moitié pardonné, par moi-même, il est vrai, mais c’est déjà une grande chose.
Ce qui serait bien aussi, c’est que tu lâches un peu ma paille pour t’occuper de ta poutre (bouffée au termites, et pourrie d’humidité, mais poutre tout de même). Quel champ sémantique je t’ouvre, dont tu sauras faire, j’en suis persuadé un excellent usage. Et quel chantier. Tu pourrais dire merci, Groin, troufignon, que sais-je, croupion de Falicon. La métaphore postérieure te va comme un gant de m…
Bonne soirée,

Diagonal dit: 11 février 2013 à 18h52

Je prends connaissance de ce nouveau post après 500 intervenautes, et leur présente mes excuses pour ne pas avoir eu le temps de les lire, il y aura sans doute de la redite. Pour moi, le seul intellectuel qui vaille aujourd’hui, c’est par hypothèse passoulinienne, un gars qui maîtrise le mieux les médias du jour…, donc le blog de la RDL, vu qu’il y attire les meilleurs esprits de ce temps déjanté de l’intellect médiatiquement débridé. Ce qui ne l’empêche pas lui-même de raconter un certain nb de billevesées, et notamment cette perle éculée sur Nietszche réactionnaire « grand critique conservateur de la modernité ». il suffit apparemment de citer une sottise sans même l’argumenter avec des guillements, et le tour est joué ! Il en restera toujours quelque chose puisque la maîtrise des médias a ceci d’impitoyable qu’on oubliera comment le maître des lieux se sera appuyé sur le pauvre Traveso pour conforter un préjugé de bas étage, sans avoir même à le discuter. Quel gâchis!. Quant à cette pitoyable collection de gauchistes alignés (Corcuff par exemple qui ne renierait pas la voix de son maître sur le « corporatisme de l’universel », lui-même non cité puisque renvoyé aux oubliettes d’une histoire où le pauvre Foucault va bientôt finir par le rejoindre)…, même si elle provoque apparemmemt la jubilation de l’hôte de ces lieux, elle reste tout aussi navrante. Il faut dégommer ! Au fond, la RDL est en train de s’ériger en tant que la seule intellectuelle qui vaille, vu que même le rital de service (qui ne maîtrise lui-même aucun des codes médiatiques capables de l’empêcher de sombrer dans l’oubli) ne peut être sauvé du naufrage de l’oubli que par la grâce onctueuse de l’onction bienveillante de SMTTASLCDMNEM (Sa Majesté Tirant Toujours à Soi La Couverture du Moindre Non Evénement Médiatique).

Sergio dit: 11 février 2013 à 18h54

Madonna’ dit: 11 février 2013 à 19 h 25 min
tendre et sexy

Oui enfin faut savoir pousser deux cent soixante-dix kilos, sinon… A pied !

Q dit: 11 février 2013 à 18h57

Je suis nouveau venu ici, et troufignon c’est moi. J’hésite encore sur le pseudo. Chaloux, je n’habite pas Falicon.

rose dit: 11 février 2013 à 18h57

« être parlant » ou « homme », est-ce la même chose?
sans avoir lu ce qui précède et avec moult précautions comme si j’avançais sur un champ d’œufs frais, je dirai :
en prolégomène cette question est fichtrement passionnante
en amuse-gueule on ne peut pas y répondre comme ça, blanc ou noir
en commençant le premier plat des plats principaux, j’aurais grande envie de dire non.

Mais avant même tout cela, faudrait définir être parlant, n’est-il pas sain ?

je ne pense pas aller très loin

renato dit: 11 février 2013 à 18h57

#lasagne

Par analogie avec le mélange de tabac obtenu par ceux qui ramassaient les mégots dans la rue, en Italie on appelait « Hachée Trottoir » la viande hachée vendue pour les farces…

Pot ou nazin (par-dessus tête) dit: 11 février 2013 à 19h02

Mille excuses, mais Troufignon c’est moi. C’est mon vrai nom, je suis picard. Savez-vous, les patronymes picards sont souvent savoureux: Trocon, Courtecuisse etc… Daniel Boulanger, un vrai de vrai, vous expliquerait ça.

chantal dit: 11 février 2013 à 19h02

ouf ma journée n’est pas perdue .. j’ai appris l’origine de lasagne ..
un petit jt, et hop au lit !

mapahah dit: 11 février 2013 à 19h03

être parlants ?
ce que dit Jeffey Masson après s’être fait virer des archives Freud dans les circonstances d’enquête et d’écriture de l’histoire dont on se souvient, c’est qu’après son revoi, il a écrit sur les animaux

J. dit: 11 février 2013 à 19h04

Allons, allons, ne vous chamaillez pas. Chaloux n’est ni P ni E, Chaloux est J., c’est-à-dire moi. Falicon est D. Troufignon est P, même s’il le nie.

Verre de montre... dit: 11 février 2013 à 19h05

Troufignon ? Il n’y en a qu’un et c’est moi.

Un seul troufignon pour tout le monde? Vous galéjez. J’ai bien peur (ou plutôt cela me rassure), qu’il y ait autant de troufignons que d’hommes. Nous devrions dresser la monographie de troufignon. Ses qualités, ses défauts, ses angoisses, ses joies etc.

mapahah dit: 11 février 2013 à 19h06

Jeffrey Masson a écrit sur les animaux , sauf sur les zèbres parce qu’il écrivait en noir et blanc .

Chaloux dit: 11 février 2013 à 19h09

Je ne suis pas J.
J’avoue:
-Q dit: 11 février 2013 à 19 h 57 min
-Pot ou nazin (par-dessus tête) dit: 11 février 2013 à 20 h 02 min
-Verre de montre… dit: 11 février 2013 à 20 h 05 min

Que les autres se dénoncent…

ueda dit: 11 février 2013 à 19h12

Ami Chaloux, vous?

Je suis douloureusement affecté.

Maintenant, la question qui tue: quels sont les trollages de P. Assouline?
Attention, top chrono.
Un..
Deux…

Aloïs Lebensborn dit: 11 février 2013 à 19h13

Mon papa m’a dit : « Oui, la question de herr ueda appelle une réponse claire. Dis lui que l’être-parlant et l’homme qui parle, c’est tout comme et qu’il nous em… avec ces bêtises ! »

ueda dit: 11 février 2013 à 19h21

Bravo, Aloïs.
Si Mauvaise Langue opine du chef, c’est OK.
Mais va-t-il l’accepter?

Ce blog est un espace d’écriture un peu étrange.
Trois fois sur quatre, les intervenants viennent pour déconner.
(A part M. Court et moi).

Pour ma part, je dois remercier un interlocuteur (c’est toi, alec?), qui m’a donné l’occasion de pianoter sans réfléchir, en réponse à sa question:

« Appelle moi Marcel, Troufignon ».

Or cette phrase est quand même particulière.
« Appelle moi Marcel, Troufignon ».

Ben oui, c’est du Feydeau.
Ce lieu étrange permet à chacun de faire du Feydeau.

Gloire à nos pères, etc (hein).

Galaad dit: 11 février 2013 à 19h21

rose, je suis le seul chevalier dont la pureté sans tache a permis d’approcher le Graal : on en reparle derrière l’église ?

Monseigneur Dupanloup dit: 11 février 2013 à 19h24

« Appelle moi Marcel, Troufignon ».

Feydeau ? Que nenni ! j’ai entendu ça au vatican ou à la mekke, je ne sais plus…

Simon dit: 11 février 2013 à 19h33

renato le 11 février 2013 à 17 h 58 min
« Évidemment que les Allemands l’évoquent davantage leur compréhension et leur respect que leur émotion. Ils sont réalistes et savent que Pape Ratzinger a perdu sa guerre contre le modernisme (ou la modernité) »

Gott im Himmel ! ça ressemblerait à un doute Goering-ien.

D. dit: 11 février 2013 à 19h34

Je vous prie d’accepter mes excuses pour toutes les conneries et autres conneries dont j’ai saturé ce blog depuis des lustres. Il était temps que ça cesse. Voilà c’est dit. Et maintenant, que ceux qui se sentent aussi un peu merdeux fassent comme moi acte de courage et d’humilité, je vous assure, c’est bon et ça soulage. A vous.

renato dit: 11 février 2013 à 19h35

Merci D. J’attendais ce moment. Je suis ému et moi aussi je présente mes humbles excuses aux habitants de ce blog. Pardonnez-moi, je ne savais pas ce que je faisais…

JC dit: 11 février 2013 à 19h37

Trop fort les garçons!…Je ne voudrais pas être en reste puisque moi aussi j’en ai dit quelques unes. Mea culpa. J’le re’frai plus!

D. dit: 11 février 2013 à 19h38

Si je le vais, c’est pour donner consistance à vos remords, c’est tout.
Croyez que vos arrière-salles ne sont pas belles à voir ni bonnes à renifler.

D. dit: 11 février 2013 à 19h39

Je sais.
J’ai le sentiment d’avoir enfin ouvert le barrage.
Ne me remerciez pas, suivez votre conscience.

ML dit: 11 février 2013 à 19h39

Mais non, mais non : le pire, c’était moi! a la pelle je vous les ai jetées mes conneries! Par brouettes entières même!…Je suis rouge de honte, je pars me cacher.
PS : pis j’m’excuse aussi, bien sûr!

renato dit: 11 février 2013 à 19h40

@ 20 h 35 min

Est-ce qu’en vous appropriant de mon pseudo vous sous-entendez que vous n’avez jamais écrit aucune connerie ?

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