Mais qu’entendait Voltaire par « une femme au-dessus de son sexe » ?
Cette petite énigme, qui ferait une excellente question pour un « Jeux de l’été » à compléter sur le sable, ouvre le copieux dossier consacré à « Voltaire et le sexe » par la dernière livraison de la Revue Voltaire (No 14, 2014, 335 pages, 29 euros, Presses de l’université Paris-Sorbonne). Naturellement, dans la mesure où il désignait par cette expression une attitude de Mme du Châtelet, entre autres, on suppose que sa qualité de femme aurait constitué à ses yeux un obstacle au déploiement de l’esprit, écueil que seules les plus brillantes pouvaient franchir avec succès. Mais cela ne suffit pas.
Olivier Ferret et Florence Lotterie, maîtres d’œuvre de cette réunion de voltairistes, montrent qu’une enquête lexicale dans l’océan d’écrits de la main du maître y confirme la récurrence massive de l’expression « beau sexe » comme synonyme de « femme ». On imagine bien que nos contemporains universitaires y distinguent d’emblée la question du genre, et comment en serait-il autrement. Mais que l’on ne s’y trompe pas : leur objectif est bien dégager de ses quelques rayons d’Oeuvres complètes une « poétique du sexe » selon les différents genres littéraires considérés. Plusieurs œuvres de Voltaire sont privilégiées, notamment Des singularités de la nature et Questions sur l’Encyclopédie, La Bible enfin expliquée.
On s’en doute, « sexe » ne s’entend pas dans la stricte acception de « relations sexuelles ». La morale, l’autorité, le pouvoir y ont partie liée dans les pages qu’il consacre aux grands hommes au sein de son Essai sur les mœurs, qu’il s’agisse de Henri VIII ou de Charles 1er, du pape Nicolas 1er ou de Mahomet, d’Henri IV ou …. Myrtille Méricam-Bourdet, qui a planché sur la question, observe que, au fond, Voltaire historien réserve au sexe le même traitement qu’à toutes questions relatives au pouvoir.
Cela lui est une occasion supplémentaire de dénoncer la violence sexuelle à l’œuvre dans l’Ancien Testament. Il n’aura jamais assez d’arguments pour en révéler la part sauvage, barbare, archaïque. Sous son regard, tout n’y est que viol, inceste, polygamie, adultère, prostitution avec, en prime typiquement voltairienne, la bestialité lorsqu’il se « souviendra » à temps que des Juives avaient couché avec des boucs… Ce type de dénonciation était courant chez les Lumières. Cela participait même d’un genre à part sous l’appellation des « Scandales de la Bible ». Mais après les avoir examinés de près, Geneviève di Rosa se demande si l’usage récurrent ad nauseam qu’en fait Voltaire participe d’ « une parodie de l’obsession de l’Eglise pour le sexe ou d’une obsession qui appartienne en propre à Voltaire ».
On le sait, tout lui est prétexte à écraser l’infâme. Peut-on pour autant se laisser aller à y entendre « les infâmes » ? Pas seulement l’Eglise en particulier et les religions en général, mais les homosexuels ? Pour n’être pas nouvelle, la querelle paraît toujours aussi vaine entre ceux qui veulent annexer Voltaire à la défense de la cause gay, et ceux qui à l’inverse veulent en faire l’un de ses pourfendeurs, le plus étonnant étant encore que les deux partent des mêmes textes, mais d’interprétations différentes, sur la personne du chevalier d’Eon par exemple pour laquelle il se passionna, comme nombre de ses contemporains. Dans ses pages sur l’influence néfaste de l’opéra, de la musique italienne jugée « efféminée » et des castrats, c’est encore à l’Eglise qu’il s’en prend, si corrompue qu’elle fait chanter ces émasculés dans les chœurs du pape. En fait, comme le remarque Christophe Paillard, Voltaire ne juge pas que l’homosexualité soit contre nature ; il estime qu’elle aussi exprime la nature, mais par méprise, qu’elle en est une erreur. Par ce jugement modéré, il a voulu avant tout libérer la sexualité de l’Eglise, et non en tant que telle (on se reportera également à ce sujet à l’indispensable complément que constitue l’Autodictionnaire Voltaire, Omnibus, 2014, d’André Versaille ; l’article « Femme » y est tiré de Femmes soyez soumises à vos maris)
Il se comporte là, comme d’une manière générale, en fonction de son intérêt du moment, celui de sa démonstration argumentative ; il alterne entre ce que Marc Hersant distingue comme « une espèce de légèreté pragmatique et une légèreté libertine » d’un côté quand il s’agit de proches, et de l’autre « une intolérance d’occasion » qui peut se traduire par de l’insinuation perfide et de l’imprécation s’il a des comptes à régler. La meilleure illustration en est l’évolution de son attitude vis à vis de l’homosexualité de Frédéric II. Dans son article, Marc Hersant se montre plus prudent que dans la formule qui lui sert de titre (« Sodome à Postdam »), d’autant que le terme « sodomie » amalgamait à cette époque nombre d’acte jugés contre nature en dehors de l’onanisme et de la zoophilie ; il invite à décrypter non pas ce que Voltaire dit de l’homosexualité dans ses dictionnaires (« affligeant ») mais les Mémoires pour servir à la vie de Monsieur de Voltaire (1759) dont on sait qu’il les destinait plutôt à éclairer le lecteur sur le vie privée du roi de Prusse, dans un mélange d’admiration et de ressentiment. « Parler d’homosexualité à propos des rapports de Voltaire et de Frédéric tels que les décrivent les Mémoires n’a donc strictement aucun sens » écrit l’universitaire de Lyon-3 en invitant, pour mieux comprendre ce mélange de social et de plaisir, de désir dans les rapports hiérarchiques et d’amour tout court, à établir un parallèle avec la nature complexe de la relation amoureuse unissant Louis XIV et Lauzun, où se mêlent passion sans consommation, affectivité, sensibilité, liaison sans sexe, jalousie…
Hormis cette « exception royale », Voltaire voit le sentiment amoureux comme la traduction psychologique d’une attirance physique. Christophe Paillard rappelle à cette occasion la manière dont Diderot résumait cela : « Il y a un peu de testicule au fond de nos sentiments les plus sublimes et de notre tendresse la plus épurée » précisant, dans une lettre à Sophie Volland, qu’il y avait toujours « un peu de saloperie » dans nos sentiments. En conclusion de leur introduction, Olivier Ferret et Florence Lotterie ramassent la problématique en quelques phrases :
« (…) Entre la récurrence des images de l’ambivalence sexuée et celle d’un grotesque corporel inquiétant, Voltaire semble à distance du sexe décidément assumé : par une identité, par un désir et par un objet qui rendent heureux. Celui qui a tant de mal à dire « je » semble bien le même que celui qui joue d’une ironique pirouette sur ce décentrement à l’égard de soi-même comme corps sexué, en un ultime constat d’indétermination où rode la castration. »
Et les maîtres d’œuvre de ce dossier de laisser le dernier mot à Voltaire par une citation tirée des Questions sur l’Encyclopédie :
« On se plaît encore à table quoiqu’on n’y mange plus. Est-ce de l’amour ? est-ce un simple souvenir ? est-ce de l’amitié ? C’est un je ne sais quoi composé de tout cela ».
Soit, mais qui d’une femme au-dessus de son sexe…
(Salvador Dali, Marché d’esclaves avec apparition du buste invisible de Voltaire, 1940, Musée Salvador Dali, St Petersbourg) ; « Gravure pour la Pucelle d’Orléans, 1780, de Voltaire ; « Frédéric II rendant visite à Voltaire » tableau de Nicolas-André Monsiau)
917 Réponses pour Mais qu’entendait Voltaire par « une femme au-dessus de son sexe » ?
Voltaire a découvert le plaisir sexuel dans toute son étendue avec sa nièce Mme Denis, qui avait la cuisse plus légère qu’une plume. Il avait, alors, plus de cinquante ans. C’est donc un cas très à part. Il faudrait savoir si cette passion a changé quelque chose à son point de vue.
Quant au reste, L’Inventaire Voltaire, paru chez Gallimard-Quarto il y a quelques années me semble tout de même plus « indispensable » que tous les « auto-dictionnaires » de la terre….
Soit, mais qui d’une femme au-dessus de son sexe…
» quid d’une femme… » ?
La formule ne laisse pas forcément entrevoir la persistance chez Voltaire du préjugé d’une infériorité de nature des femmes, mais peut-être seulement la prise en compte du cantonnement des femmes à une situation d’infériorité dans la société. Au total, ce qu’on entrevoit ici de la pensée de Voltaire sur des sujets « sensibles » le rend, malgré quelques bémols, plutôt sympathique et progressiste.
« Je serais vain de la manière dont je sais aimer, si je n’avais eu sous les yeux pendant huit jours de suite à la campagne de quoi m’humilier. J’ai vu un amant, par la pluie, le vent, le temps affreux qu’il faisait, oublier son repos, la maison, tous les besoins de la vie, et s’en venir gémir, soupirer, se coucher et passer les nuits sous les fenêtres de l’objet chéri.
Vous croirez peut-être que ce galant est un Espagnol. Point du tout. C’est un chien. Mais s’il faut vous en dire ce que j’en pense, je ne crois pas que tout cela se fît par un sentiment bien délicat et bien pur. Je crois qu’il y avait un peu de luxure dans le fait de Taupin ; c’est le nom du galant. Mais si on nous épluchait de bien près, nous autres descendants de Céladon, peut-être découvrirait-on aussi un peu d’intérêt impur et de taupinerie dans nos démarches les plus désintéressées et dans notre conduite la plus tendre. Il y a un peu de testicule au fond de nos sentiments les plus sublimes et de notre tendresse la plus épurée ».
DIDEROT, Lettre à Damilaville, 3 novembre 1760.
’une enquête lexicale dans l’océan d’écrits de la main du maître y confirme la récurrence massive de l’expression « beau sexe » comme synonyme de « femme »
C’est vrai que l’expression paraît un peu ringarde. Voltaire savait, sans aucun doute, qu’il existe des femmes laides, mais il évitait de le dire. Tandis que nous, grâce aux progrès de la civilisation, non seulement nous le savons, mais nous disposons, pour le signaler, d’une gamme de qualificatifs autrement expressifs que ce genre de périphrase surannée, tels que « boudin », « grognasse » etc, qu’on peut rencontrer sous les meilleures plumes. C’est, avec les massacres de masse, les flottilles de bouteilles en plastique sur les océans et quelques autres joyeusetés, un des signes manifestes de la supériorité de notre civilisation sur ces époques barbares.
Voltaire savait, sans aucun doute, qu’il existe des femmes laides, mais il évitait de le dire
Quand ça lui arrivait (rarement), il s’arrangeait pour rattraper le coup. Voir dans « Candide » : » Cunégonde était à la vérité bien laide mais elle se révéla une excellente cuisinière ».
Voltaire ne juge pas que l’homosexualité soit contre nature ; il estime qu’elle aussi exprime la nature, mais par méprise, qu’elle en est une erreur
Ce qui le place très au-dessus des légions d’abrutis qui persistent à professer qu’elle est un vice contre nature.
« Cela lui est une occasion supplémentaire de dénoncer la violence sexuelle à l’œuvre dans l’Ancien Testament. Il n’aura jamais assez d’arguments pour en révéler la part sauvage, barbare, archaïque. Sous son regard, tout n’y est que viol, inceste, polygamie, adultère, prostitution avec, en prime typiquement voltairienne, la bestialité lorsqu’il se « souviendra » à temps que des Juives avaient couché avec des boucs… »
ça va pas plaire à ML…Tous aux abris!
Ah ces MST : maladies sentimentalement testiculées!
Le sentiment testiculé, en voilà un paradigme !
Coquin billet en définitive,
qui met au centre d’une interrogative
la résolution d’une équation sexistentielle
aussi personnelle qu’universelle !
Sens dessus-dessous.
Voltairigineusement.
« Cela lui est une occasion supplémentaire de dénoncer la violence sexuelle à l’œuvre dans l’Ancien Testament. Il n’aura jamais assez d’arguments pour en révéler la part sauvage, barbare, archaïque. Sous son regard, tout n’y est que viol, inceste, polygamie, adultère, prostitution avec, en prime typiquement voltairienne, la bestialité lorsqu’il se « souviendra » à temps que des Juives avaient couché avec des boucs… »
Voilà effectivement une incitation à relire l’Ancien Testament comme archétype du roman porno. Quand je pense que cette littérature de bas étage a exercé l’influence que l’on sait sur la civilisation occidentale, ça ne donne pas une haute idée de celle-ci.
lorsqu’il se « souviendra » à temps que des Juives avaient couché avec des boucs… »
Agnus Dei ! Tout s’explique ! Sacrée Marie ! Tu me diras que, normalement, ça aurait du donner un chevreau. Mais à ce niveau de mélange, on n’est plus à ça près. Encore une pièce de choix à verser au dossier de la théorie du genre.
Agnus Dei ! Tout s’explique ! Sacrée Marie ! Tu me diras que, normalement, ça aurait du donner un chevreau. (mézigue)
Fils de Dieu, fils de bouc et fils de pute, ça fait tout de même une généalogie chargée pour le Sauveur du genre humain. Ecr. l’inf.
« (…) Entre la récurrence des images de l’ambivalence sexuée et celle d’un grotesque corporel inquiétant, Voltaire semble à distance du sexe décidément assumé : par une identité, par un désir et par un objet qui rendent heureux. Celui qui a tant de mal à dire « je » semble bien le même que celui qui joue d’une ironique pirouette sur ce décentrement à l’égard de soi-même comme corps sexué, en un ultime constat d’indétermination où rode la castration. » c’est pas tres clair tout ça…
le « où rode la castration » me plait énormement
Celui qui a tant de mal à dire « je » semble bien le même que celui qui joue d’une ironique pirouette sur ce décentrement à l’égard de soi-même comme corps sexué, en un ultime constat d’indétermination où rode la castration. » c’est pas tres clair tout ça…
C’est même carrément un jargon à chier, disons les choses tout net.
Onésiphore de Prébois dit: 13 juillet 2014 à 14 h 39 m
C’est même carrément un jargon à chier
gardez en une cuillerée pour bouguereau.
où rode la castration
On voudra bien m’excuser, mais je suis en période de rodage de ma castration.
Il n’y a qu’à mettre le nez dans Le Dictionnaire philosophique pour se rendre compte de l’obsession anti-juive de Voltaire, un anti-judaïsme, comme l’ont dit plus d’un critique, qui tourne déjà par son obsession, à l’antisémitisme voltairien. Le lien que semblent opérer ces critiques (comme Paillard, le bien nommé…) entre obsession antisémite, homosexualité rentrée et castration est on ne peut plus passionnante. Mais quelque part, intuitivement, on le savait bien déjà. Ils sembleraient apporter des preuves.
Pour le père prébois, de toute façon, tout ce qui n’est pas de sa paroisse est du jargon… Un peu trop facile.
Faut interpréter, père prébois, faut interpréter la Bible. C’est pas à prendre au pied de la lettre. Faut pratiquer le pilpoul. Mais i connaît pas le père prébois.
Il n’y a qu’à mettre le nez dans Le Dictionnaire philosophique pour se rendre compte de l’obsession anti-juive de Voltaire, un anti-judaïsme, comme l’ont dit plus d’un critique, qui tourne déjà par son obsession, à l’antisémitisme voltairien. (Widergänger)
Heureusement que Voltaire n’a pas eu l’occasion de rencontrer Widergänger, autrement, qu’est-ce que ça aurait été ! Ouf ! Aussi l’anti-
judaïsme voltarien n’aura-t-il pas dépassé un stade relativement inoffensif.
Je soupçonne de plus en plus Widergänger d’être une caricature de Juif manipulée par un gang antisémite aux fins de déconsidérer le peuple élu.
Une femme au-dessus de son sexe ? C’est la superposition chère à la mécanique quantique…
Mais non ! Mais non ! Père prébois ! les choses sont infiniment plus simples que vous ne le croyez. Il vous suffira de lire Le Dictionnaire philosophique, ce qui manifestement n’a pas été le cas. Vous y verriez que l’anti-judaïsme de Voltaire — quand par exemple il parle de brûler les Juifs — n’a rien d’anodin. Mais encore faut-il l’avoir lu pour en parler…!
Mais qu’entendait Voltaire par « une femme au-dessus de son sexe » ?
Je préfère une femme au-dessus du mien.
Vous y verriez que l’anti-judaïsme de Voltaire — quand par exemple il parle de brûler les Juifs — n’a rien d’anodin (Widergänger)
Eh bien, citez, mon ami, précisément et suffisamment, le passage incriminé. Comme ça, on pourra se faire une idée. Vous n’allez tout de même pas m’obliger à relire tout le « Dictionnaire philosophique » pour savoir si vous racontez des balivernes. Allez, on vous attend.
Allez y voir vous-même, mon brave ! Ça vous fera de la lecture… On n’est jamais si bien servi que par soi-même, dit le proverbe !
Vous avez la mauvaise habitude de juger sans savoir ceux qui vous parle en connaissance de cause. C’est l’inverse qu’il faut faire quand on est un honnête homme… À bon entendeur, salut !
« Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 15 h 39 min
Vous avez la mauvaise habitude de juger sans savoir ceux qui vous parle en connaissance de cause. C’est l’inverse qu’il faut faire quand on est un honnête homme… À bon entendeur, salut ! Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 15 h 39 min
Allez y voir vous-même, mon brave ! Ça vous fera de la lecture… On n’est jamais si bien servi que par soi-même, dit le proverbe ! »
Oui, Michel Alba, c’est le moins qu’on puisse dire, en te retournant le propos.
« (…)Dans l’Essai sur les mœurs, (chap III), il observe encore : « ces derniers temps leur on été favorables ( au juifs) ; surtout en Hollande et en Angleterre où ils jouissent de leurs richesses et de tous les droits de l’humanité, dont ne doit dépouiller personne ». Cette attitude tolérante, qui sera toujours la sienne, n’est pas incompatible avec un mépris total pour les croyances et pour les mœurs des Hébreux de la Bible, assimilée par lui à une archive exemplaire du fanatisme et de la superstition.(…). Le procès du judaïsme s’inscrit donc dans une vision de l’histoire et n’est pas isolé d’une lutte générale, constante et cohérente, contre la barbarie. (…) « Tous les peuples ont commencé par être à peu près également cruels, voleurs, méchants, superstitieux et sots ».(…) dans le tableau de des superstitions barbares, les juifs figurent à côté des Grecs, des Egyptiens, des Teutons, des Gaulois, des Indiens etc. Si à cet égard, les juifs tiennent dans les œuvres de Voltaire le devant de la scène, c’est évidemment parce que la Bible est en terre chrétienne, pour lui et pour ses lecteurs, « le monument » le plus familier de l’histoire de l’humanité.(…). Que les hébreux soient le « seul peuple conduit par la divinité même », est une prétention qui heurte de front sa conception même du divin. Rien ne lui est plus inacceptable que cette vision d’un dieu tribal qui aurait fait élection d’un seul petit peuple. « Malheur à un peuple assez imbécile et assez barbare pour penser qu’il y a un Dieu pour sa seule province ! »(Dictionnaire philosophique, « catéchisme chinois »).(…)
« Ce peuple doit nous intéresser puisque nous tenons d’eux notre religion, plusieurs même de nos lois et de nos usages (…). »Tout en fondant le principe de la tolérance (les chrétiens ne doivent pas persécuter les juifs qui sont leurs pères), une telle déclaration suggère la raison principale de l’acharnement voltairien contre les juifs : ruiner dans ses fondations la tradition judéo-chrétienne ».
Extrait de l’article « Juifs » de Roland Desné, Inventaire Voltaire, Gallimard, Quarto p. 763.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 15 h 39 min
Mimi vient de s’apercevoir qu’il a dit une connerie, donc il insulte celui qui lui a mis le nez dedans.
Du Mimi comme on aimerait en voir moins souvent.
« Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère.
Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un fanatique novice qui donne de grandes espérances : il pourra bientôt tuer pour l’amour de Dieu.
Il y a des fanatiques de sang-froid : ce sont les juges qui condamnent à la mort ceux qui n’ont d’autre crime que de ne pas penser comme eux ; et ces juges-là sont d’autant plus coupables, d’autant plus dignes de l’exécration du genre humain, que, n’étant pas dans un accès de fureur, il semble qu’ils pourraient écouter la raison.
Il n’est d’autre remède à cette maladie épidémique que l’esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les mœurs des hommes, et qui prévient les accès du mal : car dès que ce mal fait des progrès, il faut fuir et attendre que l’air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent pas contre la peste des âmes ; la religion, loin d’être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés.
Les lois sont encore très impuissantes contre ces accès de rage : c’est comme si vous lisiez un arrêt du conseil à un frénétique. Ces gens-là sont persuadés que l’esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu’ils doivent entendre.
Que répondre à un homme qui vous dit qu’il aime mieux obéir à Dieu qu’aux hommes, et qui en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ?
Lorsqu’une fois le fanatisme a gangrené un cerveau, la maladie est presque incurable. J’ai vu des convulsionnaires qui, en parlant des miracles de saint Pâris, s’échauffaient par degrés ; leurs yeux s’enflammaient, tout leur corps tremblait, la fureur défigurait leur visage, et ils auraient tué quiconque les eût contre- dits.
Oui, je les ai vus ces convulsionnaires, je les ai vus tordre leurs membres et écumer. Ils criaient : Il faut du sang.
Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques, et qui mettent le poignard entre leurs mains ; ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on, goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu’ils iraient assassiner tous ceux qu’il leur nommerait.
Quel tissu de fourberies, de calomnies, de larcins, tramé par les fanatiques de la cour de Rome contre les fanatiques de la cour de Calvin ; des jésuites contre les jansénistes, et vicissim ! et si vous remontez plus haut, l’histoire ecclésiastique, qui est l’école des vertus, est aussi celle des scélératesses employées par toutes les sectes les unes contre les autres.
Tout fanatique est fripon en conscience, comme il est meurtrier de bonne foi pour la bonne cause.
La religion mal entendue est une fièvre que la moindre occasion fait tourner en rage.
Le propre du fanatisme est d’échauffer les têtes. Quand le feu qui fait bouillir les cervelles superstitieuses a fait tomber quelques flammèches dans une âme insensée et atroce, quand un ignorant furieux croit imiter saintement Phinée, Aod, Judith, et leurs semblables, cet ignorant a plus de complices qu’il ne pense. Bien des gens l’ont excité au parricide sans le savoir. Quelques personnes profèrent des paroles indiscrètes et violentes ; un domestique les répète, il les amplifie, il les enfuneste encore, comme disent les Italiens ; d’autres les recueillent ; ceux qui les ont prononcées ne se doutent pas du mal qu’ils ont fait ; ils sont complices involontaires, mais il n’y a eu ni complot ni instigation. En un mot, on connaît bien mal l’esprit humain, si l’on ignore que le fanatisme rend la populace capable de tout. »
extrait de l’ article « fanatisme », dictionnaire philosophique de Voltaire.
« Ce qui le place très au-dessus des légions d’abrutis qui persistent à professer qu’elle est un vice contre nature. »
Soyons modéré, tolérant, finassier : l’homosexualité est une maladie mentale…. !
(une horreur contre nature, évidemment !…)
Gaffe JC, tu tombes sous le coup de la loi. Quoiqu’il en soit, ça ne doit pas avoir que de mauvais côtés. En t’écrivant, les fenêtres de mon bureau-salon de musique ouvertes sur le jardin, je perçois distinctement les couinements de mon voisin qui a plutôt l’air d’en redemander que de vouloir appeler un docteur.
Vous y verriez que l’anti-judaïsme de Voltaire — quand par exemple il parle de brûler les Juifs — n’a rien d’anodin (Widergänger)
J’ai tout de même pris la peine de relire dans le « Dictionnaire philosophique » l’article consacré aux Juifs. Le moins qu’on puisse dire est que l’auteur n’y est pas tendre pour le peuple soi-disant élu. A la fin de la première section de cet article, après avoir énuméré les raisons pour lesquelles les Juifs se retrouvent en butte à la détestation des peuples au sein desquels ils vivent, voltaire conclut par cette phrase : « Il ne faut pourtant pas les brûler » (allusion probable aux temps moyenâgeux où, dans les temps de peste, on brûlait des Juifs accusés d’empoisonner les fontaines, etc.). Cette phrase — « Il ne faut pourtant pas les brûler » — inspire probablement à Widergänger le commentaire : « Il parle de brûler les Juifs ». On appréciera, sur cet exemple précis, l’honnêteté intellectuelle d’un individu accoutumé à balancer sans preuve n’importe quelle contre-vérité. Que Voltaire n’ait pour les Juifs qu’une estime mesurée est une chose, mais tout le monde sait que la tolérance religieuse est une règle à laquelle il n’a jamais dérogé. Ecrire que Voltaire « parle de brûler les Juifs » est une affirmation tendancieuse, obtenue à partir d’une manipulation textuelle, une contre-vérité qui aboutit à faire de lui une sorte de descendant des Inquisiteurs médiévaux, ce qui est un comble. Widergänger prétend avoir lu des textes qu’il accuse les autres de ne pas avoir lus et prend la liberté de leur faire dire n’importe quoi. Une fois pris la main dans le sac, il ne lui reste que l’injure.
Pauvre type. Et sale type.
Scout émérite dans une association serbo-croate d’amitié franco-titiste, j’ai eu l’occasion de connaître, par une nuit sans lunaison mais avec lune, la figure lubrique appelée dans les manuels spécialisés : « Toupie Yougoslave ».
Il n’est pas impensable que Voltaire (qui n’avait pas peur de niquer ses nièces, tranquille, le tonton…) faisait subir à icelles son fameux et inexplicable : « femme au-dessus de son sexe ».
Où se trouve le diable, déjà ?
JC….. dit: 13 juillet 2014 à 15 h 52 min
l’homosexualité est une maladie mentale…. !
Oui mais dans la nature la notion de maladie n’existe pas. Par exemple, le cancer c’est de la vie. Maintenant la nature veut aussi un certain ordre, d’où le fameux principe d’identité. A ce moment-là, il faudrait définir « maladie » comme « contraire à cet ordre ». Warum nicht, après tout.
Sinon un bon moyen de savoir, pour l’homosexualité, serait de regarder si les bêtes, enfin les bêtes normales, les mammifères, y participent.
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 15 h 56 min
« Gaffe JC, tu tombes sous le coup de la loi. »
Enfin, Chaloux ! Croire qu’il y a une LOI …. Ouarffff !
La loi ? on la choisit parmi « les lois en vigueur » !
Plus de nouvelles de l’imbécile professeur?
Sergio,
La néguentropie existe…
En Afrique, on parle même de nègrentropie villageoise, justifiant les massacres !
Le bonheur est néguentropique …
Chaloux, à la niche, tu n’es qu’une merde indigne ! Va chier ailleurs, on te l’a déjà dit ! Tu nous emmerdes avec tes conneries grosses comme toi. T’es indigne !
Alba, un beau jour je passerai rue Ramey pour le simple plaisir de te l’entendre dire de vive voix.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 16 h 14 min
Nous confirmons, Mimi est maintenant sûr d’avoir écrit une connerie.
« Sinon un bon moyen de savoir, pour l’homosexualité, serait de regarder si les bêtes, enfin les bêtes normales, les mammifères, y participent. »
Il y a peu de baleines homosexuelles, Sergio !
(par contre, à la Commission européenne…)
Mon Dieu, empêchez-moi de dire à Michel Alba de quoi il est « digne »!
JC….. dit: 13 juillet 2014 à 16 h 18 min
Il y a peu de baleines homosexuelles, Sergio !
Il y a les phoques, ça compense.
Mon chien renifle le cul de celui du voisin.
(Ils ne font pas ça, à la Commission européenne.)
Qu’en est-il bouguereau à fesses rouges (quand il a été très fessé), qui se raréfie dans nos contrées?
« pour l’homosexualité, serait de regarder si les bêtes, enfin les bêtes normales, les mammifères, y participent. » (Sergio)
Bouguereau est un mammifère, patron.
JC….. dit: 13 juillet 2014 à 16 h 18 min
Il y a peu de baleines homosexuelles
Non mais les trucs qui flottent, ou alors qui pondent des oeufs, ou qui se retournent, ça fait complexe. En revanche un type normal, comme par exemple Bébert dans son sac, là on peut savoir. Si ça se trouve, il était avec le chat de Schrödinger !
Zoologique dit: 13 juillet 2014 à 16 h 23 min
CORRECTION (tiens!)
Qu’en est-il DU bouguereau à fesses rouges
Une institutrice assassinée par une musulmane, folle* expatriée, ne mérite pas la légion d’Honneur napoléonienne…
Elle mérite un jugement sain : çad non-taubiresque !!!
Mais c’est tout simplement que la citation n’est pas dans cet article, mon pauvre prébois !
Votre comportement avec moi est infantile, comme l’autre trou du cul de Chaloux. Je suis professeur, j’ai passé un temps considérable, de ce fait, à lire ces auteurs, à les étudier, à la commenter même ! Et vous me traitez comme un adolescent attardé qui s’adresse à une autorité en rebelle pour le prendre en défaut… Vous êtes tout simplement un pauvre gamin attardé. Je parle de Voltaire en connaissance de cause. Si vous étiez un peu plus cultivé que vous n’êtes, vous sauriez que nombre de commentateurs qui sont également professeurs comme moi soulignent l’obsession anti-juive de Voltaire qui n’est en aucun cas réductible à la lutte contre l’Eglise. Il y a une hargne antio-juive de Voltaire qui est précisément soulignée par la critique moderne parce que les Lumières ont aussi leurs zones d’ombre et que la critique moderne s’est mise à explorer ces zones d’ombres (lire à ce sujet Le Monde des Lumières, sous la direction de Vincenzo Ferrone et Daniel Roche, un dictionnaire des Lumières, avec les contributions de très nombreux savants de toute l’Europe, qui font le point sur les clartés et les zones d’ombre des Lumières). L’antisémitisme des Lumières, d’une certaine partie des Lumières n’est plus un tabou pour la critique. C’est au contraire à l’aune de ces zones d’ombre que la critique moderne mesure la capacité de résistance des apports des Lumières en tenant compte du fait que l’antisémitisme est né à l’intérieur même de la rationalité des Lumières et que ce fait rejoint, ô combien, ce que je disais dans le billet précédent au sujet d’Auschwitz et de la civilisation techno-scientifique qui est la nôtre et du paradigme que constitue la Shoah pour penser notre rationalité moderne. Mais on ne peut pas parler de ces immenses problèmes avec des gens comme vous, qui tenez des discours bêtasson à un professeur qui de par son savoir et son statut social parle en connaissance de cause. Vous ne savez tenir que des discours insignifiants, sans aucun intérêt intellectuel. Vous vous contentez de cracher sur un professeur, avec une morgue et un mépris innommables comme il n’est pas permis de le faire à une personne honnête et normalement constituée. Vous êtes simplement un malade, vous gargarisez de votre mépris et de votre haine qui ne sont que la forme que vous inspire votre propre dégoût à l’égard de vous-même. Vous êtes autrement dit un pervers narcissique. Il y en a pas mal ici. Chaloux en est un autre. Des pauvres types !
L’homosexualité ne faisait pas partie du vocabulaire à l’époque de Voltaire. Le mot n’est né qu’après les Lumières, où la distinction des dénominations « homosexuel »/ »hétérosexuel » n’existait pas. Michel Delon, grand spécialiste des Lumières (et l’un de mes anciens profs), le souligne à bon droit.
Alba, c’est scandaleux qu’un type comme toi soit professeur. Tu mélanges tout. Le prétendu « antisémitisme de Voltaire » n’a rien à voir avec l’antisémitisme des Lumières ou même du XVIIIe. Tout est bon pour t’éviter d’avoir l’air de mordre la poussière. Et pourtant tu la mords. Professeur, « étudier »… Étudier quoi, au Collège? Le Malade Imaginaire? Deux ans de Vacances? (Voyez-moi le spécialiste….) Et encore, avec ton orthographe on ne comprend déjà pas que tu sois habilité à préparer une dictée.
Onésiphore de Prébois dit: 13 juillet 2014 à 15 h 05 min
Je soupçonne de plus en plus Widergänger d’être une caricature de Juif manipulée par un gang antisémite aux fins de déconsidérer le peuple élu.
Il y a un peu de ça!
Je est plusieurs chez notre ami WG.
T’as qu’à venir rue Ramey, grosse merde, que je puisse te foutre mon poing dans ta petite gueule de morveux !
Pauvre con de Chaloux ! On ne voit pas pourquoi l’antisémitisme de Voltaire n’aurait rien à voir avec l’antisémitisme des Lumières. Pauvre type ! connard ! triple connard ! merde indigne !
« ueda dit: 13 juillet 2014 à 16 h 26 min
« pour l’homosexualité, serait de regarder si les bêtes, enfin les bêtes normales, les mammifères, y participent. » (Sergio)
Bouguereau est un mammifère, patron.
Intervention de Dédé, Sergio.
Ce que dit Dédé n’est d’ailleurs pas inexact.
T’es une merde insignifiante, chaloux ! Je te chie dessus. Et qui te dit que je n’enseigne qu’au collège ? T’es un gros connard plein de suffisance, et je t’emmerde. Les salopards de ton genre, je leur pisse dessus.
Zoologique dit: 13 juillet 2014 à 16 h 23 min
Chaloux est en manque.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 16 h 32 min
L’homosexualité ne faisait pas partie du vocabulaire à l’époque de Voltaire.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 16 h 29 min
L’antisémitisme des Lumières, …
Il faut aller au bout de la rigueur, WG.
Pas d’homosexualité donc, mais pas d’antisémitisme non plus.
L’anti-judaïsme suffira bien, merci.
Sergio ! ne joue pas au con ! Tu sais ce que signifie, fondamentalement, le statut quantique : « Chat de Schrödinger » ….
Tes trucs qui flottent, ou alors qui pondent des œufs, ça me rappelle Disneyland.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 16 h 39 min
Hurhurkhurk… Michel Alba, étant donné ce que doit être ton régime alimentaire, j’aimerais autant pas…
Non seulement je suis un excellent professeur (l’un de mes élèves a eu 18 à l’écrit du bac grâce à moi) mais les parents disent le plus grand bien de moi en conseil de classe ! Et même me sollicitent à leur table. Pauvre petit merdeux ! tête à claques !
« Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 16 h 39 min
T’es une merde insignifiante, chaloux ! Je te chie dessus. Et qui te dit que je n’enseigne qu’au collège ? T’es un gros connard plein de suffisance, et je t’emmerde. Les salopards de ton genre, je leur pisse dessus. »
Voyez, Chaloux, WG n’a quand même pas craché.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 16 h 44 min
Alba fait passer le bac au collège. c’est donc que le collège se trouve au bord de l’eau.
« Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 16 h 44 min
Non seulement je suis un excellent professeur (l’un de mes élèves a eu 18 à l’écrit du bac grâce à moi) mais les parents disent le plus grand bien de moi en conseil de classe ! Et même me sollicitent à leur table. Pauvre petit merdeux ! tête à claques ! »
Dédé?
Est-ce bien raisonnable?
Oui, Ueda, très délicat de sa part.
Ferme ta sale gueule ! Tu n’es qu’un pauvre type, un de ces sinistres pervers qui pullulent sur ce blog et sur bien d’autres.
En règle générale, Alba, c’est plutôt toi et ce gros tas foireux de bouguereau qui « pullulez » sur ce blog.
Photo, Dali
Le sein à gauche est étrangement bas, quoique bien formé.
Je n’en ai JAMAIS vu un pareil.
C’est ça qu’on appelle sur-réaliste?
Je suis très perplexe.
Je pense que Michel Alba nous fait une crise aigüe parce qu’on l’a mis d’office en CPA (cessation progressive d’activité, un truc de prof), ou en retraite. Il ne s’en remet pas. Ce sera comme ça jusqu’à ce qu’il s’achète une petite maison à la campagne et qu’il y fasse un peu de jardin.
…
…pas encore lu le tout!,…
…
…une femme au dessus de son sexe,…simplement,…
…
…simplement du genre profits de commerces et donc;…
…
…Maraudes!,…T.E.N.N.A.N.C.I.E.R.E.S.,…
…
…les Madames Claude,…rien que cela,…dans toutes les communes,…Pognon et of course!,…C.A.H.S.H.,…combien!,…
…
…le reste avec les ruses & ronds de jambes à M. Tayllerand & Trust’s C°,…pour les » ciblées » filles aux godes de naissances & réserves de connes aux Christ’s ou autres Marines de guerres à pompiers of course!,…
…
…allez,! mettez y du vôtre mademoiselle logée , nourrie, bien entretenue,…T.O.U.T.E.S,…des P.U.T.E.S.,…forcées,…des laides extrêmes aux châtelaines à se gobées de la fesse de Jupiter,…
…le serpent en cercle avec le bout de sa queue en bouche!,…
…etc!,…
Chaloux pollue ce blog avec ses commentaires de merde.
Chaloux n’a jamais rien écrit d’intéressant dans ses commentaires de merde. Il ne sait que s’en prendre aux personnes. Et ceux évidemment qui lui son infiniment supérieurs. Chaloux est une grosse merde.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 16 h 57 min
Chaloux (…)ne sait que s’en prendre aux personnes. Et ceux évidemment qui lui son infiniment supérieurs.
Dites-le vous avec des fleurs…Des fois que personne ne vous le dise…
Michel,
Je connais un motocycliste intelligent* qui m’a dit : « N’hésite pas à conseiller à tes amis d’en garder sous le pied … la route, c’est infernal ! »
* cela existe ! Rarissime …..
La bibliothèque Médécis avec Mona Ozouf. C’est bien mieux que le pervers Chaloux.
Chaloux est un pervers narcissique.
Chaloux c’est surtout quelqu’un qui perd son temps dans ce zoo…
Mais on me dit figurez-vous !!!!!!!!!! ça vous foutrait en rage si vous pouviez le voir ! Mes élèves, mes collègues, les parents eux-mêmes, et bien sûr mon chef d’établissement. Alors les petites merdes dans votre genre, hein !
Ueda est un génie
Chaloux est un génie
Bouguereau est un génie
Widerganger est un génie
Prébois est un génie
Sergio est un génie …
Où trouver une bouteille convenable ?
Chaloux, c’est surtout un pervers narcissique !
Dédé, le vrai, le débile, a un chat.
Des baleines homosexuels ou homosexuelles ?
Pourquoi pas ?
L’homosexualité existe bien dans les espèces animales, les Humains n’ont rien inventé, sauf la gay-pride.
Widerlachenmacher alias Langue Moisie, me fait assez rire, croit-il sincèrement que le fait d’être homosexuel ne devint un handicap social, qu’avec l’invention de la psychanalyse ? Cela s’appelait autrement, les punitions existaient quand même.
Le mot gay est une invention de la deuxième moitié du 20ème siècle, par contre les gays sont organisés depuis toujours.
On peut très bien s’envoyer en l’air, sans posséder un vocabulaire spécialisé, mais sans échanger la moindre parole…
Autrement, se rallier au Premier Ministre musulman de Malaisie, les gays ont tous des corps musclés, des T-shirts en V de couleur jaune (sic) et les lesbiennes, sont des femmes qui aiment aller entre femmes dans les restaurants.
Non, mais regardez-moi ce con de Kron ! Ce qu’il a compris de ce que j’ai écrit :
« Widerlachenmacher alias Langue Moisie, me fait assez rire, croit-il sincèrement que le fait d’être homosexuel ne devint un handicap social, qu’avec l’invention de la psychanalyse ? »
Une vraie buse, le pauvre Kron ! Plus Kron, tu meurs !
Le niveau intellectuel de compréhension ici est vraiment affligeant. Il est impossible d’échanger quelque idée sérieuse et intéressante que ce soit avec cette bande d’abrutis, comme ce pauvre Kron, qui ne comprend strictement rien à ce que j’écris. Mais rien de rien, le pauvre !
Moi qui pensait que ML avait au moins des sources fiables, je doute après avoir lu les posts d’udea et d’Onésiphore…
Il fait dire à Voltaire le contraire de ce qu’il dit!
Non, mais faut lire ça comme florilège de sottise du pauvre Kron :
« les gays sont organisés depuis toujours. » (le pauvre Kron)
D’un côté il vous dit que le mot n’existe que depuis la seconde moitié du XXè siècle, et de l’autre qu’ils sont organisés depuis toujours !
WWWWWWAAAAAAAAARRRRRFFFFFFFFFFFFFF!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le concept d’homosexualité est une invention du XIXè siècle. Avant ça n’existait pas comme dénomination de la chose. Et la dénomination fait la chose ! Lire Foucault. Mais ce pauvre Kron n’a jamais lu Michel Foucault. Et s’il se mettait à le lire, il deviendrait complètement Kron…
MIchel Alba, un homme qui ne comprend que ce qu’il veut peut-il se faire la moindre idée de ce que comprennent -ou pas- les autres?
JC….. dit: 13 juillet 2014 à 17 h 06 min
Où trouver une bouteille convenable ?
Un jour on va essayer, camarade JC.
On fera gouter le vin du tonneau à Assouline, courtoisie oblige.
Malgré ton infernal prurit démocratique, tu seras obligé de jouer le despote éclairé pour le choix du pinard (le tour de table, c’est nécessairement le bordel, et bouguereau exige sa charcuterie il faut le faire taire).
On en reparle.
Pour ce premier coup, je remarque que tu ne mentionnes que des hommes.
Je suis sûr que c’est signe de sagesse.
Les problèmes, un à un.
Tout vient en son temps.
« Il fait dire à Voltaire le contraire de ce qu’il dit! » (closer)
Je te donne son numéro de téléphone si tu veux lui parler en direct…
WWWWWWWWWWAAAAARRRRRRRRRRFFFFFFFF!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le jour où Chaloux dira une chose intelligente, les poules auront des dents. Je n’ai jamais lu un commentaire de lui qui soit intelligent et fasse preuve de culture.
Chaloux est un pervers narcissique.
On disait « être aux hommes » (par analogie avec l’éducation des princes qui passaient « aux hommes » après avoir été « aux femmes », leurs gouvernantes et nourrices). Par exemple, le duc D’Orléans, frère Louis XIV, était « aux hommes ».
Il fait dire à Voltaire le contraire de ce qu’il dit! (Closer)
C’est évident, mais il a cru se ménager un porte de sortie en refusant de citer sa prétendue source. Malheureusement pour lui, elle est murée. Pan dans le citron !
Apparemment, Louis XIV aussi ! Lire les Mémoires de Lauzun.
Je suis désolé, Thierry ! Un moment de distraction, je rectifie :
TKT est un génie !
(Bouteille trop grande …)
Cherche bien Prébois, t’es une vraie paresseuse… Cherche encore dans Le Dictionnaire, tu finira bien par trouver la citation. T’es un vrai con, mais c’est quand même à ta portée, que diable ! Tu ne vas pas nous mentir, des fois.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 17 h 22 min
Michel Alba, si tu entends par « intelligence » le fatras, le salmigondis, la ripopée de sottises, de références inventées ou glanées au hasard sur Internet dont tu te fais l’infatigable compilateur, tu n’as aucune chance en effet de trouver de cette douteuse -ou indubitable- matière dans mes posts.
Que néni, monsieur le pervers narcissique chaloux !
Mes références sont des livres que j’ai lus et relus, qui se trouvent d’ailleurs à côté de moi dans ma bibliothèque. Et aussi par terre…! Ce sont des références tout à fait sérieuses qui forment ce qu’il est convenu d’appeler la culture d’un honnête homme. T’en est loin, mon pauvre diable de chaloux, avec tes références de merde.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 17 h 25 min
Peut-être faut-il établir une distinction entre les aventures de jeunesse, les incidents de parcours plus tardifs, et le fait d’être « aux hommes ». C’est une chose qu’on ne peut pas dire de Louis XIV, pas plus que de Flaubert qui semble pourtant avoir apprécié certains aspects de son voyage en Egypte.
Mais évidemment la citation de Voltaire ne se trouve pas dans les anthologies, si c’est là où la cherche ce pauvre Prébois.
Pendant que le widergangster glaviote ses injures aux quatre points cardinaux ,l’hôte de ces bois se dore probablement le nombril sur je ne sais quelle plage. On pourrait raconter sur ce fil que tous les Juifs sont des cons tout juste bons à griller dans des fours, qu’Obama est une tantouze, que c’est Shakespeare qui a écrit l’Iliade et l’Odyssée, que RdL veut dire Radeau des Louftingues, il s’en fout, mais il s’en fout comme de l’an quarante. Josette, passe-moi de la crème solaire sur le nombril, veux-tu ?
« tu seras obligé de jouer le despote éclairé »
J’ai, et je joue à merveille, les rôles de despotes éclairés : Héliogabale, François Mitterrand, Clément V, François Premier, Jean D’Ormesson, Thierry la Fronde, Nicolae Ceausescu, François d’Assises, Frédéric II, Sacha Guitry, Jean-François Copé…
Succès d’estime.
Etat des lieux des acteurs feminins en presence : dressons un portrait des commentatrices passees ou presentes, Clopine, bonne pseudo paysanne douee en cuisine, lectrice de Proust, un peu chillante sur les bords, Dafnoz, dans le genre dure a cuire cultivee, dominatrice, Djedla, mouche du coche, Reine, enigmatique fine a la lecture fascinante, Christiane, la bonne ame, conscience douce et professorale, Bere, la casse burnes grandiloquente, Rose, parler cru qui tatonne en direction des plates bandes masculines, et.. et…et… Qui dit mieux? Certaines donnent envie, d autres moins.
Tandis que question hommes zouzou ya l ambarras du choix du cote baltringues, la palme d or de la mechancete coconne sans conteste revient a Chaloux!! Loin devant, hein. Pas photo. Champion de l hallali si si
Sur le libertinage au XVIIIè siècle, il faut lire les bouquins de Michel Delon, responsable d’un gros opuscule à ce sujet :
— Le savoir-vivre libertin, Hachettes Littératures, 2000.
Il a également participé à un colloque sur le « Genre libertin au XVIIIè siècle » :
— Jean-François Perrin et Philip Stewart, Du genre libertin au XVIIIè siècle, L’esprit des Lettres, Desjonquières, 2004 (Michel Delon dirige d’ailleurs la collection)
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 17 h 30 min
Ce sont des références tout à fait sérieuses
Le problème avec toi, Alba, c’est que ces références « tout à fait sérieuses », si elles existent, ont une manière à elles de se transformer en sottises et en contrevérités. Je ne suis pas le seul à te le dire. Tout le monde te le dit. A mon très humble avis (mais j’ai fait moi aussi entre autres choses une fac de lettres et je sais très bien ce qu’on y apprend), tu as voulu embrasser des domaines (la littérature, puis l’histoire récente)tout à fait incompatibles avec tes capacités intellectuelles. De là cette ripopée (mélange de vieilles soupes)que tu nous serviras ici tant que Dieu le permettra. Moins on comprend, plus on complique et plus on biaise ce qu’on a lu (ou pas lu, d’ailleurs, ce qui semble plutôt être ton cas). Combien de fois t’es tu fait moucher, souvent par moi, autrefois, dans tes absurdes délires à propos de l’histoire du roman français, sujet que tu évites maintenant très prudemment, au profit d’autres supposés moins répandus?
On pourrait raconter :
– les Juifs sont des cons tout juste bons à griller dans des fours
– l’Obama est une tantouze
– le Shakespeare a écrit l’Iliade et l’Odyssée
– la RdL veut dire Radeau des Louftingues
… on serait pas loin de la vérité, non ?…
Mais évidemment la citation de Voltaire ne se trouve pas dans les anthologies (Widergänger)
Nulle part, d’ailleurs, c’est bien là la difficulté. Sacré Widergangster, il finirait par me faire rire ! Au fond c’est un grand comique. Au lieu de perdre son temps à raconter des balivernes dans son collège, il ferait mieux de tenter sa chance au café-théâtre. Ici, on lui balance des tomates, mais elles restent virtuelles. Tandis que sur la scène, il pourrait s’en confectionner une salade.
Un autre grand spécialiste contemporain du libertinage au siècle des Lumières :
— Jean-Christophe Abramovici, Obscénité et classicisme, PUF, 2003.
Il a publié un de mes articles dans L’Information littéraire.
Ah ! Chaloux va être fou de rage……………
Wwwwwwwwaaaaaaaarrrrrfffffffffff!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ben t’as pas cherché, mon pauvre Prébois ! Cherche comme le bon chien chien à son maître !
Sur le libertinage au XVIIIè siècle, il faut lire les bouquins de Michel Delon (Widergänger)
Il nous fait chier, cet enfoiré, à nous conseiller les livres qu’il n’a pas lus. Il ferait mieux de relire ceux qu’il a lus de travers.
Sincèrement, Chaloux … Malgré l’estime que je vous porte :
AVOIR FAIT « LETTRES » ! Beurk !!!
C’est un signe d’insuccès intellectuel, non ?
Il faut tenir bon sur le noyau dur, camarade JC.
Ça veut dire: élaboration de règles communes en 5 minutes (parce qu’on n’a pas que ça à foutre): boire quoi, modalité des échanges, durée de la rencontre.
Selon mon expérience, au moins deux sont virés, et le noyau dur se durcit (si j’ose dire).
Après quoi, étant durci, fort de sa cohésion, il peut devenir extravagant dans le libéralisme, puisqu’il est fort, et que le plan de table est décidé de manière définitive.
Chacun y va de sa bafouille.
« Ca va CP? Vous êtes bien loin… Que diriez-vous… Mais pas question de pontifier… Cinq minutes, pas plus. Le temps de parole est fixé par M. Court.
« Adorable Daaphnée? Vous savez les préventions… Vous serez à côté de moi. Mais attention: l’attaque est interdite, la défense est permise ».
« Allô Clopine? Je sais, je sais… Vous venez sans Clopin et Clopinou s’il vous plaît… Non, pas à côté de JC. Plutôt à côté de TKT. »
« Renato? Ho già capito, c’est non. Néanmoins… »
« Bloom? Arrête de bouder… »
Bon, on se débrouille.
On peut imaginer.
J’ai des solutions pour tous.
Christiane charmant Giovanni…
Dédé en Assurancetourix.
Des choses comme ça.
Abdel? Mais bien sûr…
Vont tous dire non (« plutôt crever! ») et venir sur la pointe des pieds.
Pour serrer la louche à Assouline.
Au moins ça.
(Mais d’abord: noyau dur.
Des mecs.
Après, on voit).
– En cas de franche inimitié, on fait quoi?
Simple.
Le groupe des délicats s’en va.
Les autres: sur le pré.
On revient moins nombreux, mais contents.
C’est pas beau?
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 17 h 41 min
Un autre grand spécialiste contemporain du libertinage au siècle des Lumières :
— Jean-Christophe Abramovici, Obscénité et classicisme, PUF, 2003.
Ah ! Chaloux va être fou de rage……………
Non pas du tout. C’est touchant, au contraire. Tout acte de charité doit être compté.
Il y a aussi le livre de Michel Delon sur les boudoirs chez Zulma !
À lire, père prébois ! Tu deviendras peut-être moins con.
Non pas du tout. C’est touchant, au contraire. Tout acte de charité doit être compté. (chaloux)
Le pervers narcissique s’exprime ! Confirmation.
JC « entre autres ».
Ce sont des références tout à fait sérieuses (Widergänger)
Puisque je te dis qu’au café-théâtre il ferait plier tout le monde en deux .
Toi Alba, tu n’es pas un pervers, tu es un fou, un fou narcissique.
Le pervers narcissique se délecte de la souffrance des autres. Je t’assure que te voir te débattre dans ta folie logorrhéique n’est pas une délectation pour moi. C’est comique, mais pas délectable.
Camarade ueda :
Moins les êtres sont forts, plus leur image est fragile…
(Ceci étant dit , un barbecue dans le réel pour valider cela ? … Venise , fin septembre ?…)
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 17 h 42 min
Ben t’as pas cherché, mon pauvre Prébois ! Cherche comme le bon chien chien à son maître
Là tu ne frôles plus le ridicule mon Mimi, tu n’y es même pas jusqu’au cou, yapu un cheveu qui dépasse.
Michel Alba, je suis peut-être un con, mais vous aussi.
Les gays existaient avant le mot et oui, ils étaient organisés, réseau de garçons, tavernes, bordels etc…
Avant le mot gay, on utilisait le mot inverti, avant autrement, il y a toujours eu des insultes ou des appellations… Cela n’a jamais empêché de faire de l’amour ou du sexe, entre gens du même sexe, pas besoin d’appellation particulière. L’homosexualité devait exister avant le langage. Croyez vous que les pingouins et les pinGouines aient la nécessité de se faire labelisés entre eux, parmi leur espèce ?
Plus vous écrivez, plus vous démontrez que vous êtes devenu incapable de parler normalement.
Alba, Kron vous renvoie vos paroles gracieuses, nous sommes tous les deux des cons, vous plus que moi, puisque vous êtes plus intelligent et plus trempé de culture. Je dis des conneries comme tous ici, vous, vous les dîtes au nom de votre profession d’enseignant. Vous comprenez, il y a une différence, d’ailleurs il fut un moment, dans l’histoire de la RdL, où vous avez laissé tombé Michel Alba. Un désir d’anonymat, la peur aux tripes que vos élèves ou leurs parents, ou votre hiérarchie, viennent lire vos accès de démence. Votre copine, Maniatis, qui signait avec son vrai patronyme, est venue aussi un jour, refuser que l’on utilise son patronyme. Ni Renato, ni Jacques, ni moi, n’ont jamais réagis comme vous deux.
bouguereau dit: 13 juillet 2014 à 11 h 36 min
que veux tu..je hais l’alali, les gens faut leur laisser un périmètre,
Erdelien de base dit: 13 juillet 2014 à 17 h 36 min
Tandis que question hommes zouzou ya l ambarras du choix du cote baltringues, la palme d or de la mechancete coconne sans conteste revient a Chaloux!! Loin devant, hein. Pas photo. Champion de l hallali si si
Hiatus. : « Manque de continuité, interruption posant problème, contradiction dans une œuvre, un discours, une suite logique, une suite d’événements : Un hiatus entre les discours tenus et les réalisations concrètes. »
TKT dit: 13 juillet 2014 à 17 h 54 min
où vous avez laissé tombé Michel Alba.
Mission impossible avec le délateur helvète toujours au premier rang pour cafter.
Pauvre Kron ! Une bêtise de l’ordre de la sidération…
Pour en finir avec l’Utopia que le virtuel favorise :
« Si Pierre Assouline avait un grain de folie, il rassemblerait autour de lui une assemblée éphémère » d’erdéeliens … !
Ce serait fabuleux de passer du virtuel au réel !
« Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 17 h 49 min
Toi Alba, tu n’es pas un pervers, tu es un fou, un fou narcissique.
Le pervers narcissique se délecte de la souffrance des autres. Je t’assure que te voir te débattre dans ta folie logorrhéique n’est pas une délectation pour moi. C’est comique, mais pas délectable. »
C’est minuit, là où je suis, Chaloux.
Les moustiques et les dieux sont présents (marrant, aux deux on adresse de l’encens. Pour les moustiques, c’est cet espèce de spirale verte chimique à laquelle on fout le feu, tout le monde connaît ça).
Vos propos sont des propos de tables parfaits.
Il y faut la grande table (qui distancie) et le saké ou pinard, tandis que le soir tombe.
« Si tu savais comme t’es con…
– Tes références, c’est de la couille en barre.
– Passe-moi le saké ».
J’ai connu ça, j’ai connu ça.
Naturellement un dieu doit être de la partie…
Ça arrive (pas longtemps).
TKT dit: 13 juillet 2014 à 17 h 54 min
« Michel Alba, je suis peut-être un con, mais vous aussi. »
Un excellent début de dialogue diplomatique. On peut faire carrière sur des fondations aussi solides ….
Je n’ai jamais eu de telles peurs, mon pauvre Kron ! Les quelques élèves qui m’en ont parlé, c’est pour s’en réjouir et m’en féliciter, figurez-vous ! Ils me donnent entièrement raison. Et ce par l’un de mes élèves qui est le pire ! Et c’est précisément celui-là qui est venu en fin d’année me remercier de la qualité de mes cours et des relations humaines que j’ai avec mes élèves. Vous êtes complètement à côté de la plaque, dans vos pauvres fantasmes de crétin patenté.
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 18 h 07 min
Je n’ai jamais eu de telles peurs, mon pauvre Kron ! Les quelques élèves qui m’en ont parlé, c’est pour s’en réjouir et m’en féliciter, figurez-vous ! Ils me donnent entièrement raison. Et ce par l’un de mes élèves qui est le pire ! Vous êtes complètement à côté de la plaque, dans vos pauvres fantasmes de crétin patenté.
Ne vous y trompez pas, cet art de la conversation est excellent.
C’est embêtant que TKT soit aussi une des parties en cause.
Son flegme et son élégance peuvent en faire un très bon Master of Ceremonies.
(Naturellement, aucune latitude: tous ses propos auront été, sur contrat moral, décidés par le noyau dur. C’est structurellement nécessaire pour les MC. Mais le contrat est par définition de durée strictement limitée. Aucune inquiétude.)
Ueda, je fais mes adieux et j’en profite pour me fâcher avec -presque- tout le monde.
Là où je vais, il n’y a grâce à Dieu pas le moindre moustique, les nuits sont trop fraîches. Le minuit minéral, presque glacé, appartient tout entier aux oiseaux de proie et au bruissement de la fontaine. De là, on monte très vite vers des vallées où l’homme redevient créature sans âge, simple émanation de la terre, à la fois robuste et fragile, immortelle et perpétuellement menacée, délestée de tout bagage inutile. Presque de tout langage. Difficile de vivre sans, quand on a goûté une fois à ce nectar sans pareil.
je reviens faire un tour… estomaqué par la prose de Videurmachin : tous les intervenants ici sont des cons à part lui, même pas un qui serait un petit peu moins con que les autres, non ?, pas un seul ?
“Le concept d’homosexualité est une invention du XIXè siècle. Avant ça n’existait pas comme dénomination de la chose. Et la dénomination fait la chose « :
Fazit ?
Dans le passé, la chose non définie n’existait pas ?
Henri III doit se retourner dans sa tombe.
Le fameux « Crime contre l’Humanité » n’existe que depuis le procès de Nürnberg/Nuremberg. Bref, avant, les crimes racistes des nazies n’existaient pas puisque non défini par une dénomination.
Pervers-narcissique, dénomination récente d’une pathologie ancienne, ainsi d’après le prof pour 5ème (qui fait passer le bac avec succès), la chose n’existait pas dans le passé. Sans Freud, le monde serait resté pur, attention quand même aux pommes ? Pour Adam et Eve, la pomme ne devait pas vraiment s’appeler pomme, donc là nous sommes coincés. Le péché originel devient de la fiction ?
Immaculée-conception, du vent ?
Michel Alba, vous citez une phrase de Foucault, d’une manière tronquée, pour lui faire dire quelque chose sans son contexte, qui ne correspond vraisemblablement pas à ce que le philosophe voulait dire.
La pédophilie existait avant son concept, idem pour toutes les activités sexuelles qui s’éloignent de la simple copulation afin de faire un enfant.
Michel Alba, le concept de l’Intellectuel n’existe que depuis « J’accuse ! »
Sans cette dénomination, la chose n’existait/n’existerait pas ?
Alba, vous êtes con et vous y mettez tout votre QI, bref, vous me dépassez…
Je reviens aussi, ça ferraille sec dites donc, on se croirait chez Polac au temps où la télévision faisait encore de la télévision; le mec qui traite tout le monde de cons me fait peur, vachement peur; Popaul a l’air bien solitaire
Kron, vous n’êtes qu’un âne.
Je dis simplement une vérité que vous ignorez. Soyez modeste au lieud e la ramener. Vous vous ridiculisez, c’est tout.
C ‘est mon dernier mot ici, à minuit je dors.
On me dit que la rencontre se fera nécessairement sous les auspices du dieu Guandi, ce qui va de soi, ici à Taizhong (Taiwan)
Général de son vivant, devenu dieu des commerçants et des policiers, il est parfait. Ses petits temples sont partout.
Avez-vous lu le Roman des Trois Royaumes?
Sinon, Osaka, also possible.
Bon, en 2015?
« le prof pour 5ème (qui fait passer le bac avec succès) » (un brave Kron)
Vous voyez que vous êtes capable de progrès. Poursuivez dans cette voie ! Bon courage.
C’est d’ailleurs assez curieux: plus on s’enfonce dans les solitudes naturelles plus on a de perceptions et d’éblouissements et moins on a de sentiments.
Tremblez, Ciboulette !
Alba/Kron = match, nul très nul; j’aime bien Chaloux… je m’attends au pire de la part du « professeur » Tourneseul très seul
Alba, ont peut se demander, et c’est valable pour D’JC, pourquoi un homme aussi satisfait de soi, peut être aussi frustré et misanthrope ?
Alba, vous êtes con et vous y mettez tout votre QI (TKT)
Dans QI, si on enlève le I, on perd pas grand’chose.
« vous citez une phrase de Foucault, d’une manière tronquée » (un pauvre Kron)
Pas de chance, mon brave Kron ! Je n’ai cité aucune phrase de Michel Foucault…
Un vrai Kron, le type !
…
…et, après avoir lu tout le texte!,…
…un panier du genre à godes » réservé pour parvenir « ,…
…par ici, les mignons,…à la queue leu leu,…ne poussez pas derrière,…toutes ces manières, ma vertu,…
…
…et queue pensez des » tests médicaux » en tout genres,…
… » vous résistez aux femmes, m’a t’on dit « ,…ou » vous bander sans en faire un cas à soumettre « !,…
…vous avez encore des habitudes sérieuses au niveau de votre libido,…montrez moi çà!,…Oui,…comme çà dans votre intimité,…
…
…vous tenez tout de long,…et vous ne répétez pas forcément la mécanique des mouvements,…vous laissez cela aux montres et horlogeries!,…aux journées qui passent avec le soleil!,…comme vous dites!,…
…
…vous ne voyer pas vos protubérances, qui affligent vos partenaires!,…
…
…vous vous y prenez ainsi!,…montrez moi!,…vous savez faire plus raide à deux mains !,…Oui!,…
…téléphone,…Oui!,…je travaille sur un sujet sensible!,…Oui!,…c’est en court,…
…la 16,…pour Monsieur Un-Tel!,…
…à plus-Outre,…c’est çà!,…
…pour les pervenches en manque!,…extensions,…et de un,…et de deux!,…n’insistez pas,…je me charge de mon emploi du temps,…la psy, vous attend ensuite!,…prenez votre dossier avec,…la 3? Mme » Ingrid « ,…etc!,…
…fermé votre peignoir ainsi,…jeune homme,…je vous fait venir cette semaine, avec la carte » bleu « ,…si, çà vous fera plus de bien, que vous croyez!,…c’est dit!,…
…au moins vous n’êtes pas dentiste!,…rien à arracher!,…rien!,…soulagé & a demain!,…of course!,…Ah!,…Ah!,…
…
…forcé les concomitances,…comme sur du billard,…un jeux de boules,…etc!,…
…
…vous n’êtes pas » gay’s « ,…vous en êtes sûr,…nous allons voir cela !,…ensemble!,…des tests à vérifier!,…c’est opportun !,…Ah!,…c’est vous la spécialiste,…au dessus de son sexe!,…allons allons,…juste le métier,…pas de quoi en faire son beurre!,…voyons,…Allez!,…soyez sérieux maintenant!,…Oh!,…je commence,…restez calme!,…
…heureusement, ils sont pas tous comme vous!,…encore un effort,…Oui!,…je le prend en charge!,…Allo!,…ça vient!,…
…c’est O.K.,…vous restez!,…
…vous en avez de la graine!,…à exploitez!,…etc!,…juste ciel!,…la visite des stagiaires!,…Oui!,…encore à calmer les patients à la main, & bouche cousue!,…
…
…nos joutes oratoires, garder le métier!,…un métier,…gourde,…s’encanaillez dans les fioritures et décors à barbes!,…Ah!,…& puis ,…
…& pour les grands messieurs, …c’est comme çà,…longue durée,…Allons ne bouger pas!,…enfin!,…toute une rééducation à vous parfaire!,…maintenez le!,…c’est presque en cours!,…Oui!,…
…revalidez votre carte, au plus tôt!,…je vais vous la pointé,…la lecture, la santé!,…un processus conjoncturel économique!,…
…jamais!,…n’allez pas chez les pûtes,…
…un long cours à deux mains,…par une femme au dessus de son sexe!,…pas de quoi se montez une tour Eiffel à tour de bras!,…etc!,…Ah!,…Ah!,…
…
…& la camisole de force!,…pour faire pipi!,…bon!,…passons, trop de lubricité nuit à notre libido!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…envoyez!,…femme au dessus de quoi!,…
…
Dans QI, si on enlève le I, on perd pas grand’chose.
Très drôle !
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 18 h 21 min
« Kron, vous n’êtes qu’un âne. »
Pardonne moi, Michel, mais il existe des rimes plus riches… Bonne Finale !
Lu Les Trois Royaumes, non, mais je sens que ça vient.
A bientôt,
» Si tous les Juifs sont comme Widergänger , je veux bien me faire nazi » (Josef Goebbels)
« peut être aussi frustré et misanthrope ? »
Parle pour toi, mon brave Kron ! Encore un de tes fantasmes à la Kron.
… Ils sont tous occupés à testiculer.
« Les femmes sont exclues par leur état de toute espèce de gloire et, quand il s’en trouve une avec une âme assez élevée, il ne lui reste que l’étude pour la consoler de toutes les exclusions. » (Émilie du Châtelet)
Divine Emilie, divine, en ce sens, très cartésienne.
« mais je sens que ça vient. » (chaloux)
Wwwwwwwwwwwaaaaaarrrrfffffffff!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
…
…l’imagination, rien que de l’imagination, pour romancier novice!,…encore un effort!,…
…of course!,…un effort par ci,…
…un autre par là!,…surtout ne pas s’en mettre plein la tête,…pour si peu!,…etc!,…Ah!,…Ah!,…la conjoncture!,…les liens au sujet!,…
…pas d’amalgames!,…S.V.P.,…etc!,…
…
Avant de vous quitter, un aveu : je suis fou de trois personnes remarquables, intellectuellement parlant :
-Hypatie
-Emilie du Chatelet
-Liliane Bettencourt
La dernière pour des raisons personnelles… Bonne soirée ?!
Chère Lucette, et si on se coalisait pour lui faire une petite surprise de choc à domicile, à cet enfoiré d’Alba ? J’ai des contacts intéressants, dans le 93. Si vous êtes d’accord, je me charge de tout.
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 18 h 37 min
Erreur de manipulation. Je voulais troller. Considérez que ce post n’est pas de moi.
ueda dit: 13 juillet 2014 à 18 h 14 min
Son flegme et son élégance
Déjà qu’il a un penchant pour Daaphnée, je me demande si zouzou sait vraiment de quoi il parle quand il aborde le domaine du savoir-vivre.
Non la violence n’est pas la solution. Alba est inoffensif et touchant dans sa folie. Je suis persuadé que c’est un bon bonhomme.
bouguereau, en revanche, quelque bourre-pif ne lui feraient pas de mal. Mais on ne cogne pas sur les vieux messieurs…
Alors, résignons-nous à la douceur…
Vrai, vous n’avez pas cité une phrase, même tronquée, de Foucault, mais seulement répété quelque mots sans contexte:
» La dénomination fait la chose ».
Alba, Kron serait-il devenu un adjectif ? Vous faites du plagiat de D’JC, attention, les deux pervers-narcissiques vont vous faire un procès. Votre avocate est-elle aussi une spécialiste en « droit intellectuel » ?
D.bile et JCouille ont fait patenter leurs trouvailles.
Non la violence n’est pas la solution. Alba est inoffensif et touchant dans sa folie
Je pensais juste à une petite remise à niveau : baignoire, électricité, le pack Lauriston, quoi. Rien de bien méchant.
Tous les intervenants -des passionnés de cet inconnu de Titin Amis- sont des personnes remarquables !
Nous les aimons, nous les détestons, nous les côtoyons …
So what ?….
+++++++ +++++ ++++
(Raymond, mon merri, a faite tout scolahilarité avec M. Alba. Résultat : il escrid en croies!)
Le cerveau du Kron est reparti dans son tourniquet habituel avec Dbile et Jcouilles…Le pauvre homme !
Un vrai asile d’aliénés ici !
La vie de François Arouet :
-on écrit, on publie, on correspond, le jour
-la nuit, on baise…
Business as usual !
Robert dit: 13 juillet 2014 à 18 h 47 min
Si c’est de la plomberie-électricité, alors y a pas de mal. Demandons-lui s’il a besoin de « petits travaux ». (A mon avis ça pêche surtout dans les gros).
Robert, Alba habite en plein Paris, pas dans le 93.
Rue Ramey, le genre de quartier qui devient chaque jour plus bobo.
Son look très 68tard en fait un voisin très remarqué, le seul qui n’ait pas de tatouage, ni des jeans bas-de-taille. Il cultive des plantes vertes sur son balcon, peut-être est-ce du H ?
Robert, quel est votre pseudo le plus utilisé ?
Chaloux est tout simplement un pauvre homme en plein désarroi, mes petits chéris. On va lui offrir des fleurs quand même pour son enterrement.
« Rue Ramey, le genre de quartier qui devient chaque jour plus bobo. »
On voit tout de suite le mec vachement au courant…!
quelqu’un pourrait-il me dire où le dénommé Alba Michel enseigne ? C’est que ma fille doit être scolarisée en 6e l’an prochain à Paris; je ne voudrais pas qu’elle se farcisse cet énergumène. On le dit fou, pervers narcissique, et Juif de surcroît. Je ne suis pas antisémite, mais trop, n’est-ce pas, c’est trop.
Rrrrrrrooooooobbert ! Au pied !
Je me rappelle d’avoir entendu Roger Peyrefitte à « Apostrophes » prouver avec beaucoup d’exemples que Voltaire était homo et qui s’était beaucoup amusé de ce côté-là (si je peux m’exprimer ainsi), dans sa jeunesse. Quelqu’un a lu sa biographie de l’auteur de « Zadig »?
Le mec qui pense que la butte Montmartre se trouve en plein Paris…
Ah ! les bœufs, mes petits chéris, les bœufs ! Faut venir ici pour trouver pareils bœufs !
Robert, quel est votre pseudo le plus utilisé ?
Si je vous le disais, vous ne le croiriez pas. Mon vrai prénom est Pierre. Appelez-moi Pierre A.
« Entre la récurrence des images de l’ambivalence sexuée et celle d’un grotesque corporel inquiétant, Voltaire semble à distance du sexe décidément assumé : par une identité, par un désir et par un objet qui rendent heureux. Celui qui a tant de mal à dire « je » semble bien le même que celui qui joue d’une ironique pirouette sur ce décentrement à l’égard de soi-même comme corps sexué, en un ultime constat d’indétermination où rode la castration. »
c’est pas tres clair tout ça… (Paul Edel)
C’est du pur charabia « widergängerien »…
« Je soupçonne de plus en plus Widergänger d’être une caricature de Juif manipulée par un gang antisémite aux fins de déconsidérer le peuple élu. » (Onésiphore de Prébois)
Widergänger a expliqué lui-même qu’il n’était pas juif. Il ne fait que jouer ici à l’être. Dans ce domaine, comme dans tant d’autres, il pète plus haut que son (gros) cul.
On m’a rapporté un fait incroyable : Pablo75 mettrai sa main dans la culotte des premières communiantes du village, depuis 1906 !!! ….
Stupéfiotant, non ? …
Les dieux nous protègent, Pablo arrive et Chaloux est toujours là.
Rendez-nous H.R. et Djdla.
Oui Pablo, les deux premiers volumes seulement (il y en a deux autres sur ses rapports avec Frédéric II). C’est fastidieux (une suite de fiches collées les une aux autres) et très amusant. On y apprend plein d’anecdotes hilarantes, comme le bouquet offert à Mme de Francine (fille de Lully). Un abbé lui annonce qu’il va lui faire envoyer un bouquet. Elle n’y croit pas et répond:
« Ce sera un bouquet pour mon cul ».
Quelques jours plus tard, l’abbé fait parvenir à la dame une superbe composition médicinale. Tout pour les lavements, avec au beau milieu un motte de beurre sculptée en forme de clystère, pour adoucir.
Une maman inquiète dit: 13 juillet 2014 à 18 h 58 min
Robert, quel est votre pseudo le plus utilisé ?
Merdre !
JC….. dit: 13 juillet 2014 à 19 h 00 min
On m’a rapporté un fait incroyable : Pablo75 mettrai sa main dans la culotte des premières communiantes du village, depuis 1906 !!! ….
Moins fort que JC qui se la met tout seul depuis 1902.
Non, c’est faux, je n’ai pas un gros cul !
Non mais !
Un vrai lèche-cul, ce Pablo !
Chaloux et Pablo, les deux grosses buses de la Rdl !
Ça va péter dans trois minutes avec ces deux furibards.
M. Alba m’a violé au cours d’une réunion parents professeurs en faisant croire à tout le monde que je venais d’avoir un infarctus et qu’il connaissait une méthode infaillible pour réanimer. Je cours sans m’arrêter depuis 1974. 7 fois le tour de la Terre.
La clé de Widergänger est son masochisme. Il vient ici se faire bastonner exprès. C’est pour cela qu’il dit n’importe quoi. Comme ça, le soir il peut, tout seul dans son lit, penser, en se branlant, à toutes les baffes qu’il a reçues sur ce blog pendant la journée et… jouir enfin!
Il faut le comprendre: avec sa gueule de croquemort médiéval ravagée par la gnole, il n’a pas le choix.
Un clou chasse l’autre dit: 13 juillet 2014 à 19 h 06 min
Tiens, TKT est toujours parmi nous.
pèpèp (comme dit bougreau)
Voltaire n’a jamais honoré Emilie du Châtelet comme elle a pu, peut-être, l’espérer. Le jeune marquis s’en est chargé.
Frédéric II, inverti avisé, a commencé par nettoyer le terrain en retenant la grosse nièce Denis hors de ses frontières.
Mme du Chatelet a bien été honorée par Voltaire, Phil. Ensuite elle a rencontré un bellâtre, est partie avec lui et est morte des suites de couches tardives (il me semble).
Pauvre Pablo ! Se laisser ainsi aspirer par la vulgarité, on a pitié pour lui.
(il me semble). (chaloux)
chaloux a l’art de maintenir un suspens insupportable avec cette modalisation concertée en fin de phrase !
Elément de conversation d’une certaine société. Tu peux pas connaître, Alba, en dépit de tes sublimes ancêtres espagnols Alba. Pour cette raison que ça te semble bizarre (il me semble).
Chaloux, êtes-vous bien sûr ? Il me semble que le marquis de Boufflers (ça ne s’invente) a suppléer Voltaire, du plein gré de ce dernier du début à la fin.
…
…@,…ueda,…à 17 h 44 mn,…
…………………………..relax!,…
…………….vous avez l’air, de savoir & d’en vouloir plus!,…
…un genre à planifier sur l’échiquier!,…
…poser les pièces,…ou en grandes manoeuvres!,…
…à imaginer les pièces à jouer toute seules!,…etc!,…
…
Pardonnez-moi, les amis … !
Voltaire écrasait l’infâme et enfilait les femmes….
What else ?
Il me semble que la RdL s’égare. S’il y a un con ici, il est admis depuis longtemps que c’est TKT.
Plus personne ne reconnaît personne, c’est d’un triste.
Quelqu’un a cité Michel Alba. C’est drôle, c’était le nom de professeur de français. Un remarquable pédagogue. C’est grâce à ses conseils que j’ai pu intégrer l’ENA et je l’en remercie chaque jour par la pensée.
Il y a eu tout de même un petit début (il me semble bien). Mais comme je le disais ce matin, Voltaire n’a découvert que très tard, avec sa nièce, l’obsession charnelle et érotique, – nièce qui avait d’ailleurs d’autres vits à fouetter. Mme du Châtelet était femme (vous connaissez le mot de Baudelaire), il lui fallait du concret.
La clé de Widergänger est son masochisme. Il vient ici se faire bastonner exprès. C’est pour cela qu’il dit n’importe quoi. Comme ça, le soir il peut, tout seul dans son lit, penser, en se branlant, à toutes les baffes qu’il a reçues sur ce blog pendant la journée et… jouir enfin!
Il faut le comprendre: avec sa gueule de croquemort médiéval ravagée par la gnole, il n’a pas le choix. (Pablo75)
Merci pour cette explication limpide. Pauvre garçon. On comprend mieux beaucoup de choses.
J’ai cru comprendre qu’il commentait ici. Mais sous quel pseudonyme, s’il vous plaît ?
Voltaire annonce sa mort toutes les deux lettres, même quand il a encore quarante ans devant lui. Ce ne devait pas être un aliment érotique bien nourrissant.
En même temps, faut pas être trop méchant avec Alba. Il ne l’est pas lui-même. On a l’impression qu’il veille toujours à ce que ses insultes ne portent pas. C’est une grande qualité qui doit lui être comptée (je ne plaisante pas).
ce feu croisé contre une seule personne est gênant.
ressaisissez-vous, variez les cibles, avez-vous oublié que le plus détestable d’entre tous est JC ?
oubliez alba cinq minutes et recentrez-vous sur les vraies ordures.
« Pour cette raison que ça te semble bizarre (il me semble). » (chaloux)
Là, comme dirait l’autre, on a senti passer le vent de l’imbécilité…
un inconnu qui passe dit: 13 juillet 2014 à 19 h 27 min
pèpèpèpe. Usurpation de pseudo. Celui-ci est à moi.
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