Mais qu’entendait Voltaire par « une femme au-dessus de son sexe » ?
Cette petite énigme, qui ferait une excellente question pour un « Jeux de l’été » à compléter sur le sable, ouvre le copieux dossier consacré à « Voltaire et le sexe » par la dernière livraison de la Revue Voltaire (No 14, 2014, 335 pages, 29 euros, Presses de l’université Paris-Sorbonne). Naturellement, dans la mesure où il désignait par cette expression une attitude de Mme du Châtelet, entre autres, on suppose que sa qualité de femme aurait constitué à ses yeux un obstacle au déploiement de l’esprit, écueil que seules les plus brillantes pouvaient franchir avec succès. Mais cela ne suffit pas.
Olivier Ferret et Florence Lotterie, maîtres d’œuvre de cette réunion de voltairistes, montrent qu’une enquête lexicale dans l’océan d’écrits de la main du maître y confirme la récurrence massive de l’expression « beau sexe » comme synonyme de « femme ». On imagine bien que nos contemporains universitaires y distinguent d’emblée la question du genre, et comment en serait-il autrement. Mais que l’on ne s’y trompe pas : leur objectif est bien dégager de ses quelques rayons d’Oeuvres complètes une « poétique du sexe » selon les différents genres littéraires considérés. Plusieurs œuvres de Voltaire sont privilégiées, notamment Des singularités de la nature et Questions sur l’Encyclopédie, La Bible enfin expliquée.
On s’en doute, « sexe » ne s’entend pas dans la stricte acception de « relations sexuelles ». La morale, l’autorité, le pouvoir y ont partie liée dans les pages qu’il consacre aux grands hommes au sein de son Essai sur les mœurs, qu’il s’agisse de Henri VIII ou de Charles 1er, du pape Nicolas 1er ou de Mahomet, d’Henri IV ou …. Myrtille Méricam-Bourdet, qui a planché sur la question, observe que, au fond, Voltaire historien réserve au sexe le même traitement qu’à toutes questions relatives au pouvoir.
Cela lui est une occasion supplémentaire de dénoncer la violence sexuelle à l’œuvre dans l’Ancien Testament. Il n’aura jamais assez d’arguments pour en révéler la part sauvage, barbare, archaïque. Sous son regard, tout n’y est que viol, inceste, polygamie, adultère, prostitution avec, en prime typiquement voltairienne, la bestialité lorsqu’il se « souviendra » à temps que des Juives avaient couché avec des boucs… Ce type de dénonciation était courant chez les Lumières. Cela participait même d’un genre à part sous l’appellation des « Scandales de la Bible ». Mais après les avoir examinés de près, Geneviève di Rosa se demande si l’usage récurrent ad nauseam qu’en fait Voltaire participe d’ « une parodie de l’obsession de l’Eglise pour le sexe ou d’une obsession qui appartienne en propre à Voltaire ».
On le sait, tout lui est prétexte à écraser l’infâme. Peut-on pour autant se laisser aller à y entendre « les infâmes » ? Pas seulement l’Eglise en particulier et les religions en général, mais les homosexuels ? Pour n’être pas nouvelle, la querelle paraît toujours aussi vaine entre ceux qui veulent annexer Voltaire à la défense de la cause gay, et ceux qui à l’inverse veulent en faire l’un de ses pourfendeurs, le plus étonnant étant encore que les deux partent des mêmes textes, mais d’interprétations différentes, sur la personne du chevalier d’Eon par exemple pour laquelle il se passionna, comme nombre de ses contemporains. Dans ses pages sur l’influence néfaste de l’opéra, de la musique italienne jugée « efféminée » et des castrats, c’est encore à l’Eglise qu’il s’en prend, si corrompue qu’elle fait chanter ces émasculés dans les chœurs du pape. En fait, comme le remarque Christophe Paillard, Voltaire ne juge pas que l’homosexualité soit contre nature ; il estime qu’elle aussi exprime la nature, mais par méprise, qu’elle en est une erreur. Par ce jugement modéré, il a voulu avant tout libérer la sexualité de l’Eglise, et non en tant que telle (on se reportera également à ce sujet à l’indispensable complément que constitue l’Autodictionnaire Voltaire, Omnibus, 2014, d’André Versaille ; l’article « Femme » y est tiré de Femmes soyez soumises à vos maris)
Il se comporte là, comme d’une manière générale, en fonction de son intérêt du moment, celui de sa démonstration argumentative ; il alterne entre ce que Marc Hersant distingue comme « une espèce de légèreté pragmatique et une légèreté libertine » d’un côté quand il s’agit de proches, et de l’autre « une intolérance d’occasion » qui peut se traduire par de l’insinuation perfide et de l’imprécation s’il a des comptes à régler. La meilleure illustration en est l’évolution de son attitude vis à vis de l’homosexualité de Frédéric II. Dans son article, Marc Hersant se montre plus prudent que dans la formule qui lui sert de titre (« Sodome à Postdam »), d’autant que le terme « sodomie » amalgamait à cette époque nombre d’acte jugés contre nature en dehors de l’onanisme et de 
la zoophilie ; il invite à décrypter non pas ce que Voltaire dit de l’homosexualité dans ses dictionnaires (« affligeant ») mais les Mémoires pour servir à la vie de Monsieur de Voltaire (1759) dont on sait qu’il les destinait plutôt à éclairer le lecteur sur le vie privée du roi de Prusse, dans un mélange d’admiration et de ressentiment. « Parler d’homosexualité à propos des rapports de Voltaire et de Frédéric tels que les décrivent les Mémoires n’a donc strictement aucun sens » écrit l’universitaire de Lyon-3 en invitant, pour mieux comprendre ce mélange de social et de plaisir, de désir dans les rapports hiérarchiques et d’amour tout court, à établir un parallèle avec la nature complexe de la relation amoureuse unissant Louis XIV et Lauzun, où se mêlent passion sans consommation, affectivité, sensibilité, liaison sans sexe, jalousie…
Hormis cette « exception royale », Voltaire voit le sentiment amoureux comme la traduction psychologique d’une attirance physique. Christophe Paillard rappelle à cette occasion la manière dont Diderot résumait cela : « Il y a un peu de testicule au fond de nos sentiments les plus sublimes et de notre tendresse la plus épurée » précisant, dans une lettre à Sophie Volland, qu’il y avait toujours « un peu de saloperie » dans nos sentiments. En conclusion de leur introduction, Olivier Ferret et Florence Lotterie ramassent la problématique en quelques phrases :
« (…) Entre la récurrence des images de l’ambivalence sexuée et celle d’un grotesque corporel inquiétant, Voltaire semble à distance du sexe décidément assumé : par une identité, par un désir et par un objet qui rendent heureux. Celui qui a tant de mal à dire « je » semble bien le même que celui qui joue d’une ironique pirouette sur ce décentrement à l’égard de soi-même comme corps sexué, en un ultime constat d’indétermination où rode la castration. »
Et les maîtres d’œuvre de ce dossier de laisser le dernier mot à Voltaire par une citation tirée des Questions sur l’Encyclopédie :
« On se plaît encore à table quoiqu’on n’y mange plus. Est-ce de l’amour ? est-ce un simple souvenir ? est-ce de l’amitié ? C’est un je ne sais quoi composé de tout cela ».
Soit, mais qui d’une femme au-dessus de son sexe…
(Salvador Dali, Marché d’esclaves avec apparition du buste invisible de Voltaire, 1940, Musée Salvador Dali, St Petersbourg) ; « Gravure pour la Pucelle d’Orléans, 1780, de Voltaire ; « Frédéric II rendant visite à Voltaire » tableau de Nicolas-André Monsiau)
917 Réponses pour Mais qu’entendait Voltaire par « une femme au-dessus de son sexe » ?
Chaloux dit:
à
Alba, le vent de l’imbecillité… Pauvre Baudelaire, c’est de la sienne qu’il s’agissait.
Pablo75 dit:
à
@ Chaloux
« en dépit de tes sublimes ancêtres espagnols Alba ».
Quels ancêtres? La famille de la duquesa de Alba?
Widergänger dit:
à
« oubliez alba cinq minutes et recentrez-vous sur les vraies ordures. »
En pédagogie, on dit « se rencentrer sur les fondamentaux. »
Ils sont jaloux, mon pauvre ami ! Jaloux et teigneux. Et contre ça on peut rien. Ils m’envient tellement ils me voient supérieurs à eux. Ils n’ont pas tort, c’est certain.
JC..... dit:
à
« Mouloud Barrabas demande à l’ONU de placer la « Palestine sous protection »… »
Quel con ! Ils envoient de croquettes sur Jérusalem, Tel Aviv, et ils se plaignent du retour de manivelle !
Le Napalm ! Le napalm, vous dis-je…
ueda dit:
à
Encore un saké et au lit.
C’est fait, j’ai réservé un pré pour 2015. Ça n’a pas été facile mais j’ai promis pour l’obtenir que Daaphnée nous ferait la danse du ventre en tutu. Enfin, si elle accepte…
(Ah, souvenirs, souvenirs…)
Pablo75 dit:
à
@ un inconnu qui passe
« avez-vous oublié que le plus détestable d’entre tous est JC »
Lui, on ne touche pas: il est protégé par la SPA.
Widergänger dit:
à
« en dépit de tes sublimes ancêtres espagnols Alba ».
Quels ancêtres? La famille de la duquesa de Alba? (Pablo)
Vlà t’y pas maintenant qu’ils vont se disputer à propos de mes ancêtres !
Trop drôle, mes petits chéris ! C’est la gloire.
Chaloux dit:
à
@Pablo
Une grande famille Alba en tout cas.
JC..... dit:
à
Le napalm, c’est une image… ! Une décimation suffirait, tant les cons sont influençables.
Widergänger dit:
à
« Une grande famille Alba en tout cas. » (chaloux)
Vous voyez, je vous le disais ! C’est la gloire !
M'sieur, M'sieur, c'est moi ka la plus grosse (Chaloux) dit:
à
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 19 h 29 min
Celui-ci est à moi
Ce qui est merveilleux avec les cons, c’est le souci qu’ils ont de se vanter de leurs conneries.
Chaloux dit:
à
ueda dit: 13 juillet 2014 à 19 h 31 min
Encore un saké et au lit.
Daaphnée nous ferait la danse du ventre en tutu
Si Daaphnée était indisponible, j’ai une ex proche-orientale qui faisait ça pour moi tout seul, divinement. Si Voltaire avait connu ça, sûr que Mme du Châtelet aurait pas eu besoin de chercher ailleurs. C’est le plus efficace aphrodisiaque que je connaisse. Je pourrais lui demander une participation gracieuse.
Widergänger dit:
à
Israël pourrait en effet le réduire en miettes l’autre taré ! Mais les conditions ne sont réunies. Mais tout peut changer.
Phil dit:
à
oui Chaloux. Quant à Peyrefitte, même s’il roulait pour l’internationale pédéraste, certaines de ses saillies d’apostrophes (tirées des deux tomes) sont convaincantes. Turenne aussi s’offrait du fantassin, le temps de reprendre du souffle.
un inconnu qui passe dit:
à
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 19 h 29 min
un inconnu qui passe dit: 13 juillet 2014 à 19 h 27 min
pèpèpèpe. Usurpation de pseudo. Celui-ci est à moi.
——
Et quoi encore, petite nouille ? T’étais pas encore sec derrière les esgourdes que je signais déjà comme ça, pauvre pomme.
Ecoutez-le ! Comme il est touchant, l’enfant. « Celui-ci est à moi, na na na… j’ai mis Alba à quatre pattes, hu hu hu… je suis très cultivé et un grand pianiste… d’ailleurs Pablo me trouve chou… »
Dieu ! Où avons-nous mis notre âme ? Ce blog était donc l’antre des benêts.
Chaloux dit:
à
Alba, « grande famille » c’est toi qui le dis.
Widergänger dit:
à
Oh ben oui, dis donc, chaloux a l’air d’en avoir une très très grosse !
Widergänger dit:
à
Alba, « grande famille » c’est toi qui le dis. (chaloux)
Il en a vraiment une très grosse, hein…
Pablo75 dit:
à
@ Chaloux
« On a l’impression qu’il veille toujours à ce que ses insultes ne portent pas. C’est une grande qualité qui doit lui être comptée (je ne plaisante pas). »
Tu confonds impuissance et bonté.
Club de rencontres dit:
à
l’antre des benêts. (inconnu qui passe)
tss tss ! Chaloux n’est pas benêt ! Il est peu naïf, peut-être un peu mou du bulbe, mais il a le droit de s’exprimer, c’est une grande personne.
Pablo75 dit:
à
« Trop drôle, mes petits chéris ! C’est la gloire. »
(Widergänger)
Ce soir double branlette…
Chaloux dit:
à
Phil dit: 13 juillet 2014 à 19 h 36 min
Mon avis sur la question c’est qu’au-delà d’un certain niveau d’intelligence ou de génie (dont je suis très éloigné , évidemment, je ne parle pas pour moi), la bisexualité, même épisodique, même accidentelle, va presque de soi.
Widergänger dit:
à
chaloux cultivé et grand pianiste…
Wwwwwwaaaaarrrrrrffffffffffffff !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Paul Edel dit:
à
ariver à pourrir un blog à ce point là,avec des insultes avilissantes pour celui ou d ceux qui les prononcent ca laisse sidéré . d’autant qu’il n’y a plus aucune moderation sur ce blog.
Chaloux dit:
à
Pablo75 dit: 13 juillet 2014 à 19 h 39 min
Il se pourrait que l’impuissance d’Alba soit une des formes de sa bonté. C’est un bon type, malgré sa folie furieuse.
recensement des coming-out dit:
à
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 19 h 41 min
pour moi), la bisexualité, même épisodique, même accidentelle, va presque de soi.
et y a pas de honte à avoir, mon gars, tu fais comme tu l’entends.
Widergänger dit:
à
« au-delà d’un certain niveau d’intelligence ou de génie (dont je suis très éloigné » (chaloux)
Wwwwwwwwaaaaaaarrrrrrffffffffffff !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le meilleur néanmoins n’est pas dans cette citation, mais dans la parenthèse qui suit :
« évidemment »
wwwwwwaaaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrfffffffffff !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mme Chaloux dit:
à
Mon Chaloux ? Inverti ? Je comprends mieux pourquoi il m’interdit de lire ce blog : ici, il se lâche.
Chaloux dit:
à
Paul Edel, pendant ce temps-là on raconte moins de conneries sur la littérature. Moins que vous en tout cas. je vous le dis gentiment, mais vous en dites beaucoup. Et puis Catulle, Martial, Lucien, Juvénal, nous sommes peut-être dans une ligne que vous ignorez mais qui vaut les dévotions de sacristie littéraire auxquelles vous vous adonnez de préférence.
Widergänger dit:
à
Ce soir double branlette… (Pablo)
Au moins, mon petit chéri….
DÉTECTION D'UN DOUBLON dit:
à
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 19 h 44 min
Wwwwwwwwaaaaaaarrrrrrffffffffffff !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il semble que vous ayez déjà envoyé ce commentaire.
Widergänger dit:
à
« Et puis Catulle, Martial, Lucien, Juvénal, nous sommes peut-être dans une ligne que vous ignorez » (chaloux)
Ah, le mec ! Plus con, tu meurs…
Erard dit:
à
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 19 h 41 min
C’est pas bien de se moquer, grand pianiste on sait pas.
Widergänger dit:
à
oui, doublon et double branlette, ça va de pair (de couilles)…
La voix est libre dit:
à
Paul Edel dit: 13 juillet 2014 à 19 h 42 min
Le roi d’Anastasie vous parle.
Chaloux dit:
à
Louis XIV, Napoléon, Hadrien, Lully, Schubert, Molière, et tant d’autres… Vous êtes vraiment des emperlousés du cervelet…
Les abrutis ne manqueront pas (déjà ne manquent pas) d’apposer leur petit commentaire merdeux à ma prose réfléchie.
Passou dit:
à
A JC de 18.OO » Pour en finir avec l’Utopia que le virtuel favorise : « Si Pierre Assouline avait un grain de folie, il rassemblerait autour de lui une assemblée éphémère » d’erdéeliens … ! Ce serait fabuleux de passer du virtuel au réel !
Chiche, JC et les autres ? Rendez-vous sous le platane au Banquet du livre à Lagrasse le 6 août à 16h. Je n’y parlerais que de vous tous ! Dix ans que j’attends ça !
Demandez le programme http://www.lamaisondubanquet.fr/banquets/ete/#Calendrier-banquet-ete
Widergänger dit:
à
chaloux et pablo, ce sont eux, à mon avis, qui ont les deux plus grosses du blog…
Widergänger dit:
à
« Pierre Assouline, écrivain, essayiste et critique. Dernier livre paru : Sigmaringen, Gallimard, 2014. Rencontre de l’après-midi : La conversation numérique ou la névrose du commentaire infini. »
Ça débute très fort…
Widergänger dit:
à
« Les abrutis ne manqueront pas (déjà ne manquent pas) d’apposer leur petit commentaire merdeux à ma prose réfléchie. » (chaloux)
Non seulement il a la plus grosse, mais c’est le plus névrosé…
Sant'Angelo Giovanni dit:
à
…
…@,…Paul Edel!,…à 19 h 42 mn,…
…
…juste , un coup d’oeil,…pour chercher une censure çse mettre!,…de bonne foie!,…
…
…la crise des Candides à poils!,…à enfiler!,…dans le bon sens!,…avec la recette en mains,…pour la tarte!,…
…en passant,…d’un oeil complice!,…encore!,…etc!,…
…la coupe pleine!,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip!,…etc!,…
…
Chaloux dit:
à
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 19 h 52 min
« Pierre Assouline, écrivain, essayiste et critique.La conversation numérique ou la névrose du commentaire infini. »
On espère qu’il y aura une seconde conférence sur la névrose du livre inutile…
Widergänger dit:
à
De toute façon, pour écrire tant d’inepties, être ignorant de tant de choses qu’il stigmatise faute de les avoir lues, ça ne peut pas être un grand pianiste.
Avec la grosse qu’il a, il doit simplement savoir taper sur la queue de son piano.
Pablo75 dit:
à
Il ne faut pas trop taper sur Widergänger. Il est fatigué après son travail du WE dans le stand des Monstres à la Foire du Trône, où il s’exhibe à poil. Pour ceux qui veulent le voir, ce stand est à côté du poste de la Croix Rouge. Ils l’ont mis là à cause des évanouissements qui cause, chez les gens fragiles, la vue de notre poète dans son plus simple appareil.
Widergänger dit:
à
Avec sa grosse queue, chaloux c’est le figurant dans Lysistrata, qui revient de Sparte, la queue en feu…
Chaloux dit:
à
Non, j’évite Alba, sur la queue du piano il y a souvent Gustave le chat…
Widergänger dit:
à
« des évanouissements qui cause la vue de notre poète dans son plus simple appareil. » (pablo)
là, on est en pleine névrose infinie, ya pas de doute… ça cause, ça cause chez Pablo !
Widergänger dit:
à
En tout cas, on est ravi d’apprendre que notre bon Passou vient d’inventer un nouveau concept de la psychanalyse : la névrose infinie…
Demandez la névrose infinie, ça vient de sortir, c’est tout bon…
Chaloux dit:
à
@Pablo
Il parait même ça peut réveiller les morts. Un arrêté préfectoral interdit à Alba de se déloquer à moins de 3 kilomètres du moindre cimetière.
Widergänger dit:
à
Chez Lacan, ça parle, chez Pablo, ça cause, chez Assouline, ça névrose infiniment…
Sant'Angelo Giovanni dit:
à
…
…la finale!,…d’en moins d’une heure!,…
…et demain !,…
…le 14 Juillet!,…comme sur des roulettes!,…
…etc!,…
Pablo75 dit:
à
@ Paul Edel
« ariver à pourrir un blog à ce point là, avec des insultes avilissantes pour celui ou d ceux qui les prononcent ca laisse sidéré ».
Vous trouvez « avilissantes » les pages les plus dures de Bloy, Tailhade, Léon Daudet, Bernanos ou Céline (entre beaucoup d’autres grands pamphlétaires français) – que personne, d’ailleurs, oserait publier aujourd’hui?
Widergänger dit:
à
« Il parait même ça peut réveiller les morts. Un arrêté préfectoral interdit à Alba de se déloquer à moins de 3 kilomètres du moindre cimetière. »
On comprend pas pourquoi t’es réveillé alors, mon brave chaloux, avec ta grosse…
des journées entières dans les arbres dit:
à
Phil, au lieu d’alléguer, feriez mieux de potasser la vis viva … vous avez le sens de l’histoire peu, comment dire, peu scientifique.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vis_viva
Ddidon, traiter,en bloc, les intervenautes de la RDL de névrosés, c’est pas demain que je remets les pieds ici. J’espère que ceux qui assisteront à ce banquet rendront la monnaie de la pièce, pour tous ses billets, beaucoup, de faussaire.
Widergänger dit:
à
C’est peut-être ça que Baudelaire appelait un « bain de ténèbres »…
Mme Chaloux la vraie et c'est fini pour toujours!! dit:
à
Maintenant, ça suffit. Névrose infinie ou pas, j’interdis à Chaloux de revenir parmi vous.
Perte de temps infinie.
Il a intérêt à s’y tenir à partir de maintenant.
Quant à ce pauvre Assouline qui n’est vraiment pas le meilleur critique, il est bien naturel qu’il se venge par le mépris, du mépris que vous lui manifestez.
Oust, fini Chaloux! Un de moins à mépriser!
Bye les tordus!
Widergänger dit:
à
Je vais sortir le prochain best seller erdélien : Le bain de ténèbres ou la névrose infinie… ça en jette, non !
Onésiphore de Prébois dit:
à
Rendez-vous sous le platane au Banquet du livre à Lagrasse
Et l’abbaye de Lagrasse, c’est quelque chose. Et les rives de l’Orbieu sont pleines de charme.
Pablo75 dit:
à
@ Chaloux
Tu connais F.X.Dusek (1731-1799), dont j’ai entendu ce matin sur Radio Classique le premier mouvement de sa Symphonie en Sol Majeur? Entendant ça, je trouve étonnant qu’il ne soit pas plus connu.
Chaloux dit:
à
Mme Chaloux me permet de revenir trente secondes (aïe, on avait dit pas les cheveux!) pour dire à Pablo que dans une population donnée il n’y a pas moins doué pour l’écriture que tous ces carriéristes de la plume, les Edel etc… (pas d’autre nom pour pas fâcher). Comme ça les emmerde un brin que ça se voit, et avec Internet plus ça va plus ça se voit, ils inventent ce mépris de chapelle (les névroses infinies, la prose Edel) pour s’assurer un monopole qu’ils ont déjà perdu. C’est leur dernière cartouche. Mais on n’a pas fini de leur tordre le cou, ça ne fait même que commencer…
Bye, comme dirait ma dame.
Widergänger dit:
à
la névrose infinie ou l’infini de la névrose ?
Qui est le plus névrosé, le commentateur ou celui qui suscite le commentaire ? Question abyssale… aussi infinie que la névrose…
Widergänger dit:
à
» Mais on n’a pas fini de leur tordre le cou, ça ne fait même que commencer… » (chaloux)
Ah, dis donc, je pensais pas qu’elle était si grosse…
Widergänger dit:
à
Chaloux, c’est le type de mec qui confond le piano et la bite. y’en a des comme ça ! Et c’est sur la Rdl qu’on les trouve. Avec une névrose comme comme ça, dis donc !
Paul Edel dit:
à
Pablo, les causes de Bernanos et des autres ne sont jamais insultantes à la personne,et ce sont de tres belles causes, mais ce sont des argumentations de grands écrivains avec des œuvres considérables derrière eux..ne vous abritez pas devant ces noms magnifiques pur défendre de simples chapelets d’insultes.. échanges de simple haine, jubilant et fiers de haïr l’autre.. De simples insulteurs . c’est si banal. .Mais qu’un blog aussi passionnant accepte que les insulteurs règnent et fassent le vide,oui, là je ne comprenss pas… cela n’a plus rien à voir avec des république des livres.
Pablo75 dit:
à
@ Chaloux
« il n’y a pas moins doué pour l’écriture que tous ces carriéristes de la plume, les Edel etc… (pas d’autre nom pour pas fâcher). Comme ça les emmerde un brin que ça se voit, et avec Internet plus ça va plus ça se voit, ils inventent ce mépris de chapelle (les névroses infinies, la prose Edel) pour s’assurer un monopole qu’ils ont déjà perdu. C’est leur dernière cartouche. Mais on n’a pas fini de leur tordre le cou, ça ne fait même que commencer… »
C’est sûr qu’avec le Net et l’édition numérique les intermédiaires de la littérature (éditeurs, critiques, distributeurs) ont des soucis à se faire.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Le permier pacs virtuel c’est celui de pablo du 75 et de Chaloux.
publications des bans ( sauras-tu reconnaitre l’auteur de cet amour inverti ?)
« Il y a au delà de tout mon discours, et de ce que j’en puis dire particulièrement, ne sais quelle force inexplicable et fatale, médiatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous être vus, et par des rapports que nous oyions l’un de l’autre, qui faisaient en notre affection plus d’effort que ne porte la raison des rapports, je crois par quelque ordonnance du ciel ; nous nous embrassions par nos noms. Et à notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si pris, si connus, si obligés entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche que l’un à l’autre. »
Chaloux dit:
à
@Pablo.
Là, oui je connais (pas les cheveux on a dit), Dussek on en joue plein dans les premières années (Classiques favoris du piano et autres recueils du même genre). Le nombre de compositeurs très talentueux dont même les partitions sont introuvables à la vente, hors les bontés d’Internet est incroyable. Une de mes dernières découvertes est Genari Karganov, compositeur géorgien mort en 1890, dont il n’y a à peu près rien de disponible et dont les enregistrements sur Youtube concernent toujours les même deux ou trois pièces sans grand intérêt. Thèmes populaires souvent très beaux, avec un sens de la mazurka à tomber raide. (Presque) même chose pour Lyapunov et beaucoup d’autres.
En musique comme en littérature (et en histoire, on parlait des historiens du XIXe ce matin), les premiers rayons occultent des myriades de gens exceptionnels qu’il faut aller chercher ou qu’on trouve au hasard.
(Je vais me faire tordre le cou par ma digne épouse…)
des journées entières dans les arbres dit:
à
premier
Widergänger dit:
à
14 h : Séminaire de Jean-Claude Milner sur son ouvrage L’Universel en éclats (inscription préalable obligatoire. Nombre de places limité à 30). Télécharger le bulletin d’inscription au séminaire de Jean-Claude Milner
. 16 h : Pierre Assouline : La conversation numérique ou la névrose du commentaire
Ça risque d’être un peu difficile pour la névrose après les deux heures d’éclatement de l’universel…
Chaloux dit:
à
Edel alias jacques-Pierre Amette, vos commentaires sont indignes d’un écrivain que par ailleurs vous n’êtes pas.
Salut.
Phil dit:
à
Il y a déjà eu du rififi au banquet de Lagrasse.
Desjournées, mes informations sont de première main, recueillies sur les fauteuils souillés de Frédéric II à Sans Souci. Prenez-en de la graine au lieu de wikipédier.
Chaloux dit:
à
Paul Edel dit: 13 juillet 2014 à 20 h 26 min
Pablo, les causes de Bernanos et des autres ne sont jamais insultantes à la personne
Et quand on pense à Voltaire qui aurait été le roi d’Internet, sur lequel vous avez écrit un livre que je ne lirai pas, on se demande Edel si vous avez toute votre tête.
Widergänger dit:
à
Je suis pour le coup complètement d’accord avec P. Edel !
Malheureusement avec des chaloux, des pablo e tutti quanti, ce blog a complètement dégénéré. C’est vraiment devenu un sac à merde.
renato dit:
à
Le 6 août ? Pas possible, j’ai montagne.
Widergänger dit:
à
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 20 h 31 min
Edel alias jacques-Pierre Amette, vos commentaires sont indignes d’un écrivain que par ailleurs vous n’êtes pas.
Salut.
Pour le coup, j’ai envie de défendre Paul Edel.
On voit les méthodes de ce genre de sale petit flic de chaloux qui ne respecte rien ni personne. C’est une véritable petite teigne boursoufflée d’orgueil, ce connard de chaloux. Il est une des causes majeures de la dégénérescence de ce blog.
Pablo75 dit:
à
@ Paul Edel
Vous connaissez très mal le genre du pamphlet français, je vois. Donc, pas la peine de discuter sur ce thème avec vous.
Quant à ce blog, moi aussi je déplore le délire qui y règne parfois, le fait qu’on puisse changer de pseudo rien que pour insulter ou la connerie profonde de certains participants qui ne sont là que pour foutre la merde, et je l’ai déjà dit ici. Étant donné que c’est comme ça depuis des années, on doit conclure qu’il faut s’adapter ou partir. Et moi le fait de taper sur la tête de ceux qui me cherchent ne m’empêche de parler de littérature, de musique ou d’autres thèmes sérieux.
Widergänger dit:
à
Pablo75 dit: 13 juillet 2014 à 20 h 39 min
@ Paul Edel
Vous connaissez très mal le genre du pamphlet français, je vois. Donc, pas la peine de discuter sur ce thème avec vous. »
Non, mais regardez-moi ça, ce petit teigneux arrogant. Même mentalité pourrie que chaloux. Mépris des professeurs et du savoir. Refus de dialoguer, prétentieux comme il n’est pas permis !
Belle engeance, tiens!
Chaloux dit:
à
Sans parler des correspondances, de saint-Simon etc. N’importe quoi. Il y a un livre tout entier que je possède sans l’avoir lu sur les haines d’écrivains… C’est aussi une culture. Et si la littérature n’est pas une tension entre des points opposés, qu’est-ce que c’est? Pauvre Edel et sa littérature de chaisière grandiloquente. Vraiment.
TKT dit:
à
Albarbareque: Une question, vous faites de mon patronyme un adjectif, soit. Mais il y a plus de 200 personnes portant ce patronyme en France, sans compter ceux partis vivre à l’étranger. Vous en connaissez beaucoup des Kron ? Vous avez une dent contre les familles d’origine d’Alsace-Lorraine ? Votre copine « que maille qui vaille am Rhein » méprisait per se les Juifs français…
Chaloux dit:
à
Un beau feu de joie pour finir…
Widergänger dit:
à
Pablo75 dit: 13 juillet 2014 à 20 h 39 min
@ Paul Edel
Vous connaissez très mal le genre du pamphlet français, je vois. Donc, pas la peine de discuter sur ce thème avec vous. »
Et qu’est-ce que t’en sait, brave connard, si Paul Edel connaît ou non le pamphlet ?
Tu le connais Paul Edel ? Pauvre nullard. Comme si ce monsieur était le seul à savoir ce qu’est un pamphlet ! C’est plus possible de voir ça sur la Rdl ! y’en a marre de ce genre d’abruti qui pourrit toujours tout.
Tiens, je te donne une référence, pauvre nouille :
« La polémique à l’époque romantique », CAIEF, n°31, mais 1979, qui analyse en détail l’art du pamphlet.
Widergänger dit:
à
J’en connais un de Kron, et ça me suffit, je dois dire…
Chaloux dit:
à
Alba, tu vas pouvoir régénérer la RDL. Je m’en vas ou je m’en vais, car l’un et l’autre ou l’un ou l’autre se dit ou se disent…
Dernières paroles de Chaloux.
renato dit:
à
« C’est plus possible de voir ça sur la Rdl ! y’en a marre de ce genre d’abruti qui pourrit toujours tout. »
L’auto-analyse serait à la mode ?
Widergänger dit:
à
« Pauvre Edel et sa littérature de chaisière grandiloquente. Vraiment. » (chaloux)
Mais est l’intérêt d’une telle diatribe contre Paul Edel ? Qui ici va tirer quelque sens d’un tel propos ? C’est vide, stupide, méchant, gratuit, cynique, imbécile et tout ce qu’on veut mais sans aucun intérêt. En plus, il n’a jamais rien lu de Paul Edel, ce bougre d’abruti, j’en suis sûr !
Widergänger dit:
à
Bon vent, mon chaloux ! Et surtout reste caché dans ton piano, on ne te veux plus ici, c’est compris, mon coquin ?!
Pablo75 dit:
à
@ Widergänger
« Mépris des professeurs et du savoir. »
Gros con, j’ai fait et traduit une anthologie des grands pamphlétaires français pour un éditeur sud américain. Je les ai, donc, tous lus et bien lus (y compris Saint-Simon – le plus grand de tous – ou le terrible Maistre). Et j’ai de tonnes de notes et de citations sur ce thème.
Je connais, donc, bien mieux que P.Edel et que toi ce genre littéraire, eh oui, mon gros crétin.
Widergänger dit:
à
renato fait aussi partie de ceux qui pourrissent toujours tout. Il suffit qu’il se pointe dans une discussion et c’est terminé, tout part en couille.
TKT dit:
à
Mais non, Michel, nous ne nous connaissons pas.
J’aurais dû faire votre connaissance, quand vous étiez avec Marie-Louise, un des seuls moments de votre vie où vous sembliez assez heureux.
concept intéressant dit:
à
« … vous êtes con et vous y mettez tout votre QI… «
Chaloux dit:
à
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 20 h 52 min
Promis, plus une ligne…ici; toutes les autres ailleurs…
Bon vent, gros vilain.
Anastasie vue de près, la liberté vue de loin dit:
à
Paul Edel dit: 13 juillet 2014 à 20 h 26 min
les insulteurs règnent et fassent le vide
Les insulteurs ou les censeurs.
Un choix.
Au moins tout le monde peut s’exprimer, sans que le patron décide.
Widergänger dit:
à
« j’ai fait et traduit » (pablo)
Arrête de te prendre pour le centre du monde : J’AI FAIT, J’AI traduit ». Tu nous casses les burnes avec ton ego démesuré ! Tu fais chier. Ecrase toi et discute de littérature avec les autres. Si t’as fait ci, les autres ils ont aussi fait ça, alors ferme un peu ta grande gueule et nous fais plus chier avec ton épopée guerrière de traducteur. Quel con celui-là, c’est vrai, quoi !
Chaloux dit:
à
« L’homme qui le premier a lancé une insulte au lieu d’une pierre est le fondateur de la civilisation ».
Pas du Edel, du Freud…
Widergänger dit:
à
Paul Edel fait le censeur, Ça j’ai dit ce que je pouvais en penser. Il a l’humeur chagrine dès qu’on s’en prend avec des arguments qui portent à son Gombrowicz chéri. Bon, c’est une chose. C’est malhonnête de sa part, c’est même dégueulasse. Mais ce qu’il dit ici de ce qu’est devenu le blog, c’est autre chose, et là je l’approuve totalement. On peut avoir sur le même homme des points de vue différents selon le problème. C’est ça une vraie discussion. La complexité des choses. Pas des clichés réducteurs.
Chaloux dit:
à
Widergänger dit: 13 juillet 2014 à 20 h 51 min
Erreur, j’en ai lu un dont le titre même m’échappe. Pas plus insipide et sous inspiré. Mon jugement était fait pour jamais. A côté d’Edel tu es Shakespeare et Assouline Homère. C’est dire.
(Mais ne me fais pas ressusciter toutes les deux minutes).
Widergänger dit:
à
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 20 h 57 min
« L’homme qui le premier a lancé une insulte au lieu d’une pierre est le fondateur de la civilisation ».
Voilà qu’il se prend pour Freud maintenant ! Il se croit aussi malin que Freud parce qu’il a lancé quelques merdes ici ou là… Ah, il a peur de rien, ce pauvre chaloux avec son tête à queue ou sa queue dans la tête…!
Tetram dit:
à
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 20 h 31 min
Edel alias jacques-Pierre Amette
Tiens, il n’y a pas que TKT comme spécialiste de la délation.
Chaloux me paraît prendre largement l’avantage car Mimi annoncait la couleur.
Un bien vilain corbeau déploit ses ailes.
Nauséabond.
Widergänger dit:
à
Ben, raison de plus, si t’en as lu un, fonde toi sur ta lecture, mon pote, pour en faire une critique digne de ce nom ! Mais franchement littérature de chaisière, c’est nulle comme critique.
Rétablissons une vérité dit:
à
Sauf que le nom de plume de Paul Edel c’est Pierre Assouline qui l’a révélé dans un article de la RDL.
Les plaintes au bon endroit, SVP.
Widergänger dit:
à
Ah, je suis tout à fait d’accord ! La délation c’est quelque chose de répugnant. TKT comme chaloux se livrent à ce genre de sport. On prend exprès le soin de s’affubler d’un pseudo, et on sent leur malin plaisir sadique à citer les noms, comme des inquisiteurs. Ce genre de type me répugne.
ueda dit:
à
Passou dit: 13 juillet 2014 à 19 h 50 min
A JC de 18.OO » Pour en finir avec l’Utopia que le virtuel favorise : « Si Pierre Assouline avait un grain de folie, il rassemblerait autour de lui une assemblée éphémère » d’erdéeliens … ! Ce serait fabuleux de passer du virtuel au réel !
Chiche, JC et les autres ? Rendez-vous sous le platane au Banquet du livre à Lagrasse le 6 août à 16h. Je n’y parlerais que de vous tous ! Dix ans que j’attends ça !
Ça c’est du sérieux, Patron!
Que chacun réfléchisse!
Que personne ne se dissimulent les obstacles, néanmoins.
Retrouvailles d’anciens maos… (tu entends, JC? Il faudra rester impavides)
Prestation de la mère Clément (l’antonyme du mot preste: c’est lourd, c’est long et ça sait le bien à votre place).
Chargé de mission: Bloom. « Clément et la post-diplomatie culturelle: pourquoi je crois tout savoir ».
Et encore Bloom, de par son métier c’est cultureux et chemise… Imprésivible… « Le département », et autres conneries.
Onésiphore pourrait pousser une gueulante.
Atout maître en cas de pépin: bouguereau, mais il faudrait se concerter…
On va voir.
Un seul mot d’ordre, les mecs: ne pas arriver en naïfs.
Prévoir les coups tordus.
Dans ce cas, étape 1: on se bat (dignité)
Etape 2: on se tire et on picole ailleurs (vraie recherche, à l’abri de la po, de la popo, de la poli…, euh, à l’abri de la do, de la dodo, de la doxa!)
Attention, camarade JC.
Au début pas de femmes.
Français!, sachez comprendre ce sacrifice.
Ensuite au contraire, art de la conversation, au service du beau sexe.
Zivilisation.
On n’en est pas là.
Que chacun réfléchisse!
(Nuit magnifique, quoique chaude)
des journées entières dans les arbres dit:
à
Phil, est-ce à dire que ce qu’en dit Mme Badinter d’Emilie et Voltaire serait faux ?
De ce que j’ai lu Voltaire a commencé à correspondre avec Frederic II en 1736.
Il a rencontré Emilie en 1733.
Serait-ce question de méthode, un peu discutable, que d’anticiper une liaison homosexuelle, si tant est qu’elle ait été avérée ?
« Voltaire et Émilie partageaient les mêmes valeurs et poursuivaient les mêmes buts. Cette partie de leurs relations n’était pas très facilement perceptible pour les autres mais elle est fondamentale dans la compréhension de ce qui les unissait.
(…)
Peu après la mort d’Émilie, en 1749, Voltaire écrivait à l’un de ses amis: « Je n’ai pas perdu une maîtresse, mais la moitié de moi-même. Un esprit pour lequel le mien semblait avoir été fait. » »
J’ai cru comprendre que c’est elle qui l’a initié à la lecture de la bible.
des journées entières dans les arbres dit:
à
s’cusez, le lien !
http://www.visitvoltaire.com/f_love_story_voltaire.htm
Widergänger dit:
à
Mais c’est pas parce que Pierre Assouline l’a révélé que tout un chacun est autorisé à citer son nom ! Il tient à son pseudo, puisqu’il s’en est affublé. C’est une chose qu’on se doit de respecter, comme pour moi, je tiens à ce qu’on respecte mon pseudo. Alors que bon nombre ici ne respecte rien du tout. Moi, je m’en fous. Mais c’est pour dire. Je trouve ça dégueulasse !
En bourg dit:
à
TKT dit: 13 juillet 2014 à 20 h 43 min
Vous en connaissez beaucoup des Kron ?
Ben oui, Patriiiiiick comme tout le monde,
pas de quoi en faire un plat Thierry, je me demande quel est le plus incompétent des deux.
Chaisière dit:
à
Littérature de chaisière lyrique, si tu préfères, légèrement commotionnée par un chagrin d’amour occasionné par un bedeau indélicat. Dans un décor romain. Aucun intérêt. Donc pas de leçon.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Voltaire et frederic II ?
« Voltaire s’aperçoit qu’il est l’amuseur et non le conseiller de Sa Majesté dont le propos « on presse l’orange et on jette l’écorce » lui est rapporté. »
http://expositions.bnf.fr/lumieres/grand/333.htm
Mme Michu dit:
à
Drôle de drame dont tout le monde tourne autour…
des journées entières dans les arbres dit:
à
« Mais c’est pas parce que Pierre Assouline l’a révélé que tout un chacun est autorisé à citer son nom ! »
Ce que vous dites-là est faux, ML. Et faux dans toutes les acceptions du terme. Clear ?
Paul Edel dit:
à
Chaloux.
Si j’emporte régulièrement dans ma valise une œuvre, c’est bien celle de Bernanos. Sur mon blog j’ai souvent parlé de Mouchette et du journal d’un curé de campagne, livres de chevet. je peux dire que le pamphlet « les grands cimetières sous la lune » écrits après que bernanos ait compris les horreurs de la répression franquiste -avec la bénédiction religieuse- à majorque, est aussi une lecture caoitale dans ma formation. Bernanos , grand écrivain de courage et de conviction , si impressionnant. Son comabt contre Gise avec « mojsieur Ouine » me pasionne aussi.je comprendss que De gaulle lui ai demandé de venir à l’académie française.. un homme nu dans sa vérité catholique, qui a compris le glissement pathétique des valeurs d’une époque.
Je tiens « les enfants humiliés »-journal des années 39-40) pour un des témoignages et des plus beaux livres sur ces années là..et qui, de plus correspond exactement à ce que mon père a vécu et ressenti en soldat « défait », comme de leur coté ce qu’on écrit Claude Simon ou Julien gracq.. Pour le reste haïssez moi si ça peut vous faire du bien.
pado dit:
à
P’tain, c’est pas tout près Lagrasse.
Faut voir.
Widergänger dit:
à
Non, c’est pas faux ! Pourquoi faux ?
Widergänger dit:
à
Moi, Bernanos, c’est pas ma tasse de thé. Mais je conçois qu’on puisse se passionner pour Bernanos.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Et ce ne fut pas un mince affaire que cette histoire. On dirait énorme.
« À l’issue des travaux, colloques, expositions qui ont accompagné le tricentenaire de sa naissance, Émilie Du Châtelet est désormais regardée comme la première grande intellectuelle française, et cette conviction a débordé des travaux des féministes qui ont porté sa mémoire au XXe siècle, jusqu’à la reconnaissance récente de son apport original à l’histoire des sciences. En effet, si Émilie Du Châtelet eut une grande réputation en son temps, tout à la fois admirée et détestée, c’est en tant que compagne de Voltaire – il l’appelle « ma femme » – pendant seize ans. C’est à ce motif que, pendant tout le XIXe siècle, les voltairiens sauvent son nom de l’oubli. Cette association d’amour, de travail et de complicité a fait des deux intéressés un des couples mythiques de l’histoire. »
des journées entières dans les arbres dit:
à
Le 6 août c’est le jour de la Tranfiguration.
C’est un coup du sort.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Transfiguration.
des journées entières dans les arbres dit:
à
La Transfiguration ( en attendant le but véritable de Messi)
« Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et il les conduisit à l’écart sur une haute montagne. Il fut transfiguré devant eux ; son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. Et voici, Moïse et Élie leur apparurent, s’entretenant avec lui. Pierre, prenant la parole, dit à Jésus : Seigneur, il est bon que nous soyons ici ; si tu le veux, je dresserai ici trois tentes, une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie. Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles : celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection : écoutez-le ! Lorsqu’ils entendirent cette voix, les disciples tombèrent sur leur face, et furent saisis d’une grande frayeur. Mais Jésus, s’approchant, les toucha, et dit : Levez-vous, n’ayez pas peur ! Ils levèrent les yeux, et ne virent que Jésus seul. Comme ils descendaient de la montagne, Jésus leur donna cet ordre : ne parlez à personne de cette vision, jusqu’à ce que le Fils de l’homme soit ressuscité des morts. Les disciples lui firent cette question : pourquoi donc les scribes disent-ils qu’Élie doit venir premièrement? Il répondit : il est vrai qu’Élie doit venir, et rétablir toutes choses. Mais je vous dis qu’Élie est déjà venu, qu’ils ne l’ont pas reconnu, et qu’ils l’ont traité comme ils ont voulu. De même le Fils de l’homme souffrira de leur part. Les disciples comprirent alors qu’il leur parlait de Jean Baptiste. »
Cela dit, à la fin du billet il faut remplacer qui par quid.
Widergänger dit:
à
Bon, et puis franchement, je vous dirais que j’en ai rien à foutre d’être censuré, exclu, baffé, haï par Paul Edel ou qui que ce soit. Rien n’a d’importance ici. C’est virtuel. On peut dire tout ou rien, c’est pareil. La censure de Paul Edel, mon exclusion de son blog, ça ne ma fait en fin de compte ni chaud ni froid, je m’en passe fort bien. C’est toujours avec recul que je viens ici poster des commentaires depuis des années maintenant parce que je coagule autour de moi mille haines, mille comportement plus absurdes les uns que les autres et surtout que le dialogue y est quasiment nul. À part quelques très rares fois où on trouve un interlocuteur digne de ce nom. Mais le reste du temps, c’est le monologue. Pour moi, je vous avouerais que le blog, c’est simplement un instrument d’analyse. Poster m’oblige à réfléchir aux œuvres dont je parle, et il m’arrive souvent de comprendre quelque chose de ces œuvres précisément en les commentant, alors que dans la solitude de la lecture, l’explication ne me serait sans doute pas venue si aisément. C’est ce qui me fait rester ici. Autrement, je n’en espère rien comme échange. Dès que j’ai commenté une œuvre, je rencontre mille imbéciles pour me tailler des croupières. Ça finit par être drôle, parfois. Mais franchement, ça m’est totalement indifférent au bout du compte. Je m’en passe très facilement. Il m’est d’ailleurs arrivé de n’y plus venir durant de longs mois sans problème. Je ne suis pas addict. Moi, ce que j’y cherche c’est simplement la littérature, le reste, je m’en fous. Les imbéciles peuvent m’irriter et je leur réponds, mais au fond je m’en fous. Il ne me viendrait jamais à l’idée de vouloir tisser des liens dans la vie réelle avec ces gens-là de toute façon.
Chaloux dit:
à
Paul Edel, je ne vous hais pas, j’en serais bien incapable. Vous n’avez rien qui prête à la haine. Simplement, il me semble que vous ne voyez pas à quel point morale et littérature font un ménage incertain. Tant d’écrivains, parmi les plus grands (et Chateaubriand?) en font foi. Je vous l’ai dit un peu durement, plus durement que je n’aurais dû, parce que je ferme une porte. Mon entourage l’exige et moi aussi.
Mais aussi: je me juge. Cette expérience était intéressante à condition de ne pas durer trop longtemps. A la longue, on y court le risque de se dégrader, et c’est ce qui m’est arrivé comme à tant d’autres qui n’ont pas l’air de s’en émouvoir beaucoup. La guerre des mots est une des dimensions de la littérature (rien sans tensions) mais on y prend beaucoup de risques et je ne les ai pas tous évités, j’en suis conscient. Il est temps de passer à autre chose, de claquer cette porte sans retour possible. Se rendre odieux quand on ne l’est pas nécessairement est une méthode comme une autre pour s’interdire de revenir sur ses pas.
TKT dit:
à
Alba, ne vous comparez pas avec Paul Edel.
Dés le départ, vous donniez votre vraie identité, aucune délation de ma part. Ce n’est pas crime que de s’appeller Alba.Paul Edel désirait rester anonyme, ce qui était aussi son droit.
J
TKT dit:
à
Alba, ne vous comparez pas avec Paul Edel.
Dés le départ, vous donniez votre vraie identité, aucune délation de ma part. Ce n’est pas crime que de s’appeller Alba.Paul Edel désirait rester anonyme, ce qui était aussi son droit.
Pour moi, vous resterez Michel Alba, je trouve vos pseudos des incidents ponctuels.
Phil dit:
à
Desjournées, la Du Châtelet avait la tête sur les épaules (elle a traduit Newton) mais pour la bagatelle Voltaire ne suffit pas. Effectivement, il partit ensuite pour Potsdam. Aujourd’hui à Sans Souci les guides officiels n’abordent pas les mœurs de Frédéric II. Hegemann, au début des années 30, fut le premier à déboulonner la version officielle.
Widergänger dit:
à
Simplement, il me semble que vous ne voyez pas à quel point morale et littérature font un ménage incertain. Tant d’écrivains, parmi les plus grands (et Chateaubriand?) en font foi. (chaloux)
Ça, ce sont des propos typiques de blog. On règle en un coup de cueiller à pot un gigantesque problème qui est le rapport entre littérature et morale. Comme si c’était aussi simple que le prétend notre chaloux non sans naïveté.
On peut opposer à Chateaubriand de très nombreux écrivains pour qui morale et littérature sont étroitement liés. La Fontaine et la morale de ses fables est là pour nous convaincre du contraire.
Le problème n’est pas tel ou tel écrivain. Le problème, c’est : la littérature peut-elle se passer d’une norme (morale, axiologique, etc.) pour créer du sens ? Il est évident que non ! La transgression même (Sade, Bataille, etc.) n’est pas possible sans une norme axiologique. Personne ne parle autant de Dieu que Sade ! Personne ne parle autant des Juifs et de la Bible que Voltaire ! C’est ça qui compte, cette nécessité structurelle à la formation d’un sens. Si on oublie cette nécessité, on n’a rien dit sur le problème des rapports entre littérature et morale.
Widergänger dit:
à
D’abord je vous interdit de m’appeler par mon nom !
Chaloux dit:
à
Alba, crétin un jour, crétin toujours, tu n’as rien compris.
Mais peu importe, c’en est fait, je ne ressuscite plus.
Widergänger dit:
à
Toujours dans l’insulte en guise de réponse à un problème de littérature que chaloux manifestement ne comprend pas.
kicking dit:
à
Se rendre odieux quand on ne l’est pas nécessairement est une méthode comme une autre pour s’interdire de revenir sur ses pas.
ah ouais.. des comme ça..
Chaloux dit:
à
Adieu Quiqui!
Widergänger dit:
à
Chaloux, c’est comme à la fin d’Hernani, il met longtemps à mourir…
des journées entières dans les arbres dit:
à
« la Du Châtelet avait la tête sur les épaules (elle a traduit Newton) »
voui, merci, Phil.
Elle a fait bien plus que ça, mais passons.
« pour la bagatelle Voltaire ne suffisait pas. » So what. On s’en fout un peu.
J’ai donné ici des liens très intéressants, sous couvert du CNRS. Que leurs maîtres d’oeuvre en soient remerciés.
TKT dit:
à
Alba, franchement, je mets votre interdiction en attente de solution appropriée.
Le coq TKT chante dit:
à
TKT dit: 13 juillet 2014 à 21 h 40 min
Pas d’artifice TKT, t’es un délateur, épicétou (cf. Mme Weil)
Widergänger dit:
à
TKT dit: 13 juillet 2014 à 21 h 52 min
Alba, franchement, je mets votre interdiction en attente de solution appropriée.
la revanche de la médiocrité…
Phil dit:
à
les liens, les liens…à la table de Frédéric II, il s’agissait de répondre illico, pas d’hypertexte dans le potage.
zak-zak et la Silésie est envahie.
Chaloux dit:
à
Comme Sénèque, mais il n’y aura pas de lendemain.
Pour résumer, les exigences morales d’un Juvénal sont phénoménales. On ne peut pas dire que son matériau soit exagérément moral. La littérature réside dans cette tension. Sans quoi, il n’y aurait ni Saint-Simon, ni Dostoïevski, ni Flaubert, ni Baudelaire, ni Proust, ni Céline etc…
Évidemment, il y a Le Grand Meaulnes, encore que Le Grand Meaulnes regardé de près…
Ceci sera mon testament.
auto-matte dit:
à
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 21 h 47 min
Mais peu importe, c’en est fait, je ne ressuscite plus
Enfin, Chaloux c’est « matté » lui-même.
Widergänger dit:
à
Oui, maniatis avait en effet tout dit sur ce pauvre TKT. Un pauvre homme qui remplace l’intelligence par la délation. Je trouve d’ailleurs qu’il a une bonne tête d’inquisiteur. Je ne m’y fierais pas… Un pauvre diable, c’est tout. Pas méchant, mais bête ! mais bête ! La nature ne l’a vraiment verni. C’est la revanche des médiocres ! Même profil psychologique au fond qu’Hitler. Pas de différence de ce point de vue.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Mais oui, Phil, vous aurez le dernier mot. Comme tous les testiculeurs.
Chaloux dit:
à
auto-matte dit: 13 juillet 2014 à 21 h 58 min
Chaloux dit: 13 juillet 2014 à 21 h 47 min
Mais peu importe, c’en est fait, je ne ressuscite plus
Enfin, Chaloux S’est « matté » lui-même.
Dire qu’il faut encore ressusciter pour corriger ton orthographe. Mourir n’est pas une vie.
Widergänger dit:
à
Ah ben voilà, il y a forcément une tension entre morale et littérature, c’est évident ! Là, c’est déjà beaucoup mieux. Sans cette tension, pas de littérature. Une littérature qui s’abstrairait entièrement de toute norme morale est tout simplement impensable.
TKT dit:
à
Weil ?
Elle signait Weil,donc pas de délation.
kicking dit:
à
Salut Propret !
kicking dit:
à
ouais bon.. c’est le crêpage de chignons au Carnegie Hall ici.. depuis quand ? à cause de qui (une fois) ?
Phil dit:
à
sapré TKT. et la sardine dédé venue dans votre sillon et giron sur le prestigieux blog à passou. ça aussi, c’est du big questionable
mais non desjournées, le sujet Fredericus Rex n’a jamais eu son dernier mot, même en Allemagne, période nazie comprise.
Widergänger dit:
à
Elle ne parlait pas pour elle. Elle parlait de vous en général. Vous êtes une sale petite frappe de délateur. Elle avait raison. Màc et maniatis, quand on était réuni sur ma terrasse, qu’est-ce qu’on a pu déblatérer sur vous, mon pauvre TKT. C’était un peu facile, c’est vrai. Vous prêtez facilement le flanc à la moquerie. Mais qu’est-ce qu’on a pu déblatérer sur vous ! Le pire, c’était Màc.
Chaloux dit:
à
Épitaphe à Chaloux
Un écrivain c’est presque toujours un fou posté au coin d’une rue qui insulte les passants.
Widergänger dit:
à
Lazarillo, il était pas mal non plus à votre égard, je dois dire ! Oh, le Lazarillo, ce qu’il vous mettait dans les dents… Histoire d’en rire !
kicking dit:
à
bon s’il le fait lui-même..
Widergänger dit:
à
Un écrivain c’est presque toujours un fou posté au coin d’une rue qui insulte les passants.
Giraudoux ?
Pascal ?
Racine ?
Corneille ?
Marivaux ?
Goldoni ?
Molière ?
La Fontaine ?
Montesquieu ?
Diderot ?
Rousseau ?
TKT dit:
à
Votre Maniatis me reprochait mes origines de juif-français, issu d’un milieu d’assimilés, elle me reprochait aussi de ne pas vouloir revenir vers la religion juive.
Mme Michu dit:
à
Pour repasser sur le sujet… Ai lu les premières pages du tome 3 des nuances à machin (en français j’avoue, oui et qu’une quarantaine, oui, et encore, survolées, oui je vais me knouter zoute suite).
Qu’en dire, pas grand chose, sinon qu’on se demande -non, rien. D’toute façon j’veux pas savoir parler aux femmes.
des journées entières dans les arbres dit:
à
C’est certain Phil, il vaut mieux herboriser avec Jean-Jacques que commenter sur Voltaire… et autres langues de vipères.
kicking dit:
à
jeu facile : dans les faux coches c’est plein de mouches increvables..
(et Voltaire n’aurait pas tout dit, à ce qu’il paraît.. mais j’étais pas là)
Widergänger dit:
à
Ça c’est ce que vous avez cru comprendre de ce qu’elle vous a dit… La réalité est tout autre.
TKT tel qu'en lui-même dit:
à
TKT dit: 13 juillet 2014 à 22 h 03 min
Weil ?
Elle signait Weil,donc pas de délation
Délateur et menteur.
L’un ne va pas sans l’autre.
Widergänger dit:
à
Elle vous reprochait essentiellement de confondre catholique et juif, et d’être totalement déjudaisé, d’avoir perdu toute racine juive réelle. Et elle a complètement raison.
Sergio dit:
à
JC….. dit: 13 juillet 2014 à 16 h 43 min
le statut quantique : « Chat de Schrödinger »
Justement ! Ca change de tout, c’est ça la superposition… Ca peut être une chatte, un mixte un bi un sodomite un inverti un castrat un eunuque, et en même temps ! Ha c’est fort…
Mme Michu dit:
à
D’ailleurs depuis que j’ai lu passou, Voltaire m’a tout l’air d’une gonzesse. Dites, c’est la mode ?
Mme Michu dit:
à
Un virgule de trop. Dommage…
TKT dit:
à
Charmé, Albarbaresque, d’avoir donné un sujet de conversation à vous trois.
Bizarre, que de frivolité de votre part à vous trois. Pourtant la Littérature et l’avenir d’Israël n’attendaient que votre attention.
Vous ne me ferez rien dire de désagréable sur MàC. Pour Maniatis, j’ai horreur des bigots communautaristes.
Bon, Michel, je regarde ARD et le match de football,0 zu 0
Je meublais vos soirées sur votre balcon, ce match est ennuyeux, continuons…
souvenir pas si lointain dit:
à
Tiens à propos de délation, y’a un mec qui a balancé des trucs sur màc, sa vie familiale et professionnelle, même que maniatis a dû le recadrer. Mince, j’ai oublié son nom.
I:N:C:R:O:Y:A:B:L:E dit:
à
Wow !. Quel style !.
Widergänger dit:
à
maniatis n’a vraiment rien des bigots communautaristes ! Elle essaie de vivre sa judéité le moins mal possible. Il me semble au contraire que c’est tout à fait honorable et respectable.
Mais rassurez-vous, on avait d’autres sujets de conversations autour de la table que vous humble personne.
Je crois que vous vous faites beaucoup d’idées fausses sur maniatis, sur Màc, sur moi. Nous ne sommes rien de ce que vous croyez naïvement que nous sommes. Vous vous trompez aussi beaucoup sur Màc. Je ne crois pas qu’on ait jamais parlé ensemble d’Israël ni du Judaïsme. On parlait surtout de littérature, d’art, du travail de peintre de Marusa et des vacances que nous allions prendre, autour d’une bonne bouteille de vin (voire plusieurs) et d’un bon repas dans la bonne humeur. Tout cela est mort définitivement avec le décès de Marusa. C’est la vie. D’autres amis viendront. L’amitié est une chose rare, très rare, et difficile. Je n’ai qu’une seule grande amie, qui était amie de Marusa. Ça me suffit. Les autres me sont une prison. Ma solitude est vaste comme le monde. Je viens ici pour me divertir entre deux lectures. Je ne reverrai jamais de ma vie ni Maniatis ni Màc ni Lazarillo. Il en est de l’amitié comme des amours. C’est tout.
TKT dit:
à
« Elle vous reprochait essentiellement de confondre catholique et juif, et d’être totalement déjudaisé, d’avoir perdu toute racine juive réelle. Et elle a complètement raison. »
Merci, Michel, enfin une explication.
Je suis catholique par la volonté de mon père.
Je suis juif et j’ai reçu une éducation catholique, aucune confusion, mais « vivre ensemble ». Mon horizon est assez large, quand j’avais 4 ans, j’ai fait connissance de ma marâtre, une franco-allemande très imbue de sa germanité en France, et très démonstrative de ses racines françaises, de 1933 à 1945, attitude dangereuse dans le Reich.
Je ne vois pas de quel droit, une Maniatis, puisse juger de mon statut. Stastut qui ne fut pas mon choix. De la culture judéo-polonaise de Genossin Weil, que reste-t-il ? Sait-elle faire les Gefiltefisch et les boules de Matze dans un bouillon de viande ? Le gâteau au fromage ? A-t-elle l’humour juif ? Le goût de l’autodérision, manière de survivre en riant.
J’imagine votre Genossin Weil comme vous, se prenant au sérieux.
Genossin Weil a-t-elle un projet de camps de réhabilitation, pour juifs agngonstiques ?
Dois-je aller habiter Wiedikon, dans le quartier hassidim zürichois et horreur, renoncer aux crevettes et aux langoustes ?
Genossin Weil fait partie des gens qui devraient vivre, en nettoyant son propre pas-de-porte.
1 but pour les Allemands !
Widergänger dit:
à
Si, vous avez souvent confondu ici les deux, catholique et juif. Je vous en ai souvent parlé ici. Moi j’ai choisi, vous vous n’avez pas voulu choisir. C’est votre problème, ça ne me regarde pas. Mais on ne peut pas confondre les deux cultures, car ce sont bien deux cultures. On s’en rend encore mieux compte en Israël. Deux façons d’être, de penser, deux rapports au monde très différents.
TKT dit:
à
Fazit, Michel, vous êtes solitaire et dépressif.
Vous avez fait la connaissance de Marusa par internet, retentez votre chance.
Vous avez le choix entre deux écoles, Freud ou Jung.
La manière dont j’imagine MàC, n’est que positive.
Widergänger dit:
à
Elle ne juge pas de votre statut. Elle ne se le permettrait pas. Mais quand il vous arrive de dire que sous prétexte que le Christ était juif à l’origine, le judaïsme et le catholicisme c’est pareil, je comprends que maniatis vous reprenne.
Widergänger dit:
à
Non, je ne suis pas du tout dépressif. La nature m’a doté d’une heureuse nature. Vous croyez toujours que je suis dépressif, je ne sais pas pourquoi. Ça doit vous consoler de quelque chose qui m’échappe.
Widergänger dit:
à
Vous ne connaissez pas du tout Màc.
Note de la Société des Alba illustres dit:
à
Alba, Professeur Agrégé, auteur de l’Isaac de 5eme années 1970. Fort honnete homme,loin des déclarations matamoresques du susdit.
Alba, château de,en Italie, déjà plus douteux renfermerait les pseudo-pièces sur la filiation du non-moins douteux Alexis Durassow, Duc d’Anjou autoproclamé, et prétendant à la Couronne de France, qui en a vu d’autres; ( Serait-ce un cousin?) Voir là dessus de Warren, de Lestrange, « les Prétendants à la Couronne de France ».
Alba, château du sud de la France, sans histoire, au chartrier publié, nous prie d’indiquer qu’il est sans parenté avec notre génie autoproclamé.
Lydie de Théobon, dont Madame de Sévigné nous rappelle que son chien manqua de rendre enragées deux suivantes de la Reine, se demande si cet Alba également enragé et si prompt à la revendiquer ne proviendrait pas d’amours zoophiliques avec ledit quadrupède, amours ou elle confesse n’avoir point de part, non plus que Madame Palatine. Le Régent déclinant toute responsabilité dans ce coup-là..Ce qui exclut une parenté avec les Orléans.
Peut etre faudrait-il chercher du coté du Japon et de la branche des alba tors, mais ce n’est qu’une hipothèse, confortée il est vrai par des contacts extra-terrestres reçus par l’intéressé sur le Mont du Temple et peut etre à Cergy-Pontoise.
Alba Freud, dit Diafoirus branche Viennoise, renvoie aux œuvres d’Achille Talon, tout spécialement au passage « oh, le beau cas! » Et se déclare incompétent devant les théories fumeusement cliniciennes défendues sur le présent blog. Il lui semble au contraire que la considération d’un certain PE importe beaucoup au patient, au point de jouer le Petit Chose littéraire à trois heures du matin….Et, devant cette baudroie à prétentions talmudiques, tous disent: Courage, fuyons!!!!
TKT dit:
à
Michel,vous vivez à Paris.
Deux cultures ?
Deux cultures qui ne pourraient vivre ensemble ?
Je respècte votre choix,ce n’est pas le mien.
Je n’ai d’aiileurs fait aucun choix, pourquoi faire ? Vous ne semblez pas avoir gagné en quiétude.
TKT dit:
à
Le Christ n’a jamais cessé d’être Juif.
Je n’ai jamais dit ou pensé, que les deux religions étaient identiques. Le catholicisme n’existerait pas sans la religion juive, idem pour l’islam.
jem dit:
à
Dans ses Mémoires, Voltaire n’a pas manqué de parler des moeurs de Frédéric II, avec assez d’esprit d’ailleurs. Il s’étend assez peu sur la chose, mais parle quand même d’ « amusements d’écoliers », avec cette précision ambiguë : « Les choses n’allaient pas jusqu’aux dernières extrémités, attendu que le prince, du vivant de son père, avait été fort maltraité dans ses amours de passade, et non moins mal guéri. » Et puis Voltaire n’était apparemment pas très rancunier.
renato dit:
à
Voilà que le petit Mauvaise Langue il a encore fait des siennes… aucune éducation ce garçonnet…
JC..... dit:
à
Passou dit: 13 juillet 2014 à 19 h 50 min
A JC de 18.OO
« Chiche, JC et les autres ? Rendez-vous sous le platane au Banquet du livre à Lagrasse le 6 août à 16h. Je n’y parlerais que de vous tous ! Dix ans que j’attends ça ! »
Demandez le programme http://www.lamaisondubanquet.fr/banquets/ete/#Calendrier-banquet-ete
Erdéliens, Erdéeliennes,
Ne résistons pas à l’invite de notre cher Pierre Assouline ! Que ceux qui le peuvent se retrouvent autour de ce Platane, pour un échange dans le réel.
N’oubliez pas de venir armés … de bonnes, loyales, et littéraires intentions !
Bonne FêtNat …
ueda dit:
à
Les débats n’auront lieu qu’au dessus de notre sexe.
Widergänger dit:
à
La névrose du commentaire infini…!
Michel Foucault montre dans Les Anormaux comment les aliénistes sont remplacés peu à peu au cours du XIXè siècle par les psychiatres vers 1860 pour contrôler les comportements sociaux à partir d’une norme, celle de la bourgeoisie dans la pleine puissance de son pouvoir aliénant. Mais la bourgeoisie n’avait pas encore inventé la psychiatrisation des commentaires littéraires. Passou l’a fait ! Passou vient d’inventer la psychiatrisation du commentaire littéraire avec LA NÉVROSE DU COMMENTAIRE INFINI !
Montaigne doit se sentir le premier concerné, le premier con cerné par les blouses blanches, lui qui écrivait : « J’adjoute, mais je ne corrige pas. » Et à travers Montaigne, qui se voulait imiter Socrate, c’est toute la tradition occidentale du commentaire depuis 2500 ans qui se voit psychiatrisée. Ah ! il a peur de rien notre Passou ! Il faut s’attendre à voir débarquer chez nous les blouses blanches pour nous passer la camisole de force…
JC..... dit:
à
La parade est simple pour éviter la camisole de force : rendez-vous tous revêtus de notre « blouse blanche » autour du Platane Sacré …
Widergänger dit:
à
À ce brave TKT qui ne comprend décidément rien. Deux cultures, ça veut dire deux façons de penser incompatibles. Cela ne veut pas dire qui ne peuvent pas vivre ensemble…
Je vous donne un exemple pour faire mon pédagogue et éclaircir vos idées. Les chrétiens (catholiques) pensent que le péché c’est l’argent, les Juifs pensent que le péché c’est la pauvreté. Les catholiques n’aiment pas les riches, les Juifs font tout pour que les pauvres ne le soient plus mais puissent devenir riches. Deux visions de l’argent, deux cultures de l’argent comme on dirait aujourd’hui. Ça n’a rien à voir avec vos objurgations insignifiantes.
Widergänger dit:
à
Le comique dans cette affaire de commentaires et de psychiatrisation du commentaire, c’est que ce sont des commentaires qui rapportent gros à celui qui les chapeaute… Encore une histoire de gros sous…! Et va savoir qui travaille du chapeau dans cette histoire.
Widergänger dit:
à
Les chrétiens (protestants), c’est encore chose, puisque Max Weber a montré que les Protestants sont grandement à l’origine du capitalisme naissant au XVIè siècle.
JC..... dit:
à
ueda dit: 14 juillet 2014 à 7 h 42 min
« Les débats n’auront lieu qu’au dessus de notre sexe. »
Bien vu, camarade ueda ! Pour au dessous, pas besoin de débattre …
Widergänger dit:
à
Reste plus qu’à inventer LE COMMENTAIRE INFINI DE LA NÉVROSE DE PASSOU, LE COMMENTAIRE DE LA NÉVROSE INFINIE DE PASSOU, L’INFINI DE LA NÉVROSE DU COMMENTAIRE DE PASSOU (version Sollers)…
des journées entières dans les arbres dit:
à
no comment
http://img.slate.com/media/1/123125/2249553/2249558/2249559/3_vanity.jpg
anonyme dit:
à
Gracieuses et gracieux érdéliennes et erdéliens!On se retrouve donc tous à Lagrasse?Mais comment nous reconnaître?je dirais bien que chacun vienne avec un livre de Passou,mais ça va prêter à la confusion,le plus simple encore c’est que nous trouvions un mot de passe,comme dans la grande vadrouille,on circulerait dans la foule,et on prononcerait à voix basse: »gode à Porquerolles » j’aurais bien dit on prononce « gode ceinture »,mais ça pourrait heurter ou provoquer des malentendus:les naifs entendraient une invite un peu grossière,alors qu’avec « gode à PorquerolleS »,c’est comme une espèce de sabir rosbif-grenouille incompréhensible pour le non initié mais transparent pour nous tous.J’imagine: »gode à porquerolle », »oui,moi c’est zouzou », »enchanté moi c’est… »on ne dit rien!tout est encore anonyme,toutefois,j’appelle les copains à un minimum de tenue afin que cette rencontre ne dégénère pas en pugilat,ce qui ne serait pas pour déplaire à Passou,on se souviendra qu’il posa naguère en adepte du « noble art »,et s’il s’agit de revenir de cette rencontre avec une dédicace ,évitons qu’elle soit signée d’un poing,fut-il (et non pas futile) celui de notre hôte.
des journées entières dans les arbres dit:
à
Mais quand même, vous vérifierez; il me semble que cet arbre à palabres dans la cour de l’abbaye n’est pas un platane, ni un arbre de Jessé.
Il me semble que c’est un chêne.
bouguereau dit:
à
bien vilaine barbouille pour ce saligot de franchouillard de voltaire..c’est aussi laid que du dali
bouguereau dit:
à
Il y a un peu de testicule au fond de nos sentiments les plus sublimes et un soupçon de clitoris sur le gateau de notre tendresse la plus épurée..et encore des poils dans le beurre normand dirait cloipine en le sortant du frigo
bouguereau dit:
à
voltaire avec internet..une chaise roulante avec un capteur solaire..un myon de mail à la semaine
bouguereau dit:
à
Voltaire ne juge pas que l’homosexualité soit contre nature ; il estime qu’elle aussi exprime la nature, mais par méprise, qu’elle en est une erreur. Par ce jugement modéré, il a voulu avant tout libérer la sexualité de l’Eglise
faux et archi faux lassouline..il y a 2 natures, celle de dieu et celle de lantique, les libertins ont juste reduit celle ci a une seule, et les aporie à l’esthétique et au gout..piège grossier dans lequel l’église n’est pas « tombé »..on l’y a conduit de force évidemment
bouguereau dit:
à
rendez-vous tous revêtus de notre « blouse blanche » autour du Platane Sacré …
on peut mettre un cax a pointe sous yggdrasil jicé..anguéla est allongée nue a ses pieds..chacun son tour..en attendant on peut écluser des choppes et manger des wurst..voltaire aurait beaucoup apprécié..tout son genre
bouguereau dit:
à
dis donc salopard de zouz..toi qui frémis à saint denis mais pas à la fête de la fédération..dis voir à de ceux qui ont rejeté l’héritage de la révolution tu ressembles le plus..et attation parmi les plus politiquement conséquent je n’en vois pas qui n’aurait figé dans leur sang quelques millier de révolutionnaire..alors qui ?
bouguereau dit:
à
il y a 2 natures, celle de dieu et celle de lantique
et celle de l’antique..c’est l’église qui est allé la chercher à la renaissance..bien certaine qu’elle était a jamais domestiqué, infantilisé
vive la france!
bouguereau dit:
à
vive la france!
le nez dans la sciure c’est à faute a arthur
kicking (se la jouant san marino giovanni) dit:
à
grosses têtes et grandes gueules lèche&cache-cul.. pas besoin de débat en démo-crasse-scie.. pas même de gardiens.. on a descartes pour se torcher..
des journées entières dans les arbres dit:
à
Ah, ça c’est pas faux. La Renaissance plutôt que les obscures Lumières.
http://www.youtube.com/watch?v=z6Xi4xoXQU4
Onésiphore de Prébois dit:
à
rendez-vous tous revêtus de notre « blouse blanche » autour du Platane Sacré … (JC)
Excellente idée. Mes hommes et moi, récemment convertis à l’Islam salafiste et obéissant en tous points aux consignes du nouveau Calife, Commandeur de tous les croyants, participerons au banquet de Lagrasse, revêtus de la rituelle blouse blanche (version longue) qui nous permettra de dissimuler l’outillage nécessaire à la réalisation de notre Sacré projet. En attendant, dans le cadre de notre préparation, nous nous repassons en boucle une scène célèbre de « Certains l’aiment chaud ». Cela promet des débats animés (avant d’être inanimés).
TKT dit:
à
Ducornaud, bonjour Albarbaresque, le plus con de nous deux c’est vous !
Inutile d’aller chercher une confrontation des deux religions par rapport à l’argent, afin de limiter les deux testaments qu’à la réalité des rapports nantis et non-nantis.
Votre commentaire sur Pierre Assouline touchant des revenus quand les visiteurs viennent cliquer sur une publicité (littéraire uniquement) est une critique digne des plus limités des commentateurs.
Bon, je vous laisse Widerspucker !
pat dit:
à
Widergänger 13 juillet 2014 à 22 h 07 min
« Màc et maniatis, quand on était réuni sur ma terrasse, qu’est-ce qu’on a pu déblatérer sur vous, mon pauvre TKT. C’était un peu facile, c’est vrai. Vous prêtez facilement le flanc à la moquerie. Mais qu’est-ce qu’on a pu déblatérer sur vous ! Le pire, c’était Màc. »
pas étonnant de la part de ces vieilles cinglées que vous êtes, hein bouguereau
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