Marcel Aymé se paie encore la tête des juges
« Les profanes de mon espèce attendent des Juges qu’ils aient le courage de poursuivre le crime et le délit sans égard à l’argent ni au pouvoir. Il leur semble que si la Justice consent à se laisser entamer dans ses positions les plus avancées, elle n’est plus la Justice et qu’un Juge ne peut avoir bonne conscience, même en face d’un criminel de droit commun. Je souhaite que, dans votre discours d’ouverture, vous mettiez en garde la magistrature contre l’indifférence et la légèreté, bien sûr, mais d’abord contre toute espèce de complaisance. Et je souhaite que vous soyez entendu ! »
Ces lignes datent de 1961. Marcel Aymé répondait à la lettre d’un conseiller à la Cour d’Aix-en-Provence qui avait eu l’inconscience, ou l’extrême audace, de solliciter sa contribution à une réflexion sur l’art de juger. Manifestement, soit il n’avait guère lu son œuvre, soit il l’avait trop bien lue. Car Marcel Aymé n’est pas seulement l’exquis conteur franc-comtois du Chat perché et le romancier du fantastique ludique du Passe-muraille et de La Vouivre, d’une grande indulgence pour l’humanité ; il est aussi l’auteur de réquisitoires mordants, cinglants, acides, cruels, d’une ironie dévastatrice. Outre Uranus, il y a surtout La Tête des autres (1952) qui se joue actuellement au théâtre du Vieux-Colombier jusqu’au 17 avril.
Nous sommes dans un pays imaginaire dit Poldavie, qui n’est pas sans rappeler la Cacanie de Musil, la Syldavie d’Hergé, la Pologne de Jarry, autant dire nulle part. Un procureur fête, en compagnie de son épouse et d’un collègue, la condamnation à mort qu’il vient d’obtenir pour un musicien de jazz. Or celui-ci, qui a réussi à fausser compagnie aux policiers durant son transfert, s’introduit chez le procureur ; il le surprend dans les bras de sa maîtresse, qui n’est autre que l’épouse de son collègue. Témoin de ce qu’il n’aurait dû ni voir ni entendre, il va exercer un chantage sur les deux magistrats pour les obliger à entendre et proclamer son innocence. D’autant que le véritable coupable s’avère être un fameux mafieux qui fait manger dans sa main tous les puissants du jour.
La suissesse Lilo Baur, qui a débuté au théâtre comme comédienne, a décidé de mettre en scène cette histoire après que Daniel Pennac la lui ait offerte. Elle ne la connaissait pas, et probablement pas davantage Marcel Aymé, si l’on en juge par son parcours et ses tropismes. C’est une supposition et non un reproche ni un procès d’intention ; le fait est que, de son propre aveu, elle a entendu La Tête des autres comme un cri puissant contre la peine de mort, la corruption, la lâcheté, la soif de pouvoir et le déséquilibre entre les plateaux de la balance. Sa vision n’est pas fausse et sa réussite est totale. La pièce trouve son rythme dès les premières minutes et elle le garde deux heures durant grâce à des comédiens entraînants et très physiques, qui paient de leur personne dans leur gestuelle et ne se reposent pas sur l’énergie des dialogues. Violente, subversive, d’une drôlerie irrésistible, elle « déménage », comme on dit. D’autant que, tout en négligeant le contexte, Lilo Baur a eu le bon goût de ne pas se référer à l’édition de 1956, amendée par l’auteur à la suite des réactions scandalisées de la Justice et de multiples pressions, mais à l’édition première de 1952. La différence ? De taille car la suppression concernait le personnage du mafieux et de toute la saloperie de l’époque qu’il charrie.
La prouesse est d’avoir réussi à imposer cette vision universelle et intemporelle, non en éliminant toute autre vision mais en s’y superposant. Car pour les familiers de l’œuvre de Marcel Aymé et de son univers, il est difficile de ne pas avoir une autre lecture de la Tête des autres. Sans avoir collaboré sous l’Occupation autrement qu’en publiant des contes dans Je suis partout et La Gerbe, il n’a pas été inquiété à la Libération ; tout juste blâmé pour avoir scénarisé du côté de la berlinoise Continental films ; aussi, lorsqu’on voulut lui accrocher un ruban en 1948, il répondit par lettre qu’un « mauvais Français » comme lui n’en était pas digne et que « je les prierais qu’il voulussent bien, leur Légion d’honneur, se la carrer dans le train, comme aussi leurs plaisirs élyséens”. Fidèle à sa fidélité, et au chroniqueur du Marianne des années 30 qu’il fut lorsqu’il utilisait cette tribune pour dénoncer inlassablement la peine de mort (ses articles ont été recueillis par Michel Lécureur dans le Tome II de ses Oeuvres romanesques pour la Pléiade), il est vrai qu’il avait marqué sa solidarité avec des réprouvés de l’époque, Brasillach, Céline, Bardèche. Il avait suivi des procès qui lui ont paru autrement plus iniques que ceux qu’il suivait en 1916 lorsque, faisant l’école buissonnière, il découvrait la justice de classe et « la grossièreté et la dureté avec lesquelles les Juges traitaient les gens pauvres ».
La Tête des autres, de même qu’Uranus (1948), roman qui a davantage l’allure d’un féroce règlement de compte à propos des règlements de compte, porte la marque de l’épuration, période durant laquelle la pièce a été ruminée jusqu’à sa sortie en 1952 ; car l’année où André Barsacq l’a créée au théâtre de l’Atelier est également celle de l’amnistie du président Auriol pour les condamnés, ce qui n’est pas qu’une coïncidence. On en réduirait évidemment la portée en en faisant un texte-à-clés, ce que ce n’est pas. Mais si on la lie à ses circonstances, elle a aussi valeur de témoignage. Mesquinerie des mentalités, petits arrangements peu glorieux, esprit de revanche, médiocrités inavouables, haines recuites entre confrères, tout y est. Un futur biographe de Joseph Joanovici, le ferrailleur juif béssarabien qui édifia une fortune considérable durant les années noires en dominant le marché noir en parfaite entente avec les Allemands, serait saisi par le jeu extraordinaire du comédien Serge Bagdassarian qui incarne le personnage du mafieux, Alessandrovici… Louée soit Lilo Baur pour avoir mis en scène l’universel sans exclure la possibilité du particulier. Marcel Aymé y reconnaîtra les siens, avant tout la dénonciation non négociable de la peine de mort et de toute justice d’exception.
(« La Tête des autres au Vieux-Colombier », « Sculpture de Jean Marais, place Marcel Aymé, à Montmartre » photos D.R.)
1 038 Réponses pour Marcel Aymé se paie encore la tête des juges
Certains, dans leur parcours, connaissent des dérapages, d’autres ont des tropismes.
C’est un papier mijoté, à petit feu va sans dire, vous avez évité de le faire bouillir à gros bouillons, cela permet d’éviter (sic) les éclaboussures.
Pour ceux qui voudraient approfondir la mafia collaboratrice pendant l’Occupation, lire les ouvrages de l’historienne Annie Lacroix-Riz :
Industriels et banquiers français sous l’Occupation : la collaboration économique avec le Reich et Vichy, Paris, Armand Colin, coll. « Références » Histoire, 1999, 661 p. puis 2007.(ISBN 9782200251093)
L’Histoire contemporaine sous influence, Paris, Le Temps des cerises, 2004, 145 p., puis, 2e édition (1e, 120 p.), 2010. (ISBN 978-2841094752)
Le Choix de la défaite : les élites françaises dans les années 1930, Paris, Armand Colin, 2006, 671 p., réimprimé en 2007 et 2008, puis, nouvelle édition complétée et révisée, 2010, 679 p.(ISBN 2200354916 et 978-2200354916)
De Munich à Vichy : L’assassinat de la Troisième République (1938-1940),
Annie-Lacroix Riz est aussi petite fille de déportés à Auschwitz.
Régniez-LML
Godwin vainqueur par ko dès la première seconde de débat
La loi c’est la loi dit: 18 mars 2013 à 0 h 13 min
Faux ! C’est ta connerie qui vaincra toujours. Pas de quoi s’en réjouir malgré tout.
Il est possible de lui préférer celle de Badinter
Oh Mimi
ma connerie me conseille de te dire Merde.
Avec tout le respect que je dois à passou
Il existe déjà une biographie sur Monsieur Joseph (Joanovici)
je crois qu’il ne faudrait pas réduire Aymé à cette tete des Autres, souvent reprise, mais se risquer aussi à relire et à monter Les Oiseaux de Lune, ou Tete d’Horloge…..C’est ubne autre veine, mais pas la moins sympathique.
bien à vous.
MCourt
le ferrailleur juif béssarabien
—
Ca fait presque peur, une telle ‘raison sociale’. Et les ferrailleurs (salut , Max), et la Béssarabie, et beaucoup de Juifs béssarabiens, ont disparu. Aymé reste, très aimé de mon père, qui lui a survécu. Le monde est complexe.
On va pas refaire les procès de cette époque, c’est saoulant. On attend la publication dans le commerce des pamphlets, dûment annotés, pour que l’imprimeur français en cavale (version grotesque du ‘ferailleur j… b….) cesse définitivement de faire ses misérables affaires avec son sale trafic.
… et c’est reparti dans la même chansonnette, une fois de plus, les mêmes règlements de compte …. Misère !
« ../.. pour que l’imprimeur français en cavale (version grotesque du ‘ferailleur j… b….) cesse définitivement de faire ses misérables affaires avec son sale trafic. »
Quand on travaille pour un Etat qui intervient comme il le fait en vendant des armes à n’importe qui, un Etat qui trafique et déstabilise d’autres pays au nom de ses intérêts, quand on reçoit salaire de cet Etat dont on partage les actes, on ne vient pas ici jouer le donneur de leçon de morale à un petit éditeur de rien du tout, vivotant chichement au Paraguay ! Bises.
Marcel Aymé a été un très honnête traducteur d’Arthur Miller (The Crucible/ Les sorcières de Salem) et de Tennessee Williams (The Night of the Iguana). C’était le temps où la création théâtrale ne se limitait pas à la nième ‘mise en espace’ d’un grand ‘texte’ du passé. Hier, autant dire des lustres an arrière.
an > EN
quand on reçoit salaire de cet Etat dont on partage les actes,
—
Prêt à accuser les instituteurs et les policiers des quartiers nord de Marseille, la Teigne, pour se disculper de son sale trafic de textes antisémites. Ses magouilles sont avérées, pas analogiques. Le plaidoyer pro domo de la petite crapule ne trompe personne.
Les fafs jc et regniez veulent squatter le blog pour y répandre leur haine viscérale
L’avocat Olivier Metzner retrouvé mort sur son île privée en Bretagne…
ça commence comme un roman d’Agatha Christie !
Après le point Godwin, qui a commencé sur les chapeaux de roue, on va probablement atteindre très vite le point B., via la sculpture de Jean Marais, peut-être ?
Le théâtre de Marcel Aymé, c’est pas un peu daté, d’autant plus que la peine de mort est abolie ?
on va probablement atteindre très vite le point B., via la sculpture de Jean Marais, peut-être ?
baroz
Le point Pipilet atteint dès la première intervention de maître Jacques
la crapule d’Etat s’attaque à la petite crapule de l’édition, comme Goliath à David …
Il faut être bien ambitieux, et bien peu sûr de soi, pour s’autoriser à juger les autres.
Justice ! Pouvoir des juges !
Comment concilier la fameuse indépendance
et un peu plus de « contrôle », voire de recours,
sans qu’il soit nécessaire au justiciable bafoué
« d’exercer un chantage sur les (…/…) magistrats
pour les obliger à entendre et proclamer son innocence. » ?
Mais le salon est littéraire, n’est-ce pas,
et si presque n’importe quoi s’y discute,
peu s’y élabore et rien ne s’y décide.
Est-ce pour autant que certain avocat
éprouve comme un flottement ?
(Référence douteuse à une actu à la laisse
entre un naufrage personnel et des affaires retentissantes).
Vigilentement.
Jacques Barozzi dit: 18 mars 2013 à 8 h 44 min
Le théâtre de Marcel Aymé, c’est pas un peu daté, d’autant plus que la peine de mort est abolie ?
Vu tes tendances actuelles et tes activités en 81 baroz, tu dois encore le regretter
Ne pas oublier l’inévitable point Troll, point sur les points !
Calomie, jacquot, en 81 je dansais sous la pluie à la Bastille !
Avec le bonjour de YHWH ! dit: 18 mars 2013 à 8 h 49 min
JC s’est redémarré au blanc sec, un p’tit bandol en cubi de cinq litres qui lui rince le gosier matinal. Assez fruité mais qui tape un peu.
ça commence la grande pipelette qui se prend pour un grand reporter
Les fafs jc et regniez veulent squatter le blog pour y répandre leur haine viscérale
la haine viscérale! Hé bé!
Oui, leur haine: vices et râles.
Vices et râles
Phiphi dans le rôle de Vices et Jicé dans dans celui de Râles ?
Jicé, cite pas le nom de l’Eternel à tort et à travers, pour lancer tes insultes C’est pas bien d’usurper le nom de celui dont tu peux même pas commencer à imaginer le sens et la portée. Faut pas rigoler avec Hashem, surtout quand on est goy. Rappelle-toi de la leçon de Rabi Nachter:
« Et … il lui est arrivé quoi, au goy?
Rabbi Nachtner: Le goy? On s’en fiche. »
Médite. Et laisse l’Eternel tranquille. T’es pas de taille. Contente-toi du type sur la croix et de son mégaphone romain.
« Le théâtre de Marcel Aymé, c’est pas un peu daté, d’autant plus que la peine de mort est abolie ? » (J. Ba.)
L’abolitionnisme fait partie des quelques éléments du blason qu’on se plaît à montrer aux autres comme constitutifs d’une « identité politique européenne ».
Mais la messe est loin d’être dite.
Les opinions sont souvent favorables à cette peine, et plusieurs pays démocratiques la pratiquent.
Surtout le consensus régnant sur ce sujet est de pure apparence, c’est une sorte d’habitus juridique, mais la majorité des citoyens seraient incapables de reconstituer l’argumentaire compliqué (qui remonte au moins à Beccaria) qui est parvenu à s’imposer chez nous (avec l’aide du prince, qui a pris le relais du juge).
De plus, les fondements philosophiques de cet argumentaire (qui relève en gros des Lumières) sont contestés dans beaucoup de cultures non-européennes, même si des convergences sont possibles de manière pragmatique (on se met d’accord sur une position, mais au nom d’argumentaires différents).
(Overlapping consensus, comme dirait Rawls)
Les deux positions (la mise à mort par l’Etat et sa suspension) engagent de tels enjeux qu’elles seront objet de débat aussi longtemps que la politique existera.
Uranus (premier roman vraiment lu, car le Passe-miraille ou les Contes m’étaient donné comme lecture d’enfant) est un de nos meilleurs romans politiques, probablement parce qu’il tient à distance la politique elle-même d’une manière qui est unique.
La cruauté sans le cynisme, la sympathie sans l’aveuglement, le don d’une drôlerie aux dimensions presque métaphysiques!…
Quel auteur!
veda, de quand datez-vous, puisque vous faites référence aux « lumières », la première suspension de la peine de mort dans une société de type occidental ?
A part les Contes, ueda, j’avoue être passé à côté de Marcel Aymé. Je ne connais Uranus qu’à travers le film de Claude Beri, qui m’avait un peu ennuyé à l’époque. Donc, sur ce billet, je passe mon tour et vous lirai avec intérêt…
Berri, pardon
Sur la peine de mort, l’on sait que celle-ci n’est pas dissuasive. Elle avait néanmoins le mérite d’indiquer le prix de la vie humaine : tu tues, tu risques ta peau !
Mais comme la justice est un peu distributive, et que l’erreur judiciaire est insupportable en cette matière, son abolition est préférable. This is my point of vue…
Jacques Barozzi, vous devriez remplacer votre « l’on sait », par « l’on dit ».
J’ai parlé de suspension au sens fort, M. Régniez, c’était synonyme dans mon esprit de suspension.
Si vous pensez à la suspension dans un sens plus rigoureux, vous faites naturellement allusion au droit de grâce ou d’amnistie, et il se trouve dans les sociétés anciennes d’Occident et d’Orient.
Célébrez vos rois comme vous l’entendez!
L’abolitionnisme comme exclusion complète de la mort d’état comme châtiment est une idée que l’on trouve avant Beccaria, mais c’est bien le Milanais qui lui a donné sa formulation décisive (avec le soutien de Jeremy Bentham de l’autre côté de la Manche, dans un esprit différent).
Je suis partisan de cette abolition, mais je m’étonne parfois de la légèreté avec laquelle certains en parlent comme d’un « acquis ».
J’ai parlé de suspension au sens fort, M. Régniez, c’était synonyme dans mon esprit de suspension > abolition!
Le plus souvent l’on ne sait que ce que l’on dit, Philippe Régniez. Mais de fait, il n’y a pas moins de meutres dans les pays où la peine de mort existe, non, voyez entre les différents états des Etats-Unis, pour s’en tenir à un pays démocratique ?
veda, il me semble que le sens donné à suspension est clair. Vous ne répondez pas à ma question. Mais ce n’est pas bien grave.
Je partage votre étonnement sur la légèreté avec laquelle certains en parlent comme d’un acquis. C’est également vrai pour beaucoup de choses. Ainsi va le monde.
Il serait judicieux que l’abolition de la peine de mort soit appliquée sans faillir par la communauté des tueurs.
Jacques Barozzi, « on sait » est un sophisme de notre époque, en fait on ne sait rien, on ne sait pas, on affirme sans savoir, on répète, généralement bêtement, ce qui sied à son esprit.
Rien n’est jamais définitivement acquis, ueda, notamment au niveau des droits sociaux, la santé, la retraite, les moeurs…
Désolé veda, suspension et abolition, ce n’est pas pareil.
» … la première suspension (abolition ?) de la peine de mort dans une société de type occidental ? »
Bon, à part des cas individuels (quelque empereurs chinois et romains), le plus ancien État abolitionniste est la Repubblica di San Marino (dernière exécution vers la moitié du XVe siècle, abolition définitive 1865).
Cela dit, Nessuno tocchi Caino / Hands off Cain :
« on sait » est un sophisme de notre époque
Pourquoi spécialement la notre, Philippe Régniez ?
renato, vous avez faux, comme d’habitude, vos outils de recherche, je suppose, limités.
Sous la question de la justice des juges se profile la question de la justice populaire. Là aussi, « on sait » ce que cela donne !
Jacques Barozzi, c’est le début d’une bonne question.
« Désolé veda, suspension et abolition, ce n’est pas pareil. » (Ph. R.)
Je suis d’accord, bien sûr.
Mon usage de la « suspension » était une facilité rhétorique.
Seule l’abolitionnisme était en question.
(Le sursis, la grâce, l’amnistie relève d’une autre logique)
Puisque la peine capitale s’est allègrement pratiquée pendant des millénaires, si elle servait à quelques choses on ne devrait plus connaître l’assassinat ni l’homicide.
veda, d’un côté vous nous parlez abolition, de l’autre vous nous dîtes que rien n’est acquis, expliquez-nous, ou alors mettez un peu plus de réalisme dans vos propos.
Et si vous nous donniez votre point de vue sur la peine de mort, Philippe Régniez ?
J’ai faux ? possible, dites-moi la bonne date et le bon lieu, j’en prendrai bonne note.
Mais on parle d’abolition par la loi, n’est-ce pas, pas de quelques empereur qui ne voyait pas l’utilité de « disposer de la vie d’un autre homme »
Le nom de l’Eternel ? vous avez des preuves ou vous répétez une rengaine connue ?
Pour qui il se prend ce régniez avec son obscurantisme qu’il prétend éclairé, sa con descendance tour à tour brutale ou mielleuse?! C’est déjà assez pénible avec le jic de pq!
De quoi voulez-vous parler exactement, de l’avortement ou de l’euthanasie ?
renato « Puisque la peine capitale s’est allègrement pratiquée pendant des millénaires, si elle servait à quelques choses on ne devrait plus connaître l’assassinat ni l’homicide »
mais régniez est morbide, il aime la mort , les appels à la mort, c’est son petit plaisir
Il me semble du meilleur goût de pratiquer aux tueurs convaincus la peine de mort, dans un esprit de saine vengeance et d’imparfaite justice.
Alors Ph. R. elle arrive cette réponse ?
Les intégristes cathos, Civitas, sont encore (jusqu’à présent) financés par les deniers publics
En Europe Grand Duché de Toscane en 1786, en Amérique latine, réductions jésuites fin du XVIème début du XVIIème.
Et que faites-vous de la rédemption, à la base du christianisme, Philippe Régniez : tout homme, fût-il criminel, n’a t-il pas droit au rachat de son âme, à son propre salut ?
Philippe Régniez, vous ne devez jamais avoir mis les pieds dans une cuisine. Tant mieux pour vous, vous vivez dans un pays ou la domesticité est bon marché et où les maîtresses de maison donnent leur ordre de menu et des courses toutes seules. Madame Régniez doit avoir toute liberté, exclusivement comme maîtresse de maison. Si elle est bien née, je veux dire si « l’on connait la famille », elle ne doit savoir faire que la pâtisserie. Et vous, vous coupez les volailles quand elles arrivent sur la table ?
Bref, c’est quand on cuit à gros bouillon que l’on génère des éclaboussure. À petit feu et dans un récipient adéquate, avec un couvercle pour ne pas perdre de l’énergie, tout reste dans la casserole.
Jacques Barozzi, c’est un fait, la peine de mort peut être considérée comme un moyen pour aboutir à cette rédemption.
« c’est un fait, »
il est complètement givré le tégniez
@Philippe Régniez dit:18 mars 2013 à 10 h 08: « Jacques Barozzi, « on sait » est un sophisme de notre époque, en fait on ne sait rien, on ne sait pas, on affirme sans savoir, on répète, généralement bêtement, ce qui sied à son esprit. »: Ce boomerang Philippe Régniez, vous retombe sur le visage. Comme Langue Moisie, vous êtes motivé par vos croyances et vos haines.
Dommage que Leopoldo ait réintroduit la peine capitale 3 où 4 ans après l’abolition.
Quant aux jésuites, ils ne représentaient aucun pouvoir réel, le leur bien à part — les Réductions n’étant pas des États.
Heureusement que la peine de mort n’avait pas été abolie avant que l’on n’exécute les grands criminels nazis !
ya guère plus moyenâgeux, obscurantiste que tégniez (il se flagelle en plus) apologiste et porte- parole des pratiquants de la pédophilie, de l’esclavage, des viols, de l’avilissement –
« veda, d’un côté vous nous parlez abolition, de l’autre vous nous dîtes que rien n’est acquis, expliquez-nous, ou alors mettez un peu plus de réalisme dans vos propos. »
Je ne vois pas du tout où est le problème.
L’abolitionnisme est un courant juridique et philosophique qui s’étend sur plus de deux siècles et présente des visages divers. Il est contesté par d’autres courants, chez des juristes comme dans l’opinion.
Je parle de l’abolition de la peine de mort comme décision prise un jour par un Etat souverain (1981 en France) de retirer la mort de la liste des châtiments légaux. J’espère que c’est clair?
Je dis que ce n’est pas un acquis, parce que rien ne nous dit quels seront les mouvements de l’opinion européenne dans un lointain avenir, ni quelles seront les politiques des gouvernements responsables à ce moment là. Mais c’est vrai pour bien d’autres sujets!
Si je fais cette remarque, c’est que bien que partisan de l’abolition (et adhérant volontairement au mythe européen), je ne partage pas du tout l’esprit de certains abolitionnistes, qui pensent que:
– ça va d’soi, ceux qui pensent le contraire sont des salauds (mais non, il existe des défenses argumentées et non triviales de cette peine, voyez le vieux Kant, et les Etats-Unis ou le Japon ne sont pas moins démocratiques que la France);
– c’est une étape irréversible de la Raison en marche (mais non, il n’y a pas d’irréversibilité, et la façon dont le problème est pensé en Asie, par exemple, mérite non l’ignorance et le mépris, mais la considération et le dialogue pour parvenir à un horizon juridique partagé).
Où voyez-vous une inconséquence?
renato
les jésuites :champions des faux-derches
Aux USA l’état du Michigan a aboli la peine de mort en 1846.
Jacques Barozzi. Je suis contre la peine de mort, mais pas pour mes ennemis, pas vrai ?
De nos jours la peine de mort n’est plus considérée que comme une revanche sociale.
Renato, le risque d’être jugé et condamné à mort, refroidit quand même certaines criminalités. Il circule moins de drogue dure à Singapore, qu’en Thaïlande. Pour ce qui est des crimes de sang, c’est souvent fait sur affect. Je ne suis pas convaincu sur la rédemption des malades pour les crimes sexuels.
« une revanche sociale »
alors qu’en réalité, c’est un fait, c’est un geste divin de rédemption
veda, bien reçu.
JC alias C.L. de Secondat est partisan de la peine de mort.
Personne n’en doutait ici
« Il circule moins de drogue dure à Singapore, qu’en Thaïlande »
la drogue et sa circulation sont voulues par le très- haut pour véhiculer la possibilité de rédemption (sinon ça se saurait)
La vie toulonnaise dit: 18 mars 2013 à 10 h 49 min
oui lui et la teigne sont ignobles
Mon heureusement, faisait référence à votre définition de la réemption, Philippe Régniez. Nuremberg s’est montré charitable pour les chefs nazis.
ueda, vous auriez donc été pour qu’on leur laisse la vie ?
alex, ignoble est un peu réducteur.
renato dit: 18 mars 2013 à 10 h 25 min
Alors Ph. R. elle arrive cette réponse ?
renato, en dehors des arguties débile de Phiphi, la première abolition officielle, Toscane 1786.
Pas grave la primauté reste à l’Italie.
> remplacer votre « l’on sait »
Quand tendez-vous par là ?
@ Jacques Barozzi dit:18 mars 2013 à 10 h 40 min: Les criminels nazis non jugés pour génocide, s’en tirèrent assez bien: Jamais plus de 3 ou 4 années de dénazification. Remis dans le circuit économique, les grands-patrons reprirent le business as usual. Je parle en particulier de ceux qui eurent attaché à leurs usines, un KZ (travail obligatoire). Le Vatican fut la grande plaque tournante pour les criminels nazis en fuite.
Thierry,
l’importation de chewing-gum est interdite à Singapour. En théorie, il n’est pas interdit de mâcher du chewing-gum à Singapour, mais je ne voudrais pas me trouver à discuter avec un policier sur le sens de « modique quantité de chewing-gum”…
La sculpture du passe-muraille fait toujours rigoler comme des bossus les touristes japoniaisans qui se fichent comme de l’an quarante des collaborations franco-allemandes en mal d’étanchéité. Un autre écrivain vécu en face, il traverse les murs de la censure francultureuse sans plaque ni scultpure. Pas le temps de wikipéder, Lilo Baur, c’est du cousinage de Harry ? est-ce bien nécessaire de relire Marcel Aymé ? Le ferrailleur béssarabien a déjà été proprement exécuté par Némirovsky dans sa version pétrolifère.
« ueda (l’abolitionniste convaincu), vous auriez donc été pour qu’on leur laisse la vie (aux criminels nazis) ? »
Répondez donc à la question, comme dirait renato, qui lui ne répond jamais (ou plutôt rarement) !
« Pas grave la primauté reste à l’Italie. »
Pas tellement Léopold. L’abolition entre dans le code pénal en 1889, et en sort en 1930 (codice Rocco). Abolie en 44 réintroduite en 45, définitivement abolie en 46, dans la Constitution en 48.
« pour les chefs nazis. ueda, vous auriez donc été pour qu’on leur laisse la vie ? »
Je déteste tout absolutisme, Jacques, y compris celle de la raison.
Je ne sais pas ce que j’aurais pensé à ce moment-là.
J’envie la généreuse imagination de certains qui n’auraient aucune peine se voir dans un maquis dès 1941, ou présider avec une juste sévérité le Tribunal de Nuremberg.
Je sais seulement que je n’aurais pas souhaité que Ceucescu, Saddam ou Kadhafi soient mis à mort (surtout de la manière utilisée).
Mais je reconnais que tout Etat démocratique a le droit, quand sa sureté est fondamentalement menacée, de recourir à une législation d’exception (Ausnahme zustand, hein), qui implique que certaines libertés soient momentanément suspendues. Dans ces conditions exceptionnelles, la mort peut être administrée, dans un cadre légalement défini, comme il en va dans une situation de guerre.
est-ce bien nécessaire de relire Marcel Aymé ?
..pour le style phil..des vannes a se rouler par terre..pas mal de cul aussi, un auteur populo qui a de la gueule
celle de la raison > celui de la raison
(manque de café)
De nos jours la peine de mort n’est plus considérée que comme une revanche sociale
dans le 1000 philippe..et c’est ça qui fait archi peur..ouyouyouye !
mais c’est comme tout..on le dit..même zouzou
Déjà si on vous répond vous ne comprenez pas, puis vous posez trop de question et souvent à 2cents.
Avec le buste de Dalida, Montmartre possède un autre chef-d’oeuvre de la sculpture: Paris, première destination touristique mondiale, Phil, ne l’oubliez pas !
..la dernière peine de mort publique en frankreich a fait peur aux flics..il controllait pus la foule..le sang philippe.. le sang !
ha c’est un beau monochrome des fumiss, extatique..l’art contemporain c’est caca d’oie
baroz
les nazis= modèles de la teigne
..jean marrais fait des culs à la muraille ha c’est pas la même classe que son copain..
merci bougreau. Les populeux étaient nombreux du côté de la rue girardon. aujourd’hui, ça pétitionne sur la placette pour déboulonner le buste du passe-muraille. y’a pire: la statue tout en nichons de dalida à cent mètres de là. montmartre, colline des libidineux, disait Céline.
(hélène Hoppenot, son mari en poste à berlin en 1925, parle de vous)
La sculpture du passe-muraille fait toujours rigoler comme des bossus les touristes japoniaisans
y croit que c’est han solo pris dans la kermite..
on est vernis entre jc, la teigne et bougros la grosse gu eule – ne manque plus que ML (pas encore réveillé)
merci bougreau
tu sais c’est pas dur ..t’écris « ta gueule keupu » et il s’évaporc de cochon
non pas tout a fait..je matte il fait a lui tout seul 50% des posts..une vérole
Merci pour la réponse, ueda. Mais bon une « législation d’exception » soulève encore bien d’autres problèmes, et je n’insisterai pas. Il parait que je pose trop de questions ?
Sinon, d’accord avec vous pour la justice expéditive ou le lynchage des « Ceucescu, Saddam ou Kadhafi »… de la barbarie !
Dans ces conditions exceptionnelles, la mort peut être administrée, dans un cadre légalement défini, comme il en va dans une situation de guerre
nurimbère..la guerre elle était pas finite ?
hurkurk..sacré zouzou..t’as l’gout de sang..mais c’est pas pareil..comme les inconnus
La dernière femme exécutée en France fut une faiseuse d’anges, voilà qui devait agréer à Philippe Régniez ? Chabrol en fit un film avec Isabelle Huppert dans le rôle de la condamnée à mort.
Je ne reconnais pas Phil sur la photo !
tu sais baroz..en bretagne y’a des statues de saints et de saintes a toucher pour les cas d’impuissance..ça vient de l’attouchement des menhirs il parait, donc on a transposé, le cul et le sang on en est tout barbouillé
génération touchepade. ça paluche et fourre du stylet sans piper un mot.
moi j’ai toujours rêvé de toucher les seins de la Vénus de Milo.
il couine le suidé..mais t’inquiété donc pas keukeupu.. que la couronne d’angleterre ce soir, demain, roule par terre..mais il y a peu de chances qu’on la coupe au roi des cons
« Mais je reconnais que tout Etat démocratique a le droit, quand sa sureté est fondamentalement menacée, de recourir à une législation d’exception (Ausnahme zustand, hein), qui implique que certaines libertés soient momentanément suspendues. Dans ces conditions exceptionnelles, la mort peut être administrée, dans un cadre légalement défini, comme il en va dans une situation de guerre. »
L’état d’urgence peut justifier la suspension de certaines libertés, mais dans ce cas sur la base de quel code on parle de « cadre légalement défini ». Je ne sais pas comment ça fonctionne en France, mais en Italie, par exemple, une loi constitutionnelle de 2007 a formalisé l’abolition de la peine capitale des lois de guerre aussi (loi de 1994). Ou en Suisse où dans le droit militaire fut abolie en 1992.
> 11 h 32 : régulièrement caressés
Alors si c’est régulier ça va.
touchepade. ça paluche
http://img11.hostingpics.net/pics/370553104157fqbipofx3yxipo3u.gif
J’avoue être complètement insensible à l’érotisme des dessins d’Aslan.
De plus, l’idée (et la réalité) d’une Marianne sous les traits de Mme Bardot est une horreur absolue.
Pas pour les idées politiques de BB, mais parce qu’une allégorie politique doit rester abstraite (sauf recherche délibérée d’obscénité).
Avant de rédiger ces quelques lignes, j’ai démocratiquement consulté mon esprit et ma queue.
Ils sont d’accord.
bougreau, dalida en fonte crève l’écran
> régulier ça va.
Mes fesses oui.
bouguereau tu vas voir ta g à la récré
Tu vas les chercher où tes images, le boug !
Tu n’en as pas une où le pénis remplace le mamelon ?
En passant, Tete d’Horloge ne doit rien à Aymé et tout à Pradeau et Sassy, mais personne ne s’en est aperçu, si peu parlant de Marcel Aymé. J’ensuis donc pour me rectifier moi-meme. Je maintiens que la pièce est jolie.
bien à vous.
MCourt
« j’ai toujours rêvé de toucher les seins de la Vénus de Milo. »
Pour le baise-main, c’est plus problématique !
L’habitus juridiq, c’est comme l’habeas corpus, il faut pas trop tirer dessus.
Enorme différence entre la disparition de Ceaucescu et Kahdafi, retirés trop tôt à notre affection : Le Phare de la Pensée fut jugé par un tribunal militaire improvisé, puis abattu alors que le beau colonel fut jugé par une foule improvisant et littéralement empalée par l’évènement …
lisez « le chemin des écoliers », de Marcel pas si Aymé que ça..et que Céline estimait beaucoup. tout est dit de la perte de prestige des enseignants dans une nouvelle hilarante,cruelle et parfaitement actuelle.
« Marcel Aymé était un écrivain, dramaturge et nouvelliste français, né à Joigny le 29 mars 1902 et mort à Paris le 14 octobre 1967. »
Faudra peut-être songer à ne pas oublier de fêter le cinquantenaire de sa mort en 2017 !
« J’avoue être complètement insensible à l’érotisme des dessins d’Aslan. »
Contrairement à ueda, qui maitrîse parfaitement sa conscience, vous me montrez un dessin d’Aslan dans un bus, je me réjouis projectivement et sans réserve, jusqu’au pare-brise ….
Puisque vous proposez d’approfondir l’examen des relations professionnelles qu’ont pu entretenir les milieux d’affaire et les banquiers avec le 3ème reich, abordons le cas des quelques inévitables industriels ou banquiers juifs qui ont poursuivi leurs activités pendant la guerre. Comme quoi la nature humaine, le commerce des Hommes (sans jeu de mots) et l’âme humaine (n’ayons pas peur des mots en cette période de transition papale)sont autrement plus complexes que ce que les sécateurs de l’histoire tenus par les tenants du politiquement correct cherchent à nous faire croire.
Aymé avait ce qui manque à beaucoup de commentateurs en RdL, une juste opinion des hommes.
Mussolini et Claretta exécutés par des partisans à Dongo, près du Lac de Côme, le 28 avril 1945, puis transportés à Milan et pendu par leur pieds de porcs sur la Piazzale Loreto, peut-on dire qu’on regrette? La ferveur populaire, la gratitude envers celui qui avait fait d’eux des négateurs de l’Humanité, puis, « pop », le coup part tout seul, comme dans Pulp Fiction, et renvoie Benito et sa Petacci au néant dont ils n’auraient jamais dû sortir. Perso, je trouve regrettable qu’on ne l’ait pas jugé puis interné dans des conditions limites, en lui interdisant tout contact avec l’humanité qu’il a souillé, jusqu’à plus vie.
Pound ne s’est pas senti gêné aux entournures de la décence pour faire de cet épisode une autre crucifixion, unique dans l’histoire, au tout début des Cantos pisans. Démonstration, s’il était besoin, que fascisme et catholicisme savent faire bon ménage – voir un certain blog où La Teigne fait ses petits bruits:
« Thus Ben and la Clara a Milano
by the heels at Milano
(…) the twice crucified
where in history will you find it? »
On va pleurer, comme dans 1900, quand Donald Sutherland se fait choper…
@ renato dit:18 mars 2013 à 10 h 59 dit: « Thierry, l’importation de chewing-gum est interdite à Singapour. « : Vente interdite sauf avec l’avis écrit d’un médecin. On en trouve donc dans les pharmacies, sous ordonnance. Quand Lee Kuan Yew fit interdire la vente des chewing-gums se fut pour des questions de propreté dans la rue et le métro. Interdiction aussi de jeter des mégots par terre dans la rue. Ceci dit, certains quartiers populaires sont assez sales, pas tellement différent qu’ici en Suisse.
Pour ce qui est de Singapore, les campagnes de propagande dans les rues et le métro, contre le trafique et la consommation de la drogue, prouvent que le danger existe malgré les punitions.
Bloom, quand on rappelle à Philippe Teigniez son appartenance au fameux blog au doux nom d’arbre du bois de Boulogne, il crie à la diffamation. Ce faf n’a pas de couilles, il n’a même pas le courage d’annoncer clairement son profil de nazillon.
Contrairement à Bloom, qui n’est qu’un gauchiste salarié de ce gouvernement social démocrate sans idées à la dérive, Mussolini m’a toujours plu : il fut, comme Berlusconi, la gloire et la fierté de l’Italia. Forza Italia !
TKT est nerveuse, aujourd’hui : ragnagnas ?
Encore un Marcel ! Sait-on s’il a un lien de parenté avec ueda ?
Le fait est Bloom qu’abattre un dictateur n’est pas utile car on ne peut pas le juger. Je ne vais pas vous faire l’historique des fait, mais il faudrait savoir quelle fut réellement l’influence des Alliés sur les Résistants — via les anciens Services de Mussolini qui avaient désormais (gioco forza) changé de champs. Mais il est évident que personne n’avait intérêt à le juger. Or, un procès aurait révélé les complicités internationales et les responsabilités à niveaux des différents Ministères, ce qui aurait permis une diverse approches des relations internationales, d’un côté ; et, d’un autre, une plus efficace épurations des structures bureaucratique.
C’est surtout à niveaux de la bureaucratie que l’absence d’un procès fut délétère pour le pays car il ne s’agissait pas d’expurger les petits fonctionnaires, mais ceux qui avaient « réglé le jeu », lesquels, pour une grande partie, sont restés en place et ont conservé les vieilles habitudes envers et contre la nouvelle Constitution.
Une Constitution, c’est important ! Aussi important qu’un paillasson …
Tiens, dans le Var, on en est encore à confondent la fonction publique, i.e. l’état et le gouvernement? Un citoyen népalais, cambodgien ou thaï lambda saurait faire la différence, lui. C’est sous NS que je fus recruté, je comprends que ce soit un peu trop sioux pour des encéphalogrammes tendant vers la platitude absolue.
Genau, TKT, La Teigne est un abîme de manques multiples et divers. Il est comme dirait un artisan, ‘mal abouti’.
Merci, renato. C’est un peu ce qui s’est passé avec Gaddafi. Il aurait été fâcheux qu’il parle, pour certains de ses anciens hôtes (suivez mon regard se diriger vers la Grande Arche de la Défense et s’orienter du côté du Boulevard du Château…)
à con-fondre
Observez cett ruisselante suffisance bloomienne qui suinte et suinte, et resuinte à tour de poignet… !
N’est-ce pas splendide, merveilleux, inimaginable ?!
Ce type se croit quelque chose, je n’ai pas pu écrire quelqu’un…, ah ! les nains en armure, à cheval sur des chiens !
gaddafi, ça fait chewing gum. sur ordonnance.
Non, Phil, c’était un gars d’Afi, faux-faubourg de Tripoli. C’est la graphie anglaise, assez souvent plus proche de l’original. A Lahore, je travaillais pas loin du Gaddafi Stadium (70 000 places), où se déroulaient des matchs de cricket et de hockey sur gazon, ainsi que des meetings politiques (notamment ceux du parti d’Imran Khan, qui était dans son élément, en tant qu’ancienne star de cricket).
Vu qu’on a ici un grand négociant de paillassons, nous pourrions profiter de ses lumières, sans doute de grande qualité, pour nous orienter quant à la meilleure manière de nettoyer les paillassons…
Le pitre de PQ n’a pas pris son Gardenal. Allez, l’inactif, c’est l’heure de mettre ce qui te reste de sauce blanche au repos.
merci Bloom pour vos explications « live ». 70000 places à cricket, c’est pire qu’un fléau d’Egypte.
Chypre n’est qu’un laboratoire, préparez-vous pour la tonte…
« Les profanes de mon espèce attendent des Juges
qu’ils aient le courage de poursuivre le crime
et le délit sans égard à l’argent ni au pouvoir. »
Bon début ! Est-ce à dire que La Balance est bancale ?
Penche-t-elle par excès d’indulgence à l’égard
des puissants
ou par absence d’humanité dans les circonstances atténuantes ?
Y a-t-il une littérature judiciaire, fruit de contacts étroits
entre les travaux d’écrivains et la matière des prétoires ? Alors, un genre assez identifiable ?
Abonchabondroitement.
la tonte..tout dépend du réglage. avec sabot 2, ça donne Dicker. en Suisse.
> en Suisse.
l’Affidé
J’attends sans impatience
Dans de beaux draps
De pleurer une dernière fois
Son absence.
Hors des temps et des modes
Dans l’obscurité
Chaque soir je m‘invente une histoire
En substances.
Plus que l’imparfait de l’impératif
N’y voyant goutte
C’est le prétérit que je choye
d’indolences.
Qui puise aujourd’hui
Pour mon compte
Matière à sourire dans l’appel de
Sa présence ?
Alles in Ordnung, ML?
Petit message pour vous sur le fil précédent.
La tonte a déjà commencé en France puisque le gouvernement s’apprête à taxer le livret A à partir de 15200 €. Attali l’avait prédu : tous pauvres dans dix ans !
dix ans, dix ans…faut voir sur qui il a pompé l’info, le brave Attali. c’était avant ou après qu’il change les portes capitonnées de la Berd alors ?
Vu que nous en sommes à la tonte profitons pour rappeler ce qu’on a gagne à ne pas avoir créé une Fédération au bon moment ; à avoir laisse dans les mais libres à des gens comme Valery Giscard d’Estaing et Giuliano Amato ; et j’arrête les exemples… Mais les Européens continentaux sont plus intelligent que les autres, c’est connu… Enfin, nous sommes en plein dans un amateurisme criminel, il n’est pas extraordinaire que tout parte en vrille…
Il ne serait d’ailleurs pas joli que ce manque qui est la Fédération retombe sur la figure de ceux qu’y se sont les plus obstinément opposé.
Oups ! à avoir laisse dans les mais libres à avoir laisse les mais libres
Alles in Ordnung. Ich erhole mich sanft von meinem Urlaub. Mir ist dort ein paar Gedichte gelungen zu schreiben, habe den Plan in drei Teilen erfunden und die erste Seite meines Romans endlich eingestellt und weitergeschrieben und beginne jetzt ernst, Spanisch zu lernen. Im nächsten Sommer, möchte ich gerne nach Zaragossa fahren und dann südlich nach Tortosa, Madrid, Toledo und endlich nach Andalousia. Es ist unmöglich, Tortosa oder Zaragossa hin und zurück in einem Tag zu besuchen.
Phil, vous devriez lire plus souvent J. Attali au lieu de dire des médisances…
Vous avez votre compte en banque à Chypre pour échapper aux impôts ?
doch doch..mit Hubschrauber schafft man es
ach, j’ai lu son 1482..christophe colomb serait juif, qu’il écrit. vous en pensez quoi ? moi j’ai un doute.
c’était avant ou après qu’il change les portes capitonnées de la Berd alors ?
..voila ce que c’est de ne pas vouloir se tatouer des saintes vierges et des serpents comme un mafieu russe..la crédibilité en prend un coup
Me estoy recuperando lentamente de mis vacaciones. Y empecé a aprender en serio español para visitar España in el próximo verano.
Bastante bien, no ?
..ha si ça avait été vontraube avec ses piercing qui avait dit aux oligarques « planquez vos roubles »..ils l’auraient cru
toi dracul t’as des transferts de malabar sur le bras en numéro de prisonnier de camp..le numéro change tous les jours..ça fait sérieux tiens
kabloom joue les numéros en douce aux courses de lévriers de pondichéry..il respecte rien
Ce n’est pas très important de le savoir. Mais Colomb devait être juif ou plutôt d’ascendance juive, comme Cervantès, comme Montaigne.
Mais lisez ce que J. Attali dit par exemple des réformes qu’il faudrait faire pour d’un côté introduire plus de flexibilité dans l’emploi et de l’autre financer par les crédits alloués aux syndicats (plus dizaines de milliards) la formation permanente. Vous verrez que c’est très proche de ce que pense aussi un sociologue comme Robert Castel.
En tout cas, J. Attali a prédit la violence des marchés qui doit nous mener vers la prochaine guerre mondiale à moins qu’on réussisse avant qu’il ne soit trop tard à réguler la bête qui est en train de s’emballer au point que plus personne ne va plus savoir comment la maîtriser. C’est l’enjeu des années à venir. Cette guerre commence justement par le vol des braves épargnants et aussi, il faut le dire, des comptes bancaires de la mafia russe à Chypre qui y perdent plusieurs milliards : la guerre froide qui commence à devenir chaude aussi de ce côté-là…
C’est surtout à niveaux de la bureaucratie que l’absence d’un procès fut délétère pour le pays
..tatata renato, l’italie et l’allemagne sont beaucoup plus « au clair » que la france sur la deuxième..ici que la maçonerie du mur de la honte !..mais que des chefs de chantier attation
tout ça manque de preuves, mauvaise langue. rien ne dit que colomb ait exigé des portes capitonnées au santa maria avant d’embarquer.
vous êtes un pessimiss.
Moi, Phil, je dois vous avouer que je me fous mais alors totalement de savoir si Colomb était juif ou pas.
On se souvient que c’est Marcel Aymé qui, avec Anouilh, prit l’initiative de la pétition en faveur de la grâce de Brasillach, pétition que signa Camus. On regrette que ces trois grands révoltés humanistes n’aient pas songé à pétitionner en faveur de condamnés à mort entre 40 et 44. Ce n’étaient pourtant pas les occasions qui manquaient. Mais enfin… peut-être ont-elles contribué à leur ouvrir les yeux sur l’abomination de la peine de mort. Certaines conversions ont besoin de temps pour s’opérer.
Cristophe Colomb, juif ?
« Plusieurs auteurs (le premier est Salvador de Madariaga en 1952) ont soutenu une théorie selon laquelle Christophe Colomb aurait des origines juives ibériques (famille juive de Galice ayant trouvé refuge à Gênes) et aurait été un converso, Juif converti publiquement de force au christianisme – voir la limpieza de sangre. Cette hypothèse s’appuie notamment sur ses lettres et manuscrits qui contiendraient des caractères et termes hébraïques que l’on retrouve uniquement dans le ladino. En Espagne à cette époque, même des juifs convertis continuaient à être persécutés et étaient contraints de quitter leur pays ; d’autres conversos continuaient de pratiquer le judaïsme en secret.
Cette hypothèse s’appuie notamment sur ses lettres et manuscrits qui, selon la linguiste Estelle Irizarry, contiendraient des caractères et termes hébraïques que l’on retrouve uniquement dans le ladino.
Simon Wiesenthal postule que Colomb était un séfarade soucieux de cacher son judaïsme mais aussi désireux de trouver un lieu de refuge pour ses compatriotes persécutés. Wiesenthal affirme que l’idée de Colomb de naviguer vers l’ouest pour atteindre les Indes était moins le résultat des théories géographiques de l’époque que de sa foi dans certains textes bibliques, en particulier le Livre d’Isaïe, citant à plusieurs reprises deux versets de ce livre : « Car les îles espèrent en moi, Et les navires de Tarsis sont en tête, Pour ramener de loin tes enfants, Avec leur argent et leur or. » (60:9) et « Car je vais créer de nouveaux cieux Et une nouvelle terre » (65:17). Selon Wiesenthal, Colomb a estimé que ses voyages avaient confirmé ces prophéties.
Bien que cette thèse ait été étayée à plusieurs reprises, les historiens actuels privilégient l’origine gênoise tout en reconnaissant qu’il n’est pas exclu que Colomb, homme cultivé connaissant des éléments de la religion juive mais catholique pieux, ait pu avoir une ascendance juive mais dans ce cas lointaine. »
(source : wikipédia)
Comme tout bon marin, il devait être aussi un peu beaucoup homo, le Cristofero !
tu nous rassures dracul..mais tant que t’as pas de tatouage avec des croix et des cranes..tu ramasseras le savon dans les douches comme dab
Excellent, Phil, de l’Umour, du vrai. Une nuée de cricket précédée d’un immense hockey: l’enfer du ruggerbugger que je suis.
Sur les cartes grecques, Chypre n’a pas de frontière. Sur les cartes turques, la frontière existe bel et bien. On a eu raison de ne pas intégrer les Turcs à l’Europe, leur économie est en pleine croissance, et Istanbul est une des villes qui swingent le plus au monde. Les Chypriotes turcs vont bientôt reprendre leurs felouques dans l’autre sens et regagner les rivages des philosophes en Asie mineure. En la Sublime Porte, on démontre qu’on est beaucoup plus prudent, au sens aristotélicien du terme, qu’au Portique, où des non-armateurs se sont faits les champions olympiques de l’improvidence et du mensonge d’état. Le monde est complexe, tant ça ricoche en boucle rétroactive. Sans parler des 750 millions de Chindiens au pouvoir tout d’achat et pouvoir tout court qu’on n’ose pas imaginer et qui vont déterminer les 20 années à venir.
Pendant ce temps là, chez nous, il n’y aura pas d’emplois mais de la bassesse d’âme à revendre, du type de celle qu’incarne l’inactif auto-satisfait de PQ, et ses peshmerga fachos arc boutés sur leur pastaga à contempler la ligne bleue de chauffe crappie de la marée nostrum insalubre.
Napoléon l’avait prédit avant la conquête d’Egypte: la vraie valeur s’acquiert en Orient.
Encore une ‘moresque’, jicé, juste pour l’air de famille…
Les solutions préconisées par Jacques Attali sont bonnes, ML,… sur le papier !
De la théorie à la pratique, c’est pas toujours gagné !
« Simon Wiesenthal postule que Colomb était un séfarade soucieux de cacher son judaïsme »
Il postule?
C’est une recherche historique avec portulan?
Les pustules dans Wiki, comme disent nos amis algériens, « ça pillile » .
« Colomb devait être juif ou plutôt d’ascendance juive, comme Cervantès, comme Montaigne. » (rédigé par LML)
Certains voisins m’ont dit qu’Edouard Drumont, Louis Ferdinand Céline, Adolf Hitler, Heinrich Himmler,Louis Darquier de Pellepoix étaient d’ascendance juive. Ma voisine du dessus m’assure croix de feu croix de fer que l’arrière-grand-mère de Jean-Marie Le Pen était juive. Mais je n’ai point pris foi sur ces méchantes langues et j’ai voulu gager que c’était faussement…
Il y a de grands penseurs très instruits qui commentent ici. Je suis très impressionnée. C’est passionnant.
« l’arrière-grand-mère de Jean-Marie Le Pen était juive. »
l’arrière-grand-mère maternelle. A la mode de Bretagne, bien entendu.
Mais JB, s’il vous arrivait de réfléchir un peu de temps en temps, ce ne serait pas moins bien…
Car il n’y a pas de symétrie entre les condamnations à mort des résistants par les nazis et la condamnation à mort de Barsillach par la République rétablie dans ses doits. Il n’y a pas de symétrie entre la barbarie nazie et les lois de la République.
En disant ce que vous dites, vous ne vous rendez pas compte que vous donnez un fondement universel et légitime à la barbarie nazie. Ce que vous écrivez est très grave et vous ne vous en rendez même pas compte.
Pour ma part, j’aurais aussi signé la grâce de Brasillach. Mais je l’aurais condamné à purger au moins vingt ans de prison. Pour les nazis comme Eichmann, je pense que la seule solution était en effet la mise à mort.
Bloom, le contrat que vient de signer Airbus avec l’Indonésie devrait vous permettre de trouver des fonds pour la culture ! Vous savez à quelles adresses sonner ?
« J’avoue être complètement insensible à l’érotisme des dessins d’Aslan. »
faux reconnaitre que sa marianne est faiblarde..dans les brocantes on en trouvait des superbes d’avant guerre pour rien presque..maintenant c’est comme une jeanne d’arc avec les nez explosé : ça vaut des thunes
jean marron il a des étrons tatoué un peu partout..chaloux il trouve que c’est de mauvais gout..on m’otera pas de l’idée que tout ça c’est pas trés clair
Si on le poussait un peu, Simon Wiesenthal postulerait aussi que Michel-Ange et Léonard de Vinci étaient juifs, ainsi que Champollion, Pasteur, Monet et Debussy.
Quand bien même cela serait vrai, JB, qu’est-ce que cela change ?
Pendant la guerre, au camp de Drancy, il y eut même un juif que la Gestapo a chargé d’aller alpaguer des Juifs à Paris, et il l’a fait. Va-t-on lui pardonner ses crimes sous prétexte qu’il était juif et même prisonnier à Drancy ? Bien sûr que non. Les salauds méritent leur sanction, juifs ou pas.
Vous savez à quelles adresses sonner ?
à la kommandantur de frankfort ? non mais t’es pas un peu malade baroz
Tu nous tires toujours du côté de la merde, le boug, tu serais pas un peu scato ?
« Mais je l’aurais condamné à purger au moins vingt ans de prison. » (ML)
Plutôt 25, à mon goût.
Ou 28.
Bon, allez, 20.
Une purgation de trente ans, le rêve d’un médecin de Molière.
Les salauds méritent leur sanction, juifs ou pas.
..crucifié
« Les salauds méritent leur sanction, juifs ou pas. »
C’est un peu roide.
« l’italie et l’allemagne sont beaucoup plus « au clair » que la France… »
Pour l’Allemagne je ne sais pas, bouguereau, mais pour l’Italie être plus « au clair » n’a rien changé. Bon, on sait que des grands commis de l’État sont passés entre les gouttes, mais le fait de le savoir ne les a pas déplacés d’où ils étaient.
La mauvaise langue dit: 18 mars 2013 à 16 h 35 min
Mais JB, s’il vous arrivait de réfléchir un peu de temps en temps
Votre système est non seulement lassant mais franchement con, ML. Il suffit que quelqu’un exprime un avis différent du vôtre pour que vous l’accusiez d’être un âne. Vous avez fait le coup à ueda, C.P., Court, Paul Edel, renato, Bloom, à peu près tout le monde. Cela me semble dénoter une faiblesse dans l’argumentaire.
la merde, le cul, et le sang..et l’or baroz !
dire que la merde et l’or c’est pareil n’est vrai qu’en picardie..les picards comprendront
la pollution toujours présente sur ce blog : boudegras est revenu… vivement le rétablissement de la censure, Passou, un p’tit effort pour assainir
Tu nous tires toujours du côté de…
« C’est l’olive pâmée, et la flûte câline ;
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos ! »
(Paul et Arthur, « Hombres »)
Jacques Barozzi dit: 18 mars 2013 à 16 h 32 min
Les solutions préconisées par Jacques Attali sont bonnes, ML,… sur le papier !
De la théorie à la pratique, c’est pas toujours gagné !
Ce que dit J. Attali à mon avis à juste titre, c’est qu’il y a aussi un archaïsme du côté des syndicats, qui demande à être changé. Il est illusoire d’espérer revenir en arrière sur l’évolution du capitalisme. Robert Castel explique très bien ça. Le tournant pris au milieu des années années 80 par la mondialisation des échanges est le mouvement naturel de l’histoire depuis 3000 ans comme le dit encore J. Attali à juste titre. Or, l’archaïsme des syndicats n’est plus adapté à cette nouvelle donne. Ils pensent naïvement qu’en instaurant des lois interdisant le licenciement ou en nationalisant l’acier de Lorraine, on aura une solution durable à ce capitalisme mondialisé et financier. Il prône donc d’utiliser les milliards alloués aux syndicats pour financer (et en l’appuyant par une loi) la formation permanente comme un nouveau droit inscrit dans la loi. Autrement dit, la flexibilité ne serait plus une catastrophe structurelle ; elle serait compensée par une augmentation des droits sociaux. Mais les syndicats ne sont pas encore prêts à l’expliquer à leur base et à évoluer dans le sens d’une meilleure protection des salariés.
Je suis d’accord avec ML, il y a des condamnations à mort nécessaires, plus rares seront-elles, plus fort sera le symbole : toute vie humaine est sacrée !
Mais le pauvre Brasillach, c’est une histoire de bouc émissaire bouc émissairé !
tu vas pas assez loin, petit marcel, faudrait réclamer aussi le rétablissement de la peine de mort
Confucius était probablement un marrane.
Pour l’Allemagne je ne sais pas, bouguereau, mais pour l’Italie être plus « au clair » n’a rien changé
je te citais renato..
Jacques Barozzi dit: 18 mars 2013 à 16 h 49 min
Mais le pauvre Brasillach
Arrête, tu vas me faire pleurer.
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