
Oser écrire dans les traces d’un chef d’oeuvre
Deux romans viennent de paraitre précédés non par leur propre légende mais par celle de deux prédécesseurs légendaires : De l’autre côté de la vie de Fabrice Humbert et Adieu Kolyma d’Antoine Sénanque. L’histoire de la littérature connait bien d’autres exemples. Reste à savoir si paraitre en écho d’une autre oeuvre est porteur ou écrasant. Après tout, David Golder faisait irrésistiblement penser au Père Goriot dès sa parution en 1929 mais Irène Némirovsky, qui disait n’avoir jamais lu le roman de Balzac, avait tellement acclimaté le personnage à son propre univers que le précédent ne lui faisait plus d’ombre.
Dans le cas du premier, il est difficile de se lancer dans la lecture de De l’autre côté de la vie (235 pages, 19,90 euros, Calmann-Lévy) sans un retour de mémoire sur La route de Cormac McCarthy. S’il s’agit bien de la matrice inconsciente ou pas, sinon du canevas, même si l’image obsédante d’un garage en fusion après le passage d’émeutiers en est à l’origine, le talent est de les faire oublier. On dira que la littérature apocalyptique est un genre littéraire éprouvé qui s’est de longue date déclinée dans différents registres (SF, BD etc). Mais, et c’est là la réussite de Fabrice Humbert, le tout est de s’approprier le thème pour le renouveler. Ca ne fera pas oublier le glorieux prédécesseur (La Route a connu immense succès international tant critique que public) mais enrichira à coup sûr un domaine que l’on aurait cru en voie d’épuisement. Un personnage à la recherche d’un sanctuaire est au cœur de ce roman d’anticipation sur ce qui nous pend au nez : la guerre civile. C’est elle qu’il fuit, ses milices qui carburent à la haine et menacent de destruction la République, à la recherche d’un abri absolu. Ce père de famille, qui a perdu sa femme, prend la route et s’enfuit avec ses deux enfants ; il les protège organiquement, comme une vraie mère juive, des dangers d’une société qui se délite. A un moment, il croit perdre son fils. Il évolue dans un monde en suspension dans lequel, en proie au doute et à l’angoisse, il se demande en permanence s’il faut partir ou demeurer dans un environnement où la violence est partout, bien qu’elle ne réussisse pas à forcer les portes de l’innocence des enfants. Alors le roman cède le pas devant le conte.
« Ils parlaient du monde d’après, de tout ce qu’on ferait après la guerre mais je savais bien qu’il n’y aurait pas de monde d’après, comme il n’y aurait pas d’autre société ».
La perspective apocalyptique (ne pas oublier de ramener le mot à son étymologie grecque qui renvoie tant au dévoilement qu’à la révélation) est réelle mais l’affrontement dont elle découle est abstrait. On ignore quelles forces s’affrontent dans ce roman au rythme aussi visuel qu’un road-movie, juste deux extrémismes qui semblent unis par une même haine de la France, du pays de France qu’ils veulent ramener à un système quasi féodal. Les riches font sécession et se cloitrent au Nord dans une République du Paradis, bien loin des pauvres qui se réfugient dans une République du Jura, lieu réputé préservé des troubles, tandis que Paris est mis à feu et à sang et le palais de l’Élysée, pris d’assaut. C’est peu dire que la France se retrouve en plein chaos. L’émotion et les sentiments sont très justes, un peu comme chez Steven Spielberg lorsqu’il a adapté La guerre des mondes. A ceci près que chez Fabrice Humbert, il y a une recherche permanente de l’élémentaire, de l’innocence, de la pureté et de tout ce qui permet encore à l’homme de combattre sa propre part de sauvagerie. Cette ode à la paternité est prenante, angoissante, sombre éclairé par le personnage sacrificiel d’Abraham, incarnation de la liberté. In fine, quand il n’y a plus d’espoir, de croyance ni d’horizon d’attente, on veut encore croire à la vie. Mais comment y parvenir lorsqu’on garde à l’esprit la phrase entêtante de Simone Weil placée en épigraphe :
« La force, c’est ce qui fait de quiconque lui est soumis une chose »
Avec Adieu Kolyma (400 pages, 23 euros, Grasset), c’est autre chose car tout lecteur bien né ne peut se défendre dès l’énoncé du titre de penser au classique moderne de Varlam Chalamov Récits de la Kolyma (1978), recueil d’une centaine d’histoires et d’essais d’une puissance sans égale sur le Goulag soviétique, et sa lente destruction de l’individu par l’État, entre les barbelés duquel l’écrivain et poète passa quatorze années entre 1937 et 1951. La Kolyma est une région située aux confins de l’Extrême-Orient sibérien, le lieu le plus étroitement surveillé d’un pays-continent tout entier sous surveillance. Après avoir lu Une journée d’Ivan Denissovitch, Varlam Chalamov avait écrit à son auteur Alexandre Soljenitsyne avec qui il entretenait des relations épistolaires : « Où est ce camp merveilleux ? En mon temps, j’y aurais bien passé ne fut-ce qu’une petite année ». En fait, ce qui distinguait le plus la Kolyma de l’un du Goulag de l’autre, c’était la présence de la pègre et des clans, une menace intérieure s’ajoutant à la terreur pénitentiaire. Comme une double peine. Antoine Sénanque, qui paie sa dette à Chalamov dès les premières pages de son roman, a choisi d’explorer le spectre de cette immensité glacée où la température peut descendre au-delà des moins 50 degrés, non-lieu de l’humanité, pays de la mort blanche, et la trace mnésique inscrite à jamais dans la chair et dans l’esprit de ceux qui en sont sortis quand bien même passeraient-ils le reste de leur vie à méditer sur le destin de nos pauvres frères humains entre damnation éternelle et rédemption. Pas d’adieu possible à la Kolyma. Pas d’espoir de la quitter vraiment car elle habite ses rescapés à jamais.
« Kolyma, Kolyma, ô planète enchantée/ l’hiver a douze mois, tout le reste c’est l’été » (Chanson des zeks)
Le mot même de Kolyma a une résonnance particulière. Pour les ex-soviétiques, cela va de soi mais Antoine Sénanque, qui ne l’est pas, avoue avoir été attiré, intrigué, aimanté au départ par ce mot. Il possède comme peu d’autres en France la maitrise du roman historique à son meilleur (Croix de cendre en témoignait avec éclat il y a deux ans), et nous entraine au sein d’une intrigue policière haletante dans le sillage d’une femme d’une femme d’une quarantaine d’années au passé, qui passa neuf ans « là-bas » ; surnommée « la tueuse de chiennes », Sylla Bach y faisait fonction de bras armé d’un gang caucasien dirigé par les deux frères Valdas qui exploitaient des mines d’or dans la région. Heureusement, toute l’histoire ne s’y déroule pas : Budapest, Magadan, Kiev, Moscou, leurs catacombes et leurs bas-fonds, mais où qu’elle aille, avant et après la mort de Staline, elle demeure une ancienne zek, ça lui colle à la peau. La suite de ses aventures et pérégrinations est pour le moins violente et on la suit, je l’avoue, sans déplaisir Nous sommes dans la Hongrie de 1956 où la révolte démocratique a été éradiquée dans le sang par les chars russes puis ailleurs en Europe centrale où le tragique de l’Histoire semble inépuisable.
Au fond, lorsqu’on met ses pas dans ceux d’un prédécesseur, pour s’affranchir d’une invisible tutelle qui pourrait se révéler pesante, il ne faut pas seulement se défaire de tout ce qu’on a lu après l’avoir longuement ruminé, pour s’autoriser. J’ignore quel fut le processus d’écriture de Fabrice Humbert et celui d’Antoine Sénanque mais, à en juger par la réussite de leur projet littéraire, il ne se sont pas laissé intimider.
(Photos Minas Stratigos et Francesca Woodman)
1 300 Réponses pour Oser écrire dans les traces d’un chef d’oeuvre
@ Moi non plus, j’ai jamais lancé un pavé de ma vie (gogol – D.D.)
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Mais souvent dans la mare aux cacas des trois étangs jouxtant Chaville, Clamart, Meudon et Viroflay, non ?… On vous y a souvent vu le faire !
La cricri en est réduite à toute seule commenter ses commentaires de commentaires de commentaires sur le blog à Popaul. Affligeant au premier abord mais finalement plutôt poilant.
Caquetage
Pauvre vieille créature. Une poule qui aurait trouvé un râteau.
Une poule qui aurait trouvé une endive…
Vous omettez tristement de signaler que Christiane a subi avec succès l’opération de ses yeux.
Et comme cela s’est fort bien passé, elle bloggué de nouveau avec enthousiasme.
Ai lu, il y a qq.jours, que désormais la médecine peut opérer les deux yeux à la fois.
Je me réjouis pour elle. On est mieux en bonne santé que malade.
Chantal,
Ai lu aux trois quarts votre article sur les fêtes de Rochefort.
Auparavant, il se déguisait, se fardait, se produisait au cirque. Portait des talons. Sarah Bernhardt l’appelait Pierrot le fou.
Il organisait ces fêtes splendides chez lui ; pour amuser sa mère. Dans votre article il est écrit que sa mère et sa tante, les aïeules n’assistaient pas. Pour rompre son ennui, je crois.
Il n’aimait pas Paris, et entre deux voyages, il fallait qu’il s’occupe.
Ce Loti m’intrigue.
Mais, il a été très pauvre du temps de son père. Son succès rapide en tant qu’écrivain, son élection à l’Académie Française, lui ont permis de ne plus avoir de locataires, de purger les dettes familiales, de racheter la maison familiale en entier.
Il est dit généreux.
Pas toujours. Puisque Crucita, il lui a imposé une vie modeste.
Il détestait Paris, de toujours, du début à la fin. Il n’a pas connu les musées. Mais chez lui, c’était son propre musée, alors pourquoi aller voir ailleurs ?
Un homme intriguant.
Je pose une hypothèse ( générée par son ennui constant ) : il a tout connu, très jeune, en terme de l’amour. Sa petite tzigane puis Aziyadé.
Il n’a plus rien eu à apprendre.
Pourtant, il a appris le turc. Il y a mille choses sur lui, encore.
Par exemple, au pays basque, il jouait à la pelote et était ami avec les contrebandiers.
Je ne le cerne pas. Il m’interroge.
Je lui cherche des prétextes. L’amour, ce n’est pas à 18 ans, et c’est fini ensuite.
Je lirai cet article jusqu’à la fin.
Clopine,
Oui, mais non.
J’ai à voir avec les milliardaires. Et vécu avec un dix ans.
Mais j’ai une très grande autonomie financière liée à mon travail, 42 ans et des mois, et mon travail constant.
Ce qui ne m’empêche pas d’avoir été pillée au moment du décès de mon père, sur son assurance vie, chez Prépar-Vie, à la Défense (quelle ironie !).Et partagée en deux au lieu de trois et qui a été clôturée avant sa mort. Évidemment que, par magouilles, on peut déshériter ses enfants, ou un de.
Vieillir, ce n’est rien, ce qui compte c’est l’entourage.
Vulnérable.
Orphelin.
Ce dont deux des mots importants.
Lorsque j’ai voyagé de Toulouse à Dakar avec l’entreprise Latécoère et l’association/mémoire de Saint Exupéry, sur ses traces, je n’ai pas écrit de livre. J’ai donc payé plein pot. Très cher.
Je voyageais avec des gens qui gagnaient six à huit fois mon salaire et plus.
Le soir, je leur faisais des conférences culturelles.
Lorsqu’on survolait Cadaquès, je faisais une conférence sur Dali, etc.
À Tarfaya, sur Antoine qui fut chef de poste là, et écrivit son premier roman.
Un équipage suisse a pensé que je cherchais à me caser. Très méfiants. Non seulement non, mais en plus je me fous totalement de l’argent.
Les milliardaires sont des gens inintéressants au possible, d’autant plus s’ils sont peu cultivés.
S’ils deviennent mécènes c’est une voie intelligente.
La seule chose qui compte, c’est l’amour.
Et ce que l’on donne, comme ici, on le donne gratuitement.
J’ai essayé, cinq mois durant, de devenir riche : échec total. Henry Miller l’a écrit dans Big Sur. Ne pas chercher l’argent. Je me réveille entourée de montagnes de lingots d’or.
Nue et crue comme je suis.
Quand même, être pauvre, et en haillons, c’est très difficile.
Et votre prochain projet littéraire Clopine ? Mâture-t’il ?
Enfin, les Suisses m’ont loupée, autant vous le dire. Mais comme mon papa a donné le la, j’ai appris, contre mon gré, à vivre sans.
La vie fait que eux ont regretté ce ratage, et moi pas.
De toutes façons, 9,9 fois sur dix, tout accident, dans un petit Cessna, tu meurs, et moi, ce n’est pas mon truc.
Clopine, le meilleur pour vous et votre projet littéraire.
Je me réveille de mes rêves, Clopine , milliardaire et plus tard, entourée de lingots d’or : pas un, des montagnes, partout.
Mais j’ai perdu le la. C’est mon père qui l’a donné.
Et alii
Drôle que vous écriviez que c’est à moi de me renseigner sur la maladie d’Alzheimer.
Suivi des cours, une formation, une conférence, un suivi de groupe de paroles passionnant.
Hyper-intéressant.
De quoi dire sur les aidants.
Il y a deux, ai retrouvé nombre de papiers du neurologue, du psychiatre, du panel de médecins : non seulement ma maman n’a pas la maladie d’Alzheimer, mais en plus, noir sur blanc, y a écrit qu’elle n’a pas besoin d’être mise sous tutelle.
Ce qu’a vécu ma mère, au moment du décès de son mari follement aimé, c’est impensable.
Y avait écrit aussi » quand on a fini avec papa, on prend maman et on fait pareil « .
Je suis armée, jusqu’aux dents, et alii, plus bouclier. Une faille dans le dos, mais je suis costaud. Et lorsque c’est ma mère, le coup de poignard dans le dos, sous dictée de ses enfants, je cautérise bien. Amour inconditionnel.
Nota : hors Kirk, pauvre garçon, 31 ans, ni icône, ni martyre, ai vu doc.médical, un trou dans la carotide.
Un flot de sang jaillit et c’est fini. Un flot.
Pour ma part, je suis une guerrière armée jusqu’aux dents.
Portez-vous bien et alii. Le meilleur pour vous,
deux jours
Y avait écrit aussi » quand on a fini avec papa, on prend maman et on fait pareil. »
Je suis armée, jusqu’aux dents, et alii, ter, de pied en cap. Les autres n’ont aucune idée de mes capacités.
Non Romain Gary n’était pas phagocyté par l’amour de sa mère, ni amputé.
Une mère juive est une mère juive.
Pour Loti, l’amour de sa mère, cela a représenté quelque chose.
Voilà, le reste plus tard, dont la recette des endives au jambon.
Je pars dans une crypte fêter les journées du patrimoine, avec une amie.
Autant l’écrire : les milliardaires, c’est l’horreur.
Le mien est sous la dalle.
Les mères palestiniennes sont à égalité avec les mères juives et les mères espagnoles et les italiennes et les portugaises etc.
Dans le nord, je ne sais pas.
De manière générale, l’argent c’est l’horreur : et mon père m’avait prévenue : « L’argent tue l’amour » l’avait-il dit en 2005. Quatorze ans, il s’est baiser. Et a oublié. Vul érable comme il l’était. Et imbécile ment confiant. Sous la coupe.
Ma mère, elle, dit : » la vie nous apprend à vivre « .
: et mon père m’avait prévenue : « L’argent tue l’amour » m’avait-il dit en 2005. Quatorze ans, il s’est fait baiser.
Vulnérable.
Je suis orpheline de père.
Crénom.
14 ans après, je pars les tartes aux pommes sont chaudes, la pissaladière froide. La lune à son dernier quartier .
Christiane, le meilleur pour vous.
Bihoreau, de Gaulle aurait 135 ans, depuis lui le contexte, les données géopolitiques ont bougé aussi si vous pouviez expliquer en quoi ses visions continueraient de constituer un plan d’avenir pour une politique étrangère et intérieure , je serais preneuse. Tout ce dont je me souviens est qu’il a tenu à renvoyer l’armee américaine installée dans différentes bases sur le sol français. C’est peu pour comprendre ceux qui se revendiquent comme étant gaullistes.
Rose, à propos de l’argent tue l’amour, on parle toujours d’unions endogames. Il demeure assez rare que des gens s’unissent en dehors de leur classe sociale et la classe à laquelle on appartient reste en partie déterminée par la situation socio professionnelle et ainsi à l’argent gagné lui même dépendant d’un talent, d’une intelligence développée et éduquée. A côté de cela, il reste bien sûr, les fortunes mal acquises, frauduleuses, facilitées par les choix de nos politiques économiques et qui on le remarque actuellement ne veulent rien céder pour contribuer au sauvetage des services publics en déshérence. Je lisais hier que Marine Le Pen tombait d’accord avec E Macron pour préserver la caste des privilégiés. Ainsi une certaine frange de fortunes continuera de bénéficier des facilités que à laquelle leur donne accès leur richesse ou même aisance tandis que les autres se débattront avec les déficits qui grèvent la qualité de l’éducation, de la santé, de la justice. L’infilme pourcentage de surdoués sera repéré si tout va bien et accédera tant bien que mal au statut de transfuge qui peut être sera privé du réseau qui leur permettrait, à moins d’un courage et d’une détermina acharnée, à prétendre aux postes de choix auxquels leurs camarades fortunes accèdent avec plus de facilité. On peut encore mentionner des personnes comme Darmanin, Dati mais ils ne sont pas légion.
CIVILISATION, ECONOMIE, VERTU
Allons ! Allons, les amis ! Soyez raisonnables et réalistes ! Depuis toujours, petits ou grands, méchants ou gentils, jeunes et vieux sont d’accord : rien n’est plus beau que l’argent tout puissant !
Dieu -toujours absent- est mort, l’argent est toujours divinement souverain. Au boulot, vite !…
Bon week-end, camarades esclaves oligarques !
Et Dieu quel que soit le nom sous lequel il est révéré sert toujours à agiter les peuples, comme un instrument bien utile aux pouvoirs qui s’en servent pour soulever les masses de crédules ou croyants inflammables au non de ce Dieu qui soit disant serait bafoué. Un bel alibi pour tyranniser les femmes, pour leur interdire toute liberté dans les pays où le religieux pèse encore lourd. S’il une fois pouvait nous sauver ou peut encore nous tenir lieu de colonne vertébrale, de moteur, je ne la situerait pas sur le terrain d’un hypothétique Dieu. Faut il encore croire en l’Homme.
In gold we trust, sacré credo.
Rose la nuit, puck le jour, nous voilà bien esgourdis!
(filets)
un rapport difficile au pair.
les oreilles engourdies (cire humaine).
oulipisme – houle hippisme.
recouvrer la vue.
le pognon, la pogne et la chatte.
sacré dos, gold bless you.
camarades pauvres et communistes.
shoah et gaza.
B. entre loup et chien.
crucita et cricri verbistes, le meilleur avec vous.
le samedi matin pour le midi : des huitres, des cèpes et un framboisier. Un aloxe corton frais, 2019. de quoi cause-t-il, finkie ? J’y vais…
@ CT, ne vous en faites pas, tout va bien se passer aujourd’hui lors de vos visites patrimoniales gratuites, on le sent. Malgré les pluies intermittentes, le meilleur pour vous.
« Autant l’écrire : les milliardaires, c’est l’horreur. »
Pas que chez les camarades pauvres et communistes ce soit toujours mieux. Toutefois, pour les deux, cela dépend de vos fréquentations — bien à part le préjugés philistins qui sont très populaires chez ceux qui se considèrent de gauche, humanistes et progressistes.
super émission chez Finky ce matin sur la syntaxe à Tocvil !
sauf que j’ai rien compris : le mec il était démocrate libérale en bornant la démocratie avec des valeurs aristocratiques, il était libéral et colonialiste à cause de la compétition entre les français et les anglais du genre à celui qui aurait le plus colonies.
en fait ça une putain d’équation avec une flopées de variables ou le but est de démontrer une théorie dans une phrase avec la théorie contraire dans la phrase suivante.
une émission sur Tocvil qui parle d’une supposée démocratie en France.
en fait ils parlaient d’égalité imaginaire mais en fait ils auraient dû aussi parler de démocratie imaginaire ou même d’émission imaginaire sur un auteur imaginaire qui parlent de trucs imaginaires.
un truc genre le film Matrix.
cela dit c’est tout de même une performance de parler pendant 1 heure de la France comme un pays démocratique alors qu’il est évident que la France est une oligarchie.
je vois que certains n’ont pas encore compris qu’en fait les milliardaires tout le monde s’en tape.
ce que les gens ont du mal à avaler c’est de voir la richesse des plus riches grimper de façon exponentielle alors que la leur chute de façon tout aussi exponentielle.
l’autre truc que les gens n’arrivent pas à gober c’est de voir ces milliardaires dont la richesse grimpe de façon exponentielle ne pas payer d’impôts alors qu’eux voient les impôts qu’ils paient de façon exponentielle.
là on dépasse le cadre de l’injustice sociale pour tomber dans un autre truc hyper violent.
c’est un système qui ne peut pas durer dans le temps, et tout le monde sait comment ce genre de truc se termine.
il faut être sacrément con pour ne pas comprendre ce genre d’évidence et parler à la place de comminusme, de gauchisme et d’humanisme pour essayer de justifier un truc complètement débile.
@Bibi et ses spartiates
Du moins ces criminels auront-ils fourni par leur comparaison fantasque l’occasion de parcourir à nouveau Xénophon (ce qu’ils seraient bien inspirés de faire, si l’histoire peut être d’un quelconque enseignement pour la compréhension du présent)
https://www.persee.fr/doc/dha_0755-7256_2000_num_26_1_2413
Puck et Rose, c’est les Jacquie et Michel du blog, mais sans affaires ni porno.
Sans fric ni baise mais parlottes et ragots à gogo !
Tocvil
Faut couper franceculture et lire son secrétaire
le truc hyper marrant est de se dire que l’Europe est le lieu de la connaissance, depuis 3000 ans : la sagesse philosophique socratique avec l’idée qu’on prend un humain débile et on va pouvoir le transformer en un truc assez humaniste et intelligent.
du genre « on ne naît pas homme on le devient ».
incroyable la quantité de conneries qu’on a pu inventer.
« La démocratie. N’apercevez-vous pas que ce sont les eaux du déluge ? Ne les voyez-vous pas s’avancer par un lent et irrésistible effort ? Déjà, elles couvrent les campagnes et les villes, elles roulent sur les créneaux, détruisent les châteaux-forts et viennent baigner jusqu’aux marches des trônes. Vous reculez, le flot poursuit sa marche. Vous fuyez, il court derrière vous. Vous voici enfin dans votre dernier asile, et à peine êtes-vous assis pour reprendre haleine, qu’il a déjà couvert l’espace qui vous séparait de lui. Sachons donc envisager l’avenir d’un œil ferme et ouvert. Au lieu de vouloir élever de puissantes digues, cherchons plutôt à bâtir l’arche tutélaire qui doit porter le genre humain sur cet océan sans rivage. Quelles seront les conséquences probables de cette immense révolution sociale ? Quel ordre nouveau sortira des débris de celui qui tombe ? Qui peut le dire ? »
Non seulement Tocqueville est un penseur génial, mais aussi un grand écrivain.
« On dira que la littérature apocalyptique est un genre littéraire éprouvé qui s’est de longue date déclinée dans différents registres »
en fait un bouquin comme la Route de McCarthy ce n’est pas un livre « apocalyptique » c’est un livre « POST apocalyptique ».
ce genre de bouquin démarre toujours « après » l’apocalypse.
aujourd’hui ce serait vachement plus intéressent de lire des bouquins « pré » apocalyptique.
parce que le truc marrant dans l’apocalypse c’est de voir ce qui amène.
limite ce qu’il se passe après tout le monde s’en tape.
par contre ce qu’il se passe avant ça devrait être un truc qui devrait intéresser tout le monde.
d’ailleurs les grecs avec leurs trucs mythologiques s’intéressaient plus au processus qui amène l’entrée en scène de Némésis.
dans la Bible c’est pareil avec Sodome et Gomorrhe : en fait les mecs ils insistent sur la description de l’avènement d’un monde un peu chtarbé.
du coup si on préfère les bouquins « post » apocalyptique c’est parce qu’on préfère ignorer les problèmes qui y conduisent, à l’apocalypse.
« Non seulement Tocqueville est un penseur génial, mais aussi un grand écrivain. »
si un grand écrivain est un écrivain dont on ne comprend pas de quoi il parle alors je confirme : c’est un grand écrivain.
parce que si tu peux m’expliquer ce qu’il raconte dans ton extrait cloclo je suis preneur.
mais la forme est tellement belle qu’à la limite le fond on s’en tape n’est-ce pas ?
cloclo tu peux me citer des pays pays réellement démocratiques sur cette planète ?
le pays où l’hypocrisie démocratique est la plus grande c’est la Suisse !
les mecs à Neuchâtel quand ils veulent mettre des ralentisseurs sur un chemin de campagne de personne ne prend boum ! ils vont un votation pour voir si tout le monde est d’accord.
par contre quand les banques suisses sont au service des toutes organisations mafieuses et terroristes de la planète là ils ne demandent l’avis de personne.
… c’est un peu bécassine-enfant expliquant aux adultes ce qu’il est le seul à comprendre avant sa pré-apocalypse,
@ »si l’histoire peut être d’un quelconque enseignement pour la compréhension du présent »
Jeannot ? tu crois vraiment que l’homme est un animal qui peut bénéficier d’un enseignement qui le rendrairt meilleur ?
en plus c’est pas la peine de trucs qui compliquent trop les choses.
devant Gaza on a découvert dans la mer des gisements de pétrole.
si Israël récupère ce pétrole ils vont récupérer autant de pognon que la Norvège.
la seule question est : combien de gens on peut tuer pour récupérer du pognon ?
la réponse : beaucoup.
et voilà ! c’est simple. pas la peine d’aller chercher des trucs à la con chez les grecs.
le truc très con dans l’histoire c’est que si les israéliens avaient su qu’il y avait tout ce pétrole au large de Gaza ils n’auraient jamais rendu Gaza aux palestiniens : ils l’aurait gardé !
les mecs c’est la première qu’ils ont voulu faire un geste en faveur des autres résultat maintenant ils se bouffent les roubignoles.
ils auraient dû demandé l’avis de nos oligarques : il ne faut jamais faire un geste en faveur des plus faibles sinon après on le regrette toujours.
en plus les pauvres tu leur donnes un doigt ils te prennent le bras.
PHILISTINISME
Pas que chez les camarades pauvres et communistes ce soit toujours mieux (8.13)
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Oui, je me souviens que c’était un peu plus compliqué chez Pasolini. Voir son 2e opus, après la controverse des Ragazzi : « Une vie violente » (1956).
@ »ce qu’il est le seul à comprendre avant sa pré-apocalypse »
tu m’cherches Carl Schmitt ?
le truc marrant pour l’occident c’est qu’après une phase d’expansion qui a duré 5 siècles on assiste au début d’une phase de contraction.
si Boris Johnson avait laissé les ukrainiens signer les accords en mars 2022 qui auraient évité de prolonger ce conflit sûr que les occidentaux auraient retardé cette entrée dans cette phase de contraction.
d’autant que la contraction de l’occident va aller de paire avec son isolement et son enfermement sur lui-même.
Au trébuchet de l’Histoire, Alexis de Tocqueville penche indéniablement du côté de l’estimable sur deux grands sujets majeurs.
Tout d’abord, sa lucidité indéniable sur les Etats-Unis, et son horreur de l’esclavage.
Ensuite, son opposition vigoureuse à Gobineau qui lui soumet son ‘Essai sur l’origine de l’inégalité des races humaine’, le « classique » du racisme biologique moderne.
On peut regretter qu’un esprit aussi bien constitué ne se distingue pas du « consensus colonial », notamment dans ses positions sur la colonisation de l’Afrique et singulièrement de l’Algérie. La « grandeur » de la France et la rivalité commerciale et maritime avec l’Angleterre le poussent hélas à justifier l’usage des moyens les plus violents et barbares contre les populations civiles algériennes, à savoir déportations, expropriations, razzias ou enfumages…
La démocratie, c’est un truc où un mec comme puck peut raconter des conneries toute la journée sur un blogàpassou, sans craindre pour sa vie ou sa liberté…
Fastoche!
Evidemment, Tocqueville ne pouvait pas prévoir l’existence des pucks, d’où les lacunes de son oeuvre.
La démagogie est consubstantielle à la démocratie et représente sa pire déviance ; notre temps est exemplaire avec au premier chef les figures de Bibi et Ubu
keupu représente de degré zéro de la démagogie, le troll
Je suis tombé à cet égard sur la notule de vulgarisation (mon interprétation) suivante, plutôt bien faite ; elle permet de retomber sur ses pattes avec Tocvil et le vilain keupu :
« La démocratie est-elle condamnée à la démagogie ?
Démocratie et démagogie partagent une étymologie commune, celle du peuple (dêmos). La première dénote sa souveraineté (kratos), la seconde sa dépendance à un guide (agōgós). Si à première vue, ces deux concepts semblent s’opposer, ils n’en restent pas moins consubstantiels dans les faits : il ne peut y avoir de démagogie sans démocratie, ni de démocratie sans risque de démagogie.
C’est en Grèce antique que la parole a permis au concept de démocratie de naître, légitimant le passage d’une société grecque guerrière à une société de l’argumentation et de la délibération. Mais si la démocratie représente une égalité de parole, elle n’en reste pas moins soumise à l’inégalité naturelle de chacun face à l’aptitude à en user. La force physique laisse place à la force de persuasion qui fait émerger un nouveau type de personnage : le rhéteur. Au sein d’une assemblée, savoir s’adresser au plus grand nombre et emporter son adhésion devient un enjeu crucial. C’est ainsi que le démagogue fait son apparition. C’est un rhéteur particulier, capable de masquer l’intérêt général au profit d’intérêts personnels. Il sait user de son éloquence pour flatter le peuple. Il utilise son art, non plus pour faire
sens, mais pour jouer sur les passions de son auditoire, tel un courtisan souhaitant les faveurs de son monarque. Dans le Gorgias1, Platon constate que ce jeu sur les passions de l’esprit est en mesure de surpasser toutes les compétences propres, puisqu’il est capable de les dominer en apparence. Dans Les Politiques2, Aristote précise qu’en masquant l’intérêt général au profit d’intérêts particuliers, ce ne sont plus les lois qui sont souveraines, mais les décrets, ce qui remet en question la nature même du gouvernement constitutionnel.
Le démagogue apparaît alors comme un perturbateur dans le projet démocratique. Il joue sur les faiblesses du dêmos, et notamment sur sa tendance à la simplification. Le peuple est souvent ignorant et accepte les discours en espérant que chacun saura se montrer raisonnable. Le démagogue, simple et séducteur, paraît plus convaincant que l’honnête homme ayant tendance à dévoiler une réalité complexe et effrayante.
Mais le vrai danger selon Platon, c’est lorsque le peuple devient une foule irrationnelle, emportée par les discours. Il perd sa souveraineté. Le démagogue conduit alors une masse manipulable, composée d’individus en errance, dont le sens ne se réduit plus qu’à une seule vérité, une seule totalité. La flatterie devient propagande, le démagogue devient despote, le risible devient tragique. Pour de nombreux philosophes, ce scénario n’est pourtant pas inéluctable. L’éducation, la prise de conscience du bien commun est pour eux l’antidote à la démagogie. Un dêmos composé d’individus capables de critique et d’autocritique est la meilleure protection contre la démagogie. Cependant, l’école a depuis bien longtemps perdu sa nature contemplative (skolê : loisir, repos), au profit d’une nature de performance et de spécialisation, ne suscitant plus l’étonnement dans l’esprit du citoyen.
La démocratie étant ontologiquement menacée par la démagogie, l’éthique citoyenne, passant par une lutte permanente contre la facilité, ne pourrait-elle pas être la source d’une vigilance vertueuse permettant de prévenir tout rapport de domination ?
Platon, Gorgias, Flammarion, coll. « GF Philo’ », 2021.
Aristote, Les Politiques, Flammarion, coll. « GF –Philosophie », 2015. »
Source : https://la-trousse-correzienne.org/la-democratie-est-elle-condamnee-a-la-demagogie/
Calominie et boniment sont les deux mamelles traditionnelles de la démagogie auxquelles se sont ajoutées toutes les techniques de manipulation de masse héritées du XXème siècle et les outils de diffusion actuels
@Au lieu de vouloir élever de puissantes digues, cherchons plutôt à bâtir l’arche tutélaire qui doit porter le genre humain sur cet océan sans rivage.
Heu ! Non, rien …
À propos d’un Paul Klee: « je regardai le Klee et constatai qu’il me troublait de plus en plus: l’homme était dans le Labyrinthe, le Labyrinthe était dans l’homme »…se non e vero …
Calomnie
@ »keupu représente de degré zéro de la démagogie, le troll »
cette image du troll est bien vue : traiter qq de troll vise à lui retirer son humanité.
pendant 5 siècles ont usé de cette distinction entre humain et non humain pour justifier leur colonisation : nous représentons l’humanité, la civilisation, eux sont des barbares, des non civilisés, des trolls.
on retrouve cette même rhétorique chez les bandéristes ukrainiens comme Podoliak ou Danilov vis à vis des russes : nous, nous sommes des humains, eux les russes ne sont pas humains, ce sont des slaves, des asiates, des orcs (orc vs troll).
Podoliak a même dit que les asiates ont un qi inférieur à celui des humains, ce qui n’a pas aidé à réconcilier ces ukrainiens avec les chinois et les indiens.
àa c’est pour les trolls.
pour les démagogues : pour savoir qui sont les démagogues il suffit de déterminer quelle est la pensée dominante.
où se situe cette pensée dominante ?
que dit-elle ?
que dit le matraquage médiatique ?
répond à cette question Jeannot Lapin et tu trouveras tes démagogues.
Le degré zéro, donc ; celui qui t’abêtit
le truc drôle quand je vous lis tous c’est qu’on voit que vous avez hérité de mots (démagogue), de livres, d’auteurs, de philosophes, de concepts etc… c’est comme une énorme ratatouille à l’intérieur de laquelle vous venez juste piocher dans la marmite un bout de légume, vous le goutez et dites : tiens ça c’est une courgette…
comme ce matin Finky avec ses 2 invitées, ces gens parlent de trucs qui n’ont plus aucun sens.
même le fait que Finky nous sorte sa Hannah Arendt ou son Kundera de plus en plus tardivement dans son émission montre que même lui il doit commencer à avoir un gros de fatigue.
le plus drôle étant encore Jeannot Lapin considérant qu’un démagogue aujourd’hui en France est celui qui veut arrêter la guerre en Ukraine et virer l’otan de l’Europe.
ça c’est drôle, en plus ça montre la confusion mentale généralisée où plus rien n’a de sens du genre :
pacifiste = démagogue
belliciste = démocrate.
@ »La « grandeur » de la France et la rivalité commerciale et maritime avec l’Angleterre le poussent hélas à justifier l’usage des moyens les plus violents et barbares contre les populations civiles algériennes, à savoir déportations, expropriations, razzias ou enfumages… »
vous en parlez comme un petit détail de l’Histoire alors que là nous sommes exactement au coeur de ce que les russes ou les chinois appellent l’hypocrisie occidentale.
à savoir ce double discours : d’un côté on se dit démocrate libéral et de l’autre on colonise à tout va.
en fait cet esprit démocratique ne fonctionne plus dès qu’on sort de ses frontières.
nous les occidentaux nous défendons la démocratie mais nous préférons rester ceux qui définissent les règles du jeu pour toute la planète parce que voyez-vous nous sommes bien plus civilisés et bien plus évolués que vous.
donc, au niveau mondial nous allons conserver un régime autoritariste, un système totalitaire où nous vous dirons ce que vous devez faire !
et si vous refusez ce qu’on vous dit de faire nous viendrons déverser des flots de bombes sur votre pays, nous mettrons des sanctions pour tuer tous vos enfants !
mais nous sommes des démocrates libéraux bien sûr parce que nous aimons la démocratie et la liberté, mais surtout la nôtre…
Survol d’un Rafale au dessus de Chaville, n’en déplaise à Monsieur Sanjjen jj.
Rose, pour répondre à votre question, oui, j’y pense un peu plus chaque jour, il me faut juste avoir la force de croire que tout n’a pas été desséché en moi, qui croyais avoir une vieillesse heureuse devant soi, et me retrouve napalmisée, je me dis parfois qu’un bon vieux diagnostic médical me donnant disons huit mois à vivre serait pain béni pour me pousser au cul d’écrire. Je n’ai d’autre image à ma disposition que celle de la signature. Avez-vous noté à quel point on se sert toujours, dans notre vie quotidienne, de l’antique signature ? Il y a de nombreuses applications où, quand on vous livre un colis, on vous demande de signer, sur un écran. C’est dingue, y’a même plus besoin d’un stylo, vous tracez de la pointe de votre doigt votre signature sur l’écran. Moi ça me fascine : je pense que c’est un tournant anthropologique. Bon, allez, je ne sais pas si je vais arriver à surmonter ce qui m’est arrivé, mais en tout cas je ne vois que l’écriture pour en témoigner, donc j’y pense, terriblement. Merci à vous.
De l’air du temps
Guerre à Gaza, jour 715 : Lisbonne va reconnaître l’État de Palestine, départs massifs de Gaza-Ville
La Croix (avec AFP) Publié le 20 septembre 2025 à 16h09
L’ONU appelle à ne pas se « sentir intimidé » par les menaces d’Israël
« Nous ne devons pas nous sentir intimidés » par les menaces israéliennes de représailles contre les reconnaissances de l’État palestinien ou d’autres politiques de soutien aux Palestiniens, a déclaré vendredi le secrétaire général de l’ONU.
« Nous ne devons pas nous sentir intimidés par le risque de représailles, parce que, quoi que nous fassions, ces actions vont continuer », a ajouté Antonio Guterres, en référence à la « progression constante des mesures du gouvernement israélien pour complètement détruire Gaza et mettre en place une annexion insidieuse de la Cisjordanie ».
Avec la reconnaissance de l’État palestinien prévue lundi lors d’un sommet à l’ONU par la France et plusieurs autres pays, des responsables israéliens ont ouvertement menacé Paris de représailles diplomatiques, mais aussi d’annexer la Cisjordanie, occupée par Israël depuis 1967.(…) »
Quelqu’un se sent menacé ici bas ?
De toute façon Finkielkraut n’en a strictement rien à foutre de Tocqueville. Ce qu’il a à dire, à la façon caricaturale d’un Charoulet qui est tellement bas de plafond quand il s’exprime que je me demande encore s’il est réel, c’est que tout va à l’eau, ma brave dame, depuis que certains se permettre de remettre en cause la domination légitime de la bourgeoisie . Son couplet sur le terme « maître », ce matin, avec l’allusion à mai 68, c’était pathétique. Mais pourquoi France Cul ne vire pas ce genre de « penseur », pour donner la parole à, je ne sais pas, Bernard Lahire ? That is the question.
Tocqueville a vu aux jeunes États-Unis des individus obsédés non par la naissance mais par l’argent, contrairement à la France où il avait grandi, pays encore entiché de noblesse et de préséances. L’États-unien était fort peu préoccupé de l’ascendance de son interlocuteur, seule sa fortune l’impressionnait.
Rien n’a changé. Trump impressionne par sa plouquerie assumée. C’est un modèle envié. Là-bas, la démocratie signifie que n’importe qui peut devenir président.
Trump en est la preuve la plus vulgaire. Comme écrivit un jour Germaine de Staël dans son ouvrage De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales: « J’ai employé la première un mot nouveau, la vulgarité, trouvant qu’il n’existait pas encore assez de termes pour proscrire à jamais toutes les formes qui supposent peu d’élégance dans les images et peu de délicatesse dans l’expression. »
J’invite le distingué Bigorneau à prendre son envol et à parcourir le Journey through France and Italy (1787) d’un certain Thomas Jefferson
Ce matin, c’était carrément caricatural. il y avait deux invitées, très pertinentes, avec des recherches sur Toqueville, une connaissance… Et ce pathétique Finkielkraut, qui voulait à toute force tordre la connaissance universitaire pour en faire un argument réactionnaire. Mais pourquoi lui donner ce temps d’antenne, et du coup en priver ceux qui auraient vraiment quelque chose d’autre à dire que « c’était mieux avant, quand les dominés fermaient leur gueule ? », ce qui est, finalement, la question scandalisée qu’on nous sert tous les samedis matins ?
Viens de lire le témoignage de Neige Sinno (Triste Tigre, POL, 2023) resté sur ma pile. Exaspérant et intéressant, dans le genre… En fut-il question sur l’RDL à sa sortie ?
Trump, c’est pas juste peu d’élégance dans les images et peu de délicatesse dans l’expression. C’est la violence de l’extrême -droite. Merdalors. Qui n’est ni élégante, ni délicate. Demandez à Netanyahou. Et aux enfants palestiniens.
Incidemment, qui du Hamas et du gouvernement israélien ale plus à craindre de la reconnaissance de l’Etat de Palestine par une très large majorité des Nations Unies ?
Ah oui, j’oubliais. Un bébé palestinien est forcément un combattant du Hamas terroriste. Il n’est pas un être humain.
La démocratie américaine surmontera le trumpisme ; quant aux autres …
Jean Langoncet à 16h40
Merci cher monsieur, je n’y manquerai pas, surtout que trois clics de l’ordinateur me procure votre suggestion, gratis, et que je peux agrandir le texte à volonté, avantage non négligeable pour un septuagénaire dont la vue faiblit. Mon petit Ali a rencontré une charmante jeune fille et l’a épousée, alors je ne peut plus compter sur lui pour me faire la lecture. Sûrement serai-je parrain un jour. La France manque de Français. Et ces deux-là ont tout pour nous en faire de très beaux !
Pas question pour moi d’écouter cette émission. Tocqueville n’est pas entièrement libre de son époque (e.g., colonisation), mais j’admire trop « L’Ancien Régime et la Révolution » pour supporter F. en train de s’en faire mousser. Je ne saurais trop recommander sa lecture, indispensable pour non seulement comprendre l’histoire de France, mais encore comment la penser. En lisant un chefd’oeuvre comme celui-là, le lecteur, seul à seul avec Tocqueville, se sent devenir plus intelligent.
@ son opposition vigoureuse à Gobineau qui lui soumet son ‘Essai sur l’origine de l’inégalité des races humaine’, le « classique » du racisme biologique moderne. (SP)
Oh ! vous allez encore offenser nos esprits chagrins, pour qui ce crime n’était qu’une fugue mineure par rapport à l’absolue perfection de son style…
CE QUE PARLER VEUT DIRE
Quelle correspondance de syntaxe et de vocabulaire peut-on établir entre ces deux assertions ?
1 – Je n’aurais jamais pensé qu’il pût FAIRE MONTRE de pareille audace
2 – je vais te FAIRE MONTRER comment je nique la police.
Moi, il y a 70 ans, j’ai été un bébé français. Notre hôte aussi, à quelques années près. Bon sang, (et le mot « sang », bref), ça ne vaudrait pas quelque chose comme, au moins, une commune réprobation, un truc tripal, sur ce qui se passe, précisément, sous nos yeux ?
Je n’ai pas lu le journal de voyage dede voyage remarquables de John Adams, en 1779, dans son voyage d’étude des systèmes politiques en Europe. En route pour Paris, il passait par Ferrol et la Cantabrie, parce que son bateau avait eu une fuite. Il écrit son admiration pour les gens du pays basque et leur volonté presque millénaire d’autonomie. C’était une autre époque, à la fois pour les nouveaux Etats-Unis et pour l’Europe.
« lu les notes de John Adams
L’extrême droite, son idéologie basée sur la haine, qui inclut la haine de l’intelligence, de la science et du savoir, est là. Ça devient, à mes yeux, urgent de la combattre. Mais ici, c’est comme si je ne croisais que des autruches. Façon girls du Moulin Rouge. La tête dans le sable, histoire de ne rien voir, et des plumes, (oui, des « plumes », disons littéraires), plein le cul.
le truc important qui a changé avec le temps de Tocvil c’est qu’à son époque la France était un pays souverain.
un pays colonial d’accord, mais aussi souverain.
ce qui n’est plus du tout le cas.
du coup on continue d’utiliser des grilles anciennes de lecture dans un monde où elles ne fonctionnent plus.
on le voit même au niveau des bouquins : passou il critique un livre qui parle de quoi ? du goulag ! pourquoi ? parce qu’on continue d’avoir cette visioin du monde : Toqueville, le démagogue chez Platon, le goulag etc…
alors que la photo d’aujourd’hui qui va supplanter la photo du nouveau partage du monde de 1945 avec Roosevelt, Churchill et Staline aujourd’hui c’est la photo qui a été prise à la dernière réunion de l’OCS avec Modi, Xi et Poutine : aujourd’hui c’est aux qui sont en train de se partager le monde !
quand l’Inde était une colonie anglaise les anglais ont anéanti l’artisanat indien du vêtement en les obligeant à acheter des fringues faites dans les fabriques anglaises ! ce genre de truc il faut pas imaginer qu’un pays va l’oublier tout comme l’Algérie n’oubliera pas ce qu’a fait la France etc…
comme l’autre imbécile qui parle de démagogie.
ça fait des mois que tous les médias nous racontent des trucs déconnectés du réel du genre la Russie va envahir l’Europe, la Russie représente une menace existentielle, un président qui dit la liberté des français est menacée etc…
tous ces journalistes, leur niveau d’enfumage ce n’est même plus de la démagogie c’est le stade au dessus de la démagogie, là on est dans la décadence et la déliquescence de la pensée en se disant à force de raconter des connereis aux gens ils finiront par le croire et effectivement quand je lis les commentaires ici ça marche alors que c’est mille fois pire sque de la la démagogie ! c’est du lavage de cerveau !
La haine de l’autre est un moteur puissant. Celui qui en est pourvu calque l’image de son « adversaire » sur lui-même. Et l’invite du coup à une haine en miroir. Eh bien, moi, je veux juste briser ce miroir mortifère. Au nom de notre commune humanité. Je me raccroche à ça. La pensée d’un espoir dans l’humanité.
J’ai sans cesse pensé à CT durant de récit de Neige Sinno… Qu’il lui fallait dire les choses crument, genre comment fonctionne la possibilité d’une fellation ou d’une pipe forcée sans cesse réitérée, et comment la gamine finit pas s’en accommoder dès lors qu’elle avait fini par apprendre qu’elle pouvait recracher le sperme sans déclencher la fureur du prédateur tout en montrant son consentement à l’acte.
Neige Sinno a eu beau vouloir comprendre à tout prix le « système de défense » de son beau-père violeur, objet de son récit, on sent bien qu’elle fut souvent à deux doigts d’y parvenir, mais trente ans après, quand elle finit par prendre la plume pour revenir sur les séquelles de l’épilogue judiciaire provincial ultra médiatisé en son temps, elle ne trouva aucun témoignage d’un « monde vu par les yeux d’un violeur d’enfant ». Pour elle, « le monde normal et l’autre lieu (celui où l’on se réfugie dans l’imaginaire, la littérature ou l’écriture par ex.) étaient en train de devenir le même monde ».
LE HEROS DE CE LIVRE N’EST PAS LE VIOLEUR. COMMENT ECRIRE A SA PLACE ? JE NE PEUX PAS, conclut-elle, vaincue. Alors, quid d’un monde rêvé où victime et bourreau seraient réunis ?
CT nous en montre à son tour l’apparente impossibilité, si l’en veut bien transposer, -à partir de Neige Sinno-, les éléments dévastateurs de son autobiographie récente, en tant que moyen plutôt que fin en soi thérapeutique.
Il faut lui donner la force de l’écrire, ce livre autobiographique, sans chercher à le romancer, comme prétendit le faire Christine Angot. Laquelle s’indignait, semble-t-il, à l’idée que l’histoire de son inceste put servir de témoignage instrumenté à une cause féministe au détriment de ce qu’elle estimait relever d’un unique service rendu à la littérature.
@#1 Difficile de trouver à rebondir sur de nouveaux seconds couteaux, après Carrère et Mauvignier. Merci d’avoir essayé, PA, mais on n’y croit pas trop, à l’avenir de ces deux auteurs. On a le sentiment qu’ils étaient sur le haut de la pile, et qu’il fallait bien en dire quelque chose. Un travail à façon toujours honnête.
Bonne suite à vous,
Bonne suite à vous, oui (pour ce soir)
Rosenvous êtes une aventurière en chef, ù$eùe en amour surement;pas les endives ey le jambon, mais qui sait un poil au menton?
vous > les sans gêne (sans doute imprégnés par la représentation nationale et les deux extrêmes de l’hémicycle qui sur ce plan se confondent)
Jj-j, c’est bien pour ça que j’ai une répugnance absolue devant les écrits d’Angot. Cette incapacité à inscrire son histoire dans une trame sociologique qui explicite un parcours individuel par des déterminismes sociaux. Finalement, il faut un peu d’humilité pour se dire que « votre drame »… n’est pas que le vôtre. C’est un de mes obstacles à l’écriture, outre ma fainéantise et la quotidienneté du vécu des heures. Le « moi » n’existe pas. Ou si peu. Et, si tant qu’à écrire, il faudrait que ça « serve à quelque chose », eh bien n’importe quelle militante féministe affichant un slogan sur le mur du palais de justice où a été jugé le procès de Dominique Pélicot est bien plus efficace que moi, ou que le récit de mes affres conjugales.
Je n’ai pas lu Triste Tigre.
@ 17.38 – Je me garde de bonnes suites pour les autres soirs, tant qu’à faire montre de tolérance, JL ! Et vous souhaite la même chose. Je n’ai rien vu passer de neuf ce jour, hormis les huitres et du fromage au marché, la lecture de « Triste tigre », pas d’édifices à visiter gratos, histoire de pas faire comme tous ces crétins à Bethléem (comme les raconta Loti, lors de son voyage à Jérusalem). Au lieu de quoi, des confitures de figues et de fraises, une cuisson des cèpes, le bâti d’une nouvelle échelle pour faciliter la montée des 4 poules, le repassage d’une pile de linge…, le souvenir de Tocqueville à cheval allant visiter durant 15 jours un camp d’Indiens lors de son expédition avec Gustave de Beaumont… (((et alors, des sentiments beaucoup plus mitigés que ceux auxquels on était habitué quant à son obscène justification du « colonialisme » violent. De ce point de vue, Loti fut beaucoup plus intéressant et nuancé))).
Enfin bref, encore une journée de bien rempile (sic). Journal extime dûment tenu (20/9/25).
Le meilleur à vous,
https://www.youtube.com/watch?v=6A2V9Bu80J4
Pourquoi ce (sic) après « une journée de bien rempile » ? qui citez-vous au juste et en quoi la phrase pourrait sembler étrange ?
17.53 merci pour votre rebond. Je le comprends fort bien. Mais je persiste et signe… Si vous ne retrouvez rien de vous dans ce bouquin après l’avoir lu, soit il vous donne la force de faire mieux qu’elle (car elle n’écrit pas très bien -et elle s’en fout_), soit il vous anéantit et vous « libère » d’un poids, apèrs coup. Et là, vous aurez gagné et avancé en vous-même. J’en suis sûr, car c’est un peu ce qui m’arrive quand je repense à ma propre mère, dont je ne comprenais jamais le moindre de ses messages métaphoriques toujours en rapport à d’ineptes bondieuseries catholiques. En réalité, elle disait bien autre chose dans ses prières du Rosaire…, comme vous le faites sur ce blog, ou l’a fait Neige Sinno. La différence, c’est qu’elle ne maîtrisait pas les subtilités du langage et de l’argumentation. Elle voulait pourtant sortir de son silence, mais elle resta totalement bloquée sa vie durant. Et elle est morte ainsi, nous laissant le soin de décrypter cette ineffable douleur de ne pas avoir su nous convaincre de n’avoir point peur de la mort.
Bon, ça suffit, maintenant… A taaaaaaaaable, célavi !
(18.20) Je me moquej de moi-mêmj, comme d’hab, JL. Une journée bien rempile (pile) au lieu de bien remplie (plie)… euh… voyez… Cherchez pas la ‘tite bête, quoi, merdralhors ! Tchin…
J’ai compris cela, mais pourquoi ne pas laisser le doute : « erreur ou jeu » ? alors que dans la situation donnée, on pense immédiatement : « qui il cite, et pourquoi cela pourrait-il me surprendre ? »
De plus, s’il s’agissait simplement de signaler une erreur, le texte étant encore de l’autre côté du mur privé-public, il aurait fallu moins de temps pour le corriger avant de le mettre en ligne que pour l’écrire (sic).
que pour écrire (sic)
Il est tout-à-fait anormal que des entreprises s’affichant écologistes emploie des personnes qui vont télétravailler à plus de 50 km de l’entreprise. Et fréquemment à plusieurs centaines de kilomètres.
Il faut légiférer sur ce point.
Si on laissait ce trio de cochonnes, la Gigi, Clopine et Rose, seules sur ce blog, il finira en soue à trois truies !
ù$eùe en amour.
Extrêmement ù$eùe, probablement.
L’écologie est plus qu’une imposture axée sur le mensonge et la démagogie.
C’est une ESCROLOGIE !
Question haine de l’intelligence, Clopine est pourtant en bonne place.
Et pas encore d’extrême-droite ? Tssss… quelle perte de temps.
Mais pourquoi lui donner ce temps d’antenne,
–
On sent la bien l’âme bolchévique de la Trouillefou. Pourquoi donc donner du temps d’antenne à ceux qui pensent pas comme nous, les rouges ? Ma qué, perqué ?
@ RM, « erreur ou jeu » ?… (18.52) Yes, mais je crains tjs qu’on ne me comprenne pas (que l’on me -mécomprenne-, telle notre amie CT)… Etes trop subtil, à la différence de pas mal de rustauds. Bon, il nous a fait son ESCROLOGIE 75. Doit-on rire du mot-valise en carton ? Mot-vaseline, voulaisj dire, euh (sic transit). BN à Milan vs Colmar.
@ il finira en soue à trois truies !
Ce serait jamais plus pire que la porcherie aux cinq gorets qu’elle est devenue.
Gigi la truie fait beaucoup de bruit.
C’est sa façon de quémander des insultes, sans lesquelles elle ne peut pas puer !
Je vous rends l’anthem, simone ! à vous cognacq j’ai. Dormez bien, 20.02 !
https://www.youtube.com/watch?v=mysmaApdDls
Les truites seraient-elles visqueuses par hasard ?
Imaginons la Gigi qui rentre dans une banque…
Aussitôt, les caméras de surveillance seront toutes coupées tellement elle est trop moche à voir !
Maurice, c’est un peu facile, moi les camps partout m’emmerdent. Je prends mes vacances là où il n’y en a pas, marre des caméras. En plus alors que je suis une conductrice prudente, respectueuse à 98% des règles, j’ai perdu en l’espace de quatre mois la moitié de mon permis, alors merde merde et merde aux caméras.
Camps et non camps. Je suis moche aussi et ce n’est pas suffisant pour y échapper. A croire qu’elles ne sont là que pour prendre en faute les honnêtes gens. Autre annecdote, mon VAE a été volé deux fois, une cam à 10 mètres, la deuxiyfois ils ont scié l’escalier, la rampe parce que la chaîne était inviolable , la cam toujours à 10 mètres.la 1erte fois la police l’a retrouvé car ma voisine connaissait un type de la bac et ils l’ont cherché et retrouvé. La seconde , j’ai laissé passer un peu de temps avant de signaler le vol, trop tard, je crois que les enregistrements sont effacés.
Cam, merde aux CAMS
.
Je me souviens aussi alors que j’étais plus jeune et avait eu quelques sérieux ennuis avec la police le tribunal les assurances etc avoir passé le temps réglementaire avec 1 seul point, deux ans avec un point. Mes copines de travail prévoyaient que j’allais le perdre en effectuant un Béziers Vannes ou tout autre long trajet qui m’emmènenaient loin des caméras. J’ai gardé cet unique point et attendu sagement que me soient restitués les autres
19h42 Maurice ne pleurez pas, vous avez toutes les chances de cuire en vieillissant, si vous ne mourez pasx avant d’un cancer du pancréas, l’écologie n’obtient que peu de résultats et ainsi vous vieilirez dans les conditions qui vous paraissent les meilleures à moins que notre parc nucléaire défaille sur un seul des nombreux sites et là vous finirez comme les bergers grecs entre autres qui furent les premiers atteints par des cancers foudroyants suite aux retombées radioactives post Tchernobyl.
La stasis (du grec ancien στάσις / stásis, pluriel στάσεις / stáseis, « faction, discorde, sédition »[1]) désigne dans la Grèce antique une crise politique d’origine sociale et morale procédant d’un conflit interne à une cité-État sur le fondement d’un déséquilibre ressenti dans la répartition du pouvoir, pouvant mener à la guerre civile.
Luttes intestines (staseis) et comportements radicaux : quand la violence fait irruption dans la cité grecque (IVe au Ier siècle avant a.C.)
Christine Petrazoller
https://journals.openedition.org/etudesanciennes/6250
BLABLA CARE
On est prié de ne pas utiliser les mots à tort et à travers, par exemple génocide, démocratie, religion, liberté, etc, etc…
Par avance, merci !
ou même pastis.
Me suis demandé la signification de VAE, vente à emporter, validation des acquis par l’expérience ?
Il semblerait que ce soit ici vélo à assistance électrique.
B pour vous : une interview d’un jeune chercheur allemand en analyse de la propagande.
sûr que quand les allemands mettent le paquet en propagande de guerre l’histoire nous apprend que ça décoiffe.
il analyse le JT télévisé le plus regardé par les allemands.
le plus marrant c’est qu’on en revient toujours aux mêmes fondamentaux : les plus riches et les élites focalisent la colère et la haine des plus pauvres pour éviter qu’ils ne les dirigent vers eux.
A son âge et après toutes ses lectures, Clopine n’a toujours pas compris qu’inscrire son malheur individuel « dans les déterminismes sociaux » était le moyen le plus sûr de faire un roman exécrable…La littérature engagée, politique, démonstrative n’a jamais produit de bons romans. Si vous voulez de la sociologie, vous lisez de la sociologie. Si vous voulez de la fiction, vous lisez de la fiction. L’une recherche des lois générales, l’autre des destins individuels uniques.
Si vous n’êtes pas trop bête, vous ferez vous même la liaison entre les deux.
Nous on est pas trop bêtes, Closer.
Mais elle…
Le plus beau, c’est ce « pauvre Finkekraut suppose « tordre la connaissance universitaire des invites », alors qu’il en est le représentant et l’oblige contradicteur. Pour celle que cela depasse, cela s’appelle un Débat…. MC
Avec tout le respect que j’ai pour les Israéliens et les Juifs, il faut admettre que la reconnaissance d’un état palestinien (sous entendu libéré de l’oppression du Hamas) est incontournable et doit se faire maintenant ou jamais.
Il est bien dommage que ce soit Macron qui en tire les marrons du feu en se trouvant là presque par hasard récupérant cette opportunité pour tenter de redorer son blason en ferraille rouillée.
Souvenons-nous de la sympathie de Jacques Chirac pour la Palestine.
C’est à lui qu’il faut dédier cette reconnaissance.
@il faut admettre que la reconnaissance d’un état palestinien (sous entendu libéré de l’oppression du Hamas) est incontournable et doit se faire maintenant ou jamais.
Ce n’est pas « sous entendu » mais explicite dans la déclaration de New York de l’ONU :
Israël / Territoires palestiniens – Adoption par l’ONU de la déclaration de New York sur la solution à deux états et condamnation du Hamas (12 septembre 2025)
https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/israel-territoires-palestiniens/actualites-et-evenements/2025/article/israel-territoires-palestiniens-adoption-par-l-onu-de-la-declaration-de-new
Je dois bien me rendre à l’évidence: le mystère, ce n’est pas moi. Je suis banale, prévisible, pas forcément antipathique malgré mes drôles d’idées agaçantes. LE mystère, c’est celui que j’appelais Clopin, qui a fait, grosso modo, l’équivalent de voler les quelques sous posés dans la sébile d’un aveugle. Si je dois me mettre un coup de pied au coup pour en tirer un récit littéraire, dans le peu de temps qui me reste de vivre, je me dis que le seul intérêt résiderait, peut-être, dans un portrait d’homme écrit par une femme. Quand on pense à l’immensité des mots produits par les hommes pour décrire les femmes, (en même temps qu’on leur clouait le bec, à celles-là), je me dis qu’aujourd’hui, les femmes se réapproprient leur propre discours. Donc une telle tentative ne pourrait-elle pas ne pas être complètement vaine ? En même temps, une bonne petite partie de scrabble sur internet, un film sur Netflix, etc. Voire aller regarder les commentaires du blog assoulinien… Préférer la vacuité induite par la paresse… Et en même temps…Ah là là, ce qu’on s’emmerde, les dimanches !
Je veux dire, les femmes se sont désormais réappropriées les discours portés sur elles. Elles rectifient le tir. Moi, j’ai toujours eu une « grosse voix » : faut dire que ma mère nous tirait sur la corde vocale, à nous les enfants- fallait parler fort, pour que notre père sourd puisse nous entendre, c’était d’ailleurs d’autant plus dérisoire qu’il ne manifestait jamais l’envie de nous écouter, m’enfin toute la famille (un beau-frère a dit : « vous les braillards ») s’est retrouvée avec une voix de stentor, difficile à assumer quand on est censée être féminine, voix douce et cils baissés. Le difficile, dans ces conditions, c’est l’absence de la voix du père. Les sourds parlent peu, c’est un effort pour eux. Je crois que ma mère parlait pour deux. Difficile, après, de ne parler que pour soi.
C’est toujours cette histoire répétée jusqu’à l’ennui par des gens qu’au lendemain de leur crise relationnelle pensent avoir entièrement raison, alors que même dans les environnements les plus arriérés les gens savent désormais que les torts sont partagés. Mais on ne peut rien attendre de mieux de quelqu’un qui s’ennuie le dimanche. Bien sûr, si l’on pense sociologiquement, on ne peut que penser des conneries et écrire de la mauvaise littérature.
Libération de l’oppression d’un hamas condamné.
La condamnation ne conduit pas automatiquement à la libération.
les dimanches
Allez à la messe, Dame Clopine, votre voix de stentor fera merveille
Allez, je n’y suis que déjà beaucoup trop allée, entre mes six et mes douze ans, sans que quiconque m’eut interrogée là dessus (il y avait du pour : la beauté de l’église. Et du contre : la violence de la confession obligatoire, pour pouvoir communier. J’étais petite, j’aimais bien porter « les habits du dimanche ». Mais la paille des prie-dieux blessaient mes genoux, déjà). Se sortir de la messe des dimanches, juste après les cadeaux de la communion solennelle, c’est un peu comme le papillon sortant de la chrysalide, un tout petit battement d’ailes. Le reste provient de votre cerveau, si vous en avez un.
calimero devrait s’armer de sa plus belle plume d’oie pour écrire au chef du gouvernement israélien et lui demander si pour libérer Gaza de l’emprise du Hamas, qu’il a naguère financé, il compte armer encore longtemps les terroristes de l’Etat Islamique ; il est vrai que dans son propre pays il a obtenu des résultats remarquables en matière de sécurité … un exemple
Quand je parle de « la beauté de l’église », je fais allusion au bâtiment, n’est-ce pas. Quand on vit dans une habitation ordinaire, l’église est un endroit tout-à-fait particulier, à Notre-Dame de la Couture de Bernay il y avait des « lustres à pendeloques », un air toujours froid, une symétrie implacable dans les bancs, un ordre, quoi, une mise en scène : on vous disait sans vous le dire que c’était ça, la beauté… Et pendant ce temps-là, le curé tripotait les petits garçons…
L’Eglise, avec un grand E.
L’épouse du Christ.
Elle a bon dos, l’épouse du Christ. Autant que les épouses de Mahomet !
déjà il faut partir du principe que demander un truc à Israël ne sert à rien vu que tout ce que fait Israël se décide à Washington.
en fait Israël n’est pas un pays : c’est juste la plus grosse base militaire des néoconservateurs américains au Moyen Orient.
exemple au hasard : bombarder le Qatar est forcément une décision des américains vu qu’ils ont une base militaire dans ce pays et qu’ils ont un accord de défense.
voilà : Israël n’est devenu que le bras armé des néoconservateurs au MO.
J AI encore appris un beau mot marseillais qui signifierait « eccentrique » :jobastre ! (anglais, quoi)la RDL va surement nous expliquer « jobastre » -c’est pas mon job!
Closer vous allez in peu vite sur la condamnation de la littérature engagee depuis Les raisins de la colere de Steincbeck a l Espoir de Malraux en passanr par Le zéro et l’infini de Koestler ou les romans d Aragon comme Les cloches de Bâle les romans engagés excellents ne manquent pas.
Puck, lrs accords d’Abraham ont été initié s et signés par D Trumps, le Hamas voyant cette normalisation des rapports entre Israël et les pays arabes signataires comme néfaste puisqu’il n’était pasxquesttion dans ces accords de la création d’un état palestinien a fait en sorte de ralentir voir geler ce processus en déclenchant une guerre par les moyens que l’on sait. Alors je ne sais pas qui sont pour vous les néo-conservateurs , et si vous pouviez préciser la façon avec laquelle vous qualifiez Trump qui selon moi penche vers l’autocratie.
Clopine, je visite églises, chapelles, prieurés, abbayes, cathédrales , j’ai pensé un court instant à l’adolescence entrer dans les ordres. Plus tard, je ne sais pas quel raccourci me venait que Vierge ou putain se ressemblaient, les unes ne se voient qu’à l’amour de Dieu, les autres ne croient pas à l’amour des hommes et préfèrent vendre leurs corps , tankafaire et ne rien perdre.
Ne se vouent.
Clopine est la seule et unique porte-parole de toutes les femmes de la Terre sur ce blog.
Et comme ces dernières sont toutes mineures et non-vaccinées, inintelligentes et complètement demeurées, dominées, opprimées et invisibilisées, notre Clopine brave et courageuse va tout faire pour les … euh… pour les sauver quoi…
Je suis absolument convaincu que cette Clopine n’a jamais pu, de toute sa vie, établir une saine et bonne relation amicale avec une autre femme.
Les féministes haïssent mille fois plus les femmes qui aiment les hommes que les hommes eux-mêmes.
Chiante Clopine, casse-toi, dégage, ne reviens plus ici… Merde !
Ceci étant, lorsque l’on e croit pas en Dieu autrement qu’en tant que concept servant à nous élever et qu’il ne nous est plus possible de croire à l’amour des hommes( avec un petit h, car souvent ils sont petits), qu’est-ce qu’il nous reste? L’Art, la littérature, la nature, les animaux, l’amour de son prochain? Ça fait tout de même beaucoup d’objets pour infuser en nous le désir de rester en vie puisque paraît-il la vie ne vaut d’être vécu sans amour( le grand, évidemment).
La confession : je n’avais pas même idée du péché, enfant sage. Je ne mentais pas, ne voulait ni n’espérait aucun mal à qui que ce soit, j’obéis sais, ne faisais jamais de bêtises, quand il a fallu aller à confesse , je n’ai pas compris et j’ai eu beau chercher, rien de rien à confesser. Chez certains jeunes enfants ce doit être contre-productif car leur est soumis l’idée de la faute alors qu’ils sont purs, extempts de toutes mauvaises pensees pensées.
Voulais, espérais.
Vous essayez de nous faire croire que vous étiez une petite sainte, Bérénice ? Alors que le rejet d’un seul sacrement est un signe évident d’éloignement du Christ. Les sacrements étant donnés in personna christi. En critiquer un seul, c’est pêcher.
L’Esprit Saint, vous connaissez ?
L’Esprit du Père et du Christ, donné à ses disciples ? Celui qui permet de faire de tout comprendre ?
L’avez-vous déjà prié avec confiance ?
J’en doute fort, (sainte) petite Bérénice. Votre lumière préférée semble plutôt être celle de la torche du porteur déchu.
Je ne les connais pas. Vous savez, D, j’ai toujours été un peu perchée, le catéchisme était pour moi un prétexte pour dessiner, je n’écoutais qu’à peine le curé qui d’ailleurs ne faisait pas beaucoup d’efforts pour intéresser son public.
«… Vierge ou putain se ressemblaient… »
Sans jugement, mais pas sans critère, laquelle des deux est l’amour profane ?
Titien, Amour sacré et Amour profane
https://www.arte.it/foto/600×450/3c/101859-Tiziano_Amor_sacro.jpg
Le mal était en vous et y est restée, Bérénice. Mais je ne veux pas accuser, comme le Malin accuse et divise. Je fais seulement lumière.
Si vous restiez dans cette situation, vous seriez votre seule accusatrice devant Dieu.
J’ai même déçu un enfant qui alors que j’étais devenue une jeune femme me demandait quelles bêtises j’avais fait lorsque j’avais son âge, je n’ai rien pu répondre qui l’enthousiasme. En dehors d’une presque noyade qui n’était pas une tentative de suicide, d’un lustre brisé involontairement, d’une pièce de 1 franc avalé qui m’a valu l’incrédulité de l’instituteur et un régime poireaux asperges pour la décoincer du recoin ou elle stagnait dans mon appareil digestif, rien et je n’ai pas avalé la pièce pour me transformer en tirelire, elle aurait dû servir à acheter le pain. Le maître pensait que je racontais des bobards car j’aurais dû mourir étouffée si elle n’était pas passée par l’oesophage.
C’est pareil pour renato.
S’il a compris tout ça et qu’il s’entêtait à ne pas l’admettre et à tenter de se justifier, il serait son seul accusateur devant Dieu au Jour du Jugement.
Voys auriez fait poireaux-endives, elle serait sortie plus vite,.votre pièce. Mais là n’est pas question.
Ne pas chercher Dieu, c’est pêcher. Point à la ligne. Vous êtes en réalité très loin de la sainteté et une drôle de pécheresse.
Je n’en doute pas, passée l’enfance, hélas, j’ai beaucoup merdé.
D, la photo qui a été prise chez un photographe après ma communion solennelle était si éloquente que mon prof de français s’est soudainement intéressé à moi. Je ne croyais plus et cela transparaissait dans un regard, mains jointes, visage de madone.
Et si Dame Clopine était un jeune mec qui s’amuse à nous mystifier ?
@ »Alors je ne sais pas qui sont pour vous les néo-conservateurs , et si vous pouviez préciser la façon avec laquelle vous qualifiez Trump qui selon moi penche vers l’autocratie. »
alors c’est une question assez complexe parce que même moi j’ai eu du mal à analyser ces liens entre Trump, ses proches opposés aux néoconservateurs et les néoconservateurs.
ce qui est sûr c’est qu’il y a un lien fort entre plusieurs courants la droite américaine et la droite israélienne à travers plusieurs courants comme ceux qui depuis Wolfowiz et Richard Perle du temps de Bush donnent un côté messianique à leurs objectif, l’AIPAC (le lobby juif américain), les religieux et les oligarques israéliens qui soutiennent Netanyahu etc…
la question est de savoir qui détient le pouvoir, qui par exemple au Pentagone va ordonner à Israël de bombarder l’Iran ou le Qatar.
là encore cela pose un problème démocratique parce que ce système de prise de décision est opaque, personne ne sait qui fait quoi ni pourquoi il le fait, avec toute l’incohérence qui va avec comme quand les US bombardent les centrales nucléaires iraniennes alors qu’ils étaient en train de négocier.
les américains ont un fonctionnement totalement erratiques vu de l’extérieur, et probablement vu de l’intérieur aussi comme ce bombardement sur le Qatar est une décision d’une incroyable stupidité.
Je crois qu’à ce moment j’accusais ce Dieu qui avait disparu, j’étais désespérée. Sûrement un peu comme après quand vous accostée sur les rivages de l’amour et que du jour au lendemain, sans qu’il n’existe aucune cause tangible, vous n’aimez plus celui qui la veille encore vous faisait rêver.
Accostez.
Je n’ai jamais compris pourquoi les punaise de sacristie s’immiscent toujours dans les affaires des autres.
Puck, le Pentagone fonctionnerait sans l’aval du président? Le Mossad est tout de même d’une efficacité redoutable, je vous plus dans l’opération au Qatar une initiative purement Israélienne comme lorsqu’ils ont fait exploser les bipers au Liban.
punaiseS de sacristie
B : Israël c’est comme l’Ukraine : toutes leurs décisions sont prises dans un cas par l’otan et dans l’autre le Pentagone, mais eux ne peuvent décider d’absolument rien du tout parce qu’ils dépendent des autres et n’ont absolument aucune dépendance ni souveraineté.
des pays indépendants et souverains aujourd’hui dans le monde ça se compte sur les doigts d’une main.
sur le Pentagone aux US il y a 3 centres de pouvoir : la maison blanche, le pentagone et la cia, si les US sont un pays dangereux c’est parce que ces 3 centres de pouvoir fonctionnent de façon autonome.
exemple : à la fin de son dernier mandat Trump avait demandé à l’armée de quitter certaines bases situées en Irak : ils ont refusé, alors qu’en principe le président américain est le chef des armées et ils doivent obéir à ses ordres.
d’ailleurs les américains considèrent comme « dangereux » tous les pays voulant conserver leur souveraineté : c’est pour ça que les néoconservateurs voulaient un changement de régime en Russie en appliquant des sanctions.
les américains viennent de se prendre 3 râteaux :
– ils voulaient virer le président vénézuélien (sa tête est mise à prix 5 millions de dollars mort ou vif comme dans les westerns) sauf que les russes viennent de débarquer pour le protéger.
– ils voulaient récupérer une base militaire en Afghanistan : les chinois leur ont dit pas question.
– ils voulaient obliger les indiens d’arrêter du pétrole russe les indiens leur ont dit d’aller se faire foutre.
ces râteaux pris par les américains signent la fin de leur hégémonie.
l’hégémonie c’est quoi ?
l’hégémonie c’est l’équivalent d’un système totalitaire au niveau mondial.
pour ça que quand ils disent qu’ils mènent des guerres au nom de la démocratie c’est un foutage de gueule complet : ils menaient des guerres au nom du maintien d’un système totalitaire et autocratique sur le monde.
les seuls vassaux qu’il reste aux américains ce sont les pays européens et c’est pour ça que dans les mois qui viennent on va en prendre plein la figure.
Nous avons revu La Reine Margot (version inédite) hier soir. Certaines scènes avec Isabelle Adjani sont pieusement placées sous le signe de l’Esprit Sein. Magnifique. Hallelujah!
Nous avons revu La Reine Margot (version inédite) hier soir. Certaines scènes avec Isabelle Adjani sont pieusement placées sous le signe de l’Esprit Sein. Magnifique.
Le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie reconnaissent officiellement l’État de Palestine
Beaucoup de gens auront à se souvenir de leurs blasphème au Jour du Jugement.
Une version plausible de Dieu :
D,
Deux questions seront posées aux humains le Jour du Jugement :
Durant votre vie terrestre, avez-vous :
– Donné de l’amour aux autres ?
– En avez-vous reçu des autres ?
Oui, Dédé, on sera tous jugés le Jour du Jugement dernier… Par Amour.
Dans la mythologie grecque, Stentor (en grec ancien Στέντωρ / Sténtôr) est un crieur de l’armée des Grecs lors de la guerre de Troie.
Son nom vient du verbe στένειν / sténein qui signifie « gémir profondément et bruyamment, mugir »[1]. Il reste dans l’expression populaire « avoir une voix de Stentor » qui, dès l’Antiquité[2],[3], signifie avoir une voix très puissante, retentissante et parfaitement audible.
Il n’apparaît pourtant qu’une seule fois dans la littérature grecque[4],[5] et de manière indirecte, lorsque, au chant V de l’Iliade, Héra revêt l’apparence de ce personnage pour encourager Diomède et ses hommes face à l’assaut troyen :
« Héra, la déesse aux bras blancs, s’arrêta et, prenant les traits du valeureux Stentor, qui, de sa voix de bronze, faisait autant de bruit que cinquante hommes, s’écria […][6] »
Il partage avec Achille sa « voix de bronze »[7].wiki
et aussi!
Stentor Instruments à Cordes Frottées
@ l’Esprit Sein (de ralph gibson). Excellent…
au retour de fort Lupin (aux Patrimoniales ouvertes)
https://www.rochefort-ocean.com/decouvrir/la-route-des-forts-du-littoral-charentais/le-fort-lupin-a-saint-nazaire-sur-charente
Léautaud
Ayant entendu Paul Léautaud parler à Robert Mallet, je décide d’acheter ses chroniques théâtrales, parues sous le titre « Le Théâtre de Maurice Boissard ». Je vais sur Amazon. Je trouve un livre.
Il reste un exemplaire. Prix : 2000 euros.
Je vais réfléchir.
Merci pour le dictionnaire, Etalii. Indeed la voix de Dame clopine, un temps voutée, mérite les hautes voûtes.
Excellent Boissard, le théâtre dans la critique. Deux mille euros, un coup de Bezos, changez de crémerie Mr Charoulet. Léautaud déjeunait souvent dans une crémerie , et pas de yaourts.
quand je pense que j’avais revé de Talleyrand!
Pied bot ou gevrey chambertin ?
2000 euros…C’est un. Prix de grand Pap’ , ça ! Encore faut-il qu’il soit complet…
Les exemplaires de premier tirage du Théâtre avec envoi à Gandon et Jean Schlimberger oscillent sur le net entre 350 et 450. Il n’est pas fait mention du papier, qui peut influencer le prix , ni de la tomaison ( 2 volumes) , mais dans tous les cas, on est loin de 2000! Le tirage lambda, lui, va chercher dans les 30-40 euros…,
Vous avez raison Paul, littérature engagée n’est pas la bonne expression; d’autant moins que l’on dit souvent que toute littérature est « engagée »…
Littérature militante ou démonstrative est plus exacte. Vous imaginez Angot expliquer au lecteur les raisons sociologique de ses souffrances comme l’aurait souhaité Clopine? Son livre deviendrait parfaitement ridicule.
La fausse pléiade d’ œuvres de Léautaud publiée par le Mercure de France contient les chroniques de Maurice Boissard. En ce moment autour de 80-100 euros sur Rakuten. J’ai dû payer le mien autour de quarante euros et les deux volumes Gallimard 60…
Il y a quatre-vingt ans le Japon signait sa capitulation dans un cuirassé états-unien dans la Baie de Tokyo. Le généralissime MacArthur officiait.
Les U.S.A. devenaient la seule grande puissance, la Russie loin derrière. L’Empire états-unien s’agrandissait de tous les pays dépendant de lui; la bannière étoilée ne flottait pas sur eux, car ce pouvoir se voulait doux, jusqu’à ce que Washington décide de fourbir les armes et remettent les pendules à l’heure.
Le président Trump a laissé tomber les gants et insiste, tel un caïd, qu’on se rende à tous ses caprices. En prenant ses vassaux un par un, il empêche leur unité et rend plutôt illusoire leur potentiel de résistance. Israël en profite. La Chine attend son heure, tissant des liens avec les alliés des U.S.A. traités cavalièrement par Trump & Co. Et Poutine agace un peu tout le monde.
@Bihoreau, duc de Bellerente dit: 21 septembre 2025 à 16h39
C’est le prompt que vous suggérez à renato de soumettre à son armada d’IA pour nous amuser durant la semaine prochaine ? keupu va avoir du fil à retordre
Tu crois savoir, Maurice, mais tu sais mal. Le premier commandement est d’aiper Dieu par dessus tout. Et en même temps le prochain comme soi-même. L’un ne va pas sans l’autre.
Ne pas croire en Dieu Père Fils zt Saint Esprit. pour qui a eu connaissance de la venue du Christ, est un péché d’une extrême gravité. Un péché assurément mortel, qui ne peuvent aucun cas ouvrir les portes du paradis éternel, car ce lieu rayonne de la lumière divine et ceux qui ont renié Dieu n’y entrent JAMAIS.
www.http://www.eglisecatholique-ge.ch/actualites/les-10-commandements-de-moise/
Malheureusement, Langoncet est victime de ses préjugés et de son moralisme d’Ayatollah : et PJH n’est pas pudique et ainsi de suite — l’un de ceux qui croient qu’il suffit de citer les Ramones pour être sur la vague.
Vous avez toute votre vie terrestre pour reconnaître Dieu Père Fils et Esprit-Saint. Toute votre vie terrestre.
C’est tout.
« Donald Trump assure qu’il aidera à défendre la Pologne et les pays baltes en cas d’escalade russe » : est-ce qu’il a finalement atterri ?
Seuls les archaïques et les ignorants font du prosélytisme, et ennuient les autres avec des dogmes et des croyances apprises par cœur e dont ils ne comprennent pas le sens.
« votre drame »… n’est pas que le vôtre.
c »est ^peiy-$etre l’aspect,et le seul sous lequel l’écriture est thérapeutique
renato,c’est vite dit, vite jugé, méfiez vous
«… méfiez vous… » ?!
Et pourquoi au juste, et alii, existe-t-il un tribunal secret qui peut me condamner et me tuer dans la rue ?
renato
votre question est difficile mais tres intéressante!
« Tout grand esprit est archaïque ».
Nietzsche.
Nietzsche… euh. Non rien.
Bon, ce n’est pas un scoop littéraire, mais pour répondre aux calomnies de Bernard Arnault, Zucman a reçu en 2023 la Clark Medal, comme meilleur économiste de moins de 40 ans basé dans une université US, (dans ce cas, Berkeley), récompense par l’AEA qui n’est pas du genre gauchiste. Quantifications de l’évasion fiscale à l’étranger.
Fort heureusement, dans ce cul de basse fosse, ce sont les ânes qui terrassent les esprits libres
(Une autre figure du prêtre, du gardien de la loi « quoi qu’il advienne »)
Tout ce dont je me souviens est qu’il a tenu à renvoyer l’armee américaine installée dans différentes bases sur le sol français. C’est peu […]
Pour comprendre etc.
B.
C’est énorme.
Il a dit aux Américains Go home.
Pas d’ingérence, pas d’i fluence.
On a gardé les chewingues comme et les bas nylon.
Ils ont gardé un amour infini d ela France
Il suffit de voir, a ses obsèques, Romain Gary dans son blouson d’aviateur, le respect manifesté pour comprendre le sacré meneur d’hommes que CdG a été.
Et pourtant, au tout début, il n’a pas été tendre avec Romain.
Tous ceux qui arrivaient étaient des « têtes brûlées ».
Loti aussi, en tant qu’officier, a été très aimé par ses hommes. C’est un signe qui ne trompe pas sur les qualités humaines qui dépassent les qualités de commandement militaire ou de navigation.
Quand on est un chef et aimé par ses troupes, on a tout gagné.
Jean Langoncet dit: 21 septembre 2025 à 19h21
Fort heureusement, dans ce cul de basse fosse, ce sont les ânes qui terrassent les esprits libres
Tout comme dans la vie, quoi, sauf lieu exceptionnel ! Où au lieu s’adaptent les individus.
Je suppose que traiter une femme d’impudique après avoir mis en ligne une chanson du barde étasunien soit une preuve de liberté d’esprit.
Bernard Arnault n’est pas un âne, rose ; et, à ma meilleure connaissance, il n’évolue pas non plus dans un lieu exceptionnel sur le plan de l’esprit
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