Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire
Un malaise s’installe, un certain trouble nous enveloppe, puis nous envahit avant de nous hanter durablement. C’est la magie Modiano, dès l’entame. Rien à expliquer sinon cela n’en serait pas. Un homme trouve un carnet d’adresses perdu et insiste pour le ramener à son propriétaire. Mais en le feuilletant, il tombe sur un nom pour lequel il manifeste une intense curiosité. Son insistance n’est donc pas gratuite.
Dès la première page de Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier (160 pages, 16,90 euros, Gallimard), roman sans dédicataire, fait inhabituel chez cet écrivain, tout est installé à commencer par l’atmosphère. On s’y croit, on y est. on y croit. Ce n’est pas pour rien que Modiano passe pour l’héritier de Simenon. L’incipit (« Presque rien »), puis l’identité du personnage principal (Jean Daragane), enfin le mot sous l’empire duquel se placera l’action (« légère »). Là où tant de romanciers se perdraient à définir ce que peut bien être un ton de maître-chanteur, deux mots surgissent mais si justes qu’ils se suffisent : « une voix molle et menaçante ». De quoi en faire un leitmotiv. En quelques lignes, tout est joué dans la plus extrême économie de moyens. En avançant en âge, Modiano se dépouille. Le grand art est d’y parvenir sans donner la moindre impression d’assèchement Le spectre de la solitude est déjà là qui planera sur tout le roman. D’autres personnages surgissent. Autant d’identités : Gilles Ottolini, Chantal Grippay, Maurice Caveing, Annie Astrand…
Modiano s’y livre à sa passion du cadastre. Rien ne l’enchante comme de trouver des vieux annuaires dans un marché de province. Il se délecte des numéros de téléphone d’autre fois. Ses livres sont pleins d’adresses : cette fois un 42 rue de l’Arcade, une rue Laferrière, un 18 rue Alfred-Dehodencq et un 73 boulevard Haussmann à la sonorité si proustienne dont on imagine sans mal qu’il recèle quelques uns de ces immeubles à double issue qui fascinent l’auteur, comme l’était celui où, jeune homme, il rendait visite à son père à son bureau, entrant rue Lord Byron et ressortant aux Champs Elysées. On l’imagine se royaumer en une pléiade d’annuaires périmés.
Jean Daragane, l’anti-héros de ce roman, est un homme en retrait. Il ne cherche pas à se faire de nouveaux amis, bien que sa courtoisie naturelle l’empêche de se montrer indisponible. L’Histoire naturelle de Buffon suffit à son bonheur. Il est de ces piétons de Paris qui savent distinguer un charme d’un tremble, et s’arrêtent pour parler aux arbres ; ils seront toujours là tels un point fixe, le seul susceptible de le raccrocher tant à la nature qu’à la culture. Une guerre ne modifierait en rien ses rapports avec un arbre ; il y verrait une balise rassurante dans un paysage dévasté. Jean Daragane incarne mieux que tout autre la fameuse maxime du naturaliste « Le style est l’homme même » que la vox populi a dégradé en « Le style, c’est l’homme ». Gilles Ottolini, l’homme qui vient troubler sa solitude, est un jockey raté devenu un parieur compulsif, auteur du Flâneur hippique aux éditions du Sablier.
Un détail suffit à préciser l’époque sans lourdeur : l’usage d’un téléphone portable. Les voici donc les deux partis à la recherche de ce mystérieux personnage qui n’est qu’un nom, Guy Torstel. Chemin faisant, notre anti-héros s’apercevra que cet homme qui ne lui était rien a pu jouer en coulisses un rôle insoupçonnable dans sa vie. Leurs pas les mèneront du côté de Saint-Leu-la-Forêt, un petit coin du Val d’Oise qui s’enorgueillit d’avoir abrité la pianiste Wanda Landowska et le poète Olivier Larronde, dans une maison d’un étage rue du Docteur Voustraat, réminiscence de celle de la rue du docteur Kurzenne à Jouy-en-Josas où le jeune Modiano et son frère Rudy vécurent une partie de leur enfance et que le dessinateur Edgar P. Jacobs immortalisera dans SOS Météores, l’une des aventures de Blake et Mortimer… Le genre de hasard inouï que l’écrivain commenterait à son habitude par un énigmatique « c’est bizarre … ». En enquêtant sur un épisode de son enfance, son personnage principal finit par ses demander s’il n’a pas rêvé car ses souvenirs ne concordent pas avec ceux des témoins. Soudain tout est brouillé, le réel vacille, l’imaginaire gagne. Alors autant rêver sa vie plutôt que de chercher vainement à en reconstituer les travaux et les jours ; autant rendre les armes quand s’impose un je-ne-sais-quoi de ouaté. L’été s’y inscrit comme « une saison métaphysique », ce qui rapproche davantage encore de la poésie urbaine d’un Chirico avec ses grandes places vides et écrasées de soleil.
Le temps rend le passé translucide. Cela n’a jamais été aussi vrai que dans ce roman plein d’échos assourdis de Remise de peine (1988), aussi discret que lumineux car l’Occupation n’est pas là pour faire écran. Cette fois, c’est ici et maintenant même si l’époque et les contemporains n’y sont guère envahissants. « Depuis dix ans déjà on avait changé de siècle », voilà et il est inutile d’en rajouter. La quête de la légèreté, cette inaccessible étoile, se fait par petites touches imperceptibles. Aux autres les grandes machines romanesques, leurs intrigues en machicoulis, leurs architectures chorales et leurs bavardages infinis ! Patrick Modiano a compris de longue date qu’il ne sait faire qu’une chose et qu’il serait fol de creuser le sillon d’un autre. Il compose et écrit en miniaturiste persan. La sagesse, c’est de le savoir et de s’y tenir. Ainsi construit-on une œuvre pérenne dans la durée. Cette fois, Stendhal s’est invité dans l’épigraphe : « Je ne puis pas donner la réalité des faits, je n’en puis présenter que l’ombre ». Tanizaki n’est pas loin car Modiano a écrit là son propre éloge de l’ombre ; il y a condensé son art poétique en une centaine de pages.
Les gens de Modiano sont naturellement mystérieux ; ils le sont comme tout le monde. Le romancier aime à citer ce jugement de Samuel Beckett sur Proust lorsqu’il en dit trop sur ses personnages : « Les expliquant, il épaissit leur mystère ». Ce qui renvoie à ce mot de Jean Paulhan peu importe à propos de qui : « Il gagne à être connu, il y gagne en mystère ». Avec Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, le fidèle lecteur de Modiano est assuré de mieux s’y retrouver dans son univers. C’est un traité de géographie urbaine à usage des piétons du Modianoland, le plus proche des pays lointains. Un précis plus exactement mais qui serait gouverné par l’imprécision.
Au fond, ce n’était pas un roman mais un rêve de roman, une buée de fiction, qui s’achève comme elle a commencé, sur presque rien. Mais quelle émeute de détails contient ce rien ou presque ! Tant de finesse et de subtilités dans la recherche incertaine d’un équilibre confèrent son halo secret à ce livre. Pour ouvrir une brèche dans le temps, l’auteur s’est appuyé sur la perte d’un carnet d’adresses et sur l’absence qu’elle creuse en nous. Qu’importe au fond ce que soit un objet ou une personne : seul compte le manque qui avive la mémoire.
Ici, c’est un objet. Chez Annie Ernaux, c’est une personne. Sa mère qui une fois encore domine son dernier livre. Ce ne sont pourtant que des entretiens. Mais autant ils étaient ratés et exaspérants la première fois qu’elle avait consenti à l’exercice il y a une dizaine d’années à cause des questions de son interlocuteur Frédéric-Yves Jeannet (L’écriture comme un couteau chez Stock), autant cette fois, avec Le vrai lieu (120 pages, 12,90 euros, Gallimard), le résultat est lumineux grâce au dispositif mis en place par son interlocutrice, la documentariste Michelle Porte. Séduite sinon conquise par le films que celle-ci avait consacrés aux lieux de Virginia Woolf et de Marguerite Duras, la romancière est donc retournée sur les lieux qui ont compté et comptent encore pour elle : celui de l’enfance et de l’adolescence (Yvetot), celui des études (Rouen), celui de l’accomplissement (Cergy). Y revenir non pour expliquer l’implacable et poignante beauté des Armoires vides, de La Place, de Passion simple, de La Honte ou des Années, mais pour mieux cerner le terreau où tout cela a poussé. Les familiers de cette œuvre devineront sans mal que l’écriture est son vrai lieu. Sa seule et unique maison depuis son plus jeune âge. Là qu’elle s’est mise à l’abri du monde et qu’elle n’en ait jamais vraiment sortie.
Ces entretiens ont ceci de remarquable qu’on y entend la voix de la romancière. La vérité personnelle de l’oral y rejoint la vérité universelle de l’écrit. Cette conversation participe pleinement de son œuvre en ce qu’elle ne provoque pas de hiatus avec les textes ; ils produisent le même son. Ce qu’on appellerait également un style, c’est à dire un accord secret entre la voix profonde de l’écrivain et les ressources de la langue. Celui d’une femme née en 1940 dans une famille modeste de la province normande, qui s’est enfouie/enfuie très jeune dans les livres pour n’en jamais sortir, et qui s’est décidée à écrire pour « venger ma race ». Elle a les mots juste pour dire ce que peut avoir d’écrasant la vue des immeubles patriciens de Bordeaux où les murs des maisons respirent « cette puissance ancienne d’un ordre social, de l’argent ».
Bien qu’elle ait passé la ligne en devenant professeur agrégée de Lettres modernes, elle se sent toujours dans l’entre-deux, inacceptée car étrangère à ce monde. Il y a dans ces pages sur le sentiment de l’effraction sitôt franchies les limites invisibles de certains arrondissements cossus de Paris, davantage de vérités que dans bien des enquêtes de sociologues sur la domination. Chez Annie Ernaux, la question sociale, et donc politique, est toujours tapie sous la littérature, son prestige qui éblouissait sa mère jusqu’à lui faire oublier le reste, le livre considéré comme un objet sacré jusqu’à se laver les mains avant de s’en saisir. La petite fille qu’elle fut, elle, n’oublie pas les scènes des parents, les reproches, les hurlements, les coups, la violence et cette scène traumatique entre eux aperçue dans la cave. Un instant décisif que ne réussira pas à balayer le leitmotiv des familles censé tout mettre à distance : « Bon, c’est fini, on n’en parle plus ! » Annie Ernaux touche les lecteurs parce qu’en parlant d’elle, elle leur parle d’eux ; elle a trouvé le point de rencontre sans quoi un récit demeure sans autre avenir que celui, très éphémère, de la nouveauté. Son lieu, l’écriture. Il n’y a pas en sortir. C’est son monde à elle entre celui d’où elle vient en pensant l’avoir trahi car quitté, et celui où elle a été en pensant n’y avoir pas sa place.
La littérature n’est pas la vie mais son éclaircissement. Toute la Recherche du temps perdu le murmure. Annie Ernaux et Patrick Modiano avancent sur le fil incertain de leur mémoire. En y mêlant les mémoires diffuses de leurs personnages, ils sauvent quelque chose d’un temps qui ne sera plus et l’inscrivent dans l’Histoire. A jamais ?
(« Biarritz en hiver » photo Passou ; « Patrick Modiano en pèlerinage rue du docteur Kurzenne à Jouy-en-Josas » photo Gilbert Nencioli ; Annie Ernaux photo Olivier Roller)
P.S. du 6 octobre : Ici un éclairant entretien de Patrick Modiano sur le plan de roman policier de son dernier livre.
1 191 Réponses pour Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire
Bref, c’est une connerie !
Essayez au moins d’être bref.
« soca pic », lâchez-moi les Sportiva, clear ?
merci W. je me permets de recopier si vous permettez, je vais essayer de comprendre, c’est ardu quand on commence à retravailler les premiers jets, certaines fois je merde vraiment, mais si je ne me lâche pas n’importe comment je n’avance pas dans ce que je veux pondre.
sur ce ZZZ. Buena notte.
des journées entières dans les arbres dit: 29 septembre 2014 à 21 h 16 min
« soca pic », lâchez-moi les Sportiva, clear ?
Widergänger dit: 29 septembre 2014 à 21 h 16 min
Bref, c’est une connerie !
Essayez au moins d’être bref.
Absolutely Sweet Marie: http://www.chartsinfrance.net/Bob-Dylan/id-100311580.html
Je comprends qu’il faille noyer le poisson Modiano, mais quand même, Phil avait initié une vraie réflexion sur l’art d’enfumer.
Et dieu sait qu’il en existe des enfumeurs prêts à faire s’apitoyer, n’est-ce pas.
L’Hopital qui se fout de la charité!!!!
Widergänger dit: 29 septembre 2014 à 21 h 16 min
Bref, c’est une connerie !
Essayez au moins d’être bref.
Widergänger dit: 29 septembre 2014 à 20 h 58 min
Vous me faites rire avec votre passé composé. J’voudrais pas jouer au cuistre, mais enfin, faut se référer à nos maîtres. Je vous fais rapido un cours de narratologie niveau 5ème pour vous remettre un peu les idées en place.
Or, en l’occurrence, le maître ès temps c’est Benvéniste. Dans la théorie de Benvéniste, il y a deux systèmes temporels : les temps du récit versus les temps du discours. Dans le système temporel du récit on emploie les temps suivants : Passé simple, Imparfait, Plus-que-parfait, conditionnel ; dans le système temporel du discours on emploie : présent, passé composé, futur, futur antérieur, imparfait.
Le passé composé fait partie du système temporel du discours qui inclut le présent. Le passé composé a deux valeurs : tantôt il exprime une action simplement passée ; tantôt il exprime le résultat présent d’une action passée.
Les écrivains modernes ont tendance à écrire des textes dans le régime temporel du discours (depuis Céline qui joue des systèmes temporels pour tourner en dérision une certaine façon de raconter les histoires avec les conventions de la « bonne » littérature, et surtout L’Etranger de Camus).
Le passé composé n’induit pas forcément le sentiment de mélancolie. Un grand écrivain nous donnera à sentir la mélancolie avec le passé simple aussi en utilisant précisément la mise à distance qu’il implique comme vous le dites très justement. La différence fondamentale, c’est qu’on a le sentiment d’entendre un discours et non pas tant un récit, avec le système temporel du discours. C’est particulièrement manifeste chez Thomas Bernhard, et c’est ce qui lui permet ce ton si particulier à ses « récit », comme une imprécation, un emportement à la Isaïe. Toutes choses qui seraient tout à fait impossible à créer en utilisant le système temporel du récit (passé simple, imparfait, Plus-que-parfait, conditionnel). C’est le grand apport de la littérature moderne depuis Céline et Camus. Le Nouveau Roman a raffiné avec l’utilisation d’un présent aux mille nuances comme les mille nuances de gris. Un présent qui souvent oscille dans l’incertain entre des statuts fort divers : présent de la conversation dit présent d’énonciation, présent atemporel dit présent de vérité générale, présent de narration qui est censé remplacer un passé simple pour rendre la scène passé présent dans le temps même de l’énonciation, et différents autres présents très subtils qu’un critique s’est plu à analyser dans un ouvrage savant en prenant surtout comme illustration des textes de Robbe-Grillet.
Je ne sais pas si Modiano use de ces subtilités pour créer ses effets de sfumato dans son récit. Mais on trouve aussi de tels procédés chez Virginia Woolf, qu’analyse plus ou moins Auerbach dans le dernier chapitre de Mimesis.
Bref, il est pas content.
Bref, C’est bien de se rejoindre sur un truc pas clair: sfumato, enfumage.
Il faut aussi préciser aux littéraires purs et durs que Benveniste avec sa mémoire de l’eau est un maître es enfumage.
Encore un qu’a pas tout compris. C’est pas le même Benvéniste, mon petit chéri.
ah bon ML, ils sont plusieurs ?
soca-pic, je connais!
Il avait un blog délirant avec beaucoup de cul,de fouet et de la crème fraîche, même qu’il s’est fait censurer, est-ce exact?
Une salve à Jean-Jacques Pauvert!
Un bloc s’ abîme dit: 29 septembre 2014 à 21 h 54 min
soca-pic, je connais!
Il avait un blog délirant avec beaucoup de cul,de fouet et de la crème fraîche, même qu’il s’est fait censurer, est-ce exact?
Une salve à Jean-Jacques Pauvert!
et aux plates bandes d’amarantes, si vous voulez
Ah, soca pic, c’ était sur plateforme overblog!
Vous croyez ? Je ne sais plus, mon berger belge m’a fait faux bond
soca pic, vous remplaceriez haut la fesse le boug local, vous êtes mieux en jambe aussi!
Bon, 37 milliards partis en fumée en cadeau aux entreprises sous le couvert de la formation et maintenant on cherche à régler 2 milliards de trou de la sécu en réduisant les aides.
Pourquoi pas ? Le seul hic et qu’une fois encore, ça se fait sous une Présidence qui s’annonçait socialiste.
D’un autre côté pour des centaines de milliers de gens presque rien ne changera. La prime d’accueil du jeune enfant ? Ils ne l’ont jamais eu mais ont payé pour la sixième fois celle de leurs voisins, vous voyez lesquels ? Ceux qui les ont conduit à mettre leur enfant dans le privé pour assurer sa sécurité dans la cour de récréation. Ceux qui ont bénéficié d’un beau 4 pièces dans un immeuble neuf du quinzième parisien et ce sont empressé de mettre une parabole au balcon à la place des fleurs.
Alors finalement ces mesures, elles sont très bien.
(Vous voilà donc parvenu modo ici : greetings)
Sota la platana dit: 29 septembre 2014 à 20 h 43 min
euh…? rien à 17 h avec Marcel ?
et rien le lendemain avec Michel, prix Goncourt 2016 ?
C’est dommage d’avoir sous estimé le potentiel polémique d’une littérature du mentir de Modiano.
Puis, la mort de Pauvert, annoncée comme ça, avant l’heure, fut-il un « décalé », oui ça me met mal à l’aise :
Candie dit: 28 septembre 2014 à 23 h 32 min
l’ombelle des talus dit: 28 septembre 2014 à 22 h 17 min
« …Annie Ernaux et Patrick Modiano avancent sur le fil incertain de leur mémoire. En y mêlant les mémoires diffuses de leurs personnages, ils sauvent quelque chose d’un temps qui ne sera plus et l’inscrivent dans l’Histoire. A jamais ? »
http://vimeo.com/13400050
Appelez-moi versubtil et n’ en parlons plus, ce sera plus simple.
Giovanni Sant’Angelo dit: 29 septembre 2014 à 16 h 35 min
Vous êtes un petit marquis prétentieux, et pas très intelligent.
Y sont comiques chez Popaul. Le plus comique, c’est ce brave Court à la prose inimitable : « Darien, ce sont les Pharisiens, devant lesquels palissent bien des romans modernes. anti-héros, atmosphère grise, roman ou presque rien ne se passe, c’est très prenant. »
Faut imaginer un peu le table. Le Darien, illustre inconnu que quasiment personne ne lit. Le meilleur, c’est la chute : « rien ne se passe, c’est très prenant. » On en restera là. Sur ce paradoxe. Personne ne viendra nous l’expliquer. Personne ne demande non plus à ce qu’on le lui explique. Ils ont trop peur de demander l’impossible. D’autant que le Darien, personne ne l’a lu… Mais y sont d’un snob chez Popaul ! Y sont marrants.
Qui se souvient d’idiolecte ? Comme le temps passe…
Tout commentaire signé D. est un faux-vrai-faux.
Je n’aurais jamais écrit que Michel aura le prix Goncourt en 2016, je sais bien que Michel Houellebecq a déjà été lauréat.
J’ai lu Cartes et Territoire, gratuitement chez Gallimard, j’ai adoré, je suis moi-même un peintre hors-normes. Mon médium préféré, l’huile de foie de morue. Pour l’odeur, cela attire mon chat.
Arrête, wider. Je l’ai lu, moi, Darien.
Deneb dit: 29 septembre 2014 à 22 h 39 min
Cette usurpation de pseudo est l’œuvre de TKT, que tout le monde aura reconnu, comme dit ueda.
Arrête, t’es bon Darien !
Attention D., tu nous fais passer pour des fascistes nationalistes de l’extrême-droite. j’ai des voisins non Français-de-souche, ils n’ont pas de parabole sur leur balcon. Dans mon HLM il n’y a pas de balcon.
Même que je l’ai lu un été, je me souviens, je crois bien que c’était dans les environs de Toulon, Var, chez ma cousine.
Ta gueule, TKT.
Thierry, vous n’êtes plus drôle. Ça suffit maintenant, les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures.
Deneb dit: 29 septembre 2014 à 22 h 39 min
et rien sur le « mentir-vrai » ?
Pauvre Bérénice ..
Meuh on cé pas Daaphnée qu’a écrit ça t’es con béré épicétou
Bon c’est truffé de fautes comme la dinde d’autres choses.
Tu vois ben que quen tu cherches tu trouves tes qualités béréréninisse
…
…@,…Sergio,…à 17 h 00 mn,…
…
…comme cela,…vous voyez,!…les différences entre les yin’s & les yen’s,!…je ne vois riens du tout,!…
…je connais le patois de mes parents, & rien d’autres,!…
…de toutes façons tout le monde semble vivre très tranquilles entre-eux,…sans moi,!…Dieu, Merci,!…qu’ils continuent,!…
….j’ai pas de partis pris,!…et me lave les mains, de tout ce que je ne connais pas,…déjà existe t’il,…comme interventions – extérieures,…pour réalisez des rixes entre siciliens,!…je l’ignore à qui profite les crimes passés, tout baigne cool, en ce moment,!…que cela, continue,!…
…de toute façons, d’aussi loin entre les origines,…et le sommet de mes préoccupations actuelles par les livres,!…et mes réflexions,…il y à des galaxies qui nous séparent,…entre le moyen-âge social made of U.S.A.,…et l’impérialisme de mes convictions philosophiques plus ultra, que simples sophiste de soumis à gérer,!…avec croix ou mini-jupe à gauche,!…Ah,!AH,!…Bip,!Bip,!…Go,!…
…un démoulé en relief sortis de sa coquille, en quelque sorte,!…envoyez,!…etc,!…
…toujours laisser les gens tranquilles,!…s’ils sont contents entre-eux,!…dans toutes les régions en €urope , comme ailleurs,!…etc,!…
…
…des petits jobs à terminer,!…
…mais de toute façon, le rôle de la Sicile-libre,…aujourd’hui,…n’est imaginable, qu’avec ses alliances au dessus de sa tête,…pour le théâtre d’opérations ou les événements la contraigne,!…dans la Méditerranée,!…
…alliances soumises,!…Go,!…etc,!…
…c’est très, très loin le Frédéric II,…après les Haute-ville,!…etc,!…les Barcelonais à Athènes,!…près ou moins de mille ans, avec la chute de Constantinople-Bysance,!…une civilisation disparue,…une de plus,!…etc,!…
…
Daaphnée ? T’es là ?
Bureau Veritas dit: 29 septembre 2014 à 22 h 42 min
ce pseudo est approprié.
« Le mensonge est à l’origine de ses fictions, mais c’est ce qu’Aragon appelait «le mentir-vrai», indispensable mélange de souvenirs et d’invention »
http://www.la-croix.com/Culture/Livres-Idees/Livres/Le-mentir-vrai-de-Patrick-Modiano-_NG_-2011-01-12-561792
On peut en parler ?
Non, sérieux, wider, Le Voleur de Darien, c’est vachement bien.
En fait je pense que ça met les foies à quelques personnes sur ce blog. Donc Deneb, vous feriez mieux de faire profil bas, et cuvez moins bruyamment.
Un père qui ment, c’est le sujet ?
Murmures ; feu Pauvert s’invite enfin
Ou, un peu plus hard, un père qui avoue un truc innommable sur le tard, c’est modianesque, à votre avis ?
Il aura été …
Candie dit: 28 septembre 2014 à 23 h 32 min
Je ne sais pas …
Si je pose des questions indiscrètes, il faut me le dire.
Je vous préviens tout de suite que demain je ne commente pas.
en soutien aux pharmaciens.
…
…@,…des journée sur( … ),…à 22 h 32 mn,!…
…
…c’est ces histoires,! pour faire sa soupe, de son cinéma vécu,!…moi je joue aussi aux échecs,!…et personne ne m’impressione vraiment,!…
…j’ai mes codes,…pour mes réflexions d’intérêts, chacun son savoir vivre,…mon père à aussi connu les bombardements, il m’en a raconter aussi,!…du management,!…etc,!…
…
…je ne savais pas pour le titre de marquis,…mais je ne suis ne de Sade, ni de Paretto,!…Ah,!Ah,!…
…il doit y avoir, concurrence légitime,…même si je suis l’ainé dans ma lignée masculine,!…
…
…& je ne connais pas mes devoir à faire,!…s’il y en a,!…à part manger un morceau de gros saucisson » Au pays des Bastides « ,!…etc,!…
…
Quand on dit que Patrick Modiano est un grand romancier, ça me gêne pour lui. Il mérite mieux que ce cliché.
Il semble qu’il approfondisse sa manière de livre en livre jusqu’à l’évanescence. C’est ça qui me paraît le plus intéressant. Une tentative de faire un roman avec presque rien. Que ce soit grand ou pas, au fond on s’en fout, ce n’est pas là ce qui compte.
Le saisir, c’est entrer dans l’art romanesque. Avec quoi fait-on un roman ? Telle est la question qu’il nous renvoie. Malheureusement on reste sur le seuil. Passou esquisse bien quelque petite tentative de réponse, mais on reste sur sa faim/fin.
Le début du livre d’Annabel Lyon est amusant.
Je vous le fais partager:
« La première fois que je demande à emporter un couteau au temple, papa me répond que je n’en ai pas le droit, car nous sommes macédoniens. Ici, à Athènes, il faut être née athénienne pour porter le panier contenant le couteau et mener la procession le jour du sacrifice » . S’ensuit l’égorgement de l’agneau ( un truc pour ados délurées)
« Giovanni Sant’Angelo dit: 29 septembre 2014 à 22 h 55 min »,
Tout cela,
c’est la faute aux guerres Puniques !.
»
Une tentative de faire un roman avec presque rien »
voui, madame la marquise, faut être au moins agrégé pour dire une connerie pareille.
De Charybde en Scylla,
bien avant Ulysse,
les siciliens connaissaient… .. .
Giovanni vous ne faites pas honneur aux Siciliens. Mais on ne comptait pas vraiment sur vous. Vous êtes gonflant et ronflant.
Andrea Camilleri, si vous ne connaissez pas, à votre âge, laissez tomber !
J’ai commencé à le lire sur Gallica. Pour l’instant je trouve ça quelconque, le Darien. Mais faut lire.
…
…@,…B comme BERLIN,… à 23 h 25 mn,!…
…
…Non,…les guerres puniques étaient indispensables,…
…à causes de la religion à » BAAL « ,…de la religion phénicienne-primitive et stupide,…à l’égal,…des religions » bloqués d’humanismes « ,…des mayas-incas,!…& autres supplices sur des innocents entre-eux,!…
…
…comme qui dirait, on comprend rien,!…bon,…on s’égorge pour se sacrifier au subconscient,…qui n’en à rien à foutre des finalités réalisés par l’espèce humaine qui se suicide pour se divertir,!…
…
…les guerres puniques, çà a été indispensable pour une société plus sociale de l’époque,!…
…Voilà,!…etc,!…
…
Vous fatiguez pas, pouvez pas comprendre, ça vous dépasse, Desjournées.
Widergänger dit: 29 septembre 2014 à 23 h 39 min
Certainement. Depuis Dalida.
Vous avez fait le 666ème commentaire, Michel.
Ça n’augure rien de très bon.
…
…@,…des journées sur les arbres,!…
…
…pour mes pensées & réflexions,!…
…je me suffit à moi-même,!…et la sicile,!…une case sur un échiquier,!…avec ou sans qui que se soit,!…
…sans plus,…
…elle est, comme elle est,!…j’y suis pour rien!…
…j’ai jamais donné de conseils ou projets de financements industriels,!…
…
…de toutes façons vivre avec des objections du matin au soir,!..pour se payer ma tête,!…
…autant faire des dessins,…et laisser se dérouler le monde sans ficelles,!…etc,!.
…Go,!…
Giovanni Sant’Angelo dit: 29 septembre 2014 à 23 h 50 min
Vous êtes un funeste ignare; je me doutais bien que du patois sicilien, vous ne connaissiez rien.
Que de chemin parcouru depuis lors :
http://www.youtube.com/watch?v=CiT_O90jkUI
…
…@…des journées sur ( … ),…j’ai rien à prouvé,!…
…
…( « nzanzanija » ( zizzania ),…zizanie,…
…
…pas le temps de jouer avec çà,!…sur les arbres,!…
…etc,!…trouve autre chose sur la poêle,!…
…Ah,!Ah,!…
fido boulette dit: 30 septembre 2014 à 0 h 03 min
non.
http://www.youtube.com/watch?v=2hhfScpi3Ts
Rôôô oui je revendique une appartenance à cette minorité, les comptes à la fluctuation permanente et constante ne réussissant pas à modifier la composition déséquilibrée mais je préfèrerais que soit employé le mot idiote, c’est plus élégant et je me sentirais un peu plus actrice issue d’un casting de rue qui aurait servi le film. La lecture qui ne s’impose pas linéaire a enregistré votre interpellation brève, je passe facilement au chinois la sauce républicaine, les pseudos en repères télégraphiques car il y en a marre et pas souvent malabar. La flemme met en échec les fumigations automnales .
Faudra-t-il attendre qu’un Crétin remplace un Crétin en 2017, afin que tout change pour que rien ne change ?
Que faire pendant tout ce temps…?
Lire Modiano et Ernaux ? Vous plaisantez, j’espère ! On peut être con, mais pas à ce point…
Il m’a fallu relire Dezsö Kosztolanyi (1885-1936), et un peu de Joseph Delteil, pour oublier l’odeur de la dernière merde d’Eric Rheinhardt … ce n’est pas pour me replanter avec les héros du billet passoulinien !
Prudence ! La lecture est un acte grave…
Pour comprendre : arrêtez tout !
Plantez vous un quart d’heure, dans la journée, immobile, au beau milieu d’une place ou le long d’une rue animée. Bien figé. Calme. Immobile de corps, avide de curiosité, le regard imperceptiblement mobile. Attentif à ce qui se passe autour de vous. ce que vous voyez et ce que vous ne voyez pas.
Vous la voyez l’explosion arriver au ralenti ? Vous la sentez venir ? Tous ces fragments en l’air ? Presque arrêtés ? Vous la voyez cette explosion de notre société ? …
Bonne lecture !
Modiano n’est pas lu aux US.
http://www.lexpress.fr/culture/livre/les-huit-secrets-de-patrick-modiano_949744.html
« cette explosion de notre société ? »
c’est flagrant surtout à pq
L’art curieux, subtil, décalé, art de dentellière de Patrick Modiano, avec son célèbre flou amnésique-comme on dit flou artistique- fait parfois penser à « l’armée des ombres, » de JP Melville, mais, aussi, parfois, nous réduit l’Occupation et l’après- guerre à quelques vieilles photos du studio Harcourt (Jean Marais, Gérard Philipe, Danielle Darrieux, madeleine Sologne,etc.). comme on en trouvait dans les salles de cinéma des années 6O.un artisanat d’éclairagiste.
673ème commentaire, je suis le meilleur.
Aujourd’hui, riz de camargue, tomates de mon jardin et prières, c’est la Saint Joseph.
673, c’est important !
6+3=9
9×7=63
« Magique » s’écria Alan Turing…
Je prie Eric Reinhardt de me pardonner d’avoir amoché son nom vers 5h52 en ayant posé un H de trop au milieu de son patronyme, orthographié Rheinhardt à tort.
Pour l’odeur, je ne change rien …
je prie JC… de se tirer vite fait d’ici à cause de son odeur nauséabonde
La raison de ce délicat parfum qui, à l’évidence, vous incommode est l’imprégnation résultant de la lecture de « L’amour et les forêts » … ça colle !
Amusant d’avoir associé Ernaux à Modiano. Moi qui suis totalement allergique aux romans du second, j’ai toujours l’impression que c’est une vraie lecture de classe -sociale, celle-là-, un accessoire pour vieilles beautés, de celles qui possèdent des armoires pleines de sacs à main, ont embouti des générations d’Austin Mini, – maintenant exagérément saisies, à force de griller au soleil de leur Lubêuh-ron.
à l’évidence dit: 30 septembre 2014 à 9 h 20 min
je prie JC… de se tirer vite fait d’ici à cause de son odeur nauséabonde
A côté de toi têtedecon, JC porte le frais parfum du grand large!
« Cela reste un peu mystérieux pour moi, cette musique de Modiano, ce charme auquel on se laisse prendre dès les premières lignes et qu’on retrouve avec bonheur, intact, de livre en livre. »
Très juste, Artémise. C’est par l’étrangeté de son célèbre flou amnésique, ainsi que le rappelle Paul Edel, qu’il parvient à faire émerger les bribes embrumées de notre propre mémoire, des « Je me souviens » collectifs d’un temps retrouvé circonscrit à deux générations : celle de nos parents et la notre. Pas celle d’après (là, c’est le domaine d’Houellebecq).
Je n’ai jamais compris la comparaison avec Simenon. Certes, comme lui, c’est un romancier d’atmosphère, mais il n’y a pas de meurtre ni de psychologie des personnages chez Modiano, seulement des états d’âmes flottantes.
« Moi qui suis totalement allergique aux romans du second »
Ce serait intéressant de nous dire en quoi Modiano vous dérange, Chaloux ?
« Amusant d’avoir associé Ernaux à Modiano. »
Peut-être la meilleure part de l’héritage « NRF » pour le biographe de Gaston et quelques autres ?
Paul Edel, est-ce que Rinaldi aime Modiano, je ne crois pas, pas plus que Ernaux sans doute ?
Je viens de pousser une pointe chez Mlle Wiki pour consulter la liste complète des livres de Patrick Modiano, et voir, si par hasard, en 40 ans de lectures diverses, euh euh, je n’aurais pas lu l’un d’entre eux …. on ne sait jamais…
Aucun souvenir. Absolument aucun ! Pas de risque d’allergie, donc … Bonne nouvelle !
Jacques, il ne me dérange pas, je ne peux pas, c’est tout simple. Pas plus que je ne peux lire Le Clézio. Je tiens d’un de mes grand-pères d’être incapable de tenir en main un morceau de coton hydrophile, c’est du même ordre.
TWEET TWEET
« Kamel Daoud lauréat du prix des 5 Continents pour son remarquable roman en réponse à Camus « Meursault, contre-enquête »
Le jury, présidé par Jean-Marie Gustave Le Clézio soi-même, a souhaité récompenser «un roman qui interroge nos aveuglements historiques toujours actuels et pose la question de la justice et de la prise en compte de l’altérité une fois apaisée la terreur coloniale.»
C’est pratique, effectivement, de répondre à un mort qui n’a pas jugé utile de se poser une question sans intérêt …. !
Heureusement, grâce à cet écrivain algérien, on enrichit Camus … et on lutte contre l’aveuglement, etc, etc*…
(Fou-rire sur divers bancs)
*Nous avons supprimé volontairement la logorrhée humaniste des pleureuses de service…
Jacques,
Rinaldi a écrit des vaacheries talentueuses contre Modiano, face aux agenouillementset révérences, acclamations jusqu’au dernier rang de la salle, applaudissements mécaniques devant chaque nouveau Modiano. Mais le voluptueux déchaînement de grand styliste corse ,façon saint simon , a culminé dans quelques papiers à l’acide chlorhydrique ,trouant le papier glacé de l’Express, pour se moquer de Le Clézio, que Rinaldi annexait à la collection « signe de piste ». Oui, il nous manque, la coup de patte du Grizzly Rinaldi, quand il était dans sa tanière de l’Express du temps de Revel… on manque de grands méchants loups dans la critique littéraire actuelle, on est dans le papier notarial , la chambre d’enregistrement, le compliment indécis, la ferveur parcimonieuse. On peut lire,bien sûr, Blanche neige et les sept nains du politiquement correct dans Télérama .
Oui, Chaloux, il y a quelque chose de cotonneux chez Modiano, ou de ouaté, comme des nuages de mémoire. Mais alors d’où vous vient cette allergie familiale pour le coton ?
…
…çà baigne dans les huiles, rien à ajouter,!…Flop,!Flop,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
Allez savoir.
Chaloux dit: 30 septembre 2014 à 10 h 31 min
Jacques, il ne me dérange pas, je ne peux pas, c’est tout simple. Pas plus que je ne peux lire Le Clézio.
Modiano jamais ouvert, Le Clezio ouvert et refermé (sauf le premier).
Ceci écrit à titre de simple donnée, comme on cartographie l’illétrisme.
Ça tient parfois à peu de choses.
J’ai du connaître un diplomate dont l’esprit était une sorte de coffee table, où étaient posés beaux livres et livres dont on parle.
Inculture bourgeoise de Passy (oui, Lubéron aussi).
Cet homme, ambitieux et petit de taille (hein), sautillait sur place en parlant de Place de l’étoile.
Depuis, j’avais toujours plus urgent à lire.
Naturellement, il ne tient qu’à moi, ces préventions sont stupides.
Lu hier soir le « Orient désert » de Millet, grâce à un intervenant (thank you).
Curieux régime, entre exaltation et dépression.
Quelque chose passe.
Il n’a pas manqué un éditeur à cet éditeur?
Les romanciers ratés : Sainte-Beuve, Rinaldi…, feraient-ils les meilleurs critiques ?
C’est tout à fait ça, Le Clezio, écrivain et héros sorti tout droit de « Signes de piste » !
ueda, avec les livres c’est comme pour l’amour, les rendez-vous manqués ne se rattrapent jamais !
Quoiqu’avec le film de Benoit Jacquot, « Trois coeurs », ils se rattrapent, mais alors, bonjour les dégâts !
Jacques Barozzi dit: 30 septembre 2014 à 11 h 04 min
ueda, avec les livres c’est comme pour l’amour, les rendez-vous manqués ne se rattrapent jamais !
Il pleut.
C’est bien le moment de me foutre le bourdon.
Je me souviens que le toujours cérémonieux Rinaldi avait écrit quelque chose du genre : »M. Le Clézio publiera son prochain roman dans la collection Rouge & Or ». Pour une fois, difficile de lui donner tort. J’ai moins apprécié ses très injustes sarcasmes sur Tournier qui continuait à publier de très bons livres.
Contre le bourdon, le bourbon !
Jacques, les ratés amoureux se rattrapent aussi bien que les lectures manquées. Il vous manque la lecture d’une lumineuse, et très juste, lettre de Proust à Louis de Robert (pas le temps de chercher).
Jacques Barozzi dit: 30 septembre 2014 à 11 h 04 min
les rendez-vous manqués ne se rattrapent jamais !
Attends-voir
En gros c’est vrai, mais après
Il y a les « Tu t’souviens? »
« Dès le début je t’ai aimé tu sais »
C’est gratifiant, et c’est sans risque.
On passe tout ça devant un verre dans le micro-onde de la nostalgie, et puis on laisse refroidir à jamais!
J’espère pour elle, qu’Annie Ernaux ne soit pas réductible à une littérature pour « venger sa race » ! Elle n’a pas du aimer « Pour en finir avec Eddy Bellegueule » ?
Clopine, au parloir !
Le problème avait Le Clézio, c’est vingt pages qui pourraient mener à quelque chose d’intéressant, et 300 qui ne servent à rien. Ça « coude » et ça tourne court. Et puis on a Conrad, qui ne coude pas et ne tourne jamais court.
« Arrêtez-tout »; JC mon maître et création, est un pseudo © de Michel Albakott. Comme pour Deneb, l’emploi est réglementé.
Rendez-vous manqués ?
No problem !
« Une de perdue, entre 10 et 100 de retrouvées ! »
Le problème avait
Le problème avec.
N’écrivez pas en partant!
Bien vu, Chaloux !
Il y a ceux qui sont écrivains, et ceux qui écrivent … et ce n’est pas pareil !
Ceux qui se rattrapent, Chaloux, livres ou amours, c’est que ce n’était pas la bonne heure pour le rendez-vous. Combien de livres, aussitôt refermés, me sont apparus lumineux longtemps après ! Mais il est des rendez-vous ratés à vingt ans qui ne seront plus jamais les mêmes…
…
…mes emails,!…allonge ta bite de 6 cm,!…qu’ils disent,!…mais enfin,!…je ne vais plus savoir la ramener,!…
…
…toutes ces couguars,!…mon dieu, qu’est ce qu’il y a comme mochetés,…je comprend pourquoi je ne suis pas tombé dedans comme une mouche à merde,!…
…de toute façon, il n’y rien d’autres,…
…il faut impérativement fantasmé,!…fantasmé,!…aux tourné-manège,!…
…
…en plus il faut faire un tri-postal,!…pour moi, rien que des scandinaves qui ne se sont jamais fait monter,!…je serais leur première expérience,…
…c’est tout juste,! un oeil pour se référer mon compte en banque,!…
…c’est réellement pour des touriste arabes ou des africains à se taper une blanche pour écouler leurs diamants-mous,!…
…
…on n’arrête pas le Progrès,…le discernement à l’équarrissage pour dégrossir ses plus-valus aux maquereaux en lignes,!…aux peaux-lisses,!…
…en passant,!…Ah,!Ah,!…Oh,!Oh,!…Go,!…Presto,!…etc,!…
…
Gianni, tu as raison d’être prudent !
jacques, je m’en vais, à peine le temps de vous répondre.
Seulement les rendez-vous manqués à vingt ans nous ont ouvert l’imagination et révélé une part inconnue notre sensibilité. Ils ont rempli leur mission.
de notre sensibilité…
« …mes emails,!…allonge ta bite de 6 cm,!…qu’ils disent,!…mais enfin,!…je ne vais plus savoir la ramener,!… »
Pendant ce temps, ueda tousse !
« Une de perdue, entre 10 et 100 de retrouvées ! »
dgiovani se fait des chaleur avec des cougars immontés..il met la barre trop haut
inmontée la cougar
Ma tête, l’autre jour, en contemplant un vieux lys qui me disait:
« je n’aime que les très jeunes… ».
On passe tout ça devant un verre dans le micro-onde de la nostalgie, et puis on laisse refroidir à jamais!
un drôle d’effet chaud froid d’jambon zouz..
(pas le temps de chercher).
il fait son rénateau..c’est le complet poulet gruyère..baaa
Chaloux dit: 30 septembre 2014 à 11 h 29 min
Ma tête, l’autre jour, en contemplant un vieux lys qui me disait:
« je n’aime que les très jeunes… ».
C’est poignant sur le coup.
Bah, c’est une vallée où vous n’auriez jamais mis le pied.
a culminé dans quelques papiers à l’acide chlorhydrique ,trouant le papier glacé de l’Express, pour se moquer de Le Clézio, que Rinaldi annexait à la collection « signe de piste ». Oui, il nous manque, la coup de patte du Grizzly Rinaldi, quand il était dans sa tanière de l’Express du temps de Revel…
ma parole polo a retrouvé son vieil opinel de jeunesse dans un tiroir..ça fait plaisir
…
…merci,!…les gars,!…très compréhensifs,!…
…
…autant se débrouiller , avec son tri à fantasmé,!…les seins menus,!…de préférence svelte,!…avec une sucette en main,!…le reste reste X,…enfin,…une petite fessée pour la voie de son maître,!…O.K.,!…
…c’est pas un puis de pétrole,!…etc,!…
…envoyez,!…sur la onze se la coule douce,!…Ah,!Ah,!…
…
Cher et respecté ami de blog, pourriez-vous demander à votre copain TKT d’arrêter de nous pomper le cul avec ses faux Deneb qui n’amusent personne à part lui ?
« …les seins menus,!…de préférence svelte,!…avec une sucette en main,!… »
GSA ne lit que des mangas japonais ?
Jacques, « volupté » de sainte beuve n’est absolument pas un roman raté.
Commence par cesser de le lui demander en mon nom, DeneD. !
« Une de perdue, entre 10 et 100 de retrouvées ! »
JC, vous êtes un grand frustré, vos échecs ne furent que professionnels ou politique ?
Un peu comme moi, je suis professionnellement toujours en bas de l’échelle administrative et politiquement, j’attends que Marine Le pen prenne le pouvoir, pour pouvoir être heureux parmi mes semblables.
« volupté » de sainte beuve n’est absolument pas un roman raté.
C’est pas gentil pour l’abondante production d’Angelo Rinaldi, Paul !
GSA ne lit que des mangas japonais ?
ha c’est pas du pichard c’est certain
D., je vous emmerde !
Vos armes de troll, appartiennent à tous.
Je ne suis pas la personne que vous croyez, vous aimeriez bien savoir qui je suis ? Peut-être suis-je un de vos personnages ?
« D. sur le fil incertain de sa raison »!
J’ai trouvé ça, la première phrase est très bien
«Monsieur Météo» sur le chemin de Stockholm
Peut-on rire de tout, y compris de J.M.G. Le Clézio ? En fouinant sur Internet, j’ai trouvé cet ahurissant couplet d’une admiratrice de l’écrivain à peine nobelisé, une certaine Aliette Armel. Elle décrit son émotion à l’annonce de la grande nouvelle : «Un rayon de soleil a alors troué les nuages noirs. Nous nous sommes mis à guetter dans les journaux, à la télévision et sur Internet les apparitions du grand homme blond, calme et réfléchi, à l’allure solaire.» En lisant ça, j’ai aussitôt repensé à une irrésistible vanne expédiée autrefois à l’auteur de Désert par Angelo Rinaldi. Il lui collait le sobriquet de «Monsieur Météo» pour souligner sa manie de décrire toujours des nuages, encore des nuages. Dans le concert de louanges accompagnant son élection par les Suédois, j’ai retrouvé partout la même dévotion, un peu forcée ; personne n’a avoué que les ouvrages du grand blond étaient d’un ennui mortel, d’une pesanteur égale, malgré ses efforts désespérés pour «faire style».
(Sorin)
Je suis du même avis que Deneb, nous sommes légion, cessez, D., de vous prendre pour un juge suprême.
Du temps où je réalisais de petites anthologies, j’ai découvert, notamment pour « Le goût de la Corse », Mercure de France, 2007, que l’on ne trouvait pratiquement plus les romans de Rinaldi dans les bibliothèques municipales parisiennes, seulement remisés à la réserve centrale d’où j’ai dû les faire ressortir !
Le commentaire pour Jacques Barozzi ne peut être écrit par moi.
Personne, n’aurait envie de me pomper le cul.
Deneb dit: 30 septembre 2014 à 11 h 46 min
Je ne suis pas la personne que vous croyez, vous aimeriez bien savoir qui je suis ?
Monsieur Kron, vos virgules intempestives vous trahissent, de même que vos obsessions.
(Pour votre gouverne, je ne suis quant à moi ni D. ni JC, mais libre à vous de le penser si ça vous rassure.)
…
…Jacques Barozzi,!…juste déjà être bien, documenté, se dire,!…Oh,!Non,!…pas celle là,!…
…elle fait dans le boute-en-train,…
…deux locomotives, devant & derrière,!…la palme en première,!…mais quelle glisse,!…
…un rodage à été bien orchestré,!…
…Non, çà ne me fait pas rire,!…ces beaux tissus de pure soie lâchées aux chiens-affamés,!…
…
…près,!…sur scène,!…tourner ,!…avec vos bites au zénith,…dépêchez-vous , la boite de Viagra est vide,!…il vous reste 45 mn,…pour les gros plans,!…avec la crème,!…
…on s’y croirait,!…enfin, quelle misère, en arriver là,!…c’est des » incroyables « ,…etc,!…
…
…on s’y croirait,!…enfin, quelle misère, en arriver là,!…c’est des » incroyables « ,…etc,!… (GSA)
Passe pour les incroyables, si ça donne accès à quelques merveilleuses
Juste une remarque pour le bon Contrevenant Widergänger : ça vaut la peine de lire Darien. Nous on a lu, comme pas mal par chez nous, « Biribi » et « Le Voleur ». Avec intérêt et plaisir, avant la réédition de Pauvert, et avant le film de Louis Malle.
Et puisqu’on y est, même recul devant Le Clézio (après « Le Procès verbal ») que celui de Chaloux, bons dieux !
Après « La Carmagnole »,
c’est ronde au Palais Royal !.
relisez les nouvelles de « la fièvre » avant de dire du mal de le clézio, les pommes..
D’accord avec C.P. pour Darien : vaut le détour (une sorte de Vallès en plus radical et plus cynique). Et, coup de bol, y a maintenant une édition Omnibus.
Mais ses pièces de théâtre sont difficiles à trouver. Les m.e.s. en mal d’auteur devraient peut-être y aller voir, qui sait ?
Et d’accord avec Paul Edel pour Le Clézio. Qu’on aime ou qu’on n’aime pas, c’est pas un type qui écrit pour passer le temps et c’est rare, de nos jours, les auteurs qu’on peut prendre au sérieux.
« Mais ses pièces de théâtre sont difficiles à trouver. Les m.e.s. en mal d’auteur devraient peut-être y aller voir, qui sait ? »
Surtout pour celles de Sade, qui doivent être jouées à l’asile seulement avec des fous !
Paul Edel dit: 30 septembre 2014 à 12 h 14 min
relisez les nouvelles de « la fièvre » avant de dire du mal de le clézio, les pommes..
Euh… les pommes doivent lire avant de relire
Tout est là.
(Pour votre gouverne, je ne suis quant à moi ni D. ni JC, mais libre à vous de le penser si ça vous rassure.)
Bof, pour les virgules, vous avez l’œil de Caïn:
Je vous corrige:
ni D., ni JC
Nous Deneb et D. et ses mille avatars nous sommes per se rassurés, seuls devant nous se trouvent Albakott et JC
« même recul devant Le Clézio »
Les récits, sur le cinéma ou l’enfance africaine valent le détour.
Je suis le grand maître de la ponctuation et de la ponctuation.
En fait, dans D., je suis surtout le point.
La fièvre monte à El Passou !
D., je vous emmerde !
Vos armes de troll, appartiennent à tous.
Je ne suis pas la personne que vous croyez, vous aimeriez bien savoir qui je suis ? Peut-être suis-je un de vos personnages ?
Si d’une fois que ça s’rait Cricri pur sucre on s’rait entub’ épicétou
On imagine sans peine l’incalculable quantité de tapuscripts qui reposent dans les tiroirs dans l’attente de lendemains glorieux… Voila offertes aux frustrés les conditions idéales pour dire du mal de ces tapuscripts qui ont rencontré les mains savantes des typographes…
relisez les nouvelles de « la fièvre » , les pommes..
Dis, tu l’aime ma pomme?
Je n’ai jamais, usurper le pseudo de D.bile. Je ne tolèrerais pas qu’on usurpe mes initiales et mon nom, donc je n’usurpe pas, celui des autres. Fazit.
Et Dieu créa la pomme !
Détourner n’est pas usurper, en effet !
Ineffable et potager Paul Edel, je ne parle pas de Le Clézio sans l’avoir ouvert, et bien souvent, ce ne serait pas dans mes habitudes. Qu’il ait écrit un bon livre, c’est bien possible. Ceci sera porté, sans le moindre débat, à son crédit. Mais il y a tant de merveilles que je n’ai pas encore lues, tant de beaux livres que je voudrais relire (toujours beaucoup relu), qu’il se passera encore du temps avant que j’aille y voir.
(Ueda, ni le pied ni la truffe. J’aurais l’impression d’être un personnage de Brel : »Au suivant…, au suivant… ». Pas dans mes cordes).
La fièvre monte à El Passou !
Un cavalier qui surgit hors de la nuit
Pour courir l’aventure au galop
Son nom, il l’écrit
de la pointe de l’épée
Jacot, jacoOOOOOOOOOOOOT
Prolétaires de la Lettre, pas de ressentiment devant les aristocrates!
Toi aussi, tu peux quitter un jour le minorat qui te caractérise.
« Il venait d’avoir dix-huit dents »…
Personne, ne peut m’usurper. La raison ? Je suis inimitable.
Chaloux, vous ne faites qu’entrer et sortir en courant, vous me donnez le tournis, seriez-vous portier au Grand Hôtel ?
Jacques, faut-il que j’avertisse du temps de mes absences?
Personne ne veut usurper une fausse-couche !
Chaloux, vous ne faites qu’entrer et sortir en courant, vous me donnez le tournis, seriez-vous portier au Grand Hôtel ?
On dirait de l’humour zurichois!
Monsieur Barozzi, le pseudonymisé Chaloux et vous n’êtes pas du même monde. Laissez tomber.
Vous hisser à sa hauteur vous donnerait le vertige.
Vous ne faites que çà, Chaloux : « je sors, un travail urgent, je prends la route, ma femme m’attend pour diner, des amis à voir, Pleyel mon piano !, un boulot urgent »…
Un manque évident de simplicité, monsieur le secrétaire !
Notre ami Jacques est de nature à lancer gaiment un « Les absents, levez la queue! ».
vous connaissez le mot fameux:
« Mourir pour le peuple? Sur l’heure ! Vivre avec lui? Jamais! »
D. le vrai dit: 30 septembre 2014 à 12 h 47 min
TKT, un conseil : avant de signer D. le vrai, effacez le nom de votre site web, ça fait désordre.
…
…Oui,!…bon,!…quel tournant,!…
…
…j’aurais mieux fait d’avancer autre chose,!…çà reste un sujet encore très sensible,…
…pour les écrivains un choix de remonter avec sa plume,!…en chef,!…etc,!…
…
Qu’il ait écrit un bon livre, c’est bien possible. (Chaloux)
Lisez « Désert », c’est un très beau livre, peut-être son plus beau.
Jacquot, je suis en effet, par altruisme, exigence et manque de sagesse, surchargé d’obligations. J’essaie d’y remédier mais sans grand succès. Mon rêve serait maintenant de ne plus rien faire.
Mourir pour le peuple? Sur l’heure !
du coeur..heureux d’vive..et courageux avec ça
Artémise dit: 30 septembre 2014 à 12 h 57 min
Merci, Artémise, c’est fait depuis plus de trente ans. J’avais assez aimé toute la partie en italiques, moins le reste.
haaa baroz sors sa rapière..à la fin de l’envoie il l’encule!
Vous remarquerez, Ueda, que je ne réponds pas (deux fois ce matin) à ce vieux fion pourri de b…
Je voulais dire « lion », bien sur…
On dirait que vous avez honte de venir poster ici, Chaloux, toujours a chercher à vous justifier et tenter de nous faire croire que vous avez mieux à faire… ailleurs ?
Dans le dégoût, abstenez-vous !
Personne, ne peut m’usurper. La raison ? Je suis inimitable.
ha dédé..le vrai s’imite, c’est son prope..
Jacquot, la retraite ne vous vaut rien. Devriez vous remettre au travail.
mais puisqu’il mourirait bien pour toi et sur l’heure baroz !..l’temps d’un allé et retour à la kommandantour
courageux! ..surtout courageux..j’ai dit courageux?
colonne de droite Meursault: il ne s’agit pas, chez A. Camus, d’inconscient colonial mais d’un aspect de la réalité de l’époque (cohabitation sur fond de méfiance et peur latentes) dans un roma, de 1942, qui n’est pas réaliste
ach, la kommandantur, vous connaître bien bouguereau, hein ? c’était le bon vieux temps !
tout le monde sait ici que Barozizi préfère l’habit de prêtre
bouguereau dit: 30 septembre 2014 à 13 h 07 min
kommandantour
boumou, je vois que tu n’apàprécies pas la concurrence.
Mais que fais-tu d’autre ici que d’exercer ta lochieuse police?
(Pardon, frère Ueda).
uéda sait bien qu’t’es un courageux au nerf d’acier cheuloux..
boumou, le pervers narcissique a du temps à perdre.
Pas moi.
« Bonne journée ».
et tenter de nous faire croire que vous avez mieux à faire… ailleurs ?
retournez au Canaries baroz, ça sentira moins le renfermé..
ça y est ils s’approchent tous les deux..je vais leur passer leur likoud à mes gogue et magogue
boumou, le pervers narcissique a du temps à perdre.
Pas moi.
courageux..jlavais dit..vava
Viens y voir, boumou, mais plus de vanteries après…
ho toi kiki..fais pas ton philosophe
..incapabe une seconde d’avoir un peu de moelle dans les vertèbes..
Ce connard de vieillard impuissant de boumou, qui croit que ça fait bien de dire qu’il va au putes (meuh non…) a encore un dernier argument : c’est lui le plus fort.
On se demande jusqu’où ira l’exhibition de ses auréoleuses misères.
Viens y voir, boumou, si c’est ce que tu veux…
tu trollais encore a toute heure hier mon cheuloux..lis moi mieux mon scrétaire..vite j’ai pléyelle
la dernière fois t’es allé t’coucher mon cheuloux..regarde les minutes sur la boite mail ou t’envoies mes posts.. »automatiquement »..hurkurkurkurkurk..bon je laisse barozoro te mettre ses 2 z sur ton muscle d’acier cheuloux
boumou, tu n’es qu’une minable petite frappe sur le retour, un pauvre type, j’ai perdu assez de temps avec toi.
Et puis, sache perdre. A quoi ça sert d’insister à ce point-là?
Tu ne te remettras jamais de la déculottée que je te mets depuis deux ans. Tu l’as cherchée, tu l’as trouvée.
Tu une grosse nullité, lourde et prétencelarde, qui s’en est certainement pris plein la tronche toute sa vie et qu’a pas encore compris où est sa place.
Accepte et lâche du lest, c’est tout ce qui te reste à faire…
il faut séparer vite chachalplayel et bougros avant qu’un drame affreux se produise
boumou va moucher rouge pendant tout un trimestre et ce sera encore ma faute…
bouguereau comme à son habitude écrit n’importe quoi sous n’importe quel pseudo pour faire descendre les grosses baffes qu il vient d’encaisser. Pauvre bougre.
pauvre bougre mais « technique ».
1191
commentaires