Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire
Un malaise s’installe, un certain trouble nous enveloppe, puis nous envahit avant de nous hanter durablement. C’est la magie Modiano, dès l’entame. Rien à expliquer sinon cela n’en serait pas. Un homme trouve un carnet d’adresses perdu et insiste pour le ramener à son propriétaire. Mais en le feuilletant, il tombe sur un nom pour lequel il manifeste une intense curiosité. Son insistance n’est donc pas gratuite.
Dès la première page de Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier (160 pages, 16,90 euros, Gallimard), roman sans dédicataire, fait inhabituel chez cet écrivain, tout est installé à commencer par l’atmosphère. On s’y croit, on y est. on y croit. Ce n’est pas pour rien que Modiano passe pour l’héritier de Simenon. L’incipit (« Presque rien »), puis l’identité du personnage principal (Jean Daragane), enfin le mot sous l’empire duquel se placera l’action (« légère »). Là où tant de romanciers se perdraient à définir ce que peut bien être un ton de maître-chanteur, deux mots surgissent mais si justes qu’ils se suffisent : « une voix molle et menaçante ». De quoi en faire un leitmotiv. En quelques lignes, tout est joué dans la plus extrême économie de moyens. En avançant en âge, Modiano se dépouille. Le grand art est d’y parvenir sans donner la moindre impression d’assèchement Le spectre de la solitude est déjà là qui planera sur tout le roman. D’autres personnages surgissent. Autant d’identités : Gilles Ottolini, Chantal Grippay, Maurice Caveing, Annie Astrand…
Modiano s’y livre à sa passion du cadastre. Rien ne l’enchante comme de trouver des vieux annuaires dans un marché de province. Il se délecte des numéros de téléphone d’autre fois. Ses livres sont pleins d’adresses : cette fois un 42 rue de l’Arcade, une rue Laferrière, un 18 rue Alfred-Dehodencq et un 73 boulevard Haussmann à la sonorité si proustienne dont on imagine sans mal qu’il recèle quelques uns de ces immeubles à double issue qui fascinent l’auteur, comme l’était celui où, jeune homme, il rendait visite à son père à son bureau, entrant rue Lord Byron et ressortant aux Champs Elysées. On l’imagine se royaumer en une pléiade d’annuaires périmés.
Jean Daragane, l’anti-héros de ce roman, est un homme en retrait. Il ne cherche pas à se faire de nouveaux amis, bien que sa courtoisie naturelle l’empêche de se montrer indisponible. L’Histoire naturelle de Buffon suffit à son bonheur. Il est de ces piétons de Paris qui savent distinguer un charme d’un tremble, et s’arrêtent pour parler aux arbres ; ils seront toujours là tels un point fixe, le seul susceptible de le raccrocher tant à la nature qu’à la culture. Une guerre ne modifierait en rien ses rapports avec un arbre ; il y verrait une balise rassurante dans un paysage dévasté. Jean Daragane incarne mieux que tout autre la fameuse maxime du naturaliste « Le style est l’homme même » que la vox populi a dégradé en « Le style, c’est l’homme ». Gilles Ottolini, l’homme qui vient troubler sa solitude, est un jockey raté devenu un parieur compulsif, auteur du Flâneur hippique aux éditions du Sablier.
Un détail suffit à préciser l’époque sans lourdeur : l’usage d’un téléphone portable. Les voici donc les deux partis à la recherche de ce mystérieux personnage qui n’est qu’un nom, Guy Torstel. Chemin faisant, notre anti-héros s’apercevra que cet homme qui ne lui était rien a pu jouer en coulisses un rôle insoupçonnable dans sa vie. Leurs pas les mèneront du côté de Saint-Leu-la-Forêt, un petit coin du Val d’Oise qui s’enorgueillit d’avoir abrité la pianiste Wanda Landowska et le poète Olivier Larronde, dans une maison d’un étage rue du Docteur Voustraat, réminiscence de celle de la rue du docteur Kurzenne à Jouy-en-Josas où le jeune Modiano et son frère Rudy vécurent une partie de leur enfance et que le dessinateur Edgar P. Jacobs immortalisera dans SOS Météores, l’une des aventures de Blake et Mortimer… Le genre de hasard inouï que l’écrivain commenterait à son habitude par un énigmatique « c’est bizarre … ». En enquêtant sur un épisode de son enfance, son personnage principal finit par ses demander s’il n’a pas rêvé car ses souvenirs ne concordent pas avec ceux des témoins. Soudain tout est brouillé, le réel vacille, l’imaginaire gagne. Alors autant rêver sa vie plutôt que de chercher vainement à en reconstituer les travaux et les jours ; autant rendre les armes quand s’impose un je-ne-sais-quoi de ouaté. L’été s’y inscrit comme « une saison métaphysique », ce qui rapproche davantage encore de la poésie urbaine d’un Chirico avec ses grandes places vides et écrasées de soleil.
Le temps rend le passé translucide. Cela n’a jamais été aussi vrai que dans ce roman plein d’échos assourdis de Remise de peine (1988), aussi discret que lumineux car l’Occupation n’est pas là pour faire écran. Cette fois, c’est ici et maintenant même si l’époque et les contemporains n’y sont guère envahissants. « Depuis dix ans déjà on avait changé de siècle », voilà et il est inutile d’en rajouter. La quête de la légèreté, cette inaccessible étoile, se fait par petites touches imperceptibles. Aux autres les grandes machines romanesques, leurs intrigues en machicoulis, leurs architectures chorales et leurs bavardages infinis ! Patrick Modiano a compris de longue date qu’il ne sait faire qu’une chose et qu’il serait fol de creuser le sillon d’un autre. Il compose et écrit en miniaturiste persan. La sagesse, c’est de le savoir et de s’y tenir. Ainsi construit-on une œuvre pérenne dans la durée. Cette fois, Stendhal s’est invité dans l’épigraphe : « Je ne puis pas donner la réalité des faits, je n’en puis présenter que l’ombre ». Tanizaki n’est pas loin car Modiano a écrit là son propre éloge de l’ombre ; il y a condensé son art poétique en une centaine de pages.
Les gens de Modiano sont naturellement mystérieux ; ils le sont comme tout le monde. Le romancier aime à citer ce jugement de Samuel Beckett sur Proust lorsqu’il en dit trop sur ses personnages : « Les expliquant, il épaissit leur mystère ». Ce qui renvoie à ce mot de Jean Paulhan peu importe à propos de qui : « Il gagne à être connu, il y gagne en mystère ». Avec Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, le fidèle lecteur de Modiano est assuré de mieux s’y retrouver dans son univers. C’est un traité de géographie urbaine à usage des piétons du Modianoland, le plus proche des pays lointains. Un précis plus exactement mais qui serait gouverné par l’imprécision.
Au fond, ce n’était pas un roman mais un rêve de roman, une buée de fiction, qui s’achève comme elle a commencé, sur presque rien. Mais quelle émeute de détails contient ce rien ou presque ! Tant de finesse et de subtilités dans la recherche incertaine d’un équilibre confèrent son halo secret à ce livre. Pour ouvrir une brèche dans le temps, l’auteur s’est appuyé sur la perte d’un carnet d’adresses et sur l’absence qu’elle creuse en nous. Qu’importe au fond ce que soit un objet ou une personne : seul compte le manque qui avive la mémoire.
Ici, c’est un objet. Chez Annie Ernaux, c’est une personne. Sa mère qui une fois encore domine son dernier livre. Ce ne sont pourtant que des entretiens. Mais autant ils étaient ratés et exaspérants la première fois qu’elle avait consenti à l’exercice il y a une dizaine d’années à cause des questions de son interlocuteur Frédéric-Yves Jeannet (L’écriture comme un couteau chez Stock), autant cette fois, avec Le vrai lieu (120 pages, 12,90 euros, Gallimard), le résultat est lumineux grâce au dispositif mis en place par son interlocutrice, la documentariste Michelle Porte. Séduite sinon conquise par le films que celle-ci avait consacrés aux lieux de Virginia Woolf et de Marguerite Duras, la romancière est donc retournée sur les lieux qui ont compté et comptent encore pour elle : celui de l’enfance et de l’adolescence (Yvetot), celui des études (Rouen), celui de l’accomplissement (Cergy). Y revenir non pour expliquer l’implacable et poignante beauté des Armoires vides, de La Place, de Passion simple, de La Honte ou des Années, mais pour mieux cerner le terreau où tout cela a poussé. Les familiers de cette œuvre devineront sans mal que l’écriture est son vrai lieu. Sa seule et unique maison depuis son plus jeune âge. Là qu’elle s’est mise à l’abri du monde et qu’elle n’en ait jamais vraiment sortie.
Ces entretiens ont ceci de remarquable qu’on y entend la voix de la romancière. La vérité personnelle de l’oral y rejoint la vérité universelle de l’écrit. Cette conversation participe pleinement de son œuvre en ce qu’elle ne provoque pas de hiatus avec les textes ; ils produisent le même son. Ce qu’on appellerait également un style, c’est à dire un accord secret entre la voix profonde de l’écrivain et les ressources de la langue. Celui d’une femme née en 1940 dans une famille modeste de la province normande, qui s’est enfouie/enfuie très jeune dans les livres pour n’en jamais sortir, et qui s’est décidée à écrire pour « venger ma race ». Elle a les mots juste pour dire ce que peut avoir d’écrasant la vue des immeubles patriciens de Bordeaux où les murs des maisons respirent « cette puissance ancienne d’un ordre social, de l’argent ».
Bien qu’elle ait passé la ligne en devenant professeur agrégée de Lettres modernes, elle se sent toujours dans l’entre-deux, inacceptée car étrangère à ce monde. Il y a dans ces pages sur le sentiment de l’effraction sitôt franchies les limites invisibles de certains arrondissements cossus de Paris, davantage de vérités que dans bien des enquêtes de sociologues sur la domination. Chez Annie Ernaux, la question sociale, et donc politique, est toujours tapie sous la littérature, son prestige qui éblouissait sa mère jusqu’à lui faire oublier le reste, le livre considéré comme un objet sacré jusqu’à se laver les mains avant de s’en saisir. La petite fille qu’elle fut, elle, n’oublie pas les scènes des parents, les reproches, les hurlements, les coups, la violence et cette scène traumatique entre eux aperçue dans la cave. Un instant décisif que ne réussira pas à balayer le leitmotiv des familles censé tout mettre à distance : « Bon, c’est fini, on n’en parle plus ! » Annie Ernaux touche les lecteurs parce qu’en parlant d’elle, elle leur parle d’eux ; elle a trouvé le point de rencontre sans quoi un récit demeure sans autre avenir que celui, très éphémère, de la nouveauté. Son lieu, l’écriture. Il n’y a pas en sortir. C’est son monde à elle entre celui d’où elle vient en pensant l’avoir trahi car quitté, et celui où elle a été en pensant n’y avoir pas sa place.
La littérature n’est pas la vie mais son éclaircissement. Toute la Recherche du temps perdu le murmure. Annie Ernaux et Patrick Modiano avancent sur le fil incertain de leur mémoire. En y mêlant les mémoires diffuses de leurs personnages, ils sauvent quelque chose d’un temps qui ne sera plus et l’inscrivent dans l’Histoire. A jamais ?
(« Biarritz en hiver » photo Passou ; « Patrick Modiano en pèlerinage rue du docteur Kurzenne à Jouy-en-Josas » photo Gilbert Nencioli ; Annie Ernaux photo Olivier Roller)
P.S. du 6 octobre : Ici un éclairant entretien de Patrick Modiano sur le plan de roman policier de son dernier livre.
1 191 Réponses pour Patrick Modiano et Annie Ernaux sur le fil incertain de leur mémoire
Remontons les baffes pour voir s’il continue.
Chaloux dit: 30 septembre 2014 à 13 h 27 min
boumou, tu n’es qu’une minable petite frappe sur le retour, un pauvre type, j’ai perdu assez de temps avec toi.
Et puis, sache perdre. A quoi ça sert d’insister à ce point-là?
Tu ne te remettras jamais de la déculottée que je te mets depuis deux ans. Tu l’as cherchée, tu l’as trouvée.
Tu es une grosse nullité, lourde et prétencelarde, qui s’en est certainement pris plein la tronche toute sa vie et qu’a pas encore compris où est sa place.
Accepte et lâche du lest, c’est tout ce qui te reste à faire…
Oui, il continue.
de beau voir? surtout de mal prendre…
Y a pu qu’à faire descendre, hein bouguereau?
Pauvre boumou…
bouguereau dit: 30 septembre 2014 à 13 h 24 min
la dernière fois t’es allé t’coucher mon cheuloux.
Surement pour une bonne cause, mon boumou, et sans payer! …
Là encore tu te vantes à très mauvais escient…
« Et puis, sache perdre. »
On ne peut être juge et partie, Cheloux.
Le boug à du moins l’intelligence de nous laisser juger par nous-mêmes qui est le gagnant et qui le perdant…
Chaloux, pardon !
Attention, monsieur Bouguereau, mon époux est ceinture bleue de judo.
euh on s’en fout un peu de l’indice de satisfaction de ta petite tétête
Enfin, Le Clézio, le ridicule de l’adulation forcée, génuflexions multiples, coeur battant devant le « grand bel homme blond solaire », je veux bien, de là à jeter le bébé avec l’eau du bain, allons-y doucement, encore faut-il savoir de quel JMGLC précisément on parle, de celui inspiré du « Procès Verbal », Adam Polo grillé par le soleil, baguenaudant à la Salinger, de l’enfant voguant vers le père, découvrant la liberté de corps à Rodrigue, celui du « Chercheur d’or », de « Mondo » ou des printanières nouvelles du recueil éponyme, cette naissance dans un univers de mobile homes et de supermarchés, tous aimés pour des raisons plus que valables, littéraires ou purement subjectives, ou celui de textes plus poussifs, installés, dans le style de « Poisson dort »(!)
Peut-être que l’atrabilaire Sorin, bien que par ailleurs excellent critique quand ça le prenait, n’a pas été mécontent ici ou là, justement parce que l’insolente beauté, trop manifeste pour ainsi dire, du « géant blond » – notez qu’à un détail de couleur près, notre Nobel national aurait pu terminer sur une boîte de conserve à faire de la publicité pour du maïs, et Dieu sait s’il ne s’en serait pas mieux porté? – le faisait enrager et considérant, pas tout à fait à tort, par une sorte de délit de sale gueule à l’envers, que cette façon d’être gâté ou non par la Nature n’a rien à faire dans l’appréciation que peuvent porter telles ou tels lectrices et lecteurs à l’oeuvre, n’a été que trop content de lui refiler entre les dents une botte de dynamite gentiment allumée, histoire de la lui péter un peu sa (trop) jolie gueule? Ces raisons du coup n’étant pas tellement convaincantes non plus. De toutes manières je m’en fous, je préfère les petits bruns.
Les derniers livres de JMGLC m’ont moins enthousiasmée que les premiers, mais il a pu m’arriver aussi d’être déçue par Philip Roth. Est-ce que ça fiche en l’air l’ensemble pour autant? Je ne peux m’empêcher de me demander où est passée l’étincelle, comme dirait Sean Penn dans le film de Malick (il crache sur la tombe d’un idéaliste qu’il a aimé en bougonnant : « et où est-elle, hein, ton étincelle, maintenant? »)Il y a dans les derniers livres de Le Clézio une sorte d’abandon (évidemment non voulu) de la précarité vraie, qui me gêne. Comme si son écriture empruntait des sillons tracés par avance, rivière tranquille ou majestueuse mais qui sait où elle va, là où il y avait source capricieuse ou hésitante, ce fameux « nager sous l’eau », quand on ignore s’il y aura un trou dans la banquise à l’occasion duquel sortir la tête, respirer – et pourtant, on nage. Ecrivant cela, je me trouve en partie en contradiction avec ma propre pensée, tant il me semble que les écrivains souvent écrivent peu ou prou le même livre, fût-il de facture ou de propos entièrement différents d’une fois l’autre : le fleuve coule dans son lit naturel et va où il doit, cela s’appelle autrement un univers, un style, et je ne guette pas un quelconque « renouvellement », aucun Etonne-moi-Benoît, de la part d’un auteur, pourtant ici il s’agit d’autre chose, cette question de certaine « part de précarité » préservée, d’éveil, d’inquiétude initiale ou je ne sais comment le nommer me paraît au coeur de la problématique du « lire au long cours » avec bénéfice un même auteur. Ne pas attendre une régularité, c’est certain, pas d’unanimité, c’est évident – mais puisqu’on parle de Modiano, peut-être déclenche t-il moins de rejets, de déceptions violentes parce qu’il a su conserver cette étincelle de fragilité et de non-acquis de livre en livre. Mais réduire le grand rocher Le Clézio qui m’a offert tant de bonheurs de lecture, cet auteur de livres magnifiques où le sable, la chaleur, le vent, la poussière, les signes et les nuages – d’accord oui les nuages, et alors?- sont si présents, à un scout niaiseux monté en graine, plutôt crever! Ou alors, façon Moonrise Kingdom, Wes Anderson (alors là d’accord)
à Barozizi : trouver de l’intelligence à bouguereau, faut être gonflé ou aveugle au choix
Monsieur Barozzi, insinuez-vous que mon époux pourrait être le perdant ? Vous ne le démoraliserez pas si facilement. Quand bien même toute la RdL le penserait vaincu, il bombera le torse, toujours, car c’est un homme, mon homme !
bien dit La Reine des chats
La Reine des chats dit: 30 septembre 2014 à 14 h 29 min
Ah, monsieur Odradek, votre prose me fait pâmer. Même mon époux en est jaloux, et un Chaloux jaloux, c’est un poème.
Quoiqu’il en soit, Sam Harkakande, le plus intelligent sera toujours celui qui fait le premier pas… vers la (re)conciliation.
Voire le conciliant commentaire passionné de la Reine, qui nous pousserait à (re)lire le Clezio !
« bien dit La Reine des chats »
Ce que vous nous avez toujours dit, ici ou là, Paul Edel.
jacquot, le pauvre boumou est écrasé, il n’y a que les petits lecteurs comme vous pour ne pas le voir. Impossible de se fier à votre jugement.
(Mme Chaloux va pas être contente).
La reine des chats peut pas me rendre jaloux avec son style à la gomme et ses analyses foireuses.
La fausse Mme Chaloux se trompe.
boumou devrait s’acheter un petit piano sur le bon coin (on trouve des choses très acceptables pour 300 euros) et déchiffrer un peu de Bach. Rien de mieux.
« Le style est l’homme même » que la vox populi a dégradé en « Le style, c’est l’homme » : parce que c’est imprononçable ! C’est cela la question de la musicalité en littérature…
Je savais bien que le billet m’avait lancé une petite pierre que je n’avais pas relevée.
J’ai cherché, j’ai trouvé.
« Mais quelle émeute de détails contient ce rien ou presque ! »
Une émeute de détails…
J’ai noté, toujours prêt à arrondir mon bas de laine rhétorique.
Reconnaissant à ce blog pour son rôle d’ascenseur social au sein de la République des lettres.
Je vois que Bloy disait ça aussi.
bougue-rototo est un vieux schnock épicépire épimerdàlui épicétou
Quant à « la paix » je la lui ai proposée plusieurs fois. Il n’en veut pas. L’a pas fini de moucher rouge, le pauvre boumou…
Sympa, le post de la reine.
Pas méprisant envers l’homme pauvre.
Plutôt, « veux-tu venir dans mon jardin? »
Paul Edel dit: 30 septembre 2014 à 14 h 32 min
Edel est toujours là pour applaudir ce qui dégouline.
C’est du propre!
pourquoi la paix pour bouguereau ? il n’en vaut pas la peine, c’est un être malfaisant, un nuisible, pire qu’une merde
Merci, Artémise, c’est fait depuis plus de trente ans. J’avais assez aimé toute la partie en italiques, moins le reste. (Chaloux)
J’avoue à ma grande honte avoir complètement oublié qu’il y avait dans « Désert » une partie en italiques.J’ai dû lire, moi aussi, ce roman il y a une trentaine d’années. Je n’en garde que des souvenirs fragmentaires, mais suffisamment forts pour n’avoir pas complètement fait naufrage : le séjour dans le bidonville marocain au bord de la mer; l’arrivée à Marseille et l’expérience du déracinement. Comment peut-on juger, après des années, de la valeur d’un livre sur si peu d’éléments ? souvent même, des lectures récentes, et qui nous ont marqués sur le moment, laissent presque encore moins de traces mémorielles. Je pense à deux romans de Philip Roth, lus il y a deux ou trois ans, « Un homme » et « Le Rabaissement » : j’avais profondément admiré ces deux livres, mais n’en garde pourtant presque aucun souvenir précis. Nous allons de livre en livre comme un navigateur irait d’une île à l’autre sans jamais revenir en arrière, ou presque. Il faudrait avoir le sérieux de ne porter de jugement que sur un livre qu’on vient de refermer, de relire attentivement. A moins d’être doué d’une mémoire d’éléphant, ce qui doit bien arriver de temps en temps. Ou alors être très organisé, avoir des répertoires de titres, de thèmes, des notes, des fiches… Je suppose que les gens sérieux procèdent comme ça. Heureusement, il y a l’inoubliable : tiens, tout-à-l’heure, quelqu’un évoquait Georges Darien ; les trente ou quarante premières pages du « Voleur » en font partie pour moi; le reste du livre, c’est de la roupie de sansonnet, à côté de cette critique féroce des méthodes d’éducation du temps (la mise en cause de l’enseignement du latin, j’en ris encore); ou bien la leçon de vie administrée à Rastignac par Madame de Beauséant; ou bien presque tout « les Onze », de Pierre Michon, presque tout « L’inquisitoire » de Pinget, etc. Au total, ça fait tout de même pas mal d’îles dont on peut de mémoire décrire les paysages avec une certaine précision, et beaucoup d’émotion. En ce moment, je lis « Némésis », de Philip Roth, son dernier roman, peut-être son adieu à la littérature; celui-là, je crois que je ne l’oublierai pas, tant j’y retrouve les qualités éminentes de cet écrivain : le don d’être au plus près des gens, allié à la hauteur de vues, et la compassion, la lumineuse, la vraie .
Courte et bonne, sans doute heurtions-nous le lenticulaire
Chers Ah Pfut & Si, « bête » ou « méchant », il faut choisir. Vous ne pouvez pas cumuler les deux. Va y avoir du choix cornélien dans l’air, je le sens! Ms ne vs inquiétez pas, ticket gagnant pour vous 2 : dans un cas comme ds l’autre, ça tombe juste. « Beau et con à la fois », pas sûre que vous ayez les critères requis pour concourir (bien que la seconde partie de la proposition, ns l’avons compris, vous soit totalement acquise)
Ô reine des chats, on peut trouver votre prose con comme la lune sans être laid.
On va pas bien le rapport…
Un peu reine des nouilles, votre raisonnement.
C’est-y vous qui régissez Dame Nature?
J’ai noté, toujours prêt à arrondir mon bas de laine rhétorique
ben mon colon..zouz y nous fait son taleyrand
pourquoi la paix pour bouguereau ? il n’en vaut pas la peine
c’est certain..quand qu’on s’est caché derrière les « siens »..qu’on les a vendu au poke avec une malheureuse pair..elle coute beaucoup beaucoup trop cher la paix..on cuit et on a le coeur gros comaçe et on jure que pour le populo on meurt dans l’heure attation..hurkurkurkurk
Quant à « la paix » je la lui ai proposée plusieurs fois. Il n’en veut pas.
t’as mis des vidéo sur youtube ou tu danses culnu avec des escuses mon cheuloux et jle savais pas..réenvoie les liens mon scrétaire..jpg et sylvie et mêmère bougros sauront se montrer magnanime..je saurais leur parler pour toi
« passé la ligne en devenant professeur agrégée » : la ligne de démarcation, ou le bonhomme Tropique ? Y a une nuance bon Dieu !
Si fait, mon bon. Vous mettez dans le mille en véritable devin et remportez la bourriche garnie d’andouilles et de boudin. Félicitations. Ils se trouveront en bonne compagnie avec vous.
bouguereau dit: 30 septembre 2014 à 15 h 39 min
taleyrand
– Chateaubriand se plaint qu’il devient sourd…
– C’est parce qu’il n’entend plus parler de lui !
Pauvre boumou, plus que ses étrons pour lui servir de flotteurs…
Pur porc, évidemment.
La Reine des chats dit: 30 septembre 2014 à 15 h 51 min
« Andouille et boudin » rappelle par trop votre prose (vos productions intellectuelles, j’entends, pas le reste). Veuillez s’il vous plait revoir le contenu de votre filet garni.
mine que rien..à l’écoute toujours mon scrétaire..j’y tiens !
– C’est parce qu’il n’entend plus parler de lui !
faut s’laver les oreilles sergio aussi..vla cqu’il fallait lui dire..sale mais ravi!
bouguereau dit: 30 septembre 2014 à 15 h 54 min
C’est un vieux porc qu’on n’a plus le courage de tuer…
Si tu veux en découdre, boumou, viens. Ensuite, tu seras tout décousu, et plus question de faire le mariole ici…
ben moi je préfère les derniers livres de le Clezio !
parce que j’aime les écrivains que certains qualifient ironiquement de bisounours, ces écrivains voyageurs m’ont appris à m’ouvrir au monde ! à aimer l’autre et l’ailleurs… à compatir aux souffrances de l’humanité, à la condition tragique des existences humaines, à vivre au plus près de ces peuples opprimés dont la vie n’est qu’une lente agonie et une sourde humiliation…
non, c’est pas vrai, je déconne.
greubou tu m’as cru ?
greubou tu sais quoi ? t’es qu’un gros bêta c’est pour ça que je t’aime.
hamlet dit: 30 septembre 2014 à 16 h 17 min
t’es qu’un gros bêta c’est pour ça que je t’aime.
S’il avait pas son hamlette, ce pauvre boug-rototo…srait perdu dans la vie….
Bouguereau, tu peus faire ton coming out.
Ça nous dérange pas ta vie en dentelles et patchouli.
On respecte.
Tb, voici donc,pour complément au panier garni remporté, tjs garanti 100% porc, en exclusivité spéciale « Si et Pfut », compères aussi déliés, inventifs, bienveillants et finauds que la publicité Ben & Nuts, sandwichs à la rate et au mou (que personne n’aille en déduire quoi que ce soit au niveau symbolique, question allitérations ou homonymies, encore qu’évoquer ces mets ici soit faire injure aux Siciliens qui préparent ça sur le pouce dans de petites arrières cours), mais aussi tête de veau, abats de toutes sortes, rognons ayant séjourné trois semaines au réfrigérateur sans rinçage, tranches de foi chancelante, tripes mal lavées, tricandilles graisseuses, pas fraîches, charcuterie Spanghero et baltringueries à l’avenant!
A part ça, Modiano est probablement un auteur de la disparition progressive. Pas pour rien que de ce brouillard de plus en plus diffus, cette brume profuse émane qqchose qui me rappelle parfois Perec. Bonne soirée.
Comment espérer une paix honorable entre ces admirables israéliens courageux et ces pourris de palestiniens terroristes du Hamas, lorsqu’on voit deux intellectuels aussi cultivés que Bouguereau et Chaloux s’entredéchirer devant la foule impavide de nos républicains livresques ?….
Ah ? Vous ne voyez pas ?…. et bien moi non plus, pour tout vous dire !
Chaloux dit: 30 septembre 2014 à 15 h 58 min
bouguereau dit: 30 septembre 2014 à 15 h 54 min
qu’on n’a plus le courage de tuer…
Le vieux Salamano il a essayé, hein ! Chaque jour que le soleil se levait… Dans l’hescalier !
JC….. dit: 30 septembre 2014 à 16 h 23 min
la foule impavide
Euh… C’est les mecs qui lancent pas de pavés ? Pourtant nous place Stan ils viennent de Slovénie ils sont gros et pleins c’est assuré…
Sergio, faut pas confondre les chiens avec les porcs. J’ai lu L’Etranger pour la première fois à 12 ans, et je garde un souvenir douloureux du martyre de ce chien.(Avez-vous lu Sur La Mort d’Un Chien de Jean Grenier?).
Le boumou, on en ferait tout de même pas un animal de compagnie, mais le pâté qu’on en tirerait serait tourné avant d’avoir fini de cuire. Faut se résigner, laisser vivre.
Je suis génial, ma campagne pour me faire passer pour TKT est du grand art.
@ Un ennemi…
Oui, bien sûr, pour Georges Darien. Son théâtre n’est pas si difficile à (re)trouver, mais il est fort daté. Des ressemblances, au demeurant, dans « L’Eglise » de Céline. Sauf que Darien était hostile à Drumont, alors qu’un des actes de « L’Eglise » touchant la SDN….
A vous comme à Jacques Barozzi, je n’ai pas voulu dire que Le Clézio tombait de nombreuses mains, car on (« on » de divers âges) le lit beaucoup autour de moi, en blâmant mon recul. Mais à partir des nouvelles de « Mondo », et surtout du roman « La quarantaine », que de hauteur universelle (y compris dans les épigraphes (de Sindbad le marin à la Baghavat Purana), que de répétitions, de hautes cheminées et de prénoms exotiques !
A côté de cela, et sans grand rapport, géographie serrée de Modiano, en moins généreusement humaniste en tout cas. Heureux trouble persistant, à mon goût, depuis « Rue des boutiques-obscures ». Or, La Reine des chats est passée de l’un à lautre. C’est égal : cette équitable et suggestive Reine me fait songer à Lew. Je me trompe sans doute, mais c’est plutôt un hommage.
La Reine des chats dit: 30 septembre 2014 à 16 h 23 min
« sandwichs à la rate et au mou,(…) tête de veau, abats de toutes sortes, rognons ayant séjourné trois semaines au réfrigérateur sans rinçage, tranches de foi chancelante, tripes mal lavées, tricandilles graisseuses, pas fraîches, charcuterie Spanghero et baltringueries à l’avenant! »
Ô reine des chats, vous êtes bien meilleure dans l’autoportrait que dans le commentaire littéraire. On croirait un Rembrandt.
C.P., vous devriez revenir. Même si on se fâchait fort de temps en temps (ah, ce dimanche balzacien…), c’était mieux quand vous étiez là.
Chaloux dit: 30 septembre 2014 à 16 h 29 min
(Avez-vous lu Sur La Mort d’Un Chien de Jean Grenier?).
Non, mais je viens d’en lire un sur l’enfance puis la jeunesse d’oncle Wolf, pas mal documenté, et alors, dans un autre registre, cela met en scène, en incipit comme dirait Passou, un grand-père Schicklgruber qui bat son chien pour le zigouiller, parce que « il est trop vieux pour garder les troupeaux, mais il mange toujours »…
JC….. dit: 30 septembre 2014 à 16 h 23 min
JC, je suis tout le contraire d’un intellectuel (ma vocation est la mécanique. Tout sale et couvert d’huile de moteur dans le garage, c’est mon idéal de bonheur. Pour ça que j’aime les vieilles voitures. Une Ami 8 pour aller chercher le pain, une DS pour aller le dimanche tondre la pelouse chez belle-maman) et boumou n’est pas cultivé. Revoyez votre copie.
Sergio, lisez-le, vous ne l’oublierez plus jamais. Et Les Îles et tant d’autres… On se demande ce que fout Gallimard, Jean Grenier devrait être depuis longtemps dans La Pléiade.
Messieurs, santé. On vous dira pris avec des pitres, je ne le nierai pas.
le grand penseur Raffarin, le pote à bouguereau battu par Larcher pour la présidence du sénat… l’ex a fait un malaise et bouguereau une chute
à l’évidence dit: 30 septembre 2014 à 17 h 00 min
le grand penseur Raffarin, le pote à bouguereau battu par Larcher pour la présidence du sénat… l’ex a fait un malaise et bouguereau une chute
Vous allez vous les dézipper
Chaloux,
je fus l’heureux propriétaire d’une DS21 Pallas … à cette époque, les voitures étaient singulières.
But please don’t say that my soul has died away
JC : une DS21 Pallas.. et maintenant à char à beaufs
Un cabinet de notaires (pas chers…)
Merci x pour le nœud pap
Le protagoras… à nice…
pardon, j’accapare la parole
à l’évidence est intelligent, pas de doute…
JC….. dit: 30 septembre 2014 à 17 h 08 min
je fus l’heureux propriétaire d’une DS21 Pallas
Il y a tout un dithyrambe dans les Valseuses (le livre)…
à l’évidence, JC ne l’est pas… avec certitude
« lorsqu’on voit deux intellectuels aussi cultivés que Bouguereau et Chaloux s’entredéchirer devant la foule impavide de nos républicains livresques »
ils ne prient pas assez, il leur manque la foi
Raffarin a été roulé dans la raffarine…Chacun son tour…
Gérard Larcher, c’est comme ça que je vois la gueule de Louis XVI.
Puisse-t-il n’avoir que la goutte.
Sarkozy favorable à l’exploitation du gaz de schiste. Vont nous bousiller la Champagne, les Ardennes, la Lorraine, une partie du midi. Après ça, le frère passera pour le nettoyage à nos frais. De quoi s’offrir l’usine Rolex…
Plutôt Louis XVIII.
Le pauvre homme laissait ses orteils dans ses chaussettes.
Un désir encore ascendant : Ai-je imprudemment souhaité guérir de toi ? Quelle ignorance m’irritait contre ma souffrance !
Oui, CP, il n’aimait ni Drumont ni Savine, et ceci apparait dans ses Pharisiens qui restent en travers du gosier de la Mauvaise Langue, peut-être parce qu’il ne les a pas lus.
Accessoirement, ils furent
publiés chez Genonceaux, l’éditeur français de Maldoror, qui savait ce qu’était un livre , lui…Enfin, il y a suffisament de lecteurs de Darien ici pour faire la part des choses.
Bien à vous.
MCourt
« Lèvres rêveuses sur les dents »… D., vous avez de curieuses lectures…
Les frères Tharaud disent qu’on voyait sa tête et ses pieds, et qu’entre les deux « on ne savait trop ce qui se passait ».
(J’ai commencé par croire qu’il s’agissait d’un extrait d’une lettre de George Sand).
Le pauvre homme laissait ses orteils dans ses chaussettes.
Que ce soit la tête pour l’un, les orteils pour l’autre .. On devrait parler plus souvent des ces petites choses humbles et utiles comme des chaussettes, qui récupèrent les restes ..
Un truc à la Ponge ..
Que voulez-vous, Daaphnée, Louis XVI est parti par la tête, Louis XVIII par les pieds et Charles X par le plus court chemin. C’est l’histoire…
Euh… camarade ueda,
Louis XVI était de haute taille ! Environ 1m93, ce que les révolutionnaires ne supportaient pas d’avouer : on croit désormais qu’il ressemblait à Larcher, not’bon Roué, raccourci par les islamistes républicains !!!
ce qui est jouissif : le grand penseur Raffarin était soutenu mordicus pour l’ex, le petit agité qui doit bien fulminer
…Chacun son tour…
mon scrétaire voudrait que ça tourne un peu
Je suis bien de votre avis, chère Daaphnée. On ne parle pas assez de chaussettes.
Je suis impatiente de vous lire à ce sujet.
Il nous en reste un sur les bras, le petit à talonnettes (enfin, qu’il croit). Sûr qu’il partira en fourgon, mais on sait pas encore sur quelle musique. si-la si-la, ou ré-la ré-la ?….
zouzou y veut des chinois partout..
Louis XVI était de haute taille ! Environ 1m93
toi aussi tu veux placer bruce lee
bouguereau dit: 30 septembre 2014 à 18 h 07 mi
boumol me suit en croyant que je suis derrière lui. Un peu déboussolé dans l’espace, le vieux goret…
Les chaussettes, mon époux en fait un jus qui se laisse boire, ma foi.
je fus l’heureux propriétaire d’une DS21 Pallas
..ça se volait fastoche en ce temps là..2 minutes..même les alim électroniques..hop à la discotèque avé les gonzesses
Mais ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, je ne lui suce pas les pieds, grands dieux non.
bouguereau dit: 30 septembre 2014 à 18 h 14 min
boumol nous fait sa vieille vantarde… A bien trop peur de la maréchaussée…
ha la madone passe en mode stealth pour la kommandantour..t’es mignon
2minutes krono..y se tartine de camboui..un mécano dmes couilles encore..
Toi, boumol, passe donc en mode modeste…Toujours plus ridicule tu es… Prétencelard comme un vieux pou, bourré de clichés pris dans des films. (On évoque les Valseuses et t’as volé des DS). Tes circuits cérébraux sont en pâté de tête…
faire la vantarde pour voler ce genre de caisse..la clef d’12 c’est pas dans l’fion qu’on sla carre cheuloux..même avé le motul
(On évoque les Valseuses et t’as volé des DS)
plutot l’contraire mon couillon..qu’est ce que tu crois..un antivol de vélo était trés hutile..la tête de delco aussi..mais aller en ami6 chercher l’pain en 2014 c’est cool à part ça..sapré cheulou toujours ha la ramasse
M’explique pas, j’ai pas besoin.
Tu ne fais plus la différence entre ce que tu vois à la télé et ce que tu as vécu. Derniers temps….
ha par ça ^sûr que ça m’viendrait pas d’aller voir l' »officier » de police pour tartariner..ça nan ..c’est culturel surement mon cheuloux
M. bouguereau, Chaloux a raison. Vous êtes un cas de « mythomanie associative ». Très courant.
..ça se volait fastoche en ce temps là..2 minutes..même les alim électroniques..hop à la discotèque avé les gonzesses
Quel tombeur, notre Boug’ !
Bon, ces minettes .. des jolies ou des moches ?
Ah,les Frères Tharaud, qui trouvèrent le moyen en 1944 de s’insérer dans un recueil de poètes de la Résistance,chapeau, les artistes!
Et difficilement supportable, cette Tragédie de Ravaillac avec son parallèle avec la mort de Sadi Carnot! Fallait l’oser…
MCourt
Mme Chaloux (la vraie) dit
alors comme ça savoir voler une ds pallas ça vous fait des trucs
et qu’en pense le psychiatre..cheuloux a toujours un psychiatre..qui s’est fait tirer sa ds quand il était jeune
M. bouguereau, suite.
J’explique.
C’est à dire que vous associez à un passé qui ne vous convient pas des contenus qui vous étrangers, sans doute pour présenter une image plus « positive », plus intéressante de vous-même à autrui. Le problème, ce en quoi Chaloux a raison, c’est ce que cette mythomanie s’exerce sur un contenu immédiat très facilement repérable. Dans le cas relevé par Chaloux Film les Valseuses-vol de DS, il y a un cas évident de cette mythomanie associative, sans que vous sembliez en être conscient. La lecture est une science.
Quant à se rendre au commissariat, Chaloux a bien fait. On ne sait jamais ce qui peut germer dans une tête faible.
bouguereau dit: 30 septembre 2014 à 18 h 09 min
zouzou y veut des chinois partout..
Faut-il accepter l’idée reçue d’un L16 à stature de viking et à outillage asiatique?
Vous m’excuserez pour les fautes qui émaillent mon message. L’essentiel est dit.
J’aurais dû écrire : »la lecture de cas est une science ».
savoir voler une ds pallas ça vous fait des trucs
Quand c’est rouillé, ça sert à rien.
17h50/ Sarko sonderait ou chercherait un financement à sa future campagne, après Mouammar Kadhafi qui n’est plus là pour parler et dissiper le doute, pourquoi pas Total Elf Aquitaine qui assureraient outre des subsides une prétendue indépendance énergétique à la France, ça vous étonne? Verriez-vous encore quelques scrupules chez cette classe de citoyens? C’est pitoyable.
bougue-rototo s’affole, panique, s’emmêle ce qui lui reste de pinceaux, c’est la bérésina + stalingrad, il va aller pleurnicher dans le giron de son popote goering et se consoler avec son gogode déceinturé, c’est triste, c’est la vie
Les têtes étant ce qu’elle sont, il vaux mieux compter sur ses pieds.
Le Pen était bien financé par la secte Moon.
M. bouguereau.
Lors de vos prochaines « prestations », je ne manquerai pas de vous faire part de mes observations sur votre cas.
Pinpin dit: 30 septembre 2014 à 18 h 45 min
Quand c’est rouillé, ça sert à rien.
La queue du roi?
Le problème, c’est quand ça n’a jamais été retiré de l’emballage ni graissé pour son bon usage.
Mais il a vu le bout du tunnel.
pfff… arrêtes de jouer les professeurs de morale à deux balles, Béré.
La lecture est une science
Soit elle présente à tous le même contenu mais alors ce serait un peu comme la récupération de travaux issus des cerveaux les plus brillants, quelles catastrophes pour finir. L’interprétation un peu comme pour une partition musicale donne lieu à des variations désastreuses.
D libre à vous d’y croire encore. Ce n’est pas une histoire de morale mais d’information.
mes observations sur votre cas.
haprés mêmere bougros cheuloux fait la sienne..trés cucul chais pas pourquoi
D. dit: 30 septembre 2014 à 18 h 54 min
pfff… arrêtes de jouer
On peut me trouver bien des défauts, mais je connais mes conjugaisons. Une faute aussi grossière montre que je ne suis pas l’auteur de cette chose.
Bérénice, je vous aime de plus en plus.
Quand c’est rouillé, ça sert à rien.
sur que cheuloux va pas la laisser 1 nuit a paris..qu’il essaie..avec madame chulou dans le coffre havec un transpondeur..hurkurkurkurk
Je trouve que les posts d’ueda sont bien meilleurs depuis que c’est D. qui les écrit.
Vous savez quoi, U. ?
Je me demande si ce n’est pas en écoutant ce genre de discussion .. .. ..
que les Chinois s’imaginent qu’on parle tout le temps de cul.
mythomanie associative
Mme Chaloux(la vraie) vous devriez pousser jusqu’à angoisse dissociative qui conviendrait mieux à définir cette espèce de folie littéraire qui délivre chaque jour le résultat qu’on sait.
M. bouguereau
Ceci est d’ailleurs une des plus fortes raison de votre présence sur ce blog : associer sans risque le vrai et le faux. Votre personnalité virtuelle est devenue pour vous une personnalité véritable à laquelle vous ne supportez pas qu’on attente, y compris sur le simple mode de la lecture (et pourtant vous en offrez la lecture), et vis-à-vis de laquelle vous avez perdu toute distance. Néanmoins, n’oubliez jamais qu’aucun discours sur soi, même dans « l’invisible » d’internet ne peut être garanti contre le risque d’un déchiffrement très précis.
(Je vous assure que je n’ai rien contre vous. Seule votre insistance à poursuivre Chaloux pendant des mois m’a incitée à m’intéresser à votre cas. J’ai voulu en comprendre le pourquoi.)
Quel tombeur, notre Boug’ !
Bon, ces minettes .. des jolies ou des moches ?
c’est un peu ça..c’est pas la paire de ciseau et un tournevis la poésie..la poésie c’est chiche dafnoz..toutes des salopes!
angoisse dissociative
Tu te casse tro le bonnet béré épicétou
Avant de vous quitter, définitivement, ne pourrait on envisager une approche réaliste du problème Chaloux/Bouguereau, basée sur un échange courtois et industriel :
– Extension du garage de Chaloux et ouverture d’un département Recherche, sous sa responsabilité : le Gode Ceinture motorisé, véhicule à deux places, urbain, pratique.
– Composition d’un concerto pour piano et gode-ceinture à vent, par le Meister Boug de Boug, intitulé : « Chaloux ! que ma joie demeure ! » Joué dans toutes les bonnes Eglises, labellisé Pope François.
Tout est possible, for l’honneur, mes petits choux !
c’est molasse mon cheuloux..ça fait gommeux..mais enfin haprés la police on fait la marie chantal..c’est raccord..hallez..vamosse
Daaphnée dit: 30 septembre 2014 à 19 h 04 min
Vous savez quoi, U. ?
Je me demande si ce n’est pas en écoutant ce genre de discussion
que les Chinois s’imaginent qu’on parle tout le temps de cul.
Ils ont raison, Daaphnée, c’est une sorte de grammaire élémentaire.
bérénice dit: 30 septembre 2014 à 19 h 08 min
Madame, et peut-être chère confrère, vous remarquerez que je ne dépasse pas un cadre volontairement très restreint. Question de déontologie.
for l’honneur
hach..for for
en offrez la lecture), et vis-à-vis de laquelle vous avez perdu toute distance. Néanmoins, n’oubliez jamais qu’aucun discours sur soi, même dans « l’invisible » d’internet ne peut être garanti contre le risque d’un déchiffrement très précis.
Expliquez-vous mieux, tout discours part d’un émetteur qui travaille à partir de lui-même et s’il est construit il ne s’est pas construit tout seul. Le moi n’est donc qu’en partie responsable de son propre fonctionnement et entre en interaction avec un environnement fut-il virtuel. Ceci dit je trouve que Bouguereau reste incompréhensiblement grossier et hors sujet.
boumou, je t’assure que cette prose n’est pas la mienne… Je ne saurais pas, j’ai l’intuition mais pas le reste. Les marioles dans ton genre, pas mon métier…
Depuis trois jours, pas lu grand chose digne d’être retenu. Ai constaté de multiples usurpations, y compris de mon propre pseudonyme.
Suis d’accord pour dire que Modiano, Le Clézio et tutti-quanti ça correspond à une époque des années 90 et une mode un peu bobo. On se lasse très vite d’une telle littérature et finalement il n’en sort pas grand chose dans le fond, tout est dans l’arrangement mais quand on cherche bien il ne se passe quasiment rien sur des centaines de pages.
JC définitivement?
Je vous dirais bien de péter un coup, Bérénice, mais vous me trouveriez grossier.
Cela dit je vous apprécie mais je vous trouve inutilement tendue. Vous devriez pratiquer la respiration abdominale, comme je la pratique au Kung-fu.
Madame, et peut-être chère confrère
ahahahaha le détail qui tue!
Madame, vous semblez oublier que certaines constructions (j’emploie à dessein cette formule floue) peuvent être bâties à ‘l’insu de ». C’est malheureusement le surgissement de ces parts longtemps tenues secrètes, non monnayables dans la vie courante, souvent anxiogènes, que permet Internet.
Je vous assure que je n’ai rien contre vous.
t’es tro constipé épicétou
D Demain je nage et vous reviens presque distendue. Est-ce que ça vous irait?
Rôôô dit: 30 septembre 2014 à 19 h 25 min
M. bouguereau, votre incapacité à revenir sans un second masque est un marqueur évident de la pertinence de mon analyse. Tout se lit.
JC….. dit: 30 septembre 2014 à 19 h 11 min
Avant de vous quitter, définitivement,
Tu parles! Encore une promesse que sera pas tenue ! Epoque moisie
ôôô dit: 30 septembre 2014 à 19 h 25 min
constipé
Le retour vers un stade antérieur de votre développement -ici retenue caractéristique du jeune enfant- est ici la marque d’une forte émotivité. Sans le savoir, vous accusez réception du contenu de mes messages, tout en admettant/exprimant le fort impact émotionnel qu’ils ont sur vous. Le recours à un stade infantile est également un aveu de soumission.
une promesse que sera pas tenue
O que sera ..
Pauvre boumou, tu ferais mieux d’arrêter les frais… tu seras tellement démonté…On pourra plus te remonter…
Ah,les Frères Tharaud, qui trouvèrent le moyen en 1944 de s’insérer dans un recueil de poètes de la Résistance (M. Court)
Keine Sorgen M. Court, le sort des frèrots fut vite réglé après 45.
Leur veine romancière sur le juif pittoresque a toutefois fait les choux gras des éditeurs français pendant vingt ans, trop heureux des tirages réalisés.
L’un des frères a tout de même été le premier lecteur de français au collège Oetvös à Budapest, future école normale supérieure sur le Danube, avant que la diplomatie fautive de Berthelot ne saccage les tentatives de coopérations, pour mieux arriver à la seconde guerre.
L’épuration après 45 en a eu les écoutilles bouchées.
Mme Chaloux (la vraie)
tu connai pas la chanson épicétou
« .jpg et sylvie et mêmère bougros sauront se montrer magnanime.. »
sylvie c’est celle qui trouvait que mimi était un « petit personnage répugnant ».
Phil dit: 30 septembre 2014 à 19 h 43 min
Ah,les Frères Tharaud
Les frères Tharaud, c’est des écrivains qui ont écrit pour les dictées républicaines.
Sauras-tu en trouver d’autres?
Attends-voir…
Louis Hémon
Marguerite Audoux
Louis Pergaud
Georges Duhamel
En poésie: Albert Samain
En critique: Emile Faguet…
Euh…
Je sais qu’on va me tomber d’ssus: « Ils sont excellents! »
boumou, il faudrait vraiment arrêter, maintenant. Plus je prends la mesure du souffrant, dérisoire, et minable petit personnage que tu dois être en réalité, en grande partie grâce à mon épouse qui t’explique les choses bien trop gentiment je trouve, plus le chrétien qui ne dort en moi que d’un œil s’émeut des dégâts qu’il pourrait encore causer à ton âme déjà gravement endommagée.
Je te propose officiellement de cesser toute agression, trollage etc… A partir de maintenant. Ignorons-nous simplement. Sinon, je crains que tu n’ailles de Charybde en Sylla, jusqu’à désintégration complète, et je n’y tiens pas.
Duhamel, c’est pas mal, surtout cette terrible description du père (une des plus terribles que je connaisse) dans le Notaire du Havre (Chronique des Pasquier). Et de Goupil à Margot, pas mal non plus, Louis Pergaud.
Roger Vercel, Genevoix, et en poésie Maurice Carême.
« Marie-Claire », c’était bien ça…
(On était de braves gosses… Même pas mal…)
Une relecture par Clopine?
http://fr.scribd.com/doc/2349710/Octave-Mirbeau-Preface-de-Marie-Claire-de-Marguerite-Audoux
son dernier paragraphe, vers 19h43 (? grosso modo) :
/… L’un des frères a tout de même été le premier lecteur de français au collège Oetvös à Budapest, future école normale supérieure sur le Danube, avant que la diplomatie fautive de Berthelot ne saccage les tentatives de coopérations, pour mieux arriver à la seconde guerre.
L’épuration après 45 en a eu les écoutilles bouchées.
Je n’arrive pas à piger, même si je sniffe « des » entourloupes (sic !) – un livre à lire, m’obligerait, Monsieur Phil.
(je dois avoir une déformation cérébrale : je viens de relire un albert Londres, sur la poudrière des Balkans).
rmerciement anticipé.
Annie et Patrick sont tous les deux vieux.
Il faut être vieux pour s’intéresser à la Mémoire, en général, et à sa propre mémoire, en particulier.
Pour ma part, j’ai toujours pensé que tout être humain , même enfant, est toujours assez vieux pour mourir.
Tout meurt même la mémoire.
…
…ne rions pas,!…c’est plus grave que ce que je crois,!…
…
…les gens se sont spécialiser dans des degrés divers,…en toutes directions de sociabilités & dogmatiques,…que même, pour exprimer des choses simples en détails opportuns,…c’est » limite « ,le langage de vos voisins et connaissances, à l’irritation & souffrances à ne plus se comprendre,!…
…tous dans des Tours de Babel,!…
…c’est limite, le retour à une seule chaîne de télé, & une urgence à revenir à des simplifications, à des expressions,…le plus simple appareil possible,!…
…
…il y a pléthore à s’abstenir de faire partager un fait, qui une fois expliquer,!…laisse les interlocuteurs dans l’irritation, vu la distance, entre les préoccupations et la simplicité expliquée,!…
…c’est réellement limite,!…la Tour de Babel,!…
…à limiter les frais d’expressions,!…surtout dans les interprétations qui peuvent porter, a ramener l’auditoire à ses limites ignorées,!…
…
…s’abstenir, d’expliquer trop,!…pour convivialité » limitée « ,…Oui,!…un constat,…à pas feutrés,!…rien à rire,!…Ah,!Ah,!…
…
…les gens sur les dents, pour un rien,…envoyez,!…etc,!…bonne chance,!…
…
(mi-mars 2013, j’ai lu : « la haine des religions » de pierre Tevanian – la découverte – 10 €
je viens de le resortir, suite au face à face Finkie/Plenel sur Arte …Finkie avait d’invisible son habit d’académicien, un chapeau-à-la-con, une-épée-son-phallus, c’est qu’il guéroye … l’est désespérant, il ne peut jacter (pdt 1 an lors des réunions acad », se rattrape sur un plateau tivi…
Plenel, peut me faire chier avec ses mimiques(ses yeux qui se plissent), mais Plenel l’emporte gran-de-ment !
Histoire d’anticiper les noms d’oiseaux que ne manquera pas ML à décerner à ce comment’, direct, j’lui balance : auto-censure, bien entendu (tjs préférable à celle infligée par qq zé-zé-félé-s)
…
…@,…ahahahah, à 19 h 21 mn,…le détail qui tue,!…
…choc,…envoyez,!…
A 19h43, c’est de la bombe, Phil.
J’ai connu le papa, Marcellin, de nom seulement.
http://www.labos.upmc.fr/lcmcp/files/docs/marcelin_berthelot.pdf
Extra, cet oeuf.
http://www.societechimiquedefrance.fr/IMG/png/Oeuf_electrique.png
NON ! Plenel ne l’emporte pas grandement parce que si Plenel l’emportait grandement, la France sombrerait. Plenel est aveugle. Il refuse de voir le danger islamiste. Son carnard est un refuge de toute la haine contre les Juifs. Il est pourri.
PLENEL EST UNE MERDE !
accuser Finkelkraut de faire le jeu du FN est totalement odieux.
PLENEL EST UNE INFÂME SALOPARD !
Phil, le fils diplomate s’appelait » le seigneur chat », je ne connaissais pas. Merci de la découverte.
Son pote a eu le Nobel de littérature en 1960.
« Tous ces épisodes sont désormais bien oubliés mais avaient frappé les contemporains, à l’image du diplomate et écrivain espagnol Salvador de Madariaga qui, observant Philippe Berthelot et Alexis Léger dans un bureau du Quay d’Orsay, «placés par le hasard comme deux cariatides à chaque bout d’un long manteau de cheminée», notait : «Berthelot était d’une intelligence éblouissante qui fusait à chaque instant dans ses propos… et hors de propos : point du tout la vivacité d’un simple causeur, mais la force d’un esprit dont les idées révélaient sous leur surface étincelante une pensée substantielle inspirant le respect ; alors que Léger ne disait jamais rien de frappant, rien qui vous forçât à vous laisser distraire du sujet pour admirer le fin mot de la pensée profonde. Il souriait aux mots de l’aîné, peut-être avec plus d’affection que d’admiration, mais n’apportait aux débats que des pensées d’allure courante et qui semblaient s’y inscrire sans effort». »
http://www.herodote.net/Le_Seigneur_Chat-bibliographie-265.php
slugs and snails are after me…
Widangeur vous vous souvenez du temps où je vous avais surnommé foutriquet, c’était le bon temps
discutez aujourd’hui avec un ami qui le connait fort bien en long en large:, la sentence : Attali la seule chose qui l’intéresse c’est de gagner du pognon! » et vous qui le portez aux nues!! vous allez vous faire appeler nunuche si ça continue!
discuté avec…………..scusi!!
Bref VOUS N’ÊTES QU’UNE SOMBRE MERDE ! ET JE VOUS EMMERDE !
DES ORDURES DANS VOTRE GENRE NE MÉRITENT QUE LE MÉPRIS !
accuser Finkelkraut de faire le jeu du FN est totalement odieux. (Widergänger)
Balivernes. Comme Richard Millet, quoique de façon moins hystérique, Finkielkraut contribue à banaliser une vision de la société française qui coïncide bel et bien avec celle du Front National. On se souvient aussi de certains propos déplacés sur l’équipe de France de football (au quotidien israélien Haaretz). C’est dommage : il est arrivé naguère à cet homme de parler fort intelligemment de littérature.
t’es qu’un p’tit odieux, bref.
et je suis bien content que Watergang t’ai remis en place
ARTÉMISE VOUS N’ÊTES QU’UNE GROSSE MERDE INCOMPÉTENTE !
Finkielkraut est bien au dessus de toutes vos pensées minables et mesquines.
Je m’associe à W. pour vous emmerder.
Tu vois, boumou, quand on lit le contenu de la soirée, on nous trouverait presque Louis XV… T’aimes le Louis XV, boumou?
Pas plus cher que du désign en aggloméré.
D aime bien ce que dit widangeur et est d’accord avec lui, on est chez oui-oui
oui-oui et nunuche sont dans un bateau etc etc
I am not so upset about my horrible self
But why don’t you go upset yourself
Hey here’s the mirror see your stupid face
What a disgrace man and you know it’s true
Cretin family Cretin family Cretin family
Everyone’s against me
Cretin family Cretin family Cretin family
Oi-Oi-Oi-Oi
Don’t stare at me it’s freakin’ me out
Look what’s happening now it’s all your fault
You can’t do nothin’ absolutely nothing’ o.k.
Why don’t you get a hoola hoop
and do the cretin hop and
Cretin family Cretin family Cretin family
Everyone’s against me
Cretin family Cretin family Cretin family
Oi-Oi-Oi-Oi
I’m never wrong don’t tell me what to do
Here’s a little curse it’s from me to you
It’s nothin’ gonna happen nothin’ ever will
You’ll be miserable every day your luck will always be bad
Cretin family Cretin family Cretin family
Everyone’s against me
Cretin family Cretin family Cretin family
Oi-Oi-Oi-Oi
Everyone’s against me
Oi-Oi-Oi-Oi (X5)
Widergänger dit: 30 septembre 2014 à 21 h 48 min
Bref VOUS N’ÊTES QU’UNE SOMBRE MERDE ! ET JE VOUS EMMERDE !
exactement ce que pense plenel et finkie pensent l’un de l’autre, dès que votre bouquin sera terminé (en 2050 vu le temps mis pour écrire les 30 premières lignes) vous êtes bon pour l’académie widangeur
Dites-moi, Chaloux. Je n’avais jamais osé vous le dire, mais je vous trouve envahissant.
ARTÉMISE VOUS N’ÊTES QU’UNE GROSSE MERDE INCOMPÉTENTE ! (Widergänger)
Usurpation de pseudo ? Je ne reconnais point dans cette invective l’habileté polémique bien connue de Widergänger :
1/ L’usage des majuscules confère à la modeste tante Artémise une visibilité qu’elle ne mérite pas.
2/ » Vous n’êtes qu’une grosse merde » introduit une véhémence qui s’apparente à la perte de sang-froid, tout en gonflant abusivement la stature d’Artémise. Un simple : « vous êtes une petite merde » aurait été plus efficace ; « vous êtes un insignifiant étron » aurait semblé peut-être un tantinet littéraire.
3/ « incompétente » est une erreur, entraînant la nécessité de la preuve, ce qui risque de nous entraîner bien plus loin que prévu. cependant, par ses sonorités, ses discrètes connotations, « incompétente » s’accorde bien avec « grosse merde ». J’aurais opté, pour ma part à quelque chose comme « petite conne péteuse ».
» Artémise, votre propos est un insignifiant étron péniblement extrait d’une petite conne péteuse » m’aurait paru, de surcroît, souligner le ton quelque peu constipé de ladite Artémise. Si par hasard tu vois ma tante, balance-lui cet étron de ma part.
Bon le Boug et Chaloux ont à peine quitté le ring que ML suivi du petit D. s’en sont emparé pour invectiver en gras et en grossier tout le monde !
D. dit: 30 septembre 2014 à 22 h 15 min
Rassurez-vous, D., je pars très bientôt en voyage.
[ça fini par plomber le surmale à la fin …]
NON, CE N’EST PAS UNE USURPATION !
VOUS N’ÊTES QU’UNE GROSSE MERDE INCOMPÉTENTE ! ET SI JE LE POUVAIS JE VOUS DÉVERSERAIS SUR LA GUEULE UN GROS SAC DE MERDE ! C’EST TOUT CE QUE LES ORDURES DE VOTRE ESPÈCE MÉRITE ! SANS AUCUNE DISCUSSION ! JE N’AI POUR LES GENS DE VOTRE ESPÈCE QU’UNE HAINE ABSOLUE !
« un insignifiant étron péniblement extrait »
Je m’excuse d’intervenir à cet instant crispant de l’extraction pénible ( pénible, cela l’ est assurément pour tous les lecteurs de ce blog)pour signaler qu’un étron ne peut être par définition insignifiant puisqu’il est synonyme d’une grosse merde dure!
Tiens, une soirée à thème.
Ces paroles sont adressées bien sûr à Artémise, qui par ailleurs, marque bien que cette énorme « dureté » s’extrait péniblement et est souvent redoutée par les gros chieurs qui ne manquent pas d’intervenir sur ce blog.
😉
Incompétent est peut etre un peu dur, Phil. Meme avec Saint John Perse diplomate .Fumaroli préfère parler à propos de Berthelot de sa « Pléiade du Quai d’Orsay ».
Ueda, vous etes dur pour Samain . Je vous assure que, comparé à Charles Guérin, il a de la ligne et de la classe. Il faudra un jour que je convoque le fantome de Charles Le Goffic, belle nullité poétique ou le lieu commun se ramasse à la pelle….
Bonne soirée.
MC
en fait d. c’est un d à coudre
Dans le genre dictée républicaine, la palme est emportée par certains sonnets de Theuriet, qu’il suffit de disposer comme un paragraphe de prose pour avoir l’équivalent d’un extrait de Georges Ohnet…
MC
Pourquoi vous arrêter en si bon chemin WGG, allons jusqu’à trois, c’est plus ludique.
Rappelez-vous ces jeux de la prime enfance : un, deux, trois, et on ne devait pas bouger à la vue de celui qui comptait et se retournait…Alors, recevoir un sac de m…en plus, ça ce n’est plus du jeux!
Marcel dit: 27 septembre 2014 à 23 h 17 min
Une belle image !
even floating turds go down
Court, excusez-moi de vous le dire ainsi, mais à citer des noms d’illustres inconnus – Thiriet et Cloohney -, cela fait un peu pédant.
Ces gens-là ne valent pas que vous vous mettiez dans un état pareil, Michel.
De toutes façons, le FN ce n’est pas si mal.
Alba, tout cette merde que vous semblez avoir a votre disposition, et en quantités industrielles il semblerait, c’est vous qui la produisez ou y’a un gisement quelque part ou vous vous servez a volonté? Laissez-en un peu pour votre bouquin, hein…comme disait l’autre, pour pouvoir faire le coq du village comme vous, il est souvent requis d’être enfoui jusqu’aux genoux dans le caca le plus fumant…
Il ne faut pas perdre de vue que le prochain président de la République sera FN.
Tain…je me sens du coup comme un ignoramus…tous ce name dropping…de tous ces noms dropped par le court de taille, je n’avais entendu parler que de St John Perse, et encore…pas exactement mon livre de chevet…le reste, c’est du double dutch…il est trop tard pour moi d’aller chercher après Berthelot ou Le Goffic , vu que j’ai une grosse pile de bouquins a lire avant que je ne passe de l’autre coté, mais faut pas deconner non plus avec cet étalage flagrant de la marmelade…non mais…z’etes tous comme ca, a l’institut ?
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