
Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?
Ne vous êtes-vous jamais délecté du parfum subtil du paradoxe en lisant une étude très sérieuse aux plus hauts effets comiques ? Non que l’un exclue nécessairement l’autre, mais on ne s’attend pas nécessairement à éclater de rire, ou à rire sous cape si l’on se trouve dans le train, en lisant Coupole et dépendances (284 pages, 19,95 euros –sympa, ça, pour les libraires !- éditions du Moment), enquête sur le fonctionnement de l’Académie française. Ce n’est certes pas le premier livre qu’elle suscite. Mais dans cet esprit journalistique, il n’y avait guère que celui, amusant et informé, du plus parisien des Québécois, Louis-Bernard Robitaille (Le Salon des immortels, Denoël, 2002). Depuis, la chronique s’est enrichie des nouvelles aventures de la douairière du quai Conti, et ce n’est pas triste. C’est que le mythe est bien vivace. Songez donc qu’en 2001, lorsque la Ville a entrepris la réfection du parvis, les employés de la voirie n’ont pas eu à débarrasser les vieux pavés de granit (disjoints, Proust oblige !), des parisiens s’en chargeant personnellement, en souvenir !
L’enquête du journaliste littéraire Daniel Garcia, au ton serein et malicieux, est impeccable, nonobstant ses coups de griffe à tel ou tel écrivain (Angelo Rinaldi, Paule Constant) ou le recours répété aux mémoires du candidat malheureux Jacques Isorni qu’il épingle par ailleurs ; et tout n’y est pas neuf, notamment la partie historique maintes fois contée, de même qu’un certain nombre de rumeurs, ragots et bons mots ayant beaucoup circulé ; on savoure le plus souvent l’évocation de ces dérisoires batailles de gagas, tant d’académiciens consacrant leur temps à instrumentaliser non sans perversité les candidatures de ceux qui rêveraient d’en être, grâce à des témoignages inédits sur l’intact et inexplicable magnétisme exercé par « ce corps littéraire d’Etat » selon l’expression lancée par Fumerolles, ainsi que Philippe Sollers se plaît à appeler Marc Fumaroli.
On sait que l’Institut, dont l’Académie française n’est que l’une des composantes, est riche. La liste de ses propriétés foncières est impressionnante. Mais que c’est mal géré ! Façon de parler : ça ne l’est pas pour tout le monde. Certains s’y retrouvent. La Cour des comptes y a mis son nez. L’histoire est contée par le menu, chiffres à l’appui. Accablant, surtout pour le chancelier Gabriel de Broglie. Comme le sont les quelques pages consacrées aux intérêts africains « suprafrancophonie » de l’ancien directeur de cabinet du perpétuel Maurice Druon.
Au chapitre des visites du candidat, on se rend compte que Fontenelle n’avait pas réglé la question, son trait fut-il célèbre : « Sommes-nous trente-neuf, on est à nos genoux, et sommes-nous quarante, on se moque de nous ». On apprend ici que Valéry Giscard d’Estaing, qui ne s’abaisse guère à recevoir les victimes de la fièvre verte, avait fait une exception pour le romancier François Taillandier « parce qu’il avait vu que j’étais né à Chamalières ». Le linguiste Claude Hagège, qui avait ses chances, s’est coulé tout seul par ses visites : non seulement il les a saoulés de son verbe polyglotte et noyé sous le flot interrompu de son babil, mais il n’a parlé que de lui et de son oeuvre ; même ceux qui soutenaient sa candidature y renoncèrent lorsqu’ils comprirent qu’ils auraient à le supporter à vie. Forcément, il n’est pas convenable de faire sentir aux Quarante qu’ils ont de l’esprit comme quatre. Cela dit, à ce jeu, les authentiques écrivains sont désavantagés par rapport aux médecins : la tournée de visite de l’hématologue Jean Bernard fut une consultation ininterrompue et l’ophtalmologue Yves Pouliquen ne dément pas avoir opéré plusieurs académiciens de la cataracte. Disons que, s’il est vrai qu’une élection est imprévisible avant et inexplicable après, certaines le sont moins que d’autres.
Dans un registre sensiblement différent, on découvre qu’il y a 10% de gays parmi les académiciens (mais comment Daniel Garcia est-il parvenu à l’établir ?), qu’un couple d’hommes (mon Dieu !) siégea même sous la Coupole entre 2001 et 2012 (avis aux amateurs de recoupements) mais qu’un « lobby gay » aussi vert que rose relève du fantasme.
Au chapitre de l’ingratitude, Philippe Sollers occupe une place de choix. Passe encore qu’il veuille bien être de la compagnie à condition de ne pas faire de visites et d’être assuré d’être élu s’il consentait à se présenter (cela lui ressemble) ; mais se voir décerner le Grand Prix Paul Morand 1992 pour l’ensemble de son œuvre, l’accepter et sécher la séance solennelle de remise des prix, puis envoyer un relevé d’identité bancaire pour empocher les 300 000 francs (soit 45 000 euros), c’est là une goujaterie qui vaut bien de n’être plus appelé sous le coupole que « le vicomte de RIB ».
Parmi les morceaux de choix, on trouvera le récit détaillé du hold-up, il n’y a pas d’autre mot, monté par le tandem Léo Scheer/François Weyergans, l’éditeur et l’écrivain ayant comploté avec succès « pour se marrer » afin que le Goncourt 2005 soit attribué à Trois jours chez ma mère et que son auteur succède au fantomatique successeur de Maurice Rheims à son fauteuil de l’Académie française, Alain Robbe-Grillet, mort avant d’être intronisé immortel. Du grand art comme on en voit peu dans les coulisses de la république bananière des Lettres. Désopilant ! Leur tactique ? Des missives personnalisées, documentées, peaufinées, adressées à chacun des académiciens après étude approfondie de leurs œuvres y compris les plus anciennes, élevant la flagornerie au rang des beaux-arts. Tant et si bien que la plupart la lurent au premier degré. Aujourd’hui, ils disent l’avoir égarée. Dommage. On imagine l’anthologie ! Tout de même, il y en eut, tel Yves Pouliquen pour y voir plus clair que les autres. Forcément, l’un très ophtalmo, l’autre très myope : « Je me suis demandé s’il ne se foutait pas de ma gueule. Il me comparait à Diderot ! » Bien vu.
Alors pourquoi en être ? Pas pour l’argent. Avec l’indemnité forfaitaire à laquelle s’ajoutent des jetons de présence aux diverses commissions, le salaire de l’hâbleur n’excède pas les 4000 euros par an. Mais les compensations collatérales sont plus intéressantes. La Maison ne laissant jamais tomber ses membres encore actifs, non plus que ses malades et plus tard leurs veuves et orphelins, n’a pas volé sa réputation de « deuxième famille ». En être délivre de biens des soucis à commencer celui du logis. La Maison possède des immeubles de rapport boulevard Saint-Michel, rue Monsieur-le-Prince, rue Crébillon (Quartier latin), rue du Ranelagh et rue Davioud (XVIème) ainsi que rue Pasquier et boulevard Haussmann (quartier des Grands magasins).
La vanité étant répandue avec équanimité dans le petit monde des mains à plumes, les grandeurs d’établissement séduisent comme autrefois, bien plus qu’on ne l’imagine. Pour se dédouaner, les candidats rappelleront ce que Baudelaire en disait : « C’est le seul honneur qu’un vrai homme de lettres puisse solliciter sans rougir ». On dira qu’en ce temps-là, c’était autrement mieux fréquenté. Eh bien non, justement : en ce temps-là déjà, et même avant, des Dabadie y côtoyaient des Dumézil.
Et puis il y a le dictionnaire. Le grand alibi, dirait-on, même pour ceux qui ne participent pas à son élaboration. Les travaux de l’actuelle édition ont été lancés en 1936. Un service d’une dizaine d’agrégés (Lettres modernes, Lettres classiques, Grammaire et… Biologie) y travaillent à plein temps toute l’année, en amont d’une dizaine d’académiciens constituant la commission du dictionnaire « du français durable », sa vocation, même si le lexicographe Alain « Robert » Rey objecte cruellement que, par définition, le français n’est pas durable. Ce qui n’empêche pas les forçats du dico d’être beaucoup plus sollicités qu’avant par les usagers. C’est la société Nestlé demandant s’il faut écrire sur l’emballage d’un dessert « avec deux moules à chocolat » ou « avec deux moules à chocolats » ! Ou une psychiatre leur enlevant une épine du pied en suggérant l’adjectif « désenfanté » pour désigner celui qui perd un enfant, et que l’on ne peut dire ni veuf ni orphelin. Où l’on voit que, malgré de légères avancées sur la définition du mariage, l’Académie reste conservatrice sinon archaïque : elle préfère traduire binge drinking par « beuverie collective » (comme si ça se buvait le petit doigt en l’air !) plutôt que par « biture express », ce qui serait plus parlant.
Ce qui est durable en revanche, c’est le dur désir de durer en gravant son nom dans le marbre de crainte de ne pas l’inscrire dans la mémoire de ses contemporains. En 1878, le jour où le sort académique de Taine et de Renan se décidait, Flaubert se demandait dans une lettre à la princesse Mathilde en quoi l’Académie pouvait bien les honorer : « Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ? »
(photos D.R.)
1 371 Réponses pour Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose?
« ces dérisoires batailles de gagas »
Les dés sont jetés,
passou n’en sera pas.
Biture express, biture express… Ces idées de tout vouloir faire au galop ! On n’est pas pressé, corboeuf… C’est comme tout ça se travaille faut que ça soye réussi !
Pas un mot sur les leçons d’escrime… On leur confie tout de même pas ces engins sans leur montrer ? Comme Ferdine en sabre de cuirassiers les plus longs… Et alors comme on dit « maître » et aux académiciens, et aux maîtres d’armes, ça simplifie !
…
…mais, c’est très bien,…ces privilèges succincts,…l’entre aide intello,…
…
…même, si personne n’en fait parti,…
…comme le roi-merlin,…tousse pour un,…et un pousse tous!,…
…au moins on sait, ou les trouvés, si on les cherche,…c’est pas du paradis fiscal,…
…une autre forme d’évangile,…bon,…
…de là,…à devenir un » Vatican » territorial & lettres,…Saint-Pierre à déjà sa coupole,…
…
…c’est pas demain,…que le parti des académiciens va prendre le pouvoir dans Paris, et nous balancer des états généraux,…
…
…de la galerie,…etc,…une monture pour l’horlogerie de notre temps,…etc,…
…
qu’est-ce qu’ils font au juste a l’academie? et ils en sont a quelle lettre au juste pour le dico? s’ils ont commence en 1936, il devraient etre au moins a la lettre Q…ils devraient le publier en feuilleton, comme Balzac itou…une lettre par jour…
pado dit: 3 mars 2014 à 23 h 52 min
« ces dérisoires batailles de gagas »
Les dés sont jetés,
passou n’en sera pas.
–
Vous vous trompez, pado. J’ai fait un songe qui montrait le contraire. Et jusqu’à présent je ne me suis jamais trompé dans l’interprétation de mes songes.
Pour le couple de gay, Rinaldi et Bianciotti. Tant qu’à faire dans le people, Passou, il faut aller jusqu’au bout !
D vous vous trompez de billet, nous n’en sommes toujours pas à Freud et à ses théories du rêve, du songe, du mensonge.
J’y vois là matière à un film, ou une pièce.
Le pont des arts, face à l’académie, au petit matin les pigeons s’envolent, c’est convenu, c’est donc Podalydès qui s’avance d’un pas bien sûr décidé.
La subtilité, c’est qu’il n’y a pas Lucchini.
Philippe Sollers est campé par un Philippe Khorsand en l’espèce, il a affaire le long du film au concierge de l’académie de qui il essaye d’obtenir son chèque. C’est le running gag, on verra bien comment il l’obtînt.
Ensuite bien sûr, le dictionnaire. Et de filmer les flâneries dans un jardin de l’Académie prévu à cet effet ou bien les discussions à table sur les subtilités de tel ou tel mot de la langue. Et ce tout le long.
Nous sommes dans le registre du comique comme tel. Les ministres sont loin, on ne pense pas pas au casting de Filippeti, Ribes est donc exclu. Non, c’est Podalydès qui rafle la mise parmi les concourants espiègles de ce milieu, grâce à de petits rougissements des joues qui concluent ses interventions.
Le dictionnaire avance, on est à mi-chemin entre Poudlard et Demain à Marinbad, c’est parfait, c’est très selfie en fait.
Ceci pour m’autoriser cette réponse à la question de Flaubert:
– Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ?
– Pour l’adaptation !
ça devient précis en papillote !
Quant aux Papillotes pour un Iranien Ba’aassiste,
l’explication ne s’impose pas !.
Très bien, j’appellerai pour réserver une table, et puis un billet de train aussi.
J’emmène une pancarte ou pas?
(Freud l’a sorti à temps
bonne nuit)
Et je rajoute
– Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ?
– Pour l’adaptation !
– Aucune chance !
ça c’est pour billet (i.e mon commentaire un peu long)
Je les connaissais mal, mais moins que vous !
*Bon, je mettrais POSIX la prochaine fois.
Quel beau billet de notre académicien Passou ! Le chancelier Pierre Le Taulier met parfaitement en valeur une courbe qu’Internet a réussi à inverser contrairement à une autre : celle de l’Immortalité ! La fin d’un monde….
Car, en effet, qui peut croire que les gagas de l’Académie Française sont connus d’un large public ? Personne ! Qui peut croire qu’ils resteront immortels ? Personne… et nous constatons, sans frémir le moins du monde, que la courbe résultante des quarante courbes de leur célébrité chute sans fin depuis Richelieu dans l’anonymat aisé d’un Institut poussiéreux, vide de sens.
Oui ! les véritables Immortels sont ici ! Les Héros de la littérature sont ici ! Enblogués à mort ! Chacun de leur propos est numérisé éternellement dans le cloud, cloaque éternel, où ils garderont à jamais toute la fraicheur de l’instantané.
Le dictionnaire à finir ? Foutaises ! Tout est dans Wikipédia ! On arrête les couillonades fixant la langue. Rien n’est sûr dans Wiki ? Et alors, est ce que ce n’est pas une situation acceptable en ce monde… ?
Mes amis, nous ne sommes plus républicains en République des Livres, chez le chancelier Assouline, mais académiciens dans une Académie nouvelle, non plus Française mais Cosmopolite, et infiniment plus vivante !
Continuons le combat ! Il reste à dessiner notre uniforme chamarré à l’extrême, et à pousser gentiment les gagas conservateurs actuels vers le tombeau, sortie tout à fait honorable, et à nous installer, nous les gagas révolutionnaires, dans des lieux confortables, dignes de notre modernité ! En avant !
Le prochain article, n’en doutons pas, sera consacré aux troubles origines idéologiques de l’Académie Goncourt. Pierre Assouline, ça ne vous gêne pas de penser que vous verrez jusqu’à la fin votre nom associé à celui de deux antisémites notoires? (Manette Salomon c’est un chef-d’œuvre mais plutôt à lire avec des pincettes, non?).
Tous ces vieillards… Ah gaga des mi-Français
Rire sous cape
http://culturebox.francetvinfo.fr/sites/default/files/assets/images/2014/02/academie.jpg
Mon Dieu, mon dieu, pour le duel le sac est également autorisé.
« Remise à l’élu quelques jours avant sa réception, l’épée est à l’origine le signe de l’appartenance des académiciens à la Maison du roi ; son port se généralise à partir de la Restauration ; seuls les ecclésiastiques et, en principe, les femmes n’en reçoivent pas. Mme de Romilly n’en portait pas, ayant remplacé l’épée par un attribut féminin, un sac à main brodé. Mmes Hélène Carrère d’Encausse, Florence Delay, Assia Djebar, Simone Veil, Danièle Sallenave en portent une. »
Être antisémite, c’est un point de vue possible, Chaloux, par exemple si on est « antisémite modéré », ou bien on est catalogué immédiatement pogromiste cruel, assassin, et agent de camping concentrationnaire ? Je connais mal le français …
antisémite modéré, je vois mal comment faire porter l’épithète, vous proposeriez d’alléger la Shoah, d’écrémer les listes, d’abréger le récit des souffrances?
…
…vous prendriez-bien encore un « Académicien Magnum « ,…en lisant votre quotidien » Sexexpresso « ,…
…
…mais,…Non,…mon enfant,…j’en suis déjà à » l’Académicien de saucisse de Francfort « ,…Oui, avec de la choucroute » Panzer-Ami « ,…
…Non,…le N°5 de, » Glassnoce rose « ,…me suffit,…en Godeceinture mith << h."u".ns <<,…de vandales à col blanc de la jarretière,…à Louis XIII,…
…
…quel pain,…le dictionnaire,…
…çà vaut bien un manche,…serties de micro,…poils au menton,…etc,…
…service matin sur " table ",…qu'elle débauche d'esprit,…tout ces parvenus des morales,…s'entre deux,…etc,…envoyez!,…
…
Bérénice, en général si je pose une question, c’est que je n’ai pas la réponse…
Je voulais seulement savoir s’il y a des degrés dans l’antisémitisme et, pour revenir à la remarque de Chaloux, poser la question : « Est ce que Passou fait partie d’une académie Goncourt, nid de frères racistes, pourris, criminels, bref infréquentables moralement … »
Etre, c’est bien,
être immortel, c’est mieux (voire !)
surtout quand l’échéance approche
sauf que…
Lacoupolestpleinement.
Bien, perso je suis en train de lire Singmaringen. Comme j’ai beaucoup aimé la série « Downton », elle-même issue du film d’Altman Gosford Park, je me demande si le personnage du majordome n’en serait pas une version teutonne. En tout cas, c’est une trouvaille : la rigidité d’un domestique ayant intégré jusque dans sa moelle osseuse l’ordre de ses maîtres aristocratiques, confronté au chaos d’une clique grand’guignolesque… Le domestique, gardien d’une maison si séculaire que le nazisme en est réduit à un évènement quasi-périphérique (et bien moins important que des miettes de pain traînant sur une nappe), va forcément devoir évoluer, et vite fait, s’il veut avoir une chance de rester vivant. N’empêche, mon insatiable curiosité me pousserait bien à demander à notre hôte si son Julius Stein n’est pas le cousin germain (ahaha) de l’attachant Carson ?
(pas encore arrivée à l’entrée du chat Bébert, et de son sulfureux propriétaire…)
Être antisémite, c’est un point de vue possible (JC)
Ce fut un dérapage possible. JC, veuillez éviter les dérapages non plausibles. A propos, je vous rappelle que « plausible » signifie étimoulogiquement : « qui mérite d’être applaudi ».
Aragon est un con (suite).
Quand j’en aurai le temps, je copierai les sottises qu’Aragon a écrites sur Proust, – décidément, ce type est un festival de la connerie humaine à lui tout seul.
Joli, le coupe-papier d’Amin Maalouf !
Panopliablement.
Clopine, voyez plutôt du côté de Hrabal, Moi qui ai servi le roi d’Angleterre, un pur chef-d’œuvre.
bonjour christian..on a déjà donné et pour les cuts et past on a rénato
Bien, perso je suis en train de lire Singmaringen. Comme j’ai beaucoup aimé la série « Downton », elle-même issue du film d’Altman Gosford Park, je me demande si le personnage du majordome n’en serait pas une version teutonne. (Clopine Trouillefou)
On pourrait remonter jusqu’à Losey. Y aurait-y comme qui dirait du plagiat dans l’air? Ô mânes de Mâché-Tourond, seriez-vous de retour ? Clopine aurait-elle sans le vouloir levé un lièvre (j’en profite pour rappeler qu’on doit dire « lever un lièvre » et non pas « soulever un lièvre », comme on ne doit plus s’en souvenir à l’agagadémie frnçaise)?
JC loin de posséder l’érudition indispensable à lire dans la généalogie des illustres qui s’affichent à tous les coins de rues, sans penser à ceux qui ne figurent pas encore à l’entrée d’un parc, d’une bibliothèque, d’un théâtre, d’une piscine, d’un stade. Il faudrait pour dépasser l’idée approximative des mécanismes consacrer une somme de temps qui n’est pas même enregistrée sur des comptes suisses, à quoi bon tenter d’énumérer toutes les nuances de gris, depuis les commencements, ce qui n’est pas corrompu n’est qu’une matière en attente et encore les repères et critères de définition sont je crois variables et culturels, l’admissible ici, l’inadmissible là-bas, maintenant, hier, demain, mascarade fonctionnelle.
Onésiphore,
Si je comprends bien, on ne peut pas être « antisémite modéré » ?! Le mot, la notion « Antisémite » ne supporte pas de qualificatif ?
Comment définir quelqu’un* qui déteste les Juifs, sans vouloir les tuer ? Modérément, donc…
*cas d’école, je suis personnellement sioniste et le petit peuple juif a toute ma sympathie
Assouline, vous avez parfois un côté Carmen Tessier, Bottin de la commère etc., sont-ce vos débuts à France-Soir?
« Je me suis demandé s’il ne se foutait pas de ma gueule. Il me comparait à Diderot ! » Bien vu
moi c’est..holala..je vais envoyer un rib..ça mange pas de pain
» Sont-ce vos débuts à France-Soir » qui vous jouent un tour à leur façon?
Comment définir quelqu’un* qui déteste les Juifs, sans vouloir les tuer ? Modérément, donc…
depuis l’hitler t’es déshonnoré jicé..c’est un attila çuilà
« Quand on est quelqu’un, pourquoi vouloir être quelque chose ? »
une personne physique ? ha mais sinon tu peux pas palper..c’est ça..faire l’con flaubert..ça orne pas les biens mais les personnes tout court
Quant à se déshonorer, le pauvre Bouguereau a encore toute cette journée devant lui.
La question générale, levée par le lièvre Chaloux, serait plutôt de savoir si en adhérant à un groupe, un parti, une académie on en hérite de la totalité de l’actif et du passif ?
Est-ce pareil pour la famille et la nationalité : tous coupables des crimes de nos pères !
Est-ce qu’à l’agagaendogamie française ils ont des majordomes pour leur servir la soupe ?
Si je comprends bien, on ne peut pas être « antisémite modéré » ?! (JC)
On ne peut pas être antisémite Du TOUT.
Jacques, tu réponds en questionnant : quand on « adhère » volontairement on assume son choix. Pour la famille, rien de commun pendant les années d’enfance !
Adulte, une famille, une nation, ça se quitte !
Giscard a également reçu le postulant Renaud Camus, lui aussi de Chamalières.
Dear passoupline sait bien sûr tout ça, ainsi que les histoires de siègeurs gay (pauvreté de l’anglais de donner pour « gay » ceux qui sont fiers d’être des tristes sires)
mais ne mouffte pas, comme dit l’académicien baroz.
Non Jacques, je n’allais pas si loin, mais j’ai déjà remarqué la hargne d’Assouline vis-à-vis de l’Académie française, et je dois dire que je ne trouve pas tellement plus glorieux d’aller baffrer (chez Drouant pour décerner une médaille en chocolat à un écrivain qui, neuf fois sur dix, n’est rien d’autre qu’un producteur de navets.
Il faut qu’il y ait une académie française, même si on n’était pas obligé d’y faire entrer ce pauvre Weyergans, célèbre dans Paris pour son incapacité à terminer convenablement un livre. Il m’arrive de l’apercevoir le jeudi, avec son petit chapeau en cuir, ayant toujours l’air d’attendre quelqu’un, comme s’il ne pouvait se résoudre à entrer seul. On lui donnerait cinq francs… et je suis sûr qu’il les prendrait.
« Adulte, une famille, une nation, ça se quitte ! »
Et si un Turc demande la nationalité allemande, c’est qu’il est nazi, JC ?
Sur la photo du pont des Arts, en illustration, il manque les cadenas de l’amour aux grilles !
« On ne peut pas être antisémite Du TOUT »
Bon, c’est compris, les Français n’ont pas de mots pour qualifier un antisémitisme modéré, notion imaginable intellectuellement, n’est ce pas ? Ne veulent pas envisager ce cas et poursuivent en justice ce crime…
@ JC….. dit: 4 mars 2014 à 9 h 10:
« cas d’école, je suis personnellement sioniste et le petit peuple juif a toute ma sympathie »: Le peuple Juif, a votre sympathie, soit, mais perdurant ou disparu ?
Votre sympathie vaut votre haine, produits avariés générés par un cerveau malade. Est-l’âge, ou est-ce votre vie prise depuis la petite enfance ?
Jacques Barozzi dit: 4 mars 2014 à 9 h 31 min
« Adulte, une famille, une nation, ça se quitte ! »
Et si un Turc demande la nationalité allemande, c’est qu’il est nazi, JC ?
Humour excellent, Jacky…! Bravo !
La question générale, levée par le lièvre Chaloux, serait plutôt de savoir si en adhérant à un groupe, un parti, une académie on en hérite de la totalité de l’actif et du passif ?
Est-ce pareil pour la famille et la nationalité : tous coupables des crimes de nos pères (Jacques Barozzi)
Nous ne sommes en aucune façon co-responsables des crimes, des fautes ou des erreurs de nos pères. Une autre question (épineuse) est de savoir si nous en sommes les héritiers. Par exemple, nous sommes certainement les héritiers des profits du colonialisme français. Une troisième question est de savoir si nous sommes explicitement ou implicitement solidaires de ces crimes, de ces fautes et de ces erreurs.
…
…c’est parti!,…plein gaz,…sur le radeau de cette méduse » acqua-dermique « ,…
…du pur,…saindoux,…
…de bon matin,…gâteries, biscuits,…Ô’m & lett(r)es,…
…un Club Med,…bronzés avec ses bijoux de familles de serpent aux plumes de Quetzalcoaltl,…
…l’académicien,…ou l’antre de la pyramide de Kukul-kan,…
…çà ne s’invente pas!,…etc,…
…
C’est la notion d’adhésion volontaire qui définit la responsabilité : pas l’héritage
veuillez m’excuser …; dix versions sont en cours…; eu égard aux travaux de rénovation de façades de carnaval …; la parole est à la défense…; meilleure en est l’attaque;..; envoyez …paître; …
Le problème de l’Académie française, c’est qu’ils s’élisent entre eux. Il devrait exister un comité d’élection où ne siégeraient pas plus de deux académiciens. Est-ce qu’on demande aux pensionnaires du Panthéon, cette institution vraiment ridicule, de se coopter?
JC, vous savez bien, et quelle nature un peu réfléchie l’ignore, qu’on finit toujours pas débusquer des adhésions involontaires…
Ah, Chaloux ! Nous sommes unis par le même humanisme : RASONS LE PANTHEON !
Oui JC, et on saura enfin si Voltaire y est toujours ou non, ou s’il est vraiment quelque part dans le parc Monceau, puisqu’il est administrativement tellement difficile d’aller le vérifier.
la photo du dessus ; renato en nabot vert…; demandez…; on vous sert au maïs; de poules, le jardin bioacadémicien; sans steak; hachez menu; ciboulette et petits oignons, marie-rinçe-doigt-là ! hourra…bip bip !!!
D’un point de vue de celui qui adhère :
-ou il le fait volontairement, et il assume
-ou cette adhésion est involontaire, non conscientisée, et je la considère comme subie et non choisie
« La Maison ne laissant jamais tomber ses membres encore actifs, non plus que ses malades et plus tard leurs veuves et orphelins, n’a pas volé sa réputation de « deuxième famille ». »
Si l’on en croit ce que rapporte Passou, l’Académie Française c’est un territoire (des patrimoines), une langue et une nation. Un pays de la taille d’une grande famille à la moyenne d’âge particulièrement élevée.
Il y faudrait l’oeil du sociologue pour l’étudier ? Qu’en a dit Levi Strauss ? Sinon, il serait bon d’y faire entrer le jeune Eddy Louis (malgré ses 20 ans, les histoires de familles il connait et il descend bien) ?
Onésiphore, si c’est un lièvre, c’est un lièvre de mars : vous ressemblant un tantinet, donc.
Vous croyez vraiment que notre hôte déclare publiquement prendre parti dans la Guerre des Académies (Goncourt contre Française), et celle-ci existe-t-elle, façon des Boutons ???
Oui, Losey, j’y avais pensé un petit peu. Mais souvenez-vous du précédent livre de Pierre Assouline, cette « invitée » qui n’était autre qu’une employée de maison : il semble que Pierre Assouline s’attache à ce genre de personnages. Bon, on pourrait dire aussi que, dans son milieu très parisien, très cultivé, très littéraire, il a peut-être besoin, tout à la fois, de tâter du prolétaire et d’en tirer des sujets, et qu’il ne peut guère rencontrer, dans son milieu protégé, des figures ancillaires (je m’imagine mal Pierre Assouline aux concerts dominicaux de la Traverse, à Cléon), d’où l’employée invitée à table, d’où le majordome seul garant d’un ordre social chutant dans l’abîme. C’est une idée qui ferait bisquer TKT : ne trouver, dans son entourage, que les employés à… employer, littérairement parlant s’entend. Mais j’ai peur que ce ne soit qu’une divagation clopinienne.
En tout cas, cela fonctionne. je veux dire que Sigmaringen me serait certainement tombé des mains si le point de vue avait été celui d’un des ministres français, ou d’un jeune attaché de cabinet, ou d’une maîtresse elyséenne (ou plutôt vichyssoise, tendance robe rose à carreaux). Là, l’ordre (le salut ?) vient d’un impassible gardien du temple, qui s’accorde le droit de penser mais pas celui de prendre la parole : c’est vraiment malin, et cela fonctionne bien mieux que pour son « invitée ».
pado dit: 3 mars 2014 à 23 h 52 min
« ces dérisoires batailles de gagas »
Les dés sont jetés,
passou n’en sera pas. »
Pas sûr, il arrive que les vieilles dames qui s’ennuient ouvrent leurs portes à des polissons.
« RASONS LE PANTHEON ! »
Le film de cette semaine, dont parle Sophie Avon, est pour toi, JC !
… il ne peut guère QUE rencontrer des figures ancillaires…
Jacques, faire entrer Bellegueule à l’AF est une excellente idée pour rajeunir le mouroir : j’ai cependant calculé la baisse de la moyenne d’âge qui en résulterait…. infime !
Clopine Trouillefou dit: 4 mars 2014 à 9 h 52 min
« Mais souvenez-vous du précédent livre de Pierre Assouline, cette « invitée » qui n’était autre qu’une employée de maison : il semble que Pierre Assouline s’attache à ce genre de personnages. »
Gaffe Assouline, Clopine ne va pas tarder à prétendre que vous êtes monté par l’escalier de service!
Clopine, lisez le Hrabal.
« il arrive que les vieilles dames qui s’ennuient ouvrent leurs portes à des polissons. »
Passou, serial killer ou simple arracheur de sacs, u. ?
Entre les deux, il y a eu les « Vies de Job », Clopine. Une histoire de maitres et serviteurs devenus SDF…
sigmaringen; bof, je préfère bamberg..; des ponts;…, soupir, mieux que paris, chic& toc & cher; … bienvenue chez les fritzzz; regardez mon bel album…; pizza dans les rangs…/…
Giovanni le monde s’articule avant ce qui suit sur la base du langage, il faut bien cette armée en sabre pour décider desquels seront officiellement autorisés à exercer à l’oral et à l’écrit, pour dire, énoncer, annoncer, psalmodier, réciter, inventer, imaginer, dicter, commander, ordonner, suggérer, susciter, provoquer, encourager…à fin d’évolution, progression, régression, soumission, participation, anticipation, abolition, transgression, autorisation, interdiction, fonction, ambition, réaction, manipulation, réflexion, sanction, stabilisation, création, action…
Le majordome de Sigmaringen Julius n’est pas « seul garant d’un ordre social chutant dans l’abîme »!
Pas du tout ! Il subit les conséquences sur ses troupes, hésite, ne sait pas au juste quoi faire parfois, se trompe en grande partie dans son analyse et ses réactions professionnelles et/ou personnelles …. Garant de rien, balloté, oui !
Passou en vieille dame?
« moi qui ai servi le roi d’Angleterre », Chaloux ? (dure journée, pour la Reine°.
Est-ce un Minotaure sur le pommeau de l’ épée?
On connait l’ importance du sigle personnalisé pour certains.
Des précisions de toc et de taille? Vous semblez en détenir.
« moi qui ai servi le roi d’Angleterre », Chaloux ?
fais pas ta faux cul clopine..on en a dejà longuement parlé..chaloux c’est une gamelle accroché a n’importe quelle guimbarde..il fait du bruit..de gamelle
Clopine, Hrabal est un vrai grand écrivain, pas un comique salonnard.
Bonne journée,
« On ne peut pas être antisémite Du TOUT »
raciste on peut l’être un peu jicé..les noirs les musulmans sont des espèces moins protégées..
en effet; well observed, c’est un taureau …; qui vise le lapis-lazuli.
cabochon serti-clos.
Clopine, vous pouvez faire confiance à Bouguereau, cette mémoire désorthographiée et baveuse de la RDL. Bouguereau, essuie-toi.
Boug,
Chaloux est un pichet royal en étain, accroché à une Rolls-Royce Phantom…
prends les cathos..tu peux y aller..les blancs façon copé aussi..mets leur des pains au chocolat..feu feu!
Chaloux 10h14: Ce que vous suggérez est dégueulasse.
Bonne journée,
..sapré christian
J’aime la notion de « raciste modéré » anti-noirs, anti-arabes, anti-belges, anti-corses, anti-écossais, anti-gauchiste, anti-socialiste, anti-blondes ! Ainsi, on peut continuer à raconter les blagues débiles qui concernent ces populations en danger …
Rigole pas avec les Rolls, Charles, c’est pas un sujet de plaisanterie.
Des blagues sur Copé ?
« On n’a plus vu Copé depuis deux jours ! Il aurait posé les scellés en restant à l’intérieur de la pièce. »
J’ adore celle-là, mais ce n’est pas de ma même Académie!
http://www.canalacademie.com/IMG/jpg/DSC_0157_2pee_SPIP_long.jpg
Addenda à la 9ème édition du Dictionnaire
Café pour saluer les « agrégés détachés » qui font le travail (je ne savais pas, mais ça tombe sous le sens).
Certains mots sont bons à reprendre:
« CONVIVANCE n. f. XVIIIe siècle, « fait de vivre ensemble ». Dérivé de l’ancien français convivre, « vivre ensemble », avec influence, au xxe siècle, de l’espagnol convivencia.
Situation dans laquelle des communautés, des groupes humains différents vivent ensemble au sein d’une même société en entretenant des relations de voisinage, de concorde et d’échange. La convivance des musulmans, des juifs et des chrétiens en Espagne prit fin en 1492. »
Pourquoi ne pas remonter en amont du discours Vallaud-Belkacem?
(Le « Faire France » d’un récent rapport entrera-t-il un jour dans le dictionnaire?)
Il y a des mots faits pour briller dans les saloons:
« ACHÉIROPOÏÈTE adj. XVIIIe siècle. Emprunté du grec akheiropoiêtos, de même sens, lui-même composé du préfixe a- privatif, de kheir, « main », et de poieîn, « faire ».
Qui n’a pas été créée par la main de l’homme. »
On sait désormais comment qualifier une spéculation sans fondement, un projet sans rapport avec la pratique, une production où on ne sent pas la patte de l’artisan
C’est une branlette achéiropoïétique.
Et il faut toujours un début à tout.
http://www.ina.fr/video/I05210911
Clopine dear, dans « L’Invitée », la domestique est une étudiante qui fait ce travail, pour subvenir à ses besoins et payer ses études. Son avenir est ailleurs. Sa « patronne » est une cruche, parti-pris de l’auteur de faire de la bourgeoise, un personnage qui n’arrive pas aux genoux de son employée. Cela arrive dans la vraie vie.
Les employés de maison ont tout mon respect, j’aime n’importe qui qui fait bien son travail. Je préfère une femme-de-chambre, vraie professionnelle, à une maîtresse-de-maison, qui ne sait pas donner des ordres et maintenir une certaine qualité de vie.
Difficile de raconter la vie d’une famille, sans y joindre les employés de maison. Ils font partie de l’histoire familiale.
Personnages de roman, sujets littéraires ? Assurément.
Je n’ai pas encore lu « Sigmaringen », le majordome en est le liant ?
Vous parliez de « Downton Alley », on pourrait aussi parler de « Upstairs, downstairs », les domestiques sont tout autant structurés que les maîtres, dans une hiérarchie assez statique. Relativement, un majordome est un ancien valet de chambre et, le Lord of the Mansion, fut d’abord un héritier, sur une liste de prétendants.
Il y a aussi les déclassés, économiquement, qui deviennent secrétaire privé, ou dame de compagnie.
C’est amusant, comme vous fantasmez…
…
…@,…bérénice,…à,…10 h 03 ,…
…
…un simple secrétariat pour l’administration du langage,…lié aux affaires courantes des taxes,…dans chaque patelin,…Basta,…
…
…et, une bonne police, des revenues ringards!,…
…et, puis,…du travail, de la production,…S.V.P.,…
…
…il parle encore gaulois,…mais on s’en fout,…du moment qu’il enrîchit la nation et ses propriétaires en partage,…
…et tout les patois,…cette sonorité du fond des âges,…non pas des indépendances à chaque patelin,…mais un historique des mutations libres pour se facilité le quotidien,…
…des secrets de fabrication bien cachés,…en patois pré-aquitaine,…O.K.,…
…à l’oeil de Paris,…enfin,…des touristes chez les Ch’tis,…etc,…
…
bouguereau dit: 4 mars 2014 à 10 h 16 min
Bouguereau, tu peux continuer à te conchier mais sans faire d’éclaboussures svp.
pas de danger que TKTruc fantasme, il écrit déjà comme un vieil acacadémicien gâââteux, hihihi
D’où l’expression, il y a de l’achéiropoïètique de l’emploi chez Sapin !
clopine n’a jamais vu une crinière casher; une vraie mère de famille old style à l’assouline, a deux coins cuisine .. bon; … je mélange pas l’oeuf et le lait for ex.
« ACHÉIROPOÏÈTE »
L’ image achiropoïète ou la Véronique, U, cela vous dit quelque chose?
« Les employés de maison ont tout mon respect, j’aime n’importe qui qui fait bien son travail. »
Mon ami Thierry, ne faudrait il pas écrire plutôt :
« Les employés de maison ont tout mon respect, j’aime n’importe QUEL quiqui qui fait bien son travail. »
« Difficile de raconter la vie d’une famille, sans y joindre les employés de maison. Ils font partie de l’histoire familiale.
…..
C’est amusant, comme vous fantasmez… »
TKT
« Difficile de raconter la vie d’une famille, sans y joindre les employés de maison. Ils font partie de l’histoire familiale. »
Inénarrable TKT! Il ne lui vient même pas à l’esprit que 99% des familles n’ont jamais eu d' »employés de maison »…
Tu ne feras pour toi ni sculpture ni toute image de ce qui est dans les ciels en haut, sur la terre en bas, et dans les eaux sous terre.
Tu ne te prosterneras pas devant elles et tu ne les serviras pas.
Exode 20, 4-5 ; Deutéronome 5, 8-9.
Tu ne prononceras pas en vain le nom de IHVH, ton Seigneur, car IHVH n’innocente pas celui qui prononce son nom en vain.
Deutéronome 5, 11.
Quand vous aurez passé le Jourdain pour la terre de Canaan, chassez devant vous tous les habitants du pays, faites disparaître toutes leurs idoles, faites disparaître toutes leurs répliques de fonte, dévastez tous leurs hauts lieux.
Nombres 33, 51-52.
IHVH vous parle au milieu du feu. Vous entendez la voix des paroles, mais vous ne voyez pas d’image, rien qu’une voix.
Deutéronome 4, 12.
Ceux que d’avance il a connus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils.
Saint Paul, Épître aux Romains 8, 29.
Il est l’image du Dieu invisible, Premier-né de toute créature.
Saint Paul, Épître aux Colossiens 1, 15.
TKT, vous savez, les fantasmes sur les domestiques, depuis DSK c’est un sujet rebattu (et j’ai lu Mirbeau…)
En fait, depuis ce matin, je divague sur un Pierre Assouline à la Traverse, et, je l’avoue, ça me fait rigoler ; j’aime beaucoup cet endroit : quand vous y arrivez, il y a une rangée de motos absolument rutilantes garées pile poil devant la porte d’entrée. Le parking est en fait un peu à côté, mais les proprios des engins ne peuvent se résoudre à tant d’espace entre eux : du coup, les vigiles de la porte ont un oeil (et un sacré oeil) sur les belles endormies. La salle est assez spartiate du point de vue du confort – vous n’aimeriez pas ça du tout – le blouson le plus courant et le perfecto, sur scène ça balance du décibel et dans la salle, ah, dans la salle, y’a du prolo pas façon Bellegueule mais façon plutôt Besancenot. (je vous en prie, TKT, aspirez un grand coup et regardez : nul couteau entre mes dents.) C’est convivial, chaleureux, la bière est bonne, et c’est l’endroit que je choisis quand je veux sortir mes bottes rouges guipûrées (avec des petits trous qui laissent voir la couture du collant, assorties à mon écharpe tout aussi rouge sang. Eh bien, imaginer notre hôte là-dedans, ça me fait la matinée, moi.
le blouson le plus courant EST le perfecto
De toc et de taille, j’ignorais jusqu’à vous l’ouverture qui préside au choix des académiciens, qui présida? La véronique? Une tisane?
Puisqu’on parle famille et domesticité : la famille chrétienne … les larbins, les majordomes de la famille, ce sont les archevêques et les curés, n’est il pas vrai ?
C’est un beau réflexe de santé, de la part de ces vieilles personnes, d’avoir éconduit l’homme de paroles Hagège.
C’est un garçon qui, comme disait Montaigne, pèse à l’écoutant.
Tout interlocuteur ayant eu le malheur d’avoir posé son cul dans un fauteuil voisin du sien sent soudain peser sur ses épaules une immense lassitude, à laquelle se mêle un sentiment éperdu: l’angoisse de devoir trouver une excuse pour le lever à nouveau, ce pauvre cul.
pour la plupart des producteurs de commentaires d’ici, la bonne question flaubertienne serait : « quand on est personne pourquoi ne pas vouloir devenir quelque petite chose du grand rien ? »
et c’est ainsi que la section commentaire de la RdL devint Académie. et « tkt » son sempiternel secrétaire éternellement perpétueux du vain véniel de la connaissance absente,
Boire de la bière avec des prolos ! Quelle horreur ! Pourquoi ne pas déguster plutôt du vin de Champagne ?
On pue moins de la gueule…
…
…archipôiète,…c’est du,…Caca-proust de n’importe quoi,…pour avancer dans la merde du seigneur,…
…enfin,…les habitués,…endoctrinés,…
…ils, nous disent,…de l’argent pour y croire,…et du pain toujours du bon côté, à la Bourse,…de la ferme,…etc,…Bip, Bip,…
…
« y’a du prolo pas façon Bellegueule mais façon plutôt Besancenot. (je vous en prie, TKT, aspirez un grand coup et regardez : nul couteau entre mes dents.) C’est convivial, chaleureux » (Cl.)
Je n’ai aucune difficulté à imaginer une Académie peuplée de besancenots et de mélanchons.
En revanche, je ne saurais pas trop quel nom lui donner.
« Pourquoi existe-t-il quelque chose plutôt que rien ? » me parait une bonne question, la meilleur de toutes, voire la seule qui vaille.
Bravo Leibnitz ! vous revenez en deuxième semaine…
A propos d’Hagège, sur Wiki, les potes à Assouline on peut lire :
« Influencé par : André Martinet ».
En tout cas, il l’aura pris ce matin, le martinet…
« nul couteau entre mes dents »
Si John Brown ou Bouguereau étaient Clopine, ils écriraient plutôt :
« Nulle dent autour de mon couteau. »
Les textes sacrés sont ils premiers, qui les écrivit, quand, pourquoi, puisque la bible se pose sur le tapis, les grecs ont une mythologie, il nous en fallait une et nous puisons à toutes les sources.
Bérénice, la véronique, la photographie par exemple qui n’ est pas faite de main d’ homme.
D’ ailleurs on parle de » révélateur » en ce qui concerne le produit qui la fait venir à la lumière.
( Comme le portrait du Christ sur le drap, de la magie, sans la main de l’ homme encore…)
Clopine, l’histoire du Sofitel, n’a rien à voir avec des rapports patron-employée.
Vadiou, Clopine, vous fréquentez des rallyes à moto et tenue de cuir ?
Quant à la bière, c’est rarement aussi mauvais, quand c’est mauvais, qu’un mauvais vin.
Allons donc, Thierry : comment juger de la qualité d’une petite bonne pour un patron employeur, même féministe, sans en passer par cette prise de risque urogénital ?!
Je veux rappeler ici que l’histoire du Sofitel telle que la raconte M. TKT n’a reçu en rien une validation de ma part.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dnK6OHPQZbA
Entre son pinard et la Kro TKT hésite, il y a mauvais et mauvais.
Vadiou quelle pointure!
Rien contre Hagège, Chaloux.
Mais je préfère le lire que l’écouter, un livre ça se quitte à volonté.
La Croix écrit ceci:
« Lorsque Claude Hagège va dans le Finistère, il met un point d’honneur, bien sûr, à parler breton. Et basque à Bilbao. »
Bien sûr que je crois sur parle l’homme de paroles, mais ce ne serait pas une bonne idée que de demander au journaliste de faire un reportage sur l’après-coup?
« Allô patron? Je suis resté au café, après son départ. Ils sont hilares.
Je le mets dans l’article? »
Ça aussi, ça provoque chez moi une certaine gêne:
«En réalité, dit le francophile Hagège, le français est une langue qui peut s’appendre aussi facilement et se parler de manière tout aussi sommaire. Si un ado voit passer une jolie fille dans la rue, il pourrait utiliser mille circonlocutions et adjectifs, mais il dit: c’te fille, elle est trop. Avouez que ce n’est pas bien compliqué. »
« C’te fille, elle est trop »…
Si la deuxième partie de la phrase peut être d’un petit-fils, la première est d’un grand-père.
Il arrive que les exemples des linguistes soient presque aussi poilants que ceux des philosophes.
The cat is on the mat…
Ceux de Sartre étaient parfois un chouia achéiropoïétiques, mais parfois en revanche ça sentait le vécu, dès lors que ça se passait au café et pas, par exemple, à l’usine, ce n’est pas un reproche.
Pour le saint suaire, des thèses contradictoires, de nouvelles recherches viennent amoindrir le résultats des dernières qui tendaient à prouver que ce fut un faux, ça fait travailler les équipes de chercheurs.
Alors, là, TKT, ça se discute méchamment. Les relations sexuelles hommes/femmes sont si souvent conçues, par les premiers, comme une sorte de « prestations de services » des secondes, qu’ils en vont jusqu’à, parfois, les rétribuer. D’ailleurs, l’histoire du SOFITEL nous a prémunis contre une cata : imaginez qu’un patron du FMI, vous avez bien lu, du FMI, un mec qui connaît donc, la valeur des choses, qui est capable de vous renifler en un rien de temps un état sous-développé incapable de rembourser sa dette, qui sait minute par minute le cours du cacao, un mec né dans l’argent, par l’argent, pour l’argent, eh bien, celui-là était infoutu de s’apercevoir que certaines charmantes jeunes filles étaient vénales, qu’elles venaient le retrouver moyennant finances. Il les croyait « libertines ». Ouh là là. De là à croire que si la Qatar est riche, c’est par engouement mondial pour la viande de chameau, il n’y a qu’un pas, qu’un directeur du FMI ne devrait pas franchir si allègrement. Je crois que, collectivement, nous devons tous dire merci à Dodo la Saumure, qui a ainsi mis au jour la naïveté ontologique de notre brave DSK.
Bien sûr que je crois sur parle > Bien sûr que je crois sur parole
Le correcteur automatique, c’est une sorte de duègne intérieure qui quand on veut dire bordel vous fait écrire broderie.
une sorte de « prestations de services »
Allez Cloclo, enfile tes bottes rouges et ton collant à froufrous de la même couleur et au boulot, t’ as vu l’heure?
L’aveuglement sur DSK, l’argent, est général : je connais des malheureux, des malheureuses, qui prennent Besancenot pour un facteur sans argent, défenseur de la classe ouvrière, à laquelle il n’a jamais appartenu… Pauvres gens… !
u. dit: 4 mars 2014 à 11 h 17 min
Pourquoi u. s’obstine-t-il à utiliser un accessoire qu’il critique continuellement ?
Alors qu’avec le gode-ceinture, bouguereau assure gratuitement le SAV.
La plante doit son nom à Sainte Véronique, qui aurait recueilli un linge portant les traits du Christ et aurait, grâce à ce linge, guéri l’empereur Tibère de la lèpre. Or, la véronique officinale (Veronica officinalis) était utilisée autrefois en application sur les plaies des lépreux (d’où son nom familier d’herbe-aux-ladres). Pierre Fournier rapporte dans Les quatre flores de France que la fleur des véroniques était comparée au Moyen Âge à l’empreinte du Christ (verum icon, « vraie image ») car elle dessinait un visage rudimentaire avec les 2 anthères figurant les yeux
Pour continuer de dériver, Véronèse, son emprunt patronymique ne tient-il pas à ses recherches de coloriste, le vert Véronèse, une trouvaille, une splendeur, une merveille en soi.
correcteur très facétieux; je voulais écrire cuisinière il a écrit crinière.
Lorsque Hagège parle hongrois, il commet de nombreuses fautes, certes indétectables pour son auditoire qui pense écouter du turc.
« imaginez qu’un patron du FMI, vous avez bien lu, du FMI, un mec qui connaît donc, la valeur des choses, qui est capable de vous renifler en un rien de temps un état sous-développé incapable de rembourser sa dette, qui sait minute par minute le cours du cacao, (Cl.)
Un Etat pareil, ça ne sent pas nécessairement le chocolat.
S’il reniflait les dessous, c’était plutôt la lingerie.
« Les relations sexuelles hommes/femmes sont si souvent conçues, par les premiers, comme une sorte de « prestations de services » des secondes, » (Cl.)
J’ai compris ça.
Quand je serre la main d’une femme, sinon je m’incline, j’ai toujours un bifeton plié en quatre dans la paume.
Ça passe ou ça casse.
Soyons précis. Né à Levallois-Perret dans le département des Hauts-de-Seine, Olivier Besancenot est le fils d’un professeur de physique au collège et d’une psychologue scolaire. Il a passé sa jeunesse à Louviers, où il a fréquenté le collège et le lycée 1,2.
En 1996, il est diplômé d’une licence d’histoire décernée par l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense3.
Facteur depuis 1997, d’abord à Levallois-Perret puis à Neuilly-sur-Seine, à partir de 2000, il est aujourd’hui à temps partiel, à 80 %, travaillant du mercredi matin au samedi4. Il déclare, en 2007, toucher 1 000 euros nets par mois.
Nettement un suppôt du grand capital.
J’avais bien compris u., et je faisais aussi allusion à ce que rapporte cette vieille concierge d’Assouline.
Clopine Trouillefou dit: 4 mars 2014 à 11 h 29 min
Wikiki quand je veux, où je veux.
Bravo Clopine.
11h14 quelle pointure…
Au moins du 25.
Automatisme dit: 4 mars 2014 à 11 h 23 min
« Alors qu’avec le gode-ceinture, bouguereau assure gratuitement le SAV. »
Oui mais quand Bouguereau l’essayé il faut le jeter.
…
…mais,…l’histoire du Sofitel,…c’est du n’importe quoi, comme montage à babioles,…
…des acteurs sans vidéo-casting,…entre deux personnes aux habitudes différentes issus de deux mondes différents,…qui n’avaient pas à se connaître,…ni là, ni ailleurs,!…
…sauf diversion Express,…téléguidée,…par Ô’trouie,…
…
…d’ailleurs, avec,nos films et après cinquante ans de Monney’s » hard’s dispositions » à s’envoyer en l’air,…
…la famille, avec ses vidéo’s payantes !,…
…le droit à juger sur des esclandres priver entre gens adultes!,…
…Cinéma d’un genre des horreurs,…un point c’est tout,…ridicule,…
…
…la famille grecque antique,…Oui des gens de maison,…
…aujourd’hui,…faire confiance aux casseroles sur le pot au feux du fermier, et des journaux des buildings,…etc,…Bip,…Bip,…Ah,…
…
enfin les grosses huiles, même vidangées on les recycle tirs; Dhesse Kaa envoyé dans les balkans, bientôt à sébastopol, …; on verra le maçon à l’oeuvre de son édifice, le cul dans le gaz, il va cracher noir dans l’atmosphère, c’est pas diabolo menthe qui l’attend; …; un second souffle ha ha !!!
Clopine Trouillefou dit: 4 mars 2014 à 11 h 29 min
Tiens une de celles dont je parlais*… Si la curiosité l’amenait plus loin sur Besancenot le postier riche, sa femme éditrice chez Flammarion, son patrimoine à Montmartre… ce serait exceptionnel.
*vous avez gagné un tee-shirt de l’assassin icône de la jeunesse décérébrée : Che Guevara
« Besancenot, le fils d’un professeur de physique au collège et d’une psychologue scolaire, il est diplômé d’une licence d’histoire décernée par l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense.
Nettement un suppôt du grand capital. » (Cl.)
Non, seulement un étudiant glandeur comme on en a tous connu, et ayant trouvé une niche dans une révolution acheiropoïétique.
C’est le genre de mec qui nous permet de repasser dans notre mémoire les souvenirs de bavards un peu lunaires en se demandant: « Que sont-ils devenus? ».
(avec un peu de retard mais, des fois, c’est nécessaire
» un antisémitisme modéré, notion imaginable intellectuellement, n’est ce pas ? » (JC)
L’expression « antisémitisme modéré » est sémantiquement possible, mais indiciblement obscène. C’est une de ces expressions qu’il est inconcevable de prononcer devant des enfants.
Vous me semblez bien renseigné,Jcé. Allez, hop, vos sources, le patrimoine montmartrois (si c’est juste un appart », ça le fait pas, hein. Faut au moins trois ou quatre appartements loués à des tiers). l’épouse éditrice. Elle édite qui, quoi, comment, à combien ? Avez-vous des sources sur la marque des pompes, celles qui sont sur les pédales, tous les matins, de la bicyclette qui parcourt les belles rues de Neuilly ? La chrétienté a soif de détails. Après, vous viendrez nous raconter ce que vos sources connaissent de la maigre pitance de DSK,n’est-ce pas ?
« C’est une de ces expressions qu’il est inconcevable de prononcer devant des enfants. »
Nous devons garder nos enfants loin de tout cela : y compris dans un congélateur.
Trouillefou, pour quelle raison irais-je la perdre à dialoguer avec vous ?
… Et je n’ai jamais voté Besancenot, ni adhéré à la Ligue ou au NPA (dont je critique violemment la ligne). Mais c’est ainsi. J’avais déjà trouvé relativement malsain que des « camarades » mettent en cause Arlette au motif que cette dernière, en éreintante campagne présidentielle, ose monter en première classe (au lieu de critiquer que la SNCF continue à appliquer ce concept), ou qu’on reproche à Onfray son « train de vie ». Franchement, dans un monde où les rapports riches-pauvres sont ce qu’ils sont, c’est avoir la vue aussi courte que la…, bref, que jcé, quoi.
« Besancenot, le fils d’un professeur de physique au collège et d’une psychologue scolaire, »
Je suis parfaitement conscient du caractère absurde de cette vision, mais j’ai soudain imaginé Olivier comme le fruit d’une étreinte passagère entre JC et Clopine.
parce que vous ne faites que cela, Jcé. Je ne peux prononcer une phrase, ici, sans que vous la commentiez. Ca en devient même obsessionnel, chez vous. Je pourrais m’interroger, mais en fait, c’est tout simplement une sorte d’écho. Vous savez, quand vous parlez devant un endroit vide, votre voix va se perdant… Eh bien, c’est exactement ce qui se passe ici, et pas seulement avec moi d’ailleurs. Il suffit que quelqu’un d’entre nous émette une idée. Et voilà le vide qui résonne. Parfois à l’infini. Oui, c’est cela : vous êtes la vision même d’un rien du tout, d’une vacuité immense et satisfaite d’elle-même. A jamais largué sur une mobylette, à Porquerolles, à jamais imbu de son inanité.
« parce que vous ne faites que cela, Jcé. Je ne peux prononcer une phrase, ici, sans que vous la commentiez. »
Bah, Clopine, ça vient m’arriver.
C’est une sorte d’hommage, comme lever son verre au comptoir.
« Si Mélenchon était au pouvoir, il mettrait tous les Mélenchon en taule. »
Cohn-Bendit ne dit tout de même pas que des conneries.
holala..ça va chercher bezanceno pour faire l’éloge infini de l’académie..ça calçonne
Bouguereau, votre vocabulaire me dépassera toujours. « ça calçonne » ??? « calçonner » ?
bouguereau dit: 4 mars 2014 à 11 h 59 min
« ça calçonne »
Oui mais si tu voulais bien remettre le tiens… C’est pas un spetacle…
Lopine, vous ne connaissez pas les « calçonnades »?
Du boulevard, avec des gens qui ont perdu leur pantalon…
..et il touche pas de royalties le malheureux..et tu te trompes clopine, la domesticité maous du xix eme, beaucoup plus nombreuse que les prolos, n’a pas beaucoup interessé les ecrivains, presque pas..sinon des archétypes vite fait entre 2 lourdes
« Clopine », mon doigt a fourché.
Hagège il soule de paroles et en plus dans toutes les langues, c’est une calamité faite homme et en plus il se teint les cheveux !
Pourquoi quand on est personne vouloir devenir quelqu’un?
« Sur internet, Romain Letellier (du Calvados) utilisait le pseudonyme Abou Siyad Al-Normandy, c’est-à-dire, le « descendant du prophète de Normandie ». Des internautes l’avaient aussi élu à l’unanimité, « émir » de Normandie, sur le site Ansar Al-Haqq, qui est un site de référence pour les islamistes francophones. »
Hihihi…
S’il fallait absolument choisir entre les deux sectes, je prendrais encore Olivier al-Troskysti.
Au moins on pourrait le siffler, ce foutu calva.
Bouguereau, n’importe quoi comme d’hab, et Un Coeur Simple, et Germinie Lacerteux, et la Recherche?…
..en fait c’est sur les habutusse d’une tribu connu de moiseul zouzouseul et levichtross seul..mais y’en a toujours un 4eme qui se reconnait
habitus clopine..haaabitusse
subsidiaire cheuloux..comme toi
En tout cas, comme historien littéraire, Bouguereau, tu vaux ton (lourd) pesant de vaseline.
JC….. dit: 4 mars 2014 à 11 h 36 min
son patrimoine à Montmartre
JC est adepte et relais de toutes les petites saloperies qui circulent dans les cercles pourris de la droite extrême.
Il a besoin de cela pour paraître exister.
bezanceno on le mets en livrée zébrée..on le tartine de rouge sur le nez et on le moque..ils adorent
Selon Bouguereau, Flaubert, les Goncourt, Proust, Mirbeau sont… « subsidiaires »… pas lui…jamais…
Mais quelle moule …avariée… et puante…
quand même l’aller chercher pour dire qu’y en a des pires que l’académie..tu comprends quand on se croit..on en est..on calçonne quoi clopine.évidemment une fille ça peut pas..même fendue..
Chaloux dit: 4 mars 2014 à 12 h 12 min
Chaloux vous devenez pénible, bientôt pire que TKT avec D. ou Clopine avec ses trolls.
Et Lazarillo, et Cervantès, et Molière, et Diderot, et Balzac dont les romans fourmillent de portraits de serviteurs… Mais quel con ce Bouguereau… Qui n’y connait rien de surcroit.
hof tu sais cheuloux..comme une masse de critique qu’y s’y sont penché..je ne fais que contresigner..tu oublies huysmans
fourmillent de portraits de serviteurs
les halebardiers aussi « fourmillent ».sapré christian
Pause dit: 4 mars 2014 à 12 h 15 min
Bien possible, mais les grosses conneries de l’autoritaire Bouguereau qui affirme n’importe quoi tout en ne sachant pas grand-chose m’agacent.
(A ce propos, j’essaie de retrouver un truc dans les archives de la RDL, un petit dialogue Bouguereau Montaigne qui n’était pas piqué des vers…)
tu vis trop ton sujet et ton sentiment d’infériorité mon cheuloux..c’est une seconde nature ?
cherche donc mon cheuloux cherche..
mais quelle plaie mobile ce p’tit facho de JC, quelle plaie suppurante, comment s’en débarrasser ?, il s’incruste comme son pote Biture/bouguereau dans la nocivité
Clopine, avec l’histoire du Sofitel, le meilleur candidat présidentiel à été mis hors circuit. DSK est tombé, car la société fait semblant de se moraliser. La catastrophe c’est qu’un homme d’une telle qualité professionnelle, n’avait pas compris qu’à son niveau, la vie privée n’est plus privée. La vérité, la société demande aux Politiques d’avoir un peu de tenu, quand ils sont aux Affaires. Il faut faire son choix. Aller philosopher sur la position des femmes, par rapport aux hommes, en tenant en compte, les obsessions sexuelles de DSK, me parait un raccourcis. D’autre part, Clopine, il y a aussi des femmes qui usent de leur pouvoir, pour se permettre des aventures. Ne faites pas semblant de ne pas savoir, qu’il y a aussi des call-boys pour Dames.
Willy Brandt avait une vie nocturne organisée par ses collaborateurs, ne parlons pas de John F. Kennedy.
Mais, Clopine, quel est le rapport avec les 40 Immortels ?
Bouguereau, de portraits appuyés de « serviteurs » dans Huysmans, que je connais assez bien, je n’en vois pas tellement. Des portraits de petites gens, d’employés, oui, des silhouettes de serveurs de restaurants, qui me font toujours un peu penser à Toto etc. Mais de serviteurs (peut-être dans A Rebours, mais c’est celui de ses livres que j’aime le moins)je ne vois pas. Pas son registre.
des parisiens s’en chargeant personnellement, en souvenir !
Attention : sans majuscule, cela pourrait vouloir dire que des pains s’envoyaient des pavés en guise de pains. Granville en aurait fait une caricature.
Vous avez raison, Clopine, que la SNCF supprime les secondes classes !
Chaloux, le stercoraire de la RdL..
Bouguereau, tu devrais plutôt plancher sur ton complexe de supériorité. Toute ta rhétorique ici n’est basée que sur cette question et sur un pénible besoin de domination pour lequel tu es très mal équipé. Mais tu affirmes souvent sans savoir, la preuve encore une fois. Bien enrubanné, pour te légitimer, dans du pseudo Céline pour pas qu’on aille trop y voir (alors que Ferdine serait le premier à faire de toi un portrait assassin. L’aimait pas l’à peu près). Mais si on y va tout de même, on y découvre un tas de conneries minables. C’est -vraiment- toute la « supériorité » dont tu peux te targuer.
l’assassin habite toujours au 21;…stop;…envoyez la chaise et le bicorne ! les 400 cloches; en dix versions; … carnaval sous la coupole…/….
« que la SNCF supprime les secondes classes ! »
ça reviendrait au même, TKT, à l’arrivée, il n’y aurait plus qu’une seule classe pour tous…
Tôto dit: 4 mars 2014 à 12 h 32 min
De la scatologie, bon.
Et ensuite?…
Pauvre con.
Jacques Barozzi dit: 4 mars 2014 à 12 h 36 min
« que la SNCF supprime les secondes classes ! »
ça reviendrait au même, TKT, à l’arrivée, il n’y aurait plus qu’une seule classe pour tous…
Le pipilet dans toute sa splendeur.
L’art de ne rien dire.
J’admire les phénomènes de dissipation du brouillard
Escalier dit: 4 mars 2014 à 12 h 43 min
L’art de ne rien dire
Pour le coup même TKT a du s’en apercevoir.
bouguereau dit: 4 mars 2014 à 12 h 16 min
« hof tu sais cheuloux..comme une masse de critique qu’y s’y sont penché..je ne fais que contresigner.. »
C’est ce qui s’appelle se rattraper aux branches? « Une masse de critique » (voir le caractère « légitimant » de ce type d’expression, uniquement destiné à ne pas perdre la face devant la galerie). Que de la galerie, Bouguereau.
Rien d’autre dans ton pauvre cervelet?
Les radasses et les pipelots, y’en a un paquet quand même sur cette terre.
…
…@,…dédale & i car,…à 12 h 36,…
…
…c’est très bien!,…
…des développements parasites à éclaircir,…
…
…ou les jeux d’obstacles à con-tourner,…
…
…c’est avec » le mystère de la chambre jaune » je présume,…avec Tarzan et Jane,…
…
…ou encore que, pressons le citron,…
… » Giphantie « , par Tiphaine,…etc,…
…
« Dans un registre sensiblement différent, on découvre qu’il y a 10% de gays parmi les académiciens (mais comment Daniel Garcia est-il parvenu à l’établir ?) »
heu… en farfouillant dans les archives de tetu ?
Simplement, au procès,- ce serait dommage que la plainte de l’Institut n’aboutisse pas- va falloir déballer tout cela.
La déontologie, en terme journalistique, est-ce une définition présente dans le dico ?
Mais oui ! c’est de la philosophie. Les tenants d’Hippocrate, accessoirement académiciens, en savent quelque chose :
http://www.cnrtl.fr/definition/d%C3%A9ontologie
Mais je l’entendais parfaitement ainsi : tous ensemble dans un wagon de première. Avé la place pour les jambes, le petit carré de tissu remplacé à chaque voyage, et des livres d’académiciens (on ne dit pas laquelle) offerts par un stewart aux yeux bleus. Ou verts. Ou vairons, comme David B.
De plus, si je ne parle pas du billet du jour (il me semble pourtant bien plus acrimonieux que ce dont notre hôte nous gratifie d’habitude) c’est que le sujet de l’académie est universel. Songez au dictionnaire, certes, à l’immortalité, soit, mais à Jean d’Ormesson, surtout. Vous le voyez bien : les 40 (n’était-ce pas le titre d’un roman d’Agatha C. ?) sont partout.
vieille concierge pierre assouline ?
Ce n’est pas l’impression que j’en ai eu en l’écoutant en conférence publique l’autre jour, il disait en substance que les français se scandalisaient haut et court des dernières facéties du président, mais eu égard à la violence de la presse anglo-saxonne auquel il est habitué, cela ne l’a pas du tout ébranlé …; J’avais un gros rhume, donc qu’il ne m’en veuille pas, je n’étais pas dans mon assiette, je préfère écrire que causer de tt façon.
Chaloux, u.,
Des projet pour les vacances de Pâques ?
Qui a décidé de la création d’un « Grand Prix Paul Morand » ? voilà une information sur la vie et l’avis des Académiciens plus importante que leurs histoires de moeurs et morts.
Clopine toute entière à son troll attachée dit: 4 mars 2014 à 13 h 18 min
Et voilà, nous sommes au bout du bout, le cercle est bouclé.
Clopine considère TKT comme son troll attitré.
Soudain il me vient un doute ……
Clopine serait-elle D. ?
Pour la poignée de l’épée :
« Sur la plage de Sidon, un taureau s’essayait à imiter un roucoulement amoureux. c’était Zeus. Il fut secoué » d’un frisson […] un doux frisson. Éros plaçait sur sa croupe la jeune fille Europe. Puis la blanche bête se jeta à l’eau, mais son corps imposant en émergeait assez pour que la jeune fille ne fût pas mouillée… »
(Les noces de Cadmos et Harmonie – Robert Calasso (Gallimard)p.13 – Traduit de l’italien par J-P. Manganaro
Oui, une petite descente dans le sud, dans ma famille -niçoise-, pour les repérages d’un grand spectacle pyrotechnique qui aura lieu cet été, – avec reportage photographique, video, – le tout consultable sur mon blog qui s’ouvrira sur cette fête magnifique. (Mais ne dites-rien, hein, c’est un secret…).
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